Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès
2021 – 2022
MED - 1
7 0 1 QCM
Al Zahir
2
S1 03 – 05 – 2021
S2 22 – 03 – 2021
S2 27 / 10 / 2020
S 1 17 / 11 / 2019
Rattrapage 11 / 09 / 2019
S 2 Juillet 2019
S 1 Novembre 2018
Rattrapage 06 / 09 / 2018
S 1 25 / 02 / 2018
S 2 19 / 11 / 2017
S 2 12 / 03 / 2017
S 1 14 / 11 / 2016
Rattrapage 06 / 09 / 2016
14 / 03 / 2016
S 1 16 / 11 / 2015
Rattrapage 06 / 09 / 2015
S 1 07 / 06 / 2015
13 / 14 26 / 11 / 2013
3
1. La prise en charge du choc traumatique
hémorragique comprend :
a. Mise en place de voie veineuse de gros calibre.
b. Remplissage qui ne doit pas dépasser 1500 cc de
cristalloïdes et ou colloïdes.
c. Remplissage qui ne doit pas dépasser 2500 cc de
cristalloïdes et ou colloïdes.
d. Emploi précoce de vasopresseurs type noradrénaline.
e. Transfusion précoce de culots globulaires, de PFC et
de culots plaquettaires.
2. Les indications opératoires en urgence sont :
a. Hémopéritoine évolutif.
b. Hémothorax (volume supérieur à 1500 ml).
c. Plaie vasculaire extériorisée (cervicale ou des
membres).
d. Hématome intracrânien en particulier extradural (avec
effet de masse).
e. Délabrement majeur d’un membre (décision éventuelle
d’amputation sur des critères précoces).
3. Quel est le traitement d’un choc anaphylactique suite
à une injection de pénicilline ?
a. Arrêt de l’injection de pénicilline.
b. Injection d’atropine en IV.
c. Mise sous oxygène nasal.
d. Remplissage vasculaire : 10 ml /kg en 10 mn de
cristalloïdes.
e. Injection d’adrénaline : 0.25 mg dilué dans 10 ml de
SS 9 ‰.
4. Le choc septique se définit comme :
a. T° > 38 °C, GB < 4000 / mm³ et hypo TA.
b. T° < 36 °C, GB < 12000 / mm³ et hypo TA nécessitant
des catécholamines.
c. T° < 36 °C, GB > 12000 / mm³ et hypo TA réfractaire
suite à une infection documentée.
d. T° > 38 °C, FC > 90 /min et FR > 20 cycles /min.
e. T° < 38 °C, FR > 20 /min et une infection documentée.
5. Patient admis au urgence pour une altération de
l’état de conscience avec une TA = 08 / 04, FC= 130 bat
/ min, FR = 32 cycles /min. Que faite vous dans un
premier temps ?
a. Faire un examen neurologique complet.
b. Rechercher et traiter les signes de détresse vitale.
c. Faire une enquête étiologique.
d. Évaluer la profondeur du coma.
e. Faire un scanner cérébral d’emblée.
6. Votre patient est inconscient, gémis, n’ouvre pas les
yeux à la stimulation douloureuse et en position de
flexion des membres supérieurs et des membres
inférieurs. Quel est son score Glasgow ?
a. 5
b. 6
c. 7
d. 8
e. 9
7. À son admission à l’hôpital, un patient présente 3
crises convulsives avec un score Glasgow à 5. Que doit -
on faire ?
a. Liberté des voies aériennes.
b. Intubation et ventilation artificielle.
c. Radiographie du crâne.
d. Antiépileptique IV.
e. Ionogramme, glycémie et calcémie.
8. Quel est l’antidote d’une intoxication exclusive par
benzodiazépines ?
a. Pyridoxine.
b. Vitamine K.
c. N - acétylcystéine.
d. Flumazénil.
e. Sulfate de magnésium.
9. Quel est l’antidote d’une intoxication volontaire par
les morphiniques ?
a. Bleu de méthylène.
b. Naloxone.
c. Temgésic.
d. N - acétylcystéine.
10. Dans les méningoencéphalites herpétiques chez
l’adulte, le germe est :
a. Herpès simplex type 1.
b. Herpès simplex type 2.
c. Est isolé dans le LCR.
d. Est sensible à l’aciclovir.
e. Toutes les réponses sont justes.
S1 03 – 05 – 2021
4
11. Les antibiotiques utilisés en cas de
méningoencéphalite listerienne sont :
a. Ampicilline + gentamycine.
b. C3G + gentamycine.
c. Azithromycine + gentamycine.
d. Ampicilline.
e. Aucune réponse juste.
12. Dans la gravité de l’électrisation : RF
a. Les ampères brulent.
b. Les brulures électrothermiques ne traversent pas le
corps.
c. Le courant alternatif plus dangereux que le courant
continu.
d. Les trajets longs exposent aux complications
cardiovasculaires.
e. Un temps de contact prolongé est responsable d’une
contraction des extenseurs.
13. Lors d’une électrisation, l’atteinte myocardique est
due à :
a. Perturbation des phénomènes électriques.
b. Thrombose des artères coronaires.
c. Atteinte directe du myocarde par effet de joule.
d. Lésion myocardique anoxique.
e. Contusion myocardique par onde de choc.
14. Une femme de 70 ans hospitalisée suite à une
insuffisance cardiaque droite sévère sur une
bronchopneumopathie chronique obstructive, un
traitement médical a été instauré avec une perfusion
intraveineuse de diurétiques en raison d’une
aggravation des œdèmes périphériques, qui résiste à une
thérapeutique orale à forte doses. À l’examen il y’a des
œdèmes périphériques étendus avec ascite, elle ne
semble pas en détresse respiratoire. Les gaz du sang :
pH = 7.49, PCO2 = 51.8 mmHg, bicarbonate = 38
mmHg, CL = 88 mmol /l, Na+ = 131 mmol /l, K = 3
mmol /l, EB = + 6.8 mmol /l. Décrivez les échanges
gazeux :
a. Alcalose métabolique partiellement compensée.
b. Alcalose métabolique non compensée.
c. Alcalose respiratoire partiellement compensée.
d. Alcalose métabolique compensée.
e. Alcalose respiratoire compensée.
15. Le traitement consiste à :
a. Supplémentation en potassium ou diurétiques
d’épargne potassique.
b. Supplémentation en iodium ou soluté isotonique.
c. Supplémentation en bicarbonate.
d. Supplémentation en soluté riche en Cl - car le patient
est déshydraté.
e. L’admission en réanimation pour ventilation
mécanique.
16. L’explication la plus vraisemblable du déséquilibre
acide base :
a. Les ions de Na+ sont retenus dans le tube distal du
rein en échange avec des ions H+ à la place du K+.
b. Lors d’une déplétion potassique, les ions H+ sont
majoritairement sécrétés dans l’urine, entrainant une
élévation en HCO3-.
c. Les ions de HCO3- sont retenus dans le tube distal du
rein en échange avec des ions H+ à la place du Cl-.
d. Une acidose tubulaire rénale type 4.
e. Une hyponatrémie peut expliquer cette alcalose selon
le concept de Stewart.
17. L’examen TDM (avec injection de produit de
contraste) d’un patient présentant une pancréatite aigüe
révèle la présence de deux coulées pancréatiques et une
surface nécrotique estimée à 48 % de la surface totale
de la glande, quel est le score de BALTHAZAR ?
a. 4 points.
b. 5 points.
c. 6 points.
d. 8 points.
18. Une pancréatite aigüe sévère se caractérise par :
a. La présence d’une défaillance viscérale.
b. La protéine C - réactive > 150mg /l (valeur du 2ème
jour).
c. Le score de BALTHAZAR supérieur à 4 points.
d. Hyperleucocytose supérieure à 12000 / mm³ et
fréquence cardiaque supérieure à 90 bpm.
e. Température inférieure à 38 ° et fréquence respiratoire
égale à 20 cycles /min.
19. La prise en charge d’un noyé classé ‘petit hypoxique’
consiste en ce qui suit :
a. Une vidange gastrique systématique.
b. Une oxygénothérapie nasale.
c. L’administration de sérum bicarbonaté.
5
d. L’administration de diurétiques.
e. Une antibiothérapie.
20. L’évaluation de la gravité d’une brulure se fait sur
la base des critères suivants :
a. L’étendu de la surface cutanée brulée.
b. Le degré de la brulure.
c. L’âge de la victime.
d. Les tares sous - jacentes.
e. Le délai de prise en charge.
21. En cas de brulure, la prise en charge initiale est
comme suite :
a. Déshabiller la victime.
b. Refroidir à l’eau.
c. Faire un pansement gras.
d. Poser une voie veineuse et entamer un remplissage
vasculaire.
e. Traiter la douleur.
22. La dissection aortique est suspectée devant :
a. L’apparition d’une douleur thoracique variant avec les
mouvements respiratoires.
b. Un contexte de chirurgie récente.
c. Une douleur thoracique intense et migratrice.
d. Une asymétrie des pouls.
e. Un déficit neurologique.
23. Parmi ces accidents transfusionnels, quels sont ceux
qui se manifestent par un œdème aigu du poumon ?
a. Transfusion massive.
b. Embolie gazeuse.
c. TACO.
d. TRALI.
e. Choc anaphylactique.
24. Le test de Scellong:
a. Est la mesure de la pression artérielle aux deux bras.
b. Est la mesure de la pression artérielle en position
allongée.
c. Est la mesure de la pression artérielle en position
allongée puis debout.
d. Recherche une hypotension orthostatique.
e. Recherche une hyper réflexivité sino carotidienne.
25. Une syncope neuro cardiogénique : la ou les RF
a. Est une syncope réflexe.
b. Est une syncope d’origine cardiaque.
c. Est déclenchée par un stimulus.
d. Est secondaire à une hypotension avec tachycardie.
e. Peut - être provoquée par une émotion ou une station
debout prolongée.
26. La libération des voies aériennes supérieures pour la
réanimation cardio respiratoire :
a. Pour faciliter le massage cardiaque externe.
b. Pour une bonne oxygénation du sang.
c. Pour réduire le temps de la réanimation cardio
respiratoire.
d. Pour lutter contre les fausses routes.
e. Pour faciliter le flux d’air lors du massage cardiaque
externe.
27. Le traitement chirurgical de l’ischémie aigue du
membre nécessite une :
a. Une fogarisation si le vaisseau est athéromateux.
b. Un pontage si l’occlusion est incomplète.
c. Une fogarisation si le vaisseau est sain.
d. Un pontage si le vaisseau est athéromateux.
e. Une dilatation si possible.
28. Le premier mécanisme à évoquer en présence d’une
anémie microcytaire arégénérative avec fer sérique bas
et ferritinémie normale est :
a. Un déficit en vitamine B12.
b. Une carence martiale.
c. Une inflammation.
d. Une carence en vitamine B6.
e. Une hémoglobinopathie.
29. L’anémie rencontrée au cours de l’insuffisance
rénale est le plus souvent de type :
a. Normochrome macrocytaire régénérative.
b. Normochrome normocytaire régénérative.
c. Hypochrome microcytaire hyposidérémique.
d. Hypochrome microcytaire hypersidérémique.
e. Normochrome normocytaire arégénérative.
30. Quel (s) est (sont) le (les) facteur (s) de l’hémostase
à faire doser en présence d’un allongement du TCA ?
a. Facteur IX.
b. Facteur VIII.
c. Facteur XI.
d. Facteur VII.
e. Facteur II.
6
31. Un taux de plaquettes à 520000 /mm³ peut
s’observer au cours des affections suivantes :
a. Une anémie par carence en fer.
b. Une thrombopathie de Jean Bernard Soulier.
c. Une anémie inflammatoire.
d. Une thrombocytémie essentielle.
e. Une polyglobulie secondaire.
32. Madame H.M âgée de 28 ans, traitée pour une
polyarthrite rhumatoïde à base de méthotrexate à raison
de 20 mg /semaine et 7.5 de précortyl /jour, son poids
initial était de 50 kg, un TA de 105 / 65 mm Hg au
niveau des deux bras, elle se présente à la consultation 3
mois après pour un ictère cutanéo - muqueux avec
urine foncée et selle normo colorée, une asthénie
profuse, patiente est apyrétique et anorexique. Quels
bilans demanderiez - vous en première intention ?
a. Glycémie à jeun.
b. Dosage des ALAT.
c. Dosage des ASAT.
d. Dosage des phosphatases alcalines et des gamma GT.
e. Formule numération sanguine (FNS) uniquement.
33. Le bilan hépatique retrouve des ALAT à 5 fois la
normale, ASAT 1.5 fois la normale, le taux des
phosphatases alcalines et des gammas GT est normal, la
bilirubine conjuguée est de 340 mg /l, la glycémie est de
0.9 g /l, la FNS est normale. Quels bilan en deuxième
intention demanderiez - vous ?
a. Sérologie virale.
b. Échographie du foie, vésicule et des voies biliaires.
c. HbA1c.
d. Rapport ALAT /PA.
e. Rapport ASAT / ALAT.
34. La sérologie de la patiente est revenue négative avec
une échographie hépatique et des voies biliaires
normales, une HbA1c : 6.1 %, rapport ALAT /PA est
augmenté à 2 fois la normale. Quel diagnostic évoquez -
vous ?
a. Un syndrome cholestatique.
b. Un syndrome cytolytique.
c. Un syndrome mixte (cholestatique et cytolytique).
d. Un syndrome d’insuffisance hépatocellulaire.
e. Un syndrome inflammatoire.
35. Quelle est l’origine de cette atteinte ?
a. La corticothérapie.
b. Le méthotrexate par phénomène stéatosique.
c. Le méthotrexate par phénomène cytolytique.
d. Le méthotrexate par phénomène cholestatique.
e. Le méthotrexate par phénomène mixte.
36. Laquelle des propositions suivantes est une première
étape probable dans le traitement médical de
l’hyperkaliémie menaçante ? la RJ
a. L’administration de bicarbonate de sodium.
b. L’administration de
c. L’administration de par voie parentérale.
d. L’administration de intraveineux (IV).
e. Toutes les réponses sont fausses.
37. Toutes les caractéristiques cliniques de l’asthénie
Addisonienne ci - dessous sont exactes, sauf :
a. Asthénie parfois extrême.
b. Asthénie parfois révélatrice de l’affection.
c. Asthénie associée à une pigmentation.
d. Asthénie à prédominance matinale.
e. Asthénie qui peut être accompagnées par des troubles
digestifs.
38. Parmi ces manifestations, une hypoglycémie est
évoquée devant :
a. Pâleur.
b. Convulsions.
c. Sueurs.
d. Soif.
e. Diplopie.
39. Une acidocétose diabétique peut être responsable de :
a. Un syndrome abdominal pseudo chirurgical.
b. Un choc hypovolémique.
c. Une déshydratation globale.
d. Une bradypnée typique.
e. des crises comitiales.
40. Cocher la ou les réponses justes à propos
l’hématome extra dural (HED) :
a. Le plus souvent est associé à une fracture de la voute.
b. Est une collection sanguine entre la dure mère et
l’arachnoïde.
c. Une forme de lentille biconcave hyperdense au scanner.
d. Une forme de croisant hyperdense au scanner.
e. C’est un saignement veineux et /ou artériel.
7
1. La définition du traumatisme grave à la phase de la
prise en charge initiale comprend :
a. Deux lésions ou plus dont une un moins menace le
pronostic vital.
b. Une lésion menaçant le pronostic vital.
c. Une lésion menaçant le pronostic vital ou fonctionnel.
d. Une lésion dont le mécanisme est violent.
e. Une teston menaçant le pronostic vital et fonctionnel.
2. La prise en charge initiale du traumatisé grave est
basée sur :
a. Le diagnostic et traitement de la détresse ventilatoire.
b. Le diagnostic et traitement de la détresse circulatoire.
c. Le diagnostic et traitement de la détresse neurologique.
d. De la mise en place d’un collier cervical.
e. L’instauration d’une hypothermie.
3. Une femme âgée de 35 ans, diabétique de type 1 est
conduite aux urgences suite à une altération sévère de
l'état général, l’anamnèse avec son époux révèle qu’elle
n’a pas mangé depuis les quelques derniers jours en
raison de vomissements et que par précaution elle n’a
pas fait ses insulines sous cutané. À l’examen elle
apparait somnolente déshydratée, une respiration
profonde et ample, tension artérielle 100 / 60, les GDS
artériels : PH = 7.05, PCO2 = 11 mmHg, HCO3- = 6
mmol /l, EB = - 25, lactate = 1.5 mmol /l, K+ = 4.6 mmol
/l, Na+ = 141 mmol /l, CL - = 96, glycémie = 35 mmol /l.
Décrivez l’équilibre acidobasique ?
a. Acidose métabolique sévère avec compensation
partielle.
b. Acidose métabolique sévère non compensée.
c. Acidose métabolique compensée.
d. Alcalose respiratoire non compensé.
e. Acidose mixte respiratoire et métabolique.
4. Concernant le trou anionique plasmatique TAP :
a. TAP de la patiente est élevé à 43.6.
b. TAP normal.
c. La patiente peut passer à une acidose à trou anionique
normal au cours de traitement.
d. Une correction de l'élévation du TAP peut être liée e
une excrétion des corps cétoniques sous forme de sels de
K + ou Na +.
e. Le TAP n’a aucun intérêt car il s’agit d'une acidose
respiratoire.
5. Quel est le diagnostic le plus vraisemblable ?
a. Acidose lactique car le SID est diminué.
b. Acidocétose de diète (jeûne prolonge).
c. Acidocétose diabétique.
d. Acidocétose d'alcoolisme.
e. Intoxication au méthanol.
6. Quelles sont les étiologies possibles de la carence
martiale ?
a. Maladie cœliaque.
b. Fibrome utérin.
c. Hémolyse.
d. Grossesses.
e. Résection jéjunale.
7. Quelles sont les cellules retrouvées de façon
physiologique dans le sang d’un adulte normal ?
a. Plasmocytes.
b. Polynucléaires éosinophiles.
c. Myélocytes.
d. Monocytes.
e. Mégacaryocytes.
8. Quel (s) est (sont) le (les) facteur (s) de l’hémostase à
faire doser en présence d’un allongement du TCA ?
a. Facteur IX.
b. Facteur VIII.
c. Facteur XI.
d. Facteur VII.
e. Facteur I.
9. La lymphopénie peut se voir au cours de :
a. L’infection HIV.
b. L’infection covid 19.
c. L’anémie ferriprive.
d. Béta thalassémie mineure.
e. Lymphome de Hodjkin.
10. L’importance de la rhabdomyolyse dans l’ischémie
aigue du membre dépend :
a. Du retard du traitement médical.
b. La durée de l’ischémie.
c. La masse musculaire du muscle ischémie.
d. Les antécédents du patient.
e. Hyperkaliémie.
21 22 – 03 – 2021
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11. Devant une méningoencéphalite à liquide clair,
quels diagnostics pourriez - vous évoquer ?
a. Méningoencéphalite tuberculeuse.
b. Méningoencéphalite listerienne.
c. Méningoencéphalite herpétique.
d. Méningoencéphalite à pneumocoque.
e. Toutes les réponses sont justes.
12. Les céphalosporines de 3ème
génération sont contre
indiqués en cas de méningoencéphalite listerienne pour
les raisons suivantes :
a. Ils ne traversent pas la barrière méningée.
b. La dose méningée efficace est toxique.
c. Il y a une allergie chez tous les sujets.
d. Il y a une résistance naturelle de la listeria
monocytogène.
e. Toutes les réponses sont fausses.
13. Patiente victime d’un état de mal épileptique scoré
< 6, quelle est votre prise en charge ?
a. Faire prélèvement d’un ionogramme, glycémie et
calcémie.
b. Intuber.
c. Administrer un antiépileptique IV.
d. Assurer la liberté des voies aérienne.
e. Ne pas ventiler.
14. Quel est l’antidote d’une intoxication volontaire par
les raticides ?
a. Atropine.
b. Alcool éthylique.
c. Valium.
d. La vitamine K1.
e. Le gluconate de calcium.
15. Quel est l’antidote de d’une intoxication accidentelle
par paracétamol ?
a. Gluconate de calcium.
b. N – acétylcystéine.
c. Temgésic.
d. Vitamine B6.
e. Bleu de méthylène.
16. Le choc hémolytique transfusionnel :
a. Est dû à un conflit antigène anticorps.
b. Survient même en l’absence d’une exposition
antérieure.
c. Provoque une hémolyse intravasculaire.
d. Survient après allo - immunisation.
e. Entraine une hémolyse intra tissulaire.
17. Au cours du choc hémolytique : la ou les RF
a. L’activation du complément est faite par le complexe
immun Ag - Ac.
b. Les composants de complément sont responsables de
l’état de choc.
c. La lyse des globules rouges entraine hémoglobinémie
et hémoglobinurie.
d. Surviennent des convulsions.
e. La diurèse est conservée.
18. Le choc endotoxinique : la ou les RF
a. Est une réaction transfusionnelle fébrile non
hémolytique.
b. Est une réaction transfusionnelle fébrile hémolytique.
c. Est dû à la présence d’anticorps anti leucocytes chez le
receveur.
d. Est dû à une contamination bactérienne de la poche de
sang.
e. Est dû à une mauvaise conservation du produit sanguin
labile.
19. Le point d’entrée d’une électrisation est souvent
caractérisé par :
a. Ulcération nécrotique blanche ou grise.
b. Centre nécrosé, marbré ou blanc.
c. Entouré d’une zone de brulure du second degré
profond.
d. Plus étendue en cas d’AE à haute tension.
e. Ne saigne pas à la scarification.
20. Une intensité du courant supérieure à 2 A peut
provoquer spécialement :
a. Une inhibition des structures nerveuses.
b. Réaction d’agrippement.
c. Tétanisation du diaphragme.
d. Contractions musculaires ne cédant pas au rupture du
courant.
e. Fibrillation auriculaire.
21. La survenue d’une douleur thoracique fera évoquer
une embolie pulmonaire si :
a. La douleur est intense et migratrice.
b. La douleur est basithoracique et varie avec la position
du patient.
c. La notion d’allongement prolongé est retrouvée.
9
d. L’auscultation cardiaque révèle un souffle diastolique
d’insuffisance aortique.
e. Le taux de D - dimères est supérieur à 500 µg /ml.
22. Une brulure est considérée comme grave si :
a. La surface brulée est supérieure à 20 % de la surface
cutanée chez un adulte.
b. La brulure de 2ème
degré intéressant plus de 10 % de la
surface cutanée totale.
c. Le patient présente une brulure du 2ème
degré à la face
postérieure du tronc.
d. La brulure survient dans un contexte d’accident de la
voie publique.
e. Si le brulé présente une tare sous - jacente.
23. Une personne présentant une brulure est
hospitalisée si :
a. La surface cutanée brulée est supérieure à 20 %.
b. La brulure est secondaire à une électrisation.
c. Elle présente une atteinte respiratoire.
d. Le siège de la brulure est la face.
e. Si la brulure intéresse les deux membres inférieurs.
24. Un noyé classé ‘ petit hypoxique ’ présente :
a. Des signes de détresse respiratoire avec dyspnée,
cyanose et tirage.
b. Des râles crépitants diffus aux deux champs
pulmonaires.
c. Une instabilité cardiovasculaire.
d. Un état de conscience conservé.
e. Une hypothermie profonde.
25. Un arrêt cardio - respiratoire par fibrillation
nécessite : la RF
a. Une libération des voies aériennes supérieures.
b. Un massage cardiaque externe.
c. L’adrénaline.
d. Un défibrillateur semi - automatique en milieu
hospitalier.
e. Un défibrillateur monophasique ou biphasique.
26. L’examen TDM (avec injection de produit de
contraste) d’un patient présentant une pancréatite aigüe
révèle la présence de deux coulées pancréatiques et une
surface nécrotique estimée à 48 % de la surface totale
de la glande, quel est le score de BALTHAZAR ?
a. 4 points.
b. 5 points.
c. 6 points.
d. 8 points.
27. Une pancréatite aigüe sévère se caractérise par :
a. La présence d’une défaillance viscérale.
b. La protéine C - réactive > 150mg /l (valeur du 2ème
jour).
c. Le score de BALTHAZAR supérieur à 4 points.
d. Hyperleucocytose supérieure à 12000 / mm³ et
fréquence cardiaque supérieure à 90 bpm.
e. Température inférieure à 38 ° et fréquence respiratoire
égale à 20 cycles par minute.
28. Patient admis au urgence pour une altération de
l’état de conscience avec une TA = 07 / 04, FC= 120 /
min, FR = 20 cycles /min. Que faite vous dans un
premier temps ?
a. Faire un examen neurologique complet.
b. Rechercher et traiter les signes de détresse vitale.
c. Faire une enquête étiologique.
d. Évaluer la profondeur du coma.
e. Faire un scanner cérébral d’emblée.
29. Votre patient est inconscient, confus, n’ouvre pas les
yeux à la stimulation douloureuse et en position
extension des membres supérieurs et des membres
inférieurs. Quel est son score Glasgow ?
a. 5
b. 6
c. 7
d. 8
e. 9
30. L’examen clinique des yeux montre : pupille en
mydriase unilatérale aréactive avec déviation oblique
des yeux. Quel la lésion la plus probable ?
a. Lésion de la moelle épinière.
b. Lésion du tronc cérébral.
c. Lésion du mésencéphale.
d. Lésion des hémisphères cérébraux.
e. Engagement temporal.
31. Le choc septique se définit comme :
a. T° > 38 °C, GB < 4000 / mm³ et hypo TA.
b. T° < 36 °C, GB < 4000 / mm³ et hypo TA réfractaire
suite à une infection documentée.
c. T° < 36 °C, GB < 12000 / mm³ et hypo TA nécessitant
des catécholamines.
10
d. T° > 38 °C, FC > 90 /min et FR > 20 cycles /min.
e. T° < 38 °C, FR > 20 /min et une infection documentée.
32. Lors d’un traumatisme crânien, les ACSOS sont :
a. Une hyper natrémie > 145 mmol /l.
b. Un pH < 7.38.
c. Une hypoxie PaO2 < 60 mm Hg.
d. Une hyponatrémie.
e. Une hyperglycémie > 10 mmol /l.
33. Le tableau biologique au cours de l’insuffisance
surrénale aigue comporte : la ou les RF
a. Une hémoconcentration, une élévation de la créatinine.
b. Une hypokaliémie et une hyponatrémie.
b. Une hypoglycémie.
d. Une natriurèse conservée.
e. Une hypocalcémie.
34. Les complications et séquelles de l’hypoglycémie : la
ou les RF
a. Maladie d’Alzheimer.
b. Psychose maniacodépressive.
c. Crises comitiales.
d. Amyotrophie distale des quatre membres.
e. Une démence.
35. Les caractéristiques des hypoglycémies : la ou les
RF
a. L’hypoglycémie organique survient après un effort
physique ou à jeun.
b. L’organique est grave et comporte une souffrance
cérébrale.
c. L’organique peut être un signe évocateur d’un
d. Réactionnelle se manifeste par des signes
adrénergiques et peut évoquer un insulinisme.
e. L’hypoglycémie réactionnelle survient en période post
prandiale.
36. L’acidocétose diabétique comporte : la ou les RF
a. Comporte une glycémie entre 1.50 et 2 g /l.
b. La présence d’une cétonurie.
c. Le pH artériel est inférieur à 7.45.
d. Le pH artériel est inférieur à 7 dans les formes sévères.
e. La présence d’une forte glycosurie.
37. La libération des voies aériennes supérieures pour la
réanimation cardio respiratoire :
a. Pour faciliter le massage cardiaque externe.
b. Pour une bonne oxygénation du sang.
c. Pour réduire le temps de la réanimation cardio
respiratoire.
d. Pour lutter contre les fausses routes.
e. Pour faciliter le flux d’air lors du massage cardiaque
externe.
38. Madame B.M âgée de 32 ans, traitée pour un lupus
érythémateux disséminé, à base de corticothérapie à
raison de 1 mg /kg /j. Son poids initial était de 54 kg,
une TA de 105 /65 mmHg au niveau des bras, son bilan
biologique était normal sauf on note la présence d’un
syndrome inflammatoire biologique. La corticothérapie :
a. Modifie la production des anticorps.
b. Les corticoïdes induit l’inhibition de la transcription
de certains gènes.
c. Inhibe la multiplication des lymphocytes CD4.
d. Ils sont diabétogènes.
e. Améliore l’équilibre hydro électrolytique.
39. Après 3 semaines de corticothérapie, la patiente
signale un syndrome polyurique nocturne, des
céphalées occipitales, des troubles visuels, son poids est
actuellement de 56.200 Kg. Une FNS faite en urgence
retrouve des GB à 24000 éléments /mm³. Vous allez
compléter l’examen clinique ainsi que le bilan
biologique et ceci par :
a. Une glycémie veineuse.
b. Une courbe glycémique.
c. Ionogramme sanguin, bilan lipidique.
d. Courbe de température, diurèse des 24 heures.
e. Courbe tensionnelle.
40. Qu’évoquez - vous comme diagnostic chez cette
patiente ?
a. Un trouble de l’équilibre glycémique.
b. Une hypokaliémie avec une hyper natrémie.
c. Une hypertension artérielle.
d. Processus infectieux.
e. Une hypercholestérolémie.
11
1. Le caractère mégaloblastique d'une anémie repose
sur l'interprétation du résultat de l’une des analyses
suivantes. Laquelle ?
A- Détermination du volume globulaire moyen.
B- Examen microscopique des frottis sanguins.
C- Examen microscopique des frottis médullaires.
D- Coloration de Perls appliquée aux frottis médullaires.
E- Dosage de la vitamine B 12 et des folates sériques.
2. Une hyperéosinophilie sanguine est habituelle dans
l'une des affections suivantes. Laquelle ?
A- Hydatidose.
B- Asthme.
C- Tuberculose.
D- Toxidermie.
E- Cytomégalovirus.
Cas clinique :
3. Une femme âgée de 35 ans, sans antécédent
pathologiques particulier hospitalisé en gynécologie, est
prise de vomissement sévère le lendemain d'une
intervention chirurgicale programmée. Elle continue à
vomir abondamment pendant 3 jours apparait qu'on ne
lui a pas prescrit des solutés intraveineuses de
substitution, à l'examen la patiente est asthénique,
déshydratée avec FR à 10 mouvements /mn et une FC
100 bat /mn, les gaz du sang : PH=7.44, PCO2 =
48mmhg, EB = + 4 mmol /l, bicarbonate = 32 mmhg.
