DÉTRESSE ET L'ENCHANTEMENT - Le Théâtre du Trident · François Ricard, auteur de la biographie...
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PROGRAMME DE SOIRÉE #252 | GRATUIT
Sur la photo : Marie-Thérèse Fortin | Photographie : Stéphane Bourgeois | Design : Marie-Renée Bourget Harvey | Production : Nicolas Gilbert
LA DÉTRESSE ET
L'ENCHANTEMENTDU 6 NOVEMBRE AU 1er DÉCEMBRE 2018
Montage dramaturgique MARIE-THÉRÈSE FORTIN et OLIVIER KEMEID
Coproduction THÉÂTRE DU TRIDENT, THÉÂTRE DU NOUVEAU MONDE et TROIS TRISTES TIGRES
TEXTE DE GABRIELLE ROY MISE EN SCÈNE OLIVIER KEMEID
#montrident
Une présentation
« Assise devant moi, dans ce chalet dont l’air refroidit lentement parce que le soleil va bientôt se coucher derrière les collines, beaucoup plus tôt que partout ailleurs, elle se lève soudain et change de chaise, avec une énergie de tous les diables, se rassied, se relève, imite un accent, se rappelle la Provence ou l’Angleterre, un dîner dans un château, une rencontre à bord d’un train… »1
C’est Jacques Godbout qui décrit ainsi Gabrielle Roy, à la fin des années 70, alors qu’il lui rend visite dans sa demeure de Petite-Rivière-Saint-François — là où elle a écrit entre autres La Détresse et l’Enchantement. En tombant sur cette description au milieu de nos répétitions, nous nous sommes dits qu’elle résumait à merveille toute notre entreprise : celle de rendre de nouveau vivante, présente, cette haute et grande figure de la littérature qu’est
Gabrielle Roy, afin de la faire aimer à ceux qui ne la connaissent pas et la rappeler à ceux qui, comme l’écrit Godbout, « depuis longtemps la suivent à la trace dans ses rêves et ses goûts de tempête ».
Ce spectacle est l’histoire d’un rêve depuis longtemps enfoui chez une jeune comédienne qui avait lu La Détresse et l’Enchantement dès sa publication en 1984… Ce spectacle est aussi l’histoire d’une grande complicité : celle qui nous relie, Marithé et moi, depuis plus de quinze ans. Il est enfin le fruit de rencontres déterminantes : celle de Michelle Corbeil, directrice du Festival international de littérature, qui nous a offert en 2009 de présenter une lecture de l’oeuvre pour célébrer le 100e anniversaire de naissance de Gabrielle Roy. Celle d’Anne-Marie Olivier au Trident et Lorraine Pintal au TNM,
qui nous ont invités à en faire un spectacle de théâtre en coproduction avec Trois Tristes Tigres. Celle de l’écrivain et professeur de littérature François Ricard, auteur de la biographie de référence sur Gabrielle Roy, qui eut la charge de publier, de manière posthume et selon les voeux de l’écrivaine, La Détresse et l’Enchantement. Sa confiance et son appui à notre égard furent toujours sans failles, et nous l’en remercions vivement. Enfin celle, essentielle, de notre chère équipe de concepteurs qui a contribué avec finesse à recréer des paysages aux horizons infinis, intérieurs comme extérieurs, de Gabrielle Roy.
Bon spectacle !
OLIVIER KEMEID et MARIE-THÉRÈSE FORTIN
1. Jacques Godbout, « Gabrielle Roy : Notre-Dame des Bouleaux », L’Actualité, janvier 1979
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Quel bonheur ! Je me réjouis pour vous. Vous allez découvrir ce spectacle tout en finesse dans quelques minutes. Vous allez voir, c’est un peu comme partir en voyage. La merveilleuse Marie-Thérèse Fortin nous prend par la main, par le cœur aussi. Quel travail d’orfèvre, de précision, de délicatesse et d’intelligence. Elle interprète tous ces tableaux et c’est comme si nous y étions ; nous sommes un petit élève de sa classe, une infirmière dans la chambre d’hôpital ou encore nous sommes un passant dans St-Henri.
