Bâtitech 11-2013

84
11-2013 www.batitech.ch 20 I Eclairage 56 I Gestion des connaissances 60 I Double ou triple vitrage? Rusé comme un renard! Swiss Garde 4000 Avec suppression animal www.zublin.ch ELECTROTECHNIQUE

description

Technique du bâtiment et énergie

Transcript of Bâtitech 11-2013

Page 1: Bâtitech 11-2013

11-2

013

ww

w.b

atitec

h.ch

20 I Eclairage

56 I Gestion des connaissances

60 I Double ou triple vitrage?

Rusécomme un renard!

Swiss Garde 4000

Avecsuppression

animal

www.zublin.ch

ELECTROTECHNIQUE

Page 2: Bâtitech 11-2013

Simplement bien approvisionné: avec Geberit Mapress vous profitez dès maintenant de prix attractifs. ChezGeberit, le pionnier en matière de technique de pressage, vous pouvez compter sur une qualité exceptionnelledu matériau et de la mise enœuvre ainsi que sur un conseil compétent. Une gamme complète dematériaux, dedimensions, de raccords et d’outils vous offre des possibilités d’application pratiquement illimitées. Découvrez deplus amples informations sur les systèmes d’alimentation Geberit auprès de votre commerce de la technique dubâtiment Geberit ou sur → www.geberit.ch.

Geberit Mapress

Haute qualité au meilleur prix.

Page 3: Bâtitech 11-2013

Avez-vous déjà réfléchi aux raisons qui vouspoussent à appuyer sur le bouton d’un interrup-teur? Bien sûr, c’est pour allumer la lumière! Parcontre, aujourd’hui, ce geste n’est pas uni-quement réalisé dans le but de nous éclairer, dumoins à la maison. De plus en plus fré-quemment, les motivations sont d’ordre esthé-tique. Elles tiennent un peu de la psychologie etdu besoin de personnaliser un espace de viepour lui conférer une ambiance particulière.Entrer dans un monde quelque peu différent, serelaxer, voilà des sujets bien éloignés de la tech-nique. Les sources lumineuses sont certes desobjets techniques, elles sont aussi éléments deconfort, de bien-être et surtout capables de sus-citer des émotions. Tournons-nous par exemplevers les professionnels du spectacle, ils se ser-vent à merveille des effets magiques que l’éclai-rage peut offrir. Les concepteurs d’éclairage desurfaces de vente eux aussi exploitent avec beau-coup de savoir-faire la magie de la lumière pourmettre les produits en avant. Quant aux archi-tectes d’intérieur, ils innovent en tirant parti desexpériences des spécialistes du monde du spec-tacle.Les professionnels de l’éclairage se plaisent àrappeler que dès le début du siècle dernier,Le Corbusier, en entamant la carrière d’archi-tecte que l’on connaît, pensait qu’une maisonn’est vraiment habitable que si elle est pleine delumière et d’air. La lumière est vectrice d’émo-

tions, elle influence la perception du monde quinous entoure et nous l’avons tous expérimentépersonnellement.Aujourd’hui les besoins évoluent. Une maisonvraiment habitable doit s’adapter à nos hu-meurs et à nos activités. Rentrer chez soi, cui-siner, manger, lire, regarder la télévision, jouer,travailler, se détendre ou bien accueillir desamis, voilà des situations dans lesquelles il nousfaut ou faudrait un éclairage spécifique.Fort heureusement les solutions ne manquentpas. Prenons pour exemple la LED qui dansbeaucoup de cas devient incontournable, ouencore les systèmes de gestion de l’éclairage telsque DALI.Les nuits se font plus longues, nous nous recro-quevillons davantage dans nos intérieurs. Peut-être aurez-vous un peu de temps pour étudierces technologies et leurs applications dans lespages spéciales «Eclairage» que nous vous pré-sentons dans ce numéro.

Photons magiques

Pierre SchoeffelRédacteur é[email protected]

éditorial bâtitech 11-13 1

(Source: Feller)

Page 4: Bâtitech 11-2013

2 bâtitech 11-13 sommaire

www.batitech.ch

Swiss Garde 4000avec suppression animalLe nouveau Swiss Garde 4000possède de nombreuses fonctionsremarquables pour plus de sécu-rité et de confort. L’appareil sesingularise par la capacité de fairela distinction entre les petits ani-maux et les personnes.Cette innovation de premier plana été réalisée par des ingénieursexpérimentés ayant élaboré unalgorithme intelligent et perfor-mant. Il tient certes compte de ladifférence de taille entre hommeset petits animaux, mais considèreaussi le rayonnement calorifiquedistinct. Grâce à cette nouveautéunique en matière de détecteurde mouvement, les commuta-tions de l’éclairage, pénibles etdues aux chats ou aux renards,font partie du passé.

www.zublin.ch

actuel 4 Le projet géothermique de

St-Gall secoué 6 KWC est «arrivé»

chez Franke 8 Transformation exigeante,

concept de ventilationintéressant

12 Succès de l’action«nettoyage» après unincendie

16 Chauffage selon lesbesoins réels

éclairage 20 Des normes garantissent

un réseau propre 22 LED – oser la couleur 24 Bus DALI pour lumière

intelligente (2e partie) 28 La lumière dynamique

améliore la productivité 30 Un claquement de doigts

suffit 32 thePrema: un design qui

surprend positivement 33 Systèmes de lifts ReelTech

pour luminaires 34 Les luminaires communi-

quent entre eux 36 Zumtobel présente la famille

de luminaires à LED LightFields evolution

produits 38 Thermostats d’ambiance

à technologie tactile

40 Urinoir économe pourespaces sanitairesreprésentatifs

42 Un précieux apportà la série LWD

44 Une eau potable d’excellentequalité grâce à un revête-ment minéral

46 Elégance par excellence 47 Mise en service réussie du

premier ascenseur à énergiesolaire

48 Un paquet musclé et silen-cieux dans l’armoire

49 Nouveau système de mon-tage ultra-efficace

50 Gotthelf se pare d’un ascen-seur magique

52 Le nouveau chauffe-eaupompe à chaleur

53 Une harmonie parfaite entreesthétique et fonctionnalité

54 Sécurité et mobilité garantiesdans la salle de bain

partie technique 56 Gestion des connaissances:

les séminaires sont deschances

60 Double ou triple vitrage

exposition 62 Le nouveau complexe

de halles de Messe Basel estachevé

éclairage I 20 produits I 47

Page 5: Bâtitech 11-2013

sommaire bâtitech 11-13 3

carnet I 73

associations 64 Des objets symboliques pour

les propriétaires d’installa-tions solaires

66 Plus de paperasse, maisaussi plus de sécurité

formation 68 Brain Food 70 Know-how NIBT 9

carnet 72 Vague verte sur la grande

bleue 73 Le secteur suisse du travail

du bois en grande forme 75 Le bilan de la première

année est positif 76 Le Geberit Challenge

a enchanté tout le monde 78 Brain Food – réponses aux

questions 125 à 153

Theben HTS AG | Im Langhag 7b | 8307 Effretikon | Tél. 052 355 17 00 | Fax 052 355 17 01 | [email protected] | www.theben-hts.ch

SOLUTIONS DE GESTION DU TEMPS, DE LA LUMIÈRE ET DE LA TEMPÉRATURE.

thePrema – le détecteur de présence aux propriétés étenduesLe détecteur de présence thePrema de thebenHTS fait partie de la nouvelle génération de détecteur associant la technologie de pointe avec un design innovateur. Ce détecteur utilise la matière transparente de la lentille comme élément de design. Avec l’anneau décoratif transparent, le thePrema s’adapte parfaitement à l’environnement. La zone de détection carrée jusqu’à 100 m²

Intéressé? Pour en savoir plus sur les nouveaux détecteurs de présence : www.theben-hts.ch

thePrema

correspond à la géométrie typique d’une salle. Grâce à sa qualité de détection sensitive, il satisfait toutes les exigences posées par une commande d’éclairage et de CVC approp-riée à l’utilisation et économe en énergie. Les planificateurs et installateurs apprécient lafiabilité de détection carrée des détecteurs de présence de thebenHTS.

partie technique I 56

Page 6: Bâtitech 11-2013

4 bâtitech 11-13 actuel

Les services industriels responsables, sou-tenus par le gouvernement, ont convaincula population grâce à une communicationtransparente et objective. Cela est prouvépar un accord à 80 % sur le projet, les ris-ques et les coûts. Le projet de géothermiefait également partie intégrante du con-cept de l’énergie EnK3 2050 de St-Gall«Chaleur – Électricité – Mobilité». La di-rection du projet a toujours souligné qu’il

Le projet géothermiquede St-Gall secoué

Jürg Wellstein

Des gisements de gaz gênent la géothermie: d’abord à Bâle et maintenant malheureusementdes problèmes aussi à St-Gall avec des vibrations indésirables

Avec les vibrations sur le chantier géothermique de St-Gall, voilàdéjà le second forage profond en Suisse qui est sujet à discussionpour le monde politique et public. Cependant, sa renommée estplus importante que les faits qui s’y sont passés. Restons donc surle sol ferme et inébranlable des faits!

ne s’agit pas d’un chantier de constructionnormal, mais d’un projet de dévelop-pement géothermique. Il compte de nom-breuses «inconnues» et pas mal de ris-ques. Le tremblement de terre a étédésigné comme l’un des 12 plus grandsrisques. Par conséquent, on s’est adresséen premier au Service suisse de sismologie(SED) de Zurich afin qu’il conçoive un ré-seau microsismique et son système de sur-veillance. Ce dernier a enregistré tous leschocs et l’ingénieur du projet était conti-

nuellement informé. Le forage a atteintavec succès la zone cible à 4450 mètres deprofondeur, les premières études ontmontré que cette couche rocheuse étaitsans failles, c’était de bonnes nouvelles. Le16 juillet 2013, et selon la planification,le nettoyage a eu lieu. Et de façon inatten-due, c’est le 19 juillet, lors de la prépara-tion planifiée de tests d’extraction, qu’unepoche de gaz a été détectée au fond dupercement. Ensuite, la pression dans le fo-rage a augmenté et de l’eau en est sortie.Samedi matin, 20 juillet 2013, à 05 h 30,la région de St-Gall a ressenti comme untremblement de terre d’une magnitude de3,6 ainsi que d’autres secousses de plusfaible importance. Le puits a été fermé etsécurisé. Maintenant, des enquêtes sontmenées afin de déterminer les nouvellesmesures à prendre.

Les ressources en gaz font partieintégrante du sous-solLe système de forage installé à St-Gall estgénéralement utilisé pour le forage de gaz,l’équipe connaît bien ce genre de pro-blème. Depuis le début, un dispositif detorchère a été installé, pour le cas où l’onatteindrait des réserves de gaz possibles.Celles-ci peuvent être rencontrées à n’im-porte quelle profondeur – même enSuisse. Ici, la recherche traditionnelle degaz naturel était restée largement infruc-tueuse. Seul le projet «Finsterwald» dansl’Entlebuch a permis à Swisspetrol, entre1985 et 1994, de trouver à 4370 mètresde profondeur du gaz naturel estimé àprès de 73 millions de m³. Puis le sitesouterrain s’est tari. Actuellement, l’accentest mis sur le Val-de-Travers, où l’on sup-pose qu’il y a de plus grosses quantités.Quelles sont les causes concrètes des vi-brations survenues à St-Gall? On ne saitpas encore s’il s’agit d’effets de relaxationdans le percement de la fracture, la contri-bution matérielle à la stabilisation de lapression du gaz ou d’autres facteurs.

Parce que les gisements de gaz se trouvent à toutes les profondeurs, la plate-forme de forage estéquipée, en standard, d’une torchère (à droite). (Photo: Jürg Wellstein)

Contacts

Projet géothermique de St-Gall:www.geothermie.stadt.sg.chSociété Suisse pour laGéothermie: www.geothermie.chService Sismologique Suisse (SED):www.seismo.ethz.ch

Page 7: Bâtitech 11-2013

actuel bâtitech 11-13 5

L’énergie géothermique, qui pourrait fa-voriser une bande d’énergie avec chaleuret puissance constante tout au long del’année, s’est à nouveau trouvée dans lasphère des critiques. Parallèlement à cela,le souci d’intensifier la recherche et lemanque de connaissances a été confirmépar d’autres forages d’exploration. Sansaucun doute, les événements ont montréà St-Gall que malgré des méthodes d’ana-lyse modernes (par exemple, mesures sis-miques 3 D), nous ne pouvons générer unforage profond dans le sous-sol suissequ’avec nos connaissances. Il restera tou-jours certains risques. Il existe toujours undilemme entre exploration et production.Si l’énergie géothermique, indépendantedes variations saisonnières et de la varia-bilité du climat, peut, à l’avenir, contri-buer à la fourniture d’électricité et dechaleur à haute température (par exem-ple pour les réseaux de chauffage ur-bain), ce genre de production doit êtrepromu activement et les projets de Bâleet St-Gall y contribuent. ■

La méthode de relevage et de nettoyage est utilisée pour éliminer l’eau de rinçage ascendantedans le forage et les grains fins en suspension. L’ensemble du processus n’a pu être achevéen juillet 2013 en raison des événements. (Graphique: www.geothermie.stadt.sg.ch)

Air venant du compresseur L’eau thermale nécessaire estconduite du séparateur dansl’installation de froid et dansle bac de stockage

Le mélange air-eau montedans le boîtier

Tube pour injectionde l’air

L’eau s’écoule de laformation, monte progres-sivement vers le hautdu boîtier

Visions audacieuses& Concepts réalisables une alliance parfaite

Les meilleures solutions se fondent sur une alliance parfaite.Hälg Group réunit le meilleur des techniques du bâtiment pour vous fournir la solution optimale. Qu’il s’agisse de conseils, d’étude, d’exécution, de maintenance, d’exploitation ou de tout à la fois: vous profitez de l’alliance parfaite que forment notre expérience, nos capacités d’innovation et notre savoir-faire. Afin que tout fonctionne d’une façon impeccable. Votre partenaire Hälg Group se trouve près de chez vous. Ou sur www.haelg.ch

Page 8: Bâtitech 11-2013

6 bâtitech 11-13 actuel

L’acquisition par le groupe Franke est ter-minée. Qu’est-ce que cela signifie pourKWC en tant qu’entreprise privée; quepeut décider KWC de façon indépendante?Roland Gloor: Tout d’abord, je tiens à direque le team KWC a été très heureux quece soit le groupe Franke qui décided’acheter KWC. Bien sûr, j’ai beaucoupréfléchi pendant toute la phase du pro-cessus de vente, comment le «petit» KWCallait être intégré dans un grand groupe

«Nous nous sentons déjàcomme à la maison»

Interwiew: Franz Lenz

KWC est «arrivé» chez Franke

En juin dernier, le groupe Franke annonce la prise de contrôle totalede la fabrique de robinetterie suisse KWC AG, dont le siège est àUnterkulm (AG), ceci après le consentement donné par la commis-sion de la concurrence (Comco). Roland Gloor, directeur général etdélégué du conseil d’administration, nous dit quelles conséquencescela a eu pour KWC AG. Le groupe Franke génère des ventesannuelles de l’ordre de deux milliards de francs.

comme Franke. Mais Alexander Zschok-ke, CEO de Franke, nous a assuré, avantl’achat final, que KWC continuerait defonctionner en tant que marque indépen-dante. Les premières semaines déjà ontmontré que les équipes pouvaient tra-vailler ensemble, harmonieusement etde façon professionnelle. Michael Piepernous a également très bien accueilli defaçon très personnalisée et chaleureusedans le groupe Franke. KWC est arrivéchez Franke et nous nous sentons dansun environnement de professionnels

avec des attentes élevées et un bon envi-ronnement de travail, déjà comme sinous étions à la maison.

Quels sont les impacts sur le personnel deKWC, y a-t-il des doubles fonctions?KWC est une société bien organisée etqui fonctionne avec des structures éprou-vées et claires. Comme notre objectifcommun est d’internationaliser la mar-que KWC, je suppose que nous allonsdevoir augmenter notre personnel.Quel est le profil de notre personnelpour un proche avenir, mais aussi pourun plus long terme, ce sont des questionsprimordiales pour KWC et nous n’enparlerons qu’après une clarification dé-taillée. Pour les emplois dits en «dou-blons», nous allons de notre côté co-opérer et trouver des solutions concrètesau sein du groupe et toujours garder uneperspective KWC indépendante et flexi-ble.

A quoi va ressembler la ligne des produitsdans quelques années, car enfin Frankeproduit également des équipements dequalité.Dans les domaines de la cuisine et de lasalle de bains, Franke ne produit pas derobinetterie. Dans ce secteur de marché,KWC jouera un rôle central au sein dugroupe. Comment se présentera la «Stra-tégie Produits» dans le futur? C’est unepartie importante de nos travaux straté-giques actuels. Je tiens seulement à direque le potentiel de synergies est extrê-mement intéressant et prometteur.

Est-ce qu’il y a des visions qui peuventêtre réalisées dès que l’on appartient à ungrand groupe suisse?Notre affiliation à un stratège suisse, je laconsidère fondamentalement comme ungrand avantage. En plus de la proximitégéographique, nous nous comprenonsaussi bien linguistiquement que culturel-lement. Le groupe Franke a un énorme

L’assortiment deraccords sériesKWC IQUA arriveau bon moment,parce que l’hy-giène n’est plusseulement réser-vée une certaineclasse, mais faitpartie de la listedes exigences dechacun. L’eaus’écoule sans quel’on ait besoin detoucher le robinet.

(Photo: KWC)

Page 9: Bâtitech 11-2013

actuel bâtitech 11-13 7

succès dans le monde entier, il est bienconnu dans différents secteurs d’activitéet a réalisé un chiffre d’affaires très élevésur les marchés étrangers. KWC peutdonc s’appuyer sur l’expérience très pré-cieuse d’un groupe distinct et indépen-dant. Je suis également convaincuqu’avec cette nouvelle constellation dansnotre secteur d’activité, nous trouveronsdans notre industrie globale des solu-tions plus innovantes ainsi que de nou-velles impulsions.

Comment voyez-vous l’évolution de KWCdans cinq ans, et comment voyez-vousl’avenir de l’industrie de la constructionen général?J’aimerais tout d’abord partager quelquesréflexions sur l’avenir de l’industrie de laconstruction et du bâtiment en Suisse. Jem’attends à ce que, l’année prochainedéjà, nous vivions une certaine détentedans le secteur des constructions nou-velles. Les consommateurs ainsi que nosagents de vente seront de plus en plustournés en direction de la qualité – etceci pour les produits et les services. La

question de la durabilité, nous allons, àl’avenir, encore plus l’intégrer dans nosstratégies de production et des solutions

produits. Je vois aussi que le marché dela rénovation et du remplacement conti-nuera d’avoir une très grande impor-tance: un domaine dans lequel KWC, tra-ditionnellement, peut marquer sonempreinte fonctionnelle et innovante,mais également spécifique pour les solu-tions produits. KWC restera aussi un par-tenaire fiable pour tous les clients quicomptent sur une véritable qualité suisse,et je suis aussi curieux de voir commentInternet va évoluer dans l’avenir de notreindustrie. Au cours des cinq prochainesannées, nous prévoyons, en Suisse, unecroissance modérée pour nous et nousl’utilisons comme décrit précédemment,pour nos débouchés à l’étranger, cecidans le segment haut de gamme. Pourmoi, le premier but est d’augmenter no-tre part des exportations et de passer deprès de 30 % aujourd’hui à au moins50 %.

KWC AGCH-5726 UnterkulmTél. 062 768 68 68www.kwc.ch

Le CEO Roland Gloor montre la nouvelle ligneKWC SAROS. Elle établit de nouvelles normesen matière de facilité d’utilisation et peut êtretirée vers le haut jusqu’à 60 cm. Après utilisa-tion, la douche amarrée à la sortie est magné-tiquement verrouillée par un simple clic.

(Photo: F. Lenz)

L’air pur est mon énergie !VIKTOR RÖTHLIN, CHAMPION D’EUROPE exploite les énergies renouvelables et chauffe avec une pompe à chaleur d’Alpha-InnoTec sans rejet de CO2, pour un air pur.

www.alpha-innotec.chUNE M A RQUE DU GROUPE SCHULTHESS

Page 10: Bâtitech 11-2013

8 bâtitech 11-13 actuel

La maison de Seefeld a été construite en1880, agrandie en 1905. Comme c’étaitl’usage à ce moment-là, l’habitation et lelieu de travail se trouvaient sous unmême toit et les chambres étaient répar-ties en conséquence. Au fil des années, lapropriété a été utilisée de différentes ma-nières, et même aujourd’hui, après unerénovation complète, vous trouvereztrois appartements ainsi que des bureaux.

Transformation exigeante,concept de ventilationintéressant

Alan C. Hawskins

«Meltem», l’élément de ventilation super-silencieux

Ron Epstein, architecte zuri-chois, est fier de la réussite dela remise à niveau d’un immeu-ble à Seefeld (Zurich) – et aussides solutions techniques qu’il achoisies pour le chauffage et laventilation.

Lors de la rénovation, l’architecte Epsteina gardé à l’esprit l’aspect énergétique: unsystème de pompe à chaleur récupèrecette dernière à partir du sous-sol de See-feld. Compte tenu de la constellation ser-rée des bâtiments dans le voisinage im-médiat, il n’a pas été facile de trouver del’espace pour effectuer les quatre foragesnécessaires.Lors de la rénovation d’immeubles an-ciens, l’installation de la tuyauterie et descanaux de ventilation est généralementtrès laborieuse et coûteuse. Ron Epsteinne voulait pas nécessairement un certifi-cat «Minergie» pour le bâtiment, mais,pour lui, un bon apport d’air frais esttoujours très important. Il voulait aussiutiliser le minimum d’énergie thermiquepossible. Compte tenu de l’espace limité,il était impossible d’utiliser un systèmede ventilation conventionnel et il a dû se

décider pour une unité de ventilation in-dividuelle Meltem de l’entreprise SystecTherm. Ces appareils sont très compactset peuvent être facilement intégrés dansles murs extérieurs. La maison disposed’un total de 14 appareils Meltem répar-tis dans les diverses chambres des appar-tements. Pour les cuisines et salles debains, les systèmes de ventilation con-ventionnels ont été installés – et ceci entrouvant des emplacements adéquatspour les conduites, comme le fait remar-quer l’architecte.Les unités de ventilation dans les cham-bres sont très compactes et très silen-cieuses. Dans une chambre, une grandeunité est installée et utilise une placed’environ 40 par 30 cm, plus quelquescentimètres d’espace. A l’extérieur, vousne voyez que deux petites grilles de venti-lation pour l’alimentation et l’évacuation

Les unités de ventilation s’intègrent discrètement dans les salons et chambres à coucher.

La maison, dans le quartier zurichois deSeefeld, est chauffée par pompe à chaleuret quatre forages. Ron Epstein, architecte,dans l’(étroite) chaufferie.

Page 11: Bâtitech 11-2013

actuel bâtitech 11-13 9

GAMME PEUGEOT UTILITAIRES

PEUGEOT PARTNERDÈS CHF 15 462.–AVANTAGE CLIENT DE CHF 6 388.– COMPRIS

NE LAISSE JAMAISTOMBER SON PARTENAIRE

LE PEUGEOT PARTNER: UN VRAI PROMalgré son impressionnant volume de chargement, le Peugeot Partner se faufile dans les passages les plus étroits. Et, grâce à ses portes battantes et à son seuil de chargement bas, vous pouvez facilement charger jusqu’à 850 kg. L’aide au freinage d’urgence et l’antipatinage garantissent, quant à eux, des trajets sans souci. Les nouvelles motorisations sont sobres et respectueuses de l’environnement. Vous le voyez, vous pourrez toujours compter sur votre Peugeot Partner. Dès maintenant chez votre partenaire Peugeot.

Peugeot Partner Fourgon tôlé Urban L1 1.6 VTi 98 ch, CHF 21 850.–, moins rabais fl otte CHF 5 462.– et prime cash CHF 926.–, prix fi nal CHF 15 462.–. Véhicule illustré: même modèle, avec options, CHF 24 510.–,

moins rabais fl otte CHF 5 462.– et prime cash CHF 926.–, prix fi nal CHF 18 122.–. Offre valable pour les commandes effectuées entre le 1.11 et le 31.12.2013. Prix, hors TVA. En exclusivité auprès des partenaires Peugeot

participant. Les véhicules utilitaires proposés sont destinés à l’utilisation commerciale ou professionnelle – les offres sont donc réservées uniquement à la clientèle fl otte.

peugeot-professional.ch

Page 12: Bâtitech 11-2013

10 bâtitech 11-13 actuel

de l’air. La commande se fait sur l’appa-reil lui-même ou par l’intermédiaired’une télécommande. Les unités sontéquipées d’un filtre d’admission d’air quidoit être remplacé ou nettoyé environune fois par an. Dans le dispositif, l’airfrais de l’extérieur et l’air vicié n’entrentpas en contact. Les canaux d’air sont sé-parés et un échangeur de chaleur à fluxcroisés fait en sorte que l’air frais entrantsoit chauffé. La chaleur reste donc dans lamaison et il n’y a pas de courants d’airfroid. Avec l’échangeur de chaleur à écou-lement transversal, la chaleur est récupé-

rée à partir de l’air d’évacuation. Durantles chaudes journées d’été, l’action estaussi partiellement inversée – l’air exté-rieur chaud est facilement refroidi, au tra-vers de l’échangeur de chaleur, par l’airplus froid venant de l’intérieur. Pour lesunités de ventilation Meltem, différentsmodèles sont disponibles. Des systèmesde filtres remplaçables empêchent la pé-nétration de poussière et d’allergènes etdes filtres à charbon actif, en option,peuvent garder à l’extérieur les odeursdésagréables. Les cartouches de filtrespeuvent être facilement remplacées et ce-

ci sans outils. Sur les appareils Meltem,un écran LCD fournit des informationssur les données et les paramètres d’ex-ploitation actuels et indique quand unchangement de filtre est nécessaire. Lescartouches de remplacement sont en-voyées par la poste et remplacées par lepropriétaire lui-même. Avec la rénova-tion du bâtiment, Ron Epstein a obtenude l’argent du programme de renfor-cement de la Confédération. Le résultatdes investissements permet d’être fiernon seulement visuellement, mais aussifinancièrement par la facture de chauf-fage: pour des surfaces chauffées de 804m² dans une maison rénovée l’hiver der-nier, le coût pour le chauffage et l’eauchaude s’est élevé à Fr. 1500.–. ■

Le bloc de ventilation Meltem

Les différents dispositifs de ventilation de confort individuel Meltem fournis-sent non seulement le confort, la réduction du bruit et l’élimination de l’aircontaminé dans les chambres, mais en option, un climat agréable aussi pourles personnes souffrant d’allergies. Le système ne nécessite pas de réseauxde conduites. Il est donc très facile à planifier et installer, est très hygiéniquedans son utilisation et ne demande que peu d’entretien.

Le système se caractérise par:– une réduction des coûts de chauffage grâce à la récupération de chaleur,– une très faible consommation d’énergie,– le respect des exigences pour les bâtiments Minergie,– l’augmentation du bien-être dans un air frais, propre et préchauffé,– une limitation de la concentration de CO2 dans l’air ambiant

à 1000–1500 ppm (amélioration de la respiration pulmonaire normale desrésidents).

Le système de son puissant filtre est anti-allergique et il n’y a pas de cou-rants d’air. L’isolation acoustique élevée et un fonctionnement pratiquementsilencieux ainsi que d’autres avantages sont offerts par le système de ventila-tion de la pièce individuelle. Il est donc idéal pour les chambres à coucher.Pour plus de détails et d’informations sur les unités de traitement d’air indi-viduelles: www.systectherm.ch

Unité de ventilation confort pour la chambreindividuelle «M-WRG» du fabricant Meltem:l’air extérieur et l’air d’échappement passent àtravers le mur. Le corps principal de l’appareilavec la récupération de la chaleur est insérédans la paroi. L’habillage mesure 40 × 40 cm.

L’architecte RonEpstein (à droite) enconversation avecRoger Lex, représen-tant de SystecTherm. Un autreprojet sera réalisé.

Par dispositif, seules deux petites grilles d’airsont visibles sur la façade.

Page 13: Bâtitech 11-2013

actuel bâtitech 11-13 11

Offre passée au crible, excellence certifiée.

Easy Care a été concu spécialement pour vous. Il s’agit d’un leasing complet

extrêmement séduisant à un taux d’intérêt de 3.5% et avec contrat de maintenance

et de réparation. Consacrez-vous entièrement à vos affaires, nous nous chargeons

de votre véhicule.

Vous aimeriez en savoir plus? Contactez votre partenaire VW Véhicules Utilitaires

pour connaître le coût de votre VW Véhicule Utilitaire en leasing complet et comment

calculer votre offre Easy Care personnelle.

Offre valable pour les professionnels, prix en CHF hors TVA. Exemple de full-leasing par AMAG

Leasing SA: VW Caddy Entry Fourgon 1.2 TSI, 85 ch, taux d’intérêt 3.5%, durée 60 mois (15’000 km/an),

prix d’achat au comptant CHF 14’900.–, acompte CHF 2’789.–, mensualité de leasing CHF 199.–,

casco complète obligatoire non comprise, inclusive prestation service et usure. Tous les détails sur

www.vw-nutzfahrzeuge.ch/easycare

www.vw-nutzfahrzeuge.ch

Page 14: Bâtitech 11-2013

12 bâtitech 11-13 actuel

Le campus était presque terminé quandun incendie dévastateur a éclaté. En plusde la grande chaleur, une fumée trèsdense a pratiquement rempli l’ensembledu bâtiment et compliqué le nettoyageà venir. Le plus grand incendie dans l’his-toire de l’assurance argovienne des bâti-ments AGV avec des dégâts pour environ30 millions de francs s’est transformé enchallenge pour toutes les entreprises im-pliquées dans les travaux de restauration,car le temps imparti était court.

