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A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES 24 avril 2017 : 102e anniversaire du génocide arménien de 1915 perpétré par le gouvernement Jeune-Turc 102 ans de déni : ça suffit ! --------------------------------------------------------------- ---- VEILLE MEDIA Mercredi 24 mai 2017 Retrouvez les informations sur notre site : http://www.collectifvan.org Rubrique Info Collectif VAN : http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1 et Rubrique News (Revue de Presse) : http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=4&page=1 SOMMAIRE Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] vous propose une revue de presse des informations parues dans la presse francophone sur les thèmes concernant le négationnisme, le racisme, l'antisémitisme, le génocide arménien, la Shoah, le génocide des Tutsi, les crimes perpétrés au Darfour, la Turquie, l'Union européenne, l'occupation de Chypre, etc... Nous vous suggérons également de prendre le temps de lire ou relire les articles mis en ligne dans la rubrique Info Collectif VAN et les traductions regroupées dans notre rubrique Actions VAN . Par ailleurs, certains articles en anglais, allemand, turc, etc, ne sont disponibles que dans la newsletter Word que nous générons chaque jour. Pour la recevoir, abonnez-

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A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES24 avril 2017 : 102e anniversaire du génocide arménien de 1915

perpétré par le gouvernement Jeune-Turc102 ans de déni : ça suffit !

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VEILLE MEDIAMercredi 24 mai 2017

Retrouvez les informations sur notre site :http://www.collectifvan.orgRubrique Info Collectif VAN :

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SOMMAIREInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] vous propose une revue de presse des informations parues dans la presse francophone sur les thèmes concernant le négationnisme, le racisme, l'antisémitisme, le génocide arménien, la Shoah, le génocide des Tutsi, les crimes perpétrés au Darfour, la Turquie, l'Union européenne, l'occupation de Chypre, etc... Nous vous suggérons également de prendre le temps de lire ou relire les articles mis en ligne dans la rubrique Info Collectif VAN et les traductions regroupées dans notre rubrique Actions VAN. Par ailleurs, certains articles en anglais, allemand, turc, etc, ne sont disponibles que dans la newsletter Word que nous générons chaque jour. Pour la recevoir, abonnez-vous à la Veille-Média : c'est gratuit ! Vous recevrez le document du lundi au vendredi dans votre boîte email. Bonne lecture!

24/05/2017 - Harut Sassounian - The California Courier Washington : Erdogan et ses sbires ont montré la face brutale de la Turquie

23/05/2017 - Reporters sans frontières (RSF) Journalistes turcs emprisonnés : RSF lance une opération de soutien

23/05/2017 - Reporters sans frontières (RSF) Turquie : Mathias Depardon en grève de la faim depuis trois jours

24/05/2017 - Collectif VAN Collectif VAN : l'éphéméride du 24 mai

24/05/2017 - Ibuka France Agenda - Paris/Colloque : Vie et souffrance des rescapés

24/05/2017 - Le Monde RSF et l’artiste urbain C215 s’associent pour soutenir les journalistes turcs emprisonnés

24/05/2017 - Marie Jégo - Le Monde Détenu en Turquie, le photographe français Mathias Depardon en grève de la faim

23/05/2017 - Armenian Weekly Honoring Balaban Hoja: A Hero for Armenian Orphans

23/05/2017 - Ouest-France Grève de la faim d’un journaliste français détenu en Turquie

23/05/2017 - Libération Quand Donald Trump laisse un message au mémorial de la Shoah à Jérusalem

23/05/2017 - BIA News Desk Support from PEN, Rebecca O’Brien, Ken Loach to Gülmen, Özakça on Hunger Strike

23/05/2017 - Armenian Weekly Rep. Ted Poe Condemns D.C. Attack, Erdogan, on U.S. House Floor

23/05/2017 - L'Orient le Jour Allemagne: des députés annulent une visite en Turquie

23/05/2017 - L'Express Turquie: un photojournaliste français entame une grève de la faim (RSF)

24/05/2017 - L'Express "Tellement incroyable": le mot gênant de Trump au mémorial de la Shoah

23/05/2017 - La Libre Belgique Réunion de l'OTAN: le rassemblement devant l'hôtel d'Erdogan annulé, Clerfayt demande aux habitants de Schaerbeek de rester chez eux

23/05/2017 - 7sur7 Les Schaerbeekois priés de rester chez eux lors de la venue d'Erdogan

24/05/2017 - Craig Shaw, Zeynep Sentek - Mediapart L'incroyable fortune offshore du premier ministre turc: 140 millions d'euros

INFOS COLLECTIF VAN

Washington : Erdogan et ses sbires ont montré la face brutale de la TurquieInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - « Les Arméniens comme les non-Arméniens ont été affligés et indignés en voyant les vidéos des agressions des 11 manifestants qui ont été blessés après avoir été battus, frappés à coups de pieds et étranglés par les gardes du corps du président Erdogan, devant l’ambassade de Turquie à Washington D.C., le 16 mai. Malheureusement, plusieurs milliers de Turcs ont envoyé sans vergogne des tweets exprimant leur joie de voir des Arméniens, des Assyriens, des Kurdes, des Grecs et des yézidis se faire violenter par des voyous turcs ! Cette bagarre féroce a plus nui à l’image de la Turquie aux États-Unis et dans le monde que toute autre brutalité commise récemment par les soldats, la police ou les agents de sécurité turcs en Turquie. » Le Collectif VAN vous propose la traduction de l’éditorial du journaliste arméno-américain Harut Sassounian, paru dans The California Courier le 25 mai 2017.

Les gardes d’Erdogan frappant les manifestants renforcent l’image du ‘Turc cruel’ De Harut Sassounian The California Courier www.TheCaliforniaCourier.com Éditorial du 25 mai 2017

Les Arméniens comme les non-Arméniens ont été affligés et indignés en voyant les vidéos des agressions des 11 manifestants qui ont été blessés

après avoir été battus, frappés à coups de pieds et étranglés par les gardes du corps du président Erdogan, devant l’ambassade de Turquie à Washington D.C., le 16 mai. Malheureusement, plusieurs milliers de Turcs ont envoyé sans vergogne des tweets exprimant leur joie de voir des Arméniens, des Assyriens, des Kurdes, des Grecs et des yézidis se faire violenter par des voyous turcs !

Cette bagarre féroce a plus nui à l’image de la Turquie aux États-Unis et dans le monde que toute autre brutalité commise récemment par les soldats, la police ou les agents de sécurité turcs en Turquie. Les négationnistes turcs se plaignent constamment que « la propagande » arménienne sur le génocide arménien ternisse la réputation des Turcs dans le monde, tout en ignorant le fait que ce sont les Turcs qui ont terni leur propre image en commettant un crime de masse atroce.

En fait, la sale attaque des sbires turcs le 16 mai contre des manifestants pacifiques a bien plus contribué à renforcer l’image du ‘Turc cruel’ que tout ce que les Arméniens ou les autres auraient pu faire. Le gouvernement turc dépense des millions de dollars chaque année pour payer des entreprises de relations publiques chargées de présenter la Turquie sous le meilleur jour possible. Cependant, ce dernier incident, condamné par de nombreux membres du Congrès et largement couvert par les médias, a entaché la réputation de la Turquie et de son président dictatorial, à un point tel que même 100 millions de dollars investis dans les relations publiques ne pourraient rattraper le dommage infligé à leur image.

Voici quelques commentaires importants des membres du Congrès :

Le sénateur John McCain (Rep.-AZ), président de la Commission des forces armées du Sénat a déclaré à ABC Nightly News et à MSNBC : « Nous devrions expulser l’ambassadeur [de Turquie] des États-Unis d’Amérique ! »

De plus, les sénateurs McCain et Dianne Feinstein (Dem.-CA), démocrates de haut rang à la Commission du Sénat sur le renseignement, ont envoyé une lettre au président Erdogan lui demandant de s’excuser.

Quatre sénateurs républicains, Marco Rubio (FL), Tom Cotton (AR), Mike Lee (UT) et Ted Cruz (TX), ont publié une déclaration conjointe exigeant des excuses immédiates du gouvernement turc.

Des déclarations condamnant ces agressions ont également été faites par : le leader démocrate du Sénat, Chuck Schumer (Dem.-NY), les sénateurs Sheldon Whitehouse (Dem.-RI), Jack Reed (Dem.-RI), Ben Cardin (Dem.-MD), Patrick Leahy (Dem.-VT) et Ben Sasse (Rep.-NEB).

Le président du Comité des relations étrangères, Ed Royce, a envoyé une lettre au Secrétaire d’État, Rex Tillerson, et au procureur général, Jeff

Sessions, déclarant : « Des agents de gouvernements étrangers ne devraient jamais bénéficier d’une immunité de poursuites en cas de comportement criminel. »

Plusieurs autres membres de la Chambre ont également fait des déclarations condamnant l’agression turque : Don Breyer (Dem.-VA), Devin Nunes (Rep.-CA), Adam Schiff (Dem.-CA), Steny Hoyer (Dem.-MD), Frank Pallone (Dem.-NJ), Dave Trott (Rep.-MI), David Valadao (Rep.-CA), Brad Sherman (Dem.-CA), James McGovern (Dem.-MA), Jim Costa (Dem.-CA), Zoe Lofgren (Dem.-CA), Ron DeSantis (Rep.-FL), Tulsi Gabbard (Dem.-HI), Ted Deutch (Dem.-FL), et la déléguée du district de Columbia, Eleanor Holmes Norton.

L’ex-ambassadrice américaine aux Nations Unies, Samantha Power, a tweeté : « Il est clair que les gardes du corps d’Erdogan ressentent une impunité totale, en utilisant les outils de répression qu’ils utilisent dans leur pays, et en sachant qu’il les soutient, quoi qu’il se passe. »

De plus, tant le maire que le chef de la police de Washington, D.C., ont condamné l’agression brutale dans la capitale nationale, peu après que le président Erdogan a rencontré le président Trump à la Maison Blanche.

Le Secrétaire d’État, Rex Tillerson, a déclaré sur FOX news que l’agression turque est « tout simplement inacceptable » et fait l’objet d’une enquête. L’ambassadeur de Turquie à Washington, Serdar Kilic, a été convoqué au Département d’État par Thomas Shannon, le sous-secrétaire d’État. Le Département d’État a publié une déclaration condamnant le gouvernement turc « dans les termes les plus forts qui soient ». The Wall Street Journal a rapporté que le Département d’État « explorait des pistes pour empêcher les membres de la sécurité d’Erdogan de revenir aux États-Unis. » C’est le moins que le gouvernement américain doive faire ! Fait surprenant, l’ambassadeur Kilic a été cité disant à un officier de police qui essayait de faire cesser la bagarre « Vous ne pouvez pas nous toucher », se référant à la possible immunité diplomatique accordée à certains gardes du corps turcs. Le plus incroyable, c’est que le ministère turc des Affaires étrangères a convoqué l’ambassadeur américain à Ankara pour se plaindre du comportement de la police de Washington.

L’aspect le plus sérieux de cette agression est le fait que, selon le Washington Post, le président Erdogan a été filmé par le service des informations sur la Turquie de Voice of America, en train de donner des instructions à son équipe de sécurité pour attaquer les manifestants. Malheureusement, ce n’est pas la première fois que les gardes du corps d’Erdogan sont impliqués dans des cas de coups ou de menaces sur des personnes privées lors de ses déplacements.

En 2009, les membres de l’équipe de sécurité d’Erdogan, alors Premier ministre, ont été impliqués dans une bagarre avec les agents des services secrets du président Obama.

En 2011, les gardes du corps d’Erdogan ont cassé les côtes d’un garde de sécurité des Nations Unies, au cours d’une agression au quartier général de l’ONU à New York.

En 2014, à New York, la sécurité turque a menacé et bousculé des journalistes qui travaillaient pour un journal hostile à Erdogan.

En 2015, lors d’une visite à Bruxelles, un garde du corps d’Erdogan a attaqué un garde du corps du gouvernement belge.

En février 2016, les gardes du corps du président Erdogan ont agressé trois femmes qui protestaient, alors qu’il faisait une allocution à l’Institut national des Hautes études de Quito, en Equateur. Les membres de l’équipe de sécurité turque ont également cassé le nez d’un membre du Parlement équatorien qui avait tenté d’intervenir. Erdogan a justifié cette agression avec arrogance : « Des mesures appropriées seront toujours prises pour gérer ces gens irrespectueux. » Rosana Alvarado, la vice-présidente du Parlement de l’Équateur, a répondu « Nous ne voulons pas revoir Erdogan dans notre pays ! »

En mars 2016, la sécurité d’Erdogan a attaqué des journalistes et des manifestants devant la Brookings Institution à Washington, D.C., où le dirigeant turc était invité pour faire un discours.

Après avoir énuméré certaines des attaques ci-dessus mentionnées, le journaliste de National Review Online, Tom Rogan, a conclu : « Alors qu’Erdogan centralise le pouvoir et attaque ses opposants, le TPPD [Département turc de la protection présidentielle] est passé du maintien de l’ordre public à la violence organisée. »

Il faudra du temps avant que la Turquie ne se remette de cette vague de publicité négative dans des centaines de journaux américains, de chaînes de télé, de sites, y compris un éditorial dévastateur dans le Washington Post. Anders Corr qui écrit dans le magazine Forbes a proposé que « la prochaine fois que la Turquie arrive en ville, il faut mobiliser la police anti-émeute pour encercler la sécurité brutale d’Erdogan si elle ne se maîtrise pas. » Dans un éditorial, The New York Times a décrit avec justesse l’agression du 16 mai : « L’image qui restera de la visite de M. Erdogan ne sera pas celle du faste à la Maison Blanche, mais celle des gardes du corps et d’autres partisans frappant des manifestants devant la résidence de l’ambassadeur de Turquie.

