38"Annèft—N°IS,591 Pages) I# Centimes— EDITIONDflIATM— 10Centimes {^k Pages) Bimanehe3 Novemke1918idniaistratear-Délégné-GéraalO. RANDOLETAaeiolstratlan,ImpressionsetAnnonces,TÊL.10.47

35, Rue Fontenelle, 35

Adressa Télégrapbique : EANLOLETHavr# Le Petit Havre RÉDACTBUR EN CHEF

J.-J. CASPAR -JORDAN

Ssorétaira Général : TE VALLÉS

Rédactlon, 35, rue Fontenelle - Tél. 7.60

Bureau du Journal, 112, beul1 cis Strasnonrg.I L'AGENCE HAVAS, 8, place de la Bourse, estj seule chargée de recevoir les Annonces pour( le Journal.

Li PETITHAVREest disignt peur les AnnoneesJudictates et Ugales

AO HAVRE

A PARIS

ORGANE RÉPUBLICAIN DÉMQCRATIQUELe plus fort Tirage des Journaux de la Région

ABONNEMENTSLe Havre, la Seine-Inférieure, l'Eure,l'Oise et la SommaAutres DépartementsUnion Postale

Trois Mois

v Fr.s »A3 »

Six Mois

13 Fr.13S3Fr.Fr.

UnAn

ses Fr.»

43Ons'qionne egalement,SANSFRAIS,danstousles Bureaux ie Pastede Franse

Au Fil des JoursPaysagede Guerre

« Canteen»

L'ensemble des clioses qui se déploientderrière ces trois lettres E. F. G. ne peutêtre vu qu'au front. G'est pour Ie soldat dufront, et exclusivement pour lui, qu'ont étéinstalls partout oü le besoin s'en est ac-cusé des dépóts de marchandises diversesque l'administration militaire ne peutfournir aux combattants, mais que ceux ciont la faculté d'acheter a bon comnte, spit

dansmte, seila zÜma proximité des lignes, soit

des étapes.La « canteen » est devenue un rouagepresque indispensable dont les servicessonl précieux. Tommy y trouve tout cequ'il peut désirer, produits alimentaires,objets d'équipement, fantaisies. Ge sontde véritables magasins qui, comme tels,se présentent avec des élégances d'étalageet de mise en scène que l'on est agréable-ment surpris de rencoatrer dans les zonesdévastées oü gronde Ie canon.Avant l'offensive allemande de mars, Al-bert possédait une « canteen » qui, del'avis général, passait pour une des plusimportanles et des mieux achalandées dufront brilannique. On l'avait logéedansun grand baraquement spécialement cons-truit et aménagé avec un souci de l'liarmo-nieuse ordonnance.Une gigantesque pyramide de boites decigarettes occupail la partie centrale de lasalie. Les variétés les plus étendues du ta-tabac exotique s'olï'raient aux choix commea une exposition uuiverselte.disposéesavecgoüt dans un papilotement multicolore,La grande familie des thés empaquetésd'étain formaient la base de ce fragile mo¬nument destiné a partir en fumée. Tout al'entour s'alignaient les comptoirs de venlederrière lcsquels se tenaient des servantsen khaki, soldats inaples au service armépour la plupart.La maison aurait presque pn reprendrepour son compte la fameuse devise deWhileley. On n'y vendait pas, comme Iesubtil induslriel londonien prétendait lefaire, « depuis une aiguille jusqu'a un éié-phant », mais le magasin présentait aucliënt une multiplicité d'articles qu'il eütpeine a trouvera aussi bon compte dansmainles gratifies villes de l'arrière.La guerre empruntait Acette «canteen »,au méli-tnélo apparent de son pittoresque,un décor imprévu et plaisant. On oubliaitun instant le drame dans la gr&cedes éta¬lages.Le savon de luxe, Ie flacon d'odeur,les livres A peine sortis des pressesdu Strand, la chemise de soie, lesbolles d'aviateur, etc., tout cela voisinaitsans vanité a cóté des pois secs, des pic¬kles, des boites de saumou et des fameu-ses bouteilles de sauce brune sans laquelleun Anglais Atable ne saurait raisonnable-ment opérer les chimies culinaires qu'il acoulume de composer dans son assiette,même quand il est a proximité d'une iignede bataille.La modicité exceptionnelle des prix étaitun autre plaisir des esprits, particulière-ment sensible au civil évadéde l'arrière.Acesrabais, trés justiflés par l'inlérêtsupérieur de la clientèle, s'étayaient d'ex-cellentes raisons : d'abord le tarif desprix imposé par l'autorité militaireaux administrations civiles des « can¬teens », de manière que Ia licence de ventea^cordée revint a une manifestation d'as-sistance envers le Tommy et enlcvèt Al'enlreprise toute idéé de gain personnel ;puis, d'autre part, la favour d'Etat ac-cordée a ces organisations sous forme d'unedispense de droits de douanes.Albert a perdu sa « canteen » dévastéepar la ruée allemande, mais elle n'a pastardé a renaitre. A nouveau, les paquetsde cigarettes se sont formés en pyrami-des, les banderoles de papier ont des-siné des arceaux. Le décor est revenu, fri¬vole, aimable, joyeux, fleuri parfois, au grédes saisons, avec des évocations charman-tes de « home » a Christmas.Idéé ingénieuse et touchante ft la fois quifait avec des riens des illusions chères etplace au seuil des lieux d'épouvante, avecl'image sourianle d'un jeune passé, la vi¬sion douce d'un avenir impatiemmenl at¬tendu III m'a semblé que Tommyavait le visageplus reposé sous les banderoles aux troiscouleursde ia <rcanteen » et qu'il. se mct-tait a découvrir entre deux tasses dethé, dans Ia fumée miellée du navy cut,une réduction de paradis démoutable suria route manui tée de son enfer.r -

« Voyezla vinteI »

Le magasin, les comptoirs, les vitrinesd'exposition, la caisse : tout cela est repré-senté par un grand mouchoir étendu parterre, le long de la route, un de ces bonsmouchoirs è carrcaux qui naissent au vil¬lage et n'en sortent guère. Aux jours defètes carillonnécs.autour de la table joyeu-se et fleurie, iis remplissent volontiers leröle de serviettes.II y a, sur lc mouchoir, étalés au petitKonheur, des pipes, des briquets, de la putea rasoir, des glacés a main, du papier alettre et des carles postales illustrées del'avant-guerre. Elles montrent des bellesdames souriantes et des jeunes hommesélégants qui ont l'air de faire de la réclamepour une pate dentifrice, a moins que cene soit pour un atelier de prothèse den-taire.A la tête de cette bimbeloterie ruslique,une jeune fllle a mine éveillée sous sonson paillot cravaté d'nn ruban jaune.Autour du «magasin », les yeux rivés aJ'étalage, des Tommies." C'est un petit village du front oa les ci-

vils sont demeurés. Les passages d'avioasde temps A autre, les uniformes, lesrages uu canon, certains jours, par inter-mitlences.viennentrappeler la guerre dansun décor qui a la simpMcité des obscurspetits coins du pays picard. Le parler indi-gène conserve l'accent d'une chanson deterroir, et le geste affecte cette sobriété etcette mesure qui évoquent déja le voisinagedes placidités du Nord.Les Tommies regardent loujours, vrai-mentséduits, dirait on, par cette fantaisie-de bazar qui met un peu de nouveauté dansleur vie d'homme au combat.Us délaiilent avee une curiositéenfantineet touchante de pauvres riens de mëtal queles brouillards et les pluies ont déja teiutésde rouille sans diminuer leur valeur mar-chande. Ils se tiennent raides et bieubros-sés, plèins de dignité, enveloppé^ diiflam-boiement de leurs boutons de cuivre trésastiqués.Lesmiroirsde Ia jeune inarchandefont de scintiilants « pendants » aux grossouliers cirés oü le bon soleil a la cequet-terie patriotique de se regarder. *II y a beaucoup de réserve et de tenuechez' Tommy, même livré aux douceursde la liberté relative. San attitude devantles menus objets de i'étalage a des faconsde gravité et de respect. 11regarde, il netouche pas. II observe, compare, sup-pute, se livre évidemment au travail céré-bral préliminaire a tout achat ; mais ceschoses se passent dans le mystère, sous sacasquette. Elles n'arrivent a se traduirede manière perceptible que par quelquesmots qui ne sont que les queues de phrasesde longs monologues intérieurs : « Fun¬ny !. . Indeed !. . Sure !. . F'you like !. . »Devant le grand mouchoir a carreaux.lesdeux races amies se sont témoignées tout a1'heure, dans un de leurs traits !es plus ty-piques. Un poilu qui passait s'arrêta. 11 sefit une trouée parmi les eurieux, histoirede voir a de quoi qu'on vendait dans cevillage humain », et, d'un coup d'oeil ra-pide, l'homme avait embrassé tous lesrayons du magasin :— G'est plutot un peu toe comme dé-fraichi 1II s'apercut qu'il venait de blesser l'en-fant préposée a la vente. II s'excusa. II eutdes mots rigolos pour exprimer ses cour-toisies d'acheleur évenluel et pas renseigné.Puisilsemita <rfarfouiller » dans I'éta¬lage. II prit des pipes, les essaya dans lecreux de sa main, entre ses-dents, débou-cha les étuis a pate de savon, flaira, mit ai'épreiive scs facultés olfactives :— C'est épatant que eel heliotrope sentle pipi de chat !It passa aux cartes-postales, traita d'im-portance les jeunes ' hommes photogra-phiés : « Pour sürqu'y sout des embusquésces muscadins-Ia », réclama du papier alettre « avec une petite hirondelle quiporte une bahillarde dans.le bee, afin d'enmettre plein la vue a mon frère, avialeurchez Mangin. »Et comine il avait consciencieusementtout bouleversé, que le « papier a lettre ahirondelle »était inconnu depuis la guerre,qu'il avait blagué a son gré, it tira sa ré¬vérence Ala marchande, serra des mainsemmanchécs de khaki et partit dans unepirouette, moineau casqué.— Voyezla vinte !jeta la petite voix deI'eufant.Le mot surprit Tommy.Use le fit répéter,expiiquer. Gettewvinte» signifiait «vente »,et la phrase était un appel indirect auxporte-monnaie.Tommy,celte fois, riait a gorge déployée,sans retenue, de tout l'éclat de ses dentsqu'il avait larges et bien plantées.— Delicious !... Charming ! Lovely !Awfully pleasant !... Vous disez a nous,Madëmézeile, de voir la vente, et vousvendez rien du tout !... Nothing at all !La jeune marchande prit une mine sitristc, que Tommyse sentit mordu par leremords. Et du coup, il tira sa bourse,compta du cuivre, et paya géuéreusementvingt beaux sous un bout de iacet de trentecentimes.

