TÊTE - DPG Media Group...Grobben (pag. 12), Gijs Wijnant (pag. 15), Martine Maelschalck & Isabel...

TÊTE

1.126.000 257.000 123.000 313.000

577.000 205.000 1.534.000 1.507.000

1.702.000 418.000 332.000 518.000

848.000 596.283 101.278 105.450

33.701 964.000 232.000 2.234.000

1.037.000 570.000 250.000 9.248.553

L’ENSEMBLE DE NOS MÉDIAS

NOUS PERMETTENT DE TOUCHER

UN PUBLIC DE QUELQUE

PERSONNES

COMPTES ANNUELS 2011

+

wt persgroep omslag klein boekje_Frans.indd 1 31-05-12 08:30

II

Ce sont les gens qui font les médias. Et, inversement, les médias font de nous des gens. Faire des médias est notre passion

et nous procure – ainsi qu’à nos lecteurs, téléspectateurs, auditeurs et internautes – de l’information et du divertissement. Le présent rapport annuel est composé de deux parties, toutes deux indissociables du travail si spécifi que avec les supports que sont les médias : une approche ration-nelle en termes de chiffres et une passion créative. En d’autres termes, il est le

fruit de la nécessaire alliance entre tête et coeur. Ceci est d’ailleurs la base sur laquelle nous travaillons chaque jour. 365

jours par an.

lesgensfontlesmediasfontlesgens

COLLABORATEURS Concept & réalisation Scripta Media, Rédactrice en chef Nathalie Quintens, Rédaction Jan Bakker, Annemarie Gibcus, Coos Kouwenhoven, Ilse Peeters, Bart De Proost, Rennie Vernooij, Karin Willems Texte Nienke Oosterbaan, Mieke van Poll, Tjitske Veldkamp, Paula Vos, Riejanne Wolswinkel Photographie Koos Breukel (portraits), Lars van den Brink (reportage) Lithographie Gra media, Impression Proost Concept & mise en page Juliette Carchedi, Naïm Niebuur

Met hetVERSTAND

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WE BEREIKEN METAL ONZE MEDIA

MENSEN

JAARVERSLAG 2011

+

* Sources : CIM,

NOM, HOI et

STIR.

EN COUVERTURE


III

Côté TÊTE

IV Le mot - intro Christian Van ThilloV Le mot - intro Ludwig CrielVI De Persgroep en chiffresVII Peter Bossaert à propos de VMMa VIII Dirk Velghe à propos de Media nVIII Frits Campagne à propos de de Persgroep NederlandIX Rudy Bertels à propos de de Persgroep PublishingX Patrick Van Waeyenberge à propos de de Persgroep Digital

CONTENU

XII Le mot - intro Piet VromanXIII Bilan consolidé après répartition des béné cesXIV Chiffres clés et compte de résultatsXVI Evolution des chiffres clés XVII Tableau de nancement consolidéXVIII Evolution des ux de trésorerie

Côté TÊTE

Côté COEUR

La citation Citationsde nos collaborateurs (pag. 2)

L’image La force de l’image (pag. 4)Qu’est-ce qu’un bon dessin humoristique? (pag. 6)

L’histoire Site d’actualités : 24 heures par jour, 7 jours par semaine (pag. 8), Comment Joepie devint ‘The Voice’ de Glenn (pag. 11), Qui déménage nos collaborateurs ? (pag. 13), Imprimer au XXIe siècle (pag. 14), De Persgroep en mégabytes (pag. 26), La vie d’un correspondant du Volkskrant en Afghanistan (pag. 29), Le jour différent des autres (pag. 30)

Le métier Les collaborateurs de De Persgroep au sujet de la passion qu’ils vouent à leur métier (pag. 17 à 25 incluse)

Le visage Jaap van ’t Riet (pag. 9),Dany Verstraeten (pag. 10), AnnickGrobben (pag. 12), Gijs Wijnant(pag. 15), Martine Maelschalck & IsabelAlbers (pag. 16), Eefje Oomen (pag. 27),Jonas Van Geel (pag. 28)

La fabrique à idées Quand c’est bon, c’est bon mais on peut toujours mieux faire. Qui proposera la meilleure idée de 2013 ? (pag. 32 jusqu’au 40)

wt persgroep klein boekje_Frans.indd 3 31-05-12 17:40

II

Ce sont les gens qui font les médias. Et, inversement, les médias font de nous des gens. Faire des médias est notre passion

et nous procure – ainsi qu’à nos lecteurs, téléspectateurs, auditeurs et internautes – de l’information et du divertissement. Le présent rapport annuel est composé de deux parties, toutes deux indissociables du travail si spécifi que avec les supports que sont les médias : une approche ration-nelle en termes de chiffres et une passion créative. En d’autres termes, il est le

fruit de la nécessaire alliance entre tête et coeur. Ceci est d’ailleurs la base sur laquelle nous travaillons chaque jour. 365

jours par an.

lesgensfontlesmediasfontlesgens

COLLABORATEURS Concept & réalisation Scripta Media, Rédactrice en chef Nathalie Quintens, Rédaction Jan Bakker, Annemarie Gibcus, Coos Kouwenhoven, Ilse Peeters, Bart De Proost, Rennie Vernooij, Karin Willems Texte Nienke Oosterbaan, Mieke van Poll, Tjitske Veldkamp, Paula Vos, Riejanne Wolswinkel Photographie Koos Breukel (portraits), Lars van den Brink (reportage) Lithographie Gra media, Impression Proost Concept & mise en page Juliette Carchedi, Naïm Niebuur

Met hetVERSTAND

1.126.000 257.000 123.000 313.000

577.000 205.000 1.534.000 1.507.000

1.702.000 418.000 332.000 518.000

848.000 596.283 101.278 105.450

33.701 964.000 232.000 2.234.000

1.037.000 570.000 250.000 9.248.553

WE BEREIKEN METAL ONZE MEDIA

MENSEN

JAARVERSLAG 2011

+

* Sources : CIM,

NOM, HOI et

STIR.

EN COUVERTURE


IV

2011a été une année turbulente. La crise du crédit européen a dominé l’actualité. Il faudra

encore des années avant que nous naviguons à nou-veau dans des eaux plus calmes. C’est un environ-nement dont nous devons tenir compte lorsque nous entreprenons et plani ons pour l’avenir..

Mais, dans le monde des médias, s’y ajoute en-core le dé de la révolution du numérique.

La percée de l’Internet remonte à il y a plus de quinze ans et depuis lors, la façon dont nous communiquons, travaillons et abordons les choses a fortement changé. Et nous n’en sommes qu’à la phase initiale de cette évolution.

Chez De Persgroep, nous ne croyons pas à la thèse de substitution – que les médias digitaux vont remplacer tous les médias traditionnels – déjà du fait qu’après quinze ans d’Internet, force est de constater que nos médias existants restent toujours particuliè-rement populaires après de leur public.

Nous sommes bien entendu aussi très actifs au niveau du numérique. Nous avons développé quantité de sites Internet connus du grand public. Certains sites sont payants pour l’utilisateur nal mais la plupart ne vivent que des revenus de la publicité. Il n’en demeure pas moins un grand dé : dans le monde digital, l’espace publicitaire est vendu à une fraction des tarifs appliqués par les médias traditionnels. Cette donnée a bien entendu de graves conséquences pour toutes les entreprises média traditionnelles.

Nous nous trouvons à une époque charnière. la plupart des entreprises média s’interrogent sur leur stratégie dans un monde digital dans lequel elles ne sont plus seules dans leur secteur. Une convergence est apparue entre les entreprises média, celles qui distribuent les médias et les entreprises technologi-ques. C’est ce que l’on appelle le nouvel écosystème de l’économie digitale. La principale question est non seulement de savoir quel média nous devons développer mais aussi comment nous pouvons tra-duire les succès du numérique en modèles d’affaires durables?

Chez De Persgroep, nous ne nous sommes jamais laissés mener par l’illusion du jour ou la mode du moment. Nous innovons en permanence en suivant une vision claire, et sommes persuadés d’apporter une valeur ajoutée : c’est notre approche, et c’est ce qui a fonctionné pour nous.