Lactate = 1 mmol /l, K = 3 mmol /l, CL = 91 mmol /l,
Na+ = 133 mmol /l ; Hb = 11 g /dl. Décrivez
l'équilibre acido - basique :
A- Acidose respiratoire compensée.
B- Acidose respiratoire décompensée.
C- Acidose métabolique compensée.
D- Acidose métabolique décompensée.
E- Alcalose métabolique compensée.
4. Concernant cette perturbation de l'équilibre acido -
basique, le mécanisme est lié aux :
A- Une perte d'ions H+ uniquement.
B- Une perte d'ions H+, K+, Na+, CL- et d'eau lors des
vomissements.
C- Une perte en Cl- uniquement.
D- Le rein à entretenu l'alcalose on conservant HCO3- à
la place du cl- perdu (électro neutralité).
E- La compensation respiratoire ( PCO2) survient pour
limiter l'alcalémie.
5. Le traitement que vous proposez est :
A- Solutés hydro électrolytiques de substitution (Na+, K+,
cl-).
B- Des solutés bicarbonatés permettraient aux reins
d'excréter plus de HCO3-.
C- Sédation et ventilation mécanique afin d'éviter
l'acidose respiratoire.
D- Remplissage vasculaire sans apport d'électrolytes.
E- S'abstenir et rassurer la malade car son trouble acido
- basique est compense.
6. Devant une patiente âgée de 30 ans a fait 3 crises
convulsives avec un score Glasgow < 5 :
A- Administrer un antiépileptique IV.
B- Intuber la patiente.
C- Mettre sous ventilation artificielle.
D- Assurer la liberté des voies aériennes.
E- Faire en urgence « glycémie, ionogramme et
calcémie ».
7. Quel est l'antidote des intoxications accidentelles par
les raticides ou anti vitamines K ?
A- Atropine.
B- Alcool éthylique.
C- La vitamine K 1.
D. le Gluconate de calcium.
E- Valium.
8. Quel est l'antidote d'une intoxication par
paracétamol ?
A- Gluconate de calcium.
B- Tamgésic.
C- Vitamine B1.
D- Bleu de méthylène.
E- N - acétylcystéine.
9. Dans les syncopes :
A- Le test de Schellong permet de rechercher une
hyperréactivité sino carotidienne.
B- La perte de connaissance est due à une soudaine
anoxie cérébrale globale et passagère.
C- Le test d'inclinaison recherche une cause réflexe.
21 27 – 10 – 2020
12
D- Le massage sino carotidien recherche une
hypotension orthostatique.
E- L'origine vaso vagale est suspectée quand la syncope
survient après un stress émotionnel.
10. Dans les hypothermies modérées :
A- La peau est livide.
B- Les frissons persistent.
C- Les signes neurologiques sont absents.
D- La fréquence cardiaque et la pression artérielle sont
augmentées.
E- L'ECG montre l'onde J d'Osborn.
11. Le coup de chaleur d'exercice :
A- Est une hyperthermie maligne environnementale.
B- Comporte souvent une rhabdomyolyse.
C- Survient chez le sujet jeune mal acclimaté après un
effort intense.
D- Le refroidissement doit être prudent et progressif.
E- Les antipyrétiques luttent contre l'hyperthermie.
Cas clinique
12. Monsieur B T âgé de 75 ans originaire et demeurant
à Sidi Bel Abbes, se présente aux urgences accompagné
de son entourage pour : une désorientation temporo
spaciale, avec un comportement verbal anormal.
L'examen clinique retrouve une fièvre à 39° C,
obnubilation, diarrhée, douleurs abdominales pâleur
cutanéo muqueuse, et un strabisme. Labstix : protéine ++,
sang +, glucose +++. Au moment de l'examen clinique
(CNQ) le malade présente des convulsions tonico
cloniques généralisées avec émission d'urine.
Quel est votre conduite à tenir urgente ?
A- Hospitalisation + antibiothérapie.
B- Hospitalisation + scanner cérébral + ponction
lombaire (PL).
C- Hospitalisation + conditionnement + valium +
scanner cérébral + PL.
D- Pas de PL car Il y a les convulsions (contre -
indication absolue).
E. Ce malade ne nécessite pas d'hospitalisation.
13. Après conditionnement du malade, un scanner
cérébral sans injection est réalisé : normal, PL : 260 elm
/mm³, lymphocytaire à 70 %, protéinorrachie à 3 g,
glucorrachie à 0.6 g (glycémie 8.8 g /l, bactériologie et
culture en cours.
Quel diagnostic (Dg) évoquez - vous ?
A- Méningite purulente à pneumocoque.
B- Méningite virale bénigne.
C- Méningo encéphalite tuberculeuse.
D- Méningo encéphalne listerienne
E- Méningo encéphalite herpétique.
14. Le bilan biologique objective : FNS les globules
blancs à 3000 elt /mm Hba 10 g /dl, plaquettes à 101000
elt /mm, téléthorax : des images micronodulaires diffuses
aux deux champs pulmonaires, au fond d'ail une uvéite
droite, IDRt + à 15 /15, et 1 IRM cérébrale des micro
abcès à centre nécrosé, à prédominance occipitale,
arachnoïdite basilaire, EEG souffrance cérébrale diffuse
à prédominance occipitale, échographie abdominale :
épaississement de l’iléale terminale avec des
adénopathies mésentériques volumineuses à centre
nécrosé. Quel Dg évoques - vous ?
A- Méningo - encéphalite tuberculeuse.
B- Méningo - encéphalite listérienne.
C- Méningo - encéphalite herpétique.
D- Méningo - encéphalite tuberculeuse.
E- Toutes les réponses sont justes.
15. Quel traitement entamez - vous en plus du valium ?
A- RHZE.
B- RHZ.
C- Claforan à dose méningée.
D- RHZE + corticoïdes.
E- Toutes les réponses sont justes.
16. Vu la localisation cérébrale, pulmonaire,
ophtalmique et digestive, la durée du traitement sera de :
A- 3 mois.
B- 6 mois.
C- 9 mois.
D- 12 mois.
E- En fonction de la bonne évolution sur l'examen CNQ
et para CNQ avec un minimum de 9 mois.
17. Une brulure est évaluée sur les critères suivants :
A- L'étendue de surface cutanée brûlée.
B- La profondeur des brûlures.
C- Le délai de prise en charge du brulé.
D- La localisation de la brûlure.
E- Le mécanisme de la brulure.
13
18. La prise en charge initiale d'un brûlé grave consiste
en ce qui suit :
A- Dévêtir le brûlé.
B- Rechercher des signes de détresse.
C- Refroidir la brûlure pendant 20 minutes.
D- Faire rapidement des pansements gras.
E- Traiter la douleur.
19. Devant un patient présentant une douleur
thoracique, les éléments permettant de nous orienter
vers une embolie pulmonaire sont :
A- La notion d'un alitement récent.
B- Des pouls asymétriques à l'examen clinique.
C- La notion d'une chirurgie récente.
D- Des signes de cœur droit è l'ECG.
E- Un taux de troponine élevé dès la e heure après la
survenue de la douleur thoracique.
20. Un noyé classé « Grand hypoxique » présente :
A- Des troubles de la conscience.
B- Une hypothermie modère.
C- Des râles sibilants diffus aux deux champs
pulmonaires.
D- Une tachycardie sans aucune anomalie cardio -
vasculaire.
E- Des signes de détresse respiratoire.
21. La libération des voies aérienne supérieures pour la
réanimation cardio - respiratoire :
A- Pour faciliter le massage cardiaque externe.
B- Pour une bonne oxygénation du sang.
C- Pour faciliter le flux d’air lors du massage cardiaque
externe.
D- Pour réduire le temps de la réanimation cardio -
respiratiare.
E- Pour lutter contre les fausses routes.
22. Un arrêt cardio - respiratoire par fibrillation
nécessite : (la réponse fausse) :
A- Une libération des voies aérienne supérieures.
B- Un massage cardiaque externe.
C- Un défibrillateur monophasique ou biphasique.
D- L'Adrénaline.
E- Défibrillateur semi - automatique en milieu hospitalier.
23. L'importance de la rabdomyolyse dans l'ischémie
aigue du membre dépend :
A- Du retard du traitement médical.
B- La masse musculaire du membre ischémié.
C- Les antécédents du patient.
D- L’hyperkaliémie.
E- La durée de l'ischémie.
24. Le diagnostic clinique d’une ischémie aigue d'un
membre se, manifeste par :
A- Une chaleur.
B- Une douleur.
C- Une pâleur.
D- Une absence de pouls.
E- Une rougeur.
25. Devant un arrêt cardio - respiratoire, il faut
rechercher :
A- Le pouls radial et la veine jugulaire.
B- Les pouls centraux.
C- Le pouls radial el carotidien.
D- Le pouls carotidien et / ou fémoral.
E- Le pouls radial et fémoral.
26. Pour améliorer le pronostic d’un arrêt cardio -
respiratoire, les bases de réanimation doivent être
commencées :
A- En milieu public par les témoins.
B- Par les équipes des pompiers.
C- Par l'équipe de la protection civile.
D- Par les équipes du SAMU.
E- Au niveau des SAUV.
27. Un patient présente une natrémie à 113 mmo1/1,
une créatininémie à 11 mg / l et une TA à 98 / 54 mmHg,
quelques jours après l'augmentation de son Lasilix de
40 à 80 mg / j. Il présente :
A- Une déshydratation intra cellulaire.
B- Une hyperhydratation intra cellulaire.
C- Une hypovolémie.
D- Une hyponatrémie de dilution.
E- Une poussée d'insuffisance rénale signe.
28. L’insuffisance rénale aigue organique se manifeste
par :
A - Rapport NA / K (urinaire inférieur à 1.
B- Rapport créatinine U / P inférieur à 20.
14
C- Fraction d'excrétion de sodium supérieur à 1.
D- Natriurèse élevée.
E- Reins de taille et d'écho structure normale.
29. Le syndrome néphrotique impur se définie par la
présence de (RF) :
A- Protéinurie massive supérieur à 3 g / L.
B- Hématurie.
C- Hypo albuminémie inférieur à 30 g / 1.
D- Hypo protidémie inférieur à 60 g /l.
E- Insuffisance rénale aigue fonctionnelle.
30. Devant une pancréatite aigüe chez l'adulte on doit
rechercher en premier lieu deux affections parmi les
suivantes : lesquelles ?
A- Alcoolisme.
B- Une ascaridiose de la voie biliaire principale.
C- Une distomatose hépatique.
D- Un syndrome ourlien récent.
E- Une lithiase biliaire à petits calcula.
31. Dans la pancréatite aigüe, les signes suivent sont
nécessaires comme des critères de gravité, sauf un :
lequel ?
A- Age 55 ans.
B- Hyperglycémie.
C- Hyper calcémie.
D- Acidose.
E- Hypoxie.
32. Parmi les examens morphologiques suivants, lequel
permet d'apprécier la nécrose pancréatique au cours
d'une pancréatite aiguë grave ?
A- Cholangiographie rétrograde.
B- Artériographie cælio - mésentérique.
C- Échographie.
D- Tomodensitométrie avec produit de contraste.
E- Scintigraphie au Tc 99.
33. Cet examen morphologique est réalisé :
A- Au début de la symptomatologie.
B- 6 heures après le début de la symptomatologie.
C- Une semaine après le début de la symptomatologie.
D- 48 - 72 heures après le début de la symptomatologie.
E- 12 heures après le début de la symptomatologie.
34. Les complications immédiates de la pancréatite
aigue
A- Le pseudo kyste du pancréas.
B- La surinfection de la coulée pancréatique.
C- L'hémorragie.
D- Les défaillances viscérales.
E- La perforation d'un organe creux.
35. Des chiffres de pression artérielle à 200 / 110 mm
Hg sont retrouvés chez un patient de 46 ans. Quelle est
la circonstance clinique où cette HTA doit être
respectée ? Les réponses fausses :
A- Accident vasculaire cérébral ischémique.
B- Dissection aortique.
C- Infarctus du myocarde â la phase aigüe.
D- Accident vasculaire cérébral ischémique à
thrombolyse.
E- Accident vasculaire cérébral hémorragique.
36. Dans l'AAG, l'obstruction bronchique très
importante a pour conséquences :
A- Diminution de rendement des muscles respiratoire.
B- Une hyperinflation pulmonaire et dynamique.
C- Une altération des échanges gazeux.
D- L'augmentation du travail des muscles respiratoires.
E- Une diminution des résistances des voies aériennes.
37. Parmi les signes de neuroglycopénie : (RF)
A- Troubles intellectuels : troubles de l'attention, de la
mémoire, désorientation temporo - spatiale.
B- Troubles du caractère : irritabilité, excitation ou
apathie, pleurs.
C- Troubles sensoriels : diplopie, hallucinations.
D- Troubles neurologiques troubles de la conscience,
convulsions.
E- Pâleur, tremblements.
38. Quel sont les symptômes d'alerte annonciateurs
d'une acidocétose diabétique (RF) :
A- Altération de l’état général.
B- Troubles digestifs : nausées vomissement.
C- Déshydratation globale.
D- Troubles neurologiques (confusion, coma, épilepsie).
E- Dyspnée de Kussmaul constante.
15
Cas clinique
39. Une femme âgée de 19 ans hospitalisée pour lésions
vertébrales d'origine tuberculeuse, le bilan hépatique une
semaine après l'administration du traitement retrouve des
ALAT augmentés à 14 fois la normale et les ASAT 7 fois
la normale. Quel conduite doit - on faire :
A- Arrêt des antituberculeux.
B- Arrêt de l'isoniazide uniquement.
C- Arrêt de l'étambuthol et pyrazinamide.
D- Arrêt des antituberculeux jusqu'à normalisation du
bilan hépatique puis introduction des antituberculeux
sans isoniazide.
E- Arrêt des antituberculeux jusqu'à normalisation du
bilan hépatique puis introduction des antituberculeux
sans pyrazinamide.
40. Chez cette même patiente doit - on contrôlé le bilan
hépatique après réintroduction du traitement :
A- Chaque semaine.
B- Tout les deux jours.
C- Chaque semaine pendant les deux premier mois.
D- Calculer le rapport ASAT / ALAT.
E- Chaque quinze jour pendant le premier mois.
Patient amené à l’urgence pour un traumatisme
crânien suite à un AVP avec une TA = 07/04,
FC =120 /mn, FR = 20 cycles /mn.
1. Que faites - vous dans un premier temps ?
a. Faire un examen neurologique complet.
b. Rechercher et traiter les signes de détresse vitale.
c. Faire une enquête étiologique.
d. Évaluer la profondeur du coma.
e. Faire un scanner cérébral.
Votre patient est inconscient, confus, n’ouvre pas les
yeux à la stimulation douloureuse et en position
extension des membres supérieurs et des membres
inférieurs.
2. Quel est son score de Glasgow ?
a. 5
b. 6
c. 7
d. 8
e. 9
3. Une hémorragie digestive est dite basse lorsque son
origine est située en aval :
a. Du pylore
b. De la jonction 1er Duodénum et 2
ème Duodénum.
c. De l’angle duodéno - jéjunal.
d. De la jonction jéjunum - iléon.
e. De la valvule de Bauhin.
4. Le choc septique se définit comme :
a. T° > 38° C, GB < 4000 /mm³ et Hypo TA.
b. T° < 36° C, GB < 4000 /mm³ avec une Hypo TA
réfractaire suite à une infection documentée.
c. T° < 36° C, GB < 12000 /mm³ avec une Hypo TA
nécessitant des catécholamines.
d. T° > 38° C, FC > 90 /mn et FR > 20 cycles /mn.
e. T° < 38° C, FR > 20 cycle /mn et une infection
documenté.
5. La libération des voies aérienne supérieures pour la
réanimation cardio - respiratoire (la ou les réponses
justes) :
a. Pour faciliter le massage cardiaque externe.
b. Pour une bonne oxygénation du sang.
c. Pour faciliter le flux d’aire hors du massage cardiaque
externe.
d. Pour réduire le temps de la réanimation cardio -
respiratoire.
e. Pour lutter contre les fausses routes.
6. Un arrêt cardio - respiratoire par fibrillation
nécessite : (la réponse fausse)
a. Une libération des voies aérienne supérieures.
b. Un massage cardiaque externe.
c. Un défibrillateur monophasique ou biphasique.
d. L’adrénaline.
e. Un défibrillateur semi - automatique en milieu
hospitalier.
7. L’importance de la rhabdomyolyse dans l’ischémie
aiguë du membre dépend :
a. Du retard du traitement médical.
b. La masse musculaire du membre ischémié.
c. Les antécédents du patient.
d. Hyperkaliémie.
e. La durée de l’ischémie.
S1 17 – 11 – 2019
16
8. Le diagnostic clinique d’une ischémie aiguë d’un
membre se manifeste par :
a. Une chaleur.
b. Une douleur.
c. Une pâleur.
d. Une absence de pouls.
e. Une rougeur.
9. Devant un arrêt cardio-respiratoire, il faut
rechercher
a. Le pouls radial et la veine jugulaire.
b. Les pouls centraux.
c. Le pouls radial et carotidien.
d. Le pouls carotidien et / ou fémoral.
e. Le pouls radial et fémoral.
10. Pour améliorer le pronostic de l'arrêt cardio -
respiratoire, les bases de réanimation doit être
commencé :
a. En milieu publique par les témoins.
b. Par les équipes de pompiers.
c. Par l’équipe de la protection civile.
d. Par les équipes du SAMU.
e. Au niveau des SAUV.
11. Les réactions transfusionnelles immédiates
comportent : (réponse fausse)
a. Réactions transfusionnelles hémolytiques.
b. Surcharge en fer.
c. Réactions fébriles non hémolytiques.
d. Réactions allergiques et anaphylactiques.
e. Infections bactériennes.
12. Dans les réactions transfusionnelles hémolytiques
immunologiques aiguës : (réponses fausses)
a. L’origine de l’hémolyse est une destruction physique
ou chimique des hématies.
b. L’origine immunologique est due à un conflit antigène
anticorps.
c. Les anticorps naturels type IgM donnent une hémolyse
intra - tissulaire ou intra splénique.
d. Les anticorps immuns type IgG donnent une hémolyse
intravasculaire.
e. Les composants vasomoteurs du complément sont
responsables de l’état de choc.
13. Dans les syncopes neuro - cardiogéniques dites
réflexes : RF
a. Les syncopes vaso-vagales sont dues à un stress
émotionnel ou orthostatique.
b. L’origine vaso-vagale peut être confirmé par un test
d'inclinaison.
c. Le test de Schellong reproduit l’hyperréactivité sino-
carotidienne.
d. Le massage sino-carotidien n’a aucune contre-
indication.
e. Elles ont des mécanismes physiopathologiques
différents.
14. Dans les hypothermies modérées : RJ
a. La peau est livide.
b. En dessous de 32°C les frissons persistent.
c. Les signes neurologiques sont absents.
d. Fréquence cardiaque et pression artérielle sont
augmentées.
e. Les pupilles sont en mydriase bilatérale.
15. Le coup de chaleur d’exercice : RJ
a. Est une pathologie environnementale.
b. La charge thermique est exogène.
c. La température de consigne du centre
thermorégulateur est décalée vers le haut.
d. La thermogénèse est réduite.
e. La thermolyse est dépassée.
16. Le choc hémorragique : RF
a. Fait partie des chocs quantitatifs.
b. Son diagnostic nécessite des examens complémentaires.
c. La bradycardie est un signe de gravité.
d. Les marbrures sont le fait d’une vasodilatation cutanée.
e. Le temps de recoloration cutané est diminué.
17. Le choc cardiogénique de type obstructif peut être
causé par : RJ
a. Une embolie pulmonaire.
b. Une insuffisance mitrale par rupture de cordage.
c. Une thrombose de prothèse mécanique.
d. Une tamponnade.
e. Un infarctus du ventricule droit.
17
Cas clinique
Un homme âgé de 52 ans est exploré dans le service
d’urologie pour un problème récurrent des calculs
rénaux, il se plait également d’une fatigue modérée et de
léthargie. Il n’y a pas d’antécédents de perturbation
gastro - intestinale et il ne suit aucun traitement
médicamenteux de façon régulière. L’examen clinique est
sans particularité.
Gaz du sang : H + = 44 ηmol/l, pH = 7.35 pCO 2 = 31.5
mmHg, HCO 3 = 18 mmol/l, Lactate = 1 mmol/l, K = 2.5
mmol/l, Na = 137 mmol/l, Cl = 120 mmol/l, Glucose = 4
mmol/l, Ca + = 1 mmol/l, pO 2 = 99 mmHg, SO 2 =
99 %.
18. Décrivez l’équilibre acido - basique : RJ
a. Alcalose métabolique compensée.
b. Alcalose métabolique décompensée.
c. Acidose métabolique décompensée.
d. Acidose métabolique compensée.
e. Les analyses sont probablement faites sur échantillon
veineux et non artérielle ; faut répéter les GDS.
19. Concernant le trou anionique plasmatique chez ce
patient : RJ
a. Trou anionique normal et acidose métabolique
hyperchlorémique.
b. Trou anionique augmenté en faveur d’acidose
métabolique par insuffisance rénale.
c. Trou anionique n’a aucun intérêt car il s’agit
d’acidose respiratoire.
d. Trou anionique normal par déperdition du CL.
e. Le Cl- est un anion dosé retenus en supplément pour
garder l'électro neutralité.
20. Quel est le diagnostic le plus vraisemblable ?
a. Acidocétose du jeune ou alcoolisme.
b. Acidose tubulaire rénale de type 4, et acidification des
urines expliquant les calculs rénaux.
c. Syndrome de Conn.
d. Perte digestive du HCO3 - et précipitation du calcium
dans l’urine alcaline formant des calculs.
e. Acidose tubulaire rénale de type 1, urine alcaline
expliquant la précipitation du calcium et formation des
calculs.
21. Le patient développe un iléus paralytique avec
vomissement incoercible et un trouble du rythme
probablement lié à une hypokaliémie, expliquez le
trouble ionique ? les RJ
a. L’hypokaliémie provient de l’échange d’ions Na +
contre des ions K + à la place des ions H +.
b. Sous l’effet d’aldostérone les ions Cl - sont retenus aux
dépens d’ions K +.
c. L’alcalose métabolique est la seule explication pour
cette hypokaliémie.
d. Déplétion potassique suite à une diurèse osmotique.
e. Le vomissement chez ce patient risque de provoquer
une déperdition électrolytiques importante et une
alcalose métabolique.
22. Une thrombopénie est observée au cours de :
a. La leucémie aiguë.
b. La leucémie lymphoïde chronique stade A.
c. L’aplasie médullaire.
d. La leucémie myéloïde chronique en phase chronique.
e. L’hypersplénisme.
23. L’hyperleucocytose à poly nucléose éosinophile est
observée au cours de :
a. Rhinite allergique.
b. Aplasie médullaire.
c. Tabagisme chronique.
d. Tuberculose.
e. Lupus érythémateux disséminé.
24. Quels sont les armes thérapeutiques utilisées dans
le traitement du PTI :
a. Agonistes du récepteur de la thrombopoïétine.
b. Les AINS.
c. Les corticoïdes.
d. La splénectomie.
e. Les immunoglobulines polyvalentes.
25. La lymphocytose normale chez l’adulte est comprise
entre :
a. 2500 et 7500 /mm³.
b. 100 et 500 /mm³.
c. 100 et 1000 /mm³.
d. 1500 et 4000 /mm³.
e. 0 et 50 /mm³.
18
26. Lesquelles de ces valeurs sont pathologiques ?
a. Hb = 11 g /dl chez l’homme.
b. Ht = 58 % chez l’homme.
c. VGM = 85 fl chez l’adulte.
d. VGM = 110 fl chez un adulte.
e. Lymphocytes = 3500 éléments /mm³.
27. QCM : la ou les réponses justes :
Devant un patient victime d’un état de mal épileptique
scoré < 7. Quelle est votre prise en charge ?
a. Assurer la liberté des voies aériennes.
b. Intuber.
c. Mise sous ventilation artificielle.
d. Ne pas administrer un antiépileptique IV.
e. Faire un ionogramme, glycémie et calcémie.
28. Quel est l’antidote des intoxications accidentelles
par le méthanol ? (la RJ)
a. Atropine.
b. Gluconate de calcium.
c. Alcool éthylique.
d. Sulfate de protamine.
e. Glucagon.
29. Quel est l’antidote d’une intoxication volontaire par
les morphiniques ?
a. Valium.
b. Adrénaline.
c. N - acétylcystéine.
d. Naloxone.
e. Vitamine C.
30. Quel est l’antidote d’une intoxication par
paracétamol ?
a. Gluconate de calcium.
b. Temgésic.
c. Vitamine B1.
d. Bleu de méthylène.
e. N - acétylcystéine.
31. Quel est l’antidote des intoxications accidentelles
par les raticides ou anti vitamines K ?
a. Atropine.
b. Alcool éthylique.
c. La vitamine K1.
d. Le gluconate de calcium.
e. Valium.
32. Femme obèse, 52 ans, HTA chronique, sous trt,
consulte en urgence pour une poussée hypertensive, TA :
19 / 11 avec des épistaxis et des céphalées modérées.
Quel traitement injectable adopter ?
a. LOXEN.
b. BETA BLOQUANT
c. CATAPRESSAN
d. D.NITRES
e. Pas de traitement injectable.
33. Des chiffres de PA à 210 / 120 mmHg sont
retrouvés chez une femme de 46 ans. Quelle est la
circonstance clinique ou cette HTA doit être respectée ?
a. Un accident vasculaire cérébral hémorragique.
b. Si la thrombolyse est envisagée.
c. Infarctus du myocarde à la phase aiguë.
d. Accident vasculaire cérébral ischémique.
e. Œdème aigu du poumon cardiogénique.
34. Dans l’asthme aigu grave, les β2 - agonistes
administrés par voie inhalée, ont une action
bronchodilatatrice nette après ?
a. 3 à 5 minutes.
b. 15 à 20 minutes.
c. 30 à 40 minutes.
d. 60 à 90 minutes.
e. 4 à 6 heures.
35. Les étiologies de l'acidocétose diabétique : RJ
a. Infections (quelle que soit la porte d’entrée associée à
une apyrexie).
b. Infections (quelle que soit la porte d’entrée associée à
une fièvre).
c. Cystite, grossesse, syndrome coronarien, médicaments
(corticoïdes).
d. Diabète de novo, arrêt de l’insulinothérapie chez le
diabétique traité.
e. Toutes ces réponses sont justes.
36. Une acidose diabétique doit être évoquée devant :
RF
a. Syndrome polyuro / polydipsique, amaigrissement.
b. Un coma constant, d’installation rapide.
c. Torpeur, confusion, troubles de la conscience.
d. Douleurs abdominales (abdomen pseudo-chirurgical,
vomissements).
e. Polypnée, dyspnée de Kussmaul.
19
37. Le diagnostic d’acidocétose : RF
a. Glycémie veineuse > 2.5 g/l
b. pH artériel < 7.30
c. Bicarbonates plasmatiques élevées dans le plasma.
d. Corps cétoniques positifs à la bandelette urinaire.
e. La mesure capillaire de la cétonémie (dosage du Bêta -
hydroxy - butyrate) est systématique pour confirmer le
diagnostic.
38. L’avis du médecin réanimateur est nécessaire : RF
a. Dès la mise en évidence de signes de gravité
(ventilatoire, circulatoire, neurologique).
b. Si critères de gravité biologique (pH < 7, bicarbonates
< 10 mmol/l).
c. Hypoglycémies (glycémies < 0.55 g/l) répétées au
cours du traitement.
d. Devant des signes de choc (Pression Artérielle
Systolique < 90 mmHg, pouls > 120 pulsations /min,
marbrures des extrémités dégradation de l’état clinique
du malade).
e. Devant l’apparition d’une fièvre, absente au début de
la prise en charge.
39. Parmi les étiologies de l’hypoglycémie : RF
a. Insuline (en cas de jeûne, d’erreur de dose).
b. Certains ADO (en cas d’insuffisance rénale chez le
patient âgé notamment : sulfamides (Daonil ®,Diamicron
® , Amarel ® ), glinides (Novonorm ® ).
c. Hypoglycémies induites par la prise cachée d’insuline
ou de sulfamides.
d. Le stress, l’intoxication alcoolique aiguë, l’insuffisance
hépatocellulaire sévère.
e. La dénutrition, le jeûne prolongé, la grossesse,
l’intoxication tabagique.
40. Madame F N âgé de 31 ans présente une biscérite
tuberculeuse, aux antécédents de cytolyse hépatique
objectivé sur un ancien bilan révélant des ALAT > 2
fois la normale, notre conduite est la suivante sauf :
a. Introduction des antituberculeux.
b. Introduction des antituberculeux après la demande du
rapport ALAT / PA.
c. Demande d’une sérologie hépatique et échographie
des voies biliaires.
d. On préconise la moitié de la dose des antituberculeux.
e. On préconise un traitement sans rifampicine.
41. Si le bilan hépatique a été fait retrouve ALAT
augmenté à deux fois la normale ainsi que les
phosphatases alcalines et le rapport ALAT / PA est > 5
fois, ce bilan correspond à :
a. Une cytolyse hépatique.
b. Une cholestase hépatique.
c. Une insuffisance hépatique.
d. Une atteinte mixte cytolytique et cholestatique.
e. Une cytolyse associée à une insuffisance
hépatocellulaire.
42. Le traitement a été introduit et un mois après la
patiente présente sur son bilan de control les paramètres
suivants : ALAT = 180 UI/ml, phosphatase alcaline =
80 UI / ml, On préconise :
a. Réduire la dose des antituberculeux.
b. Administrer la dose toute les 48 heures.
c. Maintenir la même dose.
d. L’atteinte est cytolytique on maintient la même dose.
e. Le rapport ALAT / PA oriente vers la cytolyse sévère.
43. Un patient âgé des 40 ans sans antécédents
particulières se présente aux UMC pour des convulsions
fébriles. Quelle conduite à tenir préconisée vous ?
a. Conditionnement, scanner cérébral, ponction lombaire.
b. Hospitalisation, conditionnement, scanner cérébral,
ponction lombaire.
c. Fond d’œil, ponction lombaire.
d. Traitement probabiliste.
e. Fond d’œil.
