LES CLERGUE DÕARLES Photographies de Lucien Clergue

LESCLERGUE DÕARLESPhotographies de Lucien Clerguedans les collections du musée Réattu5 juillet 2014 – 4 janvier 2015

DOSSIER DE PRESSEAvril 2014

Lucien Clergue, Née de la vague, 1968, hŽliogravure, Arles, musŽe RŽattu, don du photographe en 1980. © Clergue 2014

3

DOSSIER DE PRESSEAvril 2014 LES CLERGUE D’ARLES

Photographies de Lucien Clergue dans les collections du musée Réattu 5 juillet 2014 – 4 janvier 2015 Le musée Réattu est l’ un des lieux fondateurs d’ une discipline artistique aujourd’hu i emblématique et synonyme d’Arles : la photographie.C’ est à l’i nitiative de Lucien Clergue que cette institution, classiquement dédiée aux beaux-arts, doit la naissance du premier département de photographies dans un musée frança is. C’ était en 1965, depuis la collection n’ a cessée de grandir au rythme et à la faveur d’ un engagement sans faille au service d’ un médium contemporain dont Lucien Clergue reste l’ un des plus brillants ambassadeurs. Le noyau historique se compose de donations spontanément accordées par les grands photographes du moment, séduits par le projet de Lucien Clergue. Aujourd’hu i constitué de plus de 5000 numéros, ce fonds est inestimable tant par sa qualité que par sa pertinence historique.A l’ origine d’ une collection publique, mais aussi des Rencontres, comme de la création de l’É cole Nationale Supérieure de la Photographie, Lucien Clergue ira jusqu’ à imposer la photographie au monde universitaire soutenant une thè se d’ esthétique, tandis qu’ en apothéose, il préside en 2013 l’Académie des beaux-arts de l’ Institut de France. Les 360 photographies, héliogravures et documents qu’i l a choisi d’ offrir au musée Réattu, au gré des temps forts de sa carriè re, témoignent de ce parcours et font le sujet d’ une exposition qui célè bre tout à la fois l’ho mme, l’ œ uvre et l’hi stoire d’ une discipline artistique. Un hommage que la Ville et le musée célè brent à l’ occasion des 80 ans du photographe, sous le titre «L es Clergue d’Arles».

4

LES CLERGUE D’ ARLES5 juillet 2014 4 janvier 2015


1953, UNE ANNÉ E CLÉCette année-là , Lucien Clergue cherche sa voie en autodidacte sous l’i nfl uence de grands photographes du moment, tel Brassaï ou Edward Weston qu’ il désigne comme le photographe absolu . Découvrant l’ œ uvre de Weston en couverture du magazine Photo Monde, d’ octobre 1953, où le travail du photographe est présenté dans la rubrique «C réateurs d’ images», Lucien Clergue adhè re d’ emblée au parti pris d’ un art photographique au service d’ une création contemporaine dont le Nude de Weston devenait emblématique. Le choc esthétique de cette photographie, caractérisée par le dépouillement de la composition tout aussi graphique que sculpturale, légitime alors la dimension artistique de l’i mage. C’ est là le point d’ ancrage d’ une carriè re résolument engagée qui conduira Lucien Clergue à revendiquer et à promouvoir la photographie comme un art à part entiè re.Cette mê me année, la rencontre de Pablo

Picasso, à l’ occasion d’ une corrida, sera déterminante. Ce dieu vivant de l art , auquel il présente son travail, l’ encourage et fera découvrir ses photographies à Jean Cocteau dè s 1956. S’ engage alors une relation forte dont témoigne la publication de Corps m morable, édité par Pierre Seghers en 1957. Le recueil, composé d’ une suite de quatorze poè mes de Paul É luard, présente douze nus de Lucien Clergue, tandis qu’ un poè me de Cocteau et un dessin de Picasso introduisent cette édition posthume. Sur les traces de Man Ray, dont l’ œ il s’ était fait complice de Paul É luard lorsqu’ il publie Facile en 1935, le photographe arlésien ouvre là , l’ un des plus grands corpus de sa carriè re qui le conduira à l’ éloge du nu.