L’équipe de sécurité d’Erdogan a exposé son comportement criminel typique devant le monde entier. Ils se conduisent aux États-Unis comme ils le font ordinairement en Turquie !

Deux journalistes turcs, qui écrivent pour le site indépendant Al-Monitor, ont décrit correctement les horribles incidents récents concernant les gardes du corps d’Erdogan : « La visite à Washington s’achève sur des scènes qui ridiculisent l’image de la Turquie », a écrit Fehim Tastekin.

Pinar Tremblay a ajouté : « Les membres de la sécurité d’Erdogan sont connus pour leurs agressions de manifestants dans le monde entier, présentant ainsi la face brutale de la Turquie, ce qu’aucun lobby anti-turc ne pourrait faire en un jour. »

©Traduction de l’anglais C.Gardon pour le Collectif VAN – 25 mai 2017 – www.collectifvan.org

http://www.thecaliforniacourier.com/erdogans-guards-beating-protesters-reinforces-terrible-turk-image/

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=96459

Journalistes turcs emprisonnés : RSF lance une opération de soutienInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN relaye sur son site cette campagne de soutien aux journalistes turcs emprisonnés de Reporters sans frontières (RSF) lancée avec l’artiste C215.

Reporters sans frontières (RSF)

Campagne

23 mai 2017

Journalistes turcs emprisonnés : RSF lance une opération de soutien en collaboration avec l’artiste C215 à Paris

Les 27 et 28 mai, Reporters sans frontières (RSF) lance avec C215 une opération de soutien aux journalistes turcs emprisonnés. Tout au long du week-end, le célèbre artiste de rue réalisera les portraits en pochoirs de dix d’entre eux sur du mobilier urbain dans plusieurs arrondissements de Paris.

« La Turquie est aujourd’hui la plus grande prison du monde pour les journalistes. Plus de 100 reporters sont en détention provisoire dans des conditions extrêmement sévères, dans le cadre de procédures absurdes, explique Christophe Deloire, secrétaire général de RSF. Grâce au talent de Christian Guémy, alias C215, nous afficherons dans l’espace public parisien les visages de celles et ceux qu’Erdogan veut faire taire. Une façon de montrer qu’on ne les oublie pas et de mobiliser les citoyens et les décideurs en leur faveur. C’est une opération exceptionnelle, née d’une rencontre entre le combat de RSF et la sensibilité d’un artiste, dont la

technique du pochoir permet de diffuser largement un message fort ».

#SaveTurkishJournalists

Plus de 500 pochoirs #SaveTurkishJournalists seront distribués dans la capitale, permettant à chacun de manifester sa solidarité et son soutien aux journalistes emprisonnés en Turquie.

La liberté de la presse à l’agonie en Turquie

Plus de 140 médias fermés, plus de 700 cartes de presse annulées et plus de 100 journalistes emprisonnés. Depuis l’instauration de l’état d’urgence en juillet 2016, une spirale de répression sans précédent frappe les journalistes et médias turcs. Le 15 mai dernier Oğuz Güven était incarcéré à Istanbul. Il est le 12e collaborateur du quotidien d’opposition Cumhuriyet à subir ce sort. Le 8 juin reprendra le procès d’Erol Önderoğlu, le représentant de RSF en Turquie. Il risque 14 ans d’emprisonnement pour « propagande terroriste ».

D’autres grands procès de journalistes à venir :

19 juin : ouverture du procès d’Ahmet Altan et son frère, également journaliste 6 juillet : poursuite du procès de Murat Aksoy et 28 autres journalistes 24 juillet : ouverture du procès de Musa Kart, Kadri Gürsel et Ahmet Sik et leurs collègues de Cumhuriyet, 18 septembre : ouverture du procès de Sahin Alpay et 29 autres journalistes

La Turquie est 155e sur 180 au Classement mondial de la liberté de la presse 2017 publié par RSF.

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A propos de C215

Christian Guémy est un célèbre artiste parisien, devenu une référence en matière de pochoir sous le pseudonyme de C215. Il commence à peindre en 2006, principalement des portraits. Artiste engagé, il est connu pour le caractère social de ses œuvres et pour ses prises de position sur l’actualité. Sa dernière exposition, « La mauvaise réputation », se tient jusqu’au 1er juillet à la Galerie Openspace, à Paris.

Portraits de 10 journalistes emblématiques

Découvrez ICI les premiers prototypes de portraits de C215, ainsi que les photos à partir desquelles il est parti pour réaliser les 10 portraits qui seront peints les 27 et 28 mai 2017 dans Paris.

https://rsf.org/fr/campagnes/journalistes-turcs-emprisonnes-rsf-lance-une-operation-de-soutien-en-collaboration-avec-lartiste

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=96452

Turquie : Mathias Depardon en grève de la faim depuis trois joursInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN publie ci-dessous le Communiqué de Reporters sans frontières en date du 23 mai 2017.

Reporters sans frontières (RSF)

23 mai 2017

RSF “extrêmement inquiète” pour Mathias Depardon, en grève de la faim depuis trois jours

Reporters sans frontières (RSF) est extrêmement inquiète pour le photographe français Mathias Depardon, qui a entamé une grève de la faim après deux semaines de détention en Turquie. L’organisation appelle de nouveau à sa libération immédiate.

Basé en Turquie depuis cinq ans, Mathias Depardon a été arrêté le 8 mai au cours d’un reportage dans le sud-est du pays pour le magazine National Geographic. Malgré un ordre d’expulsion prononcé le 11 mai, il est toujours confiné dans un centre de rétention à Gaziantep, non loin de la frontière syrienne. RSF a appris de son avocate, Emine Şeker, que le journaliste était en grève de la faim depuis le 21 mai.

“L’inacceptable calvaire de Mathias Depardon n’a que trop duré ! Les autorités turques sont responsables de sa sécurité, elles doivent mettre un terme immédiatement à cette situation kafkaïenne, déclare Johann Bihr, responsable du bureau Europe de l’est et Asie centrale de RSF. Nous appelons le nouveau gouvernement français à intervenir fermement pour protéger le photographe et assurer sa remise en liberté.”

RSF, deux autres organisations de défense de la liberté de la presse et 19 rédactions ont envoyé le 19 mai une lettre ouverte au ministre turc de l'Intérieur, Süleyman Soylu, appelant à la libération immédiate de Mathias Depardon.

La Turquie occupe la 155e place sur 180 au Classement mondial 2017 de la liberté de la presse, établi par RSF.

https://rsf.org/fr/actualites/rsf-extremement-inquiete-pour-mathias-depardon-en-greve-de-la-faim-depuis-trois-jours

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=96456

Collectif VAN : l’éphéméride du 24 mai

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - La rubrique Ephéméride est à retrouver quotidiennement sur le site du Collectif VAN. Elle recense la liste d’événements survenus à une date donnée, à différentes époques de l’Histoire, sur les thématiques que l’association suit au quotidien. L’éphéméride du Collectif VAN repose sur des informations en ligne sur de nombreux sites (les sources sont spécifiées sous chaque entrée). Vous pouvez retrouver tous les éphémérides du Collectif VAN dans la Rubrique Actions VAN, en cliquant ici

Les éphémérides du Collectif VAN (1ère partie) http://www.collectifvan.org/article.php?r=3&id=51673

Les éphémérides du Collectif VAN (2ème partie) http://www.collectifvan.org/article.php?r=3&id=55304

Ça s’est passé un 24 mai (les événements sont classés du plus ancien au plus récent) :

24 mai 1241 -- A Francfort-sur-le-Main (Allemagne) une querelle éclate entre juifs et chrétiens à la suite de la conversion d'un enfant juif, désapprouvée par ses parents. L'affaire s'envenime au point que 180 juifs sont tués. Israël Vivra.com

24 mai 1420 -- Arrestations massives de juifs en Autriche, dont 800 sont expulsés. 1 000 juifs sont emprisonnés, car ils sont soupçonnés d'avoir profané une hostie à Enns (Haute-Autriche). Ils sont menacés de mort s'ils n'acceptent pas le baptême. Israël Vivra.com

24 mai 1853 -- Napoléon III offre au Royaume-Uni de conclure une entente destinée à soutenir l’Empire ottoman contre la Russie. Wikipedia

24 mai 1909 -- Empire ottoman/Cilicie : c’est à la suite de protestations diplomatiques et d’une vive réaction des milieux arméniens de Constantinople que le grand-vizir Husseïn Hilmi annonça finalement

devant le Parlement, le 24 mai 1909, la formation d’une Cour martiale de cinq membres, issus des rangs jeunes-turcs, présidée par Youssouf Kénan pacha sur la crise cilicienne. Sans jamais évoquer les points sensibles, il dresse un catalogue des mesures prises, comme la déclaration de l’état d’urgence dans la province et la mise en place de cours martiales à Adana, mais aussi à Marach et Aïntab. Il annonce aussi que l’acheminement sur place de dix brigades de soldats a permis de ramener le calme et que « les biens volés durant les événements sont progressivement récupérés et remis à leurs propriétaires » — il s’agit plus de vœux pieux que d’une réalité. Il rappelle enfin que pour évaluer le nombre des victimes et prendre la mesure de la responsabilité qui incombe notamment aux autorités locales, il a constitué une commission d’enquête composée de deux députés et deux hauts magistrats, dont les conclusions serviront à la mise en jugement immédiate des coupables. © Revue d'Histoire Arménienne Contemporaine pour toutes les éditions |© Yves Ternon pour le texte Mardin 1915 Imprescriptible.fr : La gestion politique des massacres de Cilicie par le pouvoir ottoman

24 mai 1915 -- Empire ottoman : les gouvernements alliés dénoncent « les crimes de la Turquie contre l'humanité » dans une note à l'Agence Havas envoyée le 24 mai 1915. « …. En présence de ces nouveaux crimes de la Turquie contre l'humanité et la civilisation, les gouvernements alliés font savoir publiquement à la Sublime Porte qu'ils tiendront personnellement responsables desdits crimes tous les membres du gouvernement ottoman ainsi que ceux de ses agents qui se trouveraient impliqués dans de pareils massacres. » Archives du ministère des Affaires étrangères, Guerre 1914-1918, Turquie, tome 887, folio 127. **** Empire ottoman/Constantinople : le Ministère des Affaires Etrangères demande que la note suivante soit remise au Gouvernement turc. Citation, 24 mai. « Depuis environ un mois, la population kurde et turque d'Arménie massacre les Arméniens, de connivence et souvent avec l'aide des autorités ottomanes. De tels massacres ont eu lieu à la mi-avril (?) à Erzeroum, Dertchun, Eguine, Akn, Bitlis, Mouch, Sassoun, Zeitoun, et à travers la Cilicie. Les habitants d'environ une centaine de villages près de Van ont tous été assassinés. Dans cette ville, le quartier arménien est assiégé par des Kurdes. Au même moment à Constantinople, le Gouvernement maltraite la population arménienne inoffensive. » (Signé) [William Jennings] Bryan **** Le communiqué du 24 mai déclenche néanmoins une nouvelle bataille de l'information où vont se heurter, comme tant de fois déjà, chiffres, témoignages, accusations, documents, justifications, tous contradictoires — mais il s'agit d'emporter la conviction publique et, dans cette grande guerre, les facteurs psychologiques ont une importance considérable. La bataille prend d'ailleurs une ampleur tout autre justement parce qu'il s'agit d'un des enjeux du conflit mondial ; et, venant après les atrocités de Belgique, le massacre des Arméniens met le camp de la Triplice en fâcheuse posture devant l'opinion internationale. Et puis, il apparaît clairement à tous les observateurs qu'il ne s'agit pas cette fois d'un simple massacre, odieux mais limité, mais bien de l'extermination

complète d'un peuple : et cela, l'Europe le découvrira avec stupéfaction. Les commentateurs devront d'ailleurs se référer aux souvenirs presque mythiques de Tamerlan ou des Assyriens pour établir l'échelle de l'événement. Imprescriptible.fr : La solitude des victimes Imprescriptible.fr : Rapport des alliés conseillant au Gouvernement ottoman d'arrêter les massacres d'Arméniens Imprescriptible.fr : Note du Département à l'Agence Havas

24 mai 1915 -- Empire ottoman : sur Marach, on écrit ; « Le jeudi 24 mai, on notifia aux Arméniens de se tenir prêts à partir le dimanche 25 mai au soir. Les Arméniens n'osèrent plus quitter leurs maisons. Plus de 2.000 Arméniens ont été déportés. Parmi eux se trouvait le directeur du Collège américain. A Aïntab, trente maisons furent fouillées sans succès vers la fin de mai. 28 notables furent emprisonnés, puis de nouveau laissés libres, à l'exception d'un membre de la Daschnaktzoutioun. Mais ceci n'était que le prélude. » Imprescriptible.fr : D'ALEP. Rapport Lepsius sur les massacres d'Arménie

24 mai 1915 -- Empire ottoman : pour évoquer les événements de 1915 à Van, le Livre Bleu du gouvernement britannique intitulé Le traitement des Arméniens dans l’Empire ottoman (1915-1916) du Vicomte Bryce (traduction française imprimée à Laval par G. Kavanagh & Cie en 1916) utilisera une lettre de Miss Knapp écrite sur place le 24 mai 1915 au Docteur Barton. Van est « une ville avec des jardins et des vignobles », forte de 30 000 Arméniens pour 20 000 Turcs, les premiers pillés sans répit par les seconds. Miss Knapp rappelle que les Arméniens enduraient en silence pour éviter de donner une excuse aux représailles. Petite encyclopédie du génocide arménien

24 mai 1915 -- Empire ottoman : durant l'occupation turque d'Ourmiah du 2 janvier au 24 mai 1915, la mission lazariste apporta un soutien incomparable matériel et moral à ces malheureux désœuvrés. Un grand nombre d'Assyro-Chaldéens, catholiques comme nestoriens, indistinctement, se réfugièrent dans les centres des missions encerclées par les troupes turques et des irréguliers kurdes. Imprescriptible.fr - Un Français Alsacien martyr pour les Assyro-Chaldéens : Monseigneur Sontag

24 au 28 mai 1915 -- Empire ottoman : 17 060 Arméniens des zones rurales du kaza de Bayburt (vilayet d’Erzerum), vivant dans trente localités, sont attaqués par les escadrons locaux de l’O.S. commandés par le lieutenant Piri Necati bey, sous la supervision directe du Dr Bahaeddin Sakir, et expédiés en trois convois partis à deux heures d’intervalle. Ils sont exécutés au nord de Bayburt, sur le site de Deyirmendere, à Yanbasdi et dans les gorges de Hus. Les enfants âgés d’un à cinq ans ont été extraits des convois par le sous-préfet Nusret et dispersés dans des familles turques. Des jeunes filles ont été enlevées par des officiers et des notables. *** (Kévorkian, 2006 :367-369).

