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LE JOURNAL DES FESTIVALS,CARNAVALS ET FÊTES DE FRANCE

N°5Une édition de l’Oeil -

Festivals : la Fin de l'âge d'or ?

fêtes médiévales du château de bonaguil : la vie au moyen âge

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N°5Juillet2015

SOMMAIRE

Edition et impression :

7 rue Johannes GutenbergZI du Bois Joly 85500 Les Herbiers Tél. 02 51 91 09 62 [email protected]

Dépôt légal à parution de l’Oeil d’ici et d’ailleurs

ISSN 2106-7775

Rédacteur en chef : Jacques Chanéac : 06 48 72 44 [email protected]

FCF FRANCESiège social : 14, rue Charles V - 75004 Paris Tél. 01 42 76 08 74Gestion administrative : 184, boulevard Aristide Briand 85000 La Roche-sur-Yon

Directeur de la publication : Serge Ruchaud

Crédit photos : © Simon Bourcier, Serge Daude, Marc Chesneau, Michel Rebat-tet, Jean-Pierre Bertrand.

EDITO

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DOSSIERFestivals : la fin de l'âge d'or ? .................................. p 4 à 7

FESTI REpORTAgEStéphane Louineau, la fibre associative ....................... p 8 Fêtes médiévales du Château de Bonaguil : la vie au Moyen-Âge ............................................................................... p 9

FESTI INFOSÉvolution de nos relations avec la SACEM ...... p 11 Infos juridiques et sociales ............................................... p 13 La FCF France ................................................................p 15 Convention FCF - Ethnodoc.....................................p 16

L’ACTU DES FÉDÉRATIONS FCF ..................................... p 17

L’ACTU DES REgIONS ..................................................... p 19 à 26

FESTI pRATIQUE ................................................................................... p 27

Imprimerie Roy Création graphique, Les Herbiers

Chers lecteurs de Festi,

Comme je l'écrivais dans le dernier numéro de Festi, les temps sont difficiles pour tous nos adhérents et, de partout, nous arrivent les inquiétudes voire les angoisses des dirigeants concernant la survie d'un grand nombre de nos manifestations festives. A l'heure où j'écris ces lignes, Madame Fleur

Pellerin dit sur le site gouvernemental de la fête de la musique :

«La Fête de la Musique est devenue un rendez-vous incontournable et familier, une fête populaire qui place le début de l’été sous le signe de la culture, de la fraternité et du partage.Cette année peut-être plus que toutes les

autres, cette fête doit être celle de tous.J’ai voulu qu’elle soit à l’image de cette formi-

dable capacité qu’a la culture de rassembler au-delà des différences, de tisser des liens,

de permettre la rencontre et l’échange, de susciter l’émotion.La musique incarne cette résistance joyeuse à tout ce qui pourrait nous éloigner les uns des autres : c’est cela que nous célébrerons tous cette année en descendant dans la rue pour vivre ensemble la musique ».

Nous sommes vraiment ravis de constater que Madame la ministre de la Culture reconnaisse à travers ces quelques lignes l'intérêt et le sens de la fête populaire que les plus de 200 000 bénévoles de nos organismes adhérents font vivre toute l'année - et pas seulement le 21 juin.Mais une telle déclaration ne peut nous faire oublier nos difficultés car aujourd'hui, la baisse des financements publics risque d'entrainer la disparition de bon nombre de nos manifestations.« A ce jour, je ne vois pas comment le festival de jazz pouvait avoir lieu en 2015 » regrette Patrice Faujour, président du festival de Calvi . « C’est 27 années de travail qui sont mises en danger. L’aide qui était de l’ordre de 45 000€. est tombée à 20 000€. On nous a annoncé ça à quelques jours seulement de l’ouverture du festival 2014 alors que tous les contrats étaient signés et les billets d’avion des artistes réglés. Résultat on n’arrive pas à boucler le budget et certains fournisseurs n'ont pu être payés. Heureusement pour nous la municipalité de Calvi et le conseil général ont tenu leurs engagements. Pour 2015, très honnêtement je ne vois pas comment on pouvait repartir ».

Autre cas et les mélomanes s'y donnaient rendez-vous chaque année depuis... 1932 : le plus vieux festival de musique classique de France, à Strasbourg, a définitivement rangé ses vio-lons, terrassé par une trésorerie en faillite. Comme lui, des dizaines de manifestations cultu-relles baissent le rideau. Fini les Voix du Gaou, qui, en dix-huit ans d'existence dans le Var, avaient accueilli Sting ou Placebo. Oubliées les Muzik'Elles, en Seine-et-Marne, qui ont fait chanter Véronique Sanson ou Christophe Maé. Même certains festivals à caractère huma-nitaire ne repartent pas. Une hécatombe qui frappe toutes les manifestations, petites et grosses, et alarme les artistes et les milieux culturels.

On ne compte plus les collectivités qui réduisent de façon drastique leurs aides aux associa-tions et notamment aux organismes de culture populaire. Ces coupes remettent en cause l'idée même d'un service public de la culture, et dans notre pays on peut légitimement s'inter-roger sur les choix qui sont fait dans de nombreux endroits : peut-on localement continuer à privilégier la réalisation de ronds-points ou de ralentisseurs au détriment de la création de lien social et du développement économique lié au tourisme et à l'attrait régional ? Ces propos pourront être jugés caricaturaux ou excessifs pour certains mais, comme l'écrit Madame la ministre, l'important aujourd'hui n'est-il pas de soutenir coûte que coûte "cette formidable capacité qu’a la culture de rassembler au-delà des différences, de tisser des liens, de permettre la rencontre et l’échange, de susciter l’émotion".En ce qui nous concerne, nous sommes prêts à nous exprimer pleinement sur ce sujet et comme un véritable syndicat culturel, à faire entendre la voix de nos adhérents petits et gros, avant qu'ils ne meurent étouffés. Ensemble et de plus en plus nombreux, nous continuerons à œuvrer dans ce sens.

Serge Ruchaud

Les bureaux de la FCF seront fermés du 1er au 16 août 2015.

www.fetes-de-france.fr

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Festivals : la Fin de l'âge d'or ?

Suggéré par Serge Ruchaud, président de FCF France et directeur de notre magazine, la question qui titre ce dossier interpelle forcément en ce début d'été ceux qui à tous les échelons sont des acteurs incontournables des rassemblements festifs sous toutes leurs déclinaisons. Si elle suscite logiquement des interprétations divergentes, la baisse des dotations de l'Etat aux collectivités territoriales qui se chiffrera à quelques 11 milliards d'euros entre 2015 et 2017 a mécaniquement placé devant des choix cruciaux des exécutifs locaux sur lesquels repose à hauteur de 70 % le financement de la culture en France. Tous n'ont pas apporté les mêmes réponses à cette situation imposée. Mais bon nombre ont réduit ou parfois même annulé leur soutien financier entraînant de fait la disparition ou la mise en veille de bon nombre de festivals et événements populaires notamment estivaux. Dans ce dossier, Festi propose une ébauche du panorama actuel des Festivals sur la base d'une étude chiffrée, baptisée « Baromètre des festivals » réalisée conjointement en 2014 par le Centre National de la chanson des variétés et du jazz (CNV), le Centre d'information et de ressources pour les musiques actuelles (IRMA) et la Société des auteurs compositeurs et éditeurs de musique (SACEM) et présentée en avril dernier à l'occasion du Printemps de Bourges. Par ailleurs, plusieurs organisateurs en proie à des difficultés budgétaires qui menacent la tenue ou même l'existence de leur événement apporteront leur témoignage à la suite de l'entretien dans lequel Serge Ruchaud effectue un tour d'horizon sur la situation des Festivals en 2015

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UNE ÉTUDE QUI INTERpELLE

S'il est difficile de définir avec une précision indiscutable le nombre de Festivals organisés en France, tant la notion est diversifiée, l'étude du CNV, d'IRMA et de la SACEM situe la jauge à 1615 déclarés pour l'année 2014. S'appuyant sur la définition suivante de ce type de manifestation : une représentation périodique, une programmation identifiée et dédiée à un genre musical ou à une théma-tique, plusieurs artistes sur une ou plusieurs scènes (ce qui exclut de fait la plupart des spectacles de rue ou déambulatoires), l'étude prend en compte les « musiques actuelles » déclinées en thématiques : jazz, electro, rap, pop, métal, rock, musiques du monde, traditionnelles, chanson et reggae....Sur ces 1615 festivals, la répartition par genres est la suivante : 115 en chanson, 283 en musiques actuelles sans distinction, 284 en musiques traditionnelles du monde, 464 en musiques amplifiées ou électroniques et 469 en jazz, blues et musiques improvisées (NDLR : voir cartographie ci-contre).

Si on apprend sans surprise que 52% de ces festivals se déroulent en été (26% en juillet) avec des pics dans les zones touristiques, il est intéressant d'observer que près de la moitié sont concentrés sur cinq régions : Ile-de-France (217), Rhône-Alpes (198), PACA (162), Bretagne (116) et Midi-Pyrénées (100), la Haute-Normandie, la Corse et le Limousin fermant la marche avec chacune moins de 28 événements. A noter aussi que les musiques amplifiées ou électroniques sont moins représentées en juillet, mois qui marque le zénith d'activité des musiques traditionnelles ou du monde (44%). En termes de durée d'un festival, 52% s'étalent sur 1 à 3 jours (41% de 4 à 30 jours et 8 % plus de 30 jours) ceux consacrés aux musiques amplifiées ou éléctroniques tendant à être plus courts que les autres. Autre enseignement riche d'intérêt de cette étude, celui qui nous apprend que 48% des festivals ont moins de 10 ans, 34% entre 10 et 20 ans, 12% entre 20 et 30 ans et 7% plus de 30 ans.Un élément temporel qui débouche sur l'épineuse question du renouvellement des festivals avec un constat très révélateur : En 2013, 29 festivals ont disparu alors que 86 voyaient le jour. Mais en 2014, si 44 étaient créés, 51 disparaissaient de l'agenda ! Et parmi ceux-ci, les plus touchés étaient, de loin, les festivals consacrés aux musiques traditionnelles (21% supprimés en 2013 et 33% en 2014 contre seulement 9% et... 2% créés) les musiques amplifiées et éléctroniques étant les seules à poursuivre leur marche en avant avec 48% des créations sur l'ensemble en 2014 (contre 22% de disparitions).Dernier volet de l'enquête menée par les trois organismes, la dimension économique. Le CNV révèle que les festivals représentent, en 2013, 27% de la fréquentation payante et 22 % de la billetterie alors que la SACEM souligne qu'en 2014, ils « pèsent » 13,9 millions d'euros en droit d'auteur soit 19% des droits collectés dans le spectacle vivant, proportion identique à celle de 2013. Par thèmes, les musiques électroniques cumulent près de la moitié des recettes billets (47%), et le jazz et musiques improvisées sont au sommet en terme de fréquentation payante (42%) pour la saison 2013, les musiques du monde se situant autour du tiers des rentrées globales avec 36% des fréquentations payantes et 27% des recettes billetterie.

Informations complémentaires et sources : www.irma.asso.fr, www.cnv.fr, www.sacem.fr

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28 avril 2015 Printemps de Bourges // La carte des festivals 4

Les festivals de musiques actuellesRépartition par genres

284 en musiquestraditionnelles, du monde

283 en musiquesactuelles sans distinction

469 en jazz, blues et musiques improvisées

1 615 festivals

Jazz, blues et musiques amplifiées ou électroniques représentent 2/3 des festivals

115 en chanson

464 en musiquesamplifiées ou électroniques

Chanson

Musiquestraditionnelles,du monde Musiques actuelles sans distinction

Musiques amplifiées ou électroniques

Jazz, blues et musiquesimprovisées

DOSSIER

SERgE RUCHAUD : "IL NE FAUT pAS SACRIFIER LES FESTIVALS ET AUTRES mANIFESTATIONS pOpULAIRES"

S'appuyant sur l'étude qui ouvre ce dossier, le président de la FCF France, Serge Ruchaud dresse un état des lieux des festivals et fêtes très préoc-cupant et s'inquiète pour l'avenir de la culture populaire dans un proche futur.