Edward Weston (1886 1958),Nude, 1936, preuve argentique,

Arles, mus e R attu,don de Jerome Hill en 1970.© 2013 Center for Creative

Photography, University of Arizona Foundation / ADAGP, Paris

5



Les images de la mer La publication de Corps m morable d’ É luard par Pierre Seghers en 1957 consacre l’ entré e triomphale dans le monde de l’ art du jeune Lucien Clergue. Aux cô té s de Cocteau, Picasso, Seghers, il donne corps aux poè mes d’ É luard. Ainsi se forme Le carr d As d’ une carriè re qui restera marqué e par les collaborations litté raires, le concept du livre d’ artiste et le culte du nu. Hé ritier de cette poé sie amoureuse qui sacralise le rapport à la femme, les portfolios des collections du musé e Ré attu, N e de la Vague (1968), Gen se accompagné de poè mes de Saint-John Perse (1973), constituent ainsi l’ un des temps fort du parcours de l’ exposition qui ré unira plus de 130 œ uvres (hé liogravures, photographies et portfolios)

Il [Lucien Clergue] vous communiquera de ma part, et vous laissera examiner loisir, un tonnant album d images de la mer : sur la substance m me, fulgurante, de la mer, et ses affinit s charnelles et spirituelles, telle que j ai pu moi m me les exhaler dans mon uvre (AMERS). En d pit de mes r serves de principe contre la photographie, j ai t si enthousiasm par cette extraordinaire, vraiment extraordinaire r alisation, que j ai de tout c ur autoris , et m me encourag , l artiste une publication de l uvre avec son choix pigraphique de citations d AMERS . Lettre de Saint-John Perse à Gaston Gallimard, 12 octobre 1967.

Lucien Clergue,Nu de la plage, Camargue, 1970,

portfolio Gen se, 1973, h liogravure, Arles, mus e R attu,

don du photographe en 1975.© Clergue 2014

6



1961, L’E XPOSITION AU MUSÉ E D’ART MODERNE DE NEW-YORK (MoMA)L’i ntérê t du monde de la photographie pour le travail de Lucien Clergue s’ affi rme sous les encouragements d’ Izis, dè s ses débuts au photo-club d’Arles en 1953. En 1958, il expose au Kunstgewerbemuseum de Zurich, où son travail est découvert par Edward Steichen, immense photographe et directeur du département de la photographie du MoMA. En 1961, Edward Steichen invite Lucien Clergue à exposer dans la prestigieuse institution new-yorkaise avec deux autres photographes. Cette expérience américaine, riche de rencontres marquantes, comme celles de Robert Franck ou d’Ansel Adams, sera déterminante dans la carriè re de Lucien Clergue.

Une partie des photographies exposé es par Lucien Clergue au MoMA en 1961, et dont il fait don au musé e Ré attu en 1965, retrouvera les cimaises. Dans des montages respectant ceux d’ origine, les sujets marquants d’ une carriè re prometteuse se ré partissent entre saltimbanques, charognes, marais, taureaux et nus.

Lucien Clergue,Saltimbanques, Arles, 1954, preuve

argentique, Arles, mus e R attu,don du photographe en 1965.

© Clergue 2014

7



1965, CRÉ ATION DU PREMIER DÉ PARTEMENT DÉ DIÉ À LA PHOTOGRAPHIE DANS UN MUSÉ E FRANÇ AISInspiré par son expérience new-yorkaise Lucien Clergue lance l’i dée, aidé par son fi dè le ami Jean-Maurice Rouquette, conservateur des musées d’Arles, de la création d’ une collection photographique au musée Réattu. C’ est une premiè re en France et la réussite du projet aboutit à la création en 1965 d’ un département dédié à la photographie. Les plus grands noms du monde de la photographie répondent à cet appel dans un élan de générosité et de conviction qui permettra de réunir plus de quatre cents œ uvres collectées du vivant des artistes, eux mê me acteurs et promoteurs de cette collecte novatrice.