Selon les prévisions,les cours devaient commencerle 16. 9. 2013L’ensemble du nouveau campus compteenviron 62 000 m² de surface au sol,dont 42 000 m² seront utilisés, à l’avenir,par l’Université des Sciences Appliquéesdu nord-ouest de la Suisse (FHNW). Par-mi ceux-ci, les surfaces de la FHNW dansles troisième et quatrième étages avec en-viron 17 000 m² ont été affectées par l’in-cendie. Pour toutes les zones endomma-gées, l’EMPA a été chargé de contrôlertout le matériel d’études techniques. Nonseulement les travaux de nettoyage dansdes proportions inconnues ont été exigésde Tiventa, mais également le calendrierétait déjà établi avec échéance fixe; uneépée de Damoclès était suspendue au-dessus de l’entreprise de Küttigen. Dansce cas particulier, l’organisation pourl’exécution de ce gros mandat a joué unrôle majeur et a décidé en grande partiede sa réussite. Il y a toujours eu sur place

Succès de l’action «net-toyage» après un incendie

Andreas Widmer

Des conduites de ventilation d’une longueur totale d’environ 10 km: les spécialistes du nettoyagerendent l’impossible possible

Lorsque Tiventa AG a obtenu le contrat pour ce travail de nettoyageexceptionnel, son propriétaire Peter Tischhauser ne savait pas exac-tement à quoi s’attendre. Le grand incendie qui s’était propagédans le nouveau bâtiment de l’Université des Sciences Appliquéesdu nord-ouest de la Suisse à Windisch a provoqué des dommagesmatériels importants

assez de personnels avec du bon maté-riel, de sorte que l’horizon temporel limi-té put être maintenu jusqu’à son terme etdans les délais impartis. Pour P. Tisch-hauser, il était clair, dès le début, queseuls ses propres employés entraient enligne de compte. Ils bénéficient de lapleine confiance de leur chef. Et seu-lement avec son équipe, ce grand objectifpourrait être atteint.

Analyse exacte et bonnecommunicationPar une analyse minutieuse des dégâts, ilest possible de déterminer les besoins entemps et la répartition des équipes denettoyage. L’établissement du calendrierdes interventions devait aussi tenir

compte des événements imprévus. L’ob-jectif de ce plan était d’éviter, autant quepossible, des pertes de temps et des coûtssupplémentaires; sans oublier les autresmandats en cours de l’entreprise. Un mo-dèle de communication approprié a étécréé, dans lequel les responsabilités pour-raient toujours être adaptées à l’état ac-tuel des travaux. Des réunions quotidien-nes avec les dirigeants des équipes étaientaussi communes que les rapports à la finde chaque journée de travail. Ainsi, l’or-ganisation en charge était toujours à jouret des mesures supplémentaires pou-vaient rapidement être prises en cas debesoin. A chaque étage, il y avait une ré-ception interne; de cette façon, les erreursou autres écarts pourraient être identifiéset corrigés assez tôt. Cela tout en gardantun œil sur la date de remise définitivedes travaux.

Avec toujours la pressionet des années d’expériencePendant cinq semaines, les spécialistesde Tiventa ont nettoyé de la suie dans les

Des ouvertures supplémentaires dans les canaux étaient nécessaires pour un bon nettoyage.La feuille est découpée avec soin par un expert. (Photo: Tiventa AG)

Page 15: Bâtitech 11-2013

actuel bâtitech 11-13 13

canaux de ventilation et ceci sur une longueur totale de dix kilomè-tres environ. Chaque jour, ce sont une vingtaine de techniciens deservice qui étaient répartis dans les deux bâtiments du campus ayantchacun quatre étages.Cette armada était nécessaire. Pour que le système de canal soit net-toyé sans reste, les ouvertures de révisions déjà disponibles ne suffi-saient pas. A des intervalles définis, des ouvertures de nettoyage sup-plémentaires ont dû être coupées dans la tôle d’acier.Grâce à ces ouvertures, des brosses rondes ont pu désormais être en-gagées dans le canal. Mises en rotation par de l’air comprimé, ces«brosses volantes» ont permis de libérer de la suie les parois internesdes canaux.Les entrées supplémentaires ont favorisé un nettoyage rapide et don-né ainsi une meilleure vue d’ensemble des différents secteurs.De grandes quantités d’eau ont été nécessaires pour le nettoyage hu-mide. Le mélange ainsi obtenu était fortement contaminé et a dû êtreéliminé. Même dans des délais très serrés, les préoccupations envi-ronnementales ont été observées.La récolte de ce bouillon venant des canaux a requis des compétencesspéciales.

Il a fallu démonter les faux plafonds pour accéder aux canaux de ventilation etles nettoyer. (Photo: A. Widmer)

Une lutte perpétuelle contre le temps. Un technicien de service nettoie la par-tie d’un conduit de ventilation et prépare sa remise en service.

Page 16: Bâtitech 11-2013

14 bâtitech 11-13 actuel

L’équipement pour un tel travail ne peutpas être facilement acheté dans le com-merce spécialisé des environs. Même ici,les techniciens de service de Tiventa ontdû trouver des solutions. Des feuilles deplastique fixées au plafond ont dirigé leliquide dans les gouttières et ensuite dansles récipients en attente. Les objets ensuspension ont également eu besoin descompétences d’improvisation du per-sonnel de Tiventa pour être éliminés.

Important contrat très spécialGrâce à cet important contrat, Tiventa AGa pu engranger beaucoup de nouvellesexpériences, et P. Tischhauser le sait bien.Les employés travaillant dans le campus

ont été tout simplement dépassés parl’ampleur et les dimensions des ouvrages.Mais tous ont saisi ce gigantisme à bras-le-corps et l’ont géré. Avec ce défi, l’espritd’équipe a ainsi augmenté de façon signi-ficative et les employés sont devenus en-core plus responsables. P. Tischhauser atoujours cru en ses gens et ils l’ont remer-cié avec leurs capacités extraordinaires detravail. Seuls ceux qui ont de grands ob-jectifs peuvent les atteindre. Le plusgrand contrat de l’histoire de la sociétépeut être enregistré comme un exemplede réussite dans les annales de l’entre-prise.

www.tiventa.ch

Un monobloc de ventilation après le net-toyage. Il est comme neuf et sera bientôt prêtsur le campus de FHNW pour accomplir sonservice. (Photo: Tiventa AG)

Après l’achèvement des travaux de nettoyage des différents secteurs, les embouts sontsoigneusement fermés et protégés contre de nouvelles contaminations.

Ces couvercles ont été installés après le net-toyage. Ici aussi, il fallait un fonctionnementsans faille. L’EMPA les a aussi contrôlés lorsde cette révision technique.

(Photo: Tiventa AG)

Une «brosse volante» nettoie la suie sur lesparois intérieures du conduit de ventilation.

Pour le nettoyage humide: le liquide est acheminé avec des rigoles en plastique dans desconteneurs spéciaux. L’improvisation était parfois demandée.

Ces éléments de ventilation ont étésoigneusement nettoyés et remontés.

Page 17: Bâtitech 11-2013

actuel bâtitech 11-13 15

RENAULT PROPOSE À VOTRE ENTREPRISE LE VÉHICULE QU’IL LUI FAUT. La gamme de véhicules utilitaires

Renault offre la solution idéale pour chaque activité. Son offre étendue vous permet de choisir le véhicule qui vous convient en fonction

de ses caractéristiques: volume de chargement de 2 à 20 m3, charge utile de 355 à 1 850 kg, longueur de 3,8 à 6,8 m et hauteur

de 1,7 à 2,8 m. Sans compter les multiples possibilités d’équipement et les 3 ans de garantie constructeur. Plus d’informations

sur www.renault.ch ou par téléphone au 0800 80 80 77.

* Offres réservées aux clients professionnels (petites flottes hors accords cadre) dans le réseau Renault participant jusqu’au 31.12.2013. Exemples de calcul prix: Master Fourgon L1H1 2.3 dCi 101, prix catalogue Fr. 28 300.– moins remise flottes Fr. 5 660.– (= 20% de remise) moins prime de reprise Fr. 4 000.– = Fr. 18 640.–; Trafic Fourgon L1H1 2.0 dCi 90, prix catalogue Fr. 25 900.– moins remise flottes Fr. 4 921.– (= 19% de remise) moins prime de reprise Fr. 2 500.– = Fr. 18 479.–; Nouveau Kangoo Express Compact Access dCi 75, prix catalogue Fr. 16 200.– moins remise flottes Fr. 2 916.– (= 18% de remise) moins prime de reprise Fr. 1 500.– = Fr. 11 784.–. Prime de reprise: l’achat ne peut être effectué que par la même personne que celle indiquée sur le permis de circulation de l’ancien véhicule utilitaire. L’ancien véhicule utilitaire, qui sera échangé contre un nouveau VU Renault, doit être immatriculé depuis au moins 3 mois et doit encore être en état de rouler. La prime de reprise est cumulable avec la remise flottes. Tous les prix mentionnés ne comprennent pas la TVA. Garantie et Renault Assistance: 36 mois/100 000 km (au 1er des 2 termes atteint).

www.renault.ch

VÉHICULES UTILITAIRES RENAULT

CECI N’EST PAS UNE ILLUSION D’OPTIQUE: PLUS DE 100 MODÈLES VOUS ATTENDENT!

MAINTENANT AVEC UNE PRIME DE REPRISE ALLANT JUSQU’À FR. 4 000.–*

RENAULT TRAFIC:DÈS FR. 18 479.–*

RENAULT MASTER:DÈS FR. 18 640.–*

NOUVEAU RENAULT KANGOO EXPRESS:DÈS FR. 11784.–*

Page 18: Bâtitech 11-2013

16 bâtitech 11-13 actuel

Comme les vêtements s’adaptent au cli-mat du moment et ne peuvent pas êtrechoisis en fonction du calendrier, lechauffage d’un bâtiment doit se con-former aux conditions spécifiques et nonpas à une courbe théorique. C’est entenant compte de ces considérations quele système de régulation de chauffageNeurobat avec autoapprentissage a étécréé. Il prend en compte de manièrecohérente le confort dans un bâtiment et

Chauffage selon lesbesoins réels

Jürg Wellstein

La régulation participe activement: la technique du bâtiment avec un régulateur de chauffage qui fait sonautoapprentissage

Le système de contrôle Neurobat pour chauffage utilise unprocessus d’autoapprentissage grâce à un concept d’anticipation.Cela signifie que les nouvelles installations et les installationsadaptées ultérieurement peuvent être équipées pour une plusgrande efficacité et une réduction des coûts de l’énergie.

donc ses besoins en énergie, les pro-priétés thermiques des matériaux, lesconditions climatiques, les charges éner-gétiques internes et le comportement deshabitants.

Pour les fabricantset les installateursLe dispositif de Neurobat permet, grâceà un module prédiction, des économiesd’énergie allant jusqu’à 35 %. Actuelle-ment, plusieurs systèmes de référence sonten exploitation et deux domaines d’appli-

cation différents peuvent être couverts.NBM de Neurobat est utilisé par les fabri-cants comme un composant matériel quicomplète un régulateur de courbes dechauffage classique dans de nouveauxsystèmes de chauffage pour les bâtimentsrésidentiels et commerciaux. Cela signifiequ’il peut être intégré directement par lesfabricants dans leurs produits.En revanche, le NIQ de Neurobat peutéquiper les bâtiments résidentiels exis-tants. Cela permet aussi lors d’un mon-tage ultérieur d’atteindre une plus grandeefficacité de chauffage et donc une réduc-tion des coûts de l’énergie. Le dispositifest posé par l’installateur et relié au sys-tème de chauffage existant. Un dispositifen ligne Neurobat NOL est encore en dé-veloppement pour les grands immeublescommerciaux et des immeubles d’habita-tion avec plusieurs circuits de chauffage.Neurobat fonctionne quelle que soit lasource d’énergie et permet ainsi une utili-sation avec le mazout, le gaz naturel, lespellets de bois, le chauffage urbain et lessystèmes de pompes à chaleur.

Les modules nourrissentl’algorithme d’optimisationLe dispositif de Neurobat comprend unmodule climatique, qui prédit les effetsdes conditions météorologiques et lesdonnées climatiques sur le bâtiment etla régulation du chauffage; il s’adaptedynamiquement aux changementsclimatiques qui prévalent. Le moduleutilise une prévision météorologique à24 heures.Le module du bâtiment considère, sur labase des données des capteurs, le com-portement thermique de l’immeuble etfait une prédiction sur les besoins enénergie à venir. Le troisième module ex-ploite les caractéristiques de présence desutilisateurs. Des détecteurs de présencesont utilisés pour calculer les besoins enchauffage du moment.

Neurobat utilise des données de capteurs de trois modules et un algorithme d’optimisation, ce qui permet dedéterminer la température de départ optimale du dispositif de chauffage. (Images: Neurobat AG)

Entrées capteurs

Prévisionsclimatiques

Prévisions surle bâtiment

Module de présencedes utilisateurs

Algorithme d’optimalisationTempérature del’offre optimale

Page 19: Bâtitech 11-2013

actuel bâtitech 11-13 17

Avec un algorithme d’optimisation, tou-tes ces différentes données sont utiliséesafin de déterminer une température dedépart optimale du système de chauffage;elles peuvent varier de manière significa-tive avec des courbes de chauffage, ceci àpartir de l’ensemble des commandes. Ici,l’augmentation potentielle de l’efficacitéde la commande du chauffage d’au-jourd’hui est pleinement exploitée et per-met en plus de réduire les coûts en éner-gie ainsi que les émissions de CO2. Leprocessus d’autoapprentissage, grâce auconcept d’anticipation, a besoin d’une

période de 10 jours à deux semaines.Mais Neurobat n’est pas seulement undispositif de régulation, mais veut être fi-nalement une plate-forme de produits degestion thermique efficace du bâtimentpuis couvrir tout le spectre du marché.

Aussi, il est important que soient déve-loppés les moyens d’intégrer l’eau chaudedomestique et de prendre en compte lestarifs de l’énergie dynamique.

Expositions et présentationAussi bien les bâtiments résidentiels quecommerciaux sont aujourd’hui équipésde dispositifs de Neurobat; cela permetde faire une campagne dans les exposi-tions.Le type NBM a d’abord été testé au siègedu Centre Suisse d’Électronique et de laMicrotechnique (CSEM) à Neuchâtel. Etc’est grâce à l’appui, au développement àlong terme par le CSEM, qu’aujourd’huiun partenariat technologique stratégiqueexiste avec cette organisation. Cela a étééprouvé dans d’autres bâtiments tels quel’«Horlogerie» et «La Villa» à Neuchâtel.Le dispositif NIQ déployable en «plugand play» est utilisé sur environ huitsites, comme dans des maisons unifami-liales à Fey VD, Ruswil LU, Scherz AG,Unterengstringen AG et des maisonsmultifamiliales à Brigue VS. La consom-mation de chaleur hebdomadaire a signi-ficativement diminué par rapport à latempérature ambiante moyenne, cecigrâce à l’utilisation de Neurobat.Etape importante dans le développementde Neurobat: la fondation «Pro Aqua –pro Vita» lui a décerné à la Swissbau deBâle, le prix Environnement 2012, dansla catégorie «Innovation».

Bases suisses avec unrayonnement internationalEn mars 2013, Neurobat a participé à lafoire internationale d’économie d’énergieà Wels (Autriche) et a pu se présenter ici,dans un marché très sensibilisé. L’entre-prise Cleantech suisse Neurobat AG a sonsiège à Gossau, les services ventes et mar-keting sont situés à Brugg AG, les acti-vités de recherche et développement sontréalisées à Vernier GE, près des centres derecherche de l’Université de Genève et del’EPFL. ■

Contact

Neurobat AGSiège principal: 9200 GossauVente et marketing: 5200 Brugg,tél. 056 552 33 [email protected]

Avec deux autres modules, il sera possible, dans le futur, de réguler aussi la production d’eauchaude ainsi qu’optimiser des coûts sur la base des prix indicatifs.

Entrées

Moduleclima-tique

Modulebâti-ment

Moduleutilisa-

teur

Moduleeau

chaude

Modulecoûts

Algorithme d’optimalisation

Régulation chauffage

Régulation eau chaude

Besoins en chaleur

Sor

ties

Résultat NIQ de Neurobat: les besoins en chaleurbaissent considérablement par rapport à la températureextérieure moyenne.

Ene

rgie

de

chau

ffe

sur

une

sem

aine

Température extérieure moyenne

Le dispositif plug and play de Neurobat NIQ est mainte-nant utilisé dans environ huit bâtiments.

Actuellement, deux appareils Neurobatsont disponibles: le type NIQ est utilisé pourla rénovation d’installations.

Page 20: Bâtitech 11-2013

18 bâtitech 6/7-12 actuel

EXIGEZ UNE

INSTALLATION FACILEALPHA2 AVEC

GRUNDFOS AUTOADAPT

Page 21: Bâtitech 11-2013

actuel bâtitech 6/7-12 19

Grâce à sa conception matérielle et logicielle innovante,

l’ALPHA2 est très facile à installer. La fonction intelligente

Grundfos AUTOADAPT minimise les réglages du système.

La conception compacte, les coquilles d’isolation, le débitmètre

et la prise ALPHA vous simplifient grandement le travail !

En savoir plus : moderncomfort.grundfos.com ou

facebook.com/grundfosforinstallers

UN VRAI JEU D’ENFANT

Page 22: Bâtitech 11-2013

20 bâtitech 11-13 éclairage

Alors que les ampoules fonctionnaient di-rectement à partir du réseau de 230 VAC,les lampes LED doivent être utilisées avecdu courant continu. Pour cela, des driversredressant et lissant la tension sont néces-

saires. Dans ce but, un condensateur rela-tivement grand servant d’accumulateurd’énergie doit être placé après le redres-seur de courant. Etant donné que l’électri-

Des normes garantissentun réseau propre

Pour éviter que les LED ne «polluent» le réseau électrique

Bien que les LED ne soient pas des composants électroniquesadaptés à notre réseau électrique, le passage à la «lumière électro-nique» se fait à une vitesse fulgurante. Les fournisseurs d’énergiedoivent donc faire face à de nouveaux défis, car contrairementà l’ampoule à incandescence, les lampes LED n’absorbent pas lapure puissance active du réseau, mais une puissance dite appa-rente. De plus, les flancs de commutation à pente raide dans lesdrivers accroissent les risques d’interférences. Le but des normesinternationales est d’éviter à l’avenir aussi bien des perturbationsque le «black-out» complet du réseau.

cité ne peut circuler que si la valeur detension au niveau du redresseur est plusélevée qu’au niveau du condensateur, onobtient un flux de courant de grande am-plitude pendant une courte durée. Le cou-

rant et la tension ne sont plus «en phase»et la lampe LED absorbe dans le réseauune puissance apparente qui est plus éle-vée que la pure puissance active.

Les courtes impulsions de courant éle-vées ont aussi une autre conséquence dé-plaisante sur l’alimentation du réseau:elles créent des ondes harmoniques. Siun sinus pur montre uniquement sa fré-quence de base en tant que première har-monique, le flux de courant pulsatoiregénère aussi des composants de fré-quence plus élevés avec une fréquence3 à 39 fois plus élevée.Cette problématique est exclusivementliée au fait que la tension alternative àl’entrée doit être redressée et lissée. Sil’on commute maintenant en aval encoreun convertisseur à courant constant àhaute fréquence, des parasites supplé-mentaires par conduction et par rayon-nement surviennent.

La norme EN 61000-3-2 exigeune correction active du facteurde puissanceSans procéder à des mesures de correc-tion, il y a lieu de craindre que l’équilibrede notre réseau d’électricité, au vu desmilliards de sources de parasites poten-tielles, ne puisse bientôt plus être main-tenu. C’est pourquoi une correction ac-tive du facteur de puissance directementeffectuée dans le driver est indispensable,notamment pour les lampes particuliè-rement puissantes. Ce résultat est visé partoute une série de normes internationalesimportantes. La norme EN 61000-3-2 pré-voit ainsi pour les drivers de LED à partirde 25 W un facteur de puissance impé-ratif de > 0,9. Les drivers conformes auxnormes sont désignés dans la fiche dedonnées techniques par la «Class C».Afin de garantir un réseau électrique pro-pre, RECOM a équipé ses drivers d’unecorrection active du facteur de puissance(PFC) à partir d’une puissance de 12 W.Un modulateur de largeur d’impulsion,qui produit plusieurs impulsions de cou-rant synchrones avec la tension d’entrée,est commuté entre le redresseur et le con-densateur de charge. On obtient ainsi un

Les lampes LED ont besoin de drivers qui transforment la tension de réseau en courant continu constant.Des normes doivent empêcher que ces ballasts ne «polluent» le réseau par millions.

Page 23: Bâtitech 11-2013

éclairage bâtitech 11-13 21

courant de charge presque sinusoïdal, cequi améliore le facteur de puissance avecdes valeurs > 0,95 et entraîne des ondesmoitié moins grandes que celles requisespar la norme.Au lieu d’un régulateur complexe, lesdrivers avec fonction PFC passive utili-sent des étrangleurs et des condensateurspour réduire les ondes harmoniques.Cette technique permettant seulementd’atteindre des valeurs comprises entre0,7 et 0,8, elle n’entre pas en ligne decompte pour les drivers de LED à partirde 25 W de puissance.

Ce qui se cache derrièreles sigles CEM et SELVSouvent, les prospectus mentionnent desabréviations que les profanes ne connais-sent pas. CEM est par exemple la compa-tibilité électromagnétique qui prend encompte les risques d’interférences d’unappareil électrique. Les valeurs limitesautorisées et les procédures de mesureappropriées sont définies dans la normeEN 55015. La CEM effectue une différen-ciation entre les parasites par conductionet les parasites par rayonnement. Les pre-miers sont mesurés à l’entrée du réseau,sachant que la plage de fréquences com-prise entre 9 kHz et 30 MHz est intéres-sante. Pour les autres, ce sont les inten-sités de champ mesurées jusqu’à 300MHz qui jouent un rôle. On distinguedeux catégories: la «Class A», moins exi-geante, s’applique au domaine industriel,et la «Class B», beaucoup plus stricte,pour le bureau et la maison.En règle générale, il est possible d’amé-liorer ultérieurement les drivers apparte-nant à la «Class A» à la «Class B» en con-nectant des filtres externes. Pour cela, ilfaut utiliser des composants aux dimen-sions plus importantes qui dégradent lerendement du système. Il est donc plusavantageux, tout au moins pour le con-sommateur, de monter dans les lampesdes modules de drivers répondant déjà àla «Class B».Lorsque les drivers de LED sont pourvusdu signe SELV (Safety Extra Low Voltage),il est garanti que la tension entre deuxéléments de contact quelconques ducircuit secondaire ne dépassera pas lavaleur limite de 60 VDC. Ceci s’appliqueaussi en cas de simple défaut à l’intérieurdu driver. Les détails correspondantssont définis dans la directive LDV2006/95/CE.

Une durée de vie plus élevéeprotège les ressourcesPour concevoir des lampes durables, ilfaut accorder une grande importance à ladurée de vie du driver, le maillon suppo-sé le plus faible de la chaîne. Les LED

assurent généralement 50 000 heures defonctionnement, voire plus. Si un drivertombe déjà en panne à mi-chemin, lescoûts de réparation sont considérablesou la lampe complète doit être rempla-cée. C’est pourquoi il est important d’uti-liser des drivers avec une durée de viecomparable à celle des LED. L’InstitutVDE contrôle la durée de vie des lampes,analyse le calcul de la MTBF spécifiée(Mean Time Between Failure) et étudieles conceptions des circuits afin de dé-tecter d’éventuels composants surchargés.En tant que fabricant de drivers de LED

de haute qualité, RECOM spécifie aussipour ses produits, outre les valeurs habi-tuelles calculées pour la MTBF avec uneDesign Lifetime de > 70 000 heures, devéritables valeurs déterminées lors detests HALT (Highly Accelerated Life

Time) pour la durée de vie. De plus, lasérie disponible sous le nom de RACT20est dotée d’une PFC dynamique. Celle-cipermet de varier l’intensité en continujusqu’à zéro sans «polluer» le réseau avecdes interférences.Des organismes nationaux et internatio-naux ainsi que le consortium du secteurde l’éclairage (ZHAGA) travaillent surd’autres directives visant à favoriser lastandardisation des LED en tant qu’agentlumineux dominant du futur.

www.recom-lighting.com

Fig. 1: Contrairement au flux de courant sinusoïdal à gauche, le courant pulsatoire crée des ondes harmoni-ques à droite.

Fig. 2: En cas de PFC active, un modulateur de largeur d’impulsion contrôle la consommation de courantde façon à ce qu’elle se rapproche le plus possible de la forme sinusoïdale.

Page 24: Bâtitech 11-2013

22 bâtitech 11-13 éclairage

Lorsque l’on recherche sur internet leseffets des couleurs sur le psychisme desgens, on trouve par exemple ceci: lerouge est la couleur de l’amour, de l’éro-

LED – oser la couleur

Raymond Kleger

LED: connaissances de base

Ce qui était jusqu’alors difficile à réaliser devient presque un jeud’enfants avec la technologie LED: créer notamment des espacesbaignés de lumière colorée ou seulement nuancée. Les couleurs ontune influence non négligeable sur le moral des personnes. Pour uninvestissement légèrement supérieur, une pièce ou uniquement unezone de la pièce peut être plongée dans une couleur afin d’attirer leregard.

tisme et de la passion, mais aussi celle dela colère. Nous rougissons quand noussommes embarrassés et nous «voyons»rouge, lorsque la colère nous fait bouillir.Dans les pièces de couleur bleue, nousavons toujours une plus grande impres- sion de froid que dans les pièces aux couleurs chaudes. Le bleu au- rait un effet apaisant et relaxant et se prêterait donc particuliè- rement à la couleur des murs d’une chambre à coucher...! Mais que montrent les travaux de re- cherche effectués sur la composition de la lumière et de son influence sur les hommes? La lu- mière froide – une proportion plus grande de bleu – a un effet sti- mulant. Les études révèlent que lorsque nous sommes soumis à une lumière bleue intense, l’effet est identique à celui d’une dose de caféine. Par contre, la lumière chaude d’une bougie a de toute évidence un effet relaxant; nous l’associons au romantisme. L’ensemble de ces faits semble plutôt contredire les in- terprétations communément répan- dues sur la psychologie des couleurs.

La lumière naturelle débute le matin avecun ton chaud, environ 2000 K. Vers midi,quand le ciel est bleu, la lumière est plusfroide, environ 6000 K. Le soir, il se passela même chose que le matin. Durant desmillénaires, l’homme était soumischaque jour au rythme naturel de la lu-mière. Et l’homme s’est adapté à cerythme. Actuellement, beaucoup de per-sonnes sont exposées toute la journée àune lumière artificielle d’intensité égale.D’éminents chercheurs considèrentqu’une telle exposition aurait des effetsnégatifs sur le bien-être et les perfor-mances des êtres humains. La techno-logie LED permet de manière simple derecréer le rythme naturel de la lumière.Plusieurs grands fabricants proposent de-puis peu des systèmes de LED à com-mande numérique, qui reproduisent lespectre complet de la lumière naturelletout au long de la journée, grâce à latechnologie des LED RGB.Indépendamment de cela, il existe éga-lement sur le marché des lampes dont lacouleur peut être modifiée à souhait, no-tamment des lampes à LED rétrofit. Lacouleur de la lumière dans une piècepeut par conséquent être adaptée au res-senti momentané ou à l’ambiance qui yrègne. ■

Variation de l’intensité etde la couleur avec ampoulesrétrofit à LED RGB deMoree Ltd (www.moree.de)

Page 25: Bâtitech 11-2013

partie technique bâtitech 11-13 23

GRAFT

Avec un fl ux lumineux allant

jusqu’à 28 000 lumens et une

effi cacité lumineuse du luminaire

de 100 lm/W, GRAFT accomplit

des prouesses dans le domaine

industriel. Disponible avec

une innovante technologie de

lentilles, diverses répartitions

lumineuses et températures

de couleur, GRAFT est prêt à

relever tous les défi s. L’utilisation

d’une technologie LED de

pointe et de matériaux de haute

qualité a permis de développer

un luminaire industriel à LED

d’une qualité et d’une durabilité

inégalées.

Zumtobel. La Lumière.

Puissance et

précision.

zumtobel.com/graft

Éclairage précis

Technique de lentilles innovante pour

un guidage précis du fl ux avec une

répartition carrée extensive ou intensive.

Montage rapide

Montage sûr et rapide sur rail

porteur TECTON ou en luminaire

suspendu.

La plus haute qualité

Corps du luminaire en aluminium avec

nervures de refroidissement brevetées qui

améliorent la gestion thermique.

Extensive Intensive

150

300

450

400

800

1200

Page 26: Bâtitech 11-2013

24 bâtitech 11-13 éclairage

Elaborationd’une application DALILors du dimensionnement d’une applica-tion DALI, il faut veiller aux points sui-vants:• L’aspect conceptuel: quelles sont les

caractéristiques que l’application doitprésenter? Doit-elle être dépendante dela lumière du jour? Des scénariosd’éclairage spéciaux ou l’utilisation decouleurs sont-ils souhaités?

• L’aspect technique: qu’est-il possible defaire avec DALI? Où se situent les limi-tes de DALI et quel est leur impact surl’application?

Bus DALI pour lumièreintelligente (2e partie)

Marcel Schöb

Le bus DALI s’est imposé et établi en tant que «bus de la technique d’éclairage»

La première partie de cet article, publié dans le numéro précédent de «bâtitech», mettait en évidencela simplicité d’utilisation du système DALI. Conçu pour que tous les avantages du contrôle flexible del’éclairage soient accessibles au plus grand nombre, DALI mise sur la flexibilité et la rentabilité.Une interface d’éclairage à adressage numérique standardisée, des produits compatibles et la possibi-lité de commander jusqu’à 64 luminaires par circuit, ont permis d’étendre l’utilisation de ce bus decommunication à des installations d’éclairage de grande envergure. Avec DALI, tout ou presque estpossible, en matière de gestion de l’éclairage. Et pour garantir une installation d’éclairage optimale etpérenne, il suffit de procéder à une planification correcte et d’observer un certain nombre de critères.

