10 Girpi Info Qualite Eau
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SANTĂ PUBLIQUEpour la qualitĂ© de lâeau,GIRPI joue la transparence
flashRue Robert Ancel - BP 36 - 76700 Harfleur - France - TĂ©l : 02 32 79 60 00 - Fax : 02 32 79 60 27 - girpi.fr
Comme tous les nouveaux matĂ©riaux de synthĂšse, le C-PVC est soumis Ă des testsrigoureux pour lâobtention de lâA.C.S. (Attestation de ConformitĂ© Sanitaire). LesrĂ©sultats plus que probants pour satisfaire Ă ces A.C.S., et les trĂšs nombreusesrĂ©fĂ©rences dâapplications confirment les qualitĂ©s rĂ©elles du C-PVC, donc du HTAÂź.
RĂ©cemment, la DGS (Direction GĂ©nĂ©rale de la SantĂ©) a souhaitĂ© Ă©tendre les ACSsur les assemblages constitutifs des rĂ©seaux en PVC et C-PVC. Ces assemblagesnĂ©cessitent lâemploi de polymĂšre de soudure (communĂ©ment appelĂ©s âcollesâ).
ACS. LA DĂFINITIONATTESTATION DE CONFORMITĂ SANITAIRE
Le transport des fluidesQue deviendrait cette fonction si sonexercice risquait de provoquer ladĂ©gradation ou lâaltĂ©ration de la naturemĂȘme des fluides transportĂ©s.Le respect de lâintĂ©gritĂ© de ces fluidesdans les systĂšmes de rĂ©seaux conçuspar GIRPI est donc un impĂ©ratif majeur.Ce respect est dâautant plus incontour-nable lorsquâil sâapplique Ă la puretĂ©et Ă la qualitĂ© de lâeau, Ă©lĂ©ment fonda-mental de la vie. A fortiori lorsquecette eau est destinĂ©e Ă la consommationhumaine.Par sa neutralitĂ©, son inertie et sarĂ©sistance Ă tous types dâagressions,le C-PVC, composant du HTAÂź a fait lapreuve depuis des annĂ©es, de sonefficacitĂ© pour prĂ©server et garantirla qualitĂ© de lâeau. Partenaire actif de la sĂ©curitĂ© par lafiabilitĂ© de ses produits, GIRPI se devaitde consacrer un numĂ©ro spĂ©cial auxdiffĂ©rentes Ă©tudes menĂ©es sur les Ă©lĂ©mentsconstitutifs des rĂ©seaux en C-PVC.Des observations, des commentaires,des analyses et des rĂ©sultats quitĂ©moignent aussi du respect de lâen-gagement total de GIRPI pour mĂ©ritervotre confiance.
Spécial
qualitĂ© de lâeau
SommaireTEST IN VITRO/ TESTS IN SITU, LA VĂRITĂ . p 2
ACS, LE VISA INDISPENSABLE . . . . . . . . p 2
ECOSSE : LE HTAÂź TESTĂ PAR LE WRC . . . p 3
âNOUVEAU MATĂRIAUXâ PETIT RAPPEL . p 3
KIWA, LE RAPPORT INCONTESTABLE . . . . p 4
ESSAIS KIWA, LA SYNTHĂSE . . . . . . . . . .p 4
ATTESTATIONS ET GARANTIES DU HTAÂź . . p 5
DYALISE, LA COMPATIBILITĂ DU HTAÂź . . p 6
LEGIONNELLOSE, DGS :LA DERNIĂRE CIRCULAIRE . . . . . . . . . . p 7-8
NATURE DES RĂSEAUX : QUE CHOISIR . . .p 9
SANTĂ PUBLIQUE :CONFIANCE Ă GIRPI p 10-11
SĂCURITĂ : LA RĂPONSE GIRPI . . . . . . p 12
La sécurité de vos réseaux
Dans un environnement de plus en plus menacĂ©, lâeau, Ă©lĂ©ment essentiel de la vie est unenjeu capital. Contre les agressions de toutes natures, la prĂ©servation de la qualitĂ© delâeau devient pour tous une prioritĂ© absolue.Une exigence dâautant plus forte lorsque cela concerne des Ă©tablissements de santĂ©, desĂ©tablissements recevant du public, des logements, câest-Ă -dire nous.Pour GIRPI, la qualitĂ© de lâeau dĂ©pend aussi de la qualitĂ© des rĂ©seaux.Une Ă©vidence trop souvent occultĂ©e, sur laquelle GIRPI tĂ©moigne de son engagementconstant et de sa fiabilitĂ©.
LâAttestation de ConformitĂ© Sanitairepermet de prouver :
⹠la conformité de la formulationdes matériaux aux listes positivesde référence⹠les résultats des essais demigration aux critÚres de qualitédéfinis dans les décrets
LâarrĂȘtĂ© du 29 mai 1997, relatif auxmatĂ©riaux et objets utilisĂ©s dans les ins-tallations fixes de distribution dâeaudestinĂ©es Ă la consommation humaine(modifiĂ© par les arrĂȘtĂ©s du 24 juin 1998
LE C-PVC SOUMIS AUX TESTS OBJECTIVITĂ REQUISELâobjectif premier est de sâassurerque, dans des conditions rĂ©ellesdâutilisation, les populations ne sontpas exposĂ©es Ă des risques.
GIRPI se place donc en partenaireactif dans le cadre des Ă©tudes prĂ©-normatives des protocoles dâessaisdes ACS pour les polymĂšres desoudure.
Une dĂ©marche qui se situe dans ledroit fil de lâengagement de GIRPI,pour la qualitĂ© Ă tous les niveaux :produits, fluides, informations etexamens techniques.
Dans la quĂȘte de la vĂ©ri tĂ©,câest une simple question de bonsens et dâhonnĂȘtetĂ©.
et du 13 janvier 2000), demande que lesfabricants tiennent Ă la disposition duMinistre chargĂ© de la SantĂ©, les informationspermettant de vĂ©rifier que ces matĂ©riaux,lorsquâils sont utilisĂ©s dans des conditionsnormales, ne sont pas susceptibles dedĂ©grader la qualitĂ© de lâeau :
⹠soit en leur conférant un caractÚrenocif pour la santé⹠soit en modifiant leurs propriétésorganoleptiques, physiques, chimiqueset microbiologiques.
GIRPI : LA SĂCURITĂ, EN TOUTE TRANSPARENCERELARGAGE DES SOLVANTS : TESTS IN VITRO, TESTS IN SITU. OĂ EST LA VĂRITĂ ?
Au phĂ©nomĂšne de ârelargageâ constatĂ© lors de premierstests âin vitroâ, il convient dâapporter toutes les prĂ©cisionsnĂ©cessaires et informations complĂ©mentaires pour uneanalyse sincĂšre, objective et concrĂšte.En considĂ©rant par ailleurs que âces canalisations (en C-PVC),par leur rĂ©sistance Ă lâentartrage et Ă la corrosion, et leur
facilitĂ© de nettoyage, sont conseillĂ©es pour la lutte contrele dĂ©veloppement de la lĂ©gionelloseâ.En effet, non seulement le tartre et la corrosion sont desfacteurs aggravants par le dĂ©veloppement des lĂ©gionnella,mais en plus ils limitent considĂ©rablement lâefficacitĂ© destraitements prĂ©ventifs et curatifs contre la lĂ©gionellose.
In vitro, pour la reproductibilitĂ© dâun modĂšle sta-tique, pour lâanalyse du relargage des solvants.Pour des raisons pratiques, il est toujours compliquĂ© et onĂ©reuxde procĂ©der Ă des essais de certifications reproductibles, corres-pondant aux conditions rĂ©elles dâutilisation.Donc, pour plus de souplesse, de rapiditĂ© et pour tenir comptedâun moindre coĂ»t, prioritĂ© a Ă©tĂ© donnĂ©e Ă des tests in vitro. Cestests devant toutefois satisfaire Ă la condition de âfiabilitĂ© dereproductibilitĂ©â.Des premiers essais ont donc Ă©tĂ© effectuĂ©s en laboratoi-re (essais âen statiqueâ avec 4 collages sur 1 mĂštre,dans un rĂ©cipient dâeau stagnante). Mais il reste Ă dĂ©finir la corrĂ©lation entre les rĂ©sultatsde ces tests in vitro et la rĂ©alitĂ©.
