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----------------------------INFORMATION----------------------------Couverture : Classique

[Grand format (134x204)] NB Pages : 166 pages

- Tranche : (nb pages x 0,072 mm) = 13.62 ----------------------------------------------------------------------------

Enfer au paradis

Lorsque son monde s’écroule Sorelle Deffo

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Sorelle DEFFO

Enfer au paradisSor

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Lorsque son monde s’écroule

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Sommaire

Chapitre 1 – Nouvelle vie .......................................... 5

Chapitre 2 – Une rivière d’ennui .............................. 9

Chapitre 3 – Rencontre .............................................. 15

Chapitre 4 – Sauvé Lola ............................................. 21

Chapitre 5 – Vérité ..................................................... 27

Chapitre 6 – Vengeance personnelle. ....................... 37

Épisode 7 – Un bien douloureux adieu .................... 53

Chapitre 8 – La déclaration ....................................... 63

Chapitre 9 – La guerre ................................................ 69

Chapitre 10 – Les démons et les dieux : Les origines .................................................................. 77

Chapitre 11 – Il m’a dit « je t’aime » ......................... 97

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Chapitre 12 – La fin d’une guerre, le début d’un combat ................................................. 111

Chapitre 13 – Défis .................................................... 121

Chapitre 14 – Paradis sur Terre, retour dans le monde réel ......................................... 135

Chapitre 15 – Et si tout était à refaire ? ................... 147

Chapitre 16 – Sacrifices ............................................. 161

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Chapitre 1 Nouvelle vie

Je m’appelle Marie-Rose Depedue, j’ai 15 ans, je suis lycéenne et j’ai vécu une année qui se doit d’être raconté.

J’habite avec mon père Philippe, Manuella sa femme, ma grande sœur Katie qui vient d’avoir 17 ans et mes demi-sœur Lili et Lola deux jumelle de 6 ans. Aujourd’hui c’est la panique général parce que c’est la rentrée, mon père tourne en rond en criant « je vais être en retard ! » Ma sœur est au téléphone avec son copain pour le persuadé de venir la cherché, Lili prend son temps pour prendre sa douche et sa rend folle Manuella qui est stressé parce que aujourd’hui les jumelle rentre au CP, Lola est assise au salons cartable au dos. La veille mon père avait instaurait des règle plutôt stricte pour la rentré mais bien sûr comme d’habitude personne ne les avait suivi sauf la petite Lola. A 08h10 tout le monde étaient dans la

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voiture c’était Manuella qui nous accompagné, mon père prenait sa voiture pour allait travailler et ma sœur allait au lycée avec son copain Edward. Manuella déposa les jumelle à l’école primaire et enfin moi au lycée, avant que je ne sorte elle me dit : « Est-ce que tu pourras allait chercher les jumelle après tes cours ? J’aurais voulu demander à ta sœur mais elle finit les cours à 18 heure et … » Avant qu’elle eut le temps de finir j’haussais la tête et sortit de la voiture. Me retournant pour regarder le lycée ou j’allais rester pendant 3 ans quelqu’un me bouscula, c’était Ariane Rotus, le mec que j’aimais depuis la première fois que je le vis, l’année dernières. Il a deux ans de plus que moi et il est en dernière année, la première fois que je l’ai vue c’était à la cérémonie d’entré au lycée de ma sœur et depuis ce jour je l’aime. En me bousculant il fit tomber mon sac et renversé mes affaires :

– Ça va ? Me demanda-t-il. – Mmh… oui. – Désolais je ne t’ai pas vue arrivé. Je m’appelle

Ariane ! – Je sais… comment tu t’appelles. – On se connait ? – Non c’est juste que … Une fille venue m’interrompre, une blonde aux

yeux verts qui n’avait pas l’air sympa à la façon dont elle me regardait.

– C’est qui Ariane ?

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– Je ne sais pas elle ne s’est pas encore présenté ! Dit Ariane en me regardant.