Mass Violence - par Raymond Kévorkian

24 mai 1916 -- USA/Empire ottoman : le New York Times a rapporté que 80.000 Arméniens sont morts de faim près de Damas. ANI: Chronology of the Armenian Genocide -- 1916 (January-June)

24 mai 1918 -- L’Arménie occidentale était anéantie, mais les Turcs ne s’arrêtèrent pas là. Profitant de la retraite de l’armée russe consécutive à la révolution de 1917, la Turquie lança une offensive sur l’Arménie orientale (russe). Elle fut arrêtée au dernier moment par une fantastique mobilisation populaire le 24 mai 1918 à quelques dizaines de kilomètres à l’ouest d’Erevan, à Sardarabad, et au nord, à Karakilisa, à 30 km à l’est d’Alexandropol. Le 28 mai, l’Arménie (ce qu’il en restait) proclamait son indépendance et devenait, après des siècles de dominations diverses, la première République d’Arménie. *** (Hovannisian, 1967 :191-194). Imprescriptible.fr : La Question arménienne Mass Violence - par Raymond Kévorkian

24 mai 1919 -- Empire ottoman : procès des déportations et massacres dans le faubourg de Constantinople de Büyük Dere - Jugement rendu le 24 mai 1919. Les persécutions avaient touché les Arméniens et les Grecs. Condamnés en raison de la déportation de Büyük Dere: 1. Abdul Kerim bey, Chef de la Police de Büyük Dere, condamné à 1 an de prison et privé de fonction pour 1 an 2. Refik Hifzi bey, de Salonique, 2 ans de prison avec sursis 3. Rizali Celal efendi, muhtar (maire) de Büyük Dere, acquitté 4. Hafiz Mahmoud efendi, acquitté Imprescriptible.fr : Procès des Unionistes1918-1920 Un Nuremberg inachevé : le procès des Jeunes-Turcs

24 mai 1920 -- États-Unis d’Amérique : le Président Wilson introduisit au Sénat un Message dans lequel il demanda à être autorisé à accepter le mandat arménien que le Conseil suprême offrait à l’Amérique. Dans ce Message, il indiquait que l’offre avait été faite en conformité de l’article 22 du Pacte de la Société des Nations et en recommandait l’acceptation en invoquant la sympathie pour l’Arménie qui avait surgi, non pas d’une petite partie du peuple américain, « mais, avec une spontanéité et une sincérité extraordinaires, de la totalité du grand corps d’hommes et de femmes chrétiens du pays, dont les contributions volontaires avaient pratiquement sauvé l’Arménie au tournant le plus critique de son existence ». Dans son cœur, y disait-il, le grand et généreux peuple américain a fait sienne la cause de l’Arménie ; et c’est au peuple américain et à son gouvernement que va l’attente du peuple arménien en lutte, maintenant qu’il sort d’une période de souffrances et de dangers indescriptibles. Mandelstam, André. La Société des Nations et les Puissances devant le problème arménien, Paris, Pédone, 1926 ; rééd. Imprimerie Hamaskaïne, 1970. **** Le sénat américain refuse le mandat sur l’Arménie (24 mai 1920). © Revue d'Histoire Arménienne Contemporaine pour toutes les éditions |©

Yves Ternon pour le texte Mardin 1915 Imprescriptible.fr : Mardin dans le génocide arménien Imprescriptible.fr : Attitude des États-Unis d’Amérique depuis l'armistice et jusqu’au traité de Sèvres

24 mai 1930 -- Syrie : un article publié dans Yaprad, journal arménien d’Alep, le 24 mai 1930, note l’émergence de l’image de « l’hôte arménien grand travailleur et apolitique » dans la mémoire collective syrienne. On y lit : « L’Arménien est accueilli avec hospitalité dans ce pays et ce fait est attesté par la puissance mandataire et le noble peuple arabe. Il est tout à fait évident que ce peuple bienvenu n’a aucunement pour ambition de s’engager en politique. Le soi-disant projet d’installation d’un foyer national arménien en Syrie est donc dénué de tout fondement et purement imaginaire. » Armenian Trends - Mes Arménies

24 mai 1943 -- Arrivée à Auschwitz du Dr Josef Mengele. Il conduira des expériences dépassant toute l’horreur imaginable, injectant personnellement à ses patients du phénol, du gaz, du chloroforme ou de l’air. Il sélectionnait les personnes aptes au travail, envoyant d’un geste dédaigneux de la main les vieux, les enfants, les femmes enceintes, les blessés, les malades, vers les chambres à gaz. ajpn

24 mai 1943 -- Le Tribunal des SS et de la Police de Munich rendait son jugement, secret, contre le SS-Untersturmführer Max Täubner. Celui-ci s’était permis d’exécuter des Juifs sans permission. Le verdict stipule bien que le fait d’assassiner des Juifs n’est pas un problème. C’est le manque de discipline qui posait problème. Voici un passage de ce verdict : « L’accusé ne peut être sanctionné à cause d’opérations juives en tant que telles. Les Juifs doivent être exterminés et un Juif tué n’est jamais une perte. Même si l’accusé aurait dû savoir que l’extermination des Juifs relève de la mission de certains commandos affectés à ces tâches, le fait qu’il ait considéré qu’il était de sa compétence de participer à l’extermination de Juifs plaide en sa faveur. » Ernst Klee, Willy Dressen, Volker Riess, Pour eux « C’était le bon temps », La vie ordinaire des bourreaux nazis, Plon, 1990, p. 183. phdn

24 mai 1944 -- Liquidation du camp de Biala Podlaska (province de Lublin), où 300 artisans vivaient encore. Ces juifs sont déportés au camp de concentration de Maïdanek. Quand les trains bondés de juifs hongrois déportés s'arrêtent à la gare de Kysak (Slovaquie) en route vers les camps de concentration polonais, les Allemands qui les escortent détroussent et massacrent plusieurs juifs. Les 2 700 juifs de Papa (Hongrie) sont rassemblés dans un camp de concentration installé dans une usine. Des juifs vivent à Papa depuis le XVIIIe siècle. Israël Vivra.com

24 mai 1945 -- Autriche : le 24 mai 1945, le Standartenführer SS Ziereis, commandant du camp de concentration de Mauthausen, fut interrogé par les autorités. Dans certaines parties de sa déposition, Franz Ziereis minimise ou au contraire exagère certains aspects des crimes commis par les nazis. Ainsi, lorsque Ziereis affirme que près de 1.500.000 personnes ont été gazées au château de Hartheim: en fait, on estime le nombre de victimes gazées à Hartheim à environ 30.000. Par contre, Ziereis minimise le nombre de prisonniers tués à Mauthausen il parle de 65.000 morts alors qu'on estime le nombre de victimes au minimum à 120.000 morts, et plus probablement 150.000. Franz Ziereis parle aussi du Reichführer Himmler et d'officier supérieurs SS (en particulier Mueller, Pohl et Kaltenbrunner). Mueller était le chef de la Gestapo, Pohl inspecteur général des camps de concentration et Kaltenbrunner fut le successeur de Heydrich à la tête du RSHA (Service de Sécurité du Reich). Jewishgen.org

24 mai 1989 -- Arrestation de Paul Touvier, ancien chef de la milice à Lyon, recherché pour crimes contre l'humanité. Paul Claude Marie Touvier, né le 3 avril 1915 à Saint-Vincent-sur-Jabron (Basses-Alpes) et mort le 17 juillet 1996 à la prison de Fresnes (Val-de-Marne), est le premier Français condamné en 1994 pour des actes commis en tant que chef de la milice lyonnaise durant la Seconde Guerre mondiale. Wikipedia Yahoo !

24 mai 2009 -- Dans le quotidien turc Radikal, l’intellectuel turc Baskin Oran, l’un des quatre rédacteurs de la « pétition d’excuses individuelles » adressées aux Arméniens en décembre 2008, commente l’analyse de Laurent Leylekian, intitulée « Société civile et intellectuels turcs au service du négationnisme d’Etat ». Baskin Oran réagit avec ironie mais se garde bien d’expliquer ses propres déclarations au journal Milliyet: « Monsieur le Premier ministre devrait nous être reconnaissant pour cette campagne. Dans le monde entier, les parlements adoptaient des résolutions, de manière automatique. Maintenant, tout ceci va s'arrêter. La diaspora s'est adoucie. Les médias internationaux ont commencé à abandonner l’usage du terme de génocide. » L’intellectuel turc ne craint pas de donner raison à Laurent Leylekian : Baskin Oran se vante ici d’avoir fourni à Barack Obama l’expression « Grande Catastrophe » qui a permis au président américain - malgré des promesses électorales catégoriques - d’éviter le mot génocide dans sa déclaration du 24 avril… Négationnisme : Baskin Oran contre Laurent Leylekian

24 mai 2010 -- Allemagne : cinq acteurs et actrices et un musicien, originaires d’Arménie, de Turquie, d’Autriche, de France et d’Allemagne, jouent une pièce de théâtre documentaire, en lisant des extraits des archives du procès du jeune Arménien Soghomon Tehlirian. Arrêté à Berlin en 1921, ce dernier était accusé d’avoir abattu l’ex-ministre de l’Intérieur de l’Empire ottoman, Mehmet Talaat Pacha, l’un des acteurs clés du génocide perpétré par l’Empire ottoman pendant la Première Guerre mondiale à l’encontre de ses citoyens arméniens.

Berlin : le procès de Talaat Pacha au théâtre

24 mai 2010 -- Darfour/MINUAD: la situation sécuritaire au Darfour (Soudan) reste « tendue et imprévisible » en raison d'affrontements entre troupes gouvernementales et rebelles. La MINUAD a confirmé des affrontements entre les forces soudanaises et des éléments du Mouvement pour la justice et l'égalité (JEM), aux abords de la localité d'Um Sauna, dans le Sud Darfour. ONU

24 mai 2014 -- Tuerie du Musée juif de Belgique: un homme, après être entré dans l'édifice, abat quatre personnes à l'aide d'un revolver puis d'un fusil d'assaut. Le 30 mai, un suspect, Mehdi Nemmouche, est arrêté à Marseille en possession d'armes de guerre. Il s'agit d'un Français d'origine algérienne, condamné pour plusieurs délits et soupçonné de s'être radicalisé en prison puis d'avoir rejoint l'État islamique en Irak et au Levant, le principal groupe étranger participant à la guerre civile syrienne. La justice belge demande son extradition le 2 juin. Le 14 juin, le Musée juif se constitue partie civile. Wikipedia

Compilation réalisée par le site www.collectifvan.org

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=54425

TURQUIE

Détenu en Turquie, le photographe français Mathias Depardon en grève de la faimArrêté le 8 mai, Mathias Depardon proteste contre sa détention. Reporters sans frontières demande sa libération.

LE MONDE | 24.05.2017 à 10h57 • Mis à jour le 24.05.2017 à 15h14 | Par Marie Jégo (Istanbul, correspondante)

Détenu depuis plus de deux semaines à Gaziantep, dans le sud de la Turquie, le photographe français Mathias Depardon est entré dans son quatrième jour de grève de la faim, mercredi 24 mai. Il proteste contre sa détention arbitraire et ses conditions exécrables dans un centre de rétention de migrants clandestins, non loin de la frontière syrienne.

Longtemps confiné dans une cellule d’isolement, le journaliste n’a pas pu entrer en contact direct avec les autorités françaises. Lorsqu’il a demandé de quoi écrire, il a reçu une feuille, mais pas de stylo.

Son seul contact avec le monde extérieur passe par son avocate, Emine Seker. Selon une source diplomatique française, « Mathias n’est plus à l’isolement, mais sa situation n’est pas bonne ». Son cas devrait être rapidement évoqué par le ministre de l’Europe et des affaires étrangères français, Jean-Yves Le Drian, lors d’une conversation par téléphone avec son homologue turc, Mevlüt Çavusoglu.

Région sous tension

Installé en Turquie depuis cinq ans, Mathias Depardon effectuait un reportage sur l’eau à Hasankeyf, dans la région de Batman, dans le sud-est de la Turquie, pour le compte de la revue National Geographic lorsqu’il a été interpellé le 8 mai.

