Analyse Financière de La société BOSCH
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Mathieu AMACHER S-5 Finance et GestionFeryel BOUDIAFEdouard CAPYClara GARCIAMartin GERVEREAUAïssata KASSONKE
Analyse Financière de
La société BOSCH
Professeur : Mme C.FARCOULI Diagnostic financier
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Avant propos
La croissance économique mondiale en 2004 a été la plus élevée depuis près de 30 ans et s'est développée de plus de 4 %. Toutes les grandes zones de la planète ont retrouvé du dynamisme dans la trace de la croissance importante enregistré aux Etats-Unis et en Asie. En revanche, la zone euro n'a pas profité de ce contexte particulièrement favorable et est restée à la traîne de la croissance d'ensemble. La dynamique internationale a entraîné avec elle la hausse du prix des matières premières tout au long de l'année, hausse qui a affecté les rythmes de croissance de tous les pays consommateurs. En parallèle, la baisse de la monnaie américaine s'est poursuivie au cours de l'année pour s'accélérer à l'automne en raison de la montée des déficits américains
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1. L’entreprise, Le secteur
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Fiche signalétique
ROBERT BOSCH
RCS Bobigny B 572 067 684
Nom commercial : BOSCH BLAUPUNKT BOSCH SERVICE RECHANGE AUTOMOBILE
Renseignements juridique
Siège social : 32 Avenue Michelet93400 ST OUEN Téléphone : 01 40 10 71 11Fax : 01 40 10 78 80
Numéro de Siret : 57206768400017
Date de création : 04/09/1950
Forme juridique : Société par actions simplifiée
Capital social : 78 000 000 euros
Chiffre d'affaire : 791 000 000 euros ( 2004 )
Bénéfice : 10 000 000 euros ( 2004 )
Effectif société : 3 812
Effectif groupe : 10 440
Code activité : 343Z - Fabrication d'équipements automobiles
Nationalité : France
Président : Mr Guy MAUGIS
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Rétrospective
Présentation du Groupe
Créé en 1967, le groupe BSH (Bosch § Siemens Hausgerate) est un joint-venture détenu à parts égales par les groupes allemands Bosch et Siemens. Au cours des quinze dernières années, BSH s’est rapidement développé. Il conçoit et fabrique des équipements de gros et petit électroménager ainsi que de la domotique. Il est présent en Europe, en Amérique et en Asie par le Baie de 43 usines et de plus de 100 entreprises.
Actualité du Groupe
En mars 2005, le groupe BSH a annoncé la construction début 2007 d’une usine de réfrigérateurs à Saint-Pétersbourg. Le site emploiera 500 personnes et produira 500 000 réfrigérateurs par an.
Segmentation des ventes de BSH en 2003
Zones géographiques PartsEurope de l'Ouest 54%Allemagne 26%Europe de l'est 6%Amérique du Nord 5%Asie 5%Amérique Latine 3%Autres pays 1%Total 100%
Activité en France
Implante en région parisienne et dans le Nord, BSH Electroménager employait 3812 personnes en 2004. La société propose quatre marques : Bosch et Siemens sont généralistes, tandis que Gaggenau et Neff sont spécialisées dans les appareils encastrables. Le dispositif commercial et productif du groupe en France est composé du siège social basé en région parisienne (93), d’un service après vente (93), d’un centre logistique implanté en seine et Marne et de galeries d’exposition (Paris, Lyon et Marseille). Elle réalise un chiffre d'affaire 811 millions d'euros en 2003.
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Historique de la société Bosch
1861 Naissance en Allemagne de Rober Bosch
1886 Ouverture du premier atelier d’ingénierie électrique à Stuttgart
1901 Première usine à Stuttgart (45 ouvriers)
1906 Pour la première fois en Allemagne, Robert Bosch instaure une durée de travail
de neuf heures par jour.
1910 Ouverture de la première usine aux Etats-Unis
1917 L’entreprise prend le statut de SA, elle compte désormais 7000 employés
1942 Mort de Robert Bosch
1967 BSH est fondé (Robert Bosch Gmbb et Siemens AG)
1982 Rachat de Neff brand
1988 Acquisition de Safel, S.A. (Espagne)
1994 Acquisition de Gaggenau Hausgeräte GmbH (Allemagne)
Ouverture d’usines à Mexico City, Recife, São Paulo (Brésil) and Wuxi
2002 Ouverture d’une usine en Thailande
2004 Prise de participation à hauteur de 50 % de la société espagnole Fedders
Corporation (air conditionné)
2005 Construction d’une usine à Nanjing, Chine. Le centre avec une surface totale de
370.000 mètres carrés, entoure quatre divisions centrales d'usines, de ventes de
BSH et un centre de recherche et développement.
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Le marche de l'électroménager (cf. annexe 1)
A partir du mois d'août 2005, le recyclage des appareils ménagers hors d'usage sera obligatoire. Afin d'inciter les fabricants d'appareils électroménagers à réaliser des équipements moins consommateurs d'énergie et à utiliser des matériaux facilement recyclables, le coût du recyclage sera directement intégré au prix de vente des appareils neufs
En 2005, le marché de l'électroménager progressera de 5% (en volume), poursuivant son cycle de renouvellement entamé en 2002. L'augmentation des ventes d'électroménager ne tient toutefois qu'aux facteurs déflationnistes à l'œuvre sur le marché. Les prix à la consommation accusent un net recul, tant sur le Petit Electroménager (PEM) (-1,3 % en 2004) que sur le Grand Electroménager (GEM) (-3,2%). En effet, l'arrivée sur le marché domestique de produits d’importation à moindre coût, notamment asiatique, pousse les opérateurs français à revoir à la baisse leurs prix. En outre, la concurrence de plus en plus vive sur les circuits de distribution et notamment la montée du discount, participe largement à ce recul tarifaire.En dépit de la progression de la consommation des ménages en volume, les marges des fabricants français souffrent, prises en étau entre le flambée des cours des matières premières et la baisse des prix de vente industriels. En effet, d'une part, les prix à la production de l'acier (l'acier et le plastique représentent 75% à 80% du prix de revient d'un appareil électroménager et de ses composants) ont bondi de 25% en 2004. Une grande majorité des fabricants bénéficient de contrats d'approvisionnement semestriels ou annuels, ainsi le contrecoup de cette envolée est donc à attendre pour fin 2005.
Les fabricants français d'électroménager, qui réalisent près de 40% de leurs ventes à l'exportation, perdent de la compétitivité en Europe Occidentale, et notamment en Allemagne (21% des exportations d’électroménager). Bon nombre de fabricants ont fermé leurs usines en France, on est en face d'un système de désindustrialisation qui s'accélère (entre 1993 et 2003, les effectifs du secteur ont baissé de 45% ).
Les fondamentaux du marché
Trois catégories de produits :
- le GEM regroupe les appareils frigorifiques domestiques (congélateurs, réfrigérateurs), les appareils de lavage et de séchage du linge et de la vaisselle et enfin les appareils de cuisson à pose libre ou encastrables. Ce segment est communément appelé "produits blancs".12,8 millions d'appareils de GEM ont été vendus en 2004 (+1,6%), pour un chiffre d'affaire de 2,6 milliards d'euros. Le prix de vente a baissé en moyenne de 4% entre 2003 et 2004.
- les PEM correspondent aux appareils de préparation et de cuisson des aliments (robots de cuisine, friteuse, grille-pain, cafetières), aux appareils d'entretien du linge (fers à repasser) et des sols (aspirateurs, cireuses), et aux appareils de soins corporels et de beauté (rasoirs, sèche-cheveux, épilateurs, brosses à dents électriques). Les ventes de PEM s'élèvent à 1,13 milliard d'euros en 2004 (-2,6%
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par rapport à 2003), soit environ 21 millions d'unités vendues. Les ventes de PEM, en raison de leur "effet cadeau", ont un fort caractère saisonnier. Le pic des ventes se réalise lors des fêtes de Noël. Les ventes de cafetières ont été les plus dynamiques en 2004.
- la dernière catégorie de produits est constituée d'appareils de chauffage de l'eau et des locaux (chauffe-eau électriques, radiateurs électriques).
Le parc de gros appareils électroménagers des ménages comptait 145 millions d'unités en 2004, celui du petit électroménager est évalué à 280 millions d'appareils. Les taux d'équipement des ménages français varient selon les produits et leur date d'introduction sur le marché, mais aussi du pouvoir d'achat et de la structure familiale des foyers.Le marché français des appareils ménagers s'est établi à 4,05 milliards d'euros en 2004 (-0,5% par rapport à 2003). Entre 1996 et 2003, le marché a progressé de près de 20% en valeur, soit une croissance annuelle de 2,6%. Près de 80% des appareils vendus en France sont fabriqués en Europe.
La distribution d'électroménager est assurée part trois principaux circuits, à savoir les grandes surfaces spécialisées (GSS), les grandes et moyennes surfaces (GMS) et les spécialistes traditionnels.D'autres circuits distribuent également de l'électroménager, mais dans une moindre mesure : les cuisinistes (appareils encastrables et GEM), les grands magasins et la vente par correspondance PEM.
Principaux concurrents (cf. annexe 2)
Les principaux concurrents
- SEB : Présent dans plus de 120 pays, le groupe SEB est l'un des leaders mondiaux de petit équipement domestique et en particulier des articles de cuisine antiadhésifs. Il contrôle 51 filiales dans 49 pays et emploi près de 15 000 personnes.Le chiffre d'affaires en 2004 est de 2 339 milliards d'euros, en progression de 1,1%. Elle a intégrer l'activité d'All-Clad (société Américaine d'accessoire de cuisine de luxe). En avril 2005, le groupe Seb a également repris le numéro un italien des articles culinaires haut de gamme en inox, Lagostina.Sur le marché français (27% des ventes), les ventes ont baissé de 3,5% à 636 millions d'euros.
- Philips : le groupe Philips est présent sur cinq secteurs : l'électronique grand public, l'éclairage, l'équipement domestique, l'équipement médical et les semi-conducteurs. A l'origine de la constitution de ces cinq pôles, un vaste programme de restructuration entamé depuis 6 ans, de plus, 50 000 postes ont été supprimés en trois ans. En 2004, le chiffre d'affaires du groupe a progressé de 4% pour atteindre 30,4 milliards d'euros. Les ventes de la branche électroménager ont toutefois reculé de 5% à 2 milliards d'euros. La division semi-conductrice progresse de 10% à 5,5 milliards d'euros.
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- Electrolux : le groupe suédois est présent dans 150 pays et employant plus de 77 000 personnes, il a réalisé un chiffre d'affaire de 13,3 milliards d'euros en 2004, en baisse de 2,7% par rapport à 2005. Il est en tête d'un portefeuille d'une vingtaine de marques qui, pour certaine bénéficient d'une notoriété mondiale. Comme ses concurrents, Electrolux cherche à augmenter sa compétitivité par une réduction des coûts. Au premier trimestre 2005, la société a fermé son usine de Reims pour transférer la production en Italie et en Allemagne. Les ventes d'Electrolux en France se sont élevées à 743,6 millions d'euros en 2002.
- Whirlpool : le groupe Américain est spécialisé dans la fabrication de GEM. Présent dans 170 pays et employant près de 70 000 personnes, il possède une cinquantaine d'usines et de centres de recherche à travers le monde. En janvier 2005, le fabricant annonce l'augmentation de 10% de ses prix pour faire face à l'augmentation du coput des matières premières. Whirlpool intervient sur le marché hexagonal via sa filière Whirlpool France (CA 2003 : 543,3 millions d'euro).
