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LE MERCREDI 7 OCTOBRE 2015
Le journal de la communauté militaire - Région de Québec
www.journaladsum.com
Adsum, Base Valcartier, CP 1000, succ. Forces, Courcelette (QC) G0A 4Z0. No convention : 40012192
LA PISCINE EST OUVERTE! D’UNE PRÉCISION CHIRURGICALE
– PHOTO : IMAGERIE GAGETOWNLes tireurs d’élite du 5 GBMC ont fait mouche à la 18e édition de la Concentration interna-tionale canadienne. Juste pour l’épreuve en équipe de tir de fusil C14, les trois bataillons du R22eR ont raflé les trois premières positions. Ci-dessus, un tireur, accompagné de sonobservateur, engage sa cible à partir d’une embarcation pneumatique.
CTALFAC 2015 : LES TIREURS DU 5 GBMC IMPITOYABLES!
– PHOTO : CPL DOUG BURKE, CENTRE D’IMAGERIE INTERARMÉES DES FORCES CANADIENNES
– PHOTO : SIMON LEBLANC, ADSUMAmateurs de baignade et de natation, à vos maillots! La piscine du Centre des sports a étédéclarée officiellement ouverte le 22 septembre au cours d’une petite cérémonie de cou -pure de ruban.
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Les tireurs de la brigade ont fait feu de tout bois à la Concentration de tir aux armes légères des Forces armées canadiennes2015 en remportant 60 médailles! Parmi celles-ci, la Médaille de la reine (Force régulière) qui a été décernée au caporal DaveMichaud du 2 R22eR (au centre sur la photo). – PAGE 4Avancées dans
l’instruction sur les opérations en
zone urbaine
– PHOTO : ©2015 DND-MDN CANADA
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Prudence dans les zones scolaires!
– PHOTO : SIMON LEBLANC, ADSUM
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Des athlètes deValcartier aux Jeuxmondiaux militaires
– PHOTO : IMAGERIE SBMFC
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L’haltérophilie dans la peau
– PHOTO : COURTOISIE
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3ADSUM, 7 OCTOBRE 2015
LA PISCINE DU CENTRE DESSPORTS EST INAUGURÉE!
– PHOTO : SIMON LEBLANC, ADSUMDes militaires donnent une démonstration d’aqua-spinning, face à un moniteur en conditionnement physique etsports, Quentin Martin.
– PHOTO : CPL SIMON LANGEVIN, IMAGERIE VALCARTIERLe Col Sébastien Bouchard, commandant du GS 2 Div CA, coupe le ruban, inaugurant officiellement l’ouverturede la pis cine de la Base Valcartier.
PAR SIMON LEBLANCJournal Adsum
C’est fait, on l’a notre piscine! Le 22 septembre, le commandant duGroupe de soutien de la 2e Division duCanada (GS 2 Div CA), colonel Sébas -tien Bouchard, inaugurait les nouvel -les installations aquatiques du Centredes sports de la Base Valcartier.
«On a eu des ratés avec cette piscine-là au cours des dernières années. Grâceau travail de plusieurs personnes, nousavons rectifié la situation. C’est unnou veau départ pour la Base Valcar -tier. Ça fait long temps qu’on l’attendaitcette belle piscine», a déclaré le ColBouchard.
Plusieurs personnes étaient invitéesà assister à cette cérémonie de coupurede ruban, dont quelques dignitaires. En plus du Col Bouchard, la représen-tation militaire était assurée par sonsergent-major, adjudant-chef MarioTremblay, ainsi que par le commandantdu Service des opérations, lieutenant-colonel Steve Hétu, et son sergent-major, adjudant-chef Marc Gabanna.Du côté civil, le vice-président supé -rieur des Programmes de soutien dupersonnel (PSP), Peter Atkin son, étaitvenu d’Ottawa pour l’occasion, à l’invi-tation de la gestionnaire supérieure des PSP, Martine Cimon. Enfin, CliveKiley, maire de Shannon, et PamalaHogan Laberge, représentante dumaire de Saint-Gabriel-de-Valcartier,étaient présents.
Avant de procéder à la coupure duruban, le Col Bouchard a prononcé quel -ques mots devant un auditoire composéen majorité d’employés PSP du Centredes sports. Il a notamment tenu à pré -senter et à remercier les nombreux
intervenants dont le travail acharné amené à la réouverture tant attendue dela piscine de la base : Patrick Santucci,du Service du génie, Daniel Noreau, de CDC, et du côté des PSP, MichelLambert et Philippe Carpentier.
Quelques démonstrations ont suivi lacoupure de ruban, dans le but dedémon trer aux invités les multiplesusa ges de la piscine, qui vont de l’en-traînement militaire jusqu’aux coursaquatiques en passant par la réadapta-tion des blessés. Quelques nouvellesacquisitions faites par les Programmesde soutien du personnel (PSP) en vuede ce grand jour ont ainsi été mises en vedette, tels les vélos aquatiquesstationnaires qui serviront à l’aqua-spinning, une activité de plus en pluspopulaire. Sur une note plus légère,quelques braves dignitaires se sont
jetés à l’eau, littéralement, en «testant»leur sens de l’équilibre sur la piste àobstacles aquatiques, sous les acclama-tions des spectateurs dans les gradins.
«C’est une grande journée, enfin nosmilitaires pourront être à l’entraîne-ment comme ils le devraient. La piscineprofitera également à nos gens bles séspour qu’ils puissent revenir au boulot le plus tôt possible à la suite deleur réhabilitation. La communautépourra aussi en profiter», s’est réjoui le sergent-major de la Base Valcartier,adjudant-maître Stéphane Leduc.
En effet, chaque année, la piscine duCentre des sports sert à la réalisationde plus de 1500 tests réglementaires de base en natation. Y sont égalementdonnés des cours d’aptitudes de base en RCR, en techniques d’abandon denavire et en aptitudes élémentaires en
natation, question d’assurer la sécuritédes militaires en exercice. À cela s’ajou -tent des tests de natation de combat etde natation pour les techniciens enrecherche et sauvetage.
En ce qui a trait à l’entraînementphysique personnel, des corridors denage sont réservés du lundi au vendre-di de 11 h 45 à 13 h aux militaires etmembres du Plan sports et loisirs quiveulent faire des longueurs. Les mili-taires plus matinaux peuvent désor -mais faire leurs longueurs les mardisde 6 h 15 à 7 h, une nouveauté à l’ho-raire de la piscine.
«C’est un jour exceptionnel pour toutle monde, spécialement pour lesmilitai res, les familles, les enfants et la communauté en général. Ça faisaitplusieurs années que la piscine n’étaitplus fonctionnelle et maintenant quec’est ouvert, nous pouvons recommen -cer les programmes de loisirs aquati -ques, de natation et les leçons avec laCroix-Rouge. C’est un jour importantpour la Base Valcartier et toute l’équipedes PSP», ajoute M. Atkinson, l’un des braves qui s’est lancé à l’eau pourl’occasion.
«En effet, c’est un jour heureux pournous tous vu l’engouement manifestépar la communauté militaire», renché -rit Mme Cimon. «Nous avons revu l’orga - nisation des cours à offrir et embauchédu personnel qualifié. Nous avons dûajouter 14 cours aquatiques à notreprogrammation initiale afin de répon-dre à la demande, ce qui repré sente une augmentation substantielle de 30 % comparativement à nos meil leuresannées antérieurement», conclut-elle.
Maintenant, il ne reste plus qu’àapprécier les joies de la baignade et del’entraînement en piscine!
– PHOTO : CPL NICOLAS TREMBLAY, IMAGERIE VALCARTIERL’Adjuc Mario Tremblay, sergent-major du GS 2 Div CA,essaie la piste à obstacles aquatique.
UNE REMISE À NEUFMaintenant que tout est bel et bien terminé, voici lesprincipaux travaux, d’une valeur de 4,8 M $, qui ontété effectués au cours de la dernière année afin deredonner une piscine à la communauté.– Modification de la structure– Remplacement du revêtement des fonds
et des parois– Modification du système de drainage des piscines– Remplacement du revêtement et des drains
des promenades– Installation d’un générateur d’ultraviolet
pour contrer plus efficacement la formation de chloramines
– Construction d’une nouvelle salle mécanique,avec remplacement des équipements mécaniquesde filtration, des contrôles et du système de filtration au sel par un système au chlore liquide
– Modification du système de drainage et de nettoyage des filtres des piscines
– Remplacement du système de déshumidification
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4 ADSUM, 7 OCTOBRE 2015
Après une fin d’été exceptionnelle,nous voici rendus à l’automne,
cette saison faite de contrastes, qui oscille entre les jours clairs
et ensoleillés et les jours sombres et pluvieux.
Nous avons demandé à quelques lecteurs quel visage
de l’automne ils aimaient et lequel ils n’aimaient pas.
VOX POP
«L’automne est ma saisonfavorite. Les belles couleursdes feuilles dans les arbreslors de marches en forêt
et la cueillette de pommes à l’Île d’Orléans.
J’aime cependant moins la pluie vers la fin.» Major Jean-Guy Morin
«J’aime le retour de la fraîcheur et les soirées en pyjama chaud. Par contre, je n’aime pas le travail que ça apporte sur mon terrain afin de se préparer à l’hiver.» Josette-Andrée Simard
«Ce que j’aime de l’automne, c’est le retour
à la routine et les gens quireviennent tous au travail.
L’ensemble des tâchessaisonnière sont cependant
moins agréables.» Capitaine Dany Sylvain
«En automne, les arbressont remplis de belles
couleurs. Les paysages enmontagne sont magnifiques.Par contre, c’est moins beau
vers la fin avec les arbresqui sont dégarnis.» Stéphanie Gauthier
QU’AIMEZ-VOUS (OU PAS) DE L’AUTOMNE?
«Je n’aime pas l’automneen raison du retour du
froid. Je déteste le froid,mais j’aime les belles
couleurs dans les arbres.» Camille Comtois
Pour une quatrième consécutive, le 5e Groupe-brigade mécanisé du Canada(5 GBMC) s’est distingué dans la Con -centration de tir aux armes légèresdes Forces armées canadiennes(CTAL FAC), à Connaught, en rempor-tant les trois parties de la compétition.
Du 7 au 19 septembre, 22 participantsdu 5 GBMC prenaient part à cette con-centration annuelle qui met en valeurles meilleurs tireurs militaires du Cana -da. La compétition a lieu au Polygone deConnaught et centre d’entraînement élé-mentaire (PCCEE) à Ottawa.
Les performances impressionnantesdes militaires de Valcartier leur ont per-mis de revenir avec plus de 60 médailles.Ces exploits ont également fait en sorteque la brigade est l’équipe qui a réussi àplacer le plus grand nombre de tireursdans les équipes internationales quireprésenteront le pays au AustralianSmall Arms Meeting (AASAM), àPuckapunyal en Australie, au American
LE 5 GBMC SE DISTINGUE À CONNAUGHTDes participants à la CTALFAC entament le parcours dynamique lors d’uneépreuve d’équipe de tir au pistolet. Les tireurs étaient mis à l’épreuvepour leur vitesse ainsi que leurs compétences en tir de précision. Seulsles tireurs d’élite les plus rapides passaient aux matchs de championnat.
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Forces Small Arms Meeting (AFSAM), à Little Rock aux États-Unis, et à lamythi que compétition de Bisley, auRoyaume-Uni.
Parlant d’exploit, à lui seul, le caporalDave Michaud, du 2e Bataillon, Royal 22e Régiment (2 R22eR), a remporté 14médailles. Ses performances lui ontégalement valu la Médaille de la reine,remise au meilleur tireur de la compé -
tition toutes catégories confondues, et leTrophée Letson, remis à la meilleureéquipe de 12 tireurs.
«Ce fut un important défi psycho -logique. Le niveau de tir est élevé et c’estimportant de savoir garder une cons -tance», a commenté le Cpl Michaud enentretien avec le sous-lieutenant Domi -nique Tremblay des Affaires publiquesdu 5 GBMC.
Deux autres membres de la brigade sesont également distingués. À sa premièreexpérience, le caporal-chef AlexandreBoudreault s’est classé au troisième échelon de la catégorie novice. Quant auCpl Jean-Philippe Bombardier-Joanis, ilest aussi monté sur la troisième marcheen régulière.
En rétrospective, la brigade avaitdébuté la saison de tir lors de la compéti-tion du 5 GBMC, du 6 au 9 juillet. Toutesles unités étaient invitées et ce sont lesmeilleurs tireurs qui ont été sélectionnéspour composer l’équipe prenant part à laCTALFAC.
Les gars ont ensuite eu la chance de sepréparer, du 27 août au 4 septembre,alors qu’avait lieu le National ServiceConditions Championship, au Polygonede Connaught. (S.L.) (Avec la collabora-tion du sergent Luc Voyer)
Le caporal Dave Michaud montre fièrement ses 14médailles, dont la Médaille de la reine et la barrettereprésentant le Trophée Letson.
