VRIL 2004 Stoumont

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Stoumont Site d'Exception N° 28 AVRIL 2004 Les grands feux ont vaillamment brillé dans la plupart de nos villages durant les samedis de fin février et début mars. Bonhomme hiver a dû avoir chaud et est probablement bien fondu. Ici le spécimen de La Gleize… fort pareil, sans doute, aux autres grands feux… Votre agenda trimestriel Au centre Les conseils communaux Pages 15 à 17

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StoumontS i t e d ' E x c e p t i o n

N° 28AV

RIL 2

004

Les grands feux ont vaillamment brillé

dans la plupart de nos villages durant les

samedis de fin février et début mars.

Bonhomme hiver a dû avoir chaud

et est probablement bien fondu.

Ici le spécimen de La Gleize…

fort pareil, sans doute,

aux autres grands feux…

Votre agenda trimestriel

Aucentre

Les conseilscommunaux

Pages15 à 17

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L’origine des grands feuxse perd dans la nuit des

temps. Leurs significa-tions et leurs buts furentnombreux et variablesselon les époques, les

lieux, les influencespaïennes, religieuses ou

laïques.Ils font parties de nostraditions et de notreculture. Mort donc àBonhomme-Hiver et

vivent les Grands Feux.

Ci-dessus et ci-contre : La chapelle Saint Gilles de Chauveheid à quelques années d’intervalle.

Ci-dessus de jeunes et jolies personnes de La Gleize, très recueillies en cette circonstance, se laissent photographier pour la postérité…

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C H A U V E H E I D

A proximité des pittoresques hameaux des Forges, de Neucy et de Neufmoulin, se situe à 300 mètres d’altitude,’’Chauveheid’’, un hameaux paisible aux élans bucoliques qui domine la vallée de la Lienne. On peut y accéderpar les Forges, en traversant le vieux pont de la Lienne , la route gravit une pente raide qui aboutit à un petit pla-

teau où l’on remarque de suite devant soi, la vieille chapelle de Chauveheid entourée de hêtres et de chênes.

Ce hameau, d’où l’on découvre la vallée de la Lienne, et, en face, au-dessus de la Heid des Forges, Chevron et son égli-se, a la saveur paisible d’autrefois.

Jadis, Chauveheid était le fief de Stavelot et s’appelait Kalveheis en 1104, Cavseis en 1135, et Chaveheis en 1188 .

Son nom signifie naturellement ’’Heid chauve’’, c’est-à-dire côte couverte d’un maigre taillis .

La vieille chapelle est depuis les temps immémoriaux, un but de pèlerinage très fréquenté. On y invoque Saint-Gilles pour laguérison des maladies nerveuses et infantiles.

La vénération d’une relique du Saint se fait solennellement à Chauveheid le 1er septembre ou le dimanche qui précède. Etle dicton populaire de s’exclamer :

Vorchal sint Djîles avous sès vints, C’èst lu qu’amonne dèdja l’freûd tins .

Revoilà Saint-Gilles avec ses vents. C’est lui qui amène déjà le temps froid.

Les traces de la vénération de Saint-Gilles sont présents d’abord au Monastère de Saint Hubert où le culte de Saint-Gillesfut introduit vers 1060 par Thierry Ier, Abbé (1055-1086). La Chapelle doit donc être postérieure au XIe siècle parce que leculte de ce saint patron n’était pas connu dans le pays avant cette époque.

La chapelle dépendait de l’église de Rahier, filiale de Bodeux en 1670, et a été rattachée à la paroisse de Chevron en 1803.

Au-dessus de la petite porte d’entrée figure la date de 1801, indiquant la construction à cette époque de la petite annexeajoutée au corps principal pour agrandir la chapelle et ainsi accueillir prés de 200 pèlerins.

On ignore qui la fit construire mais c’est probablement par la volonté des villageois et leurs dons, tout comme pour cellede Habièmont.

Entre la chapelle et la route de Bodeux il y a un large chemin qui est réputé être une ancienne ‘’voie Romaine ‘’.

Cet antique chemin de Stavelot à Chevron, monte au-dessus de Chauveheid et suit la Crête des bois vers Trois-Ponts.

Avant 1800, Chauveheid et Neucy dépendaient, comme Chevron, de la Principauté de Stavelot, mais formaient une com-munauté distincte ayant sa Cour de Justice, son mayeur et ses magistrats habituels.

Après la Révolution Française en l’an 1803, les hameaux de Chauveheid et de Neucy furent annexés à la commune deChevron avec les 12 autres hameaux présents. Cet ensemble formant dès lors, l’ancienne entité de Chevron avant les fusionscommunales de 1977, et qui depuis, s’intègre à la commune élargie actuelle de Stoumont.

D’après le livre «Chevron dans le passé» de Walther JAMAR de BOLSÉE Paolo TATULLO

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Le billet du Commissaire

Vous trouverez le nouveau code de la route dans son intégralité ainsi que les lois coordonnées, sur le site internethttp://www.mobilit.fgov.be du Ministère des Communications et de la Mobilité ainsi que sur les sites http://poldoc.be de lapolice et http://ibsr.be de l’IBSR.

Je vous rappelle aussi que le radar de notre zone de police effectue quotidiennement des contrôles sur l’ensemble descommunes de la zone.