In situ, pour la rĂ©alitĂ© dâun modĂšle dynamiquePartout oĂč il y obligation de prĂ©caution, tant pour la santĂ© que pourla vie, les tests sont effectuĂ©s grandeur nature, en conditions rĂ©ellesdâapplication et dâutilisation (automobile, aĂ©ronautique, trans-ports en commun, pharmacologie, systĂšmes de protection et desĂ©curitĂ©, etc).La logique et lâhonnĂȘtetĂ© exigent donc que pour les âcollesâ ou âpoly-mĂšres de soudureâ, des tests soient effectuĂ©s en conditions rĂ©elles. Pour GIRPI aussi, les tests les plus prĂ©cis sont bien Ă©videmmentceux qui ont Ă©tĂ© effectuĂ©s sur des installations dĂ©jĂ enplace, et avec des conditions dâutilisation rĂ©elles.Dans ce cas, pas de place Ă lâinterprĂ©tation ou lâextrapolation,puisquâil sâagit de rĂ©seaux fonctionnant en permanence etdepuis plusieurs annĂ©es.
Pour GIRPI, la vĂ©ritĂ© grandeur natureGIRPI a effectuĂ© Ă des prĂ©lĂšvements sur des rĂ©seaux dĂ©jĂ enplace, de 2 semaines Ă 11 ans dâĂąge. Ceci pour une reprĂ©senta-tivitĂ© crĂ©dible (2 semaines, 1 an, 4 ans, 9 ans, 11 ans).Lâanalyse des eaux ainsi prĂ©levĂ©es a Ă©tĂ© confiĂ©e Ă lâun des troislaboratoires français habilitĂ©s Ă dĂ©livrer des ACS : le laboratoirede la Ville de Paris.RĂ©sultat : des quantitĂ©s de solvants systĂ©matiquementconformes aux exigences sanitaires et dans la plupart des casinfĂ©rieures aux seuils de dĂ©tectabilitĂ© ! !En fait, dans la rĂ©alitĂ© dâun circuit dynamique, les renouvelle-ments rĂ©guliers dâeau occasionnĂ©s par lâutilisation du rĂ©seaufont que les teneurs Ă©ventuelles en solvant par relargagedeviennent nĂ©gligeables : - CQFD -
POUR UNE PLUS GRANDE OBJECTIVITĂ :DES TESTS IN SITU
Les canalisations PVC et C-PVC de GIRPI assemblĂ©es par raccords collĂ©s sont opĂ©rationnelsdepuis plus de 40 ans, sans jamais gĂ©nĂ©rer la moindre remarque sur la qualitĂ© de lâeau.Le HTA de GIRPI Ă©quipe des centaines dâhĂŽpitaux, dâhĂŽtels et dâimmeubles et continuent dâĂȘtre appli-quĂ©s actuellement sur de nombreux chantiers (400 rĂ©fĂ©rences dâhĂŽpitaux ces cinq derniĂšres annĂ©es).En prĂ©sence des experts de lâAFSSA, de la DGS, de trois laboratoires agrĂ©Ă©s (Paris - CRECEP, Nancy,Pasteur Ă Lille) des responsables du CSTB et des reprĂ©sentants des syndicats professionnels (STR-PVC et SFCA) il a donc Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© de procĂ©der Ă des analyses plus poussĂ©es et pluscomplĂštes, axĂ©es autour de trois rĂ©solutions :
1) Approfondir le protocole dâessai et effectuer de nouveaux tests afin dâĂ©tendre lechamp dâinvestigations et de connaissances2) Mener de nouvelles Ă©tudes sur les rĂ©actions entre les Methyl-cĂ©tones contenuedans certaines colles et les dĂ©sinfectants Ă base de chlore.(N.B. : Sur ce point, Girpi nâest pas concernĂ©, car les colles fournies par GIRPIne contiennent pas de Methyl-cĂ©tones).3) Suivre un chantier et mesurer la qualitĂ© organoleptique ainsi que la concentra-tion en solvant de lâeau au fur et Ă mesure de lâavancement du chantier, oĂč des prĂ©lĂšvementsdâeau seront effectuĂ©s au cours des diffĂ©rentes Ă©tapes de pose.
Les installations seront mises en Ćuvre dans les prochains mois et les rĂ©sultats des analyses feront lâobjetdâun communiquĂ© spĂ©cial dans toute la profession, ainsi que dans les secteurs dâapplication intĂ©ressĂ©s.
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ACS. LE VISA INDISPENSABLE, MAIS PAS POUR TOUT LE MONDE...AprĂšs avoir dĂ©fini les Attestations de ConformitĂ© Sanitaire(ACS) sur les tubes et les raccords en PVC et C-PVC, laDirection GĂ©nĂ©rale de la SantĂ© (DGS) effectue les mĂȘmesdĂ©marches sur les polymĂšres de soudure - ou colles - servant Ă lâassemblage des canalisations.Le domaine dâapplication des ACS se trouve donc Ă©largi sur lâensemble des Ă©lĂ©mentsconstitutifs dâun rĂ©seau en C-PVC, sans aucune exception.Puisquâun arrĂȘtĂ© rend donc obligatoire le contrĂŽle dâinertie de tous les matĂ©riaux visĂ vis de lâeau potable, il serait bon quâeffectivement tous les matĂ©riaux soientpris en considĂ©ration.Dans un constant souci de sĂ©curitĂ© - valeur fondamentale de la devise de lâentreprise -GIRPI sâassocie pleinement Ă cette dĂ©marche dont lâobjectif premier est dâapporter lapreuve indiscutable dâune totale garantie sanitaire.
SĂCURITĂ SANITAIRE
DEUX POIDS, DEUX MESURES ?Cependant, il est Ă noter quâĂ ce jour, les matĂ©riaux mĂ©talliques (acier et cuivre) sontexempts dâACS, sous prĂ©texte quâils sont considĂ©rĂ©s comme des matĂ©riaux dits âtradi-tionnelsâ *. On peut alors sâinterroger sur la vraie raison de cette exemption. Le plombnâĂ©tait-il pas lui aussi, pendant des decennies, un matĂ©riau traditionnel Ă©quipant desrĂ©seaux ? Ne serait-il pas souhaitable et Ă©quitable de procĂ©der Ă des analyses objectives et com-paratives complĂštes, prenant en compte tous les matĂ©riaux pouvant ĂȘtre utilisĂ©s dansdes circuits de distribution dâeau ?Quand on connait les inconvĂ©nients liĂ©s Ă certains rĂ©seaux mĂ©talliques**, en matiĂš-re de prolifĂ©ration microbienne, de largages de particules dâoxydation, de calcaire oude boues, on pourrait exiger une rĂ©elle Ă©quitĂ© dans lâĂ©tude et lâapplication des ACS.
* traditionnels : PVC / C-PVC depuis plus de 30 ans, quelle mesure de traditionnalisme ?** (voir prĂ©cĂ©dentes Ă©ditions de Girpi Infos âspĂ©cial lĂ©gionneloseâ et âspĂ©cial stations thermalesâ).
GIRPI a effectué des prélÚvements dans desétablissements recevant du public.
Lâanalyse des eaux prĂ©levĂ©es a Ă©tĂ© confiĂ©eau laboratoire de la ville de Paris (CRECEP).
Il a Ă©tĂ© constatĂ© des teneurs en solvantssystĂ©matiquement conformes auxexigences sanitaires et mĂȘme, dansla plupart des cas, infĂ©rieursau seuil de dĂ©tactabilitĂ©.
CONTRĂLES ET ANALYSESDANS CINQ ĂTABLISSEMENTS PUBLICS
LE HTAÂź EN TOUTE CONFIANCE
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UNE COMPARAISON SâIMPOSEPour jouer Ă fond la transparence, ilserait donc honnĂȘte de parler dâautrestypes de relargages dus Ă la naturemĂȘme des rĂ©seaux mĂ©talliques.Pourquoi les passer sous silence, sousprĂ©texte quâils sont dits âtraditionnelsâ.En toute objectivitĂ©, les professionnelssavent pertinemment que les circuitsmĂ©talliques provoquent des phĂ©no-mĂšnes de relargage.Que ce soient particules mĂ©talliquesaprĂšs mise en Ćuvre, fragments de
calcaire, rĂ©sidus de corrosion et oxy-dation, boues diverses, rĂ©sultant destraitements contre la prolifĂ©rationmicrobienne, pour ce type de rĂ©seaux,le risque est loin dâĂȘtre ârisque zĂ©roâ.Si aujourdâhui, depuis plus dâunevingtaine dâannĂ©es, le C-PVC Ă©quipede trĂšs nombreux Ă©tablissements,mĂȘme trĂšs sensibles, câest bien enraison de leur qualitĂ© et de leurinertie.