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– PHOTO : CPL DOUG BURKE, CENTRE D’IMAGERIEINTERARMÉES DES FORCES CANADIENNES
Le Cplc Alexandre Boudreault effectue l’un des tirs lors de la cérémonie d’ouverture. Une nouvelle tradition aété inaugurée en débutant l’entraînement avec les premiers tirs de la part des tireurs novices, les plus jeunesde chaque équipe canadienne.
– PHOTOS : SIMON LEBLANC, ADSUM
5ADSUM, 7 OCTOBRE 2015
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6 ADSUM, 7 OCTOBRE 2015
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Concentration internationale canadienne de tireursd’élite 2015 : nos tireurs raflent les honneurs
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PAR ALEX MAILLÉBureau des Affaires publiques, 5 GBMC
Affirmer que les tireurs d’élite (TE)du 5e Groupe-brigade mécanisé duCanada (5 GBMC), provenant du Royal22e Régiment (R22eR), se sont illustréslors de la 18e édition de la Con cen -tration internationale canadienne detireurs d’élite serait peu dire.
La Concentration internationale cana-dienne de tireurs d’élite s’est tenue àGagetown (N.-B.) entre le 12 et le 19 sep-tembre. Prêts et en forme, les TE du2e Bataillon ont en effet raflé la 1re posi-
tion en équipe de tir au fusil C14, alorsque leurs collègues du 1er et du 3e Batail -lons ont récolté respectivement les 2e et3e positions de l’épreuve.
Le 3e Bataillon s’est aussi distingué enremportant la 1re place de l’épreuve de tirau fusil de calibre .50. Et, finalement, unTE du 1er Bataillon s’est vu remettre letrophée Robert Short, distinction décer -née au sniper le plus apprécié de tous lesparticipants de la Concentration.
«J’adresse mes félicitations aux tireursdu R22eR pour leurs performances lorsde la Concentration. De tels résultats ne peuvent être que le fruit d’un entraî -
nement rigoureux et soutenu, ce quidémon tre bien l’excellente préparationde nos tireurs. La participation à cettecompétition permet à nos membres de se perfectionner et, par le fait même, de rehausser la capacité opérationnellede la 5e Brigade», a tenu à souligner lecolonel Michel-Henri St-Louis, comman-dant du 5 GBMC.
Un bilan aussi reluisant ne s’obtienteffectivement pas sans un entraînementtrès exigeant, ce que les 12 représen-tants du 5 GBMC ont accompli pendanthuit semaines à Valcartier. Misantautant sur la préparation physique quementale, les membres ont donc débutéchaque journée par une séance collectivede conditionnement physique (PT), sui -vie de pratiques sur champ de tir de 10heures à 17 heures en moyenne. «Le car-dio et l’endurance permettent au tireurde demeurer calme et concentré, ce quise traduit par une meilleure prise dedécisions», a mentionné un instructeurdu 1 R22eR responsable de l’entraîne-ment des TE.
L’un des principaux facteurs de réus-site de la Concentration a sans doute été
la communication entre les membres dechaque équipe. «La communication entrele tireur et le spotter est primordiale.Elle influence le temps et la précision,deux facteurs importants pour lestireurs», a noté un autre instructeur du1 R22eR. Plus largement, la Concen tra -tion a avant tout été l’occasion pour tousles participants, nationaux et interna-tionaux, d’échanger sur les différentesarmes et les techniques privilégiées parchacun.
La 18e édition de la Concentrationinter nationale des tireurs d’élite regrou -pait 25 équipes de deux tireurs pro ve -nant du Canada et de pays commel’Australie, la France, la Suisse, lesÉtats-Unis, la Pologne et les Pays-Bas.En plus de tireurs d’élite militaires, laConcentration a accueilli des parti ci -pants émanant de groupes tactiquesd’intervention policiers d’agences civiles.L’arsenal du tireur était composé de laC14 (.338), la C15 (.50), la C7A1(5,56 mm) et le pistolet (9 mm).
Les épreuves de la Concentrationétaient conçues de manière à calquer lesconditions réelles dans lesquelles lestireurs d’élite sont appelés à évoluer. Laneutralisation de cibles en mouvement,l’observation et la dissimulation ne sontque quelques exemples des notions quiont été pratiquées.
Aux côtés de son observateur, un tireur du 5 GBMC en position couchée fait feu. Des participants de différentes nationalités prennent place pour effectuer leur tir.
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7ADSUM, 7 OCTOBRE 2015
Plus de 600 participants pour la journée familiale du 5 RGCPAR LE CAPITAINE PATRICK DUBÉ, ING.
Commandant troupe 4, 5e Régiment du génie de combat
Le 12 septembre, le 5e Régiment dugénie de combat (5 RGC) tenait l’édi-tion 2015 de sa fameuse journée fami -liale. Cette fête était une belle occa-sion de remercier les familles et lesamis des militaires ingénieurs pourleur appui tout au long de l’année.
L’événement qui se déroulait au bâti-ment du 5 RGC a accueilli plus de 600participants. Plusieurs activités ont étébien appréciées par les visiteurs commeles jeux gonflables, le mini zoo, les jeuxlaser, les camions de pompier de laBase Valcartier, l’hélicoptère GriffonCH-146 provenant du 430 ETAH, lestours de VBL III et les démonstrationsd’équipements du génie militaire cana-dien pour ne nommer que celles-ci.Nous avons aussi pu compter sur lapré sence de kiosques des PSP, duCentre de la famille et du Groupe desoutien au déploiement. Pour le dîner,un barbecue était offert sur place pourles visiteurs.
Le 5 RGC tient à remercier tous sespartenaires qui lui ont permis de rele -ver l’ambiance par le biais d’activités,de kiosques et de dons destinés auxinvités. Le régiment est déjà en prépa-ration afin de poursuivre la traditionavec l’édition 2016 de cette journéefamiliale. C’est un peu notre façon dedire merci à tous nos proches qui sou -tiennent le rythme de nos opérations etqui tiennent le fort en notre absence.C’est donc un rendez-vous pour l’annéeprochaine!
Les enfants ont pu se faire maquiller en super héros. – PHOTO : CPL BLANCHARD, 5 RGC Le serpent peut être un animal docile s’il est pris de la bonne façon. Le caporalLapierre semble avoir la bonne technique.
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L’adjudant Côté est fier de présenter le VBL III à sa famille. Quatre générations sont présentes sur la photo : Adj Côté, son fils, son père et son grand-père.
L’adjudant-chef Godbout et des membres de sa familledevant une pièce d’équipement utilisée par les ingé -nieurs militai res canadiens.
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8 ADSUM, 7 OCTOBRE 2015
Le point sur l’op HONOUR avec le lieutenant-général Christine Whitecross
– PHOTO : CPLC I. PARÉ, IMAGERIE SAINT-JEANLe lieutenant-général Chris Whitecross lors de sa présentation à la Garnison Saint-Jean.
PAR ALEXANDRA VENTURA-GIROUXJournal Servir
Le lieutenant-général ChristineWhite cross, commandant de l’Équiped’intervention stratégique des Forcesarmées canadiennes (FAC) surl’incon duite sexuelle, était de pas-sage le 23 septembre à Saint-Jean-sur-Richelieu pour faire le point surl’opération HONOUR, de même quepour entretenir une discussion ou -verte sur les comportements inadé -quats avec les membres de la com-munauté militaire et civile présents.
Il s’agissait d’une seconde visite enquelques mois à la Garnison Saint-Jean pour le Lgén Whitecross, qui estla femme la plus haut gradée à servirau sein des FAC. Cette dernière a jouéfranc-jeu dès le début de la rencontreen avouant que l’inconduite sexuelleconstitue un sujet grave qu’il faut abor-der de front afin de l’éradiquer.
Dans la foulée du dépôt du rapport dela juge à la retraite Marie Deschampsen avril dernier, le Lgén Whitecrossavait reçu l’ordre de mener l’Équiped’intervention stratégique des FAC sur l’inconduite sexuelle aux côtés ducolonel Gisèle Fontaine, commandantadjoint de l’Équipe, et de l’adjudant-chef Helen Wheeler, adjudant-chef del’Équipe. Elle avait alors entamé unetournée des bases et escadres du pays,
laquelle se poursuit toujours, afin deparler ouvertement de cette probléma-tique et d’entretenir le dialogue avectous les membres des FAC. Puis, le 14 août dernier, le chef d’état-major dela défense (CEMD) a lancé l’Op HON-NEUR, dont le but est d’éliminer toutcomportement dommageable et inappro-prié des rangs des FAC. Lors de l’an-nonce, le général Vance avait affirméque toute forme d’inconduite «érode lebon ordre, la discipline, et va à l’encon-tre des valeurs rattachées à la profes-sion des armes».
COMPRÉHENSION, INTERVENTION, SOUTIEN ET PRÉVENTION
Le Lgén Whitecross venait doncprésenter à la Garnison Saint-Jean lesactions entreprises par les FAC depuissa dernière visite. «Bien des choses ont changé depuis [ma visite en maidernier]. Nous avons pris en compte les 10 recommandations du rapportDeschamps. Nous avons ouvert leCentre d’intervention sur l’inconduitesexuelle (CIIS) intérimaire à Ottawa[le mardi 15 septembre dernier], qui
mène ses activités en dehors de lachaîne de commandement militaire, cequi constitue une première historique.Bien qu’il ne soit opérationnel qu’entre7 h et 17 h du lundi au vendredi, il seraéventuellement disponible 24 h sur 24»,a-t-elle assuré.
Le commandant de l’Équipe a ensuiteajouté avoir procédé à la distributionmassive d’affiches et d’aide-mémoirequi incluent la définition de compor -tements inappropriés, de même qu’unrépertoire des ressources de soutien etde signalement. L’Équipe continue sonexamen rigoureux des façons de traiterles plaintes des corps d’armée étran -gers, dont les États-Unis.
Puis, le Lgén Whitecross a énuméréles mots d’ordre sur lesquels l’Équipeconcentre ses efforts depuis l’annoncedu CEMD. «L’Op HONNEUR met l’ac-cent sur les quatre points suivants : lacompréhension de ce qu’est l’inconduitesexuelle; l’intervention, qui est d’agirpour le bien des victimes; le soutien,qui est la possibilité d’avoir le mêmesoutien peu importe où l’on se trouveau pays; et enfin, la prévention, qui est l’action d’éveiller les consciences»,a-t-elle résumé. «Il s’agit du tout premier ordre d’opération du GénVance et nous nous devons d’y mettretous nos efforts», de conclure le LgénWhitecross.
PADRÉ, PLUS QU’UNE OREILLE ATTENTIVE«Parmi toutes mes tâches, celle qui m’importe le plus est de prendre soin de nos militaires et de leur famille.»– Général Jonathan Vance, chef d’état-major de la Défense
Q : Brièvement, en quoi consistevotre travail?
R : En plus de veiller au moral de latroupe, mon rôle est de conseiller lecommandant. Lorsqu’une situationéthique ou morale se présente, j’ai unaccès direct à ce dernier. Par contre, jene fais pas complètement partie de lachaîne de commandement, ce qui meconfère une certaine indépendance.
Q : Un militaire vient vous rencon -trer suivant une situation d’inconduitesexuelle à son égard. Qu’êtes-vous enmesure de faire pour l’aider?
R : Premièrement, écouter sans juger.Épauler le membre dans sa douleur, sa
L’opération HONOUR est la première initiative de notre chef d’état-major de la Défense. L’ordre d’opération a été signéle 14 août 2015 et vise, entre autres, à soutenir les militaires qui sont ou ont été victimes de comportements sexuelsinappropriés. Ceci est le premier article d’une nouvelle chronique mensuelle qui traitera de cette problématique. Crééepar les Affaires publiques du 5e Groupe-brigade mécanisé du Canada, la chronique explorera les services mis à la dispo -sition des victimes, à travers la présentation des différents corps de métier et organisations au sein de la brigade. Pourcommencer, un entretien avec le lieutenant de vaisseau Éloi Gunn, padré. Par le sous-lieutenant Dominique Tremblay, AP 5 GBMC
peine et sa situation. Aider le membreà déterminer quels sont ses besoins,tout en le soutenant et en l’aiguillantvers les ressources appropriées. J’ai undevoir de confidentialité, dans lamesure où le militaire ne représentepas un danger pour lui-même ou pourles autres, évidemment.
Q : Avez-vous reçu des lignes directri-ces spécifiques à l’opération HONOUR?
R : Même si notre mandat a toujoursexigé de nous d’être proactifs et à l’affûtde situations d’abus, le Bureau del’aumônier général a émis une directivequi contribue à améliorer et à sensi-biliser davantage tous mes confrères et
consœurs à la problématique de l’incon-duite sexuelle.
Q : Plusieurs d’entre nous sont déjàfamiliers avec le programme Senti nelle;avez-vous adapté cette formation poury ajouter un volet op HONOUR?