Et enfin pour terminer, je voudrais attirer votre attention sur le fait que le printemps va ramener sur nos routes de nombreuxcyclomoteurs. Comme l’année dernière, nous ne tolérerons pas les cyclomoteurs trafiqués ni les conducteurs sans le casque.Je vous invite donc à prendre dès maintenant avec vos enfants, les mesures qui s’imposent.

Espérant avoir pu vous éclairer sur la matière traitée, je reste avec mes collaborateurs à votre disposition pour tout autrerenseignement utile.

Commissaire Emile DELHEZ

Quand vous lirez ces lignes, le nouveau code de la routesera devenu réalité depuis déjà plus d’un mois.

Si la presse a déjà fait un large écho de cette nouvelleréglementation, je me propose néanmoins de parcouriravec vous de la façon la plus simple possible, les principauxchangements.

Première modification importante, la nouvelle caté-gorisation des infractions.

En effet, à côté des infractions dites ordinaires, nous trou-vons maintenant trois degrés d’infractions graves.

Le premier degré d’infractions graves concerne notam-ment les comportements susceptibles de gêner ou demettre indirectement en danger les usagers vulnérables (pié-tons, cyclistes..).

On y retrouve par exemple les excès de vitesse qui sesituent entre 10 et 20 Km/H au delà de la vitesse autorisée,l’arrêt sur un passage pour piéton ou un trottoir, l’utilisationd’une bicyclette sans l’éclairage requis…

Le deuxième degré d’infractions graves, concerne princi-palement les comportements qui mettent directement lesautres usagers en danger. On y retrouve par exemple, l’ex-cès de vitesse entre 20 et 40 Km/H au delà de la vitesseréglementaire, mais aussi l’excès de vitesse entre 10 et 20Km/H dans les zones 30, les zones résidentielles et auxabords des écoles, le franchissement de la ligne blanchecontinue, le fait de circuler avec un véhicule à moteur, ycompris les cyclomoteurs, sans l’éclairage requis…

Le troisième degré d’infractions graves reprend quant à lui,notamment les comportements qui mettent les autres usa-gers en danger et qui en plus, sont assimilables à des fautes

lourdes ou qui sont susceptibles d’avoir des conséquencesdommageables. On y retrouve ainsi, les excès de vitesse de40 Km/h et plus ou de 20 Km/h et plus en zone 30, en zonerésidentielle ou aux abords des écoles, le dépassement àl’approche du sommet d’une côte ou dans un virage alorsque ce dépassement y est interdit, le fait de ne pas obtem-pérer aux injonctions d’un agent qualifié…

Seconde modification significative, le recours pluslarge à la perception immédiate.

Pour autant que l’infraction n’ait pas causé un dommage àautrui, que le contrevenant soit âgé d’au moins 18 ans, etque s’il est belge, il n’ait pas commis une infraction grave dutroisième degré, la perception immédiate peut être propo-sée par la police. Le contrevenant dispose alors d’un délaide 5 jours pour s’acquitter du payement de cette percep-tion immédiate, qui sera dans tous les cas, toujours inférieu-re au montant d’une amende traditionnelle (voir ci-après). Lepaiement de cette perception immédiate se fera pour lecitoyen belge, au moyen de timbres amendes et bientôtaussi au moyen d’une carte de banque ou de crédit.

Les autres sanctions restent bien évidemment la transactionordinaire, les mesures alternatives et l’amende prononcéepar le juge du tribunal de police.

Pour les infractions graves du premier et deuxième degré,le juge pourra prononcer une déchéance du droit deconduire. Pour les infractions graves du troisième degré, ildevra même prononcer obligatoirement une déchéance.

Le montant dont vous devrez vous acquitter en cas d’in-fraction, varie selon qu’il s’agit d’une perception immédiateou d’une amende.

Catégorie d’infractions Perception immédiate Amende

Infractions ordinaires 50 euros 55 à 1375 euros

Infractions graves premier degré 150 euros 275 à 1375 euros

Infractions graves deuxième degré 175 euros 275 à 2750 euros

Infractions graves troisième degré 300 euros (uniquement pour étrangers) 550 à 2750 euros

Alcoolémie entre 0.22 et 0.35 mg/l 137,50 euros 137,50 à 2.750 euros

Le tableau ci-dessous vous donne une idée de ces montants.

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VOICI REVENU LE TEMPSDES COASSEMENTS…

Avec les premiers beaux jours du début de l’année, et ceci depuis des millénaires, certaines espèces debatraciens de nos régions ont entamé une migration de leurs lieux d’hivernage vers leurs sites de reproduction. Ilsont traversé prairies, bois, jardins et routes pour aller déposer des œufs dans la mare qui les a vu naître…Peut-êtreavez-vous une mare au fond du jardin, peut-être avez-vous pu observer quelqu’individu traversant une route à lanuit tombée… Etait-ce un crapaud ou une grenouille ? Avez-vous observé des tritons ?

Parmi les différentes espèces de batraciens indigènes (14 espèces recensées en Wallonie), c’est la gre-nouille rousse qui se montre la plus précoce. Ses œufs agglomérés en masses gélatineuses compactes flottent à lasurface de l’eau. Le crapaud commun, un peu plus tardif, accroche sa ponte, sous forme d’un chapelet doubleautour des plantes aquatiques et des racines. Les tritons, quant à eux, déposent leurs œufs de façon isolée sur lesfeuilles des végétaux. Les pontes de la grenouille verte passent souvent inaperçues car elles sont immergées. Unefois la ponte réalisée, la plupart des batraciens quittent la mare ou l’étang et rejoignent leurs quartiers d’été. Il s’agi-ra d’un site humide car ces animaux sont sensibles à la sécheresse. Ils vont se mettre à engloutir quantité de limaces,vers de terre, insectes, araignées…En réalité, tout ce qui bouge et qui est plus petit qu’eux est une proie poten-tielle. Ce sont ainsi de précieux alliés du jardinier !

