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La hausse des prix

A L’ESPRITUne étude réalisée parING démontre à nouveaula confiance des Belgesdans la brique. Confiancequ’ils placent aussi dans...la hausse des prix.

p.2

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PortraitP.3Marc Jelensperger (BientôtVendu) lance les premiersTrophées de l’immobilier.

Rendez-vous surWWW.LOGIC-IMMO.BE

UrbanismeP.4

Les Brasseries d’Ixelles :46 logements enintérieur d’îlot à Flagey.

DossierPP. 6-7

Le salon Bisbeurss’ouvre le 5 octobreà Gand. Explications.

AnnoncesPP.8-20

Dans ce supplément,13 pages pour trouverle bien de votre choix.

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Supplément à La Libre Belgique - N°208 - Semaine du 3 au 9 octobre 2013

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2 EN VUE SEMAINE DU 3 AU 9 OCTOBRE 2013 LIBRE IMMO

En chiffres

PRIX DU JURYLe projet “Eco-Life” Venning, à Courtrai, a remporté le prix du jury du2020 Challenge, un concours organisé dans le cadre du HVAC 2013, le

salon professionnel pour les technologies innovantes en matière deprestations énergétiques, de climatisation intérieure et techniquesd’installation. Le projet courtraisien, subsidié par un programme

européen de subventions en faveur de la construction durable, est celuid’un quartier neutre en CO²et zéro énergie. Développé par la société

Goedkope Woning, “Eco-Life” Venning est le fruit du travail de Buro II etArchi + I. Les deux bureaux d’architectes ont œuvré à transformer unquartier social en un quartier durable, non seulement par l’usage des

matériaux, mais aussi en se penchant sur le comportement des habitants.Un effort particulièrement apprécié par le jury du 2020 Challenge. ©

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Le Belge mise surdes prix en hausse

Une étude d’ING conclut que le Belge atoujours confiance dans la brique, croit à une

hausse des prix et rêve d’une belle maison.

UNE ÉTUDE SUR LES GENSet leur habitat, menée parING dans 12 pays en Europe,démontre qu’environ la moi­tié des 1 000 Belges interro­gés (57 %) s’attendent à voirles prix de l’immobilier con­tinuer d’augmenter dans lesprochains mois dans la ré­gion où ils résident. C’est unpeu moins que l’an dernier(61 %).

Cette opinion est surtoutprésente à Bruxelles, alorsqu’elle est en baisse dans lespays européens où la correc­tion des prix sur le marchéimmobilier a commencé il ya plusieurs trimestres, indi­que ING. “Ceci illustre, compa­rativement à d’autres Euro­péens, la confiance des Belgesdans le marché immobilier.Seuls 11 % s’attendent à desbaisses de prix dans l’année àvenir. Pour 32 % des répon­dants, les douze prochainsmois s’annoncent au mieuxstables, sinon incertains. Il estvrai que la hausse des prix enBelgique depuis 2008, même sielle est un cas presque uniqueen Europe, est à peine supé­rieure à l’inflation sur la mêmepériode, et que, sur le marchédes maisons, certains prix ontbaissé en 2012.”

ING s’attend toutefois à ceque la tendance change peut­être l’an prochain, car lestaux sur les crédits hypothé­caires pourraient remonterlégèrement. D’où une limita­tion de la capacité d’em­prunt, alors que près d’unBelge sur quatre (22 %) dé­clare avoir des difficultés à

payer ses mensualités deremboursement ou sonloyer. Un problème qui tou­che cependant plus d’autrespays européens, comme l’Es­pagne ou l’Italie.

Par ailleurs, l’enquête sou­ligne encore une fois que leBelge a une brique dans leventre et accorde énormé­ment d’importance à acqué­rir le logement de ses rêves.Ainsi, pour 81 % d’entre eux,“habiter la maison de leurrêve” est important, voiretrès important, contre unpeu plus de 50 % des répon­dants en Allemagne et enAutriche ou 59 % aux Pays­Bas. Il semble que cette pré­férence soit partagée par lespays latins : en France, en Ita­lie et en Espagne, plus de75 % des répondants y atta­chent de l’importance.

