ABONNEMENTS':'
TOULOUSE U. an, 40 fr.; 6 mois, 21 fi.; 8 mois, 11 fr.® tt Oreomc Un an,
D tmeurs 50 fr.; 6 mois, 26 le.; 3 mois, 14'fr.
É ORANGER Lea' frata supplémentaire, de pilote en sue.
Tii loalscs, 2 t Décembre.DApéohea
M ll Il dé lie.I 1 tt es d 1t1 . I t q eon-
trac nt à l'as. ton dea dépêches, quiattribuant à l'F 1 fortunes d'unefrégate do l'Etat 1G se bàhmot de comma o de t 0 b , armé
c a.
seulement dea ponts cano -
Bel m, 18 d(c pro.Il, I1La Goortted -ZAlI gne du Nord, a
vint de s'opérer on It
e, app lleglai
circulaire de M. de Lavalette, de 16 sep-tembre 1866luqui, tout en cennaior$saut lebesoin pour Franco d'une
ootortsganx-
action militairo seil
r 1et déclarait q dpr nouvelle constii-tution de l'Allemagne, il n'y avait aucuneau Imon
opéemetauan por pour la paix u-
rMadrid, 19 décembre.
Hier soir une explosion de 200 kilo-grssmmes de poudre a eu lieu dans le peu-ai do la caserne des soldats.
Ce sinistre est attribué à l'imprudencede quelques enfante qui, depnie plIcicura
jours avaient déc erf le moyen de .'ÿmtrodniro pour voler de la pondre.
Deux de ces enfante t 616 tués, atin a été geievrment lot' deus on
trois ont é légérement blessés aluni quedeux
oldétais.
Madrid,L G te p
uli ie n télfgra e disant
q p t t
élection
sac pheant
lé
décembre.Toile calme et lrA Castelieu, 80 travailleurs refusaient
de travailler' cens prétexte que l lesempêchait de v tel, aie, sur 1 h rva-tiens duter
ovver on les a e v yé opar
geDupesI ri
Al d d18
décembre.
Îlia dea
d1 Md d d aovllenevr
t nj d'h P I P ure f queet.
La
p pl pag d u6 g r7MB itz b les Mdlursàc droit avec calme, il ajoute quo
c'est le meilleur moyen de consolider lesconquêtes de la é lotion.
La tranquillité règne dans la Pile-sida A118 dbae-
Les té.égran' e dedinorvers
pointsam,onpm,t a
Ii
. 1 él ectoralesa.". pl t j t t l a le plus grand
11 I t l l dl pur but laan,d vo.
IstD
d t t 7 M d 1, I
s pgce^ée apparhenpent au parti montuchr-
que libéral.Sélsbcé'rmp t pelulu
Paris, 20 léombr rtr et en d l il o d t s
Mo't t à1 e loi, ia llalerte 1 3 déc b e t toi doël. Six1 ..aq . sv t .éd prochaiq enllep i, co.rco.ia sI .
Le Temps oxpligne le bruit ]o 1 Ndu prince Goroeelmn .off Par en entretiende notre amba' 1 . 1 de Talleyrand,avec le prince C t . 1 ffL lin prince G rtsnhal,og aurait dit que si
On reçoit les abonnements et les annonces Annonoee, la ligne 0 fr. 30 c.Réclamer , la ligne 0 fr. 50 e.Fait. dévore, la lige ... 1 fa 00 P.
Tonldnses loup. Ph. M ont etde, p. r St.Rome. 1.
A. TOULOUSE, aas banaux de dournat, rue Saint.Rome, 44, - A Paria, chez M. Dsvas, 3, rue Jean-Jasgner.=Rousseau; L.eeoos-Bm mnx et Camp-., 8 place de la Bourse; Fonrsueo, 22, roe de Trévire,
Moule corrsapondants pour les annoncer. '
la Tnrgmie était aussi exigeante st par-es q telle a des raisons de as croire op,-payée perds grandes puissances, si celaétait, la Russie aurait le droit de se
en-T'AI plus réservée dune les démarcheses. tendant à empêcher cou
flit..M d T ll y and aurait t616geaphié à
P col ixtretiou.
La France démentant le bruit d'uneNote du prince Goretebakoff, affirme quales w cuti s éclat. du cabinetde St-Pét b oeg Initient d'être empreintes de sentiments conciliants et pa-nignee.
La Francs mentionnant l'assertions dejournaux `prussiens que la Tuegn e o aitordonné 1 expulsion des Grecs
de1 Serbie
et de la Roumnre, dit que ai le fait étaitvrai, la Turquin aurait soulevé nue ques-tion inopportune
I. Patrie dit que la Turquie n'avaitpan acore déclaré la guerre à la Gré. le19 décembre.
Madrid, 20 décembre.La Gazette constate que les élections
continuent tranquillement.Un conflit a eu heu à Itomalinos, duos
1 litir once de Sarragosse, antre lot deuspa h divisant ce village. Le sente de laprovince cet tranquille.
Autre Dépêche.Paris, 21 déca m b .
Le Moniteur avuonce que l'L,.,"p ata,r h' M Rangabe, minist h ilém-
(lue, qui lui a remis ses lettres de c'àance.
Uv décret, en date de 19 décembre,vaque Les Conseila généraux, pour la
l I janvier, en ace. xtraordinaire dontla dorée sera de cinq j urs.
Le diomrteur publie19 âé un antre décr t, don
tembre, concernant l'administrationmunicipale en Algérie.
Par dé rat impé 1, M. Boy r est(é uppléant du juge do peix d cordesr)
tantrnople, 20 dboembre.Ce.,M- I'hihadss B=y, ambàssad à Ath6-
mes, est arrivé deus la matinée à Constan-tinepla
Ne V 1 20 décembre,I bruit t ql'Espagne t1 Ré g .enee, ao
t fl teparlesl It E£U plé légp Î-
Massol Ce p^ix o h ..o dit 'll
d fi' Ité p
ai
d pIf p dt t ires q e é virait i M V g L t 1 d s t t bq étéé Avo
CDC LUC LEeCALIR. s t travail1Ufrltl
e t t 1
4@ le it e teste'- t lu t il tit t
ctr1. Ilt] i'des lois
ac c s. 14v 1 f 3 d pr gs
C m ion d Iblig.teee m x a 8 t p l i I g l tInc
1- 1 le I eelle ,,.d e, n 1 .11vu e te 5010 n II d e e
Le porteur. il bl g i s provisacrerde titres peaux G 010 provenant die
p t c ms 1864 1865, sont pré-q termes do l'article 5 du
de intérêts de ,.tard y afférents, d lundi l quotité disponible et par oo équnt le WBSRRVATOIRE DE TOULOUSR14 décembre 1868 dimanche 311 r droit de tester duos ou erolo beaucoup Bérrcieur M. Dsaum.1869 inclusive mue t afin de Travail être trop reolrmnt quelquefoieet loi Ime causm t desdatras abserroahomr tddtearel Si4m .il il a 7. 'C'm' hou da la r t de 4 une latitude trop grande eu d Mat n-
I ¢ De 20 déca b e.m If allouée 1 1 I. rat, et d a t e oetncea. La loi J g m xl lit rt bien Aq i m $
., 4 7ont t I rs a q lies donneront plus conforme au d t t el. Pnermoce can11gr 14' 1droit ]es titres mesirams. Le drecoure de M V g é 6crrt avec nue
cxsn °amLe bl g txone liberees et les tres 6 p.eOlO d p u e ontdesfi nome fobnnp tà tt Trésor ee éraug de 1 aportion de rente qm leur sacs posés e( t. 9 du dénier , pourront être déposés APARTIR DU 2 ANVIER 1869.
L v eut t dépôts de tit sserontre,s
Pars les départem nts, à la caisse dea
vends iers-Yayeura généraux et des Race-
veurs particuliers dés finances.
Dans la soirée de samedi, une s
'se dans la rue des Fontaines, abourg Saint Cyprieu, a 610 presque
entas
rament d6truite par un incendie L s ppiera s'y étaient transportés en t te bate,
aie le sinistre avait pris de telles propor-tions, avant leur arrivée, qu'ils nt du seborner à empêcher l'eateaeion de l'in-cendie.
La séance solennelle par laquellels Bar-
rAs.confLreu es o en lieu obier a rie heures
dans lu ealle de 1a Bibliotbéque, sons la prdroec de Mo de Gmmal bulonnier de
l'Ordre, assisté de tous les membres duconseil de discipl
MM. les v t ét é t coudestré g and omcb p a a ist .tecol t6 M ee B t o t laséance par uni urte
alloe
ut u f L-a lauâie dilua la 11 il a
rappol6 ]es gtânil deeoirs uni gl p f a-d u t pose à toua cru q tAi.
lui t d st r e ça deomrétet j r
perme
e t l a etb1l'h de I rrer. L'h e¢
l éteoue.
Les Iso qqu-é, ic, n fil t et q £ il s rd tous ôté été d
mal
ét gér ad AI Be ye r le pr t d 6 t c rdé d P_ouéclatante, t bi a gi t l i
à11 t la aie y t erre une des
qui ne verrait pas d ns 1 hocnéteté du mn br r dues de 1 art d guéri.. -
enetere le rincipal mobile de cette eu' I a élections pour l'année 186y onttinie gé é?lo qui n eeea9 d to var donn6 le résultat va tle g d t u M 1 B tu rn t or-m p y
au .t I( t t b t d prbsidcx t M D h x Bo d 1.
g t lp t d B1 Ch ve dy yipL dd l l lt 1 .ront AL Lf tGO y.d d t eue :ra . AI Mohiner-iég i t 1 a t bt6 vin ont
Secr Ltadjoint.M. Desclauv.-d pl j 1 1 t t ont pr AI B t
L 1 fondé1 M I t r
f 7 1 t t st le S rétame des c sit t s. ratuites.l l t g é d l g tgii la MM. de B C
n te amis: vét dé é M refé
j 1 dtVIII to il 1 ilni ... i Au1 él n'iention d d t'1
etl HC tt d f
ôb t t Le idées .' llnr.
'g rade asmphcdé; ont cependant plein definesse t d'élégance; il a été ecderllinome il devait l'être, et lu appla se
monts ont maint fois interrompu lora-tenr.
Aille la disserta(o de Ma t é a étéprononcé 161ogo d
otagep
ril G as
t
e
qui .événemnt ancquedle as éle l' été cde ce ggrand jurisc sulte ont fourni a PI,Garas l'ueeamon d p é e to q lques ta-bleaus mut quelque t 't o e é ttroela. Il a p fité e k nhcur, etest montré à la h to r d sujet qu'ilvert à traiter. L'él g t to j ure duosu séance comm lle d bi 1 discoursu le mémo littéraire peut le' mieux se
moptrer I des applaudissements unanimesont prouvé à Mo Garce qua rien ne loi amanqué de on côté.
L'association des médecins de ToulouseR tenu onnl¢di, 19 d6cembre son assem-blés générale annuelle pour entendre 7alecture du Rapport dv Secrétaire-G6né-ral' t l o pte.rendu du Trésorier.
B et lie de ces dteminenta que l'Acte-ciatio médicale de Toulouse qui eut d ail
-el t 6 f il stenee a reçuvd q seociéA on1868 ( t MAI I dect rs Duras,
Pey e g Rib 11 P l e et Hart ; ce qmporto a 46 le nombre des membres soct6-tarres.
La roiese de l'A sue at d s lia cde Tenter- posséd d Il f co,
9111 P t ( tsd A ermte BroI ] D t Ça ss: I T ,Txtt R é
I .Itl g t t mdig t t t p i s
b du I t 1 le]1 t samedi Lh fa le IocoU
d ure de la en d Sc érhel.
ÉCLAf10il4IIE PUBLICD 2/ 7 d br
m i 1- ries, foeI.A.. (
1a àl 9 ir
( 0 110 m. avant, f na. nos10 m. aises) 6 h uo ton malle. -
.enmans. renom. axer DeAltitude 196 m
9 h. es. 0 ,739 0 plie.- S. 1;4S.E.assez fort,
Midi, 0-,738 8- eiuvoet. - S. 0.f ble.
E h. oir, 1 t, nuag. 0.ass fort.
Le barométre a descendu pende t lanuit d 5 mill. 9 et sts depuis oc atin
n bl t taho a L'air t t eshum d A di et 3 h 1 ét t hygr
béteiq e Ltu 0,931 t. 0 86. Il e t t mcett ut3mil7:la p1le.e
Moyenne thermométrigne de la journéed'hiér, 30,4,
Pour ta chronique locale et tsal ceai
peloter.
Pamisre, 20 d6cembre. ,
Le 18 décembre courant, vers 7 huresail t n, le nommé Lacoate Jf Ôàgé de 32 ana, scieur de lang à
(mxers,
dcomme eu ec journalierà latmavailluit
cierin a M. Estrade. Voulant graissere rêne, il n'eut pas le temps de retrons-
a rpréalablement la manche de sa blouse.Ce vêtement fat pris par l'arbre de couche,et le malheureux mivriol t le bras gau-che entière 'eut sép é d c rps.
