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N° 295 du vendredi 1er au vendredi 15 mai 2015

TOUS LES 15 JOURS, l’essentiel…

À la rentrée 2015, un partenariat inédit et unique en France, entre la Ville et l’ESSEC, permettra à plus de 2700 jeunes drancéens d’acquérir toutes les clés de la réussite.

La Ville accompagne les ambitions des jeunes

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Halte aux cambriolagesLa Ville met en place un service de télé-surveillance qui permet de re-lier le détecteur de son habitation au poste de police municipale. Sa commercialisation débutera début mai.

Élections départementalesAude Lagarde et Stéphane Salini ont été élus, avec 74,97 % des voix, à l'issue du 2e tour des élections départementales qui s’est déroulé dimanche 29 mars.

Anniversaire chroméLes Confederates fêtent leurs 25 ans, dans le parc de Ladoucette, samedi 18 avril. Promenades en voitures, barbecue et rock’n’roll : un samedi comme on les aime, en somme. P.13

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vie municipale

immediat N° 296 du samedi 16 au dimanche 31 mai 20152

vie culturelle 16 mai IMPROVISATION THÉÂTRALE

clôture et remise des prix du festival Mai en scène à 20 h, puis match avec la ligue française

d’improvisation théâtrale. Le public vote pour l’équipe qu’il préfère, à 20 h 30, Espace culturel du parc.

17 mai ÉQUITABLEScinq exposants viennent dialoguer avec les Drancéens

sur le marché des Quatre routes (lire page 9).

18 mai MA SANTÉ, MA COMMUNEla Ville vous invite à rencontrer des mutuelles qui

proposent aux citoyens de s’associer pour bénéficier d’une complémentaire santé au moindre coût, à 16 h

et 18 h, Espace culturel du parc (lire page 9).

18 au 25 mai EXPOSITIONles jeunes du SmJ ont créé des œuvres dans le cadre d’un projet “Vie sexuelle et affective chez les jeunes”. ils les exposent au 2e étage du château de Ladoucette.

23 Et 24 mai FAITOUTS CRÉOLESfête de la gastronomie des îles, de 11 h à 20 h le

samedi (19 h le dimanche), avec comme pays invité d’honneur : Haïti (lire page 13).

27 mai HOMMAGE À LA RÉSISTANCEen ce jour anniversaire de la création du Conseil

National de la Résistance, le 27 mai 1943, les écoliers de Cm2 de l’école Romain Rolland inaugurent leur

“Chemin des résistances” à travers Drancy à 11 h 30, devant le mémorial du camp de Drancy.

28 mai SAUVER SA PEAUjournée nationale de prévention des cancers de la

peau, dépistage anonyme et gratuit : 0800 11 2015, www.syndicatdermatos.org, appli SoleilRisk

28 mai CONSEIL MUNICIPALséance à 20 h, salle du conseil à la mairie.

29 mai FÊTE DES VOISINSdes rendez-vous un peu partout dans la ville à 19 h

(lire page 9).

30 mai - 5 JuiN DÉVELOPPEMENT DURABLEle CCaS et le service municipal du Développement

durable vous aide à réduire vos factures (lire page 9).

30 mai FÊTE DE QUARTIERParis campagne, de 12 h à 18 h 30, sur le stade de la

cité du Nord (lire page 9).

31 mai RENDEZ-VOUS AU JARDINen partenariat avec la Ville, Drancy Ville Fleurie

organise des animations dans le parc de Ladoucette de 10 h à 18 h 30. au programme sous les fenêtres du

château : orchidée Seine-Saint-Denis, rempotage et démonstration d’art floral, vente de miel, de produits maraîchers, création avec les enfants d’un massif de

fleurs en forme de cœur.

31 mai JAZZ EN COULEURSconcert de fin de stage, avec les élèves et professeurs

des conservatoires de la communauté d’agglomération de l’aéroport du Bourget, à 18 h 30, Espace culturel

du parc. Gratuit sur réservation obligatoire auprès du conservatoire au 01 48 96 39 23.

2 JuiN BON MÉNAGEles produits d’entretien font-ils bon ménage avec l’air

que l’on respire (lire page 15).

Les artistes de l’UAP exposentRetrouvez les œuvres des artistes amateurs de l’Union des arts plastiques au salon de Printemps. À l’honneur, cette année, Philippe Bizon.

T oute l’année, les artistes de l’UAP peignent, sculptent, dessinent, encrent... Du 23 mai au 7 juin, ils

vous donnent rendez-vous au château pour partager leurs émotions, le temps d’une rétrospective de leurs derniers tra-vaux. Plus de centre trente œuvres de pas-sionnés aux sensibilités très diverses seront exposées. Denis Battigelli rendra hom-mage aux jazzmen, Jean-Claude Bernard, président de l’association, aux quatre sai-sons, Laurent Chevillon présentera des œuvres façon arts premiers ; d’autres, des portraits ou dérivés de portraits.Chaque salon de Printemps est l’occasion pour l’association de mettre à l’honneur un de ses artistes, en lui permettant d’ex-poser un plus grand nombre d’œuvres et donc de donner un meilleur aperçu de son travail. Cette année, ce sera Philippe Bizon, “un artiste très créatif dont les créa-tions ont beaucoup de charme“, selon Jean-Claude Bernard, président de l’UAP. Une quinzaine de ses œuvres seront exposées au rez-de-chaussée du château. Philippe Bizon, un créatif pragmatique Philippe Bizon a commencé la sculpture à l’âge de dix ans, il y a quarante ans. “Ma première création était une voiture“, se souvient-il. Depuis, les sources d’inspira-tion de cet autodidacte ont pas mal évo-lué. Aujourd’hui Philippe Bizon sculpte essentiellement des femmes : leurs sil-houettes, leurs corps parfois enlacés, leurs visages... “L’adolescence de Bizon fut contemporaine de l’age du fer, raconte le sculpteur. Taillé d’abord dans le dur de la vie et la rudesse du métal, son âge d’homme s’affirme avec la découverte et la mise au point personnelle de matériaux tels que le bronze, l’étain, la résine ou le marbre. Son art y puise alors les ressources d’une souplesse classique et d’un tranchant nou-veau au service d’une inspiration vouée à la célébration du corps féminin“. Plusieurs de ses représentations féminines seront

exposées au salon de Printemps. Parmi elles, la sœur jumelle de la plus connue des œuvres de l’artiste, Adriana, expo-sée dans le parc. Mais Philippe Bizon n’est pas sectaire. Ses sources d’inspi-ration sont multiples. D’une discussion, d’une émotion peuvent naître une œuvre inattendue, totalement hors de ses habi-tudes. Sera exposée par exemple au châ-teau : Angela, la sculpture d’une main qui porte un avion en papier. “Elle est née d’un échange sur notre territoire et son rôle dans l’histoire de l’aviation, explique-t-il. Elle immortalise un souvenir d’enfance que nous partageons tous, celui de la fabrication d’un avion en papier, de son envol“. Phi-lippe Bizon est un créatif multifacette, un touche-à-tout. Sculpteur, peintre, photo-graphe, réalisateur de courts-métrages... . “C’est avant tout l’envie, l’émotion qui me

guide“, constate-t-il. Il a une idée, il met tout en œuvre pour lui donner vie. Pas-sionné de sports mécaniques, il a der-nièrement créé un vélo électrique. “Il ne faut pas se mettre de barrières, insiste-t-il. Il faut se laisser guider par ses envies. Tout le monde peut créer une œuvre. De la terre et de l’envie suffisent à donner naissance à une sculpture. On n’a pas besoin d’argent pour créer, on a plein de choses gratuites autour de nous à disposition pour le faire“. Salon de PrintempsDu 23 mai au 7 juinChâteau de LadoucetteDu mardi au dimanche de 12 h à 18 hConférence animée par Philippe BizonDimanche 31 mai à 15 h

Q Trois des toiles qui seront exposées, réalisées par Laurent Chevillon (sur le chevalet), Evelyne Gaucher (à gauche) et Dany Masternak (à droite).

Q Portrait par Laurent Chevillon.

Q Angela, une sculpture de Philippe Bizon

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A ssis dans votre fauteuil, vous chan-gerez d’univers sans même avoir à vous lever. Oldelaf c’est à la fois un

chanteur et un humoriste, qui propose un spectacle complet, où les gags côtoient, parfois, le sérieux. Oscillant entre concert et spectacle, Oldelaf décline une musique légère, respirant la bonne humeur, même lorsqu’il s’agit de chanter des sujets graves. Connu notamment pour ses tubes comme la Tristitude, le Café, Nathalie mon amour des JMJ, ses plaisanteries de pince-sans-rire finissent toujours par mettre le public dans sa poche. Vous vous surpren-drez à l’accompagner et à l’encourager dans tous ses délires. Avec son dernier album Dimanche, sorti en janvier 2014, cet ancien professeur de musique présente son nouveau spectacle, toujours accompa-gné de ses musiciens, complices, pour le meilleur et pour le rire.

Espace culturel du parcVendredi 22 mai à 20 h 30Tarifs : 13,50 e / 10,40 e / 8,30 e

cinémamUniciPaLDu 17 mai au 2 juin

Humour cinglantGaspard Proust, c’est l’homme à l’humour noir et corrosif. celui qui manie la langue de molière avec brio offre un spectacle grinçant, mais qui, sans aucun doute, vous fera rire à gorge déployée.

FaST & FURiOUS 7Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

Dominic Toretto et sa “famille” doivent faire face à Deckard Shaw, bien décidé à se venger de la mort de son frère.

Dimanche 17 mai à 17 h, mardi 19 mai à 20 h 30.

Film américain. Genre : action. Durée : 2 h 17. Réalisé

par James Wan, avec Vin Diesel, Paul Walker, Jason

Statham

EnTRE amiSRichard, Gilles et Philippe sont amis depuis près de cinquante ans. Le temps d’un été, ils embarquent avec leurs compagnes sur un magnifique voilier pour une croisière vers la Corse. Mais la cohabitation à bord d’un bateau n’est pas toujours facile. D’au-tant que chaque couple a ses problèmes, et que la météo leur réserve de grosses surprises...

mercredi 20 mai à 14 h 30, 17 h 30 & 20 h 30,

dimanche 24 mai à 17h, mardi 26 mai à 20 h 30.