Trente icô nes de la photographie contemporaines seront pré senté es, parmi les plus repré sentatives de la collection Ré attu mais aussi de la collection personnelle de Lucien Clergue (Man Ray, Brassaï , Ansel Adams, Steichen, Robert Mapplethorpe...). Le jeu des amitié s et des influences marquantes se dé voilera selon un parti pris musé ographique qui permettra de consulter les œ uvres, proté gé es par les tiroirs d’ un mobilier, en contrepoint et au gré d’ une projection des photographies de Lucien Clergue.

Robert Mapplethorpe (1946 1989), Untitled, 1981, preuve argentique,

50,3x40,3 cm,Arles, collection Lucien Clergue.

© Robert Mapplethorpe Foundation. Used by permission.

8



1968, GENÈSE DES «RE NCONTRES DE LA PHOTOGRAPHIE»L’hi stoire des « Rencontres de la Photographie », festival international qui se tient tous les étés à Arles, se confond avec celle de Lucien Clergue. Inspiré par le festival de théâ tre d’Avignon, â gé d’ à peine dix-huit ans, il rê ve déjà de créer à Arles une manifestation analogue, qui proposerait des expositions. En 1968, il imagine un petit festival mê lant musique, théâ tre, tauromachie et manifestations folkloriques à l’ occasion duquel, deux ans plus tard, il programme des expositions de photographies. Trè s vite, des soirées publiques dont le contenu est fourni par l’ écrivain Michel Tournier, sont organisées. En juillet 1970, le musée Réattu présente sa collection photographique et Michel Tournier réunit à l’hô tel de ville trois des plus grands photographes frança is : Denis Brihat, Jean-Pierre Sudre et Jean-Philippe Charbonnier. Le principe des Rencontres est alors trouvé : exposer des œ uvres, permettre la rencontre du public avec les artistes et projeter des images. En 1976, le programme consacré à la photographie devient autonome sous le titre de « Rencontres Internationales de la Photographie ».

Cette identité photographique s’ affi rme à Arles dè s 1979 à l’i nitiative de Lucien Clergue, de Maryse Cordesse et d’Alain Desvergnes, qui imaginent déjà doter la ville d’ un lieu d’ enseignement de la photographie qui aboutira, en 1982, à la création de l’ É cole Nationale Supérieure de la Photographie.

Dans les volumes majestueux de la chapelle gothique du musé e, la conclusion de l’ exposition est à la photographie contemporaine et aux œ uvres ré centes de Lucien Clergue. Ce dernier volet propose de redé couvrir une suite de photographies issues du fonds des Rencontres, dont le musé e conserve plus de 600 œ uvres, qui viennent illustrer le triple lien unissant Clergue, le festival et le musé e.

Lucien Clergue,Jacques Henri Lartigue, Aaron Siskind,

Manuel Alvarez Bravo, Andr Kert sz au mus e R attu lors de l dition des

Rencontres de 1979, preuve argentique, Arles, mus e

R attu, don du photographe.© Clergue 2014

9



1975, LE LANGAGE DES SABLESUne thè se d’ esthétique soutenue en présencede Roland BarthesRevendiquer la photographie à l’ égal d’ un langage et donc d’ une forme d’ écriture est encore l’ une des expériences riche et novatrice caractéristique du travail de Lucien Clergue. C’ est ainsi qu’i l conço it de soutenir une thè se exclusivement composée de photographies. L’ analyse de Roland Barthes révè le la dimension allégorique de cette suite d’i mages qui, telle une peinture se suffi t à elle-mê me. L’ œ il de Clergue y révè le la richesse graphique du monde des sables de Camargue au travers d’i mages quasi conceptuelles à la frontiè re de l’ abstraction. Revendiquant une forme d’ expression autonome, défi nitivement déconnectée du texte et donc de ses fonctions illustratives, Clergue incite à donner sens à l’i mage et ouvre un nouveau volet de sa recherche esthétique. Il s’ agit là de l’ un des temps

forts d’ une carriè re engagée au service d’ un médium artistique contemporain.