Quel est l'état des lieux des festivals et des fêtes en France en ce début d'été 2015 ?Serge Ruchaud Il faut avoir en tête deux chiffres : En un quart de siècle, on est passé de 20 à environ 1700 festivals organisés dans notre pays, chiffre non exhaustif compte tenu de la diversité des manifestations dont certaines très peu connues ou éphémères. Il y a donc eu une période faste où chaque collectivité a foncé tête bais-sée pour le soutien et parfois même la création de fêtes de toutes natures. Bien entendu, l'idée était à la fois de faire connaître la com-mune concernée, d'y attirer des personnes extérieures susceptibles d'apporter même ponctuellement leur écot à l'économie locale et, par le biais de l'organisation, de créer du lien social entre habitants et souvent bénévoles. L'engouement a été immédiat et a perduré au point de donner des idées à ceux qui avaient tardé à se lancer. Aujourd'hui, on enregistre une stagnation et même une tendance à la régression que l'étude dont nous présentons les grandes lignes dans ce dossier révèle sans équivoque.

Comment l'expliquer ?SR Il y a plusieurs raisons. Il est évident que les festivals les plus an-

crés dans le temps dont certains ont choisi de se doter de structures quasi professionnelles sont plus solidement implantés. On peut dire la même chose de ceux qui ont opté pour une niche et n'ont pas beaucoup de concurrents dans leur région, ni parfois même dans le pays. C'est un peu le cas d'Hellfest, organisé à Clisson, et référence internationale en matière de musique « métal ». Les autres festivals souffrent à des degrés divers.

pour quelles raisons ?SR Nul ne peut nier qu'elles sont largement liées à la conjoncture tant sociale qu'économique. Jusqu'à 2013, la progression a été continue. Mais dès 2014, on ressent une stabilisation qui annonçait la bascule. Sur ce point, il est évident que la baisse annoncée des dotations d'Etat aux collectivités territoriales a été un événement majeur tant sur un plan pratique que psychologique. Entre 2015 et 2017, les exécutifs locaux, déjà en difficulté du fait de la diminu-tion de leur recettes fiscales, devront gérer leur budget avec une enveloppe globalement amputée de onze milliards d'euros (Ndlr : citation Télérama, No 3412). Une annonce qui a conduit une grande partie des collectivités à revoir à la baisse, voire à supprimer leurs subventions aux associations organisatrices.

Comment s'annoncent les années à venir ?SR Sans verser dans le catastrophisme, on ne peut être optimiste. Si de nouveaux événements apparaîtront, plus nombreux seront ceux - et ce dès 2015 - qui mettront leur festival en mode pause ou même y renonceront. Je pense tout spécialement à de petites fêtes locales, créées récemment et encore fragiles. C'est d'autant plus regrettable

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Les festivals de musiques actuellesRépartition par genres

284 en musiquestraditionnelles, du monde

283 en musiquesactuelles sans distinction

469 en jazz, blues et musiques improvisées

1 615 festivals

Jazz, blues et musiques amplifiées ou électroniques représentent 2/3 des festivals

115 en chanson

464 en musiquesamplifiées ou électroniques

Chanson




Nous n'avons pas pu nous procurer auprès des auteurs de l'étude une carte comprenant les données de l'Outre Mer. Nous prions nos lecteurs ultramarins

de bien vouloir nous en excuser.

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que ce type de manifestation met en valeur les artistes locaux, leur offre un tremplin et constitue donc la raison d'être de la création culturelle de proximité qui est aujourd'hui menacée. A contrario, une bonne partie des gros événements ont bétonné leur organi-sation. Même s'ils devront aussi prendre en compte les réalités et parfois revoir leur budget à la baisse, ils tiennent les têtes d'affiche et peuvent compter sur une affluence régulière et donc les retombées économiques inhérentes à l'afflux des visiteurs.

Les partenaires privés peuvent-ils compenser cette baisse de dotation aux collectivités ?SR En cette période de crise, ils sont aussi contraints de faire des choix. Et il n'est pas surprenant que leur priorité aille aux gros évé-nements, déjà reconnus, solidement ancrés, qui attirent le plus de monde et donc le plus de retombées en termes d'image ou même de consommation sur place. Dans un tel contexte, les plus petites manifestations sont forcément les plus exposées, d'autant que leurs partenaires privés, pour la plupart eux-mêmes touchés par les réali-tés économiques, n'ont pas de budget sponsoring extensible.

Vous semblez particulièrement inquiêt...SR Oui, car il me semble impératif que l'Etat et les collectivités terri-toriales mesurent à quel point la culture populaire, symbolisée par les fêtes et festivals de toute nature, est un élément majeur du bien-être de la population, du lien social dans les communes de toute taille, dans les quartiers. Il serait aberrant de ne pas soutenir cet aspect essentiel de la vie sociale, ce que certains élus locaux s'ap-prêtent pourtant à faire ou ont déjà décidé. Je ne prendrai qu'un exemple : en 2004, 1 million de personnes sont descendues dans les rues de Lille à l'occasion de l'ouverture des festivités liée au fait que la ville soit capitale européenne de la culture et le chef d'orchestre Jean-Claude Casadesus avait joué devant un parterre populaire. La démonstration, parmi des centaines d'autres, qu'il ne faut pas tuer des rassemblements qui offrent à tout un chacun l'opportunité d'être acteur ou simplement de participer à un événement culturel. Il faut continuer à mettre la culture à la portée des gens, y compris gratuitement avec des rendez-vous comme par exemple, "Royal de Luxe" qui attire des centaines de milliers de familles dans les rues de Nantes.

Les réalités économiques existent ?SR Et je ne le conteste pas. Mais il ne faut pas se tromper de choix politique. C'est quoi la culture ? Pas forcément des pièces incom-préhensibles au plus grand nombre... mais plus sûrement des fêtes vivantes, diversifiées qui apportent du plaisir à chaque visiteur ou participant, suscitent des vocations artistiques ou l'envie de don-ner un coup de main à l'organisation, donc de « booster » le secteur associatif.

Une conclusion ?SR Ce qui m'inquiète c'est la rupture qui risque de se produire dans une dynamique intéressante. Les grands festivals se sont profes-sionnalisés ou vont le faire, passant pour certains dans le secteur marchand. La majorité résistera tant bien que mal mais les petits souffrent et vont souffrir et la dynamique associative en pâtira. Plusieurs ont annulé leur édition 2015 ou font une pause. Et la ten-dance risque de s'amplifier en 2016 et 2017. Plus rude encore, la situation des festivals d'arts de rue qui fonctionnent sans billetterie et ne peuvent donc se faire sans subventions. Il en va de même pour toutes les manifestations organisées dans des petits villages dans des régions en voie de désertification pour lesquelles elles sont un temps majeur de l'essor économique local. Alors, on peut toujours se renvoyer « la patate chaude », se tourner vers les partenaires, les mécènes, jouer le chacun pour soi. La FCF France est dans son rôle en appelant les élus de tous niveaux à ne pas faire fausse route en sacrifiant l'élément culturel, économique et porteur d'emplois non délocalisables qu'est le Festival ou la fête populaire dans toutes ses expressions. Elle continuera à soutenir la création culturelle en invi-tant chaque organisateur à éviter l'individualisme pour préserver la diversité et la répartition la plus large possible d'événements quels qu'ils soient sur l'ensemble du territoire.

propos recueillis par Jacques Chanéac

TÉmOIgNAgEChristian Pineau (Carnaval de la Communauté Urbaine de Cherbourg Octeville)

« Depuis plusieurs années, les aides de la municipalité tendaient régulièrement à la baisse. Après le départ de Bernard Cazeneuve au ministère de l'Intérieur, le fonctionnement avec l'équipe municipale s'est encore compliqué avec plusieurs interlocuteurs différents pour les demandes de subventions. Celles-ci étaient de 24 000 euros (18750 pour la mairie, 6000 pour la communauté urbaine, 500 pour la région) auxquelles venaient s'ajouter les aides des commerçants. Mais pour 2015, la ville n'a pas renouvelé son soutien arguant que notre type de manifestation n'entrait pas dans ses compétences. La Région s'est alignée sur cette position. Nous avons sollicité les rares communes qui nous suivaient. Sans succès. Nous avons vraiment eu l'impression qu'on nous laissait tomber de toutes parts. Du coup, l'édition 2015 s'est réduite au Carnaval des enfants au mois de mars, mais le défilé prévu à la même période n'a pas eu lieu. Cette situation interpelle l'équipe organisatrice du Carnaval qui a décidé de prendre le temps de la réflexion pour envisager l'avenir de la manifestation. Car il n'est pas question de se lancer sans garantie et de risquer le défaut de paiement. Même si ce secteur souffre aussi terriblement avec des fermetures régulières à Cherbourg, nous pensons nous rapprocher de l'Union des Commerçants qui ne peut qu'être bénéficiaire si elle contribue au dynamisme de la ville en soutenant un Carnaval qui fédère la population et attire beaucoup de visiteurs du fait de la gratuité du spectacle. Pour 2016, nous allons travailler dans ce sens même si nous savons bien qu'on ne compensera pas le défaut de subvention des collectivités dont on a le sentiment qu'elles délaissent les petites fêtes au profit des grosses et des projets plus « visibles » en général ce qui nous contraint à nous débrouiller seuls, sur fond de scepticisme quant à l'avenir».

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DOSSIER


TÉmOIgNAgERené Dubois (Carnaval de Chalon-sur-Saône)

« Logiquement, on devrait célébrer le 96e Carnaval en 2016. Mais l'édition 2015 a été plus que tronquée. Fin janvier le maire, Gilles Platret, a annoncé au comité des fêtes que je préside, la réduction de 25% de la subvention aux associations de Chalon, qui en compte 800 ! Nous étions en pleine préparation du Carnaval qui chaque année a lieu le dernier week-end de février et le premier de mars ainsi que toute la semaine les sépa-rant. Comme je le connais depuis longtemps, j'ai pu mettre Gilles Platret devant les conséquences catastrophiques d'une telle décision pour une organisation planifiée notamment au niveau budgétaire. Il a fait un effort et on a pu maintenir le cap. Mais pour 2016, il est clair que le soutien municipal sera réduit de 25%. Donc, nous devrons revoir nos plans et ce sera forcément à la baisse en termes de programmation. Notre Carnaval se veut résolument populaire et accessible au plus grand nombre et il le restera. Donc, on devra sans nul doute diminuer le nombre de fanfares venues des différents continents et privilégier celles plus proches et les formations locales. C'est la condition pour que le Carnaval reste en vie au plan financier. La municipalité pourrait aussi déplacer son soutien sur le terrain logistique avec des mises à disposition de salles pour la restau-ration des musiciens invités. Elle nous invite aussi à trouver des solutions en termes de partenariats ou de mécénat. Mais ce n'est pas évident. Les gros sponsors sont plus intéressés par le soutien à un club sportif d'élite comme celui de basket de notre ville qui offre de la visibilité nationale toutes les semaines que par un événement populaire et local comme le Carnaval. On doit donc envisager l'avenir avec une grande prudence. Il passera sans doute par une réduction de notre programmation, l'idée étant de préserver le temps fort qu'est le premier week-end quitte à minorer le deuxième. Ce n'est pas une perspective réjouissante ».

