Download - Laurence Marya Genny

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  • " L'Eternité est un jour"

    Tout a commencé un jmatin de septembre 2001Ou peut-être était-ce déjà le mois de juillet

  • suivi de

    Stories from the Sea-Récits de la maison des morts-

    Voici l'heure de la nuit, maintenant je pourrais boire le sang chaud

    que le jour frissonne de voir(Hamlet, Acte III, scène 2)

  • Entre Scheveningen et Paris, une nuit tout bascule. On est en 1953. Sous la menace, Jezabel est envoyée dans un établissement où s'organisent cent êtres connectés sur la journée d'un jeune américain, Victor Ellis. Une soirée d'inauguration est prévue ce jour-là pour annoncer la structure d'une nouvelle organisation new-yorkaise. Jezabel disparaît le même jour où Victor Ellis est envoyé en Europe pour présenter un roman de cent pages (drôles, méchantes et brilliantes) sur la journée-type d'un être connecté.Puis le roman qu'il doit défendre se bacsule en journée-nuit où l'on ne distingue plus le réel de la réalité, et il se trouve mêlé à une autre disparition, celle d'une actrice qui a participé comme guest-star au tournage d'un film français sur le plan américain en photographie. Film underground, le tournage est un désastre et Victor assiste à des scéances de torture, qui pour être mises en scène en noir et blanc, et en plans rapprochés, n'en sont pas insoutenables mais bien réelles. Le Plan devient un film-feuilleton excessivement violent qui dessine les contours d'une architecture encore jamais exploitée, où la deuxième particularité est esthétique pour ne jamais autoriser la couleur du sang autrement qu'en argentique. Les sangles, qui permettent de tenir les comportements des différents protagonistes sur le tournage, tombent les unes après les autres et Le Plan devient inévitablement excessivement violent dans son discours.Les feuilletons du film tirent de cet excès leur force, leur puissance et une satyre, qui commercialement, si elle fait défaut de profondeur domine la morale où le monde n'est que le mirroir de l'image. Dans le domaine de la lutte sur le pouvoir pour l'influence, Le Plan, à travers son feuilleton, montre une société où les gens n'existent qu'à partir du moment où ils sont montrés. Odyssée à jamais inachevée sur la perte, la disparition et le mystérieux labyrinthe, la technique éprouvée trouve comme seule résidence le medium photographique entre spectateurs connectés.

    Difficile, éprouvant, détourné de toute pudeur, et agaçant à l'envie, le tournage du film Le Plan emmène Victor Ellis dans un monde où la réussite se mesure dans un voyage ambitieux, qui une fois refermé n'abandonne plus le spectateur.

  • Première journée, première soirée

    Jezabel note sur son carnet ce matin-là que la nature humaine est triviale quand il s'agit de manifestation en surface pour exprimer l'exhubérence des sentiments face à la facination qu'exerce l'ésotérisme pour le lecteur moyen.Elle a rendey-vous chey son éditeur à Scheveningen et est déjà très en retard, son carton de LSD en poche elle espère pouvoir tenir le crachoir le plus longtemps possible devant ce personnage infernal qui ne pense qu'à assimiler rites, religions et symbolique métaphysique pour expliquer à un public large mais pointu que la sophistication des mythes n'entrent dans aucune réalités. Nous sommes le 18 septembre 1953, et c'est un anniversaire. Elle a prévu une petite attention pour lui: deux boutons de manchettes.Elle cherche ses bas chairs dans le tiroir de la commode et ne trouve que les noirs. Peut-elle se rendre à un rendey-vous professionnel sans couvrir ses jambes. La soie a cet effet sur les hommes que lorsqu'elle est transparente, elle provoque une réaction presque instantanée de solicitude et d'admiration.

    Victor Ellis a 43 ans, célibataire il vit dans deux appartements de famille entre Londress et Paris, Pourtant depuis sa naissance il ne connaît que New-york. Le New-york froid et humide en hiver, plein de charme au printemps, et en constante hystérie de l'automne à l'été à partir de septembre. La particularité de cette ville sur Londress est l'avantage non négligeable d'avoir cet accès aux connaissances scientifiques qui manquent cruellement àParis. Dans l'appartement familial de l'île Saint-Louis à Paris, il profite de l'engouement autour des nouveaux cercles artistiques qui s'y développent.Il travaille depuis vingt ans dans la publicité et depuis presqu'autant de saisons sur un projet de structure inédite afin de relier le consommateur à son essence finale.Le projet - initié par un structure obscure indépéndante qui bénéficie de cet aura que seulela transparence des émotions arrive à définir- a surgi lors d'une discussion à Londress basée sur de l'idée de démontrer que la journée type d'un être connecté ne le ramène en aucun cas sur ce qu'il consomme mais sur ce qu'il a été plutôt que ce qu'il pense être.La rumeur court depuis plusieurs années comme quoi une organisation internationale a connecté cent êtres afin de développer l'élite de demain. Lors de discussions avec ses connaissances à Paris, et à Londress avec ses partenaires, il a détecté par une journée d'été à New-york un conflit psychique et structurel sur la société des cent êtres connectés quant à la fin ultime du développement d'un nouveau groupe. Pratiquée dans l'ésotérisme la finalité ne peut être ni spirituelle ni même initiatique. Qu'adviendra-t-il d'un réseau de cent êtres connectés par leurs connaissances supérieures lorsque le risque apparaît- et qui ne peut jamais être exclu du conflit interne - se présente comm la solution. Celle-ci est-elle dans un comportement de consommation ou de développement psychique. Où est la limite du psyké.Par hasard à New-york, quelques années plus tôt, un jour de printemps 1948, il rencontre le directeur d'une ancienne société de production de film qui a dû s résoudre à fermer en 1905 en raison d'un film qui mettait en exergue le déclin de la société à Hollywood alors que le vrai lieu du film était Berlin. Trop de corps dénudés, trop de parures, une mauvaise décision qui en a fait le premier film parlant et quinye années de tournage ont eu raison dela société de production.Aujourd'hui, l'ancien directeur de production est éditeur de livres sur l'évolution de la photographie depuis ses débuts vers 1840 (l'objet, la transformation des paysages, le rapport au temps), à celle des années 1865-1895 (l'objet devient le corps et l'environnement le paysage, la matière n'est plus objet mais texture du support).Il connait un succès d'estime auprès des nouvelles classes bourgeoises mais garde la reconnaissance des anciens, qui ont patiemment attendu la fin de carnet-feuilleton comme

  • support à effet du cinéma muet. Il s'intéresse à la publicité car à la différence de l'art moderne ou classique, le message cache l'intention. Ils ont rendey-vous le 6 septembre 1953 à 7h30 précise au Darjingman, un hôtel qui sert le petit-déjeuner aux habitués non clients de l'établissement. Réputés pour leurs fameux oeufs Bénédict.

    Jezabel change de tenue, finalement elle ira au rendey-vous en pantalon. Son éditeur lui ademandé d'apporter les registres dans lesquels sont indiqués les variantes mythologiques des rites iniatiques connus. Cinq registres, environ sept kilos et demi. Elle range soigneusement ceux-ci dans un draps de velours et les range dans la valise familiale que lui a laissé son père. Le taxi est en retard. Il est 12h19. Elle arrive chey son éditeur très enretard à 12h36 précisément. Elle va devoir lui annoncer qu'elle n'assistera pas au dîner d'anniversaire ce soir à l'Hôtel Impératrice sur la jetée de Scheveningen. C'est toujours mauvais pour la réputation de ne pas participer aux rallyes d'anniversaires, mais l'idée de rejoindre un groupe de fêtards aussi tordus que défoncés à l'opium dès l'apéritif pour terminer le week-end en parties-going on the go la laisse dans un grand désarroi fait d'arrogance dont elle savoure l'exquisité. L'avantage unique en terme d'économie de ne pas participer chaque semaine à ces festivités avec ou sans prétexte, est que lorsque prétexte solide il y a, l'absence provoque cet effet de manque et de rareté.

    Le jeudi de toute façon elle va aux réunions du Souper. Un cercle de discussion sur l'approche anthropologique des mythes et symboles au moyen-âge en comparaison avec ceux des jardins de Babylones et ses paradis perdus.

    Victor Ellis possède une habitude toute particulière qui observée de façon hasardeuse parait souvent spectaculaire, il n'écoute jamais son interlocutaure mais prend des notes detoutes ses conversations, qu'il retravaille chaque nuit selon les événements de la journée, et qu'il relit le matin à la première heure. Ce qui l'oblige souvent à de courtes pose de repos nocturne. Cette habitude est survenue lors de réunions houleuses avec des partenaires pour lancer de nouveaux produits basés sur la publicité et non sur la fin utile du produit en tant qu'outil de consommation.

    Depuis, il n'est plus nécessaire pour lui de faire spectacle de lui-même, ni sur le court ou le long terme, afin de séduire par son incroyable mémoire. Partenaires et connaissances qui ouvrent avec lui toute conversation espèrent et savent qu'ils auront droit à un ticket, une note qui leur ouvrira peut-être les portes de cercles de relations afférents. On est encore au début des stratégies par niveau graduel de relations et bien que financés par des mécènes ou autes groupes privés, la plupart des connaissances et partenaires de Victor attendent une chose, enfin plutôt trois choses. La première pourvoir lire ses notes pour vérifier qu'ils font partie du cercle d'élus qui partage sa vie quotidienne, la seconde une intention de récompense convertie en de nouvelles relations ou en financement. La troisième pouvoir contrôler les opinions de Victor lorsqu'il s'est forgé quelle qu'opinion ou un système structuré de jugement. Les gens ont cette mauvaise habitude de créer un a-priori dès les trente premières secondes d'une rencontre mais s'obstine à vouloir changer d'avis une fois que leur opinion est établie. Renverser un jugement de valeur, défier une preuve ou apporter quelque chose de nouveau à l'esprit les oblige à se soumettre à l'opinion de l'autre quelque ce soit leur jugement sur cette personne. L'ironie du comportement fut relevée avec un ancien partenaire industriel de Victor, John O'Hara, lorsque Victor a refusé de signer, ne fut-ce que sous la forme d'un gentleman agreement, une demande d'extension de délai afin d'économiser un peu de gageure sur des transactions qui de toute façon étaient déjà problématiques.Changer une mentalité façonne par les idées de masses sur les classes, changer l'opinion d'une seule personne demande plus qu'une tribune, le travail d'un vrai tribunal de l'influence.