Film français. Genre : comédie. Durée : 1 h 30. Réa-

lisé par Olivier Baroux, avec Daniel Auteuil, Gérard

Jugnot, François Berléand, Zabou Breitman, Isabelle

Gélinas, Mélanie Doutey

aVEnGERS : L’ERE D’ULTROnAlors que Tony Stark tente de ramener la paix, les choses tournent mal et les super-héros Iron Man, Captain America, Thor, Hulk, Black Widow et Hawkeye vont devoir unir leurs forces pour combattre Ultron, un être technologique terrifiant qui s’est juré d’éradiquer l’espèce humaine.

mercredi 27 mai à 14 h 30, 17 h 30 & 20 h 30, di-

manche 31 mai à 17h, mardi 2 juin à 20 h 30. Film

américain. Genre : action. Durée : 2 h 22. Réalisé par

Joss Whedon, avec Robert Downey Jr., Chris Evans,

Mark Ruffalo

Rire et chansonschanter et rire, c’est le leitmotiv de l’explosif Oldelaf qui transporte ses spectateurs vers la bonne humeur, le sourire et finalement, l’éclat de rire.

“ Toc toc toc ! - Qui est là ?“ Celle qui parle, c’est la grand-mère, bien sûr. Blottie dans son lit, à l’intérieur de

sa maisonnette, au fond des bois. Mais qui frappe ? Vous avez une idée ? Un petit indice : cela ne va pas se passer exacte-ment comme d’habitude...Inspiré du livre de Benoît Jacques, auteur d’albums jeunesse à l’humour piquant, le spectacle de marionnettes entraîne les enfants et leurs parents dans un monde enchanté en trompe-l’œil. Les objets por-tent les personnages, la musique manipule les images, les ombres déforment les idées reçues et les clichés. Sans cesse, les deux comédiennes et le musicien brouillent les

pistes. Sans cesse, ils invitent les spectateurs à ne pas se laisser piéger par les apparences. La grand-mère prend les traits d’un animal, le loup fait preuve de tendresse... L’étran-geté rôde jusqu’à semer le trouble dans les

têtes. Surtout dans celles de parents qui ris-quent d’en perdre leur latin. La nuit du visiteurPar les Centres de créations pour l’enfance et la compagnie AtipikÀ partir de 6 ansVendredi 29 mai à 19 hEspace culturel du parcTarif unique : 3,60 eL’album La nuit du visiteur de Benoît Jacques, prix Baobab au Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil en 2008, est disponible dans le réseau des médiathèques. Vous pouvez le réserver sur : http ://mediatheques.aerobourget.fr

Un Chaperon rouge... pas comme les autresVous pensiez tout connaître de l’histoire du petit chaperon rouge ? Grave erreur : le loup et la grand-mère ont plus d’un tour dans leur sac.

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T ête à claques, misogyne et réac’, le personnage incarné par Gaspard Proust pourrait bien vous écorcher

les oreilles. Mais le comique caustique a du talent et son one man show est sans conteste une réussite. L’humoriste slo-vèno-suisse ose tout, dans un humour noir et grinçant. Il cogne à gauche, à droite, sur les religions, sur l’histoire et sur tout le reste. Comme du poil à grat-

ter, Gaspard Proust vous amène à rire presque malgré vous. Car depuis des années, cet autodidacte du rire a su faire ses preuves et a imposé son style corrosif et sa non-chalance agaçante. Nouveau prodige de l’humour noir, le comique officie tous les samedis soirs dans l’émission de Thierry Ardisson Salut les Terriens ! et affûte son talent dans des chroniques

savoureuses. Sur scène, Gas-pard Proust fait le show et repart

comme il est arrivé : les mains au fond des poches, au milieu de

spectateurs surpris, secoués et sur-tout conquis.

Espace culturel du parcSamedi 30 mai à 20 h 30

Tarifs : 13,50 e / 10,40 e / 8,30 e

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vie municipaleMarché bio équitable28 % des Français achètent chaque mois des produits issus du commerce équi-table. Et vous ?Dans le cadre de la Quinzaine nationale du com-merce équitable, la ville de Drancy, labellisée, pour son engagement, territoire de commerce équi-table, a invité cinq de ses acteurs à venir dialo-guer avec vous sur le marché des Quatre routes.Daria Jezierska présentera un atelier et une ani-mation bien-être autour de boissons sur le thème de l’hydratation intelligente. L’AMAP drancéenne La main au panier viendra faire la promotion du bio de proximité. René Roulon proposera des pro-duits régionaux en filière courte d’approvisionne-ment, venant de la Haute-Vienne et du Périgord et parlera du patrimoine régional. Christine Pinard, qui tient la boutique Le sourire multicolore à Paris, proposera des bijoux, des accessoires (sacs, fou-lards...), objets de décoration issus du commerce équitable, à découvrir sur son blog http ://lesourire-multico.canalblog.com. Lorraine Félix, apicultrice qui a installé quelques ruches à Drancy, tiendra un stand pédagogique : dégustation de miel, atelier bougies à base de cire d’abeille, présentation des outils de l’apiculteur...Enfin, le service municipal du Développement durable donnera des explications sur le commerce équitable dont les valeurs sont, entre autres, des prix justes, des revenus décents pour les produc-teurs, l’interdiction du travail forcé des enfants et la traçabilité des produits. Dimanche 17 mai de 8 h à 13 hMarché des Quatre routesPelouse devant la hallewww.mouvementequitable.org

Elle ouvrira le 1er juin. Le temps que les familles du quartier intéressées prennent contact avec les organisateurs.

E lle s’appellera Pom’cassis. Un joli nom pour une épicerie qui murit depuis deux ans dans la tête de Muriel

Lagneau, adjointe au maire déléguée du quartier et ancienne présidente de l’asso-ciation BBN. Elle connait son quartier sur le bout des doigts. La question de savoir com-ment aider des familles à faire face à des dépenses utiles mais impossibles, compte tenu de leur budget, a fait son chemin : “J’en suis arrivée à la conclusion qu’en leur permettant de moins dépenser pour l’alimen-tation et les produits de la vie courante, elles pourraient mettre de côté l’argent nécessaire pour faire la petite réparation sur la voiture indispensable pour le travail, par exemple, ou acheter le maillot de bain nécessaire à l’enfant qui va partir en classe de découverte au bord de la mer“, explique l’élue très investie dans les actions sociales et culturelles dans le quar-tier depuis de nombreuses années. Elle en parle au maire, cherche le réseau qui pour-rait permettre de faire aboutir son projet : ce sera l’association nationale de développe-ment des épiceries solidaires (ANDES). Quel

en est le principe ? Les épiceries sociales et solidaires apportent une aide, principale-ment alimentaire, à un public en difficulté économique, fragilisé ou exclu. Dans des espaces aménagés en libre-service, aussi proche que possible d’un magasin d’ali-mentation générale, elles mettent à dispo-sition de leurs usagers des produits variés et de qualité, moyennant une faible partici-pation financière : autour de 20% du prix usuel. La contribution financière participe de la dignité des personnes et de la liberté de choix qui sont les valeurs fondamentales des épiceries solidaires.À la faveur du départ, dans le centre-ville, de l’association SOS Gens du voyage, BBN s’est installée dans ses locaux et l’épicerie solidaire emménage dans les anciens locaux de l’asso-ciation BBN, au 114, de la rue Roger Salen-gro. L’Office public de l’Habitat, propriétaire des locaux en pied de la cité Gaston Rou-laud, est donc, comme la Ville, partenaire

de ce projet. Après celle de la Croix-Rouge dans le quartier Paris campagne, une nou-velle épicerie solidaire voit le jour.

Une épicerie solidaire au Petit Drancy

L’ÉPICERIE SOLIDAIRE, POUR QUI ?Vous habitez le quartier du Petit Drancy et vous rencontrez des difficultés pour faire aboutir un projet ? Vous pouvez peut-être bénéficier de l’épicerie solidaire. Pour le savoir, renseignez-vous auprès de l’association BBN, du centre communal d’action sociale (CCAS) ou à l’Agence OPH du Petit Drancy.

BBN116, rue Roger Salengro

CCASCentre administratif de la mairie

Agence OPH du Petit Drancy Centre commercial Gaston Roulaud, 11, rue Fernand Péna

Q Les rayons de l’épicerie solidaire du Petit Drancy se remplissent petit à petit. Elle ouvrira ses portes le 1er juin aux habitants du quartier sous conditions de ressources.

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P our réussir une rentrée, il faut l’an-ticiper. «Une rentrée scolaire est aussi bien pour la municipalité que pour

les services académiques un moment fort de l’année qui se prépare dès le mois de novembre de l’année précédente, explique Georges-Marie Yerro, adjointe au maire en charge de l’Éducation. Alors que les pre-miers conseils d’école s’achèvent, le service de l’Éducation propose déjà au député-maire une projection sur les effectifs prévisionnels des enfants à inscrire en maternelle et en élémentaire». Première donnée à prendre en compte : la baisse des effectifs par classe de 25 à 23 élèves en élémentaire et de 27 à 25 élèves en maternelle pour toutes les écoles appartenant au réseau d’éducation priori-taire, suite à la mise en place, par le Rec-torat, de nouveaux quartiers prioritaires tels que la Ville les avait demandés. Ces écoles sont désormais dix-sept à Drancy, neuf élémentaires (Jean Jaurès, Jacques Jorissen, Marcel Cachin, Cristino Garcia, Romain Rolland, Roger Salengro, Voltaire et Diderot 1 & 2) et huit maternelles (Jac-queline Quatremaire, Jacques Jorissen, Jean Jaurès, Marcel Cachin, Paul Lange-vin, Romain Rolland, Roger Salengro et Simone Veil).Deuxième donnée à prendre en compte : l’augmentation du nombre d’enfants à

scolariser, due à un rajeunissement de la population drancéenne.Pour faire face à cette nouvelle combi-naison, la Ville a mis en place une nou-velle sectorisation, c’est-à-dire qu’elle a fait évoluer sa carte scolaire. Chaque rue de la ville dépend d’une école, c’est cette répartition qui a été révisée en fonction des nouvelles données démographiques. Des demandes de dérogation peuvent encore être déposées, elles seront exami-nées lors de la commission du 21 mai.La nouvelle sectorisation établie, la Ville a demandé l’ouverture de quatre classes maternelles (deux à Marcel Cachin, une à Jean Macé et une à Roger Salengro) et de huit élémentaires (deux à Roger Salengro, une à Marcel Cachin, Diderot 1, Jean-Pierre Timbaud, Cristino Garcia, Jean Jaurès, Diderot 2). L’Éducation natio-nale a pour l’instant validé quatre ouver-tures en maternelle. Un désaccord existe avec la Ville sur le lieu d’implantation de l’une des classes, l’Éducation nationale préférant Simone Veil à Roger Salengro. Pour ce qui est des ouvertures en élémen-taire, l’Éducation nationale n’a validé que quatre ouvertures sur les huit demandées, ne jugeant pas nécessaires pour l’instant celles demandées à Jean-Pierre Timbaud, Cristino Garcia, Jean Jaurès, Diderot 2. “Actuellement, nous sommes en train de prendre attache auprès des bailleurs des nou-veaux logements pour connaître le nombre exact d’enfants qui arriveront dans ces nou-velles constructions, indique Georges-Marie Yerro. Nous avons demandé aux directeurs d’école de faire remonter rapidement les informations sur les parents qui déména-gent ou ne scolariseront plus leur enfants à Drancy pour toute autre raison. Cela afin de présenter à la prochaine commission tech-nique paritaire un tableau s’appuyant sur des

chiffres concrets pour que l’Éducation natio-nale valide l’ensemble de nos demandes pre-nant en compte ces effectifs réels“.

