Abeill - 14 mars 2013
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Transcript of Abeill - 14 mars 2013
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LE BUTINEUR
Un compte-rendu loufoque de la soirée endiablée du Scandale du jeudi 7 mars dernier.
Beach Party - Le Scandale
PRÉ-JIF : LA VÉLOCITÉ!
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14 mars 2013 Journal bimensuel du Baccalauréat intégré en études internationales et langues modernes
LE BUTINEURVolume 4, numéro 3
Plus d’info en page 2
LE COLLOQUE DU MILLÉNAIRE!! VOUS DEVEZ Y ÊTRE!
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QUELLE PLACE POUR LES A U T O C H T O N E S AUJOURD’HUI?
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Beach PartyAllo petit-e mexicain-e. Passé un gros jeudi pour célébrer la mi-session? Non? Non! Tu as perdu à la courte-paille pour faire le ménage de l’appart ou tu avais plutôt un souper de famille avec ta tante des États. Trop plate! Pendant ce temps il y avait le Beach Party au Scandale! Okokok, il n’y avait pas de sable, comme dans les bonnes années du Palladium, mais c’est overrated le sable. Il y en a déjà suffisamment dans les rues, non? Plein de gentil-le-s étudiant-e-s s’étaient donc rassemblé-e-s dans le chic aquarium du DKN, a.k.a. l’Atrium, toutes & tous déguisé-e-s avec leur plus belle (ou pas) redingote hawaïenne. En fait, pas tout le monde, beach party, c'est ambigu, tsè. Au menu : ton alco-ol favori à des prix dérisoires, une piñata, du limbo (comme dans ta famille à Noël, mais en plus malaisant), Nader & de la musique bien groovy, mixée par le platinum taon, DJ Eatin’ all! Une autre belle réussite! Sérieux, viens la prochaine fois, question de voir tout ce qu'on peut faire. P.S. Benoît XVI a démissionné!! Troublant pareil.!
par Georgie Bourgault-Fortin
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Le Colloque du Millénaire est un évènement unique qui se déroulera à l’Université Laval. Crée de toutes pièces par des étudiants du programme en études interna<onales et langues modernes (ABEILL), le Co l loque du Mi l léna i re s’avère être un évènement de grande envergure et d’une très grande qualité. Des conférenciers de différents horizons seront présents le 23 mar s p rocha in l o r s de présenta<ons sous forme de conférences. Au programme, un cocktail d’ouverture est organisé le vendredi 22 mars avec comme invité d’honneur nul autre que M. Jean-‐François Lépine, journaliste et
animateur de l ’émission « Une heure sur terre » à Radio-‐Canada. Le samedi 23 mars, des conférences en ma<née ainsi qu’en après-‐midi vous sont offertes. Le soir, « Le Bal du Printemps » sera un grand banquet quatre services ainsi qu’une soirée animée. Plaisir garan<. Le dimanche 24 mars, une plénière sur le hui<ème Objec<f du Millénaire est proposé suivi d’une table ronde animée par un panel d’expert-‐e-‐s se déroulera en après-‐midi.
Il est désormais possible de s’inscrire au Colloque sur le site internet officiel. Il est
éga l ement pos s i b l e de prendre le forfait incluant une c h a m b r e d ’ h ô t e l e n occupa<on quadruple pour c e u x q u i v i e n n e n t d e l’extérieur ou qui voudraient s imp l emen t v i v r e u n e expérience complète.
P o u r d e p l u s a m p l e s i n f o r m a < o n s e t p o u r l’inscrip<on, consultez le site o ffi c i e l : h ] p : / /www.colloquedumillenaire.ca/
Faites-‐vite! La date arrive à grands pas !