Auparavant, pendant quelques jours, il s’était déplacé librement le long du Tigre et de l’Euphrate, photographiant sans histoires après avoir franchi les nombreux barrages policiers. La région, sous tension, est à nouveau le théâtre d’affrontements entre les rebelles kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) et les forces turques. Mais, au soir du 8 mai, il a été arrêté à un poste de contrôle. Ses appareils et ses cartes mémoire ont été saisis. Selon un rituel désormais éprouvé, les policiers ont immédiatement exigé les codes d’accès de ses comptes sur les réseaux sociaux (Instagram, Facebook, Twitter).

A force de fouiller ses comptes, ils ont trouvé sur Instagram un cliché de recrues féminines kurdes en tenue de combat avec la légende « femmes du PKK ». Le PKK est classé comme terroriste par les autorités turques. Prise dans le cadre d’un reportage effectué dans le nord de l’Irak en 2014, la photo est devenue la pièce à conviction d’une enquête ouverte contre le photographe pour « propagande du terrorisme ». L’enquête n’a pas abouti pour l’instant à une décision judiciaire à son encontre, mais elle suit son cours.

Lettre ouverte

Pour l’heure, les autorités turques reprochent à Mathias Depardon d’avoir travaillé sans carte de presse, sa demande de renouvellement pour 2017 n’ayant pas abouti. Une décision d’expulsion a bien été émise le 11 mai, mais elle n’a pas été suivie d’effet. L’organisation non gouvernementale Reporters sans frontières (RSF), d’autres organismes de défense de la liberté de la presse, ainsi que 19 rédactions ont adressé, vendredi 19 mai, une lettre ouverte au ministre turc de l’intérieur, Süleyman Soylu, appelant à la libération de M. Depardon : « Le journaliste est laissé sans explications quant aux raisons du prolongement de sa détention. Cette absence d’informations nous inquiète de plus en plus et nous vous demandons respectueusement d’autoriser les diplomates français à venir lui rendre visite. »

Pour l’instant, les autorités turques sont restées sourdes aux demandes répétées des Français. Aucun contact n’a été autorisé avec Mathias

Depardon, contrairement aux règles de la protection consulaire admises entre les Etats. L’état d’urgence déclaré au lendemain du putsch raté du 15 juillet 2016 permet aux autorités turques de faire fi des usages diplomatiques.

Climat de paranoïa et de peur

Dans ce contexte, l’exercice du métier de journaliste est devenu beaucoup plus difficile. Le climat de paranoïa et de peur qui s’est installé dans le pays au lendemain de la tentative de putsch fait de toute voix dissidente ou trop curieuse un potentiel « agent du PKK » ou du « FETÖ », l’acronyme officiel désignant la communauté religieuse de l’imam Fethullah Gülen, à l’origine du putsch selon Ankara. Les réseaux sociaux sont passés au crible.

Au moindre manquement administratif, c’est l’arrestation. Olivier Bertrand, journaliste français du site d’information Les Jours, travaillait en novembre 2016 sans carte de presse ni autorisation dans la région de Gaziantep, décrétée « zone d’exception militaire » depuis l’intervention turque dans le nord de la Syrie. Il a été expulsé après trois jours passés en détention.

En décembre 2016, Dion Nissenbaum, le correspondant à Istanbul du Wall Street Journal, a été détenu à l’isolement pendant plus de deux jours avant d’être expulsé vers les Etats-Unis. Il avait publié des images d’une vidéo de l’organisation Etat islamique (EI) sur son compte Twitter, malgré l’interdiction formulée par les autorités turques sur la diffusion de cette vidéo. Depuis le début de l’année, le temps passé en détention s’est rallongé. En avril, le journaliste italien Gabriele Del Grande a été détenu deux semaines pour avoir travaillé sans carte de presse dans la région du Hatay, frontalière de la Syrie. Il a été expulsé vers l’Italie après avoir entamé une grève de la faim.

« Soutien au terrorisme »

Le sort des journalistes turcs est incomparablement plus terrible. Selon le site internet P24, 165 d’entre eux sont actuellement emprisonnés, la plupart sous l’accusation de « soutien au terrorisme ». Arrêté le 12 mai, Oguz Güven, le rédacteur en chef du site Internet du quotidien Cumhuriyet encourt sept ans et demi de prison pour un Tweet erroné publié l’espace de 55 secondes sur le compte du journal. Il est le douzième employé de Cumhuriyet, le plus vieux quotidien de Turquie, à être emprisonné. Vendredi 19 mai, le couperet est tombé sur le journal d’opposition Sözcü. Des mandats d’arrêt ont été émis par le parquet d’Istanbul contre son propriétaire, Burak Akbay, et plusieurs autres responsables. Tous sont accusés d’avoir « commis des crimes au nom d’une organisation terroriste armée ».

Utilisée à l’envi, l’accusation de « soutien au terrorisme » n’a pas épargné deux enseignants en grève de la faim à Ankara pour protester contre leur

limogeage dans le cadre des vastes purges (150 000 employés du secteur public) entreprises après la tentative de coup d’Etat. Après 76 jours de grève de la faim, Nuriye Gülmen, universitaire, et Semih Özakça, instituteur, ont été arrêtés chez eux dimanche 21 mai. « La police a cassé la porte », a eu le temps de prévenir Nuriye dans un message. Mardi, les deux jeunes enseignants ont été inculpés. Le même jour, une manifestation de soutien organisée au centre d’Ankara a été violemment dispersée par la police.

RSF et l’artiste urbain C215 s’associent pour soutenir les journalistes turcs emprisonnés

Pour sensibiliser l’opinion sur le sort des journalistes emprisonnés en Turquie, Reporters sans frontières (RSF) lance le week-end des 27 et 28 mai à Paris une opération de soutien avec l’artiste de street art C215, qui réalisera le portrait de dix d’entre eux sur du mobilier urbain dans plusieurs arrondissements de la capitale.

Plus de cinq cents pochoirs #SaveTurkishJournalists seront également distribués dans la capitale, pour « permettre à chacun de manifester sa solidarité et son soutien aux journalistes emprisonnés en Turquie », écrit RSF dans un communiqué. « La Turquie est aujourd’hui la plus grande prison du monde pour les journalistes. Plus de cent reporters sont en détention provisoire dans des conditions extrêmement sévères, dans le cadre de procédures absurdes », selon Christophe Deloire, secrétaire général de RSF.

« Grâce au talent de Christian Guémy, alias C215, nous afficherons dans l’espace public parisien les visages de celles et ceux qu’Erdogan veut faire taire. Une façon de montrer qu’on ne les oublie pas et de mobiliser les citoyens et les décideurs en leur faveur », poursuit-il.

C215, historien de formation, est connu dans le monde entier pour ses pochoirs et fresques murales. RSF souligne que depuis l’instauration de l’état d’urgence en Turquie, en juillet 2016, plus de cent quarante médias ont fermé, plus de sept cents cartes de presse ont été annulées et plus de cent journalistes sont emprisonnés.

http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2017/05/24/un-journaliste-francais-en-greve-de-la-faim-en-turquie_5133129_3236.html?utm_term=Autofeed&utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1495618323

BELGIQUE/TURQUIE

Les Schaerbeekois priés de rester chez eux lors de la venue d'Erdogan

7sur7

Par: rédaction 23/05/17 - 18h48  Source: Belga

MISE À JOUR Le bourgmestre de Schaerbeek, Bernard Clerfayt (DéFI), demande aux habitants de Schaerbeek de rester "bien calmement chez eux", a-t-il indiqué mardi à la veille de l'arrivée de 29 chefs d'Etat et de gouvernement à Bruxelles, dont le président turc, Recep Tayyip Erdogan, pour une réunion extraordinaire de l'OTAN.

Il y a dix jours, le bourgmestre de Bruxelles, Yan Mayeur (PS), avait indiqué qu'il interdirait tout meeting de soutien au président turc devant l'hôtel où celui-ci est attendu, place Stéphanie, pour des "raisons évidentes de sécurité". L'annonce lui avait valu une volée de bois vert de M. Erdogan lui-même.

Les bourgmestres concernés font le point, Emir Kir aux abonnés absents

Les bourgmestres de Bruxelles, Ixelles, Saint-Gilles et Schaerbeek, dont le territoire abrite une importante communauté turque, se sont réunis pour faire le point sur la situation. Le maïeur de Saint-Josse, Emir Kir (PS), manquait à l'appel, a-t-on appris.

Schaerbeek s'est engagée à fournir des renforts pour aider la Ville de Bruxelles à gérer l'événement qui associera 29 chefs d'Etat et de gouvernement. Elle a également "entendu" la décision de M. Mayeur de refuser tout rassemblement devant l'hôtel où séjournera M. Erdogan.

"Il est déraisonnable de vouloir faire un nouveau rassemblement dans le coeur de la ville, devant l'hôtel du président Erdogan", a souligné M. Clerfayt.

La police locale sera vigilante à l'égard de tout mouvement vers l'avenue Louise.

"Nous ne pourrons bien entendu pas opérer à partir de notre territoire pour empêcher des citoyens de circuler et d'aller là où ils le désirent. Mais la police de la zone reste vigilante et nous recommandons très clairement à nos habitants de rester bien calmement chez eux et de ne pas rajouter un problème de sécurité supplémentaire à une police qui est déjà très fortement sollicitée", a déclaré M. Clerfayt.

Mardi, en fin d'après-midi, le bourgmestre de Schaerbeek n'avait pas connaissance de rassemblement ou de mouvement particulier prévus sur le territoire de sa commune.

Le rassemblement devant l'hôtel d'Erdogan annulé"Nous sommes navrés de devoir annoncer que la rencontre avec le président de la République de Turquie est annulée", indique la section belge du parti de M. Erdogan.

Les partisans de l'homme fort d'Ankara semblent ainsi avoir prêté une oreille attentive aux doléances du bourgmestre Yvan Mayeur. Celui-ci avait une nouvelle fois soulevé la question lors du conseil communal de lundi, arguant qu'il n'était pas possible d'assurer l'ordre public et la sécurité de centaines de personnes alors que la capitale reçoit mercredi le président américain Donald Trump ainsi que les chefs d'Etat et de gouvernement des autres Etats membres de l'OTAN, dont la Turquie. La page Facebook de l'événement signalait la participation de quelque 700 personnes.

"Nous remarquons que les manifestations des Turcs sont devenues violentes ces derniers temps. Une preuve en est les troubles qui ont éclaté près de l'ambassade", a expliqué M. Mayeur. Des échauffourées s'étaient produites début mars, en marge de la tenue du référendum qui a conféré de nouveaux pouvoirs au président turc Erdogan. Trois personnes avaient été blessées à l'arme blanche.

http://www.7sur7.be/7s7/fr/3007/Bruxelles/article/detail/3165530/2017/05/23/Les-Schaerbeekois-pries-de-rester-chez-eux-lors-de-la-venue-d-Erdogan.dhtml

Réunion de l'OTAN: le rassemblement devant l'hôtel d'Erdogan annulé, Clerfayt demande aux habitants de Schaerbeek de rester chez euxLa Libre Belgique

Le rassemblement public prévu mercredi à 18h00 devant l'hôtel dans lequel doit loger le président turc Recep Tayyip Erdogan, situé place Stéphanie, n'aura pas lieu, indique la page Facebook de l'AKP Belgique. La ville de Bruxelles a interdit la manifestation. "Nous sommes navrés de devoir annoncer que la rencontre avec le président de la République de Turquie est annulée", indique la section belge du parti de M. Erdogan.

Les partisans de l'homme fort d'Ankara semblent ainsi avoir prêté une oreille attentive aux doléances du bourgmestre Yvan Mayeur. Celui-ci avait une nouvelle fois soulevé la question lors du conseil communal de lundi, arguant qu'il n'était pas possible d'assurer l'ordre public et la sécurité de centaines de personnes alors que la capitale reçoit mercredi le président américain Donald Trump ainsi que les chefs d'Etat et de gouvernement des autres Etats membres de l'OTAN, dont la Turquie. La page Facebook de l'événement signalait la participation de quelque 700 personnes.

"Nous remarquons que les manifestations des Turcs sont devenues violentes ces derniers temps. Une preuve en est les troubles qui ont éclaté près de l'ambassade", a expliqué M. Mayeur. Des échauffourées s'étaient produites début mars, en marge de la tenue du référendum qui a conféré de nouveaux pouvoirs au président turc Erdogan. Trois personnes avaient été blessées à l'arme blanche.

Clerfayt demande aux habitants de Schaerbeek de rester chez eux

Le bourgmestre de Schaerbeek, Bernard Clerfayt (DéFI), demande aux habitants de Schaerbeek de rester "bien calmement chez eux", a-t-il indiqué mardi à la veille de l'arrivée de 29 chefs d'Etat et de gouvernement à Bruxelles, dont le président turc, Recep Tayyip Erdogan.

Les bourgmestres de Bruxelles, Ixelles, Saint-Gilles et Schaerbeek, dont le territoire abrite une importante communauté turque, se sont réunis pour faire le point sur la situation. Le maïeur de Saint-Josse, Emir Kir (PS), manquait à l'appel, a-t-on appris.

Schaerbeek s'est engagée à fournir des renforts pour aider la Ville de Bruxelles à gérer l'événement qui associera 29 chefs d'Etat et de gouvernement. Elle a également "entendu" la décision de M. Mayeur de refuser tout rassemblement devant l'hôtel où séjournera M. Erdogan.

"Il est déraisonnable de vouloir faire un nouveau rassemblement dans le coeur de la ville, devant l'hôtel du président Erdogan", a souligné M. Clerfayt.

La police locale sera vigilante à l'égard de tout mouvement vers l'avenue Louise.