– Pardon je m’appelle Marie Depedu. – Attend t’as dit Depedu ? Me demanda-t-elle d’un

air surprise. – Oui pourquoi ? – Tu n’aurais pas une sœur ? – Oui. – Elle ne serait pas dans ce lycée ? – Si. – Elle s’appelle Katherine ? – Oui, mais on l’appel Katie. – Je me disais qu’il y avait un petit air de famille ! – Katie la fille qui ta défier une fois ? Et contre qui

tu as perdu un pari ? Dit celui-ci d’un air moqueur. – oui mais elle a triché ! On entendit une petite sonnerie très douce qui

annoncer le début des cours. Ariane partie en me laissant seul avec cette fille qui n’avait pas l’air de beaucoup aimé ma sœur ainée. En me jetant un regard noir elle partit, je ramassai vite mon sac et je couru vert ma salle de classe, le prof n’était même pas encore là heureusement pour moi ! Je m’assis sur une chaise et attendis, une fille très joli venu m’interpeller :

– je peux m’assoir ? Me demanda-t-elle. – oui bien sûr !

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– Je m’appelle Edna FOCH et toi ? Surprise par cette beauté je pris du temps à

l’observé et à lui répondre : – Moi c’est Marie Depedu enchanté de te

rencontré. – Moi aussi je suis enchanté. Elle se courba alors et laissa glisser ces long

cheveux noir cendre, et d’un geste le plus délicatement possible elle prit sa barrette et la remis sur ces cheveux elle me regarda droit dans les yeux et je pus apercevoir ces yeux bleu mer. Le prof entra dans la salle, tous les bavardages s’interrompit, et le cours commença.

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Chapitre 2 Une rivière d’ennui

A 17h30 je fini les cours, et je m’apprêtais à aller chercher mes sœurs mais une voix m’interpella :

– Eh ! La petite sœur de Katie ! C’était Ariane il s’avançait vers moi avec un grand sourire.

– Je te cherchais, j’ai dus attendre 1 heure ! – Ah pardon… Mais pourquoi tu m’attendais ? – Tu ne veux pas m’accompagner à Green Say ? Je n’arrivais pas à y croire le garçon de mes rêve me

demander de l’accompagner au centre commercial ? Non c’était un rêve !

– Désolais mais je dois allait chercher mes sœurs en primaire. Cette petite phrase résonna comme le tonnerre dans mon cœur.

– Ah bon ? Je peux t’accompagner ? – Si tu veux !

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Il s’avança et commença à marcher, je ne pus marcher a coter de lui. Vingt minutes plus tard ont arrivaient à côté de l’école primaire qui venait d’ouvrir, je demandais à Ariane de m’attendre, il sourit.

Lili et Lola étaient dans la même classe, leur classe remplie d’enfant était un peu terrifiante, même leurs maitresse était petite, amusant mais inquiétant. Le temps qu’elles prennent leurs affaire et qu’ont sortent dehors Ariane avait déjà disparut. Je n’arrivais pas y croire, je venais de rater un super rencart avec un mec super canon. Mais pourquoi m’avait-il attendu ? C’est pas comme si j’étais une fille exceptionnel ou que j’étais très attirante, au contraire en 15 ans de vie on ne s’est déclarée à moi qu’une seul fois en primaire. C’est vrai que j’étais mignonne à ce temps là.

A la maison, Manuela préparé plusieurs pizza, en nous racontant sa vie en tant que pizzaïolo, une histoire que depuis son arrivé dans cette famille, elle n’avait pas arrêté de raconter. Moi, sa ne me déranger pas personnellement, mais sa pas du goût de tout le monde. C’est-à-dire Kathie, qui, peut on le dire, déteste plus que tout notre belle mère, elle la trouve « agaçante et trop parfait », au fond elle je sens que même maintenant elle ne veut pas d’une autre mère, elle espère se réveillait un matin et retrouver notre mère.

Kathie s’énerva lorsque Manuela arriva à la fin de son histoire, mais pas à la fin de ces pizzas.

