,il

ttlrii

illlrliiililrriir

illiiiittiiriil

liilitriiiillffi

Lliliilri

ililli

I ; | : i -itr

II

t--L--

rTpffil

-llrhit-t. [uh,JoK]

0nfr[

r $fii; I .ih,5 ti: Ur, 'L i,.}fir».I

fiul rt-pL,!düI-t,r.(fuiLrü,,rË 0J \lu-I , rù:tç

§\,h\fl0u.*[ i'rrt]tü -l-n,],

l. - tiæomirus'rr§map,üI0(qwm.+

n6\,]\iV70" rqJI e.{àdÏd i§rrffz ü mn§nrm§ trrt lm rcDnnn 0n -t on

t0n% )

r -- h.mü[eîfi$,qfifli'- fonD{z ü-ffi5§il tmTIhrtorlls an ton+-

- \r. l\aL'r:\ \Æ r'-\

c.loü\ü fiDrioTÉ IN0[r-i\Ê ', mr0m.üems daNurtsulondz üia)

. (n'§f[bnrmo,_m]n§fr[im;: ) en'/."

ü. [Ë[(D CE Ric0ffirr0 r NrnmfizdtrttonrsqÜoum,Mnffp *]ounqe

-_ u,Wr@Ô $o , ,@ quzçaf agoalmNWun muouni-

l

l

1

I

l

l

,l-l

l1

PI PVD Amffi & tr§Xnl'm

txtn]} ^§%o 2§%._ 50 7oo.t€r1,11 ù ænalrc : ffi z, çRlD)üfiqqfficfi cJù' Caunwnnant,

tx tffxl,- * l2 "1""

rr0û inç- '< 5'A"

M§\dT

t§§ 0e{. ÎC qns

g, ton\on doncqcuruq\yr

r\ o$ CQ 2 [Ses ;

oBd§

Çu ie§orrlàu h Ftuqrn ; lr\ to} ün inl0z &-ffiuirô & 2, I

o{qs§dmpil ,r.b\,BJICçL,f,bmM. _

o hEs?Nuaxs rffi\quo Jfb, oJbü,\Mq\xt

-â.éA" üpo\rz ffiuruhsnrrm -ë4'6 lcnocoto sûbtrorcu

ii ^C]

Aô. '. rl/\ A'^ . tïrr.irl ' (T\^À;i

B-

=e6ËE ...

=-fr

\*u

TI

// Structure & évolution de la population.

1. La pyramide des âges.

La pyramide démontre l'état d'une population [démographie] ainsi que les provisions futures de lapopulation.Les homes y sont toujours représentés à gauche, les femmes à droite. On y représente environ 5générations (0 à 100 ans) et on y voit le "sexe ratio» [rapport homme-femmel.

La pyramide représente des aspects importants :

- Effets de guerre- Visées économiques- La natalité- etc.

Lorsqu'une population tend à diminuer fortement : classe creuse.Lorsqu'il y a une augmentation très importante : baby boom.Lorsqu'on réduit fortement la natalité : baby crash.Lorsqu'il y a plus de vieux : papy boom.

2. Les types de pyramides.

Pyramide à base large.

Pyramide à base étroite.

- Typique des suds (PMA & PVD)- Population jeune- Taux de natalité élevé- lndice de fécondité élevé

- Typique des nords- Population vieillissante- Faible fécondité- Faible natalité

Donc, Ljne espérancede vie assez faible.Ainsi qu'un déséquilibreentre actifs & inactifs.-Logemehts, travail...

Forte espérance de vie.Population vieillissante.Faible natalité.-Charges sociales, EmsLoisirs...

,.1\l r1

t.a\

't\Itir\

,.tt\

t\il

r\rIa\all',

**.*.-*:__-.___ __. i

*F'\-t:-

i ,'\,d.\,

,.' tr.!,i rarf..Jt_t\*.. i f'\.,',r,,'\

{a\É;1

t- .-.---,--l

3. L indice de masculinité.

L indice de masculinité est le rapport entre les naissances masculines et féminines.Au niveau mondial, I'indice est de 1,05 [soit 105 G pour 100 F]. ll y a plus de garçons à lanaissance mais, par contre, durant une vie ce rapport s'équilibre à cause de la mortalité, plusprésente chez les garçons. [guerres, travaux manuels...]

4. Analyse de la pyramide démographique de la chine.

La Chine comprend 1,4 milliards d'habitants. Grace à une politique anti-nataliste, la populationconstitue aujourd'hui encore 2O%o de la population mondiale conke 25o/o en 1950.