Le Colloque du Millénaire
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Le 6 mars dernier, à l’université Laval, s’est tenu la conférence « Quelle place pour les autochtones aujourd’hui? » présentée p a r l ’ A E L I E S . L e s conférenc iers é ta i ent Thierry Rodon, Widia Larivière, Max Gros-Louis et Jean-Louis Fontaine. Les quatre invités avaient environ 15 minutes pour exprimer leur point de vue. Ensuite, une période de questions fort populaire a permis d’approfondir le sujet.
par Paula Popescu
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Le premier qui a pris la parole a été M. Rodon, qui est, entre autres, titulaire de l a C h a i r e s u r l e développement durable du Nord. Il a commencé par présenter une image qui en dit long sur les relations entre les autochtones et le gouvernement canadien : les deux peuples avancent côte à c ô t e , m a i s s ’ e n t r e d é c h i r e n t . I l a également mentionné la d i f f i c u l t é d e s j e u n e s autochtones à s’adapter. En fait, dès leur jeune âge, ils son t dés i l lus ionnés e t
présentent des symptômes d’une grave crise identitaire.
Widia Larivière, jeune femme en partie Algonquine e t r e s p o n s a b l e d e l ’ o r g a n i s m e F e m m e s Autochtones du Québec I N C . , a p o u r s u i v i l a conférence en soulignant que le mouvement Idle No More était un véritable « cri d u c œ u r d e s p e u p l e s autochtones ». Elle a aussi rappelé les principales r e v e n d i c a t i o n s d e s a u t o c h t o n e s , s o i t l a protect ion des lacs e t rivières canadiens, une r e p r é s e n t a t i v i t é p l u s importante des Indiens dans les affaires politiques ainsi que plus de transparence financière et moins de corruption. Widia Larivière a terminé sa partie en insistant sur trois problèmes impératifs à régler : le premier, la place de la femme, qui ne sont pas a s s e z r e s p e c t é e s ; l e deuxième, les jeunes et leur p o u v o i r s u r l a s c è n e politique et communautaire; le troisième, l’urgence d’établir une discussion entre le gouvernement et les autochtones.
M a x G r o s - L o u i s , q u e beaucoup d’entre nous connaissent comme ancien c h e f H u r o n - We n d a t , respectable chasseur, artisan et grand défendeur de la cause autochtone depuis des années, a pris le relais. Il a qualifié les actions du gouvernement canadien face au peuple autochtone de « génocide bien planifié pour faire disparaître les Indiens », à cause, entre autres, de l’interdiction de voter, d ’ a l l e r à l ’ é c o l e , d e consommer de l’alcool, d ’ o c c u p e r d e s p o s t e s prestigieux (médecin, par exemple), et ce, jusqu’en 1954. C’est seulement en 1 9 8 2 q u e l a L o i constitutionnelle du Canada fut ratifiée et que l’article 35 sur les droits ancestraux et issus de traités des peuples a u t o c h t o n e s e s t e n f i n adopté. À ce sujet, Max Gros-Louis a affirmé que « des droits, ça se gagne; maintenant, il faut les défendre ».
Enfin, le dernier invité a été Jean-Louis Fontaine, ethno historien d’expérience et spécialiste de la culture de son peuple, le peuple Innu. Il s’est questionné
Quelle place pour les autochtones aujourd’hui?
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sur les contacts entre a u t o c h t o n e s e t n o n -autochtones, qui, selon lui, se sont détériorés depuis quelque temps. Pour Jean-L o u i s F o n t a i n e , l ’ a v è n e m e n t d e l a technologie, les nouvelles religions ainsi que la sédentarisation comme mode de vie modifient f o n d a m e n t a l e m e n t l a culture innue. Jean-Louis F o n t a i n e n o u s a effectivement confié que, jusqu’à l’âge de 13 ans, il a h a b i t é d a n s l e b o i s presqu’en permanence et qu’en 1960, lorsque l’école est devenue obligatoire, il a é t é e n v o y é d a n s u n pensionnat et y est resté pendant six ans. Le choc a été énorme, remarque-t-il : « sur la réserve, tout le monde te dit bonjour; pas en ville ».
