RCT, IFACES, janvier 20081
9 janvier 20079 janvier 2007
Réalisation d’une prospective territorialeRéalisation d’une prospective territoriale
Troisième réunion du groupe de prospectiveTroisième réunion du groupe de prospective
RCT, IFACES, janvier 20082
Les projections de l’INSEE et l’évaluation des besoins annuels en logements
L’approche systémique
L’évolution du contexte
Esquisse d’un scénario fil de l’eau
Ordre du jour
RCT, IFACES, janvier 20083
Rappel des principaux éléments débattus le 9 novembre
Groupe de prospective n°2
Les logiques de fonctionnement du territoire, les contradictions
Présentation et débat autour de pistes de scénarios
Des besoins de compléments > 3ème séance du groupe de prospective
Les mécanismes internes au territoire Des variables hiérarchisées au regard
de leurs influences du niveau de maîtrise locale
Quantifier les grandes tendances
Approche systémique
Apport de données chiffrés
RCT, IFACES, janvier 20084
Identification des variables motrices / maîtrisable
Les étapes de la prospective
Diagnostic
Analyse systémique du territoire
Synthèse des logiques
endogènes
Apport de données chiffrées
Hypothèse d’évolution du
contexte
Identification des variables clés pour les Alpes
Maritimes Croisement avec la DTA
Identification des champs prioritaires
de l’évaluation
Scénario « fil de l’eau »
Approche endogène
Approche exogène
Réunion 3
Réunion 4
RCT, IFACES, janvier 20085
Estimation des besoins annuels en logements
1990 1999 2006 2010 2015PSDC 663 184 671 359 908 685 506 697 593 709 893 TVAM POP 0,12 0,30 0,25 0,25Pop des ménages 647 955 657 120 670 967 682 797 694 836 Pop des ménages/ PSDC 98% 98% 98% 98% 98%
Taille des ménages 2,16 2,06 2,05 2,05 2,03
Ménages 299 680 318 430 2 083 327300,9528 333 072 342 284
besoin de RP en plus 18 750 2 083 8 871 1 267 5 771 1 443 14 983 936 besoins liés au desserrement 14 309 1 590 2 116 302 - - 3 225 358 besoins liés à l'effet démographique 4 441 493 6 755 965 5 771 1 443 14 983 1 665
1990 1999 2006 2010 2015PSDC 663 184 671 359 908 685 506 697 593 709 893 TVAM POP 0,12 0,30 0,25 0,25Pop des ménages 647 955 657 120 670 967 682 797 694 836
98% 98% 98% 98% 98%
Taille des ménages 2,16 2,06 2,05 2,05 2,03
Ménages 299 680 318 430 2 083 327300,9528 333 072 342 284
besoin de RP en plus 18 750 2 083 8 871 1 267 5 771 1 443 14 983 936
14 309 1 590 2 116 302 - - 3 225 358
4 441 493 6 755 965 5 771 1 443 14 983 1 665
Des besoins estimés autour de 1 443 et 936 logements respectivement pour 2010 et 2015 qui ne tiennent pas compte des phénomènes résidentiels à l’œuvre…la réalité se situe certainement autour de 2 500 à 3 000 logements.
Il apparaît déterminant d’offrir des logements aux actifs locaux, souvent en catégorie intermédiaire (PLS, PLI, accession abordable).
Littoral
Ici uniquement approche démographique qui ne tient pas compte de l’évolution du parc résidentiel (recul de la vacance, des
résidences secondaires).