Service municipal de l’Éducation2ème étage du centre administratif01 48 96 50 00

Le mot du maireLa santé est un droit Dans de nombreuses villes comme à Drancy, beaucoup d’habi-tants n’ont aucune mutuelle et, de ce fait, renoncent à des soins trop coûteux. Les raisons en sont nombreuses : l’insuffisance de ressources, le rejet du dossier par une mutuelle ou bien d’autres motifs encore.Par ailleurs, on constate que le taux de décès prématurés (avant 65 ans) est en Seine-Saint-Denis l’un des plus élevés de France. Pourtant, le nombre en serait fortement réduit par des actions de prévention, de dépistage et de prise en charge rapide.À nos yeux, une municipalité ne peut rester les bras croisés face à ce constat.C’est pourquoi la Ville a sollicité les mutuelles pour savoir si elles étaient en mesure de faire des offres intéressantes pour les Drancéens et qui les incitent à améliorer leur protection sociale. La municipalité souhaite ainsi aider ceux qui n'en ont pas à pouvoir s'affilier à une mutuelle.C’est ce que nous vous proposons aujourd’hui, avec “ma commune, ma santé” et que je vous invite à découvrir le 18 mai à l’Espace culturel.C’est une première en France dans une ville de plus de 50 000 habitants qui va ouvrir pour les Drancéens l’accès à des taux et conditions de remboursement beaucoup plus avantageux que s’ils avaient contracté individuellement une mutuelle.Tout le monde constate les très faibles remboursements pour soigner sa vue et ses dents, accordés aujourd’hui par la Sécurité Sociale. Cela conduit des personnes à renoncer et reporter des soins pourtant nécessaires faute d’avoir les moyens suffisants. Il leur faudrait une mutuelle pour faire face à des dépenses au lieu de les différer.La lutte contre ces inégalités sociales passe par la mobilisation des élus et leur impose d’innover afin de venir en aide à leurs concitoyens.Cette proposition intéresse également ceux qui disposent déjà d’une mutuelle et peu-vent établir la comparaison avec “ma commune, ma santé”, proposition qui pourrait leur être très profitable tant au plan des garanties offertes que des cotisations demandées.Tout le monde peut souscrire cette mutuelle, il n’y a pas de condition d’âge ni de santé contrairement à ce qui se fait couramment.J’espère que vous serez nombreux à venir comparer et faire le choix qui vous garantira une couverture de soins équitable et juste.J’espère enfin que ceux d’entre vous dont les dossiers avaient été rejetés par les repré-sentants de certaines mutuelles trouveront là une réponse efficace à cette discrimina-tion.La santé est un droit et il faut le développer.

La rentrée se prépareÀ la rentrée de septembre, le nombre d’enfants à scolariser sera en hausse. Les pourparlers avec l’Éducation nationale pour les ouvertures de classes ont d’ores et déjà commencé.

RencontRes paRents/ViLLeDes conférences-débats seront organisés au mois de juin, en présence de Georges-Marie Yerro adjointe au maire en charge de l’Éducation. Y seront abordés : la politique éducative de la ville, la sectorisation, les dérogations, les rythmes scolaires, les garderies (matin et soir), la pause méridienne...

Quid de la reconstruction du collège langevin ?

Le devenir du collège Paul Langevin reste notre préoccupation première. À la rentrée, deux nouveaux préfabriqués pourraient être installés sur le terrain situé en face du collège. L’objectif : créer deux classes supplémentaires pour réduire les effectifs à l’intérieur du collège. Ce, pour des raisons de sécurité. Nous disons bien : “pourrait”, car rien n’est encore sûr. Une dérogation serait dans les tuyaux... Le conseil départemental hésitant à financer ces deux préfabriqués alors qu’il pense reconstruire l’établissement.

Mais où et dans quelles proportions pense-t-il le reconstruire ? Ce sont les questions qui nous préoccupent. Le conseil général a évoqué il y a quelques mois la possibilité de créer un établissement de plus de 700 places regroupant les élèves du collège Paul Langevin, des élèves du Bourget et de La Courneuve. Et cela, sans trancher sur le lieu. Nous ne voulons pas attendre qu’un projet nous tombe dessus, nous voulons dès maintenant réaffirmer notre volonté de défendre l’existence d’un collège à taille humaine dans le quartier de l’Avenir. La Ville de Drancy a d’ailleurs indiqué depuis longtemps au conseil départemental qu’elle avait un terrain situé tout près du collège et qu’elle le mettait à disposition pour ce projet de reconstruction. Alors, on se demande pourquoi attendre davantage.

Aude Lagarde et Stéphane Salini, conseillers départementaux de Seine-Saint-Denis

iLs ont dit

Q Georges-Marie Yerro, adjoine au maire en charge de l’Education, avec les familles lors de l’inauguration de l’école élémentaire Simone Veil, le 27 septembre dernier.

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vie municipale

TravauxAssainissement, enfouissements de réseau et voirie : le programme 2015 se poursuit.

Depuis le début du mois de mai, des tra-vaux de chemisage des conduites d’eau sont en cours dans les rues Lavoisier (pour 4 mois), de l’Union et Pradier (pour 2 mois). Après ces travaux d’assainisse-ment dans la rue Lavoisier, suivra l’en-fouissement des réseaux électriques.Rue des Martyrs de Châteaubriant, la conduite de gaz ayant été changée, une réunion des riverains devrait avoir lieu avant le démarrage des travaux de voi-rie entre les rues de l’Argonne et de la Coopération.

CommémorationDimanche 26 avril, Drancy célébrait la 61ème journée nationale du souvenir de la déportation. Anthony Mangin, premier adjoint au maire, a profité de son hommage pour évoquer les trois génocides du XXe siècle.

D e nombreux Drancéens, toutes géné-rations confondues, étaient présents pour cette commémoration en hom-

mage à tous les déportés du XXème siècle. M. Mangin a rappelé que 6 millions de juifs avaient été exterminés, dont 65 000 partis de Drancy. Ce génocide est le deu-xième de ce XXème siècle : entre 1915 et 1917, on estime qu’un 1,5 millions d’Ar-

méniens et 250 000 Assyro Chaldéens sont exterminés par le pouvoir des "Jeunes Turcs". En 1994, c'est le troisième géno-cide de ce siècle avec le massacre systéma-tique des Tutsis au Rwanda, qui fait 800 000 morts en 3 mois. Le premier adjoint a tenu à souligner l’importance de conser-ver la mémoire de ces événements, qui ont marqué durablement plusieurs géné-rations. “Le XXIème siècle a un devoir vis-à-vis de toutes ces populations décimées, et ce n’est pas celui de l’oubli. Ce n’est pas celui de la dénégation ou de l’indifférence. C’est d’abord celui de la mémoire, mémoire de ces millions de martyrs, ici entassés comme des bestiaux dans des trains, là-bas enfour-

nés dans des chambres à gaz. Mémoire de ces millions de victimes innocentes à qui on ne reprochait rien d’autre que leur religion ou leur appartenance ethnique. Mémoire de ces millions d’êtres humains broyés par un régime qui avait érigé la barbarie en système. De tout cela nous devons nous souvenir. De tout cela, nous devons parler et transmettre cette vérité historique,“ a-t-il déclaré. Avec la barbarie qui se promeut aujourd’hui sur les réseaux sociaux, il est plus que jamais

nécessaire de s’ouvrir aux autres : “Le rap-prochement et le respect des personnes, la meilleure compréhension de leurs idées et de leurs croyances, la reconnaissance de l’alté-rité comme une richesse pour notre société doivent être appris dès le plus jeune âge.“

Des Chartrains à DrancyLe 6 mai, les anciens combattants de Chartres ont fait le déplacement à Drancy pour commémorer à leur tour les dépor-tés du XXe siècle. Au programme, visite du mémorial et dépôt d’une gerbe de fleurs. La délégation, accompagnée par le député-maire de Chartres, Jean-Pierre Gorges, a été accueillie par Clémentine Makangila et Tom Zemiti, conseillers municipaux. Ces derniers ont rappelé la motion votée par le conseil munici-pal concernant le génocide arménien, à savoir la pénalisation des propos et actes négationnistes du génocide et la conti-nuation de l’action diplomatique auprès de la Turquie afin qu’elle le reconnaisse. Ensuite a été le lu le message du secré-taire général des Nations Unies à l'occa-sion du 70ème anniversaire de la libération des camps de concentration.

Q Le programme d’enfouissement des réseaux électriques se poursuit notamment dans les quartiers de l’Avenir (sur notre photo rue Armand Carel) et de l’Économie.

“DraNCy, uN Camp eN FraNCe”Raconter Drancy, c’est l’objectif de ce livre écrit par Renée Poznanski, Denis Peschanski et Benoît Pouvreau. Camp d’internement pendant la guerre, Drancy conserve aujourd’hui sa vocation initiale de logement social, tout en étant le lieu de mémoire centrale de la Shoah en France. Ce livre raconte l’histoire complète de ce lieu, au départ au cœur d’un grand projet architectural avant-gardiste des années 30, qui deviendra un camp d’internement improvisé par les allemands, avant de retrouver ses lettres de noblesse. Un grand nombre d’illustrations exceptionnelles accompagne le récit, fondé sur des documents largement inédits et émouvants.

Q Commémoration du 26 avril.

Q Délégation Chartraine du 6 mai.

Q Rue des Martyrs de Châteaubriand, après le changement d’une conduite de gaz, la voirie sera refaite. Une réunion d'information est prévue avec les riverains.

Q Rue Lavoisier, les travaux d’assainissement commençaient début mai, pour une durée prévisible de quatre mois.

