Facebook, Twitter représentent-ils
un +, une valeur ajoutée au site diocésain ?
Contexte
• Dans le cadre des chantiers initiés par la CEF
• Analyse des pratiques des différents diocèses
Constat
• Être présent sur internet aujourd'hui ne signifie pas seulement avoir un site : les possibilités offertes par les réseaux sociaux sont de plus en plus utilisées.– Que permettent les réseaux sociaux en plus d'un site
?– Comment rendre complémentaires le site et les
réseaux sociaux ?– Faut-il impérativement être présent sur ces réseaux ?
• L'enjeu reste avant tout d'être là où sont les gens.
Quelle information pour quel canal de
diffusion ?
• Facebook : l’impact du visuel– Intérêts : partager des photos, des événements… et
aussi des contenus d’autres pages Facebook, en cherchant l’interactivité
– Public touché : toutes les couches de la population– Enjeu : que les internautes « likent » vos statuts et
les partagent– Risques : les internautes ne vont pas forcément aller
« hors » de Facebook pour lire un texte sur le site diocésain
– Ce qui marche : les albums photos
Quelle information pour quel canal de
diffusion ?
• Twitter : 140 caractères pour partager la vie de votre diocèse– Intérêts : partager des statuts en 140 caractères
max, en privilégiant l’immédiateté– Public touché : de plus en plus de jeunes ; des
journalistes et des communicants– Enjeu : être retweeté, pour être lu par d’autres
cercles.– Risques : lasser ses « followers » en publiant trop– Ce qui marche : l’information insolite et l’effet
scoop/buzz
Comptes institutionnels vs comptes
personnels
• Sur Facebook et Twitter, diversité des comptes institutionnels et des comptes personnels
• Pour un compte personnel– Gérer des échanges interpersonnels / donc mesurer
son investissement en temps – Si le compte personnel présenté comme
représentant de l’Église catholique, modération et exigence conseillées.
• Pour un compte institutionnel– Positionnement plus transversal, d’apporteur
d’informations• Qu’il soit institutionnel ou personnel, un
compte doit être animé, pour faire vivre sa communauté.
Concurrence ? Surenchère ? Saturation ?
• Du réseau au média social– À chaque média, son message– Jouer sur la complémentarité des outils
• Exemple d’une conférence– Sur Twitter, poster en direct des échanges-clés – Sur Facebook, mettre en ligne l’album photos – Sur le site diocésain, rédiger un article plus détaillé,
en ajoutant le texte du conférencier
Conclusion
• Facebook et Twitter sont de vrais + pour le site diocésain, à condition de :– Les considérer comme des médias c’est-à-dire
déterminer une ligne éditoriale, un planning rédactionnel, s’investir dans les relations avec les internautes, en bordant ces relations grâce à des chartes de modération par exemple.
– Varier les informations sur les différents supports, afin de jouer avec leur spécificité.
– Ne pas se contenter du virtuel : donner à voir, témoigner, inviter à des rencontres réelles.
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