Les doetnr0 Ah C ymàa et Nieou-leului donnèrentimmédiatementlenrepre-
re solos; mais, malgré tous les sec sde la corner, cet Iloneotoeemb e union p oieàdh rrrbleu oeuf-
.' oile.)franoea. p
Alb 20 décembre.Moocredi, dans 1 at é la c se ne
de 1 V sitatr été le thé t d te
commdés
ré 1 U t au dé 3G' de liele ssup7PDlph tpLpté
pal a a f mot d 3 étag Le lheu d tl o rp pév ntat sur lcôté d t pl a ieaetueoa, a élI fi
diatement transporté à l'hôpital L
suecomlmé. quelques heures aprè a unecommotion cérébrale c,,aie pues bl ssures. Le m otif l p t o j-ho e ia de t il t 1 p F dreg t q l ép t da mi f ll ont
dissipé le prix des p c nt.
-ll s I j. ée do dna et leéP 1D I éd 21a
ai,nmàVl j c t tter ,,a il
éd f td I t'lie d claeu q ét (, bn i r a c, d I p é d
l'at udLc Lemule
ip111 l 1et non
riaut jllutot.C g,q d
O
t t,ûIldon pays 1 le day t été l ll D I s
tr6poos
J ,tà e t t a L j'lois f ll
Ft tt t a v g para ù,dereçut .reqde plomb de la charge mut se d an
à la main droite. Ces blessures sont sanagrau té 0t t que simplement fil é
l'épidere L j une homme aeu son ehapeau traversé.
D ol n amaitId p I f t Les il-coma( aét g s da s 1 q elle ,et
t tt iItat utorieont à croireor Aqu'il ne jou t pas de la plénitude de sesfacultés me tilles.
LI j stice informe.(Joueront du Toron.)
Onlt da e1 VP gmPd ts dOaret:Il et
arrivét d blm
les acte d M1 préfet S a que nouesommes heureux d e que occasion delouer hautement sac duite. Lare dest ois derméres aereat t q ont lieurelativement aux e a d rte e, ts,l'une des prévenons J lie Cnetella pria M.le juge dhnutrnetion de la confronter lm-
t ment avec les personnes qui l'armea t Mais ce agistrat loin d'accueil,
lie fa .blement ra demande la lit mettrean son Pet Alors la prisonnière déclaraqu'elI éta t d posé r à se laisser mourirde f
UnIlie refusa d t taute nourri-
turs. combat s'établit enter elle et M.lu lapge d'instruction.
Celno-ci exigeait qu'elle 6t acte de sou.mission ne rompant eon jeune avant d'êtreconfrontée, celle-1à voulait air con-trire être mise en présence de ces acce-sateurs, avant de prendre delature.
Celle situatmu s p longea pendantci q loura durant lesq Is Julie Cestella
li t t d total nt C st al q eM.
lep éf t 2 it 1 mue f' t,
tvmA-
perta p ntanL' ntà la prison, rendR ci-a te à Tu pré et parvint
srace à ses
p nul b ll t s t paternelsàe os 1
aic l é l t d la fille
Oast Ils et à la décider à inclue fin à eonabat once P d Cuudiu
A c 19 déc bre.
Al d de cejn l rénal depolio t p ll
idt sel dol béré
due 10 r d 1'A r pou al d orelli -
1 d G prévanu d tt n'1
uet a rpr d g ,orme t, a
a é pue dot ut M 1 B l é gé tde c:tt feuille, à quinze j urs d pr oiscite q cents f es d'amende 01 M L sigaray, édacteur, faisant également df.-
de prison et deux millefaut, à o:nîAtram d e de
L t ilimal to d né lad, ct di saisi tl t 1. ja-crmo t 7 ] tr j j publiés dmbiefli-u là départ ont de (ces.
(Le Gers.)
L c 7 C e B s-Pyrênes
leIls 1 ,e (qne
c sé s d ir peul
L 18d U pl sp sill L q p
é f - h tic +:itt dl q d1 l CL t l i k [
I t e I ll. üs'o. l
dous p. t, duos I t. La 'for
t o r av i fo és jusqu'aun I,mue, p utiles pris de désespoir.d t 1 10 décembre courant I r t le a p l l c t l
lanltb de se libérer des termes arriérés et loue, a montré que lelbgne actuel limite
Beglll tom des DOUD:011, DE TOULOUSE. V d i ait rie é l avait sup- f Les jours, les mois s tin t pfa su f ntat o spo té réprolle d it avec q t d e] p l g t tvrai,
, ce,'ai,
1 lejét tspas E t rn I 1 d r it t af h6.. g un
,
Il esLE' déclontia, il il 6ép. h_6 amenos t d- Dbs 1
a- ic d t put r en favnr CI dd espl billotFi l
-ild L
ruent
a t lsi
-
I d o t a secs. 6tr bi tI
lepu
do
'o-y
7 I ,IlC g 7 dq 1 lite r6daitdc ,ait t tt da t faGu 0 movça cette 11 T. ti 0 g a
e o.qx rxu expire sé- L d 1 g it itbien p-lie17 m t tt t
Voir f. Jou Z d Tn ss,
tpl éclaAf l t .t d I r t p 7 tpl. s^o. ne
20) 11efairet i tt le sl sent t L,r t( t lbill., ce trouvait da impasse sa avait Oni par n y plus penser qua ses
V 1 let t m c 1 dort tt -te onéI ftd ilsa L quel t ,i t abeo w ont sousilIl t at l enm a c mplicité avec
Durochat et C h et chercha mémo àintimidorlea Piailles qui biniou( déposercoutre fin
Han offerts d m L t f et e , etle 10 septembre 1798 1 t tirai criminell sailles la condamna à la peine decoE
Il t dit dans le j gementmue Pierre P alat ee l t V dal
Barour, surnommé le prend l'vonname, etlad est par convamou de l'assassinatom,di EE r q l t b C daidé et as pt6 i t d t hde ; q l t cp c c a c d ecomas un I 7 la p a depostillon Aui b t Inela q il t con-
vcu d'avis aidé et assisté les amuisde rat homicide.
n Par crs m t f tc4 d l r ris j i en cassation,a c p r f t p L t l 12 f
e 411 lf t L té c lt ét l6 Cournol, Bonnard, Lesarquéset
D hat.iée t 1 gr àl }
lie otmue
o la L q t elle nel'a(t i e q e evl. er les do l ucnx sou-Pealra dgut sen eutus étau 45lelxl.
issue
1 ppl' de t( h 19 jour h n e p. lpl ép d d t e t à D c il ce, 1 té d 11 ttemie. ai.Il eu de taira la Iumiire dans ro sombre taos ces étant lI t u d j
eu'Ota ont
drame. écooléa, mut t lie dire ou eé-Tous ceusgm l'entouraient le deman ta t éf és D bo c t Clend
durent avec elle, roms rhaeoncompismi
'Lot t é 01 all it finil,
P ça daqne pour éclairer les faits il fallut 1 pré- e e rt 3 1 s de sce e cl'r'1 s'nelssopers do Dloer. vames, t1 ut E llnt l tourner dun
Leo aveux sepls de ça demier pouvaient antre amure 1 act tL de eon en; nÉ> quandÎa sauver et il était permis de douta, n soir se prolo t ncident auquel il
que c misérable fit jamais les déclara était on de v'ott d enova que pou attendait de lue Il t oouait l d e AI. cab t et
An sui plus, Dabien n'était pas prés pli- d p d b éa t lr q qd son, ne
tre pri g
Pondant qui l'on egppnta E rus de p e dé a t 1 parlcx.. demapd'aCbaronüe, les chancesqua p va t offu Quelle est cette personnev
drestahon, pendant que la police,roc par les avie insérés dans les jour-égmx
de la capitale, perdait a t p sude fausses pistes, Dubosi et pagnevoyage à l és a g le ep a tr-
t l pl g 1 a avaient cen-dus si eé,ebres 1
esDeavaient Mal d t61'ltel p
ils étaient ro-nn n P 'ro ji fin, ils étaie t rentrée à P le, prises
pxr lanoatalg d lcptapM xia dwèg lq rit Isdinxcom-
pagnona 6taio t Is ail éfogier s Doquai côté dinger les eceherrhis f'( lorim yen employer pour s'en rendre maure?
Ies
M lt e I'myard ne savait pins à quelsain e vouer
parie avait 114 mis cens derama dessous,
li o- é t n dt1A C t
de neVi t d boit' p ,t r
"" rsd
je ,appellemngt iqet i t qP j
I p 1 éde
i ur;jl lit e '1
't et g de 1
e ',ai, Il, o mep 1h-nIid II
fait, a f tL f t mu t j ly nuls s.
Pou p,èA q j ppecL p s d of je enc 1 e
Ird os
une. position té te, af g a de-s16 d voulmr brion lui do errmes
Fh bi Y
0 avez vous comment a'appéllecet( fem
QCni portL st c j dant là le point easeuüel,
'C its ppellc-t-elle donclCI d Ba e
Vin d a ta f teuill.
Ll sodiol, d te vous, épela-t;il.Cl d B oO
é ut.,}t us laves vncfIferSeule
ra . Ahsr u ont s IJe nota connarspaa, répondit ]'agent M a c cet i p raille.
snbalterue: q nid c- CettJuelle phymo .noie 2 mine - pas seule ; vous
- Fi c9II rlo5 lave"tes
smules,c
ueale blancheC'est un médecin!J larpe,oéa 1ssi.
-Et que veatil
'as,front avez d1 tout r n nant chez elle.
ll p ét d que l'aplaieo rat urgente...Partes onter
L ga o s t t p. aq mmé-diat m I p lit noucee pénétradeus le cabinet d . Pmrard
Ce dernier s é t I é l salua froide.t offrit vii f uteuil et vint reprendre
place x son bu eeu.
L mapnnu salué,
I médecin su tUret or que je m étaisi di it, rspoadit-
I J 1 m ro4ée, (o l'a sarveilIéét 1 a tl atile
{ 'u g E he eu] blamil s v Il se
cx
ache, ' tb u l
Mais ce c'est pas assez, n'est eu pas?PiublAti.Il nouafaudrait encore Iudeceso de
la tr0°...C'est cela,
- P.h bien t j'yPi
pe causai et j: - J q 1 pré t eieue Pinr rit,dés p p dal bW j,! ép t(1 la de - more e rgst'e a ronnaitree laLl dI 1
rfl Vous étsfN àlL d 4ale t ae a at etc q lv ont
null CI d on t L cde d p u t I l a t
ce Il
nie, A
0 1 q u t q s tel
écl 1 Pô 1 q P t dans 1 ,ure Llo., lie u I mut Ddt aaf sil ffic Rua m1. tra t tl 1t t j qée u llé
Pblileqn dL
1 uaseas d tlal g homes, d Itudcils c ntro e t et usa re rd ex-
loppa ont t toc tog
e 11 étt ]t Itb lO té 11 1ose, elleOhé 1.1 'itil cc c tasl' replinp f mdL trflécli.siû l 4avèz vos . e llar lard,
avCgrill( la prsmi o fe is que de pareillesq e nus mo par s a canonnes à fond ly pe 6 s la v s taie t elle én a Romur h n. fort C
Voua aEaa u en bon. U e t oint au p set in-J d ai plue monamnr.et chér d c eo u jo lo etmt empa2 delle -tau voq serrez d gne d être ad s p rmi le sentiment de la te mité' - et elle slas pl s habiles soutiens de notr st mu abandonnait sirs réserve. ytien, U t n, ét t 6 a so cnmr Y- Tant de bic ve ll x rie I..elle i.. pile e é 3 D b se ;
Pinard avançu la a prit 1 lie t de ais Dite comme ,art à aimer son cril'Or ll de Bocal d 1 enleva e i in v t
p ruque et le déh r assa de ses leoea ea Pots l m p cedr (cela,d'o ll quels rmnee oauvréa clic bornait déjà
h mon a 4 d t l te p r t pé d e re houblées.,,là,
A
domo 1 ion (bic j et j f dcv
c qn eg sils att end elle le suiventw eo Sis c Murs, maintenant caraina 7 n' 1 'o a e q elle forveut elle appe-
e t. tas t t qn tt 1 't su l t ut s l fortunes et toua lessas b h
Firrai n e se f tpas p c Il 66e t p t p s il y avait encore ans eliasut cote t l rÉlto é p és bw r -
d 1 j e (.mines e, oommcnt il a t pté A C i - ce heu e elle ae prenait toutla iea i sauce, et goal infernal peojep. il à' c p I ougir et àtrembleçavait c p a tao par Claudine Povrqum f Dlle n'ehti pu le dire.
cooll m ladre e de D Pose. 0 d ll r d,rl t d ne le passé, alla
U1p fpifl fa t es mains, ce_I ertrge Tontes tee gagnai
d t l n 1 f e jaser. lad pour sauver lo bées de honte ou souillées de aung, ollèlob 1 lf dna gtelle Ivre eàt vo luis o tmalale D b O t di t g e a c corser s'était eu-
uLll. ancra mieux sacrifier son ou- bit mni éveillée...,. et son cour sa dé-tint. cuisait à l'elas que son enfant pourrait an
J e pense pas, jo laCep ndaat, par ce quelle a fait jne Pirmian ZecaoNID.
jijsgn'à présent.., (LU suite au procha(sr riumdra.