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Un programme qui peut changer une vie

Sarah Khamassi25 ansChargée de mission Égalité des chances à la Ville de Drancy et fondatrice de l’asso-ciation des anciens bénéficiaires du pro-gramme Égalité des chances de l’ESSEC, Ahmed et Adèle, diplômée de trois pres-tigieuses écoles de commerce l’ESSEC, l’ESCP et HEC

“Quand j’ai décidé de participer au pro-gramme d’Égalité des chances proposé aux élèves de seconde de mon lycée de Sartrou-ville, je ne savais pas exactement quels béné-

fices j’en tirerais mais j’étais convaincue que cela pouvait changer ma vie. Je sentais que c’était une chance unique et qu’il fallait que je la saisisse pour moi et pour ma famille. Le programme demande beaucoup d’enga-gement. Il ne faut pas y participer unique-ment pour faire plaisir à ses parents, il faut le vouloir soi. Le programme apporte énormément. Il faci-lite l’accès à une information de qualité sur toutes les opportunités post-bac. Il permet d’acquérir une meilleure organisation, une aisance à l’oral et les techniques de déve-loppement d’un projet. Il aiguise la curiosité culturelle et économique. Il donne confiance et permet de se sentir légitime partout, en toute circonstance. Il apprend à rebondir et à rester optimiste quoi qu’il arrive... Grâce au programme, l’égalité des chances est rétablie. Et ce n’est pas qu’une jolie formule. 45 % des jeunes issus du programme - tous issus de milieux dits défavorisés - intègrent une classe prépa contre seulement 18 % des enfants d’ouvriers au niveau national. La réus-site de ces jeunes se vérifie plus loin dans leur parcours. D’après une étude de l’ESSEC, ils sont deux fois plus nombreux à obtenir un bac +5, ils ne mettent en moyenne qu’un mois pour décrocher un premier emploi dont le salaire est environ 20 % plus élevé“. Thomas 18 ans1ère année de

licence de droitObjectif : intégrer un Institut d’études poli-tiques (IEP), devenir avocat et participer à la vie publique

“Quand on intègre le programme, il est impossible d’imaginer tout ce qu’il peut apporter. À titre personnel, je me suis récon-cilié avec l’anglais en participant à des débats sur l’actualité internationale, j’ai appris à por-ter un regard critique sur l’information dif-fusée par les médias mais j’ai surtout fait de très belles rencontres. Le programme Éga-lité des chances est une très belle aventure humaine qui permet de découvrir les autres, de se découvrir soi-même et d’oser dire : "je peux faire ce qui me plaît. Quel que soit le niveau requis, j’en ai les moyens, il faut tenter". Anabelle18 ans1ère année de DUT Technique de commerciali-sationObjectif : inté-grer une école de commerce

“En seconde, la première fois que l’on m’a parlé du programme Égalité des chances, je n’avais même pas conscience que tous les jeunes n’avaient pas les mêmes chances. J’ai décidé de participer aux pré sélections, sans y croire, il n’y avait que dix places.

J’ai réussi, j’ai été sélectionnée pour faire partie des dix. On se met beaucoup trop de barrières sans raison. Il faut oser. On a tout à gagner. Et ce, quelles que soient ses envies.“

Ashkan22 ansÉtudiant en école d’ingénieur

“Le programme a changé ma vie. Les demi-jour-nées découverte en entreprise m’ont permis de décou-vrir différents métiers dont celui d’ingé-nieur. Avant d’intégrer le programme, je n’imaginais pas du tout ce qu’il pouvait recouvrir. Le programme donne accès à l’information, l’envie de trouver sa voie et la motivation pour le faire. En fait, il donne les clés pour s’épanouir profession-nellement. Officiellement, le programme s’arrête après le bac, mais en réalité, les jeunes gardent le contact au sein de l’asso-ciation d’anciens et continue de bénéficier de l’expérience et des conseils des autres.“

M aryline Bray et sa coéquipière animent tous les lundis l’atelier Équilibre et mouvement, à la

résidence Myosotis. En moyenne quinze résidents, âgés de 70 à 93 ans pour la doyenne, participent aux cours dans une bonne humeur et une ambiance que les centres de loisirs pourraient jalou-ser. Attentifs, les participants suivent les consignes et s’appliquent à faire de leur mieux. Jeux d’adresse ou énergique, seul ou à deux, les résidents travaillent “l’équilibre, le renforcement musculaire et le stretching“, explique Mme Bray. À voir ces sportifs d’un jour, les séances, douze au total, d’une heure chacune, sont un moment privilégié auquel chacun est heureux de participer. “L’atelier est un moment attendu, confirme l’animatrice. Il les change de leur quotidien, c’est important pour eux. Pour certains il s’agit presque du seul moment où ils sont en contact avec les autres. Une prochaine séance va porter sur la prévention des chutes, apprendre com-ment se relever ou atteindre le téléphone pour prévenir les secours“.À la résidence des Lilas, c’est la mémoire qu’on active. Muriel Foray, respon-

sable animation au CCAS, encadre avec une animatrice cette activité. Les rési-dents sont dix, munis d’une feuille et d’un stylo, pour pratiquer les exercices demandés. Pendant 1 h 30, avec une

petite pause goûter, les retraités vont faire travailler leur mémoire et leur attention. Émotion et Images est l’un des onze thèmes des séances proposées par Brain Up Association. Sur les dia-

pos, neuf images sont successivement montrées. Aux résidents de les retenir et d’écrire, une fois les neuf images passées, celles dont ils se souviennent. Même exercice, différentes images, à associer cette fois à des émotions, car “l’émotion est importante pour mémoriser un souvenir. Ce dernier sera d’autant plus fort que l’émotion sera vive“, explique l’animatrice. Et pour continuer à entre-tenir son attention, rien de tel que de petits exercices au quotidien : repérer combien de personne portent un pull rouge, ou combien de voiture sont grises permet de faire travailler ses méninges.Ces animations sont subventionnées par la Ville, la Caisse nationale d’assurance vieillesse et la Prévention Retraite Île-de-France.

Des retraités actifsLes résidences Myosotis et Lilas proposent à leurs occupants des activités physiques douces et des exercices de mémoire, pour garder la forme.

Q L’atelier Équilibre et mouvement, à la résidence Myosotis.

Q L’atelier Mémoire, à la résidence Les Lilas.

Pour en savoir plus sur ce partenariat inédit, consultez Drancy immédiat n°294 sur drancy.net et egalite-des-chances.essec.edu

À la rentrée 2015, un partenariat inédit entre la Ville et l’ESSEC permettra aux élèves Drancéens d’acquérir les clés de la réussite. Quatre jeunes issus du programme Égalité des chances de la grande école témoignent.

PREMIÈRE EN FRANCE

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vie municipaleSuper vacances !Avec les centres de loisirs, le SMJ, le club ado et le service municipal des Sports, les jeunes drancéens ont passé de superbes vacances de printemps. Retour en images sur quelques moments forts.

Q Le 29 avril, un groupe du SMJ s'initiait aux arts du cirque.

Q Pendant la partie de pêche, il faut de temps en temps appâter.

Q La pêche à la ligne ? Que du bonheur ! Les 8-11 ans du SMJ ont découvert l’art de la lenteur, le plaisir de passer quelques heures au bord de l’eau.

Q C'est tranquille, il ne manque que les tabourets. La première prise ? Une petite perche que les jeunes ont très vite remise à l'eau.

Q Les 8-11 ans du SMJ ont bien de la chance : mercredi 22 avril , séance “playdagogie” animée par deux enseignantes et les animateurs, avec quizz sur la nutrition et séance de pâtisserie française animée par François Péret, chef du palace Changri La (5 étoiles). C’était au gymnase Joliot-Curie, et c’était DÉ LI CIEUX !

Q Le club ado au karting, la grande classe !

Q C’était un peu avant les vacances, mais la chasse aux œufs dans le parc fut aussi un grand moment du début du printemps, aux centres de loisirs.

Q Du 21 au 24 avril, les 4-14 ans des centres de loisirs et du service jeunesse ont découvert le rugby avec le Rugby club drancéen et le servcie municipal des Sports. Respect des règles, convivialité étaient les maîtres-mots de cette semaine.

Partie de pêche

Découverte du rugby

Au karting

Chasse à l’œuf

Arts du cirque

Chef pâtissier

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vie municipaleMutuelle : informez-vousLa Ville permettra prochainement à tous les Drancéens de bénéficier de mutuelles à un tarif très attractif. En attendant les réunions d'information, le 18 mai, Drancy immédiat répond à quelques questions.Pourquoi la ville s'investit-elle dans ce projet ?Faute de mutuelle, beaucoup de Drancéens se soignent mal ou pas. La Ville veut faciliter l'accès de tous aux soins, notamment de ceux qui ne sont pas concernés par l'obliga-tion prochaine pour les employeurs de proposer une mutuelle à leurs salariés : les salariés en CDD, à temps partiel ou en intérim, les retraités, les chômeurs, les profes-sions libérales, les étudiants... Quelle sera la valeur ajoutée de ces nouvelles mutuelles ?Un prix jusqu'à 50 % moins élevé que celui d'une mutuelle classique. Pour un senior, par exemple, l'éco-nomie peut dépasser les 1000 euros par an, pour un niveau de remboursement équivalent ou légèrement meilleur.

Les remboursements seront-ils de bon niveau également en optique, dentaire et appa-reillage auditif ?Oui. Par exemple, pour une cou-ronne pour laquelle la sécurité sociale rembourse 107,5 e, la

L es factures énergétiques (électricité, gaz ou eau) pèsent lourd dans un

budget. Pourtant, l’augmenta-tion de ces dépenses obliga-toires n’est pas une fatalité. Jeudi 4 juin, le Centre commu-nal d’action sociale (CCAS) et le service municipal du dévelop-pement durable présenteront des équipements économes et des gestes simples qui permet-

tent de les réduire : utiliser des ampoules basse consommation, éteindre la lumière en quittant une pièce, éteindre ses équipe-ments au lieu de les laisser en veille, adapter la puissance de son installation à sa consomma-tion, couper le chauffage quand on aère... Les mauvaises habi-tudes ont un impact sensible sur la facture énergétique : près de 90 e par an sur une facture

d'électricité, selon le baromètre AFP-Powermetrix. Alors faisons-leur la chasse. Dans le cadre de la semaine du développement durableJeudi 4 juin à 9 h 30Salle Louis Méret22, rue de la République (derrière le commissariat)Informations au 06 46 40 14 55 ou 01 48 96 50 00 (Mme Le Guellec)

Des astuces pour faire baisser vos factures

Les commerçants du marché des Quatre routes offrent à leurs clientes 1000 chèques cadeaux d’une valeur de 5 euros. Ces chèques seront dis-tribués par des animateurs autour d’un jeu de questions-réponses. Ils seront valables du 1er au 31 juin dans tous le marché, sous la halle et à l’extérieur.

