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VENDREDI - 20H 6 novembre DIRECTION Kazuki Yamada violoncelle Edgar Moreau halle aux grains 05 61 63 13 13 www.onct.toulouse.fr escaich Suite symphonique extraite de l’Opéra Claude / SAINT-SAËNS Concerto pour violoncelle et orchestre n°1 en la mineur, op.33 / RAVEL Daphnis et Chloé, suite d’orchestre n°2 / RAVEL Boléro pour orchestre / escaich saint-saëns ravel Conception www.vifdesign.fr / photos © Marco Borggreve, Julien Mignot / licences n°1-1078579, n°2-1078603, n°3-1078604 Saison 2015-2016

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VENDREDI - 20H

6 novembreDIRECTIONKazuki Yamada violoncelle

Edgar Moreau

halle aux grains 05 61 63 13 13 www.onct.toulouse.fr

escaich Suite symphonique extraite de l’Opéra Claude /SAINT-SAËNS Concerto pour violoncelle et orchestre n°1 en la mineur, op.33 /RAVEL Daphnis et Chloé, suite d’orchestre n°2 /RAVEL Boléro pour orchestre /

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Saison 2015-2016

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De la fin du XIXe siècle à notre XXIe siècle, l’Orchestre du Capitole nous invite à sillonner la musique française. Marquée par la défaite

de Sedan face à l’Allemagne, la France des musiciens se cherche une identité propre dès les années 1870. Renouveler les genres (Saint-Saëns et son Concerto pour violoncelle et orchestre n° 1), trouver des coloris inédits (Ravel dans Daphnis et Chloé), défendre un humanisme toujours plus menacé (Thierry Escaich à travers Claude)… Telles furent quelques unes des voies empruntées par les musiciens français au fil des ans.

Thierry Escaich Suite symphonique extraite de l’opéra Claude

durée de l’œuvre: 20 min

Camille saint-SaënsConcerto pour violoncelle et orchestre n°1 en la mineur, op.33

Allegro non troppo – Animato – Allegro molto – Tempo IAllegretto con motoMolto Allegro

durée de l’œuvre: 20 min

Maurice Ravel Daphnis et Chloé, Suite d’orchestre n°2

Lever du jourPantomimeDanse générale

durée de l’œuvre: 30 min

Maurice Ravel Boléro pour orchestre

durée de l’œuvre: 15 min

Thierry Escaich (né en 1965), Suite symphonique extraite de l’opéra Claude

«  Cette tête de l’homme du peuple, cultivez-la, défrichez-la, arrosez-la, fécondez-la, éclairez-la, moralisez-la, utilisez-la  ; vous n’aurez pas besoin de la couper.  » Les mots de Victor Hugo, qui, en 1834, concluaient sa nouvelle Claude Gueux, reviennent dans l’opéra imaginé par Robert Badinter et Thierry Escaich pour l’Opéra de Lyon en 2013. Récit tiré d’un fait réel –  la condamnation à mort d’un prisonnier acculé à la révolte par la faim, les injustices et les brimades de l’univers carcéral – Claude invoque les propres convictions de Robert Badinter. L’ancien ministre de la Justice-Garde des sceaux œuvra à l’abolition de la peine de mort en 1981.

Complice de cette ode à la tolérance et au respect de l’autre, le compositeur français Thierry Escaich a mis en musique le livret de Badinter entre 2012 et 2013, signant ainsi son premier opéra. Virtuose des alchimies orchestrales, héritier de Maurice Ravel, Thierry Escaich fait de l’orchestre la première scène de Claude. La richesse des alliances de timbres, leur subtilité droit héritée de la tradition française ont ensuite permis au compositeur de réunir les extraits orchestraux en une suite symphonique, suivant en cela l’exemple d’Alban Berg et de sa suite tirée de l’opéra Lulu (1935).