Albert-Herrensciimibt.

COMMUNIQUESOFFICIELSVALENCIENNESEST A NOUSRetraitedel'eoneraidanslaforêtd'flrgonne

— —3D oca» .

' AVANCEMAC-NIFIQüEEI ITALIËPissie80,000rrianiinit ie1,660GausseapturisLes Serhes afieigneni le Danube

et rentrent a Belgrade

LbsNegociofionsd'SrmisficeAVEC E'AUTRICHE

FRONT FRANCAIS2 NovemLre, 14 hcures. — Sur le front deI'Aisne, les AHemancls n'o"t tenté aucuno reac¬tion au cours de la nuit,sauf par leur artillerie.Nos troupes sont partout en contact avecI'ennemi.L'aUaque a repris ce matin.Le chiffre des prisonniers actuellement dS-nombros atteint 1,400.Rian a signaler ailleurs.

23 lieures- — Los vigoureuses attaques me ■nëes, hier et ce matin, par la" 4' armee sur lefront do I'A'sno, conjuguies aveo /'effort victo-rieux des Américains entre i'Argonne et laMstise, ont contraint I'ennemi a battre enretraite a travers la forêt d'Argon ne.Nos troupes, bousculant tee arrière- gardesennemies qui, par une résistance acharnée,tentaient d'enrayer noire avance, ont réalisê.de sèriaux progrès sur l'ensemble du frond'attaque.A gauche, nous avons conquisSemuy ei portanos lignes jusqu'h la rive Sud du canal desArdennes que nous bordons sur 2 kilomètres,de Semvy a Neuville et Day.Plus au Sud, nous 'avons attaint les abordsdes Alleux. de Quatre-Champset de la Croix-

Ce matin, au cours d'une heureuse opérationsecondaire, a l'Ouest de Landrecies, nous nvonsavancé notre ligue et fait un csrtaii\nornhre deprisonniers.

FRONT AMËRÏCAIN2 novembre, après-midi.— Ce matin, & l'Ouestds la Mouse, la Un armee américaine a continuéson aiiaque. Les opèrations se poursuivent defaQonsatisfaisante.

FRONT ITALIEN2 novembre , midi. — Sur Ie plateieud'Asiago, malgré une résistanceacharnée de I'ennemi, nous avonspassé de vive force la frontière etconquis les monts Cam one et Lisser.Des divisions de cavalerie, sous lesordres du comte de Turin, ont occupéplusieurs localites, dont Pordonove.II est impossible d'évaluer les ca¬nons et les prisonniers pris. .Tus-qu'a present, il y a 1,600 canons etj 80,000 prisonniers denombrés.

L'agcnco Stefani publie, 1«2 novembre, la note of-ficieuso suivanto :Un officier d'état-major autriohien s'est pré¬senté devant nos lignes, muni d'une autorisa-tion, et a demande a enlrer en discussion pourI'armistice.Le général Diaz en a rêféré au président duGonseil des mimstres, actuellement a Paris.M. Orlando en a, è son tour, informê la confé¬rence interalliéo , qui a discuté et précisé lesconditions auxquelles I'armistice pouvait êtreconsenti et a chargé le généml Diaz d'en don¬net'. au nom des gouvernements des alliés etdes Elats Unis, communication aux parlemen-taires autrichiens.Les conditions de I'armistice s'inspirent desprincipes du président Wilson, savoir ; rendreimpossible a I'ennemi de recommence/' laguerre et l'empêcher de profiler de I'armisticepour so soustraire a unc difficile situation mi¬litaire. Et l'ótat de la bataille sur notre frontdémo'itre pratiquement la grande valeur de cesdernières conditions.Comme il est probable que les parlementairesaustro-hongrois voudront confèrer a ce sujetavec leurs chefs, il est k supposer que la ré-ponse ne pourra pas êire immódiate.

lap Lotalas >

Dxjiositiou de Photographiesde Vnerre beiges

L'exposition dos photographies de guerre beiges,installéo dans la salie du Conscil municipal duHavre, vieut de s'enrichir d'une bolle série danouveaux agrandissements représentant notamment :l'entrée solennelle, a Bruges, dbs sou verains beiges;la grosse pièce de 380 qui tirait sur Dunkorquo et laPanne ; les defenses cótiêres allemandcs a Osteude,Zeebrugge, capturées par les Beiges, etc.Ces documents seront exposés a partir d'aujour-d'hui dimanche ot donneront un nouvel et saisissantintérêt de vive actualité a l'exposition, si reuiarqua-ble a tous les points de vuo.

Souscrivaza l'EMPRUNTdela LIBERATIONILe jnoillour nioyen de döfendre sonavoir, e'cst de Vemployer a concouriran Salut tie Bsa S'-sa

SUR MERLe Viribus-Unitis couléD'après une dépêche de Roma, du 2 novembre, Iechef d'état-major de la marine 'communiqué ia notasuivante :Dans la nuit du 31 octobre au ier novem¬bre, le commandant du génie maritime ltaf-faele ltossetti ct le lieutenant jnédecin RatïaelePoalucci, sont entrés dans le mouillage intérieurde la place de Pola. Avec une endurance égale aleur hardiesse, üs ont attends le mom ent propice,et vers l'aube ont coulé le grand cuirassó Viri-bus-Unitis, navire-amiral de la Hotte auslro-lion-groise.On a des raisons de croire que la mort auraitrcspecté les champions de ceUe"héroïquo entre-prise.(Une mèmo opération avait été tentéo par deuxofficiers ilaliens au moyeu a'un cauot a moteur, ilv a quelques mois, ct lc succes n'avait pus répondua la hardiesse do la tentative.1,0 Viribus-Unitis est lo premier des (laeadnoughlsaul richions. II avait un déplacement de 20,300 ton¬nes, donnait plus de 20 noouds de vitesso et étaitarmé de (louze canons de 303 eu quatre tourelles iaxiales triples, douze canons de ISO, dix-huit de 70et do six tubes lance-torpilles sous-marines. Soueffeclil était do 998 hommes, officiers compris.