Les soixante photographies qui composent ce corpus seront pré senté es dans leur inté gralité selon un dispositif permettant une vision chronologique et panoramique, afi n de respecter le principe mê me d’ une œ uvre rarement exposé e dans son entier.

Lucien Clergue,Vent sur les sables, Camargue, 1972,

portfolio Langage des sables, 1975, preuve argentique, Arles, mus e

R attu, don du photographe en 1980.© Clergue 2014

10



LE 8e ARTLa photographie entre au panthéondes disciplines artistiques classiquesLe 10 octobre 2007, la photographie entre offi ciellement à l’Académie des Beaux-Arts de l’I nstitut de France, aprè s que Lucien Clergue ait été élu par ses membres le 31 mai 2006. Couronnement d’ une carriè re tout autant que d’ une discipline, Lucien Clergue recevait, comme attribut, son épée et devenait le premier académicien personnifi ant la discipline.Reconnue depuis mai 2005 parmi les sections représentées à l’Académie des beaux-arts, la photographie entre ainsi au panthéon des disciplines artistiques héritiè res des Académies royales de l’Ancien Régime.

Dessiné e par Christian Lacroix, l’ é pé e d’ acadé micien de Lucien Clergue est gravé e sur la lame d’ une maxime inspiré e de Joseph Delteil « Aujourd’ hui l’ œ il est le prince du monde» . Symboliquement, la poigné e se compose autour d’ un parti pris plastique é voquant les thè mes emblé matiques de la carriè re du photographe, le taureau, le violon, le corps et l’ œ il. Exceptionnellement, elle sera pré senté e avec les esquisses pré paratoires ré alisé es par le couturier arlé sien.

Lucien Clergue,Sans titre, portfolio Gen se, 1973,

h liogravure, Arles, mus e R attu, don du photographe en 1975.

© Clergue 2014

11



Lucien Clergue, repè res biographiques1934Naissance à Arles, le 14 août , enfant unique d’ un épicier. Premiers cours de violon à sept ans.

1949Premier apprentissage de la photographie.

1952Mort de sa mè re. Rencontre avec l’ écrivain Jean-Marie Magnan, qui restera un ami fi dè le.

1953Premiè re rencontre avec Picasso à la sortie des arè nes d’Arles.

1954Premiè res séries de photos : prises de vue du Jules C s ar de Jean Renoir joué dans les arè nes d’Arles, photographies de ruines, début des Saltimbanques.

1955Visite l’ atelier de Picasso à Cannes. Poursuit les Saltimbanques et débute la série des charognes. Rencontre le guitariste Manitas de Plata aux Saintes-Maries-de-la-Mer.

1956Premiè re rencontre avec Jean Cocteau à Paris. Début des Nus sur les plages de Camargue.

1957Premier livre : Corps m m orable, illustrant des poè mes de Paul Eluard (Pierre Seghers, Paris) ; couverture de Picasso, poè me d’i ntroduction par Jean Cocteau.

1958Premiè re exposition en Suisse, au Kunstgewerbe museum de Zurich.

1959Photographe de plateau sur le tournage du Testament d Orph e de Cocteau. Le 31 décembre, il démissione de son travail à l’ usine et se met à son compte en tant que photographe.

1961Participation, avec Yasuhiro Ishimoto et Bill Brandt à la derniè re exposition d’E dward Steichen Diogene with a camera N 5 au Museum of Modern Art de New York.

1962Invité chez l’ architecte Oscar Niemeyer à Brasilia. Exposition au musée du Louvre / Pavillon de Marsan à Paris, au musée Réattu à Arles.

1963Epouse Yolande Wartel. Naissance de leur fi lle Anne. Parution des livres Naissance d Aphrodite, avec des textes de Frederico Garcia Lorca, ainsi que Toros Muertos, avec des textes et des poè mes de Jean Cocteau et Jean-Marie Magnan (éd. Editec, Paris).

