Yaou 4 a viz Mezheven 2015
CAPES DIAVAEZ HA CAFEP
Arnodennoù degemer
Amprouenn 2 : divizout war un teuliad Amzer brientiñ : div eurvezh
Danvez studi
1. Teul da selaou ha da gompren. 2. Teuliad
a. Charte des sections bilingues et de l’enseignement optionnel de langues régionales, Akademiezh Roazhon ;
b. Teuliad ur c’helenner brezhoneg diwar-benn Wangari Maathai ha Barack Obama ;
c. « Ar merc’her noz eo… », skrid ur skoliad (skolajiad pe lisead) ; d. « Skridaozañ », kael briziañ ur c’helenner brezhoneg ; e. « Danevellañ », sujedoù kinniget gant ur c’helenner brezhoneg ; f. « Margaux 2 », filmig o tiskouez skolidi oc’h ezteurel
Diwallit ! Gwirion eo an teulioù b da f : implijet int bet da vat en ur skolaj pe ul lise. N’int ket ur skouer ha n’int ket disi, nag a-fet danvez, nag a-fet yezh.
Charte des langues régionales - 1 - 15/12/2006
Charte des sections bilingueset
de l’enseignement optionnel de langues régionales
Les sections bilingues et l’enseignement optionnel de langues régionales participent de la po-
litique menée dans l’académie de Rennes en faveur des langues vivantes.
A- La vocation des sections bilingues
Les sections bilingues sont régies par
- la circulaire 2001-167 du 05-09-2001 modifiée par la circulaire 2003-090 du 5-06-
2003
- la circulaire 2001-168 du 5-09-2001
- l’arrêté du 12-5-2003
- la loi d'orientation et de programme pour l'avenir de l'école du 23 avril 2005
Les objectifs fixés s’inscrivent dans le plan général de développement des langues dans le
système éducatif et dans une perspective d’ouverture à d’autres voisinages culturels et lin-
guistiques.
L’enseignement de la langue régionale dispensé sous la forme bilingue à parité horaire a pour
objectifs :
- de permettre aux élèves, par une pratique plus intensive de la langue, d’atteindre un niveau
de communication et d’expression orale et écrite performant afin de les amener progressive-
ment à utiliser la langue régionale ou le français avec leurs pairs du même âge mais aussi avec
les adultes, dans l’école et dans le milieu familial et social
- de favoriser les acquisitions culturelles liées au patrimoine dans lequel s’inscrit la langue
(histoire, géographie, littérature, arts…)
- de développer l’interdisciplinarité.
- de contribuer à la reconnaissance et la transmission d’un élément de la richesse du patri-
moine national et universel
- de contribuer à reconnaître la diversité culturelle au sein de la communauté nationale
- d’être le vecteur d’une politique d’ouverture vers les langues et cultures voisines en favori-
sant plus particulièrement une politique d’échanges entre établissements scolaires et le renfor-
cement des solidarités entre les régions européennes
- d’être un élément de la construction de l’identité européenne
B- Organisation et fonctionnementLes sections bilingues et l’enseignement optionnel de langues régionales s’inscrivent dans un
réseau académique cohérent et évolutif. Leur construction et développement doit reposer sur
trois piliers : la cohésion du site, la mise en œuvre d’une pédagogie moderne tournée vers la
communication effective, l’ouverture à la richesse environnante, à l’interrégional et à
l’international.
1- le site, lieu de l’indispensable solidarité école élémentaire-collège-lycée
Comme pour les sections européennes, la notion de site bilingue composé d’au moins deux ou
trois écoles élémentaires pour un collège et de deux collèges pour un lycée est intrinsèque-
ment lié à celle de parcours de l’élève. La nécessité de proposer un cursus continu de la ma
Charte des langues régionales - 2 - 15/12/2006
ternelle au lycée doit se traduire par une organisation cohérente en site géographique. Cette
logique rend indispensable une étroite concertation entre établissements partenaires qui doi-
vent partager un véritable projet cohérent. Cette concertation trouve tout naturellement sa
place dans le cadre du BAPE en liaison avec le chargé de mission d’inspection, coordonnateur
des enseignements de langues et cultures régionales dans l’Académie.