Les navires allemarsds quittentArtvers

aux-Rois, après avoir eiilevé les bois de Vandyet le village de Bailey, en dopit de la résistancede i'ennemi qui a été particulièremont violentesur Ie plateau des Alleux et au défilé de laCroix-aux-Bois.A droite, Longwe ct Primal sont tombésenire nos mains. Au Nord de cette demièrelooalité, rios troupes, poussant au-dela duGhêno Pate, continuant, malgrérfMxtacle gé-rieux de la forêt d'Argonne, k pbmtsaivre vi-goureusement I'ennemi qui se replie, en aban-dormant un maiêriel considerable.Les contre-atiaques pronor. cées par los Alle-mands, notpmmenl dans ia région de Semuy,ont été repoussées et nous ont permis d'accroi-tre de plusieurs centaines le chiffre de nos pri¬sonniers.AVIATION. — Le te' novembre, la brume.trèsdense sur lout le front, a gêné les operationsaériennes.Cependant, notre aviation agissant en liai¬son avec nos troupes de terre 'eur a fourni unconcours précieux dans fes régions du front ouelles prononcaient leurs attaques. Aussi bienen Flandre que devant la 4e armêe, /'aviationd'observation, survolant sans répit les iignesennemies, sous la protection de nos chasseurs.a ja.lonné /'avance de nos fantassins, régie lestirs de l'artiflerie sur fes nbjec'ifs du chamo debataille et tffectué de trés nombreuses recon¬naissances.Sur l'arrière-front ennemi, deux de ces re¬connaissances, poussées jusqu'a plus de 120kilomètres daps les lignes ennemies, ont mêmepermis d'explorer la province de Namur.En mêvo temps, une trés grande aciivitó dotroupes et de convois ayant été signalóe surl'arrière-front da la zone d'attaque de notee4« armée et de l'armée américaine, dans la ré¬gion Le Chesne-Tannay Noirval, plusieurs ope¬rations de bombardement y ont été dirigees aus-stóf.Cent quarante-huit avions de bombardement,en groupes successes, protégés par lies avionsde combat, dont le chiffre total a attaint cent-vlngt, ont pris part a ces expeditions. Nosbombardiers ont pu ainsi lancsr a une bassealtitude 39 600 kilogs de projectiles et tirerdes dizaines de miliiers de cartouches dans lesmeilleures conditions, semant la panique dansles troupes ennemies, dispersant, non sansleur faire subir de lourdes pertes, des convoiset des rassemblements importants.Au cours de ces opèrations, 17 avions enne■mis ont été abattus ou mis hors de combat etun ballon captif dèsemparé.Pendant ia ruiit et malgré une trés fortebrume, 20.850 kilos ont été également iancéspar I' aviation de bombardement, sur les plusactives des gares de I'ennemi ei en oarticuliersur ce/ies da l/ervins, Montcornet, Hirson, Mé-zière s, Poix, Terron et Wasigny.

I>:• i ï rs is ,55e7:ac2 novembre. — Les troupes de ia 106 arméeom franciii ld Livenza entre^Motia et Sacile etsont occupies maintenant a'joier dos ponts surla rivière.Au cours des combats récents, la cavaleriedu Northamptonshire a capturé entre autresdouze .canons üe montagne et quinze mitrail¬leuses. On signals que ia 48s division, operantsur le plateau d'Asmgo, a avancé sa ligne dadeux kilometres au Nord du mont Kats, maisell a a rencontré encore une résistance de lapart des mitrailleuses dans te voisinage dumont Rasca et du mont Interroto.

FRONT DES BALKANSCommiinSqnê ffx-aïieai»

D' Novembre.— La cavalerie franchise a livréplusieurs combats houreux contre des déla-chements ennemis, dans la région au Sud desFortes do For.Les troupes serbts ont attaint le Danube, le30 oo'obre, entre Semendria et Belgrade , etcanonné des monitors et des convois onntmis,Poursuivant leur succes, elles se sont em-paré, la te' novembre, de Belgrade. Le voïvode,commandant la 1't armée sarbo, a fait sonentrée solanneUe dans la capitate libérée, 45jours aprè s lo début de I' offensive sur le frontmacédonien.D'autres unités serbes ont franchi la Kolu-bsra, au Nord de Valieve, et- marchent surCh-batz.Au Monténégro. des forces youga-siaves sontarrivées prè s do Podgoritza.

FRONT BRITANNIQUE

2 Novembre, après-midi. — La bataille d'hierau Sua de Valenciennes a été particulièrementacharnée et s'est continuêe jusqu'a ca matin.Sur un frent de bataiile de six milles, untrés grand nembre d'ennemis ont óié iués, denombreuses contre-attaques repousséeset nousavons fait quatre mille prisonniers.Les troupes du 17' corps, sous le commande-ment du général Ferguson, et le 22", sous lesordres du général Godtey, ont enieve les hau¬teurs au Sud-Est de Valenciennes. Ce matin,poussant en.avant, elles se sont emparées duvillage de Prêteau,Plus au Nerd, les troupes canadienr.es com¬mandoes par Ie général Currie, aprè.s un durcombat aux lisières de Valenciennes, ont réussik traverser la ville, qui est entièrement en no¬ire pouvoir.

Le Nieuwe Rollerdamsche Courant annonce que lesbAüments allemands Etliing, Totwes, Clauss, Hom,Marga et Hemsolhsont arrivés u Hansweort, venantd'Anvers.Le vapeur allemand Sanla-Fe s'est écllOUéptèsdgBath,provincedeZclaade.

Soir. — Au cours de la journêe, des combatsacharnés de caracióre local se sont poursuivissur le front de bataille, au Sud et è l'Est deValenciennes. Nos troupes ont fait de notablesprogrès, au Nord Est de Maresches, ainsi qu'al'Est et au Nord de Préseau, s'emparant du ba-nieau de Saint-Hubsrt ei des ferme s environ-nantes.A l'Est de Valenciennes, nous tenons le vil¬lage de Marly of nos détachemenis avancés ontpenétré dans Saint-Saulve. Au cours de cesj operations, nous avons cap/uré deux charsi d'assaut que I'ennemi avait employés, hier, dansI ses vaines contre attaques, et.avons fait plu-l aieurscentainesdeprisonniers,.

k DislosationMostro-lfonoPoiSBL'ét-at allomand d'Autriche

Berne. — Les dernières informations de Viennatransmises le 1" novembre, au corrospondant do\'Intelligtnz Uiatt, a Berne, diseut quo le ministro dela guerre autrichien a invito les dernières Assem¬blees nationaies de 1'ancienEtat autrichien aonvoyerdes délégués afin do liSgler la demobilisation et lorapaU'iemont des troupes et de procéder a un par-tage equitable du materiel de guerre,Amsterdam.— Oilmande de Vienne que to Conseildo l état ailemand d'Autriche a discuté en détail lasituation militaire acluelle ; i'organisation d'une ar¬mée nationale allemande d'Autriche ; la creationd'un Conseil d'otfeiers et de soldats et la situationgénérale (le ia Bohème allemande.M. Lammasch a informé Ie président du Conseilde l'Etat allemand qu'il est autorisd il remettre a ce. Conseil les altaires du gouvernement pour co quiest relatit aux locaiites allemandes.Berne. — Un délégué du Conseil de l'Etat est ar¬rivé a Gratz et a pris possession du commandemeutmilitaire. II a fait prêter serment aux troupes.

Le nouveau Gouvernement hongroisBerne. — Le correspondant de la Gazette de Vossa interviewé lo comte Karolyi qui lui a fait part doson intention douonvoquer le Parlement, la semaineprochainc, et de lui soumeltre plusieurs projets doioi. \On prévoit l'introduction du suffrage universelégal pour tous les citoyens, ages dp 24 ans ; pourles soldats ct les fenuues sachant lire et écrire, et1'éligibilitö assujetlie ii aucune restriction.Le gouvernement dissoudra eusuito la Chambre etdes elections tmmediates sutvront,Le comte Karolyi a ajouté quo le gouvernementse préoccupait de trouver lo nioyen d'amdliorer !asituation aliinentaire ct do remédier a la criso ducbarbon.La presence du comte Karolyi au gouvernement aparu calmer l'opinion.Amsterdam.— On mande de Budapest queM. Nazy,ministro du ravltailiemont, prendre également lesfinances, assisté par M. Szedna, membre du Conseilnational. *M. Ilunko sera nommé gouverneur mfliiairo doBudapest.Bdls. — Selon ios journaux, Ie gouvernement bon- igrojs aurait prèté'sermcnt entre les mains de i'ar-chiduc Joseph, en qualité de représentant do la mo¬narchie.

Bombardementde Nancy par AvionsNancy. — Bans la soiree de jeudi, entre 18 et 19hen res, des avions ademands ont attaqué Nancy.On sigr.aie des viotimes dans la population civile,«tdesdegatsimportants.

Les conditions do I'armisticeLe Times publio les renseignements suivants :« Lés termos que I'ltaiie imposera pour i'armis¬tice, on agissant au nom dus Alliés, comprendront, ace qu'on dit ;« L'óvacuation de tous les territoires occupés ;« La fibre utilisation, sans aucune restriction, deschemins de fer autrichiens dans toutes les direc¬tions ;« Le retour immédiat de tous les prisonniers doguerre ;« L'Autriche dovra, en outre, déposer iesarmesetliyror tous ses ports, ses navires de guerre et sessous-marins. *

[/ABDICATIONDEGULLAHIIOn peut considéror dés maintenant que I'abdica-tion de Guiliaumc II est chose faito. La publicationofficiello de la nouvelle n'ost retardée que par desconsiderations d'opportunité.On mande de Berlin, do source ofliciouse :« La presse allemande parlo d'un memoir© quiaurait été adressé par lo secrétaire d'Etat Sclieido-.manri aii 'chancelier do l'empire et dans lequel ilserait question do l'abdication de l'empereur. Unlei mémoire n'oxisle pas, mais il n'est pas excluquo cette question ait etc touchée dans la corrospon-dance échangée entre le secrétaire d'Etat scheide-mann, les autres secrétaires d'Etat et la chef dugouvernetv-snt imperial- pendant la maladio du chan¬celier, laquelle a restreint forb inent fes rfèiitionspersonnellos entre 1«6 membres du gouverne¬ment. »

Les Wittelsbach sont candidatsOn mande de la Haye au Daikf Mail :« L'organe socialisto Volkszeihmg publie la notesuivante :« Nous npprc.nans que le premier minisirebavarois a not/fie a Berlin la revindication dela maison royale bavaroise au tróhe imperialpour le cas oü l'empereur Guillauma II abtli-qusrait. «

