Zoom sur l'agroalimentaire - MAPAQ - Accueil€¦ · Bonification à la hauteur de 85 % de l’aide...

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Zoom sur l’agroalimentaire Volume 6, numéro 2 Septembre 2015 Bullen d’informaon de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine La transformation alimentaire : une opportunité pour les producteurs de fruits et légumes Carmen ST-DENIS, conseillère en transformaon alimentaire Vous êtes producteur de légumes ou de pets fruits? Vous avez déjà pensé transformer vos produits, mais cela vous semble bien compliqué? Réjouissez-vous! Cela vaut la peine de pousser plus loin votre idée. En fait, la transformaon alimentaire de produits autres que les produits laiers, les viandes ou les produits marins se révèle beaucoup plus simple qu’elle n’y paraît. Oui, il y a des règles auxquelles il faut se conformer, des formaons à suivre, des invesssements à faire, un marché à idenfier et j’en passe. Mais la réglementaon liée à ces produits est moins lourde et les invesssements moindres. De plus, il est possible de commencer à pete échelle. Et même de commencer une producon en louant des cuisines conformes, le temps de développer ses produits et son marché. Chaque projet est différent et requiert d’être considéré comme tel. Si vous avez des projets en tête, n’hésitez pas à communiquer avec moi. Nous pourrons prendre le temps d’en faire le tour et d’idenfier les étapes que vous devrez franchir. Au niveau des aides financières, le Programme de développement du secteur agroalimentaire de la région (PDSA), administré par notre direcon, conent un volet qui souent la transformaon des produits constués majoritairement de produits agricoles de la région. D’autres programmes peuvent également soutenir votre projet. Alors, vous avez une idée de transformaon? Venez me voir ! La carotte sauvage Des carottes partout, partout! Louis ROY, agronome Avez-vous remarqué cee ombellifère à fleurs blanches de 12 à 24 pouces de haut? Les peuplements de caroes sauvages progressent sur les bords de route en Gaspésie et deviennent un problème dans certaines prairies. Une fois établie, il sera difficile de se débarrasser de cee bisannuelle prolifique en graines. En germant, la graine produit une rosee en feuilles de dentelle aachée à une racine pivotante. Abritée par la culture, la caroe passe inaperçue et hiverne. L’année suivante, une ge émergera et portera une fleur en ombelle. Fauchez cee fleur avant qu’elle produise des graines. Aenon! Surveillez aussi la repousse. Plusieurs ges secondaires émergeront du collet et fleuriront à leur tour. Fauchez ces nouvelles ges à floraison, sinon ce sera l’explosion de graines et vous ne voulez pas ça. Biologique ou convenonnelle, la stratégie de lue est la même : « Ne pas avoir de graines ». La fauche hâve favorise les plantes fourragères. Si vous êtes infesté, vous devrez renouveler rapidement la prairie et recourir aux faux semis pour épuiser la réserve de graines. Lors de la destrucon des vieilles prairies, le recours au glyphosate aidera à reprendre le contrôle si vous restez vigilant. On recommande de ne pas alimenter le bétail avec du fourrage infesté. Détail important, on soupçonne que les graines survivent dans le rumen, qu’elles passent dans le fumier et que ça favorise leur germinaon. Les caroes, c’est bon, mais dans le jardin! Dans ce numéro Stratégie bio 2 La freinte lors du transport des veaux gaspésiens 2 L’agroalimentaire en mode « Séducon » 3 Grand retour du colloque en geson agricole 3 Vous avez un projet? Pensez PDSA! 3 Le MAPAQ et les médias sociaux 4 À l’agenda 4 L’enregistrement des exploitaons agricoles... 4 Saviez-vous que... 4

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Zoom sur l’agroalimentaire

Volume 6, numéro 2 Septembre 2015

Bulletin d’information de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine

La transformation alimentaire :une opportunité pour les producteurs de fruits et légumes