Les points suivants doivent constituer des axes de travail en vue d’une véritable collabora-
tion :
- élaborer et mettre en œuvre avec les enseignants un projet pédagogique commun favorisant
une démarche inter-cycles (réunions entre professeurs des écoles et les professeurs de collège
d’une part et les professeurs de lycée et les professeurs de collège d’autre part)
- mettre en place avec l’adhésion de l’ensemble de la communauté éducative des projets
communs d’action culturelle et d’ouverture à d’autres régions de France et à l’international
(conférences, expositions, intervenants extérieurs, collectage….)
- exploiter le potentiel de l’environnement social, culturel et économique du bassin
- inscrire la dimension bilingue dans les projets d’établissements et sa mise en perspective de
l’ouverture aux autres cultures
- présentation d’un rapport annuel de fonctionnement soumis au conseil d’administration de
chaque établissement
De manière générale, il est recommandé de prendre toutes les dispositions nécessaires pour
renforcer la cohésion du site bilingue tant sur le plan administratif que pédagogique afin de
garantir un fonctionnement optimal, gage de pérennité. L’adhésion et la participation active
des différentes composantes de la communauté éducative – personnels de direction, ensei-
gnants, personnels de vie scolaire, ATOS, élèves, parents – doit être constamment recherchée
et améliorée.
2 – La mise en œuvre d’une pédagogie moderne tournée vers une communication effec-tive
L’horaire de langue permet une découverte approfondie des réalités culturelles. Pour autant le
projet pédagogique ne saurait différer de l’objectif assigné au cours de langue en général tel
qu’il est formulé dans les textes officiels et réaffirmé dans la charte académique pour
l’enseignement des langues vivantes : « Développer la capacité de communication pratique,orale et écrite, dans toutes ses dimensions et dans toutes les situations. Intégrer la dimensionculturelle sans laquelle il n’y a pas de véritable communication. » L’étude de documents au-
thentiques et variés sera ainsi privilégiée en veillant à ne jamais séparer apprentissage de la
langue et développement de la compétence inter-culturelle.
En collège et en lycée l’enseignement des disciplines non linguistiques implique une collabo-
ration entre le professeur en charge de cet enseignement et le professeur linguiste. Le projet
pédagogique de la section bilingue accorde une large place au travail interdisciplinaire. On
peut même affirmer que l’interdisciplinarité est au cœur du dispositif. Dans la mesure du pos-
sible il faut veiller à un aménagement des emplois du temps permettant une contiguïté des
heures de langue et de discipline non linguistique (DNL) pour que les professeurs de ces deux
disciplines puissent mettre en œuvre des stratégies communes. Il est tout à fait concevable que
certaines thématiques du cours de DNL trouvent un écho en cours de langue. La charte aca-
démique pour l’enseignement des langues vivantes rappelle que celles-ci sont « des instru-
ments de connaissance et d’échange enrichissant l’enseignement de toutes les disciplines ». Si
le professeur de langue ne saurait se substituer au professeur de la DNL, en revanche il lui est
recommandé de croiser le plus souvent possible les champs disciplinaires à l’occasion de
l’étude d’un document qui mobilise des connaissances dans les deux domaines.
Charte des langues régionales - 3 - 15/12/2006
Ce décloisonnement disciplinaire trouve bien sûr sa traduction dans les dispositifs trans-
versaux (IDD, TPE) propices aux couplages langues/autres disciplines. Les sections bilingues
sont en quelque sorte prédisposées à promouvoir cette approche transversale. L’apprentissage
des disciplines non linguistiques en langue bretonne permet plus rapidement à l’élève de
s’approprier cette langue comme outil de communication. En outre, cette particularité péda-
gogique favorise les approches comparatistes, les mises en perspective, une mobilité intellec-
tuelle accrue entre deux systèmes de références. L’élève perçoit les enjeux civiques, intellec-
tuels mais aussi professionnels du bilinguisme.
