2015 04 besace échos

12
Besace Echos Trimestriel P207076 OCtobre - Novembre - décembre. 2015 Bureau de dépôt : Bruxelles X MEILLEURS VŒUX 2016

description

Rencontre, Charlotte Simonis, designer textile Challenge Ecole Zéro Watt - économie d'énergie Greenwatch, des graphiques pour agir Esprit d’entreprendre - Explort tes capacités commerciales à l’international

Transcript of 2015 04 besace échos

Page 1: 2015 04 besace échos

BesaceEchos

Trimestriel P207076OCtobre - Novembre - décembre. 2015

Bureau de dépôt : Bruxelles X

MEILLEURS VŒUX2016

Page 2: 2015 04 besace échos

2

ÉDITO

Une des particularités de l’équipe de l’ASBL Besace est d’être visionnaire et de travailler, indépendamment des projets futurs confirmés, sur un certain nombre

d’initiatives susceptibles d’être développées à court ou à moyen terme.

C’est notamment le cas des projets Tip on Top (initiative visant à sensibiliser encore un peu plus les adultes de demain à la bonne gestion de l’énergie et ce avec des partenariats privés), de formations d’initiation à Facebook destinées à de jeunes indépendants, à une sensibilisation de jeunes demandeurs d’emploi

bruxellois à l’artisanat qualifié en France comme premier vecteur économique, à la création d’un « handistand » itinérant, destiné aux écoles et aux enseignants du Brabant wallon ou encore à la préparation d’un dossier dans le cadre du Fonds

Houtman destiné à soutenir l’enfance en difficultés…Sans aucun doute, l’année 2016 sera de nouveau très chargée et nous espérons

vous rencontrer dans le cadre de l’une ou l’autre de nos initiatives que vous pouvez par ailleurs toujours suivre sur notre site

www.besace.be

Dans l’attente, au nom de toute l’équipe, nous vous souhaitons de très bonnes fêtes de fin d’année.

Philippe Jadot Administrateur délégué

SOMMAIRE

La Besace en bref

Rencontre, Charlotte Simonis

Challenge Zéro watt

esprit d’entreprendre

L’écho des sections

2.3.6.

10.12.

LA BESACE EN BREF

La vitrine de l’artisanInscriptions à partir de février 2016www.lavitrinedelartisan.com

Challenge 0 Watt Du 21/10/2015 au 21/03/2016 en Wallonie.

Défi énergie D’octobre 2015 à avril 2016 dans les écoles communales de Juslenville et Theux.

Associ’actif9 décembre dans le Hainaut.17 décembre à Namur.Nouveau cycle 2016 sur la communication.

Page 3: 2015 04 besace échos

3

Rencontre

DES SACS PLASTIQUEs haut de gamme

Jeune diplômée en design textile à l’Académie royale des Beaux-Arts, Charlotte Simonis tisse manuellement des tissus aux motifs ultra

tendances en intégrant des déchets comme le sac plastique. Dans son appartement en plein cœur de Bruxelles, Charlotte lit, telle une

partition, sa feuille de conduite derrière son métier à tisser. Son rêve ? Créer sa boîte de tissage proposant une collection de tissus au mètre

sans empreinte écologique. Sa devise ? The Sky is the Limit.

Page 4: 2015 04 besace échos

4

PORTRAIT

En quoi consiste le métier de designer textile ? Pourquoi avoir choisi ce secteur ?

Il s’agit de créer la matière par le tissage, la maille, l’im-pression et la broderie. À la base, je voulais être styliste mais j’ai changé d’avis car ce qui m’intéresse c’est la matière des vêtements et non leurs formes.

Pourquoi tisser le sac plastique ?

À 16 ans, j’ai réalisé un voyage au Burkina Faso où j’ai découvert le principe des tissus avec de la récup’. Des années plus tard, j’ai voulu approfondir cette dé-marche. Mais les profs n’ont pas du tout adhéré à l’idée.