Les batraciens sont également les proies de nombreux prédateurs (des oiseaux, des poissons mais aussides mammifères), à tous les stades de leur vie.

Toutes les espèces indigènes de batraciens vivant sur notre territoire sont protégées. Mais donner un statutde protection ne suffit pas à leur garantir un bel avenir. Parmi les diverses causes de disparition progressive desbatraciens dans notre pays, nous pouvons citer: le comblement des zones humides ou leur drainage, la dégrada-tion physico-chimique de la qualité des eaux, la capture à des fins mercantiles, le développement croissant du tra-fic routier, l’évolution du climat, l’introduction d’espèces prédatrices…

Pour différencier un crapaud d'une grenouille, voici quelques indices:Grenouille

Silhouette élancéeAvance en sautantPeau humide et lisse

Silhouette lourde et trapueAvance en marchand, fait parfois des bondsPeau sèche et verruqueuse (avec une grosseglande à venin en relief derrière chaque œil)

Nous restons à votre disposition pour toute information concernant les diversesespèces. Bonnes observations à tous ! N'hésitez pas à nous transmettre vos découvertes !

G.Delhaye, pour l'a.s.b.l. Stoumont Nature. 080/78.66.18.

Crapaud

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L’eau est essentielle à la vie.Il est primordial de la préserver tant du point de vue qualitatif que quantitatif.Je laisse à votre réflexion les « bons mots de Jacques Mercier »parus dans la Revue « Dialogue Wallonie » de décembre 2003.Didier Gilkinet.

Officiellement, il ne semble pas que l’appellation « or bleu » pour désigner l’eau existe !

On trouve « l’or noir pour le pétrole, « l’or blanc » pour le platine, mais aussi pour les ressources procurées par lamise en valeur et l’exploitation des stations de sports d’hiver, « l’or vert » pour les ressources de l’agriculture ou de lavente de terrains agricoles en vue de la construction immobilière et « l’or rouge » pour l’énergie solaire. Dans un« Guide du buveur d’eau », je lis que l’eau en bouteille est parfois baptisée « l’or blanc », mais pas de trace de « l’orbleu », une appellation que l’eau potable mériterait sans doute. Car elle doit être protégée comme l’or et utilisée avecéconomie. Un récent décret relatif à la qualité de l’eau destinée à notre consommation a d’ailleurs été promulgué parle Ministère de la Région Wallonne pour « protéger notre santé».

Comme l’eau elle-même, le mot a évolué au fil des années. On sait qu’il vient du latin « aqua ». En 1050, il s’écrit« egua » ; en 1150 : « ewe » ; en 1185 : « eaue » et en 1490 enfin : « eau ». Le mot a deux synonymes principaux, l’unest familier, l’autre est littéraire ! Nous avons « flotte » et « onde ».

« Ribouldingue, un jour qu’il faisait les cent pas sur le pont, histoire de braver le roulis, perdit l’équilibre et tombadans la « flotte ». (Louis Forton dans les « Aventures des Pieds Nickelés ») L’origine de « flotte » est incertaine, disentles spécialistes ; le mot voulait dire « inondation » au Moyen Age. Le mot «onde » quant à lui, trouve son origine dansle mot latin « unda », eau courante. « Le Rhône, avec ses ondes fatiguées, dormantes, majestueusement tranquilles, pas-sait » (Frédéric Mistral dans « Mireille »)

Quant aux expressions et locutions avec « eau », elles sont fort nombreuses et souvent drôles. Elles sont égale-ment très « limpides », se comprennent sans beaucoup d’explications. Ainsi se noyer dans un verre d’eau, être commele feu et l’eau, mettre de l’eau dans son vin, suer sang et eau, faire venir l’eau au moulin, les eaux sont basses, donnerun coup d’épée dans l’eau, être comme un poisson dans l’eau, l’eau va toujours à la rivière, clair comme de l’eau deroche, faire venir l’eau à la bouche… « Nager entre deux eaux » qui au figuré signifie ménager les uns et les autres, semaintenir entre les partis et les opinions opposés, au propre s’applique au nageur qui a la tête et tout le corps enfon-cés au-dessous de la surface de l’eau. « Il plongea. Il aimait ouvrir les yeux sous l’eau, et, déplongeant, repiquer entredeux eaux, comme un dauphin. » (Louis Aragon dans « Aurélien »).

Etant moi-même un grand buveur d’eau, j’ai écrit un « grand livre de l’eau » (Renaissance du Livre) et j’ai décou-vert à cette occasion beaucoup de choses. Savez-vous, par exemple, que l’eau qui ruisselle en surface vers les coursd’eau et puis vers la mer, reste dans les océans 40.000 ans avant d’être reprises dans le cycle d’évaporation ? Savez-vous qu’au Moyen Age, des tuyaux accrochés aux façades évacuaient l’eau sur la chaussée. Quand ce n’était pas lecas, on jetait les eaux usées sur la rue en criant « Gare à l’eau ! ». Un métier naît alors, celui du « passeur de ruisseaux »qui à l’aide d’une planche, fait traverser les riches d’un côté à l’autre de la rue.