3- Ouverture sur la richesse environnante et à l’international
La section bilingue et l’enseignement optionnel de langues régionales sont des éléments de
dynamisation et d’ouverture de l’établissement sur l’environnement proche, les autres régions
de France et l’international. Le projet culturel ne se limite pas à de simples rencontres, visites,
excursions. Il s’agit d’entrer dans une coopération active avec les établissements partenaires à
l’étranger et avec toute la richesse locale (cf les quêteurs de mémoire). L’activité de la section
doit rayonner sur l’ensemble de l’établissement.
Dans le cadre d’échanges traditionnels (appariement) avec des pays de langue celtique (Pays
de Galles, Irlande), avec d’autres régions de France ou avec des associations culturelles loca-
les, il convient de privilégier les projets construits par les équipes éducatives autour d’un
thème précis et ayant des objectifs linguistiques et culturels clairement identifiés. La dimen-
sion interdisciplinaire, l’engagement des professeurs non linguistes donneront au projet une
visibilité féconde pour la section bilingue. Le séjour à l’étranger et les rencontres avec les
acteurs du mouvement culturel breton seront systématiquement précédés d’un travail prépa-
ratoire qui mettra les élèves en situation de projet. Les relations de partenariat doivent trouver
un débouché naturel en classe par le biais de situations d’apprentissage directement corrélées
à la thématique du séjour ou de la rencontre. On veillera à prolonger tout déplacement par une
action de nature culturelle organisée dans le cadre de l’établissement (exposition, conférence,
film, dossiers d’élèves de nature interdisciplinaire).
L’inscription de l’établissement dans un espace d’éducation européen et international peut
renouveler les méthodes d’enseignement. La pédagogie des échanges interculturels est de ce
point de vue une source d’enrichissement d’ordre culturel, intellectuel et civique.
Pour le développement des actions d’ouverture il est recommandé de prendre l’attache de la
DARIC (Délégation académique aux relations internationales et à la coopération) qui fournira
l’assistance nécessaire pour le montage des projets.
A l’intérieur des établissements il est impératif de donner une visibilité à cette inscription
dans un espace éducatif européen et international. Un environnement pédagogique adéquat
peut accroître et prolonger l’exposition des élèves à la langue régionale et à la réalité de
l’international. De ce point de vue la section bilingue contribue de manière concrète à diffuser
cet esprit d’ouverture :
- présence de documents supports en langue régionale dans les classes
- rayonnage régional au CDI ou à la BCD: ouvrages de référence, de littérature pour la
jeunesse en langue régionale, magazines
- kiosque européen et international dans lequel les magazines en langue régionale
trouvent toute leur place
- utilisation des moyens technologiques au service de l’apprentissage des langues et
de l’interculturel : correspondance électronique, journaux télévisés
Charte des langues régionales - 4 - 15/12/2006
- présence de la section bilingue et de l’enseignement optionnel de langues régionales
notamment sur le site internet et les documents d’information de l’établissement
C- L’option langue régionale (breton et gallo)En collège et en lycée, il en va de même pour les sections de langue régionale en option qui
doivent également s’inscrire dans un parcours menant au baccalauréat.
Dans le respect des préconisations pédagogiques, certains regroupements de niveaux pourront
être envisagés pour permettre d’atteindre les effectifs requis ( 6ème
et 5ème
, 4ème
et 3ème
, 1ère
et
Terminale). Pour le Gallo il sera possible d’envisager un regroupement 2nde
et 1ère
.
Le choix de la langue régionale en option facultative donnera lieu à dérogation si
l’établissement du secteur de l’élève n’offre pas cette possibilité. Mais l’option facultative ne
peut pas être un élément de contournement de la carte scolaire. Les élèves ayant bénéficié
d’une désectorisation en raison d’une demande d’apprentissage de la langue régionale en op-
tion facultative rejoindront le lycée de leur secteur s’ils abandonnent cet apprentissage.
1
Wangari « Mama miti » Maathai
Dielloù
Wangari Maathai Ar vaouez a blante gwez a-vil-vern.