Carmen ST-DENIS, conseillère en transformation alimentaire

Vous êtes producteur de légumes ou de petits fruits? Vous avez déjà pensé transformer vos produits, mais cela vous semble bien compliqué? Réjouissez-vous! Cela vaut la peine de pousser plus loin votre idée. En fait, la transformation alimentaire de produits autres que les produits laitiers, les viandes ou les produits marins se révèle beaucoup plus simple qu’elle n’y paraît. Oui, il y a des règles auxquelles il faut se conformer, des formations à suivre, des investissements à faire, un marché à identifier et j’en passe. Mais la réglementation liée à ces produits est moins lourde et les investissements moindres. De plus, il est possible de commencer à petite échelle. Et même de commencer une production en louant des cuisines conformes, le temps de développer ses produits et son marché.

Chaque projet est différent et requiert d’être considéré comme tel. Si vous avez des projets en tête, n’hésitez pas à communiquer avec moi. Nous pourrons prendre le temps d’en faire le tour et d’identifier les étapes que vous devrez franchir. Au niveau des aides financières, le Programme de développement du secteur agroalimentaire de la région (PDSA), administré par notre direction, contient un volet qui soutient la transformation des produits constitués majoritairement de produits agricoles de la région. D’autres programmes peuvent également soutenir votre projet.

Alors, vous avez une idée de transformation? Venez me voir !

La carotte sauvageDes carottes partout, partout!

Louis ROY, agronome

Avez-vous remarqué cette ombellifère à fleurs blanches de 12 à 24 pouces de haut? Les peuplements de carottes sauvages progressent sur les bords de route en Gaspésie et deviennent un problème dans certaines prairies. Une fois établie, il sera difficile de se débarrasser de cette bisannuelle prolifique en graines.

En germant, la graine produit une rosette en feuilles de dentelle attachée à une racine pivotante. Abritée par la culture, la carotte passe inaperçue et hiverne. L’année suivante, une tige émergera et portera une fleur en ombelle. Fauchez cette fleur avant qu’elle produise des graines.

Attention! Surveillez aussi la repousse. Plusieurs tiges secondaires émergeront du collet et fleuriront à leur tour. Fauchez ces nouvelles tiges à floraison, sinon ce sera l’explosion de graines et vous ne voulez pas ça.

Biologique ou conventionnelle, la stratégie de lutte est la même : « Ne pas avoir de graines ». La fauche hâtive favorise les plantes fourragères. Si vous êtes infesté, vous devrez renouveler rapidement la prairie et recourir aux faux semis pour épuiser la réserve de graines. Lors de la destruction des vieilles prairies, le recours au glyphosate aidera à reprendre le contrôle si vous restez vigilant.

On recommande de ne pas alimenter le bétail avec du fourrage infesté. Détail important, on soupçonne que les graines survivent dans le rumen, qu’elles passent dans le fumier et que ça favorise leur germination.

Les carottes, c’est bon, mais dans le jardin!

Dans ce numéroStratégie bio 2

La freinte lors du transport des veaux gaspésiens 2

L’agroalimentaire en mode « Séduction » 3

Grand retour du colloque en gestion agricole 3

Vous avez un projet? Pensez PDSA! 3

Le MAPAQ et les médias sociaux 4

À l’agenda 4

L’enregistrement des exploitations agricoles... 4

Saviez-vous que... 4

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Dominique MARTIN, agronome

La production biologique est en pleine expansion. À l’évidence, il y a une occasion d’affaires à saisir au Québec puisque seulement 30 % du marché biologique est approvisionné en produits biologiques d’ici. Répondre à la demande grandissante des consommateurs représente tout de même un défi. Et pour le relever, le MAPAQ a mis en place la Stratégie de croissance du secteur biologique en mai dernier en investissant 9 millions de dollars sur une période de trois ans. Cette stratégie reconnait l’agriculture biologique comme :

• une source d’innovation pour les entreprises;• des occasions d’affaires à saisir;• un allié pour l’environnement;• un levier pour l’occupation dynamique du territoire.