À l’issue de mes études en septembre 2014, Delphine Vercauteren, Art Director pour Design September, m’a proposé de participer à une expo. J’ai remporté le coup de cœur de la société Mini, ce qui m’a permis de réaliser une expo à Flagey. J’ai ensuite remporté le prix Tremplin de la WCC (World Craft Council), un an de coaching. Et depuis, tout s’enchaîne ! J’ai rem-porté le prix du meilleur artisan bruxellois. J’ai été sélectionnée parmi les 10 artisans 2015 du concours national la Vitrine de l’Ar-tisan pour représenter le secteur…

L’upcycling, est-ce un état d’esprit ou une façon pour toi de te

démarquer ?

Il y a tellement à récupé-rer, je ne vois pas l’inté-rêt d’acheter du nouveau. Un message sur Facebook suffit pour refaire mon stock de sacs plastiques. Je trouve des fils de récup’ aux marolles, chez des an-tiquaires. J’ai récupéré les stocks de tissus et bou-tons d’un magasin qui fer-mait. Et pour le cuir, je me rends à la Réserve des Arts à Paris, c’est un grand en-trepôt avec des déchets. Il n’y a que mes tirettes que j’achète neuves. Si j’utilise un jour du neuf, je serai particulièrement attentive à des matières naturelles, locales, sans empreinte éco-logique.

Page 5: 2015 04 besace échos

5

QUELQUES CHIFFRESPour réaliser ce sac, il faut 26 sacs plastiques, 4 jours pour coudre les sacs plas-tiques en fil et réaliser le montage sur le métier à tisser, 2 jours pour le tissage et un jour de couture. Soit 7 jours de travail pour un prix de vente de 285€.

Utilises-tu les réseaux sociaux ?

J’ai une page Facebook « Wolf Design Textile ». Je renseigne mes expos, ma participation aux concours, mes nouveaux projets, les news… Mais j’essaie de ne pas envahir d’informations. Instagram me permet aussi de toucher des personnes hors du cercle familial.

Des actus ?

Un E-shop www.atelierwolf.be

Resource 4 : Art, Design, Fashion, Music. Du 17 au 20 mars 2016 à l’AA Dock’s à Anderlecht.

Artisanart Du 10 au dimanche 13 mars 2016 à Brussels Expo.

Un coup de gueule ?

Il faudrait créer un statut pour les jeunes qui se lancent. Actuellement, soit on est indépendant com-plémentaire, ce qui signifie qu’on doit avoir un boulot de minimum 19h/semaine ce qui ne laisse pas beau-coup de temps à la création, soit on facture via la Smart, qui coûte beaucoup trop cher.

Des conseils pour entreprendre ?

Il faut s’informer auprès de structures comme Atrium ou Impulse Bruxelles, avoir un minimum de connais-sances en matière de ges-tion et s’entourer d’un bon coach pour faire avancer les choses, se recentrer par rapport aux attentes des en-treprises pour ne pas foncer tête baissée.

Un conseil de grand-mère ?

Mettre les lainages au congélateur pour ne pas qu’ils peluchent ou mettre un peu de vinaigre dans la machine à laver pour entre-tenir la fibre.

Page 6: 2015 04 besace échos

6

zéro watt

Anloy, Auvelais, Baelen, Ciplet-Burdinne, Courcelles, Ensival, Esneux, Flémalle, Haversin, La Hulpe, La Louvière, La Roche-en-Ardenne, Lens-Saint-Remy, Liège, Limal, Wellin, Lustin, Marneffe, Mouscron, Namur,

Neufvilles, Orgeo, Ouffet, Pépinster, Soiron, Theux, Vaux-sur-Sûre, Verviers, Vesqueville, Waterloo...

La cinquième édition du Challenge École Zéro Watt a envahi la Wallonie avec comme objectif : faire un maximum d’économies

d’énergie dans les écoles.

Le Challenge École Zéro Watt est une initiative de la Région wallonne et de Sudpresse. Cette année, 35 écoles seront encadrées pour réaliser un audit par-ticipatif. Munis d’appareils de mesures, les élèves réa-liseront une enquête pour débusquer les gaspillages. Un plan d’action sera pro-posé aux acteurs de l’école regroupés pour l’occasion en Ecoteam (direction, élèves, professeurs, person-

nel d’entretien, membres du PO, responsable tech-nique...). Tous devront, avant mars, réaliser mi-nimum 10% d’économie d’éléctricité par rapport à la consommation de l’année précédente pour la même période.

Cette année, la Besace ac-compagne 12 écoles pour la partie électrique, dont 5 pour la partie chauffage.De nouvelles expériences

scientifiques ciblées sur le chauffage seront testées en classe.

