RENAULT Cretin Marc -...
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de la CULTURE et·des ARTS dt< LA SEYNE/me..,
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Notre photo de couverture :-
Dessin original d'Yvonne APPENNINI
une grande marque + una grande marque
~
Brandt C/orville
•
Entretien avec Ra)"'1ond JEAN . •. .. . 3
A Io dl!couverte des sentiers ... ...... 5
L'ecole Municipale de Mu1ique ......... 6
Distinctions . . ....... 8
Lo Danse ••. •• .. •.. JO
Jeu- Seynol1 en Cone ..• •...... .16
D'un lointain pou6 encore p'6sent .. ........ . 21
Amb de Io Seyne Ancienne et Moderne ....... . ... 23
Jeunesses Musicole• de Fronce ..... ,.,., .. 24-
Connoissonce du monde .......... 26
f411lluos MICLU toutoo l A...rç" d. ~c• TOUt.ON
TtkipfOIW -41,09 J
U. J::neeRXJaûx 1'.J?i:t\':I · Q\iattiet Dàl\ttl a t... ,..)'l.WJ1:r1• r.
EtsGDRll 9 er Il coun L. Blonc
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D6ponnoge rapide por s~cia liste.s
EXPOSITION
EXPOSITION FRANCE-U .R.S .S.
du l 6 ou 20 novembre
EXPOSITIO N de
PEINTRES SEYNOIS
du 24 nov:embre ov 10 décembre
.Peintre invité : Paul OOL, d'Aubagne
Entretien avec Raymond JEAN
SOCIETE MEDITERRANEENNE DE PHILOSOPHIE
11 LA LIGNE 12 11
Comme nous l'avions onnoned dons le num6ro 26 d 1ETRAVES nc>u$
publloN ovjourd'hui le compte rendu de l'entretien que Ra)"Tlond JEAN o eu le 4 moi demier ovec un certain nombre de pem>nalités sur son dernier livre," Lo ligne 12~.
Il o rfponclJ avec beoocoup de pertinence et de nette!~ OU>< qv.stions de Simon Lonti•ri,Pierre Carninode,Doniel Bougnoux , 8emord et ~ràse Blonc,Mne Mochin,Jocques Qu4ron et monsievr Autron , odjoint ou maire et Daniel Hugonnet,Cons.efller Municipal.
On rappelle que •Lo ligne 12 • <'d' un nicit, le ~eit d'un 'vénfll"nent o.ont Io victime est un trovoi l leur ,oghnibln dons une ville du midi,ffcit
<1ui est norf'f ie lon certaines méthodes ri1iies ou point pot Je Nouveou romon.
Ce1t autour de ces deu)( axes crue tournaient les questions et les,._ I'°'""' de Ra)<lloncl Jean.
UN RECIT Simon Lont léri,qui ouvre l'en
rretien,note tout d'obord )'6qullibre -l'JI lui pla1t entre l'e$prÏt critique et le pouvoir crfatet.1r de Raymond Jeon al lui demande pourquoi " Lo 1 i g n e 12 • te P'°'$ente comme un "'cit , et non conwne un n::mon.
Rlcit,rfpond Roymond Jeon, porce que l'•Wn«nent dont Mehdi, le lravoilleur •mmlgr4i,e1t victime,ne peut wpporter le pcth•tique, l'enflure ; il fallait d6crire,6toblir un constot.Ocms cette de1crlption, Pobfectivit' c om ...
mondait le "rfofisme du rt9)rd•,eor Io regard pennet d'éviter ta outra semotions, trop chorgées d'offectivitf : cela est un des apports du •Nouveau lomon .. Oo descriptiOf'\ optique) .
En outre, le romon entraine trop l'id6e de fict ion pure, or,• la ligne 12 • 1'lnspfre d' uri foit d iven. Enfin depuis Gidlt, le "cit se développe d'une ma• niàre fin6oire.Lo fiction risqu. de "nier Io respon'°bilit6 soeiofe et po• litique de l'êcrivain,b loquelle jewia tràs ottoch4.Ce n'est pas parce c:iue l'engagement ancien o tchové ni parce que Je r6olisrne sodoliue o donn4 des r6wltots décevants que l16crivoin doit renoncer à cette .-espomobftit6 *.
QUELQUES FORMES Pierre CQ'Tlinode demande 6
Raymond Jeon pourquoi la narrotion de chacune des trois parties du livre ttt foite ovec des pronoms pertonnelt dîff•rents.11 lit te dEbut de çhocune de ce• portîës.
~d Jean ripond que le •if• de Io prti'ni tre e1t le pronom qui convient ~ Io da cription,ou • regord • objectif ; que le '"nous" de Io devxi«ne est celui qui onnonc:e Io cons• cience collective dei e ens qui font une enqolte dons la c it' et. trant.i t oO vit Mehdi ; enfin, 1 e " i•" de Io deml•re o une intention satirique, l'O\lteur c: oric:oture le polob do i'-"Hc:e.
UN MAI.AISE 8amord Blanc intervient o lon
pour soulignerque celte troisifte portie,foi14nt suite b l'incfignotlonquefe lecteur ' a 6prou"'e auporovont.suseite uri malaise chez le lec.teur,qui H sent mh en covse,ou rnêmetitreque l'avo· cote. le procureur, le juge.
VWI ovez raitof\"'6pond R. Jea~ Cela est trà important : olert•r le lecteur.Cet fpisode ne concerne pos seulement un trovailleur'1nmigrf,mois les relorions entre Io jus tic• et les iusti c:iobles.
L'ENFANCE Wme Moehin de monde .,.11.
place R. Jeon accorde lll 1'6vocotion de Mehdi de son enfonce.• Je ne .ois pot si j 'al bien foit, r6pond R. Jean. mois il m'o s.emb14- quecethomme$0ns bge,Mehdi ,o peut-êtref.tf. un enfont ".
D'outre port , l'outobvs de " Lo llsrie 12 " ,Io cit4' de transit, le patois d. fustice,IOl"lt des lieux clO\.QUx~els vo s'oppoter le pays notol ensoleilff de Mehdi .
Pierre Cominode d.nonde s'il n'y o pos,b cette •vocotion,une roiton forme l le et po6tique.
En effet, dit-il,dons l'outobus, ~ ovez dicrit une offichequi montre une femme fois.ont cl, ski noutiqve doni un c:Wcor ol~rien qui est le même que celui que Mehdi f'voqve plus tord. En ovtre beaucoup de nolotions de d6toll se retrovvent ici e t lb, po r exemple des gouttes. d'eau, de weur, de loit.
