DOSSIER
SPECTACLE
2014
Cercle : DE LOCOAL-MENDON
Insérer une illustration de votre
spectacle / photo du groupe / carte
postale etc.…
Présentation spectacle
Spectacle (suite) thématique
I/ Présentation du groupe
1.1 – Historique
Présenter succinctement votre groupe
1.2 – Choix artistique
Présenter ici vos orientations artistiques, vos choix de mise en scène … Ce paragraphe doit permettre
de comprendre vos propositions scéniques. (ex : orientation globale de votre travail (êtes-vous orientés
plutôt vers la mise en scène de vos danses ou plutôt sur une recherche chorégraphique avec un fil rouge ou
non)
II/ Présentation de votre spectacle (de votre suite)
2.1 – La thématique, le synopsis du spectacle
Présenter ici le point de départ de votre création, le sujet à partir duquel vous avez créé votre
spectacle (suite) ainsi que vos sources (collectages, archives, photos …)
Vous pouvez agrémenter cette partie d’iconographies, de textes (citations) ou de tout autre support
que vous jugerez utile à la compréhension de votre thématique.
Expliquer ici votre choix de mise en scène en lien avec votre thématique. Qu’est ce que votre
spectacle (suite) raconte ?
Orientation plutôt sur une recherche chorégraphique - sans fil rouge.
Pas de thème cette année.
Le cercle celtique "An Ozeganed" a été créé en 1987, parallèlement au comité de jumelage entre Locoal
Mendon et Kinvara en Irlande.
Locoal-Mendon est une localité nichée dans la Campagne Morbihannaise, le long de la Ria d’Étel, Région
Ostréicole, dans le Pays d’Auray, près de Vannes. "An Ozeganed" signifie "les Lutins", il doit ce nom à une
légende de la région de Carnac, terroir dont il est issu.
2.2 – Les costumes
2.2.1. – Les modes vestimentaires : quels choix ?
Expliquer ici vos choix vestimentaires (modes campagnardes, mode citadines … pourquoi ?)
2.2.2 – Présentation des modes vestimentaires
A présenter : 1 photo d’archive, 1 photo avec la reconstitution que vous avez réalisée, 1 texte
court qui présente le costume (époque du costume, les tissus utilisés, précisez s’il s’agit d’un
achat ou d’une reconstitution, à quelles occasions ce costume était-il porté …)
Les années 1840 :
Nos choix ne sont pas encore faits quant aux tenues que nous porterons cet été, entre les tenues des
années 1840 et celles des années 1920, selon le choix des organisateurs.
Photos de nos reconstitutions
Les dessins accompagnés de
descriptions détaillées de Lalaisse
notamment, nous ont permis de
reproduire les tenues que portaient
l’homme et la femme en 1843 (robe
et boléro de laine pour la femme -
gilet et ceinture de laine, chemise et
guêtres en lin pour l’homme) (cf
croquis) :« …Le costume des femmes
des environs d’Auray est caractérisé
par la grande coiffe portée dans le
Vannetais, avec ses longues bardes
sur le dos. Celle que nous décrit
Lalaisse porte un boléro rouge sans
Photo d’époque du costume
manches, une jupe noire relevée
parfois (pour ne pas la salir) sur un
jupon de couleur vive, rose, rouge ou
orange, un tablier bleu, des bas
violets et des souliers noirs….
L’homme décrit par Lalaisse en haut,
porte un chapeau noir assez
particulier puisqu’il est couvert de
toile cirée avec un médaillon rouge
sur le fond où est brodé le numéro
de l’année… ».
« Un carnet de croquis et son
devenir » François Hippolyte Lalaisse
et la Bretagne
Les années 1910 - 1920 :
Photo d’époque du costume
Photos de nos reconstitutions
Un tablier à grande bavette, de
longueur variable, mais parvenant au
moins au niveau du velours de la jupe,
agrémente le costume féminin, dont il
constitue la pièce maîtresse. Les
broderies, qu’elles soient sur satin ou
velours, peuvent être invariablement
soit en semis de petits bouquets (1910),
soit en guirlandes de fleurs (1920 –
1930), avec possibilité de festons et
début des broderies Richelieu. Cette
tenue se complète par une parure de
dentelle : la coiffe « Tri kint », un col de
taille moyenne, une guimpe et des
manchettes, les araignées sont très
rares à cette époque. La coiffette de
taille importante est lacée sous le
menton, ou nouée sous le chignon.
Traditionnellement, lorsqu’une femme
a les cheveux longs au point que le
chignon ne peut rentrer dans la coiffe,
elle a coutume de faire deux nattes, de
relever celles-ci et de faire un chignon
plus petit avec le bout des tresses. Les
bottines et le jupon sont de rigueur.
