ATMOSPHERE CAPI TALEQui pollue, où, quand, combien ?
Des émissions d’origines diverses
Des émissions variables dans l’espace
AIRPARIF - Surveillance de la qualité de l’air en Ile-de-France - 7 rue Crillon 75004 PARIS - tél. 01.44.59.47.64 fax. 01.44.59.47.67 - L’information en direct : l’état de la qualité de l’air, les prévisions du lendemain - Internet : www.airparif.asso.fr
plus de la moitié des émissions d’oxydes d’azote (NOx)
PPP
plus d’un quart des émissions d’hydrocarbures et de gazcarbonique (CO2)
PPPplus de 75% des émissions de monoxyde de carbone (CO)
PPP plus d’un tiers des émissions de particules fines (PM 10)
PPP
A l’échelle de la journée :Cette variabilité est en relation directe avec l’intensité du traficroutier. Mais quelle que soit l’heure de la journée, les grands axesde circulation, comme le périphérique et les autoroutes,apparaissent clairement comme l’illustre les émissions d’oxyded’azote ci-contre.
PPP
A l’échelle des saisons :Les émissions journalières de monoxyde de carbone ou d’oxydesd’azote pour certaines activités liées à la combustion (centralesthermiques, chauffage résidentiel, ...) varient selon les saisons ;exemple avec le chauffage.
PPP
Des émissions variables dans le temps
Le trafic routier (voitures particulières, camions et deux roues)est responsable en Ile-de-France de :
Les combustions, et en particulier le chauffage industriel etrésidentiel, prédominent dans les émissions de dioxyde desoufre (SO2) et de gaz carbonique (CO2).
L’utilisation de solvants, l’extraction et la distribution decarburants prédominent dans les émissions de composésorganiques volatils non méthaniques (COVNM).
Les émissions d’oxydes d’azote du trafic aérien de Roissy-Charles de Gaullesont comparables à celles du trafic duboulevard périphérique.
Paris et sa Petite Couronne, contribuent à près de 44 % des émissions régionales de d’hydrocarbures et à environ 38 % des émissions d’oxydes d’azote,alors qu’ils ne représentent que 6 % de la superficie de la région Ile-de-France.
NOxkg/km2/h
G Évolution au cours d’une journée des émissions d’oxydes d’azote à Paris et en Petite Couronne : pendant la nuit, lors de la pointe de trafic du matin, à midiet pendant la pointe de trafic du soir. Ces émissions sont fortement corrélées aux variations horaires de trafic (source Airparif)
G Carte des émissions annuelles d’oxydes d’azote selon l’inventaire des émissions 2000 (Airparif/DRIRE Ile-de-France)
G Responsabilité (en %) des différents secteurs d’activité dans l’émission de polluants atmosphériques en Ile-de-France pour l’an née 2000 (Airparif/DRIRE Ile-de-France)
200 à 4500
100 200
75 10050 75
40 50
30 40
20 30
10 20
5 10
2 5
0 2
40 à 55
30 40
20 30
15 20
10 15
5 10
3 5
2 3
1 2
0,5 1
0 0,5
Densité d’émissions de NOx(t/km2.an)
2-3h (heure légale) 6-7h (heure légale)
13-14h (heure légale) 17-18h (heure légale) 22-23h (heure légale)
7-8h (heure légale)
LLee ssaavviieezz vvoouuss LLee ssaavviieezz vvoouuss ????
pour la pollution locale
pour l’effet de
serre
Industrie
Résidentiel Tertiaire Artisanat
Transport Routier
Sources Biogéniques
Agriculture et Sylviculture
Autres Transports
Périphérique
oxydes d’azoteNOx
10
52
13 520
monoxyde decarbone
CO
2
77
1713
dioxyde de soufreSO2
35
55
6<1
3
1637
<1
19
27
poids
lourds
et bus
véhicules particuliersessence
véhicules
particuliers
diesel
véhicules
utilitaires
légers
deux
roues
particules PM10
24 36
6 133
composés organiquesvolatils
non méthaniques COVNM
1932
21
3313
dioxyde de carboneCO2
3922
3
7 29
Châteauroux
ToursBlois
Orléans
Paris
Chartres
Rouen
Le HavreBeauvais
Amiens
Reims
Châlon-en-Champagne
Charleville-Mézières
BourgesNevers
Auxerre
Troyes
Dijon
G Les émissions d’oxydes d’azote (source ESMERALDA).
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