zot o kouran 117

2
+PYLJ[L\Y KL SH W\ISPJH[PVU ! ,\NuUL 3HYJOLY *VUJLW[PVU YtKHJ[PVU WOV[VZ ! 3`UKH /HKKHK 4HX\L[[L ! (UUH 3L 4HZZVU 0TWYLZZPVU ! 7HYLU[OuZL ,_WSVP[H[PVU Arlésiens et démocratie participative N° 117 Nov. 2011 (toutes les informations en page 3) LYANNAJ Ouverture d’une boucherie au Bourg « made in » Johan Leuly Tradition familiale oblige ! : La semaine de l’Agenda 21 « Bio : mythe ou réalité ? » La thématique de départ a vite été expédiée par Jean-Marie Marius, docteur-nutritionniste « Étant donné qu’il faut un siè- cle pour qu’une terre soit véritablement bio, à vous de juger… et le danger des pesticides est-il plus grave que ce qui est arrivé avec les graines germées bio ? ». Le diabète, le cholestérol, l’hypertension, le surpoids sont dus à une réalité dérangeante : « on mange trop et très mal en Martinique » avec un comportement excessif dans l’absorption de sucre, sel, alcool, qui génère toutes les maladies : « nous ne sommes pas 20 % de diabétiques, nous sommes 80 % de prédia- bétiques. Même le coca-cola vendu ici est fabriqué au Mexique avec 20 % de sucre en plus sous pré- texte que cela correspond à notre goût ! » On ne résiste pas au plaisir d’un petit florilège des conseils maison : pour maigrir, acheter des cachets neutres en pharmacie et mettez 2 gouttes d’huile essentielle de cannelle, laissez fondre le cachet sous la langue et 10 minutes après : vous n’aurez plus faim ! , ne mettez pas de bouteille en plastique d’eau minérale ou de jus au congélateur :vous avalez des substances toxiques, remplacez toutes vos huiles (sauf l’huile d’olive) par l’excellente huile de colza et dès qu’une bouteille d’huile est ouverte : conservez là au frais, privilégier le pain au levain à tous les autres, saupou- drez tout ce que vous voulez de curcuma : c’est une merveille sur le plan intestinal, pour les enfants souvent enrhumés : halte aux produits laitiers. Sinon faites preuve de bon sens : quand vous constatez qu’un produit ne vous réussit pas (mal de ventre, de tête ou quoi que ce soit), vous savez quoi ? : ne le consommez pas ! « Les risques majeurs » Albéric Marcelin, président de l’Université Populaire des risques en Martinique et Franck Hubert, architecte ont in- troduit leur exposé par la projection d’un petit film catastrophe. Les 2 orateurs passionnés poursui- vent la seule ambition de métamor- phoser leurs auditeurs en ambassa- deurs d’une cause de « survie publique ». A leur sens, il suffit de comparer les 500 000 morts d’Haïti avec un séisme de 7,3 sur l’échelle de Richter et les moins de 300 morts au Chili avec un séisme d’une amplitude de 8,2 (en 1960) pour comprendre ce que la prévention apporte… Nos intervenants savent exactement tout ce qu’il y aurait lieu de faire au niveau collectif et individuel pour sauver un maximum de vies en Martinique (sans aucun ex- cès financier). Pourquoi n’est-ce pas une priorité alors que tous les scien- tifiques s’accordent à dire qu’un séisme majeur aurait déjà dû se produire en Martinique et non pend donc au nez ? On estime qu’une catastrophe de cette nature engendrerait sur notre île 30 000 morts, 70 000 blessés et 100 000 sans-abris. Sans compter que 10 minutes après un tremblement de terre majeur, le risque de tsunami est quasi incontournable. Les communes ayant prévu une signalétique d’évacuation sur les hau- teurs se comptent sur les doigts d’une main. Une revendication massive des Martiniquais en ce sens serait salutaire pour nos spécialistes. Pour terminer sur des consignes concrètes : chaque Martiniquais devrait avoir un sifflet accroché à son porte-clefs, connaître les points de solidité et de vulnérabilité de sa maison pour savoir où se réfugier, disposer d’un kit de survie avec toutes les informations sur sa santé, prévoir un stock d’eau potable à portée de main… D’un point de vue mental, sachez que la pa- nique est responsable de 40 % des morts. N’hésitez donc pas à faire des simulations pour garder votre sang-froid, le jour J. ZOOM sur les 2 conférences-débats « sonnettes d’alarme » Rendez-Vous É - - cembre : Stands de vêtements, jouets, livres, objets, plantes, bijoux…Animations : salsa, danses traditionnelles, chantés Noël; Repas barbecue sur place et grande tombola avec de superbes lots : TV écran plat, imprimante, four multi-fonctions, journée au Club Méd, baptêmes de plongée, montres, bijoux et surprises. Création de l’Office de Tourisme arlésien avec l’élection des membres du Conseil d’Administration 15 arlésiens ont été élus pour les 3 collèges repré- sentant respectivement les élus, les habitants et les acteurs économiques. Éric Naud a été élu Président de l’Office du Tourisme. De gauche à droite, au 1er plan : Mickaël Charmet, Josélyne Delbois, Colette Larcher, Éric Naud, Gwénaëlle Sabatier, Liliane Vauclin, Ray- mond De Laval. Au second plan : Benoît Bidard, Christian Grandu, Laurent Bellema- re, Frédéric Grandu. Font partie des membres élus au Conseil d’ administration mais sont absents de la photo: Sabine Angely, Jean-Luc Badinos, Marie-Josée Lucéa, Moïse Ramaël Les thématiques de la nutrition et des risques majeurs ont respecti- vement attiré une cinquantaine d’arlésiens. Nos experts, militants de leurs causes n’ont pas hésité à ; confirmer un danger omniprésent, bousculer les idées reçues, déplorer les comportements insouciants et appuyer là où ça fait mal . En mots et en images Vernissage et exposition de Marie-Annette Fournier. Moman Bèlè Slam avec le groupe de Patrick Louisy-Louis Slam avec le groupe de Patrick Louisy-Louis Village de l’Agenda 21 De gauche à droite : Serge Domi, “ Les rapports hommes –femmes en Martinique“, André Lucrèce, “ la problématique de la cohésion sociale “ et M. Agatine, “ Le vieillissement et la transmission des savoirs “. Opération de promotion “ La fête du cochon “ pour les fêtes de fin d’année. IMPLICATION DES HABITANTS au cœur des initiatives municipales Mise en place d’un dispositif de soutien scolaire grâce à la motivation d’arlésiens bénévoles De gauche à droite : Marie-Josée Lucéa, Pasca- line jean-Alphonse, Jacqueline Sadarnac, Maryse Verdan, Blandine Prian, Christophe Alau- zet, Céline Marty et Roland Francon (absent sur la photo) Q uoi de neuf ?