DOUCE FRANCE

Concert diffusé en direct puis en réécoute sur concert.arte.tv et en différe sur Arte TV

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PROCHAIN CONCERTdimanche 15 novembre

10H45 - HALLE AUX GRAINS

Camille Saint-Saëns (1835-1921), Concerto pour violoncelle et orchestre n° 1 en la mineur op. 33

Pour tous les amoureux du violoncelle, la longue mélodie du cygne, animal du célèbre Carnaval des animaux a fait de Camille Saint-Saëns un défenseur de l’instrument. La renommée de cette pièce occulte pourtant un autre versant de son œuvre : la dimension orchestrale. Lorsqu’en 1872, Saint-Saëns entreprend la genèse de son Concerto pour violoncelle et orchestre en la mineur n° 1, peu de compositeurs se sont risqués à confronter l’instrument à une grande formation. Hors Robert Schumann et son Concerto, le violoncelle semble oublié des genres concertants. Pour Saint-Saëns, fervent avocat d’une musique française émancipée des modèles germaniques contemporains (Johannes Brahms et Richard Wagner), cette rareté apparaît au contraire comme une chance. Artisan d’une nouvelle tradition musicale française, le compositeur souhaite se réapproprier les grands modèles symphoniques (au premier rang desquels le concerto) tout en revivifiant la tradition. Le choix du violoncelle apparaît ainsi une manière de renouveler les attentes d’un genre établi. En outre, de grands violoncellistes français tels qu’Auguste Franchomme, avaient, quelques années auparavant, fait la démonstration de l’éventail virtuose de l’instrument.

Le Concerto pour violoncelle et orchestre en la mineur n° 1 obéit à une découpe apparemment traditionnelle (deux mouvements rapides encadrant un mouvement lent) que Saint-Saëns aménage avec subtilité. Enchaînés, les trois mouvements semblent revenir au modèle proposé par Schumann dans son propre concerto. L’entrée fracassante du violoncelliste dans le premier mouvement déploie immédiatement une atmosphère passionnée, qu’atténue à peine un thème plus lyrique. Tourbillonnant, le Concerto pour violoncelle et orchestre en la mineur n° 1 semble naître de l’archet du soliste, qui diffuse aux pupitres de l’orchestre ses thèmes et sa vocalité. Cette exaltation n’empêche pas le compositeur de revenir discrètement à des modèles établis : le mouvement central se réfère au menuet, danse de cour française, dont l’archaïsme volontaire sonne là comme une allusion à l’identité nationale. Au lieu de faire du mouvement final un presto technique et virtuose, Saint-Saëns revient au thème initial dont l’énergie conclue avec passion ce concerto.

baba yagaMOUSSORGSKI Tableaux d’une exposition stravinsky Danses concertantes, extraits

DIRECTION & PRÉSENTATION

Christophe Mangourécitante

Maëlle Mietton

D’après un texte de Maëlle MiettonÀ partir de 6 ans

À PARTIR DEs oeuvres de

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Ravel superpose flûtes, clarinettes et harpes, puis confie aux cordes l’apparition du jour. Les piccolos, énonçant le chant des oiseaux, symbolisent l’éveil des êtres et des animaux. La complexité de ces trames, les unes aux autres superposées, n’a d’égale que la transparence de l’ensemble, v é r i t a b l e o d e à l a l u m i è r e orchestrale. C’est dans la Pantomime centrale que l’inspiration hellénistique se fait entendre. Maurice Ravel s’inspire de gammes modales, alors liées à la Grèce antique. La scène évoque le mythe de la nymphe Syrinx, transformée en roseaux pour s’être refusée au dieu Pan. À partir du roseau-Syrinx, le dieu désespéré inventa sa flûte de Pan, à laquelle Ravel fait allusion, à travers le pupitre des bois. Omniprésent, le hautbois invoque la figure de l’aulos grec, ce pâtre-poète accompagné par la flûte de Pan. La Danse finale échevelée renvoie aux bacchanales représentées sur les vases antiques. Son rythme irrégulier à cinq temps, les crescendi successifs ménagés par le compositeur produisent une impression d’emballement, tandis que les bois (petite clarinette, flûtes, hautbois, bassons…) alimentent cette cavalcade éperdue.