- L'ONU estime que l'lnde dépassera la Chine en nombre d'habitants d'ici 25:30 ansphine : 1,9 // lnde : 3,5 par femmel.

5. Les facteurs explicatifs.

(1) 1 959 - 1 961 : Une grande famine a touché la Chine avec «le Grand Bond En Avant, qui avaitdésorganisé les campagnes...

[Mao Zedong : 1 949 - 1976 u

(2) Baisse de la fécondité due à la polilique de "l'enfant unique"; on passe d'un indice de féconditéqui était à -6 dans le courant des années 1970 à 3,5 - en 1980. Aujourd'hui : 1 ,9 enfant parfemme.

(3) Beaucoup plus d'enfant malgré une politique anti-nataliste qui perdure.Car : Beaucoup de personnes en âge de fécondité.

(4) Baisse de la fécondité dans les années '90.- Moins de personnes en âge de fécondité.- Légère récession économique en Chine.

(5) Déficit des filles,- Avortements & infanticide de filles.

5. Prévisions démographiques futures de la Chine.

a. Plafond démographique en 2030 avec 1,5 milliards d'habitants.La Chine connaitra ensuite un décroissement démographique [bilan naturel].

- l- lnde sera alors plus peuplée que la Chine, son indice (3,5) de fécondité étant plus haut.

b. Une population qui sera de plus en plus vieillissante : Le 3ème âge sera 2x plus nombreux dans- 25 ans.

c. Un déséquilibre entre les sexes qui sera difficile à éliminer dans le futur.

6. La transition démographique.

"Passage d'un régime démographique ancien (traditionnel) à un régime moderoe.»

Se passage se fait après plusieurs phases :

1 : Phase primitive : - Forte natalité & forte mortalitéFaible espérance de vieFort indice de fécondité

Donc un accroissementde la population trèsfaible.

2 : Recul de la mortalité : - Progrès de la médecine & de l'hygiène XIX en Europel.

3 : Recul de la natalité : - Moyens de contraception.- Rôle de la femme.- Evolution des mentalités.

4 : l,-a,mortalité dépasse la natalité. [bilan naturel]

8. Facteurs explicatifs de la faible natalité des Nords.

- La femme travaille.- La mentalité à évolué > Nouvelles préoccupations.- Recul de l'âge du mariage & l'âge du premier enfant.- Les études de plus en plus longues.- lnstabilité du système économique (crises).- L enfant est considéré comme une "chargê".- Diversité des moyens de contraception & lois sur I'avortement (lVG).- Volonté du couple d'avoir une stabilité :

- Finir ses études.- Travail- Appartement.

9. Facteurs explicatifs d'une fofte natalité dans les Suds.

- Pas de moyens contraceptifs (coût).- Les enfants sont une sorte "d'assurance-vieillessê» & de main d'oeuvre- Taux de mortalité infantile élevé. On fait donc plus d'enfants pour "corTtpêtlsêr».- Lâge du mariage, du premier enfant : précoce, donc + d'enfants dans une vie.- Raisons culturelles eVou religieuses. * avortement * contraceptif.- Manque d'information & de prévention.

(uy,lb*"|' \L

"I

amÇt§

tCI Ch\lÊ :" \,h\\§ d'r^'08

Figure 2 - Pyramides dcs âges dp la Chine

90+

85

80

75

70

65

60

55

50'

A5

40

35

30

25

20

l5

l0

5

o

90+

85

80

75

70

ô5

ô0

55

50

45

40

35

30

25

20

l5

l0

5

0

15 t0Effectif en millions

15 l0Effectif en millions

l0 l5Eflectif en millions

ties3-l

WoMMEil

B0€ \oroa. laleje,

1æful du ctouq;fibrO

ô. tjrûlca ft rnsootrûi\0

\r§.

Nù n\\mrJ tito0trtl

Ano[P t n pyornida &mcryoüHJa ù bffinz.,. rQ51 - Ilhl , grQrüo tôsttpo §rlÉ._n chmCIoc " Là Ôrordmnd zn A\onI- ,,

qui cNoü cusrpnrsz ES cornÇ0qrE5 -.[\rlCIO ZaôfÇl -+ t 9 ,151

r* $0tso CD h

O M,s'-Çn5 dfficqroËi\quæ {uuras @ b 0nrp.