ĂCOSSE : LE WRC SOUMET LE HTAÂź
Ă SES TESTS RIGOUREUX
âFEU VERT POUR LES HĂPITAUXâLâapplication du HTA en Ecosse dansle secteur hospitalier a donnĂ© lieu Ă un examen trĂšs rigoureux du pro-duit et de ses composants, notam-ment les polymĂšres de soudure etleur solvant.Le laboratoire WRC reconnu en Europepour sa rigueur et son impartialitĂ©, aĂ©tĂ© mandatĂ© par le National HealthSecurity pour dĂ©terminer si le HTAÂź
pouvait ĂȘtre utilisĂ© dans les Ă©tablisse-ments hospitaliers.
Au terme de cette Ă©tude (septembre 99)le W.R.C. a confirmĂ© au N.H.S. Ă©cossaisque le systĂšme HTAÂź assemblĂ© parcollage ne prĂ©sentait aucun risquepour la santĂ© et pouvait ĂȘtre posĂ©dans les Ă©tablissements de soins.Cette Ă©tude particuliĂšrement rigoureusea dĂ©montrĂ© de façon indiscutable lephĂ©nomĂšne de dĂ©croissance desconcentrations en solvants. Ceci dĂ©montre, sâil en Ă©tait encorebesoin que, le systĂšme HTAÂź estconforme aux exigences sanitaires.
ASSEMBLAGE DU HTAÂź
NOUVEAUX ESSAIS DE MIGRATION
La prise en compte des risques de contamination des rĂ©seaux, notamment par leslĂ©gionelles, le traitement rĂ©gulier de ces rĂ©seaux au chlore impliquent une mise Ă lâĂ©preuve des matĂ©riaux.Le chlore pourrait provoquer diverses rĂ©actions nuisibles avec les Methyl-cĂ©tonesde certaines colles, formant alors du chloroforme.Une Ă©tude est actuellement en cours pour vĂ©rifier cette hypothĂšse.Mais de toutes façons, les polymĂšres de soudure Ă©tudiĂ©s et mis au point par GIRPIne contiennent pas de Methyl-cĂ©tones.Les composants de ces polymĂšres ont Ă©tĂ© dĂ©finis afin dâassurer autant la qualitĂ© etla rapiditĂ© de la âpriseâ aprĂšs application, que leur neutralitĂ© et leur inocuitĂ©, unefois la remise en eau rĂ©alisĂ©e.
PolymÚres de soudure GIRPI : efficacité et inocuité
PETIT RAPPELSUR LES âNOUVEAUX MATĂRIAUXâ
Les canalisations plastiques en PVCrigide, assemblĂ©es au moyen decolles, sont utilisĂ©es depuis plus de50 ans en Europe et aux Etats-Unis.Durant les quinze derniĂšres annĂ©es,rien que sur le territoire français, desmilliers dâinstallations ont Ă©tĂ© rĂ©ali-sĂ©es Ă ce jour. On peut considĂ©rer que statistique-ment, si ces rĂ©seaux avaient Ă©tĂ© Ă lâorigine de dĂ©sordre, et ce, quellequâen soit la nature (organoleptique,santĂ©, corrosion, etc), des critiquesauraient Ă©tĂ© Ă©mises par les utilisa-teurs et leur emploi aurait Ă©tĂ© stoppĂ©.Dans ce sens, il est intĂ©ressant denoter que trĂšs souvent, des directeurstechniques dâhĂŽpitaux ou de chaĂźneshĂŽteliĂšres reconduisent lâutilisation derĂ©seaux ECFS en PVC et C-PVC collĂ©sdans le cadre de lâextension de bĂąti-ments existants rĂ©alisĂ©s par tranchesĂ©talĂ©es parfois sur plusieurs annĂ©es.Le succĂšs commercial rencontrĂ© parles canalisations PVC et PVC-C collĂ©esrepose sur les qualitĂ©s intrinsĂšques deces polymĂšres par rapport auxmĂ©taux, voire Ă certains autres matĂ©-riaux organiques.
Sans dresser une liste exhausti-ve de ces qualités, on pourranéanmoins citer les principales :
âą une absence de corrosion,âą u n e m o i n d r e t e n d a n c e Ă
lâentartrage,âą une simplicitĂ© et une rapiditĂ©
dâinstallation,âą une non permĂ©abilitĂ© Ă lâoxygĂšne,âą une trĂšs bonne rĂ©sistance au chlore.
Cette derniĂšre propriĂ©tĂ© revĂȘt aujour-dâhui une importance toute particuliĂšreavec le dĂ©veloppement des traitementsde dĂ©sinfection pratiquĂ©s dans le cadrede la lutte contre la lĂ©gionella.Ces traitements consistent la plupart dutemps Ă injecter dans les rĂ©seaux dessolutions chlorĂ©es Ă des concentrationscomprises entre 1 et 110 ppm selonles cas.Or, ce type de traitement nâest pas sanseffet sur les diffĂ©rents matĂ©riaux com-posant les rĂ©seaux de canalisations.Lâaction corrosive du chlore et des pro-duits organiques chlorĂ©s sur les mĂ©taux,y compris lâacier inoxydable, sur lesĂ©lastomĂšres et sur certains matĂ©riauxde synthĂšse est bien connue et Ă faitlâobjet de plusieurs Ă©tudes.En raison de leur excellente rĂ©sistanceaux eaux froides et chaudes chlorĂ©es,les PVC et C-PVC constituent une solutionperformante dâun point de vue techni-co-Ă©conomique pour rĂ©pondre demaniĂšre pertinente Ă la problĂ©matiquede la dĂ©sinfection des rĂ©seaux ECS.
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LE CUIVRE ET LE C-PVC TESTĂS RIGOUREUSEMENT PARLE âKIWAâ, un rapport objectif et incontestable...
Prolifération MICRO biologique. Essais KIWA*: la synthÚseMICRO ORGANISMES ET BIOFILM
LA MĂTHODE
La multiplication des micro organismes danslâeau destimĂ©e Ă la consommation humaineest directement liĂ©e Ă la formation du biofilm sur les parois des canalisations la vĂ©hi-culant. La limitation de la propagation de cesmicro organismes sera donc assujettie aumaintien dâune faible concentration en par-ticules biodĂ©gradables, pour Ă©viter de devoirtraiter lâeau avec des agents de dĂ©sinfectionqui contribuent Ă dĂ©grader les qualitĂ©s orga-noleptiques de lâeau potable.Les essais rĂ©alisĂ©s par le KIWA sont desti-nĂ©s Ă Ă©valuer lâaptitude dâun matĂ©riau Ă permettre le dĂ©veloppement dâun bio film,lequel bio film favorise la propagation des
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micro organismes (notamment les lĂ©gio-nelles). LâĂ©valuation de cette aptitude estbasĂ©e sur la notion de BPP (BiomassProduction Potentiel). Ce facteur a Ă©tĂ© dĂ©ve-loppĂ© par le Kiwa dans le cadre de lâEAS(European Approval Scheme) et de la CPDW(Construction Product in Contact withDrinkable Water Directive) et cette Ă©tudea Ă©tĂ© financĂ©e par lâUnion EuropĂ©ennedans le cadre de lâharmonisation desmĂ©thodes dâĂ©valuation.
* KIWAOrganisme certificateur officiel aux Pays Bas (corres-pond au CSTB en France)
LâĂ©valuation de la B.P.P. (BiomassProduction Potential) est basĂ©e sur lamesure de la teneur en A.T.P. (AdĂ©nosine TriPhosphate), substance prĂ©sente dans tousles micro organismes vivants. La teneur enA.T.P. est mesurĂ©e dans le film prĂ©sent surle matĂ©riau et dans lâeau. LâĂ©tude a portĂ© sur une comparaison delâĂ©volution de la B.P.P. entre diffĂ©rentsmatĂ©riaux.La mĂ©thode dâĂ©valuation consistait en untest statique mais intĂ©grant une phasedynamique (avec un sous tirage simulantlâutilisation habituelle des installations :alternance de consommation et de pĂ©riodede stagnation).
La tempĂ©rature de lâeau est Ă 25°C. Il fautnoter que les essais ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s sur desmatĂ©riaux âneufsâ et les phĂ©nomĂšnes devieillissements nâont pas Ă©tĂ© pris en comptedans lâĂ©volution du B.P.P., alors que certainsparamĂštres ont certainement une influencenon nĂ©gligeable sur cette Ă©volution.