RCT, IFACES, janvier 20086
Estimation des besoins annuels en logements
1990 1999 2006 2010 2015PSDC 280 822 310 882 3 340 333 399 359 934 359 934 TVAM POP 1,02 1,00 1,10 1,10Pop des ménages 274 289 302 860 324 796 350 646 350 646 Pop des ménages/ PSDC 98% 97% 97% 97% 97%Taille des ménages 2,53 2,45 2,43 2,43 2,3Ménages 108 272 123 544 1 697 133 661 144 299 152 455
besoin de RP en plus15 272 1 697 10 117 1 445 10 638 2 659 18 794 2 088
besoins liés au desserrement 3 617 402 1 090 156 - - 7 555 839
besoins liés à l'effet démographique11 655 1 295 9 027 1 290 10 638 2 659 18 794 2 088
1990 1999 2006 2010 2015PSDC 280 822 310 882 3 340 333 399 359 934 359 934 TVAM POP 1,02 1,00 1,10 1,10Pop des ménages 274 289 302 860 324 796 350 646 350 646 Pop des ménages/ PSDC 98% 97% 97% 97% 97%Taille des ménages 2,53 2,45 2,43 2,43 2,3Ménages 108 272 123 544 1 697 133 661 144 299 152 455
besoin de RP en plus15 272 1 697 10 117 1 445 10 638 2 659 18 794 2 088
besoins liés au desserrement 3 617 402 1 090 156 - - 7 555 839
besoins liés à l'effet démographique11 655 1 295 9 027 1 290 10 638 2 659 18 794 2 088
Moyen Pays
Des besoins de production de l’ordre de 2 000 à 2 600 logements par an certainement sous évaluée mais plus en conformité avec la réalité compte tenu d’un parc résidentiel au fonctionnement plus classique que sur le littoral.
Des besoins en locatif social et en accession social.
RCT, IFACES, janvier 20087
Estimation des besoins annuels en logements
1990 1999 2006 2010 2015PSDC 27 823 29 085 140 32 550 36 250 36 001
TVAM POP 0,44 1,62 1,55 1,45
Pop des ménages 26 818 28 042 31 383 34 950 34 710
Pop des ménages/ PSDC 96% 96% 96% 96% 96%
Taille des ménages 2,27 2,16 2,06 2,04 1,9
Ménages 11 815 13 008 133 15 234 17 132 18 268
besoin de RP en plus 1 193 133 2 226 318 1 898 475 3 034 337
besoins liés au desserrement 625 69 605 149 37 1 283 143
besoins liés à l'effet démographique 568 63 1 622 1 749 437 2 885 321
1990 1999 2006 2010 2015PSDC 27 823 29 085 140 32 550 36 250 36 001
TVAM POP 0,44 1,62 1,55 1,45
Pop des ménages 26 818 28 042 31 383 34 950 34 710
Pop des ménages/ PSDC 96% 96% 96% 96% 96%
Taille des ménages 2,27 2,16 2,06 2,04 1,9
Ménages 11 815 13 008 133 15 234 17 132 18 268
besoin de RP en plus 1 193 133 2 226 318 1 898 475 3 034 337
besoins liés au desserrement 625 69 605 149 37 1 283 143
besoins liés à l'effet démographique 568 63 1 622 1 749 437 2 885 321
1990 1999 2006 2010 2015PSDC 27 823 29 085 140 32 550 36 250 36 001
TVAM POP 0,44 1,62 1,55 1,45
Pop des ménages 26 818 28 042 31 383 34 950 34 710
Pop des ménages/ PSDC 96% 96% 96% 96% 96%
Taille des ménages 2,27 2,16 2,06 2,04 1,9
Ménages 11 815 13 008 133 15 234 17 132 18 268
besoin de RP en plus 1 193 133 2 226 318 1 898 475 3 034 337
besoins liés au desserrement 625 69 605 149 37 1 283 143
besoins liés à l'effet démographique 568 63 1 622 1 749 437 2 885 321
Des besoins plus en conformité avec la réalité observée soit des besoins annuels de l’ordre de 337 à 475 logements par an.
Le locatif social et intermédiaire (PLS / PLI) sont à privilégier avec une fois encore la possibilité de proposer des produits en accession classique.
Haut Pays
RCT, IFACES, janvier 20088
Présentation de l’analyse systémique
L’analyse systémique permet d’approcher le territoire étudié comme un système, défini par un ensemble d’interrelations qui produisent des
dynamiques économiques, sociales et territoriales.