Une “maison de rêve” ma­joritairement définie commeune 4­façades pour laquellede nombreux acheteurs sontprêts à s’endetter. Un quartdes Belges estiment, en effet,qu’il vaut mieux contracterle plus gros emprunt hypo­thécaire possible pour s’of­frir la meilleure maison. Unetendance qu’on retrouveégalement en France. Celas’expliquerait, selon ING, parle fait que les Belges sont plusémotionnels dans leur achatde maison. Cet aspect émo­tionnel explique peut­êtreégalement le fait que le Belgeest prêt à faire des temps detrajets domicile­travail assezlongs pour habiter dans lamaison de ses rêves. (Belga)

50%INDÉCISA la suite des élections de 2014, la déductionfiscale sur le crédit hypothécaire (anciennementappelée “épargne-logement”) sera définitivementrégionalisée. Ne sachant toujours pas à quoi s’entenir, nombre de candidats-constructeurs etrénovateurs préfèrent mettre leur projet enattente. C’est ce que démontre, en effet, uneenquête orchestrée par Batibouw auprès de plusde 3 300 Belges. Plus de 50 % des répondants,ayant un projet de construction concret,affirment ainsi que l’éventuelle réforme du bonuslogement menace directement leur projet deconstruction. Tandis que plus de 30 % d’entreeux ont choisi de le postposer.

6,8%DEMANDES DE CRÉDITEn août dernier, le nombre de demandes decrédit a diminué de 6,8 % par rapport àaoût 2012, indique le baromètre du crédithypothécaire de l’Union professionnelle du crédit(UPC). Le montant de ces demandes de crédit aégalement diminué de 6,4 %. Pour leur part, lescrédits octroyés ont aussi noté un fléchissementpar rapport à l’année précédente, et ce, tant ennombre (13 %) qu’en montant (10,9 %).

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2 EN VUE SEMAINE DU 3 AU 9 OCTOBRE 2013 LIBRE IMMO 3EN VUEPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE

Peu de logementsadaptés aux seniorsLe domicile de deux Belgessur trois est inadapté etne pourra les voir vieillir…

LE 1ER OCTOBRE A ÉTÉ DÉCRÉTÉ, il y a 23ans déjà, Journée internationale des per­sonnes âgées. A cette occasion, et à la de­mande de la société Somfy Projects (*), lebureau d’études de marché iVox a réaliséune enquête auprès de 1 000 Belges. Cel­le­ci met notamment en lumière leurs pré­occupations et desiderata en matière de lo­gement. Dont on peut tirer, ici, quelqueschiffres.

D’emblée, Somfy Projects relève que“deux tiers des Belges (68 %) se disentaujourd’hui préoccupés par leur avenir entant que personnes dépendantes. Leurs sujetsde préoccupation ? L’impact financier, l’auto­nomie, la disponibilité de places dans les cen­tres de soins et maisons de repos… Rien d’éton­nant, par conséquent, à ce que le Belge préfèrecontinuer à vivre dans sa propre habitation(76 %)”. Avec ou sans l’aide de qui que cesoit, professionnel ou famille.

Or, poursuit Somfy, “l’habitation de plus dedeux tiers des Belges (67 %) ne remplit pas lesconditions nécessaires pour des prestations desoins confortables et une vie indépendante”.C’est du moins ce que jugent les personnesinterrogées.

Il s’avère également qu’une habitationinadaptée demeure un réel problème pourun Belge sur deux qui a déjà fait l’expé­rience de soins à domicile. Ils sont soit con­traints de procéder à quelques petitesadaptations, comme, par exemple, revoirl’agencement des espaces ou installer unascenseur (41 %), soit de se lancer dans desérieux aménagements tels que des travauxde maçonnerie et de démolition (6 %).

Dans certains cas (20 %), indique encorel’enquête, l’habitation ne saurait conveniraux besoins, même en procédant à desaménagements. Ce dernier groupe de Bel­ges considère, dès lors, qu’une résidence­services – une maison de repos, un centrede soins, voire un foyer logement – pourraitêtre la solution. Même si elle n’est idéaleque pour 5,3 % des personnes interrogées.

U (*) Un département de Somfy, leader sur lemarché des moteurs électriques, commandes etcapteurs, lui­même spécialisé dans les systèmesde pilotage destiné aumarché résidentiel etutilitaire de type hôpitaux, résidences­services,maisons de repos, écoles, hôtels…