Les exigences du client ont une forte in-fluence sur le concept. Ensuite, dans unedeuxième phase, il s’agit de définir lesaspects techniques et par conséquent lesproduits les plus adaptés.L’aspect technique de l’installation DALIa une grande influence sur la planifica-tion. Premier élément clé pour le bonfonctionnement d’une installation DALI:le plan d’installation qui devrait com-porter les points suivants:• La position de tous les appareils DALI

(incluant le type et le nom des appa-reils)

• Les groupes d’appareils DALI• De manière optionnelle, l’adresse cour-

te DALI (dans certaines installations, il

est judicieux de définir l’adresse dès laphase de planification)

• Le câblage du circuit DALI et celui desboîtiers de dérivation (lorsqu’il y a plu-sieurs circuits DALI, il est préférabled’opter pour des couleurs différentes)

• Les longueurs des câbles pour chaquecircuit DALI

Câblage ou appareils DALISi dans le profil d’exigences, la com-mande d’éclairage doit être flexible, au-trement dit si l’affectation des luminaireset des appareils de commande doit êtremodifiable, ceci doit déjà être pris encompte dans les moindres détails avantl’installation. Dans les installations degestion de l’éclairage traditionnelles(sans DALI), le planificateur doit prendreen compte toutes les variantes de com-mande d’éclairage possibles, avant deprocéder à l’exécution de l’installation.La planification conventionnelle prévoi-rait de poser plusieurs lignes de com-mande par zone dans une pièce, pourcouvrir toutes les variantes d’installationpossibles.Avec DALI, lorsque des modificationssont réalisées à court terme sur une va-riante de commande, après l’exécutionde l’installation, on a la garantie de pou-voir prendre en compte toute varianteoptionnelle de commande de l’éclairage(sécurité de la planification). Il n’y a pasde coûts supplémentaires liés à la posede plusieurs lignes ou à la modificationdu câblage des lignes de commande!Pilote pour quatre lampes fluorescentes avec interface DALI.

Page 27: Bâtitech 11-2013

éclairage bâtitech 11-13 25

Opter pour DALI ou pour une commande conventionnelle dépendde l’ampleur des fonctions souhaitées et de la flexibilité de la gestionde l’éclairage.

A prendre en compte dès l’étude du projetLors de l’élaboration d’une application DALI, il faut veiller à plu-sieurs points:• 64 participants DALI max. par circuit DALI• 16 groupes DALI max. par circuit DALI• 16 scénarios DALI max. par circuit DALI• Le courant circulant dans le circuit DALI ne doit pas dépasser le

courant maximal de l’alimentation• Ne pas dépasser la longueur maximale des lignes!• La section de la ligne bus DALI recommandée est de 1,5 mm2

Consommation électrique du circuit DALIChaque appareil faisant partie du circuit DALI consomme du cou-rant via le circuit de commande du circuit DALI. La somme de cou-rant consommé au sein du circuit DALI ne doit pas dépasser le cou-rant maximal de l’alimentation électrique de DALI. Pour évaluer laconsommation électrique d’un circuit DALI, il faut tenir compte à lafois de la consommation de l’appareillage DALI et de celle des appa-reils de commande DALI. Dans le standard DALI, la consommationélectrique de l’appareillage a été fixée à 2 mA. La consommationélectrique de chaque appareil de commande DALI est spécifiée dansla fiche technique.Un bloc d’alimentation destiné à un circuit DALI délivre généra-lement entre 200 et 240 mA. Pour 24 luminaires par exemple, oncompte:• 24 appareils gradables, 2 mA chacun• 2 contrôleurs de groupe, 6 mA chacun• Contrôleur de scénarios 6 mAIl en résulte un courant total de: 24 × 2 mA + 3 × 6 mA = 84 mA.L’illustration 5 montre un ballast électronique muni d’une interfaceDALI destiné à 4 lampes fluorescentes.

Longueur de câble maximaleLa longueur de câbles maximale s’obtient par rapport à la chute detension admise sur la ligne DALI, définie à 2 V maximum. Si l’onconsidère qu’un courant total de 0,25 A circule sur le circuit DALI,les câbles de 1,5 mm2 peuvent mesurer 300 m sans apparition deproblème (illustration 6). Puisque le courant électrique de com-mande DALI de 0,25 A ne circule pas sur toute la longueur du câble(valeur inférieure au niveau de chaque luminaire sur la gaine), unelongueur de 300 m n’est pas une valeur critique. Il faut cependantveiller aux chutes de tension supplémentaires qui ont lieu au niveaudes points de contact.

CâblageL’installation du système DALI s’effectue avec le matériel d’installa-tion couramment utilisé pour les installations basse tension (fig. 7).Pour le circuit Dali, deux fils conducteurs sont nécessaires. La ten-sion du réseau et la ligne bus peuvent être réunis dans le même câ-ble. Cela correspond à un câble à 5 conducteurs (L, N, PE, Da, Da).Conformément à la norme NIN actuelle, les circuits électriques prin-cipaux peuvent être acheminés avec leurs circuits auxiliaires, même siles circuits auxiliaires conduisent une tension plus faible que les cir-cuits principaux. Il faut cependant veiller à utiliser des câbles qui cor-respondent à la tension de service la plus élevée. Inutile de respecter

2000 NeuchâtelRue des Tunnels 67–69

Tél. 032 737 88 88Fax 032 737 88 80

[email protected]

www.electrolan.ch

1020 RenensRue de Lausanne 79

Tél. 021 637 01 88Fax 021 637 01 80

[email protected]

Découvrez le catalogue novateur ECLAIRAGE 2013/2014!L’assortiment élargi et les produits actuels font de ce catalogue un instrument de travail apprécié.

Fascinante

lumière!

Nous connaissons les besoins de l´électricien.

Page 28: Bâtitech 11-2013

26 bâtitech 11-13 éclairage

la polarité de la ligne DALI. Le signalDALI n’est pas SELV. On appliquera parconséquent les directives NIN normales.Il n’y a pas lieu de tenir compte de règlesparticulières en matière de topologie deréseau (les câblages en étoile et mixtessont autorisés).

Mise en serviceIl existe plusieurs possibilités de mettreen service une application DALI. Certainsproduits offrent la possibilité de mise enservice directe de l’installation, lorsqu’ils’agit par exemple uniquement de lumi-naires dans une pièce. Le manuel d’utili-sation de chaque produit décrit la façonde procéder, pour paramétrer le circuitDALI.Pour les applications DALI plus com-plexes, la manière la plus fiable est sansdoute de paramétrer et de mettre le cir-cuit en service, par l’intermédiaire d’unoutil logiciel adéquat. Dans ce cas, il esttoujours nécessaire de coupler l’ordina-teur par le biais d’une interface USBDALI. Penser à vérifier les points sui-vants:1. Tous les appareils DALI sont-ils reliés

à la tension d’alimentation?2. Tous les appareils DALI sont-ils dans

le bon circuit?3. Procédures supplémentaires en fonc-

tion des indications du fabricant.

Panne d’un appareil DALIComme mentionné plus haut, DALI sefonde fortement sur l’intelligence répar-tie, ce qui signifie que l’adresse et les pa-ramètres, ainsi que l’appartenance à ungroupe ou les valeurs des scénarios sont

enregistrés dans l’appareil DALI. Si l’unde ces appareils tombe en panne, sesparamètres doivent à nouveau être sauve-gardés dans le nouvel appareil. Bien sûr,le plus simple est d’utiliser un outil logi-ciel:1. Remplacer l’appareil2. Le nouvel appareil reçoit automati-

quement l’adresse courte DALI im-médiatement inférieure. Etant donnéqu’il manque une adresse dans lecircuit, il obtient automatiquementl’adresse de l’ancien appareil. Si plu-

sieurs appareils sont en panne, desadresses libres leur sont affectées.

3. Programmer à nouveau l’appartenanceà un groupe et les valeurs des scéna-rios.

La plupart des outils logiciels offrent lapossibilité d’enregistrer les réglages desappareils DALI dans un fichier de sauve-garde et de les recharger dans le nouvelappareil, en cas de panne de l’un d’eux. Ilfaut cependant que l’adresse du produitéchangé corresponde à celle de son rem-plaçant.

Erreur sur la ligne du bus DALILes applications DALI ne posent pas deproblèmes majeurs, toutefois il fautveiller à certains points:• Consommation électrique maximale

de tous les dispositifs sur le bus DALI• Respect des longueurs de câbles maxi-

males.En cas de non-respect des valeurs-limites,des phénomènes étranges se produisent:• Les appareils DALI réagissent aux or-

dres de diffusion, mais le système neles trouve pas, lors de l’adressage

• Le système ne trouve pas tous les appa-reils DALI raccordés au circuit DALI

• En cas d’adressage multiple, le systèmetrouve un nombre différent d’appareils

• Les appareils ne réagissent pas de ma-nière fiable aux ordres DALI.

L’un des problèmes les plus courantsapparaissant dans une installation DALIrésulte du fait que la chute de tensionmaximale au sein du circuit a été dépas-sée ou qu’un court-circuit se produit enun point du circuit. Comment procéder àla mesure de la chute de tension dans uncircuit DALI?

Le câblage de la ligne bus DALI peut être réalisé en ligne, en étoile ou une combinaison des deux. La chute de tension maximale des signaux busne doit pas dépasser 2 V.

Courant maximal Chute de tensionmaximale

Longueur de lignemaximale

Les lignes de com-mande DALI sont com-posées de deux conduc-teurs dans un câblenormal de 5 × 1,5 mm2.

Page 29: Bâtitech 11-2013

éclairage bâtitech 11-13 27

Tensions correctes dans le circuit DALI?Il faut procéder de la manière suivante:1. Vérifier que tous les appareils DALI fonctionnent correctement2. S’assurer qu’il n’y a aucune communication sur la ligne DALI3. Mesurer la tension fournie par l’alimentation DALI (11,5…22,5

V), la valeur typique s’élevant à 16 V; une valeur très basse pour-rait signaler un court-circuit

4. Mesurer la tension sur l’appareil DALI situé le plus loin de l’ali-mentation; la valeur minimale doit s’élever à 9,5 V

5. Etablir un court-circuit entre D1 et D2 (appareil DALI le plus éloi-gné de l’alimentation) –› la tension de l’alimentation DALI nedoit pas dépasser 2 V; si la valeur est supérieure, soit la ligne esttrop longue, soit la section de la ligne bus trop petite, soit les ré-sistances de contact au niveau des bornes sont mauvaises

6. Si la source de l’erreur réside dans un câble trop long, un répéti-teur DALI peut être une solution (fig. 8); celui-ci renforce lessignaux du bus DALI

7. Un phénomène très rare se produit lorsque les appareils possè-dent la même adresse courte; ils réagissent alors simultanément,aucune réponse correcte n’est transmise à l’appareil de commande

BilanDans les bâtiments à usage tertiaire et de manière générale, pour lesinstallations d’éclairage de grande envergure, l’ancienne interface1…10 V destinée à la régulation de l’éclairage a pratiquement dispa-ru. Comme tous les fabricants de composants proposent une inter-face DALI pour l’automatisation des bâtiments, celle-ci correspond àl’état actuel de la technique. Pour des concepts d’éclairage encoreplus ambitieux, notamment pour des spectacles, il convient d’utiliserle protocole DMX qui est encore plus performant. Ce protocole estavant tout plus rapide et permet ainsi de réaliser des concepts d’éclai-rage très dynamiques. ■

B.E.G.Détecteur de présence KNX plat PD11 360 KNX de Swisslux

PD11 360 KNX

www.swisslux.chSwisslux AGIndustriestrasse 88618 Oetwil am SeeTel: 043 844 80 80Fax: 043 844 80 81

Technik-Hotline:043 844 80 77

Swisslux SAChemin du Grand Clos 171092 Belmont-sur-LausanneTél: 021 711 23 40Fax: 021 711 23 41

LUXOMAT®

Détecteur de présence performant à intégrer dans des systèmes de bus KNX Design absolument plat et dimensions minimales Plusieurs sorties et entrées pour la lumière et le comman-de CVC Semi-automatique (manuel ON/automatique OFF) pour les sorties lumière et CVC Montage rapide grâce à la fixation à ressort Cache de protection et décharge de traction inclus

Description No-EPD11 360 KNX, Détecteur de mouvement KNX 405 470 239

Commander maintenant sous www.swisslux.ch:Catalogue de poche 2013/2014: La dernière édition du catalogue de poche très apprécié qui va dans toutes les poches de veste ou de pantalon constitue une aide précieuse pour tous les électriciens et planificateurs.

Différents répétiteurs DALI utilisés dans des lignes très longues.

Page 30: Bâtitech 11-2013

28 bâtitech 11-13 éclairage

Les personnes travaillant en équipes seplaignent souvent de fatigue durant lajournée, de diminution de leur producti-vité et de troubles du sommeil. Grâce àun projet d’études réalisé chez Flextro-nics, une entreprise spécialisée en électri-cité, la société Zumtobel a prouvé que lacommande dynamique de l’éclairage di-minue ces troubles et augmente simulta-nément la productivité des employés.Cette étude menée sur 30 personnes tra-vaillant en équipes a été réalisée dans lesite de production d’Althofen en Autri-che, en collaboration avec la société Bar-tenbach (Laboratoire d’études sur l’éclai-rage) et le Centre d’ergonomie Tyrol.

La lumière dynamiqueaméliore la productivité

Zumtobel teste l’effet d’une commande d’éclairage ciblée sur le personnel d’une entreprise en travail posté

Un projet de recherche sur le terrain a permis à Zumtobel deprouver que les solutions d’éclairage à commande dynamique per-mettaient d’influencer positivement la performance de travaildes employés en travail posté, durant les sombres mois d’hiver etd’augmenter leur bien-être. Cette étude a permis d’établir que labaisse du niveau de stress ne dépendait pas de l’intensité lumi-neuse mais uniquement de la commande dynamique de l’éclairage.

L’étude s’est axée sur la période critique,c’est-à-dire sur les mois d’hiver, lorsque laluminosité est faible. Afin que les ré-sultats soient scientifiquement fondés,Flextronics s’est assuré que les conditionsde travail et les conditions ambiantes res-tent constantes. L’équipe chargée de cetteétude a en outre développé une métho-dique de questionnement spécifique etutilisé divers instruments d’analyse. Ils’agissait notamment de la surveillancemédicale des fonctions du corps, de lamesure de la productivité en fonctiond’indices et de l’interprétation de ques-tionnaires concernant la psychologie dutravail.

Une commande d’éclairageintelligente pour un rendementmeilleurPour ce projet de recherches, Zumtobel aéquipé la zone de travail de chemins lu-mineux Tecton (4000 et 6500 kelvin) etdu système de commande d’éclairageLuxmate Emotion. Les personnes en tra-vail posté ont dans un premier temps étéexposées à un éclairage standard constant(4000 kelvin) pendant plusieurs se-maines, procurant une luminosité de1000 lux, conforme à la norme. Aprèsanalyse des résultats, une période de con-trôle a suivi, durant laquelle la lumino-sité a été transformée, de manière percep-tible et imperceptible, en lumière blancheéquivalente à la lumière du jour (6500kelvin), dont l’intensité était variable(1000 et 2000 lux). Cette commande dy-namique de l’éclairage s’opérait dans unpremier temps, à intervalles réguliers de30 minutes, durant lesquels l’intensitélumineuse se modifiait de manière im-perceptible. Dans un second temps, l’in-

Un éclairage de base statique pendant le temps de travail a pour conséquence des troubles du sommeil nettement plus marqués (ligne bleue). Leséclairages dynamiques montrent une activité nocturne bien plus calme (ligne rouge + verte).

Page 31: Bâtitech 11-2013

éclairage bâtitech 11-13 29

tensité lumineuse était augmentée de ma-nière abrupte, en début et fin du tempsde travail, pour influencer l’état de veilledes employés.

La lumière dynamique diminuele niveau de stressLe résultat de cette étude était nettementmesurable: les conditions d’éclairage dy-namiques ont augmenté le bien-être desemployés pendant et après le travail, du-rant le semestre hivernal. Par ailleurs, letemps moyen nécessaire à la réalisationdes tâches a diminué, ce qui a augmentéla productivité de 4 %. Zumtobel a ainsi

pu apporter la preuve que les solutionsd’éclairage dynamiques sont profitablessur le long terme, malgré un investis-sement initial et des coûts de fonction-nement plus élevés – ceci vaut en particu-lier lors de l’utilisation de LED à hautrendement. Grâce à une étude complé-mentaire en laboratoire, faisant appelcette fois à des rythmes de luminositécourts et imperceptibles, Zumtobel a puprouver que le bien-être des employés nedépendait pas de l’intensité lumineuse,mais qu’il était uniquement influencé parla dynamique. Cette expérience a éga-lement permis de diminuer le niveau destress des participants, alors que la lumi-nosité s’élevait à peine à 500–800 lux.

www.zumtobel.com/tecton

Des cycles d’éclairage dynamiques augmentent le bien-être des employés travaillant en équipes,comme par exemple dans l’atelier Zumtobel à Lemgo.

Pour l’éclairage des postes de travail despersonnes travaillant en équipes, il ne fautpas uniquement tenir compte des exigencesvisuelles de l’éclairage. L’effet biologiquede la lumière revêt également une grande im-portance. Les modifications de la luminositéont des effets positifs sur l’état psychiquedes employés.

LED Tecton

Système de chemin lumineux munide LED avec rail porteur qui intègrel’alimentation, la commande d’éclai-rage et la desserte de la lumière desecours; quatre optiques différen-tes; focalisation de la lumière opti-male; en option: commande enfonction de la lumière du jour, dé-tection de présence ou capteur demouvement; efficacité des lampesjusqu’à 104 lumen/W; températurede couleur: 3000 et 4000 kelvin;rendu des couleurs: Ra > 80.

Page 32: Bâtitech 11-2013

30 bâtitech 11-13 éclairage

Cela peut concerner la charge raccordée,la portée, ou des déclenchements indési-rables. Dans ce dernier cas, il n’est pastoujours facile de cerner l’origine. Un dé-tecteur infrarouge passif est à comparerà un œil sensible aux variations brusquesde la température de la zone «observée».

Un claquementde doigts suffit

Voir et entendre

Le choix et la pose de détec-teurs de mouvements sont sou-vent sources de questionne-ments et sont parfois à l’originede quelques surprises dans lapratique.

Un courant d’air inopportun peut êtreune cause de déclenchement non sou-haité, de même qu’une source de chaleursituée à proximité. Un cas typique etrégulièrement rencontré: une lampe.L’étude des diverses recommandationsque l’on peut trouver en annexe de cata-logues et documents est un investis-sement en temps rentable et évite biendes désagréments lors du fonctionne-ment de l’installation.Que faire quand on est en présence delieux à la structure tarabiscotée, présen-tant de nombreux coins et recoins etqu’on souhaite ne pas multiplier la posede détecteurs? Que faire quand les locaux

sont équipés de cloisons de séparationou d’objets encombrants, gênant la visi-bilité et formant des «zones d’ombre»?Il existe plusieurs solutions, dont le dé-tecteur radar hyperfréquence capable de«voir» à travers les murs. Cela n’est pasun avantage dans tous les cas de figure etpeut conduire à des déclenchements nonsouhaités. Il fallait donc une alternativefiable et c’est la raison pour laquellesont développés des détecteurs munis«d’oreilles», c’est-à-dire de capteursacoustiques capables de seconder effica-cement la détection infrarouge passive.Cette technologie est éprouvée et réalisedes progrès constants, raison pour la-quelle Zublin en équipe certains de sesdétecteurs. Il s’agit de l’Infra Garde 360AP Acoustique et de l’Infra Garde 200 UPAcoustique. Ce sont des appareils pourmontage mural ou au plafond.Lorsque la lumière est allumée, leur sen-sibilité aux ondes sonores permet de pro-longer la durée de la temporisation, aumoindre bruit perçu. A titre d’exemple, ilpeut s’agir de bruits de pas derrière unearmoire ou une cloison ou d’une conver-sation dans un angle du couloir. Dans cecas, le capteur acoustique intégré évitel’extinction de la lumière, empêchant lespersonnes de se trouver brutalementplongées dans l’obscurité.Voilà une solution à prendre en comptedans les salles d’eau et les cabinets de toi-lette. Un claquement des doigts ou desmains va se révéler salvateur. Cela évitebien des situations gênantes. Ces détec-teurs et leur système de détection double«PIR et acoustique» contribuent à unecommutation de l’éclairage conforme auxbesoins.

M.Züblin AGCH-8304 WallisellenTél. 044 878 22 22www.zublin.ch

Page 33: Bâtitech 11-2013

produits bâtitech 11-13 31

LAMPADAIRE ATARO LEDLA TECHNOLOGIE, SOUCIEUSE DE L‘ENVIRONNEMENT.

Un lampadaire ATARO LED éclaire un double poste de travail grâce à une puissance de 105 W et de façon absolu-ment homogène avec 9.000 lm. L‘intégration de modules LED selon le standard Zhaga assure sa durabilité. Les systèmes de gestion automatique PULSE HFMD (détection de la lumière du jour et détection de la présence) et PULSE TALK (module radio EnOcean pour la communication entre luminaires) offrent confort et économie d‘énergies.

Waldmann Lichttechnik GmbH, Telefon +41 21 793 19 19, [email protected], www.waldmann.com

Page 34: Bâtitech 11-2013

32 bâtitech 11-13 éclairage

Le détecteur de présence de thebenHTS,thePrema, fait partie de la nouvelle géné-ration de détecteurs de présence quiallient technologie de pointe et designinnovant. thePrema se sert du matériau

translucide dont est constituée la lentille,comme élément de design. Combiné àun cache transparent de forme ronde,thePrema s’adapte optiquement à toutenvironnement. La zone de détection estcarrée, conformément à la géométrieusuelle des pièces et peut couvrir jusqu’à100 m2. Grâce à sa qualité de détectionde haute sensibilité, thePrema répond àtoutes les exigences en matière d’effica-cité énergétique et d’adaptation aux be-soins dont doivent faire preuve les com-mandes d’éclairage, de chauffage et declimatisation. Les planificateurs et les ins-tallateurs apprécient la simplicité et lafiabilité de la zone de détection carréedes détecteurs de présence de thebenHTS.

thePrema: un design quisurprend positivement

Le détecteur de présence thePrema unit les contrastes

Les nouveaux détecteurs de présence de thebenHTS arborent un designtransparent. Une lentille translucide et un cache de forme ronde, transparentlui aussi, permettent aux détecteurs thePrema de s’adapter à tout typed’environnement. Avec leur zone de détection carrée, ils offrent une qualitéde détection optimale, couvrant jusqu’à 100 m2. Les détecteurs thePremarépondent ainsi à toutes les exigences d’une commande CVC ou d’une com-mande d’éclairage, énergétiquement efficace et adaptée aux besoins.

Une technique remarquableLes pièces ont dans plus de 90 % des casune forme carrée, raison pour laquellethebenHTS conçoit depuis des annéesdes détecteurs qui présentent une sensibi-

lité optimale pour ce type de configura-tion. Le nouveau détecteur de présencethePrema possède toutefois de nom-breuses autres qualités intéressantes. Samesure de lumière mixte est appropriée àtout type de sources lumineuses, ce quin’est pas toujours le cas des produits quel’on rencontre par ailleurs sur le marché.La précision de la mesure de lumièremixte permet d’obtenir une luminositébien définie, que ce soit avec des lampesfluorescentes (FL/PL/ESL), halogènes, àincandescence ou à LED. La mesure deluminosité peut en outre être optimiséeet peut être commutée sur mesure spotou sur mesure large.

Caractéristiques supplémentaires:• Fonctionnement commutable en mode

automatique ou semi-automatique• Temporisation à l’extinction automa-

tique• Détection automatique du bouton-

poussoir/commutateur• Fonction impulsions pour minuteries

d’éclairage d’escaliers• Canal de présence: relais, libre de po-

tentiel• Temporisation à l’enclenchement et

temporisation à l’extinction réglables• Présence transitoire (réduction de la

temporisation à l’extinction en cas deprésence non prolongée)

• Surveillance du local avec détection demouvement sélective

• Réglage extrêmement facile du moded’économie d’énergie avec la nouvellefonction «eco/eco plus»

• Hauteur de montage recommandée2,0… 3,5 m

• Consommation propre 0,5 W• Pour une charge ohmique, la puissance

de commutation s’élève à 2300 W,pour cos ? = 0,5 elle s’élève à 1150 W

BilanAvec son nouveau détecteur de présencethePrema, thebenHTS lance une nouvellefois sur le marché un détecteur qui sur-prend par son design. Installé au pla-fond, ce détecteur à lentille translucide seremarque à peine. Il existe bien sûr, enoption, des télécommandes pour les uti-lisateurs et la mise en service.thePrema peut être installé dans le pla-fond grâce à un boîtier encastré ou ensaillie, grâce à un cadre spécial pourmontage apparent.

Theben HTS AGCH-8307 EffretikonTél. 052 355 17 [email protected]

Les nouveaux détecteurs de présence thePrema de thebenHTS arborent un design transparent; la lentilletranslucide s’adapte de manière optimale à l’environnement.

Page 35: Bâtitech 11-2013

éclairage bâtitech 11-13 33

Commande rapide et sûreLes lifts pour luminaires ReelTech per-mettent d’abaisser les luminaires à lahauteur de travail désirée, au moyend’une télécommande et d’économiser desfrais de location et d’utilisation de pla-tes-formes élévatrices ou autres appareils.Le courant étant automatiquement coupélorsque le luminaire est descendu, il n’y aplus aucun risque d’électrocution. Latélécommande permet en outre de pro-grammer la commande de luminairesisolés, de groupes de luminaires ou del’éclairage complet.

Un montage d’une simplicitédéconcertanteLe lift ReelTech se fixe au plafond. Le liftet l’élément de couplage sont reliés par un

Systèmes de lifts ReelTechpour luminaires

Demelectric SA

Les éclairages sont souvent suspendus au-dessus des escaliers, des équipements ou des rayonsde magasins, etc. La maintenance requiert alors un appareillage lourd et du personnel qualifié coûteux.Par ailleurs, il existe un risque latent d’endommagement des installations ou d’accidents.Le nouveau système de lifts ReelTech change la donne: ReelTech conçoit et fabrique des systèmesde lifts permettant d’abaisser et de lever des luminaires, de tout type et de toute taille.

contact de commutation, assurant l’ali-mentation du luminaire. Lorsque le lift re-çoit de la télécommande le signal de des-cendre, le lift et l’élément de couplage seséparent et le luminaire descend, accrochéà un système de filin métallique.

Cinq modèles différentsAvec une distance de levage de 10 à 15mètres et un poids de levage de 4 à 25 ki-los, le «Compact Type» et le «Hook-UpType» sont parfaitement adaptés pour desluminaires suspendus ou éclairages depostes de travail dans des hangars en toutgenre. Pour le déplacement de luminairesvolumineux ou de lustres dans des sallesdes fêtes ou églises, ont été conçus le«Heavy Duty Type» et le «Super HeavyDuty Type». Leur distance de levage peut

atteindre 30 mètres et ils résistent à unpoids de levage atteignant 300 kilos.

Versions multicontact pourles commandes de luminaires etles alimentations d’urgenceDernière nouveauté de la gamme de liftspour luminaires ReelTech: la série multi-contact. Avec cette version, il y a dorénavanthuit contacts disponibles entre l’alimenta-tion électrique et la sortie du luminaire. Lescircuits électriques en fonctionnement au-tonome de l’alimentation moteur et lumi-naire permettent la commande supplémen-taire d’actionneurs de commutation sur uneligne bus. Ainsi, les lifts pour luminairesReelTech sont-ils prédestinés à commanderl’éclairage moderne.

www.demelectric.ch

Page 36: Bâtitech 11-2013

34 bâtitech 11-13 éclairage

L’Institut Fraunhofer IAO pour la «Ges-tion du travail et l’Organisation» a réaliséun nouveau bâtiment à Stuttgart, le«Centre pour l’Ingénierie Virtuelle(ZVE)». Une véritable «Maison du Sa-voir» est née de la collaboration entrel’architecte Ben van Berkel (UNStudioAmsterdam) et les ingénieurs et archi-tectes du bureau ASPLAN de Kaiserslau-tern. C’est dans des conditions optimalesque les scientifiques peuvent effectuer icileurs travaux de recherche dans les do-maines de l’organisation innovante dutravail, de la mobilité du futur, des tech-nologies visuelles et de l’ingénierie vir-tuelle. La configuration du bâtiment etdes laboratoires et bureaux futuristes estfortement imprégnée du savoir-fairescientifique, propre à l’Institut. Les scien-tifiques se sont par ailleurs penchés sur

Les luminairescommuniquent entre euxInstallation de lampadairesWaldmann ATARO LED avecsystème de gestion de l’éclai-rage PULSE TALK dans l’InstitutFraunhofer de Stuttgart.

l’éclairage et son impact sur les actifs.Dans les bureaux, les postes de travailsont éclairés par des lampadaires perfor-mants ATARO LED de la société Wald-mann. Un lampadaire est en mesured’éclairer deux postes de travail. La lu-

mière est particulièrement homogène etla puissance des lampes installées ne dé-passe pas 105 W. Les lampadaires sonten outre munis des systèmes de gestionde l’éclairage PULSE HFMD et PULSETALK. Autrement dit, ils sont non seu-lement régulés en fonction de la lumièredu jour et de la présence, mais communi-quent également entre eux. Ils utilisent à

cet effet le standard radio EnOcean. Lerésultat est probant: l’éclairage, quis’adapte à la présence ou non des colla-borateurs, est agréable dans tout l’espacedédié aux bureaux.Afin d’exploiter tout le potentiel d’éco-nomie d’énergie, il est possible de rac-corder la passerelle EnOcean à la gestiontechnique du bâtiment. Les informationsconcernant la présence, recueillies par leslampadaires, sont exploitables pour d’au-tres applications. En tant que solution in-terdisciplinaire, la climatisation peut parexemple être pilotée par zone précise eten fonction de la présence des personnes.Ce bâtiment a obtenu du Conseil Alle-mand pour la Construction Durable(DGNB), le label de qualité DGNB dansla catégorie or, pour son efficacité exem-plaire, le respect de l’environnement et lapréservation des ressources.

Waldmann Lichttechnik GmbHCH-1094 PaudexTél. 021 793 19 [email protected]

Page 37: Bâtitech 11-2013

produits bâtitech 11-13 35

Dans mon métier, je suis toujours sur la brèche. Mon partenaire

doit donc aussi se montrer souple, fi able et disponible 24 heu-

res sur 24.

En Suisse, Electro-Matériel SA est désormais neuf fois à vos

côtés, afi n que vous puissiez faire du bon boulot à toute heure

et en tout lieu.

Basel Bern Genève Heiden Lausanne Lugano Luzern Sion Zürich

www.electro-materiel.chBasel Bern Genève Heiden Lausanne Lugano Luzern Sion Zürich

Votre succursale EM en ValaisBienvenue à Sion

Je suis partout chez moi

Page 38: Bâtitech 11-2013

36 bâtitech 11-13 éclairage

Une famille de luminairesà LED pour des projetsd’éclairage exigeants

Light Fields evolution

Zumtobel présente la famille de luminaires à LED Light Fields evo-lution, conçue pour les environnements de bureau modernes. LightFields evolution combine un design clair avec des innovations tech-nologiques: il en résulte une famille de luminaires à LED qui se dé-cline en luminaire encastré, apparent, suspendu, en applique et enlampadaire. Tous présentent la même esthétique et une faible hau-teur de construction, idéale pour l’architecture de bureau moderne.

