Benzaim Boukahil Repond à Maitre Moundji Maoui

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A l’attention de Maitre Moundji MAOUI, Avocat au barreau de Paris. Très chère monsieur, comme suite à votre email en date du 5 juin 2013, que je reproduis en intégralité plus bas, veuillez trouver ci-après une réponse sincère et amicale de la part d’un ex concitoyen français, devenu bien malgré lui et par la force des choses depuis le 16/09/2011 et plus encore depuis le 1/11/2012, le plus grand opposant politique de monsieur le Rais de la république démocratique et populaire d’Algérie, j’ai nommé Abdelaziz BOUTEFLIKA, actuellement en convalescence dans votre pays : République le Pen du Parjure, accessoirement pays des « droits de l’homme »« Monsieur BOUKAHIL, J'ai lu avec intérêt le document que vous nommez « Curriculum vitae politique ». Je me permets de vous répondre et, loin de moi l’idée de vous juger, ne voyez dans mes commentaires aucune attaque. Bien au contraire, croyez en ma solidarité. D’ailleurs, fort logiquement, si vous diffusez votre texte, c’est pour qu’il soit lu et commenté. Il s’agit déjà, dans votre entreprise de quelque chose de positif, puisque je l’ai lu et je le commente. Mon premier constat est que, en vous lisant, j’ai ressenti l’homme blessé. Et au regard de votre expérience, je le comprends. Mais, étant plus âgé, et je suis sûr d’obtenir l’assentiment de mes aînés, votre souffrance, à laquelle vous faîtes emprunter la voie de la violence, est mauvaise conseillère. Sur cette voie, vous ne rencontrerez que de l’opposition, alors que vous devez rechercher des alliés. Il existe en France des hommes de peu de foi, mais également de bonnes personnes. Leur avez-vous parlé ? Ne vous enfermez pas. Parce que certains ont dit que vous ne deviez pas être enseignant ou avocat, alors vous vous rebellez, très bien, mais au risque de vous interdire définitivement ces voies. Finalement, qui sera le vainqueur ? De plus, pourquoi, puisque l’on vous a bloqué pour devenir avocat, ne pas avoir tout simplement cherché à le devenir par la voie du doctorat ? Pour ne pas faire un « torche-cul ». J’appelle cela de la vanité. Si aujourd’hui vous étiez avocat, imaginez votre utilité. Pensez à ce que vous pourriez faire pour combattre les injustices. Là, on va haïra, on vous adulera, mais ce ne sera qu’un beau pied de nez à ceux que vous honnissez. Mon second constat, est que je vous sens compétent. Cependant, la violence de vos propos ne m’incite pas à vous aider. Alors, bien sûr, vous ne m’avez rien demandé. Mais, refuse-t-on une main tendue dans un monde qui ne fonctionne que sur recommandation ? Ainsi, Monsieur, je vais vous proposer de vous aider, malgré mes doutes. Raille-moi, ce serait votre droit. Acceptez, et je trouverais que l’intelligence que je devine n’est pas feinte. Je ne suis pas un homme de pouvoir et je ne peux vous apporter que mon expérience, mais je pense qu’elle pourrait vous être utile. Vous remarquerez certainement que je ne me présente pas. En effet, je sais que vous allez fouiller le web pour mieux me connaître. Cela m’évite un paragraphe à ce courriel déjà trop long. Par contre, ce que le web ne vous dira pas, c’est que je veux vous aider parce que nous sommes Algériens. Que comme vous je n’ai eu aucun réseau, ni aucun conseil dans une société corporatiste. Que je n’ai jamais cherché à être le meilleur, mais à atteindre mes buts, ce que je sais aujourd’hui faire. Dans l’attente du plaisir de vous lire, Cordialement, Maître MAOUI Moundji Avocat au Barreau de Paris. »

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Publié par "Algérie Patriotique" journal d'information en ligne. 11 juin 2013Auteur(s) : Benzaim BOUKAHILLa réponse du seul et unique Docteur Patriotis Causa de toute l'histoire de l'Algérie Post indépendante, à un avocat français issue de l'immigration, quelques jours à peine avant le limogeage sans aucune autre forme de procès, de l'ambassadeur d'Algérie à Paris le 18/06/2013, j'ai nommé monsieur Missoum SBIH, imposture intellectuelle, précédemment humilié le 16/09/2011 a Aix en Provence.Une réponse intervenant quelques semaines seulement avant ma présentation à l'ambassade de France à Alger (Hydra) pour remettre mes papiers (Passeport et carte d'identité française) à l'ambassadeur français, M. Parant, lançant ainsi le processus qui aboutira a terme a la déchéance de ma "citoyenneté française" par la REPUBLIQUE LE PEN DU PARJURE.Cette réponse longue et très politisé sera jugé suffisamment "sincère et intéressante" par le staff "d’Algérie Patriotique" pour être publiée comme telle dans les colonnes de ce journal en ligne dans son intégralité; le 11 juin 2013.Souhaitant une bonne réception à la personne directement intéressé (Monsieur Moundji MAOUI) ainsi qu'a monsieur SBIH ("le soumis au hisb aixois") qui est directement visé dans cette note d'esprit, je leur souhaite a eux ainsi qu'a vous lecteur de ce profil "linked in", une "Bonne lecture".

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Page 1: Benzaim Boukahil Repond à  Maitre  Moundji Maoui

A l’attention de Maitre Moundji MAOUI,

Avocat au barreau de Paris.

Très chère monsieur, comme suite à votre email en date du 5 juin 2013, que je reproduis en intégralité plus bas,

veuillez trouver ci-après une réponse sincère et amicale de la part d’un ex concitoyen français, devenu bien malgré

lui et par la force des choses depuis le 16/09/2011 et plus encore depuis le 1/11/2012, le plus grand opposant

politique de monsieur le Rais de la république démocratique et populaire d’Algérie, j’ai nommé Abdelaziz

BOUTEFLIKA, actuellement en convalescence dans votre pays : République le Pen du Parjure, accessoirement pays

des « droits de l’homme »…

« Monsieur BOUKAHIL,

J'ai lu avec intérêt le document que vous nommez « Curriculum vitae politique ». Je me permets de vous répondre

et, loin de moi l’idée de vous juger, ne voyez dans mes commentaires aucune attaque. Bien au contraire, croyez en

ma solidarité. D’ailleurs, fort logiquement, si vous diffusez votre texte, c’est pour qu’il soit lu et commenté. Il s’agit

déjà, dans votre entreprise de quelque chose de positif, puisque je l’ai lu et je le commente.

Mon premier constat est que, en vous lisant, j’ai ressenti l’homme blessé. Et au regard de votre expérience, je le

comprends. Mais, étant plus âgé, et je suis sûr d’obtenir l’assentiment de mes aînés, votre souffrance, à laquelle

vous faîtes emprunter la voie de la violence, est mauvaise conseillère. Sur cette voie, vous ne rencontrerez que de

l’opposition, alors que vous devez rechercher des alliés. Il existe en France des hommes de peu de foi, mais

également de bonnes personnes. Leur avez-vous parlé ? Ne vous enfermez pas. Parce que certains ont dit que vous

ne deviez pas être enseignant ou avocat, alors vous vous rebellez, très bien, mais au risque de vous interdire

définitivement ces voies. Finalement, qui sera le vainqueur ? De plus, pourquoi, puisque l’on vous a bloqué pour

devenir avocat, ne pas avoir tout simplement cherché à le devenir par la voie du doctorat ? Pour ne pas faire un «

torche-cul ». J’appelle cela de la vanité.