Franck Prévot Aurélia Fronty TES, 2013
Wangari Muta Maathai P 2
Barack Obama P 3
« Les rèves de mon père. » P 4
Vendredi 24 juillet 2009
Wangari Maathai. « I will be a hummingbird » KTN Kenya, 2011.
Wangari Maathai. « Taking Root The Vision of Wangari Maathai » Nyumbani, 2008.
2
Wangari Maathai
Wangari Muta Maathai (ganet d’ar 1añ a viz Ebrel 1940 e Nyeri, marvet d’ar 25 a viz Gwengolo 2011 e Nairobi) a oa ur stourmerez evit an ekologiezh eus Kenya. E 2004 he doa resevet ar Priz Nobel evit ar Peoc’h, abalamour d’he stourm dizehan evit an endro, an demokratelezh hag ar peoc'h. Bez’ e voe unan eus ar c’hentañ maouezed du o kaout un doktorelezh en ur skol-veur eus Afrika.
A-hed he buheziad stourmerez e teuas a-benn da blantañ ha da lakaat plantañ 40 milion a wez e Reter Afrika, diouzh temz-amzer ha douar al lec’hioù ha diouzh ezhommoù an dud. Evit se e rae prezegennoù war an dachenn ha broudañ an dud, en o yezh, da blantañ gwez. Mirout gwez a bep seurt ha mirout yezhoù diseurt a oa daou dra a yae dorn-ha-dorn en he stourm. Betek 150 000 a vaouezed a voe lakaet da labourat da blantañ gwez ha paeet e vezent evit se gant an aozadur savet gant Wangari Maathai, ar Green Belt Movement.
E 2003 e voe savet ganti ur strollad politikel ekologour e Kenya, anvet Mazingira Green Party of Kenya.
Da c’haredonañ he labour e voe roet meur a briz dezhi hag an hini brudetañ anezho, ar Priz Nobel, a dapas e 2004.
Mervel a reas d’ar 25 a viz Gwengolo 2011 en ospital Nairobi, gant ar c’hrign-bev.
3
Barack Obama
Barack Hussein Obama II (distaget /bəˈɹɑːk oʊˈbɑːmə/) (bet ganet d'ar 4 a viz Eost 1961 e Honolulu) zo anezhañ ur politikour eus ar Stadoù-Unanet, bremañ 44vet prezidant ar vro-se. Genidik e oa e dad eus Kenya hag e vamm eus Kansas. Studioù en deus graet e Skol-veur Columbia hag e Skol-veur Harvard. Dont a reas da vezañ senedour Illinois eus 1997 da 2004, ha senedour er C’hongress amerikan eus 2005 da 2008 hag eñ an hini yaouankañ eus holl senedourien ar vro.
Ezel eo eus ar Strollad demokrat, hag aet eo war ar renk evit dont da vezañ danvez-prezidant an demokrated evit dilennadeg prezidant ar Stadoù-Unanet e miz Du 2008. Gounezet en deus war Hillary Clinton evit bezañ danvez-prezidant ar strollad demokrat. D'ar 4 a viz Du 2008 eo bet trec'h war John McCain (republikan), ha dilennet eo bet da brezidant Stadoù Unanet Amerika. Kroget en deus gant e garg nevez d'an 20 a viz Genver 2009. Roet eo bet Priz Nobel ar Peoc’h dezhañ e 2004. Addilennet eo bet d'ar 6 a viz Du 2012 evit un eil prantad pevar bloaz, a-enep ar republikan Mitt Romney.
Bugaleaj ha studioù
E dad, Barack Obama Senior, a oa un ekonomour hag ur politikour eus Kenya, bet ganet e 1936 ha marvet e 1982 en ur gwallzarvoud karr-tan en Afrika. E dad-kozh a-berzh e dad a oa Hussein Onyango Obama (1895-1979), diwar-se e eil anv-bihan.
E dad a oa bet savet en un endro muzulman met dizoue e oa.