44. Chez ce même patient, le scanner cérébral était en
faveur de plage d’encéphalite, la ponction lombaire était
comme suite : liquide claire à 100 elt/mm 3 avec 80 elt
lymphocyte la protéinorrachie à 1 g/l, la glucorrachie à
0.6 g/l en sachant que la glycémie concomitante à 1 g/l.
L’examen bactériologique était négatif.
Donner une interprétation de ces données.
a. Méningo - encéphalite aiguë à liquide claire à
prédominance lymphocytaire, normoglycorrachique,
normoprotéinorrachique.
b. Méningo - encéphalite aiguë à liquide clair à
prédominance lymphocytaire hyperprotéinorrachique
normoglycorrachique.
c. Méningite aiguë à prédominance lymphocytaire
hyperprotéinorrachique hypoglycorrachique.
20
d. Méningo - encéphalite subaiguë à liquide clair
bactérienne.
e. Toutes les réponses sont fausses.
45. Quel diagnostic vous semble le plus probable chez
ce patient ?
a. Méningoencéphalite herpétique.
b. Méningoencéphalite zostérienne.
c. Méningite à pneumocoque.
d. Méningoencéphalite à pneumocoque.
e. Aucune réponse juste.
46. Quel traitement étiologique instaurez - vous en
urgence ?
a. Traitement antiviral à base d’Aciclovire (21 j).
b. Traitement antituberculeux (RHZ).
c. Traitement antituberculeux (RHZE).
d. Les céphalosporines de 3ème
génération.
e. Les céphalosporines de 1ère
génération.
47. Cochez les bonnes indications :
a. Péni G en 1 ère intention pour un érysipèle de la jambe
(strepto B hémolytique).
b. Péni M en 1 ère intention pour une furonculose.
c. Céphalosporine de 1ère
génération en 1ère
intention
pour une méningo-encéphalite listérienne.
d. Céphalosporine de 1ère
génération en 1ère
intention
pour un sepsis à Listeria monocytogene.
e. RHZ en première intention pour une
méningoencéphalite tuberculeuse.
48. En quel rythme sont administrés ces antibiotiques ?
a. Rifampicine en 1 seule prise.
b. Sulfamides en une seule prise.
c. Cyclines en une seule prise.
d. Gentamycine en une seule prise.
e. Péni G en perfusion continue.
49. Citez la ou les étiologies d’un diabète insipide
néphrogénique :
a. Néphrite interstitielle.
b. Sarcoïdose.
c. Hypocalcémie.
d. Hypokaliémie.
e. Méningo - encéphalite.
50. Parmi ces maladies vasculaires, lesquelles peuvent
être responsables d’une insuffisance rénale aiguë ?
a. Embolie artérielle rénale.
b. Dissection de l’artère rénale.
c. Thromboses des veines rénale.
d. Néphroangiosclérose.
e. Athéromes des artères rénale.
51. Un patient présente une natrémie à 113 mg/l, une
créatininémie à 12 mg/l, TA 98/54 mmHg, quelques
heures après l'augmentation de son Lasilix de 40 mg à
80 mg, il présente :
a. Déshydratation intracellulaire.
b. Hyperhydratation intracellulaire.
c. Hyponatrémie dilution.
d. Hypovolémie.
e. Poussée d’insuffisance rénale aiguë.
52. Un noyé classé “ grand hypoxique ” présente :
a. Des signes de détresse respiratoire avec dyspnée,
cyanose et tirage.
b. Quelques râles crépitants aux bases.
c. Des troubles de la conscience.
d. Une instabilité cardio - vasculaire.
e. Une légère hypothermie.
53. La prise en charge d’un noyé classé “ petit
hypoxique ” consiste en ce qui suit :
a. Une vidange gastrique.
b. Une ventilation artificielle systématique.
c. Correction d’un état d’acidose respiratoire.
d. Une antibiothérapie anti - BGN, anti - anaérobies.
e. Traitement de l’OAP lésionnel au moyen d’une
assistance ventilatoire.
54. La gravité d’une morsure de serpents est liée à :
a. aux caractéristiques du serpent.
b. à la quantité de venin injectée.
c. à la localisation de la morsure.
d. à l'âge de la victime.
e. au délai de la prise en charge de la victime.
55. Un sujet victime d’une morsure de serpents est
classé grade 2 présente :
a. Un œdème étendu.
b. Une altération sévère de la conscience.
c. Des hémorragies graves.
21
d. Une hypotension artérielle passagère.
e. Un urticaire généralisée.
56. Une morsure de scorpion est dite de Classe 1 quand
le patient présente :
a. Des fourmillements du membre siège de la piqûre.
b. Une douleur très intense.
c. Une hypotension artérielle majeure.
d. Des râles crépitants à l’auscultation pulmonaire.
e. Aucun des signes cités précédemment.
57. Un sujet victime d’une morsure de scorpions classe
1 bénéficie de ce qui suit :
a. Un traitement antibiotique systématique.
b. Une vaccination antitétanique systématique.
c. Un traitement antalgique et corticoïde.
d. Une sérothérapie anti scorpionique par voie
intraveineuse.
e. Une surveillance d’au moins 12 heures dans un service
d’urgence.
1. Devant une pancréatite aiguë chez l’adulte on doit
rechercher en premier lieu deux affections parmi les
suivantes, lesquelles ?
a. Un alcoolisme.
b. Une ascaridiose de la voie biliaire principale.
c. Une distomatose hépatique.
d. Un syndrome ourlien récent.
e. Une lithiase biliaire à petits calculs.
2. Dans la pancréatite aiguë, les signes suivants sont
considérés comme des critères de gravité sauf un,
lequel ?
a. Age de 55 ans.
b. Hyperglycémie.
c. Hypercalcémie.
d. Acidose.
e. Hypoxie.
3. Parmi les examens morphologiques suivants, lequel
permet d’apprécier la nécrose pancréatique au cours
d’une pancréatite aiguë grave ?
a. Cholangiographie rétrograde.
b. Artériographie cælio - mésentérique.
c. Échographie.
d. Tomodensitométrie avec produit de contrastes.
e. Scintigraphie au Tc 99.
4. Les complications immédiates de la pancréatite aiguë:
a. Le pseudo kyste du pancréas.
b. La surinfection de la coulée pancréatique.
c. L’hémorragie.
d. Les défaillances viscérales.
e. La perforation d’un organe creux.
5. Dans l’anémie par carence en vitamine B12 :
a. Le VGM est le plus souvent supérieur à 100 fl.
b. Les réticulocytes sont souvent supérieurs à 150 G / l.
c. Il n’existe jamais de neutropénie.
d. Les PNN présentent une hyper segmentation nucléaire.
e. La moelle est pauvre.
6. Le bilan biologique d’un déficit congénital combiné
en facteurs II et V est le suivant :
a. TP bas isolé.
b. TCA allongé et TP normal.
c. TS allongé.
d. TCA et TQ allongé.
e. D - Dimères élevés.
7. Au cours des anémies hémolytiques d’origine
mécanique, il est habituel de retrouver sur le FSP :
a. Drépanocytes.
b. Sphérocytes.
c. Schizocytes.
d. Acanthocytes.
e. Dacryocytes.
8. Dans l’asthme aigu très grave :
a. PaCO2 > 50 mmHg / PaO2 > 80 mmHg / pH = 7.35.
b. DEP < 20 % théorique.
c. Cyanose, bradypnée, bradycardie, silence
auscultatoire, coma.
d. PaO2 > 60 %, DEP < 30 % théorique, pH = 7.40.
e. Aucune réponse juste.
9. Dans les accidents vasculaires cérébraux une TA à
21 / 12 doit être respecté sauf :
a. Si la TA dépasse 22 / 12.
b. S’il s'agit d’un accident cérébral hémorragique.
c. Si une thrombolyse cérébrale est envisagée.
Ratt 11 – 09 – 2019
22
d. En cas d’accident vasculaire ischémique transitoire.
e. Aucune réponse juste.
10. Des chiffres de pression artérielle à 210 / 110
mmHg sont retrouvés chez une femme de 46 ans. Quelle
est la circonstance clinique ou cette HTA doit être
respectée ?
a. Grossesse.
b. Dissection aortique.
c. Infarctus du myocarde à la phase aiguë.
d. Accident vasculaire cérébral ischémique.
e. Toutes les réponses sont fausses.
11. L’occlusion intestinale aiguë peut entraîner : (la ou
les réponses fausses)
a. Un choc hypovolémique.
b. Un choc cardiogénique.
c. Un choc septique.
d. Un choc anaphylactique.
e. Toutes les réponses en dessus sont justes.
12. La prise en charge de polytraumatisé dans sa phase
pré hospitalière est axée sur : (la ou les réponses fausses)
a. Assurer la survie.
b. Ébaucher un bilan lésionnel.
c. Médicalisation et conditionnement rapide.
d. Orientation et transfert.
e. Toutes les réponses sont fausses.
13. Le diagnostic biologique de l’acidocétose diabétique
comporte : (la ou les réponses fausses)
a. Glycémie à 3 g / l, une albuminurie, une créatininémie
élevée et une glycosurie positive.
b. Glycémie élevée, pH sanguin normal, réserves
alcalines normales et cétonurie (traces).
c. Hyperglycémie à 7 g / l, osmolarité élevée, pH sanguin
normal.
d. Hyperglycémie, cétonurie positive, pH sanguin abaissé,
les réserves alcalines abaissées.
e. Hyperglycémie, pH sanguin et réserves alcalines
normaux, hyponatrémie, déshydratation globale.
14. Les hypoglycémies surviennent : (la ou les réponses
fausses)
a. Uniquement sous insuline à action rapide.
b. Uniquement sous insuline et sulfamides
hypoglycémiants.
c. Uniquement chez les diabétiques.
d. Uniquement après effort physique, ou une situation de
stress.
e. Chez les diabétiques et chez les non diabétiques.
15. L’insuffisance surrénalienne aiguë : (la ou les
réponses fausses)
a. Le facteur déclenchant peut - être une simple angine
ou une fausse fibroscopie digestive.
b. Les laxatifs et les diurétiques ne constituent aucun
danger chez l’insuffisant surrénalien.
c. Le traitement comprend un remplissage vasculaire et
des chélateurs de potassium à cause de l’hyperkaliémie.
d. Le traitement est à débuter dès que la confirmation
biologique est obtenue en administrant l'hémisuccinate.
e. Ne survient jamais dans l’insuffisance surrénalienne
d’origine centrale.
16. L’acidocétose diabétique : (la ou les réponses
fausses)
a. Nécessite l’apport de sérum bicarbonaté
systématiquement au cours du traitement.
b. Est très fréquente chez le diabétique de type 1.
c. Ne survient jamais chez le diabétique de type 2.
d. Peut se compliquer d’une cécité.
e. La correction de l’hypokaliémie n’est pas systématique,
car elle se corrige sous insulinothérapie.
17. Femme obèse, asthmatique, 52 ans, HTA chronique
sous traitement, consulte en urgence pour une poussée
hypertensive, TA = 19 / 11 avec épistaxis et céphalées.
Quel traitement injectable adopter ?
a. LOXEN.
b. BETA BLOQUANT.
c. CATAPRESSAN.
d. D.NITRITES.
e. Aucun traitement injectable.
18. Dans la déshydratation intracellulaire pure : (la ou
les réponses fausses)
a. Le volume extracellulaire est élevé.
b. L’osmolarité urinaire est basse.
c. Les troubles neurologiques sont au premier plan.
d. La correction rapide des troubles peut engendrer une
myélinolyse centro-pontine.
e. Peut se compliquer d’une hémorragie sous
arachnoïdienne.
23
19. La nécrose tubulaire aiguë : (la ou les réponses
fausses)
a. est une complication fréquente d’un accident immuno -
allergique.
b. fraction d’éjection au sodium est inférieur à 1.
c. se manifeste par hématurie macroscopique.
d. peut se voir après traitement par méthotrexate.
e. Elle est de bon pronostic.
20. Dans le syndrome néphrotique iatrogène, la
ponction biopsie rénale retrouve : (la ou les réponses
fausses)
a. Glomérulonéphrite rapidement progressive.
b. Glomérulonéphrite membrano proliférative.
c. Lésions glomérulaires minime.
d. Glomérulonéphrite extra membraneuse.
e. Glomérule normal.
21. Dans les syncopes neuro cardiogéniques dites
réflexes : (la ou les réponses fausses)
a. Les syncopes vaso vagales sont dues à un stress
émotionnel ou orthostatique.
b. L’origine vaso vagale peut - être confirmée par un test
d’inclinaison.
c. Le test de Schellong reproduit l’hyperréactivité sino -
carotidienne.
d. Le massage sino-carotidien n’a aucune contre -
indication.
e. Elles ont des mécanismes physiopathologiques
différents.
22. Dans les hypothermies modérées :
a. La peau est livide.
b. En dessous de 32° C les frissons persistent.
c. Les signes neurologiques sont absents.
d. Fréquence cardiaque et pression artérielle sont
augmentées.
e. Les pupilles sont en mydriase bilatérale.
23. Les hypothermies par perturbations des mécanismes
thermorégulateurs sont retrouvées dans : la ou les RF
a. Les hypothyroïdies.
b. Les comas toxiques.
c. L’insuffisance surrénalienne.
d. Les accidents de montagne.
e. Le phéochromocytome.
24. Parmi les hyperthermies : la ou les RF
a. Le coup de chaleur d’effort est une pathologie
environnementale.
b. La charge thermique est exogène dans le coup de
chaleur d’effort.
c. La température de consigne est décalée.
d. La thermogénèse est réduite.
e. Aucune réponse juste.
25. Prise en charge d’un état de mal épileptique scoré <
7 : (la ou les réponses fausses)
a. Administrer un anti épileptique en IV.
b. Assurer la liberté des voies aériennes.
c. Intubation.
d. Mise sous ventilation mécanique.
e. Toutes les réponses sont fausses.
26. Devant un patient victime d’un état de mal
épileptique, que doit - on envisager ? la ou les RF
a. Ponction lombaire.
b. Electro encéphalogramme (EEG).
c. Ionogramme, glycémie, calcémie.
d. Radiographie du crâne.
e. Scanner cérébral.
27. Les critères définissant une brûlure grave sont : (la
ou les réponses fausses)
a. Surface cutanée brûlée supérieure à 15 % de la surface
cutanée totale chez un adulte.
b. Surface cutanée brûlée supérieure à 20 % SC aux âges
extrêmes.
c. Brûlure 3ème
degré > 10 % surface cutanée.
d. Brûlure du second degré supérieure à 15 % de la
surface cutanée.
e. Brûlure associée à une inhalation de monoxyde de
carbone.
28. Lors de la prise en charge d’un brûlé, les premiers
secours consistent en ce qui suit : (la ou les réponses
fausses)
a. Libérer les voies aériennes et oxygéner le patient.
b. Poser une voie veineuse et transfuser.
c. Rechercher des lésions associées.
d. Refroidir la brûlure pendant 20 minutes, eau à 15 - 20°.
e. Traiter la douleur au moyen d’antalgiques et d’un
refroidissement externe.
24
29. Un brûlé est obligatoirement hospitalisé : (la ou les
réponses justes)
a. Si la surface cutanée brûlée est supérieure à 5 % de la
surface cutanée totale.
b. S’il s’agit d’un nourrisson quel que soit la surface
cutanée brûlée.
c. S’il y a inhalation de monoxyde de carbone.
d. En cas d’électrisation.
e. Si la brûlure siège au niveau du périnée.
30. Devant une douleur thoracique chez un patient de
50 ans, sans antécédents pathologiques connus, il faut
dès son admission aux urgences :
a. Faire un ECG.
b. Éliminer ou confirmer une embolie pulmonaire.
c. Éliminer ou confirmer un problème coronarien.
d. Rechercher les facteurs déclenchant la douleur
thoracique.
e. Faire un scanner thoracique.
31. Une embolie pulmonaire est suspectée chez un
patient admis pour douleur thoracique aux urgences si :
a. L’interrogatoire retrouve la notion de chirurgie
récente.
b. La douleur thoracique s’accompagne de dyspnée et de
sensation d'angoisse.
c. On note l’apparition d’un emphysème sous-cutané.
d. La douleur thoracique est intense et migratrice.
e. On retrouve des signes de phlébite.
32. Devant une douleur thoracique, une péricardite
aiguë est évoquée si : (la ou les réponses fausses)
a. La douleur est rétro sternale, variable avec les
mouvements respiratoires et la position.
b. La douleur est en coup de poignard.
c. On retrouve des signes d’insuffisance cardiaque droite.
d. L’auscultation met en évidence un assourdissement des
bruits du cœur.
e. Le bilan biologique montre un taux de D - dimères
supérieur à 500 μg/ml.
33. Parmi les conséquences d’une noyade, on retrouve :
(la ou les réponses fausses)
a. La survenue d’un spasme laryngé.
b. Une tachycardie avec vasoconstriction périphérique.
c. Une hypothermie.
d. Un œdème pulmonaire lésionnel par lésion de la
membrane alvéolo - capillaire.
e. Toutes les réponses sont justes.
34. Un noyé classé “ petit hypoxique ” présente : (la ou
les réponses fausses)
a. Une inhalation minime.
b. Une toux, avec gêne respiratoire et râles crépitants
aux bases.
c. Une tachycardie isolée.
d. Des troubles de la conscience à type de confusion et
d’obnubilation.
e. Toutes les réponses sont justes.
35. La thérapeutique instaurée chez ce patient à son
admission en réanimation est la suivante :
a. Oxygénothérapie nasale.
b. Ventilation artificielle.
c. Apports liquidiens modérés en perfusion et par sonde
gastrique.
d. Antibiothérapie IVD anti - BGN et anti - anaérobie.
e. Héparines à dose préventive.
36. Un patient admis aux urgences suite à une morsure
de serpents, grade 2, présente : la ou les RF
a. Un œdème régional.
b. Des signes généraux modérés.
c. Une hypotension passagère et une tachycardie.
d. Un saignement modéré au niveau de la morsure,
gingivorragies, hématurie.
e. Une hémorragie grave.
37. Lors d’une morsure de scorpion classe 2, la
symptomatologie clinique est la suivante : la ou les RF
a. Une dyspnée et des râles crépitants.
b. Une hypotension artérielle précoce due aux substances
vaso - actives libérées à partir des tissus envenimés.
c. Des myoclonies, fasciculations et crampes musculaires.
d. Une dysrégulation thermique.
e. Des troubles de la conscience allant jusqu’au coma.
38. Une patiente âgée de 20 ans, aux antécédents
d’asthme se présente aux urgences pour gêne
respiratoire après une piqûre d’abeille. L'examen
clinique retrouve une patient agitée, un œdème cervico -
facial, TA = 110 - 70 mmHg. FC = 110 bat /min,
25
fréquence respiratoire = 25 cycles /minutes. Votre
conduite thérapeutique sera la suivante :
a. Voie veineuse périphérique.
b. Remplissage vasculaire aux cristalloïdes.
c. Intubation trachéale ou trachéotomie systématique.
d. Administrer des corticoïdes IVD.
e. Aérosols bronchodilatateurs.
39. Le choc septique se définit comme : (la ou les
réponses fausses)
a. T° > 38° C, GB < 4000 /mm³ et Hypo TA.
b. T° < 38°C, FR > 20 /min et une infection documenté.
c. T° < 36°C, GB < 12000 /mm 3 avec une Hypo TA
nécessitant des catécholamines.
d. T° > 38°C, FC > 90 /mn et FR > 20 cycle /mn.
e. T° < 36°C, GB < 4000 /mm³ avec une Hypo TA
réfractaire suite à une infection documenté.
40. Quels est le traitement d’un choc anaphylactique
suite à une injection de pénicilline ? la ou les RF
a. Arrêt de l’injection de pénicilline.
b. Injection d’atropine en IV.
c. Mise sous oxygène nasal.
d. Remplissage vasculaire : 10 ml /Kg en 10 min de
cristalloïdes.
e. Injection d’adrénaline : 0.25 mg dilué dans 10 ml de
SS 9 ‰.
1. Un brûlé âgé de 12 mois doit être hospitalisé si : (la
ou les réponses fausses)
a. SCB > 10 % s'il s'agit d'un nourrisson.
b. La brûlure est associée à un traumatisme.
c. Il y a inhalation de fumée d'incendie.
d. La brûlure est localisée au niveau du périnée.
e. Quel que soit le type de brûlure.
2. Après hospitalisation d'un brûlé, il faut : (la ou les
réponses fausses)
a. Instaurer précocement une antibiothérapie.
b. Entamer une réanimation respiratoire.
c. Administrer le sérum antitétanique.
d. Perfuser le patient au moyen de solutés salés et
d'albumine.
e. Toutes les réponses sont justes.
3. La prise en charge initiale d'un patient suite à une
morsure de serpents est la suivante : (la ou les réponses
fausses)
a. Soins locaux à la Bétadine.
b. Sérothérapie systématique.
c. Mise en place d'un bandage alcoolisé.
d. Prophylaxie anti tétaniques.
e. L'administration de corticoïdes.
4. Les gestes à ne pas entreprendre après une morsure
de scorpions sont les suivants : (la ou les réponses
fausses)
a. La succion.
b. La contention et la pose de garrot.
c. L'administration de sérum anti scorpionique.
d. La scarification.
e. L'infiltration d'analgésiques.
5. Les actions transfusionnelles immédiates comportent :
(la ou les réponses fausses)
a. Réactions transfusionnelles hémolytiques.
b. Surcharge en fer.
c. Réactions fébriles non hémolytiques.
d. Réactions allergiques et anaphylactiques.
e. Infections bactériennes.
6. Dans les réactions transfusionnelles hémolytiques
immunologiques aigues :
a. L'origine de l'hémolyse est une destruction physique
des hématies.
b. L'origine immunologique est due à un conflit antigène -
anticorps.
c. Les anticorps naturels type IgM donnent une hémolyse
mira - tissulaire ou luira splénique.
d. Les anticorps immuns type IgG donnent une hémolyse
intravasculaire.
e. Les composants vasomoteurs du complément sont
responsables de l'état de choc.
7. Dans les syncopes neuro cardiogéniques dites
réflexes : (la ou les réponses justes)
a. les syncopes vaso vagales sont dues un stress
émotionnel ou orthostatique.
b. l'origine vaso vagale peut être confirmée par un test
d'inclinaison.
c. le test de Schellong reproduit l'hyperréactivité sino
carotidienne.
S2 Juillet – 2019
26
d. le massage sino - carotidien n'a aucune contre -
indication.
e. elles ont des mécanismes physiopathologiques
différents.
8. Dans les hypothermies modérées : la ou les RF
a. La peau est livide.
b. En dessous de 32° C les frissons persistent.
c. Les signes neurologiques sont absents.
d. Fréquence cardiaque et pression artérielle sont
augmentées.
e. Les pupilles sont en mydriase bilatérale.
9. Quel est le traitement du choc anaphylactique suite à
une injection de pénicilline ?
a. Arrêt de l'injection de pénicilline.
b. Injection d'atrophie en IV.
c. Mise sous oxygène nasal.
d. Remplissage vasculaire : 10 ml/kg en 10 mn de
cristalloïdes.
e. Injection d'adrénaline : 2,5 mg dilué dans 10 ml de SS
9 ‰.
10. Patient admis au urgence pour un traumatisme
crânien suite à un AVF avec une TA 07 / 04, FC = 120
/mn. Que faite vous dans un premier temps ?
a. Évaluer la profondeur du coma.
b. Faire un examen neurologique complet.
c. Faire une enquête étiologique.
d. Faire un scanner cérébral.
e. Rechercher les signes de détresse vitale.
11. Votre patient est inconscient, confus, n'ouvre pas
les yeux à la stimulation douloureuse et en position
extension membres supérieurs et des membres
inférieurs. Quel est son score de Glasgow ?
a. 4
b. 5
c. 6
d. 7
e. 8
12. Une intensité du courant supérieur à 2 A veut
provoquer spécialement : RJ
a. Une inhibition des structures nerveuses.
b. Réaction d’agrippement.
c. Tétanisation du diaphragme
d. Contractions musculaire ne cédant pas au rupture du
courant.
e. Fibrillation auriculaire.
13. Classification de MASTER : RF
a. Définit trois groupes à risque.
b. Comporte des données anamnestiques.
c. Comporte des observations clinique objective.
d. Vise à guider la nécessité de réaliser des explorations
complémentaires.
e. Détermine la durée d'hospitalisation en réanimation.
14. Dans le "Glasgow - Liege Rcale" : RJ
a. Améliore la précision du pronostic pour les patients
souffrant d’un traumatisme crânien grave.
b. Le réflexe oculo - céphalogyre horizontal est noté.
c. C’est une échelle allant de 3 à 20.
d. Évaluer les réflexes du tronc cérébral.
e. Le réflexe fronto - orbiculaire est coté à 5.
15. Prise en charge d'un état de mal épileptique scoré
< 7 :
a. Administrer un antiépileptique IV.
b. Assurer la liberté des voies aériennes.
c. Intubation.
d. Mise sous ventilation mécanique.
e. Rechercher une hypocalcémie et / ou d'une
hypoglycémie.
16. Devant un patient victime d'un état de mal
épileptique, que doit - on envisager ?
a. Ponction lombaire.
b. Electro - encéphalogramme (EEG).
c. Ionogramme, glycémie et calcémie.
d. Radiographie du crâne.
e. Scanner cérébral.
17. Quel est l'antidote des intoxications accidentelles
par les par les raticides ?
a. Atropine
b. Alcool éthylique
c. Gluconate de calcium
d. Vitamine K1.
e. Valium.
27
18. Quel est l'antidote d'une Intoxication par
paracétamol ?
a. Gluconate de calcium
b. Temgésic
c. N - acétylcystéine
d. Vitamine B1
e. Bleu de méthylène.
19. La découverte d'une thrombopénie doit faire
rechercher :
a. Une maladie lupique.
b. Une leucémie lymphoïde chronique.
c. Une carence en fer.
d. Une splénectomie.
e. Toutes les réponses sont justes.
20. Lesquelles de ces valeurs sont pathologiques ?
a. Hb = 11 g /dl chez l'homme.
b. Ht = 56 % chez l'homme.
c. VGM = 85 fl chez l'adulte.
d. VGM = 110 fl chez un adulte.
e. Lymphocytes = 5500 elts /mm³.
21. Purpura thrombopénique immunologique (PTI) :
a. Est une anomalie de l'hémostase primaire.
b. Se caractérise par la présence d'hémarthroses et
d'hématomes profonds.
c. Le bilan étiologique est négatif.
d. Les agonistes du récepteur de la thrombopoïétine sont
indiqués en 1ère
intention.
e. Le médullogramme est primordial au diagnostic.
22. Un allongement du TS (Ivy incision) est retrouvé
dans :
a. Hémophilie
b. Thrombopathie de Glanzmann.
c. Maladie de Willebrand.
d. Leucémie myéloïde chronique.
e. Aucune réponse n'est juste.
23. En faveur d'une hypoglycémie fonctionnelle :
a. Sa survenue à jeun, à l'effort, ou pendant le sommeil.
b. Impossibilité de jeûner le mois de Ramadan.
c. Les convulsions.
d. La perte pondérale.
e. Sa survenue en post prandiale, ou après un repas riche
en calories.
24. Parmi les situations suivantes, laquelle) ou
lesquelles, peuvent favoriser une acidocétosique
diabétique ?
a. Les états infectieux.
b. La grossesse et l'allaitement maternel.
c. Les infections bactériennes uniquement.
d. Un IDM ou un AVC chez les diabétiques de type 1.
e. Prise modérée de l'alcool ou des pansements
gastriques.
25. Une hypoglycémie entraîne :
a. Des troubles nerveux à court terme.
b. Une sécrétion de glucagon et d'adrénaline.
c. Une activation de sensation de faim.
d. Une activation des enzymes impliquées dans la
glycogénolyse.
e. Une amélioration de l'efficacité de l'insuline.
26. L'hypoglycémie chez le non diabétique peut être
causée par :
a. Une effort physique inhabituel.
b. Une pancréatectomie, ou une insuffisance
hépatocellulaire.
c. Une gastrectomie.
d. Certaines tumeurs volumineuses parenchymateuses.
e. Par les anti - convulsivants.
27. Au cours de la prise en charge de l'insuffisance
surrénale aiguë :
a. L'apport des électrolytes (Na et K) est systématique.
b. L'Hémisuccinates d'Hydrocortisone (HHL) n’est
introduite que si la cortisolémie est effondrée "afin
d'éviter ses effets secondaires.
c. Les minéralocorticoïdes sont parfois nécessaires.
d. Le traitement en urgence sans preuve biologique
constitue une erreur médicale.
e. L’HHC est introduite sous forme orale dès
amélioration de l'état clinique.
28. L'occlusion intestinale aiguë peut entraîner :
a. Un choc hypovolémique.
b. Un choc cardiogénique.
c. Un choc septique.
d. Un choc anaphylactique.
e. Toutes les réponses ci - dessus sont justes.
28
29. La prise en charge de polytraumatisé dans sa phase
pré hospitalière est axée sur :
a. Assurer la survie.
b. Ébaucher un bilan lésionnel.
c. Médicalisation et conditionnement rapide.
d. Orientation.
e. Transfert.
30. Le secouriste qui administre la RCR à une victime
adulte doit faire des ?
a. Compressions thoraciques d'une profondeur
d’environs 1,25 à 2,5 cm.
b. Compressions thoraciques d'une profondeur d’environ
7 à 10 cm.
c. Compressions thoraciques peu profondes pour ne pas
endommager les côtes ou le sternum.
d. Compressions thoraciques ; une profondeur d'environ
5 à 6 cm.
e. Compressions thoraciques profondes pour lutter contre
la rigidité du sternum.
31. Parmi tes propositions suivantes, une seule n'est
pas en faveur d'une ischémie aiguë de membre inférieur
d'origine embolique :
a. Le début brutal.
b. L'existence d'une fibrillation auriculaire.
c. Antécédent de claudication intermittente à
l'interrogatoire.
d. Tous les pouls périphériques sont présents sur le
membre controlatéral.
e. Absence de souffle artériel à l'auscultation.