La prise en compte de changements dans le fonctionnement du système permet d’appréhender les évolutions possibles du territoire à l’horizon 2020.
RCT, IFACES, janvier 20089
Système & motricité des variables
Expliquer le fonctionnement du territoire
Hiérarchiser les composantes du territoire
Forte attractivitérésidentielle et touristique (prédominance de hauts
revenus et de pers. âgées)
Forte demande en logements (résidences 1 et 2) / en foncier éco (industrie, commerces,...)
Hausse de la dépendance àl’automobile et ses nuisances (engorgement,
pollution…)
Coût pour les ménages, la collectivité et l’économie
(tourisme, High tech)
Tropisme littoral / Climat recherché /
Compétition pour l’espace littoral / Hausse des coûts du
foncier
Faible parc social / espaces urbains dégradés et peu
denses
Développement de l’économie résidentielle et
activités low tech : besoins en main d’œuvre
à bas revenus
Etalement urbain vers l’arrière Pays /
banalisation de l’espace
Espace littoral trop coûteux pour les jeunes et
les revenus moyens / faibles
Vieillissement
Pression sur l’agriculture et
l’environnement
Faible mixité sociale / Déficit de main
d’oeuvre peu qualifiée
Faible maîtrise foncière et stratégies concurrentielles entre
collectivités
Gouvernance fragmentée /
coopérations limitées
Transports collectifs
faibles
Tourisme d’affaire
Faible capacitéà investir,
absence de projet commun
Image « qualité »Effet « grappe » lié à la
présence de nombreuses entreprises high tech
Logique de réseau et de concurrence à
l’échelle européenne
Bonne accessibilitéaérienne / moins bonne
pour la route et le fer
Etat
Activités high techcompétitives, attractives
Tissu de centres de recherche et grandes écoles
de qualité
Manque de lisibilité /
faiblesse des fonctions
métropolitaines
À pour conséquence
Remet en cause
Variables internes aux Alpes Maritimes
Variables externes aux Alpes Maritimes
Variables motrices
Variables relais
Variables Impacts
Forte
Pas de maîtrise
Indirecte
Maîtrise des variables par les
acteurs
RCT, IFACES, janvier 200810
Forte attractivité résidentielle et touristique (prédominance de hauts
revenus et de pers. âgées)
Forte demande en logements (résidences 1 et 2) / en foncier éco (industrie, commerces,...)
Tropisme littoral / Climat recherché /
Développement de l’économie résidentielle et
activités low tech : besoins en main d’œuvre
à bas revenus
VieillissementFaible mixité sociale /
Déficit de main d’oeuvre peu qualifiée
Image « qualité »
Bonne accessibilité aérienne / moins bonne
pour la route et le fer
À pour conséquence Remet en cause
Variable motrice
Variable relais
Impact
Compétition pour l’espace bande côtière / Hausse des
coûts du foncier
Bande côtière trop coûteuse pour les jeunes et les revenus moyens /
faibles
RCT, IFACES, janvier 200811
Forte attractivité résidentielle et touristique (prédominance de hauts
revenus et de pers. âgées)
Tropisme littoral / Climat recherché /
Développement de l’économie résidentielle et
activités low tech : besoins en main d’œuvre
à bas revenus
Tourisme d’affaire
Image « qualité »Effet « grappe » lié à la
présence de nombreuses entreprises high tech
Logique de réseau et de concurrence à
l’échelle européenne
Bonne accessibilité aérienne / moins bonne
pour la route et le fer
Etat
À pour conséquence Remet en cause
Activités high tech compétitives, attractives
Variable motrice
Variable relais
Impact
Recherche et enseignement
supérieur sous
dimensionnés
RCT, IFACES, janvier 200812
Forte attractivitérésidentielle et touristique (prédominance de hauts
revenus et de pers. âgées)
Forte demande en logements (résidences 1 et 2) / en foncier éco (industrie, commerces,...)