AlaMémoiredestotspourlaFatfiaIA MANIFESTATIONBE LA SORBONNfi

La manifestation organisée pour rendre un hom¬mage solennol aux soldats tombés au champ d'hon-neur par i'Union des Peres et des Mores dont les filssont tombés pour la patrie, a eu lieu samedi après-midi dans le grand amphitheatre de la Sorbonne. Unefoule trés nombreuse y a pris part.Aux cótés do M. Henry Bonnet, président de i'U¬nion, avaient pris place M,Emi!e Boutreux, rlo ['Aca¬démie franfaiso ; lo général Dubaii, grand-chancelierde la Légion d'honneur ; lo général Moinier, gouver¬neur militaire de Paris; MM.Chassaignc-Goyon,vice-président du Conseil municipal ; Louis Peuch, presi¬dent du Conseil général ; Lucien Poincaré, recteurdo 1'Académie de Paris, et ios reprcsentants du mi-nistre de ia guerre et du ministre do la marine.M. Henry Bonnet, après avoir salué dans le maré-chal Foci), président d'honucur de I'Union, le glo-rieux soldat dont lo génie a organise Ia victoiro dé-fitiilivo de la France, et adressé les remercicmentsde l'assemblée a M. Clemenceau, a donné lecture delettres d'excuses qu'il a rec-ues du commandant onchef des armèes alliées et du président du Conseil,ministre do la guerre.Lo président de i'Union a ensuite pavé un tributd'homroago ii la mémoire des soldats 'des arméésalliées lombés pour la cause du droit et de la li¬berté.Puis ii a parte do la paix et recherché ce qu'ellodoit être.M. Emiio Boutroux a pris ensuite la parole. Avecune grande hauteur de pensée, il a (léploré la mortde taut de jeunes hommes enlevés-a leur familie etii la France, tout lo dommage causö par la barbarioallemande a la société, aux sciences, aux iettres etaux arts, a la civilisation tont entiére. II a pour-suivi ;« rvappelons-nous la belle parole de Pascal : « Unodos plus solides et plus utiles eharités envers lesmorts est de faire lés choses qu'ils nous ordonne-raient s'ils éiaient encore au monde, et do pratiquerles saints avis qu'iis nous ont donnés, et do nousmettre pour cux en l'état auquel ils nous souhaitenta présent. »« Quo seraient les vérités morales et religieusessi nul homme, jamals, ne donnait sa vie pour losconfessor ? Ges liautes' idees se réduiraient a destliómes brillants de rêverie, d'éloqueuce, de musi-quo e t de poésie.« Si nous sentons irrésistibleraont que ces ideessont dos résdités, si nous sommes convaincus qu'ilnous est possible et que c'est notre devoir impe¬rious de les faire entrer dans notre substance et doles vivre, c'est jiarce ^qued'autres sont morts pourelles. . Honneur ii ceux qui meuren t pour la

Salome, bicn que vendant ses parfums augramme,no possèdeque les plus dedicateses¬sences,33, rue Thiers.

Communications de la Mairie

lïons de CokeLes personnes u'ayant pas encore, depuis lo 21octobre, retire los bons do coke ótablis en conse¬quence des demandes qu'elles ont faites en temp#utile sont prices do los réclamer au Bureau du ravi-taillement avant le 5 novembre, dernier délai.Passé cette dato, les bons non retires seront an-nules.

Achat lie ('hcraiixLe depót do remonte de Paris, procédcra, le mer-credi 0 novembre prochain a des achats do ehovaux a9 hcures du matin, ii Yvetot.et a 14heures a Bolbec.Les operations auront lieu devant la gare.

Aetiileni inorfelVendredi, vers une heure do l'aprés-midi, M. *Enjile Martot, agé do 49 ans. demeurant ruo do laPaix, 18, a Sanvic, arrfmait des caisses de machi¬nes, sous le hangar X, lorsquo l'uuo d'olies culbutaet s'abattit sur tui.Trés sérieusement contusionné, cct homme futtransporté è l'Höpitat Pasteur mais, en tlépit dessoins qui lui (uront donnés, il succorabait queique#heures plus tard dans eet établissement.

TÜÉATI{ES_SG0»iGrand- Théalve

Af«non. —La FlIIc dn Tainliour-Afajor' 1Aujourd'liui dimanche, en matinee, a 2 ii. 1/2, Ma-non, avec lo ténor David-Devriés, de l'Opóra-Co-mique ; MileBorthe César, do l'Opéra-Comique ; M.Parmentier et M.Uurand, de l'Opéra-Comique.En soiree, a 8 h. 1/2, La Fille du Tambour-Major, avec Mile Mary Mallios, de l'Apollo ; lo eo-miqueBargel ; M. Bourdon et il. Beciiesuo.

Mercredi Gnovembre, uno.scule roprésentation uuchcf-d'ocHvredo Bneux, do 1*Académie Kranpalse :Les Aonriés. Interpretation de premier ordro. Con¬sulter i'afficho. Location a partir de luudi 4. comma,d'usage.

Folies-BergèreAujourd'hui dimanche, matinee ii 2 h. 1/2 : Succèsde la Revue (la va J (ia va ! de M. Albcrl René.9 décors nouveaux, 200 costumes neuls.Soiréc ii 8 b. 1/2 : Revue.Location do 11 h. a midi et de 1h. 1/2 a 5 b,

Théatre-Gitqiie OmniaCinéma Oiunia

Aujouril'iiui, matinéd a 3 heures; sóirée ii 8 l>.1/2 :"Le Chevai (Haute dool; vacs prises au ratealissctir1 . F. ; Les Dcriiicr.s ActiuiUUxde la Guerre ct dul'athc-Journal au jour lo leur : Lu Ifari-ièro duSauy, grand draroe ; cliansoi; iiuüce : Le Chemi-neau, chanlco par M.Norcüy, ténor d'opéra. Attrac¬tion : Les Tony's, iiuitatturs ; Le Mystèrode la Double-C.roix, 7' épisode : « Le Krach ».Mcdard est renlré saoul, scène comique do G. Cour-teline. Lc C.afard de Lefraufois, comique sentimen¬tal et patriotique. Prencz vos places on location.

4» - —

Select-Palace -tAujourd'hui, matinee a 3 heures, soiree a 8 Ii. 1/2. 'Continuation du trés intéressant programme com-prenant : Ter«je Vijjen, comédie en 3 parties,adaptation du célèbre pohue d'Henriclc Ibsen ; LeCoeur de la Suisse (plein air) ; Le Rcpaire «lesLions, scène dramatique en deux parties. DernièresActualités de la guerre au jour le jour. Un A'idd"Amour, chanson libnée chantée par M. Noreily,tenor d'opéra. Le retour des Nig-llo, comique. — At¬traction : AL Silvano, equilibriste ifitraordf-nairo avec appareils clectriques. — Pouffplain isüorotliée, comédie comique.Location ouverto dc lü heures a miui et da1 h. 1/2 a 17heures.

.«rêgftu. 2Matinéestte2d4k.ctde4ii.lj2ii6h.liZ.?f Soiréed 8 heures ii^aumopf 3E3e-t;Xt; Démou

Interprétè par Mary PiCKFORl)AIAWCAMOïï (IPepisode)

La Salle eat désinxeotée Achaque séaitoa

WSMiüKBIiaSB

ÖLïiPIA14,ru3Ëd.-Larua

HAINEDEFEMMEsiupeiLcDrame, interprétè pax ;Lolo Visconti /

JEÜNESSE iComédiedramatique

cn 5 parties, ete.Aujoui'd'hui, 3 Matinées

de 2 h. !\2 üfli. 3j4,eidd 5 it. a7h. Soirée it 8 h. IjZ

Conférenceset §oursEc»ïc itlnBlclpale iJcs Beanx-Arl*L'ouverture du Cours spécial d'archi tec-ture professé par M. do Clerfayt, architeclo en chef de la

.. , . . , -j „i Ville, est fixée au 4 novembre 1918. Ce cours aurajustice, car c est par cux que la justice entre dans io jjell j,.s !linGis, nu-rcredis et vendredis, do -i) a 22

heures ; il sera entièrement graluit ct ouvert ii tou#les jonnes gons francais ou aliiés. Les inscription*

monde !De longs applaudissemcnls ont accueilli ce dis¬cours, qui a été suivi de la lecture, par M. HenryBonnet, d'un ordre duqour résunaant tous les sent!meats qu'en un tel jour une assemblée de Francaiséprouvo pour ses soldats et pour ceux des armcesalliées, et aussi pour les populations esclaves dontbientöt la servitude va prendre tin.

L'ARMÉEAK&LAISEAU PANTHÉON

Une cérémonie d'une émouvante simplicité a eulieu le 2 novembre an Panthéon, oil, (lans un geste

sont reyucs chez la concierge de 1eeole.

