07.08 au 03.09 2013

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Poitiers • Dietrich

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cinéma LE DiETRicHSalle classée art et Essai Labels Recherche & Découverte, Patrimoine et Jeune Public

SHOKUZAI Kiyoshi Kurosawa

les 7 samourais Akira Kurosawa

LAND OF HOPE Sion Sono

CLOUD ATLAS Lana et Andy Wachowski, Tom Tykwer

ALABAMA MONROE Felix Van Groeningen

JOUR DE FeTE Jacques Tati.../...

7 aout3 sept 20

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Du 7 août au 3 septembre

SHOKUZAIThrillers fantastiques de Kiyoshi Kurosawa

PARTIE 1 : CELLES QUI VOULAIENT SE SOUVENIRAvec Kyôko Koizumi, Hazuki Kimura, Yû AoiJapon – 2012 – 1h59

PARTIE 2 : CELLES QUI VOULAIENT oublierAvec Kyôko Koizumi, Sakura Ando, Chizuru IkewakiJapon – 2012 – 2h28Dans la cour d’école d’un paisible village japonais, quatre fillettes sont témoins du meurtre d’Emili, leur camarade de classe. Sous le choc, aucune n’est capable de se sou-venir de l’assassin. Asako, la mère d’Emili, dé-sespérée, menace les quatre enfants : si elles ne se rappellent pas du visage du tueur, elles devront faire pénitence toute leur vie. Quinze ans après, Sae et Maki veulent se souvenir. Akiko et Yuka veulent oublier. Et la mère d’Emili, que cherche-t-elle encore après tout ce temps ?Il y a une vingtaine d’années, on se demandait qui a tué Laura Palmer. Qui a tué Emili Adachi ? Dans cette histoire de poupées volées, Kuro-sawa fait preuve d’une maîtrise une nouvelle fois étourdissante. En quelques plans, dès le début du film, Kurosawa parvient à installer cette at-mosphère orageuse qui lui est si particulière, réussit à insuffler une tension fantastique alors que rien d’irréel n’apparaît à l’écran. Par le pouvoir de l’image, Kurosawa voit au travers. Il fait un film de vengeance mais détourne tout ce qu’on attend du film de vengeance. Il fait un polar réaliste mais la tension surnaturelle est permanente. (…) Cette hésitation fantastique est aussi une hésitation de genre. Après le pur film de fantômes (Retribution) et le drame familial (Tokyo Sonata), Kurosawa signe un film hybride où chaque chapitre pourrait appartenir à un genre différent, drame psychologique ou comé-die de mœurs, mais l’étrange finit toujours par surgir. www.filmdeculte.com

Du 7 août au 2 septembre

les 7 samouraisWestern nippon d’Akira KurosawaAvec Toshirô Mifune, Takashi ShimuraJapon – 1954 – 3h26Lion d’argent (Venise 1954)Au Moyen-Âge, la tranquillité d’un petit vil-lage japonais est troublée par les attaques répétées d’une bande de pillards. Sept sa-mouraïs sans maître acceptent de défendre les paysans impuissants.Kurosawa réussit le tour de force d’allier splen-deur visuelle et chaleur humaine, lyrisme élé-giaque et expressionnisme visionnaire, ironie et souffle épique. Chef-d’œuvre.cinema.nouvelobs.com

Du 14 au 19 août

LA SERVANTEThriller horrifique de Kim Ki-youngAvec Eun-shim Lee, Jeung-nyeo Ju, Jin Kyu KimCorée du Sud – 1960 – 1h51Suite à un déménagement dans une maison plus grande, la femme d’un professeur de musique persuade celui-ci d’engager une do-mestique. Mais bientôt, la servante devient la maîtresse et la calme maison devient alors le lieu d’un dramatique huis clos.Le ton est donné, avant même le générique : du mélodrame, on ne tardera pas à basculer dans l’épouvante, de la chronique sociale acerbe, au fait divers le plus ahurissant. (…) Et l’on ne tarde pas à comprendre l’origine de sa répu-tation de Buñuel coréen, inspirateur de toute une jeune génération de fêlés, les Bong Joon-ho, Park Chan-wook, Kim Ki-duk ou Im Sang-soo (…).Quel est son secret ? La brutalité extrême et absurde, presque cartoonesque pour un specta-teur occidental, qui irrigue si souvent les films co-réens trouve ici son paroxysme en même temps qu’une forme d’épure. Le génie de Kim Ki-young consiste à faire calmement résonner toutes les cordes de sa mise en scène dans un mouvement rigoureux et sec, sans la moindre frime.www.lesinrocks.com