LE MOT Christian Van Thillo Administrateur délégué

De cette façon, nous avons des marques leaders dans tous les segments des médias dans lesquels nous sommes actifs, dans les médias écrits, le broad-casting et l’online. Les conditions du marché étaient particulièrement dif ciles et je pensais durant l’étéque nos les résultats seraient nettement inférieurs. À tort, comme il s’est avéré en n d’année. Nous avons réussi ensemble à réaliser à nouveau un très beau résultat.

On peut dire aussi que 2011 a été une année très chargée. Nous avons fêté les 10 ans de Q-music Belgique, nos stations de télévision ont marqué une jolie croissance et l’achat de la chaîne féminine Vitaya semble avoir déjà porté ses fruits. Chez de Persgroep Nederland, nous avons travaillé durement à la croissance, après une lourde restructuration, et les résultats sont plus que prometteurs. La coopéra-tion entre la Belgique et les Pays-Bas s’est déroulée à merveille et nous avons à nouveau marqué des étapes importantes pour nous pro ler comme une véritable entreprise média belgo-néerlandaise. Par la création de de Persgroep Digital, nous disposons à nouveau d’un département qui travaille sur les deux pays et nous permet de tirer tous les avantages de la synergie.

Nos maisons d’édition produisent à nouveau de solides prestations. Soulignons en particulier les résultats positifs de nos médias nanciers qui, tant sur les sites Internet que dans les versions numéri-ques du journal, ont attiré des milliers de nouveaux abonnés payants. Media n est l’une des premières entreprises média à prouver comment une stratégie multimédia bien élaborée peut fonctionner.

Pour 2012, nous avons à nouveau préparé quantité de plans pour poursuivre l’amélioration de nos mé-dias. Plus que jamais, la vision claire, l’excellence de nos collaborateurs et un sens infaillible du timing feront la différence.

Ce fut à nouveau un privilège de pouvoir diriger cette entreprise. Je remercie tous nos collaborateurs pour leur créativité, implication et con ance et je sou haite la bienvenue à tous ceux qui lisent ce rap-port annuel dans le monde du Persgroep.Bonne lecture!

Les conditions du marché étaient particulièrement dif ciles et je pensais durant l’étéque nos les résultats seraient nettement inférieurs.À tort, comme il s’est avéré en n d’année. Nousavons réussi ensemble à réaliser à nouveau un très beau résultat.

Nous nous trouvons à une époque charnière. laplupart des entreprises média s’interrogent sur leur stratégie dans un monde digital dans lequel elles nesont plus seules dans leur secteur. Une convergenceest apparue entre les entreprises média, celles qui distribuent les médias et les entreprises technologi-ques.


V

LE MOT

MESdames et messieurs,L’année 2011 restera gra-vée dans nos mémoires...

Au printemps, il était question d’une prudente reprise économique et l’on nourrissait l’espoir que la conjoncture allait lentement mais sûrement remonter la pente.

Cet espoir a été anéanti en été lors de l’éclatement de la crise nancière européenne qui a fortement assombri l’ambiance en automne.

En dépit de ce contexte, j’ai le plaisir de vous présenter au nom du Conseil d’administration du Persgroep les résultats consolidés de l’exercice 2011. Même si ces résultats sont incontestablement marquées par le contexte économique incertain, ils n’en témoignent pas moins de la force inhérente du groupe.

Ainsi, même si les produits d’exploitation consolidés et le cash ow d’exploitation ont stagné à respectivement € 929,5 mio (-2,4%) et € 143,4 mio (-1,7%), le résultat d’exploitation et le béné ce net ont marqué une belle croissance pour atteindre respectivement € 107,3 mio (+6%) et € 40,1 mio (+16,9%).

Ces excellents chiffres, nous les devons en grande partie à la meilleure performance du Persgroep Nederland où le cash ow d’exploitation a sensiblement augmenté pour atteindre €50 mio (+19%), ceci une fois encore grâce à une meilleure maîtrise de la structure des coûts. Les activités néerlandaises représentent à présent 40% du chiffre d’affaires et 35% du cash ow d’exploitation du Persgroep.

Les bons résultats d’exploitation se traduisent naturellement dans la structure nancière du Persgroep qui, deux ans à peine après la reprise de PcM, rayonne à nouveau de santé.

Grâce à l’amortissement maintenu du goodwill d’acquisition, à hauteur de quelque €30 mio par an, ce goodwill est à présent inférieur au fonds propres consolidés stricto sensu. En y incluant l’intérêt des tiers, les fonds propres repésentent une petite moitié du total du bilan consolidé. De Persgroep peut s’appuyer depuis l’exercice

précédent sur une situation nancière nette de €50,5 mio.

Dans ces circonstances, il va sans dire que De Persgroep étudie des acquisitions potentielles avec l’intérêt qui s’impose. L’année dernière, aucun dossier ne s’est concrétisé malgré toute l’énergie consacrée par le groupe au dossier SBS Nederland. Cette année encore, De Persgroep accordera l’attention nécessaire à la poursuite du déploiement de ses positions de marché aux Pays-Bas.

Ainsi, De Persgroep a pu récemment conclure le rachat de VNU Media, un acteur de premier plan du « online recruitment business ». Les Pays-Bas étant devenus notre deuxième marché domestique, le Conseil d’administration a eu l’immense plaisir de souhaiter la bienvenue à Messieurs Ieko Sevinga en Jan Louis Burggraaf en qualité de nouveaux administrateurs du Persgroep.

Le Conseil d’administration est particulièrement conscient que les magni ques réalisations et résultats n’auraient jamais été possibles sans l’implication effrénée des presque 3000 collaborateurs du groupe, en Belgique et aux Pays-Bas. Au nom du Conseil, j’aimerais dès lors exprimer notre appréciation pour la façon dont ils ont donné corps, une fois de plus, à l’élaboration de notre groupe.

Ludwig Criel, Président du Conseil d’administration

Le Conseil d’administration est particulièrement conscient que les magni ques réalisations et résultats n’auraient jamais été possibles sans l’implication effrénée des presque 3000collaborateurs du groupe, en Belgique et aux Pays-Bas.


IV

2011a été une année turbulente. La crise du crédit européen a dominé l’actualité. Il faudra

encore des années avant que nous naviguons à nou-veau dans des eaux plus calmes. C’est un environ-nement dont nous devons tenir compte lorsque nous entreprenons et plani ons pour l’avenir..

Mais, dans le monde des médias, s’y ajoute en-core le dé de la révolution du numérique.

La percée de l’Internet remonte à il y a plus de quinze ans et depuis lors, la façon dont nous communiquons, travaillons et abordons les choses a fortement changé. Et nous n’en sommes qu’à la phase initiale de cette évolution.

Chez De Persgroep, nous ne croyons pas à la thèse de substitution – que les médias digitaux vont remplacer tous les médias traditionnels – déjà du fait qu’après quinze ans d’Internet, force est de constater que nos médias existants restent toujours particuliè-rement populaires après de leur public.

Nous sommes bien entendu aussi très actifs au niveau du numérique. Nous avons développé quantité de sites Internet connus du grand public. Certains sites sont payants pour l’utilisateur nal mais la plupart ne vivent que des revenus de la publicité. Il n’en demeure pas moins un grand dé : dans le monde digital, l’espace publicitaire est vendu à une fraction des tarifs appliqués par les médias traditionnels. Cette donnée a bien entendu de graves conséquences pour toutes les entreprises média traditionnelles.

Nous nous trouvons à une époque charnière. la plupart des entreprises média s’interrogent sur leur stratégie dans un monde digital dans lequel elles ne sont plus seules dans leur secteur. Une convergence est apparue entre les entreprises média, celles qui distribuent les médias et les entreprises technologi-ques. C’est ce que l’on appelle le nouvel écosystème de l’économie digitale. La principale question est non seulement de savoir quel média nous devons développer mais aussi comment nous pouvons tra-duire les succès du numérique en modèles d’affaires durables?

Chez De Persgroep, nous ne nous sommes jamais laissés mener par l’illusion du jour ou la mode du moment. Nous innovons en permanence en suivant une vision claire, et sommes persuadés d’apporter une valeur ajoutée : c’est notre approche, et c’est ce qui a fonctionné pour nous.