Les objectifs de cette Ă©tude sont triples :âą comparaison des caractĂ©ristiques dedĂ©veloppement du film entre les matĂ©-riaux Ă©tudiĂ©s. âą dĂ©termination de lâeffet de ces matĂ©-riaux sur la croissance de la lĂ©gionelleâą validation des matĂ©riaux sur la base deleur aptitude Ă promouvoir la croissance
PRINCIPALES CONCLUSIONS
La fin dâune idĂ©e reçueAprĂšs 40 jours, moins de biofilm avec le C-PVC quâavec le cuivreLes courbes montrent que la formation du biofilm est moindre sur les tubes cuivre au dĂ©marrage. Mais trĂšs rapide-ment, cette diffĂ©rence sâattĂ©nue et les valeurs obtenues dans des rĂ©seaux cuivre ou C-PVC sont identiques aprĂšs 40jours.Les performances de dĂ©part par le C-PVC, peuvent sâexpliquer comme Ă©tant principalement dues aux substances bio-dĂ©gradables prĂ©sentes sur le matĂ©riau avant le dĂ©marrage de lâessai. AprĂšs disparition de ces substances (consom-mĂ©es par les bactĂ©ries), les rĂ©sultats se stabilisent Ă un niveau faible. Ainsi aprĂšs 40 jours, le comportement du C-PVCest nettement meilleur. A la fin du test (125 jours) la quantitĂ© de biofilm avec le cuivre est nettement plus Ă©levĂ©quâavec le C-PVC (environ 500 pg ATP/cm2 contre 300 pg ATP/cm2 pour le C-PVC). De plus lâĂ©volution avec le cuivreest croissante alors quâil tend Ă se stabiliser avec le C-PVC.
Tableau 1Symboles = â verre / â C-PVC / âą cuivre / â PP / â PE-XFormation du biofilm sur des matĂ©riaux pendant incubation dans une eau biologiquementstable Ă 25°.NDLR : Dans un souci dâune meilleure lisibilitĂ© de ce graphique, nous sommes passĂ©s dâune Ă©chellesemi-logarithmique (dans lâĂ©tude du KIWA) Ă une Ă©chelle linĂ©aire.
Source : Etude KIWA october 2001 / BTO 2001.170Biomass Production Potential (BPP) of materials in contact with treated water : method and significance.
Formation du biofilmPVC-C < Cuivre aprĂšs 40 jours
Construit-on un rĂ©seau dâeau pour 1 mois seulement ?
Il est vrai que le premier mois,la quantité de biofilm est plus élevée avec le C-PVC,
mais aprĂšs lâordre sâinverse.
...mais, les facteurs aggravants sont avant tout,la corrosion et le tartre.
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HTAÂź
ATTESTATIONS ET GARANTIESACS France (tubes) avis positif +
ACS France (colles) tests dynamiques en cours
Raport KIWA (Hollande) avis positif +
Attestation WRC (Ecosse) avis positif +
Anti corrosion qualité reconnue +
Faible adhérence du calcaire qualité reconnue +
Classement M1 ininflammable +
Agréé établissements de santé avis positif +
(hĂŽpitaux, cliniques, maisons de retraite)
Neutralité - inertie qualité reconnue +
Agréé stations thermales avis positif +
QUI PEUT EN DIRE AUTANT ?
Tubes et raccords HTAÂź de GIRPI
pour eau chaude et froidesous pression
Ils font une croixsur lâentartrage et
la corrosion
ANALYSE APME,UniversitĂ© de NancyCette Ă©tude avait pour but dâĂ©tudier la corrĂ©lation entre lesmatĂ©riaux constitutifs des rĂ©seaux par rappport au dĂ©velop-pement du biofilm en prenant Ă©galement en considĂ©ration laqualitĂ© de lâeau. Les conclusions de cette Ă©tude vont dans lemĂȘme sens que lâĂ©tude KIWA.Une des principales conclusions est que la qualitĂ© de lâeau estun paramĂštre trĂšs important ayant une grande influence surle dĂ©veloppement ul tĂ©rieur du biofilm.
COURT TERME OU LONG TERMELE CHOIX EST SIMPLE
Comme en tĂ©moignent lesanalyses incontestables duKIWA, le cuivre possĂšde uncertain effet bactĂ©ricide, maisuniquement Ă court terme. Cet effet sâattĂ©nue rapide-ment. Tandis que le CPV-C, sâilne prĂ©sente pas de caractĂšrebactĂ©ricide au dĂ©part, onremarquera que la formationdu biofilm diminue sensible-ment au bout de 25 jours
environ, pour passer endessous de celle du cuivreau bout de 40 jours.
La question essentielle estdonc de savoir si pour uneinstallation exigeant un hautniveau de garanties de bonfonctionnement et de qualitĂ©de lâeau, on investit sur lecourt terme ou sur la longuedurĂ©e.
40 jours ou 50 ans : Ă vous de conclure
DE LâINFLUENCE DU MATĂRIAU...âDes questions se posent depuis plu-sieurs annĂ©es sur lâinteraction entreles matĂ©riaux et la qualitĂ© de lâeaupotable Ă leur contact, et la forma-tion Ă©ventuelle de biofilms compor-tant des bactĂ©ries pathogĂšnes.â
âNous ne nierons pas cette influence.Surtout si le matĂ©riau a tendance Ă sedĂ©grader dans le temps - mais il noussemble que ce facteur est trop souventmis en avant, et notamment une prĂ©-tendue relation entre les matĂ©riaux(PVC) et la prolifĂ©ration des bactĂ©riesâ.
âIl est vrai que cette attaque pro-vient parfois de matĂ©riaux qui ontquelques difficultĂ©s Ă survivre auxnouvelles exigences de la directiveâeau potableâ dont la transcriptiondevrait trĂšs bientĂŽt apparaĂźtre enFrance.
âLâinfluence du paramĂštre âmatĂ©riauâest trĂšs faible. (voir Ă©tude Nancy)â.
âLes matiĂšres plastiques sont tes-tĂ©es depuis des annĂ©es avec dâex-cellents rĂ©sultats en Europe (notam-ment le laboratoire de KIWA enHollande)â.
âIl faut rappeler que, si le matĂ©riauintrinsĂšque est a considĂ©rer avecattention, le dĂ©veloppement desbactĂ©ries se produit avec des fac-teurs aggravants comme la corro-sion et le tartreâ.
âIl faut rappeler que, si le matĂ©riauintrinsĂšque est Ă considĂ©rer avecattention, câest surtout parce que ledĂ©veloppement des bactĂ©ries seproduit avec des facteurs aggra-vants comme la corrosion et letartreâ.
Il faut avant tout prendre en consi-dĂ©ration lâinfluence des matĂ©riauxpour la formation du tartre et de lacorrosion.
SĂCURITĂ SANITAIREdes rĂ©fĂ©rences
qui parlent dâelles-mĂȘmes
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Comme il a dĂ©jĂ Ă©tĂ© dit, le C-PVC Ă©quipe de trĂšs nombreux Ă©tablissementshospitaliers et bĂątiments recevant du public en France et en Europe.Le HTA de GIRPI quant Ă lui, assure la sĂ©curitĂ© des rĂ©seaux de distributiondâeau sur bon nombre de sites.
CAMBRIDGE : Etablissement scientifique de recherches biologiques Ă lâUniversitĂ© de la ville.Extension et amĂ©lioration des conditions de recherches par la construction dâun nouveau laboratoi-re sur 4 Ă©tages, Ă©quipĂ© de HTAÂź pour son rĂ©seau dâeau chaude et dâeau froide (Ăž 20 Ă 110).
DOMFRIES : HĂŽpital de Domfries et Galloway.HĂŽpital de 220 lits rĂ©cemment construit. Le HTAÂź Ă©quipe le rĂ©seau dâeau chaude et dâeau froidedomestiques.
GLASGOW : HĂŽpital âHairmyersâ.HĂŽpital de 600 lits rĂ©cemment construit prĂšs de lâaĂ©roport dâHeathrow - rĂ©seau dâeau chaude etfroide Ă©quipĂ© en HTAÂź.
NORWICH : HĂŽpital de Norwich et Norfolk.HĂŽpital de 1200 lits pour les accidents majeurs spĂ©cialisĂ© pour les soins de premiĂšre urgence- le HTAÂź Ă©quipe tous les services et rĂ©seaux dâeau chaude et froide.
STOKE ON TRENT : UnitĂ© hospitaliĂšre du nord Staffordshire.HĂŽpital spĂ©cialisĂ© dans les problĂšmes majeurs de santĂ© mentale - le HTAÂź est utilisĂ© pour les cir-cuits de chauffage et les rĂ©seaux dâeau chaude et froide, de 60 Ă 82°C.
FRANCE : - plus de 400 hĂŽpitaux ont Ă©tĂ© Ă©quipĂ©s en HTA ces cinq derniĂšres annĂ©es (voir liste non exhaustive page 10) et sâajoutent aux nombreuses rĂ©fĂ©rences depuis 20 ans.