Du 7 au 20 août

pietaDrame de Kim Ki-dukAvec Lee Jung-Jin, Min-soo Jo, Ki-Hong WooCorée du Sud – 2012 – 1h44Lion d’or (Venise 2012)Abandonné à sa naissance, Kang-do est un homme seul qui n’a ni famille, ni ami. Recou-vreur de dettes sans pitié et sans compassion, il menace les personnes endettées dans un quartier destiné à être rasé. Un jour, il reçoit la visite d’une femme qui lui dit être sa mère. Pour la première fois de sa vie, il doute…Un cinéaste à nouveau inspiré, revigoré par une histoire tordue au possible, source d’une émo-tion inévitable, quelque part entre le film de gang et le drame intimiste. Retrouvant des quali-tés formelles indéniables, l’auteur de Locataires, Printemps, été, automne, hiver... et printemps, ou encore L’arc, réjouira ses fans de la première heure, grâce à un scénario tournant autour de la relation malsaine entre cette mère envahissante et indigne, et ce fils fuyant, montagne de vio-lence brute. www.abusdecine.com

Du 14 au 26 août

LAND OF HOPEDrame de Sion SonoAvec Isao Natsuyagi, Jun MurakamiJapon/Taïwan/Grande-Bretagne – 2012 – 2h13Un tremblement de terre frappe le Japon, en-traînant l’explosion d’une centrale nucléaire. Dans un village proche, les autorités tracent un périmètre de sécurité. Une sorte de ligne de dé-marcation absurde, entre danger bien réel et sécurité toute théorique. Au sein de la famille Ono, les parents, âgés, choisissent de rester. Leur fils et son épouse acceptent d’être évacués.Pas de grand spectacle catastrophe dans cette vaste fresque, ni de clichés démonstratifs et mi-litants. Juste un poignant cauchemar vécu par des pouvoirs publics impuissants et des habitants terrifiés (...) Avec lyrisme, dans des paysages « contaminés » sidérants de beauté morbide, le réalisateur filme des personnages forts, vibrants, attachants : ceux qui veulent rester, enracinés à la mort si proche, et ceux qui fuient pour mieux retrouver, partout, la même peur rampante. www.telerama.fr

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ORIENT EXTRÊMEil serait difficile en une seule restrospective de rendre compte de la diversité de la production cinématographique en asie. Singulier, outrancier, corrosif, parfois violent mais toujours audacieux, le cinéma asiatique n’a pas son pareil pour pointer les dysfonctionne-ments d’une société malade et s’ancre toujours particulièrement dans son époque.nous souhaitions marquer notre passage au numérique en vous proposant un petit détour aux confins de l’asie de l’est et du sud-est, dont le cinéma a toujours jalonné l’histoire du Dietrich. ainsi vous pourrez découvrir 9 films sélectionnés pour leur aspect inédit (films « de festivals » comme modus anomali, le réveil de la proie, soirée avants-premières le 24 août), original (c’est le cas de Shokuzai, à la base série TV en 5 épisodes distribué en France sous la forme d’un diptyque) ou culte (Les 7 Samouraïs, La Servante – un classique du cinéma sud-coréen à la fois un peu bis, populaire et sophistiqué).

