10 Girpi Info Qualite Eau

12
SANTÉ PUBLIQUE pour la qualitĂ© de l’eau, GIRPI joue la transparence flash Rue Robert Ancel - BP 36 - 76700 Harfleur - France - TĂ©l : 02 32 79 60 00 - Fax : 02 32 79 60 27 - girpi.fr Comme tous les nouveaux matĂ©riaux de synthĂšse, le C-PVC est soumis Ă  des tests rigoureux pour l’obtention de l’A.C.S. (Attestation de ConformitĂ© Sanitaire). Les rĂ©sultats plus que probants pour satisfaire Ă  ces A.C.S., et les trĂšs nombreuses rĂ©fĂ©rences d’applications confirment les qualitĂ©s rĂ©elles du C-PVC, donc du HTA Âź . RĂ©cemment, la DGS (Direction GĂ©nĂ©rale de la SantĂ©) a souhaitĂ© Ă©tendre les ACS sur les assemblages constitutifs des rĂ©seaux en PVC et C-PVC. Ces assemblages nĂ©cessitent l’emploi de polymĂšre de soudure (communĂ©ment appelĂ©s “colles”). ACS. LA DÉFINITION ATTESTATION DE CONFORMITÉ SANITAIRE Le transport des fluides Que deviendrait cette fonction si son exercice risquait de provoquer la dĂ©gradation ou l’altĂ©ration de la nature mĂȘme des fluides transportĂ©s. Le respect de l’intĂ©gritĂ© de ces fluides dans les systĂšmes de rĂ©seaux conçus par GIRPI est donc un impĂ©ratif majeur. Ce respect est d’autant plus incontour- nable lorsqu’il s’applique Ă  la puretĂ© et Ă  la qualitĂ© de l’eau, Ă©lĂ©ment fonda- mental de la vie. A fortiori lorsque cette eau est destinĂ©e Ă  la consommation humaine. Par sa neutralitĂ©, son inertie et sa rĂ©sistance Ă  tous types d’agressions, le C-PVC, composant du HTA Âź a fait la preuve depuis des annĂ©es, de son efficacitĂ© pour prĂ©server et garantir la qualitĂ© de l’eau. Partenaire actif de la sĂ©curitĂ© par la fiabilitĂ© de ses produits, GIRPI se devait de consacrer un numĂ©ro spĂ©cial aux diffĂ©rentes Ă©tudes menĂ©es sur les Ă©lĂ©ments constitutifs des rĂ©seaux en C-PVC. Des observations, des commentaires, des analyses et des rĂ©sultats qui tĂ©moignent aussi du respect de l’en- gagement total de GIRPI pour mĂ©riter votre confiance. SpĂ©cial qualitĂ© de l’eau Sommaire TEST IN VITRO/ TESTS IN SITU, LA VÉRITÉ . p 2 ACS, LE VISA INDISPENSABLE . . . . . . . . p 2 ECOSSE : LE HTA Âź TESTÉ PAR LE WRC . . . p 3 “NOUVEAU MATÉRIAUX” PETIT RAPPEL . p 3 KIWA, LE RAPPORT INCONTESTABLE . . . . p 4 ESSAIS KIWA, LA SYNTHÈSE . . . . . . . . . .p4 ATTESTATIONS ET GARANTIES DU HTA Âź . . p 5 DYALISE, LA COMPATIBILITÉ DU HTA Âź . . p 6 LEGIONNELLOSE, DGS : LA DERNIÈRE CIRCULAIRE . . . . . . . . . . p 7-8 NATURE DES RÉSEAUX : QUE CHOISIR . . .p 9 SANTÉ PUBLIQUE :CONFIANCE À GIRPI p 10-11 SÉCURITÉ : LA RÉPONSE GIRPI . . . . . . p 12 La sĂ©curitĂ© de vos rĂ©seaux Dans un environnement de plus en plus menacĂ©, l’eau, Ă©lĂ©ment essentiel de la vie est un enjeu capital. Contre les agressions de toutes natures, la prĂ©servation de la qualitĂ© de l’eau devient pour tous une prioritĂ© absolue. Une exigence d’autant plus forte lorsque cela concerne des Ă©tablissements de santĂ©, des Ă©tablissements recevant du public, des logements, c’est-Ă -dire nous. Pour GIRPI, la qualitĂ© de l’eau dĂ©pend aussi de la qualitĂ© des rĂ©seaux. Une Ă©vidence trop souvent occultĂ©e, sur laquelle GIRPI tĂ©moigne de son engagement constant et de sa fiabilitĂ©. L’Attestation de ConformitĂ© Sanitaire permet de prouver : ‱ la conformitĂ© de la formulation des matĂ©riaux aux listes positives de rĂ©fĂ©rence ‱ les rĂ©sultats des essais de migration aux critĂšres de qualitĂ© dĂ©finis dans les dĂ©crets L’arrĂȘtĂ© du 29 mai 1997, relatif aux matĂ©riaux et objets utilisĂ©s dans les ins- tallations fixes de distribution d’eau destinĂ©es Ă  la consommation humaine (modifiĂ© par les arrĂȘtĂ©s du 24 juin 1998 LE C-PVC SOUMIS AUX TESTS OBJECTIVITÉ REQUISE L’objectif premier est de s’assurer que, dans des conditions rĂ©elles d’utilisation, les populations ne sont pas exposĂ©es Ă  des risques. GIRPI se place donc en partenaire actif dans le cadre des Ă©tudes prĂ©- normatives des protocoles d’essais des ACS pour les polymĂšres de soudure. Une dĂ©marche qui se situe dans le droit fil de l’engagement de GIRPI, pour la qualitĂ© Ă  tous les niveaux : produits, fluides, informations et examens techniques. Dans la quĂȘte de la vĂ©ritĂ©, c’est une simple question de bon sens et d’honnĂȘtetĂ©. et du 13 janvier 2000), demande que les fabricants tiennent Ă  la disposition du Ministre chargĂ© de la SantĂ©, les informations permettant de vĂ©rifier que ces matĂ©riaux, lorsqu’ils sont utilisĂ©s dans des conditions normales, ne sont pas susceptibles de dĂ©grader la qualitĂ© de l’eau : ‱ soit en leur confĂ©rant un caractĂšre nocif pour la santĂ© ‱ soit en modifiant leurs propriĂ©tĂ©s organoleptiques, physiques, chimiques et microbiologiques.

description

GIRPI Info sur la qualité de l'eau dans les réseaux d'eau chaude et froide sanitaire.

Transcript of 10 Girpi Info Qualite Eau

Page 1: 10 Girpi Info Qualite Eau

SANTÉ PUBLIQUEpour la qualitĂ© de l’eau,GIRPI joue la transparence

flashRue Robert Ancel - BP 36 - 76700 Harfleur - France - TĂ©l : 02 32 79 60 00 - Fax : 02 32 79 60 27 - girpi.fr

Comme tous les nouveaux matĂ©riaux de synthĂšse, le C-PVC est soumis Ă  des testsrigoureux pour l’obtention de l’A.C.S. (Attestation de ConformitĂ© Sanitaire). LesrĂ©sultats plus que probants pour satisfaire Ă  ces A.C.S., et les trĂšs nombreusesrĂ©fĂ©rences d’applications confirment les qualitĂ©s rĂ©elles du C-PVC, donc du HTAÂź.

RĂ©cemment, la DGS (Direction GĂ©nĂ©rale de la SantĂ©) a souhaitĂ© Ă©tendre les ACSsur les assemblages constitutifs des rĂ©seaux en PVC et C-PVC. Ces assemblagesnĂ©cessitent l’emploi de polymĂšre de soudure (communĂ©ment appelĂ©s “colles”).

ACS. LA DÉFINITIONATTESTATION DE CONFORMITÉ SANITAIRE

Le transport des fluidesQue deviendrait cette fonction si sonexercice risquait de provoquer ladĂ©gradation ou l’altĂ©ration de la naturemĂȘme des fluides transportĂ©s.Le respect de l’intĂ©gritĂ© de ces fluidesdans les systĂšmes de rĂ©seaux conçuspar GIRPI est donc un impĂ©ratif majeur.Ce respect est d’autant plus incontour-nable lorsqu’il s’applique Ă  la puretĂ©et Ă  la qualitĂ© de l’eau, Ă©lĂ©ment fonda-mental de la vie. A fortiori lorsquecette eau est destinĂ©e Ă  la consommationhumaine.Par sa neutralitĂ©, son inertie et sarĂ©sistance Ă  tous types d’agressions,le C-PVC, composant du HTAÂź a fait lapreuve depuis des annĂ©es, de sonefficacitĂ© pour prĂ©server et garantirla qualitĂ© de l’eau. Partenaire actif de la sĂ©curitĂ© par lafiabilitĂ© de ses produits, GIRPI se devaitde consacrer un numĂ©ro spĂ©cial auxdiffĂ©rentes Ă©tudes menĂ©es sur les Ă©lĂ©mentsconstitutifs des rĂ©seaux en C-PVC.Des observations, des commentaires,des analyses et des rĂ©sultats quitĂ©moignent aussi du respect de l’en-gagement total de GIRPI pour mĂ©ritervotre confiance.