Qu’il s’agisse de travaux sur clavier-écran,de la commande d’un SmartPhone oud’une tablette PC, de réunions ou de pré-sentations: la famille de luminaires àLED apporte toujours une qualité de lu-mière irréprochable sans éblouissement.Ceci grâce à l’optique micropyramidalebrevetée (MPO+). La couche diffusantede l’optique assure la dissipation optima-le des points LED pour procurer une lu-mière homogène et non éblouissante. Ladensité d’éclairage est résolument réduitemalgré un flux lumineux élevé. Cela estgarant d’une répartition agréable de lalumière, même en présence d’angles derayonnement restreints. Le luminaire estdisponible dans deux températures decouleur: 3000 et 4000 kelvins. Avec unrendement lumineux pouvant atteindre105 lm/W, il réduit la charge énergétiquedu bâtiment et contribue activement àune valeur ajoutée durable.Tous les luminaires de la famille LightFields evolution affichent une excellentequalité de lumière et une grande efficacitéénergétique. Les différents types de lumi-naires intègrent des techniques innovan-tes, afin d’apporter la lumière optimaledans diverses configurations de bureau.Zumtobel a développé le réflecteur3Dprotect pour les luminaires encastrés,apparents et pour l’applique. Le réflecteur,pour lequel une demande de brevet a étédéposée, sert à la fois de protection etd’optique. La structure tridimensionnelleprotège les modules LED au moment del’encastrement et évite leur dégradationpar décharges électrostatiques lors del’installation. Le degré de réflexion élevéde la structure assure en outre une aug-mentation du rendement optique duluminaire.Les diodes électroluminescentes sont inté-grées dans le cadre du luminaire suspen-Gamme complète de luminaires à LED pour un concept global d’éclairage de bureau.

A propos

Zumtobel est un leader international dans lafourniture de systèmes d’éclairage globaux of-frant une interaction vivante entre la lumière etl’architecture. En tant que leader en termes d’in-novation, le fabricant de luminaires Zumtobeloffre un choix étendu de luminaires et de sys-tèmes de commande d’éclairage haut de gammepour les applications les plus diverses dansl’éclairage professionnel de bâtiments – parexemple bureaux et centres de formation, pré-sentation et vente, hôtellerie et bien-être, milieumédical et centres de soins, art et culture ainsique locaux techniques et industriels. Zumtobelest une marque de la société Zumtobel AG avecsiège social à Dornbirn, Vorarlberg (Autriche).

Page 39: Bâtitech 11-2013

éclairage bâtitech 11-13 37

Représentation pour la Suisse:Demelectric SA • Steinhaldenstrasse 26 • 8954 Geroldswiltéléphone +41 (0)43 455 44 00 • fax +41 (0)43 455 44 11

[email protected] • www.demelectric.ch

Achat auprès des grossistes. Demandez notre documentation.

La solution aux prob-lèmes de maintenance

REEL TECHL e u c h t e n - L i f t e

D32

Systèmes de lifts ReelTech

Télécommande radio RCU

- 999 lifts programmable

- 433.92 MHz, jusqu à 100m portée

- couplage mixte possible

ReelTech abaisse au moyen d‘une

télécommande le luminaire à la hauteur

désirée.

- pas de frais de location de matériel

de levage

- pas de spécialistes necessaires

- travail à sûreté intégrée

- minimisation du temps de

maintenance

- télécommandable

... vous trouvevez d‘autres modèles sous www.demelectric.ch

Compact type multicontact

CSI12M

- poids de levage 12 kg

- hauteur de levage max. 15m

- alimentation séparée pour monteur

et luminaire

- 4 contacts auxiliaires pour

commande DALI/ télévariateurs

- hauteur de levage à réglage continu

- télécommandable

du, ce qui a permis un design tout en finesse, la hauteur ne dépassantpas 28 mm. La technologie de guidage de la lumière litePrint dirige lalumière LED vers le bas, assurant ainsi une relation harmonieuse entreles composantes directe et indirecte. La trame de points sur le guideoptique LitePrint, calculée avec précision, assure un éclairage uniformede toute la surface éclairante. En même temps, un pourcentage exac-tement défini de la lumière est orienté vers le haut à travers des ouver-tures – sans modules LED supplémentaires.Le lampadaire offre une grande liberté d’aménagement dans les envi-ronnements de bureau modernes amenés à changer fréquemment.Disponible avec trois différents flux lumineux (7800, 11 000 et 14 800lumens) ainsi que dans les températures de couleur blanc chaud etblanc neutre, le lampadaire Light Fields evolution offre de nom-breuses possibilités d’utilisation. Il intègre la technologie swarmCon-trol qui apporte une nouvelle dimension de qualité de lumière indivi-duelle au poste de travail. Elle se distingue par deux fonctions: laCorridorFunction et la détection de présence. La première est gage desécurité et de bonne orientation. Un détecteur de mouvement intégrécommande l’allumage progressif et successif des luminaires qui jalon-nent ainsi le chemin vers le poste de travail. La fonction présence enrevanche assure des conditions d’éclairage idéales avec un éclairementmoyen de jusqu’à 500 lux au poste de travail. L’adaptation de l’inten-sité aux besoins individuels reste néanmoins possible à tout moment.Les luminaires voisins communiquent entre eux par l’intermédiaire deswarmControl et produisent un nuage lumineux qui crée une agréableambiance de travail. Le lampadaire gagne encore en efficacité avec lafonction sensControl III. Le détecteur de présence allume automati-quement le luminaire et l’éteint dès que le poste de travail est inoccu-pé. Un capteur de luminosité mesure l’éclairement sur la table de tra-vail et gradue le lampadaire en fonction de la quantité de lumièreartificielle et de lumière du jour disponible. Cette technologie permetd’économiser jusqu’à 70 % d’énergie par rapport aux lampadairescommutables.

www.zumtobel.com

La structure tridimen-sionnelle protège lesmodules LED aumoment de l’encastre-ment et évite leur dégra-dation par déchargesélectrostatiques lors del’installation.

Page 40: Bâtitech 11-2013

Depuis plus de dix ans sur le marché, lafamille des thermostats RDD/RDE faitplace aujourd’hui à la nouvelle généra-tion. Par comparaison très plats, les toutderniers appareils présentent un designcontemporain plus épuré. Leur grandécran bien structuré offre une lectureaisée. Ils sont en outre dotés de comman-des capacitives perfectionnées: il suffitdésormais d’effleurer les touches pourmodifier les paramètres.Du programme horaire au mode va-cances, les cycles de programmation de laligne RDE permettent de définir la tem-pérature ambiante pour des périodes

Thermostats d’ambiance à technologie tactile

La deuxième génération des ther-mostats d’ambiance RDD/RDE deSiemens arrive sur le marché. Avecleur design d’une élégante moder-nité, ces nouveaux thermostats of-frent une fonctionnalité étendue.

données, ce qui réduit la demanded’énergie et les frais de fonctionnement,les pièces inutilisées ne consommant pasde chauffage. Afin qu’efficacité énergé-tique et rentabilité soient toujours au

rendez-vous, il est également possible deconnecter les thermostats à des lecteursde cartes magnétiques (pour chambresd’hôtel, par exemple), si bien qu’on peutne chauffer les pièces que pendant leuroccupation effective. Les cycles de pro-grammation offrant de surcroît de nom-breuses options, il est par exemple aiséde régler les phases de chauffage et de re-froidissement différemment chaque jour,suivant la façon dont la pièce est occu-pée.Toutes les deux disponibles avec une ali-mentation CA 230 V ou sur batterie, leslignes RDD et RDE possèdent un tamponpour le stockage temporaire des donnéeset des réglages, en cas de panne de cou-rant ou pendant le changement de bat-terie.Les thermostats d’ambiance RDD/RDEsont indiqués pour les applications dechauffage dans les immeubles résiden-tiels et tertiaires, les maisons individuel-les (principales ou secondaires), leslogements collectifs avec systèmes dechauffage par appartement, les établis-sements scolaires, les hôtels et les bu-reaux dotés de la régulation par pièce.Pour l’exploitation dans les lieux publics,les thermostats disposent d’une fonctionde blocage des commandes et des valeursde consigne qui les protège efficacementcontre toute manipulation.

Siemens Suisse AGCH-6312 Steinhausenwww.siemens.com/thermostats

38 bâtitech 11-13 produits

Saviez-vous qu’une installation de capteurs standard de

Schweizer couvre jusqu’à 70 % des besoins annuels en eau

chaude d’une famille de quatre personnes – et qu’en plus

elle prolonge la durée de vie du chauffage? Découvrez sans

tarder nos produits innovants – et profitez dès aujourd’hui,

dans votre maison, de la chaleur gratuite du soleil grâce à

notre bon d’une valeur de 400 CHF!

Davantage d’informations sur www.soleil-plus.ch

Ernst Schweizer AG, Metallbau

Avenue d’Epenex 6

CH-1024 Ecublens VD

Téléphone +41 21 631 15 40

[email protected]

www.schweizer-metallbau.ch

Programme de soutien «Soleil plus»:

des rabais sur une énergie gratuite.

ELECTROTECHNIQUE

Page 41: Bâtitech 11-2013

partie technique bâtitech 6/7-12 39

*Offre hors TVA réservée aux entrepreneurs. Avantage réservé à certaines catégories de clients. Jusqu’au 31.12.2013.

UN MOTEUR QUI DÉMÉNAGE. ET QUI EMBALLE.Le patinage, ce n’est pas son truc. Ni sur bitume, ni sur la boue des chantiers. Avec sa traction intégrale, le NISSAN NAVARA déménage. Tout droit, sans tirer des bords, jusqu’où vous voulez. 450 Nm à 2000 tr/min., c’est du costaud. 3.5 tonnes à remorquer après expertise DTC ? Pas de souci pour cette bête de somme. Musclez votre quotidien, c’est plus fun ! Infos sur www.nissan.ch

NISSAN NAVARA XE, KING CAB2.5 l dCi, 190 ch (140 kW)

dès Fr. 26 661.–*

NISSAN NAVARA. DE REMORQUABLE À REMARQUABLE.

Page 42: Bâtitech 11-2013

40 bâtitech 11-13 produits

Avec l’urinoir Antero, Keramik Laufenvient révolutionner les espaces sanitairespublics. Le design est signé Toan Nguyen(Toan Nguyen Studio, Milan). Le de-signer a créé un urinoir d’aspect unique,récompensé par le prix Red Dot Award2012 pour sa conception recherchée etinnovante. A la différence d’autres uri-noirs traditionnels, le corps en céramiqued’Antero n’est pas conique ou cylin-drique, mais s’extrait d’un grand bloc encéramique rectangulaire de 380 × 765mm. Les dimensions généreuses du blocde base remplissent également une fonc-tion éminemment pratique: en cas de ré-novation, il recouvre intégralement lestraces des éléments précédents, tout ens’adaptant aux raccordements standards.Par ailleurs, Keramik Laufen a entière-ment pensé la géométrie de la paroi ar-rière et de la cuvette pour répondre auxbesoins des exploitants et des utilisateurs.Des bords de rinçage dotés de petitesalvéoles – un système breveté par Kera-mik Laufen – permettent un rinçage régu-lier et économique de la cuvette et de laparoi arrière sur les bords supérieurs et

Urinoir économe pour espaces sanitairesreprésentatifs

Laufen

Aujourd’hui, les espaces sanitaires publics exercent une fonction repré-sentative importante. Les hôtes, les clientes et clients, les collaboratriceset collaborateurs jugent également les entreprises et les institutionsà l’importance qu’elles accordent à l’entretien et à l’attractivité de leursespaces sanitaires. Avec le nouvel urinoir Antero et la nouvelle paroi deséparation Cinto, Keramik Laufen apporte un peu de vent frais dans cesecteur, en y ajoutant design et fonctions intelligentes. L’urinoir a obtenule prix Red Dot Award 2012 pour sa conception recherchée et innovante.

sous le rebord de la cuvette. Et pour ga-rantir un écoulement régulier et une pro-tection efficace contre les éclaboussures,la paroi arrière a été biseautée et la cu-vette a été creusée et rétrécie vers l’avant.

Fonctions intelligentespour une utilisation économeDoté de fonctions intelligentes, Antero estparfaitement adapté aux utilisations fré-quentes dans la gastronomie, les grandsnœuds de communication, lesentreprises, les bâtiments publics, les cen-tres commerciaux, les cinémas, les théâ-tres, les stades et les salles de concert.Les exploitants apprécient tout spécia-lement les économies d’eau et la facilitéd’entretien. Antero possède donc un sys-tème de commande électronique adaptéaux besoins, qui offre un rinçage efficaceet économique et est également dispo-nible en version encastrée, sur secteur ouà piles. En fonction du type d’utilisation,il est possible de choisir différentes quan-tités d’eau de rinçage entre 0,5 et 3 litreset plusieurs intervalles de rinçage. Uneprotection anti-éclaboussures intégrée

permet d’arrêter le rinçage en cas de blo-cage de l’écoulement et ainsi d’éviter lesinondations.

Sécurité et simplicité d’entretienAntero sait également se montrer écono-mique en matière de nettoyage et d’entre-tien. La surface céramique se nettoie sim-plement et rapidement, elle est exempted’espaces difficiles d’accès ou de trous defixation. Même le siphon d’aspiration estéquipé d’un bouchon en céramique facileà nettoyer. Les fonctions de nettoyage etd’entretien et les commandes intelligentespeuvent se configurer en toute simplicité àl’aide d’un PC raccordé à une clé USB etune interface est prévue pour le systèmede gestion technique du bâtiment. L’accèsau système de commande, à la soupapemagnétique et à la pile s’effectue par endessous via un abattant de service, facile àutiliser et efficace contre le vandalisme.

Solutions architecturales possiblesKeramik Laufen propose la paroi de sépa-ration Cinto adaptée à l’urinoir Antero.Son design reprend la forme rectangu-laire de l’urinoir et reproduit ses arêtesd’angle. La coupe concave protège desregards indiscrets et confère une impres-sion d’apesanteur. Installés en série, An-tero et Cinto constituent une solutionarchitecturale qui s’intègre parfaitement àla géométrie de l’espace.

www.laufen.ch

Forme et fonction en symbiose: les dimen-sions généreuses du bloc de base de l’urinoirAntero font une forte impression visuelle maisdissimulent également les traces des ancien-nes installations. (Photo: Keramik Laufen)

Installés en série, l’urinoir Antero récompensé par le prixRed Dot et la paroi de séparation Cinto se combinent idéa-lement pour des solutions architecturales haut de gammedans les espaces sanitaires publics.

Idéal pour les lieux très fréquentés: KeramikLaufen a équipé l’urinoir Antero d’un systèmede commande électronique intelligent, quiréagit en fonction des besoins.

Page 43: Bâtitech 11-2013

produits bâtitech 11-13 41

Hov

al U

ltraG

as® (1

25 –

200

0 D

)A

insi

que

Hov

al U

ltraO

il® e

t Hov

al B

ioLy

t com

me

syst

ème

d’én

ergi

e dé

cent

ralis

é.

Hov

al T

rans

Ther

m C

omfo

rt (2

0, 4

0)St

atio

n de

tran

sfer

t com

plèt

emen

t équ

ipée

pou

r m

aiso

ns in

divi

duel

les

et p

etits

bât

imen

ts d

’hab

itatio

n.

Hov

al T

rans

Ther

m P

RO

Solu

tion

préc

ise

sur m

esur

e po

ur to

utes

les

appl

icat

ions

. De

30 à

500

0 kW

.

Hov

al C

ombi

Val c

hauf

fe-e

auU

n pr

ogra

mm

e co

mpl

et p

our m

aiso

ns in

divi

duel

les

et b

âtim

ents

d’h

abita

tion.

Syst

ème

d’au

tom

atis

me

et d

e ré

gula

tion

pour

la c

hale

ur à

dis

tanc

eTo

pTro

nic®

supe

rvis

or e

t Top

Tron

ic® co

m. L

a ce

ntra

le d

e co

mm

unic

atio

n in

telli

gent

e po

ur le

rése

au d

e ch

aleu

r à d

ista

nce.

De

la c

hale

ur p

our

le c

hauf

fage

à d

ista

nce

et d

e pr

oxim

ité.

Hov

al –

l’en

trep

rise

suis

se le

ader

en

mat

ière

de

solu

tions

de

prod

uctio

n de

cha

leur

resp

ectu

euse

s de

l’en

viro

nnem

ent e

t pou

r un

déve

lopp

emen

t dur

able

.

Vous

sou

haite

z un

e so

urce

d’é

nerg

ie d

urab

le p

our

l’ave

nir.

Hov

al o

ffre

des

sol

utio

ns s

ur m

esur

e.

La c

hale

ur à

dis

tanc

e es

t l’é

nerg

ie d

u fu

tur:

elle

est

éco

nom

ique

, dis

poni

ble

24 h

/24

et p

erm

et d

e ré

duire

les

émis

sion

spo

lluan

tes.

Hov

ales

tvot

repa

rtena

irefia

ble,

etof

frede

sso

lutio

nsto

ut-e

n-un

,ada

ptée

sau

xbe

soin

sin

divi

duel

s–

depu

isla

cent

rale

éner

gétiq

ueju

squ’

auch

auffe

-eau

enpa

ssan

tpa

rle

sst

atio

nsde

trans

fert.

Y co

mpr

is u

n co

nsei

l glo

bal e

t un

serv

ice

com

péte

nt!

Hov

al S

A, 1

023

Cri

ssie

r, té

l. 08

48 8

48 4

64, f

ax 0

848

848

767,

ww

w.h

oval

.ch.

1

23

23

CE

NT

RA

LE

ÉN

ER

TIQ

UE

1 S

ystè

me

éner

gétiq

ue d

écen

tral

isé

2 H

oval

Tra

nsTh

erm

Stat

ion

de tr

ansf

ert c

ompa

cte

avec

gro

upes

d’a

rmat

ures

de

chau

ffage

inté

grés

.

3 C

hauf

fe-e

au H

oval

Pour

la p

rodu

ctio

n d’

eau

chau

de s

anita

ire, H

oval

vou

s pr

opos

e un

pro

gram

me

com

plet

de

chau

ffe-e

auet

d’ac

cum

ulat

eurs

pour

les

mai

sons

indi

vidu

elle

set

les

imm

eubl

esd’

habi

tatio

n.

Page 44: Bâtitech 11-2013

42 bâtitech 11-13 produits

La série LWD d’Alpha-InnoTec comprendactuellement les deux types LWD 50A etLWD 70A présentant une puissance calo-rifique de 5,6 et de 7,7 kW respective-ment (A2/W35 – EN 14511). Ces deuxmodèles se distinguent par leurs coeffi-cients de performance (COP) élevés ettournent avec un niveau de pressionacoustique incomparablement bas de45 dB(A), mesuré à 1 mètre de distance.En outre, ils peuvent être tous deux équi-pés d’un refroidissement actif en option.Incarnant une nouvelle phase d’exten-sion, le dernier-né LWD 90A sera lancésur le marché et présentera une puissancecalorifique de 9,0 kW (A2/W35 – EN14511). A l’instar des deux modèles pluspetits, il fonctionne avec un réfrigérantécophile et se caractérise également parses performances et sa pression acousti-que remarquables.

Montage simple se prêtant très bienaux modernisationsLa nouvelle pompe à chaleur LWD 90Ad’une puissance calorifique de 9,0 kW estconçue pour moderniser des installationsde chauffage existantes. L’unité extérieurepeut être montée au mur ou fixée au sol.Ces opérations sont réalisables à peu de

Un précieux apport à la série LWD Pompe à chaleur air-eau LWD 90A d’Alpha-InnoTec

Les pompes à chaleur air-eau de lasérie LWD d’Alpha-InnoTec profi-tent d’une forte demande sur lemarché. Le modèle LWD 90A vientétoffer cette série en y ajoutant unemachine encore plus performante.

Nouveau: le modèle LWD 90A d’Alpha-Inno-Tec met la nature au cœur de votre maison.

«Plug and Heat» (branchez et chauffez):l’unité extérieure et le module intérieur sontparfaitement adaptés l’un à l’autre pour formerun ensemble performant.

LWD 50A LWD 70A LWD 90A3

Puissance calorifique1 5,6 kW 7,7 kW 9,0 kW

COP1 3,8 3,8 3,6

Pression acoustique2 45 dB (A) 45 dB (A) 45 dB (A)

Réfrigérant Réfrigérant naturel R290

Circuit de chauffage De 20 à 70 °C De 20 à 70 °C De 20 à 70 °C

Source de chaleur De –20 à 35 °C De –20 à 35 °C De –20 à 35 °C

Refroidissement actif Optionnel Optionnel

Dimensions 1320 × 445 × 930 mm

1 A2/W35 – EN 145112 Mesurée à 1 mètre de distance3 Disponible à partir de juillet 2013, caractéristiques techniques provisoires

Page 45: Bâtitech 11-2013

produits bâtitech 11-13 43

frais, avec rapidité etsimplicité à l’aide dukit de montage jointà la livraison. La tra-versée murale isoléeet calorifugée de lapompe à chaleur estégalement unique enson genre. Elle permetde relier facilementl’unité extérieure avecle module intérieur.Ce dernier intègredéjà tous les com-posants nécessaires,dont la pompe, la robinetterie de sécurité, le vase d’expansion et lerégulateur de pompe à chaleur Luxtronik 2.0 compatible Internet. Lefonctionnement avec un réfrigérant naturel et écologique n’exige au-cun contrôle d’étanchéité. Vu que l’appareil extérieur dispose d’un cir-cuit de refroidissement fermé, les pompes à chaleur air-eau peuventêtre installées sans certificat en système frigorifique. A peine bran-chées, elles sont prêtes à chauffer, fidèles à la devise «Plug and Heat»!

Fiez-vous au numéro unChef de file sur le marché, la société ait Suisse SA concentre ses acti-vités exclusivement sur les conseils et sur la commercialisation depompes à chaleur et de systèmes solaires, depuis bien des années. Desspécialistes en matière de vente, de technique et de service après-vente prodiguent une assistance optimale aux intéressés soucieux del’environnement. Disponible dès maintenant, le nouveau modèleLWD 90A complète à merveille la série LWD d’Alpha-InnoTec.

ait Schweiz AG / ait Suisse SACH-6246 Altishofenwww.alpha-innotec.ch

CALPEX – le système de tuyaute-rie plastique basse température, de haute qualité pour la distribu-tion d’eau sanitaire et d’eau de chauffage:• Flexibilité• Efficacité énergétique• Fiabilité• Rapidité• Compétence

CALPEX

Pour un avenir sûr en toute flexibilité

Brugg Rohrsystem AG

Industriestrasse 39

CH-5314 Kleindöttingen

phone +41 (0)56 268 78 78

fax +41 (0)56 268 78 79

[email protected]

www.pipesystems.com

A company of the

BRUGG Group

www.pipesystems.com

Un système véritablement écologique: les nouvelles pompes à chaleur air-eauLWD d’Alpha-InnoTec associées à des capteurs solaires.

Caractéristiques

• Fonctionnement avec un réfrigé-rant naturel

• Très bon COP* jusqu’à 3,8• Idéal pour une construction

neuve ou une modernisation• Marche très silencieuse• Installation simple sans conduite

de refroidissement• Montage mural ou fixation au sol

Page 46: Bâtitech 11-2013

44 bâtitech 11-13 produits

Le matériau de revêtement utilisé dans lesystème Anrosan est un mélange entiè-rement minéral composé de ciment,d’eau et de sable siliceux. Depuis plus de70 ans, on utilise en Suisse un matériausimilaire pour assainir les conduitesd’eau publiques. C’est le premier systèmed’assainissement des conduites d’eau po-table par l’intérieur à se voir attester laconformité totale selon les dispositionslégales actuellement en vigueur en Suisse.«Avec Anrosan, nous entamons une nou-velle ère dans l’histoire de l’assainis-sement des conduites d’eau potable, avecdes avantages concrets par rapport à larésine époxy», affirme Werner Näf, inven-teur du procédé et président du conseild’administration de Näf Tech SA.Anrosan est la première technique d’as-sainissement des conduites d’eau potablepar l’intérieur à avoir obtenu, au niveaumondial, la certification selon DIN

Une eau potable d’excellente qualitégrâce à un revêtement minéral

Anrosan: le premier revêtement minéral pour conduites d’eau certifié

Anrosan, qui vient d’être lancé par le Näf Tech SA, est la première technique de revêtement entièrement minéralpour l’assainissement des conduites d’eau potable, sans résine époxy. Ce revêtement composé d’eau, de sablesiliceux et de ciment garantit la meilleure qualité d’eau potable dans les bâtiments. Il est le seul système,à ce jour, à satisfaire de manière avérée à toutes les prescriptions légales sur la base des lignes directrices desautorités. En coopération avec les laboratoires cantonaux, l’Office fédéral de la santé publique OFSP a renforcéles obligations concernant les fournisseurs de prestations d’assainissement des conduites d’eau potable.Dans le passé, les assainissements réalisés avec de la résine époxy avaient entraîné à plusieurs reprises desdégradations de la qualité de l’eau potable.

CERTCO (DIN EN ISO 11295/no de re-gistre FB1R003).

La recherche et le développementau service de la qualitéde l’eau potableAprès une phase de développement deplusieurs années, les spécialistes dugroupe Naef ont réussi à adapter le revê-tement en ciment, éprouvé dans les ré-seaux d’eau publics, pour les conduitesavec des diamètres inférieurs. «La longuepériode de développement est profitableau niveau de l’utilisation qui ne présenteaucun inconvénient, contrairement aurevêtement de résine époxy», expliqueWerner Näf. Le composé inorganique neconstitue pas de terrain propice auxmicro-organismes. Les conduites revêtuesselon la technique Anrosan garantissentune qualité irréprochable de l’eau po-table, même après 72 heures de stagna-

Analyse de tube. Tube avant et après.

A noter

En cas d’assainissement des con-duites d’eau potable par l’intérieur:• Toute offre doit être précédéed’une analyse de l’eau; sans véri-fication de la qualité de l’eau, iln’est pas possible d’évaluer l’étatdes conduites.• Lors de la sélection du fournis-seur, veiller à la conformité desmatériaux et procédés selon la let-tre d’information no 165 de l’OFSPou se renseigner auprès du labora-toire cantonal.• L’assainissement des conduitesterminé, l’entreprise qui a effectuéles travaux doit faire parvenir uneanalyse de l’eau à un laboratoireaccrédité et se faire attester cetteanalyse par ce dernier.

Page 47: Bâtitech 11-2013

produits bâtitech 11-13 45

tion, alors que la loi n’exige ce niveau dequalité que jusqu’à 24 heures de stagna-tion. Le revêtement, résistant à la chaleur,peut être désinfecté à une températurejusqu’à 200 degrés Celsius, d’où une pro-tection additionnelle contre les légio-

nelles pathogènes. «De plus,pour la première fois aumonde, le système permetaussi de revêtir des tuyaux enplastique», ajoute Werner Näf.

Des exigences plus sévèresen matière de qualitéJusqu’ici, les entreprises d’as-sainissement étaient unique-ment tenues de procéder à desautocontrôles des prescrip-tions légales. En dépit de cetteobligation d’autocontrôle, desdégradations de la qualité del’eau suite à des assainisse-ments avec de la résine époxyont été constatées à plusieursreprises. Le problème le plus

fréquent est la migration de substances(par exemple de bisphénol A) du maté-riau de revêtement vers l’eau potable. Encoopération avec les laboratoires canto-naux, l’Office fédéral de la santé pu-blique OFSP a établi aujourd’hui des

lignes directrices pour le contrôle de laqualité de l’eau potable. Il est exigé desfournisseurs qu’ils présentent des piècesjustificatives probablement d’ici fin 2013.Anrosan a déjà apporté toutes les preuvesnécessaires et passé tous les contrôlesavec succès.

Une entreprise familiale habitéed’un feu sacré et d’un grand espritd’inventionLe groupe Naef sis à Freienbach (SZ) estle leader mondial de l’assainissement desconduites par l’intérieur. Cette entreprisefamiliale compte un effectif de plus de70 collaborateurs très motivés. La nou-velle marque Naef Group regroupe lessociétés Näf Tech SA dans le secteur del’assainissement des conduites d’eau po-table et HAT-Tech SA, laquelle est spécia-lisée dans l’assainissement de chauffagesau sol.

www.naef-group.com

Une eau potable d’excellente qualité.

Tobler élargit son programme de pompes à chaleur: le modèle air-eau Panasonic Aquarea bi-bloc à haut rende-

ment veille à votre confort par tous les temps. En combinaison avec des capteurs solaires, il réduit l’exploitation

des ressources et les rejets de CO2 à un minimum. Réversible, le système Aquarea bi-bloc passe aisément en mode

rafraîchissement durant l’été: une innovation prometteuse apte à couvrir à tous les besoins – avec effi cacité et respect

de l’environnement.

Tobler Technique du Bâtiment SA, 8902 Urdorf, Steinackerstrasse 10T +41 44 735 50 00, F +41 44 735 50 10, [email protected], www.techniquedubatiment.ch

Elle ménage environnement et budget:la pompe à chaleur air-eau Aquarea bi-bloc de Panasonic.

Venez nous rendre visite!

Salon MaisonBoisEnergie Berne

21.11. – 24.11.2013

Halle 3.2, Stand F05

Page 48: Bâtitech 11-2013

46 bâtitech 11-13 produits

Succédant à la réussite de Happy D, icônedu design, cette série affiche son éléganceféminine. Son caractère unique est encoreune fois interprété avec une plus grandefinesse et davantage de clarté: Happy D.2fait entrer la douceur et la féminité desformes dans la salle de bains en y ajoutantdes fonctionnalités pratiques et des pointsforts technologiques.Un design caractéristique se retrouve surla géométrie des lignes de base de toutesles composantes de la série avec des bai-gnoires et des lavabos aux rebords réso-lument minimisés. Leur forme de basesymétrique offre de généreux volumesintérieurs entourés d’un rebord particu-lièrement fin.La console chromée, réglable en hauteur,amène le contraste à l’harmonie des for-mes. Douze modèles de lavabos et treizebaignoires composent la série. Ces der-nières offrent un grand confort grâce à latransition en douceur du rebord vers l’in-térieur et à l’inclinaison de la partie dor-sale. Différents systèmes balnéo peuvent

Elégance par excellenceHappy D.2 fait entrer la douceur des formes dans la salle de bains

Le design épuré et architecturalest de plus en plus recherché pourla salle de bains. Pas étonnant,car il est moderne et classique.Mais avec Happy D.2, sa série com-plète de salle de bains, Duravitdémontre que les lignes doucesy trouvent aussi leur place.