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– Tu nous énerve avec tes pizzas, pourquoi tu nous rababs tout le temps les oreilles avec ces fichus pizza ? Quoi tu te vante ?

Au début, personne ne fit attention à elle, même mon père qui est pourtant son adversaire le plus redoutable. Mais, ce qui arriva, arriva. Il n’y avait plus de pâte pâtissière et qui ont envoya par mégarde ? Ma sœur ainée, qui était au téléphone avec Edward, que mon père n’aimait pas plus que sa ! Mais elle refusa et continua sa discutions, la zen attitude de mon père disparut très vite, il s’énerva et devint tout rouge raccrocha d’un coup sec le téléphone et cria :

– Arrête d’en faire qu’à ta tête tes pas la seul ici, quand tu rentres tu t’enferme dans ta chambre ou tu appel ton Edward, je te rappel jeune fille que tu as trois petites sœurs qui ont besoin d’une grande sœur…

– Ce ne sont pas mes sœurs c’est tes enfants, pour moi je n’ai qu’une seul sœur les autres se ne sont que des …

Mon père la gifla, ma sœur cria « Je te déteste toi et ta nouvelle famille » et elle monta dans sa chambre, il voulut la suivre mais Manuella le pris par l’épaule et lui demanda de laisser tomber. Je sortis pour aller acheter cette pâte pâtissière, la supérette la plus proche était au centre commerciale, le fameux Green Day, là ou ce chère garçon voulait m’emmenais. Je me dépêche d’acheter la pate et je sortis du magasin, la nuit venait de tomber et j’avais un mauvais

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pressentiment, j’avais l’impression qu’on me suivait mais à chaque fois que je me retournais il n’y avait personne, alors je continuai en essayant de ne pas faire attention. Je ne sais pas comment mais je me suis perdus, pourtant le centre commerciale n’était pas si loin de chez moi et le pire c’était que je n’avais pas de téléphone, je m’assis sur un banc en essayant de réfléchir à une solution pour retrouver mon chemin. Une fille passa en courant, j’essayai de l’arrêter mais elle ne se retourna pas elle continua à courir comme si elle fuyait quelqu’un et pendant quelque instant je crue voir Edna FROCH, mais je me résiliai à cette idée. Je marchais longtemps jusqu’à ce que je vus une sorte de grand château du genre palais au mille trésor, sur le mur été écrit : « professeur Rosonft grande scientifique », je n’avais jamais vue cette maison et je savais encore moins qui était ce professeur Rosonft. Quand je m’apprêtais à sonner pour demander mon chemins un enfant venu m’ouvrir :

– Entre le professeur t’attend. Sans se présenter ou même me regarder il me montra le chemin. Arrivé devant une porte le jeune garçon s’arrêta et l’ouvrit laissant place à de somptueux décor, au milieu de la pièce une vieille femme en fauteuil roulant me regardait d’un air sévère :

– Tu dois sûrement être celle dont Carol avait prévu l’arriver ont ne t’attendaient plus, pourtant on a tous fais pour te faire venir le plus tôt possible. La porte d’entrée s’ouvrit à nouveau :

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– Eh la vieille, je croyais que tu m’avais demandais de laissé tomber pour cette fille mais au final c’est toi qui la ramène au manoir, franchement la prochaine fois si t’a envie de faire le sale boulot à ma place se sera avec grand plaisir mais ne me fait pas me déplacer pour une chose si puéril.

– Ne sois pas si grossier Ariane, ce n’est pas moi qui l’a ramené ici et je t’ai déjà demandais cent fois de ne plus m’appelais « la vieille ».

– Si tu le dis, mais qu’est-ce qu’elle fou ici alors ce matin j’ai essayai de la ramené mais elle a refusé.

Pendant qu’ils parlaient je ne savais pas où me mettre, quand j’ouvrai la bouche quelqu’un parler à ma place et le pire c’est que ma disparition allait mettre un autre froid dans ma famille qui ressemblait déjà à un congélateur.