Spécial

qualitĂ© de l’eau

SommaireTEST IN VITRO/ TESTS IN SITU, LA VÉRITÉ . p 2

ACS, LE VISA INDISPENSABLE . . . . . . . . p 2

ECOSSE : LE HTA¼ TESTÉ PAR LE WRC . . . p 3

“NOUVEAU MATÉRIAUX” PETIT RAPPEL . p 3

KIWA, LE RAPPORT INCONTESTABLE . . . . p 4

ESSAIS KIWA, LA SYNTHÈSE . . . . . . . . . .p 4

ATTESTATIONS ET GARANTIES DU HTAÂź . . p 5

DYALISE, LA COMPATIBILITÉ DU HTA¼ . . p 6

LEGIONNELLOSE, DGS :LA DERNIÈRE CIRCULAIRE . . . . . . . . . . p 7-8

NATURE DES RÉSEAUX : QUE CHOISIR . . .p 9

SANTÉ PUBLIQUE :CONFIANCE À GIRPI p 10-11

SÉCURITÉ : LA RÉPONSE GIRPI . . . . . . p 12

La sécurité de vos réseaux

Dans un environnement de plus en plus menacĂ©, l’eau, Ă©lĂ©ment essentiel de la vie est unenjeu capital. Contre les agressions de toutes natures, la prĂ©servation de la qualitĂ© del’eau devient pour tous une prioritĂ© absolue.Une exigence d’autant plus forte lorsque cela concerne des Ă©tablissements de santĂ©, desĂ©tablissements recevant du public, des logements, c’est-Ă -dire nous.Pour GIRPI, la qualitĂ© de l’eau dĂ©pend aussi de la qualitĂ© des rĂ©seaux.Une Ă©vidence trop souvent occultĂ©e, sur laquelle GIRPI tĂ©moigne de son engagementconstant et de sa fiabilitĂ©.

L’Attestation de ConformitĂ© Sanitairepermet de prouver :

‱ la conformitĂ© de la formulationdes matĂ©riaux aux listes positivesde rĂ©fĂ©rence‱ les rĂ©sultats des essais demigration aux critĂšres de qualitĂ©dĂ©finis dans les dĂ©crets

L’arrĂȘtĂ© du 29 mai 1997, relatif auxmatĂ©riaux et objets utilisĂ©s dans les ins-tallations fixes de distribution d’eaudestinĂ©es Ă  la consommation humaine(modifiĂ© par les arrĂȘtĂ©s du 24 juin 1998

LE C-PVC SOUMIS AUX TESTS OBJECTIVITÉ REQUISEL’objectif premier est de s’assurerque, dans des conditions rĂ©ellesd’utilisation, les populations ne sontpas exposĂ©es Ă  des risques.

GIRPI se place donc en partenaireactif dans le cadre des Ă©tudes prĂ©-normatives des protocoles d’essaisdes ACS pour les polymĂšres desoudure.

Une dĂ©marche qui se situe dans ledroit fil de l’engagement de GIRPI,pour la qualitĂ© Ă  tous les niveaux :produits, fluides, informations etexamens techniques.

Dans la quĂȘte de la vĂ©ri tĂ©,c’est une simple question de bonsens et d’honnĂȘtetĂ©.

et du 13 janvier 2000), demande que lesfabricants tiennent Ă  la disposition duMinistre chargĂ© de la SantĂ©, les informationspermettant de vĂ©rifier que ces matĂ©riaux,lorsqu’ils sont utilisĂ©s dans des conditionsnormales, ne sont pas susceptibles dedĂ©grader la qualitĂ© de l’eau :

‱ soit en leur confĂ©rant un caractĂšrenocif pour la santé‹ soit en modifiant leurs propriĂ©tĂ©sorganoleptiques, physiques, chimiqueset microbiologiques.

Page 2: 10 Girpi Info Qualite Eau

GIRPI : LA SÉCURITÉ, EN TOUTE TRANSPARENCERELARGAGE DES SOLVANTS : TESTS IN VITRO, TESTS IN SITU. OÙ EST LA VÉRITÉ ?

Au phĂ©nomĂšne de “relargage” constatĂ© lors de premierstests “in vitro”, il convient d’apporter toutes les prĂ©cisionsnĂ©cessaires et informations complĂ©mentaires pour uneanalyse sincĂšre, objective et concrĂšte.En considĂ©rant par ailleurs que “ces canalisations (en C-PVC),par leur rĂ©sistance Ă  l’entartrage et Ă  la corrosion, et leur

facilitĂ© de nettoyage, sont conseillĂ©es pour la lutte contrele dĂ©veloppement de la lĂ©gionellose”.En effet, non seulement le tartre et la corrosion sont desfacteurs aggravants par le dĂ©veloppement des lĂ©gionnella,mais en plus ils limitent considĂ©rablement l’efficacitĂ© destraitements prĂ©ventifs et curatifs contre la lĂ©gionellose.

In vitro, pour la reproductibilitĂ© d’un modĂšle sta-tique, pour l’analyse du relargage des solvants.Pour des raisons pratiques, il est toujours compliquĂ© et onĂ©reuxde procĂ©der Ă  des essais de certifications reproductibles, corres-pondant aux conditions rĂ©elles d’utilisation.Donc, pour plus de souplesse, de rapiditĂ© et pour tenir compted’un moindre coĂ»t, prioritĂ© a Ă©tĂ© donnĂ©e Ă  des tests in vitro. Cestests devant toutefois satisfaire Ă  la condition de “fiabilitĂ© dereproductibilitĂ©â€.Des premiers essais ont donc Ă©tĂ© effectuĂ©s en laboratoi-re (essais “en statique” avec 4 collages sur 1 mĂštre,dans un rĂ©cipient d’eau stagnante). Mais il reste Ă  dĂ©finir la corrĂ©lation entre les rĂ©sultatsde ces tests in vitro et la rĂ©alitĂ©.

In situ, pour la rĂ©alitĂ© d’un modĂšle dynamiquePartout oĂč il y obligation de prĂ©caution, tant pour la santĂ© que pourla vie, les tests sont effectuĂ©s grandeur nature, en conditions rĂ©ellesd’application et d’utilisation (automobile, aĂ©ronautique, trans-ports en commun, pharmacologie, systĂšmes de protection et desĂ©curitĂ©, etc).La logique et l’honnĂȘtetĂ© exigent donc que pour les “colles” ou “poly-mĂšres de soudure”, des tests soient effectuĂ©s en conditions rĂ©elles. Pour GIRPI aussi, les tests les plus prĂ©cis sont bien Ă©videmmentceux qui ont Ă©tĂ© effectuĂ©s sur des installations dĂ©jĂ  enplace, et avec des conditions d’utilisation rĂ©elles.Dans ce cas, pas de place Ă  l’interprĂ©tation ou l’extrapolation,puisqu’il s’agit de rĂ©seaux fonctionnant en permanence etdepuis plusieurs annĂ©es.

Pour GIRPI, la vĂ©ritĂ© grandeur natureGIRPI a effectuĂ© Ă  des prĂ©lĂšvements sur des rĂ©seaux dĂ©jĂ  enplace, de 2 semaines Ă  11 ans d’ñge. Ceci pour une reprĂ©senta-tivitĂ© crĂ©dible (2 semaines, 1 an, 4 ans, 9 ans, 11 ans).L’analyse des eaux ainsi prĂ©levĂ©es a Ă©tĂ© confiĂ©e Ă  l’un des troislaboratoires français habilitĂ©s Ă  dĂ©livrer des ACS : le laboratoirede la Ville de Paris.RĂ©sultat : des quantitĂ©s de solvants systĂ©matiquementconformes aux exigences sanitaires et dans la plupart des casinfĂ©rieures aux seuils de dĂ©tectabilitĂ© ! !En fait, dans la rĂ©alitĂ© d’un circuit dynamique, les renouvelle-ments rĂ©guliers d’eau occasionnĂ©s par l’utilisation du rĂ©seaufont que les teneurs Ă©ventuelles en solvant par relargagedeviennent nĂ©gligeables : - CQFD -

POUR UNE PLUS GRANDE OBJECTIVITÉ :DES TESTS IN SITU

Les canalisations PVC et C-PVC de GIRPI assemblĂ©es par raccords collĂ©s sont opĂ©rationnelsdepuis plus de 40 ans, sans jamais gĂ©nĂ©rer la moindre remarque sur la qualitĂ© de l’eau.Le HTA de GIRPI Ă©quipe des centaines d’hĂŽpitaux, d’hĂŽtels et d’immeubles et continuent d’ĂȘtre appli-quĂ©s actuellement sur de nombreux chantiers (400 rĂ©fĂ©rences d’hĂŽpitaux ces cinq derniĂšres annĂ©es).En prĂ©sence des experts de l’AFSSA, de la DGS, de trois laboratoires agrĂ©Ă©s (Paris - CRECEP, Nancy,Pasteur Ă  Lille) des responsables du CSTB et des reprĂ©sentants des syndicats professionnels (STR-PVC et SFCA) il a donc Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© de procĂ©der Ă  des analyses plus poussĂ©es et pluscomplĂštes, axĂ©es autour de trois rĂ©solutions :

1) Approfondir le protocole d’essai et effectuer de nouveaux tests afin d’étendre lechamp d’investigations et de connaissances2) Mener de nouvelles Ă©tudes sur les rĂ©actions entre les Methyl-cĂ©tones contenuedans certaines colles et les dĂ©sinfectants Ă  base de chlore.(N.B. : Sur ce point, Girpi n’est pas concernĂ©, car les colles fournies par GIRPIne contiennent pas de Methyl-cĂ©tones).3) Suivre un chantier et mesurer la qualitĂ© organoleptique ainsi que la concentra-tion en solvant de l’eau au fur et Ă  mesure de l’avancement du chantier, oĂč des prĂ©lĂšvementsd’eau seront effectuĂ©s au cours des diffĂ©rentes Ă©tapes de pose.

Les installations seront mises en Ɠuvre dans les prochains mois et les rĂ©sultats des analyses feront l’objetd’un communiquĂ© spĂ©cial dans toute la profession, ainsi que dans les secteurs d’application intĂ©ressĂ©s.