Question time

Avec le froid qui arrive, nous pensons installer une citerne àmazout chez nous. Y a-t-il des règles prévues en lamatière ?Il existe des règles qui diffèrent en fonction de la régionoù se situe la citerne et de sa capacité.Ainsi, en cas de vente ou d’achat d’un immeuble, il fautveiller à ce que le contrat de vente indique l’existenced’une citerne à mazout, si elle est utilisée ou hors ser­vice, l’endroit où elle se situe et sa capacité. Il est, en ef­fet, bon de savoir si la citerne est placée à l’air libre oudans un local (cave, garage…). De même, est­elle doncaccessible ou non, c’est­à­dire directement en terre oudans une fosse remblayée ? Existe­t­il une constructiondestinée à recueillir le combustible en cas de fuite (unencuvement) ?Il faut prévoir un “système anti­débordement” qui per­mettra à la personnequi remplit la cuve àmazout de sa­voir quand elle est pleine. Il existe un sifflet qui indiquequand la cuve est remplie à 95 %. Ce système est peucoûteux.Il est aussi utile de savoir si la cuve àmazout a une con­tenance de plus ou de moins de 3 000 litres, ou encorede plus de 10 000 litres. En fonction de ces différentscritères, les réglementations varient. Mieux vaut con­tacter l’administration communale pour connaître leséventuelles prescriptions locales.Dans certains cas, il faudra juste déclarer à l’administra­tion communale le placement d’un nouveau réservoir;dans d’autres cas, il faudra demander un permis. Bienentendu, il faudra effectuer des contrôles réguliers de saciterne.

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Des Trophées de l’immobilierVia Bientôt Vendu, sa société en ligne créée en 2011, Marc Jelensperger éditeun guide des agences immobilières. Le voilà qui se lance dans l’organisationdes Trophées de l’immobilier, décernés le 14 octobre prochain à Bruxelles.

FILS D’ARCHITECTE, Marc Jelens­perger, Français installé en Belgique,nourrit, enfant, le rêve de suivre lestraces de son père. Mais c’est aprèsdes études… d’ingénieur que lejeune homme débute sa carrièrechez le géant américain GeneralElectrics. “Quatre ans plus tard, jequitte la société à la recherche de pers­pectives plus entrepreneuriales.” Et dechoisir un chemin plus éloigné en­core de l’immobilier que le précé­dent : le secteur automobile. “J’aicréé un site d’annonces en ligne de voi­tures d’occasion en association avec le‘Journal de l’Automobile’, explique­t­il. C’était en 1999, en plein boom del’Internet”. Ensuite, un bref passagepar les bancs de l’INSEAD, à Singa­pour, le dote d’un MBA en 2005,“pour, enfin, arriver dans l’immobilier

en 2006”. Ou plutôt y retourner,puisque, ce faisant, il “réalise [son]souhait de toujours : être actif dans lemonde de l’architecture et de la cons­truction”. Ici encore, c’est une his­toire de famille. “J’ai rejoint la sociétéde promotion immobilière de moncousin, où j’ai travaillé pendant plusde quatre ans.”

Une expérience “enrichissante” quise clôt en 2011, lorsque Marc Jelens­perger prend la route de la Belgiqueet s’installe à Bruxelles. “J’ai alorscréé le portail Bientôt Vendu, qui ré­pond à la nécessité d’introduire de latransparence dans un secteur qui nel’est pas assez.” Déclinée en deux si­tes Internet, la société – française –s’adresse tant au grand public (bien­tot­vendu.com) qu’aux profession­nels (pro.bientot­vendu.com) etpropose un panel de services. “Unguide recensant quelque 900 agencesimmobilières belges (pour environ

5 000 françaises, NdlR) permet tantaux candidats­vendeurs ou bailleursde trouver l’agence qui correspond lemieux à leurs attentes, qu’aux cour­tiers de recommander un confrèrepour un mandat de vente hors de leursecteur, par exemple.” A cela s’ajou­tent des informations, des conseilset divers outils. “J’envoie par ailleursune newsletter présentant chaque se­maine une agence en particulier.”

C’est cette “lettre des agents” quiincite Marc Jelensperger à mettresur pied les Trophées de l’immobi­lier, au début de cette année. “Jetrouvais important de mettre à l’hon­neur les courtiers qui offrent une réellevaleur ajoutée à leur clientèle.” Ni uneni deux, le voilà lancé dans les pré­paratifs. Sur 120 candidatures, 14profils sont retenus et validés parl’IPI (Institut professionnel desagents immobiliers), en attented’être jugés, le 9 octobre prochain,

selon trois catégories : l’agence avecvitrine de l’année, l’agence à bu­reaux fermés de l’année et le prix del’innovation. La remise des tro­phées, à laquelle toutes les agencesimmobilières peuvent participer, estprévue le 14 octobre à Bruxelles.

“L’année prochaine, j’organiserai lesTrophées en France”, annonce­t­ilencore. Car la Belgique a désormaisla primeur de tout ce que BientôtVendu entreprend. “Le marché belgea l’avantage d’être facilement appré­hendable, de bénéficier d’un accès aiséaux décideurs, de regrouper des cour­tiers plus ouverts à l’évolution du mé­tier que leurs homologues français,mais aussi, et surtout, de pouvoir axerla compétition sur la qualité des servi­ces rendus plutôt que sur leur prix.” EnFrance, en effet, les commissions desagences s’échelonnent entre 1 et10 %, contre 3 % en moyenne ici.