Si aujourd’hui vous étiez avocat, imaginez votre utilité. Pensez à ce que vous pourriez faire pour combattre les

injustices. Là, on va haïra, on vous adulera, mais ce ne sera qu’un beau pied de nez à ceux que vous honnissez.

Mon second constat, est que je vous sens compétent. Cependant, la violence de vos propos ne m’incite pas à vous

aider. Alors, bien sûr, vous ne m’avez rien demandé. Mais, refuse-t-on une main tendue dans un monde qui ne

fonctionne que sur recommandation ?

Ainsi, Monsieur, je vais vous proposer de vous aider, malgré mes doutes. Raille-moi, ce serait votre droit. Acceptez,

et je trouverais que l’intelligence que je devine n’est pas feinte. Je ne suis pas un homme de pouvoir et je ne peux

vous apporter que mon expérience, mais je pense qu’elle pourrait vous être utile.

Vous remarquerez certainement que je ne me présente pas. En effet, je sais que vous allez fouiller le web pour

mieux me connaître. Cela m’évite un paragraphe à ce courriel déjà trop long.

Par contre, ce que le web ne vous dira pas, c’est que je veux vous aider parce que nous sommes Algériens. Que

comme vous je n’ai eu aucun réseau, ni aucun conseil dans une société corporatiste. Que je n’ai jamais cherché à

être le meilleur, mais à atteindre mes buts, ce que je sais aujourd’hui faire.

Dans l’attente du plaisir de vous lire,

Cordialement,

Maître MAOUI Moundji

Avocat au Barreau de Paris. »

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Monsieur MAOUI,

Parce que vous avez pris le temps de m’écrire pour m’assurer de votre « solidarité », je prends à mon tour le temps

de vous répondre afin d’éclaircir quelques points que je juge important et ce, afin de replacer comme on a souvent

coutume de le dire, les points sur les « i ».

Je dois tout d’abord préciser que c’est avec grande joie que j’ai pu constater à travers votre email, que mes écrits

aient pu arriver jusqu’à vous, et bien plus encore, dans le monde français de « l’avocature», de Paris, et j’en suis

convaincu aujourd’hui, à la désormais très tristement célèbre ville d’Aix en Provence.

Je vous remercie sincèrement d’avoir pris le temps de lire mes écrits, et de tenter de comprendre la situation qui est

la mienne aujourd’hui, et même plus, de me proposer de me venir en aide malgré « quelques doutes » qui j’en suis

sure, auront définitivement disparu à la fin de votre lecture.

Monsieur MAOUI,

Je dois d’ores et déjà vous prévenir que ma réponse sera longue, et surtout vous vous en doutez bien, extrêmement

politisé, sans toutefois verser dans l’attaque personnelle à proprement parlé, bien que parfois vous le prendrez

comme tel j’en suis sure. Je m’en excuse d’avance. Sincèrement.

En premier lieu monsieur, vous faites bien de noter que si je me suis acharné à disséminer mes écrits sur le web (du

fait de l’absence de réseau ou de soutien public ou privé) depuis le 4/01/2013, (un document pdf de 50 pages

intitulé cv politique, et une note d’esprit de 182 pages nommée « riposte d’outre-tombe ») c’est bien entendu dans

l’idée de faire connaitre au plus grand nombre ma situation, bref, d’expliquer ce qui m’a poussé à m’exiler

politiquement parlant sur la terre de mes ancêtres le 30/11/2012, ce pays que j’ai coutume d’appeler « pays des

moudjahidines ».

Effectivement, si j’ai publié ces écrits, souvent par voie de ricochet comme vous avez pu le constater sur certains site

de presse en ligne comme « Algérie Patriotique » dont je suis désormais et depuis le 5/07/2012, un lecteur assidu,

c’est bien évidement pour que ces derniers soient lu, commenté, et même critiqué, positivement ou négativement.

Pour information, il y’a à peu près « grosso modo » sur cette planète près de 5200 personnes qui sont en possession

de ces documents à ce jour, d’après le compteur rapidshare qui référence le nombre de téléchargement de l’archive

les contenants.

Ceci étant précisé, je dois vous affirmer sans honte que vous n’avez pas tort de me qualifier « d’homme blessé » !

Oui, je n’ai pas honte de le dire, beaucoup de choses m’ont blessé dans mon parcours de vie au pays des droits de

l’homme, du racisme institutionnalisé au climat ambiant d’islamophobie, en passant par la xénophobie généralisé

dans les médias, sans oublier les insultes et humiliations publiques sans retenu de la part d’officiels français,

communiquant ou non, à l’égard d’un pays martyr comme l’Algérie !

Oui j’ai saigné, beaucoup trop d’ailleurs, dans ce pays dont la loi fondamentale me garantissait la liberté de culte et

d’opinion, interdisant à quiconque de « m’inquiéter » pour ces dernières, et où j’ai très vite compris bien malgré

moi, que les citoyens de mon gabarit n’étaient en réalité plus les bienvenus dans cette république depuis le

11/09/2001, je dirais même plus et sans aucune provocation de ma part, depuis le 5/07/1962.

Mais rassurez-vous, le corps humain et l’âme qu’il contient, est une arme redoutable pour qui sait l’utiliser !

Les blessures disparaissent avec le temps, la douleur qu’elles occasionnaient aussi, ne reste plus qu’au bout de

quelques années de simples cicatrices et un mental endurci pour celui qui les a surmonté avec « force et honneur ».

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Oui j’ai été blessé, mais blessé en réalité, je ne le suis plus, pas en tout cas, de la manière dont vous l’entendez.

Je suis un homme qui a survécu à ses nombreuses blessures, qui a appris à apprivoiser les nombreuses douleurs

chroniques qu’elles occasionnèrent des années durant, pour finir par ne plus ressentir ces douleurs, et même mieux,

à surmonter la dépression nerveuse qui le touchait sans recourir à l’image de nombreux français, à ce que l’on

appelle les « antidépresseurs » ! Par la seule force de mon esprit, je l’ai surmonté, pour la transformer en force

intérieur, dont je me suis servi à de nombreuses reprises depuis, pour répondre aux nombreuses attaques dont je

faisais l’objet mais pas seulement, pour répondre également aux attaques faites à la seule chose qu’il me reste

depuis le 30/11/2012, à savoir l’Algérie !

En second lieu, je dois vous avouer monsieur MAOUI, ne pas réellement comprendre le bien fondé du constat que

vous semblez faire après lecture de mes écrits, en tout cas après avoir lu mon curriculum vitae politique, puisque

vous ne précisez a aucun moment dans votre mail, le cas de la « riposte d’outre-tombe ».