Jean Schwing (Carnaval de Sarreguemines)

«La fête tend, petit à petit, à disparaître. C'est terrible, car en ces temps d'individualisme, elle est plus que jamais vecteur de cohésion sociale, créa-trice de lien. A mon sens, les politiques sont déconnectés de ces réalités. Ils ne mesurent pas qu'en amputant de plus en plus les budgets alloués aux événements populaires, ils découragent les bénévoles chevronnés et les jeunes qui ont envie de de s'engager. Notre Carnaval est organisé par la Société Carnavalesque et pourtant on ne l'appelle que Carnaval de Sarreguemines. Donc, on fait ainsi et de bon cœur la promotion de notre ville. Mais, en réduisant les subventions, on réduira aussi de fait le prestige et la dimension de l'événement car il ne sera plus possible de convier des groupes musicaux venus de nombreux pays d'Europe faute de budget. Pour 2015, on a pu garder le cap grâce à la trésorerie mise de côté en organisant de petites manifestations en parallèle pour anticiper les soucis éventuels liés au financement de la Cavalcade. Mais, l'annonce de subventions encore réduites pour 2016 ou 2017 laisse augurer un avenir inquiétant. On va devoir faire avec ce qu'on supposera obtenir comme subvention par rapport à nos demandes et ce qu'on supposera récolter lors des fêtes parallèles. On ne peut donc qu'imaginer une cavalcade elle aussi revue à la baisse en faisant appel aux groupes locaux. A la fin, on risque l'asphyxie, le découragement. On va dans le mur ».

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Le renouvellement2013/2014


29 festivals disparus

86 festivals créés

51 festivals disparus

44 festivals créés

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stéphane louineau, la Fibre associative

Depuis ses premiers pas au Foyer des Jeunes de Saint-Denis la Chevasse (Vendée), ce directeur adjoint d'un EHPAD est resté fidèle à son engagement associatif au sein de sa commune d'origine, où il pilote aujourd'hui le Festival « L'air d'en rire » dédié à l'humour et aux arts de la rue.

FESTI REPORTAGE

« Mon cursus est assez banal, attaque humblement Stéphane Louineau. Mes parents étaient engagés dans le secteur associatif à Saint-Denis la Chevasse. Avec mes copains d'école, on a débuté par le foot puis on a commencé à faire des spectacles au Foyer des Jeunes. Les filles étaient plutôt sur la danse, les garçons sur des sketches, soit des reprises d'artistes connus, soit des petits textes qu'on écrivait. On préparait les représentations et on en donnait sept ou huit par an, parfois au réveillon de la Saint-Sylvestre. Ca faisait plaisir aux gens et à nous aussi bien sûr. Et puis, la recette permettait de financer un peu le Foyer des Jeunes, les aménagements, les projets d'activités, des sorties à la neige ou au Parc Astérix. L'occasion aussi d'apprendre à gérer un budget ». Des premiers pas qui vont constituer un socle pour la suite de son engagement.Dès l'âge de 16 ans, Stéphane a en effet pris ses premières responsabilités au Bureau du Foyer des Jeunes. Il reçoit les conseils de celui qui sera un peu un mentor pour lui, Jean-Yves Auneau qui deviendra par la suite maire de la commune. Comme beaucoup de jeunes, Stéphane va devoir négocier un virage délicat, celui de sa passion pour le secteur associatif avec sa vie professionnelle également implantée dans le secteur associatif : « Aprés avoir été formateur dans une Maison Familiale Rurale à Saint-Fulgent, je suis, depuis 1999, directeur adjoint d'un EHPAD (Etablissement Hébergeant des Personnes Agées Dépendantes) à Gétigné. C'est une structure privée gérée par une association. Je ne suis donc pas dépaysé ! ». Pour trouver le bon équilibre entre sa vie professionnelle, son investissement associatif et sa vie familiale, ce père de famille vit à La Boissière de Montaigu, approximativement située entre Gétigné et Saint-Denis. Ce qui ne l'empêche pas de courir un peu après le temps pour assurer sur tous les fronts et notamment celui du Festival « L'Air d'en Rire » dont il est président. « En 2002, le maire avait demandé au Foyer des Jeunes de Saint-Denis la Chevasse de réfléchir à un projet événementiel susceptible de faire parler de la commune et de fédérer autour des associations. On a mis en place un

comité de pilotage qui a proposé ce Festival dédié à l'humour en général avec la volonté de permettre aux jeunes talents de se faire connaître et en toile de fond un accent sur les arts de la rue ».Partis de rien, armés de leur téléphone et d'une

bonne dose d'enthousiasme, Stéphane et ses copains, dont certains d'enfance, partent à l'assaut des sociétés de diffusion : « On a connu des hauts et des bas, quelques jolis déficits, mais au fil

des éditions, le bouche à oreille a validé notre sérieux et la dimension humaine, pour nous fondamentale, de notre organisation ». En 2014, Anthony Kavanagh, Jeff Panacloc et Julien Courbet étaient à l'affiche d'un Festival élargi à plusieurs communes autour de Saint-Denis ! Mais, soucieux de ménager les bénévoles « pour le noyau dur de l'organisation la préparation du Festival devient un deuxième travail », Stéphane et ses amis de l'association ont décidé dès les débuts en 2004 de ne proposer « L'Air d'en Rire » qu'une année sur deux. « Les réalités économiques en termes de subventions nous incitent du reste à réfléchir sur une évolution du concept. Certes, il y aura toujours des têtes d'affiche mais on tient aussi à mettre encore plus l'éclairage sur les jeunes humoristes locaux ». Avec aussi, depuis le début un soutien indéfectible à l'association Le Rire Médecin : « Il nous a semblé évident qu'une partie des recettes, des dons, du soutien des partenaires et des festivaliers aille aider cette association qui organise des spectacles divertissants, par exemple avec

des clowns, à destination des enfants hospitalisés ». En attendant le prochain Festival prévu en septembre 2016, l'association « L'Air d'en Rire » va présenter dans les mois à venir une succession d'animations culturelles et festives dans toutes les communes qui le souhaiteront : « Certaines ont des salles qui ne tournent pas à plein. C'est l'occasion d'aller au devant de nouveaux publics notamment les jeunes, ou encore de proposer à des entreprises de convier leurs salariés à ces spectacles, et aussi de nouer des partenariats de proximité et plus largement de diffuser notre savoir faire ». Encore des heures et des heures de travail et de sacrés défis en perspective. Mais quand la passion est là.... elle est comme inextinguible puisque Stéphane a récemment accepté d'intégrer le Conseil d'administration de la FCF Vendée, au poste de secrétaire adjoint !

Jacques Chanéac

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Fêtes médiévales du château de bonaguil :

la vie au moyen âgeLa 15e édition des fêtes médiévales du Château de Bonaguil attirera les 4 et 5 juillet plusieurs milliers de familles désireuses de découvrir et partager dans une ambiance festive les différents aspects de la vie au Moyen-âge. Explications avec la présidente de l'association organisatrice de cet évé-nement original, Odette Langlade.

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En quelles circonstances l'idée de ces fêtes a-t-elle vu le jour ?D'une façon un peu fortuite. La ville de Fumel (Lot et Garonne) est jumelée avec Burghausen (Bavière) où se trouve un des plus grands châteaux d'Europe qui s'étale sur presque trois kilomètres ! A l'occasion d'une de leurs visites dans notre commune, nos hôtes allemands ont vu le château de Fumel et celui de Bonaguil situé à sept kilomètres de la ville qui en est propriétaire. Organisateurs de fêtes médiévales depuis bien longtemps à Burghausen, ils nous ont fait une sorte de surprise en arrivant en juin 2001 à Fumel avec une camion bardé de matériels pour nous initier à la notion de fête médiévale. On peut dire qu'ils nous ont mis le pied à l'étrier et nous ont incité à nous lancer à travers une fête qui a bien marché. L'année suivante, la mairie de Fumel prenait le relais en organisant une fête puis en incitant à la création d'une association dédiée à cet événement. Depuis 2003, c'est une équipe de 60 bénévoles qui la prépare et en assure la gestion.

Comment se décline cet événement ?Il vise à mettre en avant les différents aspects de la vie au Moyen-âge. Chaque année, nous choisissons une thématique specifique autour de laquelle tourne l'ensemble des activités et animations proposées. Les Médiévales se déroulent sur deux jours, cette année les samedi 4 et dimanche 5 juillet. Elles ont été proposées simultanement à Bonaguil et à Fumel mais on revient maintenant sur le seul site du château de Bonaguil pour des raisons pratiques. Fumel accueille toutefois le dimanche à 11 heures, sur le marché, un défilé convivial réunissant toutes les troupes et artistes ou associations participantes et ponctué par un verre de l'amitié.

Les spectacles sont donc désormais intégralement réunis à Bonaguil ?Oui dans l'enceinte somptueuse du château pour un voyage inoubliable dans le temps du Moyen-âge. En cette année 2015, la thématique tournait autour des cathédrales et des églises et de tous les corps de métiers qui ont contribué à leur édification au Moyen-âge. L'ensemble des activités proposées sera articulé autour de ce thème.

Qui sont donc celles et ceux qui animent ces deux journées ?Avant tout les membres d'associations du département ou de la région, passionnés par les temps médiévaux et désireux de les faire connaître aux visiteurs. On retrouve ainsi des compagnies et des troupes déambulatoires mais aussi des artisans, tous en costumes d'époque comme les membres de l'organisation du reste, le public étant aussi invité à adopter ces déguisements le temps de la fête.

Quels types de métiers, les visiteurs peuvent-ils découvrir ?Tous ceux pratiqués à l'époque. Les visiteurs peuvent donc être initiés mais aussi réaliser eux-mêmes les gestes des souffleurs de verre, des forgerons, des tonneliers, des tailleurs de pierre, des bâtisseurs, des calligraphistes, des peintres sur écus et frappeurs de monnaie, des tireurs à l'arbalète, ou encore s'essayer au tissage, à l'usage de la laine, de la roue... Pour tout ce qui touche à la fabrication, le public peut réaliser un objet et l'emmener en souvenir. C'est le cas des enfants pour le travail de la pierre par exemple.

Les médiévales sont donc très familiales...Oui, c'est une donnée majeure de notre association : les gens viennent en famille, toutes générations confondues. On leur propose de participer de façon effective. Les ateliers enfants sont très appréciés avec 250 participants en 2013 et 600 en 2014. De même les spectacles donnés par les troupes et les compagnies et artistes spécialistes du Moyen-âge ont un grand succès et sont accompagnés par le public. Le droit d'entrée (8 euros) permet d'assister à tous les spectacles et de participer à toutes les activités. En fin de journée, les visiteurs ont la possibilité de se restaurer dans l'un des trois établissements situés au pied du château de Bonaguil qui proposent des repas « médiévaux ». Sur ces deux journées, le dépaysement est garanti sur fond de découverte et bien entendu de convivialité. Nous accueillons des spectateurs venus de tout le sud-ouest mais aussi d'autres régions de France, certains cochant ce week end sur leur agenda et revenant tous les ans !

propos recueillis par Jacques Chanéac

www.medievalesbonaguil.fr

9 www.fetes-de-france.fr

La Sacem soutient toutes les musiques !

© M

arc

Che

snea

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Les trois missions essentielles de la Sacem :◊ Collecter et répartir les droits d’auteur pour que les créateurs et éditeurs français, et du monde entier, reçoivent une rémunération quand leur œuvre est utilisée.

◊ Défendre et représenter les créateurs et les éditeurs en France et à l’international.

◊ Promouvoir et soutenir la création dans toute sa diversité.

Pensez à contacter la Sacem avant votre manifestation :www.sacem.fr/contacts en région

La Sacem soutient toutes les musiques !

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Les trois missions essentielles de la Sacem :◊ Collecter et répartir les droits d’auteur pour que les créateurs et éditeurs français, et du monde entier, reçoivent une rémunération quand leur œuvre est utilisée.

◊ Défendre et représenter les créateurs et les éditeurs en France et à l’international.

◊ Promouvoir et soutenir la création dans toute sa diversité.