Frédérique Masquelier

D.R.

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4 URBANISME SEMAINE DU 3 AU 9 OCTOBRE 2013 LIBRE IMMO

De brasseur à promoteurLes Brasseries d’Ixelles regroupent

46 logements en intérieur d’îloten plein cœur du quartier Flagey.

Visite Frédérique Masquelier

C’EST BIEN CONNU, franchir l’entrée d’un inté­rieur d’îlot s’accompagne généralement d’une im­pression de quiétude et de sérénité qui contraste,extra­muros, avec l’agitation de la ville. Dans le casde l’ensemble résidentiel des Brasseries d’Ixelles,situé chaussée de Vleurgat 80­82 et présenté à lapresse la semaine passée, plus encore que le calme,c’est surtout… l’espace qui marque les esprits. Carle projet de rénovation­reconstruction de11,5 millions d’euros porté par le trio formé parLouis de Beauvoir (Urbinvest), Gauthier Ducarme(Trium Development) et Philippe le Hodey (Stra­tel) s’inscrit sur près d’un hectare de terrain.

“Nous ne le savions pas au départ, mais, de 1872 à1956, le site a accueilli les Grandes Brasseries d’Ixel­les, exploitées par Jean Lannoy et, à sa mort, par sestrois fils, explique Philippe le Hodey. A l’époque, leslimites de la brasserie s’étendaient jusqu’aux étangsd’Ixelles.” La fin des activités brassicoles s’accom­pagne de la destruction des bâtiments industriels.Et, la même année, de l’arrivée de la Croix­Rougede Belgique, qui y installe ses services ambulan­ciers, ses services de secours et d’intervention etses prêts de matériel sanitaire. “Lorsque nous avonsacheté le terrain, en 2004, 80 % de sa superficie étaitconstruite, intervient Louis de Beauvoir. Il y avaitdes hangars, des parkings en dur et des espaces de bu­reaux installés dans sept immeubles et maisons parti­culières à front de rue, totalisant ensemble une cen­taine de mètres de façade.”

Les trois promoteurs pensent alors réaliser quel­que 12 000 m² de logements, déclinés en environ5 000 m² côté rue et 7 000 m² en intérieur d’îlot,accessibles par une unique entrée – “nous avonsdéposé deux demandes de permis distinctes pour lesdeux zones.” Mais quand ils lancent leur projet,une fois les permis délivrés, le marché immobilierflanche sous les assauts de la crise financière de2008. “Etant donné les circonstances, il a fallu nousséparer d’une partie de la propriété, poursuit Louisde Beauvoir. Nous avons donc vendu les sept immeu­bles à rue avec leur permis à des promoteurs et despropriétaires­occupants, qui ont fait des travaux

d’aménagement de leur côté.” L’un d’entre eux, AreaReal Estate, a notamment choisi la démolition­re­construction, en suivant des plans dessinés par lecélèbre architecte français Jean Nouvel.

Des maisons unifamiliales et un esprit “village”Désormais resserré autour des 7 000 m² res­

tants, le projet Brasseries d’Ixelles suit son cours.Au programme : 46 unités de logement d’une àcinq chambres, soit 27 appartements et 19 mai­sons unifamiliales, avec terrasse pour les premierset jardin pour les secondes. “Les tailles varient de82­84 m² pour une maison 2­chambres à 220 m²pour une 5­chambres, précise Louis de Beauvoir.Les appartements fluctuent également en superficie(le plus grand atteint les 500 m², NdlR), afin quetous les publics s’y retrouvent, des célibataires aux fa­milles nombreuses.” Seul le prix reste le même :4 000 euros/m² hors TVA.

“Nous avons livré les logements fin de l’année der­nière, après 30 mois de chantier, retrace encore lepatron d’Urbinvest. Tout a été écoulé beaucoup plus

vite que ce que nous avions prévu !” Subsiste à lavente, en effet, la seule maison­témoin, de quel­que 150 m² pour quatre chambres.