VERSionRESTauRéE j

couP DE ♥ DiETRicH

Le samedi 24 août à 19h

ILO ILOChronique familiale d’Anthony ChenAvec Koh Jia Ler, Angeli Bayani, Tianwen ChenSingapour – 2013 – 1h39caméra d’or (cannes 2013)Singapour, fin des années 90 sur fond de crise financière. Les parents démissionnaires de Jiale, jeune garçon gâté et turbulent, embauchent Te-resa, une jeune Philippine, pour les seconder. Teresa, qui a laissé son jeune enfant à Ilo Ilo, arrive petit à petit à nouer une complicité avec Jiale, ce qui complique les rapports familiaux.La mère est enceinte jusqu’aux dents tandis que le père est un loser en slip. Ilo Ilo n’invente pas grand chose (...) mais il touche juste par son éco-nomie, son sens du détail, son attachement aux personnages, sa simplicité. (...) Il y a une dou-ceur qui fait tout dans ce joli portrait familial. www.filmdeculte.com

Le samedi 24 août à 21h15

A TOUCH OF SINThriller social de Jia Zhang KeAvec Wu Jiang, Wang Baoqiang, Tao ZhaoChine – 2013 – 2h13Prix du scénario (cannes 2013)Quatre faits divers autour de quatre person-nages (Dahai, mineur exaspéré, San’er, mi-grant, Xiaoyu, hôtesse d’accueil dans un sauna et Xiaohui, jeune travailleur précaire), et un seul et même reflet de la Chine contemporaine : celui d’une société au développement économique brutal peu à peu gangrenée par la violence.Une fiction sidérante d’audace politique qui est aussi un sommet d’invention formelle car Jia Zhang-ke, loin de se contenter du strict constat réaliste, mêle les genres (chronique, thriller, voire comédie absurde) et les tonalités (dramatiques, cocasses, voire fantasmatiques). Au final, il signe un très grand film. www.evene.fr

À partir du 22 août

MODUS ANOMALISurvival de Joko AnwarAvec Rio Dewanto, Hannah Al RashidIndonésie – 2012 – 1h27Un homme se réveille en pleine forêt, à moitié enseveli. Il ne se souvient plus de rien, mais ne tarde pas à découvrir qu’il est poursuivi par un tueur sadique... Et qu’il a une famille quelque part dans cette forêt. Menacée aussi ?Dans la catégorie des bonnes surprises venues d’Asie (...) Modus Anomali s’inscrit dans une tradition de productions fauchées, gonflées à la réalisation teigneuse et truffées d’idées à la se-conde, et au twist improbable, mais terriblement original et excitant. www.avoir-alire.com

À block !ce n’est pas parce qu’on ne vend pas de popcorn qu’on va se priver de diffuser des blockbusters ! En VoST bien entendu. Parce que le Dietrich c’est aussi ça !

Du 8 au 23 août

CLOUD ATLASThriller scifi de Lana et Andy Wachowski, Tom TykwerAvec Tom Hanks, Halle Berry, Jim BroadbentUSA – 2012 – 2h45Sur cinq siècles et dans plusieurs espaces temps, des êtres se croisent et se retrouvent d’une vie à l’autre… et leurs décisions ont des conséquences. Un seul acte suffit à entraîner des répercussions dans le passé, le présent et l’avenir lointain. Tout est lié.Voilà le secret de Cloud Atlas, ce qu’il dissimule sous ses grands airs métaphysiques : le récit d’un affranchissement, d’un rejet des genres, des or-thodoxies, et de tout ce futur normé qu’incarne en 2144 une organisation oppressive baptisée Unanimity. Chacune des histoires qui composent le film vibre ainsi de la même pulsion libertaire (...). Ce qui élève le film, bouleverse et élec-trise, c’est (...) cette idée géniale qui consiste à faire incarner aux mêmes acteurs plusieurs rôles différents dans une valse freak et transfor-miste. Comme Denis Lavant circulait entre ses nombreuses figurations dans Holy Motors, Tom Hanks, Halle Berry, Hugh Grant et les autres interprètent ici une variété de personnages de tous âges, origines ou sexes, recueillant dans un même corps la somme d’expériences multiples et illustrant le rêve d’une identité composite. www.lesinrocks.com