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Il fallut plus de de,,^ heures et des Il- sergés obéissaient à an
1 - aveumot d'ordre géGe
syl dadlse r ati..conséquence h
aientprahryueairé,
un de lo tg es date aux que 1 sue écarts,. lorsgd ode et aussifort
, rompu E IL si
ne oinouïs pour établir, ur un sol friable, nura1 dans tonte l:éndalur car le mû- du coi e,pr
u e jour,
Mad
à la mémeheure.,
deemunifea- Ov disait ce soir an Palais que ]a G- gradeséaffaires ,c'est rie plus un orateur pays.arr'ss es ime du jus- limun chemin soude qui permit
u's eux. On s aa,at à las retirer du milieu nt d'un caractère identique ont eu,eu ouia à abandonnerait le délit de mamnu- distingu, quia fait ses p le de ..lido L'entrée de M. GresaiProaua le premeeS
masle sable où ils viraient assurément péri, si
lieuà roi, à Séville, àmonade, à Ma-
errtfére
afointéri tredans cservua
fie lesete dors les
a
roua
eur s ie exemple d'un o mtridna
ectement p
]cure cris de dGtressu üuvuient pas Blé en ]aga et à Cadis. C'est une tentative de r servalqui aaeqqus
racla Chambre un. C'est un hommageuera
tendus par Ics passants. coup d'État tel que le prêchaient la Dis- de rébclliou et d'outrage. aux
atgenqete'celui
légitime arq d ans laChambre
C.deus bran ans sont assez griévemeot cusaron et l'Rgahlé. M. Chap. co-gérant, et M. Vallée, 0. remarquera la non nos le de M. l'infivence de cette majorité profondément
r ortés à Un axe o' L'instruetiona relevé en fait très-grave. imprimeur ,][ajournai l'Glecteaq sont cités Gressier ;elle constitue, doue le fonetion- conservatrice, mais franchement libérale,
blessés. Ov les a t anapne dé chas en chiffres aurait été eu- à comparattn:, mardi prochain, devant M, mont dena institutions, n fait non dont M. Gressier s'est montré un des plusu
PdM d 'd odants des de Gooet, juge d'instrsetmn. Oo ignore le veau dont l'importance n'échappera à per- remarquables représentants. On coanéult
ils habitent. (Rire Imptriale.) Uf e(Fet le talent de parole de l'honorable déput ;comma endé
régDepuis quelques jours, la tempête aedans le fond de notre golfe. La mura et-teint lo paennisme de ers fureurs; il y aquinze ans que les marins de Ilayo.no nePont sec aussi forte. I: eutréo ICI. .ortiedo ,.et
tsmbri d°dites. A Biareit où
m,grand rieuz se sentsrond`ole deOr admirer le m,mInc las spotpouo
ratrice,6. en a, lev lamas, édl'contre le quai do côte de l'Impératrice,ont enfoncé les partie de ]'établissementdira bains
mornecette plage; elles sont art-
vélo -e jusqu'à ]'sou'mit où ae tenait,rot été, la musique do 77' de ligne.
Malheureusement, cette tourmenta aété l'occasion d'an affreux malheur, et ilose à craindre quo ce Be soit par le seulque nous ayons à déplorer. Dans l'aprêe-m di de mardi, 16 de es moie, la merenlevé M. Léon Puyoq capitaine de nvine, àgé de 40 sus, qui dirigeait le. opé-rations de sauvetage du v e l'Aigle,échoué aux pieds du Phare. Ce brave ma-rin, Bis d'un des pilotes de la Barre, a étéentraiaé au large et n'a plas reparu. L'é-tat d'agitation de la mer a empdché aucundes témoins do l'accident d'essayer de luiporter secore.
(Courrier de Rayonne.
Le Phare de Marseille rapporte uns bienjolie annonce qu'ia eatendae et,ai nemaoq°era pas de faire e. chemin.
Un charlatan débitait ses dragues à No-tre-Dame-du-M.ut. La foule avide l'eoo.-toit
et... payait.Aptes avoir vendu toute sorte d'on-
r ente, de vulnéraires, de papiers séca-fla
bleaàltrree.et serrant dans le crreuxn deton
na pincée d'aune pendre d'au blancmomdon Ccc :
« Ceci, eura et mesdames, dit-ilest la
pouddira
reflde em inventé.
Pour reaas.eciterleses
empcisoxoisono,
nes et a.-
"" gens pans de sort sse naisseFart pendant que la grosso caisse roulait,
mous avons
s à
desvisages effarée demaner nno pro-d
vu,Maree
vere
vi
sien
du primcux préservatif.Uoe simple remarque ea passant. Les
tionrmes seuls aelnetaient, les femmes sacontrntaient de sourire.
Après la procès des empoisonneuses àMarseille. Dam! hum!
Espagne.
,e a n vuseoy- a ' , e c ette
comparut sonne. Cest ia pacmréro ente
L'égalisa à Cadix pour qu'ils aillent da iondé té air une directement de la ses rapporte sur les lois de finances ont
suite à vedi gdo l' Ils ont tee. cette u'6- S'il faut en croire l'/?leu as le le gouversIiamIre non ministère. M. Gressier,
`P-
prouvé son expérience pratique. Nous es-prche ]a veille de l'insurrection, et le mi. em nt e convoquerait pas les , de l''A
t de 1 1 ' de dire, pétons
.,,...ami
couqui ppela les nome
ente a lieu. de 1860,roman able talent d'orateur et d'un esprit de ses prédécesseurs, MM. de Forcade et
C .c'est aujourd'hui 17 que le général Pour extrait : A. Purot.. aussi conservateur que libéral. Sa nomina- R oulier. J. CobraUulce prend ta ruer pour se rendra à la ... tirs est une preuve de l'attention avec la- ormroN dATroNALP.Havane. Lie eLangement de Ministres, quelle le gouvernement surveille l'avéne C'est an milieu de graves conjonctures
Lo eleministre d'État
emin espagnol de Gibraltar a in- eut des talents nouveava et de son désir t à Parie un changement nonfermé qu'un soi cé nom- i.roex de leur ouvrir t l'actée du ,ro vasaien i
bre d'iesurgés do Cadix a'étafeut réfug iésprogressi,emeu de o
nistérI,m is do m niatres M. de
Routier reste un rainé téta d'État et pouvoir. L Valte remplace M. de Moustier, M.M a et.dans ce port. Le gouvernement anglaisa cade remplace M. Pinard et ebdee Fordonné l'ordre de les embarquer sur les ou palais Ja Louvre ; M. de Forais, la La signification de la nouvelle l'gon d
premiers fsseaua qui se rendraient on Roquetteremplace ée Pinard, dont la dé- sa Lion mmistéri,ile .eue parole pouvoir son I.i.mdme les travaux publics à M. Grea-
Orientouvaen
Amérique.misa mn rat acceptée ; NI. Greeeier, dépu- résumer ainsi: sive.
A Medina Sidonie, an ex-colonel, vêléffi, remplace Il. de Forcade la Raquetteuette A l'intérieur :cuité de direction. Ei.a are politique nouvelle qui r'io-
arrct6 au moment ' distribuait des su rat tètedede l'agriculture, do co - A l'extérieur : politique pacifique. trenise? Non. Rien ne finit, rien ne com-
pr.clamatis a peuple, l'engageant à erse et des travaux publics ; ,enfin M. le J. Pe°cl. m.ce. M. de Moustier, M. Pinard n'ont
proclamer sans planro,cela, la r6publigae. marquis de La Valette remplace M. le errera. pas été baseenx, o. les remplace et l'onmargm. de Moustier, qui est nommé sG- ue
La
conduits
des nsule étranges à Ca- Le ministére Pinard a vécu. Les bruite camus la -élan .litéq c d auhmeatour. Ua.s les circonstances où il a
pp
dix est l'objet des félicitations toute is fi' , e changement répandus depuis
.'une jours sontq°econfirmés par le (Moniteur, lette n'est pas clérical, il est plusp.rort à
due de ont is entière, 20,000 sldu1Politique
q Bien la eoetitutmn, qu'il noue est e entente avec l'Allemagne et l'Italie.pag percon- ailleurs conduits de nos ap'elemu are
avais émigré, mxie il eu routait en- interdit de discuter, mais dont noue avonsé Maie à quoi set nt ers disp,.aitiens
per-térienres. Le signataire de la circulaire récoin 40,000 qui étaient bien désolées pen- le droit do rappeler le texte et l'espt, r- eonnelles'? Ont-elles empéchb l'année der-
qu'adupe septembre 1860 est an partisan Bon
dont les 72 heures duré la bataille. dui les minpilevinststcea du deuaiéme empve au mère, l'expédition de Manteau `? Est-ce
consuls de Feu.. et suspect de la paix ;mais s'il y a plus d'une elle.ede
aéra ruments ifs de la mime sur l' doption d'une politiqueL'a
quid'Angleterre
film de vouloir la six, il aparer
ont une trésgrande part dans ]es félici- y qu'une valvé impériale, les modificatiens mime. n'était!non
la sienne, gdi. s'est retiré'?ire de iPq c'est do ]a vouloir joue ne pa que
C
talions générales. En plaidant l"' cause fermementetet
ln nnlogé .
térielles de ccin
laissa e d'xf- Ilé'aellesqui,
'était
erreurCB doivent étireils ans gagné celle do l'humanité. On leur quement inter ana ceetame signification. son .e
qui,
a
rend partout, ici, la justice qu'ils méritent.Nous
vendranôtre.nensons
oique
ambarat ainseadeor i
àge
Carsla- Le renvoi do M. Pinard, do l'homme de restées aujourd'hui ce qu'elles étaient l'an
de passé.resscontre lat ,pIL-1 e(Cour. de la Gironde.) J. Goarraign, tartinople st plus tard à Rome. la lutttei à ouur» Quant à M. de Forcade, mêmes r6-
- --- -- l'or sato ls e bataille de Clichy
!.rien, 19 DGcembre-(Correspondance particulière). ""
IL
y e eu nue espèce de panique - laBourse, panique causée par le bruit habi-lement accrédité de l'envoi par le princeGoltiehni<oIF au gouvernement français,d'uns d6pdcho comminatoire an sujet duconflit turco-grec, dépêche quilaiseerait peud'espoir do maintien do la paix. Cette ru-
er, qui para[t n'atre gdmie marmuvre deBourse,. suffi pour carnet- les cours, cequi pr..ve avecquelle facilité les esprits re-
ennent aux idées de défiance et de dentssujet de la politique générale. Les crs
s'étaient an pen ra0vrm,s en cldtuecsuroule
bruit de l'envoi prochain d'ana circulaireante de M. de Le Valette à nos agents
diplom.tiques.D'après d'autres ou-dits, M. Jurieu du la
Gravière, commandant de l'escadre de laMéditerranée, aurait été mandé ici pur letélégraphe.
Je vous ai dit qu'il y avait aujourd'huiconseil des ministres aux Tuileries. Les
nouveaux administrateurs ont du prendreégalemeet aujourd'hui possession de leurs
aistères. M. de Sait-Paul quitte déci-dément le ministére de l'intérieur sana
""""'i"jusqu'à présent. On dit quo
l'ancien chef da pes.nel a demandé lepremier à
anretirer pour rentrer dans la
vI pris, nard en se retirant du ministère
de l'intérieur, na v lu accepter nouonsdes situations que l'Empereur loi a of-fertes.
0. assure que M. Pinard va reprendresa place su barreau et peut-être se présen-
ter aux futures électiana législatives.
M. de La Valette, selon l'usage, va en-voyer une circulaire aux agents diploma-tiques, pour leur n er la ligne quel'Empereur entend s vire dans les ques-tions de politique extérieure.
L'éditeur Le Chevalier met en vin teaujourd'hui deux volumes intitulés : lesGrands proche politiques; Boulegne, Stras-bourg d'après les documents authentiques,émus et mie en ordre par Albert Fermé,avocat à la ce.r de Parie.
Victor bIu o dément duos .e le tadeusséo à Alfred Sieven, le bruit qui sait
couru de la résurrection de l'ancienRvdnemenl sous le titre de l'Avant.Garde
fou le Journal des solfie. i J'ai pris, vousle savez, écrit-il, l'engagement de ne co-opérer à .acan journal politique en France,tant qu'il n'y aurait
P.la liberté améri-
caine pe au moira onglmae. »On prrle le mot em's. àM. Delescluze.
Quelqu'un loi de, sud it si le Réveil don-rait des primes à ses abonnés. Hélas,
répondit le aillant Gcrivain, l'Étendardpeut donner des bonbons à sus ]saunais,'.I le ne pourrai leur offrir que desameu-
deLes.Figaro
,'a.rte ou bruit d'après le-
nPquel u rGgiment è' la garde,ou
'm'a
d'
iou hors do qui non le faisaisase serait fichun
arrêté qui no le fit plus participerà la solde parrsronne, aurait quelque peuchanté la.11.",illaise, et non serait rentrédune
l'alimite' réglementaires qao sur
]'.nonce faits par le lientenant-colonelque la meaner nouvelle ne serait appliquée
gale )ai,,,,, journal de M. de Villemes-maet la reeponsabilitf de cette nonvello.C' que je paie ,Des affirmer, s'est qu'a.frété du ministre de la guerre vient do
prononcer la suppression du régional dendarmerie dela garde, dont le colonel,
M. de Saint-Amour, esermplacer l'un descolonels écemmeut promu au grade degénéral de brigade, et les officiers et sol-
dat, sceont,erses dune d'antres régiments.Raison d'économie, dit-on. Cette mesurene rit P. la seule qui serait adoptée.
Jo ferai les mimosa réserves quo planhaut au sujet de la nouvelle donnée parleGaulois de I. rédaction de 00 oi0 qui doitêtre opérée selon lui à partir de tee ,janvierule droit d'octroi payé pour les vins à
leur entrée à Paris.