- Indesit : (ex Merloni Electtrodomestici), créé en 1975; le groupe est présent dans 21 pays, à travers 22 filiales, il emploie environ 20 000 personnes. En janvier 2005, le groupe annonce la création d'une société commune chinoise avec le premier producteur chinois de machines à laver WLS. La production sera essentiellement destinée à l'exportation, et notamment à l'Angleterre. L'Italien a réalisé en France un chiffre d'affaire de 400,9 millions d'euros en 2003.
Les innovations des produits et la notoriété des marques restent le moteur de l'activité des fabricants d'électroménager. Les lancements de nouveaux produits, sur le PEM notamment, se sont multipliés en 2004 et début 2005.
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ETUDE COMPARATIVE ENTRE BOSH ET WHIRLPOOL
Variable BOSH WHIRLPOOL2003 2004 2003 2004
Chiffre d'affaires 810 958 000 790 676 000 543 339 305 536 848 344V A 319 605 000 305 087 000 64 388 544 58 782 307Bénéfice ou perte -20 990 000 9 991 000 -4 082 579 -12 061 742Endettement (%) 10,38 3,94 21,01 22,07Effectif moyen 3 757 3 812 862 839
Depuis quelques années, le secteur de l’électroménager est confronté à la percée des produits en provenance d’Asie, moins onéreux. De plus, cela se conjugue à la chute des ventes industriels en volume des entreprise européenne.
Ces deux phénomènes permettent d’expliquer en partie cette baisse du chiffre d’affaires. Cela se reflète dans l’ensemble du secteur de l’électroménager.
Par ailleurs , le solde commercial de ces entreprises s’est de nouveau creusé en 2004 (croissance soutenue des importations + 4% par rapport à 2003). Ceci s’explique par une délocalisation d’unités productives dans des pays à faibles coûts salariaux.
De plus, le niveau élevé de l’euro par rapport au dollar et aux autres monnaies a pesé sur la compétitivité des produits français en 2004.
Cependant, on peut constater que ce phénomène a eu un impact moins néfaste sur Bosch que sur certains de ces concurrents qui ont vu leurs part de marché diminuer de presque 1%.
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2. La partage de la Valeur Ajouté
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On observe que le résultat net de la société Robert Bosch à connu de forte variation. L'entreprise est devenu déficitaire en 2003, passant de 3 428 196 euros (en 2002) à -20 990 452 euros. Pourtant, sur cette période, elle réalise le meilleur chiffre d'affaire en 2003 avec 303 583 395 euros (+ 4 % en moyenne par rapport aux autres années).
Tableau partiel des SIG (cf annexe 5)
On observe une nette baisse de la valeur ajoutée sur les deux dernières années avec un rempli de 14 517 998 euros ( - 5 %). Le taux de valeur ajoutée passe de 40 % en 2002, à 38,5 % en 2004. Ce taux est en diminution continu sur la période. De plus, il faut noté que le taux de progression de la VA est négatif en 2004.Cette évolution peut être expliquées par l'étude approfondie des soldes intermédiaires de gestion qui entre en compte dans le calcul de la VA.
2002 2003 2004
Ventes de marchandises 293 058 774 303 583 395 290 806 325Coût des marchandises vendues 237 477 750 250 095 534 231 543 304
Marge commercial 55 581 024 53 487 861 59 263 021
Production vendue 497 747 200 507 374 824 499 869 400Production stockée 783 738 2 880 211 -4 167 499Production immobilisée 332 611 490 941 595 602
Production de l'exercice 498 863 549 510 745 976 496 297 503
Marge commercial 55 581 024 53 487 861 59 263 021Production de l'exercice 498 863 549 510 745 976 496 297 503Consommations en provenance de tiers 235 685 562 244 629 486 250 474 171
Valeur ajoutée 318 759 011 319 604 351 305 086 353
Le chiffre d'affaire relatif à l'activité commercial (vente de marchandises) représente un pourcentage de 36 % du total des ventes en 2003 ( 37% en 2002 et 2003 ). Mais elle réussi à augmenter sa marge commercial en 2004 (+ 6 % par rapport à 2002) notamment en améliorant l'efficacité de sa politique d'achat des marchandises.Cette performance traduit une amélioration de l'activité commercial.
La production de l'exercice est stable entre 2002 et 2004, elle connaît une augmentation de 2% en 2003. La production stockée passe de 2 880 211 à - 4 167 499, cela signifie qu'au 31/12/2004, il y a une amélioration de la gestion des stocks.Pourtant, il y a une augmentation des produits immobilisés : + 42 % entre 2002 et 2003, puis + 21 % en 2004; l'entreprise augmente significativement les travaux faits pour elle-même.
Il faut aussi noter que la valeur ajouté est pénalisé par la hausse globale du marché des matières première.
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La répartition de la Valeur Ajoutée (cf. annexe 5)
Pourcentage la de répartition de la valeur ajoutée 2 002 2 003 2 004
Etat 6% 10% 14%Personnel et organismes sociaux 53% 55% 68%Prêteurs 4% 2% 1%Apporteurs de capitaux - - -Entreprise 38% 33% 16%
Total des pourcentages 100% 100% 100%
L'évolution de la répartition de la valeur ajoutée montre la part croissante prise par l'Etat : avec une augmentation de 8 points sur la période.
La part du personnel de l'entreprise et des organismes sociaux augmente de + 15 % dans la répartition des richesses. Cette augmentation est soulignée par le ratio de répartition des revenus utilisant le facteur travail qui passe de 53 % en 2002 à 59 % en 2004.
L'entreprise a de plus en plus de mal à financer ses propres investissement avec une perte très importante de 17 % de la part de la valeur ajoutée entre 2003 et 2004.
On observe aussi la diminution de la part attribué aux prêteurs : - 3 %. A l'aide du ratio du taux d'endettement, on remarque que l'entreprise s'est axé sur une stratégie de réduction de ses dettes.
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3. Tableaux de bord de ratios
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Le détail des calcul se trouve en annexe 9
A - Etude de la gestion
Ratios d'activité de la société Bosch
Nous nous sommes intéressés à 6 ratios : - Taux de la valeur ajoutée- Force de la production- Taux de progression du Chiffre d’Affaire- Taux de progression de la Valeur Ajoutée- Taux de variation de l’Excédent Brut d’Exploitation- Taux de variation du Résultat Net
Le taux de la valeur ajoutée diminue au fil des années ainsi que le taux de progression de la Valeur Ajoutée. La valeur ajoutée étant le premier indicateur de la richesse dégagée par l’entreprise, nous pouvons constater qu’il y a une diminution de la richesse de la société entre 2002 et 2004, évaluée à deux points. Nous pouvons donc dire que cette diminution est due à une augmentation des charges.Nous pouvons constater qu’il y a une diminution des quatre autres ratios qui sont dûs aux difficultés que le secteur a rencontré ces dernières années.
Ratios de rendement
Pour analyser le rendement de cette société nous nous sommes intéressés à trois ratios :
- Rendement brut des Immobilisations- Force de production- Taux de la Valeur Ajoutée
Le taux de Rendement brut des immobilisation connaît diminution qui est du à une Faible affaiblissement de l'Excédent Brut d’Exploitation, dont la diminution de l’endettement en est la cause. Cette légère défaillance se constate aussi avec le Taux de valeur Ajoutée qui diminue pendant ces trois années.
Ratios de répartition des revenus
Pour cela nous avons étudié deux ratios : - Partage de la valeur/facteur travail- Partage de la valeur/facteur capital
Les charges du personnel ont augmentées durant ces années, évaluées à +6% entre 2002 et 2004. Ce qui peut s’expliquer par une augmentation de la masse salariale ou par une nouvelle stratégie de développement basée sur du personnel plus qualifié et donc une plus grande importance de la cellule Recherche et Développement.
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B - Ratios de structure
On constate une baisse des actifs immobilisés au profit des actifs circulants. L'entreprise possède trop de stock ou trop de créance en attente.
Dans cette partie, nous chercherons à définir la dépendance de l’entreprise aux sources extérieures de financement. Ainsi, nous évaluerons d’abord la dépendance financière de la société Bosch en analysant son niveau d’endettement, puis nous évaluerons son équilibre financière avant de déterminer sa capacité d’autonomie financière.
Le niveau de dépendance financière
Dans cette partie, nous chercherons à définir jusqu’à quel niveau l’entreprise fait appel aux sources extérieures de financement.
2002 2003 2004
Taux d'endettement 64,51% 42,25% 21,97%
Le niveau d’endettement financier de Bosch a en trois ans considérablement baissé : passant de 248 579 539€ en 2002 à 47 581 272 en 2004 soit une baisse de 81%. Notons que les emprunts bancaires représentent une portion minime, se sont les emprunts et dettes financières diverses (dont les emprunts participatifs) qui constituent l’essentiel des dettes financières.L’entreprise est plus dépendante de ses autres prêteurs de fonds que des banque.Il reste à déterminer, avec ce niveau d’endettement, si l’entreprise peut aspirer à un équilibre financier.
L’équilibre financier
Bosch est en bonne voix pour atteindre l’équilibre financier car entre 2002 et 2004, le ratio ‘dettes financières / CAF’ est passé de 2% à 1,09% soit une baisse de presque un point !Ce ratio tendant vers 1 montre que l’entreprise tend vers une autonomie financière à long terme car elle est en mesure de dégager des ressources en interne pour faire face à ses échéances.
La capacité d’autonomie financière
Le ratio ‘fonds propres / dettes totales’ confirme l’équilibre financier de l’entreprise car les fonds propres à terme deviennent supérieurs aux dettes. Couvrant 92% des dettes en 2002 et une fois et demie en 2004, les fonds propres ne présentent pas de risques particuliers "d’illiquidité" car les ratios de liquidité générale et restreinte sont supérieurs à 1. La sécurité financière de l’entreprise reste assuré.
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Les ratios de solvabilité
a) Le ratio de liquidité générale
La valeur de ce ratio est supérieure à 1 pour les trois exercices. Cela signifie que le total de l’actif circulant est supérieur aux dettes à court terme. Bosch a eu durant ces années une bonne capacité à rembourser ses dettes les plus exigibles à partir de la liquidation de ses actifs les plus disponibles.Toutefois, Bosch étant une entreprise industriel, il serait intéressant d’analyser sa liquidité sans tenir compte du niveau important des stocks qui, en réalité ont un caractère peu liquide.
b) Le ratio de liquidité réduite
Nous constatons que le pourcentage de liquidité réduite a diminué légèrement entre 2002 et 2003 de 0,28 points, avant de remonter de 0,57 points en 2004 et atteindre 2,17%. Sachant que la liquidité générale en 2004 est de 2,3 %, soit seulement 0,14 points de plus, on en déduit, même sans tenir compte des stocks, que Bosch apparaît comme une entreprise en mesure de rembourser dans un délai très court ses dettes exigibles (les ratios restent supérieur à un).
c) Le ratio de liquidité immédiate
En effet, on se rend compte que durant les trois années successives, la capacité de Bosch a faire face à ses dettes exigibles à partir de ses seules liquidités (disponibilités + VMP) sans tenir compte des créances, est très faible : à peine 0,03%, il y a un réel besoin de trésorerie.Même si ce ratio est difficile à interpréter, on note chez Bosch que ce ratio n’évolue pas dans le temps car la trésorerie active a évolué en 2002 et en 2003 proportionnellement aux dettes. En 2003, malgré une baisse significative des dettes financière, le taux de liquidité immédiate n’a baissé que de 0,02 points à cause de la diminution brutale de trésorerie (de 5 005 417€ en 2002 à 2 423 922€ en 2004).
C - Etude de l’efficacité
Nous évaluons la rentabilité commerciale via trois ratios :- le taux de marge- le taux de marge Brute d’Exploitation- le taux de rentabilité commerciale
D’après le taux de marge, la performance de l’activité commerciale est régulière avec une légère progression en 2004, le taux de marge nette montre la capacité un générer un bénéfice net. Mais malheureusement, le taux de marge brute d’exploitation montre que l’entreprise a de plus en plus de mal à générer une rentabilité à partir du chiffre d’affaires.