R : Le plan de formation du pro-gramme Sentinelle est un documentvivant. À la fin de chaque formation,nous recueillons les commentaires des participants et un ajustement estfait. Bien entendu, un accent sera missur l’op HONOUR. D’ailleurs, une sen-tinelle m’a déjà fait part d’une situationd’inconduite sexuelle où la victime étaiten détresse et n’avait malheureuse-
ment pas encore demandé d’aide. Cetteinformation en main, j’ai pu aiguillerrapidement la victime pour trouver lesoutien dont elle avait besoin, en plusd’appuyer la chaîne de commandementquant aux actions appropriées à pren-dre envers l’agresseur.
«J’ai un devoir de confidentialité, dans la mesure où lemilitaire ne représente pas un danger pour lui-mêmeou pour les autres», a mentionné le padré Gunn aucours de l’entrevue.
9ADSUM, 7 OCTOBRE 2015
PROMOTION DE LA SANTÉ
De nos jours, les sous noirs ont sipeu de valeur qu’ils ont été retirés dela circulation. Réfléchissez à vos pro-pres comportements. Est-ce qu’il vousarrive de commettre des gestes «à unsou»? Des gestes qui ne valent pastrès cher et qui sont loin d’enrichirvotre personnalité? Il nous arri vetous de poser des gestes à un sou.
Il s’agit peut-être de la fois où, exas-péré par votre collègue, vous avez pro -pagé quelques mesquineries à son pro-pos. Ou encore la fois où vous vous êtesmoqué d’un collègue, ou encore celle où vous avez tenu une blague sexiste ou homophobe. Il nous semble par-fois anodin de rire d’une person-ne, d’exclure volontairement uncollè gue de travail parce qu’il nefait pas partie de notre cercled’amis, de se servir dans lematériel au travail à des finspersonnelles, de ne pas res -pecter le Code de la sécuritéroutière parce qu’on estpressé.
Toutes ces actions ont desrépercussions plus grandesqu’on ne le croit. Les gensque nous avons froissés avecnos paroles ou nos gestes por-tent les conséquences de noscomportements lamentables.
Toutes ces actions dont on ne tireaucune fierté sont des gestes à un sou.Même si l’exercice est peu flatteur pourvotre ego, demandez-vous quels sont
Si jamais vous recevez un sou, nevoyez pas ce geste comme une consé -quence ou une «contravention», saisis-sez plutôt cette opportunité pour vous
réorienter etopter pour descomportementspayants sur leplan humain. Ilest possible quevous ayez besoind’un regard exté - rieur pour iden -
ti fier ces gestes à prohi ber. Lorsquevous rece vez un sou, aidez votre entou -
rage à s’enrichir, et distribuez le sou à votre tour. Si chacun y contribue,
notre communauté sera plusriche.
Adoptons tous des attitudeshonnêtes, respectueuses etcour toises. Vous vous sen-tirez mieux comme person-ne, fier de votre person -nalité et votre entouragerecher chera votre compa -gnie. Être un modèle pourles autres, pour ses enfantsou ses collè gues de travail se tra duit d’abord par une
personnalité saine où la vio-lence et le manque de civisme
n’ont aucune place. Faites devous-même et de votre entou rage
des gens riches : vous en avez les moyens.
Les comportements à «un sou»
Il y a 75 ans éclatait la bataille
d’Angleterre«Des pilotes qui ont participé avecbravoure au combat jusqu’aux mem-bres du personnel de piste qui les ont soutenus jour et nuit, la batailled’Angleterre représente une victoireimportante – non seulement lors de la Seconde Guerre mondiale, maisaussi pour toute l’aviation mili taire»,a commenté par voie de communiqué le commandant de l’Avia tion royalecanadienne (ARC), lieutenant-généralMichael Hood. Le 20 septembre sur laColline parlementaire, les ancienscombattants de la Seconde Guerremondiale ont défilé aux côtés desmem bres de l’ARC et des Cadets del’Air dans le cadre des cérémonies com-mémoratives marquant le 75e anni - versaire de la bataille d’Angle terre. Cecombat décisif, qui a eu lieu le 15 sep-tembre 1940, réunissait plus de 100Canadiens, dont 23 ont perdu la vie. Il s’agit de la plus grande batailleaérienne de l’époque et la premièrependant la Seconde Guerre mondialepour l’ARC. Près de 3000 équipagesaériens alliés ont été impli qués danscette fameuse bataille. (S.L.)
– PHOTO : IMAGERIE DES FC
vos gestes à un sou, et choisissez plutôtla voie de l’enrichissement personnel.
Pour vous aider à reconnaître lesgestes à un sou que vous posez, certai -nes personnes telles queles aumô niers auront enleur possession des sousgéants qu’ils pourront vousremettre lorsqu’ils sonttémoins de vos ges tes peuenrichissants.
Être un modèle pour les autres,pour ses enfants ou ses
collè gues de travail se traduitd’abord par une personnalité
saine où la violence et le manquede civisme n’ont aucune place.
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Commencer la journée du bon pied !
Le 23 septembre, le commandant de la compagnie Centre de santéValcartier (CSV), capitaine de corvette Gauthier, et le médecin-chef dela base, capitaine de corvette Benzaid, ont accueilli le personnel du CSV
en leur offrant du café et des beignes à leur arrivée au travail. Avec leursourire et leur bonne humeur, ils se sont assuré que tous les employés com-mencent leur journée du bon pied. Une initiative très positive qui mérited’être soulignée!
LE 5 GBMC SALUE LE LIEUTENANT-GOUVERNEUR PIERRE DUCHESNE
– PHOTO : CPL FRANÇOIS CHARESTPendant ses huit années en tant que lieutenant-gouverneur, Pierre Duchesne s’est montré très présent pour lacommunauté militaire de Québec, n’hésitant pas à saluer les militaires avant leur départ pour l’Afghanistan.
PAR LE SOUS-LIEUTENANT DOMINIQUE TREMBLAYBureau des Affaires publiques, 5 GBMC
Le 24 septembre, Pierre Duchesneterminait un mandat de huit ans àtitre de 28e lieutenant-gouverneur duQuébec. La communauté militaire deQuébec ne peut passer sous silencel’ampleur de son implication auprèsd’elle.
Il faut savoir que le lieutenant-gouverneur entretient un lien étroitavec ses aides de camp militaires, ce quilui permet de bien connaître la réalitéparticu lière de la vie militaire.
M. Duchesne est vice-prieur ainsi que chevalier de justice de l’Ordre deSt-Jean, en plus de détenir le graded’officier de l’Ordre de la Pléiade. Le 6 février 2012, il reçoit la médaille duJubilé de diamant de la reine ElizabethII et collabore à une foule d’activités etde cérémonies qui soulignent cet événe-ment. D’ailleurs, il accordera et présen-tera lui-même plus de 900 médailles àla communauté militaire du Québec ensigne de reconnaissance.
Toujours prompt à contribuer à notrecommunauté, M. Duchesne a participéà plusieurs événements tant commé-moratifs qu’historiques. Il était présentaux départs en mission des troupes, ce qui a été grandement apprécié par
ceux et celles qui s’apprêtaient àrelever le grand défi que représente un déploiement à l’étranger. Il a égale-ment offert son soutien aux militaireset familles endeuillés pendant lesfunérailles de nos soldats qui ont donnéleur vie en théâtre opérationnel.
Le dévouement du lieutenant-gouverneur sortant est allé bien au-
delà du 5e Groupe-brigade mécanisé du Canada (5 GBMC). Sa présence auJour du Souvenir à la Base Valcartier,sur la colline parlementaire et en 2009à Vimy en France a démontré tout lerespect et l’intérêt qu’il accorde à laprofession militaire. Comme témoigna -ges des liens étroits qu’a entretenus
Pierre Duchesne avec notre organi -sation, notons sa participation au Balde l’armée, à la commémoration du 50e anniversaire du drapeau canadien,au 200e anniversaire des CasernesConnaught et au 100e anniversaire duCIC.
Le 5 GBMC a donc tenu par le biaisde cet article à souligner l’implicationet le soutien de M. Duchesne et à l’enremercier. «J’ai un lien très particulieravec Son Honneur, l’honorable PierreDuchesne, qui a été présent lors de mondépart pour la ROTO 3-10 ainsi qu’àmon retour. Il fut aussi présent lors maprise de commandement du 5 GBMC.Ces moments où le représentant de lareine Elizabeth II est venu me suppor -ter seront gravés dans ma mémoirepour toujours», confie le commandantdu 5 GBMC, colonel St-Louis.
Le 12 décembre, à la Citadelle de Québec, une céré-monie a souligné le départ du lieutenant-gouverneurdu Québec, Pierre Duchesne.
Surveillance par micro drone
CHEZ NOS VOISINS DU SUD...
Le PD-100 Black Hornet, un droneminiature extrêmement difficile àdétecter et possédant une capacité desurveillance hors pair, pourrait voirson utilisation s’accroître prochaine-ment au sein de l’Armée américaine.Un vétéran de la marine utilisateur duPD-100 Black Hornet, James Mitchell,recommande son utilisation. Ce drone,qui a le design d’un hélicoptère, estcapable de détecter les mouve mentsennemis, d’enquêter sur des objets sus-pects et d’aider les troupes à identifierce qui se trouve dans une bâtisse ou uncorridor avant de s’y engager. De plus, M. Mitchell explique qu’il est facile àutiliser. Il aurait appris à s’en servir en à peine 20 minutes. Ce petit appareilest doté de trois caméras pour fournir des images en temps réel. Le PD-100Black Hornet a une portée d’un kilomètre et peut grimper à plus de 3000mètres. Il est également très facile à transporter et peu encombrant. Sontemps d’utili sation varie entre 20 à 25 minutes, le même temps qu’il prend àrecharger. (S.L.)
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De gauche à droite : Adjuc Bruno Gilbert,Col (h) Gaëtan Gagné et Col Josée Robidoux.
– PHOTOS : CPLC N. COMEAU, 35 BON SVCDe gauche à droite : Col (h) Gaëtan Gagné, Adjuc Donald Pelletier, SMR sortant, Lcol Charles Teasdale, Adjuc JeanHamelin, SMR entrant, Lcol (h) Gaston Allicie
11ADSUM, 7 OCTOBRE 2015
Droit de cité du 35 Bon Svcdans la ville de Québec
PAR LE LIEUTENANT NANCY DÉSORMEAUX-BÉLAND35e Bataillon des services
Le 35e Bataillon des services (35 BonSvc), qui fête cette année son 50e
anniversaire de fondation, a défilédans les rues de la ville de Québec le12 septembre afin d’y exercer sonDroit de cité.
L’octroi du Droit de cité par unemunicipalité est l’un des honneurs lesplus estimés pouvant être conférés àune unité militaire. Cette tradition,vieille de plusieurs siècles, est en faitune marque d’estime et d’affection que les citoyens d’une ville rendent àune unité militaire. Le Droit de cité signifie littéralement l’octroi du privi -lège de défiler pour toujours dans lesrues de la ville avec «tambours bat-tants, drapeaux flottants et baïonnet -tes aux canons».
Les membres du 35 Bon Svc, accom-pagnés de la Musique des Voltigeurs de Québec, se sont réunis au parc del’Artil lerie, emplacement du premiermanège du bataillon, à partir d’où ilsont défilé dans la rue Saint-Jean etdans la côte de la Fabrique, afin de serendre devant l’hôtel de ville de Qué -bec. Le défilé s’est déroulé en suivant la cadence de la marche régimentairedes unités de soutien au combat inter-prétée par les musiciens. La parade aété accueillie chaleureusement par lespassants.
Une fois sur place, deux gardes, l’unecomposée d’anciens membres du batail-lon et l’autre de cadets, se sont jointesau bataillon pour représenter son passéet son avenir. Par la suite, le comman-dant de l’unité, lieutenant-colonelCharles Teasdale, a été reçu par PatrickVoyer, membre du comité exécutif de la Ville. Après l’inspection des troupes,M. Voyer a prononcé un discours appré-
cié auquel a répondu le Lcol Teasdale.Finale ment, le 35 Bon Svc et les deuxgardes invitées ont défilé devant l’hôtelde ville avant de quitter les lieux.
L’octroi du Droit de cité de la ville de Québec au 35 Bon Svc remonte au 7 mai 2000.
– PHOTO : CPLC HALLÉ, 35 BON SVCLe lieutenant-colonel Teasdale et les membres du 35 Bon Svc en marche dans les rues de Québec.
CHANGEMENT DU SMR AU 35 BON SVCPAR LE LIEUTENANT NANCY DÉSORMEAUX-BÉLAND
35e Bataillon des services
C’est au Complexe militaire Saint-Malo qu’a eu lieu le 8 septembre lechangement de sergent-major régi-mentaire (SMR) du 35e Bataillon desservices (35 Bon Svc) entre l’adju-dant-chef Donald Pelletier et l’adju-dant-chef Jean Hamelin.
Se déroulant devant de nombreuxinvités, le rassemblement a égalementservi à remettre des décorations desForces canadiennes, une mention élo-
gieuse, des brevets d’officier, un certifi-cat honorifique ainsi que de nombreu -ses promotions.