Comme c’est émouvant de partager certains moments d’une vie. C’est ce qui me ravit, entre autres, dans les grandes œuvres littéraires ; on sort complètement de sa vie, de son corps, on quitte tous ces soucis qui nous pèsent pour aller à la rencontre de l’autre. Cette autre, ici, c’est Gabrielle, avec sa soif éperdue de liberté, son infatigable curiosité intellectuelle, sa grande fragilité, sa loyauté et ce désir
de venger les siens ; une vengeance entremêlée à de l’amour... Et ce déchirement, entre la détresse et l’enchantement. N’est-ce pas ce à quoi nous sommes tous et toutes confrontés au cours de notre existence : de grandes peurs, des trahisons obligées, des ivresses salvatrices, des joies pures et des découvertes qui nous aident à vivre.
J’ai dû voir le spectacle plus d’une quinzaine de fois et je ne m’en lasse pas. À mon sens, c’est un spectacle qui donne le goût de lire et de vivre, qui donne le goût d’aimer aussi et de danser avec les grands vents fous.
Je vous souhaite un automne parsemé de feux auprès desquels vous pourrez vous réchauffer, à l’image de ce spectacle.
ANNE-MARIE OLIVIER Codirectrice générale et directrice artistique
GABRIELLE ROY Quand elle entreprend l’écriture de son autobiographie, à la fin des années soixante-dix, Gabrielle Roy est déjà une vieille femme. À plus de soixante-dix ans, avec derrière elle une œuvre colossale auréolée de prix, elle voit défiler à rebours sa jeunesse perdue.
Elle se revoit telle qu’elle était alors, elle revit tout, ressent tout à nouveau. Fébrile, elle replonge intensément en elle-même. Mais en mesurant du même souffle la distance des années. C’est là son grand talent.
Celle qu’elle est devenue pose sur celle qu’elle a été des yeux parfois rieurs, parfois tendres. Et souvent étonnés. Comme si son passé ressurgissait soudainement. Et qu’elle devait se le réapproprier pendant qu’il est encore temps.
Le 13 juillet 1983, à l’âge de soixante-quatorze ans, Gabrielle Roy sera emportée par une crise cardiaque, après avoir été transportée d’urgence à l’hôpital Hôtel-Dieu de Québec. Elle avait décidé de passer les derniers mois de sa vie dans son antre estival d’écriture, à Petite-Rivière-Saint-François, dans Charlevoix.
La Détresse et l’Enchantement, paru un an après sa mort, est demeuré un ouvrage inachevé. Dépressive, rongée par la maladie, Gabrielle Roy avait commencé la suite : une soixantaine de pages, marquées par le deuil de sa mère, morte en son absence au début de l’été 1943. L’ouvrage sera publié en 1997, sous le titre évocateur Le temps qui m’a manqué.
« Quand donc ai-je pris conscience pour la première fois que j’étais, dans mon pays, d’une espèce destinée à être traitée en inférieure ? » C’est la première phrase de La Détresse et l’Enchantement. Cette phrase va colorer tout le reste. Le reste de l’autobiographie de Gabrielle Roy, le reste de sa vie. Et son œuvre tout entière, dont on ne cessera de louanger la grande humanité.
Texte de
DANIELLE LAURIN
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« CE N’EST PAS PARCE QU’ON NE SAIT PAS OÙ ALLER QU’ON VIENT DE NULLE PART »
ENTRETIEN AVEC OLIVIER KEMEID
Rabelais, Lautréamont, Virgile, Sophocle, Shakespeare… Tout en rédigeant ses propres pièces, il s’est frotté depuis plus d’une douzaine d’années aux canons de la littérature universelle. « Avec La Détresse et l’Enchantement, c’est la première fois que je m’attaque à un grand texte de chez nous », s’enthousiasme Olivier Kemeid, fondateur et directeur artistique de la compagnie Trois Tristes Tigres.