LE MOT Christian Van Thillo Administrateur délégué

De cette façon, nous avons des marques leaders dans tous les segments des médias dans lesquels nous sommes actifs, dans les médias écrits, le broad-casting et l’online. Les conditions du marché étaient particulièrement dif ciles et je pensais durant l’étéque nos les résultats seraient nettement inférieurs. À tort, comme il s’est avéré en n d’année. Nous avons réussi ensemble à réaliser à nouveau un très beau résultat.

On peut dire aussi que 2011 a été une année très chargée. Nous avons fêté les 10 ans de Q-music Belgique, nos stations de télévision ont marqué une jolie croissance et l’achat de la chaîne féminine Vitaya semble avoir déjà porté ses fruits. Chez de Persgroep Nederland, nous avons travaillé durement à la croissance, après une lourde restructuration, et les résultats sont plus que prometteurs. La coopéra-tion entre la Belgique et les Pays-Bas s’est déroulée à merveille et nous avons à nouveau marqué des étapes importantes pour nous pro ler comme une véritable entreprise média belgo-néerlandaise. Par la création de de Persgroep Digital, nous disposons à nouveau d’un département qui travaille sur les deux pays et nous permet de tirer tous les avantages de la synergie.

Nos maisons d’édition produisent à nouveau de solides prestations. Soulignons en particulier les résultats positifs de nos médias nanciers qui, tant sur les sites Internet que dans les versions numéri-ques du journal, ont attiré des milliers de nouveaux abonnés payants. Media n est l’une des premières entreprises média à prouver comment une stratégie multimédia bien élaborée peut fonctionner.

Pour 2012, nous avons à nouveau préparé quantité de plans pour poursuivre l’amélioration de nos mé-dias. Plus que jamais, la vision claire, l’excellence de nos collaborateurs et un sens infaillible du timing feront la différence.

Ce fut à nouveau un privilège de pouvoir diriger cette entreprise. Je remercie tous nos collaborateurs pour leur créativité, implication et con ance et je sou haite la bienvenue à tous ceux qui lisent ce rap-port annuel dans le monde du Persgroep.Bonne lecture!

Les conditions du marché étaient particulièrement dif ciles et je pensais durant l’étéque nos les résultats seraient nettement inférieurs.À tort, comme il s’est avéré en n d’année. Nousavons réussi ensemble à réaliser à nouveau un très beau résultat.

Nous nous trouvons à une époque charnière. laplupart des entreprises média s’interrogent sur leur stratégie dans un monde digital dans lequel elles nesont plus seules dans leur secteur. Une convergenceest apparue entre les entreprises média, celles qui distribuent les médias et les entreprises technologi-ques.


BELGIQUEDe Persgroep Publishing + EPC 124Media n 25Poste + Jobs & Career 26VMMa (vmmtv + Q-music et JOE fm + Paratel + Studio A) 96

LES NOUVEAUX COLLABORATEURS EN 2011 PAYS-BAS De Persgroep Nederland + Printing 135 Q-music Nederland 9

VI

Comment notre effectif a-t-il évolué au cours des 10 dernières années ? Et combien de personnes sont venues renforcer en 2011 les différentes divisions?

NOS COLLABORATEURS

3500

3000

2700

2400

2100

1800

1500

1200

900

600

300

0 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011

ÉVOLUTION DE L’EFFECTIF DE « DE PERSGROEP », PÉRIODE 2001-2011


VII

VLAAMSE MEDIA MAATSCHAPPIJ (VMMa) En 2011, la télévision est restée un mé-dia de masse puissant, capable de captiver le public amand au quotidien. VMMa a réalisé une bonne année télévisuelle avec une croissance du chiffre d’affaires supérieure à celle du marché, notamment grâce à l’intégration réussie de Vitaya dans l’offre de chaînes.

En tête, vtm, le leader du marché commercial, a atteint une part de marché de 24,6 % grâce à des formats à succès comme The Voice van Vlaan-deren, Tegen de Sterren Op et Code 37, trois programmes récompensés par une « Televisiester » de l’académie amande de télévision. La plus belle progression a toutefois été enregistrée par 2BE et Vitaya, avec 10,4 % et 5,9 % respectivement. JIM reste la première chaîne pour jeunes, tandis que la chaîne pour enfants vtmKzoom a con rmé les bons résultats de sa première année. Notre branche télévisuelle se trouve malgré tout face à plusieurs dé s majeurs. La concurrence plani e une grande offensive pour l’automne 2012 et l’audience différé (Time Shifted Viewing ou TSV) touche l’ensemble du secteur de la télévision.

Qgroup a vécu une année extrêmement fa-vorable. Globalement, le chiffre d’affaires des deux stations a augmenté d’environ 12 %, ce qui représente une progression conforme au marché. L’année 2011 a été exceptionnelle pour Q-music, le leader du marché. Ses dix années d’existence ont été fêtées dignement lors d’un spectacle d’une

durée de dix heures, pour lequel plus de cinquante artistes avaient accepté de se produire sur scène. JOE fm, dans son rôle de station complémentaire, se distingue par une association de nombreux hits et d’animateurs connus. Elle obtient une part de marché de 9,2 %.

Aux Pays-Bas, en 2011, le marché de la publicité radio s’est à peine rétabli de la chute prononcée subie depuis l’éclatement de la crise. Le chif-fre d’affaires de Q-music, détenue à 100 % par De Persgroep, est en léger recul. Les incendies survenus au niveau de ses deux principales anten-nes d’émission, à Smilde et à Lopik, ont fortement retardé l’évolution de la station. Avec une part de marché de 10 %, Q-music, qui occupe la troisième place du classement aux Pays-Bas, reste cependant un challenger dont il faut tenir compte. La licence d’émission a été prolongée pour six ans, à un coût nettement inférieur. Q-music Nederland se concen-tre pleinement sur l’acquisition d’auditeurs. Pour assurer la popularité de la radio, la programmation a été remaniée et de jeunes talents comme Mattie et Wietze sont venus animer les émissions matinales.

La Vlaamse Media Maatschappij a décidé d’adopter une nouvelle approche pour 2012. Ses marques de radio et de télévision sont intégrées dans une entreprise média unique, au sein de laquelle toutes les activités audiovisuelles sont gérées globalement sur la base d’une vision, d’une stratégie et d’une structure communes.

01. Peter Bossaert CEO Vlaamse Media Maatschappij

« Pour faire de la radio quiaccroche, la programmationa été revue de fond en comble »

Cinq directeurs de “De Persgroep” (Peter Bossaert, Dirk Velghe, Frits Campagne, Rudy Bertels, Patrick Van Waeyenberge) nous racontent en cinq monologues l’année 2011. Quelles opportunités voient-ils pour “De Persgroep” pour la période à venir?

L’ANNÉE


BELGIQUEDe Persgroep Publishing + EPC 124Media n 25Poste + Jobs & Career 26VMMa (vmmtv + Q-music et JOE fm + Paratel + Studio A) 96

LES NOUVEAUX COLLABORATEURS EN 2011 PAYS-BAS De Persgroep Nederland + Printing 135 Q-music Nederland 9

VI

Comment notre effectif a-t-il évolué au cours des 10 dernières années ? Et combien de personnes sont venues renforcer en 2011 les différentes divisions?

NOS COLLABORATEURS

3500

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ÉVOLUTION DE L’EFFECTIF DE « DE PERSGROEP », PÉRIODE 2001-2011


VIII

03.

MEDIAFIN Pour Media n, l’année 2011 a été marquée par une série de moments forts. Le plus beau résultat a été la croissance des ventes de nos deux titres nanciers. L’Echo a atteint l’âge respec-table de 130 ans, nous avons préparé la transition au format berlinois et nous avons créé du buzz grâce à divers événements.