R.Jeon : •Je n'o i peut•êt re pas voulu ces gouttes.mois je let oi t c ri hts .CeJo tient à l'octe mime d'6crire qui d6temifne des élémenh, qui n'avaient pos. f:t6 c::hoisis av pr6oloble .En outre, l'offic::he o une signif ication en elfe-mlme,por rapport à l'outobus et ou monde de Io publidt6,.YO loble pour ceux qui ont de l'argent •.
UNIVERS PARALl.ELES
Simon lonti6ri voit lô une nouvelle preuve de l'indivision chez R. Jean de l'octe d'6c::rire et de Io noture de son engagement et de Io tech· nique contrapuntique du r'citAui llvre d• univen porollàles qui ne peuvent se reneontrer . On dis.euh~ olondu probl*ne de Io communicotion entre les èhei .
Un dialogue s'engage ensu i t e entre R. Jeon,M .Autron et Hugonnet, wr Jo sltuotion des travailleurs i"""'i g~s à Lo Seyne et sur l 'action entreprise en leur foveyrporlomunicipolit6 oction que Io corerw;e de l'Etat rend difficile.
Sur une obs:ervotion de Thtme Blonc, relotin: b Io lyd:enne qui do"' le livrt monifeste une cerloine soli ~rit6 enven Mehdi,k.Jeon rendhommoge ti Io c::.ontc::ience plus ou moins 6loboNe que Io jeunesse a prhe des probl&nes des travailleun immlgr•s .
Forêt de JANAS A LA DECOUVERTE DES SENTIERS
Sentier Balise N ° 1
Nous vous proposons une promenade ~ JANAS .sur le sentier bolil6 N° 1, por les omis de Io na ture.
Af>ràs avoir stationn6 yotre vf!hicule où porc réservé tll çet effet,b côt6 da Io Moiwn Foresti~re, prenez Je diport ou denus de Io e1atvNt wd du ZOO de JANAS,une flèche 1cell~e vous lndique : FA®AS PIAGE, 40 minutes, et les couleur1 bleue et joune donnent l'indicatif du N•t .
N'oubliez pas votre c:osse eroOte,un pev de boi$5,0ll, fa bol1odo vo durer 2 h el demi o 3 heures, suivant les holtes, et Io ropidit6 de votre pas.Le sentier port plein svd au·cMuu1 de Io route goodf"Onrtfe qui monte oux botteries de PEYRAS,pour tr~s peu de tempt,avant de descendre rejoindre vne piste fot•sti flre en terre bath.te large de 2 mètres,pi ste wr laquelle vous risquez de rencontrer des covoliers.
A.uez vite vous trouverez sur votre gavche, une nouvelle detc.~to en directe syr FABREGAS ~ù vous orriveroz 30 0 40 minvtes plus tord, suivant toujours les troi)s jaunes et bleus, et après fronchinementd1un pe"" tit ruisseau.
Dons certain$ correfours,vous constaterez qve les traits de peinture sont doubl,s, ils vous indiquent toujours les changements de direction.Aprh ovoir trovers6 fe homeou de FABREGAS et Suivi 1., chemin qui •'41tve ou-dessus du restouront, I• sentier N° 1 retrouv6 vous conduit sur Io c«niche merveiltevse,qu1 en direction du S6mophore vous omàne d'est en ouest,poor un inognifique porcoun ou ... deuus de Io grande bleuo,et dans une forêt encore betle-,bien que de nombreux. pins soient d6ractn61,et entravent Je senrier.
Apr~ de multiploo halteo,vous pourrez oânirer un ponoromo >plendide .sur Sicl6 et sur les nombr...,sm criques, dont certoinessont le Poradh da Noturhtes ; vous arriverez wr Io route de Io cornid\e vo rorse qve vou' trovenerez pour retrouver les bolrse1 jaunes et bleu , oins i qu'une flèche 1eellfe .•• Le N° 1 «npnmte a Ion un chemin de terre bottuo,et detcend rapidement en pleine forêt ..,, Io gouche pour gogner le fond du vollon,01 remonte v•ts le camping de JANAS .-npnintont pour un bref instant Io piste hippique et Io route goudronnh Il f'orrlv6e Io long du ccmplng.
Vous ovez boud6 votre "mini rondonn6" un peu fot ig.M,moh h.vroux de belles cMcouvertes i vous ovez morch4 3 heures envil'Of\ttt votre Of'goniame ''*" trouve vivifi6. Bient6t nous vous ferons d6couvrir les sentiers N• 3 - 4 et S qvi sont .., cours d'om4-nogcment.
C. CAVALIER.
La classe de violoncelle (prof. M. FAURE)
L'ÈCOLE MUNICIPALE DE MUSIQUE ET SON AMICALE
Avec Io rentrfe des cloues, l'Ecole municipale de Musique o repris son intense ac:tivitf-,bien connue mointenont do tous les Seynois (n'y oHI pas bientôt 8 on• qu'elle o 6t6 c,.6e ? ) ' coun de sollàge, coun d'instruments ( piano, violon, violoncelle, clorinette,soxo,.houtbois.. flûte, cornet, trompette, bolson), clotse de musique d'ens.-nble.Lt tout 11odres1ont 6vid.mmer'lt aux enfont.s d 'âge scoloire,et di.spem6 grotuitemertt.Oepuis un .,,_..plus d'un on,f.golement,un coun de chant chotcl fonctionne aussi bien pour les jewies que pour les odultes de fOU$ &ges,tnvsiciens ou pos, et ce n'es,t pas le coun qui o le moins de wcc.M :
"le mistral" école technique privée
d'enseignement commercial 13, rve louis Blanqui
Lo Seyne nt, 94 87 sa
Mais, li côté de l'Eco.le, il exi1te une .Amicale qul regroupe à Io fois les familles et tous les amis de la Musique.Catte AmicCJle a pour but ~ tiuer des liens d'omiti~ entre tous ceux qui aiment f1Ecole , qui veulent porter ou plus hout so bonne renomm6e,et qui essaient- de compf6ter les COUR par des activités occessiblM et profitables aux é l~es.
L'on demier,eette Amicale avait organisé :
- 1) Un concert gratuit ,dons Io Sotie de• FêtM de !'Hôtel de Ville, par !'Ensemble instovn.entol de Toulon <OU> Io direction de M. Georg .. &ouisson.