Mais cette fois, sauf pour les coupures qu’impose la représentation scénique, pas question pour lui de réécriture. Pas d’adaptation du texte, en y entremêlant des éléments biographiques comme il l’a fait par exemple en 2007 dans son premier grand succès, L’Énéide, qui reprenait des éléments de son histoire familiale marquée par l’immigration en provenance d’Égypte.
Tout comme Marie-Thérèse Fortin, le metteur en scène montréalais né en 1975 veut faire résonner à travers la comédienne les mots, la langue de Gabrielle Roy. « Je n’ai pas à me questionner sur la valeur de l’œuvre, comme je le fais en tant qu’auteur, mais sur sa transmission. »
Le déplacement, le voyage, l’exil. À la fois mental et physique. Ce sont des thèmes chers à l’auteur de Moi, dans les ruines rouges du siècle, pièce inspirée du parcours du comédien d’origine ukrainienne Sasha Samar, et de Furieux et désespérés, dont l’argument est le retour au pays natal du père en plein Printemps arabe. C’est aussi sur ces thèmes qu’Olivier Kemeid axe sa mise en scène de La Détresse et l’Enchantement.
« C’est une traversée des mers, le parcours de Gabrielle Roy. Et une traversée du miroir. Une traversée d’une étendue sans fin… J’en fais une métaphore. Je veux m’éloigner d’un réalisme qui pourrait confiner à quelque chose de muséal. Je vois un plateau un peu nu avec cette idée d’immensité qui peut à la fois représenter les grandes plaines du Manitoba, l’Atlantique… l’appel d’air. » Pour le directeur du Théâtre de Quat’Sous, qui a fait des études en sciences politiques avant d’être rattrapé, ou « réchappé » par le théâtre, comme il le dit lui-même, et qui reste sensible aux tremblements du monde, La Détresse et l’Enchantement demeure d’actualité. Entre autres par le questionnement sur l’identité auquel Gabrielle Roy nous convie.
« Bien avant de nombreux Québécois et Canadiens-français, elle met le doigt sur les troubles identitaires qui ne peuvent pas se résumer à une seule étiquette. Je trouve qu’au Québec, on est dans une drôle de passe sur les questions identitaires. » Il montre du doigt la Charte des valeurs. « C’est une période assez trouble, qui me heurte par moments. »
Il se réjouit de pouvoir reposer, avec La Détresse et l’Enchantement, la question de l’identité d’une manière différente, tout en s’interrogeant avec Gabrielle Roy sur ce que veut dire écrire en français et être francophone en Amérique. « Parfois, il faut aller chercher dans le passé pour avoir un nouveau regard. Gabrielle Roy fait partie de ces auteurs qui nous disent que ce n’est pas parce qu’on ne sait pas où aller qu’on vient de nulle part. »
Propos recueillis et mis en forme par
DANIELLE LAURIN, AVRIL 2017
FAIRE ENTENDRE LA LANGUE DE GABRIELLE ROY, PORTER SA PAROLE
ENTRETIEN AVEC MARIE-THÉRÈSE FORTIN
Marie-Thérèse Fortin porte en elle depuis longtemps La Détresse et l’Enchantement. Sa découverte de l’autobiographie de Gabrielle Roy remonte à la sortie du livre, en 1984. Alors au milieu de la vingtaine, jeune comédienne, cette native du Bas-Saint-Laurent benjamine d’une famille de dix enfants se sent happée, traversée par le récit de l’écrivaine franco-manitobaine. Elle en ressort bouleversée, mais ne comprend pas trop pourquoi sur le coup.
Elle en vient dans sa jeune trentaine à faire un premier montage du texte, qu’elle lira devant public au Carrefour international de théâtre de Québec. Elle en reste là, sollicitée par sa carrière d’actrice, de chanteuse, et bientôt par sa fonction de directrice artistique au Théâtre du Trident, puis au Théâtre d’Aujourd’hui.
En 2009, année du centenaire de naissance de Gabrielle Roy, Marie-Thérèse Fortin fait appel au metteur en scène Olivier Kemeid pour offrir une lecture publique
plus approfondie. Lecture qui sera présentée au Festival international
de la littérature à Montréal, puis dans quelques Maisons de la culture et au Trident.