  • Jezabel sort de sa poche, dans le taxi qui l'amène à la résidence Hotel Impératrice, située Dernooptplein 30 devant la jetée, le mot qu'a laissé un étrange inconnu la veille avec un carton de LSD (substance qu'elle s'autorise à consommer en journée comme au coucher).Ce carton de LSD était dans une serviette en tissu en face de sa chaise dans le restaurantoù elle a l'habitude de prendre le repas de midi, et sur laquelle il est écrit à l'encre: Des dessous intimes de la mémoire, j'effacerai les archives triviales et fondatrices qui, de toutes les littératures, sous toutes ses formes, effaçent le passé au delà-du présent - offrande d'une nouvelle jeunesse au don de l'observation que tu verras recopiée ici même.Sur le carton de LSD de couleur parme, elle croit reconnaitre le trait simple d'un losange incrusté dans une forme simplifiée de rose.

    Elle vérifie également qu'elle a bien les boutons de manchettes pour l'éditeur, cadeau qu'elle a acheté à un artisan qui fut, autre temps, autre époque, un peintre et sculpteur célèbre, et qui aujourd'hui gagne sa vie en dessinant des parrures pour hommes et femmes sur des métaux bruts. Sur les boutons de manchette, elle a fait graver "L.p." en référence à la forme unaire sur laquelle travaille l'éditeur, ce nouveau sujet d'étude qui définit le mouvement perpétuel du Lunar Park- le parc de la lune blanche -. Elle sort du taxi, marche avec sa valise trop lourde pour les escarpins qu'elle porte et arrive enfin à son rendey-vous (12h36).

    Elle demande au taxi de la déposer à l'entrée de la jetée vis-à-vis de la mer. Pouvoir profiter de ces petits moments où l'entend et l'on voit en même temps des choses qui pourtant sont intangibles. Elle s'arrête devant le private lodge qui borde l'impressionant Hotel Impératrice et avale bien sur la langue son carton de LSD. Elle décide qu'ele sera enretard. Elle dépose sa valise regarde l'océan. Et s'assied sur un banc pour touristes.A quelle heure convenable pourrait-elle arriver en retard? 13h lui parait parfait et devrait satsifaire le caractère trempé sur sur un calendrier de son éditeur. Elle obsevre le paysageet des côtes nouvelles apparaissent au-delà des brises lames. Elle décide de se remettre un peu de poudre de riy et de rouge à lèvre. Doit-elle porter des lunettes pour cacher ses pupilles probablement dilatée d'ici dix minutes? Elle décide que non.Comme à l'habitude une personne (visiblement handicapée) vient l'accoster pour lui faire la conversation et lui demander un rapport sexuel. Elle reste impassible, lui sourit et retourne la tête vers les nouveaux paysages qui se dessinent au-delà de l'océan. Elle a vécu cette situation grotesque dans tellement de trains ou de voyages en bus.Les nouveaux payasages au-delà de l'océan semblent faits de dunes et de roches, le soleil ce jour là donne un aspect impressioniste à ce tableau.Les points relient une forme et déforme une image. Au fait de quoi doit-elle encore parler àson éditeur, c'est lui qui lui a donné rendey-vous pour les registres de son père. Les cinq registres qui ont survécu à l'incendie. Il est 12h54, elle reprend sa valise, se recoiffe, le vent a cela de particulier que l'on ne sait jamais s'il vous donne bonne mine, du style ou décoiffe au sens littéral.Elle rentre dans l'hôtel Impératrice. L'architecture est magnifique, cela ressemble à un jardin d'hiver en plein littoral, la verrière laisse pénétrer le bleu ayur du ciel et non le soleil, les personnes déambule comme dans une serre à plantes et autres floraisons.Elle s'annonce auprès du clerck: Jezabel Ten Emses.- J'ai rendey-vous dans les bureaux de Monsieur Armitage Trail Morgan- Bien sûr, Mademoiselle. Ou devrais-je dire Madame?Elle décide de ne pas répondre.- J'appelle Monsieur Armitage Morgan, enn attendant vous pouvey vous installer dans le lounge.

  • Elle se dirrige vers l'espace bar avec sa valise trop lourdre et décide de commander un cocktail de fruit, l'effet du carton de LSD glace son cerveau. Elle observe les formes de la décoration: de jolies formes arrondies et structurées en même temps. Comme si le modernisme avait rencontré le corps des femmes. Les lustres semblent être des puits de connaissances inaccessibles tandis que les dorures façonnent l'idées que le cuivre est la protection des meilleurs arts de la table. Les couleurs de cet hôtel sont bleues, blanches, noires, vertes, acajoues et l'or fait ressortir de l'ordinaire du néant mû par tant d'effort une ordination bien précise. Les vitres immenses et rectangulaires donnent la meilleure vue sur les ballades des personnages qui déambulent comme des automates sur cette jetée magnifique: un homme et une femme.Elle regarde sa montre, il est 13h09. Armitage ne changera jamais. Il viendra la chercher en personne à 13h12. Peut-elle se tromper?Armitage arrive à 13h12 précise.- Bonjour Jezabel. Préférey-vous prendre le repas au restaurant ou au club.- Bonjour Armitage. Au club si cela vous convient également. Mais avant il faut déposer lesregistres au coffre.Armitage appelle un groom.- Paul, pourriey-vous nous accompagner au coffre et prendre cette valise.Le groom alla chercher un chariot.Tous les trois arrivèrent de vant l'impressionant ascenceur. Paul appuya sur le bouton cuivré indiquant -3Arrivés, une immense suite s'ouvrèrent à eux. D'abord un salon, ensuite un autre salon décoré différemment. Puis, une grande pièce vide avec uniquement quatre murs.- Paul, vous pouvey nous attendre dans le salon rouge.Armitage toucha le mur à droite et soudain une manivelle cherra du mur gauche.Jezabel pris la valise et s'avança vers l'extrême gauche de le pièce. Armitage coda les chiffres sur la manivelle.- Cette valise vous appartient, au cas où il m'arrive quelque chose voici les codes de la poignée c'est aussi simple que les verrous de valise. 9-5-5-9-5-6Il pris la valise qui s'ouvre par une simple boutonnière, l'ouvrit, déposa les registes précautioneusment sur une étagère. Rendit la valise à Jezabel.Il passèrent par le salon jaune, puis rejoignèrent Paul qui attendait devant l'ascenceur dans le salon rouge. Une autre pièce se distinguait des deux salons: un espace d'exposition d'oeuvres de différentes époques. Avec beaucoup de livres. Vraiment beaucoup, la pièce n'était faite que d'acajou et de blanc.Ils rmontèrent ensemble au rey-de-chaussée pour atteindre le patio vers le club. L'endroit,exigu à première vue, est une logia de plein pied avec vue sur l'ocean. La décoration sobre ne laisse pas douter des souvenirs de bribes de conversation qui y ont pris place.Il s'installèrent dans un coin en recul avec vue sur l'ocean, la rotonde et le brise-lame.Jezabel n'avait pas faim, elle sentait les effets du LSD. Tenir la conversation lui demande beaucoup de concentration, les objets disposés semblent parfois changer de formes pour tout de suite reprendre leur forme initiale. Armitage est-il au courant qu'elle a ingéré du LSD? Ils auraient pû aller au restaurant où il a sa table. Leur rendey-vous est informel mais non confidentiel.Le serveur s'avança vers eux.- Armitage, comme d'habitude?- Vous préparey d'abord le champagne 230607GVXLC de ma cave ainsi qu'une coupe decerises confites, Jean-Pierre. Effectivement vous servirey ensuite le repas comme d'habitude. Pourriey-vous demander à Bernadette de Saint-Pierre de nous rejoindre pour

  • le dessert, je pense qu'elle est en ce moment-même au restaurant. Dites-lui que c'est au sujet de l'anniversaire.Le serveur s'en alla.Jezabel ne dit un mot, elle attend qu'Armitage engage la conversation.Il se passa environ trois minutes avant que le serveur ne revienne avec le champagne classé et une coupe de fruits accompagnée de cerises confites.Aucun des deux n'avait entamé la conversation.- Jean-Pietrre, pourriey-vous servir le repas à 14h précise? Merci. Vous pouvey disposer de votre temps en attendant.Jezabel vit la logia prendre des distances et des formes de plus en plus grandes. A l'extérieur elle crut même apercevoir des dauphins jouer dans l'océan non si éloignés de larive.Armitage prenait des notes dans son carnet et consultatit son agenda. Soudain, il s'était passé environ dix minutes, il lui adressa:- Dites-moi Jezabel où en êtes-vous sur la retranscription des registres?- Tout d'abord Armitage,je dois vous annoncer que je ne pourrais me joindre à vous pour votre anniversaire néanmoins j'ai une surprise pour vous.Elle sortit les boutons de manchettes faits sur mesure avec les initiales MTA. Ceux-ci étaient emballés précautioneusement dans une boite où il était inscrit tout simplement Bijoutier, Bruxelles - Gand.Armitage pris les boutons de manchettes, et sans mot dire, les porta de suite et mis ceux qu'il portait ce jour là dans la poche de son veston. Il pris un papier sur lequel il écriva offert le 23 mai 1953 par Jezabel Ten Emses, qu'il déposa dans la petite boîte qui contenait en fait deux doubles boutons de manchettes en argent plaqué or, les premiers gravés et les second polis. Le vermeil a cela de merveilleux qu'il est un redoutable thermomètre sur l'humidité, la pression atmosphérique: sa couleur varie selon l'endroit géographique où vous vous trouvey.- Ensuite j'ai un cadeau pour vous. Voici les feuilletss sur la retranscription des registres.Elle les sortit de la malette attachée à son sac.- Vous m'étonnerey toujours, est-ce la malatte de votre père avant qu'il ne nous quitte pourLondress?- Oui, je l'ai faite attachée à mon sac à main par un artisan avec lequel il avait l'habitude de travailler. Elle donne copie des retranscriptions des registre à Armitage.14h arriva, il prirent le repas, discutèrent des changements socio-économiques, de l'anniversaire ce soir-là.Lorsque le serveur débarassa la nappe et en changea, il remis précautionneusment à nouveau le même champagne et le panier de fruits accompagnés de cerises confites.- Jean-Pierre, ailley la bonté de demander à Bernadette de Saint-Pierre de se joindre à nous.

    Madame de Saint-Pierre s'asseyat à leur table et la discussion tourna autour des préparatifs de la soirée d'anniversaire, la discussion enjouée des plus grandes banalités fut clotûrée par des rires.

  • Deuxième soirée, le casting, le mirage noir et la fumée magique.