La soirée a débuté par l’arrivée ducommandant du 35e Groupe-brigade du Canada (35 GBC), colonel JoséeRobidoux, accompagnée du sergent-major du 35 GBC, adjudant-chef BrunoGilbert. Le Col Robidoux a remis àGaëtan Gagné, colonel honoraire du 35 Bon Svc, la décoration des Forcescanadiennes pour ses 12 années debons et loyaux services. Elle a ensuitedonné une mention élogieuse au capo-ral Guillaume Nadeau afin de souli -
gner son implication au sein de l’unité,son travail d’ambulancier ainsi que sa contribution à la division du Québecde la Société canadienne de la scléroseen plaques et d’Héma-Québec. Finale -ment, le commandant a remis à l’AdjucHamelin sa promotion à son gradeactuel, ce qui a permis de procéder auchangement de SMR le soir même.
Après quatre ans, l’Adjuc Pelletier acédé sa position à titre de SMR du 35 Bon Svc à l’Adjuc Hamelin afin derelever de nouveaux défis à l’École debrigade du 35 GBC. C’est avec enthou-
siasme et émotion que le nouveau SMRa remercié son prédécesseur.
Cette même soirée a permis de souli -gner l’implication du major JacquesBoucher au sein de l’unité, alors qu’il areçu le certificat du Service de la logis-tique, faisant de lui un membre del’Ordre des compagnons logisticiens.
En plus de ce qui a été mentionné plushaut, la décoration des Forces cana -diennes pour 12 ans de bons et loyauxservices a été remise aux membres du35 Bon Svc suivants : Sgt P. Chamard,Sgt A. Thibault, Cplc B. Caron, Cpl J. Pitl et Cpl S. Rioux. De plus, les Lt F. Fortin et W. Ouedraogo ont reçu leurbrevet d’officier. Enfin, la remise denombreuses promotions a clôt la soirée.
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12 ADSUM, 7 OCTOBRE 2015
IL FAUT UN VILLAGE OU SIXSystème d’instruction sur les opérations en zone urbaine de l’Armée canadienne
PAR LYNN CAPUANOAffaires publiques de l’Armée
Il faut parfois un village pour entraî -ner l’Armée canadienne au combatrapproché en zone urbaine – et, enfait, l’Armée en a six.
L’Armée canadienne (AC) continuede préparer l’Armée de demain en aménageant des villages d’entraîne-ment à la guerre en zone urbaine danscertaines de ses bases militaires – aux-quels sont intégrés des effets spéciauxcomme le faisceau intense d’une déto-nation, le son angoissant des tirs d’ar-tillerie et l’odeur âcre des explosifs.
La guerre transporte le militaire peuimporte où se trouve l’ennemi, et celasigni fie que les combats rapprochésdans des villes et des villages ont été etcontinueront d’être courants dans denombreux conflits. Comme le dit le pro -verbe, c’est en forgeant qu’on devientforgeron. C’est donc en s’entraînant aucombat que les militaires accroissentleurs niveaux de compétence et de con-fiance qui leur permettront de faireface aux réalités d’un réel combat enzone urbaine.
Dans le but de peaufiner ses tacti -ques, techniques et procédures en zoneurbaine, l’AC aménage des paysagesurbains en béton et les améliore enajoutant des effets spéciaux comme despoints de vue, des sons et des odeursréalistes.
Le Système d’instruction sur les opé -rations en zone urbaine (SIOZU) comptesix villages de taille réelle établis dansdes bases militaires canadiennes, soit àEdmonton, à Shilo, à Petawawa, à Val -cartier, à Gagetown et à Wainwright.
Les installations du SIOZU sont con -çues pour accueillir simultanément deséquipes adverses totalisant jusqu’à250 militaires avec leurs véhicules etleur équipement.
La plus grande installation du SIOZUdevrait être prête à l’automne 2017 àWainwright. Elle représente 50 pourcent du budget d’infrastructure debase, excluant l’équipement pour leseffets spéciaux. Lorsqu’elle sera termi -née, l’installation comptera entre 18 et23 bâtiments de taille réelle. AVEC EFFETS SPÉCIAUX
En mai 2012, on a approuvé l’octroide 140 M$ pour la mise en œuvre dunouveau système. Les entrepreneursrégionaux construisent les bâtimentsdans les bases, mais la conception descapteurs et des simulateurs d’effetsspéciaux a été confiée à l’entreprise
Cubic Defense Application (CDA). LeSIOZU fait partie d’un système de simulation plus vaste connu sous lenom de Simulateur d’effets d’armes(SEA), dont une partie est égalementréalisée par CDA.
On retrouve des installations d’ins -truction sur les opérations dans lesbases canadiennes depuis un certaintemps déjà. Avant le SIOZU, l’AC seservait d’un amalgame de simples con-treplaqués ou de structures de blocs de béton de mâchefer, de conteneursd’expédition en métal et de bâtimentsexcédentaires dans lesquels on ne trou-vait aucun instrument ni capteur. Dansde nombreux emplacements, la plupartdes bâtiments du SIOZU sont terminés,il ne reste que l’étape de l’instrumenta-tion afin d’atteindre la capacité opéra-tionnelle finale. Certains bâtiments ontégalement été rénovés et mis à niveauafin de faire partie du SIOZU.
«À ma connaissance, c’est la premièrefois que l’Armée dispose de sites desti -nés à l’entraînement avec des installa-tions qui sont expressément construitespour le combat en zone urbaine», adéclaré le major S.J. (Sam) Pollock dela section de la Politique de simulationdu Centre de doctrine et d’instructionde l’Armée canadienne à Kingston, enOntario. «L’instrumentation électroni -que est une nouvelle réalité pour l’AC.»
Des capteurs, qui sont soit déclenchéspar les militaires durant un scénario,soit activés à distance par des opéra-teurs, permettent de produire des effets
comme de la fumée ou le faisceau et lebruit d’un tir d’arme. «Une génératriceproduira une odeur au besoin, alors sil’on simule un barrage d’artillerie, elleproduira la fumée et le bruit qui vousdonneront l’impression que vous venezde subir un barrage d’artillerie. Voilàl’idée», a-t-il déclaré.
«L’instrumentation à l’intérieur desbâtiments crée un environnement plusréaliste et elle permet de consigner lesleçons retenues – nous pouvons revoircomment les militaires s’en sont tirés ets’ils ont correctement mis en pratiqueles tactiques qu’ils ont apprises», adéclaré le Maj Pollock. «Cela apporteune capacité extraordinaire à l’AC.»
Des scénarios complexes ont étéélaborés afin de parfaire la capacité desmilitaires à mener des missions diffi-ciles dans des environnements urbainscomplexes. Les scénarios ne se résu-ment pas à engager le combat avec l’ennemi, ils comprennent des élémentshumains et culturels aussi réels quepossible, notamment fournir de l’eaupotable à la population ou superviser la livraison de nourriture dans des con -ditions dangereuses.
«Le commandant peut même déciderd’interrompre le jeu et de discuter de cequi vient de se passer. Puis, le scénarioreprend», a-t-il fait remarquer. «Il sepeut aussi qu’il ne veuille pas briser le rythme, et qu’il décide d’attendre à la fin. C’est flexible et il n’y a pasqu’une seule bonne façon de procéder.La décision revient au commandant quidirige l’entraînement.»COMME UN VRAI VILLAGE
Les structures bâties sur mesurecomptent d’un à trois étages équipésd’appareils électroniques. Il y a notam-ment un hôtel de ville, un immeublegouvernemental, des maisons en ran -gée, une école, des entrepôts, un postede police, une banque, un bâtiment reli -gieux, une station-service, des appar te -ments et des usines.
«Il y a donc toute sorte de types debâtiments, et selon la taille du site, il yaurait une sélection de ces bâtiments»,a expliqué le Maj Pollock. «Le voletinstrumentation du système est pres -que tout aussi important, du point devue des coûts, que l’infrastructure.»
L’entraînement du SIOZU met en jeudeux forces d’opposition. Les soldatsportent des vêtements militaires debase munis de capteurs qui indiquentlorsqu’un soldat est considéré comme
blessé, y compris la nature des blessu -res, permettant ainsi à ses coéquipiersde mettre en pratique leurs aptitudesmédicales. On prévoit également inté-grer l’utilisation des véhicules auSIOZU afin d’accroître l’expérience etde veiller à ce que les tactiques soientmises à l’essai dans un environnementle plus réaliste possible.
«Lorsque les gens s’entraînent, leniveau d’adrénaline est – sans aucundoute – très élevé. Ils ne font pas queparticiper à une simple répétition. Pournous, la simulation permet de fairevivre aux soldats une expérience aussiréelle que possible, et s’ils s’y inves -tissent réellement, cela peut devenirtrès physique et les niveaux de stress etd’activité peuvent être très élevés.Ainsi, lorsqu’ils seront confrontés à lasituation réelle, ils seront mieux pré-parés sur le plan mental et physique»,a-t-il expliqué. DES TACTIQUES QUI NE DATENT PAS D’HIER
L’entraînement de l’ère moderne surles opérations en zone urbaine continuede tirer profit de l’innovation cana -dienne, et pourrait bien puiser sesracines dans les tactiques de guerreurbaine inventées par les militairescanadiens durant la Seconde Guerremondiale.
«Le combat dans les rues n’a rien denouveau et les opérations en zoneurbaine, par nécessité, sont une com-posante de l’instruction depuis très, trèslongtemps», a mentionné le Maj Pollock.
«À titre d’exemple, Ortona a repré -senté une bataille célèbre de la SecondeGuerre mondiale dans le cadre delaquelle les Canadiens ont adopté destactiques qui étaient en fait de nou-velles façons de combattre de bâtimenten bâtiment», a déclaré le Maj Pollock.Il a ajouté qu’une exposition au Muséecanadien de la guerre à Ottawa illustrecette bataille.
Parmi les installations expressément construites pour le combat en zone urbaine à la base d’Edmonton, ce bâti-ment imite un immeuble à logements.
Le village urbain utilisé pour la formation à Valcartier.
– PHOTOS : ©2015 DND-MDN CANADA.
L’intérieur de ce bâtiment a été calqué sur celui d’unmagasin… Moins la marchandise bien sûr.
L’une de ces tactiques a été les «trousde souris» utilisés pour la première fois par l’Armée canadienne à Ortona àla fin de décembre 1943. Afin d’éviterl’ennemi dans les rues périlleuses decette ville d’Italie, les membres de la1re Division d’infanterie de l’Arméecanadienne ont dynamité des trousdans les murs de bâtiments afin depouvoir se déplacer de façon sûre sansêtre vus. Comme de nombreux bâti-ments d’Ortona avaient des mursmitoyens, les Canadiens pouvaient serendre très loin dans les bâtimentssans avoir à en sortir et être la cible desadversaires allemands.
La guerre en zone urbaine n’a peut-être rien de nouveau, mais les métho -des d’entraînement de l’Armée dans cedomaine ont certainement tiré profit dela technologie actuelle et de l’innova-tion canadienne.
«Il s’agit sans contredit d’un envi -ronnement dans lequel nous pouvonsnous attendre à devoir mener desopérations et c’est pourquoi les sitesnous permettront de nous entraînerdans l’environnement le plus réalistequi soit. L’instrumentation améliorel’expérience et fait en sorte que les genspuissent recevoir le meilleur entraîne-ment qui soit», a-t-il déclaré. «Et quisait ce que l’avenir nous réserve.»
13ADSUM, 7 OCTOBRE 2015
PRUDENCE DANS LES ZONES SCOLAIRESPAR SIMON LEBLANCJournal Adsum
Comme les futurs conducteurs l’appren-nent dans leurs cours de conduite, lavigi lance est de mise dans une zone sco -laire. Cer tains automobilistes semblentavoir oublié leurs responsabilités à cetégard lorsqu’ils circulent aux abordsdes écoles Alexander-Wolff et Dollard-des-Ormeaux. Leur comportement metla sécurité des enfants en péril.
Informé de cette situation par lapolice militaire, votre journal a commu-niqué avec la Sûreté du Québec qui est responsable de ce secteur. L’agentede police Nathalie Castonguay nous abrossé un portrait du problème.
Premièrement, plusieurs automo-bilistes dépassent la limite de vitessede 30 km/h qui doit être respectée dansune zone scolaire. Au point que la SQenvisage maintenant de mener des opé -rations radar dans le secteur. Les con-trevenants s’exposent à des amen dessalées (voir l’encadré).
Autre problème constaté, le fait queplusieurs parents immobilisent leurvéhicule à n’importe quel endroit lelong des rues, qui sont étroites. Celaralentit la circulation et pose un risque
duisent jusqu’à la porte, ce qui créé de lacongestion à cet endroit. Mme Caston -guay conseille aux parents de s’assurerque l’enfant soit prêt à sortir avec son sac et sa boîte à lunch lors qu’ilsarri vent à l’école. Le tout ne devraitprendre que quelques secondes. Etpourquoi ne pas partir un petit cinqminutes d’avance? Cela peut faire toutela différence, voire éviter un incidentmalheureux.