Les années passent, mais La Détresse et l’Enchantement continue de hanter la comédienne invitée à jouer dans la comédie musicale Belles-soeurs, occupée à la télé par son rôle dans Mémoires vives qui lui vaut deux Gémeaux et par celui dans Boomerang, salué par le même prix.
Animée par le projet d’en faire une représentation théâtrale, sans texte en main, elle ressort de ses tiroirs son collage initial, faisant appel encore une fois à son complice Olivier Kemeid.
Comprenez-vous aujourd’hui ce qui vous avait tant touchée dans l’autobiographie de Gabrielle Roy à l’époque où vous l’avez découverte ?
Je pense que c’est sa quête. Son désir de s’affranchir de sa condition première, de se libérer de toutes les contraintes et d’aller vers qui elle était vraiment. Ce qui m’a touchée et me touche encore, c’est ce qu’elle sent à l’intérieur d’elle-même et qui l’appelle à se dépasser, à se révéler, à réussir.
Vous vous reconnaissez en elle ?
Je me rappelle très bien la jeune actrice que j’étais, qui piaffait, qui avait donc hâte de pouvoir livrer tout ce qu’elle ressentait à l’intérieur d’elle-même. Et je viens moi aussi d’une famille nombreuse, modeste. J’ai grandi sur une ferme, à Métis : il n’y avait pas de théâtre. La figure du père dans La Détresse et l’Enchantement me fait penser à mon père, la figure de la
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mère me fait penser à ma mère. Il s’agit de ces petites vies provinciales de gens pour qui le travail était tout…
Comment vos parents ont-ils réagi quand vous leur avez appris que vous vouliez devenir comédienne ?
Je ne leur ai même pas dit que je passais des auditions. Ils m’auraient regardée comme une extraterrestre : c’était à dix mille lieues de notre réalité. Je les ai mis devant le fait accompli. Je n’oublierai jamais leur regard quand je leur ai dit que j’étais acceptée au Conservatoire d’art dramatique de Québec : tout à coup, ils m’ont vue. Finalement, tout s’est bien passé, mais je sais très bien de quoi parle Gabrielle Roy quand elle dit qu’elle voulait échapper à son milieu.
Qu’est-ce qui vous frappe dans son écriture ?
Sa voix, ses mots et son regard sont d’une telle humanité. On sent que ça lui est passé à travers le corps avant d’être restitué sur le papier. Je n’en reviens pas à quel point elle arrive à nommer des choses qui demandent une profondeur, une acuité, une sensibilité. Il me semble qu’aujourd’hui nous sommes devenus
plus cyniques. Mais Gabrielle Roy n’a jamais renoncé à sa volonté de donner une voix à ceux qui n’en avaient pas, avec élégance et grandeur. Il y a une telle force de vie, tant de beauté, de bonté dans son écriture, que j’ai envie de la faire réentendre. J’ai l’impression qu’on a besoin de ça dans cette époque si sombre. Si on a un appétit pour les grandes voix des écritures étrangères, je pense qu’on doit aussi se permettre de redécouvrir les grandes voix d’ici.
Comment passez-vous de la lecture publique à la représentation théâtrale ?
Il y a quelque chose dans le récit même de Gabrielle Roy, dans sa façon de raconter, qui est très visuel. Ça lui vient peut-être de sa passion pour le théâtre : ça crée une image tout de suite. En plus de l’auteure, il y a d’autres personnages à camper, et ils nous sont apparus très clairement.
Seule en scène, vous interprétez donc tous les personnages ?
Je les fais exister de façon très simple, à travers le jeu, sans changement de costume.
Comme quelqu’un qui nous raconterait une histoire. Gabrielle Roy adorait faire ça d’ailleurs : faire des récits en mimant les personnages qui intervenaient dans ses histoires. Son côté comédienne va ressortir.
Elle avait ce talent, cet esprit très piquant que j’utilise.
Vous incarnez Gabrielle Roy à différents âges ?