2

ACS. LE VISA INDISPENSABLE, MAIS PAS POUR TOUT LE MONDE...AprĂšs avoir dĂ©fini les Attestations de ConformitĂ© Sanitaire(ACS) sur les tubes et les raccords en PVC et C-PVC, laDirection GĂ©nĂ©rale de la SantĂ© (DGS) effectue les mĂȘmesdĂ©marches sur les polymĂšres de soudure - ou colles - servant Ă l’assemblage des canalisations.Le domaine d’application des ACS se trouve donc Ă©largi sur l’ensemble des Ă©lĂ©mentsconstitutifs d’un rĂ©seau en C-PVC, sans aucune exception.Puisqu’un arrĂȘtĂ© rend donc obligatoire le contrĂŽle d’inertie de tous les matĂ©riaux visĂ  vis de l’eau potable, il serait bon qu’effectivement tous les matĂ©riaux soientpris en considĂ©ration.Dans un constant souci de sĂ©curitĂ© - valeur fondamentale de la devise de l’entreprise -GIRPI s’associe pleinement Ă  cette dĂ©marche dont l’objectif premier est d’apporter lapreuve indiscutable d’une totale garantie sanitaire.

SÉCURITÉ SANITAIRE

DEUX POIDS, DEUX MESURES ?Cependant, il est Ă  noter qu’à ce jour, les matĂ©riaux mĂ©talliques (acier et cuivre) sontexempts d’ACS, sous prĂ©texte qu’ils sont considĂ©rĂ©s comme des matĂ©riaux dits “tradi-tionnels” *. On peut alors s’interroger sur la vraie raison de cette exemption. Le plombn’était-il pas lui aussi, pendant des decennies, un matĂ©riau traditionnel Ă©quipant desrĂ©seaux ? Ne serait-il pas souhaitable et Ă©quitable de procĂ©der Ă  des analyses objectives et com-paratives complĂštes, prenant en compte tous les matĂ©riaux pouvant ĂȘtre utilisĂ©s dansdes circuits de distribution d’eau ?Quand on connait les inconvĂ©nients liĂ©s Ă  certains rĂ©seaux mĂ©talliques**, en matiĂš-re de prolifĂ©ration microbienne, de largages de particules d’oxydation, de calcaire oude boues, on pourrait exiger une rĂ©elle Ă©quitĂ© dans l’étude et l’application des ACS.

* traditionnels : PVC / C-PVC depuis plus de 30 ans, quelle mesure de traditionnalisme ?** (voir prĂ©cĂ©dentes Ă©ditions de Girpi Infos “spĂ©cial lĂ©gionnelose” et “spĂ©cial stations thermales”).

GIRPI a effectué des prélÚvements dans desétablissements recevant du public.

L’analyse des eaux prĂ©levĂ©es a Ă©tĂ© confiĂ©eau laboratoire de la ville de Paris (CRECEP).

Il a Ă©tĂ© constatĂ© des teneurs en solvantssystĂ©matiquement conformes auxexigences sanitaires et mĂȘme, dansla plupart des cas, infĂ©rieursau seuil de dĂ©tactabilitĂ©.

CONTRÔLES ET ANALYSESDANS CINQ ÉTABLISSEMENTS PUBLICS

Page 3: 10 Girpi Info Qualite Eau

LE HTAÂź EN TOUTE CONFIANCE

3

UNE COMPARAISON S’IMPOSEPour jouer Ă  fond la transparence, ilserait donc honnĂȘte de parler d’autrestypes de relargages dus Ă  la naturemĂȘme des rĂ©seaux mĂ©talliques.Pourquoi les passer sous silence, sousprĂ©texte qu’ils sont dits “traditionnels”.En toute objectivitĂ©, les professionnelssavent pertinemment que les circuitsmĂ©talliques provoquent des phĂ©no-mĂšnes de relargage.Que ce soient particules mĂ©talliquesaprĂšs mise en Ɠuvre, fragments de

calcaire, rĂ©sidus de corrosion et oxy-dation, boues diverses, rĂ©sultant destraitements contre la prolifĂ©rationmicrobienne, pour ce type de rĂ©seaux,le risque est loin d’ĂȘtre “risque zĂ©ro”.Si aujourd’hui, depuis plus d’unevingtaine d’annĂ©es, le C-PVC Ă©quipede trĂšs nombreux Ă©tablissements,mĂȘme trĂšs sensibles, c’est bien enraison de leur qualitĂ© et de leurinertie.

ÉCOSSE : LE WRC SOUMET LE HTA¼

À SES TESTS RIGOUREUX

“FEU VERT POUR LES HÔPITAUX”L’application du HTA en Ecosse dansle secteur hospitalier a donnĂ© lieu Ă un examen trĂšs rigoureux du pro-duit et de ses composants, notam-ment les polymĂšres de soudure etleur solvant.Le laboratoire WRC reconnu en Europepour sa rigueur et son impartialitĂ©, aĂ©tĂ© mandatĂ© par le National HealthSecurity pour dĂ©terminer si le HTAÂź

pouvait ĂȘtre utilisĂ© dans les Ă©tablisse-ments hospitaliers.

Au terme de cette Ă©tude (septembre 99)le W.R.C. a confirmĂ© au N.H.S. Ă©cossaisque le systĂšme HTAÂź assemblĂ© parcollage ne prĂ©sentait aucun risquepour la santĂ© et pouvait ĂȘtre posĂ©dans les Ă©tablissements de soins.Cette Ă©tude particuliĂšrement rigoureusea dĂ©montrĂ© de façon indiscutable lephĂ©nomĂšne de dĂ©croissance desconcentrations en solvants. Ceci dĂ©montre, s’il en Ă©tait encorebesoin que, le systĂšme HTAÂź estconforme aux exigences sanitaires.

ASSEMBLAGE DU HTAÂź

NOUVEAUX ESSAIS DE MIGRATION

La prise en compte des risques de contamination des rĂ©seaux, notamment par leslĂ©gionelles, le traitement rĂ©gulier de ces rĂ©seaux au chlore impliquent une mise Ă l’épreuve des matĂ©riaux.Le chlore pourrait provoquer diverses rĂ©actions nuisibles avec les Methyl-cĂ©tonesde certaines colles, formant alors du chloroforme.Une Ă©tude est actuellement en cours pour vĂ©rifier cette hypothĂšse.Mais de toutes façons, les polymĂšres de soudure Ă©tudiĂ©s et mis au point par GIRPIne contiennent pas de Methyl-cĂ©tones.Les composants de ces polymĂšres ont Ă©tĂ© dĂ©finis afin d’assurer autant la qualitĂ© etla rapiditĂ© de la “prise” aprĂšs application, que leur neutralitĂ© et leur inocuitĂ©, unefois la remise en eau rĂ©alisĂ©e.

PolymÚres de soudure GIRPI : efficacité et inocuité

PETIT RAPPELSUR LES “NOUVEAUX MATÉRIAUX”

Les canalisations plastiques en PVCrigide, assemblĂ©es au moyen decolles, sont utilisĂ©es depuis plus de50 ans en Europe et aux Etats-Unis.Durant les quinze derniĂšres annĂ©es,rien que sur le territoire français, desmilliers d’installations ont Ă©tĂ© rĂ©ali-sĂ©es Ă  ce jour. On peut considĂ©rer que statistique-ment, si ces rĂ©seaux avaient Ă©tĂ© Ă l’origine de dĂ©sordre, et ce, quellequ’en soit la nature (organoleptique,santĂ©, corrosion, etc), des critiquesauraient Ă©tĂ© Ă©mises par les utilisa-teurs et leur emploi aurait Ă©tĂ© stoppĂ©.Dans ce sens, il est intĂ©ressant denoter que trĂšs souvent, des directeurstechniques d’hĂŽpitaux ou de chaĂźneshĂŽteliĂšres reconduisent l’utilisation derĂ©seaux ECFS en PVC et C-PVC collĂ©sdans le cadre de l’extension de bĂąti-ments existants rĂ©alisĂ©s par tranchesĂ©talĂ©es parfois sur plusieurs annĂ©es.Le succĂšs commercial rencontrĂ© parles canalisations PVC et PVC-C collĂ©esrepose sur les qualitĂ©s intrinsĂšques deces polymĂšres par rapport auxmĂ©taux, voire Ă  certains autres matĂ©-riaux organiques.

Sans dresser une liste exhausti-ve de ces qualités, on pourranéanmoins citer les principales :

‱ une absence de corrosion,‱ u n e m o i n d r e t e n d a n c e à

l’entartrage,‱ une simplicitĂ© et une rapiditĂ©

d’installation,‱ une non permĂ©abilitĂ© Ă  l’oxygĂšne,‱ une trĂšs bonne rĂ©sistance au chlore.

Cette derniĂšre propriĂ©tĂ© revĂȘt aujour-d’hui une importance toute particuliĂšreavec le dĂ©veloppement des traitementsde dĂ©sinfection pratiquĂ©s dans le cadrede la lutte contre la lĂ©gionella.Ces traitements consistent la plupart dutemps Ă  injecter dans les rĂ©seaux dessolutions chlorĂ©es Ă  des concentrationscomprises entre 1 et 110 ppm selonles cas.Or, ce type de traitement n’est pas sanseffet sur les diffĂ©rents matĂ©riaux com-posant les rĂ©seaux de canalisations.L’action corrosive du chlore et des pro-duits organiques chlorĂ©s sur les mĂ©taux,y compris l’acier inoxydable, sur lesĂ©lastomĂšres et sur certains matĂ©riauxde synthĂšse est bien connue et Ă  faitl’objet de plusieurs Ă©tudes.En raison de leur excellente rĂ©sistanceaux eaux froides et chaudes chlorĂ©es,les PVC et C-PVC constituent une solutionperformante d’un point de vue techni-co-Ă©conomique pour rĂ©pondre demaniĂšre pertinente Ă  la problĂ©matiquede la dĂ©sinfection des rĂ©seaux ECS.