description

le magazine des arlésiens

Transcript of zot o kouran 117

Page 1: zot o kouran 117

A r l é s i e n s e t d é m o c r a t i e p a r t i c i p a t i v e

N° 117Nov. 2011

(toutes les informations en page 3)

LY A N N A J

Ouverture d’une boucherie au Bourg« made in » Johan Leuly

Tradition familiale oblige !

: La semaine de l’Agenda 21

« Bio : mythe ou réalité ? » La thématique de départ a vite été expédiée par Jean-Marie Marius, docteur-nutritionniste « Étant donné qu’il faut un siè-cle pour qu’une terre soit véritablement bio, à vous de juger… et le danger des pesticides est-il plus grave que ce qui est arrivé avec les graines germées bio ? ». Le diabète, le cholestérol, l’hypertension, le surpoids sont dus à une réalité dérangeante : « on mange trop et très mal en Martinique » avec un comportement excessif dans l’absorption de sucre, sel, alcool, qui génère toutes les maladies : « nous ne sommes pas 20 % de diabétiques, nous sommes 80 % de prédia-bétiques. Même le coca-cola vendu ici est fabriqué au Mexique avec 20 % de sucre en plus sous pré-texte que cela correspond à notre goût ! »On ne résiste pas au plaisir d’un petit florilège des conseils maison : pour maigrir, acheter des cachets neutres en pharmacie et mettez 2 gouttes d’huile essentielle de cannelle, laissez fondre le cachet sous la langue et 10 minutes après : vous n’aurez plus faim ! , ne mettez pas de bouteille en plastique d’eau minérale ou de jus au congélateur :vous avalez des substances toxiques, remplacez toutes vos huiles (sauf l’huile d’olive) par l’excellente huile de colza et dès qu’une bouteille d’huile est ouverte : conservez là au frais, privilégier le pain au levain à tous les autres, saupou-drez tout ce que vous voulez de curcuma : c’est une merveille sur le plan intestinal, pour les enfants souvent enrhumés : halte aux produits laitiers. Sinon faites preuve de bon sens : quand vous constatez qu’un produit ne vous réussit pas (mal de ventre, de tête ou quoi que ce soit), vous savez quoi ? : ne le consommez pas !