- 2) Trois sorti"' 0 l'Op4ro de Toulon, !> p<ix réduitl,lransport compris: 0 Le Comte de luxembourg•,MMirttille~ et Mla Vf:Uve Joyetae 11
avec vhite de k,. fœs.e d1orche1tre ,de Io scène,des loges des or1Î$tes, de Io rnac.hi nerte •• •
- 3) Des commentaires de disque, par. M.Destremeou,profes.sevr .. "les Tableaux d'une Expooition • de Moussorgski ,
.. 4) Le d6monoge d'une discothfiiqve 11 clossique•1 ,onimêe et surveillée par les 616vM.
- 5) Des contacts avec Chllteouvollon pour d., spectacles b prix ... duit.
L'Amlcale avant le départ pour le pique-nique.
- 6) Une aide apport6e 6 l'Ecale 6 l'occasion des concerts danM> au Foyer lt6sldence ~.Croizot,b l',cole T .Merle, en l'~glilede Mor-Vivo et 6 Io salle M.Boquet.
- 7) Une mogniflq11e sortie champêtre 6 Tourves.
- 8) Un resserrement des liens d 1ornitié entre parents et professeurs ou cou~ d'uno petite r6ception pour Io Fête des Rois.
Voil~ 1 certes,un bilan posltif et même 'loquent.le C.A. de f'Amicole pense ovoir sotisfoît . Io c'entoine do fomilfe5 oyant ocllf:-16,et,6 ce nauvoou d6part 1973 - 1974, lance un oppel pour qu'encare plus do personnes vient1ent .-enforc;er- ses rangs.Avec:: Io confiance detous, il espàre foire encore mieux pour Io bien de l'Ecole et de Io Musique.
E. Jouvenceau.
DISTINCTIONS
Mme Josette LUQUl!T,proleaseur au lycée de LâS<>yne-sur-rner, s'est vu décerner par Je recteur de l'Académie de Nice la médaille de bronze de l'·enseignement technique Pour services rendus à l'~ducation nationa le . Nôus nous réjouissons de cette distinction hautement méritée. Mme Luquet, née Troubat,appartlent à une vÎeille famille de notre cité, où elle enseigne depuis 1934.Son mari, M. Charles Luquet, actuellement à la retraïte,exerça1t,naguêre encoreJ les fonctions de secrétaire admlnlstratll a l'hôpital de La Seyne, oil il ~lait tres esti-mé. ·
Té-! 9~ 71 .24 LA SEYNE-SUR-MER (Vdr)
LA SEYNE-SUR-MER 6 bîs tue C~rus-HugtJe~
foléphone.' 94 .84.57
L'ELEGANCE MASCULllNE
Jean-Claude AUTRAN Docteur d'Etat
Jean-Claude AUTRAN,anclen 61ive de l'Ecole Martini el du Lycte ~lossique et modeme de notre vilJe.
Actuellement ln9'nleur,chargé de recherche> Il l'l.N. R.A. (Institut notlonal de !a Recherche agronomique /J Pari•) . Prof.,..eor de Biochimie vé~tale b l'~cole Française de Meunerie,
A .autenu le 20 fuin une. THESE de. DOCTORAT d'ETAT es Scienceo NaturellM ti la Faculté des Sciences de l'UNIVERSITE de PARIS VI.
A <!16 acmls brillamment avec la mention •Très honorable•.
Nous cidreHons "°' félicltatiom au jeuné docteur qui est, ·iappolon. le, le ·fils de notre ami Marius AUlRAN,odjoint au Maire, et Mocbne~ fesse\lr honoraire.
Le jury était compo.6 de :
P~ident : M.ULRICH,dlrocteur de Laboratoire de Technologiev6gétole PU
C.N.R.S. Assesseurs : M.GUERN ,professeur /J l'Univer>i té de Pari"
M.GUITTON,prafMSeur b l'Univer>ité de Perpignan,Sp6eialiste do la techn·ofogie des ~!!'toux.
M.BOUROET,dire.;teur de Recherche /J l'l.N.R.A.
Robert SALVADOR Agrégé d' Espagno l
C'est avec un tr~ grand plaisir que nous avoni appris que not r·e concitoyen Robert SALVADOR,a été reçu,en j4illet dernier b l'agr6goticn d'Espagnol.
Après ses ttudes au lycée de La s.;.;.,e et o....;;,.,, d'Urville de Toulon et apr .. avoi r obtenu SM grades b la Faculté des Lettres et Sciences hll1\0ines de Nice, Robert Salvador a été nommé au lycée Toech d'Ajaccio.
Peut-être ourohs-nous le plaisir un j.our de l'aCcue.iUir dons notf'e
ville.
10
LA DANSE
Parmt toutes les expressions -artistiques, la danse est celle qui au plalsir des yeux joint le plus intensément lea joies du cœur ,qu'elle •'exprime en une émotion théâtrale ou même en une a.batractlon volontaire.
Le tempe d 'un adage et le couple par la purett! dans ses moyens d'expreseton,san.s aucune concession à. la f.aclltté. se roue en "Roméo et Jullette",.en ''Carmen et Don Joaê" ... nouant etdénouantdes Uens affectifs rendant leurs personnages rayOIUlilnt d'une rare émotico sensorielle, hutoaine.
Pour enseigner cet art, le choix du maitre de danse,qul sera en même temps chorégraphe et scénographe, est , on le conçoit , primordial.Il devra Insensiblement transformer l'enfant qui lui est confié en être sensible et expres8l1,sachant faire effectuer a son corps cette mutation pour que, son art devenu translucide, le spectateur puisse lire le langage merveilleux de la danse.
Ce spectateur favorisé nous l'avons été au gala de danse donné par les élèves du cours du Centre Soclo-Culturel llertheetM.Michalangell, membre de la commission de !'Enfance du Comité d'Entreprise des Cooatructlons Navales et Industrielles de la Méditerranée (C.N.I.~.) l'a reesenti lors de la récente visite qu'il fit au CQUra de danse de cet organisme et qu'il nous conte •1-aprês.
J.RAVOUX
CHARME et JEUNESSE
AU COURS DE DANSE
du Ç . E . des C . N . 1 . M ;
Ignorant tout de la vie quotidienne d 'un corps de ballet me 'YOlcl, grl:ce l l'autorlsatlon exceptionnelle des élua C.G.T. du Comll' d'Entreprlse,dans l'lmme nae studio aménagé Impasse Simone.