Beauvoir Architecture, le bureau d’architectesen charge du chantier, a pris le parti de l’unifor­mité, fondant la rénovation du bâtiment “A” et duloft, pré­existants, et la construction des autresédifices dans un même style architectural exté­rieur. “Ceci pour une impression de calme chère à nosyeux”, souligne Louis de Beauvoir. A l’intérieur dubâtiment “A”, par exemple, les rares parties histo­riques encore en place et sauvegardées pour leurqualité architecturale s’inscrivent dans les nouvel­les installations : les voûtes de certains plafonds etune série d’anciens murs en brique sont visiblesdepuis le parking (de 123 places) jusqu’aux étages;idem pour les colonnades en fonte; tandis que lastructure originelle en béton est laissée apparenteçà et là dans les appartements.

Les autres ensembles résidentiels, neufs, s’épar­pillent autour d’une cour, d’une courte ruelle etd’une placette, à l’ombre d’un hêtre pourpreclassé. L’ensemble est piétonnier et appartient à lacopropriété. “Le matin et le soir, on voit tous les rési­dents partir et rentrer en vélo, le moyen de circula­tion le plus utilisé dans le voisinage’, raconte Louisde Beauvoir, qui a acheté une des unifamilialespour y vivre personnellement. Dès 16 heures, il y aen permanence une vingtaine d’enfants qui jouentdevant les maisons, et vont librement chez les uns etles autres.” Et de qualifier le site et ses résidents depetite “société urbaine, où il fait bon vivre”.

Une petite société résolument cosmopolite. Sansgrand étonnement en effet au vu des prix prati­qués mais aussi de la situation idéale du complexe,à une encablure des étangs d’Ixelles, de l’avenueLouise et de la place Flagey, les résidents, compo­sés pour moitié de propriétaires­occupants, pourmoitié de locataires, sont majoritairement… inter­nationaux. “Quasiment chaque foyer présente unedouble nationalité, observe Louis de Beauvoir. Il y apeu de Belges, j’en compte peut­être quatre foyers.”

Présente lors de la visite de presse, Nathalie Gil­son, échevine de l’urbanisme d’Ixelles, n’a pasmanqué de souligner “l’exemplarité” de cette ré­novation urbaine. “Dès sa première présentation, leprojet m’a semblé répondre aux attentes des pouvoirspublics en termes d’urbanisme, à savoir la création delogements diversifiés, la sauvegarde du bâti histori­que ou encore la préservation du patrimoine natu­rel.” Et de se féliciter d’autres projets en cours dansle quartier, faisant suite à celui des Brasseries.

Les immeubles à appartements et lesmaisons unifamiliales se mélangent enintérieur d’îlot. Ci-dessous : le bâtiment “A”après rénovation, et une vue plongeanteprise depuis celui-ci.

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4 URBANISME SEMAINE DU 3 AU 9 OCTOBRE 2013 LIBRE IMMO 5MARCHÉPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE

Villa | LennikLe 31 mai dernier, une villa de type bungalow,située Brouwerijstraat n°10, à Lennik (Sint-Martens-Lennik), a changé de mains pour lasomme de 310 000€ après en avoir atteint306 200€ lors d’une première séance devente avec faculté de surenchère.Elle se compose d’un hall, d’un salon, d’unecuisine, d’une salle de bains et de quatrechambres. Equipement : chauffage au mazout(attestation de conformité de la cuve à mazoutjusqu’en 2016).Consommation énergétique : 511 kWh/m²/an.Superficie totale : 12 a et 29 ca.Revenu cadastral : 1 294€.UVente réalisée par CarineWalravens,notaire à Schepdaal.

310 000€

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Appartement |SchaerbeekLe 25 juillet dernier, trois lots, composés d’unappartement 3-chambres, d’un studioindépendant et de deux garages situés rueEugène Plasky, n°147, à Schaerbeek (Bruxelles),ont trouvé acquéreur à 420 000 €. Tous troisavaient été adjugés à 356 200€ lors d’uneprécédente séance avec faculté de surenchère.L’appartement s’inscrit au 1er étage del’immeuble, le studio au rez-de-chaussée et lesdeux garages à l’arrière. Le studio et l’un desgarages étaient loués au moment de la vente.Superficie totale non communiquée.Revenu cadastral : 1 809€.UVente réalisée par les notaires Joël Tondeur(Bastogne) et Yves BehetsWydemans (Bruxelles).

420 000€

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Rez commercial | LaekenLe 11 juin dernier, un rez-de-chausséecommercial, sis le long du boulevard EmileBockstael (n°365), à Laeken (Bruxelles), a étéadjugé en vente publique à 84 000€.Soit plus du double de la somme précédemmentobtenue lors d’une séance avec faculté desurenchère : 34 100€. Le lot comprend, au rez-de-chaussée, le magasin, un bureau, le stock etune cuisine; ainsi que, au sous-sol, deux caves.Le bien est en infraction urbanistique.Il était loué au moment de la vente.Superficie totale : 1 a et 57 ca.Revenu cadastral : 1 388€.UVente réalisée par Erik Struyf, notaire àBruxelles (1020).