De Tijd a progressé de 4 %, L’Echo de 1,2 %. En Belgique francophone, L’Echo est même le seul journal à avoir enregistré une croissance. Je suis convaincu que cette réussite est le fruit de notre initiative numérique. Media n est la seule entreprise média à disposer d’un modèle payant pour la consul-tation de ses sites d’information. Les abonnements numériques sont beaucoup plus nombreux, pour les tablettes comme pour les sites internet, car le lecteur aime pouvoir disposer de son journal partout et à tout moment. Qui plus est, une édition numérique enrichit le traitement de l’actualité car elle permet de consulter les archives, d’envoyer des articles ou de les sauvegarder. Le journal devient une source exploitable dans un contexte professionnel. D’autre part, le journal papier, qui paraît au format berlinois depuis le début de l’année 2012, est désormais plus accessible et attractif.

DE PERSGROEP NEDERLAND Trois choses à propos de 2011. La première : AD a réussi le redressement le plus spectaculaire depuis des années. Alors qu’il se trouvait dans une situa-tion particulièrement délicate jusqu’il y a peu, le journal engrange aujourd’hui les meilleurs résultats opérationnels sur l’ensemble du Persgroep. La deuxième : de Persgroep Nederland a devancé tous les éditeurs de journaux présents aux Pays-Bas en

L’Echo a fêté son 130e anniversaire en 2011. Rehaussé par la présence de nombre de personalités et de Gérard Mestrallet de GDF Suez en qualité d’invité d’honneur, l’événement a été célébré au cours d’une soirée exceptionnelle. Media n a éga-lement placé ses titres sous les feux des projecteurs, notamment grâce aux rencontres européennes orga-nisées en janvier et en juin avec l’économiste réputé Raghuram Rajan. Nous poursuivons sur cette lancée en 2012 avec Paul Krugman, lauréat du prix Nobel.

Nous pouvons nous permettre le luxe extraordi-naire de travailler de manière très ciblée. Alors que d’autres médias doivent viser tous azimuts, nous pouvons nous concentrer sur l’actualité économique. Cette approche pointue nous aide à faire du journa-lisme de qualité, avec passion. Autre caractéristique unique, nos titres sont dirigés par deux femmes : Martine Maelschalck pour L’Echo et Isabel Albers qui, au poste de rédactrice en chef du Tijd, est la première femme à la tête d’une rédaction d’un quoti-dien en Flandre.

Crise nancière ou pas, Media n a terminé l’année 2011 sur des résultats tout à fait hono-rables. Notre activité se porte bien, parce que notre contenu présente souvent une utilité directe pour nos lecteurs. Nous avons réussi à maintenir nos revenus publicitaires grâce à de nouvelles initiatives, comme le magazine de luxe Sabato et Media n Content Publishing, et nous comptons continuer sur cette voie. Car notre indépendance nancière est la meil-leure garantie de notre indépendance journalistique. Nous ne manquerons donc pas de rester attentifs à notre résultat en 2012.

termes de chiffre d’affaires par salarié. La troisième : nous avons reçu un e-mail quali ant l’un de nos rédacteurs en chef de « perle rare du journalisme néerlandais ». Cet e-mail provenait de notre princi-pal concurrent.

Une véritable passion journalistique et une gestion toujours plus rigoureuse ont fait le succès de De Persgroep Nederland en 2011, malgré une économie turbulente et imprévisible. Nous sommes parvenus

02. Dirk Velghe Directeur général Media n

Frits Campagne Directeur de de Persgroep Nederland

« Tandis que d’autres médias doivent suivre et aborder tous les sujets, nous pou-vons nous consacrer à l’in-formation économique »


IX

DE PERSGROEP PUBLISHING De Pers-groep Publishing a pris un départ encourageant en 2011. À partir du deuxième trimestre, la situation s’est toutefois quelque peu détériorée en raison de l’augmentation du prix du papier et de l’in uence négative de la récession sur la con ance des consommateurs. Heureusement, le bilan de clôture s’est nalement révélé favorable et nos objectifs nanciers ont été atteints.

Permettez-moi d’attirer votre attention sur plu-sieurs tendances. Depuis quelque temps, le marché de la publicité subit la pression du passage à la télévision et aux médias numériques. La récession a également laissé des traces : le chiffre d’affaires publicitaire a enregistré une baisse de 2 %, alors qu’il était encore en hausse de 3,6 % l’an dernier. En revanche, nous avons pleinement tiré pro t du développement de logiciels à l’échelle du Pers-groep. L’utilisation d’une plateforme informatique commune nous permet de réaliser des économies substantielles et facilite en outre le benchmarking.

D’autre part, nous avons dû batailler plus ferme sur le marché des lecteurs car la con ance des consommateurs est en berne. Les ventes aux kiosques régressent, les lecteurs préfèrent prendre un abonnement et changent beaucoup plus facilement de titre de prédilection. De Morgen a perdu 2.000 exemplaires mais l’ajout du magazine DMUZE à l’édition du week-end a eu un impact positif sur les ventes du samedi. TV Familie a chuté de 11.000 unités. Nous sommes encore occupés à rechercher la formule adéquate pour donner un nouvel élan à cet hebdomadaire.

Heureusement, plusieures marques se portent bien. Het Laatste Nieuws a progressé de 1.100 exemplaires. Si l’hebdomadaire Dag Allemaal a essuyé un recul, il garde néanmoins un tirage phénoménal par rapport aux autres magazines télé, avec 410.000 exemplaires. Joepie est l’un des rares magazines du pays à avoir obtenu une légère crois-sance de 3.250 exemplaires. En n, Goed Gevoel, le premier mensuel amand, reste en grande forme

à compenser un chiffre d’affaires décevant, en par-ticulier sur le marché publicitaire, grâce à l’exa-men critique et à la réorganisation de nos activités commerciales. Notre approche a porté ses fruits : nous avons considérablement amélioré notre résultat d’exploitation par rapport à 2010. Notre entreprise béné cie donc d’une excellente position de départ pour 2012.

Nous pouvons compter sur un portefeuille bien garni, avec AD, de Volkskrant, Trouw et Het Parool. Chacun s’adresse à un public spéci que, avec la ferme volonté rédactionnelle d’offrir une informa-tion optimale et une réelle inspiration. Pour chaque titre, nous possédons une équipe de marketing qui en cerne parfaitement l’identité et le ton, et qui les

transpose en une proposition prometteuse sur le marché des lecteurs.

AD a consolidé sa position, en version papier comme en version numérique. Avec une moyenne de 220.000 abonnements, de Volkskrant a dépassé le chiffre de 2010, qui était déjà une année de crois-sance. Trouw a enregistré ce qui pourrait être la plus belle amélioration de tous les temps pour l’édition du samedi, avec deux magni ques cahiers au format demi-berlinois. Pour couronner le tout, la rédaction du quotidien Het Parool, qui est pourtant la plus petite des quatre, a remporté les deux grands prix nationaux du journalisme d’investigation.

En n, les imprimeries et la distribution ont réalisé des performances hors du commun, nous avons opté pour une réorganisation des équipes de ventes chez de Persgroep Advertising, les activités numériques font l’objet d’une attention spéci que au sein de de Persgroep Digital et les deux directions de de Persgroep Nederland ont été fusionnées. Tout porte à croire que nous sommes sur la bonne voie.

« Nous avons la ferme volon-té rédactionnelle d’offrir une information optimale et une réelle inspiration »

04. Rudy Bertels COO de Persgroep Publishing


VIII

03.

MEDIAFIN Pour Media n, l’année 2011 a été marquée par une série de moments forts. Le plus beau résultat a été la croissance des ventes de nos deux titres nanciers. L’Echo a atteint l’âge respec-table de 130 ans, nous avons préparé la transition au format berlinois et nous avons créé du buzz grâce à divers événements.

De Tijd a progressé de 4 %, L’Echo de 1,2 %. En Belgique francophone, L’Echo est même le seul journal à avoir enregistré une croissance. Je suis convaincu que cette réussite est le fruit de notre initiative numérique. Media n est la seule entreprise média à disposer d’un modèle payant pour la consul-tation de ses sites d’information. Les abonnements numériques sont beaucoup plus nombreux, pour les tablettes comme pour les sites internet, car le lecteur aime pouvoir disposer de son journal partout et à tout moment. Qui plus est, une édition numérique enrichit le traitement de l’actualité car elle permet de consulter les archives, d’envoyer des articles ou de les sauvegarder. Le journal devient une source exploitable dans un contexte professionnel. D’autre part, le journal papier, qui paraît au format berlinois depuis le début de l’année 2012, est désormais plus accessible et attractif.