– Excusez-moi mais il faut que j’y aille on m’attend si je ne rentre pas mes parents vont être inquiet. La femme en fauteuil me regarda et dit :

– Tu ne rentreras pas chez toi ! A ces mots les portes se fermèrent derrière moi…

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Chapitre 3 Rencontre

Sa fais 1 heure que je suis ici à ne rien faire, sa fais 1 heure que j’attends et sa fais 1 heure qu’il ne se passe rien, ils ont demandaient au jeune garçon silencieux de me surveillais parce que sa fait 3 heures qu’on doit être en train de me cherchais. J’essayais sans relâche de faire la conversation mais c’est à peine s’il me regarde. La porte s’ouvrit quand je me fie à l’idée que tous ceux qui étaient ici été tous bizarre. Une petite fille vraiment très mignonne entra dans la pièce, me regarda longtemps, et me fit un grand et beau sourire, elle s’approcha de moi :

– Bonjour je m’appelle… Elle n’eut même pas le temps de se présenter qu’une autre fille apparut dans la pièce en criant :

– Carol va te laver j’en ai marre de te courir après tous les soirs. En me voyant la fille eu l’air terriblement désolé.

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– Je suis désolais je ne savais pas qu’il y avait quelqu’un, je vous prie de nous excuser on s’en va tout de suite.

– Non ne partez pas, vous êtes les seule personnes à peu près normale que je croise aujourd’hui, je m’appelle Marie et comment dire… Je me suis perdu et j’attends qu’on appelle mes parent pour que l’on vienne me cherchais. La jeune fille gloussa, s’assit près de moi avec la petite fille et dit :

– Tu n’as aucune capacité spéciale j’espère sinon tu peux toujours rêver pour qu’ils préviennent tes parents, je suis arrivais de la même façon ici ! Tu crois que tu te perds mais en vrai tu es a quelque pas de chez toi mais quand tu le découvre il est déjà trop tard ils t’ont déjà pris dans leurs filet.

– De quoi tu parles ? Ariane m’a dit qu’il allait appeler mes parents et qu’ils allaient bientôt venir me cherchais.

– Si c’est Ariane qui ta dit ça tu t’es juste fait avoir par ces beaux yeux verts et son sourire charmeur.

– Je ne te crois pas mes parent vont venir me cherchais… Soudain j’eus un doute en moi je n’arrivais pas croire qu’Ariane se fichait de moi, je ne pouvais même pas imaginer qu’il puisse faire une chose pareil. Oui c’est vrai je ne le connaissais pas bien, mais lorsqu’il m’avait dit sa, il avait l’air sincère.

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– Au fait moi c’est Eliza et la petite c’est Carol. Cette fille croyait vraiment que j’avais envie de parlait après ce qu’elle venait de me dire ?

Eliza raconta comment elle était arrivée ici, elle raconta surtout comment ils l’avaient sois disant piéger à son insu quand elle n’avait même pas 10 ans.

– A oui le petit là il s’appelle Sarin il a l’air mignon comme sa mais c’est un vrai petit monstre à l’intérieur. Elle détourna son regard et s’adressa à Sarin.

– Tu ferais mieux d’allait te doucher avant que les grands ne rentre sinon il n’y aura plus d’eau chaude.

– Lâche moi Eliza je ne t’ai rien demandais et de toute façons j’aime l’eau froide. Eliza fit une grimace et s’adressa à moi.

– Lui il a était emmener part ces parent il y a 6 ans et depuis c’est vraiment très rare qu’il parle, enfin il parle beaucoup mais seulement quand Théo et Ariane sont là. Mais je ne t’ai pas dit… Le grincement de la porte l’arrêta pour le plaisir de mes pauvres oreilles qui n’en pouvaient plus de l’écouter. C’était Ariane et le professeur qui avaient fini leur entrevus, Ariane fronça les sourcils et dit très en colère :

– Que faites-vous ici ? Vous n’avez pas cour demain ? Eliza s’écria :

– Sa te regarde pas, je fais se que je veux tu n’es pas mon père ! Elle s’adressa ensuite au professeur.