E vamm a oa Stanley Ann Dunham (1942-1995), ur plac'h wenn anezhi. Savet en un endro kristen, met agnostik e oa-hi. Diwar ur c'hrign-bev eo marvet.
Savet eo bet Barack Junior gant e dud-kozh a-berzh mamm. Torrdimeziñ a reas e dud e 1964, ha Barack n'en deus gwelet e dad nemet ur wech en e vuhez, d'an oad a zek vloaz.
E 1965 ec'h addimez e vamm gant un den eus Indonezia, bevañ a reas eno ganto e-pad 4 bloaz. Un hanterc'hoar en deus bet, Maya Soetoro. Kelennerez eo-hi bremañ e Hawaii. E vamm-gozh a-berzh-mamm, hi, a oa aet da Anaon dres a-raok na vije aet an trec’h gant he mab-bihan d'an dilennadegoù prezidant.
Goude mont kuit eus ar skol e ra studioù uhel adalek 1979. Mont a ra da Skol-Veur Columbia (e kêr New York) ma tap un testeni war ar skiantoù politikel hag ispisializet war an darempredoù etrevroadel e 1983.
5
Goulennoù
1) Petra oa micher Wangari Maathai ?
2) Petra ‘deus graet gant maouezed-all ?
3) Peseurt loened a veze o vevañ tro-dro menez-tan Kenya ?
4) Dre ma oa Wangari Maathai merc’h kozhañ ar familh, petra ‘veze ret dezhi ober bemdez ?
5) Petra ‘neus graet Wangari gant an dachenn-douar e oa bet fiziet ganti gant he mamm ?
6) Piv a oa o ren ar vro pa oa hi bihan ? 7) Ha petra ‘veze an dud-se boas ober evit gounit kalz arc’hant ?
8) Daoust hag-eñ eo bet diaez he studioù pa oa er skol e Bro-Genya ?
9) Pelec’h eo bet kaset da studiañ ur wech tapet he bachelouriezh ganti ?
10) Pet bloavezh e chomas eno ?
11) Peseurt cheñchament bras oa c’hoarvezet en he bro ‘keit oa hi en estrenvro ?
12) Un dra, koulskoude, ne oa ket bet cheñchet er vro. Petra a gendalc’he an dud d’ober ?
13) Hag al loened ? Petra a c’hoarveze ganto ?
14) Ha gant an douaroù ?
15) Ha petra a zeue anat dezhi e oa ret ober en-dro ?
16) Petra oa bet krouet gant wangari Maathai e 1977 ?
17) Ha kemeret mat e oa bet an dra-se gant ar re a oa o ren ar vro ?
18) Petra veze ret d’ar maouezed ober hervez kustum Afrika ? ( er film e oa bet lâret ar memes tra ! )
19) E-pad pegeit eo chomet Daniel Arap Moi o ren ar vro ?
20) Pevare e voe kollet an dilennadegoù gant an diktatour kozh ?
21) Peseurt post a gemeras Wangari Maathai er gouarnamant nevez ?