On sait aussi qu’une douche consomme de 40 à 80 litres d’eau, mais qu’un bain en consomme de 150 à 200litres ! On sait aussi que le corps d’un homme adulte contient 60% d’eau, que la pomme de terre en contient 91%et que la méduse est faite de 95% d’eau ! On sait enfin que pour produire un litre de bière, il faut 25 litres d’eau, pourproduire un 1kg de papier, il faut 250 litres d’eau et pour 1 kg d’aluminium, il en faut 100.000 litres !

L’eau est essentielle à la vie.Il est primordial de la préserver tant du point de vue qualitatif que quantitatif.Je laisse à votre réflexion les « bons mots de Jacques Mercier »parus dans la Revue « Dialogue Wallonie » de décembre 2003.Didier Gilkinet.

Officiellement, il ne semble pas que l’appellation « or bleu » pour désigner l’eau existe !

On trouve « l’or noir pour le pétrole, « l’or blanc » pour le platine, mais aussi pour les ressources procurées par la miseen valeur et l’exploitation des stations de sports d’hiver, « l’or vert » pour les ressource de l’agriculture ou de la vente deterrains agricoles en vue de la construction immobilière et « l’or rouge » pour l’énergie solaire. Dans un « Guide du buveurd’eau », je lis que l’eau en bouteille est parfois baptisée « l’or blanc », mais pas de trace de « l’or bleu », une appellationque l’eau potable mériterait sans doute. Car elle doit être protée comme l’or et utilisée avec économie. Un récent décretrelatif à la qualité de l’eau destinée à notre consommation a d’ailleurs été promulgué par le Ministère de la Région wal-lonne pour « protéger notre santé».

Comme l’eau elle-même le mot a évolué au fil des années. On sait qu’il vient du latin « aqua ». En 1050, il s’écrit« egua » ; en 1150 : « ewe » ; en 1185 : « eaue » et en 1490 enfin : « eau ». Le mot a deux synonymes principaux, l’unest familier, l’autre est littéraire ! Nous avons « flotte » et « onde ».

« Ribouldingue, un jour qu’il faisait les cent pas sur le pont, histoire de braver le roulis, perdit l’équilibre et tomba dansla « flotte ». (Louis Forton dans les « Aventures des Pieds Nickelés ») L’origine de « flotte » est incertaine, disent les spé-cialistes ; le mot voulait dire « inondation » au Moyen Age. Le mot «onde » quant à lui, trouve son origine dans le mot latin« unda », eau courante. « Le Rhône, avec ses ondes fatiguées, dormantes, majestueusement tranquilles, passait » (FrédéricMistral dans « Mireille »)

Quant aux expressions et locutions avec « eau », elles sont fort nombreuses et souvent drôles. Elles sont égalementtrès « limpides », se comprennent sans beaucoup d’explications. Ainsi se noyer dans un verre d’eau, être comme le feuet l’eau, mettre de l’eau dans son vin, suer sang et eau, faire venir l’eau au moulin, les eaux sont basses, donner un coupd’épée dans l’eau, être comme un poisson dans l’eau, l’eau va toujours à la rivière, clair comme de l’eau de roche, fairevenir l’eau à la bouche… « Nager entre deux eaux » qui au figuré signifie ménager les uns et les autres, se maintenir entreles partis et les opinions opposés, au propre s’applique au nageur qui a la tête et tout le corps enfoncés au-dessous dela surface de l’eau. « Il plongea. Il aimait ouvrir les yeux sous l’eau, et, déplongeant, repiquer entre deux eaux, comme undauphin. » (Louis Aragon dans « Aurélien »).

Etant moi-même un grand buveur d’eau, j’ai écrit un « grand livre de l’eau » (Renaissance du Livre) et j’ai découvert àcette occasion beaucoup de choses. Savez-vous, par exemple, que l’eau qui ruisselle en surface vers les cours d’eau etpuis vers la mer, reste dans les océans 40.000 ans avant d’être reprises dans le cycle d’évaporation ? Savez-vous qu’auMoyen Age, des tuyaux accrochés aux façades évacuaient l’eau sur la chaussée. Quand ce n’était pas le cas, on jetait leseaux usées sur la rue en criant « Gare à l’eau ! ». Un métier naît alors, celui du « passeur de ruisseaux » qui à l’aide d’uneplanche, fait traverser les riches d’un côté à l’autre de la rue.

On sait aussi qu’une douche consomme de 40 à 80 litres d’eau, mais qu’un bain en consomme de 150 à 200 litres !On sait aussi que le corps d’un homme adulte contient 60% d’eau, que la pomme de terre en contient 91% et que laméduse est faite de 95% d’eau ! On sait enfin que pour produire un litre de bière, il faut 25 litres d’eau, pour produireun 1kg de papier, il faut 250 litres d’eau et pour 1 kg d’aluminium, il en faut 100.000 litres !

L ’EAU.

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MAISON DU TOURISMELa Maison du Tourisme Ourthe-Amblève et le GREOA nous informent

Gîtes ruraux, gîtes à la ferme, Chambres d’hôtes, meublés de tourisme.

Vous disposez d’une maison ou d’une partie d’immeuble et vous désirez les rentabiliser ?