Pensez à contacter la Sacem avant votre manifestation :www.sacem.fr/contacts en région

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FESTI INFOS


évolution de nos relations avec la sacem

Nous vous l'avions annoncé dans le précédent numéro de Festi, suite à des négociations avec les fédérations et tout particulièrement avec les dirigeants de la FCF France, la Sacem vient de modifier ses forfaits et de mettre en ligne son nouveau portail Internet. Nous vous com-muniquons ci-après un mot de Stéphane Vasseur, Directeur national du Réseau de la Sacem et une petite présentation du nouveau portail.

Nous reviendrons prochainement plus en détail sur ces informations qui seront largement développées au cours d'une table ronde orga-nisée le 3 octobre prochain pendant le Congrès annuel de la FCF au Mans.

Le mot de Stéphane Vasseur

«La Sacem fait évoluer son réseau régional et met en place de nou-veaux outils pour simplifier vos dé-clarations.

Du spectacle vivant à la consomma-tion individuelle, la Sacem œuvre pour promouvoir l'exploitation de la musique dans le respect des artistes et de leur création. L’ancrage terri-torial de la Sacem est un de ses pré-cieux atouts. Il est, pour le monde associatif, la garantie d’une relation de proximité et pour les créa-teurs, d’une collecte juste et efficace. Avec plus de soixante-dix délégations régionales dans toute la France, les associations ont ainsi des interlocuteurs locaux pour les accompagner dans les démarches.

Afin de vous apporter plus de simplicité et de fluidité, la Sacem poursuit la simplification de sa politique tarifaire engagée en 2013. Ainsi, en 2015, outre l’extension des forfaits payables d’avance, la

Sacem répond aux attentes des fédérations en mettant en place une facture plus détaillée, accompagnée d’une annexe permet-tant une meilleure compréhension.

De nouvelles applications ont aussi été mises en place telles que la déclaration en ligne des programmes des oeuvres jouées du-rant un concert. Cette application intuitive facilite la remise des programmes et nous permet de répartir, au plus juste, les droits d’auteur que vous avez acquittés.

En avril 2015, une nouvelle version de notre site internet a été lan-cée, comportant un véritable « espace client » qui vous permet de gérer vos déclarations, vos contrats, de régler en ligne vos factures et ainsi, d’administrer directement votre compte client.

Toutes ces mesures ont été souhaitées par les membres du Conseil d’administration de la Sacem et décidées en accord avec les repré-sentants des Fédérations. Nous espérons qu’elles faciliteront l’or-ganisation de vos manifestations en musique qui font l’animation et favorisent le dynamisme de nos régions».

"Sacem.fr"

Pratique et sécurisé, le nouveau site "sacem.fr" facilite vos démarches !

La Sacem vient de lancer son nouveau site partagé en plusieurs espaces :

1) Espace clients (utilisateurs de musique) https://clients.sacem.fr/

2) Espace sociétaires (auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) https://createurs-editeurs.sacem.fr/

3) Espace présentation Sacem https://societe.sacem.fr/

4) Espace aides aux projets https://aide-aux-projets.sacem.fr/

L'espace client a été entièrement pensé pour rendre votre quotidien plus simple. Conçu comme un tableau de bord, vous pouvez désormais consulter votre dossier 24h/24 et 7j/7, notamment :

• Suivre le détail de vos opérations en cours : demande d'autorisations / devis

• modifier vos informations personnelles : coordonnées / code d’accès et mot de passe

• Consulter vos comptes Sacem et Spré

• payer vos factures en ligne : par carte bancaire ou par RIB (prélèvement SDD)

• Retrouver votre contact dédié

> Quelle que soit votre activité, trouvez votre demande d'autorisation adaptée, https://clients.sacem.fr/autorisations

> Retrouvez tous les tarifs en ligne. Obtenir une autorisation de diffusion de musique n’a jamais été aussi simple et rapide, quelle que soit votre utilisation de la musique (événementiel, sonorisation, diffusion, reproduction…) et votre activité

> Simplifiez vos démarches : créez votre espace client ! https://clients.sacem.fr/codes-client

ADHÉRENTS FCF, UTILISATEURS DE mUSIQUE : DECOUVREz VOTRE NOUVEL ESpACE pERSONNALISÉ !

BéNévOlATpRÉSIDER BÉNÉVOLEmENT UNE ASSOCIATION ET gÉRER UNE SOCIÉTÉ

Le gérant d’une société à responsabilité limitée est aussi pré-sident bénévole d’un club de tennis constitué sous forme asso-ciative. Cette association fonctionne normalement et son action en faveur des personnes handicapées mentales est reconnue par la Fédération française de tennis.

La SARL est placée en liquidation judiciaire et le gérant est condamné à une interdiction de gérer pendant deux ans.

Cependant, la cour d’appel, compte tenu des motifs ayant conduit au prononcé de l’interdiction de gérer, a considéré qu'il était pos-sible d’exclure de cette interdiction de gérer, l’activité bénévole de président de l’association sportive.

CA Paris,15 janv. 2015, RG n° 14/10494

LES ASSOCIATIONS ET LA LUTTE CONTRE LE RACISmE ET L'ANTISÉmITISmE

Grande Cause nationale 2015, la lutte contre le racisme et l’anti-sémitisme bénéficie d’un plan gouvernemental doté de 100 mil-lions d’euros sur trois ans.

La mise en place de quarante actions principales ont été annon-cées et parmi elles : - créer une instance opérationnelle dans chaque département, - développer des peines à valeur pédagogique, - outiller les associations pour promouvoir un contre-discours efficace, affecter des volontaires du service civique auprès des associations de lutte contre le racisme et l’antisémitisme, etc.

Dossier de presse, « La République mobilisée contre le racisme et l'antisémitisme - Plan d'action 2015-2017 », 17 avril 2015

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .SOcIAl (ET/Ou) SOcIETAl LE SERVICE CIVIQUE DEVIENT UNIVERSEL

Dans un communiqué du ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports celui-ci indique que 73 millions d’euros et des emplois supplémentaires au bénéfice de l’Agence du service civique ont été débloqués pour 2015.

Les associations sont vraiment en première ligne puisqu'elles accueillent déjà 84 % des volontaires. D'importants programmes ministériels vont être lancés et ainsi le ministère de l’Écologie pourrait attendre 15 000 volontaires, celui de la Culture, 16 000...

Pour tout renseignement : le site pratique asso-service-civique.fr mis en place par «Le Mouvement associatif», dédié aux associations et à l’accueil de volontaires en service civique, est en ligne.

Compte rendu du Conseil des ministres du 3 juin 2015

LAïCITÉ ET NEUTRALITÉ S'ImpOSENT LORS DE pRISE EN CHARgE DE mINEURS pAR LES ASSOCIATIONS

Une note de la directrice de la protection judiciaire de la jeunesse (DPJJ) à l’attention des établissements et services du secteur public mais aussi des associations habilitées précise la mise en œuvre des principes de laïcité et de neutralité par les agents pre-nant en charge les mineurs et leur articulation avec la liberté de conscience, d’expression et de croyance des usagers.

Les établissements devront adopter un règlement intérieur pou-vant s’inspirer du règlement type devant être élaboré d’ici la fin du premier semestre 2015. Un guide pratique sera diffusé pro-chainement.

Note du 25 février 2015, BO min. Just. n° 2015-03 du 31 mars 2015

JuRIDIQuELOTOS ASSOCIATIFS : ILS SONT DÉSORmAIS AUTORISÉS pAR LE mAIRE

Les loteries d’objets mobiliers exclusivement destinées à des actes de bienfaisance, à l'encouragement des arts ou au finance-ment d'activités sportives à but non lucratif sont autorisées par le maire et non plus par l’autorité préfectorale.

Cette permutation résulte de la loi n° 2015-177 du 16 février 2015 relative à la modernisation et à la simplification du droit et des procédures dans les domaines de la justice et des affaires inté-rieures. Le présent décret prend acte de ce changement législatif et coordonne les dispositions réglementaires.

Décr. n° 2015-317 du 19 mars 2015, JO du 21.

LES DÉmARCHES AmIABLES SONT OBLIgATOIRES AVANT DE FAIRE AppEL AU JUgE

Depuis le 1er avril 2015, sauf exception, les parties à un litige doivent indiquer, dans l'acte de saisine de la juridiction (c'est-à-dire dans l'assignation), les démarches de résolution amiable pré-cédemment effectuées. Les parties ne pourront s'en dispenser que si elles justifient d'un motif légitime tenant à l'urgence ou à la matière considérée, en particulier lorsqu'elle intéresse l'ordre public. Cette règle, désormais inscrite dans le Code de procédure civile, vise à favoriser le recours aux modes alternatifs de résolu-tion des litiges.

Source : Décret n°2015-282 du 11 mars 2015 relatif à la simplifica-tion de la procédure civile à la communication électronique et à la résolution amiable des différends (JO du 14 mars 2015).

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .FIScAlABANDON DES FRAIS DES BÉNÉVOLES : BARèmE DES FRAIS kILOmÉTRIQUES pOUR LA RÉDUCTION FISCALE

Ce barème est à prendre en compte pour les frais engagés en 2014.

Le tarif applicable par kilomètre parcouru est de 0,308 € pour les véhicules automobiles et de 0,120 € pour les vélomoteurs, les scooters et les motos, cela indépendamment de la puissance fis-cale ou de la cylindrée de l’engin.

Source : mise à jour du 16 avril 2015 par la direction de l'infor-mation légale et administrative (premier ministre), ministère en charge de la vie associative et site Service public.fr.

L'ANALySE FISCALE DE L'ACTIVITÉ D'UNE ASSOCIATION...TOUJOURS DES INTERpRÉTATIONS DE LA RègLE DES "4p" !...

Lorsque le prix et la publicité des produits ou services proposés par une association sont ceux appliqués par le secteur marchand, cela peut entraîner son assujettissement aux impôts commer-ciaux, avec rappel des droits et pénalités afférentes.

Ainsi, pour les juges administratifs, l’organisation de stages de cui-sine sur plusieurs jours est une activité comparable à celles que peut proposer une entreprise organisant des séjours de loisirs et de vacances et l’association qui les propose doit être fiscalisée.

Mais ici, pour que prix et publicité soient ceux du secteur mar-chand, l’existence d’un tel secteur sur le domaine d’activité n’a pas à être démontrée : la concurrence peut être simplement poten-tielle, pas nécessairement réelle...

CAA Marseille, 26 févr. 2015, n° 13MA02417

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LES mEmBRES DU BUREAU

14 1515 www.fetes-de-france.fr

LES AUTRES mEmBRES DU CONSEIL D'ADmINISTRATION :> Annie ABRAHAm, représentant la FCF Rhône-Isère (Rhône),> Annie BATAILLE, représentant l'association Perfecto 12/81 (Tarn),> Denis CASTERAN, représentant le Comité des fêtes de Coufouleux (Tarn),> René DUBOIS, représentant le Carnaval de Chalon sur Saône (Saône et Loire),> monique DULAQUAIS, représentant le Comité des fêtes de Crest (Drôme),> Jean gIL-CATALA, représentant le Comité Carré d'As de Poussan (Hérault),> pierre JULIEN, représentant le Comité des fêtes de Tain l'Hermitage (Drôme),> Jean paul LALLEE, représentant le Cofest de Carmaux (Tarn),> guy LE BERRE, représentant le Comité des fêtes de la Bouquerie de Condom (Gers),> François mAILLER, représentant le Comité des fêtes de Montilliers (Maine et Loire),> gervais mORILLON, représentant l'Institut Musical de Vendée (St Laurent sur Sèvre),> Daniel mULLER, représentant la FCF Lorraine (Moselle),> Robert pARRA, représentant la FCF Hérault (Le Pouget),> Jackie pASSET, représentant la FCF-UDCF du Maine et Loire (La Ménitré),> Daniel pECQUENARD, représentant le Comité des fêtes de Vibraye (Sarthe),> Christian pINEAU, représentant le Carnaval de Cherbourg (Manche),> Emmanuel pRINCE, représentant l'URFC de Guyane (Macouria),> patrick SILBERREISS, représentant la Carnaval de Sarreguemines (Moselle),> Alain SImON, représentant la FCF du Centre (Loiret),> Bruno VELLUTINI, représentant le festival Porto Latino de Bastia (Corse),> Laurent VIgROUX, représentant le Comité de quartier Breuil Mazicou d'Albi (Tarn).