LES STATIONS THERMALES :Elles constituent un modĂšle particuliĂšrement reprĂ©sentatif des exigences absolues sur le respectde la nature et de la qualitĂ© de lâeau, tout autant que sur la prĂ©vention bactĂ©riologique.Un numĂ©ro âspĂ©cial stations thermalesâ de Girpi Infos a Ă©tĂ© publiĂ© en dĂ©but dâannĂ©e, appor-tant une fois de plus la preuve de lâefficacitĂ© du HTA, tĂ©moignages Ă lâappui (publication et CDrom disponibles sur simple demande).Interrogez-les : Ils vous feront part de leurs satisfactions de leurs rĂ©seaux en HTAÂź. Pour preuve,il refont rĂ©guliĂšrement le choix du HTAÂź.
GIRPI, PARTENAIRE DE LA SANTĂ PUBLIQUE
A votre avis,laquelle de ces deux eaux est potable ?
Y âA PAS PHOTO !
De lâavis de certains fabricants, lâeauprovenant de circuits mĂ©talliques doitprĂ©senter toutes caractĂ©ristiques depotabilitĂ©. Et pourtant, la corrosiondue au vieillissement des rĂ©seaux, Ă lâentartrage, et aux traitements chlo-rĂ©s rĂ©pĂ©tĂ©s provoquent de gravesaltĂ©rations de lâeau : boues rouges,granulats et particules diverses.
Par contre, les circuits conçus enC-PVC offrent toutes garanties delongĂ©vitĂ©, de stabilitĂ©, de sĂ©curitĂ©et de puretĂ© de lâeau.Si de plus en plus, le C-PVC est prĂ©co-nisĂ© dans les cahiers des charges desĂ©tablissements dits sensibles, et misen Ćuvre avec succĂšs, croyez-vousque ce soit le simple fait du hasard ?
LEGIONELLOSE
Devant la multiplication des cas de lĂ©gionellose en milieu hospitalier notamment, la circulaire DGSn°2002/243 du 22 04 2002 prĂ©cise les mesures de prĂ©vention et les modalitĂ©s de surveillance Ă mettre en Ćuvre pour lutter contre la lĂ©gionellose dans les Ă©tablissements de santĂ©.
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Direction Générale de la Santé
LA TOUTE DERNIĂRE CIRCULAIRE (extraits)
POUR LES ĂTABLISSEMENTS DE SANTĂ
ETABLISSEMENTS EN ALERTE INSTALLATIONS Ă RISQUE
DiffĂ©rentes enquĂȘtes ont permis dedresser un bilan des mesures prisessuite aux circulaires de1997 et 1998relatives Ă la prĂ©ventions et Ă la sur-veillance de la lĂ©gionellose.Si une meilleure prise en comptedu risque a Ă©tĂ© constatĂ©e, lesbonnes pratiques de gestiondes rĂ©seaux dâeau sanitaire nesont mises en Ćuvre quepartiellement.Or, parmi les cas de lĂ©gionellose dĂ©cla-rĂ©s, les Ă©tablissements de santĂ© reprĂ©-sentent un des principaux lieux decontamination ou de surcroit lesconsĂ©quences des lĂ©gionellosessont les plus graves.
En 2000, environ 20% des cas de lĂ©gio-nellose ayant fait lâobjet dâune dĂ©clara-tion Ă©taient dâorigine nosocomiale cer-taine ou probable, dont environ 40%des sujets sont dĂ©cĂ©dĂ©s.
⊠Améliorer la gestion des installations à risquedans les établissements de santé.
⊠Améliorer la prise en compte du risque lié auxlégionelles dans les activités de soins.
⊠Proposer des modalitĂ©s de mise en Ćuvredes dispositions prĂ©cĂ©dentes par les Ă©tablissementsde santĂ©.
OBJECTIFS DE LA CIRCULAIRE
POUR UNE EFFICACITĂ RĂELLE
La mise en Ćuvre de ces actions limite,voire supprime la nĂ©cessitĂ© de rĂ©aliserdes interventions curatives ponctuellessur le rĂ©seau, telles que des chocs chlo-rĂ©s ou des chocs thermiques, ces inter-ventions ne garantissent pas unerĂ©duction de la contamination sur lelong terme.
En outre, de telles mesures (chocs ther-miques ou chlorés) peuvent parfoisavoir pour conséquence un déséqui-libre de la flore microbienne et ladégradation des installations, favori-sant ainsi la création de nouveauxgßtes favorables à la prolifération deslégionelles.
Les action prĂ©ventives ont pour butdâĂ©liminer les conditions favorables Ă la survie et Ă la prolifĂ©ration des lĂ©gio-nelles dans les installations Ă risque etde limiter leur diffusion sous formedâaĂ©rosols.Une installation Ă risque est une ins-tallation susceptible dâexposer despersonnes Ă des aĂ©roso l s d âeaucontaminĂ©e, infĂ©rieurs Ă 5 ”m.
Les établissements de santé peuventconporter les installations à risquessuivants :
âą rĂ©seaux dâeau chaude desservantdouches ou douchettes
⹠tours aéroréfrigérentes⹠bains à remous ou bain à jets⹠humidificateurs, bacs à condensa-
tion utilisés dans les systÚmes dechauffage et de climatisation.
Les recommandations importantes sont référencées surdes fiches techniques trÚs précises (voir page 8)
Actuellement, les systĂšmes de distribution dâeau chaudesemblent ĂȘtre Ă lâorigine du plus grand nombre de casde lĂ©gionellose dans les Ă©tablissements de santĂ©. La circulairedĂ©veloppe donc les mesures de gestion des risques liĂ©s Ă ces ins-tallations.
Pour limiter le développement des légionelles, il faut agirà trois niveaux :
ⶠEviter la stagnation et assurer une bonne circulation de lâeau
â· Lutter contre lâentartrage et la corrosion, par uneconception et un entretien adaptĂ©s Ă la qualitĂ© de lâeau etaux caractĂ©ristiques de lâinstallation.
âž Maintenir lâeau Ă une tempĂ©rature Ă©levĂ©e dans les ins-tallations, depuis la production et tout au long des circuits de dis-tribution, et mitiger lâeau au plus prĂšs des points dâusage.
Pour ĂȘtre efficaces, les actions prĂ©ventives doivent ĂȘtre exercĂ©esaux Ă©tapes suivantes :
âą Conception des installationsâą maintenance et entretienâą maĂźtrise de la tempĂ©rature de lâeau
POUR LES RĂSEAUX EN CAUSE,ACTION Ă TROIS NIVEAUX
LEGIONELLOSE DGS - LA DERNIĂRE CIRCULAIRE : EXTRAITS ETCOMMENTAIRES GIRPI (DGS N°2002/243 0422-04-2002)
RECOMMANDATIONS IMPORTANTES NETTOYAGE ET DĂSINFECTION
TRAITEMENTS : LES PRĂCAUTIONS
ATTENTION : LâEAU FROIDE AUSSIZONES SENSIBLES
Recommandations pour la mise en ĆuvreUne sĂ©rie de fiches techniques jointes Ă la circulaire prĂ©cise la nature des actionsĂ mettre en Ćuvre. Voici le rĂ©sumĂ© des plus importantes :
Conception et maintenance desinstallations de distributiondâeau chaude sanitaireâą CHOIX DES MATĂRIAUX Ă utili-
ser pour les canalisations dans lesinstallations neuves ou lors dâunerestructuration de rĂ©seaux
âą CONSIGNES DE TEMPĂRATUREde lâeau chaude Ă respecter pour lesystĂšme de protection dâeau chaude,le rĂ©seau de distribution et les pointsde puisage.
FICHE N°1
RĂšgles de nettoyage et dedĂ©sinfectionâą Produits pouvant ĂȘtre employĂ©s
dans les installations de distributiondâeau chaude en fonction de leursmatĂ©riaux constitutifs.
NB : Tout produit utilisĂ© dans lesrĂ©seaux dâeau destinĂ©e Ă la consomma-tion humaine, doit ĂȘtre autorisĂ© parla Direction GĂ©nĂ©rale de la SantĂ©.
FICHE N°2
FICHE N°3 et 4
Surveillance des installations dedistribution dâeau
âą SUIVI DE LA TEMPĂRATURE etdes concentrations en lĂ©gionelles, etles actions prĂ©conisĂ©es en fonctionde ces concentrations.
âą LA TEMPĂRATURE EST UNINDICATEUR indirect de la prĂ©-sence ou lâabsence de lĂ©gionellesdans les rĂ©seaux de distributiondâeau quâil est nĂ©cessaire de mesu-rer en divers points reprĂ©sentatifs.
âą MAINTIEN DâUNECONCENTRATION de lĂ©gionellesla p lu s bas se pos s ib l e auxpoints d âusage.