32. Femme obèse, 52 ans HTA chronique sous
traitement, consulte en urgence pour une poussée
hypertensive, TA : 19 / 11 sans signe fonctionnel. Quel
traitement injectable adopter ? la ou les RF
a. Loxen.
b. Béta bloquant.
c. Catapressan.
d. D. nitrés.
e. Aucun traitement injectable.
33. Homme 45 ans, HTA connue et traitée, consulte en
urgence pour un pic hypertensif, TA : épistaxis,
céphalée peu intense et vertige. À votre avis, s'agit - il ?
a. Simple poussée hypertensive.
b. HTA accélérée.
c. HTA maligne.
d. Vrai urgence hypertensive.
e. Urgence hypertensive grave.
34. Parmi les propositions suivantes, laquelle
correspond à asthme aigu grave ?
a. PaO2 > 50 mmHg / PaO2 > 80 mmHg / pH < 7,35.
b. DEP < 20 % théorique.
c. Cyanose, bradypnée, bradycardie, silence
auscultatoire, coma.
d. PaO2 < 60 %, DEP < 30 % théorique, pH = 7,40.
e. Aucune réponse juste.
35. Asthme suraigu :
a. Entraîne la mort en moins de 3 heures.
b. Le bronchospasme est dominant.
c. Répond mal aux β2 mimétique.
d. La composante inflammatoire est dominante.
e. Rôle de l'exposition allergénique massive.
36. Dans les accidents vasculaire cérébraux une TA à
20 /11 doit être respecté sauf :
a. Si la TA dépasse 22 / 12.
b. S’il s'agit d'un accident cérébral hémorragique.
c. Si une thrombolyse cérébrale est envisagée.
d. En cas accident vasculaire ischémique transitoire.
e. Aucune réponse juste.
37. L'insuffisance rénale aiguë fonctionnelle se
manifeste par : (RF)
a. Créatininémie normale ou peu élevée.
b. Fraction d'éjection de sodium supérieur à 1.
c. Hyper protidémie.
d. Urée sanguine très élevée.
e. Peut évoluée vers la nécrose tubulaire.
38. Dans le syndrome hémolytique et urémique (SHU) :
(RF)
a. Anémie hémolytique de type mécanique.
b. Thrombopénie.
c. Baisse de l'haptoglobine.
d. Augmentation du LDH.
e. Diminution du taux de prothrombine.
29
39. Nécrose tubulaire aiguë :
a. Protéinurie massive.
b. Hématurie macroscopique.
c. Leucocyturie.
d. La ponction biopsie rénale est obligatoire.
e. Elle est de bons pronostics.
40. Au cours de la carence en acide folique :
a. L'anémie est macrocytaire.
b. Le myélogramme montre une mégaloblastose.
c. Les troubles neurologiques peuvent êtres au premier
plan.
d. L'origine de la carence peut être médicamenteuse.
e. Toutes les réponses sont justes.
Femme XY âgée de 28 ans originaire et demeurant à Sidi
Bel Abbes, mariée vient de sortir de la maternité après
curetage avec couverture antibiotique (Cefacidal -
Gentamycine) pour un avortement (Grossesse à 12
semaines). 2 j après sa sortie la malade est fébrile à 40°
obnubilée et présentant des épisodes de vomissements
incoercibles. TA : 5/2 mmhg, refroidissement des
extrémités. Hyperleucocytose à 22000 elt /mm, CRP à
345 mg.
1. À quoi pensez - vous ?
a. Sepsis aigu décapité.
b. Sepsis grave nosocomiale à porte d’entrée
gynécologique avec localisation neuro méningée
probable.
c. Paludisme à plasmodium falciparum.
d. Pyélonéphrite aiguë.
e. Méningite purulente nosocomiale.
2. Quelle est votre conduite d'urgence ?
a. Hospitalisation et conditionnement (remplissage et
monitoring).
b. Scanner cérébral et ponction lombaire si pas de contre
- indication.
c. Antibiothérapie : couvrant les germes nosocomiaux ;
probabiliste à bonne diffusion neuro méningée.
d. Révision utérine et recherche d’autres localisations
secondaires.
e. Tous les gestes suscités sont obligatoires et
concomitants.
La ponction lombaire a ramené un liquide trouble à
1200 elt /mm 3 a PNN altérés glycorrachie à 0.2 g /l
(Glycémie concomitante à 1g /l) les protéines à 2g/l.
Examen directe un Staphylocoque aureus. Scanner
cérébral : Hydrocéphalie passive modérée. Télé thorax :
aspect d'une pneumopathie réticulo - nodulaire diffuse.
Bandelette urinaire : hématurie +++, protéinurie ++,
nitrites ++, leucocytes ++. L'écho cœur est normale.
3. Le Diagnostic est ?
a. Sepsis aigu grave nosocomial a porte d'entrée génitale
compliqué de localisation neuro méningée, pulmonaire et
urinaire à Staphylocoque aureus (probablement résistant
à la Méticilline car nosocomial).
b. Méningo - encéphalite aiguë à Staph aureus.
c. Infection urinaire à Staph aureus.
d. Pneumopathie communautaire à Staph aureus.
e. Endocardite aiguë à Staph aureus.
4. Devant une pancréatite aiguë chez l'adulte on doit
rechercher en premier lieu deux affections parmi les
suivantes, lesquelles ?
a. Un alcoolisme
b. Une ascaridiose de la voie biliaire principale.
c. Une distomatose hépatique.
d. Un syndrome ourlien récent.
e. Une lithiase biliaire à petits calculs.
5. Dans la pancréatite aiguë, les signes suivants sont
considérés comme des critères de gravité, sauf un,
lequel ?
a. Âge 55 ans
b. Hyperglycémie.
c. Hypercalcémie.
d. Acidose.
e. Hypoxie.
6. En cas d’hyperkaliémie on peut trouver :
a. Un allongement de l’espace QT.
b. Un défaut de réabsorption dans le néphron proximal
de potassium.
c. Une excrétion supranormale par le néphron distal de
potassium.
d. Un trouble de conduction auriculo ventriculaire et
intra ventriculaire.
e. Une insuffisance rénale aiguë.
S1 Novembre – 2018
30
7. Dans l’hypokaliémie peut être due à :
a. Un hyper aldostéronisme.
b. Un hypo aldostéronisme.
c. Une hypo - osmolarité.
d. A un transfert intracellulaire par acidose métabolique.
e. Toutes les réponses sont fausses.
8. En cas de remplissage avec du SS 0.9 % chez un
patient en état de choc :
a. Le risque est de développer une alcalose métabolique.
b. Le risque est de développer une acidose minérale.
c. Le risque est de développer une acidose hyperc
hlorémique.
d. Le trouble acido basique qui en résulte est dû à une
baisse du SID.
e. Le trouble acido basique qui en résulte est dû à une
augmentation du SID.
9. Dans la fièvre :
a. Les prostaglandines E2 sont responsables du décalage
de la température de référence.
b. La stimulation du centre de thermogénèse provoque
une sudation.
c. Il y'a une perte de la thermorégulation.
d. La réponse fébrile se déroule en 3 phases.
e. La stimulation du centre de thermogénèse provoque
une vasoconstriction.
10. Dans les hypothermies définies par une T° centrale
< à 35 :
a. Les signes cliniques sont circulatoires et neurologiques.
b. L'hypothermie protège contre l'hypoxie cérébrale.
c. La fibrillation ventriculaire peut survenir lors des
stimulations nociceptives pendant les soins.
d. Le réchauffement thérapeutique doit être rapide.
e. Toutes les réponses sont fausses.
11. Le coup de chaleur d'exercice :
a. Est une hyperthermie maligne par surcharge exogène
de chaleur.
b. Comporte souvent une rhabdomyolyse.
c. Survient chez le sujet jeune mal acclimaté après un
effort intense.
d. Le refroidissement doit être prudent et progressif.
e. Toutes les réponses sont justes.
12. Le coup de chaleur classique :
a. La thermorégulation continue à se faire mais à un
niveau plus élevé.
b. Survient chez le sujet jeune indemne de toute tare
physique.
c. Est favorisé par la déshydratation.
d. Est favorisé par l'hypothyroïdie.
e. Est favorisé par les médicaments qui altèrent la
thermorégulation.
13. Les signes immédiats après une électrisation : (la
ou les réponses fausse)
a. Spasmes artériels.
b. Traumatisme du rachis
c. Brûlures cutanées ou muqueuses
d. Ischémie myocardique.
e. Œdème des VAS par lésions buccales.
14. Cochez la ou les réponse(s) juste(s) :
a. PAM = PPC – PIC.
b. Chez un patient instable, la présence de signes
neurologiques n'élimine pas une atteinte cérébrale.
c. Examen neurologique est fiable que si le patient est
stable.
d. Chez un patient stable, l’absence de signes
neurologiques n’élimine pas une atteinte cérébrale.
e. Traumatisme crânien grave est un score de Glasgow
inférieur ou égal à 8.
15. Devant un patient victime d’un état de mal
épileptique scoré < 7 :
a. Mise sous ventilation artificielle.
b. Assurer la liberté des voies aériennes.
c. Intuber.
d. Faire un ionogramme, glycémie et calcémie.
e. Ne pas administrer un antiépileptique IV.
16. Quel est l’antidote d’une intoxication par
paracétamol ? a. Gluconate de calcium.
b. Temgesic.
c. N - acétylcystéine.
d. Vitamine B1.
e. Bleu de méthylène.
31
17. Une carence en vitamine B12 peut s'observer :
a. Après gastrectomie.
b. Pendant la grossesse.
c. Maladie de Biermer.
d. Au cours des hémolyses.
e. Résection du jéjunum.
18. Les manifestations hémorragiques au cours des
purpuras thrombopéniques peuvent se présenter par :
a. Des hématomes.
b. Des hémarthroses.
c. Des épistaxis.
d. Des ecchymoses et des pétéchies.
e. Des hémorragies rétiniennes au fond d'œil.
19. Le diagnostic biologique d’acidocétose diabétique
comporte : (la réponse juste)
a. Glycémie à 3 g /l, une albuminurie, une créatininémie
élevée, et une glycosurie positive ?
b. Glycémie élevée, pH sanguin normal, réserves
alcalines normales, et cétonurie (traces) ?
c. Hyperglycémie à 7 g/l, osmolarité élevée, pH sanguin
normal.
d. Hyperglycémie, cétonurie positive, pH sanguin abaissé,
les réserves alcalines abaissées.
e. Hyperglycémie pH sanguin et réserves alcalines
normaux, hyponatrémie, déshydratation globale.
20. Les hypoglycémies surviennent : (la réponse juste)
a. Uniquement sous insuline à action rapide.
b. Uniquement sous insuline et sulfamides
hypoglycémiants.
c. Uniquement chez les diabétiques.
d. Uniquement après effort physique, ou une situation de
stress.
e. Chez les diabétiques et chez les non diabétiques.
21. L'insuffisance surrénalienne aiguë : la RJ
a. Le facteur déclenchant peut - être une simple angine
ou une fibroscopie digestive.
b. Les laxatifs et les diurétiques ne constituent aucun
danger chez l'insuffisant surrénalien.
c. Le traitement comprend un remplissage vasculaire et
des chélateurs de potassium à cause de l’hyperkaliémie.
d. Le traitement est à débuter dès que la confirmation
biologique est obtenue en administrant l’Hémisuccinate
d'Hydrocortisone.
e. Ne survient jamais dans l'insuffisance surrénalienne
d'origine centrale.
22. L’acidocétose diabétique : (la réponse juste)
a. Nécessite l’apport de sérum bicarbonaté
systématiquement au cours du traitement.
b. Est très fréquente chez le diabétique de type 1.
c. Ne survient jamais chez un diabétique de type 2.
d. Peut se compliquer d’une cécité.
e. La correction de l’hypokaliémie n’est pas systématique,
car elle se corrige sous insulinothérapie.
23. Les critères définissant une brûlure grave sont :
a. Surface cutanée brûlée supérieure à 15 % de la surface
cutanée totale chez un adulte.
b. Surface cutanée brûlée supérieure à 20 % SC aux âges
extrêmes.
c. Brûlure 3 ° degré > 10 % surface cutanée.
d. Brûlure du second degré supérieure à 15 % de la
surface cutanée.
e. Brûlure associée à une inhalation de monoxyde de
carbone.
24. Devant une douleur thoracique chez un patient de
50 ans, sans antécédents pathologiques connus, il faut
dès son admission aux urgences :
a. Faire un ECG.
b. Éliminer ou confirmer une embolie pulmonaire.
c. Éliminer ou confirmer un problème coronarien.
d. Rechercher les facteurs déclenchant la douleur
thoracique.
e. Faire un scanner thoracique.
25. Un patient admis aux urgences suite à une morsure
de serpents, grade 2, présente :
a. Œdème régional.
b. Des signes généraux modérés.
c. Une hypotension passagère et une tachycardie.
d. Un saignement modéré au niveau de la morsure
gingivorragies, hématurie.
e. Une hémorragie grave.
26. Dans la déshydratation intracellulaire pure :
a. Le volume extracellulaire est élevé.
b. L’osmolalité urinaire est basse.
c. Les troubles neurologiques sont au premier pian.
32
d. La correction rapide des troubles peut engendrer une
myélinolyse centro - pontine.
e. Peut se compliquer d'une hémorragie sous
arachnoïdienne.
27. La nécrose tubulaire aiguë :
a. Est une complication fréquente d'un accident immuno -
allergique.
b. Fraction d'éjection au sodium est inférieur à 1.
c. Se manifeste par hématurie macroscopique.
d. Peut se voir après traitement par méthotrexate.
e. Elle est de bon pronostic.
28. Dans le syndrome néphrotique iatrogène la
ponction biopsie rénale retrouve :
a. Glomérulonéphrite rapidement progressive.
b. Glomérulonéphrite membrano proliférative.
c. Lésions glomérulaires minime.
d. Glomérulonéphrite extra membraneuse.
e. Glomérule normal.
29. Le secouriste qui administre la RCR à une victime
adulte doit faire des .. ?
a. Compressions thoraciques d'une profondeur d'environ
1,25 à 2,5 cm.
b. Compressions thoraciques d'une profondeur d'environ
7 à 10 cm.
c. Compressions thoraciques peu profondes pour ne pas
endommager les côtes ou le sternum.
d. Compressions thoraciques d'une profondeur d'environ
5 à 6 cm.
e. Compressions thoraciques profondes pour lutter contre
la rigidité du sternum
30. Devant une ischémie aiguë d’un membre, quel est
l’élément principal de gravité :
a. Abolition du pouls.
b. Refroidissement des téguments.
c. Déficit sensitivo - moteur.
d. Douleur à la pression des masses musculaires.
e. Aucune proposition ci-dessus.
31. Parmi les propositions suivantes, une seule n’est
pas en faveur d’une ischémie aiguë du membre
inférieur d’origine embolique :
a. Le début brutal.
b. L'existence d’une fibrillation auriculaire.
c. Antécédent de claudication intermittente à
l’interrogatoire.
d. Tous les pouls périphériques sont présents sur le
membre controlatéral.
e. Absence de souffle artériel à l’auscultation.
32. Des chiffres de pression artérielle à 220 / 120
mmHg sont retrouvés chez une femme de 46 ans. Quelle
est la circonstance clinique où cette HTA doit être
respectée ?
a. Grossesse.
b. Dissection aortique.
c. Infarctus du myocarde à la phase aiguë.
d. Accident vasculaire cérébral ischémique à thrombolyse.
e. Toutes les réponses sont fausses.
Un homme de 65 asthmatique et hypertendu ancien,
présente brutalement une violente douleur thoracique
antérieure irradié dans la région scapulaire et le dos.
Lors de son arrivée à l’urgence, la douleur demeure très
intense avec une TA 190 / 120. L'auscultation thoracique
et l'électrocardiogramme sont normaux.
33. Quel diagnostic évoquer en priorité ?
a. Péricardite aiguë
b. Syndrome coronarien aigu
c. Pancréatite aiguë
d. Pneumothorax spontané
e. Dissection aortique.
34. Quel examen para clinique à demander en urgence ?
a. Télé thorax
b. Scanner abdominal
c. Scanner thoracique
d. Écho - transoesophagien
e. Coronarographie en urgence.
35. Quel est votre attitude thérapeutique ?
a. TA inférieur à 126 / 60.
b. Orienter le patient vers un centre spécialisé.
c. Calmer la douleur.
d. Respecter la TA élevée.
e. Donner un β bloquants sélectif.
33
36. Le choc septique se définit comme : (la réponse
juste)
a. T° > 32° C, GB < 4000 /mm³ et Hypo TA.
b. T° < 38° C, FR > 20 /mn et une infection documentée.
c. T° < 36° C, GB > 12000 /mm³ avec une hypo TA
nécessitant des catécholamines.
d. T° > 38° C, FC > 90 /mn et FR > 20 cycle /mn.
e. T° < 36° C, GB < 4000 /mm³ avec une hypo TA
nécessitant des catécholamines suite à une infection
documentée.
37. Patient admis au urgence pour un traumatisme
crânien suite à un AVP avec une TA = 07 / 04, FC =
120 /mn. Que faite vous dans un premier temps ? la RJ
a. Évaluer la profondeur du coma.
b. Faire un examen neurologique complet.
c. Faire une enquête étiologique.
d. Faire un scanner cérébral.
e. Rechercher les signes de détresse vitale.
38. Votre patient est inconscient, gémit, n’ouvre pas les
yeux à la stimulation douloureuse et en position flexion
des membres supérieurs et extension des membres
inférieurs ; Quel est son score de Glasgow ?
a. 4
b. 5
c. 6
d. 7
e. 8
39. L’examen clinique des yeux montre : pupille en
mydriase unilatérale aréactive avec déviation oblique
des yeux. Quel est la lésion la plus probable ?
a. Lésion de moelle épinière.
b. Lésion du tronc cérébral.
c. Lésion du mésencéphale.
d. Lésion des hémisphères cérébraux.
e. Engagement temporal.
40. Quelle est la définition gazométrique artérielle d’un
asthme aigu très grave ?
a. PaO2 < 60 % – P CO2 = 40 – pH > 7.35.
b. PaO2 < 60 % – PCO2 > 50 – pH < 7.2.
c. PaO2 normal – PCO2 < 40 – pH = 7.40.
d. PaO2 < 60 % – PCO2 < 40 – pH = 7.40.
e. PaO2 > 60 % – PCO2 > 40 – pH > 7.35.
1. La libération des voies aérienne supérieures pour la
réanimation cardiorespiratoire :
a. Pour faciliter le massage cardiaque externe.
b. Pour une bonne oxygénation du sang.
c. Pour faciliter le flux d'aire lors du massage cardiaque
externe.
d. Pour réduire le temps de la réanimation cardio-
respiratoire.
e. Pour lutter contre les fausses routes.
2. Un arrêt cardiorespiratoire par fibrillation nécessite :
(la réponse fausse)
a. Une libération des voies aérienne supérieures.
b. Un massage cardiaque externe.
c. Un défibrillateur monophasique ou biphasique.
d. L’adrénaline.
e. Un défibrillateur semi - automatique en milieu
hospitalier.
3. L'importance de la rhabdomyolyse dans l'ischémie
aiguë du membre dépend :
a. Du retard du traitement médical.
b. La masse musculaire du membre ischémié.
c. Les antécédents du patient.
d. Hyperkaliémie.
e. La durée de l'ischémie.
4. Le diagnostic clinique d'une ischémie aiguë d'un
membre se, manifeste par :
a. Une chaleur.
b. Une douleur.
c. Une pâleur.
d. Une absence de pouls.
e. Une rougeur.
5. Devant un arrêt cardiorespiratoire, il faut rechercher:
a. Le pouls radial et la veine jugulaire.
b. Les pouls centraux.
c. Le pouls radial et carotidien.
d. Le pouls carotidien et / ou fémoral.
e. Le pouls radial et fémoral.
Ratt 06 – 09 – 2018
34
6. Pour améliorer le pronostic de l'arrêt cardio
respiratoire, la base de réanimation doit être commencé :
a. En milieu publiée par les témoins.
b. Par les équipes des pompiers.
c. Par l’équipe de la protection civile.
d. Par les équipes du SAMU.
e. Au niveau des SAUV.
7. Devant une pancréatite aiguë chez l'adulte on doit
rechercher en premier lieu deux affections parmi les
suivantes, lesquelles ?
a. Un alcoolisme.
b. Une ascaridiose de la voie biliaire principale.
c. Une distomatose hépatique.
d. Un syndrome ourlien récent.
e. Une lithiase biliaire à petits calculs.
8. Dans la pancréatite aiguë, les signes suivants sont
considérés comme des critères de gravité, sauf un,
lequel ? (la réponse juste)
a. Âge 55 ans.
b. Hyperglycémie.
c. Hypercalcémie.
d. Acidose.
e. Hypoxie.
9. Cochez l'affirmation ou les affirmations vraies sur
les états de chocs :
a. Au cours du choc hypovolémique, le débit cardiaque
est augmenté.
b. Le choc hypovolémique est dû à une diminution de
remplissage cardiaque.
c. Au cours du choc cardiogénique, le débit cardiaque est
diminué.
d. Le choc cardiogénique est lié à une altération de la
fonction myocardique.
e. Tous les états de choc altèrent le métabolisme
tissulaire et entraînent une hypoxie cellulaire.
10. Parmi les propositions suivantes, lesquelles
constituent une étiologie du choc cardiogénique :
a. Hémorragie digestive massive.
b. Infarctus myocardique aigu antéro septal étendu et
inféro - postérieur.
c. Tamponnade.
d. Occlusion intestinale aiguë.
e. Embolie pulmonaire aiguë massive.
11. Cochez l'affirmation ou les affirmations vraies sur
les états de chocs :
a. Le choc hypovolémique est dû à une diminution de
remplissage cardiaque.
b. Au cours du choc cardiogénique, le débit cardiaque est
diminué.
c. Le choc cardiogénique est lié à une altération de la
fonction myocardique.
d. Au cours du choc hypovolémique, le débit cardiaque
est augmenté.
e. Tous les états de choc altèrent le métabolisme
tissulaire et entraînent une hypoxie cellulaire.
12. Quelle prise en charge d'un état de mal épileptique
scoré < 7 :
a. Administrer un antiépileptique IV.
b. Assurer la liberté des voies aériennes.
c. Intubation.
d. Mise sous ventilation mécanique.
e. Rechercher une hypocalcémie et / ou d'une
hypoglycémie.
13. Devant un patient victime d'un état de mal
épileptique, que doit - on envisager ?
a. Ponction lombaire.
b. Électro - encéphalogramme (EEG),
c. Ionogramme, glycémie et calcémie.
d. Radiographie du crâne.
e. Scanner cérébral.
14. Quel est l'antidote d'une intoxication par
paracétamol ? (la réponse juste)
a. Gluconate de calcium.
b. Naloxone.
c. Vitamine B1.
d. N - acétylcystéine.
e. Bleu de méthylène.
15. Une déshydratation intra cellulaire :
a. est évoquée devant une augmentation de la protidémie.
b. est associée à une hyper natrémie.
c. est une conséquence fréquente de l'utilisation des
diurétiques de l'anse.
d. peut être associée à une déshydratation extra cellulaire.
e. doit être préférentiellement traitée par une perfusion
hypotonique.
35
16. Les manifestations hémorragiques au cours des
purpuras thrombopéniques peuvent se présenter par :
a. Des hématomes.
b. Des hémarthroses.
c. Des épistaxis.
d. Des ecchymoses et des pétéchies.
e. Des hémorragies rétiniennes au fond d'œil.
17. La nécrose tubulaire est une :
a. Insuffisance rénale aiguë fonctionnelle.
b. Peut évoluer vers la corticale.
c. Se manifeste par hématurie et protéinurie.
d. Est une complication d'un état de choc septique.
e. Elle est de bon pronostic.
18. Au cours de l'anémie inflammatoire, on observe :
a. Une anémie normo chrome microcytaire.
b. Une ferritinémie basse.
c. Une vitesse de sédimentation accélérée.
d. Une anémie normo chrome macrocytaire.
e. Un fer sérique bas.
19. Quels sont les objectifs thérapeutiques d'un choc
cardiogénique :
a. Renforcer la contractilité cardiaque.
b. Limiter la congestion pulmonaire.
c. Assurer une pression de perfusion efficace.
d. Réduire le débit cardiaque.
e. Assurer un transport d'oxygène et une oxygénation
tissulaire adéquate.
20. Classification de MASTER :
a. Définit trois groupes à risque.
b. Comporte des observations clinique objective.
c. Vise à guider la nécessité de réaliser des explorations
complémentaires.
d. Détermine la durée d'hospitalisation en réanimation.
e. Comporte des données anamnestiques.
21. Un brûlé doit être hospitalisé si :
a. Quel que soit le type de brûlure.
b. Inhalation de fumée d'incendie.
c. Localisation cervico-faciale.
d. SCB > 10 % s'il s'agit d'un nourrisson.
e. Traumatisme et / ou intoxication associés.
22. Le traitement chirurgical de l'ischémie aiguë du
membre nécessite une :
a. Un pontage si l'occlusion est incomplète.
b. Un pontage si le vaisseau est sain.
c. Un pontage si le vaisseau est athéromateux.
d. Une fogartisation si le vaisseau est sain.
e. Une fogartisation si le vaisseau est athéromateux.
23. Les agressions cérébrales secondaires d'origine
systémique :
a. PA Systolique inférieure à 90 mmHg.
b. Saturation O 2 < 90 %.
c. PaO2 < 60 mmHg.
d. PaCO2 inférieur à 30 mmHg.
e. Glycémie supérieur à 1.40 g/l.
24. La classification clinique des hypothermies :
a. Nécessite la mesure de la température centrale.
b. Utilise un thermomètre standard pour mesurer la
température.
c. Dispense de l'usage d'un thermomètre.
d. Stratifie les hypothermies en quatre stades.
e. Toutes les réponses sont justes.
25. Pour le diagnostic positif de la syncope, quel(s)
examen(s) complémentaire(s) est (sont) obligatoire (s) :
a. Leucogramme
b. Topogramme
c. Électrocardiogramme.
d. Électroencéphalogramme.
e. Échocardiographie.
1. Un patient âgé de 45 ans est admis aux urgences pour
brûlure intéressant la face antérieure du tronc et tout le
membre supérieur droit. Cette brûlure est secondaire à la
projection accidentelle d’eau bouillante. L'examen
clinique révèle des lésions à type de phlyctènes sur un
derme rouge et suintant et de lésions rouges brunes ou
rouges. L'interrogatoire révèle une hypertension
artérielle équilibrée sous monothérapie. Le poids du
patient est estimé à 60 Kg.
S1 25 – 02 – 2018
36
La surface cutanée brûlée est estimée à : (la réponse
juste)
a. 18 %
b. 22.5 %
c. 27 %
d. 36 %
e. Toutes les réponses sont fausses.
2. La brûlure est de : (la réponse juste)
a. Uniquement 2ème
degré superficiel.
b. Uniquement 3ème
degré.
c. Uniquement 2ème
degré profond.
d. 2ème
degré superficiel et profond.
e. A la fois 2ème
et 3ème
degré.
3. Un brulé doit être hospitalisé si :
a. CBS > 10 % s'il s'agit d'un nourrisson.
b. Traumatisme et/ou intoxication associés.
c. Inhalation de fumée d'incendie.
d. Localisation cervico - faciale.
e. Quel que soit le type de brûlure.
4. Un patient âgé de 35 ans sans antécédents
pathologiques est admis aux urgences suite à une
morsure de serpents. La prise en charge immédiate
consiste en :
a. Soin locaux à la Bétadine.
b. Traitement de la douleur par un bandage alcoolisé.
c. Prophylaxie antitétanique.
d. Sérothérapie systématique.
e. Toutes les réponses sont justes.
5. Le traitement chirurgical de l’ischémie aiguë du
membre nécessite une :
a. Une fogartisation si le vaisseau est sain.
b. Une fogartisation si le vaisseau est athéromateux.
c. Un ponge si l'occlusion est incomplète.
d. Un pontage si le vaisseau est athéromateux.
e. Une dilatation si possible.
6. Le diagnostic clinique d'une ischémie aiguë d’un
membre se manifeste par :
a. Une chaleur et Une douleur.
b. Une douleur et Une rougeur.
c. Une pâleur et Une douleur.
d. Une rougeur très importante.
e. Une absence de pouls et une pâleur.
7. Devant un arrêt cardiorespiratoire, il faut
rechercher :
a. Le pouls radial et la veine jugulaire.
b. Les pouls centraux.
c. Le pouls radial et carotidien.
d. Le pouls carotidien et/ou fémoral.
e. Le pouls radial et fémoral.
8. Pour améliorer le pronostic de l'arrêt cardio-
respiratoire, les bases de réanimation doit être
commencé :
a. En milieu public par les témoins.
b. Par les équipes des pompiers.
c. Par l'équipe de la protection civile.
d. Par les équipes du SAMU.
e. Toutes ces réponses fausses.
9. Classification de MASTER :
a. Définit trois groupes à risque.
b. Détermine la durée d'hospitalisation en réanimation.
c. Comporte des données anamnestiques.
d. Comporte des observations clinique objective.
e. Vise à guider la nécessité de réaliser des explorations
complémentaires.
10. Les séquelles d'une électrisation :
a. Atrophie corticale.
b. Dénervation des muscles d'un membre.
c. Insuffisance cardiaque.
d. Hémianopsie.
e. Traumatisme tympanique.
11. Madame F N âgée de 32 ans présente un diabète de
type 2 traités par une insuline basale et glucophage
jusque - là bien équilibré, hospitalisé pour un lupus
érythémateux dissimulé nécessitent une corticothérapie
à 1 mg/kg/j, un bilan préalable une corticothérapie
prolongée doit être effectué sauf un :
a. Poids et prise de tension artérielle.
b. Une FNS.
c. Recherche d'un foyer infectieux.
d. Bilan lipidique, ionogramme sanguin et glycémie.
e. Ostéodensitométrie osseuse (DMO) et dosage de la
vitamine D.
37
12. Durant son traitement la patiente a présenté une
prise de poids de 600 g après trois semaines de
traitement ainsi que sa TA est de 150 / 95 mmHg notre
conduite était de :
a. Demande d'un ionogramme sanguin.
b. Ajouter un traitement diurétique.
c. Ajouter un inhibiteur de l’enzyme de conversion.
d. Régime sans sel stricte
e. Régime sans sel + traitement un traitement
antihypertenseur (un inhibiteur de l'enzyme de
Conversion).