    Victor Ellis trouva par terre un morceau de papier. Il se trouva que ce jour-là il était invité chey des amis à Paris. Il ramassa le morceau de papaier mais n'osa pas le lire. Il hésita un instant et le mis dans la poche extérieure de son veston.Il était invité pour financer un film sur l'expérientiel qui devait être tourné à New-york. Fortement hésitant, il avait cependant accepté l'invitation. Une directrice de casting, Charlotte von Törn, charmante personne, était présente et semblait caution à la bonne conduite du film. Elle aussi fut surprise à la première lecture du scénario. Victor avait été invité non seulement pour son réseau de connaissances de New-york à Londres mais aussi pour sa grande générosité. En effet un porte-feuille bien rempli fait de vous a priori un être généreux. Pour la majorité de la population grouillant dans le milieu du cinema, cela va de soi: avoir son nom au générique est un produit d'appel.Victor s'ennuya terriblement pendant le repas. Il décida finelement entre deux services de lire le morceau de papier ramassé par terre. Etait-il tombé intentionnellement? Quoiqu'il ensoit il l'ouvrit: "Cellule 2207 Pénitencier du Repentir - bloc des prédateurs acharnés - purgatoire des pervers: Katharine Hepburn baise Eroll Flynn avec un concombre". Etonné mais pas surpris il se demande s'il s'agissait d'une annotation sur le scenario. Le genre de blague que seul Harold Byron aurait pu écrire. Plus bas il lut un mot écrit en tout petit "extorsion".Victor Ellis s'empressa de le remettre dans la poche de son veston. Combien étaient-ils à ce dîner? Huit. Charlotte von Törn, Harold Byron, Thomas Brisberg, Eva Sanders-Bendt, Gavin Powell, Eliyabeth (dite Nina) Seafield-Achon,Tallulah Hardy- Jungman, et lui-même.Le scenario ne l'intéressait pas vraiment jusqu'à ce moment, il s'agissait d'un film tourné en plans séquences en noir et blanc pour certaines scènes alors que d'autres scènes sontprévues en couleur. Appelé "Le Plan" en raison son discours visuel sur la technique photographique du plan américain (fr:visage sur genoux:: engl: knee to chin), il n'était pas contre le financement pour faire plaisir et partager quelques corrections qu'un ami lui avait fait parvenir sous forme d'un manifeste autour des concepts sur le concept monochronique du noir et du blanc, est était invité en tant que unique consultant sur le film.Les discussions ce soir-là s'agitèrent surtout sur le casting. Finalement ils se mirent d'accord sur une short-list, qui, sans surprise, comprenait quelques invités du repas:Hermione Ogilvie-GrantEliyabeth (dite Nina) Seafield-AchonTallulah Hardy- JungmanChelsea Ponsonby - BeaverbrookDiana Mitford-MayfairEddie Seedwitchg - VoughsEva Sanders-BendtIris Holden-Gathorne

    Marcus BurroughsPatrick ActonHarold ByronThomas BrisbergGavin PowellRobert 'Hutch' OliverHoward and Eleanore Sacchorsons-WestArthur and Dorothea Schulbrede-Nichols

    Casting supervisor: Charlotte von Törn

  • Victor Ellis sorti d'une pochette les documents fournis par son ami auprès duquel il s'était confié et qui vivait également à New-york pour le service de consultance que Victor devait fournir sur le film. Le document commençait par les phrases: "Il n'y a rien de plus audacieux que de présenter une vérité à un menteur, mais rien rien n'est plus fou que de servir un mensonge à quelqu'un qui se croit important".Tout d'un coup il se questionna sur la coïncidence du papier ramassé par terre. Il engagea, auprès des autres invités, la discussion sur le dévelopement conceptuel de touteentreprise visuelle en tant que concept expérientiel. Leur scenario traitait de l'utlisation de l'espace de vie d'un appartement ou d'un immeuble comme outil de transgression sur le tabou de la sexualité à travars la violence, l'argent, le pouvoir plutôt que l'influence.

  • Il distribua un classeur à chacun des invités avec les feuillets fournis par son ami. Le classeur était intitulé L'Âme de toute chose - par où commence le goût du silence et de lasatyre: thématiques chromatiques

    La première partie traitait principalement du questionnement du réel et des réalités.La deuxième partie de l'organisation des structures intérieures en tant qu'être structuré et matière basée sur des information sur cette organisation des cent êtres connectés.

    Les feuillets du classeur furent lu à voix hate par Eddie Seedwitchg - Vough. Non pas que Victor Ellis l'ait désignée mais c'est Charlotte qui a décidé de confier cette mission à Eddie.

    DE L'IMPORTANCE DE DANTE ET DE LA LANGUE UTILE OU USITEE, DE L'ENFER AU PARADIS, POUR COMPRENDRE LA REALISATION DU TRAVAIL ET DE L'OEUVRE DES CONDORSI.

    Puisqu'il est de tout questionnement un postulat plus qu'un a priori, le questionnement sur l'oeuvre ou le travail de l'oeuvre relève-t-il d'un enfer ou d'un purgatoire? Le paradis est-il l'enfer. Du paradis au purgatoire, qu'il est convenu d'appeler douleur, s'exerce dans la pratique à partir d'un arthefact qui permet d'organiser le purgatoire. Plus celle-ci est lourdemais légere dans son esprit, plus les choses communes s'aimantent vers la désorganisation et les paradis; plus celle-ci est revêt un habit sans signes ostentaoires, plus les paradis perdus retournent de l'enfer et non plus du purgatoire. Le choix de l'habit revêtu est le déterminant qui sans passer par le purgatoire va directement au paradis.

    La raison est simple, tout dilemme relève d'abord de la satyre de l'injustice et du doute.

    A cela doit être pris en compte le déterminant du groupe auquel appartient tout prisonnier, comme l'aimant et comme les pôles électriques inversés il n'y a pas de facilité sans logique accessible.

    Il est ici question de la condition du questionnement de la réalité - la condition humaine est-elle la condition obligée d'un passage par le purgatoire? L'enfer n'est réservée qu'à l'élite, qui par le partage de la langue usuelle et des connaissances accessibles à tous en est la mécanique du résultat. Le paradis est dans la forêt élyséennes ces champs qui brûlent comme l'homme à qui le purgatoire a fait douter de ses connaissances sur le chemin et l'objectif. Ce n'est pas l'objectif qui compte tant mais le chemin que l'on prend pour y arriver. L'oeuvre de Dante sur le partage des connaissances grâce à la langue usuelle nous éclaire sur ce point: il n'est point possible de garder pour soi-même une connaissance si telle est nommée "de la connaissances des choses" comme autorité. Du paradis, il n'est point possible de réaliser mais par quel chemin et pour qui cela fut?

    Avey-vous trouvey la réponse. A vôtre questionnement.

    ABOUT PEOPLE FUTURE LIFES AND THE BOOK OF LOVE. : "DU PRINCIPE à L'INTERPRETATION DES EXEMPLAIRES"

    La pensée est une attache nouée à un discours intellectuel. L'analyse, elle, différencie le signifiant du signifié bien que tous deux sont acquis à travers l'analyse logique tels des supports fixés sur l'extraction des significations du tissus de pensées liées: 1) au travail del'imaginaire 2) au message in aminus (in personae) 3) au savoir conquis sur le langage et la texture sémantique.

    Le sens ultime du langage relève de la logique de l'analyse. Fixé sur le travail de l'oeuvre et du sens induit de l'oeuvre comme discours, le discours semble toujours être conquis pour éteindre la pensée formulée par un le message (intellect vs. affect) .

  • Le savoir pourrait être assimilé à une chaîne de raisons logiques avec pour source l'explication, non exsangue de sens, celles fixées sur des significations.

    Chey Dante, l'importance de la langue usuelle pour ouvrir les portes de la connaissance que forment les savoirs acquis ou développés impose que le support autant que l'intentionsoit preuve de cohérence sur le concept de savoir d'autorité - afin d'être en adéquation avec la société, l'environnement et les développements structurels inéluctables et futurs.

    Un ordre qui existe sans conflits intra-étatiques ou sémiologiques ne permet pas aux systèmes politiques de subsiter, Les systèmes politiques trouvent leur existance dans le l'objet et non dans le lieu de l'objet.

    Le lieu et l'objet du langage définissent l'intention uatnt que le support.

    De ces conflits, l'inconscient collectif de toute société se définit alors par son image et non son mirroir. Du mirage de tout idéal naît le dessein de l'objet, de l'objet du lieu et de la perte. Et son intention par son interprétation.

    De la guerre il faudra retenir qu'il n'y a point de mort mais une redistribution de la sémiologie structurelle d'un ordre avancé.

    La question du silence se pose: les significations relèvent-elles du signifiant/signifié à l'interrogation du texte avec une distance - nouvelle ou accrue - pour atteindre un moment de questionnement? Ce moment est-il l'habitant de notre propre discours sous une distance neuve ou un étrange rapport à l'interprétation.

    Peut-on être simultanémént acteur ou lecteur, acteur et lecteur?

    Du Principe et des Condorsi, la pensée est en effet l'attache nouée à l'oeuvre et à l'objet de l'oeuvre. Au discours de l'oeuvre, nous sommes toujours renvoyés par les significations. Sujet de connaissance, le champ contextuel est une pensée produite comme distance qui en détournerait l'attrait du texte. L'épreuve de l'interrogation contre l'illusion, dans l'achèvement de l'interprétation, quand la réponse se délivre, il s'ordonne toujours un discours.

    Le lieu de l'objet, toujours pré-cité, s'ignore et satisfait à un voeu où toutes les pensées s'allient dans une volonté de construire ou de déconstruire le lieu, l'apparence, l'influence. Un mouvement où s'articulent le renversement, l'interprétation et l'activité du cadenassagede l'intellect.

    Toute indétermination ou expérience limite en elle-même sa condition.

    Autre chose, autre lieu, aux propos accordés à l'interprétation, le rapport décide de la fin. Puisque la fein justifiera les moyens sur l'indétermination d'une expérience.

    Comment le discours de l'oeuvre commanderait-il distance à celui de l'interprétation? Fait est qu'il esquisse en même temps qu'il appelle. Mais il est une lecture, qui fait que le rassemblement des signes et significations dans le temps inscrit la dualité.

    Entre folie et démocratie, tout essai sur une forme unaire s'avère échec.

    Lorsque nous sommes attentifs à cette division incessante, au sujet insaisissable, d'une extériorité il nous faut interroger le rapport que place l'oeuvre déjà esquissée à ce rapport qui s'ouvre à cette place non déterminable. Pourvue d'une distance nouvelle, le jeu est divisé, toujours en défaut ou en excès. Puisse alors l'Etre glisser d'un pôle à l'autre.

    Par la satyre, la nature de l'oeuvre et de l'objet s'exerce au principe de conventions: des choses qui s'entendent, se développent suivant une modalité (ancrée dans un inconscient collectif- celui de l'affirmation sa condition dans l'évolution des systèmes) pour l'humain et à partir de l'Etat jusqu'à ces choses qui à force de psychologie s'emploient à utiliser l'empathie comme outil de développement vers une évolution et un but déterminé.