Chaque Jour la classe de danse, que dirige Mme Lamarque, accueille une soixantaine de jeunes élèves 4é<'S de six 'l aelae .ana , travaillant selon les ages et les degré• de technicité.
La vaste oalle moderne celnlurêe our deU:.< cetés de la traditionnelle barre,est développée par de grandes glaces,permettant &U:.< danseuses de réaliser, seules, ce travail de base pour parfaire la pureté de leurs mouvements et de leure attitudea,en collants , Justaucorps et bas de laine.
Du magnétophone Installé dans un coin s'égrènentlea premières mesures de l'e::itercice.Aucun secours ne peut venir de lUl,aucune indulgence de sa part dana le déroulement dea rythmee,de la mélodie, H voua ttre, 11 vous pousse .. . à l'oppoeé bien souvent d'un pla.nl1te conciliant :
Surtout dêe ses débuts la jeune danseuse doit affronter le travall technique de la barre ; avec elle les extrêmes des exerctcea ne sont Jamala attelnta,au point que ce jeu a de quoi décourager les gymna1tes même les plus éprouvés. Dès lors on comprend m 1 eux pourquoi certaines gymnastes dans leurs exercices au sol parviennent mieux que d'autres à s'imposer 1 c'est à n'en pas douter qu'elles ront marcher de front les exercices gymniques et ceux qui guident la danse. Inversement depuis 1925 environ, la danse classique s'enrichit de l'enseignement de l'acrobatie permettant ainsi les gra11des élévations, les oaltatlona élégantes et véloces et lea développés harmonleux.C'elt l ce travail obecur que nous avona aaeiat6 l'espace d'un moment .
L'échauffement termlné,lea ligament• assouplis c'est au mUleu de la salle un travail où se dessine déjà l'amorce d'un paa, d'un en .. chatnement. L'exemple du profeaaeur eat prêpood6rent, chaque mouvement eat dfcomposé et ce canevas se Ue aux rythmes compté• par cbaque 6lèoe.
Lee pa..s obéissent ensuite aux automattsmes que guide la com .. préhension de la mUBlque. La danse s 'inscrit alors dana l'abandon ar· tlotlque et la Joie de la réuealte et de l'oCfrande ae Ill sur chacun de• visages.
11
•2
Bien d'autres dllflcult61 ~lendront aaaallltr noe Jeune• claN1euses ma.la,d6Jl conflantea en leur a.rt, fortes des encourag:ementa de leur maltrease de ballet eUea retourneront chaque jour l la barre, ellea étireront leurs membrea, la glace contrOlera la aQre~ de loura eQulllbr•a, la délicatesse de leurs déliés, la gr•ce du geate, l'harmonie de leur corps et la nobleH• de leur port de t~te .
Elles savent cea e nfanta, ces Jeunes flllea,que seul compte le travail,qu'un instant de re1'chement sacrifie des ~ures de travail et que toute• elles doivent ee plier aux mêmes dlaclpllnes sa.ne aucun
esprit de fatuité, la plus éduquée ae mettant l la dtspoelUonde sa camarade moins favorie6e .Cet es prit est le pge de la. réussite dee en .. sembles scéniques que reha.usseroot le bon godt des dêcora,des coetumeo et la justesse des éclairages, mettant en nleur tout le charme de cette jeunesse triomphante.
MICHELANGELI Membre de la Commission de ! 'Enfance
du Comité d 'Bntreprloe des C.N.l.M.
Michèle COSSO, Professeur-Chorégraphe
du Centre anime l'école de danse
Socio-Culturel - Berthe, Pépinière
jeunes talents de
Pour Io première fois, le 9 juin dernier, ( eJ é 1 ève s de l~école de danse du Centre Socio-Cuhurel de l'ensemble d'H.LM.du quartier Berthe, étaïent présentées ou public,ou cours d'un gala à !'Hôtel-de-Ville.Michèle cossa, leur professeur,ovoit raison de se montrer fière de ses él~ ves qui,mol9ré qu'elles soient pour lo plupart des 06butontes n 1oyant que neuf moi'i d'étude,réolisèrent ou moximf.A'Tl de leur grocieu1c pouibilitfs.
0'entr6e ce petit monde ortistlque s'impoSdit avec .. brovOùre " sur une musique de J .S. Bach. Les ~lèves- du 3° deg~ donnaient ainsi le ton. ~jo en poueui011 de dom expressifs et d ' une techniquepréciserore chez ~e enfant de six ons,Martine BACHELOT se mit en 6videnc.e chez les élèvm du 1er degré,oVec Patricia MALLEA,sept ans, toute de grâce et de "11èret~ ("Jeux Interdits").
13
,.
Dons "L1Etronge c:Mfilé" Io sponto~ité bien donsonte de Catherine PIANELLl,six oos,et de Sophie LEMOINE,sept ans, s•~t élevfe Q vn niveau ortistique prOMetteur sur un essai de chorégraphie mod erne_d'une heureuse impirotion ; tl n'en n'a pot été de même pour e e 11 e réoli~e sur l'idée, pourtant originole,de "Oéeouverte dons un grenier ",où cependant Io bonne volonté et Io virtuosité det fillettes retinrent l'attention.
La plupart des élèves Q..i de1JJ1Ciètne degré eurent quelquei difficultés à suivre Io vivoeité rythmique du "Cancon" mais .leurs beaux sovrires et leur joie de damer ,ainsi que l1éclo t de leurs robes en:ehont~rent l 1cmistonce. Dom cette ronde endiablée deux solistf:S du troisième deg~, Clotilde CAUS,déjti tr~ gracieusement féminine et Annie ADJEOJ, toute de vivoeité oppcrvrent fovorobletnent.
Mich•lcCosso réoliso une chor~g('ophie e>Cp6rimentée et bien construite sur une musique de Tcho\'kovsky," lnterm~de " .Divertissement frais, léger et omusant .
le. c;lonicisme de Io chor~grophie bien lnspir6e por Io musique de Vivaldi," Danse Pastorale 11
, c1'o quelques difficult6s teçhniqu•t ~ voinçre, qu• dons f'ememble lm 'IWes des premier et troisiàme degr6 surmontàrent avec une bon no volent• f..,idente.