FESTI INFOSla FcF France, une Fédération Forte qui soutient l'action bénévoleet déFend les intérêts de ses adhérentsOn nous pose régulièrement la question sur la raison d'être de la FCF tant en ce qui touche les valeurs défendues que les services proposés.

La FCF France, association nationale agréée, a pour objet de fédérer tous les créateurs de manifestations festives et porteurs de culture populaire (organisateurs de festivals, associations carnavalesques, comités des fêtes, collectivités et tout organisme participant à l'ani-mation culturelle de notre pays).

Ses buts statutaires et son projet associatif sont très clairs, notre fédération est là pour :• aider ses membres à organiser, sécuriser et développer les fêtes,

spectacles, et manifestations populaires (festivals, fêtes carnava-lesques, folkloriques, traditionnelles, sportives, etc…)...

• défendre les intérêts collectifs des associations adhérentes et les re-présenter auprès des Pouvoirs publics et de toute institution natio-nale,

• veiller au développement des échanges intergénérationnels par son soutien, voire et y compris sa participation à toute initiative ou ac-tion favorisant la sensibilisation, la motivation, la formation et l'impli-cation des jeunes dans le secteur festif et culturel,

• œuvrer également tant en France qu'au niveau européen, à la mise en place et au soutien d'actions en direction de la jeunesse et de l'Education populaire,

• participer au recensement, à la reconnaissance, à la sauvegarde et favoriser la transmission du patrimoine culturel immatériel de notre pays,

• négocier et proposer tous contrats de services ou de prestations nationales au bénéfice de ses adhérents,

• participer à la promotion de leur image et de leurs manifestations par tous moyens de communication,

• promouvoir, mettre en valeur et développer l’action bénévole no-tamment pour les jeunes, dans le cadre des loisirs, de la culture, du

maintien des traditions, du cadre de vie, de l’animation et de l’édu-cation populaire.

Et c'est bien ce que son équipe dirigeante composée de bénévoles s'emploie à réaliser au quotidien : à travers ses actions de représenta-tion auprès des Pouvoirs publics mais aussi par sa présence et sa force de proposition auprès des institutions telles que la Sacem, la Spré, la Sacd, le CNV, le Guso...

Au fil des années, elle a mis en place toute une palette de services visant à aider et soutenir ses adhérents, comme, parmi d'autres :• une assurance RC des dirigeants incluse dans le montant de la coti-

sation,• des propositions d'assurances adaptées aux activités de ses adhé-

rents,• des réductions sur la facturation des droits d'auteur (12,5% sur la

Sacem et la Spré, 10% sur la SACD en plus des réductions accordées par ailleurs),

• une plus grande proximité et un dialogue avec ses adhérents grâce à ses structures départementales ou régionales affiliées,

• une assistance juridique et l'appui d'un cabinet d'avocats si néces-saire,

• des moyens de communication (site internet, revue, news...) permet-tant une information et une communication externe sur les activités et manifestations de nos adhérents...

Aujourd'hui, notre fédération est structurée et équipée pour répondre le plus efficacement possible aux bénévoles ou collaborateurs des services culturels dans de très nombreux domaines touchant à la culture populaire.

Nous travaillons à une modification de nos statuts et à un relooking de notre projet associatif pour être encore plus présents et plus réac-tifs à vos côtés. Nous ne manquerons pas de vous tenir informés.

LES mEmBRES DU BUREAU> Serge RUCHAUD, président,

représentant la FCF Vendée,> yvette RIO, Vice présidente déléguée,

représentant la FCF-Festiv'44 (Loire Atlantique),

> Bernard AT, Vice président chargé du développement, représentant la FCF-Fofemip (Tarn),

> Henri BADAR, Vice président chargé du bénévolat, représentant le Comité des Bouviers de Montoison (Drôme),

> Alain RIU, Vice président chargé des partenariats, représentant le Carnaval de Fleurance (Gers),

> Alain mARCHAND, Secrétaire général, représentant la FCF-Udom (Sarthe),

> Christian BOUILLET, Secrétaire général adjoint, représentant le Carnaval de Besançon (Doubs),

> michel LEROy, Trésorier, représentant le Comité des fêtes de Savenay (Loire Atlantique),

> Robert DyE, Trésorier adjoint, représentant la FCF Drôme-Ardèche (Drôme).

Qui sont les dirigeants de la FCF France ?

Des femmes et des hommes engagés bénévolement et eux mêmes acteurs culturels dans leur ville, village ou région.

FESTIVALS, Carnavalset Fêtes de France

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un premier pas de la FcF France pour la sauvegarde du patrimoine culturel

immatériel de ses adhérents

Qui est EthnoDoc ?

Situé au Perrier, en Vendée, c'est un centre d’expertise dans le patrimoine oral. Il accompagne territoires et organisations dans le traitement des archives, le collectage de leur mémoire collective et la valorisation de leur histoire.

pourquoi ce partenariat ?

Parce que La Fédération des Festivals, Carnavals et Fêtes de France souhaite faire bénéficier ses membres de l’expertise d’EthnoDoc à travers un programme commun appelé « Fil de mémoire ». Ce programme consiste à accompagner les associations dans la patri-monialisation de leur histoire afin de créer de la valeur et du sens en interne (bénévoles, personnel) et en externe (partenaires, usa-gers, prospects). La démarche doit en outre constituer un levier de motivation auprès des bénévoles et des jeunes pour transmettre l’envie de prolonger les dynamiques en place et les patrimoines culturels immatériels en jeu.

Comment ça marche ?

Les deux associations vont définir les contours et les modalités de leur partenariat dans les domaines de la formation et du traite-ment de l’histoire des membres et de la FCF elle-même.

Ainsi :

> La FCF se fera le relais auprès de ses adhérents du programme « Fil de mémoire » mis en place en partenariat avec EthnoDoc consistant à valoriser leur histoire et à traiter leurs archives,

> EthnoDoc proposera ses services en matière de :

• Accompagnement dans la valorisation de l’histoire des mouvements,

• Collectage d’archives et de témoignages,

• Traitement des archives et indexation dans la base docu-mentaire du réseau RADdO,

• Valorisation de l’histoire des mouvements : production et documentation de contenus pour des expositions, des éditions imprimées ou des supports numériques (exposi-tions ou musées numériques, sites mobiles, applications etc.),

• Formation comprenant les modules suivants :

• Traiter et valoriser l’histoire de l’association ou de la col-lectivité, les enjeux,

• Collecter la mémoire,

• Traiter et gérer les archives

Un accompagnement sur le traitement des archives, le collectage de la mémoire, et la valorisation de l’histoire des mouvements est proposé par EthnoDoc aux adhérents de la FCF.

Comment sont gérées les archives audiovisuelles et iconogra-phiques ?

EthnoDoc propose aux associations un outil d’indexation des archives audio-visuelles et iconographiques sur un espace dédié en ligne, privatisable, de la base de données RADdO (http://www.raddo-ethnodoc.com/).

L’outil peut aussi servir à l’indexation des archives récentes de l’as-sociation (photos, vidéos etc.).

Comment sont gérées les relations entre EthnoDoc et les ad-hérents de la FCF France ?

> Contractualisation avec les membres

Une convention sera établie entre EthnoDoc et chacun des membres de la FCF intéressé par la démarche qui précisera le contenu de l’intervention d’EthnoDoc et les montants des presta-tions engagés. Les prestations feront l’objet d’une facturation de la part d’EthnoDoc directement à ce membre.

> gestion des formations

La gestion administrative et financière des activités de formation menées par EthnoDoc auprès des membres de la FCF (associa-tions, collectivités ou des organismes culturels publics et privés) sera confiée à la MDAV (Maison Départementale des Associations de Vendée, gestionnaire de la FCF France) qui établira une facture en son nom à l’organisme bénéficiaire dans la cadre d’une conven-tion signée avec EthnoDoc.

Comment va se faire la communication autour de ce partenariat ?

Elle est assurée par la FCF France et EthnoDoc sur leurs supports de communication (papier, web et numérique) faisant figurer le logo du partenaire. Une table ronde de présentation et de réponses aux questions des adhérents sera organisée lors du prochain Congrès de la FCF au Mans.

Suite à une décision prise lors de la réunion de bureau du 7 mars au Mans, les présidents de la FCF France et de l'association EthnoDoc ont signé une convention de partenariat visant à la sauvegarde du Patrimoine immatériel des adhérents de la FCF.

De gauche à droite : Jean-Pierre Bertrand : Président d'Ethnodoc, Serge Ruchaud : Président de la FCF France et Philippe Boisseleau : Directeur d'Ethnodoc

GUYANE

assemblée générale u.d.c.F./ FcF maine et loire

Le 21 mars dernier, le comité des fêtes de Baugé, et son président Mr Hupont rece-vaient l'Union Départementale des Comités des Fêtes, adhérente à la Fédération des Festivals, Carnavals et Fêtes de France, pour son Assemblée Générale, présidée par Mr Jackie Passet.Mr Chalopin, Maire de Baugé en Anjou et Conseiller Général, Mr Ergand, Maire délégué et Mr Jean Charles Taugourdeau, Député étaient invités et présents à cette occasion. Trois intervenants ont pris la parole, Mr Serge Ruchaud, président de la FCF «inter-locuteur des pouvoirs publics» dans de nombreuses commissions nationales, en relation directe avec les ministères concernés, ce qui place la Fédération nationale en situation favorable pour défendre les intérêts des comités des fêtes.Mr Sambardier, Délégué Régional de la Sacem, Mr Gasté représentant Groupama participaient à la réunion en tant qu'intervenants.Adhérer à l'U.D.C.F de Maine et Loire, c'est aussi bénéficier de tarifs spéciaux de la Sacem pour l'organisation des manifestations, avoir des conseils juridiques et des assurances pour les membres des instances dirigeantes des organismes adhérents.Enfin, c'est aussi le moyen de créer des échanges fructueux et amicaux entre les comités des fêtes, trop souvent isolés.A l'issue de l'AG, un nouveau bureau a été élu : Président : Jackie Passet, Vice Prési-dents : Michel Chevalier et Alain Audureau, Secrétaire : Clarice Passet, Secrétaire ad-joint : Michel Gallée, Trésorier : François Mailler, Trésorier adjoint : Gérard Cadusseau.

l’AcTu DES FéDéRATIONS

assemblée générale de la FcF vendéeC'est à Chavagnes en Paillers que s'est tenue cette année l'Assemblée Générale de la FCF Vendée, le 16 avril dernier.Après les mots d'accueil de Norbert Piveteau, président du Comité des fêtes de Cha-vagnes et membre du CA de la FCF Vendée, ce sont Mme Rivière, conseillère dépar-tementale représentant M. Yves Auvinet, président du Conseil départemental de Vendée et Mme Couton, 1ère adjointe au Maire de Chavagnes qui ont pris la parole pour dire combien le rôle d'une fédération comme la FCF était important auprès des organisateurs de fêtes ou responsables de service culturels. Elles ont toutes les deux souligné l'importance des fêtes tant dans leur mission de création de lien social que dans leur rôle économique.Le président les a remerciées pour leurs interventions et s'est félicité des excellentes relations entretenues depuis de nombreuses années avec le Conseil Départemental de la Vendée qui a toujours soutenu l'action de la FCF. Il a remercié également pour leur présence Yvette Rio, présidente de la FCF 44 et vice présidente déléguée de la FCF France et Jacques Koppé, secrétaire de la FCF Loire-Atlantique.Après un compte rendu d'activités dense où le président a donné de nombreuses in-formations concernant notamment la Sacem, la Spré, le CNV, la SACD et le Guso... les comptes de l'exercice 2014 ont été présentés. Les comptes rendus d'activité et finan-ciers ont été approuvés à l'unanimité avant que l'on passe à l'élection des membres du CA. Les mandats de Roland Guyet, Vincent Mercier et Serge Ruchaud ont été renouvelés et sont venus renforcer le CA, Mrs Bruno Allain (Potes au feu fulgentais), Gervais Morillon (IMV), Jacques Aumand (la "St Valentin" de St Pierre du Chemin) et Stéphane Louineau (Festival "l'Air d'en Rire" de St Denis la Chevasse).A l'issue de l'Assemblée, un hommage a été rendu à M. Roger Roiland à l'occasion de la fin de son mandat de président de la Maison départementale des associations pour le partenariat entretenu entre nos 2 organismes et les services rendus à la FCF au cours de ces dernières années. Un trophée et un diplôme d'honneur lui ont été remis par Serge Ruchaud.