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Nous évaluons la rentabilité économique via deux ratios :- Taux de rentabilité économique- Taux de rentabilité brute du capital d'exploitation
La rentabilité économique est régulière (aux alentours de 11%), il en est de même pour la rentabilité Brute du Capital d’Exploitation.
Nous évaluons la rentabilité économique via deux ratios :- Taux de rentabilité financière- Taux de rentabilité financière optimisé
La rentabilité financière ne suit pas les tendances de la rentabilité économique et commerciale car elle est très irrégulière. Entre 2002 et 2003 on remarque une baisse d’environ 15 points de la rentabilité financière puis une legère reprise depuis 2004
1. Effet de levier
Nous nous sommes intéressé principalement à deux ratios : - Résultat Net/Résultat d’exploitation- Passif Total/Fonds Propres
Le ratio de rentabilité économique est positif ce qui est rassurant. De plus, le ratio d’endettement étant plus faible que celui de la rentabilité financière durant ces trois années, nous pouvons dire que BOSCH mène parfaitement sa politique de financement.
Mais en 2003 l’effet de levier est négatif car le taux d’intérêts est supérieur au taux de rentabilité financière, ce qui signifie que l’endettement de la société BOSCH be permet pas d’augmenter la rentabilité financière.
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Perspectives 2005
En 2005, l’expansion de l’économie mondiale devrait ralentir. L’économie américaine aurait à faire face à une demande plus modérée dans certaines régions et en Asie en particulier. Le risque de surchauffe de l’économie chinoise a déclenché des mesures restrictives destinées à modérer son emballement et le Japon aurait à subir une baisse de ses exportations vers ce pays.
La poursuite de l’appréciation de l’euro continuerait de pénaliser la compétitivité de la zone euro sur les marchés extérieurs sans pour autant bénéficier d’un relais de croissance par le biais de la demande intérieure. Dans ce contexte, le produit intérieur brut de la zone euro n’atteindrait pas en 2005 le niveau enregistré au cours de l’année précédente.
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4. Annexes
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Annexe 1 - Variations des principaux indicateurs
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Annexe 2 - Les principaux groupes
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Annexe 3 - Revue de presse
Le MondeEntreprises, vendredi 15 avril 2005, p. 19
A Bosch Vénissieux, la CFDT chute mais l'emploi est préservé
Sophie Landrin
Lyon de notre correspondante - Dix mois après avoir signé l'accord « Avenir Vénissieux », actant le passage de 35 heures à 36 heures de travail hebdomadaire sans compensation de salaire pour sauver une entreprise sur le déclin, les salariés de l'usine Bosch de Vénissieux, dans la banlieue lyonnaise, ont sanctionné le syndicat majoritaire aux élections professionnelles. La CFDT, signataire avec la CGC-CGE, de l'accord recule en effet de 17 points, passant de 63 % à 47 % des suffrages exprimés dans le collège des ouvriers. Ce revers ne profite pas pour autant à la CGT qui s'était violemment opposée à l'accord. Le syndicat recueille 32,63 % des voix, contre 36 % en 2003. Le grand gagnant est FO, absent jusqu'à présent de l'usine, qui obtient 20,6 % des voix.
Cet accord « Avenir Vénissieux » avait provoqué un véritable psychodrame dans l'usine et un électrochoc en France. Les salariés avaient été stigmatisés comme les fossoyeurs des 35 heures. Les syndicats hostiles avaient parlé de « chantage à la délocalisation ». En fait, il n'avait jamais été question de délocaliser la production de Vénissieux en République tchèque, en cas de refus des salariés de travailler plus. L'usine fabriquait des composant pour des moteurs diesel en fin de vie. D'ici cinq ans, le site était menacé et devait perdre 300 emplois. Ramené en dessous du seuil de 500 salariés, l'usine n'aurait plus été rentable. Bosch Vénissieux était condamnée à terme.
DEUXIÈME UNITÉ DE PRODUCTION
L'équipementier automobile allemand n'avait pas fait mystère de ces sombres perspectives et de son intention d'investir dans des pays où la main-d'oeuvre est moins chère, en République tchèque et en Italie. Pour éviter cette fin programmée, le responsable du comité d'entreprise, Marc Soubitez, représentant de la CFDT, avait négocié les conditions d'un investissement sur le site de Vénissieux. Il avait obtenu l'arrivée d'une chaîne de production initialement prévue en République tchèque, permettant de sauver 200 emplois, en échange d'une baisse de 12 % des coûts salariaux.
L'accord avait été soumis au suffrage des salariés. Le 19 juillet 2004, la direction avait annoncé que 98 % des 820 salariés avaient accepté l'avenant à leur contrat de travail, actant le passage à 36 heures par le biais, notamment, de la suppression de six jours de RTT. 70 % des salariés avaient signé leur avenant, 28 % ne l'avait pas renvoyé, ce qui revenait à un consentement tacite et dix-huit salariés avaient refusé et avaient été licenciés.
Ces élections ne devraient toutefois pas remettre en cause l'accord. Les deux syndicats signataires restent majoritaires (60 % des voix, tous collèges confondus). « Ce n'est pas un séisme. Nous avons réunis nos adhérents hier et nous avons pris la décision, à l'unanimité, de ne pas remettre en cause l'accord », assure M. Soubitez. Par ailleurs, la direction devrait annoncer, dans les prochains jours, l'arrivée d'une deuxième unité de production représentant un nouvel investissement de 20 millions d'euros et 250 emplois
Dossier Bosch
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Le Figaro, no. 18890Le Figaro Économie, vendredi 29 avril 2005, p. 5
MONDE-FRANCE, REPERES
Bosch revoit en baisse la progression de ses ventes
Le groupe Bosch a revu en baisse sa prévision de progression du chiffre d'affaires 2005, entre 3 % et 5 %. En début d'année, le groupe tablait encore sur une croissance d'un peu plus de 5 % en 2005, déjà en net ralentissement par rapport à 2004. Bosh met en avant le ralentissement de la croissance du marché automobile mondial, la hausse du prix des matières premières et l'euro fort.
Le Figaro, no. 18896Le Figaro Économie, vendredi 6 mai 2005, p. 3
FRANCE-ENTREPRISES, REPERES
Bosch-Siemens perdra 600 emplois à Berlin
Le fabricant allemand d'électroménager Bosch-Siemens s'arrêtera de produire des machines à laver dans son usine de Berlin d'ici à la fin de 2006. Cette mesure provoquera 600 suppressions d'emplois. Bosch-Siemens, qui produisait dans la capitale allemande depuis 1953, invoque une « concurrence agressive » et « un repli du marché des machines à laver ». Les prix des modèles à chargement frontal ont chuté de 15 % depuis deux ans. La production sera concentrée sur un seul site, à Nauen dans le Brandebourg, en ex-RDA, construit en 1994.
La Tribune (France)Entreprise, vendredi 10 juin 2005, p. TR14
Industrie
Bosch pourrait à son tour supprimer des emplois
L'équipementier automobile allemand Bosch risque de supprimer des emplois, contrairement à ses promesses. "Nous espérons pouvoir maintenir le nombre de nos salariés à 110.000 en Allemagne, mais ce sera difficile", explique Franz Fehrenbach, son patron, dans un entretien accordé à l'édition en ligne du magazine Der Spiegel, ajoutant : "Les perspectives de la croissance mondiale se sont assombries." Bosch a subi un coup dur la semaine dernière, avec l'annonce que Mercedes allait faire appel au fournisseur américain Delphi pour ses nouveaux systèmes de pompes à injection destinés aux moteurs diesel. La filiale de Daimler-Chrysler avait été en effet confrontée à une série de graves problèmes techniques avec son fournisseur habituel Bosch, en décembre et janvier derniers, entraînant la fermeture provisoire de plusieurs usines Mercedes.
Dossier Bosch
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Les Echos, no. 19436Industrie, jeudi 16 juin 2005, p. 20
Électroménager
BSH veut différencier davantage ses marques Bosch et Siemens
Les quatre premiers mois de 2005 ont vu le marché français progresser de 1,7 % en valeur..
Après avoir expliqué pendant des années aux consommateurs que ses deux marques Bosch et Siemens étaient interchangeables, BSH (Bosch Siemens Hausgeräte), le numéro un allemand de l'électroménager, a décidé de les différencier clairement. La première s'adresse désormais à une clientèle plus populaire et familiale (avec un nouveau lave-linge 9 kilos), tandis que la seconde mise sur le design. Dans les rayons, Bosch aura un positionnement prix de deuxième quartile (moins de 500 euros pour un lave-linge premier prix) en concurrence directe avec Whirlpool, tandis que Siemens se situera dans le quatrième, sur le terrain de Miele. Cette différenciation existe déjà pour les deux marques de produits encastrables du groupe, Neff pour l'entrée de gamme et Gaggenau au sommet.
Friedrich E. Zundel se félicite des résultats obtenus en France, marché jugé « prioritaire » en Europe. Les ventes de la filiale qu'il dirige ont augmenté de 8 %, à 408 millions d'euros, l'an dernier, en partie sous l'effet des hausses de prix destinées à compenser la flambée des coûts de l'acier. Tous produits confondus, BSH revendique la troisième place avec 12,5 % du marché, derrière Whirlpool et Brandt, avec une place de numéro un pour les lave-vaisselle.
Porté par l'immobilier
Très compétitif, le marché français a cependant moins souffert que l'Allemagne, où les prix connaissent depuis des années une véritable spirale à la baisse, tendance qui serait peut-être en train de s'inverser, estime Friedrich E. Zundel. « Nous constatons une phase de réflexion. Même les marques de distributeurs ont commencé à augmenter leurs prix », dit-il. Vendues dans les grandes surfaces alimentaires, celles-ci représentent 19 % du marché français en moyenne ; taux qui peut monter à 40 % dans le segment du froid, mais ne représente que 15 % pour les lave-vaisselle.
Le marché français continue d'être porté par le boom de l'immobilier et de la construction neuve qui favorise les ventes de machines encastrables à plus fortes marges. Friedrich E. Zundel espère que la baisse de moral des consommateurs, constatée en mai, n'influera pas négativement sur les ventes 2005. Les quatre premiers mois ont vu le marché progresser de 1,7 % en valeur. Ce qui cache de fortes disparités : le froid recule de 10 %, alors que les fours encastrables augmentent de plus de 8 %. En Allemagne, où le groupe a réalisé 23 % de ses ventes l'an dernier mais qui concentre encore 41 % de ses effectifs, BSH a récemment annoncé qu'il fermerait une de ses deux usines de lave-linge, celle de Berlin dont la production sera transférée 60 km plus à l'est, à Nauen, sur un site dont la construction remonte à la réunification. Quelque 600 personnes sont touchées par cette réorganisation avec des possibilités de reclassement interne. Un moindre mal pour le dirigeant, qui rappelle qu'il y a un écart de prix de 30 % en défaveur de l'Europe de l'Ouest, par rapport à la Pologne.