* *La réoaverlure du Cours doprorogue au 11 novembre. .

dessiuinduslrielesc.

ilLU Ha m HUfCllllJlO «II xail'ItCfil, Ui.1, (iaii7> Uil 3t"ölü I , , I . J. . .dont la France appréciera la délicatesse, une déléga- j communales de garyons ci-apros (lcsig.i„es

Cuui'H il'Iinneignemeiit primairegrains/» jï«ï5j- 8r« Adulfe#

Doscours d'enseigneraent primaire gratuits pourles adultes seront ouverls. lo soir. dans les Ecoles

... j —

tion de l'armée bntannique est venue déposer imopalme a la mémoire de ses carnarades do combat, iosiiéros franyais tombés pour le salui du pays. Des dé¬tachemenis de troupes britanniques et franjaises,ainsi qu'une delegation de l'Ecole polytechuique,avec drapeau, renuaient les honneurs.La remise do la palme a été effectuéo enlro lesmains de M.Pierrolct, maire du 5" arrondissement.MM.I'ainlevé, ancien président du Conseil. et Des-plas, deputes de 1'arrondissement, assistaient a cettecérémonie.

-1"ct 2° Cantons. —Rue Augustin-Norniand, 54, A7 h. 1/2 ;3' Canton. —Rue Awiral-Courbet, 22, a 7 h. 3/4 ;rue de do Fleurus, 4, a 7 li. 1/2 ;4' Canton.— Rue Massillon, 103, ii 8 heures ; rmjde l'Observatoire, l, .a 7 h. 1/2 ;Ö*Canton. —Rue Frédcric-BeHenger, 3G,i\ 7 h.3/4.Les lundis, mercredis ct vendredis, a partir anllindi 4 novembre.Pour (admission,s'adresseraux direjlevu'ste ,L.Ecotes.

Le Petit Hawe — Dimaneb*8 Kewcotte401®▼etre ptormaeidn, vtrtre fonrnissear, maeqne- JM de Fariise taeiëe t 'Bis domain, dites-le iui, il pent avoir te pro-ia it su dépot de gros IS, rüe de Bapaume.tiUphtrk 0.$4.

8. CitLtlflD, fBEEKKMBTE.TE,IT.Ill Iistt-Mfs

VOIES URWAIRES 606 M«. ijrffci bis, rue Bernardin-de-St-Pierre

Cjmsnlt 1 h.-3h. et lo soir 1 h.-9. — <Sa».««ff!»

Communications<§iverses©I rt- illation Interrempue. — Par suite J»a construction do pavages se Jutcs-Leeesne, feltopulation est informée que ladite roe sera tnter-StW.i la circulation entte les rues Lord-KiUhenerit Géséral-GaHiéni a partir d'aujourd'hni 3 eourant.

Contributions iircetes. — les rólcs de ïa•entrfbBtton extraordinaire sar tos bénéfirea ie«serre en i" aout. 11U4an 31 déeembre 19)7, sont1 partii' du dtóianebe 3 eourant entrc les malus ieïa. les pereepteurs des 2' et 3- divisions.

bulletindes§GCiétésSociety Hntaelle «5© Prévoyanee d«sKmjiioyrs de Commerce, au siège scsisd, 8,aie de Galigny. — Téiéphone n®220.

Lundi, 4 eourant, a i benres du solr, inhuma-ttoB ieMonsieur Luoien-Victor GUYMembre aciif de is Soculê

On se réunira au iomieile mortuaire, 132, rneThiers.

Lundi, 4 courant, a 9 heures et deniie du a>;Ra, inhumation doMonsieur Gaston FLAGOLLET

NigocUmtAncien Mcmbre in Conseil d'Administratieniiew.br» ttcHfde la Soeiété

On se réunira au domicile mortuaire, 25, ru«Bougainville.

Society de Sccosr» Miitnels des Em-plovés d'Eatrepiits et Similaïrcs. —Perception des cotisirtions dimanehe 3 eourant, APHótel de Ville, prés sado I, do 11 heures a li h. 1/Sg» matin.

MontiviliiepsEmprant Natienol 4 pour seat 1918. — L'étnde dBïf<Dnboce.notaire a Montiviliiers, recott, sans frats,£s sonscriptions a l'Emprunt. y eompris celles com-portant des Coupons russes.A raison de 1'Kmpnmt. l'étude sera ouverte tonsfes dimanches, do neuf heures ii ratdi. Les litressent remis immédiatement ea sonscrivant.

ÉTATCIVILDUHAVREN»ISS«WCES

Ëu 2 nesembre. — Madeleine BOIVIN,rue desUeurs, 4 ; André MICHELOT,rue du Perrey, 29 ;fccqueline HAQUET, passage Duréeu, 23 ; GeorgesJOMOND,ruede Montiviliiers, 79 ; Blanche DEMAN,«e Robp.rt-Sureoul, 7 ; Emilia COLIN, rue Massil-en, 4 ; Christiane BISSON,rue de Pronv, 17 ; Ger-aainc GELOEN, rue Just-Viel, 8 ; Raymonde LEBARBIERdit LACOUTURE,rue Suifren, 13 ; MarcelilALOCHE,rue de Tourneville, 10 ; Ilenri YVE, rueRandry, 10 ; Denise CALYEZ,rue Duffiont-d'Urville,7 ; Louis GRiSOLET, roe des Urapiers, 30 ; PaulineEECOQ, rue des Reraparts, 10.

êëüixDE lOlTil-iRMELET100MGDELESde12a1,900tf.GHEZGAUBERT 16, Place del'Kötel-de- Ville

DÉCÈST)u2 Novembre.—Madeleine EUDB, épouse FABA-BHER, 21 ans, sans profession, rue du Doctenr-Gousture, Si ; Auguste MARES, 8 mois, boulevardAmiral-Mouchez ; TOUTA1N,morhné, sexe féminin,rue 3eauvergcr, 14 ; Hüaire HAYNAU,1 an lf-2, rueBemidoff, 173; Marguerite DUYAL, 1 an 1/2, rueHichel-Yvon, 23 ; Jeanne BR1ÈRE, 16 ans, domesti-que, 4 Sanvie ; R. MARTIN, 27 ans, P. MARUENT,41 ans, Pelcr MGONEY,41 ans, A. BSENER, 18 ans,soldats anglais, hópital militaire, qua! d'Escale ; A.HADEROFT, 28 ar.s, A. STRAY, 27 ans, solanglais, hdpital militaire, boulevard Afbertl" ;Lewis WEiNER, 25 ans, James HALL, 22 ans,Antony PLOHARSKJ,28 ans. soldais amdrieains,hópital militaire", boulevard Albert!" ; H. WA-TK1NS,21 ans, soldat amérieain, hdpital militaire,ine de Phalsbourg ; P. HAGEMANN,21ans, F. FLA-6HE, 31 ans, L. OTTER, 28 ans, R. BAER, 22ans, soldats allemacds, hópital militaire, rue dePhalsbourg.Louise LUCAS,veuv# GILLES, 81 ans, sans pro-fession. rue Daupbine,20; Alice BRISINGER,2ai>sl/2,rue de Montiviliiers, 14 ; Yvonne LAMBERT,16 ans,Journalière, rue Massillon, 50 ; Georges LAHALLE,19 ans, eommis, rue Foubert, 13 ; Anne SAVARY,dpous» P1GEONNEAU,36 ans, couturière,rue Emiie-Zola, 38 ; Georges LACHÈVRE,34 ans, égoutier,rued« la Halters ; Henry Bazille, 3t5ans, instituteur,ru#Sorneille, Pi ; Célestin» LEMAH1E,veuve I.EB1ÏAS-SÉUR, 45 ans, Journatiér», rue Thiers, 136.; JulietteTOCQUES,Fpouse EMERY, 31ans, Journalière, ruedu Général-Gallieni, 44 ; Marie LEFEBVRE, épous»SUENAüLT, 44 ans, sans profession, a Graville-Üainte-Hononne; Jeanne LE IHR,éponse ANCELLIN,44 ans, sans profession, rue Racine, 19 ; GeorgetteBRULIN,8 ans, rue des Remqarts, 44 ; Marie HOM-MET, {-potiseMARÉCHAL,42 ans, sans profcssioB,sue Augustin-Nermaml, 30 ; Emilien GOMER,57ans,sans profession, August JOHANSSON,31 ans, marie,Eugène BELLECAVE, 31 ans, chauffeur, HospieeSénóral.Alfred RIOULT, SO ans, employé au Service deseaux, rue Foubert, 18 ; Emma LEFEBVRE, 23 ans,jpurualiére, a Graville-Sainte-Honorine ; Marie LEXCRMAKL),épouse DHEUR, 34 ans, journalière, ItSanvic ; Louise LUCK, épouse LEROY, 29 ans, sansprofession, 4 Saint-Marlin-dH-Manoir; Charles RAUL-LET, 78 ans, journaller, rue Jules-Masurier, 88 ;Marthe MALHERBE,épouse DUJARDIX,29 ans, jouraalière, impasse Baron, 4 ; Eugênie FONTAINE,veuve LAL'MOSKF.60 ans, sans profession, rue dete Fontaine, 39 ; Edmonds PICARD, i mois 1/2, ruedes Raffineries, 5 ; Désiri CHU1N, 38 ans, soldatfranpais, Hópital militairs n* 15, rue Yictor-Hugo ;Franfeis LETHU1IX1ER, 42 ans, soldat francais,Hópital militairs A ct B, rue Massillon ; GabrielleHAK1N,22 ans, sans profession, rue Augustiu-Nor-maad, 47 ; Rose CARON,veuve K0E8EL1N,79 ans,sans profession, rne Pouysr, 11 ; Irma VERS-TRAETS, épouse GILLET, 63 ans, eoutnrière, quaiTidecoq, 87 ; Marie GOURKT,épouss MEHOUA5,2*ans, sans profession, rus J.-J. -Rousseau, 7« ; MarioYICOMTE,épouse LUGA?, 51 ans, sans professies,rus Thiers, 85.