FoFemipDans le Tarn « La Fête en héritage »La Fofemip, l'ANPAA, la Préfecture et l'Association des Maires du Tarn ont organisé deux soirées d'informations et d'échanges entre les orga-nisateurs, élus locaux, représentants d'état et partenaires de la fête les jeudis 30 avril à Albi et 21 mai à Castres. Ces réunions enrichissantes ont permis à certains Comités des Fêtes d'exposer leur travail pour la prévention et la réussite de leur manifestation devant une nombreuse assistance. Une initiative très enrichissante à renouveler.

Assemblée générale FOFEmIpLa FOFEMIP à tenu sa 25e Assemblée Générale à Carmaux le 27 mars devant une nombreuse assistance en présence de Mr Alain ESPIE Maire de Carmaux, Mr RUCHAUD Président de la FCF France et Mme Mélanie SESCOSSE Déléguée régionale de la SACEM.

Remise du prix SACEmA l'issue de l'Assemblée Générale de la FOFEMIP à Carmaux, a eu lieu la remise du prix du concours national FCF/SACEM pour les plaquettes de présentation des manifestations. Ce prix avait été attribué au Cofest (Comité des fêtes de Carmaux) lors du Congrès de la FCF France à Aix-les-Bains. Il a été remis par Mme SESCOSSE Déléguée SACEM en pré-sence de Mr le Maire, Mr Ruchaud et les reines de la Cavalcade 2015.

Remise d'éthylotests offerts par m. philippe Folliot, député du TarnLa FOFEMIP a distribué 4500 éthylotests le vendredi 22 mai à Réalmont en présence du Sous-Préfet d'Albi et de Mr Philippe Folliot, député de la circonscription. Ces éthylotests ont été offerts par Monsieur le député de la 1ère circonscription du Tarn aux 90 Comités des Fêtes de sa cir-conscription. Nous le remercions vivement pour son geste pour la pré-vention et la réussite de nos fêtes dans sa circonscription.

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FcF - Festiv'44La période estivale se profile à l'horizon et pour tous les bénévoles, les festivités se multiplient pour le plus grand plaisir du public. Ceux-ci œuvrent sans compter pour perpétuer cette Culture populaire et favo-riser le lien social.

Cet été, des manifestations importantes sont organisées dans le dé-partement de Loire-Atlantique, par exemple:les 3 et 4 juillet : Festival de la Nuit de l'Erdre à Nort sur Erdre,les 25 et 26 juillet : Fêtes des Chalands Fleuris à Saint André des Eaux,les 7 et 8 août : le 24e Festival des Escales à Saint Nazaire.

Sans oublier les nombreuses fêtes de taille plus modeste : carnavals d'été, corsos, vide-greniers, soirées moules-frites, anguillades, etc...

Les membres de l'équipe de la FCF 44 iront cet été à la rencontre des organisateurs pour les soutenir dans leurs actions car ils savent bien que le rôle de ces manifestations n'est pas anodin pour l'économie ter-ritoriale, elles apportent à un public intergénérationnel, joies et plaisirs pour se déconnecter agréablement du quotidien

centreLa Fédération Régionale des Comités des Fêtes et Associations du Centre a organisé en mars sa première réunion d’infos 2015. Celle-ci a eu lieu à Neuville aux Bois sur la sécurité et les feux d’artifice. Le Thème ‘’sécurité’’ a été présenté par le colonel Maillard, des sapeurs pompiers - SDIS du Loiret, et un exposé a été fait sur les feux d’artifice par Monsieur Jean Pierre Guy de la société Pyroconcept de Nazelles - Négron (Indre et Loire). Les membres des comités et associations pré-sents ont pu poser de nombreuses questions à ces intervenants afin d’appliquer et de respecter les normes de sécurité et la loi lors de leurs prochaines manifestations. A la fin de cette réunion, trophée, médaille et diplôme ont été remis à Monsieur Jacki Roche pour 50 ans de béné-volat, actuellement trésorier du comité des fêtes de Neuville aux Bois et trésorier de la FRCF AC - FCF du Centre.La prochaine réunion d’info se déroulera en automne. Les thèmes : la banque, les associations et les assurances. Le Crédit Mutuel du Loiret assurera la présentation.Les membres du bureau de la FCF Centre prospectent régulièrement sur les fêtes dans la région, distribuent la plaquette de la fédération, afin de faire connaître les avantages qu’apportent notre adhésion au sein de la FCF France. « Plus nombreux nous serons, plus forts nous en ressortirons ».

232 rue Jean-Baptiste Charcot9 2 4 0 0 C O U R B E V O I E Tél. 01 47 17 87 57Fax 01 47 89 67 73w w w . d u f a u d . f rs p e c t a c l e s @ d u f a u d . f r N°ORIAS : 07000588 • www.orias.fr

l’assureur des comités

des fêtes

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DRôme - aRDèchehistoire de joutes

la roche de glun (26) le 15 août

CENTRECaRNaval dE NuiT jaRgEau (45) lE 11 juillET

A leur début les joutes étaient la distraction des monarques et de leurs cours. Elles deviennent assez vite des fêtes populaires qui attirent de nombreux spectateurs. Elles sont organisées par les « Sociétés de Sauvetage et de Joutes » extrêmement nombreuses à l’époque en Vallée du Rhône

et qui jouissent d’un grand prestige car elles interviennent lors des grandes inondations. Jusqu’à la fin du 19e siècle on joute surtout à l’occasion des fêtes ou vogues locales.

A ce jour la joute nautique est gravée dans la mémoire des rhodaniens qui lui vouent une véritable passion familiale qui se transmet de père en fils….. Et en fille aujourd’hui ! Ce sport qui demande démonstration de force et d’équilibre se pratique de juin à septembre.

A La Roche de Glun, bourgade de 3 500 âmes nichée dans un écrin de verdure au bord du fleuve Dieu à 100 km au sud de Lyon, cela fait plus de cent ans que ça dure. Un siècle que le village se passionne pour la joute nautique surtout pour la grande fête annuelle du 15 août. Ces quelques jours sont le travail d’une année pour le jeune comité des fêtes. Un événement totalement gratuit, dont une fête vénitienne et un spectacle pyrotechnique de très grande qualité qui attire chaque année plus de cinq mille spectateurs sur les berges du Rhône.« Bourgade dans un écrin de verdureCe qui s’appelle une passe.La parade du 15 août.Ce qui s’appelle casser du bois !!! »

Le Comité de Carnaval de Jargeau organise sa parade nocturne d'été samedi 11 juillet sur les bords de Loire. A partir de 19 heures vous y trouverez buvette, des animations avec spectacle de Hip-hop présenté par Jemma et ses élèves.

Élection de Miss Carnaval 2016, à 21 heures présentation des candidates, les résultats seront annoncés après la grande parade.

Vers 22heures, à la nuit tombée, se déploiera la grande Parade Nocturne dans toute la ville. Défileront les Chars Illuminés, confectionnés par l’équipe du Carnaval de Jargeau, les Musiques, Batu kendo, Percussions Brésiliennes et les Bandas.

puis annonce des résultats de l’Election Miss Carnaval de Jargeau 2016Cette soirée se terminera par un grand bal populaire sur les bords de la Loire.Soirée toujours réussie, attirant un nombreux public. N'hésitez pas venez nous rejoindre à Jargeau sur les bords de Loire pour faire la fête.

fRanche comteCavalCadE dE saiNT fERjEux

bEsaNçoN (25) lE 13 sEpTEmbRE

C’est en 1947 qu’une poignée de copains créée une Commune Libre dans le quartier de Saint Ferjeux : un Maire, des adjoints, un garde-champêtre, un capitaine des pompiers, un officier de paix composent la municipalité. La Commune Libre de Saint Ferjeux La Butte est née et depuis 68 ans, elle organise sa cavalcade.M’dame le Maire donnera le départ du cortège dans son véhicule officiel, sa Clément Bayard de 1906, 14 chars (construits en un temps record par les bénévoles de notre comité et avec l’aide des

associations sympathisantes), autant de groupes, fanfares, majorettes sillonneront les rues du quartier.Sur la place de la bascule, des animations sur podium, une fête foraine, des stands de jeux, et une petite restauration permettront au public de terminer agréablement la journée. Les bénéfices espérés de cette manifestation permettent la réalisation de colis de noël pour les anciens de plus de 70 ans, résidant dans le quartier soit environ 700 bénéficiaires.Le président Alain Perret et son comité vous espèrent nombreux avec eux :« FAIRE LE BIEN, DANS LA BONNE HUMEUR !!! » car telle est la devise de l’association et le spectacle est gratuit !!!!! Qu'on se le dise.

l’AcTu DES RéGIONS

maiNE ET loiREfEsTival dEs aRTs dE la RuE "lEs aCCRoChE-CœuRs" aNgERs (49) lEs 11,12 ET 13 sEpTEmbRE

La ville d’Angers prépare activement ses festivités qui sont devenues incontournables « Les Accroche-cœurs ». Festivités de rue, les 11-12-13 septembre 2015 – trois jours de liesse rassemblant des dizaines de milliers de spectateurs dans toute la ville transformée en une immense scène à spectacles.

Cette année le végétal y aura une place importante, puisque le thème sera « l’Odyssée végétale », donnant un reflet particulier à cette manifestation gigantesque.

Notez bien ces dates : 11-12 et 13 septembre 2015 à Angers, dans le Maine et Loire.

Après une édition 2014 placée sous le signe des sons d’Istanbul et plébiscitée par près de 32500 spectateurs, Les Escales, pour cette 24e édition, mettent le cap vers les rives lointaines du Pacifique sud ! La programmation 2015 est à l’écoute des sons du monde d’où qu’ils viennent et s’articule autour de deux axes forts qui constituent l’ADN de notre festival :

Un programme ouvert sur le monde

Artistes émergents, artistes issus de la nouvelle scène, révélations musicales ou encore artistes de notoriété internationale... Une programmation multi-facette qui nous confère une réelle liberté dans le choix des zones géographiques et des esthétiques musicales que nous défendons ! Nous vous embarquons à la découverte de nouveaux sons, de perles musicales, de plaisirs scéniques et d’artistes hors du commun !

Un Focus : En route pour Valparaiso !

Entre ciel et mer, océan et cordillère de côte, la mythique Valparaiso appartient aux cités de légende ! Celle qui est désormais reconnue comme trésor de l’humanité, laisse naturellement libre court à l’imaginaire ! Ouverte sur l’horizon et encerclée par un amphithéâtre naturel de 44 collines tombant dans la mer, Valparaiso est le premier port et la deuxième ville du Chili et elle est inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco.

Les superlatifs ne manquent pas pour décrire celle que le poète Pablo Neruda appelait la fiancée de l’océan : Surnommée tantôt la petite San Francisco tantôt le Joyau du Pacifique…

Ville ultra-dynamique, les voyageurs aiment à se laisser enivrer par la poésie, la beauté du paysage et la vie de bohème qui subliment la cité portuaire, où romantisme et tradition, empreints d’une certaine nostalgie, nourrissent l’âme des poètes et des artistes !