« Les risques majeurs » Albéric Marcelin, président de l’Université Populaire des risques en Martinique et Franck Hubert, architecte ont in-troduit leur exposé par la projection d’un petit film catastrophe.Les 2 orateurs passionnés poursui-vent la seule ambition de métamor-phoser leurs auditeurs en ambassa-deurs d’une cause de « survie publique ». A leur sens, il suffit de comparer les 500 000 morts d’Haïti avec un séisme de 7,3 sur l’échelle de Richter et les moins de 300 morts au Chili avec un séisme d’une amplitude de 8,2 (en 1960) pour comprendre ce que la prévention apporte… Nos intervenants savent exactement tout ce qu’il y aurait lieu de faire au niveau collectif et individuel pour sauver un maximum de vies en Martinique (sans aucun ex-cès financier). Pourquoi n’est-ce pas une priorité alors que tous les scien-tifiques s’accordent à dire qu’un séisme majeur aurait déjà dû se produire en Martinique et non pend donc au nez ? On estime qu’une catastrophe de cette nature engendrerait sur notre île 30 000 morts, 70 000 blessés et 100 000 sans-abris. Sans compter que 10 minutes après un tremblement de terre majeur, le risque de tsunami est quasi incontournable. Les communes ayant prévu une signalétique d’évacuation sur les hau-teurs se comptent sur les doigts d’une main. Une revendication massive des Martiniquais en ce sens serait salutaire pour nos spécialistes. Pour terminer sur des consignes concrètes : chaque Martiniquais devrait avoir un sifflet accroché à son porte-clefs, connaître les points de solidité et de vulnérabilité de sa maison pour savoir où se réfugier, disposer d’un kit de survie avec toutes les informations sur sa santé, prévoir un stock d’eau potable à portée de main… D’un point de vue mental, sachez que la pa-nique est responsable de 40 % des morts. N’hésitez donc pas à faire des simulations pour garder votre sang-froid, le jour J.

ZOOM sur les 2 conférences-débats « sonnettes d’alarme »

Rendez-VousÉ -

-cembre : Stands de vêtements, jouets, livres, objets, plantes, bijoux…Animations : salsa, danses traditionnelles, chantés Noël; Repas barbecue sur place et grande tombola avec de superbes lots : TV écran plat, imprimante, four multi-fonctions, journée au Club Méd, baptêmes de plongée, montres, bijoux et surprises.

Création de l’Office de Tourisme arlésien avec l’élection des membresdu Conseil d’Administration

15 arlésiens ont été élus pour les 3 collèges repré-sentant respectivement les élus, les habitants et les acteurs économiques. Éric Naud a été élu Président de l’Office du Tourisme.

De gauche à droite, au 1er plan : Mickaël Charmet, Josélyne Delbois, Colette Larcher, Éric Naud, Gwénaëlle Sabatier, Liliane Vauclin, Ray-mond De Laval. Au second plan : Benoît Bidard, Christian Grandu, Laurent Bellema-re, Frédéric Grandu.Font partie des membres élus au Conseil d’ administration mais sont absents de la photo: Sabine Angely, Jean-Luc Badinos, Marie-Josée Lucéa, Moïse Ramaël

Les thématiques de la nutrition et des risques majeurs ont respecti-vement attiré une cinquantaine d’arlésiens. Nos experts, militants de leurs causes n’ont pas hésité à ; confirmer un danger omniprésent, bousculer les idées reçues, déplorer les comportements insouciants et appuyer là où ça fait mal .

En mots et en images

Vernissage et exposition de Marie-Annette Fournier.

Moman BèlèSlam avec le groupe de

Patrick Louisy-LouisSlam avec le groupe de

Patrick Louisy-Louis

Village de l’Agenda 21

De gauche à droite : Serge Domi, “ Les rapports hommes –femmes en Martinique“, André Lucrèce, “ la problématique de la cohésion sociale “ et M. Agatine, “ Le vieillissement et la transmission des savoirs “.