Pourquoi monsieur, parler de violence, lorsque dans mon cv, a aucun moment, je n’ai appelé à la violence (physique)

contre ceux qui m’ont porté de nombreux préjudices, qu’ils soient français ou algériens ?

Parce que je daigne apporter une réponse que j’ai jugé au moment de son ébauche théorique (décembre 2011) et de

sa rédaction (juin 2012), la plus adapté à la situation, à savoir une note d’esprit de 50 pages faisant à la fois office de

« bons pour solde de tout compte » avec un système universitaire gangréné par la corruption et le clientélisme, qui

s’est cru suffisamment malin pour jouer avec mon honneur et celui de toute une nation martyr, et en second lieu

faisant office de « cadeau d’anniversaire » de ma part à cette même nation pour ses cinquante ans de vie

indépendante, vous qualifier ce geste éminemment politique et loin d’être aussi outrancier que celui des députés

Collard et sénateur Longuet le 1/11/2012 ou que celui du président de l’Université Aix Marseille le 16/09/2011,

comme d’un acte de violence, posé du fait d’une souffrance , mais qui me conduirait selon vos dires vers une voie

sinueuse, tortueuse, faite de lutte et d’opposition acharné contre ma personne ?

Violence politique et diplomatique sans détour furent faites à mon pays, le 16/09/2011 et le 1/11/2012, violence

religieuse fut faite à 6 millions de citoyen français le 20/10/2012 à Poitiers sur le toit d’une pauvre mosquée en

construction, violence morale et psychologique fut faite contre ma propre personne le 7/05/2009 dans le bureau

d’une fondamentaliste chrétienne, et face à un jury de « grand oral » à la solde du réseau aixois à Toulon, partiale à

n’en plus pouvoir, le 17/11/2011, déclarant inapte à l’exercice de la profession d’avocat, l’un des juristes les plus

chevronnais de toute l’histoire du « système aixois », dont tous, à l’IEJ de Toulon sont en majorité originaires en

réalité!

Et sous prétexte qu’après toutes ces violences officielles et surtout publique, je souhaite apporter une réponse

intellectuelle à ces parjures en bonne et due forme des idéaux du 14/07/1789, c’est moi que vous osez taxer de

violent, et à qui vous souhaitez dispenser de bon conseils pour sortir de l’engrenage ?

Ne versez-vous pas monsieur MAOUI par ce genre de propos, dans la politique dite du « deux poids deux mesures »?

La seule fois ou une personne objective et impartiale, pourra dire que j’ai été violent, dans le cv politique comme

dans la riposte d’outre-tombe, c’est lorsque je visais ironiquement les propos de Monsieur Brice Hortefeux, que je

reprends à mon compte à bon escient d’ailleurs, pour affirmer au président d’Aix Marseille Université et aux députés

Collard et sénateur Longuet, que « des connards il en faut toujours un, quand y’en a un ça va c’est quand il y’ en a

plusieurs que ça commence à dégénérer », et que je faisais lancer par « condamné à mort interposé » (Christian

Rannucci) à la figure de Gilbert Collard dans la « riposte d’outre-tombe », un petit : « celui-là salope tu le met dans

ton cul, celui de Longuet et de ton parti politique, partie du parjure et de la honte… » cf. fin Chap 3 dudit document.

Vous comprendrez sans nul doute à quoi je fais référence, à ce bras d’honneur outrancier jeté un 1er novembre (date

éminemment symbolique pour nous, puisque marquant le point de départ de la lutte de libération) a la figure de

toute une nation, et ce, publiquement à la télé !

Mais peut-on réellement condamner cette « violence verbale » tant moralement que légalement ?

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Permettez-moi monsieur MAOUI d’en douter ! En effet, vous comme moi savons pertinemment que cette violence

verbale est largement justifié par la gravité des situations auxquelles elle se rattache, et que bien que objectivement

qualifiable de violente, elles ne sont en rien condamnable tant moralement que légalement car, en effet, la seule

violence autorisé par le droit étant celle que l’on a coutume d’appeler en droit pénal « la légitime défense », je vous

met au défi monsieur MAOUI, de me démontrer que ces joutes verbales étaient disproportionnées par rapports aux

attaques auxquels elles étaient destiné !

Ma démarche monsieur MAOUI n’avait strictement rien de violente, bien au contraire, je pense que n’importe quelle

personne faisant montre d’un tant soit peu d’honnêteté intellectuelle, reconnaitra le caractère juste et

éminemment noble de ce geste devenu au fil des mois une épopée politique et diplomatique, dont le socle s’avère

être un curriculum vitae politique et une riposte d’outre-tombe qui feront date dans toute l’histoire des relations

internationales, je n’en doute guère !

« Il faut toujours combattre une erreur, quand on détruit une erreur il se trouve toujours quelqu’un qui la ressuscite »

Voltaire.

Je voudrai finir sur ce point (la violence) par une question qui n’a rien d’une attaque personnelle !

Monsieur, puisque vous semblez vous satisfaire de dispenser de bons conseils à qui veut bien les accepter, et que la

violence n’est qu’une « mauvaise conseillère », qu’attendez-vous donc pour recommander à monsieur François

HOLLANDE actuel Président de la république « bananière » qu’il dirige depuis mai 2012, de cesser au plus vite

l’opération militaire à fort relent néocoloniale qu’il a lancé au nord mali en janvier dernier, mettant en danger la

seule chose qu’il me reste depuis le 30/11/2012 : l’Algérie ?

On l’a vue a In AMENAS, ci ne n’était la bravoure des soldats de l’A.N.P digne héritière de la glorieuse A.L.N, l’Algérie

serait tombé dans une nouvelle ère de violence, relativement barbus, ce qui n’aurait sans doute pas déranger le pays

qui vous accueille et qui vous a gratifié de cette « peau de zèbre » que vous portez sur les épaules chaque fois que

vous vous rendez dans un tribunal à Paris, cette peau de zèbre que j’appelle également depuis le 18/11/2011 avec

ironie mais surtout en toute légitimité, la « robe de la médiocrité ». Ca n’aurait certainement pas dérangé la France

qui soutient corps et âme actuellement de jolis barbus en Syrie, engagé dans une lutte à mort contre Al Assad et

dont l’objectif final est la destruction d’un état et la chute d’un Président ; qui n’étant pas exempt de tous

reproches, a au moins le mérite de faire tous ce qui est en son pouvoir pour sauvegarder l’unité politique et

administrative de son pays.

En troisième lieu, s’agissant de « l’opposition » que je suis susceptible de rencontrer sur ma route dans cette voie

que j’ai emprunté le 29/12/2011 après 14 ans d’absence en Algérie, sachez monsieur que cela ne m’effraie point, j’y

suis d’ailleurs désormais habitué depuis le 7/05/2009 ! Qu’il s’agisse d’une opposition venant de français tout ce qu’il

y’a de bon teint, refusant de se faire à l’idée qu’un simple Sarrazin puisse devenir un jour Docteur en droit de la

responsabilité civile délictuelle, et éventuellement présenter un jour le très sélectif et tristement clientéliste

concours d’agrégation en droit, ou de celle de partisans du régime corrompu mis en place et géré en coulisse par la

régence de TLEMCEN EN ALGERIE DEPUIS 1999, cette opposition je m’y attendait, surtout avec ce que je dis à la page

38 du cv politique ! Cette opposition est légitime elle aussi, mais j’ai coutume de dire (et de croire) que :

« On ne devrait jamais tourner le dos à un danger pour tenter de le fuir. Si vous le faites, vous le multiplierez par

deux. Mais si vous l'affrontez rapidement et sans vous dérober, vous le réduirez de moitié » WINSTON CHURCHILL.