84 000€

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Libre Immo - Supplément hebdomadaire à La Libre Belgique. Coordination rédactionnelle: Frédérique Masquelier. - 02/211.28.28 - frederique.masquelier@lalibre.be Illustrations: EtienneScholasse. Réalisation: IPM Press Print. Administrateur délégué - éditeur responsable: François le Hodey. Directeur général: Denis Pierrard. Rédacteur en chef: Francis Van de Woestyne.Conception graphique: Bruno Bausier et Jean-Pierre Lambert (responsable graphique). Publicité: Véronique Le Clercq - +322/211.27.64 - vero.leclercq@ipmimmo.be

En bref

InnovationsA la veille de ses 40 ans, la SDRB,Société de développement de laRégion de Bruxelles-Capitale,devient citydev.brussels (“dev”étant une abréviation du termeanglais “development”) et se doted’un nouveau logo en ligne avec lecity marketing régional. Unenouveauté de plus cette année, quis’ajoute à la dotation de sonpremier contrat de gestion depuissa création en 1974; et lanomination d’un nouveladministrateur général,Benjamin Cadranel.

FréquentationAu total, 21 000 visiteurs ontfranchi les portes du salon Batireno,qui se tenait à Namur du 19 au 29/9derniers. “C’est un peu moins que lamoyenne habituelle des 23 000personnes, note Daniel Tambour,l’organisateur du salon,mais noussommes quand même satisfaits et lesexposants également.” (Belga)

LégislationLa Commission Justice de laChambre vient d’approuver uneproposition de loi visant à protégerles comptes des tiers des avocats,des huissiers et des notairesd’éventuels créanciers. Comme letexte le prévoyait initialement,cette législation ne s’appliquera pasaux agents immobiliers, déplorel’IPI, l’Institut professionnel desagents immobiliers. Qui tient àrassurer le consommateur : lecompte de tiers des agents estprotégé par l’assurance de garantieet cautionnement à laquellesouscrit tout courtier agréé IPI.

ConférencesLa Fédération royale du notariatbelge organise une série deconférences à destination du grandpublic sur le thème “Bien acheter,bien vendre”. “Depuis quelquesannées, les obligations des vendeursse sont considérablement alourdies,indiquent les notaires. Quant àl’acheteur, pour éviter toutes

mauvaises surprises, il doit êtreprudent en cas de signature dedocuments.” Pour que chaquetransaction immobilière se fasse entoute sérénité, la Fédération convieles candidats-vendeurs etacquéreurs le 15/9 à 18 heures danstoutes les maisons du notariat deBruxelles et de Wallonie. Lesconférences seront suivies d’uneséance de questions/réponses.La participation est gratuite, maisla réservation est obligatoire.

Nouveau permisLe gouvernement bruxellois adélivré à la SCRL Cité Moderne lepermis d’urbanisme qui vise àrénover l’immeuble situé rue duGrand Air à Berchem-Sainte-Agatheet à y aménager 16 appartements.Le bâtiment, qui constitue uneréalisation majeure de l’architectemoderniste Victor Bourgeois, étaitvide depuis une quinzaine d’annéesen raison de nombreuses difficultésd’ordre administratif. Les logementsne correspondaient plus auxnormes de confort et d’habitabilité

actuelle et le bâtiment restait doncen attente d’une rénovationprofonde.

Aides à la propriétéLe ministre wallon du Logement,Jean-Marc Nollet, et lesresponsables de la Société wallonnedu crédit social (SWCS) et du Fondsdu logement de Wallonie (FLW) ontsigné les nouveaux plans de gestion2013-2018 de ces derniers. Ilsencadreront dans la continuité letravail des deux institutions aucours des prochaines années avectoutefois l’ajout de quelquesobjectifs. A la SWCS, il est demandéde développer des nouvelles formesd’accès à la propriété, de trouverdes financements alternatifs à ceuxofferts par le secteur bancaireclassique et d’imaginer dessynergies avec les acteurs dulogement. Au cours des cinqprochaines années, le FLW a prévunotamment d’engager dans sesprogrammes de prêts hypothécairesplus de 700 millions d’euros.(Belga)

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6 DOSSIER SEMAINE DU 3 AU 9 OCTOBRE 2013 LIBRE IMMO

Bisbeurs, le grand rendez-vous de la brique flamande

Pas moins de 80 000 personnessont attendues, du 5 au 13 octobre

au Flanders Expo de Gand, pourla 25e édition du salon Bis.