Un atelier des enfants, installé sur la pelouse à droite de l’entrée principale de la halle, leurs permettra de créer des cadeaux pour leurs mamans (col-liers en perle, dessins, etc.). Animation fête des mèresDimanche 31 mai de 8 h 30 à 13 hMarché des Quatre routes

Q L’animation fête des mères sur le marché l’an dernier.

Les acteurs du quartier - centre social municipal, services munici-paux, associations, bailleur - vous donnent rendez-vous samedi 30 mai sur le stade de la cité du Nord.

La fête commencera comme chaque année par un délicieux repas gratuit et partagé, les femmes des associations du quartier mettant un point d’hon-neur à régaler leurs convives. Cette année, il sera possible de se restau-rer uniquement de 12 h à 14 h 30, car il faut que tout le monde puisse profi-ter de la suite de la fête.Les stands ouvriront également à midi, avec des jeux, des exposi-tions, des rencontres proposés par le centre social municipal, la Sablière, le service municipal de la Rénova-tion urbaine, le service municipal de la Jeunesse, les centres de loisirs, les associations APES, USNCD, etc.Sur scène, défilé de mode, danses,

chants rythmeront cet après-midi. On se quittera vers 18 h 30. Samedi 30 mai de 12 h à 18 h 30Stade de la cité du Nord

Paris campagne en fête

Q C’est toujours un menu alléchant qui attend les participants à la fête du quartier Paris campagne. Mais attention ! Cette année, la restauration sera possible uniquement de 12 h à 14 h 30.

Le 29 mai, c’est le rendez-vous incontournable pour faire la fête entre voisins.

D ès 19 h, retrouvez vos voi-sins à proximité de chez vous, pour une soirée convi-

viale à laquelle nombre de per-sonnes sont désormais attachées. Pour en profiter, sortez les tables

et les chaises (si vous en avez l’au-torisation sur la voie publique), chacun apporte une bricole à gri-gnoter ou de quoi se désaltérer. L’occasion pour les nouveaux arri-vants de faire connaissance, mais aussi pour les plus anciens de se retrouver lorsque le quotidien ne le permet pas forcément. Il y a certainement un rendez-vous près de chez vous, alors n’hésitez pas et profitez de cette soirée qui se déroulera, on l’espère, sous un beau soleil de mai.

Fête des voisins

Les rendez-vous, quartier par quartier à partir de 19 h

PREMIÈRE EN FRANCEdans une ville de plus de 60.000 habitants

mutuelle, selon la formule que vous choisirez, pourra rembour-ser jusqu'à 376,25 e.

Aura-t-on le choix entre dif-férents niveaux de rembour-sement ?Oui. Chaque adhérent aura le choix entre deux mutuelles, Miel et Pavillon prévoyance et, une fois sa mutuelle choisie, entre trois niveaux de remboursement : Éco-nomie, Sécurité et Confort.

Les Drancéens pourront-ils tous en bénéficier ?Oui, sans restriction. Il n'y aura ni limite d'âge, ni questionnaire de santé, ni conditions de ressources.

Quel est le rôle de la Ville dans le dispositif ?La Ville lancera le 18 mai un

partenariat avec l'association Actiom (Actions de mutuali-sation pour l'amélioration du pouvoir d'achat de ses adhé-rents) et intègrera son dispositif "Ma commune, ma santé" qui regroupe 180 communes. Elle permettra la mise en relation entre l'association et les habi-tants et facilitera la mise en place de permanences sur le territoire de la commune. Quel est le coût pour elle ?Aucun. Elle n'est qu'un vecteur de communication.

Comment des tarifs si attrac-tifs sont-ils possibles ?En s'associant, les Drancéens bénéficient des tarifs très attrac-tifs de mutuelles collectives natio-nales.

réunions d’inforMationLundi 18 mai • à 16 h • à 18 hEspace culturel du parc

L'avenirRésidence Jean Lurçatrue du Sergent Bobillot

La Marerue de la Villetterue Greffrue Blancherue du Berryrue Albert de Mun rue Ribot

village parisienRue BalzacPlace Marcel Cachinrue des Bois de Groslay

La Muetterue Arthur FontaineRésidence Max Jacob avenue Henri Barbusse

drancy Centrerue Eugène Chevreulrue de la Républiquerue Roger Petieurue Louis Delplacerue Lucien PerriotPlace Marcel Paul

petit drancyrue Roger Salengrorue Ducouedicrue Gustave Deveze

L'économiepassage GuegnonMaison du Temps libre, 12/14, rue Etienne Doletrue Parmentierrue du Canal

Les oiseauxrue Léon Bernardavenue Castelnaurue Maurice Bernardrue Henri Longatte

paris campagnerue René Thuillierrue Henri Jahierrue Eugène Pottierrue des Pyramidesrue de la République rue Louis Blériot rue Pierre SemardRésidence Alsace Lorrainerue Mozartavenue Marceau

Le marché fête les mamans

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vie municipale

immediat N° 296 du samedi 16 au dimanche 31 mai 201510

vie municipaleL a gestion des déchets est une des

faces cachées de notre société. Il suf-fit de voir l’air agacé de tout un cha-

cun lorsqu’on nous fait remarquer l’impact négatif de notre consommation sur l’en-vironnement. “Je paye des impôts qui aug-mentent, donc je n’ai pas à trier“ est un leitmotiv trop souvent entendu. Mainte-nant que les déchetteries et centres de tri ont remplacé les vieilles décharges à ciel ouvert - du moins en France, n’allons pas voir, dans certains pays d’Afrique comme le Ghana, les gigantesques cimetières de nos propres rebus informatiques -, que les différentes collectes récupèrent à peu près tous nos déchets et que nos rues sont bien plus propres depuis que les sacs plastiques ne sont plus distribués à volonté dans les magasins, on s’imagine que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Or, ce n’est pas vraiment le cas, ou alors pour un prix exorbitant. La gestion des déchets à Drancy est le deuxième poste de dépense en fonctionnement de la ville.

Parlons poubellesTout ce qui est déposé dans les poubelles d’ordures ménagères (OM), les vertes, est une perte sèche pour la ville. Elle paie environ 170 e la tonne pour le ramas-sage et le traitement. L’an passé, 31 840 tonnes ont été collectées. Concernant les déchets issus du tri, la situation est un peu différente puisqu’une tonne d’emballage, par exemple, prend beaucoup plus de

place qu’une tonne d’ordure ménagère et donc des allers-retours des bennes plus nombreux. Le coût de la collecte est donc supérieur à celui des ordures ménagères, mais elle est largement subventionnée. Au final, les deux collectes représentent une dépense identique. Mais attention au trompe-l’œil du tarif au poids : laisser une volumineuse tonne d’emballage dans les OM entrainera une hausse immédiate du coût de la collecte. Déposée dans les poubelles de tri, la hausse sera compen-sée grâce à l’augmentation des recettes de subventions. Or, plus de 50 % de nos ordures ménagères sont en fait des déchets recyclables qui n’ont pas été dépo-sés dans la bonne poubelle. Il y a donc encore de grandes marges d’économies à réaliser en triant mieux, d’autant plus que, d’année en année, nous produisons, par habitant, de plus en plus de déchets.À l’inverse, on trouve de 15 à 20 % d’OM dans le contenu des collectes issues du tri, ce qui entraine des déclassements de bennes et donc des tonnages non valo-risés.

Parlons consommationC’est une évidence : les Français produi-sent beaucoup trop de déchets par habi-tant, deux fois plus qu’il y a 50 ans en terme de tonnage et beaucoup plus si l’on considère les volumes. Il est urgent d’y remédier en suivant quelques conseils élé-mentaires : acheter ses fruits et légumes

en vrac plutôt qu’en barquette ; boire de l’eau du robinet plutôt qu’en bouteille ; préférer les produits avec moins d’embal-lage ou, au moins, recyclables ; ne pas trop acheter (on retrouve 7 kg par an et par habitant de produits encore emballés dans les OM) ; mieux trier le verre qui est recyclable à l’infini (si 6,7 kg par habitant et par an sont captés dans les colonnes dédiées, 19,4 kg se trouvent encore dans les OM)... Les pistes sont multiples, le tout est de ne pas fermer les yeux sur cette réalité qui finira sinon par nous exploser au visage.

Histoire de bacsLa gestion de nos déchets est un enjeu essentiel pour l’avenir et pour nos finances.

BIENTÔT TOUS LES PLASTIQUES C’est une excellente nouvelle : avant la fin de l’année, nous pourrons déposer dans nos bacs de déchets recyclables tous les plastiques puisque la plateforme de Sevran du Syctom est désormais à même de les valoriser. Cela simplifiera considérablement le mode de tri puisque tous les emballages iront dans le bac des recyclables. Ce qui diminuera les tonnages d’OM et augmentera ceux de la collecte sélective subventionnée.

Q Une des nouvelles colonnes à verre, qui se recycle à l’infini, installée dans la ville.

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sportsLe stade Paul André rénovéSitué avenue Marceau, le stade Paul André, inauguré le 25 avril, a bénéficié d’un sérieux lifting.

L ’association temps danse participait, comme chaque année, au concours de la scène française qui se déroule

à Vincennes au mois de mars. En catégo-rie classique, niveau préparatoire, Sarah Mauriello et Louise Gondry (à gauche et au centre sur la photo) ont obtenu une 3e médaille. Djena Mekki (à droite) a obtenu une 2e médaille. En jazz, caté-gorie solistes niveau préparatoire, Julie Goman obtient un 3e prix, tout comme Anaïs Martin en niveau élémentaire. En niveau moyen B, Audrey Winter reçoit un 1er accessit. Enfin, dans la catégorie groupe adulte, 5 jeunes filles de 13 ans ont été récompensées d’un 1er accessit : Lorin tanriverdi, Sophia Chahiba, Anaïs Capaldi, Emmy Lebrun et Wendy Jame-

tal. Leurs professeurs, Danielle Munoz et Stéphanie Béthelot, les ont chaudement félicitées.La section Modern’Jazz de l’ASD parti-cipait, le 12 avril dernier, au concours régional de danse Productions gymniques

et artistiques à Bagnolet. Les groupes confirmé et avancé, avec "L’ultime com-bat", ont réussi à atteindre la 4e place. Quant au groupe moyen (9/10 ans, notre photo), il a marqué le public avec sa pres-tation "Qui sera le meilleur de la jungle".