À partir de janvier, les élèves présenteront ce qu’ils auront mis en place au sein de l’école sous forme de saynètes, power point, ex-position, visite guidée...

Plus d’infos : http://www.educ-energie.ulg.ac.be/

édition #5 du Challenge école Zéro watt

Page 7: 2015 04 besace échos

7

Zéro watt

Des graphiques pour agir

Depuis un an, la société Greenwatch a rejoint les partenaires du Challenge École Zéro Watt. Une réelle plus-value en matière

de sensibilisation grâce à son système de monitoring de la consommation énergétique. Suivons le guide.

Le monitoring

Un appareil de mesure de la consommation d’élec-tricité est raccordé par la société Greenwatch au ta-bleau électrique général de l’école. Les données sont transmises toutes les 15 minutes par Internet. Elles sont présentées sous forme de graphiques et d’index sur une plateforme Internet accessible via un compte utilisateur et un mot de passe.

Alexis Fabre, 31 ans, responsable du monitoring pour

Greenwatch

Un outil de sensibilisation

Cet outil permet donc de mettre en place des change-ments de comportements, de cibler où focaliser les ef-forts en mettant en exergue les économies potentielles comme les consommations durant les heures de non occupation (nuit, mercredi après-midi et week-end). Grâce aux graphiques de consommation, les élèves peuvent visualiser directe-ment l’impact des actions mises en place.

Un système d’alerte

La société Greenwatch étudie la mise en place d’un nouveau système d’alerte qui permettra d’enregistrer une consommation maxi-male. Si celle-ci est dépas-sée de 20% par exemple, l’alerte se mettra en route pour éviter des consomma-tions inutiles.

Données chiffrées

Le monitoring de l’année dernière a permis de dé-terminer qu’il y a environ 20% d’économies po-tentielles dans les écoles. « Nous avons dernièrement été contactés par une com-mune de 30 000 habitants dont les dépenses énergé-tiques s’élèvent à 700 000€. Si on économise déjà 10% de la consommation, cela représente 70 000€/an. Ils ont notamment un stade de foot où l’on consomme 10 000 litres de mazout/an alors qu’il n’est occupé qu’un soir par semaine et un jour le week-end (soit plus du double de la consomma-tion d’une maison unifami-liale énergivore).»

Les données récoltées (consommations, nombre d’élèves, surface…) vont en outre permettre d’ana-lyser les potentiels d’éco-nomie qui, on le sait, sont énormes et de comparer des bâtiments entre eux.

Page 8: 2015 04 besace échos

8

Zéro Watt

Sécurité

La pose du système permet aussi de mettre en évidence des risques pour la sécuri-té des occupants avec des installations électriques qui ne sont pas toujours aux normes. « Il m’est arrivé de travailler dans un tableau de distribution les pieds dans l’eau ! Ou encore de tomber sur un tableau où il n’y avait pas de différentiel ce qui peut provoquer une élec-trocution. »

Action - réaction !

Sawab, Samantha, Nathan et Ryan ont bien l’intention d’agir à l’aide de ces graphiques. « On a remarqué que la nuit, il reste 2000 watts permanents qui sont consommés. Cela représente 3000€/an. » Ils sont prêts à relever le défi et à tout mettre en oeuvre pour diminuer leur consommation. « Nous avons déjà ins-tallé des wattmètres sur les 8 frigos de l’école pour mesurer leurs consommations en une semaine et garder les moins énergivores. » Mais ils vont également s’entourer de tous les acteurs de l’école. « Nous allons demander aux autres élèves d’éteindre les lumières lorsqu’ils quittent les locaux, d’ouvrir les ri-deaux et d’éteindre si la luminosité est suffisante. Pour les appareils électriques, nous allons placer des multiprises à interrupteur pour éviter les consommations cachées des ordinateurs, écrans interactifs, radio... »Une action spéciale sera réalisée sur le temps de midi, où le graphique ne montre pas une diminution drastique de la consommation.Des programmateurs vont aussi être installés en collabora-tion avec le personnel d’entretien sur les chauffe-eau pour chauffer uniquement lorsque cela s’avère nécessaire. « Nous vérifierons si cela a eu un impact à l’aide des graphiques en comparant l’avant et l’après. »

Page 9: 2015 04 besace échos

9

zéro watt

POINT DE VUEPÉDAGOGIQUE

D’après Jean-Marc Guillemeau, Facilitateur Edu-cation-Énergie de la Région wallonne, ce système de suivi des consommations est un outil précieux si l’on souhaite « évaluer pour évoluer » dans le cadre d’une démarche participative.