être installés en option pour dispenserun massage bienfaisant ou relaxant.La forme douce et féminine de HappyD.2 est aussi parfaitement mise en valeursur les meubles. La finition décorée façontoile de lin donne une impression parti-culièrement riche grâce à sa structure enprofondeur avec – comme son nom l’in-dique – un toucher pratiquement naturelet semblable à celui du lin. Les consolesen bois de la série sont extraplates avec,sur le devant, une épaisseur visible detout juste 12 mm. La série comporte éga-lement des étagères murales filigranes delargeur variable.La cuvette de WC et le bidet peuvent euxaussi être qualifiés de féminins et chics.Ces appareils en céramique reprennent leprincipe des formes extérieures compac-tes. La gamme offre aussi bien des cu-vettes de WC et des bidets sur pied quesuspendus. Soulignant l’élégance clas-sique et plate de la cuvette, l’abattant estpourvu du système «Softclose» de ferme-ture amortie.Les miroirs sont équipés d’un bandeaulumineux filigrane. Bénéficiant d’unetechnologie innovante, un éclairage indi-rect à diodes électroluminescentes per-met d’obtenir une lumière homogène,non éblouissante et de couleur agréablequi éclaire parfaitement le visage.Duravit a mis au point une sonorisation(en option) adaptée aux armoires de toi-

lette. Elle offre une excellente tonalitéspécialement étudiée pour une utilisa-tion en salle de bains. Le contrôle de lamusique en continu fonctionne conforta-blement via tous les périphériquescompatibles bluetooth. Ce système desonorisation convient également auxgrands projets grâce à un ciblage claire-ment défini.Happy D.2 est ainsi très bien parti pourcontinuer sur la voie royale tracée par sonprédécesseur et avec un rapport qua-lité/prix des plus raisonnables.

www.duravit.ch

A propos

Dessinée par Sieger Design, HappyD, la série à succès de Duravit, adéfini en 1998 lors de son lance-ment un archétype unique en songenre fait de concision et de clarté.La forme classique et architecturaleà la fonctionnalité pratique a assuréà cette icône du design une placede choix dans l’assortiment de Du-ravit. En 2013, Happy D.2 réaffir-me son ambition de classique tour-né vers l’avenir.

Page 49: Bâtitech 11-2013

produits bâtitech 11-13 47

Mise en service réussie du premierascenseur à énergie solaire

Le prototype d’un ascenseur du modèleSchindler 3300 alimenté par de l’énergiesolaire a été installé dans un bâtiment decinq étages au Barrio Garcia. Selon EricRossignol, R & D System Project Managerchez Schindler, «notre solution tech-nique fonctionne parfaitement: les mo-dules solaires situés sur le toit chargentune batterie, et un gestionnaire d’énergieintelligent transmet cette énergie renou-velable à l’ascenseur. Le prototype deBarcelone nous a permis de découvrir deséléments intéressants et montré ce qu’ilest encore possible d’améliorer – et nousmettons actuellement en œuvre toutesles connaissances acquises.» Suivant lafréquence d’utilisation journalière del’ascenseur, le prototype installé peut,à l’heure actuelle, fournir en moyenneannuelle autant d’énergie solaire quenécessaire pour couvrir près de la moitiédes besoins énergétiques de l’ascenseur.Les besoins restants sont couverts à partirdu réseau. Lorsque l’énergie fournie parles modules solaires sur le toit n’est pasnécessaire, elle est emmagasinée dans desbatteries jusqu’à utilisation. Sinon, elle

Schindler: ascenseur à énergie solaire

C’est une première: Schindler teste à Barcelone un ascenseur à énergiesolaire, l’objectif visé par ce développement étant de pouvoir couvrirainsi l’intégralité du besoin en électricité des ascenseurs dans les bâti-ments résidentiels et dans les petits bâtiments commerciaux. Il en résulteune diminution significative des coûts d’exploitation pour les proprié-taires des bâtiments concernés.

peut servir à l’approvisionnement énergé-tique d’autres applications dans le bâti-ment. Les modules sur le toit sont suffi-samment grands pour garantir uneénergie suffisante au fonctionnement del’ascenseur, même en hiver pendant lesjournées moins ensoleillées.Difficile de dire combien de temps ilfaudra encore au marché pour s’intéresseraux ascenseurs à énergie solaire, mais leprototype précité constitue incontesta-blement un grand pas en avant. PourAlain Garrigue, EU-S NI/MOD BusinessManager et défenseur passionné de ceconcept, «c’est l’engagement de Schindlerenvers l’avion solaire expérimental SolarImpulse qui nous a inspirés pour ce pro-jet. Le secteur automobile, avec ses mo-dèles hybrides, nous a montré commentfaire… A notre tour de repousser sanscesse les limites de la technologie afin degarder une longueur d’avance et d’être enmesure d’offrir à notre clientèle des solu-tions de mobilité toujours plus dura-bles.»

www.schindler.ch

Conception, Réalisation, DécompteCompteurs d‘energie thermique, de froid et

d‘eau enregistrement des données individuelles

sur site, par bus ou par ondes radio.

Simple, précis, fiable.

Depuis 1988 fortement recommandé

Rapp Wärmetechnik AG | Dornacherstrasse 210 | 4018 Bâle

Téléphone +41 61 335 77 44 | Fax +41 61 335 77 99 | www.rapp.ch | [email protected]

(Photos: Maria Latov Gonzalez)

Page 50: Bâtitech 11-2013

48 bâtitech 11-13 produits

Qu’il s’agisse de neuf ou de rénovation,le nouveau Zehnder ComfoAir SL 330compact offre une solution de ventila-tion idéale dans un espace réduit con-venant aux logements à usage locatif ouen copropriété de même qu’aux maisonsà une ou plusieurs familles. Avec ses

Un paquet musclé et silencieux dans l’armoire Zehnder ComfoAir SL 330

Le spécialiste du climat ambiant Zehnder propose avec son nouveaumodèle ComfoAir SL 330 un appareil de ventilation compact qui se prêtede manière idéale à une implantation dans un endroit exigu. En effet,partout où une ventilation tout confort est judicieuse et qu’il y a peu deplace à disposition, ce système performant de petite dimension trouveaisément sa place dans chaque armoire à encastrer standard ou dansune niche.

535 mm de largeur sur 545 mm de pro-fondeur pour une hauteur variant entre1900 mm et 1950 mm grâce au socle demontage, le Zehnder ComfoAir SL 330 seloge aisément dans les armoires encas-trables standard de la cuisine, de la sallede bain ou du hall d’entrée.

L’amortisseur de bruit pour un fonction-nement quasi silencieux est déjà intégrédans ces dimensions. En même temps,cet appareil très performant est dotéd’une efficacité énergétique optimale: ilest en effet capable de pulser 330 m3

d’air par heure pour une pression exté-rieure de 280 Pa.Avec un degré de récupération d’humi-dité pouvant aller jusqu’à 70 %, l’échan-geur de chaleur à enthalpie crée une hu-midité de l’air ambiant agréable et, grâceà un degré de récupération de chaleur dé-passant les 80 %, il réduit sensiblementles frais de chauffage. Pour les journéesde grandes chaleurs, ComfoAir SL 330dispose d’un by-pass d’été empêchant unréchauffement excessif du bâtiment dufait de la récupération de chaleur.Equipé de ventilateurs à faible consom-mation d’énergie, l’appareil atteint uneefficacité électrique de 0,26 W pour 290m3/h. Ceci signifie qu’en comparaisonavec les économies en frais de chauffage,la consommation d’électricité se réduit àun minimum. Une isolation acoustiquehautement efficace et des ventilateurs ECà courant continu travaillant de manièretrès discrète garantissent une exploitationquasi silencieuse de la ventilation toutconfort.Avec le nouvel appareil de ventilationcompact Zehnder ComfoAir SL 330,l’aménagement de l’appartement pourrase faire en toute liberté: en effet, ne res-tent visibles que l’organe de commandeet les grilles design des entrées et des sor-ties d’air pulsé, resp. d’air vicié. Le nouvelorgane de commande Zehnder Comfo-Sense s’inscrit avec élégance dans l’archi-tecture intérieure du bâtiment au moyend’un cadre choisi dans la ligne designEdizioDue de Feller. Tous les composantssont aisément accessibles pour faciliterles travaux d’entretien et les filtres peu-vent être remplacés aisément en peu detemps. En outre, la construction modu-laire du système permet un montagesimple et rapide.

Zehnder Comfosystems Cesovent AGCH-8820 WädenswilTél. 043 833 20 20www.zehnder-comfosystems.ch

Le nouvel appareil de ventilationtout confort Zehnder ComfoAirSL 330 est un véritable génie del’espace: en effet, grâce à sataille réduite, il trouve sa placedans les armoires encastrablesstandard de la cuisine, de lasalle de bain ou du hall d’en-trée. L’aménagement de l’appar-tement peut se faire en touteliberté: ne restent en effetvisibles que l’organe de com-mande et les grilles designdes entrées et des sorties d’airpulsé et vicié.

L’appareil de ventilation compact et performant Zehnder ComfoAir SL 330 tout confort s’adapteaisément dans chaque armoire encastrable standard ou dans une niche pour économiser de laplace. L’échangeur de chaleur à enthalpie intégré avec récupération d’humidité permet uneagréable humidité de l’air ambiant et les amortisseurs de bruit assurent un fonctionnement quasisilencieux. La construction modulaire facilite en outre le transport ainsi que le montage.

Page 51: Bâtitech 11-2013

produits bâtitech 11-13 49

Mise en œuvre universelleTRI-FLAT South et TRI-FLAT East-westsont composés d’éléments en aluminiumet en acier inoxydable A2 de haute qua-lité. Ce système de montage pour toits enterrasse est optimisé au niveau du lestageet pour le transport, ses châssis ont unangle d’inclinaison de 10 ou 15° et ilpeut être posé en orientation sud ou est-ouest. Il est parfaitement adapté à unepose sans perçage du toit sur terrasses àfilm d’étanchéité, en béton ou recouver-tes de gravier ou bien végétalisées sursubstrat, avec une inclinaison maximalede 5°.

Economie de temps de poseTRI-FLAT presque sans vis! Un systèmetrès simple d’encliquetage d’élémentsprépercés allié à un montage prati-quement sans outils confère efficacité etfacilité de pose en un temps record, unavantage décisif sur les grands toits enterrasse. En mode paysage, les panneaux

Nouveau système de montage ultra-efficace TRITEC / TRI-FLAT

D’une extrême légèreté, il est gerbable, optimisé pour le transport etsurtout, il peut être posé avec un minimum de manutention en un tempsrecord! Ce sont là les principaux avantages du nouveau système demontage PV pour toits en terrasse de TRITEC. Le système sera disponibleà partir de septembre dans sa version TRI-FLAT South pour la pose enorientation sud et TRI-FLAT East-west pour l’exposition est-ouest.

à cadres se fixent tout simplement parencliquetage, système particulièrementattractif, simplifiant tant la logistique quela manutention sur le chantier. Le nom-bre limité d’éléments et leur faible lon-gueur (< 1,20 m), permet le condition-nement sur europalettes et le gerbage,autre atout maître pour l’optimisationdes coûts.

Eprouvé dans la pratiquesur un projet de 5,2 MWTRI-FLAT South a été mis en œuvre avecun succès reconnu dans un projet de trèsgrande ampleur. Cette année, le systèmea permis de réaliser une centrale de5,2 MW sur le toit de la société Migros-Verteilbetrieb Neuendorf AG. Grâce à lastructure porteuse plate TRI-FLAT à faiblelestage, et en optimisant l’exploitation del’étude statique des différents toits, unepuissance 60 % supérieure aux prévisionsa pu être installée. Grâce à la forme aéro-dynamique du système, notre centrale

solaire a résisté sans faillir à un test derésistance grandeur nature, à l’occasiond’une forte tempête avec des vents dépas-sant les 100 km/h sur les toits culminantà 25 m de hauteur.

TRITEC Services AGCH-4123 AllschwilTél. 061 699 35 39www.tritec-energy.com

Info

Ohnsorg et fils SAchaussée de Treycovagnes 171400 Yverdon-les-Bains

Tél. 024 446 10 20Fax 024 446 10 22

[email protected]

Respirez un airmeilleur grâce àl`évacuation

AERATION

Produit de qualité suisse(Photos: Tritec)

Page 52: Bâtitech 11-2013

50 bâtitech 11-13 produits

Lützelflüh, dans l’Emmental, doit essen-tiellement sa renommée nationale àAlbert Bitzius, un prêtre renommé qui yvécut de 1831 à sa mort, en 1854. Il aécrit plus de septante livres sous sonpseudonyme littéraire Jeremias Gotthelf.La plupart de ses romans et récits ont vule jour dans son étude au premier étage.Pendant des décennies, seul un modestemusée isolé dans une dépendance évo-quait le grand écrivain. Une telle discré-tion ne reflétait nullement l’importance

Gotthelf se pare d’un ascenseur magiqueMusée Jeremias Gotthelf

Le presbytère de Lützelflüh, dans l’Emmental, a été transformé, il y aun an, en musée à la mémoire du poète Jeremias Gotthelf, son pension-naire le plus illustre. A cette occasion, une annexe moderne dotéed’un ascenseur Magic est venue se greffer sur le bâtiment datant de lafin de la Renaissance.

de cet ecclésiastique éloquent, qui atransformé la vie rurale et agricole de sarégion en un pilier de la littérature mon-diale.A l’occasion des cérémonies commémo-ratives du 150e anniversaire de la mortdu poète, en 2004, les admirateurs deGotthelf ont décidé d’y remédier: le pres-bytère deviendrait un véritable CentreGotthelf. Un crédit de trois millions defrancs octroyé par le gouvernement deBerne en 2005 a donné le coup d’envoidu projet «Centre Gotthelf». La Fonda-tion Jeremias Gotthelf a été mise sur pieden vue de sa réalisation. Les obligationsliées aux monuments historiques ont en-traîné une phase de planification inhabi-tuellement longue. De fait, le presbytèreconstruit en 1655 est considéré commeun témoin historique de la Renaissancetardive. Le 13 janvier 2012, le chef deprojet Heinrich Schütz a finalement reçule feu vert pour commencer les travaux.Après seulement sept mois de travaux,la Fondation a finalement inaugurél’ouverture du nouveau Centre Gotthelfle 11 août 2012.

Un bijou sous le toitLe musée dédié au poète se trouve dansles pièces du rez-de-chaussée aménagéesdans le style Biedermeier. Au fil despièces, les visiteurs découvrent commentle poète a vécu avec sa famille, où il atravaillé et où il a accueilli de nombreuxinvités parfois prestigieux. Des haut-parleurs et des écrans permettent de com-parer les textes originaux, au même titreque des séquences audio et vidéo no-tamment tirées de «Uli le valet de ferme»ou «Anne Bäbi Jowäger».L’étage supérieur accueille le quatre-pièces destiné au directeur du musée. Lescombles aménagés sont majestueux. Lacharpente de 350 ans magnifiquementconservée surmonte une grande salle.Cette pièce somptueuse équipée de maté-riel de conférence dernier cri peut êtreutilisée à des fins publiques et privées.Le presbytère a en outre reçu une annexetout en sobriété. L’architecte Reto Gsell aconçu un cube moderne qui se distinguedélibérément des façades historiques parsa baie vitrée en façade. L’annexe accueil-le l’ensemble de l’infrastructure: caisse,cafétéria, vestiaires, WC, locaux tech-niques, entrepôt et administration. «Ins-taller ces équipements dans l’annexenous a permis de ne pas dénaturer l’an-cien presbytère», souligne HeinrichSchütz. Le nouvel ascenseur, un Magic, ajoué un rôle décisif à cet égard. Grâce à safaible hauteur de tête de gaine, il réussitle grand écart entre les exigences entermes de conservation du patrimoinehistorique et de verticalité totale. Cette«tour de verre» établit une passerelle raffi-née entre le presbytère historique et l’an-nexe moderne. L’ascenseur s’arrête auxcinq paliers qui donnent accès à tous lesétages des deux bâtiments. De plus, lacabine spacieuse offre suffisamment deplace pour une personne en chaise rou-lante et son accompagnateur. Elle permetd’accéder partout, confortablement etsans entrave.

AS Ascenseurs SACH-1052 Mont-sur-LausanneTél. 021 654 76 76www.lift.ch

Le musée Gotthelf après la rénovation: une symbiose lumineuse entre histoire et modernité.

L’ancien bureau du poète fait désormais partie du musée.

Page 53: Bâtitech 11-2013

partie technique bâtitech 11-13 51

En cas de danger, stoppez le travail. Pensez à votre famille. Bien que l’amiante soit

aujourd’hui interdit en Suisse, on en trouve encore souvent dans les ouvrages construits

avant 1990. Evitez la libération d’amiante en cas de travaux de transformation. L’inhalation

de fibres d’amiante peut avoir des conséquences mortelles, même en très faible quantité.

Aucun travail ne vaut la peine de risquer sa vie.

L’amiante est dangereux pour la santé.

Contrôlez la présence d’amiante dans

les ouvrages construits avant 1990.

Infos vitales:

www.suva.ch/amiante

Page 54: Bâtitech 11-2013

52 bâtitech 11-13 produits

Le chauffe-eau pompe à chaleur Nuos deDomotec associe une pompe à chaleur etun chauffe-eau de 200, 250 ou 300 litres.Suivant le type d’installation choisi, ilutilise l’air du local ou l’air extérieur pourproduire de l’eau chaude. Son efficacitéénergétique peut se mesurer au moyendu coefficient de performance COP.Nuos présente un COP se situant entre3,1 et 3,7 – suivant la température de l’airambiant (selon la norme énergétiqueEN 255-3). Cela signifie qu’avec 1 kW decourant consommé, il génère une puis-sance de chauffage de 3,1 à 3,7 kW. Par

Le nouveau chauffe-eau pompe à chaleur Domotec SA – Nuos

L’énergie est un bien de plus en plus précieux et coûteux. La gestionéconomique de l’énergie et l’utilisation judicieuse des énergies renouve-lables, associées à une augmentation du confort, du bien-être et dela sécurité, tout ceci répond aux exigences actuelles, dans le secteurde la construction et de la rénovation des bâtiments également. Avec lechauffe-eau pompe à chaleur Nuos, Domotec propose une nouvellealternative à faible consommation en courant comparé à un chauffe-eauélectrique traditionnel.

rapport à un chauffe-eau élec-trique traditionnel, on peutréaliser ainsi une économied’énergie annuelle d’environ70 %.En plus de performances éner-gétiques remarquables, Nuosprésente encore d’autres avanta-ges: il assure une récupérationactive de la chaleur, a un fonc-tionnement très silencieux, serègle aisément, est puissant etn’occupe que peu d’espace.En outre, il est disponible enquatre versions différentes: avec200 ou 250 litres de conte-nance, ou bien avec une conte-nance de 250 litres et un échan-geur thermique supplémentaireou avec 300 litres de conte-nance en version Split.

Nuos dans la pratiqueLe chauffe-eau pompe à chaleur Nuos deDomotec est conçu pour des ménages dedeux à cinq personnes. Dans un air am-biant d’une température jusqu’à – 5 °C ilproduit – et ce, sans chauffage d’appoint– de l’eau chaude pouvant avoir jusqu’à62 °C. Dans ces conditions, il est pos-

sible de consommer 360 litres d’eauchaude avec le modèle SWPL 200, et 455litres d’eau chauffée à 40 °C avec le mo-dèle SWPL 250.

Intégration intelligenteNuos peut être employé de nombreusesmanières: en utilisant l’air extérieur oualors en l’installant dans la buanderie ouà la chaufferie, ce qui permet de mettre àprofit la chaleur produite par le sèche-linge ou le local de chaufferie. Une autreinstallation envisageable: intégrer Nuosà un local servant d’entrepôt dans lequelle chauffe-eau assure le rafraîchissementet la déshumidification en amenant l’airfrais d’une pièce annexe.

www.domotec.ch

Page 55: Bâtitech 11-2013

produits bâtitech 11-13 53

Du 5 au 8 septembre plus de 600 expo-sants ont présenté leurs nouveaux pro-duits à la foire de Zurich, Bauen & Mo-dernisieren. Sous les feux de la rampeSwissdouche Creative s’est démarquédans le domaine de la salle de bain per-sonnalisée. Ici les visiteurs ont pu se faireune image des multiples secteurs d’appli-cations et découvrir les nouvelles cou-leurs et impressions pour les habillagesde parois en verre.Parfaitement lisse, réalisé en une couléeet sans éléments de montage visibles, cerevêtement en verre trempé de sécurité sefond à merveille dans n’importe quellepièce, tout en y ajoutant une touche delégèreté et un côté indémodable. Mais cetélément n’a pas que des qualités esthéti-ques puisqu’il se caractérise aussi par unedurée de vie particulièrement longue etune grande simplicité d’entretien. En ef-fet, le verre n’absorbe ni l’humidité, niles odeurs, ne perd pas sa couleur et esttrès facile à nettoyer. Sans compter quel’application Easy to Clean de Swissdou-

Une harmonie parfaite entre esthétique et fonctionnalité Revêtements muraux en verre Swissdouche Creative

Rares sont les domaines de planification qui ont connu autant dechangements que l’aménagement des espaces sanitaires et bien-être cesdernières années. Outre l’hygiène, le bien-être, le confort et l’esthétiquejouent aujourd’hui un rôle toujours plus important. La «salle d’eau»dans laquelle on reste le moins longtemps possible a fait son temps.Conséquence logique: une demande pour de nouvelles solutionset de nouveaux matériaux.

che Creative ne laisse aucune chance auxsaletés et aux germes. Même les gouttesd’eau s’écoulent sons forme de perles à sasurface et ne forment ainsi pas de dépôtsde calcaire. Ce revêtement mural est aussiparfaitement résistant aux griffures.

Domaines d’application variés etpossibilités de conception illimitéesSwissdouche Creative peut être montésur tous les types de surfaces. Sa surfaceopaque permet également de recouvrirdes carrelages ou de cacher d’anciens re-vêtements muraux, facilitant ainsi consi-dérablement l’assainissement des sallesde bain. Ce revêtement mural en verrepeut être installé partout dans une sallede bain ou mettre en évidence certainséléments tels qu’une paroi de douche ouun lavabo. En combinant ces revê-tements avec des éléments en verre (parexemple dans des chambres à coucher), ilsera possible de réaliser des aména-gements homogènes et harmonieux.Swissdouche Creative est aussi parfai-

tement approprié pour des applicationssur de grandes surfaces, comme dans lesespaces bien-être des hôtels. Ces revê-tements muraux en verre offrent en effetdes possibilités de conception prati-quement illimitées. Il est ainsi possiblede choisir entre 18 couleurs différentesallant de teintes plutôt classiques, tellesque le gris argenté, à un bleu nuit élé-gant, en passant par des couleurs plusfraîches telles que jaune or. Il est éga-lement possible, sur demande, de choisirdes couleurs créées selon ses désirs. Lasurface de ces revêtements est disponibleen exécutions mate, brillante ou mate sa-tinée avec des reflets.Les verres Swissdouche peuvent aussi êtreimprimés avec des motifs à choix. Desdécoupes réalisées au millimètre prèsdans la surface du verre permettent parailleurs un raccordement très précis desgarnitures. Pour chaque produit: entre leconseil personnalisé et la prise des mesu-res jusqu’à la réception sur place, ils’écoule, en règle générale, un maximumde 15 jours ouvrables. Swissdouche Crea-tive est exposé dans des showrooms ré-gionaux dans toute la Suisse.

Glas Trösch SACH-1030 Bussigny CH-1630 BulleTél. 021 702 08 40 Tél. 026 619 66 80

Parfaitement lisses, les revêtements murauxSwissdouche Creative laissent une impressionglobale harmonieuse.

Les surfaces mates satinées avec refletsSwissdouche Creative de Glas Trösch offrentune apparence particulièrement élégante.

Swissdouche Creative peut recouvrir des sur-faces entières dans toute la salle de bain.

Page 56: Bâtitech 11-2013

54 bâtitech 11-13 produits

Nous vieillissons différemment. Pas uni-quement parce que notre espérance devie augmente d’année en année et que lespersonnes âgées de plus de 90 ans nesont plus si rares, mais aussi parce quenous demeurons plus longtemps enbonne santé et agiles. Deux élémentssont essentiels pour conserver ces qua-lités de vie le plus longtemps possible:l’indépendance et la mobilité. Artwegerrépond exactement à ces deux attentesavec sa solution pour la salle de bain dedemain: sans barrières infranchissables,fonctionnelle et esthétique.

Sécurité et mobilité garanties dans la salle de bainVivre chez soi, le plus longtemps possible avec Artlift d’Artweger

Nous nous préoccupons des soucis du quotidien uniquement au momentoù les gestes simples, comme prendre un bain par exemple, commencentà poser problème. Artlift, le premier modèle combiné douche/baignoireavec siège autoporté conçu par Artweger, garantit la mobilité à domicile –précisément au moment où l’on en a le plus besoin.

Le principeArtlift est un combiné douche/baignoireéquipé d’un siège autoporté tout confort.On y accède sans effort grâce à une portes’ouvrant quasiment au niveau du sol. Ilsuffit ensuite de refermer la porte et dedéployer le siège pour s’y installer. L’utili-sateur n’aura qu’à laisser le siège autopor-té tout confort s’enfoncer lentement pen-dant que l’eau remplit la baignoire,jusqu’à ce qu’il atteigne une positioncouchée très agréable. Ce mouvement sedéclenche à partir d’un bouton placé surle bord de la baignoire. Au moment où

l’on souhaite sortir, une simple pressionsuffit pour mettre le siège autoporté enmouvement tout doucement afin qu’il re-trouve sa position initiale. Et lorsque lesiège autoporté tout confort devient su-perflu, il suffit de le refermer pour l’uti-liser comme dossier.

Priorité à la salle de bainpour tout aménagement visantà optimiser l’accessibilitéL’étude menée par la GfK Austria, unesociété autrichienne d’études de la con-

Pression adéquate……que ce soit au 1er sous-sol ou au 12e

étage, les installations de surpression

Häny veillent à la pression requise afi n

que l'eau soit toujours et partout dispo-

nible.

Quelles que soient les questions de sur-

pression qui vous préoccupent, vous

n'avez plus de souci à vous faire. Un

appel à Häny, et vos problèmes seront

résolus. En tant que fournisseur de sys-

tèmes dans la technique domestique,

nous avons toujours la solution qui vous

convient.

Nous y veillons.

Häny SA - Pompes, turbines et systèmes • Buechstr. 20 • CH-8645 Jona

Tél. +41 44 925 41 11 • Fax +41 44 923 38 44 • www.haeny.com

Artlift – siège autoporté.

Page 57: Bâtitech 11-2013

produits bâtitech 11-13 55

sommation, prouve qu’Artlift est un produit fonctionnel d’avenir.Pour 81% des personnes interrogées, la raison essentielle motivantla rénovation de son appartement ou de sa maison pour les adapteraux besoins d’une personne âgée est le souhait de profiter le pluslongtemps possible de la vie à domicile. Pour cela, il faut donc dis-poser d’une salle de bain que l’on pourra également utiliser sansproblème lorsque l’âge se fera sentir.

Anticiper l’avenir pour jouir du meilleur confort possibleSe décider suffisamment tôt à l’avance à faciliter et à améliorer sonquotidien s’avère payant. Le client qui rénove sa salle de bain sansavoir encore peut-être besoin de toutes les fonctionnalités offertes parArtlift peut choisir de faire poser un kit de préinstallation pour lecombiné douche/baignoire, dossier inclus. Il n’aura plus qu’à faireinstaller le siège autoporté tout confort le jour où il en aura vraimentbesoin.

Un design priméCette fonctionnalité, associée aux lignes épurées typiques du designd’Artweger, a déjà permis à la société d’obtenir trois prix: avec le DE-SIGN PLUS Award, Artweger s’est vu octroyer «un label de qualitépour les produits associant un fort potentiel d’avenir, un design inno-vant et une technologie efficace en matière d’énergie». Artlift a éga-lement été récompensé par un universal design award – à double ti-tre: le jury d’experts tout comme le panel de 100 consommateurs ontplébiscité le design du produit innovant d’Artweger.

La vidéo d’Artlift peut être consultée ici:http://www.artweger.at/de/service/videos/artlift

Artweger GmbH & Co. KG

L’entreprise familiale autrichienne Artweger dont le siège estsitué à Bad Ischl, un fournisseur haut de gamme de parois dedouche et de douches multifonction, emploie 250 personnes.Avec le développement de la ligne Twinline en 2005, un sys-tème combiné douche/baignoire inédit, la société Artweger aréussi à introduire une nouvelle catégorie de produits sur lemarché des sanitaires. De nombreuses parois de douche sontproduites dans l’usine de Bad Ischl, la moitié d’entre ellessont destinées à l’export.www.artweger.at

Vous bénéficiez d‘un intérieur bien chauffé. Et la pompe Mini-Energie de Biral fait circuler l‘eau chaude. Avec la meilleure efficacité!

Près de 10% de la facture d‘électricité de la maison est dû au circulateur de chauffa-ge. Bien plus de la moitié de ces frais d‘énergie peuvent être économisés avec la pom-pe Mini-Energie AX de Biral. La série AX offre la plus haute

efficacité énergétique. Grâce à un rendement jusqu‘à 4 fois plus grand et à une consommation d‘électricité jusqu‘à 80% inférieure. Davantage sur le nouveau champion en matière d‘efficacité sous: www.biral.ch

Conseil et vente:Hoval AG www.hoval.ch

Plus qu’une pompe

Artlift – le premier combiné douche/baignoire avec siège autoporteur intégré.(Copyright © Artweger & Co. KG)

Page 58: Bâtitech 11-2013

56 bâtitech 11-13 partie technique

Les journées de séminairene sont pas remplaçablesComme il y a des programmes spéciauxpour chaque groupe professionnel, lesséminaires ne traitent plus de généralitéset ne se conservent plus comme avant.Chauffage, ventilation, techniques du bâ-timent, sécurité, gestion des installations– il y a des séminaires pour chaque corpsde métier. Contrairement aux formationsorganisées par des fournisseurs, qui elles,sont habituellement quelque peu subjec-tives et ne sont de temps en temps quepromotions et publicités, tandis que dansles séminaires dits ouverts, les objectifsdes conférenciers sont d’autant plus ob-jectifs. Suivre de tels séminaires coûte del’argent, mais justement cela met le parti-cipant sous pression et il se sent obligéd’apprendre la matière enseignée. L’ex-cuse d’être trop vieux pour suivre des sé-minaires ou de rencontrer des concur-rents empêche souvent un candidat des’inscrire à un séminaire. Celui qui setrouve trop vieux ou trop parfait poursuivre une formation reste figé dans sondéveloppement personnel.Après que l’on ait décidé d’arrêter, il estsouvent trop tard et très pénible, techni-quement, de combler le retard. Parfois,les personnes se rendent compte de la

Gestion des connais-sances: les séminairessont des chances

Rolf Leicher,

entraîneur en communication

Formations professionnelles, séminaires, cours: rien en dehors des frais?