Je n’incarne pas Gabrielle Roy, je porte sa parole. Ce qui est très différent. Je ne l’ai pas connue, même si on habitait Québec toutes les deux. Même si je l’ai vue en entrevue dans des documents d’archives, je ne veux pas être dans le mimétisme, dans la personnification. Ce que je veux, c’est prêter ma personne et ma sensibilité à son texte, pour la révéler à travers son écriture.
Propos recueillis et mis en forme par
DANIELLE LAURIN, AVRIL 2017
Textes tirés de l’Emporte-pièces 10, Théâtre du
Nouveau Monde, 2017-2018
LES ÉTINCELLESATELIER CRÉATIF POUR LES 6-12 ANS
Alors que les adultes vont au théâtre, les enfants improvisent et créent. Du théâtre dans sa forme la plus ludique, joyeuse et spontanée.
PROCHAINS ATELIERS : Dimanche 18 novembre à 14 h 30Samedi 30 novembre à 15 h 30
Information : 418 643-6389
DISTRIBUTION
MARIE-THÉRÈSE FORTINGabrielle Roy
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La durée du spectacle est de 1 h 20 sans entracte
ÉQUIPE DE CRÉATIONTexteGabrielle Roy
Montage dramaturgiqueMarie-Thérèse Fortin et Olivier Kemeid
Mise en scèneOlivier Kemeid
ScénographieVéronique Bertrand
ÉclairagesEtienne Boucher
VidéoLionel Arnould
MusiqueStéphane Caron
CostumesVirginie Leclerc
MaquillagesFlorence Cornet
MouvementsEstelle Clareton
Accessoires Érica Schmitz
Assistance à la mise en scèneCatherine La Frenière
AUSSI À L’AFFICHE :
The Drangonfly of Chicoutimi, de Larry Tremblay Du 30 octobre au 24 novembre 2018 à La Bordée
Baby-Sitter, de Catherine Léger Du 13 au 24 novembre 2018, au Périscope
La fille qui s’promène avec une hache, de Léa Aubin et Gabriel Cloutier-Tremblay Du 6 au 24 novembre 2019, au Périscope
Noyade ( S ), de Samsara Théâtre Du 7 au 9 novembre 2018 au Théâtre jeunesse Les Gros Becs
Conte du Soleil, du Théâtre des Confettis Du 21 novembre au 2 décembre 2018 au Théâtre jeunesse Les Gros Becs
QUÉBEC, VILLE DE THÉÂTRE
ÉQUIPE DU TNMDirectrice artistique et généraleLorraine Pintal
Directeur administration et financesJulien Silvestre
Directeur de productionPatrick Loubert
Directeur techniquePhilippe Gaudreault
Directrice des communica-tions et du marketingAnnie Gascon
ÉQUIPE TROIS TRISTES TIGRESDirecteur artistique et codirecteur généralOlivier Kemeid
Directrice administrative et codirectrice généraleStéphanie Capistran-Lalonde
Directeur des communicationsRomain Fabre
Coordination généraleLaurence Régnier
ÉQUIPE DE PRODUCTION Direction de productionHélène Rheault
Direction techniqueJulie Touchette
RégieElizabeth Cordeau Rancourt
Adaptation des éclairagesDenis Guérette
Interprète violonAndrée Bilodeau
Construction du décorConception Alain Gagné
Chargée de projetJulie Fournier
Menuiserie – soudureJean-Sébastien Rivet, Marianne Cloutier, Pierre Cloutier, Mélanie Côté, Jérôme Gagnon et Éric Gagnon
PatineJulie Fournier et Véronique Bertrand
Modélisation scénographique33 DEGRÉS – Martin Gagné
Coupe et confectionPar Apparat : Isabelle Roger et Marie Laflamme
Confection du châleCaroline Gagnon
Confection des cardigansIsabelle Couillard
PerruqueRachel Tremblay ( Cybèle Perruques )
Révision du programmeNormand Julien
Photographe de productionStéphane Bourgeois
Conception graphiqueMarie-Renée Bourget Harvey
Production graphiqueNicolas Gilbert
Bande annonceMarilyn Laflamme