1965Premiè re rencontre avec le poè te Saint-John Perse. Travaux dans les marais de Camargue. Premier fi lm Le drame du taureau. Création du département photographique du musée Réattu.

1968Réalise le fi lm Picasso, Guerre, Amour et Paix. Nomination aux Oscars pour le fi lm Delta de sel (1967), montré au festival de Cannes.

1969Création des « Rencontres Internationales de la Photographie » à Arles avec Jean-Maurice Rouquette et Michel Tournier.

1971Rencontre, au cours d’ un tour du monde, Ansel Adams à Carmel, où il photographie le parc de Point Lobos. Neil, un des fi ls d’E dward Weston, lui montre l’ atelier de son pè re.

1973Mort de Picasso. Le livre Gen se paraî t avec 50 photographies et des extraits du cycle de poè mes Amers de Saint-John Perse (Pierre Belfond, Paris).

1974Ansel Adams se rend aux « Rencontres Internationales de la Photographie » d’Arles. É lection de Clergue à l’Académie d’Arles. Chargé de cours à l’U niversité de Provence, à Marseille.

1975Le Centre National d’Art Contemporain achè te 60 photographies du Langage des sables pour la collection du Centre Pompidou, à Paris.

1979Docteur es lettres avec option photographie, en présence de Roland Barthes et Raymond Jean, Université de Provence, Marseille.

1980Reço it le titre de Chevalier de l’ Ordre du Mérite.

1982Ouverture de l’É cole Nationale Supérieure de la Photographie à Arles, où il enseigne également.

1986Consacré Photographe de l’Année au festival international de la photographie d’H igashikawa, au Japon.

1999Consacré Photographe de l’Année à Benevento, en Italie.

2003Reço it le titre de Chevalier de la Légion d’ho nneur.

2006Premier photographe élu à l’Académie des Beaux-Arts.

2007Rétrospective « Lucien Clergue, né photographe » organisée par le musée Réattu à l’ espace Van Gogh à Arles.

2008Lauréat du Prix Feria à Millas pour l’ ensemble de son œ uvre photographique taurine.

2013Préside pour l’ année l’Académie des Beaux-Arts.

12



VISUELS POUR LA PRESSELes documents de l’ espace presse sont réservés aux journalistes et iconographes des médias qui en font la demande.

Les documents, textes et images sont protégés par des droits d’ auteurs. Les images doivent impérativement ê tre reproduites intégralement, ne pas ê tre recadrées et aucun élément ne doit ê tre superposé, ceci dans un respect de l’ œ uvre originale.

Les documents sont uniquement destinés à la presse, pour la durée et la promotion de l’ exposition Les Clergue d’Arles : Photographies de Lucien Clergue dans les collections du musée Réattu. Chaque publication peut reproduire un maximum de 3 images, dans un format inférieur ou égal au 1/4 de page, à condition que l’ article promeuve l’ exposition.

Les sites web ne peuvent reproduire les images dans une résolution supérieure à 72 dpi.

Chaque photographie doit ê tre accompagnée de sa légende et du crédit photographique appropriés.

Toute autre utilisation, notamment commerciale, est formellement exclue. Toute reproduction totale ou partielle de ces documents à usage collectif est strictement interdite sans autorisation expresse de leurs auteurs. Le musée Réattu ne peut ê tre considéré comme responsable de l’i nexactitude des informations ni de l’ utilisation qui en sera faite par les internautes. Ces visuels sont protégés par des droits réservés. Ils sont téléchargeables sur le site internet du musée si les conditions requises sont remplies : www.museereattu.arles.fr

Toutes les images numériques fournies, ou pour lesquelles une autorisation a été donnée, seront détruites aprè s l’ utilisation précise pour laquelle les droits ont été acquis. Ces images numériques ne seront en aucun cas conservées dans quelque archive que ce soit, ni sur quelque support matériel, électronique, numérique ou autre, que ce soit.