A p r è s c e s q u a t r e interventions, les questions n’ont pas tardé. Comment réussir à intégrer et à établir un lien avec les autochtones? Est-ce qu’un Q u é b e c p l u r i c u l t u r e l
pour ra i t ex i s t e r? Pas vraiment, selon Max Gros-Louis, qui soutient que les autochtones se sont déjà intégrés aux Français et aux Anglais il y a 500 ans. En fait, continua-t-il sur la même lancée, il faudrait arrêter de dire que le Canada s’est formé à partir de deux peuples fondateurs. Le Canada serait plutôt un amalgame de plusieurs ethnies qui cohabitent ensemble, sans intention de s ’ a s s imi l e r ou de s e détruire l’une l’autre.
Mais s’il y a bien quelque chose que nous, jeunes c a n a d i e n s - f r a n ç a i s p o u v o n s f a i r e i c i à Q u é b e c , c ’ e s t d e participer activement et de faire la promotion de la cause la cause autochtone. En fait, il va sans dire que le débat est très complexe et qu’il faut agir au plus vite si on ne veut pas perdre à jamais cette culture qui est une partie constituante de la culture canadienne.
Selon Widia Larivière, l’intervention des non-autochtones est essentielle, car il faut montrer à Harper que les autochtones ne sont pas seuls dans leur lutte. Le gouvernement doit accepter de négocier avec les Premières Nations et il doit a u s s i a s s u m e r s e s responsabilités au lieu de les léguer au provincial. La lutte pour la reconnaissance des Premières Nations ne f a i t q u e c o m m e n c e r ; joignez-vous!
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Site web
Le site web de l’associa<on, c’est à ne pas manquer!! Un site d’une qualité incroyable où toutes les informa<ons que vous cherchez concernant le bac et les gens à contacter sont disponibles. Visitez-‐le!
h]p://abeill.asso.ulaval.ca/
Le nom dit tout : semaine de
lecture. Toutefois, je vous
invite à bouder vos livres
pendant quelques heures et
vous reposer les méninges.
Une manière d’y parvenir
est de visionner ces trois
films, légers et divertissants
à souhait.
par Alexis Bédard-Fiset
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Departures (2008), Japon.
Un film peu conventionnel
porté par une magnifique
m u s i q u e . O n s ’ a t t a c h e
rapidement au protagoniste,
Daigo, qui après avoir perdu
son emploi, retourne dans son
village natal avec sa femme
dans l’espoir d’y refaire sa
vie. Ce dernier déniche un
emplo i dans un bureau
intrigant appelé Departures,
croyant alors qu’il s’agit d’une
banale agence de voyages. Or,
Daigo réalise qu’il s’agit
p lu tô t d’une agence de
pompes funèbres hors du
commun qui prépare à sa
manière les défunts vers un
autre monde. Un film qui
saura vous émerveiller et vous
donnera envie de devenir
embaumeur!
Despicable Me (2010), États-
Unis.
Un excellent dessin animé à la
fois drôle et original, qui
relate l’histoire d’un grand
génie du crime dont le
quotidien est profondément
bouleversé lorsqu’i l es t
contraint de s’occuper de trois
orphelines colorées. Il est tout
simplement impossible de
résister à l’une d’entre elles,
l’énergique petite Agnès, et à
sa fameuse phrase désormais
célèbre : « it’s so fluffy I’m
gonna die ». Un film qu’on
apprécie à 8 ou 88 ans, parfait
pour décompresser et pour
r enouer avec son cœur
d’enfant.
Chroniques de films
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Les femmes du 6e étage
(2011), France.
Malgré le fait qu’il a tout pour
être heureux, Jean-Louis
t r o u v e s a v i e u n b r i n
routinière. Un jour, ce dernier
se rend compte que plusieurs
bonnes Espagnoles habitent au
6e étage de son immeuble. Il
s’attache rapidement à celles-
ci et entre de plein fouet dans
leur univers exaltant, ce qui ne
manque pas de provoquer
quelques frictions avec sa
femme et ses amis bourgeois.
En présentant le quotidien
d’un r iche banquier en
manque d’aventures, cette
réalisation enjouée nous fait
découvrir la Ville Lumière des
années soixante. Un film
ludique et rafraîchissant.