Voilà pourquoi depuis la publication de mes écrits sur le web, je n’ai à aucun moment refuser la confrontation

verbale et idéologique, j’ai toujours répondu (voir sur Algérie Patriotique ou Algérie Focus) et souvent neutraliser

cette opposition car comme me l’enseigne mon seigneur dans son livre sacré : « le faux disparaitra tôt ou tard et

sera remplacé par le vrai ».

Je suis néanmoins entièrement d’accord avec vous lorsque vous affirmez qu’il me faut des alliés, mais de grâce

monsieur, n’insinuez pas que je puisse en trouver en France, pays où, j’ai le regret de vous l’affirmer, s’il existe

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certes quelques personnes de bonne foi, l’élite dirigeante (qui ne vous a pas encore mis de bâton dans les roues) est

quant à elle de bien mauvaise foi !

Pour preuve : Hollande lorsqu’il affirme vouloir présider pour changer la France et dont on retrouve en pleine crise

économique, les avions de chasses et les soldats au nord mali, dépensant le peu de deniers qu’il reste encore dans

les caisses françaises au lieu de les épargner pour prévenir le « printemps français » qui se rapproche à grand pas,

faute d’avoir écouté les sages recommandations du père la victoire alias Georges CLEMENCEAU(« pour refaire la

France vaincu, ne pas gaspiller son sang et son or dans des expéditions sans profits » je n’ai de cesse de le leur

rappeler à chaque occasion), Cahuzac lorsqu’il affirmait ne pas avoir de compte en suisse, Sarkozy lorsqu’il jure ne

pas avoir abusé de la faiblesse d’une richissime dame âgé ou de n’avoir jamais reçu de financement de celui dont il

est présumé avoir ordonné la liquidation, par lynchage publique interposé le 20/10/2011 à Syrte, et que je

soupçonne quant à moi dans ma riposte d’outre-tombe, d’avoir fait commémorer l’anniversaire de sa mort le

20/10/2012 sur le toit d’une mosquée à Poitiers…

Les exemples sont nombreux, je ne prendrais pas le temps d’en citer d’avantage.

Ceux qui dirigent la France, en façade comme en coulisse, sont bien malheureusement pour moi, de très mauvaise

foi, et ce n’est pas chez l’élite dirigeante française de façade comme de coulisse (les Anne Leborgne Christian Atias,

Alain Boyer, Marc Pena, vous devez être familiarisé avec ces noms désormais ?) que je trouverai des alliés, donc voilà

pourquoi je n’ai pas daigné m’adresser à ces personnes d’une autre manière que par cv politique et riposte d’outre-

tombe interposé ! Et j’estime être légitime une fois de plus dans ma démarche.

Quant aux français de bonne foi, heureusement pour la France, ils existent encore, mais quel dommage qu’il ne

puissent pas peser dans le processus de gestion de ce pays, quel dommage qu’il représentent en réalité une certaine

majorité j’en suis sure, mais qu’ils demeurent par le jeu de forces occulte défendant des intérêts tout aussi occulte,

cette majorité « invisible », celle que l’on entend pas et dont l’avis n’a aucune valeur sauf lorsqu’on lui demande de

se prononcer sur le « nouveau Roi de la république » de façon éphémère, tous les 5 ans…

Des alliés il m’en faut, et de taille je suis d’accord avec vous, mais pas en France, car comme vous vous en doutez

fort bien, pour moi, la page française est désormais tournée depuis le 16/09/2011 et plus encore depuis le

30/11/2012. Tourné comme mes ancêtres décidèrent de tourner la page du colonialisme le 1/11/1954 comme « on

tourne les pages d’un livre »…

Il me faut des alliés de taille chez mon nouveau « chez moi », et je suis persuadé en mon âme et conscience que ces

potentiels alliés savent désormais qui je suis depuis le 29/12/2011, que ces deniers « me lisent actuellement », et

qu’ils ont compris le bien fondé de ma démarche, la légitimité de ma lutte et la noblesse de ma cause, et que tôt ou

tard, j’ose espérer dans un avenir très proche, dès que la « page BOUTEFLIKA « sera définitivement tourné chez moi,

et que la régence de Tlemcen sera définitivement neutralisé (le plus tôt sera le mieux), ils se manifesteront pour me

venir en aide et radicalement changer ma situation socioprofessionnel, afin que je puisse me rétablir et vivre

dignement en bon « pieds blancs », chez moi, sur ma terre, en Algérie, parmi des personnes qui me ressemble, et où

je ne risque pas d’être montré du doigt pour ma foi ou la consonance étrangère de mon nom.

Je tiens à finir sur ce point concernant « l’opposition », en vous précisant que contrairement à ce que vous affirmez,

non, je ne « m’enferme » pas.

Monsieur MAOUI une fois de plus je ne comprends pas le bien fondé de votre affirmation, vous semblez inverser les

rôles, je ne me suis pas enfermé dans cette démarche, ON M’A ENFERME DANS CETTE POSTURE, on m’a poussé bon

gré mal gré à ne pas me laissé humilier sans réagir, et je dois dire que je suis profondément déçu par votre constat,

qui prend ici une fois encore des relents de « bon conseils d’amis ».

En effet, vous semblez par ce constat indirect, faire reposer la seule et entière responsabilité de ma situation sur mes

épaules, bref, vous inversez carrément les rôles, et me faites ainsi penser (ce n’est pas un compliment vous vous en

doutez) à ces avocats sans scrupules qui a une certaine époque devant les cours d’assises françaises, dans des

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affaires de viol, avaient le culot de faire montre d’un manque de réparti en se retournant vers la victime

(généralement une femme) pour lui « jeter la première pierre », en affirmant que si elle avait été violé par le client

accusé, c’était peut-être de « sa faute à elle », qu’elle l’avait peut être « aguiché » par ses manière ou sa tenue

vestimentaire...

Fort heureusement pour les victimes de ce crime abject, les juges se sont rarement laissé convaincre par ce type de

raisonnement, ce qui me fait dire en toute légitimité, que votre constat est en réalité infondé !

Non monsieur MAOUI, je ne m’enferme pas : c’est ceux que vous oubliez de blâmer qui m’ont « enfermé » dans

cette situation, sans que je ne leur demande quoi que ce soit !