Madrid, 10 décembre.L'insurrection do Cadix a e. l'effet dia-
uèiralcmcnt opposé àceluigden espt.,aieatans facteurs. La soulèvement de l'opinionpublique contra ces actes est vivement ac-centué et l'capreseion s'en trouve dans l'aj...Bas..
La venuc do duc de M sier don-na lie. à mi conseil extraordinaire e dee
ambres du gouvernement. que 'fiesmnaabord que Si-...et-'font
opeteira
av.ra° ientemiereitlé
cette démar-cho, mais ils ont été bien vils détirera és.Le général Priai avait pris le parti de pro-
,.,Ber une explication. Elle a eu lien, etgotique franche et loyale, '1 n'en set pasmains resté .e c raine froideur entrecertains ministres. Lo bruita couru qu'ils'agissait d'une modification du imevor-
ent. Il n'en cet ri. quart à prés.m mont.Les milices nationales ont rendu déjà
plus de 3000 fueila .Cadis. Les célébrerJante et ealr.cbea, chefs do l'insurrection,sont à la disposition des tribunaux. Ilsiront faire nu tour aux fies Mariannes.
del'ir ll on vontpréa gaeraeisueIls frontière orientale de l'Espagne, .feu de Perpignan, des bandits aune mis lefeu
ont
à1.
mais.. du miré, et il amuit périors le secours des milices populaires qui
ntervenues.A Valence, on .arrêté 19 agents de dé-
sordre qui distribuaient de l'argent a..envîiers.
'f' urnaux pffrciens déclarentTous les jo
que la gouvernement est ,'°de Position depayér en espèces lo coupon ,a datte in-térreure
à 6ché.ra du 3l de ce .aie.
Madrid, 17 décembre.L'instructiorm faite par les tribunaux de
Cadis u sujet de l'insurrection ne laissehein doute sur les couses qai l'ont pro-duite. Chaque parti lai a assigné a rio,tif du iforent là cotte insurrection qu'ils ju-gée à son point de vue; mie est bien fui-dent maintenant q.e les milices populaires
t'col
o emplehee l'autorité militaire deCadix d'envoyer des troupes a. Portde-hSainte-Marie pour butter les insurgée des-ette ville. Une manifestation d'un carae-tëre menaçant rat lien le samedi b de cemois. Le gouverneur militaire publia euordre du jour par lequel toutes les per-s.noa qui .savaient pas relu
rapporteran parc d'art lleeio. Cet ordre, la par 1.
utantoritfs, a
ni a l 11 ç u pa r lpPuyesI.aéos
d ipar d
se ,s aartillpoinn eut qrs, f
u'il sta m
tin cent sur ire soldats et s.r le gouver-mihtaire um, ddcbargo de coups de
fusils qui tac glatorcc soldats et blessa legouverneur mlitara, quand mis acaiient
tourné le dos aux milices Pa., dre
sur a. antre point de la viii,' et cela sansseis'préalablo.
Les insurgée prétendaient quo 'le gau-v it n le droit ni le devoir
derdfsarmcr le peuple. Do là, l'appel leuarmes, lev barricades et la lutte de mi-xante.douze heures. le gouvernement,sacuant quo dans les provinces Ueancoupde personnes ne méritent pus, à cause do(murs antécédents, de figurer da.
'a
la gar-de nationale, avait donné d'ordre de leurreprendre les fusils; cela se fait O. ee ma.meut 'dans toutes provinces, et notam-ment à Valores où la eéoeesité de cette
mesure es faisait sentir depuis long-!
Il est question d'une nouvelle combi-naison pour le Crédit Mobilier et 1'Immo-biliiec. l'idée do la fusion serait écartée etchacune des deux sociétés continuerait à'vire do .a vie propre; .o contribution
de 36 millions errait demandée aux .-vadministrateurs dent 20 pu., rlm-
cau.s
mabiliére et 16 pour le Crédit Mobilier.Ce projet toutefois n'est encore... qu'à l'6-,et d projet. On avare que M. AdrienDeinhesvte
a refuse do s'associer à cettelampa
L'inatraction a révélé de plue que toue 1 nouvelle combinaison, adoptée par M. do
-'IDNATIONAL.
L'automne, sons le présent régime, estla saison mdl.c.liyué de la chute desportefeuilles. Il y a dis-sept ans ou nouedisait duos la presse of,ficiceerass quechangel'on ne
errait plns, désormaismentsde ministres et de ministdres
,on -,taème plousa affectait de regarder commefunestes vus services publics. L'évGne--col a prouve que c'était là, de sa part,
e illusion sscz naïve. Les ministrestombent aura la gouvernement personnel
u le gouvernement parlemen-tairemLa
s
seule différence, c'est quo jadisle pays connaissait 1. raison de tee chan-gements ministériels et qu'ils é accomplie-
nt parce qu'il lo voulait, et gdaajooe-d'hui.acontraire, il n'y participe en ou-aooe façon et qu'il en ignore les motifsm stérieex.
Donc te Jronit nous donne ovean admet.
deu
saaffaires être, et a sn an
nouveau ministre de l'intérieur, ue un enne'nistre du commerce. Nous novons
pas besoin dedieu
que e chougeme.tae lasse dans .as indiéf're.e absolue.
Îln'o aucun. signification politique ; maisil n'est pas Bans
mm
assez grand' signifi-cation personnelle. Il élimine deux minis-
Leva 'ai
étaient regardés, non sa s quel-ques motifs, comma nu centra-poede à 'iu-fluence de M. Roulier. Il constate doue letriompla de plue en plus accentué de M.Rocher. Morio.
D11,11.1.Le changement jle ministère tant de
fois annoncé et démenti vient d'avoir lieu.M. de la Valette remplace u ministéredes s ffaire. étrangères M. de Moustier,qui est nommé sénateur. M. de Forcadeprend, com,,, ministre de l'intérieur, laplace de M. Pinard, dent le dloniteurnouslaiee ignomr la fatale destinée. Enfin,s
M. Greaeieq député u Corps législatif,est nommé ministre de 1 agdlcult'o' ducommerce ont des travaux pnbms.
Tous ces change. ats ont été .ignéspar l'Empereur, hier, à son retour dcCom-piégea. Qelle signification faut-il lCe-denier'? IL est malaisé de le dire. Ce-pendant e .e saurait se défendra d'at-tribuer u faine i porter. à l'a-
ment;de M.de la Valette, à cause durôle qu'a joué cc diplomate en 1851, commeenvoyé extraordinaire à Constantivoplo,et eu 1860, au milieu de circonstancestrès délicates, comme ambassadeur ,ficelamôme ville.
l;n o tire, l'attitude passée de M. leargoisde la Valette, en ce qui regarde
les ""'tees de Rome, cet faite pour .ouatenir en défonce, car il a signé centainesd'pbches quo ira catholiges ne sauraientvblier, . particulier la fameuse d6pdchol 1
fam euse
rdé èehn de M. Thonvenel,> 1"" ci, Id an- à amidatée do 11 du méme mois.
Rappelons enfin qu'à la soit. des der-ments d'AlBroutons, M. de la
Valette rédigea ..e ciremferestée cG-lèbre qui, prônant les grandes nationalités
ondies par l'injoste anveaion des petiteplats, rabaissait amgulièrement les fi'nostraditions du nom et de l'honneur fran.fais. Augusta Roulent.
amnieLes modifications ministériellce dont il
était questio, depuia quelque loups ontpora co mati. au Jlomlenr. Ainsi qu'on lo
erra par les décente quo nous publions ci-dessus, M. Pinard quitte le m matées dol'intérieur, où il est remplacé pur Ir. duFarouche 'i"i""
destravaux publics cs ; M.le marquis de Maastiec aède le portefeniltodee affaires étrangères à M. de La Valetteet
ont'au enfin, M. Etressier, dé-
puté au Corps l(gislatif, devientministre
des travaux publics à la place de M. deForcade:
En effectuant ,,a modifications da.. lahaut personnel nnée dduo I fine al , ncroyons quo la peniténsée de l'Empereur a étéde corroborer l'u gouvernement etde rendre plue intima l'homogdneité du ca-
inet. A cotte aignifoation générale, ilelent d'ajouter une efgnimcado par-
ticulière qui rattache aux .omades
s .ou-niatres. M. de La Valette s'est
Lesquels ment,, un partisan convaincu etactif de la politique puerfique ; il joint à
e expérienceprofoudc des affaires et deahommes de la diplomaho, ana aménitéde caractère, ue telérance éclairée dansles opinions, qui la
rendentsese.tielle-
ment propre au peste émi...t qu'il v. op-cupper.
M. de Forcade est un administrateur Le.
,peut être considérée comme un symptôme ftexioas. S. peraoane peut être plus aym-
do la prédomivanco dans les conseils da pattique q celle de M. pnolî : il n'a
guasmmement d'une pensée mois hostile pued66ut61ueQommc
étetdos lam -libertés que nous ont départies ari' po i igae. 11.1
lesalos de 1818. et libérai dans lesmatiet
èresan 11
éconmiques;De méme, le retour de M. de la Valette sac-au .a homme politique, l'homme d'une
aux affaires étrangères, de l'auteur de la idée, qui sert son idée, qui succombe oufameaso circulaire qui déclarait, apode Sa- qui triomphe aune elle? S'il était l'homme
dora, que fart était pour le mieux, ne que nous disons, il ev serait pas ministre;
peut être cosidé,ô que somme. indice car nous sommes eeivér à ce point, que
d intentfoas pacifiquesvis-à-vis
de l'Alle- lev qualités qui fout l'homme politique
magne ont, en quelque sorte, focempatiLles avec
Il n'est pas sans intérêt de signaler, en Inc fouctiens politiques.
présence deau
,e ment imstérie6 M. Geesaice est ne homme intelligent,l'opinion émise m0 rament sur laresposa- laborieux, capable d'affaires; st-ce u
bilité ministérielle par ou haut personnage homme politique'? représente-t-il un sysn
officiel, M. do Parieo, ancien m n titre, tries, une tendance, une politique .para-'? Pas la main du m.de. Nousis.hli' CetteEtat
dudu conseil, d
opini de M Pareieu complètementfavorable à la responsabilité ministérielle,a° gouvcruemeni par les assemblées, auparlemonti nsme, pmaqu'il faut l'appelerde nom barbare que lui don ilrot taoqui, il y a dix-la ans, crurent farcir tuépour jamais, cette opinion, disons-noas,es trouve fortement motivée dans le Re-nuil des séances et travaux de l'Acodd
mie des sciences morales et politiques ,d-'ilet septembre 18t 0S), repro-ieon
ea
queduite pue lo jachaournalpubl'liaUniàonVerdémoceeillNous n.ratiet lrs u, t'attachonsd
pas importance,cessive
à ces i 'anamiel
a décadencede. idées dictatoriales qui ont prédominé
si longtemps dans les couseds du de..iè-,as
plus difficile
,De.,savons
aile Lune
ungaugarnam.t quado réagir .outre les 'lis en qui présida-lent à son
-dorment;
ttedu noss constatons se
e,epie
e sôii lmiao tucll ôeadm i n is%mfiant
q°'uvre "j, eue ait développé son pro-l'ogramme,
, air tant eev qu'elle ait nomgramme - devant le corps Législatif,
dontdont
la convoeati. ne saurait d6mais êtesretardée. E.
'C
T...t.
Il serait difficile de penser que ces ehan-gements de personnes correspondent à .achangement de politique. La politique mm-pdriale s'est eueovt6rivée par des actes si-gnillcatils qui prouvent qu'elle est 0ette-mnt libérale à l'inténeur et loyalement
pacifque à l'extérieur ; mais o.Peut
direque le choix ri. honimea éminente quialoi appelés eu,jourd'hui à I. direction desaffaires publigocs accentue cette doubletendance.
M. le marquis de La Valette raprésento,dans les routions Dite, rnationalea , des
idées
conciliation ont de justice qui a'en-lévent rien à l'énergie avec laquelle doi-vent être défendus les ntirdts et Phon-
nr d'an grand pays, ruais qui saut tu.-P'r' une l'acte pour la ..latin. des ques-tmns dé lustre.
M. le marquis de Moustier a été l'or-gane de cette politique ferme et ceuci-liante, dans des moments difficiles, notme-
nt lorsque l'affaire do L.xennbourg afailli provoquer u grave conflit entrelu Yrnsse et la Irise. C'est sortent àlétat de sa ment6, dent la sentiment deses import,'c'o'u'p devoirs ne lui permettaitpua de s' er comm. il était néces-
o, que M. de Moustier doit atraite peématmée qui prive PELÉ de ansae ans.
M- de Forcade La Roquette est un desesprits les plus largement et lee plus aiebrernoot lii'eaux dans l'ordre économi-
nde école des Cobdend. Il e st dela gairo;t des Gain 1 - Or, quand on vent laliberté économque, ti vent nécessaire-ment la
lihortié
politique dans tout ceu llea de compatible .,ce le r aintien
une l'ordre public et le respect des lois. M.de arcade Ira Hoquetie a pu étudier pro-fondément, dans on département où s'Gla-boreut les questions du travail, tous lesproblèmes quirésultent de l'avènement desunisses à la vie publique. Questions opleses ,ai ...t l'effet mlvituble da lutmnaformaWon soelalo par laquelle nouspassons et goirfor vent le noeud méme dusu
M. Pinard pendant son passage aiaffaires, s'est trouvé vus prises .sec de sé-rieuses difficulté., et des mouvemonts d'a-pivione et de partis qui ont pris souvt laforme d'.n danger public. Il s fait
enppli-
quer la loi avec mie énergie qui, d'ailleursn'est qu'an devoir de la part da gouvor.e-meat. On peut penser néanmoins, et ncirousl'avenus dit nousmèmes, qu'il est des -cerrances o?! la légalité stncte est domi-née par l'intérêt politique. On peut sep-porter r sana çrmnter la Ijbettél méwe
recevoir une aatre; e l ne remplaçait M,de Persigny au minstére. il était loi mères
mplacé an fauteuil de la prémdence parM. de Morny.