Page 4: 10 Girpi Info Qualite Eau

25 50 75 100 125

1000

500

1500

2000

Time (days)

Bio

film

(pg

AT

P/c

m2 ) 5

4

3

2

1

LE CUIVRE ET LE C-PVC TESTÉS RIGOUREUSEMENT PARLE “KIWA”, un rapport objectif et incontestable...

Prolifération MICRO biologique. Essais KIWA*: la synthÚseMICRO ORGANISMES ET BIOFILM

LA MÉTHODE

La multiplication des micro organismes dansl’eau destimĂ©e Ă  la consommation humaineest directement liĂ©e Ă  la formation du biofilm sur les parois des canalisations la vĂ©hi-culant. La limitation de la propagation de cesmicro organismes sera donc assujettie aumaintien d’une faible concentration en par-ticules biodĂ©gradables, pour Ă©viter de devoirtraiter l’eau avec des agents de dĂ©sinfectionqui contribuent Ă  dĂ©grader les qualitĂ©s orga-noleptiques de l’eau potable.Les essais rĂ©alisĂ©s par le KIWA sont desti-nĂ©s Ă  Ă©valuer l’aptitude d’un matĂ©riau Ă permettre le dĂ©veloppement d’un bio film,lequel bio film favorise la propagation des

4

micro organismes (notamment les lĂ©gio-nelles). L’évaluation de cette aptitude estbasĂ©e sur la notion de BPP (BiomassProduction Potentiel). Ce facteur a Ă©tĂ© dĂ©ve-loppĂ© par le Kiwa dans le cadre de l’EAS(European Approval Scheme) et de la CPDW(Construction Product in Contact withDrinkable Water Directive) et cette Ă©tudea Ă©tĂ© financĂ©e par l’Union EuropĂ©ennedans le cadre de l’harmonisation desmĂ©thodes d’évaluation.

* KIWAOrganisme certificateur officiel aux Pays Bas (corres-pond au CSTB en France)

L’évaluation de la B.P.P. (BiomassProduction Potential) est basĂ©e sur lamesure de la teneur en A.T.P. (AdĂ©nosine TriPhosphate), substance prĂ©sente dans tousles micro organismes vivants. La teneur enA.T.P. est mesurĂ©e dans le film prĂ©sent surle matĂ©riau et dans l’eau. L’étude a portĂ© sur une comparaison del’évolution de la B.P.P. entre diffĂ©rentsmatĂ©riaux.La mĂ©thode d’évaluation consistait en untest statique mais intĂ©grant une phasedynamique (avec un sous tirage simulantl’utilisation habituelle des installations :alternance de consommation et de pĂ©riodede stagnation).

La tempĂ©rature de l’eau est Ă  25°C. Il fautnoter que les essais ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©s sur desmatĂ©riaux “neufs” et les phĂ©nomĂšnes devieillissements n’ont pas Ă©tĂ© pris en comptedans l’évolution du B.P.P., alors que certainsparamĂštres ont certainement une influencenon nĂ©gligeable sur cette Ă©volution.

Les objectifs de cette Ă©tude sont triples :‱ comparaison des caractĂ©ristiques dedĂ©veloppement du film entre les matĂ©-riaux Ă©tudiĂ©s. ‱ dĂ©termination de l’effet de ces matĂ©-riaux sur la croissance de la lĂ©gionelle‱ validation des matĂ©riaux sur la base deleur aptitude Ă  promouvoir la croissance

PRINCIPALES CONCLUSIONS

La fin d’une idĂ©e reçueAprĂšs 40 jours, moins de biofilm avec le C-PVC qu’avec le cuivreLes courbes montrent que la formation du biofilm est moindre sur les tubes cuivre au dĂ©marrage. Mais trĂšs rapide-ment, cette diffĂ©rence s’attĂ©nue et les valeurs obtenues dans des rĂ©seaux cuivre ou C-PVC sont identiques aprĂšs 40jours.Les performances de dĂ©part par le C-PVC, peuvent s’expliquer comme Ă©tant principalement dues aux substances bio-dĂ©gradables prĂ©sentes sur le matĂ©riau avant le dĂ©marrage de l’essai. AprĂšs disparition de ces substances (consom-mĂ©es par les bactĂ©ries), les rĂ©sultats se stabilisent Ă  un niveau faible. Ainsi aprĂšs 40 jours, le comportement du C-PVCest nettement meilleur. A la fin du test (125 jours) la quantitĂ© de biofilm avec le cuivre est nettement plus Ă©levĂ©qu’avec le C-PVC (environ 500 pg ATP/cm2 contre 300 pg ATP/cm2 pour le C-PVC). De plus l’évolution avec le cuivreest croissante alors qu’il tend Ă  se stabiliser avec le C-PVC.

Tableau 1Symboles = ➀ verre / ➁ C-PVC / ⑱ cuivre / ➃ PP / ➄ PE-XFormation du biofilm sur des matĂ©riaux pendant incubation dans une eau biologiquementstable Ă  25°.NDLR : Dans un souci d’une meilleure lisibilitĂ© de ce graphique, nous sommes passĂ©s d’une Ă©chellesemi-logarithmique (dans l’étude du KIWA) Ă  une Ă©chelle linĂ©aire.

Source : Etude KIWA october 2001 / BTO 2001.170Biomass Production Potential (BPP) of materials in contact with treated water : method and significance.

Formation du biofilmPVC-C < Cuivre aprĂšs 40 jours

Construit-on un rĂ©seau d’eau pour 1 mois seulement ?

Il est vrai que le premier mois,la quantité de biofilm est plus élevée avec le C-PVC,

mais aprùs l’ordre s’inverse.

Page 5: 10 Girpi Info Qualite Eau

...mais, les facteurs aggravants sont avant tout,la corrosion et le tartre.

5

HTAÂź

ATTESTATIONS ET GARANTIESACS France (tubes) avis positif +

ACS France (colles) tests dynamiques en cours

Raport KIWA (Hollande) avis positif +

Attestation WRC (Ecosse) avis positif +

Anti corrosion qualité reconnue +

Faible adhérence du calcaire qualité reconnue +

Classement M1 ininflammable +

Agréé établissements de santé avis positif +

(hĂŽpitaux, cliniques, maisons de retraite)

Neutralité - inertie qualité reconnue +

Agréé stations thermales avis positif +

QUI PEUT EN DIRE AUTANT ?

Tubes et raccords HTAÂź de GIRPI

pour eau chaude et froidesous pression

Ils font une croixsur l’entartrage et

la corrosion

ANALYSE APME,UniversitĂ© de NancyCette Ă©tude avait pour but d’étudier la corrĂ©lation entre lesmatĂ©riaux constitutifs des rĂ©seaux par rappport au dĂ©velop-pement du biofilm en prenant Ă©galement en considĂ©ration laqualitĂ© de l’eau. Les conclusions de cette Ă©tude vont dans lemĂȘme sens que l’étude KIWA.Une des principales conclusions est que la qualitĂ© de l’eau estun paramĂštre trĂšs important ayant une grande influence surle dĂ©veloppement ul tĂ©rieur du biofilm.

COURT TERME OU LONG TERMELE CHOIX EST SIMPLE

Comme en tĂ©moignent lesanalyses incontestables duKIWA, le cuivre possĂšde uncertain effet bactĂ©ricide, maisuniquement Ă  court terme. Cet effet s’attĂ©nue rapide-ment. Tandis que le CPV-C, s’ilne prĂ©sente pas de caractĂšrebactĂ©ricide au dĂ©part, onremarquera que la formationdu biofilm diminue sensible-ment au bout de 25 jours

environ, pour passer endessous de celle du cuivreau bout de 40 jours.

La question essentielle estdonc de savoir si pour uneinstallation exigeant un hautniveau de garanties de bonfonctionnement et de qualitĂ©de l’eau, on investit sur lecourt terme ou sur la longuedurĂ©e.

40 jours ou 50 ans : Ă  vous de conclure

DE L’INFLUENCE DU MATÉRIAU...“Des questions se posent depuis plu-sieurs annĂ©es sur l’interaction entreles matĂ©riaux et la qualitĂ© de l’eaupotable Ă  leur contact, et la forma-tion Ă©ventuelle de biofilms compor-tant des bactĂ©ries pathogĂšnes.”

“Nous ne nierons pas cette influence.Surtout si le matĂ©riau a tendance Ă  sedĂ©grader dans le temps - mais il noussemble que ce facteur est trop souventmis en avant, et notamment une prĂ©-tendue relation entre les matĂ©riaux(PVC) et la prolifĂ©ration des bactĂ©ries”.

“Il est vrai que cette attaque pro-vient parfois de matĂ©riaux qui ontquelques difficultĂ©s Ă  survivre auxnouvelles exigences de la directive“eau potable” dont la transcriptiondevrait trĂšs bientĂŽt apparaĂźtre enFrance.

“L’influence du paramĂštre “matĂ©riau”est trĂšs faible. (voir Ă©tude Nancy)”.

“Les matiĂšres plastiques sont tes-tĂ©es depuis des annĂ©es avec d’ex-cellents rĂ©sultats en Europe (notam-ment le laboratoire de KIWA enHollande)”.

“Il faut rappeler que, si le matĂ©riauintrinsĂšque est a considĂ©rer avecattention, le dĂ©veloppement desbactĂ©ries se produit avec des fac-teurs aggravants comme la corro-sion et le tartre”.

“Il faut rappeler que, si le matĂ©riauintrinsĂšque est Ă  considĂ©rer avecattention, c’est surtout parce que ledĂ©veloppement des bactĂ©ries seproduit avec des facteurs aggra-vants comme la corrosion et letartre”.

Il faut avant tout prendre en consi-dĂ©ration l’influence des matĂ©riauxpour la formation du tartre et de lacorrosion.

