COMMUNICATION DE MONSIEUR KABA CAMARA DIRECTEUR GENERAL
BUREAU STRATEGIE ET DEVELOPPEMENT
MAE GUINEE , POINT FOCAL CARD GUINEE
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mai 2010
PLAN DE COMMUNICATION
I. Introduction
II. Etat de la mise en œuvre de la SNDR en Guinée
III. Difficultés dans la mise en œuvre de la SNDR
IV. Revue des orientations stratégiques par sous secteurs
V. Les prochaines étapes2
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PANORAMA DE LA RIZICULTURE EN GUINEEPANORAMA DE LA RIZICULTURE EN GUINEE
Riz de mangrove
Riz de bas-fonds
Riz de plaine alluviale
65%
9%10%
16%
Riz pluvial
La production nationale de riz est passée de 501 490 tonnes en1991/92 à 1.140.801 t en 2000/01 et a été de 1.498.962 t en 2009/2010. La consommation per capita est passée de 92 kg en1998 à 100 Kg en 2009. Les importations en riz sont de l’ordre de 300.000 t en moyenne ces 10 dernières années pour un coût de 140 millions USD (2008)
I. RAPPEL HISTORIQUE DE LA SNDR-Guinée
• Nomination du point focal le 17 décembre 2009
• Organisation de l’atelier national de lancement du processus de formulation de la SNDR les 17 et 18 février 2009
• Réunion de concertation avec les partenaires au développement le 30 avril 2009
• Réunion d’approbation SNDR au Cabinet du Ministre et signature le 6 mai 2009
• Présentation de la SNDR à la 2ème assemblée de la CARD en juin 2009 à Tokyo
• Validation du Programme de Développement Durable du Riz du PNIA/ECOWAP/CAADP les 6 et 7 avril 2010
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II. ETAT DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA SNDR EN GUINEE
• SITUATION DES PROJETS• Existence de 23 projets
rizicoles• 18 projets axés sur la
production agricole• 5 seulement ont un volet
d’appui à la commercialisation
• Principaux PTF : BAD, AFD, BID, FAO, IDA
• ACTIVITES REALISEES• Processus de mise en place
d’une Interprofession Nationale sur la filière Riz avec l’appui du GRET (AFD)
• Arrêté de création du Comité National pour le Développement de la Riziculture en Guinée (en cours de signature)
• Textes d’application de la déclaration de politique foncière en milieu rural en cours de signature
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II. ETAT DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA SNDR EN GUINEE
• Signature d’une convention avec SFECO de Chine pour l’aménagement et la mise en valeur de 100.000 hectares de terres rizicoles en décembre 2010 (500 millions USD)
• mission chinoise pour l’identification des plaines concernées par la Phase 1 de 50.000 hectares (20/4/-23/5/10)
• Signature d’un prêt d’Equipement Agricole avec l’Inde en avril 2010 d’un montant de 15 millions USD
• Intégration de la Guinée dans le WAPP2 Riz de la Mano River Union (mars 2010 à Abidjan) et soumission prévue au Conseil d’Administration de la Banque mondiale en octobre 2010 (24 millions USD)
• Accord de principe de l’AFD, de la BAD (2ème phase PADER-HG, de la BID et la Coopération Japonaise pour le soutien à la filière Riz (Conditionnalité tenue d’élection libre le 27 juin 2010)
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III. DIFFICULTES DANS LA MISE EN ŒUVRE DE LA
SNDR• Instabilité socio-politique avec pour
conséquence la suspension des financements en cours
• Difficultés dans la négociation de nouveaux projets rizicoles
• Faible capacité des acteurs de la filière• Difficultés dans la coordination des
interventions au niveau de la filière7
IV. REVUE DES ORIENTATIONS STRATEGIQUES PAR SOUS SECETURS DE LA
SNDR
• Sous secteur des intrants• Mise en place de fonds spécifiques pour les importateurs et les producteurs • Développer la production et l’utilisation des engrais organiques• Développer la filière semencière du riz
• Sous secteurs de la mécanisation • Développer la petite mécanisation en renforçant sur les moyens de
transport en milieu (traction animale, tricycle avec remarque, etc.)• Développer la grande mécanisation dans les plaines alluviales et de
mangroves• Mettre en place un fond bonifié pour les équipements• Renforcer la Banque Africaine de Développement agricole et Minier
(BADAM)
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IV. REVUE DES ORIENTATIONS STRATEGIQUES PAR SOUS SECETURS DE LA
SNDR
• Sous secteur de la maîtrise de l’eau• renforcer le partenariat public-privé notamment international dans la
construction et la gestion des aménagements hydro-agricoles • Prise en compte de la dimension environnementale et du genre
• Sous secteur de la commercialisation agricole• Mettre en place un fond d’appui à la commercialisation agricole• Renforcer la structuration des acteurs en aval de la filière notamment les
étuveuses• Renforcer l’implication des importateurs de riz dans la commercialisation
du riz local notamment dans l’approvisionnement des grands centres urbains
• Développer le métier de stockeur dans le circuit de commercialisation agricole
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V. LES PROCHAINES ETAPES
• Mise en place rapide des fonds nationaux et/ou régionaux pour le développement de la riziculture
• Contribution à la réalisation d’études dont : Élaboration du plan d’investissement du
programme de développement durable du Riz dans le cadre du PNIA-ECOWAP/PDDAA (mai/juin 2010)
Elaboration d’une stratégie nationale en mécanisation agricole en général et la petite mécanisation en particulier
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V. LES PROCHAINES ETAPES (suite)
• Elaboration d’une stratégie nationale cohérente en matière de commercialisation du riz prenant en compte la mise en place de SIM et la promotion de label de qualité
• Etude la chaîne de valeur de la filière semencière et élaboration d’un projet national
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ASSURONS ENSEMBLE LA SECURITE ALIMENTAIRE
Producteurs et Productrices
Investissementspublics et privés
Sécurité Alimentaire
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JE VOUS REMERCIE POUR VOTRE AIMABLE
ATTENTION
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Kaba CAMARA
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