Une foire de la brique quiressemble à Batibouw, mais

qui est pourtant bien différente.

ON LE QUALIFIE DE “BATIBOUW FLAMAND”.Pour son créateur, Bob Christiaens, la Bisbeurs (Bispour Bouw­ en Immo Salon), qui se tient au Flan­ders Expo (Gand) du 5 au 13 octobre prochain, esttrès différente de son grand frère Batibouw.

Certes, tous deux sont des salons du bâtiment,de la construction et de la rénovation. L’un a étélancé en 1959, l’autre fête cette année son 25e an­niversaire. C’était donc en 1989, “l’année de lachute du mur de Berlin et de la place Tian’anmen”, sesouvient Bob Christiaens, Groupe exhibition ma­nager building du groupe Artexis, qui a racheté Bisen 2008.

“Il y a 25 ans, on ne parlait pas de normes énergéti­ques en Belgique, poursuit­il, et il n’y avait que 9 éo­liennes plantées en Flandre. Le salon Bis s’étendaitalors sur 3 halls du Flanders Expo et rassemblait 260exposants. Aujourd’hui, en 2013, il y a 240 éoliennes

en Flandre, on est passé à la norme K 40 en matièreénergétique et le passif est en plein dans l’actualité.Bis réunit plus de 500 exposants dans 8 halls. Et ac­cueille environ 80 000 visiteurs. Alors que Batibouwa atteint sa vitesse de croisière, Bis continue à monteren termes de visiteurs. Il n’est pas encore arrivé au

maximum”.C’est une différence entre les deux grands salons

que relève Bob Christiaens. Mais il en est d’autres.“Les exposants de Bis sont moins des marques que desentrepreneurs et des représentants. Ils peuvent doncdirectement donner leur avis et des prix, alors qu’àBatibouw, de manière générale en tous les cas, l’expo­sant renvoie aux représentants locaux.”

Circuit obligatoireAutre différence, Bis impose un itinéraire obliga­

toire; un peu à l’image d’un Ikea qui emmène sesvisiteurs de salons en salles à manger, chambres,bureaux, salles de bains, cuisine… “Quel que soit lehall dans lequel les exposants sont placés, expliqueBob Christiaens, ils ont tous 95 % de chance que lesvisiteurs passent devant leur stand. Tout le monde vadans le même sens. Personne ne fait vraiment marchearrière. Et rares sont ceux qui prennent des raccour­cis.” Même si ceux­ci existent bien sûr, pour les vi­siteurs qui ont un objectif très précis, qui ciblentles quelques exposants qu’ils désirent voir, ou en­core, qui ont peu de temps.

Les exposants sont donc mélangés et pas,comme à Batibouw, répartis par thématiques (cui­sines, sanitaire, chauffage…). “Il y a 5 ans, on a de­mandé à nos exposants s’ils voulaient se regrouper. Ettous ont refusé. Par peur de la concurrence, peut­être,mais aussi parce qu’ils trouvent que c’est plus dyna­mique. On est dès lors très attentifs à ne pas placerdeux concurrents côte à côte. Car c’est le mélange quidonne satisfaction aux visiteurs.”

La Bisbeurs mêleconstruction et immobilier.L’occasion d’y dénicher unappartement neuf, sur lacôte ou ailleurs.

ARTEXIS

“Pour qui cherche à achetersur la Côte, Bis estincontournable.”BOB CHRISTIAENSLe fondateur de Bis est, aujourd’hui, Groupexhibition manager building d’Artexis. Avec sonéquipe de 5 personnes, il gère les salons Bis(Gand), Bois&Habitat (Namur), Hout&Habitat(Anvers) et le tout nouveau Tips&Tricks (Anvers).

D.R.

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Bisbeurs, le grand rendez-vous de la brique flamandeSi Bis est “construction”, il est aussi “immobi­

lier”. “Quelqu’un qui veut louer, acheter ou vendre unterrain ou un bien est bienvenu à Bis, précise encoreBob Christiaens. Nous avons une quarantaine d’ex­posants dans ce domaine. On a même une section‘kust@Bis’ réunissant une dizaine de promoteurs cô­tiers qui présentent ce qu’ils ont construit et ce qu’ilsvont construire. Pour qui cherche à acheter sur laCôte, Bis est incontournable”.