En quatrième lieu, contrairement à ce que vous affirmez, je ne me suis pas rebellé « parce que certains ont dit que

je ne pourrais ou devrais pas être enseignant ou avocat » ! Vous n’avez pas saisit toute la portée de ce document de

50 pages monsieur, relisez le donc, vous constaterez alors que vous faites fausse route. En effet, vous semblez par

cette affirmation réduire ma démarche a un simple « caprice d’adulte » ou à celle d’un « universitaire déçu par le

système » cherchant à se venger par n’importe quelle moyen, et qui tout aveuglé qu’il est par la haine le consumant

à petit feu, ne se rend même pas compte qu’il risquerait de s’interdire par lui-même en définitive, ces mêmes voies.

Pour vous, lorsqu’une personne s’insurge et combat une injustice c’est qu’elle est qualifiable de mécontente du

système et se rebelle en vue d’espérer un retour d’investissement ? Comment alors qualifier la résistance héroïque

du peuple algérien ? De caprice des civilisations ? Parce que le 1/11/1954 des hommes se sont « rebellé » contre

l’ordre coloniale français en Algérie, et que la plupart de ces hommes avaient servi dans les rangs de l’armée

française durant la « seconde terrible », vous seriez capable de qualifier ces hommes de « simples rebelles »,

chamaillant la France parce qu’elle ne leur aurait jamais donné de poste clé dans son armée, elle qui considéraient

les indigènes de l’époque comme des sous homme incapable de diriger une armée ?

Ben BOULAID, BEN MHIDI, BEN BELLA, BOUDIAF, seraient donc de « simples mécontent du système » de promotion

raciste dans l’armée française, voilà pourquoi ils se seraient rebellés le 1/11/1954 ? De simples rebelles donc ?

On n’est vraiment pas loin de l’idéologie coloniale française qui parlait à l’époque d’insurgé, de terroriste, en

qualifiant ces hommes nobles, dont la démarche s’inscrivait non pas dans l’optique d’obtenir réparation de l’armée

française, mais dans une perspective de libération nationale, par « témoignage à main armée », que le temps de la

nuit coloniale touchait à son terme, et que devait s’ouvrir pour l’Algérie une nouvelle ère, l’ISTIQLAL, pour le plus

grand bonheur d’un peuple fière et brave, vassalisé 132 ans durant par gaulois catholique interposé !

Non monsieur MAOUI, j’ai le regret de vous affirmer que comme pour mes ancêtres de la guerre de libération

nationale, ma démarche s’inscrit en réalité dans un cadre beaucoup plus noble que celui de la simple et vulgaire

« rébellion d’un insatisfait ou mécontent du système », elle a ceci de noble qu’elle ne concerne pas seulement mon

petit nombril, ma petite personne ou mes intérêts personnels, mais s’inscrivait dans un contexte politique marqué

par un climat d’ islamophobie ambiante, autorisant toutes les dérives et tous les écarts contre une communauté

démuni car moins bien organisé que la communauté israélite en France…

Ma démarche visait à alerter (comme je le dis dans mon profil « Linked in » que je vous invite à consulter si ce n’est

pas déjà fait), l’opinion publique et les autorités compétentes sur les dangers (sécuritaire) de cette situation, pour

l’unité et indivisibilité de la république française ! Elle visait à rappeler de vérités oubliées depuis de nombreuses

années malheureusement, parmi lesquelles le fait que l’islam soit parfaitement compatible avec les principes les plus

élémentaires de la république, que les musulmans ne sont pas les ennemis de l’intérieur comme certains voudraient

le faire croire à des fins politique ou électorale ! Elle visait à témoigner de l’existence avéré d’un racisme

universitaire qui fait des ravages en silence, à témoigner et condamner ce « clientélisme académique » qui règne en

maitre dans les universités françaises (le cas récent de Jean SARKOZY, plusieurs fois redoublant, n’ayant pas le

niveau de l’excellent juriste que je suis, qui a réussi à décrocher par je ne sais quelle stratagème un poste de chargé

de TD dans une grande université de droit parisienne, alors que je suis aujourd’hui là où je suis sans emploi, sans td,

Page 7: Benzaim Boukahil Repond à  Maitre  Moundji Maoui

est à ce titre criant de vérité ) université qui ne sont plus malheureusement pourvoyeuse de talent, mais de

pistonné de la pire espèce, expliquant en cela l’absence d’université française dans le top 100 des meilleurs

université au monde. Elle visait en définitive par une « approche pédagogique », à tenter d’apaiser les peurs et

craintes légitime d’une communauté (les français de « souche », je préfère dire « anciens », percevant l’islam

comme un danger à l’instar de Véronique GENEST, alias Julie LESCAUT…) en leur rappelant des vérités historiques…

Je vous invite pour ce faire, a bien relire le cv politique, et surtout à lire avec la plus grande attention ma « riposte

d’outre-tombe », vous comprendrez très vite à la lecture de cette dernière, que mon intelligence n’est pas

« feinte »…

Sun TZU en est garant, et est témoin de ce que je dis !

Enfin, je dois avouer qu’Il est vrai que si en définitive mes écrits me permettent d’obtenir une « juste réparation » de

l’ensemble de mes préjudices (morale, économique, socio professionnel) résultant de ces nombreux « coup bas » et

« bâtons dans les roues » durant ces 4 dernières années, je ne refuserai pas cette réparation d’autant plus si elle me

permettait de « repartir du bon pied » chez moi, afin de tout oublier et de passer comme on a coutume de le dire

« définitivement à autre chose ».

Mais je ne me fais guère d’illusion, j’ai suffisamment étudier le droit de la responsabilité durant mes deux années de

recherche doctorale et durant mon cursus, pour me rendre compte qu’en réalité, si la France dispose d’homme de

loi disposant eux même de code, rare sont les juges qui prennent la peine de réparer un préjudice quand il existe, et

souvent parfois, se donne un malin plaisir à en réparer un qui n’existe pas…Tous cela faisait partie des thèmes que je

me proposais d’aborder dans ma thèse « théorie du préjudice réparable en droit civile », mais je dois vous l’avouer,

jamais je n’aurai cru à cette époque que je serai un jour amener à me demander si le préjudice qu’on m’a infligé

« est ou non réparable » non pas aux yeux du droit, mais malheureusement comme c’est de plus en plus souvent le

cas aujourd’hui devant les tribunaux français, « aux yeux du juge »…Vous comprenez ?

Vous parlez en définitive de vainqueur, en vous demandant légitimement d’ailleurs « QUI SERA LE VAINQUEUR »?

Encore une fois et malheureusement, vous utilisez des raccourcis, des constats beaucoup trop réducteurs.

En effet, dans votre logique, c’est comme si tout l’objet de ma démarche visait finalement à vaincre le plus

rapidement possible ceux qui se sont fourvoyé et rabaissés dans l’échelle de la dignité humaine, en se proposant de

m’humilier moi et mon peuple, ou de me ralentir dans mes projets de vie sur terre…

Encore une fois, vous faites fausse route ! Il n’est pas question de victoire ou de défaite, cela dépasse largement ce

cadre réducteur ! Le combat que je mène, est un combat vous vous en doutez bien, inégale en terme de puissance

de feu ! Je suis seul, contre tout un système corrompu, fonctionnant à l’instar d’un système mafieux, dans la

discrétion la plus totale, croyez-vous réellement que lorsque je me suis lancé dans cette « épopée patriotique » je

comptais vaincre en un seul coup mes « ennemis », moi qui ne dispose je vous le rappelle, « d’aucun réseau » ?