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AliSCO^DITlöfVStSMCm DANSLEPROSPECTIBÖFFHIELAux Guichets des BASQUESLOCALES

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LesAVISdeDÉCESsonttarifès1 fr. laligne

Mort au Champd'HonneurVous étes prié d'assister an service rdigicnx! qui sera eélóbré Jo lundi 4 novembre, a buitheures du matin, en Féglise Saint-Vinee»t-d«-Paul, a la mémoire d«Monsieur Joseph TOLLEIVIERSerpent aw 29' Régiment d' Infant eri»Déeorè de la Croiai de Guerre

tuö h l'ennemi te 1" octobre 1918, 4 I'dg» it32 ans.De la par! de -t

K" VeuoeJoseph TOLLE/HERet sa Fitte',Des Families LAVaNAUT.JACKY,TOLLEEtER,LES0RËNE, TiLLOY, JAtSES, NOUET, ÏOISiN,KLEIN;MM.Henri et Rsné CHEEARAY; da Personnelde la Utaisoa Henri et Ren6 Chegaray et desAmis,

Le Havre, 3, rue des Gobelins.

<9590z)

Mort au Champ d'HonneurAt" Eugène PETHION, née C0URCHAY,sobépouse ; *M:-"Oenise PETHION,sa fillc;Hi.Alphonse COHRCHAY,son heau-père;M. et Hi- GEHARD,née PETHIONei tearsEnfants;Of.Louis COURCHAY,prtsennier de guerre ;&"'• Erangoiss. ff.artke, Thérèse et YeouaeCOURCHAY, ses belles-soeurs ;Ses oncles. tantes, cousins et eeusines ,Vous prient de bien vouloir assister au servieereligionx qui sera eélébró le mardi 5 novemhrt,h huit heures du matin, ca téglisc Sainte-Ana«,4 la mémoire doKlonsieur Eugene PETHIONSoldat ait 3SS' d' Infanterie

tué 4 Tennemi to 29 aoüt 1918, a 1'age de 34 aus.Priez Dieu pour Ie repos ds son Amo I

ChambreSyndicaledejaBouclierieduHavreMessieurs les Membres du Syndieat sont prtésd assisler aux eonvoi, service et inhumation ieMonsieur Auguste MABILLEAncien Président de la Chambre Syndicate

de la Bomheriequi auront lieu anjourd'bui dimanche 3 »ov««-bre, a une heuro et demfe du soir, en l'érlis»Saint-Vineent-de-Paul, sa pareisse.On se réur.ira 4 1'Eglise.Prière de porter iinstgne,

Le Président,(9582z) nnxÉ hknocp.

M"' tie or VIlLAIN,sa veuve ;M. R. BAYEUX.aetuellement au front, et Ba-dame, née VILLAIN,ses gendre et fille : B. A,DELAPORTE. son belu-frère ; B« VtueeBARAGE,Ê"' VeuoeLEFEBVRE,id. A. MANAGE.ses onclö et tantes ; Les Families GÊRQT-BAZILE, DELAPORTE. NOÊL, BOURGEOIS,BACHELET, LECOP, GISUÈBE, VANORAHEN etMANAGE,ses niécos, cousins ct cousines ; Lesmembres de a Commission Administraties ; B.Ie Direetear et le Personae I des Heepisss daHaore.Ont !a douleur de vous faire part dela perte crnclle qu'ifcs viennent d'éprcuver eata personne do

MonsieurViotor-SnstaveVILLAM?Chef de Bureau Honoraire des Hospicesdn HarreOrpaniste Honoraire de Hotrc-Vamc du HaareMcdaiM de l'Assistane» i'vbliqr*

déeédé ATrouville, le 27 octobre 1918,A9 heurosdu matin, 4 l'age de 01 ans, muni des saerementsde 1'EgliSe.Et vous prient (Tasslster 4 ses eonvoi, serviceet inhumation, qui auront lieu le lundi 4 novem¬bre, a une heure ct demie do l'après-Hi'.di, en1'Eglise Saint Michel, du Havre.On se réunira a rEgtise.PriezDieupourIereposdesonIms!

II ne sera pas envoyé de lettres d'iil-vitation, le present avis en tenant lieu.Trouville, 59, rue des Bains. 2.3 (9461)

B" A. RIOULT, son épouse et son Eils ;A?"*couoe RIOULT, ses Enfants et Pètlts-Ea-fants ;fil. È. BEAUCHABPS,son beau-père et ses In¬fants, ta Familie et les Amis ;Le Personnet de ta Bairie.- Ont la douleur de vous faire part de fa perteeruelle qu'ils viennent d'eprouver en la per¬sonne deMonsieur André RIOULT

Fontainierleur épotix, fils, frère, oncle, cousin et atn!,décédé le 1" novembre 1918, A 10 heures dusoir, dans sa 40*annéé, muni dos Saerementsde IKglise.Et vous prient dé bien vouloir assister 4 sesconvoi, service et inhumation, qui auront lieule lundi 4 courant, a dix heures du matin, «nla ehapelle de l'Hospicé Général, rue Gustav»-Flaubert.PriezDieupomleReposdesonAnte!

II ne sera pas envoyé de lettres d'in-vitation le present avis en tenant lieu.

B«' oeuoe SAVARY,CONSTANTet PierrePIGEOHHEAUet teute la Familie SAVARY;Frères, Sceurs. Beaux-Frires, Belles-Sceurs. Ne-ocux, Niöoes, Cousins et Cousines,Ont la douleur de vous faire part de !a psrteeruelle qu'ils viennent d'éprouver en la per¬sonne deMadame PIGEONNEAUNés Marie. SAY7AR.Y

décédée le 31 octobre 19-18,A10 h. 1/4.du sofr,dans sa 36" année, munle des saerements deFEgüse.Et vous prient de voukdr bleu assister 4ses convoi. service ct inhumation, qui aurontlieu le roardi 5 eourant, a sept heures trois quartsdu matin, en l'égtiss Rotre-Danie, sa paroisse.On se réunira au domicile mortuaire. 38, rueEmile-Zola.

Priez Bienpour 1c repos de son Ante.II ne sera pas envoyé de lettres d'xn-vitation, le present avis en tenant lieu.

U9Ö28)'

B. et Pi-' Lueien THIBAUT-,Les Families EUDES,LUNEL, BURLOTet lesAmis.Vous prient de bien voulotr assister aux cea-voi, service et inhumation deMadame veuve KOEBELINnée Victcire-Rose GARON

décédée ie 1" novembre 1918, A20 heures, danssa 80"unnée, munie des Saerements de l'Eglis».Qui auront licu ie mcrcredi 6 novemffre, Atroize houres ct demie, a 1'Eglise Saint-Joseph,sa paroisss. 'On se réunira au domicile mortuaire, ru«Pouycr, 11.

PriezDieupeurElle!

B. Edouard SCHMIDT,la Familie et les Amis,Ont la douleur de vous faire part de la perteeruelle qu'ils viennent d'éprouver en la per¬sonae deMadame Edouard SCHMIDT

née AUBRYdécédée le 31 octobre 1918, dans sa 58" anné»,Et vous prient d'assister a ses eonvoi, serviceet inhumation qui auront lieu le mardi 8 no¬vembre, a buit "heures du matin.On se réunira au domicile mortuaire, rueJean-Jacques-Rousseaa, 100.II ne sera pas envoyé de lettres d'in-vitation, le present avis en tenant lieu.

"TlmUzT

Vous êtes prié de bien vouloir assister auxeonvoi, service et inhumation deMadsme LEGROSNée Marguerite UE3AS

décédée le i" novembre 1918, 4 l'age d« 35 ans,munie des Saerements de l'Eglise.Qui auront lieu Je mardi 5 courant, a dixheures du matin, en féglise de Héviila, saparoisse.On se réunira au domicile mortuaire, c.bezMme veuve Legros, route do la Faiais», Bié-ville.PriezDieupourIeReposdesonAmo1De la part de :B. Victor LEGROS,soil époox :Af" oeuoe LLRAS,sa mère ;B*"ositoe LEGROS,sa belle-mére ;B. et B" Georges GILLESet letirs Enfants tEt. Jean LEBAS,aetuellement au front ;B. Henri LEBAS,mobilisé au Mans ;B- Har ie LESAS;ses secure, frères, beau-frèr», neveux etAA ,

Lee Families LEGROS,ERHlDEL, VASSEURetdes Amis.H ne sera Das envoyé da lettres d'in-vitation, le présent avis en tenant iieu.