Dossier Bosch
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La Tribune (France)Entreprise, jeudi 16 juin 2005, p. TR15
Industrie
Bosch Siemens confiant pour 2005
Malgré une consommation d'électroménager morose dans l'Hexagone, la filiale française du groupe allemand BSH (Bosch Siemens Hausgeräte) entend réaliser cette année une croissance de ses ventes "équivalente à celle de 2004". L'an passé, en France, le chiffre d'affaires du groupe a progressé de 8 % pour atteindre 408 millions d'euros. Friedrich Zundel, le patron de la filiale française du numéro trois mondial des produits blancs (lave-linge, lave-vaisselle, réfrigérateur) se réjouit surtout de l'augmentation du prix moyen des produits depuis le début de l'année. "En février-mars 2005, le prix moyen a progressé de 3,4 % par rapport à la même période l'an passé. Les distributeurs sont en phase de réflexion par rapport au phénomène d'érosion des prix qui prévalait jusqu'alors. Ils réalisent qu'ils ont été trop agressifs", assure-t-il. Cependant, le coût des matières premières devrait continuer à peser sur les résultats. Ainsi, au niveau global, le groupe a prévenu que son résultat 2005 serait inférieur à celui de 2004. L'an passé, BSH a publié un résultat avant impôts de 520 millions d'euros pour un chiffre d'affairesde 6,84 milliards.
Par ailleurs, "les coûts de fabrication d'un lave-linge sont inférieurs de 30 % en Pologne par rapport à l'Europe de l'Ouest. La production devra se déplacer à terme", reconnaît Friedrich Zundel. Le groupe, qui compte encore 41 % de ses effectifs outre-Rhin, alors qu'il n'y réalise que 23 % de ses ventes vient d'annoncer l'arrêt de la production de machines à laver sur son site de Berlin d'ici à la fin 2006 pour la reporter sur son autre site allemand de Nauen.
Les Echos, no. 19363Industrie, jeudi 3 mars 2005, p. 23
BOSCH SIEMENS.
Le groupe allemand d'électroménager va construire une usine de réfrigérateurs à Saint-Pétersbourg pour un investissement total de 50 millions d'euros. Le nouveau site emploiera 500 personnes avec une capacité de production annuelle de 500.000 réfrigérateurs.
Dossier Bosch
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Le Figaro, no. 19055Le Figaro Économie, mardi 8 novembre 2005, p. 29
FIGARO ECONOMIE - ENTREPRISES
Guy Maugis : « Chez Bosch, nous avions une logique d'investissement »
Valérie COLLET
La direction de Bosch France a provoqué un vif débat en juillet 2004, en proposant et en obtenant des salariés de l'usine de Vénissieux qu'ils renoncent à leur accord sur les 35 heures. Guy Maugis, PDG de Bosch France, dresse le bilan quinze mois après.
Le FIGARO. - Pourquoi avez-vous décidé en juillet
2004 de remettre en cause l'accord sur les 35 heures dans l'une de vos usines ?
Guy MAUGIS. - Le site de Vénissieux fabriquait des injecteurs pour moteur Diesel qui auraient été obsolètes en 2008. Il était donc condamné, sauf si nous arrivions à le convertir à la fabrication de nouveaux produits. Mais dans ce cas, l'usine de Vénissieux se trouvait en compétition avec d'autres sites européens.
Dans quelle mesure l'accord sur les 35 heures pénalisait-il l'usine de Vénissieux par rapport à d'autres usines du groupe ?
L'écart de coût entre ce site français et un autre en Turquie, ou même en Allemagne, était de 5 millions d'euros en défaveur de la France. Il a fallu faire des économies dans de nombreux domaines pour convaincre notre direction d'investir 20 millions d'euros à Vénissieux. L'allongement de la durée de travail d'une heure par semaine, à 36 heures, nous permettait de réduire de 12 % les coûts horaires.
Un an après, quel est le bilan de cette opération ?
D'abord, les salariés de l'usine travaillent désormais dans un atelier flambant neuf alors que l'usine était vieille et crasseuse. Ils fabriquent des pompes à haute pression de la dernière génération.
Au lieu de supprimer 300 emplois comme prévu en janvier 2004, seulement 60 postes seront finalement perdus sur ce site. Ce projet a réussi parce que nous avions une logique d'investissement. Nous étions dans un contexte de fermeture annoncée, nous sommes passés à un projet d'avenir. Le PDG du groupe, Franz Fehrenbach, qui n'était pas venu en France depuis dix ans, s'est même déplacé à Vénissieux en septembre dernier.
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Le MondeEconomie, vendredi 11 novembre 2005, p. 16
ECONOMIE & ENTREPRISES
Peu d'entreprises ont précédé Hewlett-Packard dans la remise en cause des 35 heuresChez Bosch, les créations d'emplois ont été plus nombreuses que prévu. Chez Doux, comme chez Alcan et Seb, les résultats sont plus mitigés
Nathalie Brafman et Sophie Landrin (à Lyon)
Les principaux syndicats du groupe informatique Hewlett Packard (HP) ont accepté, mercredi 9 novembre, la remise en cause de l'accord d'entreprise sur les 35 heures. Permise par la loi Fillon, cette renégociation n'a que quelques précédents.
En juillet 2004, les salariés de Bosch à Vénissieux ont accepté, pour sauver leur site, de passer de 35 heures à 36 heures de travail hebdomadaire sans compensation de salaire. L'usine, fabriquant des composants pour une vieille génération de moteurs diesel, était menacée à très court terme. En quatre ans, 300 emplois allaient être supprimés. La direction avait annoncé qu'elle n'envisageait pas d'investir sur ce site, dont les coûts sociaux étaient de l'ordre de 20 % plus élevés qu'en Italie ou en République tchèque. Pour inverser cette décision, les salariés s'étaient dits prêts à faire des sacrifices et avaient fini par renoncer à six jours de réduction de temps de travail (RTT). En échange, la direction s'était engagée à investir 12 millions d'euros dans une nouvelle chaîne de montage initialement prévue en République tchèque. Ce nouvel outil de travail devait générer 190 emplois.
L'accord a été respecté « au-delà des espoirs des salariés », selon Marc Soubitez (CFDT) le secrétaire du comité d'entreprise. L'investissement global réalisé s'est élevé à 20 millions d'euros et le nombre d'emploi induit à 240. La chaîne tournant à plein, une équipe de suppléance a dû être mise en place le week-end, s'ajoutant aux trois équipes prévues. « Si rien n'avait été fait, l'entreprise serait aujourd'hui à moitié vide. Grâce aux efforts consentis nous avons réussi à conserver un effectif de 803 personnes, se félicite M. Soubitez. Nos perspectives sont encourageantes, car nous produisons désormais un produit d'avenir, et non plus un produit en fin de vie. »
Encouragée par cet accord, le groupe Doux, premier producteur de volailles en Europe, a décidé d'appliquer de façon stricte la loi sur les 35 heures. Jusqu'à mi-juillet 2004, les ouvriers disposaient de 23 jours de RTT par an, en contrepartie du maintien de leur temps de travail à 39 heures. « C'était l'un des meilleurs accords de France », expliquait à l'époque Slimane Khaoui, le délégué CFDT qui l'avait signé en 1999. Crise avicole et arrêt des aides d'État en décembre 2002 ont poussé la direction à proposer un nouvel accord : 13 jours de RTT contre 23 jours. Faute de trouver un accord avec l'ensemble des syndicats, Doux a décidé d'appliquer strictement la loi : application des 35 heures sans jour de RTT ni paiement des 2,5 heures par semaine de pauses obligatoires. « L'entreprise est gagnante, mais les salariés ont perdu environ 1 000 euros par an », affirme M. Khaoui.
« CHANTAGE » À LA DÉLOCALISATION
Dans l'usine de MT Packaging, une filiale du groupe Alcan, située à Challes (Sarthe), la problématique est identique. Grâce à un accord signé en 1997 dans le cadre de la loi Robien, les salariés avaient obtenu 28 jours de RTT. Or, cet accord arrivait à échéance en février.
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Aujourd'hui, les salariés ont perdu l'équivalent de 14 jours de RTT, travaillant 2 heures 5 de plus par semaine. A l'époque, les syndicats avaient dénoncé un « chantage » à la délocalisation.
Chez Seb, pour éviter des licenciements dans son usine des Vosges très concurrencée par les produits asiatiques, la direction avait diminué en 1998 le temps de travail de ses salariés de 35 heures à 32 heures. Pour s'adapter à la charge de travail de l'usine, la direction a ouvert une négociation en 2004 pour remonter le temps de travail, les salariés se retrouvant avec 6 jours de RTT, contre 8 auparavant, sans augmentation de salaire. « Nous travaillons sur les budgets 2006 mais compte tenu de la faible charge du site, il est possible que nous ne remontions pas le temps de travail dans cette usine », affirme Harry Tourret, directeur des ressources humaines.
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Annexe 4Soldes Intermédiaires de Gestion
2002 2003 2004Ventes de marchandises 293 058 774 303 583 395 290 806 325
Coût des marchandises vendues 237 477 750 250 095 534 231 543 304
Marge commercial 55 581 024 53 487 861 59 263 021Production vendue 497 747 200 507 374 824 499 869 400Production stockée 783 738 2 880 211 -4 167 499
Production immobilisée 332 611 490 941 595 602
Production de l'exercice 498 863 549 510 745 976 496 297 503
Marge commercial 55 581 024 53 487 861 59 263 021Production de l'exercice 498 863 549 510 745 976 496 297 503
Consommations en provenance de tiers 235 685 562 244 629 486 250 474 171
Valeur ajouté 318 759 011 319 604 351 305 086 353Subvention d'exploitation 108 082 79 370 33 000Impôts et taxes 21 513 152 23 443 245 23 778 818
Charges du personnel 168 396 723 174 073 910 179 469 638
Excédent Brut d'Exploitation 128 957 218 122 166 566 101 870 897
Reprises aux provisions et transferts de charges 3 190 741 8 733 334 10 191 743Autres produits d'exploitations 1 091 403 4 442 620 4 953 355Dotations aux provisions 47 100 792 44 495 203 40 828 290
Autres charges d'exploitations 1 554 695 969 439 4 214 321
Résultat d'exploitation 84 583 875 89 877 878 71 973 384
Produits financiers et quote-parts sur opération de gestion 10 331 424 5 875 437 13 803 709
Charges financières et quote-parts sur opération de gestion 85 695 114 98 190 397 63 734 454
Résultat Courant Avant Impôts 9 220 185 -2 437 082 22 042 639
Produits exceptionnels 17 436 841 17 328 607 185 330 507
Charges exceptionnelles 21 632 726 21 218 869 178 316 634
Résultat exceptionnel -4 195 885 -3 890 262 7 013 873
Résultat Courant Avant Impôts 9 220 185 -2 437 082 22 042 639Résultat exceptionnel -4 195 885 -3 890 262 7 013 873Participations des salariés 4 996 104 5 732 991 4 891 892
Impôts sur les sociétés -3 400 000 8 930 117 14 173 463
Résultat de l'exercice 3 428 196 -20 990 452 9 991 157
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Annexe 5 - La valeur ajouté
2 002 2 003 2 004
Revenus à répartir Valeur ajouté 318 759 011 319 604 351 305 086 353
Subvention d'exploitation 108 082 79 370 33 000
Autres produits de gestion courante 1 091 403 4 442 620 4 953 355