Concours de danseLes danseuses de Temps danse et de l’ASD modern’jazz ont brillé dans deux concours.

Q Les jeunes danseuses de Temps au concours de la Scène française 2015.

Q Les 9/10 ans de l’’ASD Modern’ Jazz, ici avec leur professeur, ont été très applaudies par le public du concours de Bagnolet.

C ’est un stade nouveau que les Dran-céens ont découvert ce samedi d’avril. Nouvelle pelouse, synthé-

tique, abords entièrement réaménagés, vestiaires réhabilités et présence d’éclai-rages, le stade serait presque méconnais-sable. Jean-Luc Millard, adjoint au maire chargé des Sports, a notamment rappelé que ces transformations permettent désor-mais une utilisation plus intense des clubs de la ville ainsi que des écoliers, qui pour-ront aiguiser leurs crampons sur cette nou-velle pelouse. De nombreux élus étaient également présents pour célébrer ce réa-ménagement, réalisé par la Ville. Pour cela, cette dernière a signé un bail de longue durée avec la JAD et a reçu une subvention de l’État dans le cadre du plan de rattrapage des équipements sportifs de

Seine-Saint-Denis. De quoi permettre aux Drancéens de s’amouracher durablement du football, si ce n’était pas déjà fait.

Match de l’AS Saint-EtienneAprès l’inauguration la JAD rencontrait l’AS Saint-Étienne au stade Charles Sage. 30 minutes après le début du match, la JAD a ouvert le score et a maintenu le club adverse sous pression jusqu’à la pause. Durant la seconde période, les Stéphanois se sont battus pour égaliser et ont finale-ment été récompensés sur un coup-franc. Le match nul n’arrangeait en fait aucune des deux équipes. Une semaine plus tard, les Drancéens ont à nouveau réalisé un match nul, 2 à 2, sur la pelouse du Mou-lins AS. Ils ne sont pas encore sauvés, mais semblent réellement sur la bonne voie. L’écoLe de foot de LA JAd

Les petits bouts ont leur entrée à la JAD. Avec pas moins de 360 enfants pour cette année, contre 260 en 2014, le club attire de nombreux (très) jeunes et prévoit une nouvelle augmentation l’année prochaine. Pour les plus petits, la JAD offre la possibilité de s’initier grâce au baby foot. L’objectif du club est de former ces enfants, de leur apprendre les règles et de les garder le plus longtemps possible dans le giron du club. Actuellement 60 % des joueurs U17 (moins de 17 ans, Under 17 en anglais), sont issus de l’école de football. Pour les plus jeunes, pas question donc d’établir un classement, ni de faire du haut niveau, ni même de réaliser des détections de joueurs. Le plaisir, le jeu et l’apprentissage sont au cœur des valeurs de la JAD. La participation aux tournois locaux permet de donner juste ce qu’il faut de compétition pour avancer. 36 éducateurs accompagnent les joueurs, dont 15 issus de STAPS (formations en sciences et techniques des activités physiques et sportives).Les U9, U10 et U11 peuvent désormais rencontrer quelques équipes de ligue 1,

grâce au partenariat établi avec Saint-Étienne. De quoi les motiver et leur donner de quoi frimer devant les copains.Et ce ne sont pas les seuls à avoir envie de s’investir. Certains parents ont décidé de passer leur diplôme d’éducateur, comme de jeunes joueurs des équipes supérieures, pour encadrer à leur tour les plus jeunes. Une belle aventure, qui peut démarrer très tôt.

Q L’inauguration du stade après de gros travaux.

Q Pendant le match JAD/AS Saint-Étienne au stade Charles Sage.

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sports

Le Rugby club drancéen s’est brillamment qua-lifié pour les 16e de finale du championnat de France de Fédérale 3 en battant par deux fois le club de Trignac, 19 à 8, puis 44 à 22 lors du match retour à domicile. Le prochain adver-saire, Beauvais, est une vieille connaissance puisque les Picards étaient dans la même poule que le RCD. Par deux fois, les Drancéens s’étaient imposés (19 à 6, 15 à 17). Toujours invaincus cette saison, ils ne devront pas man-quer cette marche très importante puisque le vainqueur de cette double confrontation pour-suivra sa route en championnat, mais obtiendra surtout son ticket pour monter en Fédérale 2 l’année prochaine. Le match retour aura lieu à Drancy.

Rugby club drancéen - Beauvais16e de finale retour

Dimanche 24 mai à 15 hStade Guy Môquet

Cap sur les 16e

résultatsCôté judoSuperbe résultat pour Loika Viraye du Judo club drancéen. Dimanche 26 avril, elle s’est classée 3e lors de la demi-finale du championnat

de France juniors qui s’est déroulée à Amiens. Elle se qualifie donc pour les finales qui auront lieu à Lyon, dimanche 17 mai.

Côté basketAprès cinq défaites consécutives, les seniors féminines de l’Union sportive basket Drancy ont mis un terme à cette série négative en allant s’imposer, dimanche 12 avril, sur le parquet du Chatou Croissy basket sur le score de 66 à 52. À une journée de la fin du cham-

pionnat, les Drancéennes n’ont plus rien à gagner et plus rien à perdre. Elles sont actuel-lement à la 6e place de leur poule qui compte 12 équipes.La veille, les seniors masculins ont égale-ment emporté une victoire très précieuse, 66 à 62, contre le SC Chatou basket. Actuel-lement au coude à coude avec quatre autres équipes entre la 7e et la 11e place de la poule, les Drancéens ont toutes les raisons de jouer à leur meilleur niveau pour sauver leur saison et rester en Promotion d’Excellence la saison prochaine. Il ne leur restait également plus qu’une rencontre à disputer, samedi 9 mai, à domicile, face au CA Thiais basketball. Un autre match à ne pas perdre.

sur Vos aGeNdas16 maiJAD football : les seniors en CFA reçoivent à 18 h 30, stade Charles Sage, le Viry-Chatillon ES.

20 maiUnion sportive basket de Drancy (USBD) : grande soirée de basket à partir de 18 h avec un match de sport adapté, suivi d’un match de gala à 20 h entre une équipe de Gettysburg (USA) et l’USBD. L’intermède sera assuré par l’association Temps Danse à 19 h 30. Venez nombreux !

23 maiMata Léao : portes ouvertes de l’association, de 9 h à 18 h au gymnase Auguste Delaune.

31 maiJAD danses : gala de fin de saison de danses folkloriques et africaines, à 14 h, gymnase Joliot-Curie.

7 juiNAssociation sportive drancéenne cyclotouristique (ASCD) : elle organise le rallye des Coquelicots, rendez-vous annuel des amateurs de balades à vélo. Pour les différents parcours - 45, 75 ou 110 km - les inscriptions auront lieu de 6 h 30 à 9 h 30 dans la salle des Coquelicots, 110, avenue Castelnau. Après la remise des coupes à midi, un pot amical conclura cette matinée sportive. Renseignements au 01 49 35 97 88 ou au 06 88 19 76 63. courriel : [email protected]

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vie associativeE t pour vous ce sera ? Ragout de cabri,

acras de morue, gratin de chayottes ? Avec Bougeons pour Haïti, l’associa-

tion drancéenne de solidarité, là-bas et ici, vous découvrirez la richesse de la cuisine du peuple haïtien, fier de son île et de ses racines. Si ADE Promotion et son président Louisy Joseph ont invité cette année Haïti à nous faire découvrir quelques mets de son cru, de nombreuses autres spécialités de Guadeloupe, Martinique, Guyane, de La réu-nion, d’Inde et d’Afrique - avec notamment le restaurent drancéen La rivière exotique -

seront proposées à la dégustation et feront l’objet de démonstrations. Le thème imposé cette année : la patate douce, permettra aux cuisiniers de laisser libre cours à leur imagi-nation, qui devront réaliser au moins un plat ou un dessert à base de cet ingrédient. Les élèves du lycée Rabelais de Dugny, option Cuisine, bar et arts de la table, présente-ront également leur travail, tandis que le carnaval antillais parcourera les allées du marché des Quatre routes dimanche matin. Une tombola permettra de tenter sa chance pour gagner un billet d’avion, direction

les Antilles. Et bien sûr, musique et danses rythmeront ces deux jours de fête, avec les artistes de Formul-La, Victor Delver et Ludo. Les Faitouts créolesSamedi 23 mai de 11 h à 20 hDimanche 24 mai de 9 h à 19 hGymnase Joliot-Curie107, avenue Jean Jaurès

Entrée : 2 e, à partir de 12 ansRenseignements : 06 46 08 35 [email protected]

agenda associatif17 mai : défilé de modeL’association Ensemble on est plus forts organise ce défilé ainsi qu’un concours qui démarrera à 11 h, salle Louis Méret, 22, rue de la République.

17 mai : vide-grenierOrganisé par l’association Main dans la main - Village parisien, de 8 h à 18 h, place Marcel Cachin.

21 mai : collectif téléthon drancyVous souhaitez participer à ce grand élan drancéen de solidarité en devenant bénévole du Téléthon 2015 ? Le collectif d’animation de Drancy se réunit de 18 h 30 à 20 h à la mairie. Renseignements : [email protected]

22 mai : loto sportifOrganisé par l’Union sportive basket de Drancy (USBD) à 19 h au gymnase Racine, afin de financer les déplacements des jeunes basketteurs.

27 mai : hommage à la résistanceL’ARAC organise, avec la contribution des associations de la Résistance de la ville, de témoins, dans le cadre de la journée nationale à la Résistance, un hommage aux résistants et plus particulièrement aux Drancéennes. Cette initiative ouverte à tous se déroulera à l’auditorium de la médiathèque Georges Brassens à partir de 14 h 30, avec exposition, film documentaire, débats et témoignages. Un Résistant réfractaire au service du travail obligatoire sera honoré.Sur invitations, à retirer à la Maison du Combattant Henri Del Barrio, 57, rue Charles Sage les mardis et dimanches matin et disponibles à l’accueil de la médiathèque, 65, avenue Marceau.

30 mai : réveils mécaniques au papyrusLe local de l’association, 93/95, rue Sadi Carnot sera ouvert de 14 h à 18 h comme chaque semaine. À 15 h, une collection de réveils mécaniques sera présentée par son propriétaire, avec commentaires appropriés et anecdotes à l’appui. Toutes les personnes intéressées ou simplement curieuses sont les bienvenues.

30 mai : spectacle de danseLe centre de ressources du danseur (CRD) présente, au gymnase Joliot-Curie à 20 h, Émergence, avec la participation des ateliers du CRD, de l’activité Danse moderne de l’accompagnement éducatif du groupe scolaire Romain Rolland/Cristino Garcia et d’associations locales.