Il .'y av it là qu'un de ces dép'ace-mente du personnel gouvnruemental aux-gnele nouvnonesonmca habitués depuis letdécembre 1831. IL en est tact Battementavjonrd'hni. M. Gressier est bien réolle-
ent un d^paté ; c'est l'an des .,.bon.les plue éminents de 1. majorité, qui lui adonné l'occasion de Sc faire co.eitre augouvernement et au publicen le nommantà planeurs reprises rapporteur dee laie lesplue importantes. C'est Iur ,ai, au dôhutde la derntire sessi n soutenu avec.beaucoup de fermeté la loi e l'arméstellequ'elle;émit sortie des délibérations do]a commission, non seulement contre l'Op-position, mais souvent aussi contre le mi-nistre de la guerre. Quelles que soient l'aconsidérations qui 1 ont fait choisie pouraueaéder à M. de Forcade La Roquette,c'est un choix que nous n'hériterons pas àqualifier de parlementaire. Qo'on en saiteu nos proposé but, c'est uu rayond'espérance qu'onfait briller a.a yeux dela Chambre. Eu même temps que l'article44 de la Cmrstitution dit n Les m as-tees nu peuvent être membres du Corpslégislatif e, l'usage disait jusqu'à présent:Les membres du Corps législatif ne peu-vent devenir ministres.
En ..allant un portefeuille à M. Gres-sier, l'Empereur abolit a moine la luiqui semblait établie par l'usage. 0u pou-vait dopais 1832 placer au dessus de laparte du Palais-Bourbon une inscriptioncélèbre légèrement modifiés : .Luises icitarte espérance d'arriver au pouvoir, vousqui entres au Corps législatif. » Cette tas-c ption désespérante n'aurait plus aujour-d'bai de rais.. d'item. Les décrets publiésce matin dan. le Moniteur marquentdonc n réalité un nouveau pas fait enavant dans la voie parlementaire.
P. David,e nonne.
En bloc, et sans parler des Gl
il'-
niatém, ]es Ils. r,-c. 0 qui viennentmis qui ont pris place dans
Il
11111`1
de âaoer seul
pi-bd
de attire ànous inspirer des n'sinisa quo des -Plrances. Ravelet.
L'msImu.
Cdionidaut avec l'entrée de M. de LaValette, la retraite de M. Picard donneralien, d'odieuse, a des interprétation. doplus d'un genre. On y verra use réactioncontre ce qu'an appelait les a tendancescléricales » du ministre démissionnaire-
due influ uiirl i tO n yi verra a v c o eec a =,'
s toujo face de la politique 'éb lent inquiétées do la fort.. e6
oerun.elie; elle 'bongo d'inste°m.ts, do la faveur hâtive do jan magistrat.P Qu'y
atilr
de vrai'? savons; maismxie elle reste ]a même; elle change de il rat nertain quo
tontes
esPascor
préoccopations
chevnex pour fouloir nn ..oveeaa relui,sraiôgaront l'opinion.elle ne change pue de tonte ; lest ton.e it Henri do Riancey.
jours cette ,..la e zigzag ,ai revientaer elle-mbme, qai change l'obleobf d'un
jour 3 l'autre, et court des bordées sana Quand M. Rocher saffermit, quo M.lainais aviver palle part. Daray reste, quo Ni. de LalValettoxavient,
Ou Fait la remarque que, tandis que et que M. Pinard sen va, e pays, auquelM de ..-,II, cet nommé sénateur an- ici n dit rien, e'inquiéte; il cherche, il
compensation émoi hon.rifgoc, veut deviner ce qu'on ne lui explique pas.nust accordée à Af. Pinard. Estce u l'rançoir Beu ai,.diagràcre Ces ait 1. emst depuis
rune
TI.IN1...l'établissement de
l'Empinire.
Est-. edréprobation implicite des maladresses do Co changementveli persos npIi-
3décembre`? Rets, l'en bedon de que modifi.atione dans.e
la système
des poursuites eontm la presse?N Nounoue ou
ne gouvomemont. Toutefois, il contient à
savons sir M. Pinard en était l'inspi,etear;cece peint de vue des indications dont il ne
est qu'il Ien était us parait pas possible de ne pas tenirce qu'il y a de air, c''
Pas l'instrument. ampte.Il est de toute Guida.,. que lesLes a".veanx ministres chanteront le n u aux noms sont une confirmatieu deme air; esyteaue qu'ils le chauleront plus de cette politique quia pour
"''lu
espérons sortent qu ils appnete,Bat a mien de la paix, et, dedans, l'ex-
dans le m.mment des affaires astfeicu- elusroa do tonte pensée de réaction, tb
sirappelle en quels termes nets et précistroubles, ai compliquées, si
,M q de La \ alette dans ea cir-"etes,lu
aagaoité, la justesse d'esprit et le mer ete 1866, ffirmait,la décision qui pe veut seules prGvenfr culaire dulé
de redoutables conflits. tennis .serres ,ailesru. f
faveur deala dignf-Ad. Ou6roufi. té
nationalele, lila politique pacifique dugou-
Ou avait mis d .ment tant de persistance et
d'Guergin
gio à démentir les bruits
ieur et des a
ministresaffaires étrangères, uel'ontdr que
ermines personnes avaim,t fini par regar-der les changements en quuaion commedéfinitivement résolue. L'événement vientde donner raison aux politiques qui jn-geaient ces démentis trop énemigves pourles croies sérieux. On regardait dopaisplaeienra jours cnmme probable le fam-placement de M. de .-Lier pur M. deLa Valette ; mais on s'attendait fort peu àunir M. de l'arcade La Roquette appelé à
re.eillir la succession de M. Pinard. Le'nitre d'l'intérieura fait preuve
de talents spérfoax dans le rlépaetemeatde commerao et des travaux publics. Nousspfeons qu'il posaédo également les qua-
litésnécessairesa ses nouvelles fonetios.Il loi serait, en tout cas, fort difficile defaire regretter son prédéc'ssear, et nousdevons Iteiboter lEmpereur d'avoir com-pris que l'opinion publique demandait aua-n rament la retraite de M. Pinard, quiavait ea le rani talent d'indisposer à lafais contre loi toutes les opinions. Leahommes politiques lai reprocheront sartosedeux fastes graves : lu premirre d'avoir
aimé si mal à propos a, mois de janvierde cette année la léquestion des comptes-
-dos des débats gislatifs, et la secon-oot récemment dosé à Ide, d'avoir t a
nifestati. du cimetière Montmartre età la ee.ee,iptiou Boudin nue importanosque ces deux affaires étaient loin de pré-aanterma,et d'avoir aiuei créé la[-morne les
mno
embarras trios sérieux qu'elles .tau gouvernement.Os,deux ministres démissionnaires, M.
de Moustier seul est appelé a. Sénat.Le chois de M. Gressier pour remplacer
M. de l'arcade La Roquette au ministèredu commerce a, com symptôme, rareimportance tonte spéciale. C'est, à em que
voyons, la premidme fois depuis leétablissement de l'Empire que le ohef de
PRtat vu chercher u ,mstru d.. lesoin du Corps législatif. Nous n'avons pas
oubliésens dente quo le 23 jJoie 1834 un
décret impérial appelait M. Dillault à rue-céder à M. de Persigny quo l'état de sa.enté obligeait à quitter le mmo elàm. Maissi M. Bdlault était alors l'. dee dép',"s
ramés pur les 6leeteurs, il était e, mémetemps le président da Corps IGgislatif
ramé par l'i`fmpereur. Il faisait patte deeu petit nombre des 61aa da pué-air qui .e9ujll4ifgt
uns pguta 1 tlatiew qua pour en
,ornement radiais, devant les conné-mnoxAL ans Bi,,,,'",. quences issues de 1. bataille de Sado.
Lea idées libérales de M. de Forcade, ai-Mes au plus ferme dévouement à 1'1:m-pro' bse sent
eaua.plde
dttetéf à 1. tribune,
tant en telti économique qu'en politi-que Untel ojodit, trouai ,,.dans
LaValette, qu'a,,due dit
rIoronmate lessono
n des rsorbénbtsogrl 0-
se sfoc le idées
rrt,odandiseu'ou
'onarident
quelque-fois
rutort, dans e
ces derniers re temps,d'attribuer au gouver madQn
antà nominati
tionde
e M. G fi tan ministère
da commerce, w choix,fait
in du Corps législatif, a par; à mômeu
ns éeiale a rat échu P-
Ivre. il atteste, ,.,aile - aide et juste ira-portance l'Empereur attacbu à 'mien ss-amnblée élective et vus talents distingués,ai s'y forment ou éy révélant.
Voilà .niera nt en quel sonos, restreintincontestable, il vol vrai de dire quo
les nains dos ministre. D eaux rat lavaleur d'on programme politique.
uneIl. Baudrillart.
Nous cro ans auie
affirm ez ". Irain tiens n mpiiquelt, d'une nnmiiéro
générale sucae change eut doue la poli-tique du gouvernement da l'Empereur.
A. Jourdmr.PUBLIC.
Les changements ministériels qui vien-ent de s'opérer --mont à s yeux la
ligue politique adoptée par l'Empereur,celle qui conduit à la liberté du contrôlet de la disauamon. lie répondent aussi à
la doubla nécessité d'affirmer davantagelas tendances libérales de la diroetiongou-
nentale et de préciser asa vues tant
à l'intérieur qu'à 1'ext6rieur.Noue espérons non pua anus tromper
dans ces appréciations,Ernest Dréalle. '
il PA,a.
Comme organe de la partie militante doparti h..e,,e nteur, ,ans .rions ingratsmrvcrs M. Pinard,
siBous n° le ecmercii..
pas de d.x choses :ufarandole,
, dl'agitationav rfvolution°aià
l'curse rafaite auto.r du .om de Baudin, l'énergiedont on a vu les effets salutaires.
Ancien magistrat, il n'a pas fait défautà 1. loi.
Ministre de l'intérieur, il n'a P. faitdéfaut à ]'ordre.
Par là, il a mgatté quo l'Empereur et
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le pays peuvent compter eue loi, dans onmentdifdcile.
La seconde chose dont nous voulonslouer M. Picard, c'est le noble d6sintéres-
vec hgoel il a prié l'Empereur de=tale d,crot qui l'élevait à la dignité
de aéoateor.Certes, il a pour le S6oattout le respect
que ce grand corps ,frite, mais M. Pinardveut rester dan. la phalange militante desconsarrate,a.
Il y attend modestement, avec la certi-tude de la trooner bientôt, l'occasion de
r librement - l'limperear et la dy-nastie.
Ce que nous veoona de dira de M. Pi-nard nous met à cotre aise, pour dire onmot de son euccce.,n,.
M. da Forcade La Roquette n'appartientPoint, par sen origine, à l'ordre d'idées
auguré au 19 janvier, et dont nous avonsénergiquement combattu l'inopportunité.
C'eet un mi istre dans lequel nousvoyous, comme gaga d'uu avenir ras,-r nt, la tradition d'ana époque fort., laplus belle de l'Empire et la plus pros-pèe.
Ce n'est pas à dire que nous considérionsle nouveau
admette
comme l'adversairedu 19 janvier,-la none osova être sr-tains qu'il n en sera pus l'esclave.
A. Lamonsrro®an.
A notre suis, il n'y a pas à s'y tromper,l'Empereur a voulu qu'il y eût plue d'ho-
ogénéité dans le cabinet, plus d'unitédans l'action gouvernementale.
Legnevel de Lacombe.uns.
Qu signifient les changement, accom-plis? A cet égard, ou ne peut faire que
I.Quand les ministres sont por-
tesrau pouvoir par l'opinion, onco,,
nnaîtprogramme, ont sait ce qu'iont
l'intention de faire; ils .ont ce que vou-drait las voir M. de l'arien, vice présidentdu conseil d'État : les représentants at-tire. d'une politigan définie et nsé-quevte. Mais ae n'est point là la conditionde .os ministres. Ceux-ci n'ont point depansée]
sre
nvoiet quVnd
ceils e mhrent ou
qu'on qu'il net permisd'eu conclure .,en certitade, c'c t quel'instrument est fatigué, ou qu'il n préponds à l'attente de la pensée
gouveris.
-nte. Dans le cas présent, c'est profil-Meulent
au deuxième termo de l'alterna-tive` qd'l convient de e-rètar, r laratai e des Ira, m cistres ne passe paspour avoir été absolument vo enltsire. M.Pinard ne Il 1l1teit pae depuis esseslongtemps le fardeau du pouvoir pour res-mntir cette lassitude qui conseille la re-traite. Ou auajugé néanmoioa qu'il avaitfait on trop grand effort dans la journéedu 3 décembre, et qu'il avait, comma un
ux guerrier, acquis des droits au repos.Du mains, set-es a partir de ce jour mé-
orable que a situation ministérielle aparuébranlée. Le choix de son successeurnone parait avoir um eignifiestiou rase.-cade. M. de Percale la Roquette da pae
d'antécédents et de titres politiques, maisl est purttsaa déclaré de la liberté com-mlereiale, et noue aimons à moire q.e,pur le nouveau terrai. où il est appelé, il
'oubliera pas tout à fait l'article fonda-mental do Credo économique: Laissezfai,, lai¢are passer.