Novs avons nott1 le contrôle C«pOfel de Jacqueline Rovneou, dovt.e ons,qvi oprà onze mois d'6tude parvient ainsi b manifeste r un t o 1 e n i plein de promeua, convne dons "Sonate povr Clavecin .. , sur une mu-.iqve de Pbdre SOLER,d'un P'.Jr olcnsicisme chor6graphique,bien mise en voleur pot l'ensemble des ~1~.,. du 3• degrtl.Jocqueline ROUSSEAU,ensolo,dons un style tràs li• affronta avec oisonce des difficuft•scertoines sons lo l11er apporoitre le moindre effort, Io moindre contraction.
Ca mêmes 61tvet firent voloir Io jtJ5ten4 de leur interprétation sur un pc*ne de lornortil"le,chontf par G. &ro$sem, " Pensfes d4'I Morts•.Potricia MAllEA,du premier deg~,dom le r61o de "l 'enfont• fût nette d'r.nuovc:icnc:e, illumiMe d'une rovissonte norvet'.
Poor clore Io pr6s.entotion de ses é l~ves, Mkhàle Cosso, professeur de donse,ch°"grophe possionfe. fit Io pntu"Je do son royonnement dont l'art de Io danse en rfoUs.ont des groupei tngf"it ul'C, lyrlques èt potticu· liàrornent mobiles wr une musique de J.. STRAUSS, .. l1Epoque '" ; le cho .. t6grophe sut ioliment utiliser fo polette lumineuse des styles c los.s.iqu• el
modeme,assimil'1 choc.un b une fpoqu• bien dïff•rente . En m.odeme ce nous fût l'occasion de d6couvrir un outhentique ternphament en Christine GUERRERO 'tonnonte de l6gàret6 et de sponton6it6.
le "°" goOI du ipec:tocle 6toit ooulign<! pot celui d<os costum• rtiolis6s pot Moderne Glodis AOJEDJ; M . Joques LEBOT s'occupoit ovec
·pr6chion de Io ,.gie.
Tous no< compliments b Michàle COSSO pour les beoux ,.sultats oequis dons un lops de t9np1 tr~ court, fo lsont oin1i Jo drfrAonsttation O. '°" talent et de Io wbtillt' inventive de son esprit pour un ort ouquef elle se livre ovec pouion .
Cette passion elle soit Io c.onwnuf"iquer b toutes .. ,es filles."' pour leur plut gronde joie de vivre cbm l'fquilibre el l'hcrmonie de levnqualit4s physiques et psychique.
Nous aoluons cette talentueuse f>'piniàre de noa.plut chaleu r eux btovœ.
J. RAVOUX
Mic.hlle Cosso nous ptie de faire aovoir qu'elle reprendra Io direc.· tion de 1'6c.ole de danse du cantre socio Culturel au mois de septembre.
Dam ton emploi dv temps elle inserero un coun de dortSe mode.me por S#n<>ine en potal làle ovec: un coun de danse oeod6miqu. et un coun cie pointes.
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JEUNES SEYNOIS EN CO RSE
Sé jou r touristique
ou. essai de démocratie
L'aventure a commenc~ dàs le moment où / face ou désir de donner uo visage nouveou ou traditionnel camp d1odolncentt de fa N.otte dons l'lstre,une proposition a 6t6 faite dtt cr4:er un cornp en Corse.
Un budget pr6visiomel 6toil ftobll en F6vrier, Io Coisse des Ecoles JC>l#nettoit l'id6e du Conseil Municipal et •carte blanche• novs • t oit donrM!e.
Notre id6e euentielle,endehon bien IÛr du choix de Io Con-e , lieu de ràve pour beaucoup de jeunes,6toit de constnJire ce centre avec lti portlciponts eux-mêmes.~ Ion, l'annonce •toit faite dans Io presse, qui novs a beaucoup ai d6 dans nctre entreprbo.
Alon que nous avions prévu un moximi.m de 25 ados pour cette premiàre exp6rience,nous devions enregistrer 84 lnscriptions.Une fiche de renseignements, remise b chaque demandeur, devait nous permettre d'avoir une i<Ue g~Mrale du jeune et surtout Io certitude qu ' il 6tait prêt b prendre en charge l'organisation du camp .
En fin de compte, l'effectif d6flnitif "oit orrêt6 ?> 35 .Les portici• ponts furent choisis en fonction de l'éliJe, les plus &g<is en prioril6 compte .. tenu que les plui ieunes pourraient venir les onn6es wivontes , l'&ge limite ~tant 18 ans en coun de Hjour.La liste des participants et leur 8ge furent publi6s . 18 garçons et 17 fllles de 15 ?> 18 ons ont dh ce moment porticip6 b Io préparation de leur aventure . Ventes oumorch' oux puces, lavages de voitures, correspondance avec la Corse, c~tion de comit's 11 photo 11
,11 cinémo 11
,11 presse'1,"orgonrsotton 11 ont permis bunegrcn
de partie d'entre eux de connoftre, l'encodrement,degagnerd1 l'orgent pour certoine1 activités et surtout de prendre un certain nombre d• respoosobl 11161.
UN ENCADREMENT EXCEPTIONNEL
Vencodrement ,ccmposf! d'enseignants, de professeun d 1E.P .S.,d'4ducot94.,1n ,o a insi eu l'occasion de connoftre son monde et de p~porer son action en conJéquence.Sur 7 penonne1, li y ovoit 4 dipl&n6es,3secovrl1-tes, l Moitre-Nogeur-Souvetevr. Un encodr.-nent exceptionnel sur le pfon des connoitsoncet et des ex~riences .
Lon du cMport,le 5 Juillet,wr le "Comt~ de N ice•,t. Toulon,tout le monde se connoissoit et le voyage ne p~sentoit oucune difficu lt ~ d 1outont plus que la mer était trik calme et le etel 1umin8'Jx.
L1orrivée b Bœtio ne posait aucun probl«ne,compte-tenu que deux monitevn partis deuX jours- avant avait commencé 1'1nstollotion.Nous avions eu des- surprises trois semaines: auporovont, le domaine dons lequel nous devions être h6bergés,noun-is et pris en charg• pour les octivit& ortisfiques,ovoit <Uclor6 .. forfoit• of llOVI avions dO en catastrophe, soutenus par les od0$ qui voulaient leur camp, trovver un lieu, le mcd&-iel.
VACANCES A PIETRANERA
Lo Municipolit6 de Pietranera, à 2 Km ou·dessus de &ostio, au bofd de mer ,mettait 4 cloues, Je ptéou et Io cour de l'6cole primaire à notre dis:po1ition. Lo Municipalité de Bastia nous prêtait le mot6r1el de cuisiM et le n6eessoire en chaises .