6
Skridaozañ : Savit un diverrañ eus ar pennad-mañ : Dañjerus e oa avat derc’hel penn ouzh galloud hek Daniel Arap Moi. Dont a reas Wangari da vezañ « Ar wrac’h ret he lazhañ ». Gouzout a ouie-hi n’en dije ar prazidant damant da netra o serriñ he beg dezhi, pa gase dibistig e soudarded da dennañ war ar vanifestourien. Lakaet e voe izel, skoet e voe ganti, gloazet e voe. Plegañ avat ne reas ket. Toullbac’het e voe meur a-wech. Kerkent ha deuet er-maez e savas en-dro evit ma vije dieubet an holl brizonidi bolitikel hag evit ma vije paouezet gant ar jahinerezh. Kinnigoù a varv a voe kaset da Wangari ken e rankas-hi mont alies da goazhañ en estrenvro, met derc’hel penn a reas bepred. Rak n’eo ket gwez nemetken a felle da Wangari lakaat da greskiñ : an demokratelezh an hini a felle dezhi diorren ivez. D’he c’henvroiz da choaz, dre gaer hag asambles, pere e vefe lezennoù ar vro. Hunvreal a rae, moarvat, en deiz ma c’hellfe kement bugel eus he bro c’hoari gant ar penndologed e dour sklaer ar mammennoù, e gwasked ar gwez-figez, e-harz ar c’hoadegi meur leun a loened gouez. Reiñ dezhe da zebriñ o gwalc’h an hini a faote dezhi ober da gentañ-penn avat . Buan a-walc’h e veizas Wangari e oa dalc’hoù all d’he stourm. Neuze ez eas war ar renk meur a wech. Sevel a reas ur strollad ekologour ha bodañ an tu-enep da Daniel Arap Moi evit diskar anezhañ. Pa welas an enebiezh o sevel e lakaas an diktatour en e soñj plantañ disrann er bobl, kement ha gwaskañ anezhi gwashoc’h c’hoazh. Pa vez ar yer o trailhañ o c’hribenn an eil d’eben e vez ar c’hog mestr war an dachenn. Asambles gant Luskad ar Gouriz Glas e c’hellas Wangari mirout ouzh ar Genyadiz a gouezhañ en trap-se. Kinnig a reas dezhe profañ plant bihan o magerezhioù-gwez, gouestloù a beoc’h anezhe, d’ar meuriadoù-all. Dizale e voe taolet o frouezh gant gwez ar beoc’h. Gallout a reas Wangari sachañ soudarded d’he sikour zoken ha da ziorren ar vreudeuriezh e-giz-se. E 2002 e voe roet e lamm d’ar prezidant Daniel Arap Moi a-benn ar fin ! Koll e voe en dilennadegoù tra ma voe dilennet Wangari da gannadez … ha lakaet da vinistrez an endro gant ar prezidant nevez. P 26 → p 32
7
Komprenezon
Anv bihan : ………………… Anv : ……………………….. Deiziad : …………………… ………………………………
Notenn : …… / 12
Pladenn arc’hant : 16 & 17. 1) Pevare eo bet skarzhet kuit ar prezidant kozh ? ……………………………………………………………………………………… / 0.5 2) Kollet ‘noa Daniel Arap Moi ……………………………… ha dilennet oa bet Wangari Maathai da ……………………….. ha diouzhtu goude e oa bet lakaet da ………………………………………… ! / 1.5 3) Petra ‘dalv « Mama miti » ? ………………………………………………… / 0.5 4) Diskouez a ra eo leun a- ………………………………. ar bobl eviti ! / 0.5 5) A drugarez dezhi eo digor hent ar justis e Bro-Genya evit : ……………………………… / ………………………….. / ………………………… / 1.5 6) Daoust hag-eñ ez eus muioc’h a wez bremañ e Bro-Genya eget e 1970 ?
□ Ya ! □ Ket ! / 0.5 7) Petra a glask Luskad ar Gouriz Glas ? …………………………………………., da skwer re ………………………………….. / 1 8) Pet gwez zo bet plantet gant Wangari Maathai hag he skoazellerien ? …………………………………………………. / 0.5 9) D’ar bet ‘deus resevet ganti ar Priz Nobel ? D’ ………………. a viz ……………………………………… / 1 10) Maouezed-all en Afrik zo bet roet ar priz-se dezho araok ?
□ Ya ! □ Ket ! / 0.5 11) Pelec’h eo deuet da lidañ ar priz nevez resevet ganti ha petra ‘deus graet ? ……………………………………………………………………………………………. …………………………………………………………………………………… / 2 12) Da biv e ro ar priz ur spi nevez evit o buhez da zont ? ………………………………………. / …………………………………………. ……………………………………….. / ……………………………………. / 2
8
Skridaozañ : Skrivit ur pennad - tro-dro 200 ger – gant harp ar skeudennoù-mañ pe skeudennoù-all a c’hellit kavout war ar rouedad pe ‘barzh al levr. Aze ez eus meur a dresadenn a c’hell sikour ac’hanoc’h.
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