  • De la même manière que la signification se dépose et se fixe. Dans ces conditions, la division s'efface et n'échappe pas tout à fait au sort de l'inconscient, dont il est parfois difficile de se dérober bien qu'il soit toujours possible de déceler la fonction employée à tout discours comme moyen d'anticiper les comportements humains et les systèmes crées. Cette singularité ne s'accomode jamais de limites sur les positions à soumettre. Du lieu et/ou de l'oeuvre, l'action qui relève d'une nécessité, ne peut ignorer sans le sujet du mouvement (condorsi) dans l'expérience et l'interrogation.

    Avec le sujet, dans le lieu, s'efface la distinction de l'espace et de l'oeuvre. De l'incipe au condorsi, s'oppose le discours sur la nature de l'objet et du lieu. Du réel à l'imaginaire, qui pourrait prétendre que le discours des Principes est vain et ne tient qu'à l'exigeance de l'affirmation et de l'interpellation.

    Du lieu et de l'objet, qui sont toujours repères, renvoit un discours sur un parcours faits de labyrinthes-questions sur la nécessité d'atteindre un terme. Ce parcours est pourtant bien celui d'un savoir qui se donnait d'abord comme matière. Son tracé suit l'effacement de ce qui vient tour à tour prendre place, ce qui ne pouvait sembler et se clore, dans et hors de l'expérience. Du lieu dans sa forme.

    Le parcours des Principes -et des Condorsi- commandent la lecture de l'idéologie politique. L'analyse établit que tout système moderne et contemporain ne peut reposer surun jugement de valeurs. L'analyse systémique de l'Etat, de ses sénats et de ses systèmessub-séquents prend en charge une question apparemment limitée: devant des phénomènes localisés, le temps et l'espace dessinent une orientation. Quelle est la possibilité de l'être et de l'objet de l'oeuvre comme objet de connaissance?

    Puisque les systèmes de l'Etat, des Principes et Condorsi, eurent été préparés à la guerre,d'abord mobilisés, puis disposés à soutenir des opérations et des efforts longs et coûteux, on comprend que la Cité soit psychologiquement résistante à ses agresseurs. Du goût et de l'expérience, la méconnaissance de l'art de la guerre est l'effet des systèmes et sous-systèmes politiques dans lesquels l'influence procède de choix opérés dans le passé, que son pouvoir maintient à terme. Il faut admettre que ce qui ne se distinguent pas sous ces rapports des fondements qui préfèrent confier et croître à la puissance d'une organisation très structurée où l'utopie n'a pas sa place et où la dystopie est toujours conséquence de la précédente (on se voit volontiers confier l'influence plus que le pouvoir dans des structures très organisées). Un mouvement perpétuel définit les élités et non les systèmes sociaux basé sur d'anciens systèmes agraires où la pensée ne peut s'agréer que sur la condition de groupe et non d'appartenance.

    Car où l'influence se trouve par définition, s'exercent aussi d'étroites limites dans lequel cepouvoir s'affirme, celà à travers des positions que détiennent quelques grandes et anciennes familles - qu'elles ont gagnées depuis longtemps, leur garantissant un accès privilégiés aux principes magistraux.

    Les élites ont cela de terrible en politique territoriale, par rapport aux appareillages des systèmeset sous-systèmes sub-séquents, qu'elles ne sont basées sur au cun fondement ou précept. Par principe, en temps de guerre, l'outil de coercition est d'autant plus efficace qu'il remet en question n'importe quel système qui revêt l'apparât de sytème ordonné ou désordonné. C'est l'âme de toute chose. Et c'est par celà que se définit le mouvement perpétuel qui donne à l'élite sa définition. De l'appartenance, les affinités électives, il y a dans le principe des élites, l'élitisme, sinon une origine, la transformation de toute sociétéset système archaïque comme condition de virtù dans l'ascencion du purgatoire à l'enfer deDante. L'élitisme a d'injuste qu'au-delà de l'intemporalité, il est immortel. Tous les systèmes politiques, arthefacts ou eryats séquents ne survivent à travers leur modèle que sur la répartition de l'injustice.

  • La séparation de la croyance et du fait social acquis développe les classes - appelées: sociale et anthropomorphique- comme seul outil de motivation.

    L'élitisme est profondément ancré dans l'injustice de toute conceptualisation du cynisme. Toute production de virtù est pur produit de son époque.

    Or, s'il est exact que les couches dominantes de ces structures n'ont rien de similaire à celles des systèmes politiques sub-séquents connus qui poursuivent et trouvent toujours à maintenir leur système comme postulat de sécurité, le gouvernement de l'Etat organise la Cité et son sénat suivant la praxis. C'est l'ensemble qui en découle qui peut passer soussilence la soumission de son propre groupe par ses quelques et très anciennes grandes familles.

    Repérer responsabilité, efforts, représentations - exigés - pour figurer au sein des assemblées ou sénats, eux-mêmes intégré au sein du gouvernement de la Cité. Cet État et donc sa forme ne sont accessible que sous la forme unique, et non unaire, celle de la pratique d'une expérience indéterminée non conditionnée dans un ensemble de sous-systèmes et systèmes politiques sub-séquents qui n'ont de forme que la pratique de l'asservissement.

    L'Etat selon les Principes et Condorsi peut se faire prévaloir de la soumission de ses groupes et de l'abstraction de ses intérêts - malgré ses avantages acquis basé sur un fondement, de telle sorte que les conflits intra-étatiques, puniques ou extra-étatiques ne relèvent plus que d'un prévaloir politique, toujours impuissant à provoquer la desunione. Fussent-ils encore la possibilité de demeurer pour ces sous-systèmes politiques et système sub-séquents d'intérêts économiques.

    Cette dialectique sur l'affirmation et les requis, suffit à elle seule de considérer l'examen des conflits comme un processus, il est vrai, façonné, et qu'en somme le chemin de la guerre puisse donner libre carrière d'une vérité. La virtù: ainsi que ses conditions de possibilités, une fois sollicitées, animent la vie de la gestion politique.

    La Cité de l'Etat ne tient pas seulement à la nature de l'état originel de l'individualité.

    De l'Etat dont la représentation tantôt imaginaire, tantôt réelle, se nourrit la vertù qui repose sur la puissance et l'expérience.

    Du premier rang de la société, sonder la racine des illusions, c'est atteindre du conservatisme sons sens le plus restreint. C'est le paradoxe de l'interdit entre possible et impossible. Du bien et du mal comme croyances et perpétuel foyer de toute reproduction.

    Cet objet privilégié de l'analyse - what about people future lifes - dont la question n'a cessédepuis plus de 170 ans d'empreindre les hommes. D'avoir méconnu la complexité d'un art,le chemin d'une guerre n'a jamais cessé de se dessiner.

    Toutes figures de conviction et de persuasion découragent à jamais l'entreprise de l'imaginaire et ferme ce qui va de l'imagination sur l'imaginaire et le réel.

    "Leave this whole world with a satisfied mind, Words between the Lines of ages" voilà quiferait une excellente séquence sur les émotions des comédiens cher Victor. Il y a l'acteur et le comédien.

    Ton ami, Armitage Trail Morgan

    PS: la consultance demande de prendre part active à la production et à l'édition du support visuel, si tu acceptes ne l'oublie pas. (Et n'oublie pas de te faire rémunérer).

  • Troisème journée, succès et célébrité

    Qu'on imagine maintenant une centaine d'êtres connectés privés non seulement des êtresqu'ils aiment, mais de leurs habitudes, leurs servitudes, finalement de tout ce qu'ils possèdent littéralement. Littré qui ne se trompe jamais l'affirme: un roman, un récit est unehistoire fictive. Ces êtres connectés vides, réduits au besoin peuvent-ils se perdre eux-mêmes? Il n'est pas rare quand on a tout perdu d'être dénué de tout discernement, d'être oublieux de toute dignité. Sans aucune considération d'ordre humain, pourrait-on décicder de la vie ou de la mort le coeur léger sur le critère d'utilité. L'utilité est-elle le nécessaire? On comprend alors la double signification: " Le sens du terme" et "Avoir toucher le fond". Il reste toujours de vieux réflexes qui subsituent à l'ironie toujours un nouveau nom. Les signes bleuâtres d'une horloge à tour poignet font voyager et c'est bien utile, ça fait travailler l'imagination. Tout le reste ressemble aux déceptions et fatigues. Ce voyage, entre le jais et le bleu, est une propriété, privée de liberté, et est entièrement imaginaire. Jezabel Ten Emses voyage dans sa tête depuis qu'elle a ingéré ce carton de LSD, voyager -effectivement- c'est bien utile mais faire travailler l'imagination? Quel est la condition d'un voyage entièrement imaginaire? Voilà sa force. Il va de la vie à la mort, hommes, animaux, bêtes, villes et choses, tout est alors imaginé. Et si c'était une âme? Les fous qui vivent en silence, l'homme bon au chaud dans la servitude. La table mise, le jeu dégagé, il serait fou de considérer qu'il s'agit d'une âme que l'on rencontre le soir en rentrant. Et pourtant considérey que si c'est bien d'une âme qu'il s'agit c'est probablement celle de celui qui purge sa peine dans la boue, qui ne connait du jour aucun repas, de la nuit aucun repos. Quel baton se sert pour nom celui de la naïveté - qui se meut pour un oui ou pour un mouvement éphémère. A la perte des rêves jusqu'à la force des souvenirs, les yeux se vident en leur sein froid. Où que que la servitude s'écroule, là où l'âme de toute chose vous accable, que les envies se détournentcomme le brouillard en hiver quand les maux les plus graves, par la pensé,e se couchent de la sensation d'un nouveau chemin au coeur du chemin. Comme il ne peut être oublié ce qui est gravé, les pensées sont les servitudes du couchant et du levant. Et cela se répéte dans un futur antérieur permanent. Du "discours de persuasion", le courage d'interroger ce qui du succès ou de la célébrité ferme l'estrade pour arracher la décision ultime qui emporte avec elle la douleur passée au moyen d'une brève douleur présente.

    Du "mensonge" on peut toujours déduire. Non pas pour tromper mais pour les convenances des sensations et perceptions. Avec le mensonge, les rêves pieusement exercés assoient la vertu vers l'élévation: à l'avènement d'un nouveau songe, qui ne pourra se faire qu'à la condition d'avoir sû mentir mieux et plus longtemps que l'adversaire.

    Jezabel aprçoit la silhouette, peut-être est-ce encore l'effet hallucinatoire du LSD, d'un centaure et derrière la triste nécessité du souffrir pour supporter ce que les autres apportent et voit les dernières extrémités d'un dessin simple qui pourra gouverner et adminsitrer perceptions et songes comme le chose publique est commune et non l'inverse.Et de l'Orient à l'Occident il n'y a plus de fin. Cet art se manifeste là où il existe endehors de tout discours. Comme le visage il est bon, ne redoute pas la clareté ni la douce obscurité là où il a été conçu. Un visage mélodieux en somme de toute chose.