"Nous ne pourrons bien entendu pas opérer à partir de notre territoire pour empêcher des citoyens de circuler et d'aller là où ils le désirent. Mais la police de la zone reste vigilante et nous recommandons très clairement à nos habitants de rester bien calmement chez eux et de ne pas rajouter un problème de sécurité supplémentaire à une police qui est déjà très fortement sollicitée", a déclaré M. Clerfayt.

Mardi, en fin d'après-midi, le bourgmestre de Schaerbeek n'avait pas connaissance de rassemblement ou de mouvement particulier prévus sur le territoire de sa commune.

Belga

http://www.lalibre.be/actu/belgique/reunion-de-l-otan-le-rassemblement-devant-l-hotel-d-erdogan-annule-clerfayt-demande-aux-habitants-de-schaerbeek-de-rester-chez-eux-592462becd702b5fbebecd68

RUBRIQUE EN ANGLAIS

Erdogan’s Guards Beating Protesters Reinforces ‘Terrible Turk’ Image By Harut SassounianPublisher, The California Courierwww.TheCaliforniaCourier.com Armenians and non-Armenians alike were saddened and outraged seeing videos of the attack on 11 protesters who were injured after being hit, kicked and choked by Pres. Erdogan’s security guards in front of the Turkish Embassy in Washington, D.C., on May 16. Regrettably, several thousand Turks shamelessly sent tweets expressing their joy that Armenians, Assyrians, Kurds, Greeks and Yezidis were bloodied by Turkish thugs! This vicious brawl has done more damage to the image of Turkey in the United States and around the world than any other brutality recently committed by Turkish soldiers, police or security guards inside Turkey. Turkish denialists constantly complain that Armenian ‘propaganda’ on the Armenian Genocide has stained the reputation of Turks worldwide, ignoring the fact that Turks have tarnished their own image by committing a mass heinous mass crime. In fact, the May 16 nasty attack by Turkish goons on peaceful protesters has done more to reinforce the ‘Terrible Turk’ image than anything Armenians or others could have done. The Turkish government spends millions of dollars each year to pay public relations firms to present Turkey in the best possible light. However, the latest incident, which was condemned by many Members of Congress and covered widely by the mass media, has blackened the reputation of Turkey and its autocratic President Erdogan to such an extent that even $100 million spent on public relations cannot undo the damage inflicted on their image. Here are some of the critical comments made by Members of Congress: Sen. John McCain (Rep.-AZ), Chairman of Senate Armed Services Committee, told ABC Nightly News and MSNBC: “We should throw [Turkey’s] Ambassador the hell out of the United States of America!” In addition, Sen. McCain and Sen. Dianne Feinstein (Dem.-CA), Ranking Democrat on the Senate Intelligence Committee, sent a joint letter to Pres. Erdogan asking for an apology. Four Republican Senators: Marco Rubio (FL), Tom Cotton (AR), Mike Lee (UT), and Ted Cruz (TX) issued a joint statement demanding an immediate apology from the Turkish government. 

Condemnatory statements were also issued by: Senate Democratic Leader Chuck Schumer (Dem.-NY), Sen. Sheldon Whitehouse (Dem.-RI), Sen. Jack Reed (Dem.-RI), Sen. Ben Cardin (Dem.-MD), Sen. Patrick Leahy (Dem.-VT), and Sen. Ben Sasse (Rep.-NEB). House Foreign Relations Committee chairman Ed Royce sent a letter to Secretary of State Rex Tillerson and Attorney General Jeff Sessions stating: “Agents of foreign governments should never be immune from prosecution for felonious behavior.” Several other House members also issued statements condemning the Turkish attack: Don Breyer (Dem.-VA), Devin Nunes (Rep.-CA), Adam Schiff (Dem.-CA), Steny Hoyer (Dem.-MD), Frank Pallone (Dem.-NJ), Dave Trott (Rep.-MI), David Valadao (Rep.-CA), Brad Sherman (Dem.-CA), James McGovern (Dem.-MA), Jim Costa (Dem.-CA), Zoe Lofgren (Dem.-CA), Ron DeSantis (Rep.-FL), Tulsi Gabbard (Dem.-HI), Ted Deutch (Dem.-FL), and District of Columbia Delegate Eleanor Holmes Norton. Former U.S. Ambassador to the UN, Samantha Power, tweeted: “Clearly Erdogan’s guards feel complete impunity, drawing on tools of repression they use at home and knowing he has their back, no matter what.” In addition, both the Mayor and Police Chief of Washington, D.C., condemned the brutal attack in the nation’s Capital, shortly after Pres. Erdogan met with Pres. Trump in the White House. Secretary of State Rex Tillerson told FOX news that the Turkish attack is “simply unacceptable” and is under investigation. Turkey’s Ambassador to Washington, Serdar Kilic, was summoned to the State Department by Under Secretary of State Thomas Shannon. The State Department issued a statement condemning the Turkish government “in the strongest possible terms.” The Wall Street Journal reported that the State Department “is exploring ways to block members of Erdogan’s security detail from re-entering the United States.” This is the least the U.S. government should do! Amazingly, Amb. Kilic was quoted as telling a police officer who was trying to break up the fight, “you cannot touch us,” referring to the possible diplomatic immunity granted to some of the Turkish guards. Incredibly, the Turkish Foreign Ministry summoned the U.S. Ambassador in Ankara to complain about the behavior of Washington, D.C., police. The most serious aspect of this attack was the fact that Pres. Erdogan was video-taped by Voice of America (Turkish news service) directing his security detail to attack the protesters, according to the Washington Post. Regrettably, this is not the first time Pres. Erdogan’s bodyguards have gotten involved in beating or threatening individuals during his overseas trips. In 2009, then-Prime Minister Erdogan’s security members were involved in a brawl with Pres. Obama’s Secret Service agents. 

In 2011, Erdogan’s bodyguards broke the ribs of a United Nations security guard, during an attack at the U.N. headquarters in New York City. In 2014, Turkish security in New York threatened and pushed around journalists working for a newspaper unfriendly to Erdogan. In 2015, during a visit to Brussels, Pres. Erdogan’s security guard attacked a Belgian government bodyguard. In February 2016, Pres. Erdogan’s bodyguards assaulted three women who were protesting his speech at the National Institute of Higher Studies in Quito, Ecuador. The Turkish security members also broke the nose of an Ecuadorian Parliament member who was trying to intervene. Erdogan arrogantly justified the attack: “Appropriate responses will always be taken to handle these disrespectful people.” Rosana Alvarado, deputy speaker of Ecuador’s Parliament, responded: “We don’t want to see Erdogan in our country again!” In March 2016, Pres. Erdogan’s security attacked journalists and protesters outside the Brookings Institution in Washington, D.C., where the Turkish leader was invited to give a speech. After listing some of the aforementioned attacks, National Review Online columnist Tom Rogan concluded: “As Erdogan centralizes power and attacks his opponents, the TPPD [Turkish Presidential Protection Department] has morphed from law enforcement into suited thuggery.” It will take a long time for Turkey to recover the flood of negative publicity in hundreds of U.S. newspapers, TV stations, and websites, including a devastating editorial in the Washington Post. Anders Corr writing in Forbes magazine suggested that “next time Turkey comes to town, mobilize the riot police to corral Erdogan’s thuggish security if they get out of hand.” In an editorial, The New York Times aptly described the May 16 attack: “The enduring image of Mr. Erdogan’s visit will not be the pomp at the White House but that of his security guards and other supporters beating up protesters outside the Turkish ambassador’s residence.” Erdogan’s security exhibited their typical criminal behavior in front of the whole world. They behaved in the United States the way they behave routinely in Turkey! Two Turkish journalists, writing in the independent Al-Monitor website, correctly characterized the recent ugly incidents with Erdogan’s bodyguards: “The Washington visit ended with scenes making a mockery of Turkey’s image,” wrote Fehim Tastekin. Pinar Tremblay added: “Erdogan’s security personnel are notorious for attacking protesters all around the globe, thus presenting a brutal face of Turkey that no anti-Turkey lobby could accomplish in one day.”

http://www.thecaliforniacourier.com/erdogans-guards-beating-protesters-reinforces-terrible-turk-image/

Honoring Balaban Hoja: A Hero for Armenian Orphans Armenian Weekly

By Meliné Karakashian on May 23, 2017

From the Armenian Weekly 2017 Magazine Dedicated to the 102nd Anniversary of the Armenian Genocide 

To his students in the Aintab orphanage, Sarkis Balabanian (Balaban Hoja) (1882-1963) was not simply a mathematics teacher, but a role model who risked his life to save them from Turkish attacks.

I honor Balaban Hoja for having saved these orphans in Aintab. My father was among them.

Balaban Hoja’s heroism and leadership left a deep impression on my father, whose description of events always led me to visualize them vividly, as if watching a film.

I can still hear his description of Balaban Hoja’s hidden gun, and his firm reassurance to the orphans not to be afraid.

In his memoirs, my father wrote:

“…the American organization called Near East Relief opened an orphanage in Aintab. Hundreds of orphans like us would assemble in front of the building; every day, a certain number of them were selected, taken inside, registered, given bath, and dressed. Finally, one day, they took in my younger brother Boghos. When they asked him, ‘Do you have brothers and sisters?’ he gave our names. Thus, Hnazant and I also became charges at the orphanage. They placed Boghos and me in the boys’ division, Hnazant in the girls’. They gave us special uniforms, which had numbers on the shirtsleeves. Boghos had 101 and I had 102. We were very proud of those numbers, which we wore like military insignia.

“Since I could read a little bit, they put me in a higher grade, while they put Boghos in kindergarten. We had regular classes every day, including music and gym.

This continued until the beginning of 1920 when the French, who had replaced the British in Aintab, started to pull out. The Turks were happy, of course, but the Armenians were fearful. The Armenian organizations

began maintaining vigil at the orphanage in order to prevent the Turks from inciting massacres anew. Every night, we used to see armed Armenian young men circling the building and ensuring our safety.

“One morning in April 1920, we were in math class. Our teacher, Balaban hoja, blind in one eye, was very strict. Suddenly hearing gunfire, he ran out of the classroom, then came in and, to our surprise, he took a ten-millimeter gun out of his pocket.

“‘Boys, don’t be afraid,’ he ordered, and went down to the courtyard. He yelled from there, ‘Silah bashena,’ which in Turkish, means ‘call to arms.’

“The fighting started between the Armenians and the Turks.

“There had already been tension between the two groups. There were orphans who had been brought from Aleppo and settled in the Turkish quarters. The Armenian governing body brought them to our orphanage for their safety. The French army had camped behind the American College in the Armenian district, but did not get involved in the fighting. The Turkish attacks continued practically until Autumn of that year. Immediately opposite the orphanage in the Turkish quarter was a mosque from which the Turks constantly fired upon us. Fortunately, behind our orphanage building, there was a large cave where we used to go and take refuge in times of danger. The older boys had opened a passageway from the cave to the orphanage, so we could safely reach our bedrooms. Sandbags protected the bedroom windows.”1

Sarkis Balabanian was born in Aintab on May 15, 1882, in a quarter of the city where half the residents were Armenian. He had five sisters and four brothers who died young. At age four, young Sarkis lost his right eye in an accident. His mother pledged to let his hair grow until he was 10, and to then cut his hair at Saint Kevork Church, trusting his fate to a saint. But neighborhood children made fun of him, and at age seven Sarkis entered a barber’s shop and had his hair cut; his mother was unhappy. At age nine, he lost his father and had to leave the Evangelical School where he was enrolled to start working, to help support his family. He sold cigarettes. Turkish lads did not leave Armenian boys alone, though, and he had to learn the street culture well—attacking the enemy before being attacked.

In his memoirs,2 written in 1960 and published after his death, Sarkis Balabanian described several instances of helping others. In summer 1916, Evangelical and Catholic Armenians were  deported from Turkey; the Apostolics had already been sent into the depths of the deserts. He was asked to work at the American orphanage, where more than 150 Armenian orphans were being cared for. He purchased groceries for the orphanage, but was also a teacher and a father to the orphaned children.

On a cold day in February 1916, while shopping for the orphanage, he met a woman in the bakery who was crying for a little boy being forced to change his religion:

“For me, this widow’s request was not a surprise since many, like her, had asked for his help to solve difficult situations such as kidnapping, imprisonment, forced Islamization.”3

The widow, from Sivas, had been able to escape the deportations and secure a job at the house of a wealthy Chechen in Aintab, thus saving her life. Yet, she had come not for herself, but for an Armenian child. In tears, she said her boss had purchased this child from Aintab’s Tel Bashar village a week ago and intended to circumcise the boy and convert him to Islam. The child had resisted, and her boss had punished him the old way, keeping him hungry for two days. Nevertheless, the child continued his stubborn resistance. The widow begged Balabanian to save the boy.

“The widow came out of the bakery. I followed her to learn the location of the little hero. We walked long until we reached Kurd Tepe, on the northern slope of which was the house. Before we separated, we agreed on a way to kidnap the boy.

“Late on that snowy night, when everyone [was] indoors, I, on a donkey hurried toward the Chechen’s criminal home, where an Armenian boy looked out for me.

“I saw the boy from a distance. As per our agreement, he was outside the door. The poor child, warmed his frozen hands with his breath. I prodded the donkey to move fast. I reached the boy. Carefully, I checked around me; there was no one in sight. Only the wind whistled and sprinkled snow on my face.

“Without losing time, I approached the little boy and in Armenian I said, I had come after him to save him. The boy was happy. I put him in the pocket of the saddle and whipped my donkey. And when I felt safe that we were not [being] followed, the boy answered me that his name was Khntir [Problem], his mother’s, Haiganoush, father’s Ardashes, and that he is from Kharpert.