Autres charges de gestion courante 1 554 695 969 439 4 214 321 Produits financiers encaissables 10 331 424 5 875 437 13 803 709
Charges financières sauf intérêts financiers décaissables liés à l'endettement bancaire
85 695 114 98 190 397 63 734 454
Produits exceptionnels sur opération de gestion 1 323 417 185 330 507 185 330 507 Autres produits exceptionnels 0 0 0 Charges exceptionnels sur opérations de gestion 2 642 030 21 218 869 178 316 634 Autres charges exceptionnels 4 996 104 0 0 Transfert de charge 13 555 383 Total 250 280 777 394 953 580 262 941 515
2002 2003 2004Revenus répartis entre les partenairesEtat : impôts et taxes, et impôt sur le bénéfice 18 113 152 32 373 362 37 952 281
Personnel et organismes sociaux : charges de personnel et participations aux résultats 173 392 827 179 806 901 184 361 530
Prêteurs : intérêts financiers décaissables à l'exclusion des intérêts financiers non liés à l'endettement bancaire 10 331 424 98 190 397 63 734 454Apporteurs de capitaux propres : dividendes 0 0 0Entreprise : autofinancement 48 443 374 84 582 920 -23 106 750
Total 250 280 777 394 953 580 262 941 515
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Annexe 6Capacité d'autofinanciment
2002 2003 2004Resultat net de l'exercice 3 428 196 -20 990 452 9 991 157Dotations d'exploitations 47 100 792 44 495 203 40 828 290Dotations financières 73 248 203 90 332 478 60 000 255Dotations exceptionnelles 17 157 255 18 101 411 10 122 872Reprises d'exploitations 3 190 741 8 733 334 10 191 743Reprises financières 0 1 850 000 233 668Reprises exceptionnelles 13 555 383 14 563 104 67 017 293Quote-part des suventions obtenues 0 0 0
Plus ou moins value sur cession d'élément d'actif 0 0 0
CAF 124 188 322 106 792 202 43 499 870
Excédent Brut d'Exploitation 128 957 218 122 166 566 101 870 897Transfert de charges 0 0 0Autres produits de gestion courante 1 091 403 4 442 620 4 953 355Autres charges de gestion courante 1 554 695 969 439 4 214 321Quote-part de résultat sur opérations faites en commun 0 0 0Quote-part de résultat sur opérations faites en commun 0 0 0Produits financiers encaissables 10 331 424 4 025 437 13 570 041Charges financières décaissable 12 446 911 7 857 919 3 734 199Produits exceptionnels sur opérations de gestion 3 881 458 2 765 503 118 313 214Charges exceptionnelles sur opérations de gestion 4 475 471 3 117 458 168 193 762Participation des salariés 4 996 104 5 732 991 4 891 892
Impôts des sociétés -3 400 000 8 930 117 14 173 463
CAF 124 188 322 106 792 202 43 499 870
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Annexe 7 - Bilan fonctionnel
ACTIF 2002 2003 2004
EMPLOIS STABLES 1 144 387 005 1 133 097 489 988 777 156Immobilisations incorporelles 5 823 972 5 927 720 5 777 608
Immobilisations corporelles 463 735 074 467 291 991 489 213 677
Immobilisations financières sauf intérêts courus non échus 674 696 264 659 704 170 493 864 792
Valeur brute des immobilisations financées en crédit-bail 0 0 0Charges à repartir sur plusieurs exercices 0 0 0 + ou - écart de conversion 131 695 173 608 -78 921
ACTIF CIRCULANT D'EXPLOITATION EN VALEUR BRUTE 290 230 963 322 185 857 398 210 155
Stocks 32 618 034 33 882 402 32 099 381Avances et acomptes versés 6 850 0 0
Créances clients 172 925 845 184 872 012 169 402 466Effets escomptés non échus 0 0 0
Autres créances d'exploitation sauf créances impôt société 84 068 271 102 951 624 196 289 180
Charges constatées d'avances 611 963 479 819 419 128
ACTIF CIRCULANT HORS EXPLOITATION 0 0 0
Intérêts courus non échus 0 0 0Créance d'impôt société 0 0 0
Créances sur l'immobilisation 0 0 0
Charges constatées d'avances hors exploitation 0 0 0Valeurs mobilières de placement 0 0 0
Capital appelé, non versé 0 0 0
TOTAL TRESORERIE ACTIVE 4 638 425 5 005 417 2 423 922
Disponibilités 4 638 425 5 005 417 2423922
TOTAL EMPLOIS 1 439 256 393 1 460 288 763 1 389 411 233
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PASSIF 2002 2003 2004
RESSOURCES STABLES 1 302 463 203 1 280 284 523 1 220 457 761Capitaux propres 354 344 554 333 354 101 341186356
Amortissement et provisions pour dépréciation de l'actif 645 036 979 759 951 724 783825142
Amortissements crédit-bail 0 0 0
Provisions pour risques et charges 54 502 131 0 47864991Autres fonds propres 0 55 305 711 0Dettes financières 248 579 539 131 672 987 47581272
Valeur nette des équipements financés par crédit-bail 0 0 0
DETTES CIRCULANTES D'EXPLOITATION 136 793 190 180 004 237 168 953 474
Avances et acomptes reçus d'exploitation 0 0 96 478Dettes fournisseurs 67 579 461 82 001 754 79 775 922
Dettes sociales et fiscales d'exploitation sauf dettes impôt société 44 429 161 71 549 246 60 674 643Autres dettes d'exploitation 24 746 461 26 453 237 28 406 431
Produit constatées d'avance d'exploitation 38107 0 0
DETTES CIRCULANTES HORS EXPLOITATION 0 0 0
Intérêts courus non échus 0 0 0Dette impôt société 0 0 0Dettes sur immobilisations 0 0 0
Produits constatées d'avance hors exploitation 0 0 0
TOTAL TRESORERIE PASSIVE 0 0 0
Concours bancaires courants 0 0 0Soldes créditeurs 0 0 0Obligations cautionnées 0 0 0Effets escomptés non échus 0 0 0
Comptes courants créditeurs exigibles immédiatement 0 0 0
TOTAL RESSOURCES 1 439 256 393 1 460 288 760 1 389 411 235
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 35
Annexe 8FRNG, BFRE, BFRHE, trésorerie de la société Bosch
2002 2003 2004 Ressources stables 1 302 463 203 1 280 284 523 1 220 457 761
-Emplois stables 1 144 387 005 1 133 097 489 988 777 156
Fonds de roulement net global 158 076 198 147 187 034 231 680 605 Actif circulant d'exploitation 290 230 963 322 185 857 398 210 155
-Dettes d'exploitation 136 793 190 180 004 237 168 953 474
Besoin en fonds de roulement d'exploitation 153 437 773 142 181 620 229 256 681
Actif circulant hors exploitation 0 0 0
-Dettes hors exploitation 0 0 0
Besoin en fonds de roulement hors exploitation 0 0 0
FRNG 158 076 198 147 187 034 231 680 605-BFRE 153 437 773 142 181 620 229 256 681
-BFRHE 0 0 0
Trésorerie nette 4 638 425 5 005 414 2 423 924
Trésorerie active 4 638 425 5 005 417 2 423 922
Trésorerie passive 0 0 0
Trésorerie nette 4 638 425 5 005 417 2 423 922
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 36
Annexe 9TABLEAU DE BORD DES RATIOS
TYPE D'ETUDE DETAILS 2002 2003 2004
Etude de la gestionRatios d'activité
Taux de la valeur ajoutée VA/CA 40,31% 39,41% 40,31%
Force de la production CA/effectif 75 747,70 77 677,99 75 735,22Taux de Progression du CA CA (n)- CA (n-1)/CA(n-1) 1,39% 2,55% -2,50%Taux de Progression de la VA VA (n)- VA (n-1) /VA(n-1) 9,97% 0,27% -4,54%Taux de variation de l'EBE EBE (n)- EBE (n-1) /EBE(n-1) 23,14% -5,27% -4,54%Taux de variation du résultat net R net (n)- R net (n-1)/R net(n-1) -38,89% -712,29% -147,60%
Ratios de rendementRendement Brut des immobilisations EBE /Immobilisations brute 0,11 0,11 0,10Force de production CA /Effectif 75 748 77 678 75 735
Ratios de répartition des revenusPartage de la valeur / Facteur travail Charges de personnel / VA 52,83% 54,47% 58,83%Partage de la valeur / Facteur capital EBE/ VA 40,46% 38,22% 33,39%
Etude de l'efficacitéRatios de rentabilité commerciale
Taux de marge marge commerciale / vente de marchandise 18,97% 18,41% 20,38%Taux de rentabilité nette commerciale Résultat net / CA 0,43% -2,59% 1,26%Taux de marge brute d'exploitation EBE /CA 16,31% 15,06% 12,88%
Rentabilité économiqueTaux de rentabilité économique Résultat d'exploitation /Actif net 10,65% 12,83% 11,88%Taux de rentabilité brute du capital d'exploitation EBE /Capital d'exploittation 9,90% 9,54% 8,35%
Ratios de rentabilité financièreTaux de rentabilité financière Résultat net /Fonds propres 9,67% -6,14% 3,00%Taux de rentabilité financière optimisé Résultat courant avant impôts / Fonds propres 2,60% -0,71% 6,61%
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 37
Etude de la structure financièreRatios de solvabilité
Liquidité générale Actif circulant/Dettes à court terme 2,06 1,75 2,30Liquidité réduite (Actif circulant - stocks)/ Dettes à court terme 1,88 1,60 2,17Liquidité immédiate Trésorerie Active/Dettes à court terme 0,03 0,03 0,03
Ratios d'équilibre financierTaux d'endettement Endettement bancaire/Endettement financier 0,03% 0,85% 0,16%
Dettes financières /CAF 2,00 1,23 1,09Ratio d'autonomie financière Capitaux propres/Total des dettes 0,92 1,07 1,58
Effet de levierEndettement I Résultat Net / Résultat d'Exploitation 0,04 -0,02 0,14Endettement II Passif Total / Fonds Propres 2,24 1,80 1,78Levier d'Endettement Endettement I * Endettement II 0,09 -0,04 0,25
Vérification Rentabilité Financière = Rentabilité Eco* Levier d'endettement 0,02 -0,01 0,04
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 38
Désignation de l’entreprise : ROBERT BOSCH ( 2002)
Durée de l’exercice en nombre de mois : 12
Numéro SIREN : 572067684 Code APE : 343Z
Exercice N clos le 31/12/2002 N – 1Déclaration souscrite en
EURCocher obligatoirement une case Brut
1
Amortissements, provisions
2
Net3
Net4
Capital souscrit non appelé (0) AA
Frais d’établissement AB AC
Frais de recherche et développement AD AE
Concessions, brevets et droits similaires AF 60 980 AG 60 979 1
Fonds commercial (1) AH 107 211 AI 102 160 5 051
Autres immobilisations incorporelles AJ 5 655 781 AK 5 451 997 203 784
IMM
OB
ILIS
AT
ION
S
INC
OR
PO
RE
LL
ES
Avances et acomptes sur immobilisations incorporelles
AL AM
Terrains AN 2 820 923 AO 4 232 2 816 691
Constructions AP 103 558 765 AQ 75 897 654 27 661 111
Installations techniques , matériel et outillages industriels AR 328 284 388 AS 223 886 929 104 397 459
Autres immobilisations corporelles AT 24 423 541 AU 18 423 201 6 000 340
Immobilisations en cours AV 4 482 728 AW 4 482 728IMM
OB
ILIS
AT
ION
S
CO
RP
OR
EL
LE
S
Avances et acomptes AX 164 729 AY 164 729
Participations évaluées selon la méthode de mise en équivalence CS CT
Autres participations CU 659 255 397 CV 308 202 488 351 052 909
Créances rattachées à des participations BB 15 000 000 BC 15 000 000
Autres titres immobilisés BD 14 296 BE 279 14 017
Prêts BF BG
AC
TIF
IM
MO
BIL
ISÉ
IMM
OB
ILIS
AT
ION
S
FIN
AN
CIE
RE
S (
2)
Autres immobilisations financières BH 426 571 BI 20 419 406 152
TOTAL (I) BJ 1 144 255 309 BK 632 050 340 512 204 969
Matières premières, approvisionnements BL 19 748 236 BM 9 651 238 10 096 998
En cours de production de biens BN BO
En cours de production de services BP 4 379 408 BQ 1 454 409 2 924 999
Produits intermédiaires et finis BR 7 491 702 BS 7 491 702
ST
OC
KS
Marchandises BT 998 688 BU 258 230 740 458
Avances et acomptes versés sur commandes BV 6 850 BW 6 850
Clients et comptes rattachés (3) BX 172 925 845 BY 1 622 763 171 303 082
Autres créances (3) BZ 84 068 271 CA 84 068 271
CR
ÉA
NC
ES
Capital souscrit et appelé, non versé CB CC
Valeurs mobilières de placement(dont actions propres : ……………………..)