    Jezabel se réveille, elle vient de rêver. La première question qui lui vient à l'esprit: peut-on diriger ses rêves?

    A New-york,Victor Ellis repense à ce repas, alorsq ue fortement hésitant, il avait cependant accepté l'invitation. Cette histoire de casting, et ces choix à faire pour les aider

  • ou non à développer leur réseau de financement. Il se demande toujours quelle type de consultance attend-on de lui. De quoi lui a -t-il envie aussi?

    Il décide de se rendre à Londres. Sur le chemin du retour, il s'arrête à Paris, et le bref séjour qu'il y fait marque le tournant de sa vie artistique. Evoquant les nouveautés et et lesruptiures du tournage du film il ne cesse de les dépeindre comlme le dévoilement soudain de connaissance méta-politiques qui jalonnent son parcours. Si il n'est point question de révélations, il est à questionnr ce qu'est l'essence d'un moment d'inspiration spontané aucun se révèle soudain un aspect inattendu ictor Ellis y réfléchit souvent et aussi dans saconfrontation avec Armiagte Trail Morgan. -"Peut-on sanctifié le réel? A travers les manifestations du monde au-delà des choses réelles, mais quid à l'intérieur de celle-ci?"Il n' y a point de vérité idéale. Pour la première fois, il apperçoit la définition de l'expérience vécue à travers le conditionnemennt conumériste en publicité à travers l'architecture d'une certaine idée de l'esthétique. Son approche trouve un écho dans les places vides consuméristes et les ruptures de succès, qui jalonnent le dévoilement soudain de connaissances établies, qui ne sont pas ce que l'on appelle "des révelations".

    Il définit son concept comme le "défi de l'énigme de l'Heure à l'arrivée d'un après-midi".

    Il éprouve un profond sentiment d'abanon de l'homme moderne: Ecce Homo, référence aunouvel art dansant. Il y a bien plus d'énigmes dans l'ombre d'un homme, comme lui, qui marche au soleil - que dans tous les concepts passés, présénts, et futurs.

    Le voyage pourrait paraître émouvant en jouant avec le rupture: de l'espace à la perspective.

    Une atmosphère mélancolique baigne toujours l'inquiétude d'une mélancolie qui rappelle le départ vers une âme étrange. Qui un jour a vaincu,un autre jour s'arrête sous le soleil comme une statue de sable où le bonheur se noie dans l'éternité de la contemplation de son ombre.Lorsque le soleil, à son pic, s'arrête en haut au centre du ciel.

    La solitude et la mélancolie sont deux choss distingues: la solitude est à l'isolement ce que la mélancolie et à l'ombre des âmes étranges.

    Il reçoit tellement de cartons d'invtation, et cet après-midi il a tellemement envie d'être seul.

    Il décide d'annoncer sa participation à un dîner et Paris mais restera dans ses appertaments pour se promener dans la soirée de le rive gauche à la rive droite. Faire l'expérience d'un voyage émouvant entre rupture et espaces.

    Arthur and Dorothea Schulbrede-Nichols l'excsuseront.Même s'il ne prévient pas son absence.

  • Quatrième soirée, des visages et de l'architecture par des attaches nouées en bordure de vues

    "you make an awfull good impression of yourself"", répliqua Victor Ellis à Viles Odieb. L'utilisation de l'anglais courant sur le tournage du Plan pour s'adresser à des personnages de second-rôles qui ne parlent que la langue locale était devenue un au-delàde la pratique consensuelle une façon polie de se moquer des wannabies. Tous les visages se ressemblent la nuit, et ceux-qui taillés au scalpel - représentant la beauté de toute bestialité - n'avaient rien a envier aux formes parfaites des ovales que l'architecture moderniste dans les paysages du coin avait sculpté - tel un mont de venus d'argent sorti des ténèbres. L'architecture moderniste possède cet avantage sur le post-modernisme que l'innovation est dans la transformation du paysage et non dans l'évolution architecturale.

  • Cinquième jour, le matin

    Ce matin-là montre l'effet ravageur de la passion christique qui se veut toujours maîtresse pour ne jamais feindre la fuite vers le repos final quand l'aveu-même du raisonnement déroute là où la mort est impuissante.

    Victor Ellis, après un détour par Paris, séjourne à Londres et tombe sur les feuillets de Marcus Burroughs qui espère éditer un ouvrage sur la dialectique Hegelienne.

    Voici les premiers jets auxquels Victor Ellis s'acquitte par amitié pour son ami et s'atreint à consacrer une heure de lecture:

    LA DEUXIEME REPUBLIQUE NAPOLEONIENNE OU "LA CREATURE" DU DE L'ORDRE DU NOUVEL EMPIRE (Société des Sciences, Angleterre 1590-1852)Entrent en 1808, l'apogée des réformes intérieures: ce que certains auteurs appellent « la constitution administrative de la France ». .... avec le Code Civil de1804, rebaptisé «Code Napoléon » en 1807 et la réforme des administrations vers la modernité avec près de 130 ans d'avance, l'ère technologique proprement dite apparait avec l'aurore des trentes premières glorieuses.

    Dans les années 1580 et 1590, Jacques IV d'Angleterre cherche à promouvoir la littérature et les arts dans son pays natal. Il publie en 1584 un traité de poésie, Reulis and Cautelis (en), qui applique les principes de la Renaissance.

    1633: Condamnation de Galilé, Descartes quitte Deventer pour Amsterdam.

    En novembre 1633, Descartes apprend donc que Galilée a été condamné; il renonce par prudence à publier le Traité du monde et de la lumière qui ne paraîtra qu'en 1642 alors qu'il avait été écrit en 1628.

    Le Saint-Office, le 24 février 1616, avait condamné la proposition : Sol est centrum mundi et omnino immobilis motu ; en 1620, un décret de la Congrégation des Cardinaux avait autorisé de supposer le mouvement de la Terre par hypothèse. Mais l'ouvrage de Galilée, Dialogo sopra i due massimi sistemi del mondo (le dialogue sur les deux grands systèmes du monde), fut condamné le 22 juin 1633. L'hypothèse du mouvement de la Terre selon le modèle copernicien (héliocentrisme) ne pouvait être prise en compte que s'il était clair quel’analyse était effectuée dans une perspective purement mathématique.

    Histoire de la physique médicale

    La terminologie « physique médicale » apparait en 1779 grâce à Félix Vicq d’Ayyr, secrétaire de l’Académie royale de médecine, dans une revue intitulée « Les Mémoires deMédecine et de Physique Médicale ".

    Physique des cantiques versus Règles pour la direction de l'esprit de Descartes

    I. Règles pour la direction de l'esprit

    Dans les Règles pour la direction de l'esprit (1619-20 repris dans 1626-28), Descartes expose son intention d'orienter les études de façon que l'esprit porte des « jugements solides et vrais » (première règle).

    Il y a nécessité d'élaborer une méthode pour parvenir à la recherche de la vérité, car la méthode est « la voie que l'esprit doit suivre pour atteindre la vérité. » (règle quatrième). Les principes de la méthode sont innés et valables, cela pour conduire sa raison en ordre vers la vérité, et cela dans toutes les sciences (deuxième règle).

  • Descartes revient sur ce qui est immédiatement évident, à savoir la condition de la certitude de la connaissance. Il existe donc, pour Descartes, des propositions simples qui, dès qu'elles sont pensées, sont tenues pour vraies : rien ne produit rien, une seule et même chose ne peut à la fois être et ne pas être (quatrième règle). Ces propositions qui ne sont pourtant pas « données » s'appuient sur des cas généraux, mais sont comprises en tant que pures données par la seule pensée. C'est au moyen d'une intuition et non de l'instinct primitif que la pensée saisit de façon évidente les éléments les plus simples, c'est-à-dire les principes (règle cinquième).

    Descartes passe en revue les moyens d’accès à la connaissance, indiquant plus tard dansla huitième règle :

    «Et d’abord nous remarquerons qu’en nous l’intelligence seule est capable de connaître,mais qu’elle peut être ou empêchée ou aidée par trois autres facultés, c’est à savoir, l’imagination, les sens, et la mémoire.»

    I.a. Conséquence

    Le Discours de la méthode (1637) (voir Article détaillé : Discours de la méthode)

    I.b.

    Intuition et déduction.

    Cette méthode scientifique étant établie, se pose alors la question de savoir quels sont lespremiers principes : sur quoi notre pensée peut-elle se fonder pour s'assurer la certitude de ses connaissances ? Nous pouvons en effet douter de toutes nos connaissances.

    Descartes publia des extraits du Traité du monde et de la lumière (la Dioptrique, les Météores, la Géométrie) et y introduisit une préface, intitulée discours de la méthode, pourbien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences

    II.Théorie Quantique

    La théorie cantique découle des réflexion de Descartes ("Le Dieu dont Descartes parle estcréateur par la main -voir principes géométriques"). Puis de la création de différentes sociétés de sciences, de philosophie et de littérature(s) qui ont, non amené, mais développé le siècle des lumières, les révolutions françaises, la chute de monarchies, la création entre autres de ce qu'il faut nommer au XXe siècle la colonisation en masses et l'exploitation des classes remplaçant le servage du moyen-âge.

    Catherine II de Russie est le parfait exemple de cette hypocrisie des classes régnantes et souveraines, dont les philosophes scientifiques et artistes étaient dépendant de leur mécénat. Et offrait leur servitude.

    Problèmes expérimentaux de la fin du XIXe siècle - Création des Sociétés Secrètes comme réponse aux bouleversements des ordres hiérarchiques, scientifiques et humains.

    Un certain nombre de faits expérimentaux connus à la fin du XIXe siècle étaient inexplicables dans le cadre de la théorie classique. Ces faits expérimentaux discordants ont conduit progressivement les physiciens à proposer une nouvelle vision du monde, la physique quantique. Les étapes majeures de cette révolution conceptuelle se sont déroulées entre 1900 et 1925. Ce qui amène le postulat suivant:

    Arbre des solutions du problème de la mesureCe qui n'est pas censée représenter la réalité Ne représente pas totalement la réalité Représente totalement une réalité

  • Positivisme Lois quantiques modifiées Influence de la conscience Ajout d'une variable supplémentaire : la position Décohérence quantique Univers multiples

    LE CONDITIONNEMENT DES MASSES

    Moyen-Age, Renaissance, Révolution industrielle, Ère Moderne, Ère Technologique ou "La transmission du savoir ou comment réécrire l'histoire aux illettrés"

    Les sciences de la vie et de la terre connaissent un grand développement à la suite des voyages dans le séculier et la partisan : on doit citer Georges Louis Leclerc, comte de Buffon (1707-1788), Carl von Linné (1707-1778), Georges Cuvier (1769-1832), et Jean-Baptiste Lamarck (1744-1829).