Dépendance àl’automobile et ses nuisances (engorgement,
accessibilité aux centres difficile,
pollution…)
Coût pour les ménages, la collectivité et l’économie
(tourisme, High tech)
Compétition pour l’espace littoral / Hausse des coûts du
foncier
Faible parc social / espaces urbains dégradés et peu
denses
Développement de l’économie résidentielle et
activités low tech : besoins en main d’œuvre
à bas revenus
Etalement urbain vers l’arrière Pays /
banalisation de l’espace
Espace littoral trop coûteux pour les jeunes et
les revenus moyens / faibles
Vieillissement
Pression sur l’agriculture et
l’environnement
Faible mixité sociale / Déficit de main
d’oeuvre peu qualifiée
Faible maîtrise foncière et stratégies concurrentielles entre
collectivités
Gouvernance fragmentée /
coopérations limitées
Transports collectifs
faibles
Tourisme d’affaire
Faible capacitéà investir,
absence de projet commun
Image « qualité »Effet « grappe » lié à la
présence de nombreuses entreprises high tech
Bonne accessibilitéaérienne / moins bonne
pour la route et le fer
Activités high techcompétitives, attractives
Tissu de centres de recherche et grandes écoles
de qualité
Manque de lisibilité /
faiblesse des fonctions
métropolitaines
• 10% des habitants de la Côte d’Azur sont prêts à déménager pour trouver un emploi, contre 60% en Normandie (CRT)
• La ville de Nice est classée dans les 3 premières villes françaises où les urbains aimeraient habiter (CSA).
• Aéroport Nice Cote d’Azur :2ème aéroport de France avec 10 millions de passagers par an contre 7 millions pour l’aéroport de Lyon.
• Pas de ligne LGV
• Hausse de la population entre 1999 et 2005 (+ 0.9%) qui résulte exclusivement d’un fort excédent migratoire (+0.9%)- INSEE
• Le département accueille près de 10 millions de séjours par an (Touriscope)
• Les plus de 60 ans représentent 26.9% de la population en 2006 contre 20.5% dans l’ensemble de la France - INSEE
• 1 logement sur 5 est une résidence secondaire• 37% des ménages sont composés d’une seule personne
• 260 000m2 de projets de zones commerciales (CCI)
•2/3 de la capacité hôtelière du littoral sont des hôtels 3 et 4 étoiles (1/3 en France) (INSEE PACA)
•1/5 des séjours touristiques a une motivation de type « affaires » ou « congrès »
Chiffrage des variables
• 1990-1999 : le nombre de logement a augmenté 2x plus vite que le nombre d’habitant sur la CANCA
RCT, IFACES, janvier 200813
Secteur Plaine du var : Surfaces de vente projetées : 146 521 m²Emprise au sol : 70 ha
Secteur Cagnes Saint Jean I & II : Surfaces de vente projetées : 27 340 m²Emprise au sol : 12,5 ha
Secteur Antibes Sophia-Antipolis : Surfaces de vente projetées : 36 591 m²Emprise au sol : 18,5 ha
Secteur Cannes-Grasse : Surfaces de vente projetées : 65 950 m²Emprise au sol : 33 ha + 100 ha vallée de la Siagne
Projets : 262 000 m²
RCT, IFACES, janvier 200814
Faible parc social / espaces urbains dégradés et peu
denses
Faible maîtrise foncière et stratégies concurrentielles entre
collectivités
Gouvernance fragmentée /
coopérations limitées
Transports collectifs
faibles
Faible capacité à investir,
absence de projet commun
À pour conséquence Remet en cause
Manque de lisibilité /
faiblesse des fonctions
métropolitaines
Variable motrice
Variable relais
Impact
Image « qualité »Activités high tech
compétitives, attractives
Développement de l’économie résidentielle et
activités low tech : besoins en main d’œuvre
à bas revenus
Tourisme d’affaire
RCT, IFACES, janvier 200815
Chiffrage des variables
• Mobilité dans le parc HLM de 1.7% en 2005 (9.6% en France)• 8% des besoins en logement universitaire sont comblés sur la CANCA
• Part des TC dans les déplacements sur le département : 7,2% (étude préalable LGV)
• 8.3% de logements sociaux, contre 16% au niveau national (11% sur la CANCA)
Forte attractivitérésidentielle et touristique (prédominance de hauts
revenus et de pers. âgées)
Forte demande en logements (résidences 1 et 2) / en foncier éco (industrie, commerces,...)