«C’est primordial de respecter leslimites de vitesse, de suivre les direc-tives données pour le débarcadère etd’user de patience. De nos jours, nousavons à attendre partout», voici lestrois points importants que soulève ledirecteur de l’école Alexander-Wolff,François Couturier.
Finalement, il est interdit d’emprun -ter les sens uniques des autobus à contre-sens comme plusieurs le fontactuellement.
pour les enfants. L’agente Castonguayrappelle que des brigadières sont surplace pour les faire circuler de façonsécuritaire. Il est donc primordial delais ser les enfants emprunter les trot-toirs et se laisser guider par les person-nes dont c’est le travail.
Lorsqu’une brigadière s’avance surun passage pour piétons en brandissantson panneau d’arrêt, c’est le signal quedes enfants s’apprêtent à traverser la
rue. Les automobilistes ont l’obligationde s’arrêter. D’ailleurs, le Code de lasécurité routière donne priorité auxpiétons aux passages réservés à ceteffet. C’est donc le meilleur endroit àemprunter pour traverser une rue.
La congestion qui se produit audébar cadère du service de garde de l’école Alexander-Wolff soulève égale-ment des inquiétudes. Des parentsdébar quent avec leur enfant et le con-
– PHOTO : SIMON LEBLANC, ADSUMLa zone scolaire des écoles de la communauté militaire de la Base Valcartier esttrès achalandée aux heures de pointes. Soyez prudent pour la sécurité des jeunes.
SECONDES GAGNÉES,ARGENT PERDU!
Dans une zone scolaire, un automobiliste roulantà 50 km/h pourrait se voir imposer une amendede 55 $ et perdre un point d’inaptitude. À 60km/h, ce montant grimpe à 105 $ et deux pointsd’inaptitude sont retirés. À 70 km/h, c’est 350 $et six points d’inaptitude... À noter que des fraiss’ajoutent à ces montants.
LES ARMESConnaissez-vous les armes des Forces armées canadiennes(FAC)? C’est le temps de le savoir! Associez les noms auximages et aux descriptions de ces quelques armes des FAC.
CONNAISSEZ-VOUSVOTRE ARMÉE?
1. Mitrailleuse lourde Browning M2
2. Mitrailleuse semi-lourde C6
3. Fusil automatique C7A2
4. Carabine C8A3
5. Mitrailleuse légère C9A2
A. Capable de tirer en mode coup par coupou en mode automatique, cette arme estl’arme personnelle des FAC. Elle a une por -tée de tir maximale de 550 mètres et peutfacilement être démontée à des fins d’ins -pection et de nettoyage. Il s’agit d’une armeà main contrôlée à l’aide de l’épaule.
B. En mode automatique, cette arme peutêtre alimentée par la gauche ou la droite.Elle est principalement utilisée commearme d’appui d’infanterie. Le tir se faithabituellement en position couchée à l’aided’un bipied réglable.
D. Disposant d’un système de visée holo-graphique pour le combat rapproché, cettearme des FAC est utilisée comme arme per-sonnelle lorsqu’il n’est pas possible d’uti -liser le fusil automatique C7A2. Sa signa tureinfrarouge est faible et elle possède unecrosse extensible.
C. La cadence de tir maximale de cettearme est de 1100 balles par minutes. Ellepeut être transportée par des militaires àpied ou être montée sur un véhicule blindé.Elle est limitée au mode de tir entièrementautomatique en position culasse ouverte.
E. Cette mitrailleuse lourde polyvalente estalimentée par bandes-chargeurs et peuttirer des munitions perforantes et traçantesà partir d’un véhicule blindé ou du sol. Lorsde missions débarquées, elle fournit le tird’appui.
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14 ADSUM, 7 OCTOBRE 2015
DE L’INFORMATION SUR MESUREPOUR LES NOUVEAUX ARRIVANTSLe 30 septembre, 72 militaires nouvellement arrivés sur la Base Valcar -
tier ont eu l’occasion d’en apprendre davantage sur les différents ser -vices offerts dans la Base Valcartier. En effet, le coordonnateur de la
base, major Christian Martin, dirigeait une séance d’information destinéeaux nouveaux arrivants. Se déroulant dans le théâtre de l’Académie, laséance accueillait différents intervenants qui ont profité de cette tribunepour présenter les services de l’entité qu’ils représentent. L’information anotamment porté sur les Programmes de soutien du personnel (PSP), leCentre de la famille Valcartier (CFV), la Cellule de coordination de soutienau déploiement (CCSD), le logement, le programme de Soutien social – bles -su res de stress opérationnel (SSBSO) et l’Unité intégrée de soutien du personnel (UISB). Ce type de rencontre est une belle occasion de découvrirl’étendue des services proposés à la communauté militaire et les nouveautésoffertes. Deux autres rencontres d’information pour les nouveaux arrivantssont prévues, une en anglais le 8 octobre et une autre en français le 25novembre, toujours à l’Académie, dès 13 h 30. (S.L.)
– PHOTOS : CPL DARCY LEFEBVRE, CAMÉRA DECOMBAT DES FORCES CANADIENNES
Le caporal-chef Adams, instructeur à l’École d’infanterie de Gagetown, assure
la sécurité pendant que d’autres candidats du cours d’éclaireurs patrouillent dans
les environs (27 septembre, Albert Head,Colombie-Britannique).
L’entraînement des éclaireurs inclut les opérations tactiques amphibies. Ci-dessus, le caporal Labrecque
du 3e Bataillon, Royal 22e Régiment (27 septembre,Albert Head, Colombie-Britannique).
ARRÊT SUR IMAGESDes membres des Forces armées canadiennes ont participé à
un cours d’éclaireurs à Petawawa, en Ontario, et à Albert Head, en Colombie-Britannique, entre le 20 et le 27 septembre.
Saut en parachute d’un hélicoptère CH-147 Chinook dans la zone de largageAnzio (21 septembre, Petawawa, Ontario).
Exercice de descente rapide depuis un hélicoptère CH-146 Griffon
(20 septembre, Petawawa, Ontario).
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maintenant le CCSD
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– PHOTO : SIMON LEBLANC, ADSUM
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PAROLESD’AUMÔNIER
LES AVEZ-VOUSRECONNUS?
PAR ANNE MORRISSETTEAumônier militaire, 5 RGC
Avez-vous déjà vu le film «La dernièrechance»? Tiré d’une histoire vraie, ilmet en vedette Laura Dern et EllenBurstyn. Ce film, sorti en 2001, racontel’histoire d’une jeune religieuse qui pro-pose de faire dresser des chiens par desfemmes détenues dans un établissementcarcéral. Ces chiens une fois dressésseront destinés à aider des handicapés.«Trois d’entre elles sont sélectionnéeset réussissent à mener à bien un pro-gramme de dressage devenu leur rai-son de vivre et d’espérer», peut-on liredans le résumé du film sur AlloCiné.
Je ne vous dévoilerai pas le punch, aucas où vous voudriez le louer (quoiquedifficile à trouver). Je dirai simplementque la présence des chiens transformepetit à petit tout ce milieu plutôt dur.
Quand j’ai vu le film, cela m’a rappeléun événement que j’ai moi-même vécuil y a bon nombre d’années. Ce jour-là,les choses n’allaient pas très bien pourmoi. Je me suis assise sur ma galerieun peu découragée, ne sachant plus quoifaire. C’est alors que le chat du voi sinest venu s’installer sur mes genoux ets’est mis à ronronner… C’était la pre-mière fois qu’il faisait cela et pourtant,ça faisait quelques années que nousétions voisins! Cette petite bête m’aconsolée et m’a fait oublier ma peine.Certains diront que c’est le fruit duhasard. Peut-être, mais moi je croisqu’il avait senti ma peine et j’ai remer-cié le Ciel de nous donner ces petitesbêtes qui nous entourent et qui nouscomprennent.
Vous me pardonnerez de faire l’au -mô nier(e) (après tout, fonction oblige!),mais je crois aux anges que la vie metsur notre chemin. Ils n’ont pas souventdes ailes ou des auréoles. Ils sont plusnombreux que l’on croit. Parfois, ilsprennent la figure d’une voisine quinous offre des muffins alors qu’on vit une épreuve, parfois ils ressemblentà un collègue de travail qui nousdemande «comment ça va» et prend letemps d’entendre notre réponse alorsqu’on passe une période difficile. Ou lesanges prennent simplement la formed’un inconnu qui nous souhaite unebonne journée et nous offre son sourire,ou même d’une fleur sur un pavé debéton ou dans la poussière d’un campe-ment militaire… Oui, ils sont nom-breux, ces anges qui nous entourent…Faut juste savoir les reconnaître. Lesavez-vous reconnus?
LA DEUXIÈME ÉDITION DE LA COURSE TOPFUN 2600ACCUEILLE PLUS DE 200 PARTICIPANTS
La deuxième édition de la courseTopfun 2600 s’est conclue le 28 sep-tembre, sous un soleil radieux. Plusde 200 personnes ont franchi la ligned’arrivée de cette activité organiséepar le Corps de cadets 2600 deRochebelle.
Le président d’honneur de la courseétait Jean Soulard, chef cuisinier derenom et grand adepte de la course àpied. M. Soulard a d’ailleurs pris ledépart de 10 heures en compagnie despremiers coureurs!
Les participants ont ainsi complétéun parcours de cinq kilomètres, origi-nal par son trajet et amusant par lesdéfis qu’il offrait. Ils ont dû surmonterprès de 15 épreuves diverses, qui les
ont fait ramper, monter, sauter… oumême glisser! En plus d’un parcoursrenouvelé, les jeunes de moins de 10 anspouvaient prendre le départ, accom pa -gnés d’un adulte. Dans la journée, ilétait aussi possible de s’initier à l’esca -lade et au biathlon, en collaborationavec le Club de biathlon civil Courcelette.
Petits et grands étaient invités à relever le défi de lacourse Topfun 2600.
Des cadets impliqués dans la communauté
Plus de 150 cadets de Québec, de Portneuf, de la Rive-Sud et de Lotbinièreont mis l’épaule à la roue les samedi et dimanche 19 et 20 septembre, lorsde diverses activités communautaires se tenant notamment à la Ferme
maraîchère de Lotbinière ainsi qu’au Marché public de Val-Bélair. Samedid’abord, les cadets ont amassé des articles scolaires pour les jeunes de la région,en partenariat avec le Club Kiwanis de Val-Bélair. Dimanche, les cadets ontpris plaisir à cueillir des légumes tout au long de la journée, légumes qui ont étédistribués sous forme de paniers à des familles dans le besoin. Cette activité aété réalisée en collaboration avec l’organisme Défi jeunesse et son projet«Moissonneurs solidaires». Cette mobilisation, étendue à toute l’échelle de laprovince, s’inscrit dans le cadre d’une activité rassembleuse appelée «Les cadetsdans la communauté». Pour leur part, les cadettes Rosalie et Alexane Gagné ducorps de cadets 2847 Haute-St-Charles ont bien apprécié leur expérience : «Ilest toujours agréable de s’impliquer pour aider les autres, surtout en travaillanten équipe», soulignent-elles.
Le cadet Mathieu Aubé, du corps de cadets 2846 Richelieu L’Ancienne-Lorette, en pleine action lors de la cueil-lette de légumes en collaboration avec l’organisme Défi jeunesse et son projet «Moissonneurs solidaires».
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QU’EST-CE QUE LA DORSALGIE ? La dorsalgie est souvent occasionnée par une mauvaise mécanique des articulations de la cage thoracique et les os qui s’y rattachent. Cette condition est généralement due à un mauvais mouvement de l’articulation qui se traduit par unedouleur au thorax soit comme un point aigu, soitcomme une douleur lancinante dans cette région.
LES CAUSES DE LA DORSALGIEN’importe qui peut être affecté par une dorsalgie.Effectivement, elle peut être causée par un accident, un travail répétitif, de mauvaises positions, une modification de la posture lors de la grossesse ou la pratique de sports de contact. Le manque d’exercice peut contribuer à une faiblesse musculaire de la colonne dorsale et ainsi solliciter davantage les tissus de soutien (ligaments et capsules). Plus les tissus de soutien sont surutilisés et s’irritent, plus le système nerveux adjacent commence à fonctionner anormalement. Lorsque la colonne vertébrale ne fonctionne pas bien, elle devient une interférence à la libre circulation des informationsvéhiculées par le système nerveux.
AGISSEZ SANS TARDERPeu importe l’endroit où se situe la douleur, il n’y a aucune fierté à endurer son mal. Unedouleur traitable, mais que vous ignorez peutdevenir chronique. La correction de l’articulationsubluxée permettra de réduire l’inflammation. Plusvous traiterez les symptômes rapidement, plus laguérison sera rapide et le besoin de recourir à dessolutions chimiques sera diminué. Un docteur enchiropratique peut vous aider à traiter le problème,optimiser votre rétablissement et surtout, prévenirsa réapparition !