§ offiB f#*ôôt§.Ut§[&opvüqùa t\âbnm\urzr )

tNCa szn ublS'O læulm que b cYlm,..

l. ,/ Cr\\m ( l,q)* \ hü i s,s) _ rndicr d2 k(cnci.

W Scrr

crclclsrBmenl Ô n

ino & hçq ron ]X,r rq" A,rop.

tor @ kul ôtt lo

rlhoçe 0 Lc\ Mcft0ru &norr, tct

: aIDarDâQf\l:

CÊ. 'Êa-Çn1ulL axc0Ê5Ê Êor roÇçcrl clu (Qsrur@s uxpbrpasI dr,n c:pcrp, qâlcÊniqfz,.

ifl z)l2,,cn r? Qaÿ por\a dur\ srpaJüa Imt nffic. ,rr,onb.. ..-dlCI\lcs rÔqlcng r\Cks Çorrtci\6), càtT axp\cittro 1Àrtl'CIVr.-..-{Ev\SnOtZ

i rf0\fiL10n\Sru,

M,qnu')s, (rc[0iri\3!a Knn\q\D

lOUtLt f -,

!s üs \iai ù n üo'rsornz &tîcQromiqp._

- Clifi'oflnl{on

§ilhons

- Qt3(nr,li0

--- QlüQiZ

\li'umsdiffirlrrizs

cmnrn0nt forfrlf cora6me \5sl§.0mniton}S dû ?1313

(ct. n\-î[Dtftæz cnu) ? I

Smn l0 mt tO(QntSOIi0n Ct1i5161r0 Poüf l0\irnm!0\i0n

e lOafiur\trttO l, los drçoniDr\itb o\irytnio\fa3 ÇoJrorül1

&sgvir ô, l0\\o-- croü&uamp&' conrut0s \sKz3^ t6po«zs qicoiZil àtarrpUü LorÔræ.

s hnc/ü e oauÙf 2 6 §JrüJ5 L rcoh iôo ,§iia ,' i.- hrnrruer \0 aof§orrrrnr{on \rcQdB@ üs Mû3

I trqenm^s mionqrn^r plrnortora i

I \§A e.ED I

I .{6;àffi iumùn - 25ffii*

I fHR*+ lç00

ffoDl?Inùliqu0 de E Qlt urorl cwnrlpa.

üurson iErn0ligTp du [oürl .,

* t§ÎÔs ' Pmui§ ?rns / rnnutæuras .v xlu\c naJr qrjl?,0

=ï, \§s ' prcd'Jiis ü, htg /) h'bE, v0a-r qûJt0z

, N0_E t')0..J\lA COQ ArfOlftqrp, \nfür'ûüt$Cri.

tollUfiTncio\i:tQ lI Lr2S t6;r0Jru.5 .,(eprJi§nt. ' mnsmc"^cn ilQ if\tCIn3a.,,

pcir tcÊIl ! C\ I rcnqlü\tanEni,,

AirËoçPJ Ps Ônaqiæ rüxü'ldc0lc§. -+wüe rnrgiruüx.

§r'r,,)5p0,tL3,.. Utl\isbo up ct'ton,iic8 lruin,al)iu... I

---' po\iviquQ, i RàoDllr

j mürrglffZfMlLQu i

: -ou6[# & \lHnà

;c4,eüFeI$

qüffoJ

cu nma qü fiZËi, ms

th[i ,$oqrrrqnaollnürIrM son qq;lon @qromiqus 1

1majrS aÇlfoiP§, Mrwil-W 6 EnuErL+d\[onu+{oclgiuæ crf,irc

=-ù I"

I u0 an ættunâ «rren(on

l*nclQüx * rcrnb@x=

:

un oqu\\iDra anHA Ps N01G &_ P§ BsS _

6\ws, UpmH/tgTilr.0 ni;mü &, çorrûiorle\ [q n0t,0tri0,

\À

- ;0tÇmcn-hm-oumÿ\[rnr\'1S aNarm.