Dépendance àl’automobile et ses nuisances (engorgement,
accessibilité aux centres difficile,
pollution…)
Coût pour les ménages, la collectivité et l’économie
(tourisme, High tech)
Compétition pour l’espace littoral / Hausse des coûts du
foncier
Faible parc social / espaces urbains dégradés et peu
denses
Développement de l’économie résidentielle et
activités low tech : besoins en main d’œuvre
à bas revenus
Etalement urbain vers l’arrière Pays /
banalisation de l’espace
Espace littoral trop coûteux pour les jeunes et
les revenus moyens / faibles
Vieillissement
Pression sur l’agriculture et
l’environnement
Faible mixité sociale / Déficit de main
d’oeuvre peu qualifiée
Faible maîtrise foncière et stratégies concurrentielles entre
collectivités
Gouvernance fragmentée /
coopérations limitées
Transports collectifs
faibles
Tourisme d’affaire
Faible capacitéà investir,
absence de projet commun
Image « qualité »Effet « grappe » lié à la
présence de nombreuses entreprises high tech
Bonne accessibilitéaérienne / moins bonne
pour la route et le fer
Activités high techcompétitives, attractives
Tissu de centres de recherche et grandes écoles
de qualité
Manque de lisibilité /
faiblesse des fonctions
métropolitaines
RCT, IFACES, janvier 200816
Forte demande en logements (résidences 1 et 2) / en foncier éco (industrie, commerces,...)
Dépendance à l’automobile et ses nuisances (engorgement,
accessibilité aux centres difficile,
pollution…)
Coût pour les ménages, la collectivité et l’économie
(tourisme, High tech)
Compétition pour l’espace bande côtière / Hausse des
coûts du foncier
Faible parc social / espaces urbains
dégradés, peu dense et peu accessibles
Développement de l’économie résidentielle et
activités low tech : besoins en main d’œuvre
à bas revenus
Etalement urbain vers l’arrière Pays /
banalisation de l’espace
Bande côtière trop coûteuse pour les jeunes et les revenus moyens /
faibles
Vieillissement
Pression sur l’agriculture et
l’environnement
Faible mixité sociale / Déficit de main
d’oeuvre peu qualifiée
Faible maîtrise foncière et stratégies concurrentielles entre
collectivités
Gouvernance fragmentée /
coopérations limitées
Transports collectifs
faibles
Tourisme d’affaire
Faible capacité à investir,
absence de projet commun
Image « qualité »
À pour conséquence Remet en cause
Activités high tech compétitives, attractives
Variable motrice
Variable relais
Impact
RCT, IFACES, janvier 200817
• 72% des GES sur la Côte d’Azur proviennent du secteur des transports (Grenelle de l’Environnement)• 37% des GES du SCOT de Nice proviennent des véhicules personnels (20% pour l’avion et 16% pour le résidentiel)
• 260 000m2 de projets de zones commerciales, 90% en périphérie (CCI)
• Moyen Pays et littoral : entre 1970 et 2000, la superficie de la tache urbaine a progressé de 142%, et la population de 52% (DTA)
• Prix des logements en hausse de + 101% sur 5 ans, contre + 89% au niveau national (Observatoire de l’immobilier d’habitat)
• la vitesse moyenne sur une journée est de 65% de la vitesse maximale autorisée
• La bande côtière de 10km est artificialisés à 35% (moyenne de 10% en méditerranée française)
• le nombre de bouchons a augmenté de + 107% entre 1998 et 2002
Chiffrage des variables
Forte attractivitérésidentielle et touristique (prédominance de hauts
revenus et de pers. âgées)
Forte demande en logements (résidences 1 et 2) / en foncier éco (industrie, commerces,...)