VAUT MIEUX PRÉVENIR QUE GUÉRIRVous souffrez de maux de dos, de cou, de douleurs au nerf sciatique, aux épaules ou aux jambes ? Consultez le Dr Vincent Robert, chiropraticien sans tarder! Il procèderaà une évaluation complète de votre colonne vertébrale.À la suite de l’examen complet, il vous orientera vers leservice le plus approprié pour votre condition. Un suivirégulier chez le Dr Vincent Robert, chiropraticien, permet d’identifier les sources possibles de dysfonctions vertébrales et ainsi prévenir l’apparition de problèmes futurs.
DORSALGIE
16 ADSUM, 7 OCTOBRE 2015
Toute correspondance doit être adressée à la rédactrice enchef. Les demandes de publication doivent être ache mi néespar courrier élec tronique à +adsum@forces.gc.ca. Soumet -tre les textes en format Word et les photos en jpg.
La rédactrice en chef se réserve le droit de rejeter ou demodifier tout matériel rédactionnel ou publicitaire. Lesauteurs des textes ne seront pas nécessairement avisésdes modifications apportées à leurs textes. Les articlespubliés dans ce journal sont la propriété de l’Adsum et nepourront être publiés, utilisés ou reproduits sans l’autori-sation de la rédactrice en chef ou de l’auteur.
Abonnement : 20 $ par année (22 éditions) plus taxesGRATUIT pour les militaires et les employés civils du MDN.
ISSN 0705-0992
Journal Adsum, Base Valcartier, bât. 516C.P. 1000, succ. Forces, Courcelette (Québec) G0A 4Z0Tél. : 418 844-5000, poste 5598 • Fax : 418 844-6934Courriel : +adsum@forces.gc.caSite Web : www.journaladsum.comFacebook : www.facebook.com/JournalAdsum
Le journal Adsum est une publication non officielle publiée un mercredi sur deux avec la permission du Comman dant du Groupede soutien de la 2e Division du Canada. Les opinions et les pointsde vue exprimés dans ce journal ne sont pas nécessairementceux du MDN, des FAC et des SBMFC/ Personnel des FNP.
TIRAGE : 4200 copies
ÉDITEUR : Colonel Sébastien Bouchard, commandant GS 2 Div CA
CONSEILLÈRE MILITAIRE : Capitaine Julie Brouillette, OAP
RÉDACTRICE EN CHEF : Caroline Charest• Tél. : 418 844-5000, poste 5672• Courriel : caroline.charest@forces.gc.ca
JOURNALISTE : Simon Leblanc• Tél. : 418 844-5000, poste 6656• Courriel : simon.leblanc@forces.gc.ca
CONSEILLÈRE EN PUBLICITÉ : Isabelle Blouin• Tél. : 418 254-2448• Courriel : iblouin-pubadsum@bell.net
COMMIS D’ADMINISTRATION : Séverine Lugnot• Tél. : 418 844-5000, poste 5598• Courriel : severine.lugnot@forces.gc.ca
INFOGRAPHISTE : Philippe Dionne-Raymond• Tél. : 418 844-5000, poste 6656• Courriel : production_journalvalcartier@videotron.ca
44E ANNÉE, NO 09, MERCREDI 7 OCTOBRE 2015
PROCHAINE PARUTION : 21 OCTOBRE 2015TOMBÉE : 13 OCTOBRE 2015
A program of CFMWSUn programme des SBMFC
CFNA AJFCCanadian Forces Newspaper Association
Association des journaux des Forces canadiennes
– S E C U R I T A S ––
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JOURNAL ADSUMUne quinzaine de boîtes à journauxont été installées dans le secteur
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de Postes Canada.
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porte des logements.
Tenez-vous informé de ce qui se passe dans la communauté militaire et de ce qui s’en vient
en vous procurant la plus récenteédition du journal Adsum.
N’hésitez pas à nous faire part de tout commentaire
au sujet de notre distribution soit par courriel à
+adsum@forces.gc.ca, soit en composant le
418 844-5000, poste 5672.
CATHOLIQUES ET PROTESTANTS INAUGURENT LEUR CHAPELLE COMMUNE
PAR SIMON LEBLANCJournal Adsum
C’était jour de fête à la chapelle dela Base Valcartier, le 20 septembre,alors que les communautés catholi queet protestante se réunissaient pourofficialiser le partage de ce lieu deculte.
Pour l’occasion, une célébrationœcuménique se tenait à 10 heures pen-dant laquelle catholiques et protestantsont pu prier en commun.
Par la suite, l’assemblée a assisté à la plantation d’un chêne aux abords dela chapelle, près du «banc de l’amitié».Ce geste symbolisait les liens d’amitiésolides que souhaitent créer les deuxcommunautés de croyants, maintenant
réunies sous un même toit. «On nepartage pas des locaux, on partageaussi une même confiance, une mêmeespérance et une même foi en dieu»,précise l’aumônier principal, majorJean-Guy Morin.
Quelques dignitaires étaient présentspour cette inauguration, dont le chef d’état-major du 5e Groupe-brigade méca -nisé du Canada (5 GBMC), lieutenant-colonel Frédéric Pruneau, le sergent-major intérimaire du 5 GBMC, adjudant-maître André Lamarre, du Groupe desoutien de la 2e Division du Canada,Maj Annie Viens, et de l’aumôneriegéné rale à Ottawa, brigadier-généralGuy Chapdelaine. Ce dernier a d’ail -leurs présidé la prière du matin.
Après la plantation du chêne, uneaire de rassemblement construite par
LA POLICIÈRE COMMUNAUTAIRE, UNE EXTRATERRESTRE?PAR LE CAPORAL AURÉLIE RÉGYPolicière communautaire
Est-ce une policière répressive? Est-ce une policière quiémet que des constats d’infraction? Ou est-ce une policièrequi s’occupe de vous et de votre famille?
Une policière communautaire au sein de la communautémilitaire, voilà qui peut paraître intriguant! Quel est sonrôle au juste? La fonction de policière communautaire a été mise en place pour faire le lien entre la communauté etla police. Ses activités consistent à organiser des campagnesde sensibilisation, à lancer des projets qui touchent jeunes etparents, à trouver des moyens de se rapprocher du citoyen
au quotidien, et ce, en collaboration avec les autres organis -mes du milieu tels le Centre de la famille Valcartier, le clubjeunesse Le Repaire, les Programmes de soutien au person-nel, le comité des résidents, les écoles, etc.
En bref, la policière communautaire est là pour vous, pourvous aider, vous conseiller et vous guider. Peu importe lesquestions que vous vous posez concernant la loi, le Code dela route, la sécurité des sièges d’auto, la drogue ou l’intimi-dation à vos enfants, on peut y répondre et vous fournir dela documentation pour vous aider dans votre cheminement.La police communautaire est bien outillée et prête à vousrecevoir dans ses locaux qui se trouvent au Centre commu-nautaire de la Base Valcartier, au bâtiment 93.Venez nousrencontrer!
le service du Génie était égalementinaugurée par une coupure de ruban. Ily avait des jeux pour les enfants, desanimaux et un barbecue pour conclurele tout.
Le Maj Morin s’est dit très fier dudéroulement de la jour née et heureuxdes commentaires positifs qu’il a reçusde mili taires présents.
Rappelons que le 18 janvier, unréaménagement des chapelles de laBase Valcartier était entrepris. Lachapelle St. Alban, où se recueillaientles protestants, a été démolie au moisde février. Ce sont des raisons budgé-taires qui ont poussé les dirigeants àréduire le parc immobilier afin de dimi -nuer les dépenses d’infrastructure.
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14 OCTOBRE 21 OCTOBRE 26 OCTOBRE
BLOC-NOTESL’ABC DU GRIMPEUR
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COLLECTE DE SANGUne collecte de sang, organisée par la
5e Ambulance de campagne, se tiendrale jeudi 22 octobre de 9 h à 16 h auCentre des sports (bât. 516) de la BaseValcartier. Prière de ne pas vous pré -senter en gros groupe pour éviter decréer de longs délais d’attente. Consi -gnes : 18 ans et plus; pièce d’identitéexigée; bien s’hydrater et manger avantle don; attendre six mois avant le don siperçage ou tatouage.
OPTION SANTÉProgramme de la Promotion de la
santé pour une saine alimentation abor -dant les portions, les étiquettes nutri-tionnelles, les menus de restaurant, lescollations, les fausses croyances sur laperte de poids et les produits naturels.Offert les vendredis 23 octobre, 20novembre et 18 décembre de 8 h 30 à 12 h avec un cours en soirée le 28 octo-bre de 18 h 30 à 20 h 30 au Centre dessports (bât. 516) de la Base Valcartier.Info : 418 844-5000 # 4677. Courriel :promosante.valc@forces.gc.ca.
HALTÉROPHILIEDéveloppement de la technique :
niveau 1 intermédiaire, le 26 octobre de10 h à 15 h 30. Perfectionnement de lapuissance : niveau 2 avancé, le 28 octo-bre de 13 h 30 à 15 h 30 au Centre dessports de la Base Valcartier. Militaireset membres PSL adultes. Inscriptionau plus tard la veille au 418 844-5000 #5791.
SAINE ALIMENTATIONAtelier qui vous permet d’effectuer
des choix en frais de saine alimentationet vous procurera des trucs afin de rendre cette notion simple, facile etrapide. Offert le mercredi 28 octobre auCentre des sports de la Base Valcartierde 18 h 30 à 20 h 30. Inscription au plustard 5 jours avant l’atelier au 418 844-5000 # 4677.
CONCERT-BÉNÉFICE DE LAMUSIQUE DU ROYAL 22E RÉGIMENT
Concert-bénéfice de la Musique duRoyal 22e Régiment le mardi 10 novem-bre à 20 h, à la Salle Raoul-Jobin duPalais Montcalm. Hommage aux com-battants de la Guerre 14-18 ainsi qu’auxpremiers répondants morts en service.Répertoire classique rappelant la Pre -mière guerre mondiale et artiste invité,l’organiste Richard Paré. Profits versésà l’organisme La Vigile. Billets au coûtde 42 $ (taxes et frais de ser vice inclus),en vente au Palais Mont calm www.palaismontcalm.ca); 418 641-6040.Info : Facebook ou 418 844-5000 # 6033.
MISE EN FORME «FORCE FIT»Entraînement individuel et collectif.
Objectif : réussir le test FORCE. Con -tenu : programmes d’entraînement spé-cifiques. Évaluations et suivis. Militai -res seulement. Lundi, mercredi et ven-dredi de 8 h à 9 h au Centre des sportsde la Base Valcartier. Inscription auplus tard la veille à 11 h au 418 844-5000 # 5791.
PLAN DE VOYAGE ANNUEL CONGÉSDE NOËL ET NOUVEL AN
Le Plan de voyage annuel spécialpour les congés de Noël et du NouvelAn permet à des militaires ou une personne à charge de prendre l’aviongratuitement (aller-retour) pour rejoin-dre leurs proches vivant ailleurs auCanada afin de célébrer le temps desFêtes. Détails et formulaire disponiblesvia http://w08-ttn-vmweb01/cms/en/main/8WingUnitsandSquadrons/unitSelection/2AirMovementsSquadron/ChristmasFlights.aspx. Info : Adj SylvainLavoie, 418 844-5000, poste 7773.BÉNÉVOLES RECHERCHÉS
Le Centre de la famille Valcartierrecherche des bénévoles pour la Criéed’automne CANEX 2015, collecte defonds de l’organisme qui se déroule le24 octobre à compter de 15 h. Montagede la salle, service aux tables et présen-tation d’objets pour l’encan. Communi -quer avec Cindy Girard-Grenier au418 844-6060.
15 OCTOBRE
19 OCTOBRE
22 OCTOBRE
23 OCTOBRE
28 OCTOBRE
10 NOVEMBRE
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Soumettez vos communiqués au plus tard le 13 octobre par courriel à +adsum@forces.gc.ca.
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18 ADSUM, 7 OCTOBRE 2015
SPORTS
MACHINES DE GUERRE
LEOPARD 2Le char Leopard 2, notamment utilisépar l’Armée canadienne, la version A4plus précisément, est un char de com-bat principal à blindage lourd allemandde troisième génération. Développé àl’origine pour les forces terrestres alle mandes, il est le char de combatprincipal de plusieurs pays membres de l’OTAN, 18 exactement. Le Leopard2 possède une combinaison optimale de puissance de feu, de protection, demobi lité et de manœuvrabilité, ce quilui procure un avantage considérableau combat. Plusieurs versions ont vu le jour au fil des années. Tous les modè - les disposent d’un système numé riquede contrôle de tir avec des télémètreslaser, une mitrailleuse principale sta-bilisée et une autre coaxiale, et un sys-tème de vision nocturne et d’observa-tion avancé. Ce tank a notamment lacapacité d’engager une cible mobiletout en se déplaçant hors route. Il pos-sède une force de frappe standard avecson canon principal à âme lisse de 120mm, en plus des deux mitrailleusesénumérées plus haut. La plus impor-tante caractéristique du Leopard 2 estson blindage composite de troisièmegénération qui protège le glacis, la faceavant et les flancs de la tourelle. Il est composé d’un blindage Chobhamanglais. Il s’agit d’un blindage stratifiéfait de matériaux composites. Des kitsde protection supplémentaires sontégalement disponibles pour améliorerla protection de l’équipage selon le type de menace à laquelle il fait face.Le Leopard 2 est de loin le char le plusexporté. (S.L.)