Page 6: 10 Girpi Info Qualite Eau

SÉCURITÉ SANITAIREdes rĂ©fĂ©rences

qui parlent d’elles-mĂȘmes

6

Comme il a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© dit, le C-PVC Ă©quipe de trĂšs nombreux Ă©tablissementshospitaliers et bĂątiments recevant du public en France et en Europe.Le HTA de GIRPI quant Ă  lui, assure la sĂ©curitĂ© des rĂ©seaux de distributiond’eau sur bon nombre de sites.

CAMBRIDGE : Etablissement scientifique de recherches biologiques Ă  l’UniversitĂ© de la ville.Extension et amĂ©lioration des conditions de recherches par la construction d’un nouveau laboratoi-re sur 4 Ă©tages, Ă©quipĂ© de HTAÂź pour son rĂ©seau d’eau chaude et d’eau froide (Ăž 20 Ă  110).

DOMFRIES : HĂŽpital de Domfries et Galloway.HĂŽpital de 220 lits rĂ©cemment construit. Le HTAÂź Ă©quipe le rĂ©seau d’eau chaude et d’eau froidedomestiques.

GLASGOW : HĂŽpital “Hairmyers”.HĂŽpital de 600 lits rĂ©cemment construit prĂšs de l’aĂ©roport d’Heathrow - rĂ©seau d’eau chaude etfroide Ă©quipĂ© en HTAÂź.

NORWICH : HĂŽpital de Norwich et Norfolk.HĂŽpital de 1200 lits pour les accidents majeurs spĂ©cialisĂ© pour les soins de premiĂšre urgence- le HTAÂź Ă©quipe tous les services et rĂ©seaux d’eau chaude et froide.

STOKE ON TRENT : UnitĂ© hospitaliĂšre du nord Staffordshire.HĂŽpital spĂ©cialisĂ© dans les problĂšmes majeurs de santĂ© mentale - le HTAÂź est utilisĂ© pour les cir-cuits de chauffage et les rĂ©seaux d’eau chaude et froide, de 60 Ă  82°C.

FRANCE : - plus de 400 hĂŽpitaux ont Ă©tĂ© Ă©quipĂ©s en HTA ces cinq derniĂšres annĂ©es (voir liste non exhaustive page 10) et s’ajoutent aux nombreuses rĂ©fĂ©rences depuis 20 ans.

LES STATIONS THERMALES :Elles constituent un modĂšle particuliĂšrement reprĂ©sentatif des exigences absolues sur le respectde la nature et de la qualitĂ© de l’eau, tout autant que sur la prĂ©vention bactĂ©riologique.Un numĂ©ro “spĂ©cial stations thermales” de Girpi Infos a Ă©tĂ© publiĂ© en dĂ©but d’annĂ©e, appor-tant une fois de plus la preuve de l’efficacitĂ© du HTA, tĂ©moignages Ă  l’appui (publication et CDrom disponibles sur simple demande).Interrogez-les : Ils vous feront part de leurs satisfactions de leurs rĂ©seaux en HTAÂź. Pour preuve,il refont rĂ©guliĂšrement le choix du HTAÂź.

GIRPI, PARTENAIRE DE LA SANTÉ PUBLIQUE

A votre avis,laquelle de ces deux eaux est potable ?

Y ‘A PAS PHOTO !

De l’avis de certains fabricants, l’eauprovenant de circuits mĂ©talliques doitprĂ©senter toutes caractĂ©ristiques depotabilitĂ©. Et pourtant, la corrosiondue au vieillissement des rĂ©seaux, Ă l’entartrage, et aux traitements chlo-rĂ©s rĂ©pĂ©tĂ©s provoquent de gravesaltĂ©rations de l’eau : boues rouges,granulats et particules diverses.

Par contre, les circuits conçus enC-PVC offrent toutes garanties delongĂ©vitĂ©, de stabilitĂ©, de sĂ©curitĂ©et de puretĂ© de l’eau.Si de plus en plus, le C-PVC est prĂ©co-nisĂ© dans les cahiers des charges desĂ©tablissements dits sensibles, et misen Ɠuvre avec succĂšs, croyez-vousque ce soit le simple fait du hasard ?

Page 7: 10 Girpi Info Qualite Eau

LEGIONELLOSE

Devant la multiplication des cas de lĂ©gionellose en milieu hospitalier notamment, la circulaire DGSn°2002/243 du 22 04 2002 prĂ©cise les mesures de prĂ©vention et les modalitĂ©s de surveillance Ă mettre en Ɠuvre pour lutter contre la lĂ©gionellose dans les Ă©tablissements de santĂ©.

7

Direction Générale de la Santé

LA TOUTE DERNIÈRE CIRCULAIRE (extraits)

POUR LES ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ

ETABLISSEMENTS EN ALERTE INSTALLATIONS À RISQUE

DiffĂ©rentes enquĂȘtes ont permis dedresser un bilan des mesures prisessuite aux circulaires de1997 et 1998relatives Ă  la prĂ©ventions et Ă  la sur-veillance de la lĂ©gionellose.Si une meilleure prise en comptedu risque a Ă©tĂ© constatĂ©e, lesbonnes pratiques de gestiondes rĂ©seaux d’eau sanitaire nesont mises en Ɠuvre quepartiellement.Or, parmi les cas de lĂ©gionellose dĂ©cla-rĂ©s, les Ă©tablissements de santĂ© reprĂ©-sentent un des principaux lieux decontamination ou de surcroit lesconsĂ©quences des lĂ©gionellosessont les plus graves.

En 2000, environ 20% des cas de lĂ©gio-nellose ayant fait l’objet d’une dĂ©clara-tion Ă©taient d’origine nosocomiale cer-taine ou probable, dont environ 40%des sujets sont dĂ©cĂ©dĂ©s.

♩ AmĂ©liorer la gestion des installations Ă  risquedans les Ă©tablissements de santĂ©.

♩ AmĂ©liorer la prise en compte du risque liĂ© auxlĂ©gionelles dans les activitĂ©s de soins.

♩ Proposer des modalitĂ©s de mise en Ɠuvredes dispositions prĂ©cĂ©dentes par les Ă©tablissementsde santĂ©.

OBJECTIFS DE LA CIRCULAIRE

POUR UNE EFFICACITÉ RÉELLE

La mise en Ɠuvre de ces actions limite,voire supprime la nĂ©cessitĂ© de rĂ©aliserdes interventions curatives ponctuellessur le rĂ©seau, telles que des chocs chlo-rĂ©s ou des chocs thermiques, ces inter-ventions ne garantissent pas unerĂ©duction de la contamination sur lelong terme.

En outre, de telles mesures (chocs ther-miques ou chlorés) peuvent parfoisavoir pour conséquence un déséqui-libre de la flore microbienne et ladégradation des installations, favori-sant ainsi la création de nouveauxgßtes favorables à la prolifération deslégionelles.

Les action prĂ©ventives ont pour butd’éliminer les conditions favorables Ă la survie et Ă  la prolifĂ©ration des lĂ©gio-nelles dans les installations Ă  risque etde limiter leur diffusion sous formed’aĂ©rosols.Une installation Ă  risque est une ins-tallation susceptible d’exposer despersonnes Ă  des aĂ©roso l s d ’eaucontaminĂ©e, infĂ©rieurs Ă  5 ”m.

Les établissements de santé peuventconporter les installations à risquessuivants :

‱ rĂ©seaux d’eau chaude desservantdouches ou douchettes

‱ tours aĂ©rorĂ©frigĂ©rentes‱ bains Ă  remous ou bain Ă  jets‱ humidificateurs, bacs Ă  condensa-

tion utilisés dans les systÚmes dechauffage et de climatisation.

Les recommandations importantes sont référencées surdes fiches techniques trÚs précises (voir page 8)

Actuellement, les systĂšmes de distribution d’eau chaudesemblent ĂȘtre Ă  l’origine du plus grand nombre de casde lĂ©gionellose dans les Ă©tablissements de santĂ©. La circulairedĂ©veloppe donc les mesures de gestion des risques liĂ©s Ă  ces ins-tallations.

Pour limiter le développement des légionelles, il faut agirà trois niveaux :

❶ Eviter la stagnation et assurer une bonne circulation de l’eau

❷ Lutter contre l’entartrage et la corrosion, par uneconception et un entretien adaptĂ©s Ă  la qualitĂ© de l’eau etaux caractĂ©ristiques de l’installation.

❞ Maintenir l’eau Ă  une tempĂ©rature Ă©levĂ©e dans les ins-tallations, depuis la production et tout au long des circuits de dis-tribution, et mitiger l’eau au plus prĂšs des points d’usage.

Pour ĂȘtre efficaces, les actions prĂ©ventives doivent ĂȘtre exercĂ©esaux Ă©tapes suivantes :

‱ Conception des installations‱ maintenance et entretien‱ maĂźtrise de la tempĂ©rature de l’eau

POUR LES RÉSEAUX EN CAUSE,ACTION À TROIS NIVEAUX

Page 8: 10 Girpi Info Qualite Eau

LEGIONELLOSE DGS - LA DERNIÈRE CIRCULAIRE : EXTRAITS ETCOMMENTAIRES GIRPI (DGS N°2002/243 0422-04-2002)

RECOMMANDATIONS IMPORTANTES NETTOYAGE ET DÉSINFECTION

TRAITEMENTS : LES PRÉCAUTIONS

ATTENTION : L’EAU FROIDE AUSSIZONES SENSIBLES

Recommandations pour la mise en ƓuvreUne sĂ©rie de fiches techniques jointes Ă  la circulaire prĂ©cise la nature des actionsĂ  mettre en Ɠuvre. Voici le rĂ©sumĂ© des plus importantes :

Conception et maintenance desinstallations de distributiond’eau chaude sanitaire‱ CHOIX DES MATÉRIAUX à utili-

ser pour les canalisations dans lesinstallations neuves ou lors d’unerestructuration de rĂ©seaux

‱ CONSIGNES DE TEMPÉRATUREde l’eau chaude Ă  respecter pour lesystĂšme de protection d’eau chaude,le rĂ©seau de distribution et les pointsde puisage.