Actuellement, un certain «ras-le-bol» des séminaires se fait sentir;de nombreux employés renâclent à assister à des séminaires etessayent de trouver d’autres canaux pour mettre à jour leurs con-naissances. La réticence à suivre le séminaire peut aussi s’expliquerpar l’absence du participant sur son lieu de travail. Avec lespénuries actuelles de personnel, les entreprises sont dépendantesde la présence continue des collaboratrices et collaborateurs.

nécessité de suivre un séminaire seule-ment lorsqu’elles sont confrontées à unprojet difficile. Cela crée pression etstress et ce serait une coïncidence si en cemoment même un séminaire qui traitede la rubrique appropriée est annoncé!Les connaissances acquises lors de sémi-naires sont importantes même si vous

n’avez pas encore besoin de les appliquer(connaissances en réserve).Enfin, les clients sentent aussi l’état ac-tuel de vos connaissances, de sorte quevous pouvez les impressionner et évitercertaines plaintes. La compétence profes-sionnelle est l’une des principales atten-tes des clients les plus exigeants.

Vérifier les offresLa présentation sur Internet et les bro-chures sur papier glacé des prestataires deséminaires promettent beaucoup – maisprendre la bonne décision n’est pas fa-cile. Celui qui veut opter pour un bonséminaire a souvent du mal. Outre lacomparaison des prix des différents pres-

Fréquenter des cours de formation continue donne l’occasion une fois de plus de donnerun aperçu plus large du contexte. (Photo: thinkstock)

Page 59: Bâtitech 11-2013

partie technique bâtitech 11-13 57

tataires, il convient également de savoirsi le référent est accessible aux partici-pants après l’événement. L’organisateurdonne-t-il des informations par avance?Il faut également voir avec l’Institut s’il ya un rabais pour les inscriptions multi-ples. Sur Internet, il y a souvent une paged’accueil du conférencier. Regardez le su-jet avec soin, vérifiez par un simple télé-phone si vos attentes seront satisfaites.

Un taux de conformité de 80 % justifiel’inscription au séminaire.Dans l’évaluation du personnel, il y aune différence cruciale entre savoir si lesgens sont intéressés par la formation con-tinue et accepter les offres.Seuls ceux qui travaillent constamment àleur développement auront à l’avenir unechance sur leur lieu de travail. La forma-tion continue vise à maintenir, à amé-liorer et à élargir les compétences de cha-cune et chacun dans ses activités actuellesou futures. C’est principalement dansl’intérêt du management.Ce sont les responsables des ressourceshumaines et les dirigeants qui détermi-nent qui, parmi les employés, a besoinde formation et qui désire en savoirencore plus. Chacun peut exprimer sessouhaits à la direction du personnel, leservice RH organisera des plans de for-mations continues.Les responsables des départements ont latâche de planifier, avec le départementdes ressources humaines de l’entreprise,

quels employés doivent se qualifier. Il estmême possible d’imposer des mesures deformations continues (séminaire obliga-toire).

Thèses sur la gestiondes connaissances• Etant donné que les méthodes de tra-

vail évoluent, la formation sera obliga-toire avant que l’employé, lui-même,ne remarque ses lacunes notables. Laconnaissance ne doit pas devenir obso-lète.

• Les connaissances professionnelles nesuffisent plus. La formation des em-ployés exige d’anticiper aujourd’huidéjà de ce qui se passera demain et detravailler constamment dans la bonnedirection.

• La formation continue est devenue unpassage important dans le domaine dutravail; la politique du personnel estl’une des tâches essentielles de la ges-tion d’entreprise.

• La formation obligatoire exige de tousune forte volonté d’apprendre et demodifier ses habitudes, indépendam-ment des expériences de travail déjàfaites.

Toute entreprise peut contribuer à traversses «activités pédagogiques», à permettrela préparation d’apprentissage pour un

groupe d’employés, ainsi que fixer desobjectifs de l’éducation, éveiller desmotifs de formation et offrir un pro-gramme éducatif. La connaissance doitêtre disponible pour autant d’employésque possible. Elle ne profite pas seu-lement qu’à une seule personne, maisplutôt, grâce à la collaboration, à ungrand nombre.

Concept «Programmed’enseignement annuel»

L’employeur doit préparer chaqueannée un programme de formationintéressant pour les employés et lesfuturs postulants. Il s’agit notam-ment de journées techniques, deséminaires/stages, si nécessaire, devisites d’expositions spécifiques. Lasituation personnelle des employéssera prise en compte.Une approche ciblée augmentera laréussite de l’individu et a un effetpositif sur l’image de marque. Lesentreprises avec le développementsystématique du personnel ont demeilleurs candidats pour les postesvacants.

Prendre des notes contribue à mieux struc-turer ses connaissances. (Photo: thinkstock)

Cela vaut-il la peine de s’inscrire?

Oui Non1. Suis-je prêt à parfaire mes connaissances? ❑ ❑

2. Est-ce que j’ai toujours affaire avec ce thème? ❑ ❑

3. Est-ce que je veux continuer à me qualifier? ❑ ❑

4. Suis-je positif vis-à-vis de ce séminaire? ❑ ❑

5. Le conférencier ou l’institut sont-ils connus? ❑ ❑

6. Est-ce que je suis soutenu par mon employeur? ❑ ❑

7. Est-ce que j’aurai le temps, après le séminaire, de m’entraîner et mettre mes connaissances en application? ❑ ❑

EvaluationPlus il y a de «oui» cochés, mieux c’est. Il faudrait un minimum de 5 «oui»avant que vous ne vous décidiez à vous inscrire. Plus vous serez en accordavec les conditions, plus vous serez motivé pour le suivre.Vous sentez-vous trop vieux pour une formation continue? Avez-vous peur queles autres participants en sachent plus que vous? Les connaissances n’ontrien à voir avec l’âge et on peut toujours s’améliorer, il n’y a pas de limites. Iln’y a que celui qui arrête d’apprendre qui est vieux. Pour suivre des sémi-naires, il n’y a pas d’âge idéal. Beaucoup croient que les séminaires ne sontpas utiles, si l’on est depuis longtemps dans la même entreprise. C’est aussifaux. Tous les participants profitent d’un séminaire.

Page 60: Bâtitech 11-2013

58 bâtitech 11-13 partie technique

La formation continue,une planification professionnelleLa planification comprend principale-ment des considérations à long terme.Tout d’abord, le budget est déterminé. Leservice du personnel, après avoir enregis-tré les désirs des individus, détermine lesthèmes spécifiques du séminaire, y com-pris le nombre de participants à ces con-férences et réunions. Les détails sont misen consultation auprès des chefs de dé-partements. Le séminaire est comptécomme une journée de travail, donc pasdéduit des jours de congé ou des heuressupplémentaires.Grâce à ce système généreux, chaque par-ticipant accepte, en échange, les résultatsdu séminaire. Il n’est pas évident quel’employeur paie les frais de cours, lesfrais de déplacement et d’hébergement.Les frais de séminaire engagés sont affec-tés aux dépenses personnelles de chaqueemployé.Les sujets du séminaire peuvent éga-lement être publiés à l’interne afin quel’employé n’ait pas à rechercher lui-même sur l’Internet. Le service du per-sonnel recueille les sujets des différentsprestataires et sélectionne. Les différentsfrais de participation doivent être consi-dérés comme secondaires; plus impor-tant sont: le bon sujet, les intervenants etle lieu du séminaire.

Les obstacles à la participationau séminaireLe manque d’intérêt des individus pourla formation continue affecte l’excès deconfiance des propres capacités. L’opi-

nion que vous avez de vosconnaissances est une réel-le tueuse de séminaire.Surtout lorsque les em-ployés plus âgés et expéri-mentés croient que la for-mation n’est plus unproblème pour eux. «Fina-lement, personne ne seplaint de moi!» Cela signi-fie alors souvent que cen’est pas le cas. Ensuite, ily a le fait du déplacement,de devoir peut-être dormirsur place et revenir plustard. Si tout cela est trop, iln’y a pas la motivation né-cessaire à la formation etc’est pourquoi il ne faudrapas poursuivre l’exercice.

Le refus de suivre un séminaire se poseaussi parce que les participants craignentcela puisse changer leurs habitudes detravail. Ou que les autres participantspuissent apporter des avantages sur le sa-voir et les embarrasser, voire les ridicu-liser.Celui qui ne voit pas la nécessité de seformer, se verrouillera ou se mettra lui-même sous pression. De surcroît, les col-lègues non participants soupçonnerontles participants au séminaire et critique-

ront les connaissances acquises. Un supé-rieur peut également craindre que sonpersonnel ne soit mieux formé que luiqui n’a pas assisté à la formation. Parailleurs, les participants assidus au sémi-naire peuvent aussi exprimer des com-pensations salariales. Si les attentes del’enseignement sont trop élevées et sou-vent irréalistes, le contenu du séminaireaboutit à la déception des participants.Trop souvent, il faudrait: un séminaire depremière classe, très proche, sans frais dedéplacement et ceci pour un prix d’entréetrès raisonnable. Les exigences élevées nedoivent pas conduire à ce que les partici-pants reçoivent des recettes patentées quisont réalisables immédiatement, sansavoir à investir de sa personne.

Promouvoir des employésLa formation ne doit pas être considéréecomme une récompense pour les bonsemployés, et seules certaines personnes yont accès. Tout supérieur qui exige beau-coup de ses employés doit également lesencourager. Le capital d’une société estson personnel; il est au courant des der-nières techniques et s’efforce de toujoursobtenir la perfection en un temps rapide.La personne qui a des lacunes dans sesconnaissances doit investir le doubled’efforts pour revenir à l’état actuel. Pourla formation, il n’y a pas de limite d’âgeet celui qui se sent trop vieux pour cela, ilne lui reste plus qu’à se retirer. Au coursdu séminaire, les participants peuventparfois rencontrer des personnes qui sonten concurrence avec eux et qui provien-nent de sociétés concurrentes. Cela peutcréer des phénomènes de blocage et em-pêcher de s’exprimer librement lors duséminaire. Est-ce que c’est une cause pourrenoncer à ce séminaire? Lors de l’ins-cription, il est impossible de connaître lenombre de participants et surtout quellesentreprises viennent. Et cela ne doit pasêtre un obstacle à la planification deséminaires.

Transfert sécurisé desconnaissances acquisesCertes, chaque participant prend avec luide précieuses suggestions et des idéespour sa pratique professionnelle. Maiscomment peut-il transférer le bénéfice dece séminaire? Comment appliquer lesnouvelles connaissances à la pratique? Ilne suffit pas de prendre beaucoup de no-tes détaillées au cours du séminaire.

Règles pour vousen tant que participant

1. Votre réussite personnelledépend essentiellement de vosemployés.

2. Participer à des discussions,poser des questions.

3. Prenez des notes pendant laconférence.

4. Dites ce que vous pensez.Cela doit être court.

5. N’interrompez pas la personnequi parle. Il faut toujours parlerseul.

6. Lors des discussions, soyezpatient et tolérant.

7. Vous pouvez également accep-ter et appliquer l’opinion desautres.

8. Rester dans le sujet.9. Eteignez complètement votre

Natel.10. Soyez ponctuel après la pause.

Pour la formation, il n’y a pas de limite d’âge et se trouver trop vieux, c’estabandonner. (Photo: thinkstock)

Page 61: Bâtitech 11-2013

partie technique bâtitech 11-13 59

Après le séminaire, il faut encore sedonner du temps et des occasions pours’exercer. Il est sage de lire les notes ànouveau environ une semaine après leséminaire. On devrait pouvoir se réserverun «quart d’heure tranquille» chaque se-maine.Le mieux serait que le supérieur prennedu temps pour interviewer les partici-pants au séminaire: «Y avait-il des sugges-tions intéressantes? Que peut-on changerdans notre service et quand?» La condi-tion importante est la ponctualité etéviter le départ prématuré. La nouvellemauvaise habitude pendant les exposés:vérifier son courrier sur son smartphone;la concentration sera réduite et la réussitedu séminaire mise en cause. Economisersur le coût et ne pas passer la nuit surplace doit être considéré individuel-lement. Car partir très tôt le matin àcause de la distance ne doit pas tropcharger la participation au séminaire.Un tueur typique de réussite d’un sémi-naire: le supérieur inscrit des employésintéressés afin qu’ils acquièrent de nou-velles connaissances, mais, ensuite, il

boycotte les nouvelles connaissances.Beaucoup reviennent enchantés et avecdes suggestions et des idées, mais ils netrouvent que peu d’intérêt de la part dusupérieur. Au cours du séminaire, cer-tains participants en viennent à se défierdans un esprit de compétition, parcequ’ils travaillent dans des entreprisesconcurrentes. Cela produit aussi de lé-gères inhibitions au sujet des questionsembarrassantes. La même chose s’appli-que pour les jeux de rôle. Autre particula-rité: lorsque vous vous inscrivez, vous nesavez pas combien de participants vousattendent. L’organisateur fait le plein deson séminaire (les limites de participantssont de plus en plus rares), tout est af-faire d’argent. Mais si très peu s’inscrivent(6 ou 8 personnes), le séminaire pour le-quel vous vous réjouissez sera rapi-dement annulé. Ce qui n’existe pas lorsde séminaires internes.

Agir en tant que prestataires deformationLe partage des connaissances peut aussifaire partie du marketing, lorsque les en-

treprises forment leurs propres clients. Laconnaissance que quelqu’un a acquiselors d’un séminaire peut être transmise àses clients, afin de fidéliser ces derniers.Après tout et pour rester à jour, vosclients sont souvent intéressés par l’inno-vation technique. Désormais, de plus enplus d’entreprises organisent une fois paran une journée pour leurs clients afin deleur transmettre leur savoir-faire, le toutsouvent lié à une visite du site. Ainsi, lesecteur «formation continue» fournit unoutil essentiel pour la promotion et leprofilage par rapport aux autres entre-prises. ■

Facteurs de motivation importants pourune formation cohérente

– Augmenter les possibilités d’avancementdans sa carrière

– Trouver des intérêts professionnels– Pouvoir se qualifier dans une spécialité– Augmenter la sécurité d’emploi

21 au 24 novembre 2013BERNEXPO, Berne

construction | construction en boisefficience de l’énergie dans la construction |modernisationMinergie® | Minergie-A® | Minergie-P ® | bâtiments énergie-plus | maison passive | CECBénergies renouvelables | stockage de l’énergie nouveau : bain | univers du bain | cuisines |architecture d’intérieur

Salon avec congrès pour professionnels et privés

AVEC LE SOUTIEN DE

Avant -RouilléPendant -

SabléAprès -Protégé

STOP AUX ATTAQUES DE ROUILLE ET CORROSIONpour une eau propre et fluide!

ch. des Cormiers 14 – 1470 Estavayer-le-LacT 026 664 00 04 – F 026 664 00 07

[email protected] – www.solutubes.ch

Garantie

15 ans

> Nettoyage mécanique par sablage.> Revêtement intérieur par résine (colmate même les perforations cuivre).> Protection anti-corrosion garantie, sans entretien ultérieur.> Idéal pour conduites d’eau sanitaire, de chauffage (également au sol), piscines, etc.> Equipe de professionnels, compétente, expérimentée et dynamique à votre service.

Page 62: Bâtitech 11-2013

60 bâtitech 11-13 partie technique

Les anciennes fenêtres, dans des bâti-ments non rénovés, permettent à 3–5fois plus de chaleur de s’échapper versl’extérieur que les vitrages bien isolés etconstruits selon les techniques actuelles.Des coûts de chauffage élevés sont at-teints et le confort reste plus que moyenpour de nombreux propriétaires; en plus,il est difficile de faire le bon choix lorsd’une rénovation. Sur le marché, il existedes doubles ou triples vitrages, diversmatériaux pour les cadres et lors du choixde nouvelles fenêtres, il faut tenir comptede tous les aspects, non seulement despertes de chaleur dues au vitrage, maisaussi celles provoquées par les cadres.Dans la pratique, il est usuel de taxer de«bonne» une valeur Uw de 1,3 et de «trèsbonne» si elle atteint 0,9.Mais il s’agit de ne pas seulement tenircompte de la valeur de la fenêtre. Il estessentiel que l’installation soit faite de fa-çon professionnelle avec un raccorde-ment approprié sur le mur. Il faut insistersur la qualité. En cas de doute, pourquoine pas consulter un expert?Avant de remplacer des fenêtres, il est im-portant de vérifier l’état de l’isolationextérieure. Si le mur est mal isolé, il fautabsolument, après le changement desfenêtres, renforcer l’isolation. Des fenêtreshermétiques, sur un mur froid non isolé,provoqueront une augmentation d’humi-dité due à une mauvaise diffusion de l’airet favoriseront la formation de moisis-sure. Il faudra alors une aération régulière.Le remplacement des fenêtres doit doncêtre exécuté, afin que rien n’empêche lapose ultérieure d’une isolation supplé-mentaire. Ainsi, les fenêtres peuvent être

Double ou triple vitrage?

Ministère pour l’environnement

du Bade-Wurtemberg

Adaptation M. Hottinger

Lors d’achats de fenêtres, les propriétaires doivent tenir compte de plusieurs critères concernant le choixde l’isolation thermique.

Des consultants en énergie donnent de précieux conseils et surtoutinforment sur les points importants qu’il faut observer lors du choixdes vitrages, châssis de fenêtre; comment juger une installationet l’état de l’isolation du mur extérieur.

placées dans la sous-face (intrados) versl’extérieur, de sorte qu’à l’avenir aucunpoint faible ne puisse se former.

Transparent mais non perméableLe but de la fenêtre est divers: elle doitlaisser passer la lumière dans l’apparte-ment et protéger contre le vent et les in-tempéries. Au cours de ces dernières an-nées, augmenter l’isolation thermique enhiver et éviter la surchauffe en été est deplus en plus le point crucial lors de l’éva-luation d’un type de fenêtre.La partie importante d’une fenêtre mo-

derne est son vitrage. Il y a la possibilitéd’avoir deux ou trois vitres. Un gaz inerteayant une faible conductivité thermiqueest emprisonné entre les verres. Consé-quence de cette technique de construc-tion: une protection contre le froid et lachaleur particulièrement élevée. La capa-cité des éléments de construction à ré-sister à ce transfert de chaleur a été déter-minée par des professionnels; elle a pourunité, valeur U. Les anciennes fenêtresavec simple vitrage avaient encore des va-leurs de l’ordre de 5 watts par mètre carréet par kelvin (W/m2 K). Les fenêtres enbois recomposé, qui ont été installées audébut des années huitante, avaient desvaleurs U de 2,8 W/m² K. Les premièresvitres isolantes qui ont été installées dansles années nonante n’étaient pas mieux.Les fenêtres à double vitrage, avec verrerésistant à la chaleur, atteignent, aujour-d’hui, une valeur U entre 1,5 et 1,1, lesbonnes, à triple vitrage de 0,9 à 0,5 W/m² K – ces vitres retiennent au moins16 degrés du côté chaud (à l’intérieur),même par des températures glaciales. Sila perte de chaleur du cadre est ajoutée,on parle de l’unité UW.Compte tenu de la réglementation sur leséconomies d’énergie strictes telles quel’ordonnance sur les économies d’éner-gie, le triple vitrage devient la norme.Il est un peu plus cher, mais plus efficace.Mais attention: il ne suffit pas d’avoirune bonne qualité de vitrage, mais le ca-dre aussi doit être bon. Un vitrage avecun très bon coefficient de transfert dechaleur est de peu d’utilité si le cadre ades lacunes.Une fenêtre à double vitrage dans un ca-dre en acier inoxydable ou en compositethermoplastique atteint les mêmes va-leurs U et à moindre coût qu’un triplevitrage avec un cadre inadapté. Consulterun professionnel peut prévenir de telleserreurs. Il faut peu pour qu’une rénova-tion soit une réussite ou un échec.

Sites consultables (en allemand)www.zukunftaltbau.dewww.solar-consulting.de

(Photo: EgoKiefer)

Page 63: Bâtitech 11-2013

produits bâtitech 11-13 61

Système complet, prix justes: pour installations de chauffage, réfri-gération et industrielles de dimension 15 à XL 108 mm, y compris 64 mm

R. Nussbaum SA Fabricant de robinetterie et systèmes techniques sanitaires

Postfach, 4601 Olten, Tél. 062 286 81 11, Fax 062 286 84 84, [email protected], www.nussbaum.ch

Offre spéciale

têtes thermostatiques

jusqu’au 31 janvier 2014

Page 64: Bâtitech 11-2013

62 bâtitech 11-13 exposition

Il y a à peine sept années de cela, le pro-jet de construction du nouveau complexede halles de MCH Messe Basel était pré-senté au public, il est à présent achevé.Après quelque 22 mois de construction,répartis sur trois étapes entre juin 2010 etfévrier 2013, l’entrepreneur total HRSReal Estate AG a livré le 8 février 2013 lenouveau complexe de halles en temps eten heure à MCH Messe Basel. Avec uninvestissement total de 430 millions deCHF le projet achevé avec succès est leplus gros investissement jamais réalisépar le secteur des foires et salons enSuisse.Le bâtiment de 220 mètres de long, de99 mètres de large et de 32 mètres de

Le nouveau complexede halles de Messe Baselest achevé

Swissbau du 21 au 25 janvier 2014 à Bâle

La prochaine édition de Swissbau aura lieu du 21 au 25 janvier 2014 dans lenouveau complexe de halles à Bâle. Unique en son genre, ce salon réunira prèsde 1200 exposants et plus de 100 000 visiteurs professionnels du secteur dela construction et de l’immobilier. Avant votre visite à la Swissbau, nous tenonsà vous présenter ce nouveau complexe conçu par le bureau d’architectureHerzog & de Meuron.

haut offre au rez-de-chaussée ainsi quedans les deux étages supérieurs surplom-bant la place de la Foire une surface d’ex-position totale de 38 000 mètres carrés.Messe Basel est en mesure de proposer àl’heure actuelle environ 141 000 mètrescarrés de surface d’exposition, dont74 000 mètres carrés dans la seule halle 1qui s’étend le long du Riehenring. Lahalle événementielle multifonctionnelledu rez-de-chaussée, au sud de la place dela Foire, offre jusqu’à 2500 places en con-figuration concert.Le nouveau complexe de halles conçupar le bureau d’architecture Herzog & deMeuron marie parfaitement fonctionnali-té et esthétique. La compacité du site de

la Foire permet une exploitation soupleet offre aux visiteurs un confort élevé. Lenouveau complexe de halles est égale-ment une carte de visite architectoniqueimpressionnante. Grâce à ses activitéstierces accessibles au public, la super-structure appelée «City Lounge», sur-

Contributions d’investissement

Canton de Bâle-VilleContribution d’investissementà fonds perdus: CHF 20 millionsPrêt hypothécaire à fonds perdus:CHF 50 millionsPrêt sans intérêts: CHF 30 millionsPrêt: CHF 85 millionsCanton de Bâle-CampagneContribution d’investissementà fonds perdus: CHF 20 millionsPrêt sans intérêts: CHF 30 millionsPrêt: CHF 35 millions

Page 65: Bâtitech 11-2013

exposition bâtitech 11-13 63

plombant la place de la Foire et recon-naissable à son remarquable puits de lu-mière, devient le centre névralgique de laplace de la Foire et du quartier tout en-tier.Le City Lounge est l’élément architectoni-que et urbanistique central du nouveaucomplexe de halles imaginé par le bureaud’architecture bâlois Herzog & de Meu-ron. Il s’agit d’un espace public couvert,comparable à une halle de marché ou àun hall de gare, dont la finalité est de dy-namiser la place de la Foire. La halle ou-verte marque non seulement l’entrée versles foires et salons, mais elle se veut éga-lement un foyer vers lequel converge lavie publique. D’aucuns verront égale-

ment dans le City Lounge une nouvelleexpérience: contrairement à l’architecturede la cour rotonde de la halle 2 (avec lamontre monumentale) tournée vers l’in-térieur du bâtiment, il oriente son archi-tecture vers l’extérieur et reste accessibledurant toute l’année.Le complexe de halles comporte troiscorps de halles superposés, qui débor-dent de façon irrégulière sur la voie pu-blique et réagissent de façon contrastéeaux différentes contraintes urbanistiques.Le rez-de-chaussée donne directementsur la rue et sur l’espace public. L’ali-gnement de la façade torsadée au rez-de-chaussée conditionne le flux des per-sonnes et l’espace nécessaire devantl’arrêt du tram et les entrées des halles.Cette partie de plain-pied est réalisée enmajeure partie avec des vitrages de gran-des dimensions, afin d’obtenir une trans-parence de l’espace et d’atteindre les ob-jectifs que sont l’ouverture du complexede halles et la dynamisation de la viepublique.

Les deux étages de halles supérieurs sontdécalés l’un par rapport à l’autre et parconséquent perçus comme deux entitésdistinctes. La différenciation architectoni-que est renforcée par la torsion des sur-faces de façades qui doivent obligatoi-rement respecter l’éclairage naturel desimmeubles adjacents. Contrairement aurez-de-chaussée transparent, les étagessupérieurs sont opaques, mais la façadeformée de lamelles leur confère un aspectvivant; dans certaines zones, ils offrentdes perspectives intéressantes sur la ville.Le nouveau complexe de halles a changéla physionomie de la place de la Foire enmatière de proportions. Le rectangle, quis’étendait en longueur sans véritable déli-mitation de l’espace, est pratiquementdevenu un carré. Avec le square Rosental,il constitue l’espace extérieur central duquartier de la Foire, qui est également unquartier résidentiel important.L’Office cantonal Minergie de certifi-cation de Bâle-Ville a décerné le label Mi-nergie BS-054 au nouveau complexe dehalles. Le certificat a été développé toutspécialement pour la construction dunouveau complexe de halles de MCHMesse Basel.Les activités tierces s’installeront parallè-lement dans les zones périphériques du«City Lounge»: le restaurant «Käfer Stu-be», le bar à ramen «Namamen», le«avec.bistro», une combinaison entreshop et bistrot, ainsi que le Lounge deMCH Group.

Le développement du projet, l’octroi despermis de construire et la planificationont nécessité presque six années, avantque les travaux ne puissent débuter enjuin 2010. Si l’on prend en compte lataille et la complexité du projet, cettepériode est relativement courte. En effet,n’oublions pas que le projet a donné lieuà une votation populaire dans les deuxcantons bâlois et que les étapes de cons-truction de courte durée ont exigé uneplanification extrêmement minutieuse.La rapidité des processus n’a été possibleque grâce à la réalisation parallèle desdifférentes étapes. Dans un premiertemps, l’étude de faisabilité/étude de pro-jet, puis l’élaboration du modèle de fi-nancement, suivie du développement duprojet de construction et de l’octroi desautorisations par les instances politiques.Le succès de ce projet ambitieux suppo-sait également une structure d’organisa-tion adéquate. Sous la surveillance de lacommission de construction, une émana-tion du conseil d’administration de MCHGroup, un comité de projet fut respon-sable de la direction de projet au sein deMCH Messe Basel. Ce comité fut secondédans l’exercice de sa mission de maîtrised’ouvrage par un bureau de projet ex-terne. Un entrepreneur total fut mandatéultérieurement avec la responsabilitétotale de l’achèvement du nouveau com-plexe de halles en temps et en heure etce, tout en respectant le cadre financierimparti. ■

Page 66: Bâtitech 11-2013

64 bâtitech 11-13 associations

Avec l’interrupteur et l’économiseur d’eau de Swissolar, les pro-priétaires d’installations solaires ont dès maintenant la possibi-lité de montrer à l’intérieur de leur maison que de l’énergie y estproduite et qu’elle provient de leur propre toit. «Celui qui s’in-téresse à l’énergie solaire s’informe d’abord auprès de ses amiset connaissances», explique David Stickelberger, directeur deSwissolar. «Notre économiseur d’eau et l’interrupteur sont d’ex-cellents prétextes pour entamer une discussion autour de l’éner-gie solaire», poursuit M. Stickelberger.

L’économiseur d’eau Aquaclic, un produit suissede haute qualitéLes panneaux solaires sur le toit fournissent une chaleur propreet avantageuse, qui permet de disposer d’eau chaude et d’eaupour le chauffage pouvant couvrir totalement ou en partie les

Des objets symboliquespour les propriétairesd’installations solaires

Swissolar propose un interrupteur électrique et un économiseur d’eau ornés d’un symbole d’énergie solaire

Swissolar propose dorénavant un interrupteur de lumière de haute qualité ainsi qu’un économiseurd’eau Aquaclic ornés chacun d’un symbole d’énergie solaire. En les installant à des endroits visiblesdans leur maison, les propriétaires signalisent ainsi que de l’énergie solaire est produite dans cettemaison. Avec cet interrupteur et cet économiseur d’eau, l’électricité et la chaleur solaires sont présen-tes dans l’appartement et deviennent un sujet de discussion entre amis et connaissances.