B. et B- LESUR, née BREDEL,ses póre ctmere ;B- Bauriee LESUR,son frère ;B oeuoe LESUR, sa grand'mère ;Les Families LESUR,MOREL,BREDEL,ANQÖE2,FAUTREL,Pascal BËCUE,COUDRAY,et les Amis,Ont la douleur de vous faire part de la pert*eruelle qu'ils viennent d'éprouver en lapersonne de

René LESURdécédé le 31 octobre, dans son 15' mois.Et vous prient de bien vouloir assister auconvoi ct a la messe d'ange qui se feront le lusdi4 novembre, è huit heures, en l'église St-Miehel.On se réunira 4 la maison mortuaire, 8, ru»J.-B.-EyrièsLe présent avis tiendra lieu de letired invitation. (95«iz)

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MALADIESNERVEUSESNévralgies. — Kévrites : Seiatiqne. — Epulss-msEt nerv«ox : Neurostkénte. — lmpuissance.frfcordinencs arinaire.D' Soret. 7, i. Thiers, Télép. ll.ll: Censcft. t t.andtet mrreredi, de i a 4 h. ; ctndredi, de 5 i 8 b. —«adïographie el Acta, da Travail, lous les jours.

1BRSXX

M.Edmona SERY,sss Enfants, teute ta Familieet les amts,Ont la douleur de vous faire part de la per!»eruelle qu'ils viennent d'éprouver en la person¬ne de

Madame Edmond SERYnée Florentine PREUDKOMME

déeédée le 1" novembre 1918, A 9 heurts dnmatin, dans sa 72*année, munie des sacr«me»isde l'Eglise.Et vous prient de Men vouloir assister S sesconvoi, service et inhumation, qui auront lieulo lundi 4 courant, a dix heures et demis, enrealise de Cauville-sur-Mcr, sa paroisse.. On se réunira au domicilemortuairc, haiaeaude Rimberlot, A19 heures.I II ne sera pas envoyé de lettres dej raire-part, le présent avis en tenant lieu.

(96302)

B. et B" Joseph BRISIHGERet leurs Enfant *Les Families BRIS/HGEH,LEBAITRE,FLEURY.BALAHDA/N,et les Amis, ' 'Ont la douleur de vous faire part de la perteeruelle qu'ils viennent d'éprouver en la ner-sonne de vAlice BRfSINGER

décédée le RL oelohre 1918, 4 2 heures 113 dumatin, dans sa 3* année.Et vous prient d'assister Ases eonvoi, serviceet Inhumation, qui auront lk-u anjourd'hui di¬manehe, ii treize heures et demie, en l'égliseSaint-Michel, sa paroisse.On se réunira au domicile mortuaire, 14, ruede Montiviilicrs.

UNARGEAUCIELLe présent avis tiendra lien de lettred'invitation. ? <9601)

Yous êtes prié d'assister aux convoi, serviceet inhumation deMadame Robert FABACHERnée Madeleine EUDELINE

décédée le 1**novembre 1918, a t'age de 22 axs,munie des Saerements de l'Eglise,Qui auront lieu le mardi 5 courant, a nn«heuro et demie du sof-, en l'église Saint-Vin«»ot-de-PauI, sa paroisse.On se réunira au domicile mortuaire, 34, rtisdu Döcteur-Cousture. 'PriezDieupourlereposdeseaAnse1De la pari de : ~

B. Rober FABACHER.son épotix :, J>es Families EUDELINE,FABACHER,VliVARD,ÏErZZ%VJbeRL.UX'mm OUPRi,MARTIN,II ne sera pas envoyé de lettres d'invi¬tation, le present avis en tenant lieu.

M- Kaart»» HOOSStN:If. et #- Ostaoe HOUSSfNiB'- Kartells KOUSSIH;B. Louis HOUSS1N:M. et I- BONISARE\Lss Families HQUSSIN, BOIIRBW, BURAPH.IBUPÊ, BERNOUY,LESSEUN,BENOff,B.JBrtm»BALASBAIN,amateur A Fecamp, et Bedt ate ;Et tes Amis,Ont la donteur de vous feirc part de fa pert»«•uclle qu'ils viennent d'éprouvep en fa p«r-sonsC deMonskur Maurfo® HOUSSINPremier Satire Méeamtien

lenr épqux, fils, frère, gendre, parent et ami,décédo a Fecamp le 29 octobre a 10 heures dusoir, dans sa 84*année, des suites de maladiccontractei au treat de mor, 4 bord du chilutterProeence-IV.Et vous prient de Men vouloir assister 4 ses•onvoij serviee ct inhumation, qui auront free1c lundi 4 courant. 4 quatre heures du soir, eal'dgttse Sainte-Anne du Havre.On se ïénnlva 4 l'égtiso.II ne sera pas envoyé de lettres d'invi¬tation, le present avis en tenant lieu.

Vous êtes prié de Men vouloir assister aueonvoi, service ct inhumation deMonsieur Gaston FLAGOLLET

NegotiantJtugesnppléant au Tribunal de commercePrésident ie la Delegation cantonale du 4' cantonAdministrateur de la Caissc d'epargn*

déeédë subftement le 29 octobre 1918, 4 V4eede 48 ans.Qui auront lieu lo lundi 4 courant, 4 nenfheures et demie du matin, en l'église Saicte-Anne, sa paroisse.On se réqpira au domicile mortuaire,, 25, rue iBougainville.FriezDienpourIereposdesoniae IDe la part de :

B" G-FLAGOLLET,sa veuve ;KB. J. FLAGOLLET,»»x armies, P. FLAGOLLET,ses fils ;#■* ceaee FLAGOLLET,sa grand'mère ?B"'B. FLAGOLLET; B. et 0--J.CARRAU0 ; B"'G.C0LL0S,ses sceur, beau-frire et belles-sawsr0. Ernest BELLEN'GER,B. C BAYLE; B. etM-' A. COL/NET,ses oncles et tante ;Des Families FLAGOLLLT,BELLENGER,P/VAtN.PRAD/ER, SiBOND, LEFÈVRE, BAYLE,B/ABB,POULLET, JANSONNE, MARQUETTE,BARNA,SPILLIAERT,AVEJilt, THÊAULT.tCHER, atPATRY,ses eousiusel petits-cousins ;Du Personnel de ta Balson 6. FLAGOLLET,Et des Amis.II ne sera pas envoyé de lettres d'in¬vitation, le présent avis en tenant lien.

EI2"!?"(25Hir

B'-' oeuoe Emile TtHOUT,sa more ;B. ei B Henri CHICOT,tears Enfants et Petit-Enfant ;B. et 0"' Henry THiOUTet leurs Enfants ;B" oeuoe Charles DUSOSet ses Enfants ;0. et tS" Alexandre CELLE;Bi. et B"' Gearges DUBOS et tears Enfants ;BP"oeuoe BOULON;B. et M" Jules OUBOSet tears Enfants,ses frère. sreur, beaux-frcres et belles-sceurs :B. et 0"' Déslré OURAND,ses oncle et tante :B" Bésirê DUBOSet ses enfants -,BP" ErnestB0BÊE ; B. Augusta VIEL el ses Enfcets, seseousins ;Et les Fumtiles DUBOS,BERT/N,VIEL,CASTRBit les Amis,Ont la douleur de votis falre part de la porteeruelle qu'ils viennent d'éprouver en la per¬sonne de

Madame veuve Rsné DUBOSNée Jeanne THIOUT

décédée en son domicile. 21, rue de Paris, fs SIoctobre 1918,4 10 h. 1/2 dii matin, danssa 31'année.Et vous prisht de bien vouloir assister a sesservice, convoi et inhumation, qui auront lieule lundi 4 novembre 1918, a huit heures du ma¬tin, en l'Eglise Kotre-Dame, sa paroisse.

PriezDionpourFileI

B- VeuoeLuclen GUY,née FABERY,son épou¬se ; IS" VeuoeFrcngois GUY, sa mère r B'" Ba-r e GUY,sa sceur ; 0. et A. HAMON, néeGUYet tears Enfants ; B. et 4f- E. GUYet leurEnfant, ses frères, scours, beaux-frères et bolles-soïurs ; 0. Gnstaoe FAmERY, son heau-père;«?»*Louis FABERYet son Fils ; SB. et B- Jo¬seph RA/VERYet leurs Enfants ; 0. Bareel, if"Berthe ei Renée FaBE' Y. ses beaux frères etbelles-soeurs : les Families GUY, SAVALLE,LOISEL.BASSIN,AUDRY,CARPENT/tk,LAURENT,LiBLANC,OUF,FABERY; Le Personnel de isBaison Alfred Schmitz et tes Amis.Ont la douleur de vous faire part de la pert#eruelle qu'ils viennent d'éprouver en la per¬sonne do.