CD CE
AC
TIF
CIR
CU
LA
NT
DIV
ER
S
Disponibilités CF 4 638 425 CG 4 638 425
Charges constatées d’avance (3) CH 611 963 CI 611 963
TOTAL (II) CJ 294 869 387 CK 12 986 640 281 882 747
Charges à répartir sur plusieurs exercices (III) CLPrimes de remboursement des obligations (IV) CM
Écarts de conversion actif (V) CN 159 786
Com
ptes
de
régu
lari
satio
n
TOTAL GÉNÉRAL (0 à V) CO 1 439 284 482 645 036 979 794 247 503
²(2) Part à moins d’un an des
immobilisations financiers nettes :CP
(3) Part à plus d’un an : CR
BILAN-ACTIF1
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 39
Désignation de l’entreprise : ROBERT BOSCH
Exercice N Exercice N - 1
Capital social ou individuel (1) (Dont versé : ………………………..) DA 78 000 000
Primes d’émission, de fusion, d’apport, … DB 189 569 105
Écarts de réévaluation (2) (dont écart d’équivalence EK ) DC
Réserve légale (3) DD 5 335 716
Réserves statutaires ou contractuelles DE
Réserves réglementées (3) EJ DF 86 812 934
Autres réserves DG 28 406 372
Report à nouveau DH -37 207 769
RESULTAT DE L’EXERCICE (Bénéfice ou perte) DI 3 428 196
Subventions d’investissement DJ
Provisions réglementées DK
CA
PIT
AU
X P
RO
PRE
S
TOTAL (I) DL 354 344 553
Produit des émissions de titres participatifs DM
Avances conditionnées DN
Aut
res
fond
s pr
opre
s
TOTAL (II) DO
Provisions pour risques DP 43 149 127
Provisions pour charges DQ 11 353 004
Prov
isio
ns
pour
ri
sque
s et
ch
arge
s
TOTAL (III) DR 54 502 131
Emprunts obligataires convertibles DS
Autres emprunts obligataires DT
Emprunts et dettes auprès des établissements de crédit (5) DU 63 497
Emprunts et dettes financières divers (Dont emprunts participatifs EI ) DV 248 516 042
Avances et acomptes reçus sur commandes en cours DW
Dettes fournisseurs et comptes rattachés DX 67 579 461
Dettes fiscales et sociales DY 44 429 161
Dettes sur immobilisations et comptes rattachés DZ
DE
TT
ES
(4)
Autres dettes EA 24 746 461
Compte régul.
Produits constatés d’avance (4) EB 38 107
TOTAL (IV) EC 385 372 728
Écarts de conversion passif ED 28 091
TOTAL GÉNÉRAL (I à V) EE 794 247 503
(1) Écart de réévaluation incorporé au capital
Réserve spéciale de réévaluation (1959) 1C
Écart de réévaluation libre 1D(2) Dont
Réserve de réévaluation (1976) 1E
(3) Dont réserve spéciale des plus-values à long terme EF
(4) Dettes et produits constatés d’avance à moins d’un an EG
RE
NV
OIS
(5) Dont concours bancaires courants, et soldes créditeurs de banques et CCP EH
BILAN – PASSIF avant répartition2
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 40
Désignation de l’entreprise : ROBERT BOSCH
Exercice N
FranceExportation et
livraisons intracommunautaires
TotalExercice (N-1)
Ventes de marchandises FA 287 900 927 FB 5 157 848 FC 293 058 774
Biens FD 18 388 974 FE 353 394 849 FF 371 783 823Production vendue
Services FG 97 558 971 FH 28 404 406 FI 125 963 377
Chiffres d’affaires nets FJ 403 848 872 FK 386 957 103 FL 790 805 974
Production stockée FM 783 738
Production immobilisée FN 332 611
Subventions d’exploitation FO 108 082
Reprises sur amortissements et provisions, transfert de charges (9) FP 3 190 741
Autres produits (1) (11) FQ 1 091 403PRO
DU
ITS
D’E
XPL
OIT
AT
ION
Total des produits d’exploitation (2) (I) FR 796 312 548
Achats de marchandises (y compris droits de douane) FS 236 402 078
Variation de stock (marchandises) FT 1 075 672
Achats de matières premières et autres approvisionnements (y compris droits de douane) FU 104 522 458
Variation de stock (matières premières et approvisionnements) FV 1 846 828
Autres achats et charges externes (3) (6bis) FW 129 316 276
Impôts, taxes et versements assimilés FX 21 513 152
Salaires et traitements FY 117 477 487
Charges sociales (10) FZ 50 919 236
- dotations aux amortissements GA 43 973 989Sur immobilisations
- dotations aux provisions GB
Sur actif circulant : dotations aux provisions GC 2 120 063
DO
TA
TIO
NS
D’E
XPL
OIT
AT
ION
Pour risques et charges : dotations aux provisions GD 1 006 740
Autres charges (12) GE 1 554 695
CH
AR
GE
S D
’EX
PLO
ITA
TIO
N
Total des charges d’exploitation (4) (II) GF 711 728 673
1 – RÉSULTAT D’EXPLOITATION (I – II) GG 84 583 876
Bénéfice attribué ou perte transférée (III) GH
Opé
rat
ions
en
com
mun
Perte supportée ou bénéfice transféré (IV) GI
Produits financiers de participations (5) GJ 525 197
Produits des autres valeurs mobilières et créances de l’actif immobilisé (5) GK
Autres intérêts et produits assimilés (5) GL 9 460 966
Reprises sur provisions et transferts de charges GM
Différences positives de change GN 345 261
Produits nets sur cessions de valeurs mobilières de placement GO
PRO
DU
ITS
FIN
AN
CIE
RS
Total des produits financiers (V) GP 10 331 424
Dotations financières aux amortissements et provisions GQ 73 248 203
Intérêts et charges assimilées (6) GR 12 239 799
Différences négatives de change GS 203 263
Charges nettes sur cessions de valeurs mobilières de placement GT 3 850CH
AR
GE
S FI
NA
NC
IER
ES
Total des charges financières (VI) GU 85 695 114
2 – RÉSULTAT FINANCIER (V – VI) GV -75 363 690
3 – RÉSULTAT COURANT AVANT IMPÔTS (I – II + III – IV + V – VI) GW 9 220 185
COMPTE DE RÉSULTAT DE L’EXERCICE (en liste)3
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 41
Désignation de l’entreprise : ROBERT BOSCH
Exercice N Exercice (N-1)
Produits exceptionnels sur opérations de gestion HA 1 323 417
Produits exceptionnels sur opérations en capital HB 2 558 041
Reprises sur provisions et transferts de charges HC 13 555 383
PRO
DU
ITS
EXC
EPTI
ON
NE
LS
Total des produits exceptionnels (7) (VII) HD 17 436 841
Charges exceptionnelles sur opérations de gestion (6bis) HE 2 642 030
Charges exceptionnelles sur opérations en capital HF 1 833 441
Dotations exceptionnelles aux amortissements et provisions HG 17 157 255
CH
AR
GES
EX
CEP
TIO
NN
ELL
ES
Total des charges exceptionnelles (7) (VIII) HH 21 632 726
4 – RÉSULTAT EXCEPTIONNEL (VII – VIII) HI -4 195 886
Participation des salariés aux résultats de l’entreprise HJ 4 996 104
Impôts sur les bénéfices HK -3 400 000
TOTAL DES PRODUITS (I + III + V + VII) HL 824 080 813
TOTAL DES CHARGES (II + IV + VI +VIII + IX + X) HM 820 652 618
5 – BÉNÉFICE OU PERTE (Total des produits – Total des charges) HN 3 428 196
(1) Dont produits nets partiels sur opérations à long terme HO
produits de locations immobilières HY(2) Dont produits d’exploitation afférents à des exercices antérieurs (à détailler
au (8) ci-dessous)IG
- Crédit-bail mobilier HP(3) Dont
- Crédit-bail immobilier HQ
(4)Dont charges d’exploitation afférentes à des exercices antérieurs (à détailler au (8) ci-dessous)
IH
(5) Dont produits concernant les entreprises liées IJ
(6) Dont intérêts concernant les entreprises liées IK
(6bis)
Dont dons faits aux organismes d’intérêts général (art.238 bis du C.G.I.) HX
(9) Dont transfert de charges A1
(10)Dont cotisations personnelles de l’exploitant
Primes et cotisations complémentaires personnelles facultatives A6 A2
(11) Dont redevances pour concessions de brevets, de licences (produits) A3
(12) Dont redevances pour concessions de brevets, de licences (charges) A4
Exercice N(7)
Détail des produits et charges exceptionnels (Si ce cadre est insuffisants, joindre un état du même modèle) : Charges
exceptionnellesProduits
exceptionnels
Exercice N(8) Détail des produits et charges sur exercices antérieurs : Charges
antérieuresProduits
antérieurs
RE
NV
OIS
COMPTE DE RÉSULTAT DE L’EXERCICE (Suite)4
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 42
Désignation de l’entreprise : ROBERT BOSCH ( 2003 )
Durée de l’exercice en nombre de mois : 12
Numéro SIREN : 572067684 Code APE : 343Z
Exercice N clos le 31/12/2003 N – 1Déclaration souscrite en
EURCocher obligatoirement une case Brut
1
Amortissements, provisions
2
Net3
Net4
Capital souscrit non appelé (0) AA
Frais d’établissement AB AC
Frais de recherche et développement AD AE
Concessions, brevets et droits similaires AF 60 980 AG 60 979 1
Fonds commercial (1) AH 107 211 AI 102 160 5 051
Autres immobilisations incorporelles AJ 5 759 529 AK 5 601 035 158 494
IMM
OB
ILIS
AT
ION
S
INC
OR
PO
RE
LL
ES
Avances et acomptes sur immobilisations incorporelles
AL AM
Terrains AN 2 820 923 AO 6 348 2 814 575
Constructions AP 107 249 478 AQ 81 069 987 26 179 491
Installations techniques , matériel et outillages industriels
AR 328 594 634 AS 243 690 425 84 904 209
Autres immobilisations corporelles AT 24 676 190 AU 19 805 151 4 871 039
Immobilisations en cours AV 3 124 896 AW 3 124 896IMM
OB
ILIS
AT
ION
S
CO
RP
OR
EL
LE
S
Avances et acomptes AX 825 870 AY 825 870
Participations évaluées selon la méthode de mise en équivalence
CS CT
Autres participations CU 659 255 397 CV 397 202 488 262 052 909
Créances rattachées à des participations BB BC
Autres titres immobilisés BD 14 296 BE 279 14 017
Prêts BF BG
AC
TIF
IM
MO
BIL
ISÉ
IMM
OB
ILIS
AT
ION
S
FIN
AN
CIE
RE
S (
2)
Autres immobilisations financières BH 434 477 BI 20 419 414 058
TOTAL (I) BJ 1 132 923 879 BK 747 559 271 385 364 607
Matières premières, approvisionnements BL 17 941 500 BM 8 881 232 9 060 268
En cours de production de biens BN 10 011 299 BO 558 201 9 453 098
En cours de production de services BP 4 740 022 BQ 819 943 3 920 079
Produits intermédiaires et finis BR 1 188 586 BS 257 035 931 551
ST
OC
KS
Marchandises BT 995 BU 995
Avances et acomptes versés sur commandes BV BW
Clients et comptes rattachés (3) BX 184 872 012 BY 1 876 041 182 995 971
Autres créances (3) BZ 102 951 624 CA 102 951 624
CR
ÉA
NC
ES
Capital souscrit et appelé, non versé CB CC
Valeurs mobilières de placement(dont actions propres : ……………………..)