Constructeur : Krauss-Maffei etMaschinenbau KielPremier prototype : 1972Mise en service : 1979Nombre de chars construits :plus de 3480 exemplaires Coût unitaire : 5,3 millions (en 2006)Équipage : quatre hommes (commandant, pilote, tireur et chargeur)Poids : 55,1 tonnes (Version A4)Dimensions : 9,67 m de longueur, 3,70 m de largeur et 2,90 m de hauteurPuissance : 1500 chevaux à 2600 tr/minVitesse maximale : sur route = 68 km/h; hors route = 40 km/hAutonomie : 500 kmArmement : principal = un canon L44 à âme lisse de 120 mm approvisionné à raison de 42 obus. Secondaire = deuxmitrailleuses de 7,62 mm (coaxiale etflexible) et 16 lance-grenades multitubesde 76 mm
CARACTÉRISTIQUES
– PHOTO : BUNDESWEHR-FOTOS, WIKIMEDIA COMMONS
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IRONMAN 2015 : UNE PERFORMANCE ÉPOUSTOUFLANTE!PAR ALEX MAILLÉ, EN COLLABORATION AVEC LE SERGENT JONATHAN DUPUIS
Respectivement du QG 5 GBMC et du 5 Bon Svc
Nous le savons tous, le dépassementde soi et la persévérance sont desqua lités qui sont chères aux Forcesarmées canadiennes. Les 22 et 23septembre, un défi a su tester cesvaleurs : le Ironman 2015 du 2e
Groupe-brigade mécanisé du Canadaà Petawawa, en Ontario. Des mem-bres du 5e Groupe-brigade mécanisédu Canada (5 GBMC) qui y ont parti -cipé se sont démarqués.
En plus de performances individuel -les (voir l’encadré), l’équipe représenta-tive de la 2e Division du Canada (2 DivCA), incluant les membres du 5 GBMC,a remporté la première position avecun temps de 19 h 33 min 33 s. L’équipevictorieuse était celle ayant le tempscumulatif le moins élevé.
C’est un défi costaud que tous lesparti cipants ont dû affronter : 32 kilo-mètres de marche ou de course en portant le sac alpin (18 kilogrammes),quatre kilomètres de portage (avec uncanot de 13,5 kg et le sac), huit kilo-mètres de canot sur l’eau et un sprint
de six kilomètres (toujours avec le sacalpin).
En plus de la rudesse des épreuves àsurmonter, les participants ont dû faireface à d’âpres conditions climatiquescomme le temps froid, l’humidité et le
brouillard épais en matinée, ainsi qu’unsoleil de plomb en fin de parcours.
Sur les 198 participants, 171 person-nes ont terminé les épreuves et tous lesreprésentants de la 2 Div CA figurentparmi ceux ayant complété l’Ironman2015. BZ!
– PHOTO : CPLC MELISSA SPENCE, AFFAIRES PUBLIQUES 4 DIV CAUn «petit» portage de quatre kilomètres après unemarche (ou une course) de 32 kilomètres…
PERFORMANCES INDIVIDUELLES DES MEMBRES DE LA BRIGADE
• Cpl Jean-François Carreau, 1 R22e R :4e position (6 h 15 min 45 s)
• Capt Alexander Trousdale, 1 R22e R : 5e position (6 h 32 min 25 s)
• Cpl Dave Alie, 12 RBC : 7e position (6 h 45 min 38 s)
• Lt Olivier Lafrenière-Abel, 1 R22e R :27e position (7 h 40 min 33 s)
• Cpl Matthew Fleckenstein, 2 R22e R :55e position (8 h 30 min 37 s)
• Lt Anthony Bigonnesse, 5 Bon Svc :143e position (10 h 14 min 17 s)
19ADSUM, 7 OCTOBRE 2015
SPORTS
ERRATUMUne erreur s’est glissée dans l’édition du 23 sep-tembre de l’Adsum à la page 4. Autant dans letableau des résultats que dans le bas de vignettede la photo du podium des femmes, il s’agit bel et bien du lieutenant Lavine et non Lavigne quioccupe la troisième position. Toutes nos excuses.
C’EST TERMINÉ POUR LES LIONS AU SOCCER
La saison de l’équipe masculine de soccer desLions de Valcartier s’est finalement conclueavec une défaite crève-cœur en demi-finale duChampionnat national, qui se tenait à Bordendu 18 au 22 septembre. La formation du padréEloi Gunn s’est inclinée par la marque de 3 à 2face aux représentants de Trenton. «Noussommes très déçus. On est arrivé trop confiantet j’ai eu des décisions difficiles à prendre. Ons’est battu nous-mêmes en raison de noserreurs défensives et de notre manque de pra-tique qui n’aidait pas à notre cohésion»,résume l’entraîneur-chef. Ce dernier a d’ailleurslevé son chapeau à son capitaine, le sergentLévesque, et au sergent Isaac pour leur excel-lent travail. Malgré ce revers décevant, le chefd’orchestre des Lions dresse un bilan positif de la saison. Pour une deuxième année consé -cutive, l’équipe a concrétisé sa dominationdans la région du Québec en remportant leChampionnat régional, tout en étant privée deson noyau de joueurs importants. Ces derniersparticipent présentement à des opérationsinternationales alors que le 5e Groupe-brigademécanisé du Canada est en haute disponibilitéopérationnelle. (S.L.)
L’athlétisme, une passionpour le Cpl Vincent Duguay
LES ATHLÈTES DEVALCARTIER ENCORÉE DU SUD
Du 2 au 11 octobre, plus de 8700 délégués etathlètes militaires prendront part à la sixièmeédition des Jeux mondiaux militaires. C’est sousle thème «Paix et amitié… Ensemble et pourtoujours» que la Corée du Sud sera l’hôte de cet événement qui réunit des gens de 110 paysdifférents dans 24 sports militaires et tradi -tionnels. «Je tiens à vous féliciter sincèrement,au nom de l’ensemble des membres des Forcesarmées canadiennes (FAC), de vous être quali-fiés pour participer aux Jeux mondiaux mili-taires. Vous êtes nos plus grands athlètes etvous incarnez ce que tous les membres des FACvisent, c’est-à-dire être au sommet de leur condition physique et mentale», a exprimé parcommuniqué le chef d’état-major de la Défense,général Jonathan Vance. Il est important desouligner que les Jeux mondiaux militaires sontla troisième manifestation sportive en impor-tance à l’échelle mondiale. Parmi les spor tifsprésents, 200 proviennent des FAC. De ce nom-bre, 12 sont de la Base Valcartier. Les voici :
– Cpl Karim Benariba Soccer – Sdt Shawn Carroll-Ouellette Soccer– Mat 1 classe Dominique Gonthier Soccer– Cpl Hugues Boisvert-Simard Escrime – Cpl Clément Femenias-Metivet Escrime– Cpl Vincent Duguay Athlétisme– Sdt Alex Tourigny-Plante Athlétisme– Cplc Geneviève Gobeil Marathon– Cplc Philippe Jouan Natation– Sdt Jean-Jérôme Ouellet Volleyball – Capt Nathalie Royer Personnel
médical– David Harju Entraîneur
triathlon
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PAR SIMON LEBLANCJournal Adsum
Le caporal Vincent Duguay, réser visteau 12e Régiment blindé du Canada (12 RBC) à Trois-Rivières, représen-tera le 12 RBC de la Base Valcartieret les Forces armées canadiennes(FAC) en athlétisme aux 6e Jeux mon-diaux militaires, du 2 au 11 octobre,en Corée du Sud.
L’athlète de 24 ans, qui est à une deux-ième participation aux Jeux mondiauxmilitaires, après ceux de 2011 au Brésil,ressent une grande fébrilité à l’approchede cette compétition. «Ça fait quatre ansque j’attends ce moment avec impatience.Je suis très heureux que le moment soitenfin arrivé», admet-il.
Le Cpl Duguay espère gagner uneplace sur le podium dans l’épreuve du800 mètres, distance dans laquelle il estconsidéré comme un coureur de niveauélite. Il courra également sur l’épreuvedu 400 mètres.
Afin d’être prêt pour le jour J, le CplDuguay a pris part au mois d’avril à uncamp d’entraînement d’athlétisme en
Californie, avec l’équipe du Rouge et Orde l’Université Laval. Il s’est égalemententraîné pendant un mois en altitudeafin d’augmenter son taux de globulesrouges. Pour les athlètesqui doivent avoir unebonne endurance cardio-vasculaire, ce type d’en-traînement est essentiel.Comme il y a moinsd’oxy gène en altitude, letaux de globules rougesaugmente pour amélio -rer le transport de l’oxy -gène vers les musclesjusqu’à s’adapter autaux d’oxygène ambiantpour satisfaire le corps.Ainsi, les capacités del’athlète sont accruesquand vient le temps descompétitions.
Le Cpl Vincent Duguaya également eu la chan cede participer à quel quescompétitions du rant lasaison estivale, ce quifait de lui un coureurprêt à souhait pour lesmondiaux militaires.
Au terme de la compé -tition, le jeune réser visteentend visiter la Coréedu Sud afin de s’impré -gner de cette culture.
Plus de 8700 athlètes,provenant de 110 pays,participeront aux Jeuxmondiaux militaires 2016.
L’EXPÉRIENCE EST AU RENDEZ-VOUS
Malgré son jeune âge, l’expérience duCpl Vincent Duguay en athlétisme estremarquable. Comme mentionné plushaut, il a déjà participé aux Jeux mon -diaux militaires en 2011, au Brésil, et
était également des Jeux mondiaux militaires de Cross-Country en 2013, enSerbie.
Membre de l’équipe d’athlétisme duRouge et Or de l’Université Laval depuis2013, il a également fait partie del’équipe de cross-country de l’Universitédu Québec à Trois-Rivières (UQTR).Reconnu athlète niveau Relève par laFédération d’athlétisme du Québec en2010, 2011, 2012 et 2013, il est main-
tenant classé au niveauÉlite depuis 2014.
Il multiplie égalementles distinctions sporti -ves. En 2010, il a obtenula Bourse d’excellence«Performance sportive»de la Fondation duCégep de Trois-Rivières.En 2011, il était nominéau Mérite sportif«niveau national» desFAC. En 2010-2012, il remportait le «Pro -gramme Excellence» dela Fédération québé-coise d’athlétisme. Il aaussi été nommé athlètemasculin de l’année2011 au Banquet duLion d’or de Valcartier.En 2013, il était recon-nu «Recrue masculinede l’année en cross-coun try» par la Fonda -tion des Patriotes del’UQTR et, dans lamême année, l’Univer -sité Laval lui remettaitla Bourse «Leadershipsportif et développe-ment durable».
Sur la scène provin-ciale, ce sportif aguerricumule les médailles.Depuis 2009, il a à sonactif deux médailles
d’or, cinq d’argent et cinq de bronze, enplus d’être champion provincial univer-sitaire du 600 mètres.
Finalement, c’est lui qui détient lesrecords d’athlétisme de la Base Valcar tieraux 60 mètres, 400 mètres et 1500 mètres.
– PHOTO : GRACIEUSETÉLe Cpl Vincent Duguay en sera à une deuxième participation aux Jeux mondiaux militaires.
3 4 7 5 6 9 2 1 8
2 5 8 3 1 7 6 9 4
1 9 6 2 8 4 7 5 3
7 1 4 8 5 6 9 3 2
5 8 2 9 4 3 1 6 7
6 3 9 1 7 2 8 4 5
4 2 1 7 9 5 3 8 6
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VIVRE AVEC LE DIABÈTE ET UN MODE DE VIE ACTIF
PAR JESSICA MASSICOTTEMonitrice en conditionnement physique
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Pour les gens à risque de développerun diabète ou pour ceux qui en souf-frent déjà, l’activité physique a de for -tes chances d’être bénéfique. En effet,une pratique régulière d’activité physi -que est recommandée non seulementpour la prévention du diabète maiségalement pour son traitement.
Le diabète est une maladie chroniqueaffectant le métabolisme du glucose. Elleest caractérisée par une déficience dansla production ou l’utilisation de l’insu-line. D’une part, le diabète de type 1 estune maladie auto-immune qui empêchele corps de produire de l’insuline. Elle esthabituellement diagnostiquée pendantl’enfance ou au début de l’âge adulte. Le seul traitement consiste à se donnerdes injections d’insuline toute la vie.