De l’immobilier mais pas de bricolagePar contre, et à l’inverse de Batibouw, Bis n’a pas

de section “bricolage” et “do­it­yourself”. Parcequ’il reçoit depuis l’origine l’aide de la Confédéra­tion Construction flamande (et qu’il n’est pasquestion de faire concurrence à ses membres, en­trepreneurs professionnels), mais aussi parce quemélanger les deux semblait à Bob Christiaens in­congru. D’ailleurs, pour les bricoleurs, il a imaginéun autre salon, Tips&Tricks, qui se tiendra enmarge de Hout&Habitat (21­24 novembre), à l’in­tention de tous ceux qui veulent faire des travauxd’importance chez eux. “Mais le conseil pratique estbel et bien présent à Bis. Et c’est assez unique. Depuis5 ans, on choisit des sociétés – 8, en l’occurrence – quiont pour rôle de donner des conseils et avis dans di­verses matières. Les visiteurs peuvent donc les inter­

roger sur les primes, les architectes, les jardins, la do­motique, les pompes à chaleur… C’est gratuit. Les visi­teurs doivent toutefois s’inscrire au préalable. Ilsprofitent alors d’un tête­à­tête avec un spécialistependant 20 minutes. Les conseils sont donnés par desprofessionnels liés à des marques. Mais ils ne peuventpas faire de publicité pour leurs produits. On est trèsattentifs à ce sujet. On envoie d’ailleurs des vérifica­teurs anonymes pour s’assurer qu’il n’y a pas détour­nement du principe.”

“J’aime organiser la foire. La vente des stands estimportante, complète encore Bob Christiaens. Maisle plus important est de donner du contenu aux visi­teurs”. Bis organise donc, en marge de la foire pro­prement dite, des événements. Comme, parexemple, le concours d’architecture. “Cette année,ce sont les appartements qui sont mis à l’honneur. 54architectes ont participé. Trois ont été nominés. Lelauréat sera désigné pendant le salon.”

Certes, l’événement se passe en Flandre et estflamand. Inscrit à Gand, il est devenu tout à fait ré­gional. La moitié des visiteurs viennent de Flandreorientale, 23 % de la province d’Anvers, 20 % deFlandre occidentale, le solde provenant surtout duBrabant flamand. Mais peut­être séduira­t­il desWallons et Bruxellois francophones.

Charlotte Mikolajczak

Immo@bis. C’est dans le hall 5 duFlanders Expo qu’une quarantaine d’agentsimmobiliers, promoteurs et entreprises deconstruction en clé-sur-porte seront réunis.De quoi “avoir une bonne idée de ce que lemarché a à offrir”, indique l’organisateurdans son communiqué. “Les principaux sitesd’annonces immobilières y seront aussiprésents, de même que la CIB (Confédérationdes immobiliers de Belgique).”

Kust@Bis. Pour le seul immobilier côtier(de La Panne, voire de Dunkerque, auZoute), Bis consacre le palais 7.“Dans une véritable ambiance de bord demer, parapluies et bar compris, courtiers etpromoteurs présentent leurs nouveauxprojets”, ajoute l’organisateur. Ilscôtoieront, dans le même palais 7, lesdesigners et leurs productions sous le labelDesign@bis. De l’automatisation descuisines aux armoires et dressings, enpassant par les planchers, l’éclairage…

Le “i” de Bis

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10 SÉLECTION DELA SEMAINE

SEMAINE DU 3 AU 9 OCTOBRE 2013 LIBRE IMMO

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14 ANNONCES SEMAINE DU 3 AU 9 OCTOBRE 2013 LIBRE IMMO

à vendre

MAISONS250.000à500.000€

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à vendre

MAISONS>500.000€

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15ANNONCESPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE

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à vendre

MAISONSnonprécisé

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à vendre

APPARTEMENTS<250.000€

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à vendre

APPARTEMENTS250.000à500.000€

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16 ANNONCES SEMAINE DU 3 AU 9 OCTOBRE 2013 LIBRE IMMO

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à vendre

APPARTEMENTS>500.000€

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21-105096101-01

21-105096102-02

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21-105096113-13

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21-105111702-02

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21-105111204-04

à vendre

FLATS / STUDIOS

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à vendre

LOFTS

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VIAGER

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à louer

MAISONS

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18 ANNONCES SEMAINE DU 3 AU 9 OCTOBRE 2013 LIBRE IMMO

ventes par notaires

AUTRES PROVINCES

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21-104988801-01

à louer

APPARTEMENTS

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21-105067003-03

21-105112404-04

21-105067005-05

IMMEUBLESDE RAPPORT

21-105110807-07

21-105096120-20

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Le jeudi 17 octobre,“La Libre Immo” vous proposeun dossier thématique sur

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