Dépendance àl’automobile et ses nuisances (engorgement,
accessibilité aux centres difficile,
pollution…)
Coût pour les ménages, la collectivité et l’économie
(tourisme, High tech)
Compétition pour l’espace littoral / Hausse des coûts du
foncier
Faible parc social / espaces urbains dégradés et peu
denses
Développement de l’économie résidentielle et
activités low tech : besoins en main d’œuvre
à bas revenus
Etalement urbain vers l’arrière Pays /
banalisation de l’espace
Espace littoral trop coûteux pour les jeunes et
les revenus moyens / faibles
Vieillissement
Pression sur l’agriculture et
l’environnement
Faible mixité sociale / Déficit de main
d’oeuvre peu qualifiée
Faible maîtrise foncière et stratégies concurrentielles entre
collectivités
Gouvernance fragmentée /
coopérations limitées
Transports collectifs
faibles
Tourisme d’affaire
Faible capacitéà investir,
absence de projet commun
Image « qualité »Effet « grappe » lié à la
présence de nombreuses entreprises high tech
Bonne accessibilitéaérienne / moins bonne
pour la route et le fer
Activités high techcompétitives, attractives
Tissu de centres de recherche et grandes écoles
de qualité
Manque de lisibilité /
faiblesse des fonctions
métropolitaines
• Région niçoise : le plus fort taux de mobilité de France (CANCA, projet tramway)
• SCOT Nice : progression de 32% en 10 ans de l’urbanisation (2000 ha)38 logements/ha en 199946 logements/ha en 199
• 26.6% des bénéficiaires d’une aide au logement de la CAF ont un taux d’effort supérieur à 39% de leur revenu
RCT, IFACES, janvier 200818
Chiffrage des variables
RCT, IFACES, janvier 200819
Chiffrage des variables
RCT, IFACES, janvier 200820
Chiffrage des variables
RCT, IFACES, janvier 200821
Chiffrage des variables
RCT, IFACES, janvier 200822
Forte attractivité résidentielle et touristique (prédominance de hauts
revenus et de pers. âgées)
Forte demande en logements (résidences 1 et 2) / en foncier éco (industrie, commerces,...)
Dépendance à l’automobile et ses nuisances (engorgement,
accessibilité aux centres difficile,
pollution…)
Coût pour les ménages, la collectivité et l’économie
(tourisme, High tech)
Tropisme littoral / Climat recherché /
Compétition pour l’espace littoral / Hausse des coûts du
foncier
Faible parc social / espaces urbains
dégradés, peu denses et peu accessibles
Développement de l’économie résidentielle et
activités low tech : besoins en main d’œuvre
à bas revenus
Etalement urbain vers l’arrière Pays /
banalisation de l’espace
Espace littoral trop coûteux pour les jeunes et
les revenus moyens / faibles
Vieillissement
Pression sur l’agriculture et
l’environnement
Faible mixité sociale / Déficit de main
d’oeuvre peu qualifiée
Faible maîtrise foncière et stratégies concurrentielles entre
collectivités
Gouvernance fragmentée /
coopérations limitées
Transports collectifs
faibles
Tourisme d’affaire
Faible capacité à investir,
absence de projet commun
Image « qualité »Effet « grappe » lié à la
présence de nombreuses entreprises high tech
Logique de réseau et de concurrence à
l’échelle européenne
Bonne accessibilité aérienne / moins bonne
pour la route et le fer
Etat
À pour conséquence Remet en cause
Activités high tech compétitives, attractives
Recherche et enseignement
supérieur sous
dimensionnés
Manque de lisibilité /
faiblesse des fonctions
métropolitaines
Variable motrice
Variable relais
Impact
Système & Motricité des variables
RCT, IFACES, janvier 200823
Forte attractivité résidentielle et touristique (prédominance de hauts
revenus et de pers. âgées)
Forte demande en logements (résidences 1 et 2) / en foncier éco (industrie, commerces,...)