L’effervescence intellectuelle et culturelle y est à son apogée ! Malgré une histoire tourmentée, parfois violente, le Chili a retrouvé l’espoir dans les années 90. Point de départ du retour à la démocratie, le pays ouvre de nouveau le champ des possibles et Valparaiso, la contemporaine, a retrouvé sa superbe !

Ces dernières années la ville s’est tournée vers les cultures alternatives et a ouvert son cœur au street-art ! De véritables oeuvres d’art où tags, graffitis et fresques géantes jalonnent rues et ruelles pour mettre en exergue la force, la vitalité et l’émulation qui animent Valparaiso !

Au cœur de cette dynamique culturelle, la musique se vit au quotidien, dans les bars, les clubs, les facs. Les nouvelles générations de musiciens s’émancipent et revisitent la tradition.

Comme la cumbia et le boléro, l’héritage des musiques traditionnelles reste très vivace et incarne l’essence des quartiers populaires.

La nouvelle chanson chilienne, « nueva cancione chilena », se révèle être un puissant mouvement musical. Elle symbolisa une forme de résistance culturelle à la dictature et milite pour la revalorisation du patrimoine musical chilien.

Quant à la scène actuelle de Valparaiso, elle est le creuset énergique d’un nouveau courant musical. Autour de la culture du graff, les formations de hip hop se réapproprient les sonorités latines conférant une chaleur bien singulière à cette esthétique urbaine.

Il y a aussi la cumbia « moderne » qui, associée aux sonorités plus rock ou encore au ska latino, s’échappe des nombreux cafés concerts.

Notre voyage est guidé par cette énergie créatrice, cette beauté solaire et cette poésie toujours présente, à la recherche de la nouvelle scène musicale de Valparaiso, celle qui nous parle du Chili d’aujourd’hui, de sa jeunesse et de sa joie de vivre !

Nous avons hâte de partager avec vous les plus belles images, les perles musicales, la modernité et la beauté inaltérée de Valparaiso!

loiRE aTlaNTiQuE24E fEsTival "lEs EsCalEs"

saiNT NazaiRE (44) du 7 au 8 aoûT 2015

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saRThEgRaNd pRix dE la saRThE dE sToCk CaRsaiNT gEoRgEs du Rosay (72) lE 26 juillET

vENdÉE17E fEsTival dE daNsEs ET musiQuEs du moNdECugaNd (85) du 20 au 23 aoûT

midi pyRÉNÉEslEs gRaNdEs fêTEs 2015

lislE suR TaRN (81) du 17 au 19 juillET

Cette année est particulière car nous fêterons les 20 ans du comité fondé en 1995 avec le soutien des forains et de la municipalité.Cette année anniversaire débutera par le traditionnel repas du vendredi 17 au soir dans la cour de l’école publique qui se poursuivra avec l’orchestre Houston sur les Promenades. Le samedi soir l’orchestre ABYSS animera la piste de danse où nous espérons vous retrouver nombreux.Les après-midis du samedi et du lundi seront consacrées au concours de pétanque en triplette et doublette à 14h au boulodrome.Le dimanche matin sera l’occasion de s’adonner au plaisir de la pêche à la ligne avec le concours de

pêche autour du lac Bellevue.Le dimanche après-midi , de venir à l’exposition de voitures anciennes organisée dans la cour de l’école publique prés des Promenades.La soirée du Dimanche 19 juillet sera animée par l’orchestre des 2 enchanteurs.Le lundi verra se clôturer cette édition 2015 de nos festivités par le feu d’artifice sur les berges du lac suivi de 2 concerts en simultané : avec le groupe MOTEL sur les Promenades et Tarn Musette sur la place Paul Saissac.A l’occasion de ce 20e anniversaire des polos à l’effigie du comité seront également proposés à la vente.En espérant vous croiser prochainement sur notre piste de danse ou bien autour de la buvette, le comité vous souhaite une belle saison estivale.

Dimanche 26 juillet, St Georges du Rosay accueille le grand prix de la Sarthe de stock car pour la trente cinquième fois. Comme les années précédentes, une trentaine de pilotes, répartie en deux groupes est attendue pour le départ. Chacun d’entre eux courra trois manches de quinze tours plus la finale qui, elle se fera sur vingt tours, il y aura donc un total de sept courses.Les premiers concurrents s’élanceront à partir de 15h. sur une piste ovale de 250 mètres bordée de buttes de terre.Avant le début des hostilités on prend soin de retirer les vitres, les phares... etc. tout ce qui pourrait se briser et blesser les pilotes ou le public.On s’applique également à présenter une belle voiture, qui au fil des tours, se délabrera pour finir en tas de ferraille.Tous les ans, ce sont 3 à 4000 personnes qui viennent voir un spectacle inoubliable.

La 17e édition du Festival de Cugand se déroulera du jeudi 20 au dimanche 23 août 2015. 4 jours de fête pour voyager à travers le monde au rythme des musiques traditionnelles.Une véritable aventure interculturelle et humaine, avec 250 bénévoles et 200 familles hébergeantes. Chaque année, 20 000 spectateurs assistent aux spectacles, animations de rue, conférences, ateliers de danses, parade et découvertes proposées par des artistes du monde entier.Après deux années couronnées de succès, le « Village du Monde » aura comme thème directeur : les “Cultures de l'Est”. Toutes les animations ou spectacles seront en relation avec ce thème. Une grande “Soirée bavaroise” sera organisée le samedi soir.8 pays, 300 artistes…Venez découvrir les Cultures du Monde…

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DISTRIBUTEUR DE BOISSONS

MISE À DISPOSITION DE MATÉRIELPOUR TOUTES VOS MANIFESTATIONS

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alsaCElE fEsTival "dÉCibullEs" EsT dE RETouR pouR sa 22E ÉdiTioNNEuvE ÉglisE (67) du 11 au 12 juillET

limousiNfEsTival aux Champs

ChaNTEix (19) du 6 au 9 aoûT

En 1992, un groupe d’amis provenant de la même association, le Cercle St Nicolas, décide de créer une manifestation festive plus en phase avec leurs goûts et leurs désirs. L’envie première de ces jeunes est de promouvoir leur village, celui de Neuve-Eglise situé au cœur de la Vallée de Villé, à mi-chemin entre Strasbourg et Mulhouse. La première édition de Décibulles rassemble 700 personnes et a pour concept : un cocktail mariant musique rock (Décibels) et fête de la bière (Bulles). Le concept "Décibulles" est né.

Le festival a connu sa 20ème édition en 2013 en accueillant pas moins de 18 000 festivaliers. Cet anniversaire marque un tournant important car il a fait de Décibulles le plus grand événement en plein-air d’Alsace, confirmé l’année suivante avec 23 500 festivaliers, un record absolu !L'association aussi a parcouru un bout de chemin : elle compte aujourd'hui 90 membres actifs qui participent à la réussite de cet événement ! Au fil des années, grâce à sa convivialité et son esprit festif, le festival Décibulles est devenu un événement incontournable du paysage culturel de l’Est de la France.

Entre vieilles pierres et ardoises, au cœur du village, Le Festival Aux Champs pose ses chapiteaux, du 6 au 9 août, dans le bourg de Chanteix, commune corrézienne de 600 habitants. L'association "Tuberculture" propose, dans cette nouvelle édition, une programmation alléchante dans laquelle se mêle découvertes et têtes d’affiches, dans une palette musicale assez large, tout en gardant l’état d’esprit ZAPATATAS si particulier !

De Boulevard Des Airs à Michel Jonasz Quartet avec Manu Katchè, Jean Yves d’Angelo, Jérôme Regard en passant par Cali, le Festival Aux Champs 2015 sera éclectique. Il vous invite à venir écouter, dans un cadre convivial et

ouvert, découvertes et artistes confirmés Archiméde, orange Blossom, Debout sur le Zinc, La Demoiselle Inconnue, … sans oublier les artistes régionaux : P’tit Bouts & Cie, Cie Les Romain Michel, 2 spectacles jeune public, et cette année, si vous voulez pousser la chansonnette, un Cabaret Guinguette ... « A VOUS DE CHANTEIX »…


Créée en 2003, organisée en association Loi 1901, Biarritz Evénement est l'agence événementielle intégrée de la Ville de Biarritz. Elle s'impose comme outil hors média privilégié en charge des événements de la ville. Elle définit et met en place le programme de ses animations événementielles annuelles avec 3 impératifs :- être un vecteur de communication pour la ville,- représenter un outil d'animation hors saison et durant la haute saison,- être le reflet de la politique de la station : une ville dynamique, culturelle, animée toute l'année.Ses objectifs :-permettre à tous les publics l'accès à toutes les formes culturelles notamment les arts de la rue à travers une programmation de qualité, variée et conséquente,- générer du trafic à destination de Biarritz, grâce à une programmation répartie sur l'année et la création de manifestations hors saison,- rendre le public captif afin qu'il découvre toute l'offre commerciale et touristique de la station,- valoriser l'image de la ville à travers son programme d'animations, par une communication adaptée à chaque saison et à chaque événement.Ainsi, comme chaque année, Biarritz Evénement propose-t-elle aux biarrots et aux vacanciers un programme d'animations pour enflammer les nuits estivales.Une idée simple et généreuse : offrir au nombreux publics un accueil haut en couleurs, symbole éclatant de son attachement aux valeurs d'hospitalité et de convivialité.En juillet et en août, chaque semaine, des concerts sont proposés gratuitement, avec des scènes musicales variées : Blues, Pop Rock, Chœurs basques ou bien encore Salsa ou Flamenco animeront le Parvis sud et le Kiosque de la place Sainte Eugénie pour le plus grand bonheur de chacun.Pas moins de 50 spectacles et plus de 100 heures d'animations.

aQuiTaiNElEs sCèNEs EsTivalEs dE biaRRiTz ÉvèNEmENTbiaRRiTz (64) du 4 juillET au 31 aoûT


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hÉRaulTfêTE loCalE aNNuEllE poussaN (34) du 31 juillET au 2 aoûT

bouChEs du RhÔNE - gaRDfEsTival "lEs suds"

aRlEs (13) du 13 au 19 juillET

coRse26E NuiT dE la guiTaREpaTRimoNio (CoRsE) du 18 au 25 juillET

Traditionnelle, la grande fête annuelle est organisée par « le Carré d'As », Comité des fêtes de la petite ville de Poussan.Trois jours de fête avec des manèges, des forains, des buvettes et les traditionnels concerts donnés chaque soir. Ainsi cette année :- le 31 juillet avec l'orchestre Octane, et en première partie le groupe Ricoune,- le 1er août avec l'orchestre « les Tigresses »,- le 2 août avec l'orchestre Paul Semer.

La fête annuelle est le point fort d'une animation continue qui, grâce à un comité très dynamique, ne compte pas moins d'une dizaine de manifestations allant du carnaval en février jusqu'à la parade de Noël prévue cette année le 19 décembre. Bravo les bénévoles de Poussan.

Chaque été, pendant 7 jours et 6 nuits, de 10h à 4h du matin, le festival accueille quelque 60 000 festivaliers, plus de 60 concerts & rencontres musicales au cœur de la belle cité arlésienne. Pour les vingt ans, le festival a souhaité inviter des artistes de renommée internationale mais aussi entre local et global, des créations inédites et des talents en émergence, issus de cultures singulières à la fois empreintes de leurs histoires plurielles et brassées par les vents de l’actualité : le vaste

monde arabe, Cuba, la Grèce, l’Espagne, la "Tsiganie"... Et, pour souffler un air de fête sur le territoire des Suds, la "Nuit des Fleuves" du 14 juillet verra converger sur les quais du Rhône de nombreux publics, musiciens professionnels et amateurs en un dialogue original entre notre delta et celui du Mississippi !