DE PERSGROEP NEDERLAND Trois choses à propos de 2011. La première : AD a réussi le redressement le plus spectaculaire depuis des années. Alors qu’il se trouvait dans une situa-tion particulièrement délicate jusqu’il y a peu, le journal engrange aujourd’hui les meilleurs résultats opérationnels sur l’ensemble du Persgroep. La deuxième : de Persgroep Nederland a devancé tous les éditeurs de journaux présents aux Pays-Bas en

L’Echo a fêté son 130e anniversaire en 2011. Rehaussé par la présence de nombre de personalités et de Gérard Mestrallet de GDF Suez en qualité d’invité d’honneur, l’événement a été célébré au cours d’une soirée exceptionnelle. Media n a éga-lement placé ses titres sous les feux des projecteurs, notamment grâce aux rencontres européennes orga-nisées en janvier et en juin avec l’économiste réputé Raghuram Rajan. Nous poursuivons sur cette lancée en 2012 avec Paul Krugman, lauréat du prix Nobel.

Nous pouvons nous permettre le luxe extraordi-naire de travailler de manière très ciblée. Alors que d’autres médias doivent viser tous azimuts, nous pouvons nous concentrer sur l’actualité économique. Cette approche pointue nous aide à faire du journa-lisme de qualité, avec passion. Autre caractéristique unique, nos titres sont dirigés par deux femmes : Martine Maelschalck pour L’Echo et Isabel Albers qui, au poste de rédactrice en chef du Tijd, est la première femme à la tête d’une rédaction d’un quoti-dien en Flandre.

Crise nancière ou pas, Media n a terminé l’année 2011 sur des résultats tout à fait hono-rables. Notre activité se porte bien, parce que notre contenu présente souvent une utilité directe pour nos lecteurs. Nous avons réussi à maintenir nos revenus publicitaires grâce à de nouvelles initiatives, comme le magazine de luxe Sabato et Media n Content Publishing, et nous comptons continuer sur cette voie. Car notre indépendance nancière est la meil-leure garantie de notre indépendance journalistique. Nous ne manquerons donc pas de rester attentifs à notre résultat en 2012.

termes de chiffre d’affaires par salarié. La troisième : nous avons reçu un e-mail quali ant l’un de nos rédacteurs en chef de « perle rare du journalisme néerlandais ». Cet e-mail provenait de notre princi-pal concurrent.

Une véritable passion journalistique et une gestion toujours plus rigoureuse ont fait le succès de De Persgroep Nederland en 2011, malgré une économie turbulente et imprévisible. Nous sommes parvenus

02. Dirk Velghe Directeur général Media n

Frits Campagne Directeur de de Persgroep Nederland

« Tandis que d’autres médias doivent suivre et aborder tous les sujets, nous pou-vons nous consacrer à l’in-formation économique »


X

DE PERSGROEP DIGITAL Bien que de Persgroep Digital n’existe of ciellement que depuis le 1er janvier 2012, nous ne voulions pas manquer l’occasion de vous le présenter dans ce rapport.

De Persgroep Digital réunit toutes les activités numériques du Persgroep. Fort de deux cents colla-borateurs en Belgique et aux Pays-Bas, il béné cie de nombreux avantages synergétiques pour ses quatre compétences clés : la rédaction, le dévelop-pement web, le marketing numérique et la vente en ligne. Grâce à nos journalistes belges et néerlandais, nous sommes par exemple en mesure de suivre tous les matches de Coupe d’Europe, ce qui n’aurait jamais été possible autrement. Nous utilisons des plateformes numériques communes, dont nous nous efforçons ensemble d’augmenter les revenus publicitaires. Suivant la stratégie scandinave, de Persgroep Digital exploite internet comme un outil de branding : un site web qui publie un contenu pro-fessionnel est un endroit adéquat pour promouvoir une marque.

L’offre numérique de de Persgroep Digital se compose de sites d’information populaires et sélec-tifs, de sites féminins et de sites de recrutement. En Belgique, nous sommes le leader du marché dans le segment des sites d’information avec HLN.be et 7sur7.be. Nous espérons également pouvoir revendi-

quer cette position aux Pays-Bas dans le courant de 2012 grâce à AD.nl, qui doit affronter la concurrence redoutable du Telegraaf et de nu.nl. Nous misons sur la perception individuelle. Loin de nous limiter au journalisme 1.0, dont la vitesse de l’information est l’un des piliers essentiels, nous avons aussi adopté la version 2.0, qui repose sur l’interaction avec les internautes. Cette innovation est déjà présente sur HLN.be, 7sur7.be et AD.nl avec une nouvelle mise en page et des fonctionnalités interactives at-trayantes, parmi lesquelles une application Facebook qui permet à chaque lecteur de savoir quels articles ont été consultés par ses amis.

Par ailleurs, les sites sélectifs de Volkskrant (lea-der de marché dans le segment), Trouw, Het Parool et De Morgen visent à offrir une ré exion plus en profondeur aux classes sociales supérieures, au-delà de l’actualité quotidienne. Avec Laurens Verhagen, l’ancien rédacteur en chef de nu.nl, nous avons tous les atouts en mains pour améliorer nos performances sur ce marché.

Et les perspectives d’avenir ? De Persgroep pour-suit un but lucratif. Dans notre première vraie année, nous devrons acquérir une indépendance nancière qui contribuera à justi er notre existence. Mais de Persgroep Digital n’est pas seulement le fruit de la nécessité. Notre entreprise puise sa force dans ses collaborateurs et sa passion. La constitution de de Persgroep Digital a créé une nouvelle dynamique et une motivation réelle de rassembler et de mobiliser toutes les compétences. Sans la créativité de nos jour-nalistes, de nos marketeers et de nos développeurs web, notre existence n’aurait aucun sens. En 2012 aussi, nos collaborateurs et notre passion restent les ingrédients les plus importants de notre activité.

05. Patrick Van Waeyenberge Directeur général de de Persgroep Digital

« Sans la créativité de nos journalistes, de nos mar-keteers et de nos déve-loppeurs web, notre exis-tence n’aurait aucun sens »

avec un tirage de 77.000 exemplaires.Je pense que de Persgroep Publishing a obtenu

d’excellents résultats en 2011 malgré la récession et je sais que nos collaborateurs se donnent à fond. Il ne faut certainement pas travailler plus dur, mais sans doute plus nement. Il est essentiel que nous restions à l’écoute pour réagir à l’évolution du comportement des consommateurs. Nous conti-

nuons à chérir l’imprimé. Dans le même temps, nous n’ignorons pas ce qui se passe actuellement et nous allons pleinement nous consacrer aux innovations numériques. De Persgroep Publishing a bien l’intention d’engranger des résultats solides. Nous tenons à nous distinguer et à être ers de ce que nous faisons. En 2012 aussi !


XI

RAPPORT ANNUEL FINANCIER

Depuis l’été 2011, la crise de la dette fait rage. Tant en Belgique qu’aux Pays-Bas, nous devons faire face à de grandes diffi cultés éco-nomiques conjoncturelles et à une importante baisse de la confi ance des consommateurs. Et pourtant

De Persgroep a connu uneannée stable.


X

DE PERSGROEP DIGITAL Bien que de Persgroep Digital n’existe of ciellement que depuis le 1er janvier 2012, nous ne voulions pas manquer l’occasion de vous le présenter dans ce rapport.

De Persgroep Digital réunit toutes les activités numériques du Persgroep. Fort de deux cents colla-borateurs en Belgique et aux Pays-Bas, il béné cie de nombreux avantages synergétiques pour ses quatre compétences clés : la rédaction, le dévelop-pement web, le marketing numérique et la vente en ligne. Grâce à nos journalistes belges et néerlandais, nous sommes par exemple en mesure de suivre tous les matches de Coupe d’Europe, ce qui n’aurait jamais été possible autrement. Nous utilisons des plateformes numériques communes, dont nous nous efforçons ensemble d’augmenter les revenus publicitaires. Suivant la stratégie scandinave, de Persgroep Digital exploite internet comme un outil de branding : un site web qui publie un contenu pro-fessionnel est un endroit adéquat pour promouvoir une marque.