Salut toi. Ça va? Je te propose que lque chose d’excessivement excitant : un voyage dans le temps! « Où m’emmènes-tu? » que tu dois te dire. Pas si loin, je te rassure. Retournons au 28 février dernier, date épique où il n’y a pas eu de 2e fin du monde, certes, mais bien le PRÉ-JIF: LA VÉLO-CITÉ, événement incommensurable ayant eu lieu au Grand Salon et mettant la table pour les Jeux Inter-facultaires (JIF) du 9 au 11 avril prochain.
par Georgie Bourgault-Fortin
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L’objectif du Pré-JIF est de déterminer la répartition des diverses couleurs (hipsters) de chandail pour les JIF entre les facultés lavalloises (e.g. vert
kiwi, chocolat foncé, charbon (?), marguerite (!)). Cette année l’objectif pour les forces en présence était d’accomplir le plus grand nombre de tours d u G r a n d S a l o n e n 1 5 minutes…aux commandes d’un tricycle trop petit pour ton cousin de 6 ans. On va se le dire, il n’y en a pas eu de facile !
La faculté de Lettres (en passant, l’ABEILL fait partie de cette dernière) avait deux objectifs. Premièrement, il fallait obtenir un des seuls chandails avec une couleur normale : le chandail rouge. Deuxièmement, Lettres devait, v i a u n e p e r f o r m a n c e étincelante, faire savoir aux autres facultés participantes qu’elle était prête à recouvrer son titre de championne des
Jeux.
Malgré plusieurs anicroches, votre faculté a pu atteindre ses objectifs grâce à une excellente p ro fondeur e t un esp r i t d’équipe manifeste. Nous avons terminé 4e derrière Droit, qui avait un Noir, Sciences infirmières & Sciences de la san té , ma i s lo in devan t Sciences sociales.
C’est maintenant l’heure de former une délégation de feu afin de ramener la coupe ! Vous pouvez vous inscrire sur la page su ivan te : h t tps : / /www.facebook.com/events/430348873717367/
Bons JIF à toutes & à tous!
Pré-JIF : Vélocité
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Le montant total alloué aux bourses de l’ABEILL pour l’année 2012-‐2013 est de 800,00$.
1. 5 bourses à montant fixes (550,00$)- 4 bourses de 100,00$- 1 bourse « coup de cœur » de 150,00$
Critères de participation :- Avoir un minimum de B- (2,67) de cote de programme- Implication reliée aux études- Fournir une lettre de motivation- Remplir le formulaire- Les récipiendaires s’engagent à parler de leur projet dans Le Butineur
Grilles d’évaluation des participants :Chaque critère d’évaluation est évalué sur 5 pour un total de 25 points. Les critères seront donnés aux membres de l’ABEILL afin qu’ils puissent s’avoir sur quoi ceux-ci vont être évalué.
- Sérieux de la candidature- Originalité- Utilisation de la bourse- Qualité de la présentation- Motivation en lien avec le baccalauréat
Date limite pour dépôt des candidatures : 20 mars 2013 avant 17hLes candidatures peuvent être envoyées à l’adresse courriel de l’ABEILL ou bien en personne au local 0207.
2. Montant pour les simulations et missions commerciales (350,00$)Un montant de 350,00$ sera divisé également à tous les membres de l’ABEILL qui participent à une simulation ou à une mission commerciale. Pour obtenir leur bourse, les participants devront en faire la demande en remplissant un formulaire (Annexe 1) et en remettant une copie de l’attestation de participation à la simulation ou à la mission commerciale.
Proposition pour le fonctionnement des bourses de l’ABEILL
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Te rends tu comptes? C'est jeudi, la semaine de (pas) lectures se termine s o u s p e u e t t u a s principalement rien fait de grandiose depuis ta sortie de samedi soir dernier. L'heure est grave! Ou pas.
par Georgie Bourgault-Fortin
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Tout ça pour dire que si tu as besoin d'inspiration pour clore ta semaine, voici quelques idées, soumises bien humblement, pis toute.