Dans ce atelier à ciel ouvert qu’est le Festival, qui œuvre une semaine en juillet et tout au long de l’année, les organisateurs désirent dire au public : venez découvrir ce que vous ne savez pas que vous allez aimer ! Venez ici vous relier au monde, et à ceux qui vous entourent ...

Le festival est né en 1990 de l'initiative commune de Guy Maestracci, guitariste amateur fraîchement élu maire de Patrimonio, et de Jean-Bernard Gilormini, autre passionné de guitare contaminé sans aucun doute par son cousin André. Ce noyau de départ fut très vite rejoint par de nombreux bénévoles offrant chacun de mettre ses compétences au service d'un pari ambitieux dès le départ, à savoir attirer à Patrimonio les plus grands guitaristes de la planète dans tous les genres musicaux. Ce, pour le plus grand bonheur des organisateurs ravis d'approcher enfin leurs idoles et de tous les passionnés de musique, et de guitare en particulier, très nombreux en Corse.

Tous les musiciens de renommée internationale, séduits par la beauté du site (que certains qualifiaient déjà de « magique »), par la chaleur du public et par la convivialité et la qualité de l'équipe organisatrice, allaient devenir les meilleurs ambassadeurs de ce festival. Le théâtre de verdure de Patrimonio accueillit, au fil des ans, Al Di Meola, John McLaughlin, Mike Stern, John Scofield, Jim Hall, Christian Escoudé, Vicente Amigo, Tomatito, Gilberto Gil, les frères Assad, etc... Bref, le rêve était devenu réalité.

Le festival a grandi, passant de 3 à 8 soirées. La fréquentation ne cesse d'augmenter d'année en année et de nombreux estivants, conquis par la qualité des programmes et l'atmosphère très particulière du théâtre de verdure, planifient leur séjour en fonction de nos dates. La municipalité a réaménagé le site, ce qui a permis d'y installer confortablement plusieurs centaines de fauteuils supplémentaires. Pourtant, malgré l'ampleur prise par le festival, l'esprit n'a pas changé : simplicité, convivialité. Les musiciens, très sensibles à l'accueil chaleureux de l'équipe organisatrice deviennent généralement des amis que nous sommes heureux d'accueillir et tristes de voir repartir. « Le seul moment où je ne suis pas heureux à Patrimonio c'est quand il faut repartir » disait Marcel Dadi. Ces musiciens ne se contentent pas, ici, d'honorer leur contrat mais donnent le meilleur d'eux-mêmes. Le public le sent et il s'établit une communion qui les pousse à se dépasser et que certains appellent « la magie de Patrimonio ». Le public n'est pas un client, c'est notre premier partenaire. C'est lui qui a cru en nous dès le début. C'est son festival et nous voulons qu'il en soit fier et que tous les amoureux de la guitare se sentent chez eux à Patrimonio".

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paRis - île De fRanceCaRNaval TRopiCal dE paRis, dE basTillEà basTillE paR l'hÔTEl dE villE (75) lE 28 juiN

En 1962, le Foyer rural Mélusin voit le jour, évolue pour devenir le FJEP (Foyer des Jeunes et d’Education Populaire) puis devient, en 2001, l’Association Mélusik. L’association a pour but la gestion de locaux de répétitions mis à sa disposition par la commune de Lusignan, et la promotion des activités de création et de diffusion artistique.Mélusik accueille à ce jour, dans ses locaux, une douzaine de groupes locaux et régionaux, venant de Lusignan, Poitiers, Niort, Ruffec ... pour répéter dans de bonnes conditions. Un des objectifs de l’association est de permettre à ceux qui le souhaitent, groupes ou bénévoles, de s’inscrire dans une démarche semi-professionnelle, voire professionnelle. Et c'est dans cette dynamique qu'a été créé le festival Mélusik.

Mélusik, une association ancrée dans son territoireDepuis plus de 30 ans le territoire soutient les activités culturelles et contribue à la création artistique. De nombreux artistes répétant dans les locaux de Mélusik ont eu la possibilité de créer et développer leurs projets dans de bonnes conditions. Parmi eux, plusieurs sont à présent réputés : Nicolas Jules, Emmanuelle Bercier, Les Polis Sont Acoustiques, Greg Bô, The HedgeHog Sextet, The Phantom Carriage….Le festival est gratuit et ouvert à tous !C’est une chose rare, et comme tout ce qui est rare, c’est précieux. Le maintien de la gratuité du festival dépend aussi énormément de l’investissement militant des personnes qui le défendent.C’est pourquoi toutes les manifestations de soutien et les coups de pouce sont toujours extrêmement appréciés…

Le Carnaval Tropical revient à Paris pour la 14e fois, un festival haut en couleurs.Ce sont plus de 4000 carnavaliers, venus des 4 coins du monde et aux costumes plus beaux les uns que les autres qui seront présent pour vous faire danser au rythme des musiques tropicales. 200 000 spectateurs sont attendus le 28 juin 2015 pour célébrer les beaux jours dans la joie et la bonne humeur avec cet évènement désormais incontournable de la vie parisienne.Initié par la Marie de Paris (DGOM Direction Générale à l'Outre-Mer) avec l’appui de la Fédération du Carnaval Tropical, le Carnaval Tropical de Paris est un véritable brassage de cultures du monde.

Portée à ses débuts par des Antillais de métropole, la manifestation accueille maintenant des pays et cultures de plus en plus variés : Chine, Viet-Nam, Brésil, Colombie, Angleterre, Pays-Bas... se joignent à la fête. Costumes, chorégraphies, chars et couleurs porteront haut durant ces deux journées les cultures et le patrimoine ultramarins.Les spectacles s'enchaînent dans un déploiement de costumes et c'est un vrai plaisir pour les yeux et les oreilles. Le carnaval tropical de Paris, c'est une bouffée de tropiques sur la capitale, qui donne envie de bouger et de manger épicé.

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poiToufEsTival "mElusik"

lusigaN (86) lEs 13 ET 14 juiN



Dans ce petit port très pittoresque, une grande fête sur le thème de la culture et des activités liées au milieu maritime est organisée.À terre, expositions, jeux, chants de marins, musique et danses traditionnelles seront à l’honneur.En mer, les bateaux sont invités à venir régater en journée dans le chenal des Sept-Iles et à se pavoiser en soirée.À partir de midi et jusqu’à la fin de la manifestation, une animation musicale, restauration et buvette seront proposées aux visiteurs avec entre autres le bagad de Tréguier et les chants des marins des Abers de 17h à 19h.À 16h, des jeux nautiques et terrestres se dérouleront sur les lieux puis se déroulera une parade des vieux gréements. Enfin, la soirée s’achèvera par un tour de chant suivi d’un fest-noz jusqu’à 1h du matin.Entrée libre.

bRETagNEfêTEs maRiTimEs dE plouamaNaC'hpERRos-guiREC (22) lE 28 juillET

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loRRainehÉlas ! lE fEsTival "NighT foR lifE" Qui a liEu aux aRèNEs dE mETz (57) faiT RElâChE EN 2015 !


Mais son président, Matthieu Gauthier, nous présente l'association : «Jeunes et la rage au ventre après la perte de plusieurs membres de nos familles des suites de cancers, nous avons créé il y a maintenant 6 ans l'association NIGHT FOR LIFE.

Autant vous dire qu'il est difficile de résumer en quelques lignes cette incroyable aventure. Mais sachez que nous avons mis toute notre énergie et notre ténacité au service de cette association afin d'imaginer, produire, et faire grandir ce si beau projet.

Nous sommes 6 amis d'enfance à passer tout notre temps libre à monter ce rendez-vous festif et fédérateur dans le seul but d’apporter notre pierre à l’édifice et de lutter contre cette maladie.

Entouré de plus de 140 bénévoles dévoués, et porté par des partenaires fidèles, le petit "concert" s'est rapidement transformé en festival, rassemblant plus de 15 000 personnes.

NIGHT FOR LIFE, les nuits contre le cancer, c'est 2 grands concerts réunissant plus d'une trentaine d'artistes et DJs, mais également un village avec de nombreuses animations durant tout un week-end à Metz.

Le festival a bien sûr la vocation de générer des fonds pour la Ligue contre le cancer, partenaire depuis le début de l'aventure, mais c'est également et surtout un événement fédérateur autour de la sensibilisation et de la mobilisation, qui rassemble les nouvelles générations lors d'un rendez-vous unique, comme un point de rencontre pour tous ceux qui luttent de près ou de loin contre ce fléau.

La Jeunesse de ce pays a encore des idées, des projets, et rien n'est impossible quand elle est portée par une cause aussi noble que la lutte contre le cancer».

Saint Pierre de Chandieu, ville du Carnaval des Gones et des Magnauds, fêtera les 4, 5 et 6 septembre prochains le monde rural, la fête de la terre.

46 communes du Nord Isère au Sud Est Lyonnais sont impactées par cette manifestation. Chapeautés par l’association du Comice des trois cantons, de la Municipalité, du Comité des Fêtes, ainsi que de nombreux partenaires, les membres du Comité d'organisation et 300 bénévoles ont mis les petits plats dans les grands pour vous concocter un programme de festivités grandioses.

Tout débutera le 4 septembre à 19 h par la transhumance, défilé à pied, à cheval, en vélo jusqu’au champ de foire. S’en suivra une animation musicale jusqu’à 24 h.

Samedi 5 septembre à partir de 10 h : Présentation et animation avec les Robins des Champs (groupement d'agriculteurs céréaliers). De la production du blé à la cuisson du pain. Présentation d'un circuit court : la filière colza - Battage à l'ancienne - Découverte des métiers : rémouleur, fabricant de cordes et d'échelle - Présentation et diversité proposées par la filière bois, démonstration sculpture sur bois à la tronçonneuse, stand Créabois, démonstration élagage et broyage.

Stand du groupe mycologique et botanique, stand nature de la chasse St Hubert, stand de l'association RESPECT, stand et démonstration des jeunes sapeurs pompiers

Animation autour du fruit : Pressage de pommes avec le musée de la vie rurale de St Quentin Fallavier - vente de jus de pommes. Atelier des croqueurs de pommes d'Estrablin, découverte de variétés de pommiers, taille des arbres....

19 h – cuisseau de bœuf à la broche. Bal en plein air avec l’orchestre « MUSICLIVE » - fin à 02 h.

Dimanche 6 septembre : messe en plein air – couronnement de la reine du COMICE – repas

Grand concours de labour ainsi que labour à l’ancienne.

Défilé de tracteurs dans les rues du village pour rejoindre le terrain de labour.

A partir de 14 H grand défilé avec une trentaine de chars présentés par les Saint Pierrards et les communes voisines – groupes musicaux – fanfares – etc… A la tombée de la nuit : Grand Feu d'artifice.

Pendant ces 3 jours : Buffet, Buvette, Restauration assurés.

Rhône-isèRelE ComiCE agRiColE

saiNT piERRE dE ChaNdiEu (69) lEs 4, 5 ET 6 sEpTEmbRE

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FESTI PRATIQuE

RégieLe journal FESTI est adressé à plus de 1 500 pré-sidents d’associations et diffusé à plus de 2 500 exemplaires auprès de responsables de collecti-vités ainsi qu’en prospection auprès de grandes associations par la FCF France sur tout le territoire français.Vous êtes prestataire de spectacles, artistes, pro-grammateurs, loueurs de matériel, site de vente d’ar-ticles de fêtes, etc..., insérez votre publicité dans le journal FESTI.Pour contacter la régie : [email protected] vous enverrons sans engagement le barème

d’insertion (1/4 de page, 1/2 page ou pleine page).Au cas où votre fichier n’est pas existant ou si vous n’avez pas d’agence

graphique, nous vous proposerons une maquette avant insertion par notre studio qui a réalisé ce journal.

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FCF - fetes-de-france.fr · Sur ces 1615 festivals, la répartition par genres est la suivante :...

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