Monsieur*Lucien-Victor GUYEmployé de la M&isonAlfred Sekmiiz

décédé le 31 octobre 1918, è deux befires da ma¬tin, dans sa 32* année, muni des Saerementsdo l'Eglise»Et vous prient de Men vouloir assister a sesconvoi, service et inhumation, qui auront Beole lundi 4 courant, a quatre heures du soir, cal'église Sainte-Anne. sa paroisse.On se réunira au domicile mortuaire, 432,rue Thiers.PriezDienpsurlereposdesonAmeIII no sera pas envoyé de lettres d'invi¬tation, Ie présent avis en tenant lien.

(8632Z)

M. at ft" Engine SAONtERet In Familie,Remercient les persoimes qui ont bien vontuassister aux eonvoi, service et Inhumation detear tits

Paul-Augusts SAUNIER

0" Veuoe Frangois FERRARD, ta Familie etles Amis,Remercient les personnes qui ont Men veuluassister aux convoi, service et inhumation dcMonsieur Frencois FERRARD

B- Baria oeuoe AVENELet la Familie,Remercient les personnes qui ont bien vonluassister aux eonvoi, service et inhumation de

RSademoiseüeJuiia-AugustineAVEHEL

I Les Famlles PALERAY, BANCE, COURCHET,BELLET,et iss Amis, 'Fiemereient les personnes qui ont bien vonluassister aux convoi, serviee et inhumation dcioRsieurFéüx-lsidor-FrangoisPALFRAYAncien CenseiRrr Httnieipal da Havre

Anckn Gommisde dehors de la liaison F. SauquctMédaiilé du Travail

0. Eugène JEHAHNE,lu Familie et tes Amis,Remercient les personnes qtii ont bien vonlaassister anx eonvoi, service et inhumation deMadame Blanche JÉMANNE

née AUTIN

Cécile, Gaston LEPILLERet la Familie,Remercient les personnes qui ont bien voulaassister aux service et inhumation doMadame Veuve LEPtLLERNée Blanche BUISSON

mar p

Les Families ROLLANDet HARTEL, remer-etent ksirs amis et cor.naissanees, shirt que toPersonnel de I'Hópiïal mixte qui ont bien vestaassister aux convoi, service et Inhumation dcMonsieur Albert ROLLAND

B. Pernaad BREARO,prison nis r de guerre 4Mttneheberg, son époux ; 00. Pierre, Sitnen itJean BREARO,-ses fils jEt teute ie Familie,Remercient les personnes qui ont Men ventsassister aux convoi, serviee ct inhumation deMadame Ferrtand BRÉARDNée Marguerite LE BLANC

4 0/0 EXEMPTD1MP0TLesEtablissementsSaaaciersci-dessois:BANQÜENATIONALEBECRÉDSTCompioirM\m\d'EsoompteöeParisCRÉDIT DU NORDCRÉDIT LYONNAISSOCIÉTÉ GÉNÉRALEBANQUE DE IViULHOUSEBecalvpfitlesSoBscriptiaasgaasfraSsLss ce?tificataprOYisoiressontdélroê*immédiatemeat,

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Le Lnndi A Novcrnbr© 1ÖI8, Adeux heu¬res, a Octoville-sur-Mer, hameau de Saint-Supplix,sur la ferme exploitéeparM. Auguste Lecomte ct è sarequête, M.Lefèvre, suppléant, vend ra eaviroa 2hectares de bois taillis en 80 lots. 20.27.3 (8566)

Eludes de M' EECAUPENTIER, nelaire e Montivit-Her-s,et de tl' PELLOT, notaire ASaint-lUmain*de-Coibose (Vente pu.blique de 130 Arfcreg sur pied(chênes, ormes, peupliers et frênes)Le Mardi 5 Novembre 1828, k 2 h. i/I aRolievilla, prés du village route de Fonterav, saria ferme appartenant a if. Elysée Lscat.Aux conditions ordinaires. Requête de M.Leeat.

27o 3n (9133)

Etades de II' LE YAILLANT, notedrc a Geierviile-et de M' PELLOT, notaire è Satitf-Koniain-de-Golbose. *Vente d' Ar bres de haute futaieLe Alercredi 6 Novembre 1818, 4 2 heu¬res, ü Bréauté, prés de la Gare, en face la Forgesur la ferme exploitée par H. Duffe et dans la fatai»de la propriété des Sapins.M*Le Vaillant, en présteee de M*PciloL preeêde-ra 4 a vente aux enchères pnbüques de :

74 Trés beaux hêtres.8 Gros chênes.30 Trés beaux sapins.0 Ormes.

Aai conditions qui seront anneneées.33o 3a (5135)

Etude ée Ff1RRGHAITE,tiotttWed CriquetotVENT^ PUBLIQUES DE BOIS DE HAUTEFUTAIE ET BOIS TAILLISPar !e ministère de 11'Vigwnx, suppléanlU Mardi 5 et te Mcrcredi t3 Novembre.i.^rU^,?enres', ®°rd8aBI-3»i»t-Ctair, dans tes hotsé* H. Rieouard. Coupa aneneRe de beis taillis.

Le Mardi 12 Novembre,!) 4 h. 4/2, ó Bénott-flRe, ferme Alexandre Paumeile père : 38 ormes.

27o3njpj)93)Etude de li' GeorgesPÈRIER, huissier de la Banquet

de France, é Grtqwetot-l'Esmval

VENTE PUBLJQUE DE BOIS TAILLISET DE BOIS DE HAUTE FUTAIELe Jendi 7 Novembre 1818, a l h 1/2 SKotre-Dame-dn-Bee, bois de la Kaisière, vente' nar' Ieministère de M* Périer, de la coupe anauelk dabois taillis.Roquéte de M. Cornudet.

Le Vendreti 8 Novembre 1818, u 2 hen-re, a La Poterie-Ckp-d'Antifer, hameau du Presby té¬re, sur la ferme exploitóe par MlteQuevillier, ventepar le ministère de U*Regnand, notaire a Criquetot.en présencq de U*Périer, de 40 arbres essences•rnie et Irene, en partie bons a travailler. — Gol-tecte par M'Périer.Requête de M. Clovis Halandafn.

Le Jendi 21 Novembre 1818, it 2 hiures,a Bqrdeaux-L.aint-Clair, ferme Jules Duboe, ventopar le ministère de M"Layet, notaire i Griquetot.en presence de M*Périer, de 82 hêtres, 19 frênes'e ormes et 13 ehênes, dont partié tres beaux elpropres a l'industrie. — Collecte nar M' Périer.Requêle de M. Victor Renaut.

Le Lnndi 25 Novembre, fl 1 heures, S Saint-Romain-de-Colliosc, ferme Hauville, prés 1c bourg.vente par le ministère de M*Pellot, notaire a SaintRomain-de Colbosc, en présence de M' Périer de450 arbres essences de ehênes, hêtres, frênes ctormes, la plupart prepres a 1industrie. Collecte parM' Perier. vRequête dr 11.Gaston Paumeile. (9412)

Eindes de M' LAYET, notoire i GrimazM-t'Esneval»et de li' LECARPEETIER, notaire è MontivülïsrsVENTE PUBLIQUE DE 70 ARBRESSUR PIED (chênes, frênes, ormes et hêtres)J-?,M/"'di 1 2 Novembre, è 2 h. 1/2, a Saint-Jlartm-du-Bec, prés de l'Kglise,suv une masure occiz-pés par Mme veuve I^marehand.Expilqitation trés facile. Aux conditions ordinaire»Requête de M.Louis Dubuc. 3.10 (9471)

Etudes de M' !LAYET, notoire ó Er-tqueM-YEsnevdl,I*DUBOSC,notaire d Éontiviilivrsct de feu 11

VENTE DE (ta plupart proprei20 CHÊNESau travail)

Le Mardi (9 Novembre, ö 9 heures, èTurretot, hameau du Village, sur une ferme exploi-tée par M. Emiie Guest.Requête de M.Edouard Batattte. 3.10 (9487)

AVIS DIVERSEtude de It' NARCY, notoire en Havre

2" AvisSnivant acte reen par M'Narcy, notaire an Havre,le-s21 et 23 octobre 1918, M. Marin Tlü VATmaitre d'hótel, et M" Marie IHJVAi,, sonepousc, demeurant ensemble aü Havre, rue Thiers,n' 41, ont vendu ii une personne démommée dans1acte le fonds de commerce iYH6te!-Resaurantqu'ils exploitent au Havre, rue Thiers, n" 41, eonnusous le nom d* « Hotel du Bras el'Or » et le uvoit aubail des lieux oil s'exploite ledit fonds, et moyen-nant un prix payé eomptant.L'entrée en possession a éte fixce an 15 novem¬bre 1918.oppositions, sll y a Hen, seront re?ues en

I étude de M*Karcy, notaire, 90, boulevard de Stras¬bourg, on !es parties ont é.'n domicile, dans les dixjours qui suivront la présente insertion.

Pour insertion :(8962)2503n SigHd: KARCY.

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sur tontes les parties cdtières appartenant ü la com¬mune, le Dimanche iO Novembre 1818a deux heures, dans la salle de la Maine.S'adresser, pour prendre eonnaissanee dn cahierdes charges, au Secretariat de la Mairie.

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