Opération depromotion

“ La fête du cochon “pour les fêtes

de fin d’année.

IMPLICATION DES HABITANTSau cœur des initiatives municipales

Mise en place d’un dispositifde soutien scolaire grâceà la motivation d’arlésiens

bénévoles

De gauche à droite : Marie-Josée Lucéa, Pasca-line jean-Alphonse, Jacqueline Sadarnac,Maryse Verdan, Blandine Prian, Christophe Alau-zet, Céline Marty et Roland Francon (absent sur la photo)

Quoi de neuf ?

Page 2: zot o kouran 117

INAUGURATION DU BALAOU

A g e n t s e t s e r v i c e s m u n i c i p a u xA t t i i i E l u s e t A c t i o n m u n i c i p a l eE l A i i i l

Un levier pour le développementtouristique des Anses d’Arlet

Le 5 novembre, une dyna-mique est née avec l’élec-tion des membres du conseil d’administration de l’Office de Tourisme Arlésien et par voie de conséquence son existence officielle. Chacun s’est exprimé sur ses motiva-tions à mettre ses compéten-ces, ses idées, son énergie au service de ce nouvel outil de développement touristique.

Éric Naud, le Prési-dent fraîchement élu a tout de suite donné le ton du volontarisme avec une feuille de route pour avancer au mieux : une démarche professionnelle pour les missions basiques

d’accueil et d’information des visiteurs, une signature arlésienne pour promotionner le cachet de notre commune sans dénaturer ce qui fait son charme, un souci de qualité pour certifier et labelliser nos produits existants et nos futurs produits d’ap-pel et enfin des projets, des initiatives et des actions dont les visiteurs seront destinataires et les Arlésiens bénéfi-ciaires.L’office du Tourisme Arlésien est, de-puis le 5 novembre 2011, le benja-min du réseau des OTSI (Offices de Tourisme et Syndicats d’Initiative) de Martinique dont il peut bénéficier de tout le soutien dixit le Président cha-leureux des OTSI de Martinique (pho-to ci-dessus).

Un coup de main aux enfants arlésiensen difficulté

Le Maire Eugène Lar-cher a estimé que la problématique du niveau scolaire, trop faible pour un certain nombre d’élèves du primaire méritait de s’atteler à un projet porté par la munici-palité et concrétisé grâce aux bonnes volontés.Cette initiative s’arti-culera à 2 niveaux :- Grâce à l’implica-tion bénévole de 9 Arlésiens, à dater de la rentrée 2012, un accompagnement personnalisé sera dispensé aux élèves en difficulté. Dans un 1er temps, une cinquantaine d’enfants identifiés, comme dans le besoin, par leurs en-seignants bénéficieront en petit comité de ce soutien d’une heure par semaine au sein des écoles de Petite Anse et du Bourg. Les aides scolaires canaliseront leurs efforts sur les devoirs, la remise à niveau en français et en maths et l’épanouissement personnel par le biais d’ac-tivités ludiques. Les bonnes volontés sont encore les bienvenues pour renforcer cette équipe.- un service aux adultes « l’école des parents » sera conçu comme un espace d’écoute, d’échange et de dialogue entre parents et en pré-sence d’enseignants et d’intervenants spécialisés (psychologue, ortho-phoniste, éducateur, nutritionniste, assistante sociale..). Des témoigna-ges, discussions thématiques, ateliers, conférences, portes ouvertes viendront alimenter les débats.Ces 2 outils fonctionneront sur la base du volontariat et Zot Okouran vous tiendra informés au plus près de leur actualité.