Du 15 au 27 août

PACIFIC RIMAnticipation de Guillermo del ToroAvec Charlie Hunnam, Idris Elba, Rinko KikuchiUSA – 2013 – 2h10D’un côté les « Kaiju », créatures aliens mons-trueuses qui ont trusté la planète. De l’autre les « Jaegers », gigantesques robots, derniers remparts des humains contre une apocalypse de plus en plus imminente. L’enjeu de la ba-taille : comme toujours, sauver le monde.On prend un pied gigantesque à voir des monstres de chair et de métal s’étriper. (...) La qualité et l’élégance des effets visuels sont à s’en décrocher la mâchoire. (...) Un storytelling naïf (taper des monstres dans un cosmos fait de prin-cipes bons et mauvais) éclipsé par une mise en scène plus que surexcitante : en fait, Pacific Rim accomplit une bonne synthèse de l’art de Del Toro. Le bouillonnant Mexicain semble ici réa-liser un rêve d’enfant, voir grandir et s’animer pour de vrai des jouets robotiques et monstrueux - et faire tout péter. Ce rêve est accompli.www.premiere.fr

À partir du 25 août

ALABAMA MONROE

Drame de Felix Van GroeningenAvec Veerle Baetens, Johan HeldenberghBelgique – 2012 – 1h52Label cinéma Europa du meilleur film européen, et Prix du Public Panorama (Berlin 2013)Didier et Élise vivent une histoire d’amour pas-sionnée et rythmée par la musique. Lui joue du banjo dans un groupe de Bluegrass Country et vénère l’Amérique. Elle tient un salon de tatouage et chante dans le groupe de Didier. De leur union fusionnelle naît une fille, May-belle...Le réalisateur flamand Félix Van Groeningen – celui-là même qui avait débarqué nu et en vélo pour son précédent long-métrage La Merditude des choses à Cannes – nous invite à plonger, cette fois, dans l’intimité d’un couple fusionnel. (…) Mélodrame intense, ce long-métrage est avant tout doté d’un scénario intelligent, débor-dant de vérité et de sincérité, qui évite astucieu-sement toutes les niaiseries habituelles du genre. Car si l’émotion est palpable sur la pellicule, c’est avec subtilité que le cinéaste parvient à nous faire monter les larmes aux yeux.www.abusdecine.comLe mot du Dietrich : mise en scène, acteurs, narra-tion, bande-son... Rien à jeter, juste à ouvrir ses yeux et sécher ses larmes. La claque du mois !

Du 8 au 31 août

PETER PANFilm d’animation d’Hamilton Luske, Clyde Gero-nimi, Wilfred JacksonUSA – 1953 – 1h16Wendy étant désormais trop grande pour dor-mir à la nursery avec ses jeunes frères, elle doit la quitter demain. Elle reçoit la visite du joyeux lutin Peter Pan, celui qui ne veut pas grandir. Il l’emmène au pays imaginaire, où ils auront à affronter le terrible Capitaine Cro-chet, chef d’une bande de pirates.

Du 8 août au 3 septembre

JOUR DE FeTE

Comédie de Jacques TatiAvec Roger Rafal, Jacques Beauvais, Robert BalpoFrance – 1949 – 1h16Des forains s’installent dans un calme village. Parmi les attractions, un cinéma ambulant où le facteur découvre un film documentaire sur ses collègues américains. Il décide alors de se lancer dans une tournée « à l’américaine ».

Réservations centres de loisirs pour les films Jeune public : voir au dos.