La retraite de M. le marquis de Mous-tuer et son ce,pluecment par Al. le
mac-
uis de la Vallette ao.t quelque chose deplus éc malique. Il est assez extraordi-naire voir un istre des affairesétraugieaa quitter la place au moment oùd'une des plus grosses questi... de sond.épartemenE, question qu'il a longtempssurveillée et sais,, d'abord comme am-aasuadeur à Constantinople, ensuite com-me ministre, passe à l'état de crise ouverteet réclame plue que jamais ses actes et a."attention. 1 bon sous dit, et ..as avonstoujours pensé, que 1. Turquie, eu lamantson ultimatum, a avait pas agi absolumemd'elle-méme. M. de Mortier .,t-il étépeut.être, de concert aveu l'Autriche, trop(prompt eu trop loin dans cette voie? A-t-iiété trop favorable à la Turquie? ou net'a-t-il pont-étre P. été assez 7 Ou ne peut
po r aLe agas , 1 Boue'
Pointsd'intrero-
tt ion .
-cocaïne'seuls no.e instruire. M. de la Valletteest,
oule ,ait, su partisan du princpe
adus nationalités, mais il lest pas
nipranoveé en faveur de l'iuhégrité de l'em-pire utlomav. ll porte donc et loi de..tendances difficile. à concilier.
A d'astres égards, et pour d'autresques-tlons que la question d'Orient, son entrée
affaires étrangères semble avoir, parelle-méme, me gaude signifcotian. Per-amoins
n'ignore qae, directeur intérimairedo ministère dus affaires étrangères, aprèsla retraite de M. Drouyn de Lhuyn, etavantCarencée de M, de Moostier, il u rédigé,Mgné et expédié, le I6 septembre 1856,la rklébre circulaire par laquelle le god-
ant fran'aie témoignait e plein.satisfaction de Ix vietoira de
Suda'.et de
s résultats. Sa nomi.ation ne peut doncq.'étre très agréable à 1. Presse, et, àpoint de vue, elle doit +tre considérée
n symptôme pacifique d. plus, àmo,na toutefois que M. do la Velléité n'aiteompléternent changé d'avis dep.ia 1866,ce qui est possible. En revanche, elle isaurait faire plaisir à notre parti clérical,car ou
sait q.e M. de la Valletlo cet, degédons ans hommes d'F,tat, le P""''9Parans
antécédents contre le te.-para] et m faveur de l'usité italienne.
A. Neffteer.
Oncnern n ,mules.Pourquoi MM. de Moustier et Pinard ont-
ils donné let, démission Et pourquoiMM. de LaValette et Gressier deviennentils ministre, ?
Qui no le dira'? L'P;mpereur Atout seulresponable, les changements d'hommesdans is persovuel la hauteadm,niateotion de
fient laisser le public obsolamant indif-6é eùt. Cependant, en dépit du systèmeo..titaionoel qui prévaut, i; est certain
que l'opinion attache eau importance trèssérieuse a.x modifrcationedeaette nature,et quand 1'empeecae change de ministres,n cherche à savoir pourquoi veux-si par-
tent, pourquoi ceux-là arrivent.Le démissionnaires avaient donc deudeagris raisons per se retirer. Les idées
de lesta remplacanta mE donc triomnhbdan. les Finaeil. du tenverajLi? j4at.
quelles sont les-oses
des dissen-timcota et quelle ,et la nature des idéestriomphantes ? Il v a donc dans las régionsaecr'tes des basan e élevés, d'a passionaetdes résistances ame i des crises et desdémissions? Comme
l le
e Moniteur se gardede dire le plus petit mot de ces tempêtes,cachées aux regards de ai."" Français,le public
,aine peut rester i.dilféeeat à
des évolutions dont il subit eu dernier res-sort les couséqucncee, fait des canjectu-es, se reuseigue où il peut et conclut de
son mien..Natnretlement la première chose qu'on
fasse, c'est de chercher dans les tendancespartiealiéres;dea personnages en jeu lesens des ,odid2P tis qui surgissent.
On e dit : inard passait pour enrlèrirul,on le représentai' comme favorableau Saint Siège dans la masure de ce quireste à faire à l'égard de la cour de Rome.
M. de La Valette, l'ancien ambassadeurde Rome, est connu comme ayant des opt-
apposées et pour a chaud i del'Italie-une. Est-e' l'indice d'un change-ment d'attitude dans
laquestion italienne?
Si
l'on en croit les récita de. feuilles ,et-tazienees, il faudrait le penser et .'atten-dre à du uouvsu de ce côté.
On remarque aussi que M. de Moostieret remplacé aa ministère des affaires
étrangères, lui, .noie. ambassadeur àConatantinople, par M. de La Valette, -également aucun ambassadeur iCouatan-tinople, au moment où les hostilités entrela Porte et 1. Grèce commencent. Maisquelles sont les idées de M. le marquis doLa Volette sur la Grem, anr l'existencede ee petit Etat?
M. de La Valette a pris l'intérim du mi-nistcre quand M. Ileo.yo de Lboyséest
tiré après Sadonva, et alors ans M. deWoustier 'n'était point encore
arrivé
deTurquie.
M. le marquis de La Valette a eu foc-ssio. de signer le fameux manifeste quia mis a. monde le sysèms des a grandesagglomérations, » au nom duquel on atè moo la mort des petits Etate. Ce lys-téme perte iplo ment a.. nom dors
de la diplomatie. Est-"l'indien
dice dusuccube de la Grèce, Etat min seule, à1. Tordais, qui an trouve dans les aondi-tioen des Etata agglomérants grime à seshaute protecteurs?
Bien des gens pourront ]e croire.
Dans tous les cas, il cet difdeile de pen-ser que ces modifications soient favorablesà uns .cri.. énergique en faveur de cepetit Etat, qui p..rrait bien ne pas âtrejugé plus intéressant que le petit vaillantDanemark ou le petit Sleswig et le petitHoletein.
M. de La Valette aurait trop à se con-tredire pour qu'il en soit différemment.
Petite Etats, prenez garde à vans! Ce-lui qui a prononcé le mot terrible de :a grandes agglomérations, n r fient auxaffaires. Florence, Berlin et Constaùti-nople doivent être ...tl.ts.
A. point de vos de n e affaires inté-s, la significa.ion de ce change-
eet lent étro difueiloment appréciée.M. de Forcade La Roquette ne passe paspour n libéral, M. Grossier non plus.C'est loi qui a été le rapporteur de laloi sur l'armée, et M. de La Valletteétait au des hommes las plus fnee-giquemont opposés aux derniéres réformesdites lihemaive, M. des partis..a les plusloyaux, mais aussi les plas chaleureux dusystème des autorisations; ou mémoattribué sa retraite à cette cause. Tout le
onde sait aussi de quel coté il penche.Tcet cela ne nous parait p. favorable audéveloppement do la politique douce.
Quoi qu'il en soit de .a appréciations,il y a lieu de remarquer combien l'opi-
e a de la peine à s'habituer aux brus.ques changements qui ae produisent dansle; ûégions du pou
va.r9al , t l'apparition duDfoniteur, de M. Gressier? Qui attendaitM. le marquis de La Vallette'? Qui croyaitque l'arrivée de l'empereur, à Paris seraitmarquée par trois décrets de cette imper.tance? La soudaineté avec laquelle sa pro,élisent ceséeéne,nents n laisse pas quedo jeter quelque émotion
dans
les esprit..0. Pensé toujours qu'à tout instant onpeut être 1711:l par noie déei-iou des plus
voe anus qdf en rende compted1tCaltem y e
de aim porte l'esprit aux eé-Iles nManière
m(lancoligoe et plus volon-tiers d sposé à pcoecr hou derniéevret tloader la profondeur de l'orgueil deceux qui font dee projets pour un lende-main dont ils ne pouvant approfondir lesseurete ni l'a décrets, et à se répéter crutout .'rat que vanité, la sécurité duos l'a-,ami, Gamme le nettoie aille des ministressu place. 11 n'y a que le poste do séna-t ur qui n change pas. Aussi mr rem.r-quiseti quctoioMn.M. PiEnrnarevd nanc'esthe,
M.pas pce urmu à caetterddnuy ge
sen portefeuille de l'i.et,a'tier publique.G. Jauicot.
Dans les .éanoes d'hier et d'avant-hice,
la Société des Agriculteurs de Fra.ce a
procédé aux élections. Le l'eéaident, leSecrétaire-général, les Présidente de sec-tien, ont été réélus. La Société a nomméen notre six cc-préaidentsgénéraux iont été élue 151. de Lneeegne (Ilaute-Ga-ecnne) vie ente d TocquevdIl (Oie ),
ente de Beuillé (Nièvre), vicomte de LaLoyère (Saône-et-Loire), D'eauville (Soi.
e-et-Oise), marquis de Vogué (Cher).Aujourd'hui, doit avoir lieu l'élection desautre membres du eenscil d'administra-tion, au nombre de: 36. Il a été
co.""eu
principe, qui, chacune des douze régionsagricoles qui ce partagent la France, serait
présentée dans ce conseil par trois u,em.becs. L. Société u entendu en méme temps]es premiers rapports sur les travaux dessections. M. Bouley, membre de l'Institut,iospeetenr-gén6ral d'a écoles véeérinair',e présenté , au non de la deuxièmesection, o rapport su les moyens àprendre pour préserver la Frouer de laMoto bovine, et M. le comte Fouoher deCandi (Calcades m de la section
omin ruralehehan u rapport sur leséchaog' de par
,
étée ôoncls!ma aa
.a deux rapports ont adoptées.
ïLe, suffrages pour las viceun de
s sont répartisde I
de lauo.anére
la eaè t e
auVnt
;Votnne
tante, 328; majorité absolue, 165,M. de Lavergne a ou 2G2 rois) M. la
..ta de Bouillé, 188; le vicomte de Toc-queville, 174; de la Loyère, 164; De"-
a-ille, 161; le marquis de Vogué 151.Ceux qui ont eu la plue grand nombre. de
MM.
vois,
après les membres élus, sentBartiu, Deceombecque, Ruadot, comte deFalloux, etc.
Hier a en lieu l'entrevue de NapoléonIII et d'Isabelle II à l'hôtel du Pavillon-de-Roba..
Dès lu matin, l'ex-,aine avait été pré-
OeA trois heurs, l'Empereur, l'Impéra-trice et le Prince impérial saut arrivés rasde Itivoli, aceompagoée de deux ohambel-lacs et de deux dames d'humeur.
L'Impératrice portait en ecst.Ma de ve-lours noir, le Prince impérial était vélo dedrap ie, l'Empereur mémo avait endosséMI h bitnoir.
Le Prince impérial et l'Empereur por-taient le grand cordon d'Isabelle la lutho-
li Âo d de l'escalier de l'hôtel atten-dsienpin Raine, le Roi, le prince des Astu-rr s,
lesInfantes et la
laits-La Reine portait nue magnifique robede latin bleu à longue trains et une man-tille noire.
Elle semblait fort émue et s'appuyaite le bras du Rai qui portait sous son ha-
bit noir le grand cordon de la Légiond'honneur.
Le prince des Asturies, à la gauche desa mère, portait également le grand codon de la Lpégion d'honneur sous son vcv.ton de mal.
La réeoption a été rapide et cordiale,quoique en plu nabsrmeée.
I.e 11, 'iupeaprieatdede laateinetleahe-
i:de
ell'appartement la Reine, et dans
l'ordre auiva.t :Le Roi etl'Irnpératriee,
Isabelle et Napoléon III,Le Prince impérial et le prince des As-
tories, avec la petite infante,La cour.La visite a duré environ trois quarts
d'henro.La sortie s'est exécutée à es. près dans
le même ordre que l'entrée.Los locataires de l'hdtel do Rollan ont
veut. faire Ix conduitsà
tsars augustesvis 'leurs jdait bas de l'escalier.
Le roi donnait le bras à l'Impératrice,l'Empereur à la reine, le prince Impérial
dos Astleslmé Ili'as amie duumend , as dormaientla main.
Arrivé a¢ milieu de l'esealieq l'Empe-r s'est arrêté, et s'adressant à la
railsa.l' voue supplie, In, a-t-il dit, de rm-taerchez vous Item
La reine a insisté peur aller jusqu'à lavoiture impériale. Là, ont
ce
lieu lesadieux rapides, alâevtoeox d'abord, et paieémus.
Tant à coup l'Impératrice s'est avancéevars la reioe, et ev jetant dans ses bras :
UA Dies, rois tara amiga.n instant après, les visiteurs de Phb-
tel de Rohan étaient de retour aux '£ai-leries.
Une demi-heure plus tard, la reine et leloi étaient reçus .as Tuileries avec lo cé-rémonial usité. E. Blavet.
(Pigera.)