I N I T I A T I V E S M U N I C I P A L E S

Les inégalités socioéconomiques et la paupérisation des publics en difficulté face à la crise économique mondiale :« Quelles bonnes pratiques de solidarité entre caté-gories sociales pour une égalité des chances effec-tive et un égal accès aux droits fondamentaux pour tous ? »

La diversité culturelle pour un rapprochement durable des cultures : « Quelles bonnes pratiques d’échan-ges interculturelles pour un développement durable des dynamiques de solidarité entre les générations contemporaines ? »

Difficultés économiques et sociales et éloignement entre les territoires : « quelles bonnes pratiques de solidarité interterritoriale pour accroître la capacité d’innovation et les opportunités de développement et de prospérité équitable ? »

Entre l’incertitude du présent et une vision durable de l’avenir : « Quelles bonnes pratiques de solidarité avec les générations futures pour une éthique univer-selle de la responsabilité ? »

CRÉATION DE L’OFFICE DE TOURISME

05 96 68 62 02

ENVIRONNEMENT

- Vider tous les récipients qui accumulent de l’eau dans les cours, jardins et alentours des maisons- Couvrir les futs et les bom-bes d’eau d’une moustiquaire ou d’un tissu bien tendu- Changer l’eau des vases à fleurs et des boutures 2 fois par semaine en évacuant l’eau dans la terre et non dans l’évier- Nettoyer les abreuvoirs des animaux do-mestiques 3 fois par semaine- Vérifier l’état des gouttières

- S ‘assurer que la fosse septi-que est aux normes et en bon état- Renverser les embarcations afin que l’eau ne s’y accumule pas- Utiliser une grille moustiquai-re aux portes et aux fenêtres

Le rapport an-nuel sur la qua-

lité de l’eau potable , son as-sainissement et son prix est à la disposition du public pour consultation au service de l’Urbanisme.

OMSAC 05 96 68 62 02

OMSAC

DANGER : PERIODE DE « DENGUE » Luttez contre la prolifération de moustiques en suivant 8 consignes

à partir de 19 h sur la place de l’Église

- 8h 30 et 10 h au départ du ponton du Bourg, coût 15 euros : au rythme des comtes de Marie-Luce Ymelda (co-médienne) et Patrick Wouemba (musicien)

- 19 h à la Paillote du Bourg

(Sainte Lucie-Guadeloupe-Martinique)

- 8h30 et 10 h - 10 h à 16 h sur la ZAC Kalimé à l’entrée du Bourg: , boutik tambou avec animation Bèlè (11 h) et animation Gwo ka (15 h)- 18 h :

, duo piano-tambour ( Yolande Svarez et Willy Léger) et Big Band de percussions ( trio Gwo ka, Bèlè li sid et Willy Léger)

à 20 h sur la place de l’Église

SOUTIEN SCOLAIRE ET ÉCOLE DES PARENTS

LA NOUVELLE CITÉ DE GRANDE ANSE AFFICHE COMPLET : 52 LOGEMENTS CLEFS EN MAIN

Le Maire, le Sous-Préfet et le Président

de la SIMAR ont souligné leur satis-

faction de voir cet ouvrage achevé et

livré. Monsieur Baudouin de la SIMAR

a insisté sur le fait que cette réalisation

a été possible grâce à la volonté mu-

nicipale de construire des logements

sociaux sur le territoire et d’avoir mis ce

terrain, gratuitement, à la disposition de

la SIMAR.

Remise des clefs des 2 derniers appartements par le Sous-Préfet et le Maire.

La sirène sera de nouveau mise en service à midi tous les premiers mercredis du mois. Par contre elle ne retentira plus à 12 h au quoti-dien d’une part à cause de la nuisance sonore qu’elle engendre et d’autre part pour garder sa vocation d’alerte en cas de catastrophe naturelle

05 96 68 62 02

COMMUNICATION

Avant-goût des Festivités de fin d’année

-- -

ger

05 96 68 60 13

TECHNIQUE

CAMPAGNE OBLIGATOIRE DE LUTTE COLLECTIVE CONTRE LES RONGEURSDératisation du 26 novembre au 9 janvier 2012

-

-

PROGRAMMEDU COLLOQUE

CIME 2011Colloque International du Millénaire Evènement

« Le développement durable des solidarités pour tous face aux objectifs du millénaire des Nations Unies »

Les 20 et 21 décembre 2011 de 8 h à 16 h 30Inscriptions obligatoires en mairie, 20 euros la journée, repas compris

Toute personne ayant des informations sur l’identité de cette embarcation située sur la plage de l’Anse Dufour est prié d’en informer la Mairie ou la Direction de la Mer de la Martinique dans un délai de trois mois. Passé ce délai, il ne sera plus possible au propriétaire de reven-diquer son bien.

AVIS DE RECHERCHE DUPROPRIETAIRE D’UNE EMBARCATION