Hausse de la dépendance à l’automobile et ses nuisances (engorgement,
pollution…)
Coût pour les ménages, la collectivité et l’économie
(tourisme, High tech)
Tropisme littoral / Climat recherché /
Compétition pour l’espace bande côtière / Hausse des
coûts du foncier
Faible parc social / espaces urbains dégradés et peu
denses
Développement de l’économie résidentielle et
activités low tech : besoins en main d’œuvre
à bas revenus
Etalement urbain vers l’arrière Pays /
banalisation de l’espace
Bande côtière trop coûteuse pour les jeunes et les revenus moyens /
faibles
Vieillissement
Pression sur l’agriculture et
l’environnement
Faible mixité sociale / Déficit de main
d’oeuvre peu qualifiée
Faible maîtrise foncière et stratégies concurrentielles entre
collectivités
Gouvernance fragmentée /
coopérations limitées
Transports collectifs
faibles
Tourisme d’affaire
Faible capacité à investir,
absence de projet commun
Image « qualité »Effet « grappe » lié à la
présence de nombreuses entreprises high tech
Logique de réseau et de concurrence à
l’échelle européenne
Bonne accessibilité aérienne / moins bonne
pour la route et le fer
Etat
À pour conséquence Remet en cause
Activités high tech compétitives, attractives
Recherche et enseignement supérieur sous dimensionné
Manque de lisibilité /
faiblesse des fonctions
métropolitaines
Système & maitrise des variables
Forte
Pas de maîtrise
Indirecte
Maîtrise des variables par les acteurs
RCT, IFACES, janvier 200824
L’évolution du contexte
RCT, IFACES, janvier 200825
Coût pour les ménages dépendant à l’automobile (ménages des
périphéries)
Hausse du coût de l’énergie (contexte d’un pétrole cher)
Poursuite du vieillissement de la population
européenne
Accroissement des besoins en logements (R I et II) et services (traitement des eaux et déchets,
loisirs)
Offre aérienne low cost en déclin ; report sur le train
Hypothèses d’évolution du contexte à 2020
Un engouement renouvelé pour l’agriculture de proximité
Moindre mobilité des personnes
Développement du tourisme et des loisirs
Elévation des attentes de qualité et d’authenticité, avènement du
tourisme durable
Croissance du tourisme urbain, étranger, senior…
Maintien de la prédominance du transport routier
Prévision de croissance de 25% des déplacements internes au SCOT Nice à l’horizon 2020 (Projet Tramway)
Croissance démographique et poursuite du phénomène
de décohabitationBesoin estimé de doubler ou tripler les logements étudiants pour mettre en œuvre le Plan de Développement Universitaire (10ans)
SCOT Nice : prévision de besoins en résidences principales de + 44% d’ici à 10 ans (13 000 log/an)
Hypothèse d’évolution du contexte extérieur
Impacts possibles au niveau local
Les échos du 20-12-07
RCT, IFACES, janvier 200826
Poursuite du phénomène de métropolisation
Concentration des activités et des services sur les plus grands pôles
de la bande côtière (Nice)
Poursuite de la libéralisation des marchés
Affaiblissement progressif des revenus de transfert
Accroissement des disparités de revenus et des processus de ségrégation socio-spatiale
Hypothèses d’évolution du contexte à 2020
Explosion des concurrences technopolitaines et touristiques
Réchauffement climatique
Contexte moins favorable à l’attractivité de la Côte d’Azur :
risque de délocalisation des entreprises / flux touristique
Engagement de politiques nationales et européennes de
développement durableInvestissements réseau TC et LGV
Emergence de nouvelles filières d’activités (éco-industries…)
Contrainte à l’émission de CO2
Renforcement des problématiques liées à l’eau et aux pollutions
urbaines, incendies
Rupture dans les comportements touristiques, concurrence
croissante des destinations moins affectées par les canicules
Moindre mobilité des personnes
37% des GES du SCOT de Nice proviennent des véhicules personnels, 20% des avions
Hypothèse d’évolution du contexte extérieur
Impacts possibles au niveau local
RCT, IFACES, janvier 200827
Forte attractivitérésidentielle et touristique (prédominance de hauts
revenus et de pers. âgées)
Forte demande en logements (résidences 1 et 2) / en foncier éco (industrie, commerces,...)