Il devient anjoned'bal certain P. unedéclaration formelle du Pays, que M. P'_lard, démissionnaire malgré lui, a écrit àl'empereur pour rfuser le titre de séna-
quiavaitla,
été conféré. Nous neponeo s
11, let élueM. de cet
acte deP. Détail evrieox ! Le décret nommant M.Pinard sénateur avait été, Mons assure-t-n, déjd envoyé su Moniteur ; il était com-
pasdit en
prétlà paraitre. R .fallu, co
barrit tgage d'imprimerie, dtatri-
0n aeare également qos M. de Saint-Paul, ecerétairc-général du ministre do1'lntérienr, a donné sa démission et l'a
a!ntenec, malgré les instances de l'em-pereu(Jr. A. Planquette.
ournal de Parie.)
du budgetrtouchent11 leurltrme, Ilor
reste plus à établir que les budgets de lam ri mi et des affaires étrangères.
Mardi, sera examinée, dit-on, la q.es-tion de savoir si le général comtede Goyondoit être mainte., dans le cadre d'aoti-ité, par application de l'article 5 de la loi
de 4 août 1839.(Patrie.) E. Boucbery,
-On .nno.ce, dit le Journal de Paris,geeles ohédente à Paris ont] été éconfidentiellemyntprévenus que les modifications m,cistéeiel-les, qui rai su lieu hier, n'impliquait au-
changement duos la politique géné-rale, et que particalidrement a. sujet deeaffaires d'Oriont, l'attitude du cabinetdes 'l'uileriea resterait la méme.
Quant à la cea, de Rome, noue croyonssavoir que le gouvernement impérial s 'carhalé U 'adresser par le télégraphe, à SaSainteté, les déclaratiotrns les plus aseu-
ut- au sujet de l'enée aux o ,,ai as deM. de L'a i%alatte ni parait-il, x été--do responsable
9uhomo,
pendait triss dus
""g"-" eeeoments de la politqueitalienne de M. de Tlroneruel, qu'il re-présentait alors auprès do saint-siège.
C'est eenlement mercredi peuelrain, silods somma bien inlorm , que M. De-lvénnis, ministre de Grèce à Conamnti-no Lep , quitte cette capitale. Il partirait
ut bateau français des Messageriesimpériales.
A. Planquette.
Fou correspondance de Grèce nomstransmet le texte de la Note remise parl'hotiadps boy, représentant de la Porte àAthènes, à M. Dolyan.la, ministre desaff
étrangères
Le 10 décembre 1868.Le gonver..ment do S. M. I. le Sultan
ne croit pas devoir chercher à prouverombien cet sincère et sérieux son désir
d'entretenir des relations d'amitié et deban voisinage avec le gouvernement deSa Majesté helléni ue. Le monde entier
va la louganimitb dont la Sublime-Portes fait pet ve en face de l'attitude prise àson égard par le pouveruemont helleui.
que, depuis bientôt trais aus. 0. comr.aitl'histoire du la dernière insurrectiory ceé-toise. Il est superflu d'énumérer ici lesmachï.utiles urdies publiée amant et
s l'a yeux dugoover.emn'at helléniquepur les comités siégeant da,ns la capitale.âme du royaume pour f'amevter et en-tretenir la rébellion en Crète, malgré lavolonté de l'immole majorité de ses habi-tante.
L'hintaire des notions civilisées an four-it aucun exemple da mépris avec lequel
le droit des gens a été traitéZr
lesditscomités. Ils n'ont épargné aimensonges aux pauvres insula rse' -fi'de les obliger à prendre les
orcontre
leur soneceuiu légiti em. Leu b andits priaà leur solde et envoyés en Crète sous letitre de volontaires, s'y sont livrés à desaetea du plus horrible brigandage contreceux des habitants qui suaient leur résis-ter. C'est donc en vacant et faisantsuivre leurs menaces d'unë exécution im-placable, ne P. des promeaes trompeuses,qu'on
'etparvenu à décider une partie de
ces malheureux habitants à émigrer enGrèce, où ila n'ont trouvé que me.ffranee. Détrompés, pressés par-laomi-sère et voyant la parfaite sécurité quigne duos leur patrie, ces malhrareuxémi-grés ont demandé et demandant à hautscris leur rapatriement. C'est on vain qu'ils
pplient qu'on les laisse jouir de leurlibre arbitre. C'est "'Il' que la Suhl ime-Porte fait, depuis plus de deux ans, desdémarches pressantes auprès do gonver-.amant belénique, dans le but d'obtenirleur liberté. La majeure partie an resteencore exposée à toutes sortes de vosa-tians et de misères, et le petit nombre quia pu eetoorner n'a pu effectuer son départqu'au prix de aon sang.
Le rétebl once .col de la tranquillité enCrète et l'agonie dans laquelle se débat-tout les quelques volontaire, qui restentencore
sur les sommets des montagnes delite, ont déterminé las m rs hellènesr empdeher à tout prix le retour des 'mi-gela dans leurs foyers, et à former denou-olles bandes de volmtames, pour donner
le change à l'opinion publique sur l'apai-sement entier de l'ius.rreetion.
Ce u.cc4net et fidèle exposé de1,
situa-tion vous parait suffisant pour convaincretout juge impartial qu'il ne s'agit ulle-me t de délivrer an peuple opprimé, maisqu'il s'agit d'opprimer, de torturer toutecastic.
populationItut
ana oie, Ls documents
échangés depuis plus de denx ans témoi-gaeet hautement de l'esprit de ,,,ai lia-tion dont noua nons sommes montrés anf-clés vie-à-vis de gouvernement de S. M. leroi Georges, et do compte très grand quenous nus te.. de ans difficultés ivtérieu-ces. Lessacrifices en tout genre que laSublime-l'orte s'ont imposés, afin de ne pasdémentir ses
bancalsde modération,
sont s.nas de tout le monde. Tontess démueehes auprès du go.vornement
royal n'ont en invariablement pour
P...' ona aveuxd'eadode non-recevoir, eu
que d puissance décomprimerl'éla. d'un parti
-su
vaut eo ettre toutx exigences de su pa'eton. Cet état de
choses va s'empirant en Gréée. Les der-ni ers événements ont emmené l'édificeet out enlevé au gouvernement impérialtout espoir d'un prompt retour, de la partde la Grèce, à des sentiments de justice etau res
Eneffecet, god]le
espérancet usaurions-nouspu couss"e,
le Dev ra MI la s annson, du haut do latribune,
d'mn ciedes anciensminisires, ofre-
partiedu dernier emprunt avait été ff'ec)nrd'liat da bateau la Crèla, qui ,art
et des 'haovi
an transport des volontaire-et desmunitionsan Orbte, au méprisdetous Is droits internationmx, déclarationqui wntredit donc manière si solennelleles assurances que le gouvernement dodu roi nous .,ait dounéea;
2' Devant an discoure inistériel quidénota librement lu résolution de pour-
' ee l'idée de l'annexion de file deCrète à la Grèce;
3u Devant la vieience inqualifiable aveclaquelle ou cherche à empêcher le rapa-triement spontané et volontaire dee émigrés
crétoia;4- Devant la persistance que le go.ver-
ent royal met à ua pas réprimer cesviolet"';5e Devant la formation de nouvelles
bandes de volontaires, qui e, rganisentnon seulement sans la moindre opposi-tion de la part des autorités, mais par laarconcours presque
a' .6;lie Devant l'impuissance de .os repré.em on... tant de fois réitérées;
7' Devplaneant la taccen
tuéeendeotsursou ambitieuse de.senp
partis eu Gré,, ;8' Devant l'impunité que rencontrant
auprès des autorités helléniques les agees-sours des ofiioiers, soldats on sujets cite.colas assassinés ou maltraités sue le tord-reine dggu royaume'?
à es Aeesirules plue sacrrsi `sil eontioctà seliercer d'une illusion qui lui a déjàcoûté tant ae sacrifiées.
Eo c..sbquence, dans le cas où, duellao délai de cinq jouta, à dater d'aoj-d'hui, le gouvernement de S. M. le moi neprendrait
le De disperce immédiatement Iles ban-desde voloutaima derniè,meutorga.ieéeadans dlllérentes parties du royaume, et
handpeoher ]a formation de nouvellessa i
2' Do désarmer les corsaires Enosvis,Crète et Panbelliee, a., en love cas, deleurfermer Paella des porte helléniques;
3' D'accorder aux émigrée crétoia,.a.-msivment l'autorisation de retourner danslutes foyers, .aie encore mine aide et uneprotection efficaces;
eauxis,De
ui en sent rends coupablesd'alo
onqui
les militaires et les sujets otto-mans, et d'accorder a- famil!en des vie-Cmcs de ces attentats ana juste indem-nité;
5- Do suivre désormais une ligne aeconduite conforme aux traités exilons etau droit de émis
L sou sui p, envoyé eé, M
Sublime-Parts.
e-i
stmplénipotentiaire
de la
D'ordre de S. M. I. le Solin, aon au-g le souverain, ale reg t de faire savoirà S. Eau. M. le ministre des affaires étrao-
gères de S. M. hellénique, que la légationotomane à Athènes et les consuls réei-danse en Grâce quitteront immédiatoment]e territoire hellénique.
Comme déduction
.alcools
de cettedétermination, les relations diplomatiqueset commerciales entre la Tmqute et laGrâce se trouvant interrompues, le minis-tre, le pus 1 de la légation et de lachancellerie hellénique h Conatantinople,les ,..sais grecs dans l'empire Ottomanrecevronl leurs passeports.
Les sujets respectifs des deux Etats do-t gnitter le pays qu'ils habitent, dans
le délai de gatnae ]ours, à partir du jourde la aignifieatin de la rupture des rela-tions, et l'entrée des porta ottomans evtrouvera aussi interdite au pavillon beilé-nique à partir de cette mémé date.
Le soussigné saisit cette occasion, etc.
Il circule en ce moment, dit la Galettedes Tribunaux, des billets de la Banquenationale de Toscane e lleusementfalsifiés; une main des
Plushabiles a passé
par là.On serait démoulé sans défense centre
na falsification aussi audacieuss, ai an-cro employée avait eu l'épaisseur ett laconsistance de celle employée à la fabri-
lation des vrais billets.Heureusement, il n'en a pas été ainsi :
l'encre qui a servi à la confection des faonbillets ue résistepas à l'action do l'humi-dité, et, pour s'assurer de l'authenticité dubillet présenté il suffit de le mouiller lé-
ge,,. e aiemue doute n'eut pae possible. Ayen, ou a déjà découvert de
beceves imitations de billets faux de1,000 lire. Ces renseignements peuventâtre très atiles aux étranges, qui saut ex-posés àétra plus facilement trompée pard'adroit. faussais.
- M. le ministre d'Etat a reçu des di-'nistères leséléments de l'Exposé de
-ce
le situation de d'empire, connu no.. la dé-nomination du Livre bleu. Co dommcntcet déjà en partie à la composition de l'Im-primerie impériale.
Le ministère des a"aires étrangères pré-pare l'a notes et correspondances diploma-tiques qui doivent sashtuer le Liurejaun.
- Le célèbre Motard, eu ce moment àBoston, vient de faire .ne chute terribledu haut de son fameux trapue. Il en a,parait-il, été quitte pour eue entorse supied qui l'empécbora, disent les médecins,de reprendre ses merveilleux exercicesavant six m huit mois.
(6'igaro.) Jules Peleel.
- L'Australie est menacée d'avoir aussisa plaie commu l'Egypte se a eu aept:c'est la plaie de lapine.
Cet animal, qai n'est point indigène decette contrée, était encore, il y a trois ans,
voyait dons deecages,
ôIl,'ù non les considérai
É ....adee
objets de curiosité. On a depuistransportéara lapin. de
e,,,,,,,une dizaine de
couples peut-être, et en trois ans ils ansont ai bleu multipliés que c'est moine auxcolons qu'à cette race prolifique qu'appar-
aujourd'hui les vastes plaines del'Australie.
Un grand propriétaire, nommé WilliamRobertson, a employé près de 125,000 fr,cane réussir à défeudre aes terre. centreleur envahissement et l estimer qu'il pourfaudra
épouser pana de Z50,000 G. pourar résultat appréciable.rCe
se en
a, rgeance
ne respecte rien, aucunsplante,
an..champ. pans les jardins, ils
hoieiseent les Renie les plue ballas, leslégumes qui content la plus à ouliieer. Ilssont aujourd'hui la terreur de tous ceuxqui essayent de planter la moindre par-celle de terrain.
Ce d'ut point qu'on es leur fasse pas lachasse. Le marché est rempli chaque jourde tapirs dont lu paire se vend six pencos;
cette eue, an multiplie ci vite qu'il estcroire que l'en ne tac p.. la dixième
partie de Deux qui naissent dans me an-née.
Variétés.
LE EETAIL DANS LA IIAOTE-GARONNE
depuis 1789.
(suite et fan)
Nos pensons avec Al. Morelle Vindé,qu'en beaucoup de vas, l'élevage do pigeonde voLore, lograissé dans la cou de lasénagerie, cal préférable à celui du
bizet, réduit à pooecheser ao vivre,
prr fus et, ne(ae. Celai-ci, qu'a. désignemunément sues le nom de Tour ter,
est mo leiveimm, consommé, anr les lie..do production, tandis que l'entre, vulgai-
reut appelé Pdtu, donne lieu à une,cripoetation assa,. considérable vers le
Bas-Languedoc. Le prix moyen de ce don-mar rie depuis 70 centimes en été,
jus-
qu'à I fr. en hiver. Dans le Lauragaisce. petites éducations saut .ne suros deprofits pour les valets de ferme, auxquelsils procurent quelque argent pour loure,anus plaisirs.
arr. .Nuls ne prendrons pas congé des hâtas
de la basse-'out, sans nons arrèter devantla loge du lapin. Hélas 1 tout n'y est pasPour le miean. Ici, c'est un réduit presquehermétiquement fermé qui laisse échapper,dés qu'on l'ouvre, des gais nauséabonds.Point de litière our le sol, l'urine ,aisselleà ter, et suinte su seuil de la porte. Desherbes salies et fermentées jonchent l'airs.Le lapin, qui set délicat, on gâte ainsiplus q.'il n'en mange. Fa.4il s étoaner si,dus ce milieu malpropre, eh 'l no reçoitq.'.ne nonrrituro aqueuse, il devient vie-time des épidémies, et si a chair sen-traete t. mauvais gant ?