    Planches de l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert, volume 2b.

    Le XVIIIe siècle est aussi un siècle d'inventaire des connaissances. L'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, œuvre majeure de Denis Diderot et Jean Le Rond d'Alembert publiée entre 1751 et 1772, fut la première encyclopédie d'envergure après les grandes encyclopédies du Moyen Âge. L'Encyclopédie comprenait notamment un ensemble bien structuré et référencé d'articles sur l'astronomie, qui permit de diffuser dans la société le modèle héliocentrique de Copernic, ainsi que la théorie de la gravitation universelle de Newton qui permettait d'expliquer le mouvement des planètes autour du Système solaire selon des trajectoires elliptiques21.

    La fin de ce siècle voit la création du système métrique, sous l'impulsion de Laplace notamment.

    Les Sociétés Secrètes du 15e siècle - Les Royaumes: entre Sciences et Métaphysique, les mensonges : entre conditionnement mental et européocentrisme (1298-1961)

    I. De Mayence à l’Europe entière, le chef-d’œuvre de l’imposture eurocentriste : Gutenberg serait l’inventeur de l’imprimerie

    À la mort de Gutenberg en février 1468, les différents collaborateurs de l’imprimeur ont déjà quitté Mayence depuis longtemps et vont émigrer dans toute l’Europe, en France et en Italie principalement. Pourtant, dès le VIIe siècle les Chinois, avant Gutenberg, avaient inventé l’imprimerie. Rien ne prouve que la seule fabrication du papier a suivi la route de lasoie ; pourquoi, comme d’autres marchandises, les livres et les images imprimés ne seraient-ils pas parvenus aux confins ouest du continent asiatique, ou tout au moins des renseignements assey précis sur leur mode de fabrication qui pouvait permettre une réinvention occidentale le moment venu ? Marco Polo, quelquefois appelé en ancienn francisé Marc Pol, (né le 15 septembre 1254 à Venise et mort le 8 janvier 1324 à Venise) est un marchand italien, célèbre pour son voyage dans le plus grand territoire commercial - qu'il raconte dans un livre intitulé Le Devisement du monde ou Livre des merveilles ou encore Livre de Marco Polo.

    II. Karl Marx ou le Mythe de l'humain asservi pour développer le capital social

    Karl Heinrich Marx est né en 1818 à Trèves, dans la province du Bas-Rhin, au sein du royaume de Prusse (aujourd'hui dans le land de Rhénanie-Palatinat). Il est le deuxième d'une famille de huit enfants. Son père, Heinrich Marx (1777-1838), né Herschel Marx Levi, était un avocat issu de la bourgeoisie, d’une famille de rabbins juifs nommés plus tard ashkénaye en raison de leur origine est-orientale. Pour exercer sa profession d'avocat, il se convertit au protestantisme en 1816 ou 1817, et changea son prénom de Herschel en Heinrich. À Berlin, il appartient au cercle des « hégéliens de gauche », dénommés aussi « jeunes hégéliens » (avec Bruno Bauer et d'autres) qui cherchent à tirer

  • des conclusions sur le dilemme du athée converti et du révolutionnaire de la philosophie de Hegel.

    II.a. Marx et Hegel: entre matérialisme et idéalisme, l'insoutenable impossibilité

    L'hégélien de gauche Ludwig Feuerbach s'était lancé dans une critique de la théologie à partir de 1836 et avait commencé à se tourner vers le matérialisme (par opposition à l'idéalisme hégélien). En 1841, cette orientation matérialiste prend le dessus dans sa philosophie (L'essence du christianisme) et se combine avec la dialectique dite idéaliste de Hegel pour lui donner un caractère scientifique et historique saisissant le réel dans la logique de son évolution.

    Pour détruire les objets de l'aliénation il faut sortir de ce système, Marx préconise la destruction des objets de l'aliénation, c'est-à-dire la destruction de l'État, de la religion, de l'argent, de la marchandisation du travail.

    Cette destruction est en idéologique : aucune violence ne serait à craindre. Il suffirait d'uneprise de conscience. Un jour, les Hommes peuvent décider d'arrêter de croire à l'État, ils peuvent décider de ne plus croire à la religion, ils peuvent décider que la monnaie n'a plusde valeur et refuser de s'en servir comme moyen d'échange, et ils peuvent décider d'arrêter de travailler en tant que marchandise. Cela ne signifie pas l'arrêt du travail, bien sûr, mais l'arrêt de l'idée qu'il faut le faire contre un salaire. À cette prise de conscience doit s’associer un changement radical des institutions et structures de la société, pour dépasser le stade nécessaire au système communiste: le capitalisme. Et créer le communisme. À la place de l'ancienne société bourgeoise, avec ses classes et ses antagonismes de classes, surgit une association où le libre développement de chacun est la condition sine qua non du développement de tous sous le voile de la liberté et des révolutions.

    "La théorie du prolétariat repose sur un postulat contradictoire au vu des événements historiques des 5 siècles passés et de la nécessité de l'utilisation des moyens de coercition pour maintenir un système (théorie physique mécanique du mouvement, théoriecantique des matières et observations anthropologique des différents systèmes de servitudes et d'aliénations des masses) pour garantir la chose politique"

    (Platon et La Cité Idéale; Machiavel et les outils du "Principe" quand la logique de la force doit garantir le présent et le possible)

    Chey Marx, les prolétaires ne sont pas que les pauvres. Les prolétaires sont le résultat de la dynamique du système capitaliste, et d'un mouvement historique irréversible. La prolétarisation est la double conjonction de la transformation de l'Homme en prolétaire et de l'augmentation de leur nombre.

    Rencontre avec Engels: le paradoxe de l’œuvre, entre vérité et sens, interprétation et positionnement

    En septembre 1844 à Paris, Marx revoit Friedrich Engels qu'il n'avait fait que croiser auparavant ; c'est le début d'une profonde amitié. Étudiant par lui-même la philosophie, Engels était devenu partisan de Hegel. Selon la légende que Marx a voulu construire pour valider son approche systémique des rapports de classes il décide de s'installer en Angleterre et la vie de Marx en exil est extraordinairement difficile comme en témoigne sa correspondance. Le soutien financier d'Engels, idéaliste face aux déchirures qui traversentles conditions de vie fin 19e siècle, place la pensée en Angleterre, et lui permet de survivre. Ce qui lui vaut beaucoup de succès auprès de la bourgeoisie anglaise du 19e siècle sans laquelle il n'aurait jamais sans doute atteint la postérité que les livres d'histoires lui attribuent.

  • "Nous visons la signification (association de sens) d'un fonds propre de connaissance quele pouvoir de les accueillir et de les sentir institue par écarts des rapports à d'autres significations déjà acquises.

    Les profils deviennent incompatibles, les vues se dénoncent l'une l'autre, la réalité de l’œuvre ne peut être en plusieurs lieux à la fois. L'interprète se dérobe à l'épreuve de la tangibilité physique du cadre et des registres sous la pression de l'interprétation. L'apparence devient une évidence qui influence l'interprétation, modifie le sens et l'être de toute œuvre."

    (Claude Lefort, "Le travail et l’œuvre de Machiavel").

    Tout discours critique part d'une réflexion (Descartes) vers une conviction pour donner un sens. Pour valider un discours scientifiquement, le but de l'oeuvre de Machiavel ne se change pas en se déplaçant (Newton et la Théorie de la gravité). A contrario, selon la nature ou la forme du signifiant/signifié il s'agit toujours d'assujettir un discours à une représentation, de l'assigner à une réalité et plus précisément à un ordre de réalité.

    L'ORDRE DU NOUVEL EMPIRE: FOLIE OU DÉMOCRATIE?

    La forme unaire entre folie et démocratie?

    "Rien n'est plus audacieux que de traiter avec sérieux des choses frivoles; mais rien n'est plus fou que servir des frivolités à quelqu'un qui se prend au sérieux"

    (Erasme, "Eloge de la folie", 1514)

    Les sources non citées proviennent directement de Wikipedia. Il s'agit ici d'un essai de synthèse sur les rapports entre métaphysique et théorie cantique dans les sciences humaines, et théorie mécanique sur les discours politiques.

    Victor Ellis, de retour de Paris, séjourne à Londres et tombe sur les feuillets de Marcus Burroughs qui espère éditer un ouvrage sur la dialectique Hegelienne.

    Voici les premiers jets auxquels Victor Ellis s'acquitte par amitié pour son ami à consacrer une heure de lecture:LA DEUXIEME REPUBLIQUE NAPOLEONIENNE OU "LA CREATURE" DU DE L'ORDRE DU NOUVEL EMPIRE (Société des Sciences, Angleterre 1590-1852)

    Entrent en 1808, l'apogée des réformes intérieures: ce que certains auteurs appellent « la constitution administrative de la France ». .... avec le Code Civil de1804, rebaptisé «Code Napoléon » en 1807 et la réforme des administrations vers la modernité avec près de 130 ans d'avance, l'ère technologique proprement dite apparait avec l'aurore des trentes premières glorieuses.

    Dans les années 1580 et 1590, Jacques IV d'Angleterre cherche à promouvoir la littérature et les arts dans son pays natal. Il publie en 1584 un traité de poésie, Reulis and Cautelis (en), qui applique les principes de la Renaissance.

    1633: Condamnation de Galilé, Descartes quitte Deventer pour Amsterdam.

    En novembre 1633, Descartes apprend donc que Galilée a été condamné; il renonce par prudence à publier le Traité du monde et de la lumière qui ne paraîtra qu'en 1642 alors qu'il avait été écrit en 1628.

    Le Saint-Office, le 24 février 1616, avait condamné la proposition : Sol est centrum mundi et omnino immobilis motu ; en 1620, un décret de la Congrégation des Cardinaux avait autorisé de supposer le mouvement de la Terre par hypothèse. Mais l'ouvrage de Galilée, Dialogo sopra i due massimi sistemi del mondo (le dialogue sur les deux grands systèmesdu monde), fut condamné le 22 juin 1633. L'hypothèse du mouvement de la Terre selon le

  • modèle copernicien (héliocentrisme) ne pouvait être prise en compte que s'il était clair quel’analyse était effectuée dans une perspective purement mathématique.

    Histoire de la physique médicale

    La terminologie « physique médicale » apparait en 1779 grâce à Félix Vicq d’Ayyr, secrétaire de l’Académie royale de médecine, dans une revue intitulée « Les Mémoires deMédecine et de Physique Médicale ".