A propos

En qualité d’association interprofes-sionnelle, Swissolar représente les inté-rêts de plus de 400 membres issus dusecteur de l’énergie solaire suisse, pourun total de près de 10 000 emplois, au-près de l’opinion publique, des acteurspolitiques et des autorités de régulation.Swissolar s’engage pour une progressionrapide de l’utilisation de l’énergie solaireen Suisse pour la production d’électricitéainsi que le chauffage des bâtiments etde l’eau chaude sanitaire. La premièrepierre de l’association a été posée en1978, ce qui fait de Swissolar l’une desorganisations du solaire les plus ancien-nes au monde.Chaque année, le soleil fournit à laSuisse 220 fois plus d’énergie que nousn’en consommons. Swissolar s’engagepour un tournant énergétique afin d’as-surer un approvisionnement énergétiquesans recours aux énergies fossiles ou nu-cléaires. A titre de porte-parole du sec-teur, Swissolar propose des objectifs am-bitieux mais réalistes pour la généralisa-tion de l’énergie solaire en Suisse –20 % d’électricité solaire d’ici à 2025(12 m² de modules photovoltaïques parhabitant) et 10 % de chaleur solairedans les ménages d’ici à 2035 (2 m² decapteurs solaires thermiques par habi-tant).www.swissolar.ch

Page 67: Bâtitech 11-2013

associations bâtitech 11-13 65

besoins d’une maison. En installant l’économiseur d’eau Aqua-clic sur son robinet, le propriétaire signalise qu’il produit de lachaleur solaire dans sa maison. L’économiseur d’eau de couleurblanche avec un soleil orange règle la consommation d’eau et

s’adapte à n’importe quel robinet. En un tournemain, l’écono-miseur est facilement et rapidement installé dans la cuisine oudans la salle de bain des amis.

Un classique apprécié:l’interrupteur de lumière Feller EDIZIOdueQue ce soit sur le toit de villas individuelles, d’immeubles d’ha-bitation, de bâtiments industriels ou d’immeubles commer-ciaux, on compte toujours davantage d’installations solaires quipermettent de produire son propre courant électrique. Lesaviez-vous? 12 m2 par personne suffisent pour produire 20 %de la consommation totale de courant électrique en Suisse! LesSuisses qui se décident à utiliser le potentiel de l’énergie solairedont ils peuvent bénéficier grâce au toit de leur maison sonttoujours plus nombreux. Cet interrupteur permet maintenantde rendre visible l’énergie solaire à l’intérieur de la maison. L’in-terrupteur EDIZIOdue de la maison Feller, de forme simple etrectangulaire, se compose d’un cadre intérieur et d’un couvercle.Le poussoir blanc orné d’un soleil orange est installé au moyend’un cadre supplémentaire. Que ce soit au salon ou dans le ves-tibule, l’interrupteur solaire est très visible et accroche le regard.

www.swissolar.ch/ solarkit

(Photos: Gian Vaitl)

21 au 24 novembre 2013BERNEXPO, Berne

Salon avec congrès pour professionnels et privés

AVEC LE SOUTIEN DE

construction | construction en bois efficience de l’énergie dans la construction | modernisation Minergie® | Minergie-A® | Minergie-P ® | bâtiments énergie-plus | maison passive | CECB

énergies renouvelables | stockage de l’énergie nouveau : bain | univers du bain | cuisines |

architecture d’intérieur

Page 68: Bâtitech 11-2013

66 bâtitech 11-13 associations

Séance d’information réussie chez suissetec: «La responsabilité solidaire pour les sous-traitants»

Depuis le 15 juillet 2013, l’application de nou-velles normes juridiques relatives à la responsabi-lité des sous-traitants est en vigueur. suissetec ainformé sur les changements, ceci lors de sessionsde près de deux heures. Lors des premières mani-festations, dès la mi-juillet, cela a non seulementété des séances d’information, mais les discus-sions ont également été très actives. Les cinq évé-nements sont déjà complets.

Le thème de la séance était clair: «Responsabilités pour les sous-traitants – qu’est-ce que cela signifie pour vous?» Ce n’était pasun sujet simple, car les nouveautés de la loi sur les travailleursdétachés ne sont pas chose facile.Urs Hofstetter, avocat, membre du comité exécutif et responsabledes mandats et de la politique suissetec, a informé les entrepre-neurs et les représentants de sociétés présents sur le contexte dela révision et les conséquences pour les entreprises.

Empêcher la pression sur les salaireset les conditions de travailLe contexte: Avec l’introduction progressive de la libre circula-tion des personnes entre la Suisse et la Communauté euro-péenne en 2002, certaines mesures sur le marché du travail ontdû être prises. Elles sont destinées à empêcher que les salaires

Plus de paperasse, maisaussi plus de sécurité

Claudia Fahlbusch, suissetec

en Suisse ou les conditions de travail soient sous pression àcause de l’ouverture du marché du travail. La loi révisée sur lestravailleurs détachés (Ldét) est une des mesures. Elle vise à pré-venir les abus dans le contexte particulier de la chaîne dessous-traitants. La pression sur les salaires minimaux et les con-ditions de travail peut survenir lorsqu’un entrepreneur aprèsl’autre confie son mandat ou partie de mandat à son sous-trai-tant et que chaque maillon de la chaîne veut encore gagnerquelque chose.Avec la nouvelle clause de responsabilité pour les sous-traitants,les chaînes de passation de marchés sont susceptibles de deve-nir beaucoup pluscourtes, parce quemaintenant toutpropriétaire d’en-treprise est conjointement et solidairement responsable de tousles sous-traitants ultérieurs – bien que subsidiairement, «seu-lement» si le sous-traitant ne peut être poursuivi, mais quandmême! Il peut se prémunir, s’il étudie minutieusement ses obli-gations, comme indiqué ci-après:• Il oblige son sous-traitant à lui présenter ses salaires et condi-tions de travail.• Il définit par contrat si l’entrepreneur sous-traitant peut délé-guer tout ou partie du mandat à une autre entreprise.• Il contrôle par certaines mesures organisationnelles, tellesque des visites sur les sites ou de contrôles d’accès.

Il s’agit des risques de responsabilitéUrs Hofstetter a expliqué lors de l’information ce qu’il était né-cessaire de faire afin de prendre le moins de risques possiblecomme responsabilité. Pour les participants, rapidement, il estdevenu évident que les changements signifiaient, pour eux, desefforts administratifs plus importants. Cela a été un des sujetsde discussions animées avec de nombreuses questions sur lamise en œuvre concrète des innovations dans le travail quoti-dien. «L’idée de base est bonne, mais il est beaucoup exigé denous», conclut un des participants en parlant de la charge admi-nistrative. Un autre a demandé: «Suis-je censé vraiment ennuyermon partenaire d’affaires de longue date avec de la paperasse?»Et on ne peut pas l’éviter. ■

Urs Hofstetter explique les nouvelles clauses de responsabilités des sous-traitants.(Photo: Claudia Fahlbusch)

Autres informations

www.suissetec.ch/www.seco.admin.ch/index.html?lan=frThèmes: ›Travail ›Détachement de travail-leurs en Suisse

Page 69: Bâtitech 11-2013

formation bâtitech 6/7-12 67

Partenaire thématique Leading Partner Swissbau Focus

swissbau.ch

Page 70: Bâtitech 11-2013

68 bâtitech 11-13 formation

Pratique d’installationLes questions suivantes font partie desobjectifs évaluateurs suivants du plan deformation de l’installateur électricienCFC:

Plan de formation L3/5.2.2• Les personnes en formation établissent

des installations techniques d’éclairageselon les règles.

• Les personnes en formation distin-guent les sources usuelles d’éclaire-ment et les genres de luminaires sur labase de leurs propriétés ainsi que lerendement énergétique et elles expli-quent le mode de couplage et les sys-tèmes de commande.

Exercice 125Que veut dire la dénomination «LED»?

Exercice 126Le fonctionnement de la LED est à expli-quer à partir de l’illustration 126.

Brain Food

Rico De Boni, Marcel Schöb

Exercices 125 à 153

Ces derniers temps, il existe peu d’autres sources lumineusesayant autant fait parler d’elles que l’utilisation de la LED dans latechnique d’éclairage. Elles supplantent une partie des sourceslumineuses actuelles. Par contre, le développement n’est pas en-core achevé, de nouvelles innovations et applications vont suivre.Cela suppose que le professionnel de l’électricité doit se consacrerobligatoirement à cette technologie.

Exercice 127Quels sont les avantages de la LED entant que source lumineuse?

Exercice 128Sous quelles formes les LED peuvent-elles être utilisées concrètement dans latechnique d’éclairage?

Exercice 129Le tableau 129 est à compléter.

Exercice 130Quelles sont les couleurs générées parune LED?

Exercice 131Comment est produite la lumière blan-che avec une LED?

Exercice 132Que signifie la désignation «OLED» et dequoi s’agit-il?

Exercice 133Qu’est-ce qu’une «Power LED»?

Exercice 134Quel est le rôle des appareils de pilotaged’éclairage à LED?

Exercice 135Les appareils de pilotage sont répartis endeux catégories.

a) Desquelles s’agit-il?b) Comment s’effectue le raccordement

de la LED pour ces systèmes?

Exercice 136Les raccordements des deux modes defonctionnement sont à reporter dansl’illustration 136.

L’ampoule LED Osram identique à une am-poule à incandescence Parathom Classic A 60avec 12 W. (Photo: Osram)

Exercice 126

Durée de vie/h Rendementlumineux (sansballast) lm/W

Pilote

Lampe à incandescence aucun

Lampe halogène 4000 30

Lampe fluo-compacte 75 Ballastélectronique

Lampe fluorescente T5 104

LED

Exercice 129

ELECTROTECHNIQUE

Page 71: Bâtitech 11-2013

formation bâtitech 11-13 69

Exercice 137Sous quelles désignations les appareils depilotage pour l’éclairage à LED sont-ilsaussi répertoriés dans les catalogues desfabricants?

Exercice 138Qu’est-ce-que le mode «RGB» pour leséclairages à LED?

Exercice 139L’éclairage à LED est-il gradable?

Exercice 140Faut-il refroidir les LED ainsi que les ap-pareils de pilotage?

Exercice 141Les LED sont également utilisées en tantque substitution d’ampoules à incandes-cence ou halogènes dans le but d’éco-nomies d’énergie. De quoi faut-il tenircompte?

Exercice 142Qu’en est-il de la durée de vie de l’éclai-rage à LED?

Exercice 143Les solutions à LED sont plus chères queles luminaires et lampes convention-nelles. Qu’en est-il du retour d’investis-sement?

Planification électrique

Exercice 144Nommez 6 types de bâtiments danslesquels on utilise l’automatisme dubâtiment.

Exercice 145Que signifie MCR?

Exercice 146Quelle est la différence entre une com-mande et une régulation?

Exercice 147Quelle est la signification de l’expression«Actionneur»?

Exercice 148Nommez 8 grandeurs de mesure qui peu-vent être mesurées directement.

Exercice 149Nommez 3 signaux normalisés, utiliséspour la transmission de valeurs de me-sure.

Exercice 150Quelles variantes/types existe-t-il dansKNX/EIB?

Exercice 151Quelle est la signification de l’expression«Capteur»?

Exercice 152Qu’est-ce qu’un élément passif dansKNX?

PERDU !

Une annonce ne laisse jamais votre publicité se perdre.Cette annonce promeut la publicité dans les journaux et les périodiques.

L’association MÉDIAS SUISSES organise chaque année un concours sur ce thème

s’adressant à de jeunes créatifs. Voici un travail qui s’est également illustré dans

ce concours – il est signé par Luca Schneider, Havas Worldwide Zurich et

Sebastian Eppler, Y&R Group Switzerland. www.Le-pouvoir-unique-d-une-annonce.ch

Je suis un garage auto-mobiles et je cherche dés-espérément ma publicité.Il s’agit d’une affiche F12avec un fond bleu. Dernière-ment, elle portait un titre enitalique et un logo rouge vif.D’avance merci pour tousles indices qui permettrontde la retrouver.

076 514 33 64

Exercice 136

Convertisseur 700 mA

Convertisseur 700 mA

Convertisseur 24 V

Page 72: Bâtitech 11-2013

70 bâtitech 11-13 formation

Type de câble dans un canalen bois

Dans un logement en construction, nousavons posé un canal en même temps qu’uncoffrage en bois. Il y a du béton autour de cecoffrage (voir illustration 1). Toutes les ca-nalisations posées dans le coffrage sont proté-gées par un dispositif de protection à courantdifférentiel-résiduel de 30 mA. Le sol est ha-billé d’un parquet, le canal quant à lui estrecouvert avec un couvercle pouvant êtreretiré à n’importe quel moment. Nous avonslu dans la NIBT 4.8.2.2.4 que les canalisa-tions doivent présenter des caractéristiquesdifficilement combustibles, si elles ne sontpas complètement noyées dans un matériauincombustible. Notre question est la suivan-

1

Know-how NIBT 9

David Keller, Pius Nauer

Questions et réponses sur la NIBT

Quand on remarque que les freins de la voiture ne fonctionnent pluscorrectement, on entreprend très vite des réparations. Quand unerésistance d’isolement d’une installation électrique est mauvaise,on est en droit de penser que le défaut sera corrigé pour éviter desdommages supplémentaires, par exemple un incendie.Nous avons repris une fois de plus le thème de la mesure d’isole-ment lors de contrôles périodiques dans la question 3. Cet articlede la NIBT donne toujours lieu à des discussions.

te: pouvons-nous utiliser le canal en boispour la pose de canalisations et peut-on poserdes câbles PVC normaux? (R. M., par e-mail)

La NIBT n’empêche pas de poser un câ-ble dans un canal en bois. Vous citez l’ar-ticle NIBT 4.8.2.2.4, qui stipule effecti-vement que si des canalisations ne sontpas complètement noyées dans un maté-riau incombustible, celles-ci doivent pré-senter des caractéristiques pour êtredifficilement inflammables. Par contre, lechapitre 4.8 ne renseigne que sur lesinstallations dans lesquelles la protectionanti-incendie est tout particulièrement àprendre en compte. Dans 4.8.2.2, les exi-gences suivantes n’ont leur effet entierque pour des locaux d’exploitation pré-

sentant un risque d’incendie à cause dessubstances traitées. Un local d’habitationn’est pas classé comme présentant un telrisque. C’est la raison pour laquelle vouspouvez poser des câbles d’installation«normaux» dans ce canal de sol noyé enbois. (pn)

Nouveaux disjoncteursde canalisation?

Lors d’une vérification périodique j’ai remar-qué des marquages intéressants sur les dis-joncteurs de canalisation. Au lieu de B, C ouD, j’ai repéré K. Que dois-je en faire? Cesappareils sont-ils agréés pour les installationsdomestiques? (Z. D., par e-mail)

Tout comme la NIBT, les normes pourdisjoncteurs de canalisations ont évolué.Il y a quelques années, les types «L», «V»et «Z» ont caractérisé un certain degréd’inertie.Ces types ne se différencient pas uni-quement par le caractère du déclencheurmagnétique, comme c’est le cas pour lestypes actuels «B», «C» et «D», mais aussipar le déclencheur thermique. Depuisl’introduction des caractéristiques actuel-les, d’autres types sont également dispo-nibles. Par contre, ceux-ci ne sont pasprévus pour la protection des câbles etdes canalisations, mais plutôt pour laprotection des appareils. C’est ainsi queles appareils sont plutôt sensibles auxsurcharges, parce qu’il est souvent diffi-cile d’évacuer la chaleur accumulée dansle milieu environnant. Par ailleurs, lorsde l’enclenchement ou du démarrage, ilsnécessitent des courants très importantssur une courte durée. Pensez donc auxmoteurs (encore plus grave) aux appa-reils avec électronique de puissance etaux redresseurs utilisés par exemple pourl’éclairage avec ballast électronique, desconvertisseurs pour éclairage à LED etl’éclairage très basse tension, etc. C’estainsi que ABB propose par exemple untype de disjoncteur LS de type «M» pourles moteurs. Le type «K» que vous avezdécouvert fait partie de ces appareils.Dans le cas de présence de courants im-

2

Illustration 1.

Bri

que

Parquet

Béton

ELECTROTECHNIQUE

Page 73: Bâtitech 11-2013

formation bâtitech 11-13 71

portants, il réagit un peu plus vite que letype « M». Dans le chapitre 4.3.3.2 E + C,la NIBT précise que la protection contreles surcharges, de caractéristique B, C ouD remplit les conditions nécessaires.D’autres caractéristiques sont égalementadmissibles, il y a toutefois lieu de véri-fier leur adéquation avec la protectionexigée. C’est ainsi que le type «K»,comme on le constate dans le tableau 2,a un «meilleur» comportement en cas desurcharge, c’est-à-dire une sensibilité su-périeure à celle des types «B», «C», et «D».De ce fait, la canalisation est mieux pro-tégée en cas de surcharge, ce qui est ad-missible, bien naturellement. Suite àcela, il faut encore observer qu’en cas decourt-circuit, la classe de limitation decourant 3 soit respectée (NIBT 4.3.4.3C + E). (dk)

Résistance d’isolement lorsde vérifications périodiques

dans l’habitatEn tant qu’organe de contrôle indépendant,mes vérifications périodiques dans l’habitatse multiplient. La mesure de la résistanced’isolement se solde souvent par un résultatnégatif. Ces derniers temps, cela a donnésuite à des discussions avec les électriciens. Ilsestimaient que d’après la NIBT, confor-mément au chapitre 6.2.2.2, il ne faut plusmesurer la résistance d’isolement dans lesbâtiments destinés à l’habitat. Pour eux, c’estune raison de ne pas mettre la valeur nonconforme en cause et plus encore, de ne pasavoir à effectuer les améliorations souhaitées.Je suis d’un autre avis, mais reste quelquepeu hésitant, et me demande si j’ai le droitde remettre en cause une mauvaise valeurd’isolement. Qu’en pensez-vous?

(J. D., par e-mail)

Les vérifications périodiques sont traitéesau chapitre 6.2 de la NIBT 2010. D’après

3

OIBT, cela correspond au con-trôle périodique. On peut ef-fectivement lire dans l’article6.2.2.2 que dans les installa-tions pour lesquelles un con-trôle permanent des résis-tances d’isolement est assuré,on peut renoncer aux mesurespériodiques des valeurs d’iso-lement. Dans le même article,on voit aussi que ceci s’appli-que également aux installa-tions ayant une périodicité

d’essai de 20 ans, c’est-à-dire les bâti-ments domestiques. Ces énonciationsont été nouvellement introduites dans laNIN 2010. Depuis 10 ans, elles font par-tie intégrante de la directive du DETECconcernant les installations électriquesbasse tension. Dans la norme, la mesured’isolement n’est pas interdite, il est uni-quement précisé que dans certaines con-ditions, on peut y renoncer. Par consé-quent, la décision de mesurer larésistance d’isolement ou non revient àl’organe de contrôle. Dans tous les cas, ilfaut corriger les valeurs mesurées nonconformes, parce que la norme ne stipulepas qu’une valeur d’isolement a le droitd’être anormale après quelques annéesd’existence de l’installation.C’est précisément dans la constructiondomestique que le fait de renoncer à unemesure d’isolement n’a, en général, aucunsens. Puisque c’est exactement ici que lenon-initié va être tenté de faire usage deses propres capacités d’installateur. Unevaleur non conforme représente le pre-mier indice d’une installation déficiente.Par ailleurs, il y est plus facile de réaliserdes coupures que dans les installationsindustrielles ou artisanales. Ceci est unargument supplémentaire en faveur de lamesure d’isolement. Dans les anciennesinstallations avec mise au neutre selonschéma 3, il est généralement impossibled’effectuer la mesure d’isolement. C’estpour de telles installations que l’articleNIBT 6.2.2.2 offre la possibilité de re-noncer aux valeurs de la mesure d’iso-lement. Partout où les installations sontprotégées par des dispositifs de protectionà courant différentiel-résiduel, il est pos-sible de renoncer à la mesure d’isolement.On peut comprendre facilement cela,puisque le dispositif de protection surveil-le continuellement les résistances d’iso-lement. Cependant, il est important quela mesure des valeurs d’isolement soit

toujours effectuée pour une installationneuve. Ceci compte également pour desinstallations avec dispositifs de protectionà courant différentiel-résiduel.

Caractéristiques des canali-sations lors du passage dans

plusieurs compartiments fermésLors de la planification d’une entreprise arti-sanale, nous avons des hésitations concer-nant les caractéristiques des câbles néces-saires en vue de la prévention incendie.Peut-on utiliser des câbles en PVC? Si oui,ceux-ci peuvent-ils être posés hors du compar-timent fermé? (R.W., par e-mail)

C’est une bonne chose de poser ces ques-tions lors de la planification! En effet,après l’exécution des travaux, une modifi-cation revient vraisemblablement trèscher. Il y a plutôt lieu de déconseiller lescâbles en PVC. Le problème provient ducomportement pendant un incendie:quand la température s’élève (> 200 °C)il y a scission de chlore et d’oxygène etformation d’acide chlorhydrique et degaz acides en liaison avec l’humidité am-biante. Ces substances ont des effets for-tement toxiques et corrosifs. La quantitéde fumée et de suie est considérable (ci-tation de NIBT 5.6.3 C + E). Par contre,ces câbles ne sont pas interdits. Lors dupassage dans un autre compartiment fer-mé, il ne s’agit pas de ces effets négatifs,mais en particulier de la non-transmis-sion d’énergie de combustion. Dans cecas, il est sans importance si le câble con-duit du matériau isolant en PVC. La bar-rière coupe-feu peut être réalisée aumoyen du cloisonnement pare-feu sou-ple bien connu, ainsi que d’enduit igni-fuge. Par contre, lorsqu’il s’agit d’alimen-tations pour services de sécurité, il en estbien autrement. Dans ces cas, les canali-sations doivent rester intactes pendant letemps requis. Dans ce cas, on ne consi-dère pas uniquement le maintien del’isolation sous l’effet du feu, mais aussile maintien de la fonction de l’intégralitédu système de canalisation. Le systèmecomprend le matériel de fixation tel queles chevilles et les vis, ainsi que les sup-ports. De plus, il est interdit de poserd’autres médias sur ces canalisations, sus-ceptibles de tomber en cas d’incendie etpouvant entraîner les câbles de sécuritédans leur chute. A cet effet, il faut utiliser,par exemple, des câbles FE0. (dk)

4

ELECTROTECHNIQUE

Illustration 2.

Caractéris-tique

Déclenchement thermique Déclenchement magnétique

maintenir maintenirne réagit pas réagit

Page 74: Bâtitech 11-2013

72 bâtitech 11-13 carnet

A tout mouvement s’oppose un contre-mouvement. Les compagnies maritimesspécialisées dans les croisières n’échap-pent pas à la règle qui, chaque année oupresque, battent de nouveaux records depassagers. Quelque 300 paquebots decroisière sillonnent les océans, générantdes milliards de chiffre d’affaires. Revers

de la médaille, une augmentation cons-tante de la consommation de carburant,avec pour corollaire une augmentationde la pollution. L’Organisation maritimeinternationale (OMI) pronostique pour2020 une augmentation des émissionsde gaz carbonique de près de deux tiers!Aujourd’hui, selon des études concordan-tes, le transport maritime est responsabled’environ 3 % des émissions globales deCO2. Un niveau assez comparable à celuidu transport aérien, si décrié.L’efficience énergétique des navires n’ena pas moins toujours été au cœur despréoccupations des compagnies de croi-sière, ne serait-ce que pour des raisonséconomiques. Depuis des années, ellestentent de réduire les coûts de l’énergie à

Vague verte sur la grande bleue«Chauffer moderne»

L’engouement pour les croisières place les compagnies maritimes faceà de nouvelles responsabilités. Anticipant les habituelles critiques surla pollution massive de l’eau et de l’air, le secteur embrasse de nouveauxconcepts d’efficience énergétique et de réduction de consommationde carburant.

bord, mais les attaques violentes des dé-fenseurs du climat ont sans doute contri-bué à accélérer le mouvement. Certainescompagnies ont même fait de la protec-tion de l’environnement leur nouveaucredo. Et sans renoncer à ce marché enplein boom, elles proposent des solu-tions écologiques concrètes.

La priorité passe par une améliorationconséquente du bilan énergétique desnavires. A l’occasion de l’ITB de Berlin, leplus grand salon européen du tourisme,des compagnies maritimes de différentspays ont adapté leur plan de route «dansle bon sens écologique». Une vitesse decroisière modérée ménage la consomma-tion de carburant. Et ça marche! Desexperts ont calculé que réduire l’allure deces géants des mers d’un seul nœudabaisse la consommation d’un tiers envi-ron!

Meyer Werft: efficience énergétiquedes navires améliorée de 30 %Les armateurs et affréteurs ne sont pas lesseuls concernés. La construction navale

est également invitée à plus d’efficiencedans la conception des paquebots. Dé-sormais, par exemple, toujours plus denavires sont équipés d’une coque hydro-dynamique améliorant les déplacementsd’eau et réduisant ainsi la consommationde carburant.Avec son concept «Green Ship», le cons-tructeur naval Meyer Werft, situé à Pa-penbourg, au nord de l’Allemagne, est unprécurseur en matière de développementdurable. Lancé il y a deux ans à l’issued’un concours d’innovations, son «Cele-brity Eclipse» a été élu le paquebot decroisière le plus efficient en énergie dumonde. Il consomme un tiers de moinsque les autres navires de même type et demême taille. Principales caractéristiquesdu concept de durabilité de Meyer Werft,une réduction des émissions et de la con-sommation ainsi qu’un traitement écolo-gique de l’eau, des eaux usées et desdéchets. Le constructeur allemand lanceégalement de nouvelles générations demoteurs Diesel capables de fonctionneravec différentes qualités de carburants. Lephotovoltaïque s’invite lui aussi à bord,des panneaux solaires fournissant l’éner-gie et le courant sur le pont. Autres avan-cées, une peinture sous-marine spéciale

Les panneaux solaires photovoltaïques des bateaux de croisière fournissent de l’énergie élec-trique pour le fonctionnement des équipements de bord. (Photos: Meyer Werft)

Un éclairage de bord moins gourmand grâceà ses capteurs à LED.

Page 75: Bâtitech 11-2013

carnet bâtitech 11-13 73

favorisant une diminution de la résis-tance à l’avancement dans l’eau et unéclairage de bord moins gourmand grâceà ses capteurs à LED.La conjonction de ces mesures agit posi-tivement sur le développement durable.«D’une manière générale, on peut direque nous avons amélioré l’efficienceénergétique de nos bateaux d’environ30 %», affirme Peter Hackmann, porte-parole du groupe. Meyer Werft livre en cemoment trois nouveaux navires dont laconsommation d’énergie est réduite dansles mêmes proportions. Un argumentcommercial de poids pour les compa-gnies de navigation qui mettront bientôtces paquebots en service.

Toits solaires, voiles etbiocarburantsL’engouement pour le développementdurable ne se limite pas aux navires decroisière. Spécialisée dans les yachts destanding, une firme britannique a déve-loppé un toit solaire pour les bateaux-taxis de Venise, les fameux vaporetti.Toujours en Angleterre, un fournisseurd’énergie renouvelable a conçu un cargoà voiles. 60 % de la force motrice sontissus d’une source d’énergie renouve-lable, le solde provenant d’un moteur àbiocarburant. En Allemagne, le construc-teur de bateaux solaires Solar WaterWorld AG, en coopération avec l’entre-prise technologique SkySails, a dévelop-

pé un yacht solaire à zéro émission boos-té par un «cerf-volant géant». Une impor-tante compagnie suédoise de tankers, ar-mée de 74 navires, a d’ores et déjàmanifesté son intérêt.Au même titre que l’industrie des croi-sières, le secteur maritime dans son en-semble semble avoir parfaitement pris encompte cette nouvelle donnée environ-nementale. Une vague verte qui n’est pasprès de retomber, d’autant que dévelop-pement durable rime plus que jamaisavec économie durable. Une tendanceécologique qui ne présente donc visible-ment aucun revers de médaille.

www.mazout.ch

Le bilan tiré des retours des exposants etdes premiers résultats du sondage indé-pendant auprès des visiteurs montre queHolz a confirmé sa place de salon profes-sionnel numéro un pour l’artisanat, lecommerce et l’industrie de transforma-tion du bois en Suisse. Norbert Tüscher,président du CA de J. P. Müller AG et pré-sident du comité d’organisation de Holz,a souligné la qualité exceptionnelle descontacts noués pendant les cinq jours dusalon: «La qualité des échanges avec lesvisiteurs professionnels venus de toute laSuisse a encore augmenté par rapport àl’édition précédente. Cette année, desquestions plus ciblées ont été posées lorsdes entretiens de conseil. La profession-nalisation du secteur du travail du boisest perceptible aussi du côté des visiteurs.Cela a entraîné une augmentation desventes et laisse espérer des retombées trèspositives du salon.»

Le secteur suisse du travail du bois en grande formeHolz 2013

Holz, le salon numéro un du secteur du travail du bois, s’est tenu du8 au 12 octobre 2013 à la Messe Basel. Cinq jours durant, 34 058 visiteursvenant des domaines de la menuiserie, de l’aménagement intérieur,de la construction en bois, de la charpenterie, de l’industrie et du com-merce ont répondu présent au rendez-vous de la branche en Suisse.Sur quelque 45 000 m2 de surface d’exposition, 352 exposants suisses etétrangers dans les domaines des machines, de l’outillage, des matériauxet des accessoires ont fait voler les copeaux. Il régnait une ambiancepositive dans les deux halles d’exposition pleines à craquer. Le gagnantdu traditionnel concours de la star de la nouvelle génération de menui-siers est Reto Kempf de Isenthal.

Notre choix de l’extension du conceptavec le renforcement du domaine de laconstruction en bois et les nouveauxespaces d’exposition «Zukunft Holz» et«Focus Formation» était le bon et nousavons ainsi jeté des bases solides pourl’avenir de Holz», se réjouit la directricedu salon Theresia Saner.

Des premières prometteusespour l’avenirLe mix de «Zukunft Holz», un espaced’exposition avec des matériaux et dudesign, des exposés passionnants au fo-rum de l’innovation et une zone de net-working, a été accueilli favorablementaussi bien par les visiteurs que par lesexposants. Convivial et offrant une atmo-sphère agréable, l’espace d’exposition afait partie des zones les plus fréquentéespendant les cinq jours du salon. Les ex-posés variés, organisés par la haute école

spécialisée bernoise Architecture, bois etgénie civil, nouveau partenaire straté-gique pour la formation, la recherche etl’innovation du salon Holz, ont apportédes éclairages intéressants aux visiteursprofessionnels, séduits par des points

Page 76: Bâtitech 11-2013

74 bâtitech 11-13 carnet

thématiques différents chaque jour.La nouvelle plate-forme «Focus Forma-tion» a permis aux visiteurs profes-sionnels intéressés de faire pour la pre-mière fois un tour d’horizon complet despossibilités de formation initiale et conti-nue dans le domaine du bois. Des écoleset organismes de formation ont proposédes services de conseil sur la formationprofessionnelle supérieure et les réformesactuelles. Dans le nouveau «Camp d’en-traînement pour charpentiers», les visi-teurs ont eu un avant-goût de la manièredont les professionnels du secteur du tra-vail du bois de demain mettent en œuvrele savoir acquis. Du matin au soir, lesquatre qualifiés suisses Raphael Baum-berger, Florian Manser, Adrian Tanner etLionel Dubosson se sont entraînés dansles conditions d’examen pour le cham-pionnat d’Europe des charpentiers à Gre-noble.