Pourquoi ne pas exploiter cette opportunité en créant un hébergement touristique ?

Définitions :• Le g î te rura l est un logement meublé aménagé dans des bâtiments situés dans un environnement rural ;• Le gî te à la ferme est un logement meublé aménagé dans une exploitation agricole ;• La chambre d’hôtes est une chambre meublée faisant partie de l’habitation personnelle et habituelle d’un propriétaire ;• Le meublé de tour isme est un logement consistant en une maison ou un appartement meublé, loué à des fins touris-

tiques.Ces quatre types d’hébergement sont destinés à être loués à des fins touristiques.

La Région Wallonne a organisé, par voie de décret, un système de reconnaissance avec label officiel, ainsi qu’une procédurede subsidiation des travaux d’aménagement (jusqu’à e 7.500,00 sauf pour les chambres d’hôtes ou le montant maximum desubsidiation est de e 1.250,00 par chambre).Le Commissariat Général au Tourisme (CGT) publie une brochure instructive sur la question. Si vous souhaitez développerun tel projet, n’hésitez pas à vous la procurer auprès de la Maison du Tourisme du Pays d’Ourthe-Amblève. Vous pouvezégalement consulter «Accueil Champêtre en Wallonie», une asbl spécialisée dans l’encadrement de propriétaires porteursde projets de gîtes et/ou de chambres d’hôtes. Celle-ci pourra utilement vous informer sur le sujet.

Par ailleurs, soucieux de mieux faire connaître les capacités touristiques de la région Ourthe-Amblève, le GREOA, gestionnai-re de la Maison du Tourisme du Pays d’Ourthe-Amblève, édite depuis plusieures années un guide qui reprend de façonexhaustive les différentes possibilités offertes aux touristes de passage sur le territoire des communes de Anthisnes, Aywaille,Comblain-au-Pont, Esneux, Hamoir, Lierneux, Ouffet, Sprimont et Stoumont. Ce guide est disponible sur simple demande adres-sée à la Maison du Tourisme.

Adresses utiles :• La Maison du Tourisme du Pays d’Ourthe-Amblève

Route de Louvegnée, 3 à 4920 – RemouchampsTél : 04/384.35.44 – Fax : 04/384.35.46 – E-Mail : [email protected] - Site : www.ourthe-ambleve.be

• Accueil Champêtre en WallonieChaussée de Namur, 47 à 5030 – GemblouxTél : 081/60.00.60 – Fax : 081/60.04.46 – E-Mail : [email protected]

• Office de Tourisme de la Commune de Stoumont (OTCS)Route de l’Amblève, 45 à 4987 – StoumontTél : 080/292.680 – Fax : 080/292.669 – E-Mail : [email protected]

BRICOLAGEMerci Père Noël !Il n’est jamais trop tard pour bien faire, dit-on avec raison.C’est pourquoi le Centre Récréat i f Educat i f Br icolage Stoumont ( CREBS), plus facilement appelé ‘Atelier deBricolage de Stoumont’, remercie chaleureusement toutes les personnes qui au cours de l’année 2003 ont bien voulului confier des jouets usagers et réparables. C’est ainsi que Monsieur Angelo Pianezze, véritable ‘moteur’ de cet atelier,aidé par quelques bonnes volontés de tous âges, a pu, en fin d’année 2003, confier au CPAS de Stoumont toute unesérie de jouets réparés et remis à neuf. Avec cette hotte, le CPAS a joué le Père Noël auprès de 17 enfants moins privi-légiés de notre commune.Au nom de ces enfants, MERCI aux donateurs de jouets, merci aux réparatrices et réparateurs, et en premier lieu àMonsieur A. Pianezze et merci au CPAS de Stoumont pour la distribution.

Mais l’Atelier de Bricolage de Stoumont continue et prépare déjà Noël 2004.C’est pourquoi les dons de jouets sont dès maintenant et pendant toute l’année bienvenus.Les bonnes volontés pour venir en aide à Monsieur Pianezze sont également attendues. Pas besoin d’être ingénieur, artis-

te confirmé ou 1ère couturière chez Dior. Chacun peut, à sa manière et à son rythme, porter sa pierre à l’édifice.

Réunion les lundis après-midi à la salle ‘L’Ecole des Filles’ à Stoumont.Infos : Monsieur Angelo Pianezze : 0476/43.48.89 ou 080/39.83.62

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LES ECOLES DANS NOTRE COMMUNE. ((((SSSSuuuuiiii tttteeee))))

Loin du bruit qui nous entoure, perchée sur la colline, telle une vigie, se situe l’école de La Gleize.

Remontons un peu le fil du temps.

En 1584, Ernest de Bavière publie une ordonnance qui stipule : « …de diligemment instruire et enseigner les enfants tant maslesque femelles, les faisant tenir, selon leur possibilité et faculté, la science de bien et parfaitement lire… »

Jusqu’à la fin du 18e siècle, cette ordonnance a été suivie de manière faible et irrégulière.

Les leçons se donnaient à l’église ou dans des locaux peu appropriés comme des remises ou des granges.

Ce n’est qu’en 1825 que le conseil communal de La Gleize décide de fournir à l’instituteur le local de la maison communale,qui était situé sur le tracé de la route La Gleize-Rahier.

En 1849, 72 enfants de familles peu fortunées sont admis à l’école, en plus de ceux venant des familles plus aisées.