Tott cela est à réformée. Il fane ao h.pin de l'air, de l'espace et ose coucha assezapaise (10 à 15 e.) de litière m.Lorne qu'on
uvelfera de temps en tempeea bduoateurs qui pren...t cas précautions, espeéviec; t lao °eont
il
senlemde la n ait rot ils soustraient
Eale a
s p'!hI1aue
sh'b'en dos
uP
à 1 causes C'est ainsi, P.
exemple, que les lapereaux échappent .umat d'yeux résultant du dégagement desvapeurs ammoniacales.
Lorsqu'on nourrit uniquement lus lapinsM. 111t, et qu'on ne peut -'ir, s.ffiszm-
eut laa....
itnre, il temps à p, eau-ble de leur
administrer,
,
dede tempe autre,
quelque aliment tonique: fenouil, loispersil, chicorée amère es bisa en peu do.ci de enisine ou d'écorce de sorte. Onprévient ainsi le relâchement des voiesdigestives et l'altération du sang.
Au contraire, lorsque les lapins sonttenusbabituellement a. sac, il est bon de
'er quelquefois la nonrrituro par unis
alimentation rafraîchissants.Toutes no, ménagères savent qu'il faut
seMm"i
gaturedétrempée.par la plaie au la
osée. Autrement on s'expoeà_
voircontracter des indigestions mortelles.
Un soin particulier doitpeésider a¢ choixdes reproducteurs. On les prendra parmiles animons les plus pesants, présentant.
plus haut degré les caractères recher-chés par la commerce. Il faut que la fs-
ait, su moins, aix moi. révolue, pourla livrer au mâle. Lorsqu'elle se
e, o demanquera pas de mettrel'eau à sa disposition, pour qu'elle ne soitpas tentée du dévorer ses pehtspour étau-.choc la soif qui la brûle.
Enfin, si l'on vent conduire les lapins àengraissement rapide, il est ]aon d'as-
socier ans ration de grain à lu nourritureverte. Ou assure qua la castration dest
-
os
ce
mi
Mall'éleveur. Elle n estgo intra.
usage d
noe contrées. p0 ge
L'importanee de la cunieaiture y estSelle, cependant, ga'ou devrait
es
p,éoe-per aérieneument d'en améliorer Ira pro-
cédés. Non-seulement, eu e'Iet, luIve-deotion de la Haute-Garm.e eaflit - laconsommation locale qui dépasse 10,000tâtes, pour l'unique
ville
de Toulouse, mai.e lle fourait
ou
canton.
ont
considé.rable à l'exportation vers Io Bs-Langue-doe.
,l.",6S.
Encore plus que le lapin l'abeille auraitle droit d'accuser autre négligions. Quefaisons-mass pour elle?veQuatre plauolieslouées ensemble, trxruées duos le mi-
liie. de leur longunnr par m croisillon atpercées de p lits trous à la partie iofé-r sure : Voilà la ,allie. On la dressa surquelques pierres le long d'un mur oa d' ..ebaie, à -os e position qui n'est Pair
laplus
favorable. Pais on la recou-vre au moyen d'une briqua
,lal'on attend,
avec insouciance, l'heure de la récolte. Leproduit consiste, en général, m 2 k. 500gram. de cire et 6 h.. de miel. Assea sou-vent même la négligence do propriétaire,nous n'osons dire de l'édueataor, casse laruine de l'essaim.
Rn 1852 la département eompfait, -_près la statistque officielle 12,032 rochas.
L'arrondissement de Muret en avait à luiseul, plus de quatre mille,slui de Toulouseet celui de St-Gaudens, près de trois millechacun, e fin celui de Villefmnche un permoine de deux mille. Ou estimait que lavideur total6 de tee ruche, s'élevait à
61,360 8e., ce qui ramène le prix moyenà 5 fi. 10 6,
La statistique de 1866 aecse l'existencede 13,876 ruches, soit 1,844 de plus qu'en18fï2.
Le nombre pourrait être beuusup,'19-monté.
Maison
doua gond intérêt à leea ire que lorsgdon sera et qu'on voudradonner aux abeilles les soins ,,ai leur sontn6saaires. Les bons guides na manquentpas pà cet égard, car il n'est pent-étre pasd banche de l'économie rurale que les
canto et les hommes pratiques aient ex-plorb avec plue de sollicitude et de bon-h Haber nos a révélé les ,murs dusabeilles et slusieurs apiculteurs de mérite
ont mie se découverte. à profit pour le
gouvernement de la.rs niches.Entre les innombrables appareils qua
le génie. inventif des amateurs a ooncn etqui e se recommandent pau, en gbrïéral,par leur simplicité, n a gnalerons labonne ruche de M. Lombard. Elle con-siste en de.x compartiments superpposés etséparés par ana planchette perche de trous.Les abeille, déposent les rayons à la par-tie supérieure, en sorte que, ppour faire larécolte, il suffit de détacher 1 chapeau.Mais cette .Pénalisa fort simple présentele gland
inconvénientde conter la vie
x abeilles qui se rencontrent sur leautansdu fil de fer qu'on fait circuler entre
le couvercle et le corps ae la rache poseles égares plus aisément. M. Radouan afaitsdisparaltre ev danger en substituantà la planchette nn petil grillage de bois.N1. de Pea,iâre l'a encore perfectionnéjpa:-l'addition d'une seconde grille qui orriela première, à la distance de qudtquscentimètres. Cette disposition ingénieusemettant obstacle au prolongement desrayons duel le corps de 1a ruche, s.ffitpour empècher la reine de continuer laponta au-delà dn double grillage. Nousdhésitona pae à recommander las diversmodèles que cet acteur propuse pour leschamps et pour les jardins. Ils Munissant.ce grand. simplicité
à
des conditions néôessaveslà la cmarvatimede l'essaim, à l'abondons et à la qualitéde aroduits,
Mis pour se pm'aie, cas récolta .ban-dante il ne enffrt pas dit-leu en poseesaiond'une bonne ruche bien peuplée, il fautencore la mettre à une exposition où elle,
forfeé balsa,. En prendra soinde protéger les .sailles congru Les butta usedes ennemis qui les a 'é en4 dans leurdemeure et m veillera sur 1es appeuvieion-nements de la répnblignv ailée afin qu'allaan devienne paâ vinti°ie de la diette lnrs-qua les filera lui 'manqueront.
C'est aux, jnatituteurs, vers al, qu'il ap-pnelient d;o répandre dans les campagnes1 goba et les otions de l'appioolture.Cette industrie néceaity peu de fais pourdonner do beaux produits. Ov ne sauraittrop en favoriser le dével.ppemant.
L. Trnéaov nu Moxx®.aé,
(hurlai d'A9rculdurade la Ila
pratiqueute-Garonne).
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
Loa Premiers Contes de tous paya renfar e pins de cinquante récita d'une va-
is Saints Tspété oat irr:Les TroReinTasrs, la mn Lilial Marine., l'hom-me de fer, la Calife Ci100yr, etc.
Les Nouveaux Contes renferment derpécite moins nombreux, mais plue dévelop
bisas, l Corde n errrai,,1. pauere Îlenri,les Noces sanglantes, ]es Perles ot les Ro-sea, etc. Légendes gaies nu touchantes,llustrées, avec an sentiment exquis, par
le crayon habile de STaau,Les deux pubboahons se complétant
l'on. l'autre, et elles peuvent cependant'isoler, car chaque volume forme an tout
distinct. B est indubitxbla que les lecteursdu premier onerage vaut lice avec aviditéle second : la collection cosmopolite de cesoptes cet en effet l'un
,maplus utiles et
des plus charmants recueils mie à la dispo-s tt on de la
CRÉDIT FONCIER DE FRANCE.
DE TOUS PAYS(')par
RAME CRASLES.
Comme noblesse, succès blige. Aprèsaccueil bienveillant fait parle public nus
Contes de tous pays, l'éditent et l'autourfie ou ra'issant eeeoeil a0 sont Vms
forcés do donner une suite impérieuse.1 leurs Au 000-çnt réclamée par les ec j
d hvidono paraissentlas ux Contes.comme lents aln,
iiila
roso t puisés à
toutes les sourdes :
lule GLnie des monta-
gnes do hais y côtoie les Djinns de laPerse. Une tradition mélaveolique des Ilsbraux précéda nue des plus étincelanteslégendes de la France chevaleresque,cette vieille et populaire légenda de linon
bde Bordeaux, si pou sonna encore dans
sas irédes
hommes te 4.' 'NN'ivla.d,'SVrber et Shnbe1 rare 1
L'autcurM. Exile Cvnsoos, ce, commeil s'r titule avec modestie, le collection-
de nos tradihona populaires, met à laportée datons les trésors d'érudition dontjnsgn'alor9 ana. t sente profité ses oad0loura de la Sorbome. Depuis longtempsles frères Grimm et tant d'antees eno riteRustres avaient airs sous les yeux de PAL-
lemagne les richesses de la littérature popolaire des différents peuples. Ils avaientecomph dette tâche o la eensrieace de
l'émdi,tan germa nique, is disons-lefont han, avec ua peu de pédantisme et aelourdeur. Le joncs et brillant professentde le Sorbonne, au contraire, évite comme]e plus dangereux des écueils tout ce qai M. G I L L E T , 0+, Directeur.AU
prés ou de loin peut reeeem mil au d;, Avances sur titres de sentes, actions fournat sine. Il s'adreaso aux familles, bh ations françaises t éteongèroa. -eufanta comma aux parente. P.n véritable paiement de coupons de ces mêmes vaécrivain, il raconte Pour raconter et non leurs. - Ordres de boise : achats et ven-pp r prouver;
etcependant, gràce àérité tes an comptant et à terme. Dépôts de
bileté de son réait, le petit grain de vérité tauds en comptes courants. Recovvre-qui en coche toajoure au foravis des tradi ment' d'effets de commerce. compte det pop la s dégage iblement I
ch
etl 'reluit d différent, peuples de l'0t et l Ooeidont apparaît dans toute4teh . L Pe d f r sl e
de Burin du B fo it a 1 nstant uns,eau freengmeuse, gexense, agréa
sble, se prenant auz repas mélange s atle Yin; elle est plus active Que las eauminérales et d'une efficacité constanteContre les paire couleurs, les mana d'este
(1) illustras d'au grand nombre de vignettesman, pertes blanches, uréguralvti de la
dans le texte et hors texte. i vol., grand iu 8 . struatvoa, l'appanvrsssemerot du sanpcris, fo troc Paris , librairie Gsamun 2 fc. le fisc . Dépôt à Toulaaae, Vmaa
Felcss, Tantous0 chez les peinoipaux Libraires. Aanamn, pharmacien.
Le Crédit Foncier fait anx propriétaires,jasgn'à. eoucurrence de la moitié de la va-l ut ilesimmeubles, sil àagit de terres etde manions, et du tiers s'il s' git de boiseo de vignes, dost prêts remboursables encinquante ans moyennant une occulté de6 Le. 06 o/o,amortissomeut compris: l'em-pennteur a d'ailleurs le droit de se libérer,par antrmpatron, tout ou en partie.
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F FDOCTO BENITO DEL IIIO, DE gtEXICO.
au fFl ge ll'repbco hammnn, il n et s
am" { nt I. V t Ps que Iv I`ethiute je 1-T I t s de la semueo s'ecoedent à tl ee
ae rquo , aux 10 dense peémalurés 6 u
t 11 Bé é Aussi est-ila lem1, tu s ,:n pale l 'ou trostl t im de a .r er.a' 0 0t
ceet nbli èt '.t :le mort
p '.utq ait pl 1 é s or Eh.Di le1 a1AL tant
le faPAS 9M.1. Rusa ,
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'aa I D f B. d l Rie. -le trouver et d5 l' pl y it:iE RIC
td l t t l p tLA FARINNat AINT t pins 1 t mutes ddicama,
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rlhors an p10011 I t t l l P t" 0lortrf auto, a8 ritdir000rmmit sur I t l .,ation et 6 l i d l'ou ils, Le eilito la ci rit 'tondes pluies qui s'no t,?. p' f t 1 1 :. t l I 5 4 1 1 1 t de
pluedctIomoi LA IAOINLr I'BIPLIC TB J t p J t ri t t ol
yin a ri0.n de ça 6 e p II A I Fl 11 n]o publicume rn bina tL t I l d t i g é 'sent av elle cons-
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0n peut dire aven vérité quo L.E E(htotiNE 0101bICAIME doldOCI Bcuito dol11 e estdevinée à enmbIce art grand vide dons lart do guerre et quo 150' " BABLEnIN et C',de Tarare (Rhôun), on mettant ce pmdmt b le p néo do se las bourses u en vvlga-corset l'usage, ont acquis des droits nicsntestabloe s la reconnaissance p (shquo.
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