Les heureux gagnants brillentavec des solutions originaleset innovantesDès le début du salon, à l’occasion del’inauguration officielle de Holz 2013,les noms des trois gagnants du Prix del’innovation 2013 ont été annoncés.Adler Lack AG a remporté la médailled’or avec le premier et le seul vernis inco-lore à base d’eau «Adler Aqua-Resist».L’argent est allé à Oertli Werkzeuge AG,le bronze à Kronospan Schweiz AG.

Le traditionnel concours de la star de lanouvelle génération de menuisiers faitpartie des attractions incontournables dusalon. Une centaine de jeunes menuisierset menuisières venus de Suisse aléma-nique, de Suisse romande et du sud del’Allemagne ont présenté des meublescréatifs et surprenants. Le concours a denouveau été organisé cette année parl’Association suisse des maîtres-menui-siers et fabricants de meubles (VSSM), laFédération suisse romande des entre-prises de menuiserie, ébénisterie et char-penterie (FRM) et les corporations desmenuisiers d’Allemagne du sud. Les orga-nisateurs se sont particulièrement réjouisdu nouvel emplacement, plus fortementintégré dans la halle, et de l’intérêt accrupour le concours en Suisse romande. Par-mi les plus de 4000 votes exprimés, RetoKempf de Isenthal (entreprise formatriceMengelt & Gisler AG) a remporté la pre-mière place et donc le titre de «Star de lanouvelle génération de menuisiers 2013»avec l’objet «SiTi-Möbel». Le deuxièmeest Michael Vogel de Nottwil (entrepriseformatrice Kawa Design AG) avec sonobjet «Black & White». Pascal Schönen-berger de Oberbüren (entreprise forma-trice Keller Züberwangen AG) est arrivétroisième avec son objet «Liege». Le Ge-nevois Lucas Peter (entreprise formatriceCFPC Jonction) a manqué de peu le po-dium avec la quatrième place. Les troispremiers ont été récompensés par des

prix d’une valeur de 2500, 2000 et 1500francs.Pour la troisième fois déjà – mais sousun nouveau nom – un jury de profes-sionnels dirigé par Willi Gläser a désignéles lauréats du Prix du talent Roser 2013(anciennement Prix Roser Furnier) parmiles objets exposés de la star de la nou-velle génération de menuisiers. Le jury aévalué le choix des matériaux, la qualitédu travail, le design et l’aptitude à lacommercialisation des objets présentés.La première place est allée à Qerim Shta-naj (entreprise formatrice menuiserieRealta, Cazis GR) pour sa table de salonronde «coffe mensa artificium». Rolf Ger-ber (entreprise formatrice menuiserieBlatter AG, Zimmerwald BE) a décrochéla deuxième place avec son meuble bi-bliothèque original «Innere Werte». EtMarkus Zemp (entreprise formatrice Vo-gel Design AG, Ruswil LU) s’est classétroisième avec l’objet «Nuwello». Le prixspécial du jury pour «une exécution cou-rageuse et exceptionnelle alliée à une in-dividualité et une originalité élevées» aété décerné à Samuel Baumann (entre-prise formatrice menuiserie Popp AG,Altstätten SG) pour sa table en noyer.

Le prochain salon Holz aura lieu du 11 au15 octobre 2016 à Bâle.

www.holz.ch/médias

Les contacts pour vos annonces:Rolf NiederbergerTél. 058 200 56 18 (CVS)

André FluriTél. 058 200 56 27 (E)

Page 77: Bâtitech 11-2013

carnet bâtitech 11-13 75

Il faut dire qu’avec Koralle Rapido, l’en-treprise Bekon-Koralle poursuivait desobjectifs ambitieux. En effet, assurer unservice de livraison dans les 24 heures ouune livraison avec montage compris dansles cinq jours implique la mise en placede prestations logistiques de haut niveau,prestations que l’entreprise a réussi àgérer de façon exemplaire: après un an, lebilan général du service est globalementdes plus positifs. Assurer de telles presta-tions de services requiert non seulementle développement de procédures diffé-rentes du point de vue organisationnel etlogistique mais également un chan-gement de mentalité chez les collabora-teurs et les collaboratrices. Dans ce con-texte, les tâches doivent être réaliséesdans des délais particulièrement courts,tout en répondant de façon absolumentfiable aux exigences et aux promesses dela marque.

L’importanced’une participation activeUn produit de ce genre impose des exi-gences particulièrement élevées aux colla-borateurs et aux collaboratrices et faitappel à leur sens des responsabilités. A cepropos, Marlies Annunziata, qui gère le

Le bilan de la première année est positifKoralle Rapido Partie III – Le bilan

L’introduction d’un nouveau produit comporte toujours un certainpotentiel de risque et le fait de vouloir accéder avec succès à un marchédéjà saturé constitue un défi particulièrement complexe. Ainsi, duranttoute la phase de développement de Koralle Rapido, de nombreux tra-vaux complémentaires ont dû être mis en œuvre afin de pouvoir assurerun lancement impeccable de la prestation souhaitée.

nouveau produit de l’en-trée des commandes jus-qu’aux livraisons, estparticulièrement fière deconstater que tous lesengagements en matièrede prestations sont tou-jours respectés. D’ailleurs,qu’ils travaillent à la pro-duction, à la livraison ouau montage, tous ses col-lègues sont totalementimpliqués dans le nou-veau produit et fournis-sent un travail fantasti-que. L’ensemble des per-sonnes concernées fontdécidément preuve dela motivation nécessairepour faire de «leur» ser-vice rapide l’une des pierres angulairesdes prestations de l’entreprise.

Le haut indice de satisfaction de laclientèle confirme le succèsCette nouvelle prestation de services atrès bien été accueillie sur le marché etles retours d’informations positifs fournissont réjouissants. Les installateurs quiont déjà pu bénéficier de la rapidité de

Koralle Rapido en sont enthousiastes. Lacontribution ainsi apportée au mondedes salles de bains est donc des plus pré-cieuses.Roman Wäger, de l’entreprise Wäger Sa-nitär Haustechnik AG de Kloten, est pour

sa part convaincu de la validité de ce ser-vice de livraison. Il exprime d’ailleursclairement sa satisfaction à ce propos:«Un tel service de livraison rapide com-porte de grands avantages et constituel’un des critères décisifs portant à préférerles douches de Koralle à d’autres.»

www.koralle.ch

Le romantisme?

Ohnsorg et fils SATél. 024 446 10 20

www.ohnsorg.biz

Que préférez-vous?

L'efficacité?

E C O Lamellhut®

Produit de qualité suisse

(Photo: Heinrich Breiter)

Page 78: Bâtitech 11-2013

76 bâtitech 11-13 carnet

Les équipes ultramotivées de la Suissealémanique et romande sont arrivées auhangar 9 du AIR FORCE Center de Dü-bendorf pour une compétition passion-nante opposant les meilleurs installateurssanitaires de Suisse et ont clairementprouvé leurs compétences. La compéti-tion se composait de quatre disciplines:• Quiz: test de connaissances. Cette dis-

cipline mettait à l’épreuve les connais-sances techniques des installateurs.

• Parois d’installation: exercices prati-ques. Il s’agissait d’une mission d’ins-tallation concrète avec Geberit Mepla,PushFit et PE-HD. Outre le temps auchronomètre, les critères d’évaluationétaient par exemple la précision de me-sure, la justesse de la mise en œuvre,etc.

Le Geberit Challenge a enchanté tout le monde

Geberit Distribution SA, Rapperswil-Jona

Geberit Challenge 2013

Récompensé par le Xaver Award «Best Event Project» pour son édition2012, le Geberit Challenge s’est tenu pour la troisième fois cette annéeencore. Le 20 septembre 2013, 78 installateurs sanitaires suisses talen-tueux ont pu mettre leur savoir-faire et leur compétitivité à l’épreuve dansune ambiance exceptionnelle au AIR FORCE Center de Dübendorf. Parmiles 39 équipes de deux participants, c’est la «Chrampf-Junkies» composéede Torsten Schmidt et d’Andrej Geisler de la Schmidt-Geisler Montage-team GmbH de Grellingue (Bâle-Campagne) qui a remporté le GeberitChallenge 2013. Ils ont tous les deux gagné un voyage de luxe et d’aven-ture d’une semaine pour deux personnes à Dubaï au printemps 2014.

• Changement de roue: travail d’équipesur un 4 × 4. Pour un changement deroue chronométré sur un 4 × 4, il fallaitun travail d’équipe parfait; un avant-goût musclé de ce qui attend les vain-queurs dans les dunes de l’émirat deDubaï.

• Mepla Man: précision et rapidité demontage. Objectif: monter un MeplaMan surdimensionné dans un tempsrecord à partir des tubes et des raccordsdu système Geberit Mepla en faisantpreuve d’habileté et d’une bonne plani-fication.

Les tâches étaient complexes, mais touss’en sont sortis haut la main. Elles requé-raient en effet ce dont les installateurssanitaires font preuve dans leur quoti-dien professionnel: plaisir à travailler,connaissances, habileté et capacité de tra-

vailler parfaitement sous pression. Alorsque le chronomètre tournait, les équipessentaient le souffle de la concurrencedans leur cou et étaient entraînées par lescris déchaînés de leurs supporters qui lesencourageaient à se surpasser.Les critères d’évaluation de l’épreuved’installation une fois terminée étaientnotamment la vitesse, une exécution pro-fessionnelle, le montage irréprochablesur le plan fonctionnel, un minimum decoupe et un chantier propre et bien ran-gé. Les équipes ont convaincu les jurésexperts du Challenge entourant le prési-dent du jury, Bruno Rathgeb: «Ils ontmaîtrisé tous les défis et ont fait preuved’une grande fiabilité et de beaucoup decompétence.»Toutes les équipes ont démontré un en-gagement complet tout en affichant descompétences impressionnantes. Mais à lafin, il ne pouvait y avoir qu’un seul ga-gnant: les deux installateurs sanitairesTorsten Schmidt et Andrej Geisler for-maient une équipe bien soudée et bienrodée qui a réussi toutes les épreuvesavec brio grâce à son talent, sa précisionet sa rapidité. Les deux hommes avaientdéjà participé au Geberit Challenge l’anpassé et sont encore une fois enchantésde cette compétition sportive. Fiers deleurs victoires, ils ont déclaré: «Noussommes ravis d’avoir gagné le GeberitChallenge 2013 et de pouvoir ramenerchez nous, à Bâle-Campagne, la coupe etle voucher pour le voyage des lauréats.»L’équipe «Marsupilami» composée de Si-mon Linse et d’Azem Sulejmani de la so-ciété Bürge Haustechnik GmbH de Diels-dorf est montée sur la 2e marche dupodium. L’équipe «HWT-Gangsters» avecDaniel Bischofberger et Günther Waltnerde la société HWT Haus + WassertechnikAG de Au SG a quant à elle remporté la3e place.Hanspeter Tinner, dirigeant de GeberitSuisse, est également impressionné parles prestations des installateurs après latroisième édition suisse du Geberit Chal-lenge: «Les compétences artisanales ettechniques des participants sont de trèshaut niveau. Ils ont prouvé que le travaild’équipe et de bons produits permet-taient de mettre en place efficacement

Les vainqueurs du Geberit Challenge 2013: l’équipe Chrampf-Junkies avec Torsten Schmidtet Andrej Geisler de la Schmidt-Geisler Montageteam GmbH. Ils ont prouvé leur savoir-faire.Grâce à leurs prestations exceptionnelles et à leur temps record, ils ont convaincu le jury surtoute la ligne. (Photos: Ben Huggler)

Page 79: Bâtitech 11-2013

carnet bâtitech 11-13 77

une installation sanitaire de grande qualité.» Cette année encore, leséquipes en compétition étaient soutenues par les cris d’encoura-gement de leurs collègues, amis et membres de leur famille quiavaient fait le voyage. Les équipes de supporters créatives encoura-geaient les participants et ont mis une ambiance excellente et conta-gieuse dans l’arène de concours du Challenge. De nombreux fansn’ont pas laissé passer l’occasion de trouver des déguisements origi-naux. Une équipe de supporters venant d’Emmental avait même faitle voyage avec quatre cors des Alpes.La meilleure équipe de supporters et la plus originale ont d’ailleursété elles aussi récompensées lors de la remise des prix: l’équipe desupporters «ZHT Lions» de la société Zeindler Haustechnik AG deMarthalen a été qualifiée de «Best Fan Team» grâce à son soutien en-thousiaste et à son déguisement très inventif. L’équipe de supporters«Super Mario Bros» de la société Rosenast Haustechnik de Wangen(Berne) a quant à elle reçu le prix de l’équipe de supporters la plusoriginale grâce à son excellent déguisement (sur le thème de sonéquipe «Super Mario et Luigi»). Cécile Fehr de «ZHT Lions» a chanté

les louanges de son équipe: «Nous sommes fiers de notre équipe etnous nous réjouissons d’avoir été désignés comme la meilleureéquipe de supporters. Le Challenge est un événement exceptionnelqui motive la relève des installateurs sanitaires et contribue à rendrela branche sanitaire attrayante.»Les concurrents, les membres du jury, les supporters et les organisa-teurs sont d’accord: le Geberit Challenge 2013 a permis aux collèguesde travail de partager un moment passionnant et drôle et de faire desuperbes rencontres. Ferhat Özcevik de la société Tschantré AG deRoggwil (Thurgovie) a ainsi déclaré à la suite de la compétition spor-tive: «Mon binôme et moi sommes toujours dans l’ambiance de cetévénement exceptionnel. Les supporters nous ont soutenus lors descompétitions éreintantes et malgré la concurrence, les équipes ontfait preuve de beaucoup de fair-play et de convivialité. Même si nousne sommes pas montés sur le podium, nous sommes très fiers, toutcomme notre chef, de nos performances et de notre participation.»La bonne ambiance au Geberit Challenge a duré encore longtempsaprès la fin de la compétition et de la remise des prix: les participantset les équipes de supporters ont continué à fêter jusque tard dans lanuit à l’occasion de la Challenge Party avec un DJ.

Geberit Distribution AGCH-8645 Jonawww.geberit.ch

La Haute Ecole d’Ingénierie et de Gestion du Canton de Vaud (www.heig-vd.ch) offre des formations bachelor et master HES en ingénierie et en économie ainsi que des formations postgraduées.

Avec plus de 2’000 étudiant-e-s, elle est la plus grande école de la Haute Ecole Spécialisée de Suisse Occidentale (www.hes-so.ch).

Ses 12 instituts de recherche appliquée et développement sont gérés et valorisés par le Centre d’Etudes et de Transferts Technologiques (CETT).

La HEIG-VD met au concours un poste de

Professeur-e en

Energétique thermique

Mission générale du poste: Un nouveau poste de professeur est créé suite à l’ouverture de la nouvelle filière « Energie et Techniques Environnementales ». Rattaché-e au département des Technologies Industrielles (www.heig-vd.ch/tin), vous serez chargé-e au sein de l’Institut IGT (igt.heig-vd.ch) des missions suivantes : � Enseigner aux étudiant-e-s en ingénierie aux niveaux

Bachelor et Master, diriger des travaux de diplôme et développer des cours de formation continue

� Elaborer et mener des travaux de Ra&D avec une équipe d’ingénieurs en partenariat avec les milieux professionnels

� Participer aux activités de la HEIG-VD et de la HES-SO dans le domaine de spécialité

Votre profil: � Ingénieur-e diplômé-e d’une haute école ou titre jugé

équivalent � Une expérience professionnelle significative dans le

domaine des pompes à chaleur (PAC). Des connaissances des installations techniques CVCS (régulation, domotique, capteurs, …) seraient un plus

� Capacité à développer une activité de projets Ra&D en collaboration avec l’industrie, et à les diriger dans le cadre d’une équipe à créer

� Bonne connaissance du tissu industriel � Goût pour la pédagogie, la formation et l’enseignement

technique � Maîtrise de l’anglais et/ou de l’allemand, en plus du

français

Taux d’activité : 100%

Renseignements : Guido Frosio, doyen Tél : 024 / 557 27 92

Entrée en fonction: 1er juin 2014 ou à convenir

Nous vous invitons à nous faire parvenir votre dossier de candidature uniquement par www.heig-vd.ch/emploi, d’ici au 30 novembre 2013. Une discrétion totale est garantie.

HEIG-VD – Ressources Humaines Rte de Cheseaux 1 – 1401 Yverdon-les-Bains

Tâches épineuses: les équipes se sont affrontées dans une compétition chro-nométrée axée sur la pratique. Lors du quiz, les participants ont dû prouverleurs connaissances techniques.

Page 80: Bâtitech 11-2013

78 bâtitech 11-13 carnet

Solution 125: LED = Light EmittingDiode, en français: Diode émettrice delumière.

Solution 126: La puce semi-conductriceB/2 est fixée sur le socle 3. Elle est misesous tension par les contacts 4, la LED estallumée.

Pour faciliter la mise sous contact et pourprotéger la LED, le tout est coulé dansune résine époxy 1. L’optique A sert à di-riger la lumière (voir illustration 126).

Solution 127: Les avantages de l’éclai-rage LED sont les suivants:• haut rendement = faible consomma-

tion énergétique• durée de vie importante = faible coût

d’entretien• 100 % de lumière en commutant =

éclairage maximal immédiat• petite masse/formes = idéal pour l’ar-

chitecture et le design• petites tensions = sûr (très basse ten-

sion de sécurité)• sans UV = les objets ne déteignent pas• pas de rayonnement IR = pas de ré-

chauffement des objets éclairés

Solution 128: Les LED existent en modu-les de différentes formes pour l’intégra-tion dans des luminaires. De ce fait, ontrouve des plaques pour circuits impri-més et des gaines de toutes sortes, avec

Brain Food

Réponses aux questions 125 à 153

LED. Les lampes compactes avec filetage(rétrofit) sont en mesure de remplacerdes ampoules à incandescence. (Voirillustration 128, source: Licht.de)

Solution 129: Voir tableau 129.

Solution 130: En fonction de la configu-ration de la liaison cristalline d’une LED,celle-ci émet de la lumière dans les cou-leurs rouge, vert, jaune ou bleu lors dupassage de courant.

Solution 131: La technique la plus cou-ramment utilisée est basée sur une LEDbleue et une couche luminescente trans-formant la lumière en lumière vert-jaune.Avec le mélange de bleu et de vert-jaune,on crée une lumière perçue comme étantblanche par l’œil humain. On obtientégalement de la lumière blanche en mé-langeant 3 LED (RGB = rouge, vert,bleu).

Solution 132: L’expression OLED, Or-ganic Light Emitting Diode veut direDiode Electroluminescente Organique.Une OLED est un élément flexible fin etluminescent qui est constitué de maté-riaux organiques. La surface très fine ettransparente du film rend son utilisationpossible sur des murs et des fenêtres.

Solution 133: Des LED à haute puis-sance telles quelles sont utilisées dans latechnique d’éclairage sont désignées par«Power LED».

Solution 134: Les pilotes fournissent latension continue stable nécessaire (trèsbasse tension de sécurité/TBTS). Ils protè-gent contre les surtensions, les surinten-sités, les surcharges et les courts-circuits.Suivant leur configuration, ils peuventprendre en charge des solutions supplé-mentaires de commande et de gradation.Les mêmes composants sont inclus dansles ampoules pour raccordement direct àla tension de 230 V AC.

Solution 135: a) Les pilotes LED existenten deux versions: en tant qu’appareil àcourant constant et à tension constante.b) Le raccordement de la LED sur un sys-tème à courant constant s’effectue ensérie.Le raccordement de la LED sur un sys-tème à tension constante s’effectue en pa-rallèle.

Solution 136: Voir illustration 136.

Solution 137: Les appareils de pilotagepour éclairage LED sont aussi désignés dela façon suivante:

Solution 126

Solution 128

Page 81: Bâtitech 11-2013

carnet bâtitech 11-13 79

– Alimentation, convertisseur ou driver.Solution 138: Les modules RGB ou lesluminaires sont équipés de LED de cou-leur rouge, verte et bleue. Grâce à unamorçage ciblé, il est possible de piloterl’ensemble du spectre de couleur ma-nuellement ou automatiquement.

Solution 139: Oui, parce que la lumino-sité de la LED dépend directement del’intensité du courant. De ce fait, les LEDpeuvent être dimmées en continu jusqu’à0 % de leur puissance lumineuse. Lavariation se fait par l’intermédiaire dupilote. Il y a lieu de tenir compte desdonnées du fabricant concernant la LEDet le pilote. En règle générale, on réalisela gradation avec la modulation à largeurd’impulsion.

Solution 140: L’évacuation de la chaleurest un facteur important, aussi bien pourla LED que pour les appareils de pilotage.Les puces LED sont montées sur unradiateur, par contre l’évacuation de lachaleur doit pouvoir se faire continuel-lement. De petits ventilateurs dans lalampe compacte ou dans le luminairepeuvent améliorer l’évacuation de la cha-leur. Pour les pilotes il y a lieu de ne pasdépasser la température Ta mentionnée.

Solution 141: Pour l’utilisation de LEDen tant que substitution ou rempla-cement, il faut tenir compte des pointssuivants:• Forme de la lampe avec dimensions› Socle › couleur › possibilité de gradation› Flux lumineux (lumen/lm donne lewattage nécessaire)

Solution 142: La durée de vie typique est

de 50 000 heures de fonctionnement.Pour les lampes rétrofit, la durée de vieest d’environ 15 000 à 25 000 heures.Contrairement aux lampes convention-nelles, les LED ne tombent pratiquementjamais en panne. Par contre leur lumino-sité décline lentement entre autre parceque le cristal semi-conducteur comportede plus en plus de points défectueux. Cevieillissement appelé aussi dégradationest influencé par les facteurs suivants:• Température de fonctionnement• Température environnante• Alimentation avec courant constant• Assombrissement et opacité des opti-

ques.

Solution 143: Les investissements plusélevés sont compensés par les plus faiblescoûts énergétiques et la longue durée devie.

Planification électrique

Solution 144: banques, assurances, bâti-ments administratifs, hautes écoles, aéro-ports, hôpitaux, surfaces commerciales

Solution 145: Mesurer, commander, ré-guler

Solution 146: La différence entre unecommande et une régulation réside dansle fait que la commande ne constitue pasun circuit de régulation fermé mais unechaîne de commandes ouverte.

Solution 147: Un actionneur (ou actua-teur) est un élément qui déclenche uneaction suite aux changements de sa posi-tion.

Solution 148: Courant; tension; résis-tance; température; humidité; pression;écoulement, vitesse; luminosité; gaz/odeur; rayonnement global; niveau; pres-sion d’air

Solution 149: 0–20 mA, 4–20 mA,0–10 V

Solution 150: KNX/EIB «Normal»twisted pair, Powerline, KNX RF

Solution 151: Les capteurs sont deséléments en mesure de pouvoir percevoiret saisir un état.

Solution 152: Composants sans adressesphysiques tels que rails, répartiteurs, etc.

Solution 136

Convertisseur courant constant

Convertisseur courant constant

Convertisseur tension constante

Durée de vie/h Rendementlumineux (sansballast) lm/W

Pilote

Lampe à incandescence 1000 20 aucun

Lampe halogène 4000 30 Trafo/convertisseur

Lampe fluo-compacte 15 000 75 Ballastélectronique

Lampe fluorescente T5 20 000 104 Ballastélectronique

LED 50 000 60 Convertisseur

Solution 129

Page 82: Bâtitech 11-2013

Rédaction: Bernard Dätwyler et Michel HottingerPotteilaz 123, 1030 Bussigny, natel 079 310 99 [email protected], www.batitech.chResponsable électrotechnique:Pierre Schoeffel, tél. 061 485 90 [email protected]

Edition, Copyright: © AZ Fachverlage AGZeitschriften, Neumattstrasse 1, 5001 Aarautél. 058 200 56 50, fax 058 200 56 61www.az-verlag.ch

Editrice: Ratna Irzan

Marketing: Valentin Kälin, [email protected] de la vente: Jürg Rykart, [email protected]

Régie des annonces:Rolf Niederberger, tél. 058 200 56 18 (CVS)[email protected]é Fluri, tél. 058 200 56 27 (E)[email protected]

Personne compétente: Verena Müller, tél. 058 200 56 [email protected]

Layout: Toni Zürcher, [email protected]

Impression et administration: Vogt-Schild Druck AGGutenbergstrasse 1, 4552 Derendingen, www.vsdruck.ch

bâtitech: Parution: 10 fois par an, prix de l’abonnement:Fr. 85.– (à l’étranger port en sus) ISSN 1421 6704

Tirage: 5700 ex.

Remp 2012: Exemplaires totalement distribués(confirmation par la Poste Remp) 1194 exemplaires total tiragevendu, abonnements gratuits 1275 exemplaires

Autres publications de l’éditeur:Elektrotechnik, Megalink, Technica, HK-Gebäudetechnik,Chemie plus, natürlich, wir eltern, FIT for LIFE, Kochen

Droits d’auteur et de traduction: Avec l’acceptation des manus-crits par la rédaction et le paiement d’éventuels honoraires auxauteurs par l’éditeur, ce dernier acquiert le copyright et tousles droits de traduction et de publication des articles, soit dansd’autres revues éditées par l’éditeur, soit pour la publication detirages à part.

Association: USTSC Union suisse des professionnels de latechnique sanitaire et chauffage VSSH,Hubrain 10, 8124 Maur, tél. 044 908 40 [email protected]

suissetec: Association suisse et liechtensteinoise de laTechnique du bâtiment (suissetec), Secrétariat romand,rte des Longues Raies 11, CP 251, 2013 Colombiertél. 032 843 49 50, fax 032 843 49 [email protected]

Participations importantes de AZ Medien AGen vertu de l’article 322, al. 2 du CP:AZ Anzeiger AG, AZ Fachverlage AG, AZ Management ServicesAG, AZ Regionalfernsehen AG, AZ TV Productions AG,AZ Verlagsservice AG, AZ Vertriebs AG, AZ Zeitungen AG,Belcom AG, Dietschi AG, Media Factory AG, Mittelland Zeitungs-druck AG, Vogt-Schild Druck AG, Vogt-Schild Vertriebs GmbH,Weiss Medien AG

REPRODUCTIONINTERDITE

Registre des annonceursait Schweiz AG 7

amag Automobil- und Motoren AG 11

BauHolzEnergie AG 59, 65

Beckhoff Automation AG 13

Biral AG 55

Brugg Rohrsystem AG 43

Demelectric AG 33

Elektro-Material AG 35

Ernst Schweizer AG 38

Fischer Otto AG 3

Geberit Vertriebs AG 2

Grundfos Management A/S 18

Hälg & Co. AG 5

Häny AG 54

Hoval AG 41

Hug & Zollet AG 42

MCH Messe Schweiz (Basel) AG 67

Nissan Center Europe GmbH 39

Ohnsorg Söhne AG 49, 75

Peugeot (Suisse) SA 9

R. Nussbaum SA 61

Rapp Wärmetechnik AG 47

RECOM Power GmbH 29

Renault Suisse SA 15

Solu’Tubes SA 59

Suva, Schweiz. Unfallversicherung 51

Swisscom (Schweiz) AG 4

Swisslux AG 27

Theben HTS AG 3

Tobler Haustechnik AG 45

Verband Schweizer Medien 69

Waldmann Lichttechnik GmbH 31

Winterhalter + Fenner AG 25

Zumtobel Licht AG 23

Page de couvertureM. Züblin AG

Annonces d’emploisheig-vd 77

EncartsBauHolzEnergie AG

KNX Bus News

80 bâtitech 11-13 impressum/registre

Page 83: Bâtitech 11-2013

Gemacht für Elektriker.Unser Antrieb ist Ihre Zufriedenheit. Wir kennen den Elektrikeralltag aus eigener Erfahrung und leiten durch diese Erkenntnisse Ideen für neue spannende Angebote ab, welche Sie begeistern werden.Das Produktsortiment OF-Look erfüllt die Ansprüche und Bedürf-nisse des Elektrikers und des Elektroplaners. Die gut durchdachte, praxis- und alltagstaugliche Zusammenstellung der Produkte unter-stützt Sie dabei im Alltag, auf Baustellen, im Büro und in der Freizeit.

Mehr unter www.of-look.ch

Pour les électriciens.Notre motivation est votre satisfaction. Nous connaissons le quoti-dien des électriciens à travers notre propre expérience et en tirons des idées pour des offres intéressantes qui vous enthousiasmeront.La gamme de produits OF-Look répond aux attentes et besoins de l’électricien et de l’électro-planificateur. Les produits choisis pour in-tégrer la ligne, bien conçus et destinés à vous faciliter la tâche au quotidien, vous aideront tous les jours sur les chantiers, au bureau et dans vos loisirs.

Mehr unter www.of-look.chof-look.ch

Gamme élargie !!

OF-Look

Page 84: Bâtitech 11-2013

Economisez jusqu’à 447.–*

PME Office: dès 95.–/mois

Avec un pack PME Office, vous téléphonez gratuitement du réseau fixe sur tous les réseaux fixes et mobiles suisses et vous disposez d’un accès Internet à haut débit. Demandez conseil au Swisscom Shop le plus proche ou commandez PME Office en ligne, sous swisscom.ch/pme-office

Pour les PME: téléphonie et Internet à prix fixe.

* Ex

onér

atio

n de

s fra

is d

’abo

nnem

ent p

enda

nt le

s 3 p

rem

iers

moi

s, à

la so

uscr

iptio

n d’

un n

ouve

au ra

ccor

dem

ent h

aut d

ébit

avec

PM

E O

ffic

e ju

squ’

au 3

0 no

vem

bre

2013

.

PME O

ffic

e C

HF 9

5.–/

moi

s (éc

onom

ie C

HF 2

85.–

), PM

E O

ffic

e C

HF 1

19.–

/moi

s (éc

onom

ie C

HF 3

57.–

), PM

E O

ffic

e C

HF 1

49.–

/moi

s (éc

onom

ie C

HF 4

47.–

).

Autr

es in

form

atio

ns: s

wis

scom

.ch/

pme-

offi

ce