“We reached the college door, frozen from the cold. I took the child out of the pocket and entered the room of the doorman. He was barely five. He had black eyes, long eyelashes, red cheeks. The face of a pretty Armenian. Holding him, I went to the orphanage caretaker’s room, Mrs. Ovsanna Kupelian, where I told her the situation.”4

The orphanage caretaker refused to accept the child and advised Balabanian to care for his family instead, since he could be punished for this act. Instead of repeating his request to, Balabanian held the child up and went to Mr. Merryl, the director.

This fine man grabbed the child and invited Balabanian to take a seat. When Balabanian told the boy’s story, he saw tears in Mr. Merryl’s eyes. Soon after, Mrs. Meryl asked her husband if he did not wish to adopt an

angel like the little boy; he agreed and Mrs. Merryl handed the child over to the servant to be washed and fed.

Balabanian and the Merryls then prayed to God, asking Him to put an end to the hardships of this people.

Balabanian in his memoirs diverts from the story here to tell how, eight months later, he met a young woman, after being deported. There, in a large factory, as a supervisor of refugees, he noticed a young woman in a corner of the yard who cried and prayed every day. One day, he approached her and asked why she was crying. She said:

“Brother, my pain has no limit. Before I left Kharpert, my husband was taken away, then I was deported with two children. My infant died on the road. The other, a boy, was grabbed from me near Aintab’s Tlbashar village and to date I hear his shouts, ‘Mama, mama, they are taking me…save me mama,’ she said and cried again.”5

Her words broke Balabanian’s heart. When the young woman calmed down and looked at him, Balabanian thought he had seen her eyes somewhere before. He asked what her boy’s name was. She replied, “Khntir, he was my older son. I had begged God to grant me a son and promised to raise him religiously, a good Christian.” Balabanian then asked if her son’s eyes resembled hers. She replied yes, and cried again. He asked her name; when he heard Haiganoush and that her late husband’s name was Ardashes, he was sure that Khntir was her son. He promised to help her, and reassured her that Khntir was alive and in good hands. Balabanian then wrote to Mrs. Merryl with the story. The fine woman, Mrs. Merryl, sent Khntir to Aleppo to be reunited with his mother.

In 1933, while a teacher at the Oosoomnasirats School in Aleppo, Balabanian was busy with graduation ceremonies when a young man approached him, took off his hat, and hugged him, saying, “Khoja, did you forget Khntir?” As Balabanian was accustomed to solving problems in math class, he asked with amazement what problem (“khntir”) the boy was referring to. Khntir then explained who he was. Balabanian remembered and hugged him.

Khntir had arrived from America, looking for an Armenian bride. They found him an Armenian girl from Kharpert, held the wedding, and set them off to America.

“Khntir revenged the Turks, by forming an Armenian family,” Balabanian wrote.

Balabanian’s memoirs are full of similar moving stories of saving lives.

He volunteered in the British Army and was sent to Aintab, wearing a Turkish soldier’s uniform, with a firearm and 150 rounds of ammunition, presenting himself as a Turk along the way. Balabanian described the

events at the orphanage on April 1, which my father also referred to in his memoirs:

“It was April the first. After prayer, we entered class. Suddenly the sound of shellings disturbed our peace. I sent the students immediately to the basement and since I was that day’s guard, ran to hold my position. The groups of youth were in their positions. Here, they fire from the opposite building on the orphanage, leaving women and children panicky in the yard. And the people, under our guard, jam in the buildings of the Americans.”6

Balabanian and the youth held their positions waiting for the sign to counter-attack. The sign came and then silence. The Turkish side, defeated, counts its victims.

In the following days, the city looked like a little fort with the Armenians—7 to 70 years old, men and women—fulfilling their responsibilities.

“For fifteen days, my eyes have not seen sleep. I have not taken off my shoes, have not seen my family and children. The principal of the orphanage, feeling sorry for me, demanded that I take breaks to rest.

“Mr. Boyd, the American principal of the orphanage and director of the red cross, who for a while opposed my activities of making secret military enforcements in the orphanage, now, seeing my and my brave people’s heroic struggle, came and asked for forgiveness, for having hurt me unjustly.

“After that we became friends. You can imagine that he even gave me a ‘Browning.’

“On the fifth day of the fighting, the Turks suggested a cease-fire. We accepted. Taking advantage, we placed bags full of sand against the upper windows of the orphanage.”

An Armenian messenger, who had never held arms, on seeing three Turkish watchers had fired on them, breaking the ceasefire at a time when a delegation was trying to draw up the details.

As a result, an organized Turkish army unit then approached the orphanage. The British directors forbid the Armenians from using arms. The hospital, orphanage, and the Armenian quarters risked turning into a blood bath.

“Therefore, taking the whole responsibility in my hands, I ordered the boys to fire. The Turkish army approaching nonchalantly, became alarmed by our unexpected and violent attacks. The Turks had numerous victims. Those who survived, fled. I do not know the number of their victims, I only know that at the end of the fight, they did not dare approach our positions.

“And I, while encouraging my fighters, suddenly, heard a loud voice that called me. I turned around. It was Dr. Shephard, who had forbidden me to fire, who cried:

– Hoja, hoja, do you think you can stop?

– Doctor, why shall I stop; I shall fire and fire again…

“Now, it was Dr. Shephard who said,

– Bravo, Hoja, bravo, fire, those Turks are liars. The windows of my bedroom were broken from their firings. From here on, I am with you, against them; to death, I will fight by your side.”

Balabanian proceeds to describe other courageous deeds that marked his lifetime of dedication to the Armenian people.

May Balaban Hoja, mathematics teacher, be kindly remembered for having saved Armenian orphans during and after the Armenian Genocide.

 

Notes1 Jamgotchian, H. My Legacy, Yerevan: Dall (A. Jamgochian, Tr.), 2004.2 Balabanian, S. Gyankis Dak oo Bagh Orereh [The Hot and Cold Days of my Life] (in Armenian), Aleppo:Shark (T. Toranian, Ed.), 1983.3 Ibid.4 Ibid.5 Ibid.6 Ibid.

Note from the author: I thank my friends, Cesar Chekijian (for introducing me to the story of Balaban Hoja after reading my father’s memoirs, and for sharing references with me) and Haroutune Terjanian (for finding a student of Sarkis Balabanian’s, who shared his memoirs).

References

Burjlian. (1975). Memories of Balaban Khoja. In, Nor Aintab, Vol. XVI, No. 3, pp. 43-44.

Toranian, T. (1994). Sarkis Balabanian (1882-1963). Badmootyoon Antabi Hayots [History of Armenian Aintab], Volume III, E. Babayan (Ed.), pp 945-952.

http://armenianweekly.com/2017/05/23/honoring-balaban-hoja/

Rep. Ted Poe Condemns D.C. Attack, Erdogan, on U.S. House FloorBy Armenian Weekly on May 23, 2017

WASHINGTON (A.W.)—Rep. Ted Poe (R-Tex.), who represents Texas’s 2nd congressional district in the United States House of Representatives, condemned the May 16 attack on peaceful protesters, carried out by Turkish President Recep Tayyip Erdogan’s bodyguards in Washington D.C. Poe’s remarks were delivered on the U.S. House of Representatives floor on May 22.

Turkish President Erdogan has brought his brutal crackdown on human rights to Washington, D.C. For years, Erdogan has attacked Turkey’s democratic institutions, undermined the rule of law, and violated Turkish civil liberties,” explained Poe, who also said that Erdogan was becoming a “Turkish dictator.”

“[Erdogan] is showing he doesn’t believe in the democratic principles of free speech and peaceful assembly. But, Madam Speaker, we will have no foreign tyrant violating these sacred rights on American soil without consequences,” Poe added.

Below are Poe’s remarks in full.

***

Madam Speaker, it looks like Turkish President Erdogan has brought his brutal crackdown on human rights to Washington, D.C. For years, Erdogan has attacked Turkey’s democratic institutions, undermined the rule of law, and violated Turkish civil liberties.

On Tuesday, several bullies violently assaulted protesters outside the Turkish Embassy here in Washington. These Gestapotype body guards beat peaceful demonstrators, in one case kicking a woman lying on the ground.

This type of behavior is unacceptable. Erdogan is becoming a Turkish dictator. One of the traits of a dictator is to violently quash opposition.

He is showing he doesn’t believe in the democratic principles of free speech and peaceful assembly. But, Madam Speaker, we will have no foreign tyrant violating these sacred rights on American soil without consequences.

And that is just the way it is.

***

Below is a video of Rep. Poe’s remarks.

http://armenianweekly.com/2017/05/23/rep-ted-poe-condemns-d-c-attack-erdogan/

Support from PEN, Rebecca O’Brien, Ken Loach to Gülmen, Özakça on Hunger StrikeFilm-maker and director Ken Loach, film producer Rebecca O’Brien and PEN International have delivered messages in support of Gülmen and Özakça who are in detention on the 76th day of their hunger strike. İstanbul - BIA News Desk 23 May 2017, Tuesday 11:51

Film-maker and director Ken Loach, film producer Rebecca O'Brien and PEN International have delivered messages in support of Nuriye Gülmen and Semih Özakça who have been on a hunger strike for 76 days requesting to be reinstated to their positions and were taken into custody yesterday (May 22).

"Our politicians should also demand Nuriye and Semih be immediately reinstated"

The message of Loach and O'Brien reads as follows:

"We send our support and salute the courage of Nuriye and Semih. Their victimisation shames Erdogan, his government and the media which remains silent. All those, including our politicians, who claim to support justice and open democracy must demand that Nuriye and Semih should be immediately reinstated."

PEN points out to Wernicke-Korsakoff syndrome

PEN international in its message published on its official website described the detention as "unacceptable" and called for their immediate release.

PEN also pointed out to Ankara Chamber of Medicine diagnosing Gülmen and Özakça with Wernicke-Korsakoff syndrome (WKS).Carles Torner, executive director of PEN International said "By detaining Semih Özakça and Nuriye Gülmen, the Turkish authorities show once again their utter contempt for freedom of expression and human rights. Özakça and Gülmen must be released immediately" and added:

"Their appeal, and that of the tens of thousands of civil servants who have been arbitrarily dismissed since the coup attempt, must be examined promptly, independently and impartially".

Detained yesterday, will be referred to court today

Police entered home breaking through the steel door of the home at around 1:00 a.m. yesterday (May 22) and took Gülmen and Özakça into custody on the 75th day of their hunger strike.

Police also attacked the supporters of Gülmen and Özakça who gathered in the hunger strike area in front of the Human Rights Monument in Ankara during the day, battered and detained some of the supporters.

Selçuk Kozağaçlı, one of the attorneys of Gülmen and Özakça stated that they would be taken to court today to testify before the prosecutor's office. (AS/DG).

http://bianet.org/english/human-rights/186718-support-from-pen-rebecca-o-brien-ken-loach-to-gulmen-ozakca-on-hunger-strike

RUBRIQUE AGENDARASSEMBLEMENTS-COLLOQUES-EXPOSITIONS- SPECTACLES-

PARUTIONS

Agenda - Paris/Projection du film : « Une histoire de fou » à la Mairie du 9eAgenda - Paris/Projection du film : « Une histoire de fou » à la Mairie du 9e - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Delphine Bürkli, Maire du 9e arrondissement de Paris, Conseillère régionale de Paris Île de France, Alexis Govciyan, Premier Adjoint au Maire, ont le plaisir de vous convier à la projection du film Une histoire de fou en présence du réalisateur Robert Guédiguian, et des acteurs Ariane Ascaride et Syrus Shahidi le Mardi 30 mai 2017 à 19h30 (6 Rue Drouot - Salle Rossini, Mairie du Neuf Paris). Ce film exceptionnel, tiré du livre de José Antonio Gurriarán La Bombe, traite des conséquences du génocide arménien.

Invitation

Delphine Bürkli, Maire du 9e arrondissement de Paris Conseillère régionale de Paris Île de France

Alexis Govciyan, Premier Adjoint au Maire

ont le plaisir de vous convier à la projection du film Une histoire de fou

en présence du réalisateur Robert Guédiguian et des acteurs Ariane Ascaride et Syrus Shahidi

Mardi 30 mai 2017 à 19h30

Salle Rossini Mairie du Neuf Paris 6, rue Drouot - 75009 Paris Métro : Richelieu - Drouot

RSVP : [email protected]

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Une histoire de fou est un film français réalisé par Robert Guédiguian, sorti en 2015. Il est tiré du livre de José Antonio Gurriarán, La Bombe.

Réalisation Robert Guédiguian Scénario Robert Guédiguian Gilles Taurand

Acteurs principaux

Ariane Ascaride Syrus Shahidi Grégoire Leprince-Ringuet Simon Abkarian Robinson Stévenin

Sociétés de production Agat Films Canal+ France Télévisions Ciné+ France 3 Cinéma Alvy Productions La Banque postale Image 7 Indéfilms 3 SofiTVciné 2

Pays d’origine France Genre drame Film historique Durée 134 minutes

Synopsis

Le film traite des conséquences du génocide arménien, d'abord avec l'Opération Némésis des années 1920, notamment l'assassinat de Talaat Pacha en Allemagne, ensuite avec le terrorisme des années 1972-1986 (Armée secrète arménienne de libération de l'Arménie ou Commandos des justiciers du génocide arménien), principalement à partir du Liban.

Aram, un jeune homme d'origine arménienne, veut mettre fin aux soixante ans d'action ou d'inaction non-violente de la communauté arménienne, et particulièrement de sa famille. L'organisation à laquelle il appartient, à Marseille, le forme à réaliser un premier attentat à Paris contre l'ambassadeur de Turquie. Dans cette attaque meurtrière, un cycliste français est gravement blessé. Cette victime collatérale va l'obséder durablement.