Maurice Ravel (1875-1935), Daphnis et Chloé, Suite d’orchestre n° 2

Maurice Ravel, Boléro pour orchestre

Maurice Ravel raconte : « Daphnis et Chloé, symphonie chorégraphique, me fut commandeé par le directeur de la compagnie des Ballets Russes, M. Serge de Diaghilev. L’argument en est de Michel Fokine, chorégraphe de la célèbre troupe. » En 1909, Fokine, alors chorégraphe au sein de la plus prestigieuse compagnie de danse européenne, choisit pour trame de son dernier ballet un roman grec antique où deux jeunes amants réfugiés dans une île devaient traverser des épreuves avant d’être réunis. Créé en juin 1912, Daphnis et Chloé ne put faire oublier L’Après-midi d’un faune qui, un mois avant, avait été dansé par le célèbre Vaslav Nijinski sur une musique de Claude Debussy. Tiré d’un poème de Stéphane Mallarmé, son argument faisait sans doute trop écho à la Grèce antique de Daphnis et Chloé. En 1913, le scandale retentissant du Sacre du printemps d’Igor Stravinsky acheva d’éclipser le ballet de Fokine. Si l’œuvre dansée a disparu des scènes, la musique composée par Ravel s’est aujourd’hui imposée comme l’une des pièces majeures du répertoire symphonique. Le Lever du jour fascine par sa lu mi è re orchestrale inouïe. Après l’évocation de la nuit – aux violoncelles et aux contrebasses –

«  Je voudrais surtout qu’il n’y ait pas de malentendu sur ce travail. Il s’agit d’une expérience d’un type très particulier. Avant sa première représentation, j’avais prévenu que ce morceau […] n’était constitué que d’un unique et long crescendo ininterrompu. Il n’y a pas de contrastes, et pratiquement pas d’innovation à l’exception de la structure et du mode d’exécution… l’écriture orchestrale est simple et directe du début à la fin, sans la moindre recherche de virtuosité. » Maurice Ravel fut le premier surpris du succès phénoménal de son Boléro, lui qui décrivit son œuvre comme « vide de musique » !

Seize mesures, obstinément énoncées aux percussions, à partir desquelles le compositeur fait la démonstration éclatante de son génie orchestral. Tour à tour entrent le cor anglais, le saxophone soprano, le célesta, tandis que le rythme et l’harmonie (une couleur quasiment ininterrompue de do majeur) restent en suspension. Ce « vide » constitue précisément la modernité du Boléro : Ravel fait de l’orchestre un immense organisme rendu vivant par les textures, les alliances et qu’anime le vaste et puissant crescendo jusqu’à l’apothéose du do final.

Charlotte Ginot-Slacik

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Kazuki YAMADADIRECTION

Suite à son premier concert exceptionnel, donné en juin 2010, avec l’Orchestre de la Suisse Romande, Kazuki Yamada est nommé premier chef invité dès la saison 2012/2013. Il dirige de nombreux concerts et effectue des tournées au Japon et en Asie. En 2014, l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo le nomme à son tour premier chef invité à compter de la saison 2014/2015.En Septembre 2009, Kazuki Yamada remporte le Grand Prix du 51e concours international de jeune chef d’orchestre de Besançon et reçoit parallèlement le Prix du Public. Rapidement reconnu sur la scène internationale, il dirige les orchestres tels que : Orchestre Philharmonique de St Petersbourg, Orchestre de Paris, Philharmonia Orchestra, Orchestre Philharmonique de Monte Carlo, l’ Orchestre National du Capitole de Toulouse, WDR Sinfonieorchester Köln, Rundfunk

Sinfonieorchester Berlin, Orchestre Philharmonique Tchèque, Sinfonia Varsovia, City of Birmingham Symphony, Gothenburg Symphony, English Chamber Orchestra, Royal Stockholm Philharmonic, Orchestre de Chambre de Lausanne, Orquesta Sinfonica y Coro de RTVE, Tonkünstler-Orchester (au Musikverein de Vienne)…Au Japon, il est chef principal du Japan Philharmonic, chef associé du Sendai Philharmonic et de l’Ensemble Orchestral Kanazawa et directeur musical du Yokohama Sinfonietta, un ensemble qu’il a fondé quand il était encore étudiant. En août 2012, il dirige l’opéra Oresteia de Xenakis avec le Tokyo Sinfonietta et remplace Maestro Seiji Ozawa, sur ses recommandations, dans une version scénique de Jeanne au Bûcher d’Honegger avec le Saito-Kinen Orchestra.Kazuki Yamada collabore avec des grands solistes tels que : Emmanuel