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Le résulte! : 1 B 90rçons dons le plus gronde classe, 9 fi 11 es don• chCl_cune des petites, l 'intendonce, fe morériel et une partie de l 1encodrement qui ne couchait pas ovec les ieunes,doru Io derni~re.Tovtes les autres octiviMs sous le préau et dons la cour, au mois de Juillet,il fait beau en Corse ! Le manque de place, le manque de matériel et la nécessité de tout faire por nous-mêmes devaient nous obliger b une stricte orgonîsotion .C1est lc!li que l'Ofpect touristique dv centre fait place b Io prise en chorge des ~alit6s mot,rielles.Nous le verrons bien por la suite.
La vaisselle est faite en plein air, la cuisine sous le p~au gt6ce b un gros réchaud butane amené de Lo Seyne, la toilette et Io lessive dans Io cour et dans leJ W.C. oména9é1 pour la cirçonstence.
Le personnel do service se réduisait 0 une domo qui venait qvoti·e heures le motin et assurait le coup de main technique qui nous faisait défaut pour Io c.onfection des plots.
Po~r auurer notre vie motérielle, nous avons mis en place trois services : l'htitellerie,qui consistai t o faire let menus, Io cuisine, mettre le couvert,et onurer (e service; le nettoyage qui assurait l'entretien de l'ensemble des locaux et proci6doit b toutes les vohselles,et l 1om8nage--i ment,qui consistait b améliorer les conditions mot,rielles et b rendre plus ogréoble le cadre de vie.
Ces services reprisentoient un travoi 1 important de l ' ord r e de S heures pour l'hOtellerie,4 heures pour le net!'oyoge,2 heures pour l'ornénogement. Il s ont 'h~ répartis sur 18 joun, por tronche de 3 jours pris en charge por six ~uipes encadrées por le-s six mooiteurs.
Un ponneou d'inscription permettait aux adolescents de s'inscrire pour les tronches de 3 jours qui leur convenaient et avec les cornorodes de leur c hoix ,ô Io seule comiition qu'avant Io fin du sé jour,ils soien t poss~h dons les trois se~jce; .
L'ardeur de ' l 1encodrement dons les services ne devait permettre b personne d',chopper oux exigences de Io vie matérielle. Nos efforts entre outres consistaient a ce que nos jeunes se prennent en chorga.A longueur de joum6e,novs devions veiller b cequ'ils rangent leurs couvarts,leurs affaires, le mot6riel des octivit,s.C'est lb un point important qui , n6glig6, transforme Io vie d 'une collectivité en cophamoUm ce qui a pour effet de d6groder tràs ropidement les relations.
D'autres efforts importants ont 6t6 <Uployés pour les r6g les de vie collective.Chacun tient b conseNer tous ses avantages personnels et aussi è bén6ficier de tous ceux de la collectivi t6 .A force de réunions et de discussions, les droits de cliocun ou sommeil,ou repos et 0 l ' int imité ,ont pu ,molgr6 des conditions matérielles tràs défavorables, être 06finis et res· pet"• ·
Autre source de mise ou point : Io libert6 individuelle et les .xigencn collectives. Les jeunes, ossez. libres de levrs mouvements chez. eu•, se déplaçant seuls, voyageant en Fronce et b l 1étronger, se retrouvent dons une structure où ils sont encodnis en permanence.les orgonisotevrsJes parents, les ovtorit~s de tutelle nous les confient 0 cette cooditiOf\ . fi nous foot arriver b leur foi re ~passer cette notion de liberté indivic:Nelle,qui consitte en foit en une liberté physique, pour a rriver a la notion de liberté collective,situation dons laquelle chacun apporte ses potentiol it6s, enrichlt les outres et s'enrichit d'eux ,où Io perte d'une relative liberté physique,qui en fait ne libère rien de leurs possibilit's, es t compenMe lor~•nt por une construction commune, Io connaissance réelle des outres et surtout la découverte de soi et de Jes possibilit&.
Nous avons découvert nos jeunes, ils se sont découverts, opprfciés . "L'Amicale des Adolescents " vo se crier pour continuer l'oction,en cours d 1onn6e et prfporer ?'outres centres sportifs,mSne b l'étranger.
Notre action ? ÔJ Tourisme,peut-être,de Io 06couverte, sûrwnent, celle des outres,mois surtout un oas v•n Io 06mocrotie ovec: ses dtolts ot ses devoirs .
Daniel HUGONNET
Conseiller Municipal, DirecJevr de Centres de Vacances et de Lois irs.
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LE PHENOMENE DE METAMORPHISME DE CONTACT
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Une ~tude de Paul REGA!GNON
D.t.ns "La Pravence Cristalline et aea EnvelP?%Ïîs sédimen .. talres 11, ouvrage é en 1964 a~le concours du Ministèr e de l'Educatlon Nationale et du CNRS, Yves Masure\, citant le spcctacula.lre recouvrement du Trias par les Phyllades,du Baou Rouge, qui a •ervl de point de dépnrt a l'hypoth~ee rameuse d'E. Haug1etctfre encore aux ftéologues matière l di11cusslon, dit : 11 Cependant Stc1é constllue \ln c.-.s pa.rUeulier et orig inal, indépendant de la s tructure d'ensemble des Maures. D en est sépa.ré par la •one de tectonique, assez ré vu llè:re. qui va d'ltyères à Porquerolles el aussi par une zone, probablement très dlsJoquée, située entre l'extr~mité occidentale de GienR , le$ buttes phylladlques à l'est de Toulon et Le massil de La Seyne , mais qui est soustraite à l'Qbservatton par l'lmmersion".Point de vue que nous avons admis en pensant que la ~role est maintenant ~la jeune Géologie sous.marine.
Stclé posè encore de nomhl'euscs énlgmes aux g·éologues , pitrml lesquelles H y a celle re lative au phénomèné de Métamor -phlemc do cootad, que fiO\.IS avons
obtservé, à Janas, en étudiant lea roches et les minéraux de la r6-gfon seynoise, el que nOWI llgnalons dans l'uticle pûbllé par le N • 24 d'Elraves.
Nos observatlons. ont débuté, il y a une vingtaine d'années, par la recherche des PhtanJtes à Rad1ola tres que nous avons décrites dans le n • 7 d'Etra.ves (Automne 1968), en expliquant leur décOUYer te, en 1925, au quartier Jaumen,(e t non Gaumen, comme le dit , par erreur typographique,la notice explicative de la carte géologique dont il va étre questim), par Mlle Pfender, collaboratrice d'E. llaug, auteur de la carte géologique de la région toulonnalse,au 1/ 50000è, toujours en mains.