En 1862, un nouveau bâtiment est construit à l’emplacement actuel de l’école, qui sert en outre de maison communale.

Malheureusement, l’école est réduite en ruines lors des batailles de 1944.

La reconstruction ne sera achevée qu’en 1951, ce qui oblige entre-temps les enfants de La Gleize à voyager de local en local.

A cette époque, une partie du bâtiment servait d’habitation à l’instituteur et à sa famille.

Au rez-de-chaussée se trouvait une seule classe qui regroupait tous les élèves et un local tenant lieu de « halte poste ».

A l’étage on trouvait le bureau du secrétaire communal et la salle de conseil.

Les locaux d’aujourd’hui sont organisés tout autrement.

Que trouve-t-on au rez-de-chaussée ?

A l’avant du bâtiment, un grand réfectoire, équipé d’une cuisine, accueille les enfants pour le repas du midi. Un menu completest servi, pour une somme modeste, aux enfants qui le désirent.

A l’arrière de l’école, sont installées les classes maternelles.

On peut y trouver le coin qu’ils appellent « l’arbre », où des histoires leur sont racontées et où un tableau présente les activi-tés de la journée et de la semaine.

Dans l’arbre, Madame Fontaine les rassemble tous à certains moments de la journée.

Parmi les activités proposées, on peut trouver un atelier d’écriture, un de dessins, un de bricolages avec un banc de menuisier,une belle mezzanine avec des ordinateurs comprenant des jeux éducatifs pour les enfants de troisième maternelle.

Un magnifique bac à sable, dans une véranda bien éclairée, permet aux petits de jouer à l’abri.

Les classes de primaires sont divisées en deux, dans de larges locaux au premier étage.

Les classes 1, 2 et 3 ont comme professeur Madame André-Hugo.

Les classes 4, 5 et 6 sont suivies par Madame Dumez-Bodeux, chef d’école.

Le souci majeur de Madame Dumez-Bodeux, c’est que les enfants sachent travailler seuls et de façon organisée et apprennentà respecter les autres et leur environnement.

Cela implique que le professeur prépare le programme des exercices, après les cours, sur différentes feuilles qui sont à la dis-position des élèves. Cette façon de procéder permet à chaque élève de travailler à son rythme, tout en étant responsablede son travail et sans avoir toujours quelqu’un derrière lui.

Les travaux terminés doivent être déposés dans des pochettes de couleurs différentes suivant les matières.

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LES ECOLES DANS NOTRE COMMUNE.((((SSSSuuuuiiii tttteeee))))

Les élèves qui ont achevé leurs exercices passent à d’autres activités suivant un choix qu’ils ont fait au début de l’année et dif-férentes pour chaque jour de la semaine. Par exemple : lecture à la bibliothèque, calcul écrit, utilisation du dictionnaire, motscroisés ou dessin.

L’école initie aussi les élèves aux problèmes de notre époque en les guidant dans la lecture des journaux.

Les élèves doivent venir expliquer ce qu’ils ont lu et ouvrir ainsi le dialogue.

Pour être complet, il faut mentionner aussi une salle de gymnastique aménagée avec soin dans les greniers.

Il n’est pas difficile de conclure que l’intérêt est grand d’avoir autant d’écoles dans notre Commune.

Cette petite école du village de la Gleize s’implique dans son village par des visites aux personnes âgées à Noël ou à la Saint-Nicolas et par l’organisation d’autres activités.

Au sein de cette école travaillent 3 enseignantes à temps plein qui se voient plusieurs fois par jour et qui peuvent ainsi com-muniquer entre elles, sans attendre des réunions plus formelles.

Par le fait que les classes ne sont pas cloisonnées, les élèves peuvent être mieux suivis, car il y a une continuité sur trois ans etdes contacts journaliers entre professeurs et aussi avec les parents.

Cette situation très privilégiée, dans nos petites écoles, permet ainsi une excellente préparation pour affronter le niveau secon-daire.

Que ces articles sur les écoles dans notre commune nous rendent tous conscients de la chance que nous avons d’avoir desécoles à taille humaine.

(Les données historiques sont tirées du livre de Monsieur Serge Fontaine intitulé : « Histoire et histoires La Gleize »)

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Depuis le 15 février et jusqu’au 14 mai 2004, l’autorité fédérale consulte la populationsur l’avant-projet de plan fédéral de développement durable 20004-2008. Cet avant-pro-jet peut être consulté à l’administration communale durant les heures d’ouverture nor-males.

Les citoyens qui désireraient obtenir un exemplaire de l’avant-projet peuvent en fairela demande à la boîte postale 2004 à 1000 – Bruxelles.

Des renseignements complémentaires peuvent également être disponibles sur le siteInternet www.plan2004.be

Consultation de la population sur«l’avant-projet de plan fédéral de

développement durable 2004-2008»

Bibliothèque communale de StoumontNOUVEL HORAIRE

Depuis le mois mars, la bibliothèque de Stoumont est ouverte :

Le jeudi de 17 à 19 heures.

Le samedi de 10 à 12 heures (possibilité de consulter Internet à la bibliothèque le samedi)

Pour tous renseignements : à la bibliothèque, route de l’Amblève, 45 ou au 080/292.689.

Le bibliobus passe dans notre commune tous les deuxièmes et quatrièmes mardis du mois.