FICHE N°1

RĂšgles de nettoyage et dedĂ©sinfection‱ Produits pouvant ĂȘtre employĂ©s

dans les installations de distributiond’eau chaude en fonction de leursmatĂ©riaux constitutifs.

NB : Tout produit utilisĂ© dans lesrĂ©seaux d’eau destinĂ©e Ă  la consomma-tion humaine, doit ĂȘtre autorisĂ© parla Direction GĂ©nĂ©rale de la SantĂ©.

FICHE N°2

FICHE N°3 et 4

Surveillance des installations dedistribution d’eau

‱ SUIVI DE LA TEMPÉRATURE etdes concentrations en lĂ©gionelles, etles actions prĂ©conisĂ©es en fonctionde ces concentrations.

‱ LA TEMPÉRATURE EST UNINDICATEUR indirect de la prĂ©-sence ou l’absence de lĂ©gionellesdans les rĂ©seaux de distributiond’eau qu’il est nĂ©cessaire de mesu-rer en divers points reprĂ©sentatifs.

‱ MAINTIEN D’UNECONCENTRATION de lĂ©gionellesla p lu s bas se pos s ib l e auxpoints d ’usage.

‱ RECOMMANDATIONSSPÉCIFIQUES pour les patients àhauts risques.

Un rencensement des points cri-tiques des installations de distributiond’eau, c’est-Ă -dire les points suscep-tibles d’engendrer une prolifĂ©ration delĂ©gionelles est indispensable.‱ zones oĂč l’eau stagne ou circulemal (ballons, rĂ©servoirs, bras morts)‱ zones oĂč la tempĂ©rature de l’eaupeut descendre en dessous de 50°C(absence d’élĂ©ments de disconnexion

Les rĂ©seaux de distribution doi-vent ĂȘtre conçus de maniĂšre Ă limiter l’installation de biofilmset/ou de dĂ©pĂŽts de produits decorrosion qui, du fait de leurconstitution, nuisent d’une partĂ  l’action des dĂ©sinfectants, etd’autre part, conduisent Ă  limiterl’efficacitĂ© de certains traitementscuratifs.En outre, les traitements mis en Ɠuvresont d’autant plus faciles Ă  rĂ©aliser quele rĂ©seau a Ă©tĂ© bien conçu Ă  l’origine.

Toutes les opĂ©rations de rĂ©paration parl’installation de nouvelles conduitesdoivent ĂȘtre effectuĂ©es de telle sortequ’elles n’induisent pas une contami-nation du rĂ©seau.Les rĂ©seaux d’eau, en particulier lesrĂ©seaux d’eau chaude sanitaire, nĂ©cessi-tent un entretien rigoureux et rĂ©gulier.Les opĂ©rations d’entretien com-prennent le nettoyage des instal-lations (lutte contre le tartre et lacorrosion) et souvent, la dĂ©sinfectiondes installations (rĂ©seaux hors service).

Les rĂ©seaux intĂ©rieurs d’eau froide peu-vent aussi ĂȘtre colonisĂ©s si les canalisationssont anormalement rĂ©chauffĂ©es soit parcontact avec le rĂ©seau d’eau chaude, soiten raison d’une tempĂ©rature Ă©levĂ©e deslocaux, soit par arivĂ©e d’eau chaude dansl’eau froide au niveau des mitigeurs d’eau.Il convient donc de veiller Ă  ce que la tem-pĂ©rature de l’eau froide ne dĂ©passe

pas 20°C, et Ă  ce que les canalisationsd’eau froide et d’eau chaude soient calori-fugĂ©es sĂ©parĂ©ment.NDLR : tout comme pour l’eau chaude, leHTA de GIRPI trouve une application idĂ©a-le en Ă©liminant tout risque de corrosion, enlimitant les dĂ©pĂŽts de tartre et en rĂ©sistantaux traitements curatifs de toute nature.

adaptĂ©s, retour d’eau froide dans lerĂ©seau)‱ zones susceptibles d’ĂȘtre contami-nĂ©es par la vĂ©tustĂ© des installa-tions ou la corrosion.NDLR : il s’agit lĂ  essentiellement decircuits mĂ©talliques car les rĂ©seauxconçus en HTA de GIRPI sont insen-sibles Ă  la corrosion et ont par consĂ©-quent une durĂ©e de vie trĂšs longue.

8

‱ L’effet des produits sur les matĂ©riauxdoit faire l’objet d’une attention parti-culiĂšre. Par exemple, l’acier galvanisĂ©notamment ne rĂ©siste pas aux traite-ments avec des produits acides et, lecas Ă©chĂ©ant, un traitement de pro-tection doit ĂȘtre envisagĂ© aprĂšsemploi.(NDLR : pour les rĂ©seaux mĂ©talliques).‱ Les mĂ©langes de produits chlorĂ©set de produits acides sont Ă  proscrire.‱ La tempĂ©rature d’utilisation desproduits acides doit ĂȘtre limitĂ©e Ă  50°Cpour des raisons d’effet sur les matĂ©riaux.

‱ Les produits de dĂ©tartrage et dedesoxydation sont Ă  caractĂšre acide.Compte tenu de leur agressivitĂ© ils ontune action trĂšs rapide (de 1 h Ă  10heures). L’emploi de formulationscontenant des inhibiteurs de corrosionest souhaitable, mais il convient des’assurer que les produits ou formula-tions utilisĂ©s sont autorisĂ©s par leMinistĂšre de la SantĂ©.NDLR : avec le HTA de GIRPI, pasbesoin de produits contre la corrosion :le HTA y est totalement insensible.

Page 9: 10 Girpi Info Qualite Eau

LEGIONELLOSE DGS - LA DERNIÈRE CIRCULAIRE : EXTRAITS ETCOMMENTAIRES GIRPI (DGS N°2002/243 0422-04-2002)

NATURE DES RÉSEAUX.QUE CHOISIR ?

GIRPI : UNE ATTITUDE PRO-ACTIVEGirpi n’a pas attendu la sortie de la nouvelle circulaire pour com-muniquer sur les rĂšgles Ă  respecter pour limiter le developpementde la lĂ©gionellose.DĂšs avril 2000, GIRPI proposait une solution pour l’efficacitĂ© destraitements preventifs et curatifs.GIRPI dans de nombreux documents largement diffusĂ©s (Girpi Infos)rappelait les mesures de gestion des risques liĂ©s aux installationsainsi que les moyens de prĂ©vention.

ACIER GALVANISÉ+ dĂ©sinfection thermique possible, sans dĂ©passer60°C- dĂ©gradation accĂ©lĂ©rĂ©e si tempĂ©rature > 60°C- pertes de charges importantes si corrosion ou entartrage- incompatible avec la prĂ©sence de cuivre en amont- dĂ©sinfection peu efficace (chimique au chlore) dans les

canalisations corrodĂ©es, mĂȘme aprĂšs dĂ©tartrage- risque de corrosion accru aprĂšs dĂ©tartrage- dĂ©veloppement bactĂ©rien favorisĂ© par les produits dela corrosion

Conclusion : ‱ FORTEMENT DÉCONSEILLÉ POUR L’EAU CHAUDESANITAIRE, notamment lorqu’elle est traitĂ©e au chlore‱ importantes quantitĂ©s de tubes en acier galva de mauvaise qua-litĂ© sur le marchĂ©.

9

PVC-C surchloré+ adaptés aux eaux corrosives+ supporte la désinfection thermique ou chimique

(chlore ou peroxydes)- coĂ»t supĂ©rieur au PVC- matĂ©riaux pouvant ĂȘtre favorable Ă  la prolifĂ©-

ration du biofilmNDLR : 40 jours aprĂšs mise en Ɠuvre, la formation du bio-film sur le C-PVC est infĂ©rieur Ă  la formation sur le cuivre

- peut relarguer du chloroforme par action du chlore surles méthylcétones contenues dans le solvant des assemblages (...)

NDLR : Tests seulement en coursNDLR : FAUX pour le HTA, car son polymĂšre de soudure necontient pas de mĂ©thylcĂ©tones et n’en a jamais contenu.

Conclusion :‱ AdaptĂ© pour les tronçons de Ăž > 50/60‱ Montage par brides

NDLR 1 : Le HTAÂź ne s’assemble pas par brides.NDLR 2 : Le HTAÂź est parfaitement adaptĂ© pour tous les

diamĂštres.

CUIVRE (NF A51120)

+ mise en Ɠuvre facile, pertes de charges faibles+ dĂ©sinfections thermique et chimique possibles

(chlore ou peroxyde aprÚs nettoyage)+ limite la formation du biofilm par action bactéricide

de contactNDLR : pour un temps trÚs limité, voir tableaux page 3

- pas de marque NF pour les tubes > Ăž 54 mm- sensibilitĂ© Ă  la corrosion par â€œĂ©rosion / cavitation”

pour les tubes recuits ou surchauffésNDLR : ce qui est la majorité des cas lors de brasures à 650°C

Conclusion :‱ recommandĂ© jusqu’au Ăž 54 mmNDLR : Pourquoi le recommander alors que le cuivre est sen-sible Ă  la corrsion et qu’aprĂšs 40 jours, le biofilm se dĂ©veloppeplus que dans le C-PVC ?