Mlle Pfender anit recoonu dcu.x petits affleuremeotsde Pbtamtcs dans le ruisseau creusé au nord de deux maisons que l'on •e.,. nait de construlre,à droite du chemin montant au Col d ' Artaud, (V .C. N° 119,Chemin du V leux Reynier).
Après avoir redre•a.ê l'erreur précitée par une comm.uni -callon faite à laSociét.ede! Sciences Naturelles et d' Arc~oloete de
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Toulon et du Var, nous avons reconnu un tel nombredeces a.fUeurementa,que nous éttone , depuls longtempa, convà.incu qu'il suffit d'OOVJ'ir une tranchée, dans Stcté et ses dépendances, pour aper cevolr des Pht.anites, lorsque celle creusée dans le chemin précité, il 1 a quelques· a nnées, pour une ca .. nalisatlon d'eau, le3 recoupa aur plusie1.1rs points, au nord des deux affleurements reconnus par Mlle Pfender.
La carte géologique ne signale qu'une deml-douzalne,à pelne,de J.Uons de Basalte Labradortque, dana la. r égion aeynolae, alors que nous en connatH1ona près d'une vlngtalne,dont certaJna sont aujourd'hui, par altération, rédults l l'état d'argile. On saU que ce Bualle passe à une MlcrocUab:a..e au milieu des coulées el que, par altération, le& Diabases devleMent de l 'argUe.Mais,avec un peu d'habitude on reconnatt l'or iginé volcanique de ces gisement& d'argile.
Nous en connaissons un à l'ouest de l 'ancien champ de Ur de J.tna.a, au bard du c hemin des Oralolres, et près du p o J n l où aboutissent la piste passant devant le Centre aéré et le banc de Phtanites venant du nord en longea.nt ledit chemin.
Dès 1950, nous avons ramassé aux envlrons de ce gisement d 'argile, à gaucbê et à droite de la piste prkitée, dans les vallons bordant le chemin des Oratoires, de trêB nombreux et gros 6chantillons de roches comprenant, mêlés el en quanUtés à peu pr~s égales, des représentant& : d es Pht.anltca et d'une roche montrant, de façon lndlsculable, le phénomène de ~lamorphisme dea Schistes Arglleux au contact dea Diabases.Depuis, nous pensons, qu 'ayant son altération , le filon de Dlabase avait métamorphisé les Phy llades qui l'encaleealenl.
LA. SCIENCE DES ROCHES DE RINNE
" La SClence des Roches",de Rinne (La marre, Paris, 1949), appelle Adlnolcs les roches reaultant du M~tamorphisme desSchlsles Arglleux au contact dea Diabases, en donne une définltJon qui cOl"respond à ce qùe nous avone observé sur les norobrewi: éch.ântlUons que nous avons recuelUis à Janas, e t ajoute que les Adlnolea accompagnent fréquemment le a Phtanttea.
Cel éc ha.ntUlons correspon ... daient àdes éléments plus ou moin• transformés suivant la pos ition qu'ils occupaient da na la roche-mue et, par suite 1 suJvant leur distance au point de contact de la roche éruptive. M21s , toua préaentaient une ric he mtnérausatton avec de la Cor d1érite , de l'Anda.lOU11lte en grandequanllté et de l'Oligiste écailleux, dit Mlc.aeé, en abondante et su_rprenante préseoce. Méme les échant1Uon1 peu méta.morpbJ1é11 avaient de l'OUglste dans leur aehlstoelté con -aervfe.
Aprêe une série de fortes pluies, noua avona recueilli, dans une ornièr e du chemin passan t dèvant le Centre Aêré , un pet lt amas pulvérulent d'Ollglste mlcacé. Eclalant et lrlsé, Il brillait au soleil alors que nows passion• aur ce chemin. Par lessivage de la roche-m~re, l 'eau de pluie avait détac~ ces particules d'Ollgtsteque le r uissellement avait apportées et df:poa~es dans l'ornière.
Vers 1960 , pour faciliter l"acch à la chapelle du Mat, on a amélioré le chemin des Oralolref\ qu'un peUt ravin domine près du gisement d'argile pr écitf • Pour écouler lea eaux pluvialesdescen.dant par ce ravin, ona c r eusé sous le chemin un caniveau transver. sal. Ces travaux ont mis à jour la
bue du ~ement de b. roche métamorphique et ont permis d'accéder au ravin, qu'une vég,tatlon ttplneuae,qu.1 s'étendait chaque année, rendaJt lmpéoétrable .
En 1962, dans un a.rttcle, publié par les Annales de la Société précitée, nous avons traité de ce phénomène de Métamorphisme de " contact et nous avons d6c r it le gisement, que nous avons , ensuile , fait connatt.re à des amla proles seura.Cerlaina d'entre eu x ont photographié un petit rocher de Quartz, vis ible dans te ravin e t r emarqµa ble par la grande quantité d'OUgiete qui l 'imprègne. Il montre, comrn.e le dll la Science des Roches,que ce phénomène S'eHeotue avec une importante modifi •
cation de la compas ition cntmlque de la r oche encalssante. Ce que montrent aussi les échantHlone de quartz imprégnés de Pyrolustte (Oxyde de Manganèse) et de Wad, (composé terreux d 'oxydes de ter et de Manganèse), que nous avons recuelllis, in-situ, dans la même région.
Void les Coordonnées Lambert de ce gi.sernent relnéea sur le• plana d1rectew-s au 1/20000è, de Toulon N° 5 et 6 : X • 885, 5 , y . 91,9.
3 Julllet 1973
f/;r!IJ5,y
AMIS de LA SEYNE ANCIENNE et MODERNE
5 NOVEMBRE 6 18 he.urn,Monsieur GUITTON nous porluo du Jtjour 6 Toulon ci. Pierre LOTI.
17 DECEMBRE 6 18 hwre1,nous ouron• le ploi1ir d'accueillir pour Io pr-i•r• fois notre conci toy., M .Etienne SIMON , Inspecteur de l1Ecà>cation Nationale en retroite, qui nous r61erve Io 1urprise du sujet.
Nous n1ovon1 pr•vu ovec pr6cisions les montfestations devant •• dfrouler en 1974,nous ln prft.,terons dam le prochain num6ro d'ElttlY• .
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les J.M.f.