A Rahier : à l’école communale de 13h40 à 14h25.A Cheneux : village de 14h30 à 15h00

Attention les 13/04 ; 13/07 et 24/08 les horaires de vacances sont de 13h30 à 14h00 àRahier et de 14h10 à 14h30 à Cheneux.

Les horaires du Bibliobusdans notre commune

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SAGA DES HÔTELS OUBLIÉS

Le saviez-vous ?

Notre superbe région, grâce au chemin de fer a connu un essor touristique sans précédent.

Voici la merveilleuse histoire de l’Hôtel de la Station à Roanne-Coo.

Jean Joseph Philippe, cheminot né à Coo le 13 mars 1851, va décider de construire un hôtel à proxi-mité de l’emplacement de la future gare dont il a été informé dans le cadre de son travail.

Le devis de la construction s’élevait à dix mille francs !

Ce n’était pas une mince affaire car il a fallu creuser dans le rocher, mais heureusement il a pu récupérerles pierres enlevées du rocher pour les utiliser à la construction.

Le gros œuvre de la maçonnerie n’a donc nécessité que les briques et les pierres de taille pour la faça-de. La construction de l’hôtel de la station est achevée en1886

Marie Catherine, l’épouse de monsieur Philippe, et sa belle sœur Marie Filot, l’aideront au mieux car ellesbénéficient d’une expérience acquise à l’hôtel « Britannique » à Spa.

Jetons un coup d’œil sur le registre de fréquentation de l’hôtel qui est une véritable mine d’informationscar les voyageurs de l’époque devaient décliner leurs identités ainsi que leurs professions.

Nous y trouvons traces des séjours :

- de nombreux ouvriers et employés du chemin de fer.- des touristes visitant la région, à noter : la proximité de la cascade de Coo.- des vacanciers souvent réguliers, seuls ou en famille.- des professeurs, des médecins, belges ou étrangers, des avocats ainsi que des artistes peintres.

Nous remarquons également la présence d’artisans venus là dans le cadre de leur métier :

des charretiers, des journaliers, des colporteurs, des bourreliers, des cochers, des marchands de drapset bien d’autres encore qui représentaient les activités de l’époque.

Evoquons quelques personnages parmi d’autres :

- le docteur Andreie, professeur à Wageningen, Hollande était de passage le16 août 1886.- Monsieur K Meyer, professeur à l’université de Liverpool, domicilié à Middlesbrough le 15 août1893.- Mademoiselle A Marcotte, cantatrice de Paris ainsi que Louise Bourdais, professeur de Paris- Monsieur Jalhay, consul général à Bruxelles, passe une semaine de vacances en septembre1901.- Monsieur Marcotte, artiste peintre d’Anvers en 1902.- Monsieur Vleminchx Charles, artiste peintre en juillet 1907.- nous ne pouvons taire ces deux petites notes originales :- Th. Hellinchx, profession : gratte-papier dont on note la présence en 1902. - Le chat de Perse, souverain et mangeur …………de souris ! domicilié à Téhéran.

Des groupes arrivent également pour passer quelques jours de vacances à la campagne.

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SAGA DES HÔTELS OUBLIÉS(SUITE)

Notons :

- Jean Van Hoeymissen, instituteur âgé de 28 ans ; accompagné de 23 enfants en juin 1913.

Mademoiselle Mertens, institutrice à Bruxelles accompagnée de 28 jeunes filles.

L’hôtel de la station fut réquisitionné par les Allemands durant la guerre de 1914-1918.

À suivre

Merci à René pour toutes ces précisions Yvette et Liliane

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SACODO est un service de soins et d’aidescoordonnés à domicile.SACODO couvre six communes dont STOU-MONT, Malmedy, Stavelot, Trois-Ponts, Lierneux etWaimes.SACODO a pour but d’aider toute personne quidésire être à domicile et pour qui une aide estutile et nécessaire voire indispensable.

Vous aider à rester à domicile. COMMENT ? Envous rencontrant à votre domicile ou en cliniqueou en institution, en vous apportant une aide enfonction de vos besoins que ce soit aide familia-le, aide ménagère, repas, infirmière, télévigilance,matériel sanitaire,…

Vous aider à rester à domicile. POUR QUI ? Pourtoute personne ayant un problème de santé quece soit physique, mental ou social.

Comment joindre SACODO ? Les coordinatricesassurent une permanence téléphonique du lundiau vendredi de 9h00 à 11h00 au 080/880.880.Les coordinatrices fixeront un rendez-vous avecvous et se déplaceront à votre domicile, si néces-saire et ce gratuitement.

SACODO n’a pas de propres services exceptéune équipe de bénévoles qui assurent essentiel-lement le transport mais travaille avec tous les ser-vices à domicile qui existent sur la commune.

SACODO – Rue neuve, 30 à 4970 – StavelotTél : 080/880 880 – Fax : 080/880 353 – E-mail :[email protected]

Information communiquée parYvonne Vannerum – Conseillère CPAS

MAI DANS LES BOIS !

1Dans cette aube de Mai la bise âpre et tenaceSouffle sur la montagne et marque le retourToujours si redouté des fameux Saints de GlaceQue l’on charge à l’envi de plus d’un mauvais tour.Mais très tôt le soleil à l’horizon se lèveEt dans l’azur du ciel pointe son char de feu,La nature s’éveille, et, secouant son rêve,Chante l’hymne du jour à l’astre radieux.