Ax, Boris Berezovsky, Leon Fleischer, Håkan Hardenberger, Nobuko Imai, Daishin Kashimoto, Daniel Müller-Schott, Xavier de Maistre, Steven Osborne, Vadim Repin, Baiba Skride, Jean-Yves Thibaudet, Daniil Trifonov et Alexander Kniazev.Sur les saisons 2013-2015, Kazuki Yamada et l’orchestre de la Suisse Romande sortiront une série de trois cds inspirés par la danse sur le label Pentatone. Avec Octavia Records, l’artiste présentera des œuvres de Glazunov, Kalinnikov et Khatchaturian avec le Philharmonique Tchèque. Précédemment, sur le label Fontec, le chef a réalisé quatre cds présentant des œuvres vocales avec le Tokyo Philharmonic Chorus dont il est le chef résident.Pendant la saison 2014/2015, Kazuki Yamada dirige les Helsinki Philharmonic, SWR Stuttgart, Orchestre National de Lyon, et fait ses débuts aux Etats-Unis avec le

Utah Symphony Orchestra. Il sera à nouveau à la tête du projet Jeanne au Bûcher d’Arthur Honegger (initié par Seiji Ozawa au Festival Saito Kinen de Matsumoto), en dirigeant cet oratorio avec l’Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo et l’Orchestre National du Capitole de Toulouse. La tournée s’achève avec l’Orchestre de Paris à la prestigieuse nouvelle Philharmonie de Paris. Le rôle de Jeanne est tenu par l’actrice Marion Cotillard.Résidant à Berlin, Kazuki Yamada est né à Kanagawa au Japon en 1979. Diplômé d’une formation de Chef d’Orchestre à la Tokyo National University of Fine Arts & Music, sous la direction de Ken-ichiro Kobayashi et Yoko Matsuo, il reçoit en 2001 le Ataka-Prize. En 2002, il étudie également auprès de Gerhard Markson à l’International Summer Academy of Mozarteum Salzburg. En 2011, il reçoit le Idemitsu Music Prize for young artist in Japan.

© Marco Borggreve

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Récompensé d’un Premier Prix et de six prix spéciaux aux dernières auditions des Young Concert Artists à New-York en novembre 2014, «  Révélation Instrumentale 2013  » et « Soliste Instrumental 2015 » des Victoires de la Musique Classique, Edgar Moreau remporte à 17 ans le Deuxième Prix du XIVe Concours Tchaïkovski à Moscou en 2011 sous la présidence de Valery Gergiev où il s’est vu décerner aussi le Prix de la meilleure œuvre contemporaine. Il est également lauréat du dernier Concours Rostropovitch en 2009 avec le prix du jeune Soliste. Né en 1994 à Paris, il commence le violoncelle à quatre ans ainsi que le piano, instrument pour lequel il obtient son prix au Conservatoire de Boulogne-Billancourt en 2010. Après avoir suivi l’enseignement de Xavier Gagnepain, il est admis au Conservatoire national supérieur de musique et de danse

de Paris dans la classe de Philippe Muller en 2009. Il vient d’intégrer la Kronberg Academy où il étudie avec Frans Helmerson. Se produisant déjà en soliste à l’âge de onze ans avec l’Orchestre du Teatro Regio de Turin en 2006, il a depuis joué avec le Moscow Philharmonic Orchestra, le Sinfonia Iuventus Orchestra (sous la direction de Krzysztof Penderecki), l’Orchestre du Théâtre Mariinsky (sous la baguette de Valery Gergiev), l’Orchestre Simon Bolivar à Caracas, le St-Petersburg Philharmonic Orchestra (avec Jean-Claude Casadesus), l’Orchestre de la Suisse Romande, l’Orchestre du Capitole de Toulouse (dirigé par Tugan Sokhiev), le Malaysian Philharmonic Orchestra à Kuala Lumpur, le Hong Kong Sinfonietta, l’Orchestre National de France au Théâtre des Champs Elysées… Edgar s’est déjà produit au Concert Hall du Théâtre