    Physique des cantiques versus Règles pour la direction de l'esprit de Descartes

    I. Règles pour la direction de l'esprit

    Dans les Règles pour la direction de l'esprit (1619-20 repris dans 1626-28), Descartes expose son intention d'orienter les études de façon que l'esprit porte des « jugements solides et vrais » (première règle).

    Il y a nécessité d'élaborer une méthode pour parvenir à la recherche de la vérité, car la méthode est « la voie que l'esprit doit suivre pour atteindre la vérité. » (règle quatrième). Les principes de la méthode sont innés et valables, cela pour conduire sa raison en ordre vers la vérité, et cela dans toutes les sciences (deuxième règle).

    Descartes revient sur ce qui est immédiatement évident, à savoir la condition de la certitude de la connaissance. Il existe donc, pour Descartes, des propositions simples qui,dès qu'elles sont pensées, sont tenues pour vraies : rien ne produit rien, une seule et même chose ne peut à la fois être et ne pas être (quatrième règle). Ces propositions qui ne sont pourtant pas « données » s'appuient sur des cas généraux, mais sont comprises en tant que pures données par la seule pensée. C'est au moyen d'une intuition et non de l'instinct primitif que la pensée saisit de façon évidente les éléments les plus simples, c'est-à-dire les principes (règle cinquième).

    Descartes passe en revue les moyens d’accès à la connaissance, indiquant plus tard dans la huitième règle :

    «Et d’abord nous remarquerons qu’en nous l’intelligence seule est capable de connaître,mais qu’elle peut être ou empêchée ou aidée par trois autres facultés, c’est à savoir, l’imagination, les sens, et la mémoire.»

    I.a. Conséquence

    Le Discours de la méthode (1637) (voir Article détaillé : Discours de la méthode)

    I.b.

    Intuition et déduction.

    Cette méthode scientifique étant établie, se pose alors la question de savoir quels sont lespremiers principes : sur quoi notre pensée peut-elle se fonder pour s'assurer la certitude de ses connaissances ? Nous pouvons en effet douter de toutes nos connaissances.

    Descartes publia des extraits du Traité du monde et de la lumière (la Dioptrique, les Météores, la Géométrie) et y introduisit une préface, intitulée discours de la méthode, pourbien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences

    II.Théorie Quantique

    La théorie cantique découle des réflexion de Descartes ("Le Dieu dont Descartes parle estcréateur par la main -voir principes géométriques"). Puis de la création de différentes sociétés de sciences, de philosophie et de littérature(s) qui ont, non amené, mais développé le siècle des lumières, les révolutions françaises, la chute de monarchies, la

  • création entre autres de ce qu'il faut nommer au XXe siècle la colonisation en masses et l'exploitation des classes remplaçant le servage du moyen-âge.

    Catherine II de Russie est le parfait exemple de cette hypocrisie des classes régnantes et souveraines, dont les philosophes scientifiques et artistes étaient dépendant de leur mécénat. Et offrait leur servitude.

    Problèmes expérimentaux de la fin du XIXe siècle - Création des Sociétés Secrètes comme réponse aux bouleversements des ordres hiérarchiques, scientifiques et humains.

    Un certain nombre de faits expérimentaux connus à la fin du XIXe siècle étaient inexplicables dans le cadre de la théorie classique. Ces faits expérimentaux discordants ont conduit progressivement les physiciens à proposer une nouvelle vision du monde, la physique quantique. Les étapes majeures de cette révolution conceptuelle se sont déroulées entre 1900 et 1925. Ce qui amène le postulat suivant:

    Arbre des solutions du problème de la mesureCe qui n'est pas censée représenter la réalité Ne représente pas totalement la réalité Représente totalement une réalité

    Positivisme Lois quantiques modifiées Influence de la conscience Ajout d'une variable supplémentaire : la position Décohérence quantique Univers multiples

    LE CONDITIONNEMENT DES MASSES

    Moyen-Age, Renaissance, Révolution industrielle, Ère Moderne, Ère Technologique ou "La transmission du savoir ou comment réécrire l'histoire aux illettrés"

    Les sciences de la vie et de la terre connaissent un grand développement à la suite des voyages dans le séculier et la partisan : on doit citer Georges Louis Leclerc, comte de Buffon (1707-1788), Carl von Linné (1707-1778), Georges Cuvier (1769-1832), et Jean-Baptiste Lamarck (1744-1829).

    Planches de l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert, volume 2b.

    Le XVIIIe siècle est aussi un siècle d'inventaire des connaissances. L'Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, œuvre majeure de Denis Diderot et Jean Le Rond d'Alembert publiée entre 1751 et 1772, fut la première encyclopédie d'envergure après les grandes encyclopédies du Moyen Âge. L'Encyclopédie comprenait notamment un ensemble bien structuré et référencé d'articles sur l'astronomie, qui permit de diffuser dans la société le modèle héliocentrique de Copernic, ainsi que la théorie de la gravitation universelle de Newton qui permettait d'expliquer le mouvement des planètes autour du Système solaire selon des trajectoires elliptiques21.

    La fin de ce siècle voit la création du système métrique, sous l'impulsion de Laplace notamment.

    Les Sociétés Secrètes du 15e siècle - Les Royaumes: entre Sciences et Métaphysique, les mensonges : entre conditionnement mental et européocentrisme (1298-1961)

    I. De Mayence à l’Europe entière, le chef-d’œuvre de l’imposture eurocentriste : Gutenberg serait l’inventeur de l’imprimerie

    À la mort de Gutenberg en février 1468, les différents collaborateurs de l’imprimeur ont déjà quitté Mayence depuis longtemps et vont émigrer dans toute l’Europe, en France et en Italie principalement. Pourtant, dès le VIIe siècle les Chinois, avant Gutenberg, avaient inventé l’imprimerie. Rien ne prouve que la seule fabrication du papier a suivi la route de

  • la soie ; pourquoi, comme d’autres marchandises, les livres et les images imprimés ne seraient-ils pas parvenus aux confins ouest du continent asiatique, ou tout au moins des renseignements assey précis sur leur mode de fabrication qui pouvait permettre une réinvention occidentale le moment venu ? Marco Polo, quelquefois appelé en ancienn francisé Marc Pol, (né le 15 septembre 1254 à Venise et mort le 8 janvier 1324 à Venise) est un marchand italien, célèbre pour son voyage dans le plus grand territoire commercial - qu'il raconte dans un livre intitulé Le Devisement du monde ou Livre des merveilles ou encore Livre de Marco Polo.

    II. Karl Marx ou le Mythe de l'humain asservi pour développer le capital social

    Karl Heinrich Marx est né en 1818 à Trèves, dans la province du Bas-Rhin, au sein du royaume de Prusse (aujourd'hui dans le land de Rhénanie-Palatinat). Il est le deuxième d'une famille de huit enfants. Son père, Heinrich Marx (1777-1838), né Herschel Marx Levi, était un avocat issu de la bourgeoisie, d’une famille de rabbins juifs nommés plus tard ashkénaye en raison de leur origine est-orientale. Pour exercer sa profession d'avocat, il se convertit au protestantisme en 1816 ou 1817, et changea son prénom de Herschel en Heinrich. À Berlin, il appartient au cercle des « hégéliens de gauche », dénommés aussi « jeunes hégéliens » (avec Bruno Bauer et d'autres) qui cherchent à tirerdes conclusions sur le dilemme du athée converti et du révolutionnaire de la philosophie de Hegel.

    II.a. Marx et Hegel: entre matérialisme et idéalisme, l'insoutenable impossibilité

    L'hégélien de gauche Ludwig Feuerbach s'était lancé dans une critique de la théologie à partir de 1836 et avait commencé à se tourner vers le matérialisme (par opposition à l'idéalisme hégélien). En 1841, cette orientation matérialiste prend le dessus dans sa philosophie (L'essence du christianisme) et se combine avec la dialectique dite idéaliste de Hegel pour lui donner un caractère scientifique et historique saisissant le réel dans la logique de son évolution.

    Pour détruire les objets de l'aliénation il faut sortir de ce système, Marx préconise la destruction des objets de l'aliénation, c'est-à-dire la destruction de l'État, de la religion, de l'argent, de la marchandisation du travail.

    Cette destruction est en idéologique : aucune violence ne serait à craindre. Il suffirait d'une prise de conscience. Un jour, les Hommes peuvent décider d'arrêter de croire à l'État, ils peuvent décider de ne plus croire à la religion, ils peuvent décider que la monnaie n'a plus de valeur et refuser de s'en servir comme moyen d'échange, et ils peuvent décider d'arrêter de travailler en tant que marchandise. Cela ne signifie pas l'arrêtdu travail, bien sûr, mais l'arrêt de l'idée qu'il faut le faire contre un salaire. À cette prise deconscience doit s’associer un changement radical des institutions et structures de la société, pour dépasser le stade nécessaire au système communiste: le capitalisme. Et créer le communisme. À la place de l'ancienne société bourgeoise, avec ses classes et ses antagonismes de classes, surgit une association où le libre développement de chacunest la condition sine qua non du développement de tous sous le voile de la liberté et des révolutions.

    "La théorie du prolétariat repose sur un postulat contradictoire au vu des événements historiques des 5 siècles passés et de la nécessité de l'utilisation des moyens de coercition pour maintenir un système (théorie physique mécanique du mouvement, théoriecantique des matières et observations anthropologique des différents systèmes de servitudes et d'aliénations des masses) pour garantir la chose politique"

    (Platon et La Cité Idéale; Machiavel et les outils du "Principe" quand la logique de la force doit garantir le présent et le possible)

  • Chey Marx, les prolétaires ne sont pas que les pauvres. Les prolétaires sont le résultat de la dynamique du système capitaliste, et d'un mouvement historique irréversible. La prolétarisation est la double conjonction de la transformation de l'Homme en prolétaire et de l'augmentation de leur nombre.

    Rencontre avec Engels: le paradoxe de l’œuvre, entre vérité et sens, interprétation et positionnement

    En septembre 1844 à Paris, Marx revoit Friedrich Engels qu'il n'avait fait que croiser auparavant ; c'est le début d'une profonde amitié. Étudiant par lui-même la philosophie, Engels était devenu partisan de Hegel. Selon la légende que Marx a voulu construire pourvalider son approche systémique des rapports de classes il décide de s'installer en Angleterre et la vie de Marx en exil est extraordinairement difficile comme en témoigne sa correspondance. Le soutien financier d'Engels, idéaliste face aux déchirures qui traversentles conditions de vie fin 19e siècle, place la pensée en Angleterre, et lui permet de survivre. Ce qui lui vaut beaucoup de succès auprès de la bourgeoisie anglaise du 19e siècle sans laquelle il n'aurait jamais sans doute atteint la postérité que les livres d'histoires lui attribuent.