Dépendance àl’automobile et ses nuisances (engorgement,
accessibilité aux centres difficile,
pollution…)
Coût pour les ménages, la collectivité et l’économie
(tourisme, High tech)
Tropisme littoral / Climat recherché /
Compétition pour l’espace littoral / Hausse des coûts du
foncier
Faible parc social / espaces urbains dégradés et peu
denses
Développement de l’économie résidentielle et
activités low tech : besoins en main d’œuvre
à bas revenus
Etalement urbain vers l’arrière Pays /
banalisation de l’espace
Espace littoral trop coûteux pour les jeunes et
les revenus moyens / faibles
Vieillissement
Pression sur l’agriculture et
l’environnement
Faible mixité sociale / Déficit de main
d’oeuvre peu qualifiée
Faible maîtrise foncière et stratégies concurrentielles entre
collectivités
Gouvernance fragmentée /
coopérations limitées
Transports collectifs
faibles
Tourisme d’affaire
Faible capacitéà investir,
absence de projet commun
Image « qualité »Effet « grappe » lié à la
présence de nombreuses entreprises high tech
Logique de réseau et de concurrence à
l’échelle européenne
Bonne accessibilitéaérienne / moins bonne
pour la route et le fer
Etat
Activités high techcompétitives, attractives
Tissu de centres de recherche et grandes écoles
de qualité
Manque de lisibilité /
faiblesse des fonctions
métropolitaines
Moindre mobilité des personnes
Des besoins accrus en
logements et services
Contexte moins favorable à l’attractivité touristique
Impacts du contexte sur les Alpes Maritimes à 2020
Accroissement des disparités de
revenus et des processus de
ségrégation socio-spatiale
Risque de délocalisation des entreprises High Tech
RCT, IFACES, janvier 200828
Esquisse d’un scénario fil de l’eau
RCT, IFACES, janvier 200829
Coût pour les ménages, la collectivité et l’économie
(tourisme, High tech)
Arrêt de la hausse de la mobilité individuelle
Structuration progressive de la gouvernance sur le littoral
Esquisse du scénario « fil de l’eau » 2020
Stabilisation du phénomène d’étalement urbain sur le moyen
Pays & retour progressif vers les centres / densification progressive
du littoral
Hausse du coût de l’énergie
Investissements croissants dans les réseaux TC
Engagement de politiques nationales et européennes de
développement durable
Délocalisation d’au moins une des quatre locomotive de
l’économie High Tech
Accroissement des besoins en logements /
Compétition pour l’espace de la bande littoral
Moindre attractivité de la Côte d’Azur
Accroissement des disparités de revenus et
des processus de ségrégation socio-
spatiale
Quel du développement de l’économie résidentielle ?
Fragilisation de l’ensemble du sous système tissu High tech,
des sous traitants, R&D, enseignement supérieur
Croissance démographique
(vieillissement) et touristique
Affaiblissement progressif des revenus de transfert
Renforcement de la mondialisation et de la
concurrence internationale
Ralentissement de la hausse de la pression sur
l’environnement et l’agriculture, engorgement
routier limité
mais
Renforcement de la maîtrise foncière /
renforcement du parc social
Image « qualité »
Insuffisante diversification du tissu high tech
Réchauffement climatique
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