CD CE
AC
TIF
CIR
CU
LA
NT
DIV
ER
S
Disponibilités CF 5 005 417 CG 5 005 417
Charges constatées d’avance (3) CH 479 819 CI 479 819
TOTAL (II) CJ 327 191 273 CK 12 392 452 314 798 821
Charges à répartir sur plusieurs exercices (III) CLPrimes de remboursement des obligations (IV) CM
Écarts de conversion actif (V) CN 227 265
Com
ptes
de
régu
lari
satio
n
TOTAL GÉNÉRAL (0 à V) CO 1 460 342 417 759 951 724 700 390 693
Renvois : (1) Dont droit au bail(2) Part à moins d’un an des
immobilisations financiers nettes :CP
(3) Part à plus d’un an : CR
BILAN-ACTIF1
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 43
Désignation de l’entreprise : ROBERT BOSCH
Exercice N Exercice N - 1
Capital social ou individuel (1) (Dont versé : ………………………..) DA 78 000 000
Primes d’émission, de fusion, d’apport, … DB 189 569 105
Écarts de réévaluation (2) (dont écart d’équivalence EK ) DC
Réserve légale (3) DD 5 335 716
Réserves statutaires ou contractuelles DE
Réserves réglementées (3) EJ DF 86 855 388
Autres réserves DG 28 406 372
Report à nouveau DH -33 822 027
RESULTAT DE L’EXERCICE (Bénéfice ou perte) DI -20 990 452
Subventions d’investissement DJ
Provisions réglementées DK
CA
PIT
AU
X P
RO
PRE
S
TOTAL (I) DL 333 354 101
Produit des émissions de titres participatifs DM 43 877 647
Avances conditionnées DN 11 428 064
Aut
res
fond
s pr
opre
s
TOTAL (II) DO 55 305 711
Provisions pour risques DP
Provisions pour charges DQ
Prov
isio
ns
pour
ri
sque
s et
ch
arge
s
TOTAL (III) DR
Emprunts obligataires convertibles DS
Autres emprunts obligataires DT
Emprunts et dettes auprès des établissements de crédit (5) DU 124 195
Emprunts et dettes financières divers (Dont emprunts participatifs EI ) DV 131 548 792
Avances et acomptes reçus sur commandes en cours DW
Dettes fournisseurs et comptes rattachés DX 82 001 754
Dettes fiscales et sociales DY 71 549 246
Dettes sur immobilisations et comptes rattachés DZ
DE
TT
ES
(4)
Autres dettes EA 26 453 237
Compte régul.
Produits constatés d’avance (4) EB
TOTAL (IV) EC 311 677 224
Écarts de conversion passif ED 53 657
TOTAL GÉNÉRAL (I à V) EE 700 390 693
(1) Écart de réévaluation incorporé au capital
Réserve spéciale de réévaluation (1959) 1C
Écart de réévaluation libre 1D(2) Dont
Réserve de réévaluation (1976) 1E
(3) Dont réserve spéciale des plus-values à long terme EF
(4) Dettes et produits constatés d’avance à moins d’un an EG
RE
NV
OIS
(5) Dont concours bancaires courants, et soldes créditeurs de banques et CCP EH
BILAN – PASSIF avant répartition2
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 44
Désignation de l’entreprise : ROBERT BOSCH
Exercice N
FranceExportation et
livraisons intracommunautaires
TotalExercice (N-1)
Ventes de marchandises FA 298 431 679 FB 5 151 716 FC 303 583 395
Biens FD 54 994 101 FE 332 953 148 FF 387 947 249Production vendue
Services FG 80 301 513 FH 39 126 062 FI 119 427 575
Chiffres d’affaires nets FJ 433 727 293 FK 377 230 926 FL 810 958 220
Production stockée FM 2 880 211
Production immobilisée FN 490 941
Subventions d’exploitation FO 79 370
Reprises sur amortissements et provisions, transfert de charges (9) FP 8 733 334
Autres produits (1) (11) FQ 4 442 620PRO
DU
ITS
D’E
XPL
OIT
AT
ION
Total des produits d’exploitation (2) (I) FR 827 584 696
Achats de marchandises (y compris droits de douane) FS 250 285 432
Variation de stock (marchandises) FT - 189 898
Achats de matières premières et autres approvisionnements (y compris droits de douane) FU 116 287 464
Variation de stock (matières premières et approvisionnements) FV 1 806 736
Autres achats et charges externes (3) (6bis) FW 126 535 286
Impôts, taxes et versements assimilés FX 23 443 245
Salaires et traitements FY 120 982 506
Charges sociales (10) FZ 53 091 404
- dotations aux amortissements GA 36 488 687Sur immobilisations
- dotations aux provisions GB
Sur actif circulant : dotations aux provisions GC 6 892 390
DO
TA
TIO
NS
D’E
XPL
OIT
AT
ION
Pour risques et charges : dotations aux provisions GD 1 114 126
Autres charges (12) GE 969 439
CH
AR
GE
S D
’EX
PLO
ITA
TIO
N
Total des charges d’exploitation (4) (II) GF 737 706 818
1 – RÉSULTAT D’EXPLOITATION (I – II) GG 89 877 878
Bénéfice attribué ou perte transférée (III) GH
Opé
rat
ions
en
com
mun
Perte supportée ou bénéfice transféré (IV) GI
Produits financiers de participations (5) GJ 292 900
Produits des autres valeurs mobilières et créances de l’actif immobilisé (5) GK
Autres intérêts et produits assimilés (5) GL 3 559 532
Reprises sur provisions et transferts de charges GM 1 850 000
Différences positives de change GN 173 005
Produits nets sur cessions de valeurs mobilières de placement GO
PRO
DU
ITS
FIN
AN
CIE
RS
Total des produits financiers (V) GP 5 875 437
Dotations financières aux amortissements et provisions GQ 90 332 478
Intérêts et charges assimilées (6) GR 7 654 399
Différences négatives de change GS 203 519
Charges nettes sur cessions de valeurs mobilières de placement GTCH
AR
GE
S FI
NA
NC
IER
ES
Total des charges financières (VI) GU 98 190 397
2 – RÉSULTAT FINANCIER (V – VI) GV -92 314 960
3 – RÉSULTAT COURANT AVANT IMPÔTS (I – II + III – IV + V – VI) GW -2 437 081
COMPTE DE RÉSULTAT DE L’EXERCICE (en liste)3
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 45
Désignation de l’entreprise : ROBERT BOSCH
Exercice N Exercice (N-1)
Produits exceptionnels sur opérations de gestion HA 2 289 784
Produits exceptionnels sur opérations en capital HB 475 719
Reprises sur provisions et transferts de charges HC 14 563 104
PRO
DU
ITS
EXC
EPTI
ON
NE
LS
Total des produits exceptionnels (7) (VII) HD 17 328 607
Charges exceptionnelles sur opérations de gestion (6bis) HE 2 223 357
Charges exceptionnelles sur opérations en capital HF 894 102
Dotations exceptionnelles aux amortissements et provisions HG 18 101 411
CH
AR
GES
EX
CEP
TIO
NN
ELL
ES
Total des charges exceptionnelles (7) (VIII) HH 21 218 869
4 – RÉSULTAT EXCEPTIONNEL (VII – VIII) HI -3 890 263
Participation des salariés aux résultats de l’entreprise HJ 5 732 991
Impôts sur les bénéfices HK 8 930 117
TOTAL DES PRODUITS (I + III + V + VII) HL 850 788 740
TOTAL DES CHARGES (II + IV + VI +VIII + IX + X) HM 871 779 192
5 – BÉNÉFICE OU PERTE (Total des produits – Total des charges) HN -20 990 452
(1) Dont produits nets partiels sur opérations à long terme HO
produits de locations immobilières HY(2) Dont produits d’exploitation afférents à des exercices antérieurs (à détailler
au (8) ci-dessous)IG
- Crédit-bail mobilier HP(3) Dont
- Crédit-bail immobilier HQ
(4)Dont charges d’exploitation afférentes à des exercices antérieurs (à détailler au (8) ci-dessous)
IH
(5) Dont produits concernant les entreprises liées IJ
(6) Dont intérêts concernant les entreprises liées IK
(6bis)
Dont dons faits aux organismes d’intérêts général (art.238 bis du C.G.I.) HX
(9) Dont transfert de charges A1
(10)Dont cotisations personnelles de l’exploitant
Primes et cotisations complémentaires personnelles facultatives A6 A2
(11) Dont redevances pour concessions de brevets, de licences (produits) A3
(12) Dont redevances pour concessions de brevets, de licences (charges) A4
Exercice N(7)
Détail des produits et charges exceptionnels (Si ce cadre est insuffisants, joindre un état du même modèle) : Charges
exceptionnellesProduits
exceptionnels
Exercice N(8) Détail des produits et charges sur exercices antérieurs : Charges
antérieuresProduits
antérieurs
RE
NV
OIS
COMPTE DE RÉSULTAT DE L’EXERCICE (Suite)4
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 46
Désignation de l’entreprise : ROBERT BOSCH (2004)
Durée de l’exercice en nombre de mois : 12
Numéro SIREN : 572067684 Code APE : 343Z
Exercice N clos le 31/12/2004 N – 1Déclaration souscrite en
EURCocher obligatoirement une case Brut
1
Amortissements, provisions
2
Net3
Net4
Capital souscrit non appelé (0) AA
Frais d’établissement AB AC
Frais de recherche et développement AD AE
Concessions, brevets et droits similaires AF 60 980 AG 60 979 1
Fonds commercial (1) AH 107 211 AI 102 160 5 051
Autres immobilisations incorporelles AJ 5 609 417 AK 5 421 480 187 937
IMM
OB
ILIS
AT
ION
S
INC
OR
PO
RE
LL
ES
Avances et acomptes sur immobilisations incorporelles
AL AM
Terrains AN 2 841 649 AO 10 023 2 831 626
Constructions AP 111 843 567 AQ 84 896 447 26 947 120
Installations techniques , matériel et outillages industriels
AR 339 308 000 AS 256 161 279 83 146 721
Autres immobilisations corporelles AT 21 318 633 AU 16 859 003 4 459 630
Immobilisations en cours AV 13 206 609 AW 13 206 609IMM
OB
ILIS
AT
ION
S
CO
RP
OR
EL
LE
S
Avances et acomptes AX 695 219 AY 695 219
Participations évaluées selon la méthode de mise en équivalence CS CT
Autres participations CU 493 791 585 CV 408 202 488 85 589 097
Créances rattachées à des participations BB BC
Autres titres immobilisés BD 279 BE 279
Prêts BF BG
AC
TIF
IM
MO
BIL
ISÉ
IMM
OB
ILIS
AT
ION
S
FIN
AN
CIE
RE
S (
2)
Autres immobilisations financières BH 72 928 BI 14 016 58 912
TOTAL (I) BJ 988 856 077 BK 771 728 155 217 127 922
Matières premières, approvisionnements BL 18 089 225 BM 8 389 995 9 699 230
En cours de production de biens BN 7 566 895 BO 490 458 7 076 437
En cours de production de services BP 3 016 926 BQ 261 885 2 755 041
Produits intermédiaires et finis BR 1 592 078 BS 170 963 1 421 115
ST
OC
KS
Marchandises BT 1 834 257 BU 1 834 257
Avances et acomptes versés sur commandes BV BW
Clients et comptes rattachés (3) BX 169 402 466 BY 1 566 535 167 835 931
Autres créances (3) BZ 196 289 180 CA 1 217 150 195 072 030
CR
ÉA
NC
ES
Capital souscrit et appelé, non versé CB CC
Valeurs mobilières de placement(dont actions propres : ……………………..)