PROGRAMME SCOLAIRE Saison 1973 - 74
Jeudi 15 novembre "LA FAMILLE DES BOIS" av~c
TRIO d'Al'ICHES TAFFANEL
ll s 'agit de jeunes artistes familiers de noe publics J.M.F., mai8 ·mieux con.nus dans la formation : "Quintette à vent" . Ce sont d'ailleur~ ces 5 musiciens qui ont obtenu récemment à Colmar un premier grand Prix au cours d'une rencontre internationale d'ensembles de musique de chambre.
Donc 3 instruments sont détaché°& du quintette, non paa seule ... ment pour illustrer l'association d'un instrument à anche simple et de deUI inatrulllents à anches doubles, mais aussi pour faire entendre l'un et l'a,utre en soliste et présenter des combinaisons à. deux, avec le cor\COUrs du piano dans chaque cas ; mieux' encore : le clarinettiste jouera sans accompagnement. Cette divea:-slté apparan le grand mérite du programme.
L'éclectisme réside auasl dans la liste des composheurs : découverts pour les jeunes des noms de Marcello~ Glinka, Ibert et Tansm:an, 'Un "sulv.eur " de Stravinski. Un accent particulier sur POULENC, saM doute le musicien qui a su le mieux faire cllanter les ' nvents 11
,
après Mozart bien entendu.
La projection de diapositives sera la bienvenue dans la mesure où le démontage d'un instrument, l'étude de l'anche et du méca-. nisme des clés n'est I"'• perceptible dans une grande salle.Toute démonstration sera pour ainsi dire "grossie 11 sur l'écran.
Jeudi 17 janvier li74 "UNE SOIREE MOZART A SALZBURG"
"Qui aime Salzburg a ime Mozart.Je ne le vois pas 116,équlllbré n.l "centré'1 allleura.8alzburg est Wle pellte Rome 1 unevillecompœée comme un cbef--d'œuvre de Mozart". Cette remarque de Henri Gbéon vaut pour notre concert puisque le décor de Salzburg sera projet~ sur écran au cours de la séance et plua pré<:isément pendant la dernlere œuvre du programme. Soulignons que le lait de " jouer celle-ci aux c handelles .. restituera mieux encore l'atmosphère dee soirées du !estival d'été à Salzburg. Les autres documents lconograpblquea oont emprunté& a\I Pl'-• fond de la Geburthaus , qu'on sait musée lncompuable du souvenir mozartien .
Le plus important de notre concert n'est pas dans ces "images n mal& dans l'extrême diversité du programme oO. cinq instrumentistes et une chanteuse permettent de mesurer combien Mozart a touché l tout l la perfection.
Alnal les auditeurs de-couvriront de1a aspects du trio instrumental (le trio à .corde• et le trio avec piano), la !IOte aoaoclle au trlo à cordes, le Jumelage du violon et de l'alto, Je chant avec piano (les aira d'opéras fort d!Jltlncts des lleder).
Lea cinq lnatrumenttatea, nantla d'un premier prix de Conser ntoire, oont de• jeunes qui suivent actuellement le Cycle de Perfectionnement au Conaenatolre de Parla. Mon.lctue l.J.nval , la doyenne, a été choisie pour aa ae1111lbllité l l'expreBOlon mœartleme.
n aeralt pratiquement lmpooslble de raire dialoguer un violon et un alto, avec l'lnUrfit pédagogique de ce face l · face,sl Mozart n'avait fcrlt 2 duos pOur ces lnstrumenta,autant de chefa~'œuvre .
Bien entendu, il fallait f vlter de ne donner de Mœart q u •une vision récrtatlve oa1111 faire appel l la prudence des sentiments (les Airs d'Opéra par exemple) la juvénilité (les lieder choisis ont été tcrlta aur deo poèmes pour erûantll) et l'lntenaltt d'émotion (l'adagio du trio K 565 est une page bouleversante). L'essentiel est de ne pa• r6duire l'art de Mœart à l'art du "joli 11 et d'6YUèr de "l'embaumer dans lea Jrices surannées de l'Ancien r~glme''. En somme tente .. de persuader l'auditeur de ! 'écouter mieux.
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LES GRANDES CONFERENCES
•••
SAl!On "'«:. 1113-1111
1 ~'"S>A,..,..t l 1'tf f:fl,..f-C1'>t,i>t>ttU
Jt 1 r(l.,A..N u~ Gl.AMD flLM [roi COUl.IUU
SUR SC:f:NE L'ÀUTIUlt
DANS NarRE VILLB : Salle-dea-Fttea de 1'8otel-de-VUJe à 17 h et 21 b.
41 Novembre D& LA PERSE A L'IRAN
Fllm de J .CORNET et E . BRAQUBT,prhente Por E . Broquet
PERSEPOLm, la. Cité de DARM • ZCllOASTRE et leo Toura du Silence • Lee treaore de TEHERAN • Visite l FARAH DWAH, lm~ratrlce d'lllAN • Le ZOR-KHANE , gymna1tlque religieuse - Les riches province& de la Mer C&•pi•stnt .,, Femmee aux lil2mlue1 de cuir du Golfe Peretque - I..'.Armff du. Savoir .. A travere le KURDlST.Ali - JiPAJIAN-la-MervetUeuM - Un document n:ceptionnel : 1A1 flagellat10n11 de• MV'JU.1-man11 CBlTES.
R. VERPILLOT ~l ... TVCIOl.I-.,
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19 Dfeembre LA RUSSIE DES '.!'SARS BT .J>ES SOVIB'.!'8
Fiim de L .BROUCHON et R.JBAN,préeent6 parlt.
LBNINGRAD, ville de PŒIÙlE LE GRAND et --.. de la R6Voluttoo - KIEV, la m•re daa Yllle1 russes -Hauta-Uea: de la Vieille et Sainte RU:JSIB - La VOLGA roule -. fka -MOSCOO,la Mecque RotJie • LENIIŒ,dteu d'- """"'11erel1C1on • Glganteequeo dffUfl du Ier MAI et d'OCTOllRll - Le BOLCHOl,preatiJe du Tbéttre et de la Danae - A.wec l•• KOMSOMOLS • P&lerlnage à STALINGRAD - VlVlŒ en RUSSIE - La JEUNESSE, le SYSTEME et l'AVENlR.
30 Janvier 74 LIBYE, DESERT VIVANT
Fllm de F.TONDEUR et A.DE LA PORTE, présenté por Alain DE LA PORTE
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