HDLT - Hémodialyse

La Feuille Recette Francois Article maladies rénales Gex (il est enregistré dans le dossier la feuille)

Le journal de la dialyse

N°36 Juin 2012

Extrait du « Gessien » mai 2012

LA PENSEE DU MOIS… « Il vaut mieux rêver sa vie que la vivre, encore que la vivre, ce soit encore la rêver. » Marcel Proust Laurine

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HAPPY DAYS !!!!

Nous souhaitons un joyeux anniversaire à M AKPOKAVIE né le 4 juin M AMIRTHANATHAR né le 25 juin Mme BERNARDINI née le 6 juin Catherine née le 23 juin

FESTIVAL DE CANNES (de notre journaliste locale Mme Pillet) La soixante-cinquième édition du Festival de Cannes s’est déroulée du 16 au 27 mai, présentant vingt-deux films en compétition officielle. Parmi les cinéastes en lice figuraient les plus grands noms du cinéma mondial : d’anciennes Palmes d’or comme Michael Haneke, Ken Loach, Cristian Mungiu ou Abbas Kiarostami. A leurs côtés concourraient les derniers opus, déjà controversés avant leur projection, de David Cronenberg, Jacques Audiard, Walter Salles, Alain Resnais ou Léos Carax, absent de la Croisette depuis plusieurs années. Dans cette manifestation qui s’est imposée comme la Mecque du septième art, les stars se sont bousculées sur les fameuses marches du Palais des Festivals afin de satisfaire les objectifs des professionnels comme des fans qui ont pu obtenir un précieux cliché de Nicole Kidman, Brad Pitt, Robert Pattinson, Marion Cotillard, Isabelle Huppert, Jean-Louis Trintignant, Naomi Watts, Kristen Stewart, parmi tant d’autres... Pressenti comme vainqueur dès l’ouverture des festivités, c’est Amour, le film le plus bouleversant de cette édition, abordant de front des thèmes tabous comme la vieillesse, la maladie, la déchéance et la mort, qui décroche la Palme d’Or tant convoitée. En remettant son prix au cinéaste autrichien, le président du jury Nanni Moretti a insisté sur la "contribution fondamentale" de ses deux sublimes acteurs Jean-Louis Trintignant, 81 ans et Emmanuelle Riva, 85 ans, qui, à défaut de recevoir une récompense pour leur magnifique interprétation, ont savouré une standing ovation tonitruante du public. Avec une deuxième palme trois ans seulement après Le ruban blanc, Michael Haneke rejoint le club fermé des cinq auteurs relevant un tel exploit : Francis Ford Coppola, Shohei Imamura, Emir Kusturica, Bille August et les frères Dardenne. Quant au reste du palmarès, il déconcerte, voire déçoit. Nanni Moretti voulait être étonné, c'est lui qui nous étonne ! Et ceci dès le Grand Prix, Reality, de Matteo Garrone, une comédie insignifiante, ennuyante et qui accuse dix ans de retard sur la télé-réalité…Bref, un choix très consensuel et partial de la part du président Moretti qui a peut-être voulu rappeler le précédent long métrage du cinéaste italien qui avait déjà obtenu la même récompense en 2008 pour Gomorra, un film audacieux et sulfureux sur la mafia napolitaine. Quant au prix de la mise en scène attribué à Carlos Reygadas pour Post Tenebras Lux, il s’agit certainement du film le plus soporifique de la compétition, fort mal accueilli tant par les festivaliers que par la critique. Si, à l’unanimité, on a reproché à cette compétition d’être très machiste – seules quatre femmes cinéastes sont représentées dans les sections parallèles – Cannes s’affirme, via son délégué général et son président, Thierry Fremaux et Gilles Jacob, comme la référence mondiale du cinéma, la « salle de cinéma » où il faut être vu pour assurer la pérennité de son art puisque chaque film est un événement en soi, qu’il soit porté aux nues ou descendu en flèches !

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DEMANDE… A tous !!!! Pendant l’été, pouvez vous nous envoyer des cartes postales afin de décorer le mur de la salle d’attente ? Que vous partiez en vacances ou non. Merci d’avance !!!!