CD CE
AC
TIF
CIR
CU
LA
NT
DIV
ER
S
Disponibilités CF 2 423 922 CG 2 423 922
Charges constatées d’avance (3) CH 419 128 CI 419 128
TOTAL (II) CJ 400 634 077 CK 12 096 986 388 537 091
Charges à répartir sur plusieurs exercices (III) CLPrimes de remboursement des obligations (IV) CM
Écarts de conversion actif (V) CN 255
Com
ptes
de
régu
lari
satio
n
TOTAL GÉNÉRAL (0 à V) CO 1 389 490 409 783 825 142 605 665 268
BILAN-ACTIF1
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 47
Désignation de l’entreprise : ROBERT BOSCH
Exercice N Exercice N - 1
Capital social ou individuel (1) (Dont versé : ………………………..) DA 78 000 000
Primes d’émission, de fusion, d’apport, … DB 189 569 105
Écarts de réévaluation (2) (dont écart d’équivalence EK ) DC
Réserve légale (3) DD 5 335 716
Réserves statutaires ou contractuelles DE
Réserves réglementées (3) EJ DF 84 697 235
Autres réserves DG 28 406 372
Report à nouveau DH -54 813 230
RESULTAT DE L’EXERCICE (Bénéfice ou perte) DI 9 991 158
Subventions d’investissement DJ
Provisions réglementées DK
CA
PIT
AU
X P
RO
PRE
S
TOTAL (I) DL 341 186 356
Produit des émissions de titres participatifs DM
Avances conditionnées DN
Aut
res
fond
s pr
opre
s
TOTAL (II) DO
Provisions pour risques DP 36 085 969
Provisions pour charges DQ 11 779 022
Prov
isio
ns
pour
ri
sque
s et
ch
arge
s
TOTAL (III) DR 47 864 991
Emprunts obligataires convertibles DS
Autres emprunts obligataires DT
Emprunts et dettes auprès des établissements de crédit (5) DU 78 029
Emprunts et dettes financières divers (Dont emprunts participatifs EI ) DV 47 503 243
Avances et acomptes reçus sur commandes en cours DW 96 478
Dettes fournisseurs et comptes rattachés DX 79 775 922
Dettes fiscales et sociales DY 60 674 643
Dettes sur immobilisations et comptes rattachés DZ
DE
TT
ES
(4)
Autres dettes EA 28 406 431
Compte régul.
Produits constatés d’avance (4) EB
TOTAL (IV) EC 216 534 745
Écarts de conversion passif ED 79 176
TOTAL GÉNÉRAL (I à V) EE 605 665 268
(1) Écart de réévaluation incorporé au capital
Réserve spéciale de réévaluation (1959) 1C
Écart de réévaluation libre 1D(2) Dont
Réserve de réévaluation (1976) 1E
(3) Dont réserve spéciale des plus-values à long terme EF
(4) Dettes et produits constatés d’avance à moins d’un an EG
RE
NV
OIS
(5) Dont concours bancaires courants, et soldes créditeurs de banques et CCP EH
BILAN – PASSIF avant répartition2
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 48
Désignation de l’entreprise : ROBERT BOSCH
Exercice N
FranceExportation et
livraisons intracommunautaires
TotalExercice (N-1)
Ventes de marchandises FA 285 975 899 FB 4 830 426 FC 290 806 325
Biens FD 45 809 885 FE 347 397 244 FF 393 207 129Production vendue
Services FG 40 492 015 FH 66 170 256 FI 106 662 271
Chiffres d’affaires nets FJ 372 277 800 FK 418 397 926 FL 790 675 725
Production stockée FM -4 167 499
Production immobilisée FN 595 602
Subventions d’exploitation FO 33 000
Reprises sur amortissements et provisions, transfert de charges (9) FP 10 191 743
Autres produits (1) (11) FQ 4 953 355PRO
DU
ITS
D’E
XPL
OIT
AT
ION
Total des produits d’exploitation (2) (I) FR 802 281 926
Achats de marchandises (y compris droits de douane) FS 231 946 796
Variation de stock (marchandises) FT - 403 492
Achats de matières premières et autres approvisionnements (y compris droits de douane) FU 107 347 783
Variation de stock (matières premières et approvisionnements) FV - 147 725
Autres achats et charges externes (3) (6bis) FW 143 274 113
Impôts, taxes et versements assimilés FX 23 778 818
Salaires et traitements FY 124 844 356
Charges sociales (10) FZ 54 625 282
- dotations aux amortissements GA 32 008 806Sur immobilisations
- dotations aux provisions GB
Sur actif circulant : dotations aux provisions GC 7 593 613
DO
TA
TIO
NS
D’E
XPL
OIT
AT
ION
Pour risques et charges : dotations aux provisions GD 1 225 871
Autres charges (12) GE 4 214 321
CH
AR
GE
S D
’EX
PLO
ITA
TIO
N
Total des charges d’exploitation (4) (II) GF 730 308 541
1 – RÉSULTAT D’EXPLOITATION (I – II) GG 71 973 385
Bénéfice attribué ou perte transférée (III) GH
Opé
rat
ions
en
com
mun
Perte supportée ou bénéfice transféré (IV) GI
Produits financiers de participations (5) GJ 11 200 900
Produits des autres valeurs mobilières et créances de l’actif immobilisé (5) GK
Autres intérêts et produits assimilés (5) GL 2 295 155
Reprises sur provisions et transferts de charges GM 233 668
Différences positives de change GN 73 986
Produits nets sur cessions de valeurs mobilières de placement GO
PRO
DU
ITS
FIN
AN
CIE
RS
Total des produits financiers (V) GP 13 803 709
Dotations financières aux amortissements et provisions GQ 60 000 255
Intérêts et charges assimilées (6) GR 3 423 180
Différences négatives de change GS 311 018
Charges nettes sur cessions de valeurs mobilières de placement GTCH
AR
GE
S FI
NA
NC
IER
ES
Total des charges financières (VI) GU 63 734 454
2 – RÉSULTAT FINANCIER (V – VI) GV -49 930 745
3 – RÉSULTAT COURANT AVANT IMPÔTS (I – II + III – IV + V – VI) GW 22 042 640
COMPTE DE RÉSULTAT DE L’EXERCICE (en liste)3
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 49
Désignation de l’entreprise : ROBERT BOSCH
Exercice N Exercice (N-1)
Produits exceptionnels sur opérations de gestion HA 1 309 636
Produits exceptionnels sur opérations en capital HB 117 003 578
Reprises sur provisions et transferts de charges HC 67 017 293
PRO
DU
ITS
EXC
EPTI
ON
NE
LS
Total des produits exceptionnels (7) (VII) HD 185 330 507
Charges exceptionnelles sur opérations de gestion (6bis) HE 698 156
Charges exceptionnelles sur opérations en capital HF 167 495 606
Dotations exceptionnelles aux amortissements et provisions HG 10 122 872
CH
AR
GES
EX
CEP
TIO
NN
ELL
ES
Total des charges exceptionnelles (7) (VIII) HH 178 316 634
4 – RÉSULTAT EXCEPTIONNEL (VII – VIII) HI 7 013 873
Participation des salariés aux résultats de l’entreprise HJ 4 891 892
Impôts sur les bénéfices HK 14 173 463
TOTAL DES PRODUITS (I + III + V + VII) HL 1 001 416 142
TOTAL DES CHARGES (II + IV + VI +VIII + IX + X) HM 991 424 984
5 – BÉNÉFICE OU PERTE (Total des produits – Total des charges) HN 9 991 158
(1) Dont produits nets partiels sur opérations à long terme HO
produits de locations immobilières HY(2) Dont produits d’exploitation afférents à des exercices antérieurs (à détailler
au (8) ci-dessous)IG
- Crédit-bail mobilier HP(3) Dont
- Crédit-bail immobilier HQ
(4)Dont charges d’exploitation afférentes à des exercices antérieurs (à détailler au (8) ci-dessous)
IH
(5) Dont produits concernant les entreprises liées IJ
(6) Dont intérêts concernant les entreprises liées IK
(6bis)
Dont dons faits aux organismes d’intérêts général (art.238 bis du C.G.I.) HX
(9) Dont transfert de charges A1
(10)Dont cotisations personnelles de l’exploitant
Primes et cotisations complémentaires personnelles facultatives A6 A2
(11) Dont redevances pour concessions de brevets, de licences (produits) A3
(12) Dont redevances pour concessions de brevets, de licences (charges) A4
Exercice N(7)
Détail des produits et charges exceptionnels (Si ce cadre est insuffisants, joindre un état du même modèle) : Charges
exceptionnellesProduits
exceptionnels
Exercice N(8) Détail des produits et charges sur exercices antérieurs : Charges
antérieuresProduits
antérieurs
RE
NV
OIS
COMPTE DE RÉSULTAT DE L’EXERCICE (Suite)4
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 50
Références
Internet
- Diane- Xerfi- Site internet de la société BOSCH (www.bosch.fr)- www.societe.com
Livre
- Finance d’entreprise de Yves-Alain ACH et Catherine DANIEL
- L’essentiel de l’Analyse financière (4ème édition) de Béatrice et Francis GRANDGUILLOT
Journaux
- Le Figaro- Le Monde- Les Echos
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 51
Table des matières
Avant propos……………………………………………………………………………….. p.2
1 - L'entreprise, le secteur………………………………………………………………… p.3
A - La société Bosch……………………………………………………………….. p.4
- Fiche signalétique………………………………………………………… p.4
- Rétrospective……………………………………………………………… p.5
- Historique de la société Bosch………………………………………….. p.6
B - Le marché de l'électroménager…………………………………………….… p.7
- Les fondamentaux du marché…………………………………………... p.7
- Principaux concurrents…………………………………………………... p.8
- Comparaison avec un concurrent……………………………………... p.10
2 - La répartition de la Valeur Ajoutée………………………………………………….. p.11
- Tableau partiel des SIG………………………………………………… p.12
- La répartition de la Valeur Ajoutée………………………………….… p.13
3 - Tableaux de bord de ratios………………………………………………………….. p.14
A - Etude de la gestion…………………….…………………………………….. p.15
- Ratios d'activité………………………………………………………….. p.15
- Ratios de rendement……………………………………………………. p.15
- Ratios de répartition des revenus……………………………………... p.15
B - Ratios de Structure…………………………………………………………… p.16
- Le niveau de dépendance financière….……………………………… p.16
- L'équilibre financier……………………………………………….…….. p.16
- La capacité d'autonomie financière…………………………..……….. p.16
- Les ratios de solvabilité………………………………………..……….. p.17
C - Etude de l'efficacité……………………………………………..……………. p.17
D - L'effet de levier………………………………………………………………... p.18
Dossier Bosch
Ecole de Management Léonard de Vinci 52
Perspective de l'année 2005…………………………………………………………….. p.19
4 - Annexes………………………………………………………………………………... p.20
1 - Variations des principaux indicateurs………………………………….…… p.21
2 - Les principaux groupes………………………………………………………. p.22
3 - Revue de presse……………………………………………………………… p.23
4 - Solde Intermédiaire de Gestion……………………………………………... p.30
5 - La valeur ajouté……………………………………………………………….. p.31
6 - Capacité d'autofinancement…………………………………………………. p.32
7 - Bilan fonctionnel………………………………………………………………. p.33
8 - FRNG, BFR, BFRHE, Trésorerie………………………………………….… p.35
9 - Tableaux de bord de ratios………………………………………………..…. p.36
Comptes sociaux 2002…………………………………………………………………... p.38
Comptes sociaux 2003…………………………………………………………………... p.42
Comptes sociaux 2004…………………………………………………………………... p.46
Références………………………………………………………………………………… p.50
Table des matières……………………………………………………………………….. p.51