Page 10: 10 Girpi Info Qualite Eau

10

I ls ont tous chois i le HTA Âź

Année/Chantier CP Ville01-CENTRE PSY 10 BRIENNE LE CHATEAU

01-RPA MONNARD/ROMMILLY 10 RUMLLY

84-HOPITAL PSY ST JOSEPH 11 LIMOUX

89-CENTRE HOSPITALIER 11 CARCASSONNE

92-CLINIQUE ST VINCENT 11 CARCASSONNE

01-M. RETRAITE ATHENA 12

01-M. DE RETRAITE "LES VEDETTES" 12

87-M.CONVALESCENCE ET DE REPOS13 LA BOUILLADISSE

87-CLINIQUE RESIDENCE DU PARC 13 MARSEILLE

89-CLINIQUE SAUVEGARDE 13 MARSEILLE

91-CLINIQUE DE LA RENAISSANCE 13 MARSEILLE

92-C.CONVALESCENCE SPECIALISE 13 AIX EN PROVENCE

92-CLINIQUE CELONY "Les Feuillades" 13 SALON DE PROVENCE

93-HOPITAL MONTPERRIN 13 AIX EN PROVENCE

97-CLINIQUE MARIGNANE 13 MARIGNANE

98-CLINIQUE BOUCHARD 13 MARSEILLE

99-CLINIQUE BEAUREGARD 13 MARSEILLE

99-HOPITAL LAVERAN 13 MARSEILLE

99-MAISON RETRAITE ST TRONC 13 MARSEILLE

99-CLINIQUE CASAMENCE 13 AUBAGNE

99-HOPITAL CONCEPTION 13 MARSEILLE

99-HOPITAL NORD MARSEILLE 13 MARSEILLE

00-HOPITAL/CONCEPT 13 MARSEILLE

00-HOPITAL/LA CIOTAT 13 LA CIOTAT

00-HOPITAL MONTPERRIN 13 AIX EN PROVENCE

00-HOPITAL LAVERAN 13 MARSEILLE

00-HOPITAL MONT PERRIN 13 AIX EN PROVENCE

00-GARLABAU/HOPITAL 13 MARSEILLE

00-HOPITAL LA TIMONE 13 MARSEILLE

00-HOPITAL NORD 13 MARSEILLE

01-RPA DAVID 13 CARNAUX

98-C.H.U 14 CAEN

01-HOPITAL CLEMENCEAU 14 CAEN

89-HOPITAL DE ROCHEFORT 17 ROCHEFORT

99-MAISON DE RETRAITE 17 MARLANGE

00-HOPITAL ST LOUIS 17 SAINTES

00-CLINIQUE RICHELIEU 17 SAINTES

99-MAISON DE RETRAITE 19 LANMARY

01-CLINIQUE DES CEDRES 19

89-CLINIQUE FRANCHEVILLE 24 PERIGUEUX

99-LYCEE HOTELIER CAPELLE 24 BERGERAC

00-MAISON DE RETRAITE 24 BEAUMONT

97-HOPITAL LE NEU BOURG 27 LE NEUBOURG

99-CENTRE HOSPITALIER BERNAY 27 BERNAY

97-HOPITAL SAINT BRICE 28

90-HOPITAL DE LANDERNEAU 29 LANDERNEAU

99-C.H.R 29 QUIMPER

90-HOPITAL C.H.R NIMES 30 NIMES

93-CLINIQUE BONNEFOU 30 ALES

99-HOPITAL ALES 30 ALES

99-HOPITAL/PSYCHIATRIE/ALES 30 ALES

01-MAISON RETRAITE VIALAS 30

01-HOPITAL NIMES 30 NIMES

99-THERMES DE LONDEVIELLE 31 LONDEVIELLE

00-HOPITAL 31 LEYME

00-HOPITAL 31 PURPAN

00-HOPITAL DE LA MERE 31

01-HOPITAL DE RONGUEIL 31

01-CLINIQUE JERDECH 31

01-HOPITAL DE PURPAN 31 TOULOUSE

01-HOPITAL 31 CAHORS

01-RPA 31 VILLEMUR

01-THERMES 31 AMELIE LES BAINS

02-MAISON RETRAITE DE LUCHON 31 LUCHON

99-C.H.U 33 BORDEAUX

99-C. REEDUCATION Grds CHENES 33

99-C.H 33 STE FOY LA GRANDE

00-HOPITAL JOUR POUR ENFANTS 33 BORDEAUX

00-HOPITAL ST ANDRE 33

00-HOPITAL 33 BLAYE

00-CLINIQUE THIERS 33 BORDEAUX

00-LA POMME BLEU/HOPITAL 33 BORDEAUX

00-MAISON DE RETRAITE 33 PESSAC

00-R.P.A A. FAULAT 33

85-CHR HOPITAL ST CHARLES 34 MONTPELLIER

Année/Chantier CP Ville86-M. CONVALESCENCE ET DE REPOS 34 LA GRANDE MOTTE

89-MATERNITE 34 MONTPELLIER

91-C.H.R MONTPELLIER 34 MONTPELLIER

91-CENTRE HOSPITALIER DE SETE 34 SETE

91-HOPITAL DE CLERMONT 34 HERAULT

99-CENTRE MEDICAL 34 LA GRANDE MOTTE

00-HOPITAL 34 UZES

01-MAISON RETRAITE FONTCAUDE 34

99-C.H.U BRETONNEAU 37 TOURS

02-C.H.U TROUSSEAU 37 TOURS

98-REHABILITAION M. DE RETRAITE 38 GRENOBLE

99-THERMES DE TERCY LES BAINS 40

99-HOPITAL 40 DAX

00-CENTRE GERIATRIE LANOT 40

00-HOPITAL/ROANNE 42 ROANNE

98-CENTRE MEDICAL 44 BOUGENAIS

98-MAISON RETRAITE LA BAULE 44 NANTES

99-C. DE TRANSFUSION SANGUINE 44 NANTES

04-C.H MARIGOT 44 NANTES

01-C.H.R. 45 ORLEANS

00-HOPITAL 46 DE LEYME

97-HOPITAL 47 MARMANDE

99-MAISON DE RETRAITE 47 FUMEL

00-MAISON DE RETRAITE 47 CASTELMORON

00-LES TERMES/BAGNOL LES BAINS 48 BAGNOL LES BAINS

99-C.H LOUIS PASTEUR PHARMACIE 50

97-TRAVAUX HOPITAL MANCHESTER 51 CHARLEVILLE MEZIERES

98-MAISON DE RETRAITE 52 ARC EN BARROIS

88-CLINIQUE DE LA PROVIDENCE 53 MAYENNE

98-CENTRE MEDICO PSYCHO 54 LAXOU

00-MATERNITE/NANCY 54 NANCY

01-CLINIQUE GENTILLY 54 MAXEVILLE

00-HOPITAL/FAINS VEEL 55 FAINS VEEL BAR LE DUC

99-HOPITAL SAINT AVE 56

86-HOPITAL DE BITCHE 57 BITCHE

86-HOPITAL BELLE ISLE 57 METZ

92-HOPITAL DE BITCHE 57 BITCHE

92-HOPITAL ST JOSEPH 57 BITCHE

98-MAISON DE RETRAITE TOUL 57 TOUL

86-CENTRE HOSPITALIER DE DECIZE 58 DECIZE

87-HOPITAL LA FRATERNITE 59 ROUBAIX

90-CLINIQUE ST JEAN 59 ROUBAIX

97-HOPITAL 59 SOMAIN

97-MATERNITE CLINIQUE DES BOIS 59

98-HOPITAL LA BASSE 59

98-M. DE RETRAITE DE BOURBOURG 59

98-MAISON DE RETRAITE MAING 59

99-MAISON ACCUEIL SPECIALISEE 59

99-HOPITAL/BOULOGNE SUR MER 59 BOULOGNE

99-MAISON E RETRAITE/CAUDRY 59 CAUDRY

99-CLINIQUE TESSIER 59

99-HOPITAL CHARLON 59 HESNIN-BEAUMONT

00-MAISON DE RETRAITE 59 ROUBAIX

00-C.H/ROUBAIX 59 ROUBAIX

00-C.H MARITIME 59

01-HOSPICES GANTOIS 59

01-CH DOUAI 59 DOUAI

99-PAVILLON HOPITAL 61 SEES

84-C. HOSPITALIER D. SCHAFFNER 62 LENS

98-CLINIQUE SAINTE BARBE 62

98-C.H.B 62 LENS

99-C.H BETHUNE 62 BETHUNE

99-C.H RANG DU FLERS 62 BERCK

99-C.H ELIOMARIN/BERCK 62 BERCK

00-HOSPICE DE CARVIN 62 CARVIN

01-C.H/BEUVRY 62

01-C.H.S/RANG DU FIERS 62

01-C.H.A.M : BERCK 62 BERCK

99-HOPITAL MARIN 64 HENDAYE

99-C.H 64 HENDAYE

99-HOPITAL SAINT LEON 64 BAYONNE

97-THERMES 65 CAUTERET

99-THERMES DE CAP VERN 65

85-C. THERAPEUT. LES FONTANILLES 66 MAUREILLAS

99-THERMES D'AUDIE 66

86-HOPITAL STRAUSS 67 STRASBOURG

Année/Chantier CP Ville87-HOPITAL RURAL 67 BRUMATH

97-MAISON RETRAITE 67 STRASBOURG

98-MAISON DE RETRAITE 67 LINGOLSMEIN

98-MAISON RETRAITE 67 SCMILTIGHEIM

00-ETS THERMAL 67 NIEDERBRONN LES BAINS

01-HOPITAL/BISCHEIM 67 BISCHHEIM

87-CENTRE HOSPITALIER 68 ROUFFACH

87-HOPITAL PASTEUR 68 COLMAR

87-CLINIQUE DU DIACONAT 68 MULHOUSE

92-HOPITAL LE PARC 68 COLMAR

98-MAISON DE RETRAITE 68 COLMAR

98-MAISON DE RETRAITE 68 STRASBOURG

98-CLIN. PROTESTANTE DE CALUIRE 69 LYON

98-MAISON DE RETRAITE 69 LYON

99-RPA BEAUREGARD 69 LYON