Des aides financières pour soutenir les producteurs

Programme d’appui pour la conversion à l’agriculture biologiquehttp://bit.ly/1iNLZDCCompensation des frais pour la précertification ou la certification biologique des entreprises en transition. L’accroissement des superficies en production certifiées peut être considéré. Cette aide vise également à appuyer l’adaptation d’installations d’élevage, en vue de respecter la norme biologique.

Programme Prime-Vert (volet 1)http://bit.ly/1KBqQSSAppui financier pour certaines initiatives davantage liées à l’agriculture bio : modification de sarcleurs, système de désherbage mécanique de précision (système RTK), pyrodésherbeur, écimeuse, filets anti-insectes, brise-vent et aménagements favorisant la biodiversité.

Services-conseils offerts par les réseaux Agriconseilshttp://bit.ly/1OUwB4vBonification à la hauteur de 85 % de l’aide financière pour les services-conseils en gestion, en encadrement technique et en agroenvironnement aux entreprises en démarrage, en conversion ou déjà en production biologique.

Programme d’appui à la diversification et au développement régionalhttp://bit.ly/1LPK08vLa Financière agricole du Québec offre le remboursement d’intérêts sur un capital de prêt d’au plus 200 000 $ pour une période maximale de trois ans. Cette contribution peut atteindre 15 000 $ par entreprise.

Enfin, ces mesures d’aide visent à augmenter l’offre de produits agricoles biologiques d’ici. N’hésitez pas à communiquer avec moi au 418 388-2282 ou 1 877 221-7038, poste 1952, pour obtenir plus d’information au sujet de ces programmes. Je pourrai aussi vous guider dans l’élaboration de votre projet.

La production biologique, loin d’être marginale! La freinte lors du transport des veaux gaspésiens

Éric LEPAGE, agronomeLa freinte est une perte subie lors d’une quelconque opération. Les producteurs de veaux d’embouche connaissent bien ce terme (en anglais « shrink ») d’autant plus qu’ils en ressentent les conséquences financières chaque fois qu’ils doivent transporter des veaux pour les vendre. Le poids au moment de la vente est sensiblement plus bas qu’au départ de la ferme à cause des effets du transport. En collaboration avec le Syndicat des producteurs bovins Gaspésie–Les Îles et cinq entreprises de la région, un projet a été monté en 2013-2014 pour quantifier et analyser les causes de ce phénomène.

Entre septembre 2013 et septembre 2014, nous avons recueilli des données sur 170 veaux provenant de cinq entreprises et vendus à neuf dates différentes. Nous collections les poids au départ de la ferme et à l’encan, mais également d’autres données sur la régie et les conditions environnementales. Dans notre échantillon, le poids moyen des veaux à la ferme était de 723,3 lb avec un écart-type de 100 lb. Pour le même échantillon, le poids de vente moyen était de 672,3 lb avec un écart-type de 95,4 lb. Nous avons donc observé une différence de 51 lb, pour une freinte relative de 7,1 %.

En nous basant uniquement sur les lots simples pour plus de précision (59 lots), nous avons constaté que 42,4 % des veaux ont perdu entre 7,5 et 9,9 % de leur poids tandis que 28,8 % des veaux perdaient entre 5 et 7,4 % de leur poids. Seulement 11,9 % des veaux ont affiché une freinte de 10 % ou plus.

Nous avons constaté des freintes légèrement inférieures chez les veaux plus lourds, plus performants ou lorsque les températures étaient plus fraîches. Par contre, nous n’avons pas observé de tendances relativement à l’âge à la vente ou à la durée du post-sevrage. La recherche pointe surtout vers la durée de privation de nourriture comme principale cause de la freinte. Le stress lié au transport vient bien sûr amplifier, mais surtout accélérer le phénomène de perte de poids, en favorisant l’expulsion plus rapide du contenu digestif, la sudation et les dépenses supplémentaires d’énergie. Conséquemment, une bonne part de la freinte survient au cours des premières heures de transport.