âą RECOMMANDATIONSSPĂCIFIQUES pour les patients Ă hauts risques.
Un rencensement des points cri-tiques des installations de distributiondâeau, câest-Ă -dire les points suscep-tibles dâengendrer une prolifĂ©ration delĂ©gionelles est indispensable.âą zones oĂč lâeau stagne ou circulemal (ballons, rĂ©servoirs, bras morts)âą zones oĂč la tempĂ©rature de lâeaupeut descendre en dessous de 50°C(absence dâĂ©lĂ©ments de disconnexion
Les rĂ©seaux de distribution doi-vent ĂȘtre conçus de maniĂšre Ă limiter lâinstallation de biofilmset/ou de dĂ©pĂŽts de produits decorrosion qui, du fait de leurconstitution, nuisent dâune partĂ lâaction des dĂ©sinfectants, etdâautre part, conduisent Ă limiterlâefficacitĂ© de certains traitementscuratifs.En outre, les traitements mis en Ćuvresont dâautant plus faciles Ă rĂ©aliser quele rĂ©seau a Ă©tĂ© bien conçu Ă lâorigine.
Toutes les opĂ©rations de rĂ©paration parlâinstallation de nouvelles conduitesdoivent ĂȘtre effectuĂ©es de telle sortequâelles nâinduisent pas une contami-nation du rĂ©seau.Les rĂ©seaux dâeau, en particulier lesrĂ©seaux dâeau chaude sanitaire, nĂ©cessi-tent un entretien rigoureux et rĂ©gulier.Les opĂ©rations dâentretien com-prennent le nettoyage des instal-lations (lutte contre le tartre et lacorrosion) et souvent, la dĂ©sinfectiondes installations (rĂ©seaux hors service).
Les rĂ©seaux intĂ©rieurs dâeau froide peu-vent aussi ĂȘtre colonisĂ©s si les canalisationssont anormalement rĂ©chauffĂ©es soit parcontact avec le rĂ©seau dâeau chaude, soiten raison dâune tempĂ©rature Ă©levĂ©e deslocaux, soit par arivĂ©e dâeau chaude danslâeau froide au niveau des mitigeurs dâeau.Il convient donc de veiller Ă ce que la tem-pĂ©rature de lâeau froide ne dĂ©passe
pas 20°C, et Ă ce que les canalisationsdâeau froide et dâeau chaude soient calori-fugĂ©es sĂ©parĂ©ment.NDLR : tout comme pour lâeau chaude, leHTA de GIRPI trouve une application idĂ©a-le en Ă©liminant tout risque de corrosion, enlimitant les dĂ©pĂŽts de tartre et en rĂ©sistantaux traitements curatifs de toute nature.
adaptĂ©s, retour dâeau froide dans lerĂ©seau)âą zones susceptibles dâĂȘtre contami-nĂ©es par la vĂ©tustĂ© des installa-tions ou la corrosion.NDLR : il sâagit lĂ essentiellement decircuits mĂ©talliques car les rĂ©seauxconçus en HTA de GIRPI sont insen-sibles Ă la corrosion et ont par consĂ©-quent une durĂ©e de vie trĂšs longue.
8
âą Lâeffet des produits sur les matĂ©riauxdoit faire lâobjet dâune attention parti-culiĂšre. Par exemple, lâacier galvanisĂ©notamment ne rĂ©siste pas aux traite-ments avec des produits acides et, lecas Ă©chĂ©ant, un traitement de pro-tection doit ĂȘtre envisagĂ© aprĂšsemploi.(NDLR : pour les rĂ©seaux mĂ©talliques).âą Les mĂ©langes de produits chlorĂ©set de produits acides sont Ă proscrire.âą La tempĂ©rature dâutilisation desproduits acides doit ĂȘtre limitĂ©e Ă 50°Cpour des raisons dâeffet sur les matĂ©riaux.
âą Les produits de dĂ©tartrage et dedesoxydation sont Ă caractĂšre acide.Compte tenu de leur agressivitĂ© ils ontune action trĂšs rapide (de 1 h Ă 10heures). Lâemploi de formulationscontenant des inhibiteurs de corrosionest souhaitable, mais il convient desâassurer que les produits ou formula-tions utilisĂ©s sont autorisĂ©s par leMinistĂšre de la SantĂ©.NDLR : avec le HTA de GIRPI, pasbesoin de produits contre la corrosion :le HTA y est totalement insensible.
LEGIONELLOSE DGS - LA DERNIĂRE CIRCULAIRE : EXTRAITS ETCOMMENTAIRES GIRPI (DGS N°2002/243 0422-04-2002)
NATURE DES RĂSEAUX.QUE CHOISIR ?
GIRPI : UNE ATTITUDE PRO-ACTIVEGirpi nâa pas attendu la sortie de la nouvelle circulaire pour com-muniquer sur les rĂšgles Ă respecter pour limiter le developpementde la lĂ©gionellose.DĂšs avril 2000, GIRPI proposait une solution pour lâefficacitĂ© destraitements preventifs et curatifs.GIRPI dans de nombreux documents largement diffusĂ©s (Girpi Infos)rappelait les mesures de gestion des risques liĂ©s aux installationsainsi que les moyens de prĂ©vention.
ACIER GALVANISĂ+ dĂ©sinfection thermique possible, sans dĂ©passer60°C- dĂ©gradation accĂ©lĂ©rĂ©e si tempĂ©rature > 60°C- pertes de charges importantes si corrosion ou entartrage- incompatible avec la prĂ©sence de cuivre en amont- dĂ©sinfection peu efficace (chimique au chlore) dans les
canalisations corrodĂ©es, mĂȘme aprĂšs dĂ©tartrage- risque de corrosion accru aprĂšs dĂ©tartrage- dĂ©veloppement bactĂ©rien favorisĂ© par les produits dela corrosion
Conclusion : âą FORTEMENT DĂCONSEILLĂ POUR LâEAU CHAUDESANITAIRE, notamment lorquâelle est traitĂ©e au chloreâą importantes quantitĂ©s de tubes en acier galva de mauvaise qua-litĂ© sur le marchĂ©.
9
PVC-C surchloré+ adaptés aux eaux corrosives+ supporte la désinfection thermique ou chimique
(chlore ou peroxydes)- coĂ»t supĂ©rieur au PVC- matĂ©riaux pouvant ĂȘtre favorable Ă la prolifĂ©-
ration du biofilmNDLR : 40 jours aprĂšs mise en Ćuvre, la formation du bio-film sur le C-PVC est infĂ©rieur Ă la formation sur le cuivre
- peut relarguer du chloroforme par action du chlore surles méthylcétones contenues dans le solvant des assemblages (...)
NDLR : Tests seulement en coursNDLR : FAUX pour le HTA, car son polymĂšre de soudure necontient pas de mĂ©thylcĂ©tones et nâen a jamais contenu.
Conclusion :⹠Adapté pour les tronçons de Þ > 50/60⹠Montage par brides
NDLR 1 : Le HTAÂź ne sâassemble pas par brides.NDLR 2 : Le HTAÂź est parfaitement adaptĂ© pour tous les
diamĂštres.
CUIVRE (NF A51120)
+ mise en Ćuvre facile, pertes de charges faibles+ dĂ©sinfections thermique et chimique possibles
(chlore ou peroxyde aprÚs nettoyage)+ limite la formation du biofilm par action bactéricide
de contactNDLR : pour un temps trÚs limité, voir tableaux page 3
- pas de marque NF pour les tubes > Ăž 54 mm- sensibilitĂ© Ă la corrosion par âĂ©rosion / cavitationâ
pour les tubes recuits ou surchauffésNDLR : ce qui est la majorité des cas lors de brasures à 650°C
Conclusion :âą recommandĂ© jusquâau Ăž 54 mmNDLR : Pourquoi le recommander alors que le cuivre est sen-sible Ă la corrsion et quâaprĂšs 40 jours, le biofilm se dĂ©veloppeplus que dans le C-PVC ?