00-CLINIQUE DU TOUKIN 69 LYON

00-HOPITAL LYONNAIS 69 LYON

99-M. DE RETRAITE DE PESMES 70 PESMES

00-HOPITAL DE JOUR/VESOUL 70 VESOUL

84-CENTRE HOSPITALIER DE MACON 71 MACON

97-M. DE RETRAITE ST NICOLAS 72

98-R.P.A/TESSEY LA MADELEINE 72

05-RPA/GD LUCE 72 LUCE

97-HOPITAL BRETONNEAU 75 PARIS

99-PITIE/SALPETRIERE 75 PITIE SALPETRIERE

99-HOPITAL NECKER 75 PARIS

00-HOPITAL PITIE 75 PARIS

00-HOPITAL QUINZE VINGT 75 PARIS

86-CENTRE HOSPITALIER DE DIEPPE 76 DIEPPE

87-HOPITAL "CHTEAU MICHEL" 76 DIEPPE

89-HOPITAL DE ST VALERY EN CAUX 76 ST VALERY EN CAUX

97-ECFS HOPITAL PSY/JEANNET 76 LE HAVRE

97-MAISON DE RETRAITE/SANVIC 76 LE HAVRE

98-R.P.A 76 AUMALE

98-RENOVATION R.P.A SAINT-JEAN 76

99-PAVILLON SORET FLAUBERT 76 LE HAVRE

99-PSY JEANNET 76 LE HAVRE

99-RPA 76 ST ETIENNE DU ROUVRAY

00-CLINIQUE ST HILAIRE 76

00-RPA 76

01-HENRI DUNANT 76

01-CLINIQUE MATHILDE 76

97-HOPITAL VARENNES/JARCY 77 VARENNES

99-MAISON RETRAITE 77 CHTEAU LANDON

84-CLINIQUE DES FRANCISQUAINES 78 VERSAILLES

98-HOPITAL DE NIORT 79 NIORT

99-C.H NIORT 79 NIORT

99-C.H MARRAN 79

92-HOPITAL MAISON DE RETRAITE 81 GRAULHET

90-C. HOSPITALIER JEAN MARCEL 83 BRIGNOLES

93-HOPITAL RENE SABRAN 83 GIEN

93-HOPITAL RENE SABRAN 83 GIEN

99-HOPITAL DRAGUIGNAN 83 DRAGUIGNAN

99-MAISON DE RETRAITE 83 TOULON

99-HOPITAL FREJUS 83 FREJUS

00-RPA/HYERES/BEAU JOUR 83 HYERES

01-HENRI GUERIN 83 TOULON

97-C. HOSPITALIER HENRI DUNANT 84 AVIGNON

01-HOPITAL AVIGNON 84 AVIGNON

88-HOPITAL DES SABLES D'OLONNE 85 LES SABLES D'OLONNE

98-CENTRE HOSPITALIER 85 LUÇON

98-M. DE RETRAITE CHASSENEUIL 86 CHASSENEUIL

87-C. MOYENS ET LONGS SEJOURS 89 SENS

88-HOPITAL DE SENS 89 SENS

00-C.H.R 89 AUXERRE

03-RPA VERMIGLIO 89

92-C.H.S BARTHELEMY DURAND 91 ETAMPES

88-COMPLEXE SANITAIRE ET SOCIAL 92 CHATENAY MALABRY

94-CONST. BAT. HOPITAL CENTRAL 92

98-CLINIQUE LARCHET 92

99-HOPITAL MAX FOURESTIER 92

97-HOPITAL BONDY 93 BONDY

89-HOPITAL DU KREMLIN BICETRE 94 KREMLIN BICETRE

97-HOPITAL VALENTON 94 VALENTON

88-HOPITAL DE GONESSE 95 GONESSE

00-C.H SOISSON 02 SOISSON

Année/Chantier CP Ville88-CENTRE HOSPITALIER DE VICHY 03 VICHY

01-TERMES/DIGNES LES BAINS 04 DIGNES

99-HOPITAL DE GAP 05 GAP

00-MAISON RETRAITE/BRIANCON 05 BRIANCON

01-M.RETRAITE EMBRUN BRIANCON 05 BRIANCON

93-C.H.R.PASTEUR 06 NICE

98-CENTRE HOSPITALIER ANTIBES 06 ANTIBES

99-HOPITAL LENVAL 06 NICE

99-CHU L'ARCHET 06 NICE

99-HOPITAL DE GRASSE 06 GRASSE

99-CLINIQUE LE BELVEDERE 06 NICE

00-HOPITAL ST ANTOINE 06 NICE

01-HOPITAL ST -ROCH NICE 06 NICE

01-C.H.R PASTOR 06 NICE

02-CLINIQUE ZANOK 06 NICE

00-HOPITAL/AUBENAS 07 AUBENAS

86-C. READAPTATION FONCTION. 08 CHARLEVILLE MEZIERES

97-HOPITAL DE SEDAN 08 SEDAN

00-THERMES 09 AX LES THERMES

91-C.H. DE CARCASSONNE 11 CARCASSONNE

01-RPA/BEZIERS 11 BEZIERS

90-C.H.U TIMONE 13 MARSEILLE

01-HOPITAL LA CIOTAT 13 LA CIOTAT

99-CLINIQUE DU MAIL 17 LA ROCHELLE

00-EAUX THERMALES/ROCHEFORT 17 ROCHEFORT

93-C.H. PERREY-VAUCLUSE 26 MONTELIMAR

92-CLINIQUE LES CEDRES 31 TOULOUSE

93-HOPITAL DE BEZIERS 31 BEZIERS

01-HOPITAL 31 CAHORS

00-HOPITAL 40 DAX

97-HOPITAL ANGERS 49 ANGERS

02-LES PETITES SƒURS DES PAUVRES 51 REIMS

98-HOPITAL E VANNES 56 VANNES

91-CENTRE HOSPITALIER 58 DECIZE

93-CENTRE HOSPITALIER 58 DECIZE

97-HOPITAL HAZEBROUK 59 HAZEBROUK

97-HOPITAL LENS/BAT.CARDIOLOGIE 62 LENS

02-HOTEL ST-MARTIN 68 CULMAR

02-ECOLE D'INFIRMIERE 70 VESOUL

98-H. ANNECY NEUF 1200 LITS 74 ANNECY

98-HOPITAL 74 ST PIERRE D'ALBIGUY

-HOPITAL DE CHAMONIX 74 CHAMONIX

97-HOPITAL PITIE SALPETRIERE 75 PARIS

98-HOPITAL PITIE/SALPETRIERE 75 PARIS

99-HOPITAL TRAPPES 78 TRAPPES

93-HOPITAL DE FREJUS 83 FREJUS

99-HOPITAL BRIGNOLES 83 BRIGNOLES

00-HOPITAL ST TROPEZ 83 ST TROPEZ

00-MAISON RETRAITE/FREJUS 83 FREJUS

99-C.H POITIERS 86 POITIERS

89-HOPITAL D'EVRY 91 EVRY

91-HOPITAL VAUCLUSE 91 EPINAY SUR ORGE

91-HOPITAL NORD 92 VILLENEUVE LA GARENNE

92-HOPITAL D. CASANOVA 93 SAINT DENIS

99-HOPITAL PSY/PONTOISE 95 PONTOISE

00-HOPITAL/ARGENTEUIL 95 ARGENTEUIL

Testéet approuvé

Page 11: 10 Girpi Info Qualite Eau

To u s f o n t c o n f i a n c e Ă  G I R P I .

11

Page 12: 10 Girpi Info Qualite Eau

12

Votre expérience et vos chantiers nous intéressent !Expliquez et présentez un projet ou un chantier caractéristiques

de votre savoir-faire, nous sommes toujoursà votre écoute pour assurer votre présence dans nos prochains numéros.

Société GIRPIRue Robert Ancel - BP 36 - 76700 Harfleur

TĂ©l : 02 32 79 60 00 - Fax : 02 32 79 60 27

ECRIVEZ-NOUS !‱ Le reportage “La Roche Posay”

Un cas d’école exemplaire su cassette VHS ou CD Rom‱ La documentation complĂšte HTAÂź

Les systĂšmes exclusif et le catalogue GIRPI 2002‱ Le Girpi Infos “SpĂ©cial LĂ©gionellose”

‱ Le Girpi Infos “SpĂ©cial Stations Thermales”

TĂ©l. : 02 32 79 60 00 ou par fax : 02 32 79 60 27

SUR SIMPLE DEMANDE RECEVEZ...

HTAÂź

Fiabilité et longévité

LA SOLUTION POUR DES TRAITEMENTSPRÉVENTIFS ET CURATIFS EFFICACES

SÉCURITÉ ET QUALITÉ DE L’EAULA RÉPONSE GIRPI

- GIR

PI :

RCSL

e Hav

reB

719

803

249

/ 06

/02

RCS T

OURS

B 4

13 6

98 1

43

BIBLIOGRAPHIE : D.G.S. : Circulaire DGS/SD7A/S05C-DHOS/E4 n° 2002/243 du 22/04/2002 relative Ă  la prĂ©vention du risque liĂ© aux lĂ©gionelles dans les Ă©tablissement de santĂ©.KIWA : Étude KIWA - october 2001 / BTO 2001-170 Biomass Production Potential (BPP) of material in contact with treated water : method and significance.Nancy : Intermediary report n°1 - Nancy november 2001

Biofilm Formation potential of plastic pipe materials and effect on bacteriological quality of water.DGS : Liste des matériaux organiques ayant obtenu une attestation de Conformité Sanitaire. 30 septembre 2001