Dans ce système dont je suis issu et qui m’a brisé, j’ai très vite compris que je me trouvais dans une sorte de « panier

de crabe » ou le plus gros mange sans scrupule le plus petit. J’étais conscient du peu de chance de me voir sortir

« victorieux » face à cette France DE PEU DE FOI.

Mais je savais aussi et surtout que dans ce panier de crabe, ceux qui ont « dévorés sans aucun scrupule » les espoirs

et rêve que je nourrissais légitimement, n’étaient pas les plus « gros crabes », il y’a toujours plus fort que soit dans la

vie, le but n’était donc pas de les vaincre eux, mais de les mettre en les exposant eux et leur haine, en ligne de mire

de plus gros crabe qu’eux, pas en France, mais en Algérie, ou les patriotes ne manquent pas…

Vous vous demandez comment ?

Relisez-moi, avec plus d’attention, n’avez-vous pas compris les objectifs pourtant claires de ma démarche ? Je vous

les ai pourtant explicité plus haut et plus encore dans mon profil Linked in.

Page 8: Benzaim Boukahil Repond à  Maitre  Moundji Maoui

Je n’ai pas politisé l’affaire en vain par ce cv politique, je n’ai pas fait appel aux stratagèmes les plus rusé que Sun

TZU m’a enseigné, en vain…

Mon cas ne relève plus de la simple justice française, mais de la politique et de la diplomatie. Un ambassadeur, ce

n’est pas juste un homme, il y’a derrière lui toute une nation, dans mon cas, 37 millions d’algériens. L’humilier lui, en

toute subtilité comme je l’ai magistralement bien démontré dans mon cv, c’est humilier dans le même temps ces 37

millions d’âmes, et honorer ces derniers comme je l’ai fait en lavant l’humiliation ce 29/12/2011 , est un acte noble

qui sera tôt ou tard reconnu de ceux qui dirigent réellement ce pays, des patriotes je n’en doute guère, qui seront le

moment venu, rendre la monnaie de leur pièce a ceux qui se sont fourvoyé de la sorte !

Mon cas ne relève plus de la justice, mais de la politique et de la diplomatie, Hollande à Tlemcen le 21 décembre

2012 pour recevoir un « Doctorat Honoris Causa » vous le démontre si besoin est…Missoum SBIH qui cour à droite à

gauche ces derniers temps au ministère de l’enseignement supérieur en France, vous le prouve lui également.

Pour vous, le fait que je ne sois pas l’heureux porteur d’une « peau de zèbre », est un signe de défaite et le fait que

je n’enseigne pas « l’art du raisonnement », un signe de victoire de ceux que je honnis au plus haut point comme

vous faite bien de le remarquer?

Vous n’avez donc rien compris à ce CV, une relecture s’impose et vite.

Dans un pays ou Jean SARKOZY est chargé de TD dans une université de droit parisienne, et ou les seuls cautions

diversités de la république sont les Rachida DATI, ces « beurettes » de la république trimballé ca et la en guise de

bonne foi républicaine, NE PAS PORTER LA ROBE OU ENSEIGNER POUR CE SYTEME n’est pas un gage de défaite, mais

bien au contraire, de victoire intellectuelle, sans conteste.

Le temps me donnera cette « victoire » que vous croyez acquise à ceux à qui je m’oppose, mais qui en réalité, est

déjà dans mon camp, depuis le 5/07/2012 et le 1/11/2012.

Monsieur MAOUI,

En cinquième lieu, je voie que vous vous questionné légitimement encore, sur le fait de savoir « pourquoi, puisque

l’on m’a a bloqué pour devenir avocat, ne pas avoir tout simplement cherché à le devenir par la voie du doctorat ?

Pour ne pas faire un « torche-cul ». Vous appelez alors cela en définitive de la vanité !

Voyez-vous monsieur MAOUI, à la lecture de cette question, j’ai tout de suite compris que vous aviez certes lu le CV,

mais que vous ne l’aviez pas lu avec toute l’attention requise, contrairement à ce que vous affirmiez en début de

votre mail.

La première chose qui me passa à l’esprit à la lecture de cette remarque : « vanité », est que je devais absolument

savoir comme vous vous en doutiez, à qui j’avais affaire, qui est cet avocat qui ose qualifier de « vanité » le fait pour

un juriste de haut niveau, de ne pas vouloir entrer dans le monde de l’avocature, « par la petite porte », en se

défilant pour y entrer sans passer par la case « grand oral », au risque d’être examiné comme je le fus par un jury

partial, injuste.

Alors effectivement j’ai commencé à chercher sur le web, mais non pas pour savoir qui « vous étiez », comme vous le

croyez, mais pour savoir ce que vous valez ! Ce qui pour moi, a une importance plus grande que les titres dont vous

êtes « l’heureux porteur ».

Que vaut Moundji MAOUI, qui voit dans la volonté d’un brillant juriste de refuser d’avoir une « peau de zèbre » au

« rabais » par « torche cul interposé » , un signe de vanité, lorsque dans mon fort intérieur, je n’y voyais qu’un gage

d’honnêteté intellectuelle, par soucis de rester fidèle à mes engagements et mes idéaux, à savoir, ne se contenter

que de l’excellence, pas de la médiocrité, ce qui je crois, est parfaitement illustré à travers mon curiculum vitae

universitaire comme vous avez dû le remarquer.

Page 9: Benzaim Boukahil Repond à  Maitre  Moundji Maoui

Alors j’ai cherché, cherché, jusqu’à vous trouver, à la fois sur « Linked in », mais aussi ailleurs sur la toile, et

d’information en information, je les ai recoupé, pour établir non pas un portrait-robot de votre personne, mais pour

tenter de vous situation sur une échelle de valeur de 1 à 10 dans l’échelle de « l’avocature française ».

En effet, j’ai très vite constaté durant mes études que le monde de l’avocature était composé de deux sortes

d’avocats, les AVOCATS, qui sont aujourd’hui une minorité dans le milieu, et les « avocats », qui sont légions vous

vous en doutez. Cette dernière catégorie se subdivise elle-même en deux groupes, les « avocats » qui le sont

devenus par la voie de l’examen d’entrée normal, et ceux qui se sont défilé par peur de l’échec, ou par lâcheté

intellectuelle, ne se sachant pas au niveau, ils préféreront passer 3 à 5 ans de leur vie à écrire sur un sujet

n’intéressant personne, pas même leur directeur de thèse, pour faire jouer les nombreuses dispenses existant dans

ce milieu, et devenir « avocat » mais malheureusement titulaire il faut l’avouer sans honte, d’une robe au rabais,

celle de la médiocrité, et parfois (trop souvent même dans ce monde) du piston !

Alors je me suis demandé ou je devais vous placer, en toute franchise et honnêteté intellectuelle, vous qui avait eu le

culot de me juger vaniteux sans même me connaitre, en allant même jusqu’à douter de ma compétence, la

remettant donc ainsi en cause. Que vaut Maitre MAOUI ?