Évaluer de manière régulière les économies réali-sées permet de soutenir la mobilisation citoyenne des élèves. En effet, si les résultats sont probants, cela les encourage à poursuivre leurs actions ; dans le cas contraire, cela les incite à faire mieux ou plus.

Par exemple, les élèves réalisent un graphique grand format montrant l’évolution des consom-mations ainsi que des économies. Ils l’affichent dans le hall d’entrée de l’école et le complètent chaque jour (ou chaque semaine). Ainsi, les autres classes, les enseignants et les parents peuvent prendre connaissance des résultats de la mobi-lisation... cela peut les encourager à se mobili-ser également. Cerise sur le gâteau : réaliser des graphiques est une compétence que les élèves doivent exercer durant leur parcours dans l’ensei-gnement primaire.

Sébastien Boland, instituteur en 6ème

primaire

Le challenge en lui-même permet de développer de nombreuses compétences comme écrire une lettre à la commune, comprendre les circuits électriques et à l’aide du système Greenwatch d’interpréter un graphique, comprendre les causes des pics de consommation, les baisses et trouver ensemble des solutions. J’espère éga-lement que les élèves vont changer leurs comporte-ments pour économiser aussi l’énergie à la maison.

Page 10: 2015 04 besace échos

10

Esprit d’ENTREPRENDRE

Le 18 février prochain, le programme EXPLORT fêtera son 10ème anniver-saire.Un programme qui a pour mission d’aider les entreprises à s’ouvrir au commerce extérieur, mettant à leur disposi-tion des jeunes stagiaires formés aux techniques du commerce internatio-nal.

Explort tes capacités commerciales à l’international

Tu es étudiant ou jeune diplômé et tu souhaites élargir ton horizon ?Tu veux découvrir le commerce international et le tissu économique

wallon, développer ton sens commercial ou encore renforcer tes connaissances linguistiques en contribuant au développement des

exportations wallonnes ?Participe au programme EXPLORT de l’AWEX.

EXPLORT favorise une relation win-win qui permet à l’entreprise de se développer et aux stagiaires d’acquérir des compétences profession-nelles en matière de com-merce international.

Mené par l’AWEX, en par-tenariat avec le Centre de Compétence Forem - Ma-nagement & Commerce, EXPLORT est un vaste programme soutenu par le Plan MARSHALL 4.0. Son ambition est de sensibiliser les jeunes à l’importance des échanges commerciaux internationaux et à l’enjeu que représente le commerce extérieur pour la Wallonie en leur apportant une expé-rience professionnelle pour faciliter leur insertion sur le marché du travail.

EXPLORT s’adresse à deux types de stagiaires. D’une part, aux étudiants à

la recherche d’un stage lié dans le cadre de leur cursus académique dans une filière à orientation économique, commerciale ou de gestion, ou une filière préparant à une carrière internationale (traduction, sciences poli-tiques, relations internatio-nales…). D’autre part, aux diplômés disponibles sur le marché de l’emploi, ayant un niveau d’étude bachelier au mi-nimum quelle que soit la filière, qui désirent (ré)orienter leur carrière vers l’international.

EXPLORT propose deux types de stages : soit une mission commerciale à l’étranger en faveur d’une entreprise exportatrice wal-lonne, soit un stage au sein d’un bureau de l’AWEX à l’étranger pour seconder un Attaché Économique et Commercial (AEC) dans sa mission.

Page 11: 2015 04 besace échos

11

ENTREPRENDRE

Concrètement, comment ça se passe ?

Candidature et sélectionConsultez le site Internet pour les différentes dates de sélection : www.explort.beCelle-ci s’opère sur base d’un entretien profession-nel afin de vérifier les mo-tivations et aptitudes du candidat.

Speed datingEXPLORT organise des speed dating pour les can-didats sélectionnés afin de faciliter leurs contacts avec les entreprises. Le speed dating fait partie de la re-cherche de stage.