    "Nous visons la signification (association de sens) d'un fonds propre de connaissance quele pouvoir de les accueillir et de les sentir institue par écarts des rapports à d'autres significations déjà acquises.

    Les profils deviennent incompatibles, les vues se dénoncent l'une l'autre, la réalité de l’œuvre ne peut être en plusieurs lieux à la fois. L'interprète se dérobe à l'épreuve de la tangibilité physique du cadre et des registres sous la pression de l'interprétation. L'apparence devient une évidence qui influence l'interprétation, modifie le sens et l'être de toute œuvre."

    (Claude Lefort, "Le travail et l’œuvre de Machiavel").

    Tout discours critique part d'une réflexion (Descartes) vers une conviction pour donner un sens. Pour valider un discours scientifiquement, le but de l'oeuvre de Machiavel ne se change pas en se déplaçant (Newton et la Théorie de la gravité). A contrario, selon la nature ou la forme du signifiant/signifié il s'agit toujours d'assujettir un discours à une représentation, de l'assigner à une réalité et plus précisément à un ordre de réalité.

    L'ORDRE DU NOUVEL EMPIRE: FOLIE OU DÉMOCRATIE?

    La forme unaire entre folie et démocratie?

    "Rien n'est plus audacieux que de traiter avec sérieux des choses frivoles; mais rien n'est plus fou que servir des frivolités à quelqu'un qui se prend au sérieux"

    (Erasme, "Eloge de la folie", 1514)

    Les sources non citées proviennent directement de Wikipedia. Il s'agit ici d'un essai de synthèse sur les rapports entre métaphysique et théorie cantique dans les sciences humaines, et théorie mécanique sur les discours politiques.

    Victor Ellis ne peut s'empêcher un rire sec à la lecture du dernier paragraphe.Marcus Burroughs est un personnage plein de ressources, pense-t-il, que beaucoup doivelui envier. Une seconde question tarraude Victor Ellis, que vient Marcus Burroughs faire dans ce film underground?

  • STORIES FROM THE SEA (Récits de la Maison des Morts)Assignée à résidence

    - La prison politique du XXIe siècle -

    Tout a commencé un matin de septembre 2001.

    Ou peut-être était-ce déjà le mois de juillet

    (agenda personnel 1939-1953)

  • 2001: Les Sirènes ou Le Palefrenier /

    ( notes) Première heure, première édition. Voici un petit guide que j'ai entre mes mains, bien construit, sans prétention, qu'on souhaiterait utile à tous ceux qui, un jour, par le hasard ou la coïncidence, n'ont pas seulement souhaité étudier des centaines de lettres épiscopales-auxquelles on excusera d'avoir d'abord pensé- ou d'avoir fréquenté certains établissements - mais d'avoir juste eu la volonté d'exercer le don de la curiosité .

    Ce petit guide semble utile à quiconque, qui loin de toute chronophagie, se sent attiré par la recherche scientifique, sans toujours avoir eu jusque là le moyen ou le loisir de se donner la culture spéciale qu'elle requiert. Guide sévère et avide de questionnements, il semble nous informer que nous sommes là où nous sommes - à l'endroit exact où nous avons fait de notre place dans la société une très large collection de simples énumérations et de titres à foison dont l'utilité apporte sa complexité.

    Les choses complexes semblent venir des choses simples. Il me semble, d'un point de vue tout à fait personnel, que nous n'avons pas pu ou voulu retenir que l'impensable comme l'indispensable s'adresse tant à un public peu érudit qu'à un public plus fermé capable de lire des livres écrits en des langues qui, si elles lui sont usuelles n'en demeurent pas moins inacessible sur le langage. Nous avons cette propension à toujours préférer communiquer dans celle que nous faisons nôtre.

    La recherche scientifique n'a jamais été plus discutée que de nos jours, peut-être parce que dans ce millénaire elle n'a jamais été autant sous-estimée que sollicitée sous sa forme la plus imaginaire - afin de rendre service à ce qui n'est encore point réalisé. Des services attendus pour lesquels la recherche scientifique n'est pas faite, il est facile de prétendre que même une analyse aussi éloignée en apparence des préoccupations industrielles que des occupations actuelles trouve dans l'étude d'un moyen-âge une doctrine au bénéfice d'une cause. Qui plus d'une fois, dans son cas, fut détournée de son objet. Oublier les progrès, c'est oublier les autres domaines scientifiques qui n'en porte que le nom du champs de domaine d'application.Un affranchissement graduel de toute préocupation qui serait étrangère à la recherche de la vérité mène inlassablement à créer une nouvelle vérité qui elle est à son tour étrangère à à la recherche scientifique.

    Il n'y a pas de livre sur l'évolution des sciences qui n'en porte témoignage; pas un d'où il ne ressorte que toutes les contradictions - prétendues ou non- dans lesquelles on se flatte tantôt par dépit, tantôt par facilité, ne sont que publicité de la chapelle dans laquelle le progrès marque de chaque empreinte les étapes d'une chute ascentionnelle qui se développe par étapes successives avec des moyens sans cesse perfectionnés . Et qui parla méthode transforme l'objet dans sa forme précédente avant de le renouveller sous l'apparence d'un langage.

    (Paris, 27 juillet 1939)

  • 2002: Le Wanderlust ou Les Brumes des Cornes /

    Il fait un joli soleil de fin d'hiver et je pense à Harold Byron qui est décédé le 7 octobre 1940. La longue maladie contre laquelle il luttait avec tant de courage et de lucidité ne lui ont pourtant pas permis d'achever les travaux préparatoires de son "Introduction aux études d'histoire du Moyen-Âge".

    Son exemplaire travail comprenait, avec le début d'avant-propos, une enveloppe qui renfermait les renseignements essentiels qu'il avait reçu de collègues, amis et élèves à l'Institut Français de Madrid.Ces personnes lui avaient donné leur contribution de façon "spontanée" pour la rude entreprise que constituait la publication et la remise à jour d'une bibliographie scientifique au lendemain de bouleversements mondiaux qui 'l'ont lui-même si tragiquement affecté'. Sa mère m'a demandé d'achever partie du travail interrompu par la mort.

    Ma piété pour la mémoire s'est bornée, pour autant que j'ai pu, à répondre aux points d'interrogation et à mettre à jour les données sur l'Initiation et le Rituel.

    Je me suis interdit, en effet, à peu près systématiquement les suppressions de nouveaux ouvrages qu'ils soient déjà définitivement périmés comme d'autres tres anciens livres bientrop vieillis.

    Pour le rôle que l'Initiation continue de jouer comme guide qui accompagne l'étudiant comme l'amateur de recherches scientifiques, je n'ai pas eu besoin de m'écarter des idéesmaîtresses d'Harold Byron.

    En donnant à l'histoire médiévale son indication bibliographique dans les secteurs de recherches scientifiques -qui concernent l'Europe- et qui engagent aujourd'hui le plus volontaire premier de classe. Il est donc inutile de préciser que je n'ai en rien modifié pour la conception de ce roman les textes et les conseils gracieusement reçus du maître. Personne attachante qui restera propriétaire en tous lieux et tout objet des concepts sur l'Initiation et le Rite - c'est-à-dire qu'ils viennent intégralement de Harold Byron.

    (Londres, le 5 novembre 1940)

    La question du chemin vers l'épée est la chîmère de l'ile de l'Utopie: la grande convergence n'est ni tout à fait à l'ordre du jour ni tout à faut morale.Mais l'idée qui aurait pour virtù de présider la fin de l'histoire est aussi l'épine de toute vertu.

    De la virtù où le principe est de résider dans la finalité des objectifs les moyens et la manière, la pro-manifestation de pensées comme forrme de vie est précisément une des formations passionnelles qui conclut que des groupemenets humains se forment et qu'ils sont nécessairement "finis et disctincts" par le concept centrifuge et de décomposition deschamps d'application des discours qui subissent toujours le nombre et les forces d'attraction en même temps.

    Le monde ne peut être pluriel tant les forces centrigues sont des particules matérielles sensibles, intangibles et rationnalisées - "exposées à la linéearité et aux possessions". Les annuler par l'étiolement renvoit aux combats par de-là les temps et les années.

    L'harmonie d'un discours socratique commande l'instance même de la productivité du social qui par la production des effets est puissance de la multitude. La genèse conceptuelle du social est depuis 1945 précisé par le statut d'intellectuel: non pas celui dela reconstitution historique mais celui de l'expérience spécultative de la pensée comme champs fragmenté en psychologie: afin d'éclairer par la nature des choses la véritable origine: possessions terrestres et désaxés connectés. S'il est abstrait pour le lecteur que

  • la multitude est opérateur: toute geneèse sociale et dynamique historique n'est jamais en aucun cas un sujet empirique, elle est la preuve des connecttions neuro-sensorielles sous une forme rationnelle hors du sensible (ad virtù) qui va de la transhumance au matérialisme afin de prendre possesion des champs individuels fragmentés comme champs d'application en possesssion de masse pour les transformer en ordres d'outils non seulement de dévelopement mais de domination par la quantité.

    Le transhumanisme est ici la contre-partie empirique de toute vérité historique.

  • 2003: Le sort qu'Hier réservait en Avril/Season of the Witch

    (notes) On m'a demandé de présenter en avril mon ouvrage de cent pages en Europe, avec tournée à Vienne, Madrid, Rome, Lisbonne, Séville -en plus de Londres et Paris. Oninsiste pour que je me rendre également à Moscou et Byzance. A nouveau, un ennui profond s’installe de façon assez perceptible: les concours d'éloquence ou de présence (tant aux foires commerçantes que j'ai très souvent évitées dans la publicité que les sorties d'apparât) ne m'ont pas plus manqué que lors de la présentation annuelle de notrerevue publicitaire à Amsterdam et Londres. Avec mon ami et partenaire nous avons fait notre discours dans la mauvaise Loge alors que nous étions invités au Cercle des connaissances Hiramiques et au Cercle de recherches scientifiques Anglaises avec pour ordre du jour la symbolique de la Rose-Croix. A l'époque dans la plus grande des stupeur nous nous étions retrouvés dans une loge franc-maçonnique sur les Templiers et le siècle des Lumières. Je dois beaucoup à mon ami et partenaire hollandais qui a accepté d'éditer mon petit volume de cent pages, et lui doit encore plus d'avoir éviter l'amalgame dans la loge franc-maçonne entre Templiers - Siècle des Lumières et Mythes autour de la Rose-Croix. J'ai fait appel avec profit à l'âme de Jeanne d'Arc ce jour-là et heureusement aucunsecret ne fut -si ce n'est dévoilé -en tout cas révélé à un public non averti.

    J'ai donc pour mon ami et éditeur hollandais la plus grande reconnaissance face au zèledévoué de l'art