J’ai tout d’abord pu constater que vous vous présentiez comme avocat, soit, mais cela n’a rien d’extraordinaire en

soi, comme vous avez pu le constater à la lecture du cv…

J’ai vu que vous viviez sur Paris, une très jolie ville que j’ai eu l’occasion de visiter une seule fois dans ma vie, c’était

à la fin de mon master 2, juste avant les résultat du master 2 que je suivais et avec l’anxiété de voir malgré mon

excellence, cette fondamentaliste « Christus addict » se mettre à nouveau en travers de ma route, je décida d’y

passer quelque jour avec un ami. La tour Eiffel est un bijou d’architecture il est vrai, que dire alors de notre dame ?

Sur ce site : http://www.pierrevallet.com/tag/liste+nouveau+centre+paris+14e

J’ai pu constater que vous vivez sur Paris depuis près de 30 ans ? Je croyais donc avoir affaire un juriste chevronné

tout droit sorti d’Assas ou de Sorbonne, puisque vous vous permettez de vous ériger en juge de la vanité…

Mais j’ ai décidé de chercher un peu plus, pour savoir quelle était votre véritable valeur encore une fois, votre

profil « Linked in » n’est à ce titre d’aucune utilité, vous n’avez même pas daigné y publier vos résultat ou l’ensemble

de votre cursus, même pas l’université qui vous a remis votre doctorat…

Car en effet, sur ce même site plus haut, vous vous présentez come docteur en droit…Et là ce fut le déclic, j’ai tout de

suite compris la valeur de l’homme en allant chercher le titre de votre sujet de thèse sur le SUDOC, ou comme vous

l’avez lu dans mon cv politique, on ne peut pas tricher, et ce que votre profil « Linked in » ou « Pierre VALLET » ont

refusé de me dire, « SUDOC » me l’a dit lui !

http://www.sudoc.abes.fr//DB=2.1/SET=1/TTL=1/SHW?FRST=3

Voilà ce que l’on apprend sur le juriste que vous êtes en réalité !

Les associations et le droit des étrangers

Moundji Maoui ; sous la direction de François-Paul

Blanc

Mémoire ou thèse (version d'origine)

Description : 1 vol. (411 f.) : ill. en noir et coul. ; 30 cm

Num. national de thèse : 2006PERP0679

Thèse : Thèse de doctorat : Droit public : Perpignan : 2006

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Voue etes en réalité Docteur en droit public, (une branche beaucoup plus cool que le droit privé, comme on peut le

voir à travers l’ensemble des jeunes étrangers que votre directeur de thèse a eu à encadrer avant vous) de

l’université de PERPIGNAN….dans l’extrême sud-ouest de la France, une petite université de Province ou vous avez

sans doute suivi un master 2 de « seconde zone » ou vous vous êtes retrouvé je le devine déjà avec de nombreux

jeunes étrangers, ou vous avez rédigé un mémoire éponyme sur « les association et le droit des étrangers » que vous

avez souhaité transformer par soucis de simplicité en « sujet de thèse »…

A cet instant j’ai commencé à avoir une idée plus précise du juriste qui qualifie de vaniteux le fait de ne pas vouloir

rédiger une thèse de seconde zone pour accéder à la robe qu’il croyait être celle de l’excellence et qui s’avère en

réalité être celle de la médiocrité…

Un juriste de mon niveau ne rédige pas une thèse pour être avocat, mais pour être professeur…Anne LEBORGNE

l’avais bien compris…

Ainsi, vous êtes vous-même comme MISSOUM SBIH, un diplômé au rabais, ce n’est pas une attaque personnelle, j’ai

le regret de vous dire que c’est un constat légitime, vous n’avez pas supporté de voir un excellent juriste refuser de

passer par la même case que vous par honnêteté intellectuelle, alors vous le traiter de vaniteux, vous vous

demandez pourquoi ne pas devenir avocat en passant par la thèse, mais vous semblez oublier (ou alors vous feignez

d’ignorer) que mon directeur de thèse m’a lâché en cour de route un 1/09/2011, preuve à l’appui dans mon cv

politique, que le département de droit privé (Pierre Kayzer) était sous la houlette de la Christus addict elle-même

ancienne doctorante de mon directeur de thèse, qu’aucun professeur digne de ce nom (à la hauteur de la renommée

académique de Christian Atias ou Jean Louis Bergel) n’était en mesure de reprendre mes travaux de recherche dans

cette fac, et je dirais même plus, qu’au vu de la manière dont les évènement se sont déroulé pour moi, le but était

tout simplement de me voir évincé de cette faculté par des moyens très subtil…

Vous me direz pourquoi ne pas l’avoir poursuivi ailleurs, sur Paris par exemple ?

Croyez-vous qu’il soit si simple de partir sur Paris quand on est déclaré par le droit français, comme vivant en

dessous du seuil de pauvreté et que l’on n’est pas comme vous « chef d’entreprise » ?

Non, rien ne fut facile pour moi ces 4 dernières années. Si j’ai cherché à présenter (contrairement à vous) l’examen

du CFRPA parallèlement a ma thèse, c’était justement pour m’échapper de ce cercle vicieux, et avec le temps si le

destin me l’aurait permis, de reprendre ma thèse dans une fac réputé de la capitale, après avoir trouvé un nouveau

directeur de thèse moins royaliste que l’ancien, moins xénophobe aussi, n’ayant si possible aucun lien avec la ville de

Poitiers….

Mais revenons-en à vous et cette honnêteté intellectuelle doublé d’une recherche de performance et d’excellence

qui sont mienne, et que vous qualifiez dans votre mail, de VANITE !

Comment osez-vous porter un jugement de valeur sur ma recherche d’excellence et de performance et mon

honnêteté intellectuelle, vous qui vivant sur Paris, n’avez pas eu l’audace de faire votre cursus dans une fac de la

capitale que vous habitez depuis trente ans ?

Vous avez préféré vous défilé, vous exilé dans une fac de Province, passer par la voie de la facilité, pour ensuite

revenir sur Paris exhiber sans doute avec condescendance votre « peau de zèbre » acquise non pas par la force de

votre intellect comme mes diplômes qui valent plus à mes yeux, que cette robe au rabais que vous portez

aujourd’hui…

Vous n’avez pas connu l’anxiété de préparer un examen aussi spéciale que le CRFPA, la crainte de l’échec doublé par

l’expérience douloureuse du 7/05/2009, la peur de la paralysie ou du trou noir lors du grand oral, vous ne savez sans

doute même pas quel effet sa fait de se dire que malgré tous les blocages endurés, on a réussi à tenir 30 minutes

non-stop face à ses bourreaux toulonnais de connivence avec les bourreaux d’Aix en Provence…

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Vous ne serez sans doute jamais ce que c’est que de ne pas sortir de chez soit deux été entier pour préparer ce rdv

fatidique de manière optimale et ne se serait sans doute jamais l’effet que vous ressentez en vous disant que sur 245