Il existe plusieurs manières de réduire la freinte. Si vous raccourcissez les périodes sans aliment et sans eau, que vous minimisez les éléments stressants les jours avant le départ, que vous évitez de vendre des veaux légers ou en mauvais état et que vous faites affaires avec un transporteur d’expérience, vous devriez constater des résultats positifs.

Grand retour du colloque en gestion agricole

Zénab HAMAT, conseillère en développement du bioalimentaire, relève et formation agricole

Après le franc succès du colloque en gestion de 2013, le comité organisateur prépare activement la deuxième édition. C’est sous le thème Tournés vers l’avenir! que des conférenciers de renom, forts appréciés ailleurs au Québec, orienteront leur conférence.

Situation de l’agriculture et de l’agroalimentaire, perspectives d’avenir, cycle de vie d’une entreprise et éléments clés d’un transfert de ferme sont les sujets au cœur du colloque. Question de bien clore cette journée, un producteur laitier inspirant témoignera également de son expérience.

Vous êtes attendus le 18 novembre prochain à Carleton-sur-Mer. Le colloque sera aussi accessible en webdiffusion à Cap-aux-Meules, Grande-Rivière et Sainte-Anne-des-Monts.

Ne manquez pas cette excellente occasion pour vous informer et discuter des enjeux qui touchent les entreprises agricoles tout en développant votre réseau.

L’agroalimentaire en mode« Séduction »

Zénab HAMAT, conseillère en développement du bioalimentaire, relève et formation agricole

Du 6 au 8 novembre 2015 aura lieu le tout premier séjour exploratoire agroalimentaire, dans les MRC d’Avignon et de Bonaventure. Provenant de diverses régions, des diplômés de 18 à 35 ans intéressés à démarrer leur entreprise, à s’établir dans une entreprise existante ou à travailler dans le domaine de l’agroalimentaire sont invités à y prendre part. Ces jeunes auront l’opportunité de visiter des entreprises, de rencontrer des producteurs, de la relève, des employeurs et des intervenants. Ils pourront ainsi se faire une idée réaliste du potentiel, des défis et des opportunités de ce secteur.

Les entrepreneurs agricoles intéressés à partager leur passion, cherchant de la relève ou des travailleurs qualifiés peuvent communiquer avec Zénab Hamat au 418 388-2282 poste 1959.

Ce séjour exploratoire est une initiative de Place aux jeunes Baie-des-Chaleurs/Les Plateaux en collaboration avec le MAPAQ, l’UPA, la Table de concertation bioalimentaire de la Gaspésie et le Centre d’emploi agricole.

Cliquez sur le visuel de Place aux jeunes ci-dessus pour en savoir plus.

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Vous avez un projet? Pensez PDSA!

Carmen ST-DENIS, adjointe au directeur

Le Programme de développement du secteur agroalimentaire (PDSA) peut vous aider financièrement à réaliser votre projet. Ce programme soutient la réalisation de projets tels que : initiatives collectives, activités de transformation, établissement de la relève agricole, transport de la chaux, travaux de drainage et d’égouttement, etc.

Pour vérifier l’admissibilité de votre projet au PDSA, vous pouvez communiquer avec votre conseillère ou conseiller au MAPAQ. Le programme et les formulaires d’inscription et de demande d’aide financière peuvent être téléchargés sur notre site Internet à l’adresse suivante : http://bit.ly/1kyTr3G ou communiquez avec nous pour en obtenir une copie.

La prochaine date d’échéance pour le dépôt d’un projet est le 1er décembre 2015.