10
I ls ont tous chois i le HTA Âź
Année/Chantier CP Ville01-CENTRE PSY 10 BRIENNE LE CHATEAU
01-RPA MONNARD/ROMMILLY 10 RUMLLY
84-HOPITAL PSY ST JOSEPH 11 LIMOUX
89-CENTRE HOSPITALIER 11 CARCASSONNE
92-CLINIQUE ST VINCENT 11 CARCASSONNE
01-M. RETRAITE ATHENA 12
01-M. DE RETRAITE "LES VEDETTES" 12
87-M.CONVALESCENCE ET DE REPOS13 LA BOUILLADISSE
87-CLINIQUE RESIDENCE DU PARC 13 MARSEILLE
89-CLINIQUE SAUVEGARDE 13 MARSEILLE
91-CLINIQUE DE LA RENAISSANCE 13 MARSEILLE
92-C.CONVALESCENCE SPECIALISE 13 AIX EN PROVENCE
92-CLINIQUE CELONY "Les Feuillades" 13 SALON DE PROVENCE
93-HOPITAL MONTPERRIN 13 AIX EN PROVENCE
97-CLINIQUE MARIGNANE 13 MARIGNANE
98-CLINIQUE BOUCHARD 13 MARSEILLE
99-CLINIQUE BEAUREGARD 13 MARSEILLE
99-HOPITAL LAVERAN 13 MARSEILLE
99-MAISON RETRAITE ST TRONC 13 MARSEILLE
99-CLINIQUE CASAMENCE 13 AUBAGNE
99-HOPITAL CONCEPTION 13 MARSEILLE
99-HOPITAL NORD MARSEILLE 13 MARSEILLE
00-HOPITAL/CONCEPT 13 MARSEILLE
00-HOPITAL/LA CIOTAT 13 LA CIOTAT
00-HOPITAL MONTPERRIN 13 AIX EN PROVENCE
00-HOPITAL LAVERAN 13 MARSEILLE
00-HOPITAL MONT PERRIN 13 AIX EN PROVENCE
00-GARLABAU/HOPITAL 13 MARSEILLE
00-HOPITAL LA TIMONE 13 MARSEILLE
00-HOPITAL NORD 13 MARSEILLE
01-RPA DAVID 13 CARNAUX
98-C.H.U 14 CAEN
01-HOPITAL CLEMENCEAU 14 CAEN
89-HOPITAL DE ROCHEFORT 17 ROCHEFORT
99-MAISON DE RETRAITE 17 MARLANGE
00-HOPITAL ST LOUIS 17 SAINTES
00-CLINIQUE RICHELIEU 17 SAINTES
99-MAISON DE RETRAITE 19 LANMARY
01-CLINIQUE DES CEDRES 19
89-CLINIQUE FRANCHEVILLE 24 PERIGUEUX
99-LYCEE HOTELIER CAPELLE 24 BERGERAC
00-MAISON DE RETRAITE 24 BEAUMONT
97-HOPITAL LE NEU BOURG 27 LE NEUBOURG
99-CENTRE HOSPITALIER BERNAY 27 BERNAY
97-HOPITAL SAINT BRICE 28
90-HOPITAL DE LANDERNEAU 29 LANDERNEAU
99-C.H.R 29 QUIMPER
90-HOPITAL C.H.R NIMES 30 NIMES
93-CLINIQUE BONNEFOU 30 ALES
99-HOPITAL ALES 30 ALES
99-HOPITAL/PSYCHIATRIE/ALES 30 ALES
01-MAISON RETRAITE VIALAS 30
01-HOPITAL NIMES 30 NIMES
99-THERMES DE LONDEVIELLE 31 LONDEVIELLE
00-HOPITAL 31 LEYME
00-HOPITAL 31 PURPAN
00-HOPITAL DE LA MERE 31
01-HOPITAL DE RONGUEIL 31
01-CLINIQUE JERDECH 31
01-HOPITAL DE PURPAN 31 TOULOUSE
01-HOPITAL 31 CAHORS
01-RPA 31 VILLEMUR
01-THERMES 31 AMELIE LES BAINS
02-MAISON RETRAITE DE LUCHON 31 LUCHON
99-C.H.U 33 BORDEAUX
99-C. REEDUCATION Grds CHENES 33
99-C.H 33 STE FOY LA GRANDE
00-HOPITAL JOUR POUR ENFANTS 33 BORDEAUX
00-HOPITAL ST ANDRE 33
00-HOPITAL 33 BLAYE
00-CLINIQUE THIERS 33 BORDEAUX
00-LA POMME BLEU/HOPITAL 33 BORDEAUX
00-MAISON DE RETRAITE 33 PESSAC
00-R.P.A A. FAULAT 33
85-CHR HOPITAL ST CHARLES 34 MONTPELLIER
Année/Chantier CP Ville86-M. CONVALESCENCE ET DE REPOS 34 LA GRANDE MOTTE
89-MATERNITE 34 MONTPELLIER
91-C.H.R MONTPELLIER 34 MONTPELLIER
91-CENTRE HOSPITALIER DE SETE 34 SETE
91-HOPITAL DE CLERMONT 34 HERAULT
99-CENTRE MEDICAL 34 LA GRANDE MOTTE
00-HOPITAL 34 UZES
01-MAISON RETRAITE FONTCAUDE 34
99-C.H.U BRETONNEAU 37 TOURS
02-C.H.U TROUSSEAU 37 TOURS
98-REHABILITAION M. DE RETRAITE 38 GRENOBLE
99-THERMES DE TERCY LES BAINS 40
99-HOPITAL 40 DAX
00-CENTRE GERIATRIE LANOT 40
00-HOPITAL/ROANNE 42 ROANNE
98-CENTRE MEDICAL 44 BOUGENAIS
98-MAISON RETRAITE LA BAULE 44 NANTES
99-C. DE TRANSFUSION SANGUINE 44 NANTES
04-C.H MARIGOT 44 NANTES
01-C.H.R. 45 ORLEANS
00-HOPITAL 46 DE LEYME
97-HOPITAL 47 MARMANDE
99-MAISON DE RETRAITE 47 FUMEL
00-MAISON DE RETRAITE 47 CASTELMORON
00-LES TERMES/BAGNOL LES BAINS 48 BAGNOL LES BAINS
99-C.H LOUIS PASTEUR PHARMACIE 50
97-TRAVAUX HOPITAL MANCHESTER 51 CHARLEVILLE MEZIERES
98-MAISON DE RETRAITE 52 ARC EN BARROIS
88-CLINIQUE DE LA PROVIDENCE 53 MAYENNE
98-CENTRE MEDICO PSYCHO 54 LAXOU
00-MATERNITE/NANCY 54 NANCY
01-CLINIQUE GENTILLY 54 MAXEVILLE
00-HOPITAL/FAINS VEEL 55 FAINS VEEL BAR LE DUC
99-HOPITAL SAINT AVE 56
86-HOPITAL DE BITCHE 57 BITCHE
86-HOPITAL BELLE ISLE 57 METZ
92-HOPITAL DE BITCHE 57 BITCHE
92-HOPITAL ST JOSEPH 57 BITCHE
98-MAISON DE RETRAITE TOUL 57 TOUL
86-CENTRE HOSPITALIER DE DECIZE 58 DECIZE
87-HOPITAL LA FRATERNITE 59 ROUBAIX
90-CLINIQUE ST JEAN 59 ROUBAIX
97-HOPITAL 59 SOMAIN
97-MATERNITE CLINIQUE DES BOIS 59
98-HOPITAL LA BASSE 59
98-M. DE RETRAITE DE BOURBOURG 59
98-MAISON DE RETRAITE MAING 59
99-MAISON ACCUEIL SPECIALISEE 59
99-HOPITAL/BOULOGNE SUR MER 59 BOULOGNE
99-MAISON E RETRAITE/CAUDRY 59 CAUDRY
99-CLINIQUE TESSIER 59
99-HOPITAL CHARLON 59 HESNIN-BEAUMONT
00-MAISON DE RETRAITE 59 ROUBAIX
00-C.H/ROUBAIX 59 ROUBAIX
00-C.H MARITIME 59
01-HOSPICES GANTOIS 59
01-CH DOUAI 59 DOUAI
99-PAVILLON HOPITAL 61 SEES
84-C. HOSPITALIER D. SCHAFFNER 62 LENS
98-CLINIQUE SAINTE BARBE 62
98-C.H.B 62 LENS
99-C.H BETHUNE 62 BETHUNE
99-C.H RANG DU FLERS 62 BERCK
99-C.H ELIOMARIN/BERCK 62 BERCK
00-HOSPICE DE CARVIN 62 CARVIN
01-C.H/BEUVRY 62
01-C.H.S/RANG DU FIERS 62
01-C.H.A.M : BERCK 62 BERCK
99-HOPITAL MARIN 64 HENDAYE
99-C.H 64 HENDAYE
99-HOPITAL SAINT LEON 64 BAYONNE
97-THERMES 65 CAUTERET
99-THERMES DE CAP VERN 65
85-C. THERAPEUT. LES FONTANILLES 66 MAUREILLAS
99-THERMES D'AUDIE 66
86-HOPITAL STRAUSS 67 STRASBOURG