Puis Aram part pour Beyrouth et s'engage dans un groupe armé, dont les objectifs sont de faire reconnaître le génocide arménien par des attentats contre les intérêts turcs, avec victimes civiles innocentes, dont l'attentat de l'aéroport d'Orly (1983). Il rencontre l'amour avec une jeune terroriste du même groupe. Mais il commence à douter de l'efficacité de cette violence aveugle.

Le film est inspiré de l'histoire de José Antonio Gurriarán, journaliste espagnol, accidentellement blessé au cours d'un attentat à Madrid commis par l'ASALA en 1981 dans la nuit du 29 décembre 19803. Après cette attaque, il rencontre et interroge le chef de l'ASALA au Liban, et relate son histoire dans un livre autobiographique intitulé La Bomba, publié en 19824.

En savoir plus sur Wikipedia

https://fr.wikipedia.org/wiki/Une_histoire_de_fou_(film)

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=96443

Agenda - Lyon: Vernissage de l'Exposition " Le Chemin de Guiragos

Agenda - Lyon: Vernissage de l'Exposition " Le Chemin de Guiragos - Collectif VAN - www.collectifvan.org - « Le Chemin de Guiragos » exposition photographique de Pascal Maguesyan et Jacques Avakian du 1er au 18 juin 2017 du jeudi au dimanche de 14h à 19h. Vernissage & rencontre-débat Jeudi 1er juin 2017 de 19h à 21h (12 rue Emile Zola – 69002 Lyon) avec la participation de l’Ensemble Nor Achough. Séance dédicace de l'ouvrage "sur le Chemin de Guiragos". Cette exposition est portée par

l’Organisation Terre et Culture et soutenue par la Fondation Bullukian.

Publié le 12 mai 2017

UGAB Lyon 12 Rue Emile Zola, 69002 Lyon

« LE CHEMIN DE GUIRAGOS » Exposition photographique de Pascal Maguesyan et Jacques Avakian

Du 1er au 18 juin 2017 Du jeudi au dimanche de 14h à 19h

VERNISSAGE & RENCONTRE DÉBAT Jeudi 1er juin 2017 de 19h à 21h 12 rue Emile Zola – 69002 Lyon Avec la participation de l’Ensemble Nor Achough

SEANCE DÉDICACE DE L'OUVRAGE "SUR LE CHEMIN DE GUIRAGOS"

Cette exposition est portée par l’Organisation Terre et Culture et soutenue par la Fondation Bullukian.

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2 500 églises et 500 monastères d’Arménie Occidentale ont été transformés en “charniers de pierre” lors du génocide arménien. Au cours des terribles années de 1915-1916, près de 1,5 million d’Arméniens de l’Empire ottoman ont péri, suite aux déportations, famines et massacres de grande ampleur organisés par les “Jeunes-Turcs” .

Pour faire mémoire de cette tragédie, le journaliste, photographe et écrivain français Pascal Maguesyan a parcouru à pied les chemins où chrétiens arméniens, syriaques et chaldéens ont été conduits à la mort et leurs grandes civilisations anéanties.

Entrée gratuite

En savoir plus ici

https://web.facebook.com/events/415355668851839/

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=96355

Agenda - "Peindre la mémoire-Témoigner de ces vies" : L'Exposition de F. Mayran au CNMA

Agenda - "Peindre la mémoire-Témoigner de ces vies" : L'Exposition de Francine Mayran au CNMA - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Centre National de la Mémoire Arménienne à Decines (Lyon) accueille "Peindre la mémoire-Témoigner de ces vies" l'exposition de Francine Mayran du 1 juin au 20 septembre 2017 dans son parcours européen. Vous êtes tous conviés au vernissage jeudi 1 juin à partir de 19h00. (Centre National de la Mémoire Arménienne 32 rue du 24 avril 1915, 69150 Décines-Charpieu.)

Publié le 16 mai 2017

Le Centre National de la Mémoire Arménienne à Decines (Lyon) accueille "Peindre la mémoire-Témoigner de ces vies" l'exposition de Francine Mayran du 1 juin au 20 septembre 2017 dans son parcours européen Vous êtes tous conviés au vernissage Jeudi 1 juin à partir de 19h00

Une exposition de Francine Mayran, passeuse de mémoire, pour rappeler l'humanité des victimes de génocides, pour que leurs regards s'adressent à nous, nous demandant de nous réveiller face à la barbarie du monde.

Rien n’est plus fort que le témoignage direct !

Malheureusement bientôt les derniers témoins auront disparu; il nous faudra à notre tour porter leur mémoire et leur message. C’est cela l’objectif de son travail artistique.

Ce sera un moment exceptionnel de lien entre les mémoires des 3 génocides, avec une visite commentée de l'exposition et la présence de plusieurs témoins: Maurice Schiff (rescapé de la Shoah), Jean Pierre Kotchian (descendant arménien), Anny Romand (descendante arménienne), Jean Paul Ruta (Président d'IBUKA Lyon, rescapé du génocide des Tutsis)

L'artiste, ainsi que plusieurs des témoins y dédicaceront leur livre

Les vernissages sont toujours des moments émotionnellement très forts... avec quelques surprises chaleureuses et des rencontres dont nous

pouvons tous nous enrichir humainement

Entrée libre

Centre National de la Mémoire Arménienne 32 rue du 24 avril 1915, 69150 Décines-Charpieu. Mercredi : 9h30-12h30 / 14h00-17h45 Vendredi : 9h30-12h30 / 14h00-18h15 Samedi : 9h30-12h30

Cette exposition est enrichie de films que l'artiste a monté, liant ses œuvres à des témoignages directs de rescapés et descendants. Certains films sont le fruit d'une collaboration avec des scolaires et des enseignants.

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=96388

Agenda - Paris/Colloque : Vie et souffrance des rescapésAgenda - Paris/Colloque : Vie et souffrance des rescapés - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Dans le cadre de la 23ème commémoration du génocide des Tutsi au Rwanda et en partenariat avec le Mémorial de la Shoah et Rwanda Avenir, un colloque est organisé au Mémorial de la Shoah le dimanche 4 juin 2017 sur la "Vie et souffrance des rescapés".

Publié le 24 mai 2017

Ibuka France

Colloque

Dans le cadre de la 23ème commémoration du génocide des Tutsi au Rwanda et en partenariat avec le Mémorial de la Shoah et Rwanda Avenir, un colloque est organisé au Mémorial de la Shoah le dimanche 4 juin 2017 sur la "Vie et souffrance des rescapés".

Mémorial de la Shoah 17, rue Geoffroy l’Asnier 75004 Paris

Pour le programme complet, infos pratiques et réservation, cliquez ICI

http://www.ibuka-france.org

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Programme

Vie et souffrance des rescapés

Dans le cadre de la 23e commémoration du génocide des Tutsi au Rwanda

dimanche 04 juin 2017 à 14h

Cahiers de Mémoire → 14 h

À l’occasion de la parution de Cahiers de Mémoire, Kigali, 2014, éd. Classiques Garnier, 2017. Avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.

L’atelier de mémoire a été créé en 2014 au sein de la Maison de quartier Rwanda avenir, à Kigali. Les Cahiers de mémoire ont été écrits par les participants, ils restent prioritairement récits du génocide, mais la remémoration s’étend en amont et en aval, ils parlent de l’amour, des saisons, de la famille, des traditions.

En présence d’Annonciatia Mukamugema, rescapée et auteure du Cahier de mémoire, Ce jour qui n’en finissait pas, des directrices de l’ouvrage Florence Prudhomme et Michelle Muller, et de Marie-Odile Godard, maître de conférences, université d’Amiens.

Suivie de la projection de

Kwibuka de Michelle Muller (France, documentaire, 40 mn, Rwanda Avenir, 2017)

Le film retrace la genèse de l’atelier de mémoire créé en 2014 lors de la 20e commémoration du génocide des Tutsi. Après une année de thérapie et un voyage de mémoire, le groupe des grandes mamans a mis en oeuvre en 2012 la première cérémonie Kwibuka à la Maison de quartier. Depuis, ces commémorations, introduites par un après-midi d’échanges avec le Dr Naasson Munyandamutsa, se sont déroulées chaque année.

En présence de la réalisatrice.

Hommage à Naasson Munyandamutsa → 16h

Le Docteur Naasson Munyandamutsa a été l’un des rares psychiatres au Rwanda dans les années qui ont suivi le génocide. Dès 1996, il entreprend de reconstruire le dispositif de santé mentale du pays. Sous son impulsion,

l’hôpital neuropsychiatrique de Ndera est réhabilité, des services d’accompagnement psychologique des rescapés et des programmes de formation sont mis en place. Pendant près de vingt ans, Naasson aura été « cette terre ferme sur laquelle venaient s’arrimer les rescapés ».

Lecture de textes Naasson Munyandamutsa par Eliane Umuhire et Mickael Sengazi, comédiens, Carole Karemera, metteur en scène, directrice du Ishyo Arts Center et la compagnie Uz et Coutumes.

En présence de Samuel Musabyimana, neveu de Naasson Munyandamutsa, Sophie Musabeyezu, rescapée, psychologue, Jeanne Allaire, rescapée, Amélie Schafer, psychothérapeute, Marie- Odile Godard et Frédéric Jacquet, vice-président de Médecins du Monde.

Animée par Marcel Kabanda, président d’Ibuka France.

ENTRÉE LIBRE SUR RÉSERVATION http://billetterie.memorialdelashoah.org/fiche_conference.asp?cfid=17D78821

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=96455

Agenda - Journée de la mémoire de l’Holocauste : Expositions et événements en FranceAgenda - Journée de la mémoire de l’Holocauste : Expositions et événements en France - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Mémorial de la Shoah étend son activité et son travail de prévention du racisme, de l’antisémitisme et des génocides au-delà de ses murs. En France, de nombreuses villes accueillent une partie de la programmation et du Mémorial.

Mémorial de la Shoah

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Expositions et événements en France

Le Mémorial de la Shoah étend son activité et son travail de prévention du racisme, de l’antisémitisme et des génocides au-delà de ses murs. En France, de nombreuses villes accueillent une partie de la programmation et du Mémorial.

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SHOAH ET BANDE DESSINÉE du 19 janvier au 30 octobre 2017

L'exposition

La mémoire contemporaine réserve une place particulière à la Shoah, un événement sans précédent dans l’Histoire. Le propre de tout événement est d’être historicisé, médiatisé, bref de devenir sujet de fiction. Le génocide des Juifs d’Europe ne pouvait y échapper. Non sans prudence, erreurs et tâtonnements, parfois avec génie, la bande dessinée s’est donc emparée de la Shoah.

C’est ce parcours historique et artistique dans ce qu’il est convenu d’appeler le 9e art que vous invite à explorer l’exposition Shoah et bande dessinée, en interrogeant les sources visuelles de ces représentations, leur pertinence, leur portée et leurs limites.

Il appartenait logiquement au Mémorial de la Shoah de s’emparer du sujet, de s’interroger sur les tenants et les aboutissants de cet art, populaire s’il en est, et ce dans toute sa diversité, des comics à la bande dessinée franco-belge, des romans graphiques aux mangas.

Autour de cette exposition, de nombreuses rencontres sont organisées au Mémorial, dont celle du 22 janvier 2017 sur le thème « Pourquoi les super-héros n’ont-ils pas libéré Auschwitz ? » avec la présence exceptionnelle de Chris Claremont, l’homme qui fit de Magneto (X-Men) un rescapé de la Shoah.

http://expo-bd.memorialdelashoah.org/expositions.html

http://www.memorialdelashoah.org/evenements-expositions/commemorations/manifestations-commemoratives-a-vocation-pedagogique.html

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=95487

Agenda - Paru : Génocide. Anatomie d’un crime et Genèse du droit international d'Yves TernonAgenda - Parution : Génocide. Anatomie d’un crime et Genèse du droit international d'Yves Ternon - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous annonce la parution des ouvrages d’Yves Ternon Génocide. Anatomie d’un crime, éd. Armand Colin, 2016, et Genèse du droit international. Des pères fondateurs aux conférences de La Haye, éd. Karthala, 2016.

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Génocide - Anatomie d'un crime d'Yves TERNON - Préface

d'Annette Becker

Editeur : Armand Colin Année : 2016 Imprimeur/Fabricant : 95-Domont : Dupli-print Description : 14 x 22 cm, 304 pages Collection : Le temps des idées Notes : Contient 4 articles publiés précédemment dans la "Revue d'histoire de la Shoah" et 3 exposés faits lors de conférences, de colloques ou d'enseignement dispensé par le Mémorial de la Shoah. - Bibliogr. p. 288-292. Index Sujets : Racisme - Histoire - Génocide -- 20e siècle ISBN : 9782200614423 Bibliothèques : Consultable à la Bibliothèque de la Cathédrale apostolique arménienne, Paris Prix : 23,90 euros Achat possible sur : Amazon

Présentation

Génocide. Ce néologisme, créé par Rafael Lemkin en 1943 pour signifier la destruction des Juifs d’Europe, assassinés pour ce qu’ils étaient, n’appartient hélas pas au passé. Avant la Shoah, le monde avait été témoin du génocide des Arméniens en 1915 ; plus près de nous, en 1994, les Tutsi furent également les victimes de ces destructions de masse. Yves Ternon s’est consacré depuis les années 1960 à l’étude de la médecine allemande sous le national-socialisme. Il est depuis devenu un historien de premier plan sur la question du crime de génocide.