#1 Sors dans un bar t'étant inconnuEn quoi? Tu pensais aller au Pub comme d'hab?
Sérieux, ose un peu! Il y a plein de perles qui sont moins courues, mais qui valent le déplacement (e.g. le Bistro+, la Korrigane, Mme T & Mr M). En passant, opter pour le Dag plutôt que le Maurice n'a rien de révolutionnaire.
#2 Glisse différemmentLa saison de ski/planche à neige tire à sa fin & tu n'as pas encore pris le temps de dévaler les pentes. Comme les Français-e-s de France disent: "Soyons fous." Comment? Tu es un-e skieur/skieuse aguerri-e et les planchistes t'exaspèrent avec leur satané slalom? Élargis tes horizons & fait comme eux en troquant tes bâtonnets & tes twin tips pour une maudite planche.
Plutôt planchiste? Barbe les émules de Jacey Jay Andersen aux commandes des vieux skis fluos de ton père en dévalant les pentes, tel un missile balistique. Tu n'as jamais fait de planche ou de ski? Ne désespère pas & opte pour les révolutionnaires "snow blades".
#3 Écouter "Slapshot" & Les BoysQu'on se le dise, si ce n'est pas déjà fait, ça manque à ta culture. Les éclairantes r é f l ex ions des f rè res Hanson, de Reggie Dunlop ou de Bob méritent qu'on s'y attarde assidûment.
Mes suggestions te laissent songeur/songeuse? Moi aussi en fait. Bye là!
Formulaire de demande de bourses ABEILLNom : Prénom :Numéro ID : Moyenne de programme (seulement pour les participants au concours de bourses): Adresse :Numéro de téléphone :Nature de la demande de bourse :
- Mission commercial □- Simulation □ - Concours de bourses □
Semaine de lecture 2.0
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VOTRE COMITÉ JOURNAL
Publié sur une base bimensuelle, Le Bu<neur a comme mandat d’informer les étudiants du Baccalauréat intégré en études interna<onales et langues modernes sur les ini<a<ves prises au sein de l’associa<on étudiante, ainsi que sur des sujets d’intérêts généraux pouvant interpeller la communauté universitaire.
INTÉRESSÉS À PARTICIPER?
L’équipe du Bu<neur est toujours à la recherche de journalistes et d’étudiants mo<vés désirant s’impliquer dans différentes sphères de la réalisa<on du j o u r n a l . Ç a v o u s i n t é r e s s e ? Communiquez-‐avec nous :
COLLABORATEURS
Correcteur: Georgie Bourgault-‐For<n
Photographie : Alain Togba
Montage : Annye Bou<llier
Rédactrice en chef : Gabrielle Bouchard-‐Doyon
Merci à nos journalistes !
Gabrielle Bouchard-DoyonÉditrice
ÉDITORIALIl y a de ces phénomènes parfois auxquels on serait porté à vouloir croire ou du moins porter davantage d’intérêt. Le phénomène de la pleine lune qui influence les gens, qu’en pensez-vous? Certains diront que c’est de la pure fiction. Par contre, je connais des gens qui ont fait des observations dans leur propre vie pour arriver à établir que les jours entourant ceux de la pleine lune, ils ne dorment presque pas ou leur humeur change radicalement. Des chercheurs de l’Université Laval ont fait une étude sur le sujet pour en arriver à un résultat négatif. La lune n’aurait aucun effet sur la santé mentale du moins. « C'est peut-être dû au hasard ou à des facteurs que nous n'avons pas mesurés. Chose certaine, nous n'avons pas observé d'effet de la pleine lune ou de la nouvelle lune sur les troubles psychologiques. » — ¨Pr Geneviève Belleville. Personnellement, il me reste une petite partie de moi qui se demande encore si ça pourrait être possible, dépendamment des personnes.
Pour de plus ample information et pour lire l’article complet publié sur le site de Radio-Canada, allez lire ce lien : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/science/2012/11/19/002-pleine-lune-santementale.shtml