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PREmiER FiLmaVanT-PREmièRE

SoRTiE naTionaLE

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À PaRTiR DE 6 anS

À PaRTiR DE 3 anS

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Films accessibles aux étudiantsdétenteurs de la carte arts duSpectacle

Le Dietrich reçoit le soutien de

Le Dietrich adhère à

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événement

Du 7 au 13 août mer 7 jeu 8 ven 9 sam 10 dim 11 lun 12 mar 13

SHOKUZAI - PARTIE 1 (1h59) 14h30 21h15 16h30 21h15 18h30 17h30 16h30

LES 7 SAMOURAÏS (3h26) 17h 15h 20h

PIETA (1h44) 21h 19h 19h 21h 19h

CLOUD ATLAS (2h45) 18h 21h15 15h15 21h

PETER PAN (1h16) 16h15 14h45 14h

JOUR DE FÊTE (1h16) 14h30 15h45 14h45

Du 14 au 20 août mer 14 jeu 15 ven 16 sam 17 dim 18 lun 19 mar 20

LA SERVANTE (1h51) 16h 18h45 21h15

LAND OF HOPE (2h13) 21h 18h45 15h45

SHOKUZAI - PARTIE 1 (1h59) 14h30 18h30 16h

SHOKUZAI - PARTIE 2 (2h28) 18h30 15h45 21h 18h30

LES 7 SAMOURAÏS (3h26) 17h 14h30

PIETA (1h44) 16h30 21h30

PACIFIC RIM (2h10) 21h 21h30 18h30

CLOUD ATLAS (2h45) 21h15

PETER PAN (1h16) 14h45 14h15

JOUR DE FÊTE (1h16) 14h15 14h 14h

Du 21 au 27 août mer 21 jeu 22 ven 23 sam 24 dim 25 lun 26 mar 27

ALABAMA MONROE (1h52) Avant-première 20h30

ILO ILO (1h39) Avant-première 19h

A TOUCH OF SIN (2h13) Avant-première 21h15

MODUS ANOMALI (1h27) 21h30 19h 21h45

LAND OF HOPE (2h13) 18h30 16h15

SHOKUZAI - PARTIE 1 (1h59) 19h 18h

SHOKUZAI - PARTIE 2 (2h28) 18h 16h 21h

LES 7 SAMOURAÏS (3h26) 14h 15h

PACIFIC RIM (2h10) 21h 15h45 19h

CLOUD ATLAS (2h45) 21h15

PETER PAN (1h16) 15h30 14h 16h15 14h30

JOUR DE FÊTE (1h16) 17h15 14h15 14h30

Du 28 août au 3 septembre mer 28 jeu 29 ven 30 sam 31 dim 1er lun 2 mar 3

ALABAMA MONROE (1h52)16h30 19h

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14h 16h30 21h30

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MODUS ANOMALI (1h27) 21h30

SHOKUZAI - PARTIE 1 (1h59) 19h

SHOKUZAI - PARTIE 2 (2h28) 18h30

LES 7 SAMOURAÏS (3h26) 20h

PETER PAN (1h16) 14h45 14h45

JOUR DE FÊTE (1h16) 14h45 14h45 14h15

34 Bd chasseigne 86000 Poitiers05 49 01 77 90info@le-dietrich.frwww.le-dietrich.frfacebook.com/cinemaledietrich

Accès par bus :- Lignes 7, arrêt Jardin des Plantes- Lignes 1/3/4/5/7/8/9/11, arrêt Voie Malraux- Lignes 2A/2B/3/N2A/N2B, arrêt Pont Le Nain

Tarif plein : 7 € Tarif réduit : 5 €Tarif réduit adhérent : 4 €Carte 6 places : 30 €

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Le Dietrich est partenaire de

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alabama monroe Felix Van GroeningenShining Stanley Kubrick + Room 237 Rodney Aschermodus anomali Joko Anwarcha cha cha Marco Risimétéora Spiros StathoulopoulosLa bataille de Solférino Justine TrietLe grand tour Jérôme le Mairepr

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infos > Attention, les coupons de la saison dernière ne seront plus valables après le 31 août 2013. Pensez à utiliser vos derniers coupons, ceux-ci ne seront ni repris ni échangés ! Les coupons pour la saison 2013-2014 seront en vente à partir du 1er septembre.

> Réservation groupes en séances publiques ou privées (+ de 30 personnes) au 05 49 01 77 90 ou par mail à : programmation@le-dietrich.fr. Tarifs : de 30 à 50 personnes 4 €/ place. Au-delà de 50 personnes : 2,5 € / place.

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