Porté avec un châle, le tablier possède
une petite bavette. Le châle, noir
généralement sur la côte carnacoise, est
souvent de couleurs même vives, sur la
Presqu’île de Quiberon. Il peut être de
velours (brodé, frappé ou uni), de
mérinos (brodé ou non), de tissus plus
légers pour l’été. Il comporte également
des franges plus ou moins travaillées en
soie (noire ou de couleurs sur la
Presqu’île), et se porte drapé par trois
plis sur les épaules, avec un tour de cou
variant lui aussi considérablement de
Carnac à Quiberon (de la dentelle en
araignées, au jabot à « bouillons »).
Les hommes, dont la vêture n’évoluera
désormais plus, portent une chemise
blanche à plastron plissé ou droit et col
officier, un pantalon noir ou gris rayé
(caractéristique de cette époque), un
gilet à parements de velours noir et
incrustations de velours vert, bordeaux
ou noir sur notre région, une veste de
velours et mérinos noir et un chapeau à
guides de velours, dont la longueur
variait selon la richesse de leur
propriétaire.
Texte de présentation des costumes
Les reproductions datent de la fin du
XIXème
siècle, et sont copiés à partir des
originaux, de lithographies, musées,
ainsi que grâce aux témoignages de
personnes âgées nous ayant transmis
leurs connaissances, souvenirs et
trésors que pouvaient renfermer leurs
armoires et leurs mémoires. Les
femmes portent une robe de mérinos
noir ornée de velours noir ; certaines de
nos robes sont des modèles anciens, les
autres sont refaites à l’identique. La
hauteur de la bande de velours au bas
de la jupe varie entre 20 et 30 cm. Les
manches, arrivant approximativement
au milieu de l’avant-bras, sont de forme
dite « en pagode ». Le mérinos de la
robe peut être remplacé par un taffetas
de soie, et ce tissu peut être moiré ou
comporter des motifs divers, tons sur
tons.
Nos enfants :
Photos d’époque du costume
Photos de nos reconstitutions
les jours. LE CARACO est un chemisier de
coton noir, avec col Claudine ou col
chemisier, boutonné simplement sur le
devant. De multiples petits plis
« religieuses » verticaux partent des
épaules et s'arrêtent au dessus de la
poitrine. Il est serré à la taille par un
élastique large inséré dans un biais coté
intérieur. Il se forme ainsi une basque
qui est masquée devant par le tablier,
mais visible dans le dos. Les manches
sont longues et serrées au poignet. LA
JUPE de coton noir, montée simplement
à la ceinture large (2 ou 3 cm) par un fil
de fronce non visible ou par des plis
plats. Elle peut avoir une poche qui se
cache sous le tablier. La jupe est fermée
devant par un petit système portefeuille
et boutonnée. LE JUPON est un jupon
classique, en coton, qui peut être rayé.
LE TABLIER est de coton à petites fleurs
ou petites rayures, de couleur. Ce sont
des plis plats montés sur la ceinture
large de 3 ou 4 cm.
LE COSTUME ORDINAIRE DES
garçonnets se compose d’une Blouse,
d’une Chemise, d’un Pantalon, d’un
Béret. Nous ne le présentons pas
actuellement.
Le COSTUME DE CÉRÉMONIE des
garçonnets est le même que celui des
hommes, à ceci prêt qu'ils ont un
chapeau de paille avec un ruban de
velours, jusqu'à la communion
solennelle.
Le COSTUME DE FETE des filles se
compose d’une robe de couleur rayée
avec bandes de velours en bas de la
robe et au bord des manches, d’un
tablier de coton de couleurs et une
parure : col, guimpe et coiffe de tulle
avec dentelles. Elles ne portent pas de
manchettes
Texte de présentation des costumes
Le costume de travail est le même pour
les femmes et les fillettes. Il est présenté
au cercle par les enfants. Il était
d'ailleurs porté par les écolières pendant
les années 1910 - 1920. Il est de coton,
et composé d’une Coiffe, d’une
Coiffette, d’un Caraco, d’une Jupe, d’un
Jupon, et d’un Tablier. LA COIFFE est
assez différente de celle de cérémonie.
Bien qu'étant de même dimension, elle
est faite dans un organza de coton, les
ourlets sont larges, environ 3 cm, et
surtout elle ne présente pas de pli cassé
sur le devant. Elle est juste arrondie.
L'arrière est plié de la même façon que
sa grande sœur. En raison de cette
forme arrondie autour du visage, elle se
nomme "Pleg Bras" (grand pli). Les
femmes et fillettes peuvent aussi porter
uniquement la coiffette en tenue de tous
2.3 – La musique
2.3.1 – Présentation du groupe musical
Présenter ici la composition de votre accompagnement musical (bagad, orchestre … si
orchestre merci de préciser les instruments)
2.3.2 – La création musicale
Présenter ici la manière dont la musique est en lien avec la danse, avec votre création. Avez-
vous créé des airs particuliers, quels sont les arrangements …
2.4 – La danse
2.4.1 – Le choix des terroirs, liste des danses choisies
2.4.2 – Les danses mises en scène (quels liens avec votre thématique ? …)
Les danseurs évoluent sur un trio instrumental : accordéon diatonique, clarinette et guitare
classique ou un couple de sonneurs traditionnel.