D’autre part, le diabète de type 2 estcaractérisé par une résistance des cellu -les à l’insuline. Celui-ci survient lorsquele pancréas ne produit pas suffisammentd’insuline ou lorsque l’organisme n’uti -lise pas toute l’insuline sécrétée. Il estfortement associé à un excès de poids etest plus prévalent chez les personnesplus âgées. Les personnes atteintes de ce type de diabète peuvent habituelle-ment gérer leur état au moyen de médi -caments oraux plutôt qu’avec de l’insu-line puisque le corps produit encore del’insuline.
Bien que l’activité physique soit béné-fique pour la personne atteinte de dia-bète, les exercices peuvent entraîner desdéséquilibres du contrôle du glucose. Envoici quelques exemples :• hypoglycémie durant un exercice
d’intensité modérée ou de durée prolongée;
• hyperglycémie durant ou après un exercice d’intensité élevée;
• élévation rapide de la glycémie et des corps cétoniques chez le patientmal contrôlé au départ;
• risque accru de complications chez le patient porteur d’une maladie cardiovasculaire;
• aggravation des complications du diabète.C’est pourquoi la personne diabétique
qui prend part à une activité physiquedevrait s’armer de stratégies afind’éviter toute complication pouvant sur-venir pendant ou après cette activité :- prendre le temps de se tester, de se
reposer ou de s’énergiser (par exempleen buvant une boisson sucrée);
- savoir reconnaître les signes d’hypoglycémie (faim, tremblements,palpitations, transpiration, anxiété,
nausées, picotements, troubles de concentration, confusion, étourdis -sements, faiblesse, somnolence, vue embrouillée, difficulté à parler,maux de tête) et d’hyperglycémie(extrême soif, besoin fréquent d’uriner,déshydratation, somnolence, extrêmefatigue);
• s’assurer du contrôle rigoureux etrégulier de la glycémie, afin d’enréduire les fluctuations au minimum;
• consulter un médecin avant d’entamer un programme d’exercices physiques. En ce qui a trait à la prescription
d’exer cices, la littérature tend à démon-trer que l’activité physique améliore lasensibilité à l’insuline (hormone natu -relle qui a un rôle essentiel dans le con-trôle de la glycémie), augmente la tolé -rance au glucose et retarde les complica-tions reliées à un contrôle déficient de laglycémie (taux de sucre dans le sang).En fait, l’activité physique permet unmeilleur contrôle de la glycémie entreautres parce que les muscles qui se con-tractent ont plus de facilité à faire pas -ser le sucre du sang vers l’intérieur descellules où il est brûlé pour donner del’énergie. Ces deux facteurs combinésfavorisent donc une réduction de la concentration de sucre dans le sang etcela peut durer jusqu’à 48 heures aprèsl’entraînement.
Concrètement, le type d’entraînementidéal pour mieux contrôler sa glycémieen est un qui combine des exercices car-diovasculaires et de musculation. Toute -fois, afin d’en retirer les bénéfices, ildemeure important de répéter de façonrégulière les séances.
Il est important de savoir que les acti -vités aérobies (tels une course à vélo, un marathon, un tournoi de soccer, etc.)sont beaucoup plus susceptibles de cau -ser une chute des niveaux de glucosedans le sang que les exercices contrerésistance. Il est donc primordial de por -ter une attention particulière au contrôlede sa glycémie avant, pendant et aprèsla séance.
Somme toute, le sport aide à mieuxcontrôler le diabète, mais n’est pas sansrisque. La plupart des sports peuventêtre pratiqués par les diabétiques, maiscertains peuvent entraîner davantage decomplications.
Peu importe l’âge ou le sport choisi, ilest crucial d’avoir en sa possession deuxou trois morceaux de sucre pour faireface à toute éventualité. Il faut demeu -rer conscient qu’il n’existe pas de pres -cription unique pour tous. Le sportifvivra une certaine période d’essais etd’erreurs avant de connaître la quantitéde glucides qu’il doit consommer afin demaintenir son niveau de glucose dans leslimites prescrites.
Le Capt Menard médaillé d’argent aux mondiaux d’haltérophilie
finlandais, le SantaSports Complex plusprécisément.
Il a également profité de son passageau cercle arctique pour aller visiter levillage du père Noël, en compagnie de sacompagne de vie. «L’HALTÉROPHILIE, C’EST DANS MON SANG»
Ce championnat du monde devait son - ner la fin d’une carrière d’haltéro philepour le militaire de la Base Val car tier, quipratique ce sport depuis l’âge de 12 ans.
Mais Michael Menard n’est pas prêt àaccrocher ses bottines. Tellement qu’il
vient de s’en acheter une nouvelle pairepour continuer pendant une annéeencore... «Quand j’ai recommencé il y aun an, je m’étais dit que c’était seule-ment pour une année et que j’arrêteraisaprès. Je viens cependant de m’acheterdes nouvelles bottines et quand mafemme a vu ça, elle s’est dit que j’allaiscontinuer. L’haltérophilie, c’est dansmon sang alors je continue. Je suis lapreuve vivante que même à 50 ans, nouspouvons bouger et réussir», affirme-t-il.
Cette décision sonne donc le retour àl’entraînement pour le Capt Menard.Celui-ci s’entraîne au Centre des sports
de la Base Valcartier, à la polyvalenteAncienne-Lorette, avec son entraîneurpersonnel, et à la maison.
Son entraînement lui servira de pré -paration en vue des Championnats canadiens de Belleville en avril 2016, duChampionnat panaméricain de PortoRico en juin 2016 et du Championnat dumonde d’Allemagne en septembre 2016.
Avec ces compétitions, le Capt Menardespère battre les records canadiens.Pour ce faire, il devra soulever une barrede 112 kilos à l’arraché et de 146 kilos àl’épaulé jeté.
– PHOTO : GRACIEUSETÉLe Capt Michael Menard, du CI 2 Div CA, porte fièrementsa médaille ornée d’un père Noël.
PAR SIMON LEBLANCJournal Adsum
Présent à Rovanievi, en Finlande, du12 au 19 septembre, à l’occasion duChampionnat du monde d’haltéro phi -lie, le capitaine Michael Menard, offi -cier de simulation au Centre d’ins truc -tion de la 2e Division du Canada (CI 2 Div CA), est finalement revenu dupays du père Noël avec une médailled’argent au cou.
C’est tout un exploit personnel que leCapt Menard a accompli. L’athlète ori -ginaire de l’Ontario, qui a obtenu le feuvert de son médecin pour prendre part à la compétition malgré une her nie, abattu ses records personnels dans sacatégorie master 105 kilos, 50 à 54 ans.
«Cette compétition a dépassé toutesmes attentes. Je m’attendais à peut-êtreatteindre le podium et je suis fina le mentreparti avec une médaille d’argent»,commente Capt Menard.
Lors du championnat, l’haltérophiled’expérience a soulevé la barre à 101kilos à l’arraché, six kilos de plus queson record précédent, et à 127 kilos à l’épaulé jeté, deux kilos de plus que sonancienne marque. Ces deux barres ontporté son total à 228 kilos, ce qui lui per-mettait de monter sur la deuxièmemarche du podium devant un Japonaiset derrière un Islandais.
De plus, le Capt Menard a été trèsimpressionné par la qualité des installa-tions de l’événement. Ce dernier avaitlieu au centre d’entraînement olympi que
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Deux en deux pour les 22 à la Classique Imjin
L’ambassadeur de la Corée, Jo Daeshik, et le commandant de l’Armée canadienne, lieutenant-général Hainse,effectuent la mise au jeu protocolaire. De gauche à droite : Bill Black, Claude Charland, Lgén (ret) Évraire, ColJang Min Choi, Jo Daeshik, sénatrice Yonah Martin, Lgén Hainse, Bgén Brennan et Dennis Moore.
– PHOTOS : CPL CHASE MILLER, IMAGERIE UNITÉ DE SOUTIEN DES FORCES CANADIENNES (OTTAWA)L’équipe victorieuse : (rangée du haut) Maj Papineau, Adj Robin, Maj Girard, Lcol Caron, Lcol Chamberland, CplHaché, Adjum Côté, Lcol Leroux, Capt Robbins, Capt Horth, Maj Richard, Lcol Belisle; (rangée du bas) Maj Côté,Lcol Jourdain, Michael Lee, Adjum Paquette, Sgt Houde, Adj Bourque.
PAR LE LIEUTENANT-COLONEL STEVE JOURDAINQG de la 2e Division du Canada et FOI (Est)
Pendant la guerre de Corée, des par-ties de hockey étaient parfois organi -sées sur la rivière Imjin, permettantaux soldats de profiter de brefsmoments de répit. C’est pour commé-morer une des parties jouées entre le Royal 22e Régiment et le PrincessPatri cia Light Canadian Infantry(PPCLI) sur cette rivière que l’ambas-sade de la République de Corée orga -nise depuis l’an dernier la Clas siqueImjin.
Le match a eu lieu le 26 septembreau Centre Canadian Tire, en collabora-tion avec l’organisation des Sénateursd’Ottawa. Plusieurs vétérans de laguerre de Corée étaient présents dontClaude Charland, un fier 22 qui avaitassisté au match original en 1952.
Forts d’une victoire en 2014 aucompte de 7 à 4, nous savions que lesPPCLI arriveraient préparés, noussavions qu’ils ne voudraient pas subirla défaite une deuxième fois de suite,mais il était clair que nous allions aussiêtre prêts à les affronter.
Les deux équipes se sont conforméesà la règle établie, c’est-à-dire qu’ellesn’avaient pas accès à leur principal bas -sin de joueurs, Québec et Edmon ton,pour le recrutement. Chaque équipe adonc essayé de constituer son aligne-ment à partir des joueurs disponibles à Saint-Jean-sur-Richelieu, Montréal,Ottawa, Petawawa, Trenton, Borden,Kingston et Toronto. J’étais confiantque nous avions une solide équipe et unduo d’entraîneurs, formé du majorChristian Papineau et du lieutenant-colonel Guy Belisle, prêts à faire lesajustements nécessaires pour le match.Le Maj Papineau avait d’ailleurs le motjuste : «Au 22, on s’amuse en gagnant.»
Une fois la mise au jeu protocolaireterminée, l’action a débuté. Le trioLeroux, Girard et Haché en a mis pleinla vue en début de match, enfilant unbut à chacune de leurs trois premièresprésences. Puis ce fut au tour du pre-mier trio formé de Bourque, Jourdainet de notre joueur d’origine coréenne,Mike Lee, de faire bouger les cordagesà quelques reprises. La brigade défen-sive s’appuyant sur Richard, Côté,Paquette et Houde a fait le travail, fermant la porte aux incursions ducamp adverse. Chamberland, Caron,Côté et Robbins, qui alternaient sur le 3e trio, ont permis aux gros canons de conserver leur énergie et de conti -nuer d’appliquer la pression. Si bienqu’après la première période, le poin -tage était de 8 à 2.
Dans les filets, le gardien Robin a été solide, ne cédant qu’à deux reprisessur de belles pièces de jeu de l’adver-saire. En deuxième période, nous avonsmaintenu la pression, tout en épar -gnant l’adversaire à quelques reprises.Le deuxième gardien, Horth, a donc puprofiter de notre confortable avancepour garder les buts avec confiance, ne laissant qu’un tir adverse déjouer sa garde en deuxième période. Au sonde la sirène en fin de troisième période,le 22 terminait sa soirée de travail avecun pointage de 9 à 3. Mike Lee, notrejoueur invité, fut nommé joueur dumatch grâce à une solide performance.
Nous remportons donc la Coupe Imjinpour une deuxième année consécutiveet nous serons prêt à relever le défi l’an prochain encore une fois. Pour citernotre vétéran Claude Charland : «TheVandoos, they don’t lose». Il est certainque nos frères d’armes du PPCLI nepourront dire qu’une seule chose enpensant au match et au pointage final :«Je me souviens».
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BEAUPORT384, rue des Maraîchers
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SAINTE-FOY2604, chemin Ste-Foy
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CHARLESBOURGChaleureuse canadienne à 2 pas du boul. Henri-
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LORETTEVILLEContemporaine de style rustique chic offrant un retour aux sources grâce à un mariage de
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LEBOURGNEUFLES TERRASSES LEBOURGNEUF! Ravissant condo4½ situé ds secteur dynamique, près des serviceset transports en commun. Copropriété paisible et
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NEUFCHÂTELEXCELLENT RAPPORT QUALITÉ-PRIX! Jolie maison
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SAINT-AUGUSTINCoquet jumelé à étages situé ds un voisinage paisible, à proximité d'un parc et des services. Déco jeune, aires de vie vastes et terrain bordéd'arbres matures. Grande salle de jeux au SS
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SAINTE-FOYLOGEZ-VOUS À PETIT PRIX, LIBRE RAPIDEMENT!Charmante maison mobile de 12pi X 60pi avecannexe, rénovée en 2011. 2 cc + boudoir, déco
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