L’offre numérique de de Persgroep Digital se compose de sites d’information populaires et sélec-tifs, de sites féminins et de sites de recrutement. En Belgique, nous sommes le leader du marché dans le segment des sites d’information avec HLN.be et 7sur7.be. Nous espérons également pouvoir revendi-

quer cette position aux Pays-Bas dans le courant de 2012 grâce à AD.nl, qui doit affronter la concurrence redoutable du Telegraaf et de nu.nl. Nous misons sur la perception individuelle. Loin de nous limiter au journalisme 1.0, dont la vitesse de l’information est l’un des piliers essentiels, nous avons aussi adopté la version 2.0, qui repose sur l’interaction avec les internautes. Cette innovation est déjà présente sur HLN.be, 7sur7.be et AD.nl avec une nouvelle mise en page et des fonctionnalités interactives at-trayantes, parmi lesquelles une application Facebook qui permet à chaque lecteur de savoir quels articles ont été consultés par ses amis.

Par ailleurs, les sites sélectifs de Volkskrant (lea-der de marché dans le segment), Trouw, Het Parool et De Morgen visent à offrir une ré exion plus en profondeur aux classes sociales supérieures, au-delà de l’actualité quotidienne. Avec Laurens Verhagen, l’ancien rédacteur en chef de nu.nl, nous avons tous les atouts en mains pour améliorer nos performances sur ce marché.

Et les perspectives d’avenir ? De Persgroep pour-suit un but lucratif. Dans notre première vraie année, nous devrons acquérir une indépendance nancière qui contribuera à justi er notre existence. Mais de Persgroep Digital n’est pas seulement le fruit de la nécessité. Notre entreprise puise sa force dans ses collaborateurs et sa passion. La constitution de de Persgroep Digital a créé une nouvelle dynamique et une motivation réelle de rassembler et de mobiliser toutes les compétences. Sans la créativité de nos jour-nalistes, de nos marketeers et de nos développeurs web, notre existence n’aurait aucun sens. En 2012 aussi, nos collaborateurs et notre passion restent les ingrédients les plus importants de notre activité.

05. Patrick Van Waeyenberge Directeur général de de Persgroep Digital

« Sans la créativité de nos journalistes, de nos mar-keteers et de nos déve-loppeurs web, notre exis-tence n’aurait aucun sens »

avec un tirage de 77.000 exemplaires.Je pense que de Persgroep Publishing a obtenu

d’excellents résultats en 2011 malgré la récession et je sais que nos collaborateurs se donnent à fond. Il ne faut certainement pas travailler plus dur, mais sans doute plus nement. Il est essentiel que nous restions à l’écoute pour réagir à l’évolution du comportement des consommateurs. Nous conti-

nuons à chérir l’imprimé. Dans le même temps, nous n’ignorons pas ce qui se passe actuellement et nous allons pleinement nous consacrer aux innovations numériques. De Persgroep Publishing a bien l’intention d’engranger des résultats solides. Nous tenons à nous distinguer et à être ers de ce que nous faisons. En 2012 aussi !


XII

LE MOT

L’exercice 2011 en 8 sujets.La crise de la dette a explosé dès l’été 2011. En

Belgique comme aux Pays-Bas, nous avons été con-frontés à un double dip et à une détérioration sévère de la con ance des consommateurs. De Persgroep a pourtant enregistré une année stable.Chiffre d’affaires Le chiffre d’affaires est resté stable, à 930 millions d’euros. Malgré l’in ation et le coût de l’indexation, l’EBITDA n’a pratique-ment pas régressé. Le cash ow brut en provenance de nos opérations a reculé de 2 % à 143 millions d’euros. En revanche, le cash ow net (après im-pôts et charges nancières) est passée de 107 à 117 millions d’euros. Amortissements et béné ce net Le résultat avant intérêts et impôts (EBIT) a atteint 107 millions d’euros grâce à la baisse des amortissements. Une baisse qui se maintiendra dans la mesure où nous ne prévoyons pas d’investissements importants en matériel ou en immeubles dans les années à venir.

De Persgroep rédige ses comptes annuels suivant les normes comptables belges, ce qui implique no-tamment un amortissement annuel du « goodwill » issu des acquisitions du passé. De ce fait, De Pers-groep amortit chaque année 30 millions d’euros sur son goodwill d’acquisition. Le béné ce net avant cet amortissement s’élève à 70 millions d’euros, soit une hausse de 11 %. Après cet amortissement, il se situe donc à 40 millions d’euros.Situation contrastée pour Q-music Dans une entreprise comme De Persgroep, qui possède 25 marques média en Belgique et aux Pays-Bas, on dénombre nécessairement de nombreuses évoluti-ons en l’espace d’un an. Les événements contrastés qui ont touché Q-music en font partie, sans aucun doute. En Belgique, le leader du marché Q-music a fêté son dixième anniversaire avec dix heures de show radio live. Aux Pays-Bas, la marque a essuyé un coup dur lorsque deux antennes d’émission ont subi une incendie le même jour et que la couverture a presque diminué de moitié. Heureusement, les frais de licence ont connu une réduction substan-tielle à partir du mois de septembre.

Publishing L’année a été bonne pour de Pers-groep Publishing. Het Laatste Nieuws, le leader du marché, a vu son tirage augmenter, tandis que De Morgen a investi dans un magazine supplémentaire pour le journal du week-end et dans une nouvelle maquette pour les jours de semaine. Le marché des

magazines souffre de la faiblesse de la con ance des consommateurs, en particulier dans le segment des magazines télé, où la concurrence des program-mes électroniques se fait ressentir.

Dag Allemaal a pourtant su conserver un leader-ship de marché confortable et Joepie a même été l’un des rares hebdomadaires en croissance.Nederland L’organisation de de Persgroep Neder-land se met en place progressivement. Lors de son intégration dans le groupe, cette entité a amplement béné cié du soutien de de Persgroep Publishing. Les systèmes informatiques sont intégrés et la collaboration ne cesse de s’intensi er sur le plan rédactionnel et commercial. Nous n’y sommes pas encore tout à fait, mais les journaux, l’organisation et les résultats nanciers se trouvent dans une situation plus que respectable. De Persgroep Neder-land représente aujourd’hui 35 % de l’EBITDA du groupe, contre moins de 30 % l’an dernier.Télévision Pour les activités télévisuelles, 2011 a été une année de transition. Nous nous préparons à affronter le nouveau paysage concurrentiel attendu pour l’automne 2012. Des initiatives de diversi ca-tion infructueuses ont été restreintes ou interrom-pues, ce qui explique pourquoi des charges uniques ont pesé sur le compte de résultats. Grâce à des investissements dans des programmes prometteurs pour vtm, à la croissance de 2BE et à l’intégration de Vitaya, nous disposons d’une large palette de chaînes complémentaires.Activités numériques Nous sommes ers de l’équipe ambitieuse et enthousiaste qui compose de Persgroep Digital, notre nouvelle division binatio-nale. Si nous sommes depuis longtemps le leader du marché des sites d’information en Belgique, nous ambitionnons également de renforcer notre position aux Pays-Bas. Media n a déjà franchi plusieurs étapes essentielles, avec la migration vers un mo-dèle payant pour la consultation des sites internet.Perspectives pour 2012 De Persgroep n’a plus de dettes nancières depuis la mi 2011. À la n de l’année, notre position de trésorerie nette s’élevait à 50 millions d’euros. Au vu des faibles besoins d’investissements, le ux de trésorerie disponible s’annonce considérable pour les années à venir. Le début de l’année 2012 est resté marqué par une volatilité, dans un environnement économique toujours dif cile. Nos marchés de consommateurs et d’annonceurs restent sous pression. Mais avec 235 millions d’euros de fonds propres sur un bilan total de 750 millions d’euros, De Persgroep est prêt pour l’avenir.