/
Vannetais
- En dro / kas abarh :
o Partie traditionnelle : mod koh, ronde ou cortège.
o Moments forts : combinaisons en ronde de kas abarh / kas ar maez.
o Prise de risque : mise en place de la ronde initiale par enchâssement de 2 arcs de cercle
convexes.
- Laride :
o Partie traditionnelle : La jambe libre est croisée au temps 8 (fait très courant naguère sur notre
littorale, peu usité de nos jours). mouvements de bras « 1 coup en l’air », comme par chez nous.
o Moments forts : entrée par le centre de 2 chaînes dos à dos. Système de moulins en décalé.
o Prise de risque : instauration d’une symétrie-miroir par inversion des appuis d’une partie des
danseurs.
Adultes : suites principales chorégraphiées : Vannetais, Leon, Nantais/Tregor, Montagne, Pachpi
- Bal de Rhuys :
o Partie traditionnelle : le pas du bal (joint / levé), « gigouillé » des mains à hauteur de poitrine (à 5
reprises dans cette suite), le pas de ballade sautillé (à 2 reprises dans cette suite).
o Moments forts : en couple, des clins d’œil au cercle circassien. Grands déplacements et forte
occupation de la scène par tous.
o Prise de risque : développement et enchâssement de 2 lignes sur 180°.
- Fileuses de Baud :
o Partie traditionnelle : Nous respectons la forme de base qui est le trio en ronde, mais
expérimentons d’autres formes telles que les parties B en ligne, en triple rondes et ronde
collective.
o Prise de risque : Le changement de rythme pour les danseurs entre la partie A et la partie B de la
danse.
Leon
- Rond de Landeda :
o Partie traditionnelle : pivot de tous dans le sens de progression aux temps 1-2 de la ballade
(rarement usité mais existant).
o Moments forts : entrée des danseurs côté cours et balayage en ligne vers jardin. Déploiement
des couples en position de Tango (3 fois).
o Prise de risque : innovation sur les sauts (doubles, continus). Déploiement décalé de couples 2
par 2 (effet d’optique).
Nantais/Tregor
- Avant-deux des touches :
o Partie traditionnelle : la forme et le pas sont respectés lors des déploiements en quadrille.
o Moments forts : Entrée sporadique des couples sur scène. Double rond et Double ligne simultané
hommes / femmes.
o Prises de risques : tous les déplacements se font sur les balancés. Enchaînement avec la
maraîchine sans arrêter de danser.
- Maraîchine :
o Partie traditionnelle : le pas et le balancé sont respectés tout du long, sauf le protocole
(quelquefois malmené).
o Moments forts et prises de risques : évolution ascendante de la ronde vers la chaîne via les
balancés. Changement de cavalière pour le dernier balancé. Enchaînement avec la dérobée sans
interruption dans le rythme. Suite épuisante.
- Dérobée de Guingamp :
o Partie traditionnelle : le pas (hormis la traversé) et le protocole (hormis tourniquet, traversée et
pont-dérobée) sont respectés.
o Moments forts et prises de risques : la traversée à 6 couples.
Montagne
- Suite tripartie (ton simple, tam kreiz, bal à 4, bal à 8, ton double) :
o Partie traditionnelle : Gavottes mod Gourin-Chateauneuf-Poullaouen, bals Dardoup à 2, 4, 8,
collectif, bal Poullaouen et Calanhel.
o Moments forts et prises de risques : suite à 8 couples. Les positions statiques sont rares.
Double chenillard. Tournés de couples désynchronisés. Florilège de bals des montagnes.
Enchâssement de 4 lignes par balayage. Éclatement d’une chaîne, par effet de gonflement.
Double enchâssement de 2 chaînes de filles. Sortie de scène rapide.
Pachpi
- Pachpi :
o Partie traditionnelle : Sont présentées différentes modes : Fisel, Fanch, Tréger, polka piquée.
o Moments forts : (si l’effectif le permet) 12 filles pour 6 gars, avec jeu sur les modes
vestimentaires.
o Prise de risque : La grande diversité dans les changements de pas : - 5 pour la partie A et 4 pour
la partie B.
III/ Libre
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IV/ Contact
Nom de la personne à contacter :
PHILIPPE Yvan
Président
Kerdonnerc’h 56550 BELZ
02 97 55 23 61
COUTY Dany
Secrétaire
10 rue
Champlain
56100 LORIENT 02 97 83 13 24
06 66 55 65 75
Partie Danses et chorégraphies :
COUTY
Jean-Paul
42 rue Daniel
Balavoine
St Gwénaël
56660 LANESTER 06 13 74 56 23
02 97 76 21 54
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