Coaching Un coach accompagne le stagiaire afin qu’il puisse trouver une entreprise qui corresponde à ses attentes et aux compétences qu’il veut développer. Des jour-nées de présentation de l’AWEX et du tissu écono-mique wallon sont organi-sées en plus d’un accom-pagnement concret sur la manière de rechercher une entreprise et postuler.

Recherche d’un stageL’entreprise de stage doit avoir au minimum un siège d’activités en Wallonie,

La mission à l’étranger

Les objectifs de la mission à l’étranger peuvent être mul-tiples : réaliser une étude de marché, faire la promotion du produit ou du service sur un nouveau marché, identifier des prospects, des partenaires, des agents ou des distributeurs poten-tiels,... Pendant la mission à l’étranger, le stagiaire doit être encadré et orienté à distance par l’entreprise qui doit notamment répondre à ses questions. Le débriefingLe programme EXPLORT se clôture par la remise d’un rapport de synthèse de la mission et un débriefing de celle-ci, notamment avec la participation de l’entre-prise. Le solde de la bourse du stagiaire est alors être versé.

avoir un projet à l’expor-tation et avoir les moyens humains nécessaires à l’en-cadrement du stagiaire, en particulier pendant sa mission à l’étranger. L’aide financière de l’AWEX, sous forme d’une bourse versée au stagiaire pour in-tervention dans les frais de mission, est un élément dé-terminant dans la décision d’une entreprise à confier une mission commerciale à un stagiaire.

Formation aux techniques du commerce internationalCette formation est assurée par des « hommes de ter-rain » qui leur font part de leur expérience profession-nelle. C’est une véritable « boîte à outils du métier » qui leur est fournie.

Stage en WallonieAvant de partir en mission commerciale dans le pays cible de la mission, le sta-giaire doit réaliser un stage en entreprise. Ce stage a pour objet d’apprendre à connaître l’entreprise, ses produits, l’argumentaire de vente, faire une étude de marché, identifier les pros-pects ou les personnes à rencontrer pendant la mis-sion et préparer tous les aspects logistiques de cette mission.

Page 12: 2015 04 besace échos

[email protected] | www.besace.be | Tél : 02 500 50 70Réalisé avec le soutien de la Fédération Wallonie Bruxelles et la Province de Liège

éd

ite

ur

re

sp

on

sab

le : P

hil

ippe

Ja

do

t, A

ve

nu

e d

e l

a T

ois

on

d’O

r, 8

4-

86

à 1

060

Br

ux

ell

es

| G

ra

phis

me

 : ba

dj

aw

e.c

om

Suivez-nous sur

JOUR 1Belgique - Nanterre.

Lors d’un circuit complet vous découvrirez les 40 principaux sites et mo-numents touristiques de Paris : du Louvre à la Tour Eiffel en passant par les Champs Élysées et l’Arc de Triomphe, Notre-Dame, les Invalides, le pont Alexandre III… Un moment magique vous attend !

JOUR 2Du Château du Roi Soleil au Panthéon

Visite des lieux emblé-matiques du château de Versailles en toute liber-té (Les Grands Appar-tements, la Galerie des Glaces, la Chambre du Roi, la Chambre de la Reine, les Appartements de Mes-dames... les expositions temporaires du Château, avec audioguide.

Variante au programme : Le salon de l’agriculture

JOUR 3Nanterre - Belgique

Départ pour le quartier de la Défense. Temps libre pour la Visite de la Grande Arche ou le Tour en petit train. Retour à Paris pour le déjeuner.Temps libre dans le quartier de l’Opéra Garnier et des Grands magasins ou pro-menade en bateau mouche.Retour en Belgique avec arrêt pour le repas du soir à l’Arche d’Assevillers.

Prix : à partir de 287 €

Paris - Versaillesdu 29 février au 2 mars 2016

Découvrez ou redécouvrez cette capitale unique au monde. De Paris, il existe autant de clichés que de quartiers.

Plongez-vous dans la vie turbulente de cette métropole vivante et profitez d’heures inoubliables.

L’écho des sections

INFOS

Besace Oupeye04/379.22.16 - 0475/33.47.00 [email protected]

besaceoupeye.skynetblogs.be