Piet Vroman Panorama nancier de De Persgroep


XIII

ACTIF 2010 2011

- Immobilisationsincorporelles 11,8 8,6

- Goodwill 232,3 198,3 - Immobilisations

corporelles 189,3 180,6 - Immobilisations

nancières 1,5 1,7 - Créances + 1 an 32,5 27,4 - Stocks 44,3 40,9 - Créances -1 an 165,1 162,7 - Disponible 72,3 115,2 - Comptes de régularisation 15,6 12,7

Total 764,7 748,1

PASSIF 2010 2011

- Capitaux propres 220,5 235,3 - Intérêts de tiers 80,9 84,5 - Provisions 51,9 38,5 - Dette subordonnée 5,0 4,0 - Dette à long terme 72,9 53,5 Institutions nancières 61,8 45,7 Location- nancement 0,4 0,2 Divers 10,7 7,6 - Dette à court terme 220,0 233,6 - Dettes nancières Dettes à plus d’un an échéant dans l’année 23,9 18,7 - Autres dettes Dettes à un an échéant

dans l’année 3,9 3,8 Fournisseurs 112,3 123,1 Dettes scales & sociales 59,8 62,6 Dividende 20,0 25,0 Divers 0,1 0,3 - Comptes de régularisation 113,5 98,6

Total 764,7 748,1

BILAN CONSOLIDÉ APRÈS AFFECTATION DU RÉSULTAT(en millions d’€)

EVOLUTION DES FONDS PROPRES & DETTES FINANCIÈRES NETTES (EN MIO €)

240

210

180

150

120

90

60

30

0

-30

Fonds propres Dettes fi nancières nettes

2007 2008 2009 2010 2011


XII

LE MOT

L’exercice 2011 en 8 sujets.La crise de la dette a explosé dès l’été 2011. En

Belgique comme aux Pays-Bas, nous avons été con-frontés à un double dip et à une détérioration sévère de la con ance des consommateurs. De Persgroep a pourtant enregistré une année stable.Chiffre d’affaires Le chiffre d’affaires est resté stable, à 930 millions d’euros. Malgré l’in ation et le coût de l’indexation, l’EBITDA n’a pratique-ment pas régressé. Le cash ow brut en provenance de nos opérations a reculé de 2 % à 143 millions d’euros. En revanche, le cash ow net (après im-pôts et charges nancières) est passée de 107 à 117 millions d’euros. Amortissements et béné ce net Le résultat avant intérêts et impôts (EBIT) a atteint 107 millions d’euros grâce à la baisse des amortissements. Une baisse qui se maintiendra dans la mesure où nous ne prévoyons pas d’investissements importants en matériel ou en immeubles dans les années à venir.

De Persgroep rédige ses comptes annuels suivant les normes comptables belges, ce qui implique no-tamment un amortissement annuel du « goodwill » issu des acquisitions du passé. De ce fait, De Pers-groep amortit chaque année 30 millions d’euros sur son goodwill d’acquisition. Le béné ce net avant cet amortissement s’élève à 70 millions d’euros, soit une hausse de 11 %. Après cet amortissement, il se situe donc à 40 millions d’euros.Situation contrastée pour Q-music Dans une entreprise comme De Persgroep, qui possède 25 marques média en Belgique et aux Pays-Bas, on dénombre nécessairement de nombreuses évoluti-ons en l’espace d’un an. Les événements contrastés qui ont touché Q-music en font partie, sans aucun doute. En Belgique, le leader du marché Q-music a fêté son dixième anniversaire avec dix heures de show radio live. Aux Pays-Bas, la marque a essuyé un coup dur lorsque deux antennes d’émission ont subi une incendie le même jour et que la couverture a presque diminué de moitié. Heureusement, les frais de licence ont connu une réduction substan-tielle à partir du mois de septembre.

Publishing L’année a été bonne pour de Pers-groep Publishing. Het Laatste Nieuws, le leader du marché, a vu son tirage augmenter, tandis que De Morgen a investi dans un magazine supplémentaire pour le journal du week-end et dans une nouvelle maquette pour les jours de semaine. Le marché des

magazines souffre de la faiblesse de la con ance des consommateurs, en particulier dans le segment des magazines télé, où la concurrence des program-mes électroniques se fait ressentir.

Dag Allemaal a pourtant su conserver un leader-ship de marché confortable et Joepie a même été l’un des rares hebdomadaires en croissance.Nederland L’organisation de de Persgroep Neder-land se met en place progressivement. Lors de son intégration dans le groupe, cette entité a amplement béné cié du soutien de de Persgroep Publishing. Les systèmes informatiques sont intégrés et la collaboration ne cesse de s’intensi er sur le plan rédactionnel et commercial. Nous n’y sommes pas encore tout à fait, mais les journaux, l’organisation et les résultats nanciers se trouvent dans une situation plus que respectable. De Persgroep Neder-land représente aujourd’hui 35 % de l’EBITDA du groupe, contre moins de 30 % l’an dernier.Télévision Pour les activités télévisuelles, 2011 a été une année de transition. Nous nous préparons à affronter le nouveau paysage concurrentiel attendu pour l’automne 2012. Des initiatives de diversi ca-tion infructueuses ont été restreintes ou interrom-pues, ce qui explique pourquoi des charges uniques ont pesé sur le compte de résultats. Grâce à des investissements dans des programmes prometteurs pour vtm, à la croissance de 2BE et à l’intégration de Vitaya, nous disposons d’une large palette de chaînes complémentaires.Activités numériques Nous sommes ers de l’équipe ambitieuse et enthousiaste qui compose de Persgroep Digital, notre nouvelle division binatio-nale. Si nous sommes depuis longtemps le leader du marché des sites d’information en Belgique, nous ambitionnons également de renforcer notre position aux Pays-Bas. Media n a déjà franchi plusieurs étapes essentielles, avec la migration vers un mo-dèle payant pour la consultation des sites internet.Perspectives pour 2012 De Persgroep n’a plus de dettes nancières depuis la mi 2011. À la n de l’année, notre position de trésorerie nette s’élevait à 50 millions d’euros. Au vu des faibles besoins d’investissements, le ux de trésorerie disponible s’annonce considérable pour les années à venir. Le début de l’année 2012 est resté marqué par une volatilité, dans un environnement économique toujours dif cile. Nos marchés de consommateurs et d’annonceurs restent sous pression. Mais avec 235 millions d’euros de fonds propres sur un bilan total de 750 millions d’euros, De Persgroep est prêt pour l’avenir.

Piet Vroman Panorama nancier de De Persgroep


XIV

AUDIOVISUEL

2010 2011 2010 2011 2010 2011 Ventes et prestations 194,4 208,2 737,3 735,5 931,7 929,5 - Chiffres d’affaires 188,0 202,4 724,7 710,0 912,7 899,5 - Autres produits d’exploitation 6,4 5,7 12,6 25,6 19,0 30,0

Coût des ventes et des prestations -162,5 -181,9 -668,1 -654,5 -830,6 -822,1 - Approvisionnements/ marchandises -49,3 -57,7 -111,2 -125,7 -160,5 -183,3 - Services/ Biens divers -79,5 -85,6 -320,6 -301,2 -400,1 -372,7 - Rémunerations/charges sociales -29,8 -33,2 -191,9 -193,9 -221,7 -227,1 - Amortissements -5,0 -4,9 -34,5 -29,1 -39,5 -33,9 - Réductions de valeur -0,3 -0,2 0,8 -0,4 0,5 -0,6 - Provisions 2,0 0,3 -7,8 -1,9 -5,8 -1,6 - Autres charges d’exploitation -0,6 -0,7 -2,8 -2,2 -3,5 -2,9

Béné ce d’exploitation 31,9 26,3 69,2 81,0 101,2 107,3

Résultat nancier -4,0 -5,1 -34,0 -32,3 -38,0 -37,4 - Dont

Amortissement des écarts d’acquisitions -4,0 -5,1 -25,5 -25,5 -29,5 -30,6

Résultatexceptionnel 0,0 0,0 0,3 0,5 0,3 0,5

Béné ce de l ‘exerciceavant impôts 27,9 21,2 35,6 49,2 63,5 70,4 - Impôts actuels -10,8 -8,1 -13,9 -9,9 -24,7 -18,0 - Impôts différés -0,7 -4,4 -11,5 -4,4 -12,2

Béné ce de l’éxercice après impôts 17,1 12,4 17,3 27,7 34,4 40,1

Part des entreprisesmises en équivalence, -0,1 0,0 0,1 0,1 0,1 0,1

Part des tiers 0,0 0,0 -0,1 -0,1 -0,1 -0,1

Béné ce consolidé,part du groupe 17,0 12,4 17,3 27,7 34,4 40,1

EDITION TOTAL DE PERSGROEP

CHIFFRES CLÉS ET COMPTE DE RÉSULTATS (en mio €)


XV

L’EBITDA a reculé d’à peine 2 % mais du faitde la diminution des amortissements, l’EBIT a augmenté pour s’établir à 107 millions d’euros.