Cet ouvrage, qui constitue la synthèse de ses recherches sur la question, est consacré dans un premier temps à « décortiquer » les sources idéologiques, juridiques et historiques ; dans un second temps, aux paramètres ayant conduit à leur application visant à la destruction du peuple arménien de l’Empire ottoman, des Juifs d’Europe et des Tutsi du Rwanda.

La préface de l’historienne Annette Becker revient sur le parcours d’Yves Ternon, parcours ayant abouti à cette réflexion autour de la genèse du racisme biologique et du crime de génocide.

Une réflexion nécessaire à l’heure où le monde est de nouveau plongé dans d’autres formes de violences.

Analyse scientifique. Le terreau idéologique : "Penser, classer, exclure. Origine du racisme biologique". L'infraction criminelle : "Qu'est-ce qu'un génocide ?" Méthode de travail : "Approche comparée des génocides avérés du XXe siècle : génocide des Arméniens. Génocide des Juifs d'Europe Génocide des Tutsi au Rwanda". Dossiers criminels. Le rôle de la

guerre dans l'accélération du processus génocidaire. "Violations des lois et coutumes de guerre au cours des guerres des Balkans (1912-1913)". "Le génocide des Arméniens de l'Empire ottoman (1915-1916). Cent ans de recherche". Première étape de la mise en application du racisme biologique par purification de la race allemande : "L'Aktion T4. De l'usage des chambres à gaz par l'organisation SS". Les méfaits de l'ethnisme : "Le génocide des Tutsi au Rwanda (avril-juillet 1994)

http://www.armand-colin.com/genocide-anatomie-dun-crime-9782200614423

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Genèse du droit international : Des Pères fondateurs aux conférences de la Haye Broché – 18 avril 2016 de Yves Ternon (Auteur)

Détails

ISBN : 9782811114534 Nombre de pages: 480 Hauteur: 215 mm Largeur: 135 mm Date de parution: 2016 Date de publication: 18/04/2016 Editeur: Karthala Prix : 27,00 €

Résumé

Comme le développe Yves Ternon dans cet ouvrage, le droit international est l’œuvre de Pères fondateurs. Pour chacun d’eux, son élaboration se situe dans un espace politique et un mouvement de pensées qui influencent leur œuvre. Ce droit, ils l’ont construit avec les philosophes, les publicistes et autres témoins de leur temps, tout en demeurant attachés aux intérêts de leur nation.

Description complète

Pendant plus de vingt siècles, les jurisconsultes ont débattu du droit. Traitant des lois naturelles, ils faisaient référence aux principes moraux du monde civilisé et à la nécessité pour les États de s’accorder sur des règles qui leur permettraient de coexister dans la paix. Après qu’Athènes eut ébauché les premières règles d’un droit international privé, Rome rédigea un jus gentium, ensemble des droits accordés aux peuples étrangers, un droit que Justinien codifia pour le monde chrétien.

Au XVIe siècle, le théologien catholique espagnol Vitoria pose la première pierre de l’édifice d’un droit des gens, expression de la renaissance de

l’humanisme. Au XVIIe siècle, Grotius fixe les règles de ce droit dans la guerre et dans la paix, alors qu’au terme de la guerre de Trente Ans, la paix de Westphalie tente d’établir un équilibre européen. Les jurisconsultes du XVIIIe siècle incluent le droit des gens dans le droit naturel, puis Vattel, dans un ouvrage écrit en langue française – et non plus en latin – dissocie ces deux droits, au nom de la raison. Les Lumières, les Révolutions américaine puis française, l’Empire napoléonien imposent les principes des droits de l’homme : on commence à parler d’un droit international.

Au XIXe siècle, conscients de la nécessité de contenir les violences de guerre, les jurisconsultes posent les fondements d’un droit pénal international. Au terme de congrès et de conférences, ils les font adopter par de plus en plus de nations. Néanmoins, à la veille de la Première Guerre mondiale qui ouvre un siècle de violences extrêmes, ce droit n’est qu’une ébauche.

Comme le développe Yves Ternon dans cet ouvrage, le droit international est l’œuvre de ces Pères fondateurs. Pour chacun d’eux, son élaboration se situe dans un espace politique et un mouvement de pensées qui influencent leur œuvre. Ce droit, ils l’ont construit avec les philosophes, les publicistes et autres témoins de leur temps, tout en demeurant attachés aux intérêts de leur nation.

Yves Ternon, historien, s’est spécialisé dans l’étude des crimes de masse et a initié une approche comparée des trois génocides qui ont marqué le XXe siècle : des Arméniens de l’Empire ottoman, des Juifs dans l’Europe occupée par les nazis et des Tutsi du Rwanda. Il a notamment publié : Les Arméniens. Histoire d’un génocide ; L’État criminel (ces deux livres aux Éditions du Seuil) ; Guerres et génocides au XXe siècle (chez Odile Jacob).

http://www.karthala.com/

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=95363

DOSSIERS PERMANENTS

Observatoire du Négationnisme du Collectif VANRécapitulatif des principaux faits et articles négationnistes relevés depuis 2006.

SOMMAIRE : http://www.collectifvan.org/article.php?id=21105

Ephémérides

La rubrique "Ephéméride" du Collectif VAN a été lancée le 6 décembre 2010. Elle recense la liste d’événements survenus à une date donnée, à différentes époques de l’Histoire, sur les thématiques que l’association suit au quotidien. L’éphéméride du Collectif VAN repose sur des informations en ligne sur de nombreux sites (les sources sont spécifiées sous chaque entrée).

Les éphémérides du Collectif VAN (1ère partie)

Les éphémérides du Collectif VAN (2ème partie)

SITES INTERESSANTSVisitez notre page de liens : http://www.collectifvan.org/liens.php?r=7

QUELQUES INFORMATIONS SUR LE SITE DU COLLECTIF VAN

Rubrique Info Collectif VAN

Retrouvez toutes les traductions de la presse anglophone ou turcophone dans notre rubrique Info Collectif VAN http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1

Le Collectif VAN met en ligne régulièrement des traductions de la presse anglophone et turcophone. Oeuvres de militants, de sympathisants du Collectif VAN et de prestataires, ou émanant de sites externes (tel celui de la FEAJD), ces traductions visent à mettre à la disposition du plus grand nombre, les informations essentielles à la bonne compréhension de l'actualité.

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- nos informations ou communiqués de presse, ainsi que ceux de certaines organisations externes.

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Photothèque De nombreux photos-reportages sont disponibles en ligne dans la rubrique Photothèque http://collectifvan.org/rubrique_photo.php?r=6

Veille-Media Toutes les Veilles-Media à télécharger sur : http://www.collectifvan.org/rubrique_veille.php?r=9&page=1

MEDIAS

Quelques émissions TV & radios où les citoyens peuvent intervenir

Soyez un citoyen actif et participez aux débats dans les médias.

Quelques coordonnées :

TF1 - 1, quai du point-du-jour 92656 Boulogne cedex Tel : 01 41 41 12 34 / 0803 809 810 — Fax : 01 41 41 28 40 Internet : www.tf1.fr

France 2 - 7, esplanade Henri-de-France 75907 Paris cedex 15 Tel : 0825 033 333 Fax : 01 56 22 98 74 Internet : www.france2.frEmail : [email protected]

France 3 - 7, esplanade Henri-de-France 75907 Paris cedex 15 Tel : 0825 033 333 Fax : 01 56 22 75 02 Internet : www.france3.frEmail : [email protected] [email protected]

Canal + - 85-89 quai André Citroën 75711 Paris cedex 15 Tel : 01 44 25 10 00 Fax : 01 44 25 12 34 Internet : www.cplus.fr

France 5 - 8, rue Marceau 92785 Issy-les-Moulineaux cedex 9 Tel : 01 55 00 74 74 — Fax : 01 55 00 77 00 Internet : http://www.france5.fr/Email : http://www.france5.fr/contact/

Ecrivez à Alain Le Garrec, médiateur des programmes sur : http://www.france5.fr/contact/W00069/2/71909.cfm

Arte - 2a rue de la Fonderie 67080 Strasbourg cedex Tel : 03 88 14 22 55 — Fax : 03 88 14 22 00 Internet : www.arte-tv.comEmail : [email protected]

M6 - 89, av. Charles de Gaulle 92575 Neuilly/Seine cedex Tel : 0825 06 66 66 - Fax : 01 41 92 66 10 Internet : www.m6.fr

iTélé - 6 allée de la Deuxième DB 75015 Paris Tel : 01 53 91 50 00— Fax : 01 53 91 50 01 Internet : www.itelevision.fr

LCI - 54 av. de la Voie Lactée 92656 Boulogne cedex Tel : 01 41 41 23 45— Fax : 01 41 41 38 50 Internet : www.lci.fr

Quelques émissions TV :

France2 :

Relations.france2

Participez

"On n'est pas couché"Chaque samedi soir, en deuxième partie de soirée, retrouvez Laurent Ruquier entouré de Natacha Polony et Aymeric Caron. Vous voulez donner votre avis ? Contactez l'émission au 01 41 11 11 11 On n'est pas couchéParticipez au débat sur le Forum.

Ce soir (ou jamais !) de Frédéric Taddéï. Tous les vendredis, en direct à 22h30 Participez au débat sur le Forum.

Mots croisés avec Yves Calvi Tous les lundis, en deuxième partie de soirée, Mots croisés provoque et nourrit le débat citoyen avec ceux qui font l’actualité. Une fois l'émission terminée, continuez le débat sur le Forum.

Quelques émissions Radio :

Europe 1www.europe1.frSemaine de 10h30 à 12h00 Jean-Marc Morandini Coup de pied dans le PAF chaque matin : Jean-Marc Morandini nous dit tout sur le monde du petit écran au travers de reportages et d’enquêtes dans les coulisses de la télé. Egalement en studio chaque matin, une star du petit écran ou un patron de chaîne répondra aux questions de Jean-Marc Morandini et des auditeurs. A découvrir aussi, le zapping de la télé de la veille et les commentaires des auditeurs qui donnent leurs coups de cœur et leurs coups de gueule sur le répondeur de l’émission au 01 42 32 42 32 ou en direct au 01 42 32 15 15.

RTLwww.rtl.frEn semaine de 13h00 à 14h00 Pierre-Marie Christin"Les auditeurs ont la parole" Pierre-Marie Christin présente de 13h00 à 14h00, “Les Auditeurs ont la Parole”. Réagissez à l'actualité par téléphone (32 10) ou sur internet. Entre 10H et 14H, une standardiste prend votre témoignage. Avant 10H et après 14H, vous pouvez laisser vos messages sur le répondeur, sans oublier de laisser vos coordonnées téléphoniques si vous voulez participer à l'émission.

France Interwww.radiofrance.fr

Le téléphone sonne En semaine de 19h20 à 20h00Si vous voulez poser une question, témoigner et/ou intervenir à

l'antenne... - le téléphone 01.45.24.70.00 dès 17h - Internet, en utilisant le formulaire de la page "Pour intervenir". - le SMS+ pour réagir pendant l'émission, de 19h20 à 20h : sur votre téléphone mobile, saisir le code " TEL " suivi d'un espace, votre question puis valider et envoyer au 6 20 30. (0.35€ par message plus le prix du sms) Le lundi, mardi, jeudi et vendredi à 19h20, nous vous invitons à réagir sur un thème de l'actualité, à poser vos questions aux invités du téléphone sonne. Vous pouvez également, après la diffusion, réécouter l'émission dans son intégralité.

Là-bas si j'y suisEn semaine, à 15h Exprimez-vous sur le répondeur de « Là-bas si j’y suis » : 01 56 40 37 37 ou par mail : [email protected].

RMCwww.rmcinfo.fr

BOURDIN & Co Le 1er show radio d'info Du lundi au vendredi de 6h à 10h. Découvrez une nouvelle façon de traiter l'info du matin avec "Bourdin &Co" ! Finis les journaux austères et redondants. Voilà enfin un espace de liberté où auditeurs, politiques et journalistes sont logés à la même enseigne. Jean-Jacques Bourdin agite, provoque, polémique, et vos réactions ne se font jamais attendre! Un ton débridé et sincère pour des échanges parfois musclés mais toujours respectueux. Pour intervenir : Appelez le 3216 (0,34€/min).

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L'association des auditeurs de France Culture

L'association des Auditeurs de France Culture (aafc), créée en 1984, rassemble les personnes qui veulent manifester leur intérêt pour cette chaîne de radio dont les émissions sont écoutées et appréciées au delà de nos frontières.

L'objet de l'association est de regrouper les auditeurs de France Culture pour favoriser des rencontres et coordonner les actions visant à :

- l'évolution de la chaîne dans le maintien de sa qualité ;

- la préservation de son identité et de sa spécificité ;

- l'amélioration de sa technique et de son confort d'écoute ;

- son ouverture aux différents aspects de la culture ;

- son rayonnement et développement de son influence ;

- sa pérennité.

L'Association se déclare attachée au caractère de service public de France Culture et ne saurait en aucun cas se substituer à lui. Elle se veut pluraliste et indépendante de tout engagement politique, confessionnel, syndical et philosophique.

Association des auditeurs de France Culture 83 boulevard Beaumarchais 75003 Paris Téléphone : 01 42 09 03 67 Courriel : [email protected]

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Collectif VAN[Vigilance Arménienne contre le Négationnisme]

BP 20083, 92133 Issy-les-Moulineaux - France Boîte vocale : +33 1 77 62 70 77 - Email: [email protected]

http://www.collectifvan.org

Les Infos Collectif VAN sur :http://www.collectifvan.org/rubrique.php?page=1&r=0