13



VISUELS POUR LA PRESSE

1. Lucien Clergue, N e de la vague, 1968, h liogravure, Arles, mus e R attu, don du photographe en 1980.© Clergue 2014

2. Edward Weston (1886 1958), Nude, 1936, preuve argentique, Arles, mus e R attu, don de Jerome Hill en 1970.© 2013 Center for Creative Photography, University of Arizona Foundation / ADAGP, Paris 3. Lucien Clergue, Nu de la plage, Camargue, 1970, portfolio Gen se, 1973, h liogravure, Arles, mus e R attu, don du photographe en 1975.© Clergue 2014

4. Lucien Clergue, Saltimbanques, Arles, 1954, preuve argentique, Arles, mus e R attu, don du photographe en 1965. © Clergue 2014

5. Ansel Adams (1902 1984),Moonrise, Hernandez, Nouveau Mexique, 1941, preuve argentique coll e sur carton, tirage c.1973, collection Lucien Clergue.© 2014 Ansel Adams Publishing Rights Trust

6. Robert Mapplethorpe(1946 1989), Untitled, 1981, preuve argentique, 50,3x40,3 cm, Arles, collection Lucien Clergue.© Robert Mapplethorpe Foundation. Used by permission.

7. Lucien Clergue, Jacques Henri Lartigue, Aaron Siskind, Manuel Alvarez Bravo, Andr Kert sz au mus e R attu lors de l dition des Rencontres de 1979, preuve argentique, Arles, mus e R attu, don du photographe.© Clergue 2014

8. Lucien Clergue, Sans titre, portfolio Gen se, 1973, h liogravure, Arles, mus e R attu, don du photographe en 1975.© Clergue 2014

9. Lucien Clergue, Vent sur les sables, Camargue, 1972, portfolio Langage des sables, 1975, preuve argentique, Arles, mus e R attu, don du photographe en 1980.© Clergue 2014

10. Emmanuel Rudzitsky, dit Man Ray (1890 1976), Sans titre, Nush luard nue, photographie illustrant le recueil de po m es de Paul luard intitul Facile publi en 1935, preuve argentique, collection Lucien Clergue.© 2014 Man Ray Trust / ADAGP

1

5

10

7

9

8

2

3

4

6

14



INFORMATIONS PRATIQUES

LES CLERGUE D’ARLESPhotographies de Lucien Clerguedans les collections du musée Réattu5 juillet 2014 – 4 janvier 2015 Commissaire :Pascale Picard, directrice du musée RéattuContact presse :Pascal Scuotto +33 (0)6 11 13 64 48 – [email protected] communication musée Réattu :Anne-Sophie Doucet +33 (0)4 90 49 47 77 – [email protected]

Exposition associée à la programmation des Rencontres d’ArlesScénographie : Agence Nathalie Criniè re, ParisCatalogue de l’ exposition : É ditions Gallimard, 200 pages.

Création graphique identité visuelle musée Réattu et exposition : Digital Deluxe, Arles

Le musée est soutenu dans ses actions par :Avec le Rh ne en vis vis, l’ association des Amis et Entreprises partenaires du musée Réattu.Cultur Com, diffuseur.

Mus e des beaux artsAncien Grand Prieur de l Ordre de Malte10 rue du Grand Prieuré 13200 ArlesAccueil-billetterie : 04 90 49 31 14Communication : 04 90 49 47 77Administration et réservation (groupes) :04 90 49 37 [email protected]

Horaires Du 1er mars au 31 octobre : 10h-18hDu 2 novembre au 28 février : 10h-17hOuvert du mardi au dimanche. Fermé le lundiFermé : 1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembreTarifs Tarif plein : 7€ / Réduit : 5€ / Arlésiens : 3€Gratuités et réductions sur justifi catifs

LES CLERGUE DÕARLES Photographies de Lucien Clergue

Documents

Transcript of LES CLERGUE DÕARLES Photographies de Lucien Clergue