élèves présentant les écrits, seuls 45 furent admis à l’oral, que seuls 15 garçons en faisaient partis, et que vous étiez

en définitive le seul arabe de ces derniers grâce à votre excellence « vaniteuse » ! Ou plutôt oui, vous devez savoir

l’effet que sa fait d’être le « seul arabe » d’un groupe, puisque dans votre lutte de 2008 pour un poste dans la mairie

du 14eme arrondissement de Paris, au côté de votre bailleur de fond de l’époque, « Pierre VALLET », on peut voir

que sur la liste du 14eme, aux coté de tous ces français de souche vous n’étiez que le seul arabe, la caution diversité

de Pierre Vallet, ceux que Brice Hortefeux visait dans sa boutade de 2009 : quand y’en a un ça va, c’est quand il y’en

a plusieurs…

Ainsi voilà ce que vaut Maitre MAOUI, un juriste de seconde zone arrivé dans le monde de l’avocature par la petite

porte, qui s’est défilé du chalenge intellectuelle représenté par une vrai fac de droit de la capitale, pour s’exiler de

Paris vers perpignan dans une fac de province pour ne pas avoir à affronter les élites parisienne, qui a préféré passer

par la voie de la facilité en rédigeant une thèse de seconde zone elle aussi, et qui plus est, en plus d’omettre de

préciser ses résultats académique dans son profil « Linked in », va même jusqu’à mentir sur son véritable cursus, car

je ne vois pas de quelle manière un avocat docteur en droit public avec une thèse portant sur les associations et les

étrangers, peut du jour au lendemain se présenter comme un avocat d’affaire !

En effet, voilà ce qui est dit de vous ici :

http://www.algerie360.com/algerie/les-opportunites-d-affaires-du-marche-algerien-presentees-a-paris/

« Me. Moundji Maoui, Avocat en droit des affaires !.... »

Ainsi, en plus d’être un juriste de seconde zone sans mérite, animé d’une certaine lâcheté intellectuelle, je vous

découvre aussi menteur, de docteur en droit public à avocat en droit des affaires, il y’ a un sacré fossé il faut

l’avouer !

Je vous laisse à ce stade deviner votre « note sur 10 » sur l’échelle de valeur de l’avocature française…

Monsieur MAOUI,

En sixième lieu, vous vous demandez légitimement encore ce que je pourrai faire de ma vie en France si aujourd’hui

j’étais avocat, me battre pour des causes justes, être hait ou adulé, pour rendre un beau pied de nez à ceux que je

honnis…

Le pied de nez est déjà rendu, depuis le29/12/2011 et le 1/11/2012, quant à l’avocature en France, au même titre

que l’enseignement, ces voies ne m’intéressent plus, elle sont désormais sans valeur intrinsèque, le professeur

agrégé n’est pas aussi méritant et compètent qu’il veut nous le faire croire (cf. Atias), l’avocat n’est plus aussi brillant

(Cf. Vous-même), dans un pays gangréné à l’image d’un état africain par la corruption et le clientélisme, il ne sert

plus à rien de se battre pour la justice, parmi des parjurés qui font tourner le système…

Aujourd’hui, j’estime que je vaux beaucoup plus que cette peau de zèbre ou qu’un poste de chargé de td…je veux

me battre non plus en France, mais ici sur ma terre, au plus haut niveau, pour un peuple qui le mérite vraiment, c’est

là le sens de ma démarche du 29/12/2011 et du 1/11/2012.

On comprendra à Alger dans les casernes, la valeur de ma personne et on me donnera ma chance j’en suis sure, on

me donnera la place qui me revient de plein droit sur ma terre. Je serais plus utile ici chez moi, que dans la

république le PEN du parjure qui vous accueille.

Monsieur MAOUI,

En dernier lieu, pour terminer ma longue réponse à votre mail, prenant la forme d’une proposition amicale faite à

titre bénévole mais empreint de doute dans le fond de votre démarche, je tenais à vous préciser que vous n’avez pas

Page 12: Benzaim Boukahil Repond à  Maitre  Moundji Maoui

à porter un quelconque jugement de valeur sur ma personne a l’image de ce que vous faite dans votre mail, lorsque

vous disiez dans votre second constat que « vous me sentez compétent », tout en induisant en cas de refus de ma

part de la main que vous me tendez, que mon intelligence serait en définitive feinte.

Jolie stratagème visant à pousser le Docteur Patriotis Causa que je suis à obligatoirement accepter cette offre, au

risque de passer pour un incompétent doublé d’un idiot de la pire espèce…

Mais la ruse et l’intelligence qui m’ont permis de déshabiller un groupuscule d’extrême droite le 1/11/2012 en

trente jours top chrono, en faisant appel aux plus grande figures de l’histoire, ne peuvent pas être feinte, nulle part

parmi la communauté des diplômés de HEC OU SCIENCES PO PARIS, Assas ou Sorbonne en passant par les écoles de

journalisme les plus huppés de la région parisienne, je n’ai vu un individu se proposer de faire une application

intellectuelle magistrale du SUN TZU en un laps de temps dérisoire, pour se proposer de léguer comme testament

sur la réalité de la France aujourd’hui, un livre de 182 pages, lavant dans le même temps les humiliations subie par

une communauté de 6 millions de croyant et 37 millions d’algériens !

Nulle part ! C’est donc avec joie que je vous confirme que vos doutes sur ma compétence et mes capacités

intellectuelles sont balayés d’un revers de la main par riposte d’outre-tombe et stratège militaire interposé, Sun TZU

ET CHATEAUBRIAND seront là pour vous le confirmer au demeurant !

C’est enfin avec grand regret que si je me vois accepter sincèrement votre entière solidarité dans ma lutte, je dois

cependant en toute honnêteté refuser la « demi main tendu » de votre part, car je ne vois pas comment un avocat

de seconde zone sans mérite intellectuel et dont la dignité semble avoir quitté en 2008 pour un poste de caution

diversité dans une mairie du 14 eme arrondissement de Paris, pourra faire quelque chose d’utile pour le brillant

juriste que je suis, dont les droits furent bafoués a plusieurs reprises, sans jamais recevoir justice !

Je ne vois pas comment un individu qui dit ne « pas être un homme de pouvoir » (tout en le recherchant cependant

depuis 2008) peut faire quelque chose pour moi, votre expérience vous a peut-être permis de vous en sortir dans ce

pays jusqu’à aujourd’hui, à atteindre vos but, mais de quelle manière et à quel prix ?

Enfin, je pense que de nous deux monsieur, en définitive, le seul véritable algérien, animé des mêmes idéaux que

ceux du 1/11/1954 depuis son geste du 29/12/2011, c’est bien moi, et seulement moi.

Veuillez, monsieur MAOUI, croire en l’assurance de mes plus sincères salutations.

Bien cordialement,

Benzaim BOUKAHIL, Docteur Patriotis Causa, caserne militaire de Bab el Oued Alger, 29/12/2011.

Avocat des musulmans de France et de Navarre et de tous les opprimés sur terre, inscrit depuis le 1/11/2012 au

barreau des révolutionnaires.

Auteur de la magistrale « riposte d’outre-tombe » du 1/11/2012.

Dernier des Sarrazins et accessoirement premier des pieds blancs !

Meskiana, wilaya Oum el BOUAGHI, Aurès, Algérie, le 8/06/2013.