13. Le bilan électrolytique fait retrouve : Na+ = 139
meq /l, K + = 2.7 meq /l, notre conduite est de :
a. Adjonction de sels de K. d.
Adjonction des biphosphonates.
b. Arrêter le régime sans sel stricte. e.
Adjonction de sels de K et le maintien du régime sans sel.
c. Adjonction du calcium + vitamine D.
14. État de mal épileptique scoré < 8 :
a. rechercher une hypocalcémie et/ ou d'une
hypoglycémie.
b. Assurer la liberté des voies aériennes.
c. Intubation.
d. Mise sous ventilation artificielle.
e. Ne pas administrer un anti épileptique IV.
15. Quel est l'Antidote des intoxications accidentelles
par les raticides : (la réponse juste)
a. Atropine.
b. Alcool éthylique.
c. Gluconate de calcium.
d. Vitamine K1.
e. Valium.
16. La tomodensitométrie avec produit de contraste est
réalisée : (la réponse juste)
a. au début de la symptomatologie de la pancréatite
aiguë.
b. 6 heures après le début de la symptomatologie de la
pancréatite aiguë.
c. une semaine après le début de la symptomatologie de
la pancréatite aiguë.
d. 24 heures après le début de la symptomatologie de la
pancréatite aiguë.
e. 48 - 72 heures après le début de la symptomatologie de
la pancréatite aiguë.
17. Les complications immédiates de la pancréatite
aiguë :
a. le pseudo kyste du pancréas.
b. la perforation d'un organe creux.
c. la surinfection de la coulée pancréatique.
d. l’hémorragie.
e. les défaillances viscérales.
18. Un sujet eu coma stade IV :
a. Garde une survie des fonctions cérébrales.
b. Est un sujet en mort cérébrale.
c. Peut avoir une réponse réflexe aux stimuli très violents.
d. Peut repasser en coma prolongé.
e. Peut être l'objet de prélèvements d'organes.
19. Quels est le traitement d'un choc anaphylactique
suite à une injection de pénicilline :
a. Arrêt de l'injection de pénicilline.
b. Injection d'atropine en IV.
c. Mise sous oxygène nasal.
d. Remplissage vasculaire : 10 ml /kg en 10 mn de
cristalloïdes.
e. Injection d'adrénaline : 0.25 mg dilué dans 10 ml de
SS 9 ‰.
20. À propos de l'acidocétose diabétique : la ou les RF
a. L'hyperglycémie est la conséquence d'une
néoglucogenèse et une glycogénolyse hépatique.
b. L’hyperglycémie est secondaire à la transformation
des acides gras libres.
c. L'acidose métabolique est la conséquence de
l'accumulation des réserves alcalines dans le sang.
d. La cétonurie n'est pas constante comme la glucosurie.
e. Peut être favorisée par l’infection, l'IDM ou la prise
des antis - inflammatoires stéroïdiens.
21. À propos de l'hypoglycémie : la ou les RF
a. L'injection de glucagon est recommandée quand elle
est induite par un sulfamide hypoglycémiant.
b. Il faut faire suivre le resucrage par des prises
alimentaires (20 g) de glucides.
c. En cas d'inefficacité d'une première injection de
Glucagon, une deuxième peut être faite après 2 heures.
38
d. Le Glucagon peut potentialiser l'insulino sécrétion
induite par un sulfamide hypoglycémiant.
e. Il faut évoquer le diagnostic d'un AVC chez le
diabétique de type 2 en cas d'inefficacité du resucrage.
22. Les hypoglycémies surviennent :
a. uniquement sous insuline.
b. uniquement sous insuline et sulfamides
hypoglycémiants.
c. uniquement chez les diabétiques.
d. uniquement après effort physique ou une situation de
stress.
e. chez les diabétiques et chez les non diabétiques.
23. À quoi correspond un état de choc hypovolémique :
a. Une défaillance de la pompe cardiaque.
b. Une diminution globale de la masse sanguine.
c. Une thrombose au niveau de l'artère pulmonaire.
d. Un œdème aigu du poumon (OAP).
e. Un état septique grave.
24. Quels sont les objectifs thérapeutiques d'un choc
cardiogénique :
a. Augmenter le débit cardiaque.
b. Renforcer la contractilité cardiaque.
c. Limiter la congestion pulmonaire.
d. Assurer une pression de perfusion efficace.
e. Assurer un transport d'oxygène et une oxygénation
tissulaire adéquate.
25. Parmi les étiologies de l'anémie ferriprive :
a. La maladie cœliaque.
b. Un saignement chronique.
c. Une hémolyse.
d. Une inflammation.
e. Un régime carencé.
26. Autours de l’anémie inflammatoire, on observe :
a. Une anémie normo chrome microcytaire.
b. Une anémie normo chrome macrocytaire.
c. Un fer sérique bas.
d. Une ferritinémie basse.
e. Une vitesse de sédimentation accélérée.
27. Un homme de 65 ans, asthmatique et hypertendu
ancien, présente brutalement une violente douleur
thoracique antérieure irradiée dans la région scapulaire
et le dos. Lors de son arrivée à l'urgence, la douleur
demeure très intense avec une TA 190 / 120.
L'auscultation thoracique et l'électrocardiogramme sont
normaux.
* Quel diagnostic évoquer en priorité ? les RF
a. Péricardite aiguë.
b. Syndrome coronarien aigu.
c. Dissection aortique.
d. Pancréatite aiguë.
e. Pneumothorax spontané.
28. Quel examen para clinique à demander en urgence ?
(la ou les réponses fausses)
a. Télé thorax.
b. Scanner thoracique.
c. Scanner abdominal.
d. Écho trans œsophagien.
e. Coronarographie en urgence.
29. Quel est votre attitude thérapeutique :
a. Respecter la TA élevée.
b. TA inférieur à 120 / 60 mmHg,
c. Orienter le patient vers un centre spécialisé.
d. Calmer la douleur.
e. Ne donner pas les β - bloquants.
30. Patient XY âgé de 45 ans, originaire et demeurant à
SBA, II est cadre administratif de profession, sans
antécédents particuliers est ramené au UMC pour une
confusion fébrile. L'interrogatoire ne retrouve que la
notion d’un episode de convulsion tonico - clonique
généralisée de 30 secondes. L'examen CNQ retrouve
une fièvre à 40° et une hypotonie généralisée. Quelle est
la CAT ?
a. Scanner cérébral.
b. Ponction lombaire.
c. IRM cérébrale.
d. Bilan d'urgence.
e. Conditionnement plus gardénal.
39
31. La ponction lombaire ramène un liquide clair à 300
elt /mm 3 à 80 % lymphocytaire, glycorrachie à 0.70 g /l,
glycémie concomitante à 1,10 g /L. Lecture du LCR :
(les réponses fausses)
a. Méningite purulente à 300 elt/mm³ lymphocytaire.
b. Méningo - encéphalite aiguë à liquide claire
lymphocytaire normo glycorrachique.
c. Méningite à liquide claire à 300 elt/mm³
lymphocytaire.
d. Méningo - encéphalite subaiguë à liquide claire
lymphocytaire.
e. Méningisme.
32. Le diagnostic le plus probable : les RF
a. Méningo - encéphalite aiguë herpétique.
b. Méningo - encéphalite aiguë tuberculeuse.
c. Méningite à pneumocoque.
d. Méningite à méningocoque.
e. Méningo - encéphalite aiguë à VIH.
33. Un jeune homme de 20 ans sans antécédents
médicaux, engagé récemment dans armée de terre,
présente au cours d'une longue marche commando en
tenue de combat des crampes musculaires avec vertige,
vomissements et douleurs abdominaux puis s'effondre
brutalement. Son examen initial trouve un patient
inconscient avec une peau sèche et brûlante. Il est
évacué d’urgence à l'hôpital.
Quel est le diagnostic le plus probable ? (la réponse
juste)
a. Une hypoglycémie,
b. Un accident vasculaire cérébral.
c. Un coup de chaleur exceptionnel.
d. Une intoxication alimentaire.
e. Une épilepsie.
34. Quels sont les éléments en faveur de votre
diagnostic ?
a. Le jeune âge.
b. Une peau sèche.
c. Circonstances de survenue
d. L'absence de maladies préexistantes.
e. Les facteurs favorisants.
35. Quels diagnostics différentiels doivent être évoqués ?
a. Une infection du système nerveux central.
b. Un syndrome de manque.
c. Une intoxication aux amphétamines.
d. Un sepsis.
e. Une insuffisance surrénalienne.
36. Quelles sont les mesures thérapeutiques les plus
appropriées ?
a. Libération des voies aériennes supérieures.
b. Les antipyrétiques.
c. Refroidissement progressif.
d. Perfusions froides.
e. Déshabiller le patient.
37. Citez la ou les étiologie(s) possible(s) d'un diabète
insipide néphrogénique :
a. Hypocalcémie.
b. Hypokaliémie
c. Syndrome de Sheehan.
d. Sarcoïdose.
e. Intoxication par le lithium.
38. La nécrose tubulaire est une :
a. Se manifeste par hématurie et protéinurie.
b. Est une complication d’un état de choc septique.
c. Elle est de bon pronostic.
d. Insuffisance rénale aiguë fonctionnelle.
e. Peut évoluer vers la nécrose corticale.
39. En cas d’alcalose métabolique on trouve :
a. un DIF bas.
b. un SID élevé.
c. un A tot bas.
d. Une PaCO2 basse.
e. Toutes les réponses sont fausses.
40. L'hypokaliémie peut être due à :
a. Un hyperaldostéronisme.
b. Un hypoaldostéronisme.
c. Une hypo - osmolarité.
d. À un transfert intracellulaire par acidose métabolique.
e. Toutes les réponses sont fausses.
40
1. La libération des voies aérienne supérieures pour la
réanimation cardiorespiratoire :
a. Pour faciliter le massage cardiaque externe.
b. Pour une bonne oxygénation du sang.
c. Pour faciliter le flux d'aire lors du massage cardiaque
externe.
d. Pour réduire le temps de la réanimation cardio-
respiratoire.
e. Pour lutter contre les fausses routes.
2. Un arrêt cardiorespiratoire par fibrillation nécessite :
la ou les RF
a. Une libération des voies aérienne supérieures.
b. Un massage cardiaque externe.
c. Un défibrillateur.
d. L'adrénaline.
e. Toutes ces réponses fausses.
3. L'importance de la rhabdomyolyse dans l'anémie
aiguë du membre dépend :
a. Du retard du traitement médical.
b. La masse musculaire du membre ischémié.
c. Les antécédents du patient.
d. Hyperkaliémie.
e. La durée de l'ischémie.
4. Le diagnostic clinique d'une ischémie aiguë d'un
membre se manifeste par :
a. Une chaleur.
b. Une douleur.
c. Une pâleur.
d. Une absence de pouls.
e. Une rougeur.
5. Les agressions cérébrales secondaires d'origine
systémique :
a. PA systolique inférieure à 90 mm Hg.
b. PaCO2 inférieure à 30 mmHg.
c. Glycémie supérieur à 1,40 g/l.
d. Saturation O2 < 90 %.
e. PaO2 < 60 mmHg.
6. Les signes immédiats après une électrisation : (la ou
les réponses fausses)
a. Spasmes artériels.
b. Traumatisme du rachis.
c. Brûlures cutanées ou muqueuses.
d. Ischémie myocardique.
e. Œdème des VAS par lésions buccales.
7. Devant une pancréatite aiguë chez l'adulte on doit
rechercher en premier lieu deux affections parmi les
suivantes, lesquelles ?
a. Un alcoolisme.
d. Un syndrome ourlien récent.
b. Une ascaridiose de la voie biliaire principale.
e. Une lithiase biliaire à petits calculs.
c. Une distomatose hépatique.
8. Dans la pancréatite aiguë, les signes suivants sont
considérés comme des critères de gravité, sauf un,
lequel ? la RJ
a. Âge 55 ans.
b. Hyperglycémie.
c. Hypercalcémie.
d. Acidose.
e. Hypoxie.
9. Une déshydratation intra cellulaire :
a. est évoquée devant une augmentation de la protidémie.
b. est associée à une hyper natrémie.
c. est une conséquence fréquente de l'utilisation des
diurétiques de l'anse.
d. peut être associée à une déshydratation extra cellulaire.
e. doit être préférentiellement traitée par une perfusion
hypotonique.
10. Un patient présente une natrémie à 113 mmol /l une
créatininémie à 12 mg /l et une TA= 98 / 54 mmHg,
quelques jours après l'augmentation de son furosémide
de 40 mg à 80 mg par jour. Il présente :
a. Une déshydratation intracellulaire.
b. Une hyperhydratation intracellulaire.
c. Une hypovolémie.
d. Une hyponatrémie de dilution.
e. Une poussée d'insuffisance rénale aiguë.
S2 19 – 11 – 2017
41
11. Les circonstances suivantes peuvent être à l'origine
d'une insuffisance rénale fonctionnelle par défaut de
perfusion rénale :
a. L'existence d'un troisième secteur.
b. Insuffisance cardiaque congestive.
c. Perte de l'autorégulation de la filtration glomérulaire
d'origine médicamenteuse.
d. Fibrose rétro péritonéale.
e. Vascularite.
12. La classification clinique des hypothermies :
a. Nécessité la mesure de la température centrale.
b. Utilise un thermomètre standard pour mesurer la
température.
c. Dispense de l'usage d'un thermomètre.
d. Stratifie les hypothermies en quatre stades.
e. Toutes les réponses sont justes.
13. Dans les hypothermies sévères :
a. Le réchauffement doit être rapide et actif.
b. L'hypoxie protège le cerveau en cas d'arrêt cardiaque.
c. Les stimulations nociceptives favorisent la survenue de
fibrillation ventriculaire.
d. Sur l'ECG les complexes QRS sont très larges.
e. Des frissons sont encore présents et perceptibles.
14. Pour le diagnostic positif de la syncope, quel(s)
examen(s) complémentaire(s) est (sont) obligatoire (s) :
a. Électroencéphalogramme.
d. Coronarographie.
b. Echocardiographie.
e. Électrocardiogramme.
c. Scanner cérébral.
15. L'hypotension orthostatique :
a. Est recherchée par un test d'orthostatisme (test de
Schellong).
b. Est provoquée par la station debout prolongée.
c. Peut - être secondaire à des médicaments.
d. Se voit surtout chez les diabétiques et les
Parkinsoniens.
e. Peut révéler une hypovolémie vraie ou relative.
16. Prise en charge d'un état de mal épileptique scoré
< 7 :
a. Administrer un anti épileptique IV.
b. Assurer la liberté des voies aériennes.
c. Intubation.
d. Mise sous ventilation mécanique.
e. Rechercher une hypocalcémie et / ou d'une
hypoglycémie.
17. Devant un patient victime d'un état de mal
épileptique, que doit-on envisager ?
a. Ponction lombaire.
b. Électroencéphalogramme (EEG).
c. Ionogramme, glycémie et calcémie.
d. Radiographie du crâne.
e. Scanner cérébral.
18. L'insuffisance surrénalienne aiguë : la ou les RF
a. Le tableau clinique comporte ; un tableau pseudo-
chirurgical, diarrhées, fièvre, une déshydratation.
b. La mélanodermie est un signe constant.
c. Peut se manifester par un collapsus isolé et inexpliqué.
d. Quand le diagnostic n'est pas aisé, il faut la traiter sur
une présomption.
e. Cette situation algue et grave survient surtout chez le
sujet hypotendu.
19. Quel est l'antidote d'une intoxication par
paracétamol ? la RJ
a. Gluconate de calcium.
b. Naloxone.
c. Vitamine B1.
d. N - acétylcystéine.
e. Bleu de méthylène.
20. Monsieur M S âgé de 70 ans, présente une artérite
inflammatoire nécessitant une corticothérapie à 0,75
mg/kg/j sur antécédent d'HTA et de diabète type 2, sous
inhibiteur de l'enzyme de conversion et un diurétique, et
glucophage 2 g / j. Avant la thérapeutique un bilan
biologique est nécessaire sauf une : (la réponse juste)
a. Ionogramme sanguin.
b. Fonction rénale.
c. Débite de filtration glomérulaire par la formule de
Cockcroft.
d. Bilan hépatique.
e. Formule numération sanguine.
42
21. (Suite) Un changement dans sa thérapeutique est
préconisé sauf une : (la réponse juste)
a. Arrêt du diurétique.
b. Maintien du glucophage et du diurétique.
c. Arrêt du glucophage et introduction de l'insuline.
d. Introduction du KCL et des biphosphonates.
e. Introduction d’un inhibiteur calcique associé à
l'inhibiteur de l'enzyme de conversion.
22. (Suite) Les recommandations générale de la
prescription thérapeutique de ce sujet doit obéir à toute
sauf une : la RJ
a. Obéir aux dix règles de prescription.
b. Supprimer les biphosphonates source d'effets
indésirable.
c. Maintien les biphosphonates, afin d'éviter le risque de
fracture.
d. Traiter les trois affections et surveiller.
e. La sous prescription source d'effets indésirables.
23. Un homme de 65 ans, asthmatique et hypertendu
ancien, présente brutalement une violente douleur
thoracique antérieure irradiée dans la région scapulaire
et le dus. Lors de son arrivée à l'urgence, la douleur
demeure très intense avec une TA 190 / 120.
L'auscultation thoracique et électrocardiogramme sont
normaux. Quel diagnostic évoquer en priorité ? LA RJ
a. Péricardite aiguë.
b. Syndrome coronarien aigue.
c. Pancréatite aiguë.
d. Pneumothorax spontané.
e. Dissection aortique.
24. (Suite) Quel examen para clinique à demander en
urgence ?
a. Télé thorax.
b. Scanner abdominal.
c. Scanner thoracique.
d. Écho - trans œsophagien.
e. Coronarographie en urgence.
25. (Suite) Quel est votre attitude thérapeutique ?
a. TA inférieur à 120 / 60 mmHg.
b. Orienter le patient vers un centre spécialisé.
c. Calmer la douleur.
d. Respecter la TA élevée.
e. Ne donner pas les β - bloquants.
26. Quel antibiotique prescrivez-vous en cas d'une
infection urinaire récidivante (4ème
épisodes) chez une
femme sans anomalies sur l'arbre urinaire ?
a. Amoxicilline.
b. Amoxicilline + Gentamicine.
c. Bactrim fort.
d. Augmentin.
e. Ciprolon.
27. Quels antibiotiques peuvent être prescrits en cas
d'infection ostéo articulaire en raison de leur bonne
diffusion osseuse :
a. La Bristopen.
b. L'Amoxicilline.
c. Le Cefacidal.
d. La Rifampicine.
e. Le Ciprolon.
28. Cochez l'affirmation ou les affirmations vraies sur
les états de chocs :
a. Au cours du choc hypovolémique, le débit cardiaque
est augmenté.
b. Le choc hypovolémique est dû à une diminution de
remplissage cardiaque.
c. Au cours du choc cardiogénique, le débit cardiaque est
diminué.
d. Le choc cardiogénique est lié à une altération de la
fonction myocardique.
e. Tous les états de choc altèrent le métabolisme
tissulaire et entraînent une hypoxie cellulaire.
29. Parmi les propositions suivantes, lesquelles
constituent une étiologie du choc cardiogénique ?
a. Hémorragie digestive massive.
b. Infarctus myocardique aigu antéro-septal étendu et
inféro- postérieur.
c. Tamponnade.
d. Occlusion intestinale aiguë.
e. Embolie pulmonaire aiguë massive.
30. Les manifestations cliniques du choc
anaphylactique :
a. Surviennent dès la première injection d'antigène.
b. Surviennent dans les minutes suivant l'injection
d'antigène.
c. Sont en partie liées à la contraction de fibres
musculaires lisses.
43
d. Sont en grande partie liées à une vasoconstriction
périphérique.
e. Cèdent spontanément dès l'arrêt de l'injection de
l'antigène.
31. Lors d'un coma, l'existence de sueurs profuses et
d'un réflexe cutané plantaire en extension des deux
côtés doit faire évoquer un des diagnostics suivants,
lequel ? (la réponse juste)
a. Un coma acidocétosique.
b. Un coma éthylique.
c. Un coma endocrinien.
d. Un coma hypoglycémique.
e. Un coma barbiturique.
32. Une jeune femme de 30 ans est suivie pour un PTI,
elle présente un purpura pétéchial et des ecchymoses.
Le taux de plaquettes est à 15 000 /mm 3, vous
envisager de : (la réponse juste)
a. Transfusion de concentré unitaire plaquettaire.
b. Traitement par le Danazol.
c. Corticothérapie.
d. Splénectomie.
e. Transfusion de sang total.
33. Les manifestations hémorragiques au cours des
purpuras thrombopéniques peuvent se présenter par :
a. Des hématomes.
b. Des hémarthroses.
c. Des épistaxis.
d. Des ecchymoses et des pétéchies.
e. Des hémorragies rétiniennes au fond d'œil.
34. Les perturbations ioniques qui découlent de
l'acidocétose diabétique : (la ou les réponses fausses)
a. Le déficit en K+ est constant même si la kaliémie est
initialement normale.
b. Le déficit en Na+ est inconstant.
c. La fuite sodique et potassique est due principalement à
la diurèse osmotique.
d. Le déficit en K + est absent si la kaliémie est
initialement élevée.
e. La correction de l'hypokaliémie doit être entreprise dès
la mise en route de la réhydratation.
35. Après une chute accidentelle dans l'eau, on observe :
(la ou les réponses justes)
a. Un spasme laryngé d'installation rapide mais
transitoire.
b. La survenue immédiate d'un SDRA.
c. Vasoconstriction périphérique et hémo détournement
vers les organes nobles.
d. Hypothermie prolongée avec effet protecteur sur le
cœur et le cerveau.
e. Toutes les réponses sont justes.
36. En cas de morsures de serpents, la sérothérapie est
indiquée si :
a. L'œdème secondaire à la morsure intéresse la majeure
partie du membre.
b. Enfants âgé de moins de 5 ans.
c. La morsure est confirmée,
d. Un écoulement sanguinolent apparaît au niveau du
siège de la morsure.
e. Toutes les réponses sont justes.
37. Une dissection aortique se caractérise par :
a. La survenue brutale d'une douleur thoracique.
b. Une douleur thoracique intense et migratrice.
c. Une douleur thoracique migratrice et variant avec les
mouvements respiratoires.
d. Un Pouls asymétrique et souffle diastolique
d'insuffisance aortique.
e. Toutes les réponses sont justes.
38. En cas d'acidose métabolique on trouve :
a. Un SID bas,
b. Un DIF élevé.
c. Un DIF bas.
d. Un A tot élevé.
e. Toutes les réponses sont fausses.
39. En cas d'hyperkaliémie on peut trouver :
a. Un allongement de l'espace QT.
b. Un défaut de réabsorption dans le néphron proximal
de potassium.
c. Une excrétion supranormale par le néphron distal de
potassium.
d. Un trouble de conduction auriculo ventriculaire et
intra ventriculaire.
e. Une insuffisance rénale aiguë.
44
40. En cas de remplissage avec du SS 0.9 % chez un
patient en état de choc :
a. Le risque est de développer une alcalose métabolique.
b. Le risque est de développer une acidose minérale.
c. Le risque est de développer une acidose hyper
chlorémique.
d. Le trouble acido basique qui en résulte est dû à une
baisse du SID.
e. Le trouble acido basique qui en résulte est dû à une
augmentation du SID.
1. Les circonstances de survenue du choc
cardiogénique sont : (la ou les réponses fausses)
a. Les pertes plasmatiques.
b. L'embolie pulmonaire massive.
c. La tamponnade cardiaque.
d. L'infarctus du myocarde.
e. Toutes ces réponses sont correctes.
2. Quel élément clinique ou para clinique est nécessaire
au diagnostic de mort encéphalique ?
a. Une anisocorie.
b. Une hypothermie.
c. Un diabète insipide.
d. Une absence de réflexes du tronc cérébral.
e. 2 EEG à quatre - heures d’intervalle montrant un tracé
faiblement réactif.
3. L'hémogramme d'un sujet de 51 ans comporte : GR :
52 M /mm 3, Hb :15 g/dl, VGM : 85f1 et CCMH : 32%,
GB : 2100/mm 3 avec une répartition faite de PNN : 2 %
- PN baso : 00% - PEo : 00% - Lm : 96%; mono : 2% ;
taux de plaquettes = 330.000 / mm³. Ce patient présente
une :
a. Lymphocytose.
b. Neutropénie.
c. Monocytose.
d. Bicytopénie.
e. Un hémogramme normal.
4. Le purpura thrombopénique idiopathique : ABCD /
E / ABCDE
a. Est une pathologie acquise de l'hémostase primaire.
b. Le bilan de coagulation est normal.
c. Une thrombopénie sévère peut s'observer.
d. La splénectomie est indiquée en cas de cortico
résistance ou de cortico dépendance.
e. Toutes les réponses sont justes.
5. Le diagnostic biologique de l'hémophilie A est :
a. Un TQ allongé.
b. Un TCA allongé, TP normal.
c. Un TS normal et un taux de plaquettes normal.
d. Le facteur de Von Willebrand est normal.
e. Un déficit en facteur VIII.
6. Dans les syncopes :
a. Le test de Schellong permet de rechercher une
hyperréactivité sino-carotidienne.
b. La perte de connaissance est due à une soudaine
anoxie cérébrale globale et passagère.
c. Le test d’inclinaison recherche une cause cardiaque.
d. Le massage sino carotidien recherche une hypotension
orthostatique.
e. La syncope d’Adams Stokes est en rapport avec une
torsade de pointe.
7. La température de référence ou de consigne est :
a. La température du compartiment central ou noyau.
b. La température du thermostat hypothalamique.
c. Varie en fonction des ambiances climatiques.
d. Est multipliée par 30 à 40 lors de l'exercice.
e. Toutes les réponses sont justes.
8. Dans la fièvre :
a. Les prostaglandines E2 sont responsables du décalage
de la température de référence.
b. Les pyrogènes endogènes inhibent la thermogénèse.
c. La thermorégulation n'est plus contrôlée.
d. La réponse fébrile se déroule en 3 phases.
e. Toutes les réponses sont justes.
9. Les fractures des côtes consolident en :
a. Moins d'une semaine.
b. Entre une et trois semaines.
c. Entre trois et six semaines.
d. Plus de six semaines.
e. Ne consolident jamais.
S2 12 – 03 – 2017
45
10. Le volet costal :
a. Existence sur 3 étages costaux successifs d’au moins 2
foyers de fracture au niveau de chaque arc costal.
b. Peut être responsable d’épanchements pleuraux.
c. Responsable de respiration paradoxale.
d. Responsable de troubles de la mécanique ventilatoire.
e. Les volets postérieurs sont les plus mobiles.
11. Le drainage thoracique pour un épanchement post-
traumatique est effectué :
a. 2ème
espace intercostal sur la ligne axillaire antérieure.
b. 2ème
espace intercostal sur la ligne médio claviculaire.
c. 4ème
espace intercostal sur la ligne axillaire antérieure.
d. 4ème
espace intercostal sur la ligne médio claviculaire.
e. Aucune réponse juste.
12. La prescription d'une association d'antibiotiques est
indiquée en cas :
a. Pronostic vital mis en jeu.
b. L'agent infectieux est résistant aux ATB usuels.
c. Le malade est insuffisant rénal.
d. Le malade est insuffisant hépatique.
e. Pour éviter l'émergence des mutants résistants.
13. Donnez une lecture de la formule du LCP suivant
chez un Malade B.T âgé de 48 ans : 120 elt /mm 3, les
lymphocytes 70 %, glycorachie : 0.54 g /l (glycémie à l
g/l). Albumine 1.2 g /l. Examen direct négatif, culture
en cours.
a. LCR clair lymphocytaire, normo glycorachique normo
protéinorachique à méningocoque.
b. Méningite à liquide clair lymphocytaire normo
glycorachique hyper protéinorachique.
c. LCR clair lymphocytaire avec dissociation albumino
cytologique.
d. Méningite bactérienne décapitée.
e. Aucune réponse juste.
14. Un patient présente une natrémie à 113 mmol/1,
une créatinémie à 11.6 mg/l et une hypotension à 98/54
mmHg, quelques jours après l’augmentation de son
lasilix de 40 à 80 mg/j. Il présente :
a. Une déshydratation intracellulaire.
b. Une hyperhydratation intracellulaire.
c. Une hypovolémie.
d. Une hyponatrémie de dilution.
e. Une poussée d’insuffisance rénale aiguë.
15. Les circonstances suivantes peuvent être à l'origine
d'une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle par défaut
de perfusion rénale :
a. Insuffisance cardiaque congestive.
b. L'existence d'un troisième secteur.
c. Pertes de l'autorégulation de la filtration glomérulaire
d'origine médicamenteuse.
d. Fibrose rétro péritonéale.
e. Vascularite.
16. Citez la ou les étiologie(s) possible(s) d’un diabète
insipide néphrogénique :
a. Intoxication par le Lithium.
b. Hypocalcémie.
c. Hypokaliémie.
d. Méningo - encéphalite.
e. Syndrome de Sheehan.
17. La libération des voies aériennes supérieures pour
la réanimation cardiorespiratoire permet de :
a. Faciliter le massage cardiaque externe.
b. Une bonne oxygénation du sang.
c. Lutter contre les fausses routes.
d. Faciliter le flux d’air lors du massage cardiaque
externe.
e. Réduire le temps de la réanimation cardiorespiratoire.
18. Un arrêt cardiorespiratoire par fibrillation
nécessite :
a. La libération des voies aériennes supérieures.
b. Un massage cardiaque externe.
c. Un défibrillateur.
d. L'administration d'adrénaline.
e. Toutes ces réponses sont fausses.
19. Pour améliorer le pronostic d'un sujet en arrêt
cardiorespiratoire, la réanimation de base doit être
commencée :
a. En milieu public par les témoins.
b. Par les équipes des pompiers.
c. Par l'équipe de protection civile.
d. Par les équipes du SAMU.
e. Toutes ces réponses fausses.