!ri-

++

--+-+-+

4)rt*qqn$i-jCIr§^ |

I

o. toco5 ün(p- I

t) llüiq\P. c[te ùnô E3 oûf]ios 1160 - v6rô,r]a{ia} I

-+ ï.§tq

q'tuffrtss lui è{oin} irc $entuiala* -î"^ Ç;* ; ; I

" tl,[ryüü$'K

r#rysm]- 1r^9, ** l, §fuu*^ n* It) fl'ffifl'Ï%-., I

rô§ulro[ r bnnrntç, ,u'BüIÿh,* I

&, -b à lb" oul$dhü-. -^ffiry.^$e**, I

A\0cn ÊâD\uti0noji\uraz(bb-1b),\rtr0ffiq ôfnh ûr\ i'tæz I

f/,'[:l:?,ffi.pryn /tsit"'qr,*p {ire I

I_$l ûrur» f;m wf*mtwiqifli#J'-,s,ln,r I

*\Hffi'il:*"1c.ts sp«.it*q,es h yori.;qws aryrris,os(+)

'ü'P#o' ftra $ l

a ' S,{iliQws hristæ , t0f6û0t$ fpnroux, 'Untdrrwtcrs']. ,,,. I

a ' FIUq\.Efl dintûruicidG o'Jûrln usiiâa. &s ÿngure itrrila"rs) |loYij?â'^o., I

l

txüu,Jz f 6? 4 $uorüfffi0,dlttmice@lâ0r0if, a{p'o* Hdstquo

I

r. [rtts rQius canrolsanl u O & ro'or$é ün q orU '] I

'J. Cofffrü}Àüiqrs@loclti$nÉ 1 I

i:nJellt§ rrpsLrres purria.ur» an\fisF trl ddu-tia qu{oæÉ ? |

qre wnnaueof .il 'rMuiqua pqmjl ùr t rp0da 1. I

I

)

moir

--1+++-

=

:

{>+

t-:

=

={çdr-$æ L'nrnlsl" eoN hpe,,, t CJbo oüx thA.

@'t'BmH\oe@lM,ün bùris2 6LEnsûÀa0ilr1rrÊ u s l\#imP Qû rorB/ n*\wr f"crs Ü, M-lu\ â FAr G rorgns ü. bisrs.

ro toüftyrP, ftffi)m]onl\

È t{7.ÔuÈùB troÔuùr§\icmBfui0)m rmEnru .

Lb[w\] (pQ(:E ÊOf Kup§ E§ 6tuÈtnub rIT E +ernnrre.

" ulorÊ Fxtr Ûryyfr1t L\riorl üu rtr)ilsrrÏz (ND) = t§iô\$2,5. Lril'i. ) \

N mrlH0ifo t§ plQui cru r)rïdmrcfi1raltr{ilarrn lr{br}zu€â(3s 7.)

A0'"$\lr}BmI sJl T4 tlrrtfp , F(( ?,1"\ mft, pc»r urfllD, § 3 X»n'JrTà

§efrcrda c6l tcü\a tæunia Q§r lcfi\M

ô) IQ§ {o\?§ H\qfonir6,

Dlafru,l0tfs, '

- rn\gGtbns F\tirqwo

{oJri$a

b) (foparrs,

tnrqre (lmffi UBffit h ôid.L.ro drl\H;'f-'

unp:Êqqpto,$ctirtQ,, . )

flsa, Orüp ou ùrd, flmr0nia, ülim.,..

- nqr$iom âconorrtqrsô ' \hqüe , brz Ô thtilqtr :

(t\lt\ru,srm\0, §lË0r1, ÇIniopiL . )

'{n#Ü ! ( W1gqnrcr,,1uu§a )

ffnftqü ,ktqtc, (mb Anporltt * Otqiba§

[Sio,\rdcrpsio,kr[çprnas,.. Gm: üi prlioJlrRrficm (hr» tü"3)

rt

r'ffi*fu1gp*,r(rcrie,rn,e

€nurl0 uimmn! U Cgfgde 0 [N§U.ti',

rrrF--

-fnqfüicns $ittqtvs I- nrqmioD 6cncrniqtmJ

t \s hmlr. nmtflsur\rû+6raqru:-o Flilit}E rr.ViCXrlZ

-D attr{. hlJcù?ua

[[[Lb --k n*arn*=''rn

r Dàrthon &, 0 rnrhon & '[c[0" i

q Wnt[utbhqq\-P$E tc[a. osâ{]00.6 ['ôNrd§ o\pnt h NErEs cormdbttq\r6l

Ç[lLFtqmb d boh$q\6

r\:torrrrlfil- enilarü. O pqu, coEu h chavax,...