150

120

90

60

30

0 2007 2008 2009 2010 2011

EbitdaEbita

Bénéfi ce net courantBénéfi ce net

EVOLUTION DES RÉSULTATS (en mio €)

150

120

90

60

30

0

VENTILATION DU RÉSULTAT NET COURANT(EN MIO €)

2007 2008 2009 2010 2011

Activités d’édition Activités d’éditionAudiovisuel AudiovisuelTotal Total

150

120

90

60

30

0

VENTILATION EBITDA(EN MIO €)

2007 2008 2009 2010 2011


XIV

AUDIOVISUEL

2010 2011 2010 2011 2010 2011 Ventes et prestations 194,4 208,2 737,3 735,5 931,7 929,5 - Chiffres d’affaires 188,0 202,4 724,7 710,0 912,7 899,5 - Autres produits d’exploitation 6,4 5,7 12,6 25,6 19,0 30,0

Coût des ventes et des prestations -162,5 -181,9 -668,1 -654,5 -830,6 -822,1 - Approvisionnements/ marchandises -49,3 -57,7 -111,2 -125,7 -160,5 -183,3 - Services/ Biens divers -79,5 -85,6 -320,6 -301,2 -400,1 -372,7 - Rémunerations/charges sociales -29,8 -33,2 -191,9 -193,9 -221,7 -227,1 - Amortissements -5,0 -4,9 -34,5 -29,1 -39,5 -33,9 - Réductions de valeur -0,3 -0,2 0,8 -0,4 0,5 -0,6 - Provisions 2,0 0,3 -7,8 -1,9 -5,8 -1,6 - Autres charges d’exploitation -0,6 -0,7 -2,8 -2,2 -3,5 -2,9

Béné ce d’exploitation 31,9 26,3 69,2 81,0 101,2 107,3

Résultat nancier -4,0 -5,1 -34,0 -32,3 -38,0 -37,4 - Dont

Amortissement des écarts d’acquisitions -4,0 -5,1 -25,5 -25,5 -29,5 -30,6

Résultatexceptionnel 0,0 0,0 0,3 0,5 0,3 0,5

Béné ce de l ‘exerciceavant impôts 27,9 21,2 35,6 49,2 63,5 70,4 - Impôts actuels -10,8 -8,1 -13,9 -9,9 -24,7 -18,0 - Impôts différés -0,7 -4,4 -11,5 -4,4 -12,2

Béné ce de l’éxercice après impôts 17,1 12,4 17,3 27,7 34,4 40,1

Part des entreprisesmises en équivalence, -0,1 0,0 0,1 0,1 0,1 0,1

Part des tiers 0,0 0,0 -0,1 -0,1 -0,1 -0,1

Béné ce consolidé,part du groupe 17,0 12,4 17,3 27,7 34,4 40,1

EDITION TOTAL DE PERSGROEP

CHIFFRES CLÉS ET COMPTE DE RÉSULTATS (en mio €)


XVI

Béné ce d’exploitation 107,3 - Amortissements et réductions de valeur sur frais

d’établissement, sur immobilisations corporelles et incorporelles 33,9 - Réductions de valeur sur stocks, sur commandes en cours

d’exécution et sur créances commerciales 0,6 - Provisions pour risques et charges 1.6

Cash- ow opérationnel 143,4 - Variation des stocks 3,2 - Variation des créances à long terme 0,3 - Variation des créances à court terme 2,3 - Variation des dettes opérationnelles 11,8 - Variation des comptes de régularisation -12.0

Variation du besoin en fonds de roulement 5,5

Flux de trésorerie par les activitésd’exploitation des entreprises consolidées 148,9 - Produits nanciers reçus 2,2 - Charges nancières payées -5,7

Résultats nanciers -3,5

Flux de trésorerie opérationnel avant impôts 145,4

VII Produits exceptionnels 18,3VIII Charges exceptionnelles -17,8

Amortissements et réductions de valeur exceptionnels,et mouvement des provisions exceptionnelles -17,8

X. Impôts -30,3XI. Prélèvement sur et transfert aux impôts différés 12,2

TABLEAU DE FLUX TRÉSORERIE CONSOLIDÉ (en millions €)

La diminution des amortissementsva se poursuivre en raison de l’absenced’investissements importants prévus dans du matériel ou des bâtiments au cours desprochaines années.


XVII

Résultat exceptionnel et impôts -35,4

Flux de trésorerie opérationnel après impôts 110,1

Immobilisations nancières -0,2Le résultat mise en équivalence 0,09

Investissements nets en immobilisations -22

Flux de trésorerie affecté aux opérations d’investissement -22,1

Nouveaux emprunts 0Remboursements d’emprunts -24,9Dividendes versés -20,1

Flux de trésorerie provenant des opérations de nancement -45,0

Flux de trésorerie 42,9

Placement de trésorerie 66,7Valeurs disponibles 48,5

Position de trésorerie en n de période 115,2Position de trésorerie en début de période 72,3

Variation 42,9



XVI

Béné ce d’exploitation 107,3 - Amortissements et réductions de valeur sur frais

d’établissement, sur immobilisations corporelles et incorporelles 33,9 - Réductions de valeur sur stocks, sur commandes en cours

d’exécution et sur créances commerciales 0,6 - Provisions pour risques et charges 1.6

Cash- ow opérationnel 143,4 - Variation des stocks 3,2 - Variation des créances à long terme 0,3 - Variation des créances à court terme 2,3 - Variation des dettes opérationnelles 11,8 - Variation des comptes de régularisation -12.0

Variation du besoin en fonds de roulement 5,5

Flux de trésorerie par les activitésd’exploitation des entreprises consolidées 148,9 - Produits nanciers reçus 2,2 - Charges nancières payées -5,7

Résultats nanciers -3,5

Flux de trésorerie opérationnel avant impôts 145,4

VII Produits exceptionnels 18,3VIII Charges exceptionnelles -17,8

Amortissements et réductions de valeur exceptionnels,et mouvement des provisions exceptionnelles -17,8

X. Impôts -30,3XI. Prélèvement sur et transfert aux impôts différés 12,2


La diminution des amortissementsva se poursuivre en raison de l’absenced’investissements importants prévus dans du matériel ou des bâtiments au cours desprochaines années.


XVIII

150

120

90

60

30

0

-30

-60

-90

-120

-150

ExplotationInvestissement

FinancementsCash fl ow net

2007 2008 2009 2010 2011

EVOLUTION DES FLUX DE TRÉSORERIE (en mio €)


XIX

VOUS POUVEZ TÉLÉCHARGER L’INTÉGRALITÉ DES COMPTES ANNUELSSUR LE SITE WWW.PERSGROEP.BE

« Depuis la mi 2011, De Persgroep n’a plus aucune dette nancière, peut s’enorgeuillird’ un bilan sain et est bien armé pour aborder le futur »Piet Vroman, CFO De Persgroep


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ExplotationInvestissement

FinancementsCash fl ow net

2007 2008 2009 2010 2011

EVOLUTION DES FLUX DE TRÉSORERIE (en mio €)


VtmKzoom a fortement investi dans une approche locale.

Et ceci a été pro table aussi bien aux spectateurs qu’aux

annonceurs. En 2012, les investissements se poursuivront

et de nombreux nouveaux programmes (3D) inédits seront

lancés tandis que la première édition du festival de musique

vtmKzoom Pop se tiendra dans le Lotto Arena d’Anvers.


TÊTE - DPG Media Group...Grobben (pag. 12), Gijs Wijnant (pag. 15), Martine Maelschalck & Isabel...

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