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20. L'adrénaline est la drogue de choix par la
réanimation d'un arrêt cardiorespiratoire. On peut la
remplacer par :
a. L’atropine : 0.05 mg en IV.
b. La vasopressine si fibrillation ventriculaire.
c. La lidocaïne.
d. La noradrénaline IV.
e. L'amiodarone.
21. Cochez les réponses justes :
a. L'encéphale reçoit 20 % du débit cardiaque.
b. Le cerveau adulte représente 5 % du poids corporel.
c. PAM = PPC + PIC.
d. Le volume sanguin.
e. DSC = PPC / RVS.
22. La classification de MASTER :
a. Définition trois groupes à risque.
b. Comporte des données anamnestiques
c. Comporte des observations cliniques objectives.
d. Vise à guider la nécessité de réaliser des explorations
complémentaires.
e. Détermine la durée d’hospitalisation en réanimation.
23. Les agressions cérébrales secondaires d’origine
systémique :
a. PA systolique inférieure à 90 mmHg.
b. PaCO2 inférieure à 30 mmHg.
c. Glycémie supérieure à 1.40 g/l.
d. Saturation O2 < 90 %.
e. PaO2 < 60 mmHg.
24. La prise en charge d'un état de mal épileptique
scoré à 5, fait appel à :
a. Assurer la liberté des voies aériennes.
b. Oxygénothérapie mise sous ventilation mécanique.
c. Administrer un anti épileptique IV.
d. Ne pas intuber.
e. Bilan d'urgence à la recherche d'une hypocalcémie et /
ou hypoglycémie.
26. Quel est l'antidote des intoxications accidentelles
par les raticides ?
a. Atropine.
b. Alcool éthylique.
c. Vitamine K1.
d. Gluconate de calcium. e. Valium.
27. Quel est l’antidote d'une intoxication exclusive par
benzodiazépine ?
a. Naloxone.
b. Flumazénil.
c. N - acétylcystéine.
d. Vitamine K.
e. Oméprazole.
28. Parmi les propositions suivantes, citez celles qui
évoquent l’origine pancréatique d’une douleur ?
a. Épigastrique à irradiation dorsale transfixiante.
b. Épigastrique périodique calmée par l’alimentation.
c. Épigastrique majeure calmée par l’anté flexion.
d. Épigastrique à irradiation rétro - sternale.
e. Hypogastrique à irradiation basse.
29. Le diagnostic d'une pancréatite aiguë est posé, est
ce que les signes suivants sont considérés comme des
critères de gravité ?
a. CRP : 180 mq/1.
b. Score de Ranson égal à 4.
c. Âge du patient : 58 ans.
d. Défaillance d'organe : respiratoire et rénale.
e. Index de sévérité TDM : stade E de Balthazar.
30. Parmi les propositions suivantes, laquelle
correspond à un asthme aigu très grave ?
a. PO2 > 50 mmhg / PaO2 > 80 mmhg / pH < 7,35.
b. DEP > 20 % théorique.
c. Cyanose, bradypnée, bradycardie silence auscultatoire,
coma.
d. PaO2 > 50 %, DEP < 100 L /mn, PH > 7,45.
e. Aucune réponse.
31. Tous ces médicaments potentialisent l’hypoglycémie
sous sulfamide hypoglycémiants chez le diabétique de
type 2 :
a. La cortisone, les diurétiques Aspirine à fortes doses,
Inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), Bactrim.
b. Bactrim, Diurétiques, Aspirine à fortes doses,
Inhibiteurs calciques, β - bloquants.
c. Neuroleptiques, Aspirine à fortes doses, Bactrim,
Antitussif.
d. Aspirine à fortes doses, dextropropoxyphène, IEC,
Bactrim.
e. Aspirine, Bactrim, Carbimazole, Hydrocortisone.
47
32. L’acidocétose diabétique :
a. Nécessite l’apport de sérum bicarbonaté systématique.
b. Est fréquente chez le diabétique de type 1.
c. Ne survient jamais chez un diabétique de type 2.
d. Peut se compliquer d'une cécité.
e. La correction de l'hypokaliémie doit être entreprise dès
la mise en route de la réhydratation.
33. Les vomissements abondants peuvent être
responsables :
a. D’une alcalose métabolique.
b. D’une acidose métabolique.
c. D’une hyper chlorémie.
d. D’une hyperkaliémie.
e. Toutes les réponses sont justes.
34. Chez un sujet présentant une morsure de serpents
grade 2 au niveau de la jambe :
a. L’envenimation est dite sévère.
b. L’œdème est régional, intéressant la majeure partie du
membre.
c. Il existe des manifestations cutanées à type d'érythème
et urticaire généralisé.
d. Il existe un saignement modéré au niveau de la
morsure.
e. La sérothérapie est systématique.
35. Une patiente âgée de 55 ans admise en urgence
pour un syndrome douloureux et fébrile de
l'hypochondre droit évoluant depuis 72 heures. Quels
sont les diagnostics à évoquer ?
a. Diverticulite sigmoïdienne aiguë.
b. Iléite terminale.
c. Pancréatite aiguë.
d. Cholécystite aiguë.
e. Angiocholite aiguë.
36. Quels sont les examens biologiques à demander ?
a. Leucogramme.
b. CRP.
c. Bilan hépatique de cholestase.
d. Lipasémie.
e. Hémocultures.
37. Quels sont les examens morphologiques à
demander ?
a. Lavement baryté.
b. Entéro scanner.
c. Echographie abdominale.
d. Bili - IRM.
e. Body - Scan.
38. Une femme âgée de 35 ans, asthmatique, est victime
de brûlures suite à la projection d'eau bouillante. La
protection civile arrive sur les lieux. Quelle sera
l'attitude de la protection civile sur place ?
a. Rechercher des signes de détresse vitale.
b. Déshabiller la brûlée.
c. Calmer la patiente en administrant des
benzodiazépines.
d. Recouvrir d’un drap stérile (propre) et couverture
chauffante.
e. Poser une VVP et commencer le remplissage
vasculaire.
39. Aux urgences, l'examen clinique montre : patiente
consciente, TA = 90 / 60 mmHg, FC =120 bat /min, F.
resp = 20 cycles/mn, phlyctènes et rougeur suintante
intéressant la face antérieure du thorax de l’abdomen et
des 2 membres inférieurs. Calculer la surface cutanée
brûlée (SCB) :
a. SCB = 36 %.
b. SCB = 27 %.
c. SCB = 45 %.
d. SCB = 31 %.
e. SCB = 37 %.
40. Quels sont les critères d’hospitalisation chez cette
patiente ?
a. SCB > 10 %.
b. Tare associée.
c. SCB > 25 % de la surface corporelle.
d. Intoxication respiratoire associée.
e. Toutes les réponses sont justes.
48
Un patient arrive aux urgences médicales dans le coma,
l'examen montre une ouverture des yeux à la douleur, une
réponse verbale incohérente, et une réponse motrice
stéréotypée en extension.
1. Quel est le score de Glasgow de ce patient ?
a. 8
b. 9
c. 11
d. 7
e. 6
2. Ce score détermine la profondeur du coma :
a. Dans ce cas le score est peu inquiétant.
b. Est un examen neurologique suffisant pour la prise en
charge d’un malade dans le coma.
c. Chez ce patient vous préconisez surtout le surveillance
stricte.
d. L’intubation et la ventilation assistée sont indiquées
dans ce cas.
e. Aucune de ces réponses n’est correcte.
3. Pour le diagnostic positif de la syncope, quel(s)
examen(s) complémentaire(s) est (sont) inutile(s) ?
a. EEG.
b. Échocardiographie.
c. Scanner cérébral.
d. Coronarographie.
e. Enregistrement endo cavitaire.
4. Les syncopes vagales ou réflexes (neuro
cardiogénique) :
a. Sont évoquée à l’interrogatoire sur des circonstances
de survenue particulière.
b. Sont souvent précédées de prodrome de type vagal.
c. Peuvent être reproduites par le massage sino -
carotidien chez le sujet âgé avec hyper réflexivité du
sinus carotidien.
d. Surviennent pendant ou après des efforts.
e. Toutes les réponses sont fausses.
5. Les fractures des côtes consolident en :
a. Moins d’une semaine.
b. Entre une et trois semaines.
c. Entre trois et six semaines.
d. Plus de six semaines.
e. Aucune réponse juste.
6. Le drainage thoracique pour épanchement post-
traumatique est effectué :
a. 2ème
espace intercostal sur la ligne axillaire antérieure.
b. 2ème
espace intercostal sur la ligne médio claviculaire.
c. 4ème
espace intercostal sur la ligne axillaire antérieure.
d. 4ème
espace intercostal sur la ligne médio claviculaire.
e. Aucune réponse juste.
7. La méningo - encéphalite (ME) tuberculeuse est :
a. Rare dans nos régions.
b. D’évolution foudroyante.
c. Se complique essentiellement par une hydrocéphalie.
d. On peut assister à une dissociation albumino
cytologique.
e. Le LCR est purulent.
8. À la sortie du bloc opératoire on peut couvrir le
malade par :
a. Une antibiothérapie probabiliste.
b. Une antibiothérapie prophylactique.
c. Une antibiothérapie curative.
d. Une antibiothérapie documentée.
e. Aucune réponse n’est juste.
9. Cochez la ou les réponses justes : ABCD / E /
ABCDE
a. La rhombencéphalite est pathognomonique lors de la
ME listérienne.
b. Les arachnoïdites sont fréquentes lors de la ME
tuberculeuse.
c. Les séquelles neurologiques sont fréquentes lors de la
ME herpétique.
d. La mortalité est importante lors de la ME herpétique
malgré traitement.
e. Toutes les réponses sont justes.
10. Un patient présente une natrémie à 113 mmol /l,
une créatininémie à 12 mg/l, TA = 98/54 mmHg,
quelques jours après l’augmentation de son lasilix de 40
à 80 mg/l. Il présente :
a. Une déshydratation extracellulaire.
b. Une hyperhydratation.
c. Une hypovolémie.
d. Une hyponatrémie de dilution.
S1 14 – 11 – 2016
49
e. Une poussée d’IR aiguë.
11. Parmi les symptômes observés en cas de troubles de
la natrémie, citez ceux rapportés à l’hyponatrémie :
a. Soif et irritabilité.
b. Hémorragie sous arachnoïdienne.
c. Sécheresse de la muqueuse buccale.
d. Pertes de poids.
e. Nausées.
12. Étiologie du diabète insipide néphrogénique :
a. Craniopharyngiome.
b. Syndrome de Sheehan.
c. Méningo - encéphalite.
d. Hypokaliémie.
e. Hypocalcémie.
13. Devant un arrêt cardio-respiratoire, il faut
rechercher :
a. Le pouls radial.
b. Le pouls radial e carotidien.
c. Les pouls centraux.
d. Le pouls carotidien et/ou fémoral.
e. Le pouls fémoral et radial.
14. La crise aiguë hypertensive, c’est une augmentation
brutale :
a. TA ≥ 160 / 95 mmHg.
b. TA ≥ 160 / 95 mmHg avec retentissement viscérale.
c. TA ≥ 160 / 95 mmHg avec une hypoglycémie sévère.
d. TA ≥ 160 / 95 mmHg avec des céphalées intenses.
e. TA ≥ 180 / 95 mmHg sans retentissement viscérale.
15. L’ischémie aiguë des membres c’est :
a. L'obstruction de la veine principale d’un membre.
b. L’obstruction complète d’une artère principale d’un
membre.
c. L’obstruction incomplète d’une vascularisation d’un
membre.
d. Obstruction complète d’une artère principale d’un
membre.
e. Obstruction totale d’un réseau collatéral.
16. Le diagnostic clinique d’une ischémie aiguë d’un
membre se manifeste par :
a. Une douleur.
b. Une pâleur.
c. Une agitation.
d. Une absence de pouls.
e. Un état de choc.
17. Devant une pancréatite aiguë chez l’adulte on doit
rechercher, en premier lieu, deux affections parmi les
suivantes, lesquelles ?
a. Un alcoolisme.
b. Une ascaridiose de la voie biliaire principale.
c. Une distomatose hépatique.
d. Un syndrome ourlien récent.
e. Une lithiase biliaire à petits calculs.
18. Dans la pancréatite aiguë, les signes suivants sont
considérés comme des critères de gravité, sauf un,
lequel ?
a. Âge 55 ans.
b. Hyperglycémie.
c. Hypercalcémie.
d. Acidose.
e. Hypoxie.
19. À propos de l’anémie hypochrome microcytaire,
quelles sont les réponses justes ?
a. Elle est définie par un VGM et une CCMH bas.
b. Elle peut être causée par une carence vitaminique.
c. Elle peut être causée par une hémolyse.
d. Elle peut être causée par une inflammation.
e. Elle peut être causée par une carence martiale.
20. À propos de l’anémie hémolytique, quelles sont les
réponses justes ?
a. Elle est toujours régénérative avec un taux de
réticulocytes > 120000 éléments /mm³.
b. Elle est normocytaire ou macrocytaire.
c. Elle entraîne une augmentation de la bilirubine libre
du fait du catabolisme des hématies.
d. Elle entraîne une baisse de la LDH.
e. Elle est mécanique lorsque des schizocytes sont
retrouvés sur le frottis sanguin.
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21. Dans le “Glasgow - Liege Scale” :
a. Améliore la précision du pronostic pour les patients
souffrant d’un traumatisme crânien grave.
b. Le réflexe oculo céphalogyre horizontal est noté à 2.
c. Une échelle allant de 3 à 20.
d. Évalue les réflexes du tronc cérébral.
e. Le réflexe fronto - orbiculaire est coté à 5.
22. Une intensité du courant supérieure à 2 A peut
provoquer :
a. Une inhibition des structures nerveuses.
b. Réaction d’agrippement.
c. Tétanisation du diaphragme.
d. Contraction musculaire ne cédant pas à la rupture du
courant.
e. Fibrillation auriculaire.
23. Femme obèse, 52 ans, HTA chronique sous
traitement, consulte en urgence pour une poussée
hypertensive, TA : 19 / 11, sans signe fonctionnel. Quel
traitement injectable adopter ?
a. Loxen.
b. Beta bloquant.
c. Catapressan.
d. D.Nitrés.
e. Aucun traitement injectable.
24. Dans l’asthme aigu grave, les β2 agoniste,
administrés par voie inhalée, ont une action
bronchodilatatrice nette après :
a. 3 à 5 minutes.
b. 15 à 20 minutes.
c. 30 à 40 minutes.
d. 60 à 90 minutes.
e. 4 à 6 heures.
25. Parmi les traumatisés suivants qui est considéré
comme polytraumatisé ? Un patient qui présente :
a. Plusieurs fractures des membres.
b. Un traumatisme crânien sévère isolé.
c. Un hématome sous dural et un hémopéritoine de
grande abondance.
d. Une chute de sa hauteur avec une fracture ouverte du
fémur.
e. Toutes les propositions ci - dessus sont exactes.
26. Le bilan lésionnel initial d’un polytraumatisé à la
salle de déchocage comprend :
a. Une radiographie pulmonaire de face.
b. Une radiographie de crâne face et profil.
c. Une radiographie du bassin de face.
d. Un bilan échographique d'urgence.
e. Une radiographie du rachis cervical de profil.
27. Le diagnostic biologique de l’acidocétose diabétique
comporte :
a. Glycémie à 3 g/l, une albuminurie, une créatininémie
élevée, et une glycosurie positive ?
b. Glycémie élevée, pH sanguin normal, réserves
alcalines normales, cétonurie (traces) ?
c. Hyperglycémie à 7 g / l, osmolarité élevée, pH sanguin
normal.
d. Hyperglycémie, cétonurie positive, pH sanguin abaissé,
les bicarbonates abaissés.
e. Hyperglycémie, pH sanguin et réserves alcalines
normaux, hyper natrémie.
28. Les hypoglycémies surviennent :
a. Uniquement sous insuline.
b. Uniquement sous insuline et sulfamides
hypoglycémiants.
c. Uniquement chez les diabétiques.
d. Uniquement après effort physique ou une situation de
stress.
e. Chez les diabétiques et chez les non diabétiques.
29. L’insuffisance surrénalienne aiguë :
a. Le facteur déclenchant peut - être une simple angine
ou fibroscopie digestive.
b. Les laxatifs et les diurétiques ne constituent aucun
danger chez l’insuffisant surrénalien.
c. Le traitement comprend un remplissage vasculaire et
des chélateurs de potassium à cause de l’hyperkaliémie.
d. Le traitement est à débuter dès que la confirmation
biologique est obtenue.
e. Ne survient jamais dans l’insuffisance surrénalienne
d’origine centrale.
51
30. Parmi les situations suivantes, quelle(s) est (sont) la
ou les cause(s) d’acidose métabolique à trou anionique
élevé ?
a. Déshydratation.
b. Diarrhées abondantes.
c. Intoxication au paracétamol.
d. Acidocétose.
e. Vomissements.
31. Concernant l’interprétation des gaz du sang
suivants, quelle(s) est(sont) la ou les proposition(s)
exacte(s) ? pH =7.30 / PaO 2 =60 mmHg / PaCO 2 = 80
mmHg /Bicarbonates =42 mmol/l / SaO 2 = 85%
a. acidose métabolique.
b. alcalose respiratoire.
c. acidose respiratoire.
d. compensation respiratoire parfaite.
e. alcalose métabolique.
32. Concernant les gaz du sang artériel suivant : pH
=7.58 , PaCO 2 =26.5 mmHg, PaO 2 = 168 mmHg,
HCO 3 = 25 mmol /L, réponse(s) juste(s) ?
a. Il existe une hypoxémie.
b. Il existe une alcalose respiratoire.
c. Il existe une acidose respiratoire.
d. Il existe une acidose métabolique à trou anionique
augmenté.
e. Il existe une acidose métabolique à trou anionique
normal.
33. Quel est l’antidote d’une intoxication par
paracétamol ?
a. Gluconate de calcium.
b. Naloxone.
c. N - acétylcystéine.
d. Vitamine C.
e. Bedelix.
34. Intubation / Ventilation assistée si :
a. Coma avec un Score de Glasgow < 7.
b. Convulsions répétées.
c. Bon rythme respiratoire.
d. Estomac plein.
e. Épuisement respiratoire.
35. Devant un patient victime d’un état de mal
épileptique, que doit - on envisager ?
a. Ponction lombaire.
b. Radiographie du crâne.
c. Ionogramme, glycémie et calcémie.
d. Électroencéphalogramme.
e. TDM du crâne.
36. La sérothérapie indiquée en cas de morsure de
serpents :
a. En cas d’œdème régional (majeure partie du membre).
b. Devant la survenue de vomissements, de diarrhées, et
d’hypotension artérielle.
c. Face à l'apparition d’un saignement modéré au niveau
de la morsure.
d. Si la morsure est confirmée car évolution imprécise.
e. Systématiquement chez les enfants.
37. Une noyade par conséquences :
a. Un spasme laryngé transitoire.
b. Le détournement de sang oxygéné vers le cœur et le
cerveau par vasoconstriction périphérique.
c. SDRA par lésions de la membrane alvéolo - capillaire.
d. Altération des échanges gazeux.
e. Hypothermie profonde et prolongée ayant un effet
protecteur cérébral et cardiaque.
CAS CLINIQUE
38. Il s’agit du patient SM, âgé de 75 ans, admis dans
notre service pour adénite tuberculeuse, sur diabète de
type II traité à base de GLUCOPHAGE 850 MG 2 fois /
jour, associé à une HTA traitée par un IEC, quel est
votre conduite à tenir ?
a. Traiter la tuberculose.
b. Arrêt du Glucophage et introduction de l’insuline.
c. Faire un bilan hépatique.
d. Maintenir les IEC.
e. Toutes les réponses sont justes.
39. Un bilan hépatique de control fait 15 jours après
retrouve : une cytolyse à TGO = 300μl/l, TGP = 456
μl/l. Quel est votre conduite ?
a. Diminuer la dose des antituberculeux.
b. Espacer l'intervalle entre les deux prises des
antituberculeux à 48 heures.
c. Espacer l’intervalle entre les deux prises des
antituberculeux à 72 heures.
52
d. Arrêt des antituberculeux.
e. Espacer l’intervalle entre les deux prises des
antituberculeux à 48 heures et faire un bilan hépatique
une semaine après.
40. Quatre semaines après la prise des antituberculeux,
on note la persistance de la cytolyse (TGO : 850, TGP :
870). Quel est votre conduite et pourquoi ?
a. Espacer l’intervalle de temps entre les deux prises des
antituberculeux à une semaine.
b. Espacer l’intervalle de temps entre les deux prises des
antituberculeux à une semaine et si persistance arrêt de
l’isoniazide.
c. Espacer l'intervalle de temps entre les deux prises des
antituberculeux à une semaine et si persistance arrêt de
la pyrazinamide.
d. Si persistance de la cytolyse arrêt de tout traitement
antituberculeux.
e. Si persistance de la cytolyse arrêt de tout traitement
antituberculeux et reprise après normalisation des
transaminases.
1. La douleur de la fosse iliaque droite peut être en
rapport avec les diagnostics suivants sauf un lequel ?
a. Appendicite aiguë.
b. Tuberculose iléo - caecale.
c. Maladie de Crohn.
d. Sigmoïdite.
e. Cancer du Caecum.
2. Les douleurs abdominales d'origine extradigestive
peuvent être en rapport avec les, diagnostics suivants
sauf un lequel ?
a. Pyélonéphrite aiguë.
b. Salpingite.
c. Ulcère gastroduodénal.
d. Pneumopathie basale.
e. IDM (dans sa forme postérieure).
3. Une douleur épigastrique peut être en rapport avec
les diagnostics suivants :
a. Perforation d'ulcère duodénal.
b. Pancréatite aiguë.
c. Abcès hépatique.
d. Cancer gastrique.
e. Appendicite rétro caecale.
4. Le diagnostic positif d'une syncope repose sur :
a. L'électroencéphalogramme.
b. La coronarographie.
c. Le scanner cérébral.
d. La mesure de la glycémie.
e. Toutes les réponses sont fausses.
5. Les signes de gravité immédiate en cas de douleur
thoracique sont : (la ou les réponses fausses)
a. L'installation de troubles de la conscience.
b. La survenue d'une détresse respiratoire aiguë.
c. L'apparition d’une dyspnée dans le cadre d'un
syndrome coronarien aigu.
d. Un état de choc.
e. La survenue d'une douleur intense et migratrice.
6. La gravité d'une morsure de serpents est liée à : (la
ou les réponses fausses)
a. Nature et quantité de venin injecté.
b. Morsure en regard d'une zone richement vascularisée.
c. Surface corporelle réduite.
d. Son évolution qui reste imprécise.
e. Antécédents de diabète.
7. Dans la morsure de serpents la sérothérapie est
indiquée : (la ou les réponses fausses)
a. En cas d'œdème régional (majeure partie du membre).
b. Devant la survenue de vomissements, de diarrhées, et
d'hypotension artérielle.
c. Face à l'apparition d'un saignement modéré au niveau
de la morsure.
d. Si la morsure est confirmée car évolution imprécise.
e. Systématiquement chez les enfants.
8. Dans l'électrisation un courant électrique d'intensité
inférieure à 20 mA peut provoquer :
a. Une inhibition des structures nerveuses.
b. Réaction d'agrippement.
c. Tétanisation du diaphragme.
d. Contractions musculaires ne cédant pas à la rupture
du courant.
e. Fibrillation auriculaire.
Ratt 06 – 09 – 2016
53
9. Dans l’électrisation le choc hypovolémique est dû à :
a. La constitution d'un 3ème
secteur.
b. Lésions vasculaires.
c. Section médullaire basse.
d. Contusion myocardique par onde de choc.
e. Thrombose des artères coronaires.
10. Les séquelles d’une électrisation :
a. Syndrome dépressif.
b. Insuffisance cardiaque.
c. Mort.
d. Insomnie.
e. Décollement rétinien.
11. Méningo - encéphalite :
a. Est une urgence médicale
b. Le LCR est toujours purulent.
c. Le scanner cérébral est toujours normal.
d. Elle est toujours à début aigu.
e. Toutes les réponses sont justes.
12. Citez l'antibiotique(s) actif(s) sur le staphylocoque
méticilline résistant (METLR) :
a. L'Oxacilline (Bristopen).
b. L'Amoxicilline.
c. L'Augmentin.
d. La Ciprofloxacine (Ciprolon).
e. La Vancomycine.
13. Quels antibiotiques sont prescrits plusieurs fois par
jour parce qu'ils sont temps dépendent ?
a. Doxycycline. d.
Pénicilline.
b. Gentamicine. e.
Rovamycine.
c. Rifampicin.
14. Les biologiques d'une anémie hémolytique sont :
a. Une bilirubine libre augmentée dans le sang.
b. Une hyper uricémie.
c. LDH très élevé.
d. Haptoglobine très abaissée.
e. Une créatininémie élevée.
15. Un VGM > 100 fl (volume globulaire moyen)
signifie :
a. Une anémie carentielle en Vit B9 ou B12.
b. Une anémie macrocytaire.
c. Une anémie mégaloblastique par carence en facteur
antipernicieux.
d. Une anémie arégénérative.
e. Une anémie mégaloblastique non carentielle.
16. Dans les états de choc, il y’a : (la ou les réponses
fausses)
a. Défaillance circulatoire aiguë.
b. Une augmentation des débits circulatoires locaux des
différents organes.
c. Une diminution du transport de l’oxygène.
d. Une altération de la circulation au niveau des organes.
e. Une accumulation d'acide lactique.
17. Devant un coma sans signes de localisation, sans
signes méningés et sans fièvre, quelles sont les étiologies
les plus probables ?
a. Ischémie ou anoxie cérébrale diffuse.
b. Accident vasculaire cérébral.
c. Une hydrocéphalie avec des signes HTIC.
d. One cause métabolique.
e. Une intoxication.
18. Dans la syncope, la perte de connaissance est : (la
ou les réponses fausses)
a. Progressive.
b. Précédée d'une aura.
c. Suivie d'une confusion post critique.
d. S'accompagne de crises convulsives.
e. Responsable d'une aphasie.
19. Dans les syncopes, la perte de connaissance est la
conséquence : (la ou les réponses fausses)
a. D'une ischémie myocardique aiguë.
b. D'une thrombose des artères cérébrales.
c. D'une hypoglycémie.
d. D’un trouble de l'activité électrique cérébrale.
e. D'une ischémie cérébrale globale et passagère.
20. Toutes ces pathologies peuvent entraîner une
syncope sauf :
a. Bloc auriculo ventriculaire 3ème
degré.
b. Rétrécissement aortique serré.
c. Hypertension orthostatique.
d. Intoxication au CO (Monoxyde de Carbone).
e. Hyper réflexivité sino carotidienne.
54
1. Quel élément clinique ou para clinique est nécessaire
au diagnostic de mort encéphalique ?
a. Une anisocorie
b. L'absence des réflexes du tronc cérébral
c. Une hypothermie
d. Un diabète insipide
e. Deux électroencéphalogrammes (EEG) à 4 heures
d'intervalle montrant un tracé faiblement réactif.
2. Devant un coma sans signes de localisation, sans
signes méningés et sans fièvre, quelles sont les étiologies
les plus probables ?
a. Ischémie ou anoxie cérébrale diffuse
b. Un accident vasculaire cérébral
c. Une hydrocéphalie avec des signes HTIC
d. Une cause métabolique
e. Une intoxication
3. Un patient dans le coma présente à l'examen
clinique : une ouverture des yeux â la douleur, une
réponse motrice stéréotypée en extension et une réponse
verbale incompréhensible, quel est son score de
Glasgow ?
a. 6 sur l'échelle de Glasgow.
b. 7 sur l'échelle de Glasgow.
c. 9 sur l'échelle de Glasgow.
d. 3 sur l'échelle de Glasgow.
e. 8 sur l'échelle de Glasgow.
4. Quel est l'antidote des intoxications accidentelles par
le Méthanol ?
a. Atropine
b. Alcool éthylique
c. Calcium
d. Gluconate de calcium
e. Glucagon
5. Quel est l'antidote d'une Intoxication au
Paracétamol ?
a. Gluconate de calcium
b. Naloxone
c. N - acétylcystéine
d. Vitamine C
e. Bedelix
6. Quel est l'antidote d’une intoxication volontaire par
les Insecticides ?
a. Flumazénil.
b. Bleu de Méthylène.
c. Atropine.
d. Naloxone.
e. Vitamine B6.
7. Dans l'hyperkaliémie l'ECG se caractérise par tous
ses éléments, sauf :
a. Ondes T amples
b. Ondes P proéminentes
c. Espace PR allongé
d. QRS élargis
e. Tachycardie ventriculaire
8. Tous les éléments suivants sont indiqués dans le
traitement de l’hyperkaliémie aiguë menaçante à
l'exception de :
a. Résines
b. Calcium gluconate
c. Bicarbonate de sodium
d. Insuline
e. Epuration extrarénale.
9. L'hyperkaliémie est causée par toutes ses causes
sauf :
a. Hyperaldostéronisme primaire
b. Hémolyse
c. Insuffisance rénale aiguë
d. Lupus érythémateux disséminé
e. Insuffisance rénale aiguë
10. Les manifestations d'un déficit en potassium
incluent toutes ses caractéristiques, à l'exception de :
a. Dépression du segment ST
b. Petite onde T
c. Hypotension
d. Hypertonie musculaire
e. Paralysie musculaire
11. Laquelle des propositions suivantes concernant
l'hypokaliémie est correcte ?
a. Ondes T amples
b. Brady arythmies
c. Ondes sinusoïdales
d. Dépression du segment ST
S2 14 – 03 – 2016
55
e. QRS élargis.
12. Toutes sont caractéristiques de l'hypokaliémie, sauf :
a. Hypertonie musculaire
b. Distension abdominale
c. Arythmie cardiaque
d. Incontinence urinaire
e. Occlusion fonctionnelle.
13. La prise en charge d’un état de mal épileptique, fait
appel à :
a. Assurer la liberté des voies aériennes
b. Administrer un anti épileptique IV
c. Ne pas oxygéner
d. Intuber
e. Corriger l'hypocalcémie et l'hypoglycémie
14. Devant un patient victime d'un état de mal
épileptique, que doit - on envisager ?
a. Ponction lombaire
b. Radiographie du crâne
c. Ionogramme, glycémie et calcémie
d. Électroencéphalogramme (EEG)
e. TDM du crâne.