Zoom sur l’agroalimentaire est réalisé et mis en page trimestriellement par Manon Cyr, techni-cienne en information, à la Direction régionale de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation34, boulevard Perron Ouest, case postale 524, Caplan (Québec) G0C 1H0Téléphone : 418 388-2282 | 1 877 221-7038 - Télécopieur : 418 388-2834Courriel : [email protected] Internet : www.mapaq.gouv.qc.ca/gaspesieilesdelamadeleine

Le MAPAQ et les médias sociaux

Manon CYR, technicienne en information

Le Ministère est présent sur certains médias sociaux. Visitez, suivez, regardez! Vous y découvrirez une foule d’information.

• Twitter : https://twitter.com/mapaquebec

• YouTube : https://www.youtube.com/user/mapaquebec

Vous cherchez un évènement?Consultez le calendrier des événements sur notre siteInternet : www.mapaq.gouv.qc.ca.

Pour savourer notre région, cliquez sur ce bouton :

Enregistrement des exploitations agricoles :à chacun sa date de renouvellement

Saviez-vous que le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation a repensé la procédure du renouvellement de l’enregistrement des exploitations agricoles afin de vous faire épargner temps et déplacement? En effet, vous n’avez plus à entreprendre les démarches!

Entre 2015 et 2018, lorsqu’il sera temps de renouveler l’enregistrement de votre exploitation, le Ministère communiquera avec vous. Il vous fera parvenir alors un formulaire prérempli contenant l’information que vous lui avez fournie antérieurement. Il vous suffira de le mettre à jour et le retourner par la poste, par télécopieur ou par courriel. Nul besoin de vous rendre à l’un des centres de services du Ministère : tout se fera à partir de votre domicile. Par la suite, l’opération « Renouvellement » se répétera aux trois ans.

Vous avez des questions concernant cette nouvelle procédure ou vous désirez mettre votre dossier à jour? Vous pouvez communiquer avec un agent de l’enregistrement au numéro sans frais 1 844 544-3332 ou visiter le site Web du Ministère à l’adresse www.mapaq.gouv.qc.ca/enregistrement.

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À l’agenda

30 septembre et 1er octobre

Gestion des pâturages, après-midi d’information et d’échanges. Gratuit. Le 30 à Saint-Alexis-de-Matapédia et le 1er à Saint-Alphonse-de-Caplan. Inscription : Jovette Arsenault au 418 388-2282 ou 1 877 221-7038 p. 1950

9 octobre Congrès Boeuf 2015. Place 4213, Victoriaville. Information : CRAAQ 1 888 535-2537

16 octobre Fin de l’appel de projets au Programme Proximité. Information : Johanne Guité au 418 388-2282 poste 1954

29 octobre Symposium sur les bovins laitiers 2015. Centrexpo, Drummondville. Information : CRAAQ 1 888 535-2537. Offert en webdiffusion.

18 novembreColloque en gestion agricole Tournés vers l’avenir! Hostellerie Baie Bleue, Carleton-sur-Mer. Offert en webdiffusion à Cap-aux-Meules, Grande-Rivière et Sainte-Anne-des-Monts

20 novembre Colloque sur la pomme de terre 2015. Centre de congrès et d’expositions de Lévis, Lévis. Information : CRAAQ 1 888 535-2537

4 décembre Journée provinciale en serriculture maraîchère et ornementale. Centre communautaire Saint-Rémi. Information : CRAAQ 1 888 535-2537

9 décembreColloque sur les plantes fourragères 2015. Best Western Plus Hôtel Universel, Drummondville. Information : CRAAQ 1 888 535-257. Offert en webdiffusion.

Savourezvotre région!mapaq.gouv.qc.ca/savourez

Saviez-vous que...

21 entreprises agricoles font des productions certifiées biologiques dans notre région, dont certaines sont parmi les plus importantes au Québec en acériculture, apiculture et serriculture. Bien qu’elles représentent 8 % de nos entreprises agricoles, elles génèrent ensemble 21 % du revenu brut agricole régional pour atteindre près de 5,7 M$ (données de 2010).