ûrt0ût,du pnrÏ doùDbobgqrp,onc§lorcieruqLp, I'Fomrrc, esy urp çoraq

F0 anna[-+ h[rns]p'6§ §lpre

w0 rclim o[)or0r] §ajlüMl[0u n€msx2&oEctesouorr? &§f0nffnt\{h tqoDa dTornrrh qui onh 6 rr[rfts mrmâotqm d Qui 6pm]oir§ u hm urp,r0[10r1)

't trrPài0li§rnâ mhniot (h tm. mm sBirru slÉtlna o\tÀ ouuur ).

- ttüQs Prqcnrnnr§}æ t tWm pt \[tta )

e@plnUq m$&\avtcrqarc.uâmimqrumpnrqu

Cf\ $&fu trrE d-dtrnq (grûm frurruns oux uuqc[rliuiqua cuturçi6 offrnuffb )W.rnW. prr?§hs\cnab..

[fi urp 6nni0 ri'ASl E]s sJEr"nu o-lturzlE, I _

I U*rfr pl n]hcns tsmrrci&nl il\clrtsC, üas qrq],b ndifirux spâüflqws nr -

& ôirnlaô mff1,tnür6.

@t\ üôoffÉ rnrmmL o ca,r qriiliuiÉi;

q.N0i:snaed?s Wfiilde"Süutiûnfiûqû'0 0 Z'*qrura rrûmiola o\pr n rmû da . bnio da ]uit5

nncfrr4Ô hry,5 0u crn'müqr.

h tli ft^nt0q m nqh0rm lil[§8/Trls'rh.

E§''Lrsp{Lt'4RÜgxvr. Ct Wr&hcn {roCiCrlE/râ:nrrcûï0tr/ lotioE) mt\ cn tlnm, mr M fintorrrlr

\

\*

[mul nûq\o'r nôs ou ffiaa. oP6 üC.

uu.pceqaltE[ tDru ) ü an§mpf op@1,l mmn§ §inciPux' -ôtrorh mÿ,)

§mgotqecu:exodpsaru o*üiPW\ES**mmû" u\tar dacr,t* e$-P, $2rn0 'es

i

h0mt6s..thchoryft,t0' sff{NM|NÈÀJra,Ô'r§srl üI 6Lur § qrs$ïon

: §r-6$cn wqm--NrrL§[§g&

iurmuüMcn ùsotuqlÇoJr hÂd\ilcti --PcufksmW$

qu' cdhmot b, rna§$cmdulwelhrpmll

@nsh rJrts.-,

Un m\0, 50\\iÊr5 ùr,s nrdirycrnlrusulmm-,

-_Uoipp. m âlhh.

;tiâe ôx_prprc

Àmyo.ûlfornoùft

*ffifpôb}hqÈÉ mm'rr§ urEEs ÉNnrrD,

^, f[ur$iD- Mnrgouf$§&munn )

ü,smmiffiU'rrffirf rnAOtlof ttmomp,'ro!ôE§Uffi LPtB@on -qïf r\E tplû-

QruUmUtl qul !§01 Ô n§\)ttqr4-hca,.

ù fm0,eN- ksit&'E m@If0lor[d).

0n $r\EN -n ünnÀ & u Sry+\ *m so\rùo-mflosdumn'

eE@qrff§

-tr.frfu]Sû" {bmnfnonisilo) ,fuMÉ0n &,drüinMstm 0 onrrrpts '

i:trrmrYlo-tüd§lffil

r UËrmr(mnuruai)

r§,ntmsanült)]L rrcrf&- rff$ù§o û .L qlirg (ul,e [ÿ[t]nÉia qrl ubou §tr0lu$ru§ Frci+as.

. \!;çtrmr ,_hjhç1üg d40[8.

C,oslasL chstm

SOCEUS

-l

I UrC\darpru, k$ cm\æ soil, inr,crdrtcs an 1n&,,ou]orrôhrir

b* tahdhiuna,

. . V-.- , --...-.. .- I --

r hu} ôrcqtq\T E Lm $r orcrrüo nffi -

d, CI C0t\tt)CionrôrrE r

a^ t0 Chinh'srp ,

MiqiÇB[o nFm§Q, qui rJma D§ TEIc§

+ trnyax

hqosiu qutrhrin16 hræ$ rolufd6.

=.,' lir@ a\xsC06 pfurltHu6;ngrmas

Id[trs d lmqmru

mDas\UrsunsPUæts

I to §lrcrôI'Ery,a rdqrâJx . [a\ ü, çocor\rriùra topa rca à gunars cqlonbMq,tatX (hB\O). -' hordhrut, Mrûhilvrp.d oÉrnix

ft')rr rfi tdrnnai..\ü-