Année/Chantier CP Ville87-HOPITAL RURAL 67 BRUMATH
97-MAISON RETRAITE 67 STRASBOURG
98-MAISON DE RETRAITE 67 LINGOLSMEIN
98-MAISON RETRAITE 67 SCMILTIGHEIM
00-ETS THERMAL 67 NIEDERBRONN LES BAINS
01-HOPITAL/BISCHEIM 67 BISCHHEIM
87-CENTRE HOSPITALIER 68 ROUFFACH
87-HOPITAL PASTEUR 68 COLMAR
87-CLINIQUE DU DIACONAT 68 MULHOUSE
92-HOPITAL LE PARC 68 COLMAR
98-MAISON DE RETRAITE 68 COLMAR
98-MAISON DE RETRAITE 68 STRASBOURG
98-CLIN. PROTESTANTE DE CALUIRE 69 LYON
98-MAISON DE RETRAITE 69 LYON
99-RPA BEAUREGARD 69 LYON
00-CLINIQUE DU TOUKIN 69 LYON
00-HOPITAL LYONNAIS 69 LYON
99-M. DE RETRAITE DE PESMES 70 PESMES
00-HOPITAL DE JOUR/VESOUL 70 VESOUL
84-CENTRE HOSPITALIER DE MACON 71 MACON
97-M. DE RETRAITE ST NICOLAS 72
98-R.P.A/TESSEY LA MADELEINE 72
05-RPA/GD LUCE 72 LUCE
97-HOPITAL BRETONNEAU 75 PARIS
99-PITIE/SALPETRIERE 75 PITIE SALPETRIERE
99-HOPITAL NECKER 75 PARIS
00-HOPITAL PITIE 75 PARIS
00-HOPITAL QUINZE VINGT 75 PARIS
86-CENTRE HOSPITALIER DE DIEPPE 76 DIEPPE
87-HOPITAL "CHTEAU MICHEL" 76 DIEPPE
89-HOPITAL DE ST VALERY EN CAUX 76 ST VALERY EN CAUX
97-ECFS HOPITAL PSY/JEANNET 76 LE HAVRE
97-MAISON DE RETRAITE/SANVIC 76 LE HAVRE
98-R.P.A 76 AUMALE
98-RENOVATION R.P.A SAINT-JEAN 76
99-PAVILLON SORET FLAUBERT 76 LE HAVRE
99-PSY JEANNET 76 LE HAVRE
99-RPA 76 ST ETIENNE DU ROUVRAY
00-CLINIQUE ST HILAIRE 76
00-RPA 76
01-HENRI DUNANT 76
01-CLINIQUE MATHILDE 76
97-HOPITAL VARENNES/JARCY 77 VARENNES
99-MAISON RETRAITE 77 CHTEAU LANDON
84-CLINIQUE DES FRANCISQUAINES 78 VERSAILLES
98-HOPITAL DE NIORT 79 NIORT
99-C.H NIORT 79 NIORT
99-C.H MARRAN 79
92-HOPITAL MAISON DE RETRAITE 81 GRAULHET
90-C. HOSPITALIER JEAN MARCEL 83 BRIGNOLES
93-HOPITAL RENE SABRAN 83 GIEN
93-HOPITAL RENE SABRAN 83 GIEN
99-HOPITAL DRAGUIGNAN 83 DRAGUIGNAN
99-MAISON DE RETRAITE 83 TOULON
99-HOPITAL FREJUS 83 FREJUS
00-RPA/HYERES/BEAU JOUR 83 HYERES
01-HENRI GUERIN 83 TOULON
97-C. HOSPITALIER HENRI DUNANT 84 AVIGNON
01-HOPITAL AVIGNON 84 AVIGNON
88-HOPITAL DES SABLES D'OLONNE 85 LES SABLES D'OLONNE
98-CENTRE HOSPITALIER 85 LUĂON
98-M. DE RETRAITE CHASSENEUIL 86 CHASSENEUIL
87-C. MOYENS ET LONGS SEJOURS 89 SENS
88-HOPITAL DE SENS 89 SENS
00-C.H.R 89 AUXERRE
03-RPA VERMIGLIO 89
92-C.H.S BARTHELEMY DURAND 91 ETAMPES
88-COMPLEXE SANITAIRE ET SOCIAL 92 CHATENAY MALABRY
94-CONST. BAT. HOPITAL CENTRAL 92
98-CLINIQUE LARCHET 92
99-HOPITAL MAX FOURESTIER 92
97-HOPITAL BONDY 93 BONDY
89-HOPITAL DU KREMLIN BICETRE 94 KREMLIN BICETRE
97-HOPITAL VALENTON 94 VALENTON
88-HOPITAL DE GONESSE 95 GONESSE
00-C.H SOISSON 02 SOISSON
Année/Chantier CP Ville88-CENTRE HOSPITALIER DE VICHY 03 VICHY
01-TERMES/DIGNES LES BAINS 04 DIGNES
99-HOPITAL DE GAP 05 GAP
00-MAISON RETRAITE/BRIANCON 05 BRIANCON
01-M.RETRAITE EMBRUN BRIANCON 05 BRIANCON
93-C.H.R.PASTEUR 06 NICE
98-CENTRE HOSPITALIER ANTIBES 06 ANTIBES
99-HOPITAL LENVAL 06 NICE
99-CHU L'ARCHET 06 NICE
99-HOPITAL DE GRASSE 06 GRASSE
99-CLINIQUE LE BELVEDERE 06 NICE
00-HOPITAL ST ANTOINE 06 NICE
01-HOPITAL ST -ROCH NICE 06 NICE
01-C.H.R PASTOR 06 NICE
02-CLINIQUE ZANOK 06 NICE
00-HOPITAL/AUBENAS 07 AUBENAS
86-C. READAPTATION FONCTION. 08 CHARLEVILLE MEZIERES
97-HOPITAL DE SEDAN 08 SEDAN
00-THERMES 09 AX LES THERMES
91-C.H. DE CARCASSONNE 11 CARCASSONNE
01-RPA/BEZIERS 11 BEZIERS
90-C.H.U TIMONE 13 MARSEILLE
01-HOPITAL LA CIOTAT 13 LA CIOTAT
99-CLINIQUE DU MAIL 17 LA ROCHELLE
00-EAUX THERMALES/ROCHEFORT 17 ROCHEFORT
93-C.H. PERREY-VAUCLUSE 26 MONTELIMAR
92-CLINIQUE LES CEDRES 31 TOULOUSE
93-HOPITAL DE BEZIERS 31 BEZIERS
01-HOPITAL 31 CAHORS
00-HOPITAL 40 DAX
97-HOPITAL ANGERS 49 ANGERS
02-LES PETITES SĆURS DES PAUVRES 51 REIMS
98-HOPITAL E VANNES 56 VANNES
91-CENTRE HOSPITALIER 58 DECIZE
93-CENTRE HOSPITALIER 58 DECIZE
97-HOPITAL HAZEBROUK 59 HAZEBROUK
97-HOPITAL LENS/BAT.CARDIOLOGIE 62 LENS
02-HOTEL ST-MARTIN 68 CULMAR
02-ECOLE D'INFIRMIERE 70 VESOUL
98-H. ANNECY NEUF 1200 LITS 74 ANNECY
98-HOPITAL 74 ST PIERRE D'ALBIGUY
-HOPITAL DE CHAMONIX 74 CHAMONIX
97-HOPITAL PITIE SALPETRIERE 75 PARIS
98-HOPITAL PITIE/SALPETRIERE 75 PARIS
99-HOPITAL TRAPPES 78 TRAPPES
93-HOPITAL DE FREJUS 83 FREJUS
99-HOPITAL BRIGNOLES 83 BRIGNOLES
00-HOPITAL ST TROPEZ 83 ST TROPEZ
00-MAISON RETRAITE/FREJUS 83 FREJUS
99-C.H POITIERS 86 POITIERS
89-HOPITAL D'EVRY 91 EVRY
91-HOPITAL VAUCLUSE 91 EPINAY SUR ORGE
91-HOPITAL NORD 92 VILLENEUVE LA GARENNE
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BIBLIOGRAPHIE : D.G.S. : Circulaire DGS/SD7A/S05C-DHOS/E4 n° 2002/243 du 22/04/2002 relative Ă la prĂ©vention du risque liĂ© aux lĂ©gionelles dans les Ă©tablissement de santĂ©.KIWA : Ătude KIWA - october 2001 / BTO 2001-170 Biomass Production Potential (BPP) of material in contact with treated water : method and significance.Nancy : Intermediary report n°1 - Nancy november 2001
Biofilm Formation potential of plastic pipe materials and effect on bacteriological quality of water.DGS : Liste des matériaux organiques ayant obtenu une attestation de Conformité Sanitaire. 30 septembre 2001