Mariinsky à Saint-Pétersbourg, à la Philharmonie de Berlin, à la Cello Biennale d’Amsterdam, aux festivals Ludwig van Beethoven de Varsovie, de Montpellier, de Colmar, de Menton, de Saint-Denis, d’Annecy, du Périgord Noir, d’Evian, de Verbier, d’Edinburg, de Lucerne, au Festival de Printemps d’Aix-en-Provence, à l’Orangerie de Sceaux, aux Flâneries Musicales de Reims, à l’Auditorium du Louvre, aux Sommets Musicaux de Gstaad, aux Variations Musicales de Tannay, à La Folle Journée de Nantes, du Japon, au Musikverein de Vienne…Son grand intérêt pour la musique de chambre lui a offert l’occasion de jouer avec Khatia Buniatishvili, Renaud Capuçon, Frank Braley, Nicholas Angelich, Gérard Caussé, Paul Meyer, David Kadouch, Jean-Frédéric Neuburger, les Quatuors Talich, Prazak, Ebène et Modigliani… Cette saison 2015-2016 le conduit à

© Julien Mignot

jouer avec l’Orchestre National de France dans le Nouvel Auditorium de Radio-France (sous la baguette de N. Znaider), l’Orchestre National de Montpellier, l ’Orchestre Philharmonique de Bruxelles, l’Orchestre Philharmonique de Barcelone, à Venise, Aachen, Wiesbaden, Stuttgart... Il est aussi attendu à Tokyo, Sacile, aux Festivals de Saint-Denis, de Verbier, à la Philharmonie de Cologne, à Ludwigshafen, Würzburg, Amsterdam, Genève… Prix de l’Académie Maurice Ravel, lauréat 2011 de la Fondation Banque Populaire et soutenu par la Fondation d’entreprise Safran pour la musique, Révélation instrumentale classique Adami 2012, Prix Jeune Soliste 2013 des Radios Francophones Publiques, Edgar a sorti en 2014 son premier album chez Erato, PLAY. Il joue un violoncelle de David Tecchler de 1711.

Edgar MOREAUvioloncelle

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FORMATION ORCHESTRALEViolon soloGeneviève LaurenceauPremiers violonsEléonore DarmonSylvie ViviesVitaly RasskazovNicole BoussinotMaryse UrsuleHenri SalvatJacqueline BourdariasSylvie MougeatMary RandlesSébastien PlancadeOlivier AmielAude PuccettiStéphane GuiocheauJulia RaillardJean-Baptiste JourdinSeconds violonsFabien MastrantonioAudrey LoupyChiu-Jan YingMohamed MakniFrancois DrouhinYves SapirMarie Jose FougerouxVirginie AllemandEdwige FarencAlexandre DalbigotDavid BenetahGuilhem BoudrantEstelle BartolucciIsolde Ferenbach

AltosDomingo MujicaJuliette GilLambert ChenLaura EnsmingerIsabelle MensionTymoteusz SypniewskiGilles ApparaillyClaire PelissierVincent Cazanave-PinMailyss CainSamuel JolyAudrey LeclercqVioloncellesPierre GilVincent PouchetPhilippe TribotElise RobineauChristopher WalthamBenoît ChapeauxGaël SeydouxSébastien LaurensMarie GirbalLéa BirnbaumContrebassesThéotime VoisinFlorent BarnaudPierre HequetMichel RenaultDaniel Ben SoussanVictor Garcia GonzalezConor Mc CarthyTarik Bahous

FlûtesSandrine TillyHarmonie MaltereFlorence Fourcassie-TardyClaude RoubichouHautboisLouis SeguinJean Michel PicardSerge KrichewskyGabrielle ZaneboniClarinettesFloriane TardyEmilie PinelLaurence PerryJean-Paul DecampsBassonsEstelle RichardChristophe ViviesMylène PoulardMarion DeleplancqueSaxophonesPhilippe LecocqFlorence LecocqCorsJacques DeleplancqueJean Wilfrid GrongnetHervé LupanoArnaud BonnetotTrompettesHugo BlacherHeike GerberThomas Pesquet

Didier BousquetTrombonesDominique DehuDavid LocqueneuxPatrick DubarryFabien DornicOlivier LachurieTubaSylvain PicardTimbalesEmilien ProdhommePercussionsThibault BuchailletChristophe DewarumezBastien RicquebourgLuc BagurDavid DuboisTom GoemareGeoffrey Saint-LegerMathieu SchaeferHarpeGaëlle ThouveninCécile BarutautPianoInessa LecourtAccordéonAnthony MilletOrgueDavid CassanCélestaEloise Urbain

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