15. Parmi les antiépileptiques, lequel (lesquels) est (sont)
efficace(s) en cas d'État de mal épileptique en IV ?
a. Diazépam
b. Tégrétol
c. Phénobarbital
d. Thiopental
e. Dépakine
16. Devant une pancréatite aiguë chez l'adulte on doit
rechercher en premier lieu deux affections parmi les
suivantes lesquelles ?
a. Un alcoolisme.
b. Une ascaridiose de la voie biliaire principale.
c. Une distomatose hépatique.
d. Un syndrome ourlien récent.
e. Une lithiase biliaire à petits calculs.
17. Dans la pancréatite aiguë, les signes suivants sont
considérés comme des critères de gravité sauf un,
lequel ?
a. Age 55 ans
b. Hyperglycémie
c. Hypercalcémie
d. Acidose
e. Hypoxie
18. Parmi les examens morphologiques suivants, lequel
permet d'apprécier la nécrose pancréatique au cours
d'une pancréatite aiguë grave ?
a. Cholangiographie rétrograde.
b. Artériographie cælio - mésentérique.
c. Echographie.
d. Tomodensitométrie avec produit de contraste.
e. Scintigraphie au Tc 99.
19. Les complications immédiates de la pancréatite
aiguë :
a. Le pseudo kyste du pancréas
b. La surinfection de ta coulée pancréatique
c. L'hémorragie
d. Les défaillances viscérales
e. La perforation d'un organe creux
20. Chez un patient hospitalisé aux urgences après une
morsure de serpent, la thérapeutique instaurée est
comme suit :
a. Prescription systématique d'un traitement
antivenimeux
b. Sérothérapie antitétanique en fonction du stade de
l'envenimation
c. Bandage alcoolisé pour calmer la douleur
d. Prescription d'antihistaminiques en intraveineux
e. Toutes les réponses sont fausses
21. Suite à une piqûre d'hyménoptère, un patient
asthmatique se présente aux urgences, avec des
manifestations cliniques stade II :
a. Œdème s'étendant de l'articulation sus à l'articulation
sous - jacente par rapport à la piqûre.
b. Bronchospasme avec râles ronflants diffus aux deux
champs pulmonaires.
c. Urticaire généralisé.
d. Œdème, rougeur, douleur, prurit.
e. Toutes les réponses sont justes.
56
22. Après une chute accidentelle dans l'eau :
a. Vasoconstriction périphérique, et détournement de
sang vers les organes nobles
b. Installation immédiate d'un SDRA
c. Spasme laryngé avec bronchoconstriction
d. Survenue d'un état de choc
e. Toutes les réponses sont justes
23. Le purpura thrombopénique idiopathique :
a. Est une pathologie acquise de l'hémostase primaire
b. Le bilan de coagulation est normal
c. Une thrombopénie sévère peut s'observer
d. La splénectomie est indiquée en cas de cortico
résistance ou de cortico dépendance
e. Toutes les réponses sont justes
24. Un déficit Isolé en facteur VII peut être en rapport
avec :
a. Une Insuffisance hépatocellulaire
b. Une hypovitaminose K
c. Un déficit congénital
d. Une CIVD
e. Un anticoagulant circulant
25. Les signes biologiques d’une anémie hémolytique
sont :
a. Une bilirubine libre augmentée dans le sang
b. Une hyper uricémie
c. LDH très élevée
d. Haptoglobine très abaissée
e. Une créatininémie élevée
26. Un déficit du facteur il va entraîner :
a. Allongement du TCA, TQ
b. Allongement du TQ
c. Allongement du TCA
d. Une thrombopénie
e. Hypofibrinémie
27. La contracture abdominale : la RF
a. Est une contraction permanente.
b. Est une contraction douloureuse.
c. Est une contraction visible.
d. Témoigne d'une irritation péritonéale.
e. Retrouvée dans la péritonite par perforation d'ulcère
gastrique.
28. Le pneumopéritoine à l’ASP : les RF
a. Témoigne d'une perforation d'un organe plein.
b. Témoigne d'une perforation d'un organe creux
c. Sous forme d'un croissant gazeux sous
diaphragmatique
d. Retrouvé dans la perforation d'ulcère gastrique
e. Retrouvé dans l'appendicite aiguë non compliquée
29. L'atteinte myocardique dans l’électrisation est due
à :
a. Une thrombose des artères coronaires.
b. Une sidération des centres respiratoires.
c. Contusion myocardique par onde de choc.
d. Perturbation des phénomènes électriques.
e. Constitution d'un 3ème
secteur.
30. Agressions cérébrales secondaire d'origine
systémique :
a. Hypertension artérielle
b. Normo capnie
c. Hypothermie
d. Hyperglycémie
e. Anémie.
31. Les lésions qui peuvent être classées lésions
primaire : (la ou les réponses fausses)
a. Les fractures du crâne
b. L'hématome extra dural
c. Œdème cérébral
d. Lésions axonales diffuses
e. Engagement cérébral.
32. Un homme de 54 ans, sans antécédents
pathologiques particuliers a été ramené à l'urgence
dans un tableau de coma fébrile. Quelle attitude prenez
- vous ?
a. Conditionner le malade.
d. Faire une PL en urgence.
b. Faire des prélèvements d'urgence.
e. Toutes les réponses sont justes.
c. Faire un scanner cérébral' en urgence.
33. L'entourage confirme le début brutal de la
symptomatologie, le scanner cérébral était normal et la
PL a ramené un liquide clair à prédominance
lymphocytaire, normo glycorachique légèrement
hyperprotéinorrachique, cochez la formule
correspondante à l'énoncé :
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a. 100 élément/mm³, 70 % lymphocyte, Glu : 0.4 g /l, Pr :
1.2 g/l.
b. 100 élément/mm³, 70 % PNN, Glu : 0.4 g/1, Pr : 1.2 g
/l.
c. 100 élément/mm³, 70 % lymphocyte, Glu : 0.01 g/l, Pr :
1.2 g/l.
d. 100 élément/mm³, 70 % lymphocyte, Glu : 0.4 g/l, Pr :
0.5 g /l.
e. Toutes les réponses sont justes.
34. Quel diagnostic suspectez - vous en sachant qu'un
EEG fait revenant en faveur d'ondes tentes symétriques
au niveau temporo - frontal et la culture bactérienne
dans le LCR était stérile ?
a. Méningo - encéphalite herpétique.
b. Méningo - encéphalite tuberculeuse.
c. Méningo - encéphalite listérienne.
d. Méningo - encéphalite à germes pyogènes.
e. Aucune réponse juste.
35. Quelle est votre conduite à tenir ?
a. Antibiothérapie.
b. Acyclovir.
c. Antifongique.
d. Mesures générales.
e. Acyclovir + mesures générales.
36. L'hypoglycémie :
a. Les hypoglycémies survenant après le repas ne sont
jamais graves.
b. Les hypoglycémies survenant au jeûne spontanément
(sans cause retrouvée) évoquent une cause grave.
c. Les hormones (glucagon, adrénaline, cortisol,
hormone de croissance) sont inhibées en cas
d'hypoglycémie.
d. Est un diagnostic clinique.
e. Les signes cliniques n'ont rien de spécifique.
37. L'insuffisance surrénale aiguë traduit :
a. Stade final d'une ISL méconnue.
b. Situation où il existe une diminution des besoins en
cortisol : infection, traumatisme, Intervention
chirurgicale, grossesse.
c. Arrêt de l'hormonothérapie substitutive.
d. La survenue d'un collapsus isolé et inexpliqué.
e. La survenue de douleurs abdominales diffuses mimant
parfois un tableau pseudo - chirurgical.
38. La suspicion clinique d'ISA doit toujours :
a. Être confirmée par les examens hormonaux.
b. Le test au Synacthène peut être réalisé après résolution
de l’épisode aigu.
c. Cortisolémie à 8 heures élevée.
d. ACTH plasmatique de base : taux élevés.
e. La confirmation est apportée par le dosage de
l'Aldostérone.
39. Parmi ses propositions quelles sont celles qui sont
justes ?
a. Les syncopes d'effort sont dues è des troubles du
rythme cardiaque.
b. Les syncopes d’effort sont dues à une hypertonie
vagale.
c. Les syncopes vaso vagales sont à risque de mort subite
en cas de récidive.
d. Les syncopes cardiaques peuvent être mécaniques ou
électriques.
e. Toutes ses réponses sont justes.
40. Parmi ses mécanismes physiopathologiques quels
sont ceux qui ne correspondent pas à la syncope ?
a. Obstruction des artères carotides
b. Infarctus cérébral
c. Infarctus du myocarde
d. Hypoglycémie
e. Hypoxie hypercapnie.
1. Parmi les critères de gravité d'une brûlure : (la ou les
réponses fausses)
a. Surface brûlée > 15 % SC chez un adulte.
b. Brûlure 3°degré > 10 % SC.
c. Brûlures cervico - faciales.
d. Traumatisme associé.
e. Brûlure chez un patient présentant une tare sous -
jacente.
2. La gravité d'une morsure de serpents est liée e à : (la
ou les réponses fausses)
a. Nature et quantité de venin injecté.
b. Morsure en regard d'une zone richement vascularisée.
c. Surface corporelle réduite.
S1 16 – 11 – 2015
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d. Son évolution qui reste imprécise.
e. Antécédents de diabète.
3. La conduite thérapeutique en cas de piqûres
d'hyménoptères consiste en ce qui suit : la ou les RF
a. Désinfection locale et immobilisation du membre.
b. Prophylaxie antitétanique.
c. Traitement antalgique.
d. Antibiothérapie systématique anti BGN.
e. Administration de corticoïdes et d'antihistaminiques.
4. Les caractéristiques d'une dissection aortique sont :
(la ou les réponses fausses)
a. Il s'agit très souvent de patients hypertendus connus.
b. La douleur est de début brutal, intense et de siège
migrateur.
c. Douleur thoracique latérale variant avec les
mouvements respiratoires.
d. Asymétrie des pouls, souffle diastolique d'insuffisance
aortique.
e. Déficit neurologique focalisé.
5. Une noyade a pour conséquences : la ou RF
a. Un spasme laryngé transitoire.
b. Le détournement de sang oxygéné vers le cœur et le
cerveau par vasoconstriction périphérique.
c. SDRA par lésions de la membrane alvéolo capillaire.
d. Altération des échanges gazeux.
e. Hypothermie profonde et prolongée ayant un effet
protecteur cérébral et cardiaque.
6. Dans les états de choc, il y'a : la ou les RF
a. Défaillance circulatoire aiguë
b. Une augmentation des débits circulatoires locaux des
différents organes.
c. Une diminution du transport de l'oxygène.
d. Une altération de la circulation au niveau des organes.
e. Une accumulation d'acide lactique.
7. Au cours des états de choc, la présence de signes
d'insuffisance cardiaque droite oriente vers :
a. Le choc anaphylactique.
b. Le choc septique.
c. L’embolie pulmonaire.
d. L'hémorragie aiguë.
e. Toutes ces réponses sont correctes.
8. Parmi les étiologies du choc hypovolémique, on
retrouve :
a. Hémorragies utérines du post partum.
b. Hémorragies par plaie vasculaire.
c. Syndrome cholériforme.
d. Dermatose avec épidermolyse.
e. Toutes ces réponses sont correctes.
9. Concernant la CIVD, quelle est la réponse vraie ?
a. Une CIVD ne se complique pas d'hémorragies.
b. Une CIVD ne se complique pas de thromboses.
c. Un sepsis peut se compliquer de CIVD.
d. Le bilan biologique de l'hémostase est souvent normal.
e. La thrombopénie isolée est spécifique du diagnostic de
CIVD.
10. Concernant l'affirmation de la mort cérébrale,
quelle est la réponse vraie ?
a. Des signes de conscience peuvent persister.
b. L'Électroencéphalogramme ne sert à rien.
c. Le tronc cérébral peut continuer à fonctionner
(réflexes du tronc cérébral présents).
d. Une respiration faible peut persister.
e. Il est obligatoire de faire un examen complémentaire
pour confirmation.
11. Une anémie macrocytaire régénérative se rencontre
dans une des circonstances suivantes, laquelle ?
a. Au cours d'une carence martiale non traitée.
b. Quelques jours après une hématémèse.
c. Au cours d'une insuffisance rénale chronique.
d. Dans les jours qui suivent une hémolyse.
e. Au cours d'une maladie de Biermer non traitée.
12. Parmi les facteurs plasmatiques de coagulation
suivants, quel est celui dont le déficit isolé majeur
s'accompagne d'un allongement important du temps de
céphaline avec activateur, alors que le temps de Quick
reste normal ?
a. Pro thrombine (II)
b. Pro accélérine (V)
c. Pro convertine (VII)
d. Facteur anti hémophilique (X)
e. Facteur Stuart (X).
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13. Le concentré unitaire plaquettaire :
a. Est obtenu à partir de plusieurs donneurs.
b. Se conserve 5 à 7 jours à 22° en agitation continue.
c. Obtenu à partir d'un seul donneur par cytaphérèse.
d. Est indiqué en cas de thrombopénie sévère.
e. Est indiqué en cas de thrombopénie.
14. Dans la syncope, la perte de connaissance est : (la
ou les réponses fausses)
a. Brutale.
b. Prolongée.
c. Suivie d'une confusion post critique.
d. S'accompagne de crises convulsives.
e. Responsable d'une aphasie.
15. Dans les syncopes, la perte de connaissance est la
conséquence de :
a. D'une ischémie myocardique aiguë.
b. D'une thrombose des artères cérébrales.
c. D'une hypoglycémie.
d. D'un trouble de l'activité électrique cérébrale.
e. D'une ischémie cérébrale globale et passagère.
16. Les syncopes réflexes surviennent :
a. À l'occasion d'un stress orthostatique.
b. À l'occasion d'un stress émotionnel.
c. À l'occasion d'une stimulation instrumentale
douloureuse.
d. À l'effort.
e. Lorsqu'il y'a une hyper réflexivité du sinus carotidien.
17. Dans l'électrisation, le choc hypovolémique fait
suite à :
a. Constitution d’un 3ème
secteur.
b. Lésions vasculaire.
c. Section médullaire basse.
d. Contusion myocardique par onde de choc.
e. Thrombose des artères coronaires.
18. Agressions cérébrales secondaires d'origine
centrales :
a. Hypotension artérielle
d. Hydrocéphalie
b. Hypertension intracrânienne
e. Hypothermie.
c. Hyperglycémie
19. Un polytraumatisme se définit comme :
a. L'association de lésions dont mie engage le pronostic
vital.
b. L’association d'au moins deux lésions engageant
chacune le pronostic vital.
c. L’association de fractures multiples.
d. L'association d'un traumatisme crânien grave avec
toute autre lésion.
e. Toutes les réponses sont justes.
20. Quel (s) cliché (s) radiologique (s) systématique (s)
devez - vous demander en urgence au décochage devant
la suspicion d'un polytraumatisme ?
a. Une radiographie du rachis cervical face et profil.
b. Une radiographie du thorax de face.
c. Radiographie des quatre membres.
d. Radiographie du crâne face et profil.
e. Toutes les réponses sont justes.
21. Biologiquement l’insuffisance rénale aiguë
fonctionnelle, se manifeste par :
a. Fraction d'excrétion de sodium inférieure à 1.
b. Rapport sodium urinaire sur potassium urinaire
inférieure à 1.
c. Rapport urée urinaire sur urée plasmatique supérieure
à 10.
d. Rapport créatinine urinaire sur créatinine plasmatique
supérieure à 30.
e. Rapport urée sanguin sur créatinine sanguine
supérieure à 100 μmol/l.
22. Une déshydratation intra cellulaire :
a. Est évoquée devant une hyper protidémie.
b. Est associée à une hyper natrémie.
c. Est une conséquence fréquente de l’utilisation des
diurétiques de l'anse.
d. Peut être associée à une déshydratation extra
cellulaire.
e. Doit être préférentiellement traitée par une perfusion
hypotonique.
23. Parmi les circonstances suivantes quelles sont celles
qui peuvent être à l'origine d'une nécrose tubulaire
aiguë :
a. Ischémie par choc cardiogénique.
b. Pyélonéphrite aiguë.
c. Glomérulonéphrite nécrosante.
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d. Syndrome hémolytique et urémique.
e. Septicémie.
24. Les principales urgences dans les méningo -
encéphalites sont :
a. La méningite virale.
b. La méningite herpétique.
c. La méningite brucellienne.
d. La méningite à listeria.
e. Aucune réponse n'est juste.
25. Les signes de gravité en cas d'encéphalite sont ?
a. Le purpura. d.
Etat de choc.
b. Rash cutané. e.
CIVD.
c. Hypoglycémie.
26. Quel est l'antidote d'une intoxication par agents
hypoglycémiants ?
a. Gluconate de Calcium.
b. Glucagon.
c. Sulfate de Magnésium.
d. La Vitamine B1.
e. Le Chlorure de Sodium.
27. Quel est l'antidote des intoxications accidentelles
par les Raticides ?
a. l'atropine
b. l'alcool éthylique
c. le N - acétylcystéine
d. le Gluconate de calcium
e. la vitamine K1.
28. La crise aiguë hypertensive, c'est une augmentation
brutale :
a. TA ≥ 160 / 95 mmHg.
b. TA ≥ 160 / 95 mmHg avec retentissement viscérale.
c. TA ≥ 160 / 95 mmHg avec une hypoglycémie sèvre.
d. TA ≥ 160 / 95 mmHg avec des céphalées intenses.
e. TA ≥ 190 / 95 mm Hg sans retentissement viscérale.
29. Devant un arrêt cardiorespiratoire, il faut
rechercher :
a. Le pouls radial.
b. Le pouls radial et carotidien.
c. Le pouls carotidien.
d. Le pouls carotidien et/ou fémoral.
e. Le pouls fémoral et radial.
30. Les principales urgences aiguës hypertensives sont
représentées par :
a. L’éclampsie.
b. Syndrome de détresse respiratoire aiguë.
c. L'insuffisance hépatocellulaire sévère.
d. Syndrome de défaillance multi viscérale.
e. L’encéphalopathie hypertensive.
31. Le traitement de la crise aiguë hypertensive consiste
en l’utilisation :
a. Une antibiothérapie prophylactique.
b. Une anti hypertenseurs en IV.
c. Des alpha-bêta bloquants.
d. Des antalgiques majeurs en IV.
e. Une baisse progressive de la TA par ces traitements.
32. Un abdomen aigu peut être en rapport avec les
diagnostics suivants sauf un lequel ?
a. Acidocétose diabétique.
d. Hypercalcémie.
b. Porphyrie aiguë.
e. Hypothyroïdie.
c. Insuffisance surrénalienne aiguë.
33. La douleur de l’hypochondre droit peut être en
rapport avec les diagnostics suivants :
a. Cholécystite aiguë.
b. Angiocholite.
c. Abcès herpétique.
d. Appendicite rétro - caecale.
e. Sigmoïdite.
34. Le diagnostic biologique de l’acidocétose diabétique
comporte :
a. Glycémie à 3 g /l, une albuminurie, une créatininémie
élevée, une glycosurie positive ?
b. Glycémie élevée, pH sanguin normal, réserves
alcalines normales et cétonurie (traces) ?
c. Hyperglycémie à 7 g /l, osmolarité élevée, pH sanguin
normal.
d. Hyperglycémie, cétonurie positive, pH sanguin abaissé,
les bicarbonates abaissés.
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e. Hyperglycémie, pH sanguin et réserves alcalines
normaux, hyper natrémie.
35. L’acidocétose diabétique :
a. Nécessite l’apport de sérum bicarbonaté
systématiquement au cours du traitement.
b. Est très fréquente chez le diabétique de type 1.
c. Ne survient jamais chez le diabétique de type 2.
d. Peut se compliquer d’une cécité.
e. La correction de l’hypokaliémie doit être entreprise
dès la mise en route de la réhydratation.
36. Le patient S.M âgé de 75 ans est admis en médecine
interne pour adénite tuberculeuse, sur diabéte de type II
traité à base de GLUCOPHAGE 850 MG 2 fois /jour,
associé à une HTA traitée par un IEC, quelle est votre
conduite à tenir ?
a. Traiter la tuberculose.
b. Arrêt du glucophage et introduction de l’insuline.
c. Faire un bilan hépatique.
d. Maintenir les IEC.
e. Toutes les réponses sont justes.
37. Un bilan hépatique de control se fait 15 jours après
le début du traitement retrouve une cytolyse : TGO =
300 Ul/l, TGP = 456 UI/l. Quelle est votre conduite ?
a. Diminuer la dose des antituberculeux.
b. Espacer l’intervalle entre les deux prises des
antituberculeux à 48 heures.
c. Espacer l’intervalle entre les deux prises des
antituberculeux à 72 heures.
d. Arrêt des antituberculeux.
e. Espacer l’intervalle entre les deux prises des
antituberculeux à 48 heures et faire un bilan hépatique
une semaine après.
38. Quatre semaines après la prise des antituberculeux,
on note la persistance de la cytolyse (TGO : 850, TGP :
870) quelle est votre conduite à tenir ?
a. Espacer l’intervalle de temps entre les deux prises des
antituberculeux à une semaine.
b. Espacer l’intervalle de temps entre les deux prises
antituberculeux à une semaine et si persistance arrêt de
l’isoniazide.
c. Espacer l’intervalle de temps entre les deux prises des
antituberculeux à une semaine et persistance arrêt de la
pyrazinamide.
d. Si persistance de la cytolyse arrêt de tout traitement
antituberculeux.
e. Si persistance de la cytolyse arrêt de tout traitement
antituberculeux et reprise après normalisation des
transaminases.
39. Parmi les propositions suivantes, la(les) quel(les) est
(sont) des signes de détresse au cours de l'asthme au
grave ?
a. fréquence respiratoire à 30 /mn.
b. somnolence.
c. tachycardie > 120 /mn
d. silence auscultatoire
e. DEP < 25 %.
40. Quelle est la définition gazométrique artérielle d'un
asthme aigu très grave ?
a. paO 2 < 60 % - paCO 2 = 40 mmHg - pH = 7,35
b. paO 2 < 60 % - paCO 2 > 50 mmHg - pH < 7,2
c. paO 2 normale - paCO 2 < 40 mmHg - pH = 7,40
d. paO 2 < 60% - paCO 2 > 40 mmHg - pH = 7,40
e. paO 2 >60% - paCO 2 >40 mmHg - pH > 7,35
1. Au cours d’un état de choc hypovolémique, on peut
observer : (RF)
a. Une tachycardie
b. Une polyurie
c. Une soif
d. Une agitation
e. Une confusion.
2. En présence d’un état de choc, les signes suivants
peuvent orienter vers le diagnostic de choc septique :
(RF)
a. Une peau érythrosique chaude
b. Une fièvre élevée
c. Des frissons
d. Une pâleur des conjonctives
e. Un état d'immunodéficience connu.
Ratt 06 – 09 – 2015
62
3. Le remplissage vasculaire est contre – indiqué : (RF)
a. Dans les états de choc à pression de remplissage basse.
b. Pour remplacer la fraction de la volémie perdue.
c. Dans le traitement de l'hypovolémie relative par
vasoplégie.
d. En priorité chez la femme enceinte en évitant
l'albumine.
e. Avec des Solutions colloïdales, cristalloïdes, ou
albumine.
4. Les principales causes des comas avec signes de
focalisation sont : (RF)
a. L'hémorragie cérébrale
b. L'infarctus cérébral
c. La méningo encéphalite
d. La thrombophlébite cérébrale
e. La tumeur primitive ou secondaire cérébrale.
5. Le diagnostic de mort cérébrale est posé devant : (RF)
a. Abolition de la fonction cérébrale d'origine lésionnelle.
b. Une abolition de la fonction cérébrale mais d'origine
toxique.
c. Une absence de respiration spontanée et de réflexes du
tronc cérébral.
d. Un coma aréactif.
e. Deux EEG nuls et aréactifs effectués à 2 intervalles sur
une durée de 30 min.
6. La survenue d'une ischémie aiguë du membre
nécessite :
a. Une oblitération artérielle associée à une thrombose
veineuse profonde
b. Une oblitération artérielle avec une circulation
collatérale insuffisante pour la compenser.
c. Une thrombose veineuse profonde.
d. Une fibrinolyse.
e. Une vasodilatation artérielle.
7. On peut définir l'urgence hypertensive par :
a. Une élévation transitoire de la pression artérielle sans
souffrance viscérale aiguë.
b. Une élévation des chiffres tensionnels accompagnée
d'une souffrance viscérale grave et aigüe.
c. Une association de chiffres tensionnels élevés et d'une
rétinopathie stade III ou IV.
d. Toutes les réponses sont justes.
e. Toutes les réponses sont fausses.
8. La chaîne de survie est composée de :
a. Alerte-réa CP de base ou MCE + BAB
b. CEE - réa CP spécialisée
c. Alerte - CEE
d. Alerte - (MCE + BAM) - CEE – réanimation CP
spécialisée.
e. Alerte - réa CP spécialisée.
9. Le vasoconstricteur de choix en cas d'arrêt cardiaque
est représenté par :
a. L'éphédrine
b. La xylocaïne.
c. La cordarone.
d. L’adrénaline.
e. La dobutamine.
10. Réponse verbale incompréhensible, une réponse
motrice nulle avec œdème palpébral important :
a. Traumatisme crânien modéré.
b. 5 à l'échelle Glasgow.
c. Le scanner cérébral n'est pas systématique.
d. 4 à l'échelle Glasgow.
e. Nécessite une surveillance de 24 h.
11. Dans la classification de MASTER le groupe à
risque modéré :
a. Plaie pénétrante
b. Embarrure probable
c. Céphalée
d. Comitialité post traumatique
e. Sensations ébrieuses.
12. Les séquelles d'une électrisation : (RF)
a. Atrophie corticale.
b. Insuffisance cardiaque.
c. Mort.
d. Hémianopsie.
e. Vertige.
13. Une intensité du courant inférieur à 20 mA peut
provoquer :
a. Une inhibition des structures nerveuses
b. Réaction d'agrippement
c. Tétanisation du diaphragme
d. Contractions musculaire ne cédant pas à la rupture du
courant.
e. Fibrillation auriculaire.
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14. Parmi les mécanismes de la noyade lors d'une chute
accidentelle dans l'eau :
a. Entrée immédiate de l'eau dans l'arbre trachéo
bronchique.
b. Tachyarythmie par privation en O2.
c. Acidose métabolique par vasoconstriction périphérique
d. Œdème pulmonaire par incompétence myocardique.
e. Toutes les réponses sont justes.
15. Après extraction d'un noyé de l'eau, celui - ci est
agité et présente une gêne respiratoire avec
encombrement bronchique. Votre conduite
thérapeutique sera :
a. Administration de diurétiques IV.
b. Perfusion de sérum bicarbonaté pour prévenir un état
d'acidose.
c. Vidange gastrique et position latérale de sécurité.
d. Traitement de l'agitation au moyen de sédatifs.
e. Toutes les réponses sont justes.
16. Parmi les manifestations cliniques stade III
secondaires à une piqûre l’hyménoptère :
a. Bronchospasme avec râles crépitants aux deux champs
pulmonaires.
b. Urticaire généralisé.
c. Apparition concomitante d'un œdème de Quincke et
d'un œdème pulmonaire.
d. OEdème important qui va s'étendre de l'articulation
sus à l'articulation sous - jacente par rapport à la piqûre.
e. Toutes les réponses sont justes.
17. Après une morsure de serpents, les premiers gestes
à faire sont :
a. Administration systématique du sérum antitétanique.
b. Prescription immédiate d'une sérothérapie
antivenimeuse.
c. Mise en place d'un bandage alcoolisé pour atténuer la
douleur.
d. Incision de la plaie pour extirper le venin.
e. Toutes les réponses sont justes.
18. Quel est l'antidote d'une intoxication par agents
hypoglycémiants ?
a. le gluconate de calcium
d. la vitamine B1
b. le glucagon
e. le chlorure de sodium.
c. le sulfate de magnésium
19. Quel est l'antidote d'une intoxication volontaire par
les morphiniques ?
a. le flumazénil
b. le temgésic
c. le N - acétylcystéine
d. la naloxone. e. la vitamine B6.
20. Quel est l'antidote des intoxications accidentelles
par les Anti vitamines K ?
a. l'atropine
b. l'alcool éthylique
c. le N - acétylcystéine
d. le Gluconate de calcium
e. la vitamine K1
21. Quel est l'antidote d'une intoxication par
paracétamol ?
a. le gluconate de calcium
b. la naloxone
c. le N - acétylcystéine
d. la vitamine C.
e. le Bedelix
22. Étiologie du diabète insipide néphrogénique :
a. Craniopharyngiome
b. Syndrome de sheehan
c. Méningo - encéphalite
d. Hypokaliémie
e. Hypocalcémie.
23. Hyponatrémie hypo osmotique est retrouvée en cas :
a. Déshydratation intra cellulaire
b. Déshydratation extra cellulaire pur
c. Hyperhydratation extra cellulaire
d. Déshydratation extra cellulaire plus hyperhydratation
intra cellulaire
e. Hyper protidémie hypertriglycéridémie.
24. Insuffisance rénale aiguë organique se manifeste
par : (RF)
a. Rapport, NA / K urinaire inférieur à 1.
b. Rapport créatinine U / P inférieur à 20
c. Fraction d'excrétion de sodium supérieur à 1.
d. Natriurèse élevée.
e. Reins de taille et d'écho structure normal.
64
25. Le syndrome néphrotique impur se définie par la
présence de : (RF)
a. protéinurie massive supérieur à 3 g /l.
b. hématurie.
c. hypo albuminémie inférieur à 30 g/l.
d. hypo protidémie inférieur à 60 g/l.
e. insuffisance rénale aiguë fonctionnelle.
26. Une anémie macrocytaire régénérative se rencontre
dans la circonstance suivante :
a. Au cours d'une carence martiale non traitée.
b. Quelques jours après une hématémèse.
c. Au cours d'une insuffisance rénale chronique.
d. Dans les jours qui suivent une hémolyse.
e. Au cours d'une maladie de Biermer non traitée.
27. Parmi les situations suivantes une seule nécessite la
prescription de vitamine B12. Laquelle ?
a. Gastrectomie totale
b. Anémie réfractaire (myélo dysplasie)
c. Anémie de la grossesse
d. Anémie mégaloblastique médicamenteuse
e. Hyper érythropoïèse par hémolyse aiguë.