BaladoCatherine-Ève Gadoury
Nettoyage des costumesGuy Le Nettoyeur
Montage et représentationsIATSE
Chef machinisteJean-Nicolas Soucy
Chef éclairagisteDenis Guérette
Chef sonorisationPierre Lemire
Chef vidéoPierric Ciguineau
Chef habilleuseDenise Gingras
Complice du Théâtre du Trident
GRAPHISME : GB Design / Mylaine | TITRE : Complice du Théâtre du Trident NO D’ANNONCE : 2018-208 | FORMAT : 4’’ x 7.625’’ | COULEUR : 4 couleurs CLIENT : Hydro-Québec | PUBLICATION : Programmes du Théâtre du Trident DATE DE TOMBÉE : 29 août 2018
ÉQUIPE DU
THÉÂTRE DU TRIDENTCodirectrice générale, directrice artistique Anne-Marie Olivier
Codirecteur général, directeur administratif Marc-Antoine Malo
PRODUCTION
Directrice de la production Hélène Rheault
Directrice technique Julie Touchette
COMMUNICATIONS
Directrice des communicationsVéronic Larochelle
Coordonnatrice aux communications Mylène Feuiltault
Adjointe aux communications et service à la clientèleShaoyu Xu
Agente de développement de public Sandra Lamoureux
ADMINISTRATION
Contrôleur Jérôme Lambert
Conseiller juridiqueVincent Gingras
MEMBRES DU CONSEIL D’ADMINISTRATION Président Carl-Frédéric De Celles Président iXmédia
Vice-président Bertrand Alain Comédien et metteur en scène
Secrétaire Jacques Cossette-Lesage Associé Stein Monast S.E.N.C.R.L.
Trésorier Dominic Guay Développement des affaires, Kabane.
ADMINISTRATEURS ( TRICES )
Emile Beauchemin Metteur en scène, concepteur et coordonnateur artistique
Martin Brouard Producteur exécutif
Christian Fontaine Scénographe et enseignant
Doris Girard Gestionnaire et présidente, Parcours Fil Rouge
Joée Lachapelle Assistante metteur en scène et régisseure
Dominique Lapierre, CRHA Consultante en gestion des ressources humaines
Mélissa Merlo Comédienne
Jean-Pierre Vézina CPA CA
5 THÉÂTRES 5 pièces 125 $
abocroise.comEn vente maintenant
PARTENAIRES 2018-2019Partenaires publics Conseil des arts et des lettres du Québec Conseil des arts du Canada Ministère de la Culture et des Communications Ville de Québec Bibliothèque de Québec
Partenaire de saison Caisse Desjardins du Plateau Montcalm
Partenaires privés Hydro-Québec Caisse de dépôt et placement du Québec
Partenaires médias ICI Radio-Canada Le Soleil Astral Média
Partenaires de services Grand Théâtre de Québec iXmédia C3 Hôtel Art de Vivre Guy Le Nettoyeur Halles en Fleurs Piazzetta Cartier Renaud-Bray Numérix
RB18_FC00053_Partenariat_Trident_4x3.6875_FINAL.indd 1 2018-08-30 4:44 PM
POUR NOUS JOINDRELe Trident 269, boulevard René-Lévesque Est Québec ( Québec ) G1R 2B3 Téléphone : 418 643-5873 Télécopieur : 418 646-5451
[email protected] letrident.com Billetterie : 418 643-8131
Les représentations du Trident ont lieu à la salle Octave-Crémazie du Grand Théâtre de Québec.
Tous les renseignements contenus dans ce programme sont publiés sous réserve de modifications.
Le Trident est membre de Théâtres Associés inc. ( T.A .I. )
Dépôt légal : Bibliothèque nationale du Québec
Dans ce document, le genre masculin est utilisé comme géné-rique dans le but d’alléger le texte.
SIÈGE SOCIAL1351, chemin Sainte-FoyQuébec ( Québec ) G1S 2N2
CENTRE DE SERVICES DE BOURLAMAQUE1165, avenue de BourlamaqueQuébec ( Québec ) G1R 2P9
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