31 mai : kermesse paroissialeLa paroisse Saint-Louis, association d’éducation populaire, organise sa traditionnelle kermesse de 9 h à 20 h au 33, rue Georges Marie, dans le quartier de l’Économie.

L’art du manger créoleles faitouts créoles vous emmènent cette année en haïti, l’invité d’honneur, autant pour sa gastronomie que pour rendre hommage aux victimes du séisme de 2010.

I l était 1 h du matin, le 25 avril 1974, quand une radio portugaise diffusa une chanson interdite de José Afonso :

"Grandola Vila Morena". C’était le signal qu’attendait une poignée de jeunes capi-taines pour faire marcher leurs soldats sur Lisbonne, et le début de la Révolution des Œillets.En cette fin avril, l’Association drancéenne des amis du Portugal (ADAP) et l’Estrela portuguesa de Drancy (EPDD) fêtaient comme il se doit le 41e anniversaire de

cet événement majeur pour le Portugal, entraînant la chute de la dictature de Sala-zar qui étouffait la démocratie depuis 1933.Danse, chants, repas portugais ont rythmé les festivités de cette fin de mois d’avril à Drancy.

De son côté, le comité drancéen de l’Asso-ciation républicaine des anciens combat-tants (ARAC) projetait le film de Maria de Medeiros, Capitaine d’avril, qui relate les journées des 24 et 25 avril 1974 au Por-tugal, dans les locaux de la Maison des anciens combattants.

Ils l’ont fêtée

Q La fête organisée par l’ADAP à l’Espace culturel, dimanche 26 avril.

Q La soirée organisée par l'Arac en hommage à la Révolution des œillets.

culture et jeux mathématiquesScience Ouverte participe au 16e salon Culture et jeux mathématiques qui se déroulera à Paris, place Saint Sulpice dans le 6e arrondissement, du 28 au 31 mai. Il aura pour thème Mathématiques et lumière, 2015 étant l’année internationale de la lumière. Il se déroulera sous le parrainage de Jean-Pierre Luminet, astrophysicien, Directeur de recherche au CNRS, à l’observatoire de Paris et au laboratoire d’astrophysique de Marseille.L’association Science Ouverte y présente des ani-mations sur deux stands : un stand d’animations autour des transports, réalisées à partir du travail de collégiens ou de lycéens. Elles seront présen-tées certains jours par les élèves eux-mêmes ; un stand animé par des élèves de Drancy et Bobigny (CP-CE1) ayant participé à un projet avec l’asso-ciation au courant de l’année 2014-2015.70 animations, jeux, découvertes, spectacles : il y en a pour tous les âges, à partir de 5 ans et c’est entièrement gratuit ! 16e salon Culture et jeux mathématiquesDu 28 au 31 maiPlace Saint-Sulpice75006 Pariswww.cijm.org

D epuis 3 ans, Adrien Vigo s’investit avec cœur et passion dans les mis-sions de la Croix-rouge. Pourtant,

s’il a toujours eu envie de s’engager, le faire au sein de la Croix-rouge relève presque de l’accident de parcours. Décidé à s’inscrire à une association internatio-nale, l’accueil peu chaleureux stoppe l’élan du jeune homme. Il passe alors devant la Croix-rouge drancéenne, qui recherche des bénévoles. Bingo ! Le jeune homme entre et se retrouve directement mis à contribu-tion pour la distribution alimentaire.En peu de temps, face à sa motivation et à son investissement, le département le nomme responsable de la jeunesse de Drancy, Dugny et Le Bourget. Adrien Vigo se retrouve à la tête de 45 jeunes béné-voles, tous recrutés par ses soins. Amis, connaissances, réseaux sociaux, il incite les jeunes à s’investir, et ça marche.Avec ces 45 poulains, soit le plus gros service jeunesse du département, la Croix-rouge se dynamise et se rajeunit, “et les plus anciens ont envie de partager les choses, ce qui est un avan-tage pour nous,“ s’enthousiasme Adrien. La Croix-rouge s’ouvre à de nouvelles missions : “on est désormais présents à toutes les commé-morations“, explique-t-il. “C’est aussi l’occasion de changer l’image que les gens peuvent avoir des jeunes de Seine-Saint-Denis. Nous aussi, on

s’investit pour des associations et des causes.“La Croix-rouge est présente au forum des associations, “l’occasion de montrer et d’ex-pliquer ce qu’est le bénévolat et de recruter», sourit le jeune homme. Elle sera également présente à la fête de la ville avec un stand social et un stand secouriste.Un engagement prenant : “Il faut réussir à jon-gler entre son travail et son investissement en tant que bénévole. Mais c’est une vocation, on le fait parce qu’on en a envie,“ indique Adrien. “Cela prend énormément de temps et la première année a été un peu laborieuse, mais finalement c’est une question d’organisation.“ Aujourd’hui, il est ravi de prendre de nouvelles fonctions, grâce à son poste de responsable départe-mental de la communication et des ressources internes, qui représente 41 villes. Et quand on lui demande les raisons de sa motivation, sept mots reviennent : “neutralité, volontariat, universalité, indépendance, unité, humanité, impartialité.“ Les sept principes fondamen-taux de l’association, toujours à la recherche de bénévoles.

Croix-RougeUnité locale de l’aéroport du Bourget01 41 50 05 81 06 33 67 62 72

Un Drancéen très investiBénévole à la croix-rouge, adrien vigo, 22 ans, est responsable départemental de la communication et des ressources internes. une récompense pour ce jeune engagé de la première heure.

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immediat N° 296 du samedi 16 au dimanche 31 mai 201514

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DemandeAssistante maternelle agréée habitant en pavillon garde enfant à partir de juillet. 06 78 53 28 95Jardinier à la retraite disponible pour l’entretien de votre jardin. 06 13 88 89 67Dame sérieuse et organisée, expérimentée, cherche heures de ménage, repassage chez les particuliers, aide des personnes âgées, entretient des bureaux. 06 17 58 07 20

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Pharmacies de gardeEN JOURNÉE LES DIMANCHES ET JOURS FÉRIÉS 2015Les gardes indiquées ci-dessous sont sous réserve de modification. Pour la délivrance de médicaments sur ordonnance, en dehors des heures et jours d’ouverture normaux des pharmacies, s’adresser au commissa-riat de police (01 41 60 81 40).

17 maiPHARMACIE NIGELLE144, RUE ROGER SALENGRO DRANCY24 maiPHARMACIE DE L’HOTEL DE VILLE19, RUE MIRIAM MAKEBA BOBIGNY25 maiPHARMACIE PRINCIPALE DE DRANCY160, AVENUE HENRI BARBUSSE DRANCY31 maiPHARMACIE CENTRALE DE BOBIGNY64, AVENUE LOUIS ARAGON BOBIGNY

État civilILS SONT ARRIVÉSLa municipalité présente ses félicitations aux nouveaux mariésABAAB Haroun • AGHOUILES Amir • ARBAOUI Yasmine • ATTIA Ashley • BEN TAHAR Naëlle • BENSALEM Sa-nya • BERDAH Joyce • BLAHA Kassim • BOGOMI-ROVIC Julian • ÇIRAY Mylan • COULIBALY Maïssa • DMYTRYSHAK Borys • EL HISS Adam • EL REFAEY Omar • ELLOTFI Jana • ELLOTFI Nael • FABULET Jos-hua • FAELLA LEGROS Livio • FAYS Deven • GASMI Yanis • GONÇALVES HUBERT Leandro • GOPALAN Sarah • GÖRGÜLÜ Nail • IZEM Elya • JOUVENEAU Romane • KANCEL RECCO Maëlie • KUNNALAN Mi-thunan • LARAB Aksil • LEGOUGE Idriss • MAHMOUDI Djenna • MARCHITAN Adryan • MEITÉ Khady • MI-LOJKOVIC Luna • MIRISKUMAR Karshihan • MOUASTI Assinate • NIAR Sarah • NONYOU Adeline • NONYOU Joêlle • OTTO Andy • ROBIN Alicia • SAGE Ézia • SANTANA DE OLIVEIRA Sther • SEILLER Armand • SIABDELKADER-BEMOUSSA Mahair • SOUMAHORO Kaba-Tiranke • SUPLIGEON Maxence • TIGHEMINE Rayan • VAJAYAKUMAR Ananyah • VIJITHARAN Sonia • VISUWALINGAM Pirajayan • VOILMY Enora • WIART Fabio • WINDERSTHIEN Johnny • ZEHNI Mohammed

ILS SE SONT MARIÉSLa municipalité présente ses vœux de bon-heur aux nouveaux époux

CHÉRON Arnaud et CHAABANE Samira • DAY Em-manuel et OZDIL Gülçan • VINCENT Jacob et HIP-POLYTE Nadège

ILS NOUS ONT QUITTÉLa municipalité présente ses sincères condo-léances aux familles qui viennent de perdre un procheALONSO FRAILE Amador • ARCIGLIONE Anna épouse CAPALBO • AUVRAT Georges • BASQUIN Michel • BEN ABDELLAZIZ Khemais • BEREZ-NICKA Eugénia épouse KARKOWSKI • BETHOULE Suzanne veuve PRATI • BOUJRAD Mohammed • CHALON Patrick • CHEVALIER Maurice • COT-TARD Marie-Claude • DALBY Madeleine veuve DAUGERON • DUPUY Elise épouse PELIZZON • EL SAFETEY Hesham • EL-HAÏK André • ESTEVES MARQUES Maria épouse PALINHAS DIAS • FA-NOL JULIA Maria veuve MUSIAL • GODET Vincent • GROPELLI Denise épouse CAROTI • HADDAG Ahmed • JOUBERT Yvonne veuve CASTEL • LA-BIELLE Jean • LE LAY Jeanine épouse BARROIS • MANGLANO SANCHEZ Juan • MASSIN Claude • MEFTALI Djaffer • NEGGAZ Said • PIQUER Henri • PODETTI Antonio • POMMIER Yvelise veuve GEORGES • STÉFANAGGI Jean • THIYAGARAJAH Thiyagaruban • VERNIERS Georges • VITARO Francesco

ACTES ET TRANSCRIPTIONS DU 16 AU 30 AVRIL

Maison médicale de gardeLe service de garde est assuré le samedi après-midi et le dimanche par des médecins généralistes libéraux.Les praticiens tiennent une permanence dans des locaux mis à disposition par la ville de Drancy.Vous pouvez vous rendre à la Maison médi-cale de garde• le samedi de 14 h à 20 h• les dimanches et jours fériés de 8 h à 20 h 25, boulevard Paul Vaillant-Couturier 01 55 89 21 90

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Fermetures en maiLe service mairie accueil et le centre com-munal d’action sociale (CCAS) seront fermés samedi 23 mai. Les médiathèques seront fer-mées dimanche 24 et le lundi de la Pentecôte 25 mai, jour férié pendant lequel les services municipaux sont fermés.