28. L’anémie hémolytique congénitale qui
s'accompagne d'une microcytose des hématies est :
a. La thalassémie
b. La maladie de Minkowski - Chauffard
c. Le déficit en G6PD
d. La drépanocytose
e. Le déficit en pyruvate kinase.
29. L'anémie rencontrée au cours de l'insuffisance
rénale est le plus souvent de type :
a. normo chrome macrocytaire régénérative
b. normo chrome normocytaire régénérative
c. hypochrome microcytaire hyposidérémique
d. hypochrome microcytaire hyposidérémique
e. normo chrome normocytaire arégénérative.
30. Quels sont les deux causes les plus fréquentes de
l'hémorragie digestive chez le cirrhotique ?
a. Rupture des varices œsophagiennes
b. Syndrome de Mallory - Weiss
c. Gastrite érosive
d. Ulcère bulbaire
e. Cancer de l'œsophage.
31. Pour le diagnostic étiologique d'une hémorragie
digestive haute, quel examen vous paraît le plus
performant ?
a. Le transit æso gastroduodénale.
b. L'Angiographie digitalisée.
c. L'artériographie cælio mésentérique.
d. L'angiographie couplée à la tomodensitométrie.
e. Endoscopie digestive.
32. Laquelle des complications suivantes surviennent
plus volontiers au cours de l'évolution d'un ulcère
chronique de la face postérieure du bulbe ?
a. péritonite par perforation
b. hémorragie par érosion de l'artère gastro - duodénale
c. fistule cholécysto - duodénale
d. ictère rétentionnel
e. pancréatite aiguë
33. Devant un méléna isolé, sans retentissement
hémodynamique particulier, quel examen
complémentaire doit être effectué en première intention
pour en préciser l'étiologie ?
a. artériographie cælio mésentérique.
b. coloscopie totale.
c. dosage de l'hémoglobine.
d. fibroscopie, æso - gastro - duodénale.
e. transit du grêle avec étude particulière de l'iléon
terminal.
34. Parmi les médicaments suivants, citez celui (ceux)
pouvant favoriser une hémorragie digestive chez un
malade ayant un ulcère duodénal :
a. Glafénine
b. Aspirine
c. Paracétamol
d. Anti-inflammatoire non stéroïdien
e. Gardénal.
35. Chez un cirrhotique présentant une rectorragie
massive, quelle origine peut être révélée par la
fibroscopie haute ?
a. œsophagite peptique
b. Ulcère gastrique
c. Ulcère duodénal de la face antérieure
d. Rupture de varices cardiales.
e. Cancer gastrique.
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36. Quel est le critère le plus précis pour apprécier
l’importance de la perte sanguine au cours d'une
hémorragie digestive haute aiguë ?
a. Hématocrite
b. Soif et pâleur
c. Baisse de la pression artérielle.
d. Nombre d'unités de sang transfusés pour le maintien
hémodynamique.
e. Le volume de sang aspiré par la sonde naso gastrique.
37. Le diagnostic biologique de l'acidocétose diabétique
comporte :
a. glycémie à 3 g /l, une albuminurie, une créatininémie
élevée, et une glycosurie positive.
b. glycémie élevée, pH sanguin normal, réserves
alcalines normales, et cétonurie (traces).
c. hyperglycémie à 7 g/l, osmolarité élevée, pH sanguin
normal.
d. hyperglycémie, cétonurie positive, pH sanguin abaissé,
les bicarbonates abaissés.
e. hyperglycémie, pH sanguin et réserves alcalines
normaux, hyper natrémie.
38. Tous ces médicaments potentialisent l'hypoglycémie
sous sulfamides hypoglycémiants chez le diabétique de
type 2 :
a. la cortisone, les diurétiques, Aspirine à fortes doses,
Inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), Bactrim.
b. Bactrim, diurétiques, aspirine à fortes doses,
inhibiteurs calciques, Aspirine à fortes doses.
c. Neuroleptiques, aspirine à fortes doses, Bactrim,
antitussifs.
d. Aspirine à fortes doses, dextropropoxyphène, IEC,
Bactrim.
e. Aspirine, Bactrim, Carbimazole, Hydrocortisone.
39. Les hypoglycémies surviennent :
a. Uniquement sous insuline.
b. Uniquement sous insuline et sulfamides
hypoglycémiants.
c. Uniquement chez les diabétiques.
d. Uniquement après effort physique, ou une situation de
stress.
e. Chez les diabétiques et chez les non diabétiques.
40. L'insuffisance surrénalienne aiguë :
a. Le facteur déclenchant peut - être une simple angine
ou une fibroscopie digestive.
b. Les laxatifs et les diurétiques ne constituent aucun
danger chez l'insuffisant surrénalien.
c. Le traitement comprend un remplissage vasculaire et
des chélateurs de potassium à cause de l'hyperkaliémie.
d. Le traitement est à débuter dès que la confirmation
biologique est obtenue.
e. Ne survient jamais dans l'insuffisance surrénalienne
d'origine centrale.
1. Quel est l’antidote des intoxications accidentelles par
le méthanol ?
a. Atropine.
b. Alcool.
c. Calcium.
d. Gluconate de calcium.
e. Glucagon.
2. Quel est l’antidote d’une intoxication par
paracétamol ?
a. Gluconate de calcium
b. Naloxone
c. N - acétylcystéine
d. Vitamine C
e. Bedelix
3. Quel est l’antidote d’une intoxication volontaire par
les insecticides ?
a. Flumazénil.
b. Bleu de Méthylène.
c. Atropine.
d. Naloxone.
e. Vitamine B6.
4. Quel est l’antidote des intoxications accidentelles par
les raticides ou anti vitamines K ?
a. Atropine
b. Alcool éthylique
c. La vitamine K1
d. Le Gluconate de calcium.
e. Valium.
S 1 07 – 06 – 2015
66
5. Quel est l’antidote d'une intoxication volontaire par
les Benzodiazépines ?
a. Flumazenil.
d. Naloxone.
b. Vitamine K1.
e. Vitamine B6.
c. N - acétylcystéine.
6. On citera parmi les critères de gravité d'une brûlure :
(la ou les réponses fausses)
a. Surface cutanée brûlée > 10 %.
b. Brûlure intéressant la face antérieure du tronc.
c. Âge inférieur à 5 ans.
d. Brûlure du 2° degré superficiel quel que soit son siège
ou son étendue.
e. Toutes les réponses sont justes.
7. Après une piqûre d’hyménoptères au niveau d'un
membre, les principaux gestes à faire sont : la ou les RF
a. Désinfection de la plaie
b. Mise en place d'un bandage serré autour du membre.
c. Administration systématique d'une sérothérapie
antitétanique et antivenimeuse.
d. Instauration d'un traitement antalgique.
e. Toutes les réponses sont justes.
8. Après extraction d’un noyé de l’eau, celui-ci est agité
et présente une gêne respiratoire avec encombrement
bronchique. Votre conduite thérapeutique sera : (la ou
les réponses fausses).
a. Vidange gastrique.
b. Position latérale de sécurité.
c. Oxygénothérapie nasale.
d. Administration de diurétiques IV.
e. Toutes les réponses sont justes.
9. Geste(s) à ne pas faire après extraction de l’eau d’un
sujet jeune, conscient avec des râles ronflants aux 2
champs pulmonaires ? (la ou les réponses fausses)
a. Perfusion systématique de sérum bicarbonaté pour
traiter l'acidose.
b. Oxygénothérapie au masque.
c. Vidange gastrique et position latérale de sécurité.
d. Administration de diurétiques pour éviter la survenue
d'un œdème lésionnel.
e. Prescription d'une antibiothérapie.
10. Parmi les mécanismes de la noyade lors d'une chute
accidentelle dans l’eau :
a. Entrée immédiate de l'eau dans l'arbre trachéo -
bronchique.
b. Tachyarythmie par privation en O2.
c. Acidose métabolique par vasoconstriction périphérique.
d. Œdème pulmonaire par incompétence myocardique.
e. Toutes les réponses sont justes.
11. Suite à une piqûre d’hyménoptère, une patiente
sans antécédents pathologiques particuliers présente, à
son arrivée aux urgences, des manifestations cliniques
stade III :
a. Œdème important qui va s’étendre de l'articulation sus
à l'articulation sous - jacente par rapport à la piqûre.
b. Bronchospasme avec râles ronflants diffus aux deux
champs pulmonaires.
c. Urticaire généralisé, anxiété, agitation.
d. Apparition concomitante d'un œdème de Quincke et
d'un œdème bronchique.
e. Gingivorragies, épistaxis et hémorragies digestives.
12. Devant une douleur thoracique spontanée, quels
diagnostics doivent être évoqués en premier ?
a. Syndromes coronariens aigus
b. Embolie pulmonaire
c. Pneumothorax
d. Péricardite aiguë
e. Dissection aortique.
13. Les caractéristiques de la douleur thoracique au
cours d’une péricardite aiguë sont les suivants :
a. Siège rétro sternal.
b. Intensité variable avec les mouvements respiratoires et
la position.
c. Présence systématique d'un frottement péricardique.
d. Il existe une dyspnée soulagée par la position assise.
e. Elle s'accompagne de trouble diffus de la
repolarisation avec image en miroir.
14. Une anémie normocytaire arégénérative se
rencontre dans la circonstance suivante :
a. Au cours d’une carence martiale non traitée.
b. Quelques jours après une hématémèse.
c. Au cours d'une insuffisance rénale chronique.
d. Dans les jours qui suivent une hémolyse.
e. Au cours d'une maladie Biermer non traitée.
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15. Parmi les situations suivantes une seule nécessite la
prescription de la vitamine B12. Laquelle ?
a. Gastrectomie totale.
b. Anémie réfractaire (myélo dysplasie).
c. Anémie de la grossesse.
d. Anémie mégaloblastique médicamenteuse.
e. Hyper érythropoïèse par hémolyse aiguë.
16. L'anémie hémolytique congénitale, qui
s'accompagne d’une microcytose des hématies (VGM
inférieur à 80 fl) est :
a. La thalassémie.
b. La maladie de Minkowski Chauffard
c. Le déficit en G6PD
d. La drépanocytose
e. Le déficit en pyruvate kinase.
17. Les pathologies suivantes sont à l’origine d’anémie
macrocytaire sauf une, laquelle ?
a. Déficits en folates.
b. Myélo dysplasie (anémie réfractaire).
c. Saturnisme.
d. Ethylisme chronique.
e. Maladie de Biermer.
18. Une femme de 25 ans consulte pour une pâleur,
l’hémoglobine retrouve une anémie modérée à 9 g /dl
microcytaire. Quel est l’examen de première intention
que vous demandez ?
a. Demander une fibroscopie gastrique.
d. Demander une coloscopie.
b. Paire un myélogramme.
e. Demander un dosage de la ferritinémie.
c. Demander un dosage de la vitamine B12.
19. Une mauvaise tolérance une transfusion peut se
traduire par :
a. Une hyperthermie
b. Des douleurs thoraciques
c. Une hémorragie
d. Un collapsus
e. Sueurs.
20. Quel(s) est (sont) le(les) facteur(s) de l’hémostase à
faire doser en présence d’un allongement du temps de
céphaline Kaolin ?
a. Facteur IX.
b. Facteur VIII.
c. Facteur XI.
d. Facteur VII.
e. Facteur X.
21. Parmi les facteurs plasmatiques de coagulation
suivants, quel est celui le déficit isolé majeur
s’accompagne d’un allongement important du temps de
céphaline avec activateur alors que le temps de Quick
reste normal ?
a. Prothrombine (II)
b. Pro accélérine (V)
c. Pro convertine (VII)
d. Facteur anti hémophilique B (IX)
e. Facteur de Stuart (X).
22. Le premier mécanisme à évoquer en présence d’une
anémie microcytaire arégénérative avec fer sérique bas
et ferritinémie plasmatique normale est :
a. En Vitamine B12.
b. Une carence martiale.
c. Une inflammation, un déficit.
d. Une carence en vitamine B6.
e. Une hémoglobinopathie.
23. Un des cinq facteurs suivants de coagulation n'est
pas vitamino K dépendant. Lequel ?
a. Prothrombine (II)
b. Pro convertine (VII)
c. Pro accélérine (V)
d. Globuline anti hémophilique B (IX)
e. Facteur Stuart (X).
24. Parmi les phénotypes suivants, quel(s), est (sont)
celui (ceux) que peuvent présenter les enfants issus
d’un père AB Rh positif et d’une mère O Rh négatif ?
a. Rh positif
b. Rh positif
c. Rh positif
d. Rh négatif
e. Rh négatif.
25. Les pancréatites aiguës biliaires sont un syndrome
abdominal aigu dont le diagnostic peut être posé :
a. Cliniquement.
b. Cliniquement avec une lipasémie élevée.
c. Cliniquement avec une lipasémie normale.
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d. Cliniquement avec un abdomen sans préparation
debout.
e. Uniquement sur les données de l’échographie.
26. Le scanner en urgence est indiqué : citez - la ou les
réponses justes.
a. Systématiquement à l'admission.
b. Dans les 48 heures en parallèle avec les scores
biologiques.
c. Dans les 72 h.
d. A l’admission en cas de doute diagnostic.
e. Pour faire le diagnostic étiologique.
27. Parmi les lésions suivantes, cochez celles qui sont
primaires :
a. Lésions axonales diffuses
b. OEdème cérébrale
c. Contusions hémorragique
d. Hématome extra durale
e. Ischémie cérébrale.
28. Agressions cérébrales secondaires d'origine
systémique :
a. Hypotension artérielle.
b. Hypercapnie.
c. Hyperglycémie.
d. Hypoxie
e. Hypothermie.
29. Ouverture des yeux à la douleur ; réponse verbale
confuse, réaction motrice localisatrice : RF
a. 12 sur échelle de Glasgow
b. Traumatisme crânien bénin
c. Nécessite une hospitalisation en réanimation
d. Scanner cérébrales est systématique
e. Nécessite une sédation ventilation.
30. Dans la classification de Master le groupe à risque
faible comporte :
a. Perte de connaissance
b. Hématome du scalp
c. Convulsion
d. Céphalée
e. Lésion sévère de la face.
31. L’électrisation : (cochez les réponses fausses)
a. Le circuit alternatif plus dangereux que le continu.
b. Si le temps de contact est court on aura réaction
d'agrippement au conducteur.
c. Les ampères brûlent.
d. Dans la brûlure électrothermique le courant ne
traverse pas le corps humain.
e. L'arrêt circulatoire survient le plus souvent par
fibrillation auriculaire.
32. Une intensité du courant inférieur à 20 mA peut
provoquer : RF
a. Une inhibition des structures nerveuse.
b. Réaction d'agrippement.
c. Tétanisation du diaphragme.
d. Contractions musculaire ne cédant pas à la rupture du
courant
e. Fibrillation auriculaire.
33. Le choc hypovolémique dans l’électrisation est du :
RF
a. Constitution d'un 3ème
secteur.
b. Lésions vasculaire.
c. Section médullaire basse.
d. Contusion myocardique par onde de choc.
e. Thrombose des artères coronaires.
34. Les séquelles d’une électrisation :
a. Surdité
b. Insuffisance cardiaque
c. Mort
d. Insomnie
e. Décollement rétinien.
35. Les circonstances suivantes peuvent être à l’origine
d’une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle par
défaut de perfusion rénale :
a. existence d'un 3ème
secteur.
b. insuffisance cardiaque congestive.
c. perte de l'autorégulation de la filtration glomérulaire
d'origine médicamenteuse.
d. Obstacle sur les voies urinaires.
e. Vascularite.
69
36. Citez - la ou les étiologie(s) possible (s) d'un diabète
insipide néphrogénique :
a. Craniopharyngiome
b. Hypocalcémie
c. Hypokaliémie
d. Méningo- encéphalite
e. Néphropathie chronique
37. Un patient présente une natrémie à 113 mmol /l une
créatininémie à 11 mg /l et une TA 98 / 54 mmHg
quelques jours après l’augmentation de son Lasilix de
40 à 80 mg /J. Il présente :
a. Déshydratation intra cellulaire
b. Hyperhydratation intra cellulaire
c. Hypovolémie
d. Hyponatrémie de dilution
e. Une poussée d'insuffisance rénale aiguë.
38. Déshydratation intra cellulaire :
a. Est évoqué devant une hyper protidémie.
b. Est associée à une hyper natrémie.
c. Est une conséquence fréquente de l’utilisation des
diurétiques de l'anse.
d. Peut être associé à une déshydratation extra cellulaire.
e. Doit être préférentiellement traitée par une perfusion
hypotonique.
39. En cas d’hémopéritoine traumatique par rupture de
rate, on observe habituellement :
a. Etat de choc hypovolémique.
b. Epanchement à l’échographie abdominale.
c. Une fièvre.
d. Matité des flancs.
e. Douleur au toucher rectal.
40. Chez un polytraumatisé, lors de la PLP, on décide
une laparotomie immédiate si la ponction ramène :
a. Liquide rosé
b. Liquide hémorragique
c. Sang pur
d. Liquide claire
e. Liquide bilieux.
41. En situation d'urgence l'examen initial et la mise
en condition simultanée d’un polytraumatisé nécessitent
une approche méthodique et hiérarchisée des fonctions
vitales et fonctionnelles suivantes de l'organisme :
a. Voies aériennes supérieures
b. Système ventilatoire
c. Système cardio circulatoire
d. Appareil locomoteur
e. Système neurologique.
42. En situation d’urgence, l'état de choc
hypovolémique chez un polytraumatisé adulte peut
résulter des causes suivantes :
a. Hémothorax
b. Hémopéritoine
c. Scalp important
d. Fractures du fémur
e. Hémorragies externes.
43. L’abdomen aigu peut avoir comme étiologies :
a. Péritonite par perforation d’ulcère.
b. Occlusion intestinale aiguë.
c. Pancréatite aiguë.
d. Infarctus du myocarde clans sa forme abdominale.
e. Grossesse extra - utérine.
Un homme de 50 ans, éthylo - tabagique, hospitalisé pour
une pneumonie franche lobaire aiguë, traitée par de
l’augmentin en IV lente, fait un malaise 2 à 3 min après
la 1ère
injection, son pouls est faible à 130 bats /min, la
TA à 60 mmHg, apparaît un œdème péri - orbitaire et un
Rash urticarien à la face antérieure du thorax.
44. À quel diagnostic pensez-vous ?
a. Un choc septique.
b. Un choc anaphylactique.
c. Un collapsus.
d. Un Choc cardiogénique.
e. Aucune de ces réponses n'est correcte.
45. Les arguments en faveur de ce diagnostic sont :
(cocher la ou les réponses fausses)
a. Le passé éthylo tabagique.
b. La rapidité de la chute de la P.A.
c. L'histamino libération marquée par l'œdème
périorbitaire et le rash urticarien.
d. L'injection d'ATB par voie intraveineuse.
e. Toutes ces réponses sont correctes.
70
46. Le traitement repose sur : la ou les RF
a. Le remplissage vasculaire.
b. L'arrêt de l'Antibiotique.
c. L'administration d'Adrénaline en 1ère
intention.
d. La prescription d'un macrolide comme alternative
thérapeutique.
e. Toutes ces réponses sont fausses.
47. Dans le choc hypovolémique, on peut retrouver :
(cochez la ou les réponses fausses)
a. Une hypotension artérielle
b. Une bradycardie
c. Une PVC basse
d. Une diminution des pressions de remplissage
e. Une diminution des résistances vasculaires
systémiques.
48. L’état de choc hypovolémique : la ou les RF
a. Peut - être dû à un choc traumatique
b. Peut - être dû à une perte plasmatique
c. On y retrouve une tachycardie avec polypnée
d. Le remplissage est indiqué si la PVC est > 10 mmHg
e. Le traitement médicamenteux de référence est la
Dobutamine à 5 μg /kg /min
49. Parmi les conséquences métaboliques d’un choc, on
peut retrouver : (cocher la ou les réponses fausses)
a. Une acidose métabolique avec hyper lactatémie.
b. Un risque d'insuffisance surrénalienne latente.
c. Une absence d'anomalies de la glycémie.
d. Une insuffisance rénale aiguë avec oligurie.
e. Un catabolisme azoté important.
50. Une tomodensitométrie cérébrale est demandée en
Urgence dans : (cochez la ou les réponses fausses)
a. Les comas métaboliques.
b. Les comas fébriles.
c. Les comas toxiques.
d. Les comas traumatiques.
e. Les comas vasculaires.
1. Quel est l'antidote d'une intoxication exclusive par
benzodiazépines ?
a. Le flumazénil.
b. La naloxone.
c. Le N - acétylcystéine.
d. La vitamine K.
e. La vitamine B6.
2. Quel est l’antidote d'une intoxication par
paracétamol ?
a. Gluconate de calcium
b. La naloxone
c. N - acétylcystéine
d. La vitamine C
e. Bedelix
3. La sensibilité des différents tissus à l'ischémie aiguë
des membres est variable :
a. Les nerfs sont les plus vulnérables.
b. L'atteinte cutanée est précoce.
c. L’atteinte cutanée est tardive.
d. En premier apparaît la souffrance musculaire.
e. Toutes les réponses sont fausses.
4. La survenue d'une ischémie aiguë d'un membre
nécessité :
a. Une circulation collatérale insuffisante pour
compenser l'oblitération artérielle.
b. Une oblitération artérielle.
c. Une fibrinolyse.
d. Une thrombose veineuse profonde.
e. Une oblitération artérielle associée à une thrombose
veineuse profonde.
5. On peut définir l'urgence hypertensive par :
a. une élévation transitoire de la pression artérielle sans
souffrance viscérale aiguë.
b. une élévation des chiffres tensionnels accompagnée
d’une souffrance viscérale grave et aiguë.
c. une association des chiffres tensionnels élevées et
d'une rétinopathie stade III ou IV.
d. toutes les réponses sont fausses
e. toutes les réponses sont justes.
13 / 14 26 – 11 – 2013
71
6. En cas de poussée HTA :
a. l'hospitalisation dans une unité de soins intensifs est
impérative.
b. le repos et le contrôle des facteurs favorisants
entraînent le plus souvent le retour à des valeurs
tensionnelles normales.
c. Le repos est suffisant.
d. la persistance de fortes valeurs tensorielles PAS
supérieur à 210 mmHg et ou PAD supérieur 120 mmHg
malgré le repos et le contrôles des facteurs favorisants
nécessite ta mise en route du traitement anti HTA le
même jour.
e. le traitement en urgence s'impose.
7. La chaîne de survie est composée de :
a. Alerte - MCE+BR + CEE - réanimation CP
spécialisée.
b. Alerte - CEE
c. CEE - réanimation CP spécialisée
d. Alerte - réa CP de base ou MCE + BAB
e. Alerte - réanimation CP spécialisée.
8. Le vasoconstricteur de choix en cas d'arrêt cardiaque
est représenté par :
a. L’adrénaline
b. L'éphédrine
c. La xylocaïne
d. La cordarone
e. La dobutamine.
9. L'hypo perfusion tissulaire peut être reconnue grâce
au signes suivants :
a. une confusion mentale
b. les extrémités froides et cyanosées
c. une oligo anurie
d. des marbrures cutanées au niveau des genoux
e. une acidose lactique.
10. Dans le traitement des états de choc :
a. Le remplissage vasculaire est le traitement de choix en
toute circonstance.
b. La dobutamine.
c. La noradrénaline est le traitement de première
intention dans le choc septique.
d. Le remplissage vasculaire est systématiquement réalisé
avec le plasma.
e. Aucune proposition n'est juste.
11. La pression veineuse centrale : la ou les RF
a. La pression qui règne dans l'oreillette droite.
b. Appelée pression de remplissage du VD.
c. Elle permet l'analyse d'un état de choc et la
surveillance du traitement.
d. Avec des valeurs sup à 13 cm d'H20, elle évoque le
diagnostic de choc hypovolémique.
e. Peut rester normale dans les états de choc
cardiogénique impliquant seulement le VG.
12. Parmi les causes métaboliques du coma, il y'a : (la
ou les réponses fausses)
a. le coma hypoglycémique.
d. le coma hyper osmolaire
b. l'intoxication aux organophosphorés.
e. le coma urémique.
c. l'hypoxie cérébrale
13. Parmi les urgences thérapeutiques à rechercher
systématiquement lors d'un coma : la ou les RF
a. hyperglycémie
b. l'hématome sous dural
c. la méningo - encéphalite
d. l’hématome extra dural
e. l'hypoglycémie.
14. Le coma urémique est : (la ou les réponses fausses)
a. est le coma de l’insuffisance
b. est d'apparition brutale
c. entraîne souvent une surcharge hydro-sodée
d. peut entraîner un trouble du rythme avec
hyperkaliémie
e. nécessite souvent une épuration extra rénale.
15. Parmi les signes biologiques retrouvés lors d'un
choc septique, on peut retrouver : (la ou les réponses
fausses)
a. une hyperleucocytose avec polynucléose
b. une acidose respiratoire
c. une hyper lactacidémie
d. une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle puis
organique
e. une CIVD.
72
16. Chez un patient victime d'une brûlure électrique, le
risque essentiel est :
a. l’hémoconcentration avec risque d'insuffisance rénale
b. les troubles du rythme cardiaque et l'ischémie
myocardique
c. la rhabdomyolyse
d. l'atteinte respiratoire avec formation rapide d'un
oedème bronchique
e. toutes les réponses sont justes.
17. Parmis les modifications physiologiques
secondaires à une brulure grave :
a. une fuite plasmatique importante et constante les 48
premières heures.
b. une hémoconcentration par fuite d'eau et d'électrolytes.
c. une hypothermie avec diminution du catabolisme.
d. une acidose métabolique par libération produits acides
à partir des zones brûlées.
e. toutes les réponses sont justes.
18. Une morsure de serpent est dite grave quand : (la
ou les réponses fausses)
a. elle a lieu au niveau des muqueuses
b. elle concerne un enfant ou un sujet âgé
c. la sérothérapie est indiquée tardivement
d. il y a survenue de vomissements, diarrhées et
hypotension artérielle
e. un syndrome hémorragique apparaît.
19. Après extraction d'un noyé de l'eau (eau de rocher),
on note une petite agitation, ainsi qu'une gêne
respiratoire avec encombrement bronchique, votre
conduite thérapeutique :
a. Assurer une hémostase correcte à l'aide d'un masque à
oxygène.
b. Poser une perfusion.
c. Faire une radiographie pulmonaire.
d. Sédater le patient au moyen de barbiturique ou de
benzodiazépine.
e. Traiter l'œdème pulmonaire par administration de
diurétique.
20. Le bilan d'hémostase réalisé chez un enfant de 6
ans souffrant d'une hémorragie post circoncision est le
suivant : plaquettes 300.000 /mm³, TCK (malade 86 sec
/témoin 40 sec), TQ (malade 13 sec /témoin 12 sec),
temps de saignement (Ivy) sup à 20 min
Quel diagnostic vous évoquer ?
a. Hémophilie A
b. Déficit en facteur XII
c. Maladie de Willebrand
d. Hémophilie B
e. Thrombopathie de Glanzmann.
21. Le diagnostic biologique d'une anémie ferriprive
nécessite tous ces tests, sauf un :
a. Hémogramme
b. Taux de réticulocytes
c. FSP
d. Ferritinémie
e. Médullogramme.
22. Le Temps de Quick (TQ) est allongé au cours des
circonstances suivantes, sauf une :
a. afibrinogénémie congénitale
b. déficit en pro convertine
c. maladie de Willebrand
d. déficit sévère en facteur Stuart
e. traitement par les AVK.
23. L'anémie mégaloblastique carentielle est
caractérisée par les signes biologiques suivants : (RF)
a. VGM sup à 100 femtolitres
b. déficit en facteurs antipernicieux
c. taux de réticulocytes sup à 20000/mm 3
d. polynucléaires neutrophiles hypersegmentés
e. hyperplasie de la lignée érythroblastique
24. L'anémie de type microcytaire hypochrome se
rencontre dans les pathologies suivantes, sauf une
laquelle ?
a. Syndrome inflammatoires
b. Carence en fer
c. Bêta thalassémie majeure
d. Anémie sidéroblastique
e. Carence en facteurs antipernicieux
25. Devant un purpura thrombopénique confirmé, quel
est l'examen à pratiquer ?
a. Temps de saignement
b. Frottis de sang périphérique
c. Mèdullogramme
d. Bilan de coagulation
e. Sérologie virale.
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26. Le motif de consultation principal en proctologie :
a. nausées et vomissements
b. douleurs épigastriques
c. rectorragies associées à une douleur anale
d. toutes ces propositions sont fausses.
27. Vous recevez pendants votre garde un patients de
sexe masculin âgé de 45 ans victime d’un accident de
circulation depuis une demi - heure, sa tension
artérielle est très perturbée à son arrivé au service des
UMC mais elle se normalise après une prise en charge
médicale de réanimation, il présente sur le plan
radiologique une disjonction pubienne avec fractures
des deux arcs postérieurs de la 3ème
et 4ème
côté sans
signe d'épanchement pleural, vous devez :
a. admettre d'urgence au bloc opératoire pour une
laparotomie exploratrice après lui avoir mis en place un
sondage vésicale.
b. compléter son bilan para clinique pour établir un bilan
lésionnel précis et complet, et surtout ne pas mettre de
sondage vésical sans l'avis du médecin urologue.
c. lui prescrire un traitement médical et le faire sortir.
d. toutes ces propositions sont fausses.
28. Dans la méningo - encéphalite tuberculeuse :
a. le LCR est trouble.
b. le LCR est clair.
c. le LCR est hypoglycorachique.
d. le LCR est hypoglycorachique.
e. toutes les réponses sont fausses.
29. Dans les prescriptions des ATB on doit tenir compte
de :
a. la bactérie
b. la demi - vie de l'ATB
c. le terrain
d. le site de l'infection
e. toutes les réponses sont justes
30. La douleur abdominale aiguë a des caractéristiques
spécifiques, une seule est fausse, laquelle ?
a. l'évolution de cette douleur est dans les 7 jours.
b. l'interrogatoire encadre vers tous ces caractéristiques.
c. sa topographie oriente vers la zone de souffrance
organique.
d. il faut toujours séduit avant d'examiner le patient.
e. elle peut être spontanée ou provoquée.
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