Besoin d’une couverture santé à l’étranger ?Vous partez bientôt dans un pays membre de l’Union européenne ou en Suisse ? N’oubliez pas d’emporter votre carte européenne d’as-surance maladie (CEAM). Grâce à cette carte, vous êtes couvert par l’assurance maladie et vos frais médicaux chez le médecin, le pharmacien et dans les hôpitaux du service public sont pris en charge selon la législation en vigueur dans le pays qui vous accueille.Comment commander sa CEAM ? Simple et rapide, vous pouvez le faire de chez vous. Pour cela, il vous suffit de vous connecter au site www.ameli.fr, rubrique “mon compte” :• vous avez déjà votre compte : indiquez votre numéro de sécurité sociale et votre code d’accès sécurisé pour vous identifier, puis commandez votre CEAM dans la rubrique “mes démarches” ;• vous n’avez pas encore de compte ou vous avez oublié votre code personnel : cliquez sur le lien “je demande mon code provisoire”. Il vous sera envoyé par voie postale sous 10 jours.Les cartes sont valables 2 ans maximum. Chaque membre de la famille doit posséder sa carte, y compris les enfants de moins de 16 ans.Si votre départ est prévu dans moins de 15 jours, vous pouvez télécharger sur votre compte ameli un certificat provisoire, valable 3 mois, qui pourra être utilisé dans les mêmes conditions qu’une CEAM.

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15

messagesEn cas de fortes chaleurs dans les prochains mois, le CCAS mettra en place, comme chaque année, le plan local canicule à destination des personnes fragiles.

À partir du 1er juin, le pôle Maintien à domicile du centre communal d’action

sociale (CCAS) sera prêt, comme chaque année, à mettre en place le plan vigilance local dans le cas d’une alerte canicule déclen-chée par le préfet.Mis en place depuis 2004, ce plan permet de contacter et d’ai-der le cas échéant les personnes les plus fragiles : les Drancéens isolés de plus de 65 ans, les per-sonnes en situation de handicap ou en perte d’autonomie.Si vous êtes concerné(e) et que nous n’avez pas communiqué vos coordonnées au CCAS les années précédentes ou si vous connaissez des personnes qui ne l’ont pas fait, c’est le moment d’effectuer cette inscription en renvoyant la fiche ci-contre : "Je m’inscris".

Plan local canicule

À quelques semaines des examens, les médiathèques de la communauté d’agglo-mération sont des lieux tout à fait appro-priés pour se préparer.

De la place, du calme, des ouvrages à dis-position et des ordinateurs à la médiathèque Georges Brassens : le lieu rêvé pour réviser. Sachez que depuis le début du mois de mai, seuls les inscrits à la médiathèque ont accès à Internet. Pour avoir accès au réseau Wifi et à

Internet sur les ordinateurs de la médiathèque, vous devez posséder des identifiants person-nels délivrés lors de votre inscription.N’hésitez pas à en faire la demande aux biblio-thécaires.Dans l’actualité du réseau : les nouvelles acqui-sitions en BD et mangas, une bibliographie sur François 1er à l’occasion de l’exposition Fran-çois 1er, pouvoir et images qui a lieu à la BNF jusqu’au 21 juin... Des documents à télécharger sur le site : http ://mediatheques.aerobourget.fr

L es produits ménagers sont supposés assainir notre maison. Et pourtant, de nombreuses substances chimiques

utilisées pour leur fabrication sont néfastes pour la santé et l’environnement.Les bébés et les jeunes enfants passent la plupart de leur temps à l’intérieur de l’ap-partement ou de la maison. Ils touchent à tout, marchent à quatre pattes sur les sols lavés, mettent les objets à leur bouche. Ils sont également très vulnérables aux pro-duits utilisés car leur organisme imma-ture est beaucoup plus sensible que celui

d’un adulte. identifier et réduire les pol-luants intérieurs, choisir des alternatives plus saines, c’est le meilleur cadeau que vous puissiez faire à votre enfant.Vous êtes parent, grand-parent ? La ville de Drancy et la Mutuelle familiale vous invitent à participer à un atelier : ma santé ma maison, les produits d’entretien et mon air intérieur font-ils bon ménage ? Cet atelier de deux heures vous permet-tra de vous exprimer, de partager et de fabriquer vous-même un échantillon de produit ménager naturel.

Pour vous inscrire, contacter la PMI Acacias au 01 48 96 51 26 ou la PMI du parc au 01 48 96 39 15.

AtelierMardi 2 juin de 9 h 45 à 11 h 45 ou de 13 h 45 à 15 h 45salon Roger Petieu(entrée CMS René Monconduit)

Bon ménage ?Un atelier pour apprendre à protéger ses enfants en évitant les substances toxiques.

AP-HP portes ouvertesTout au long de la journée du samedi 30 mai, les Franciliens sont invités à découvrir les hôpi-taux de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris et leurs équipes.La veille, à l’hôpital Avicenne, un nouveau bâti-ment de 6 000 m2 aura été inauguré, accueillant huit blocs opératoires de dernière génération, trois salles d’endoscopie digestive et les ser-vices de chirurgie digestive et métabolique, de chirurgie ambulatoire et de réanimation.Samedi 30 mai, toujours à l’hôpital Avicenne, les visiteurs pourront découvrir des stands d’information sur le soleil, l’alcool et le tabac. Les bénévoles du comité départementale de la Ligue contre le cancer seront également pré-sents et proposeront différents ateliers : socio-esthétique, sophrologie, arts créatifs. Portes Ouvertes de l’AP-HPSamedi 30 mai de 14 h à 17 hHôpital Avicenne125, route de Stalingrad

Comment çà marche ?Les jours pairs, seuls les véhicules avec une immatriculation qui se termine par un chiffre pair peuvent circuler. Les jours impairs, seuls les véhicules avec une immatriculation impaire peuvent circuler.Exemples de plaques paires : 1818 WR 93 (ancienne plaque) / AB - 344 - CA (nouvelle plaque)

Quelles sont les villes concernées par la circulation alternée ?Paris et les 22 communes limitrophes dont 8 en Seine-Saint-Denis : Saint-Ouen, Pantin, Le Pré-Saint-Gervais, Les Lilas, Bagnolet, Montreuil, Aubervilliers, Saint-Denis (à l’exception de l’A86)

Quels véhicules sont tout de même auto-risés à circuler quelle que soit leur imma-triculation ?- Les véhicules “vertueux” : ceux considérés comme “propres” (électriques, hybrides, fonc-tionnant au gaz) et ceux transportant au moins trois personnes- Les véhicules assurant des missions de ser-vice public, les camionnettes et utilitaires de moins de 3,5 tonnes, les autocars et véhicules de transport en commun, les taxis, engins de chantier, de dépannage, de nettoiement...

Quelles solutions alternatives existe-t-il ?- Les transports en commun, gratuits les jours

de circulation alternée- Les modes de transport dits “doux” : les vélo, vélib’, trottinette, la marche...- Le covoiturage entre connaissances ou via Internet avec covoiturage.fr, 123envoiture.com, carpooling.fr...- L’autopartage avec Autolib’ ou Communato- Le télétravail

Circulation alternée : mode d’emploiLa belle saison arrivant, les pics de pollution que l’on a connu courant mars et avril sont susceptibles de se reproduire et avec eux, la mise en place de la circulation alternée.

CaniCule info serviCeLa plate-forme téléphonique “Canicule Info Service” est ouverte du 1er juin au 31 août inclus : 0 800 06 66 66 (numéro vert, l’appel est gratuit).

Le centre d’appel est ouvert au minimum de 8 h à 20 h du lundi au samedi. Il donne toutes les recommandations sur la conduite à tenir en cas de fortes chaleurs.

Révisez dans les médiathèques

autres numéros utilesCentre communal d’action sociale01 48 96 50 00 (standard mairie)01 48 96 50 00 puis poste 52 24 (secrétariat CCAS)01 48 96 39 0701 48 96 50 73 (maintien à domicile)01 48 96 50 15 (maintien à domicile)

résidences pour Personnes âgéesLilas : 01 48 30 52 65Myosotis : 01 48 30 51 95Mimosas : 01 48 30 63 61

Centre municipal de santé Henri WallonTél. : 01 48 96 45 50

Je m’insCris- Vous souhaitez être contacté(e) en cas d’alerte canicule, faites-vous connaître

- N’hésitez pas à signaler les personnes seules et manquant d’autonomie dont vous avez connaissance

Nom ..........................................................................................

..................................................................................................

Prénom .....................................................................................

..................................................................................................

Année de naissance ou âge estimé ..........................................

Adresse .....................................................................................

..................................................................................................

Votre numéro de téléphone ......................................................

Bâtiment .................... étage ..................... porte ....................

Code d’accès ............................................................................

Le téléphone de l’un de vos proches ........................................

Le téléphone de votre médecin traitant ....................................

Recevez-vous des visites ? oui - non

Si oui, précisez : voisins, amis, mairie, association et laquelle

..................................................................................................

Êtes-vous aidé(e) par une aide ménagère ?

oui - non

Bénéficiez-vous d’un service de télé assistance ?

oui - non

Pouvez-vous sortir seul(e) ? oui - non

Rempli par ........................... Signature :

Coupon à renvoyer ou à déposer au Centre communal d’action sociale, mairie de Drancy, place de l’Hôtel de Ville, BP 76 - 93701 Drancy cedex.

Page 16: TOUS LES 15 JOURS, La Ville accompagne

immediat N° 296 du samedi 16 au dimanche 31 mai 201516

zoom

Drancy immédiat N° 294 Bimensuel d’information local édité par la ville de Drancy - Place de l’Hôtel de Ville - BP76 - 93701 DRANCY CEDEX - Tél. : 01 48 96 50 00Directeur de publication : Anthony Mangin • Rédactrice en chef : Joëlle Pitkevicht (0148 96 50 02) • Rédaction : Xavier Delrieu, Marie-Hélène Silvestre, Coralie Giausserand, Maryne Fouques, Joëlle Pitkevicht.

Photos : Fabrice Iaconelli • Maquette : Totemis • Photogravure : IN • Publicité : Prest'action (01 56 49 10 00) • Imprimerie : RPG • Numéro tiré à 30 600 exemplaires • Dépôt légal : avril 2015