2C’est le moment d’aller, en longeant la prairieDont la rosée encor baigne les frais gazons.Promener dans les bois sa lente rêverieTout en prêtant l’oreille aux chansons des buissons.L’air est pur et limpide, et la bise est tombée,On aspire à longs traits l’ineffable senteurDes tendres arbrisseaux dont la jeune feuilléeDe ses bourgeons nacrés étale la splendeur !

3Comme on savoure alors l’intense jouissanceDe s’évader un jour des bruyantes cités,De n’entendre plus rien qui rompe le silenceQue le bruit des sapins par la houle agités,Et le chant des oiseaux enivrés de lumièreQui gazouillent joyeux, dans les arbres blottis,Tandis que le Coucou drapé dans son mystèreSemble nous crier l’heure au fond de son taillis !

4Salut beau mois de Mai ! Salut à ton sourire,A ton riant soleil, à tes premières fleurs !Sois le présage heureux, pour qui pleure et soupireDe retour à la Paix des Nations et des Cœurs.

Poésie écrite par Monsieur l’Abbé Fincoeur le 5 mai1942.Cependant ce poème vaut aussi pour 2004, y com-pris, malheureusement, les deux derniers vers.

Monsieur l’Abbé Fincoeur a été aumônier à Saint-Edouard pendant et un peu après la guerre.Il s’est admirablement dévoué pour les enfants encure à Saint-Edouard. Durant la guerre 40-45, il fut unhéros qui a travaillé dans l’ombre. Il respirait la sym-pathie et la bonté.Entre le 19 et le 22 décembre 1944, lors de l’offen-sive qui a détruit les bâtiments de Saint-Edouard, il aété le soutien et le réconfort de plus de 150 enfantset religieuses. Il est décédé dans les années 60. Les personnes qui l’ont connu en gardent un souve-nir attachant.

UN SERVICE DE SOIN ETD’AIDE À DOMICILE

Le coin du poète…

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A la demande de Monsieur ArnoldTargnion, membre du CADUSA (Comitéd’Accueil des U.S. Air Born), nouspublions ici un poème qui nous rappel-le l’importance du souvenir, et ce dansl’espoir que l’Histoire cesse d’être unéternel recommencement dans seserrances et ses barbaries.

CérémoniesCommémorativesBeaucoup de gens affirment que nousaccordonsBien trop d’honneur à ces commémo-rations,Que nous pourrions animer l’actualitéTout en ignorant cet illustre passé.

Plusieurs milliers de braves se sontrévoltésEn entendant ces générations d’excitésIrrespectueux de ces jours bouleversésPar la convoitise d’un voisin enragé.

Sans leurs aînés pourtant ils seraient desvalets,A une langue imposée tous obligés,Asservis, jugés comme engeance infé-rieure,Soumis au conquérant imbu de savaleur.

Ces cérémonies tellement émouvantesFont chez nos anciens revivre l’épou-vante,Elles ravivent en eux de tristes souvenirsQue jamais plus nos enfants ne doiventressentir.

Les sacrifices d’antan méritent nos hom-mages,Supprimer ces rites serait grand dom-mage.Nous ne pouvons les laisser sombrerdans l’oubli,Il faut à nos sauveurs adresser GRANDMERCI.

Michel HalletBoussu, le 5 /7 /2001.

PERMANENCESA STOUMONT

Comme vous le savez sans doute,votre commune et votre CPAS, en collaboration avec FOREM ConseilVerviers, se sont investis dans la création d’une Maison de l’Emploi situéeà Stavelot.

Espace ouvert et gratuit, vous pouvez y bénéficier de l’aide et de l’orien-tation des conseillers, y effectuer vos démarches administratives concer-nant le maintien de vos droits en tant que demandeur d’emploi, utiliserlibrement les ordinateurs, téléphones, fax et photocopieur, consulter lesoffres d’emploi mises à jour quotidiennement, consulter une riche docu-mentation sur des matières telles que la législation sociale, l’emploi, les for-mations et les professions, le travail à l’étranger, le travail indépendant,etc…

En fonction des partenariats qui seront développés, diverses activités,dont nous vous tiendrons informés, verront également le jour. Dores etdéjà, vous pouvez bénéficier de l’aide d’une assistante sociale du CPAS,tous les jeudis de 13h30 à 16h30 (à Stavelot).

Afin de vous offrir un service de proximité, nous serons dans votrecommune 2 fois par mois. Venez donc nous rencontrer lors despermanences que nous tenons au CPAS de Stoumont les 2ème et4ème mercredis du mois de 9h00 à 12h00. Vous pourrez y bénéficierde nos conseils, vous inscrire ou réinscrire comme demandeurd’emploi, recevoir des conseils quant à l’accès ou la préservationde vos droits, consulter notre documentation.

Message important ! ! ! !

Sachez que toutes les démarches administratives liées à votre ins-cription comme demandeur d’emploi que vous effectuez au FOREMConseil, peuvent être réalisées à la Maison de l’Emploi de Stavelot ou lors despermanences à Stoumont et Trois-Ponts, soit :

• Votre inscription comme demandeur d’emploi

• Votre réinscription comme demandeur d’emploi aprèsune période d’interruption (travail, intérim, dispense,maladie…)

• L’obtention de diverses attestations d’inscriptioncomme demandeur d’emploi

Bienvenue à la maison…à Stavelot, tous les jours matin de 8h30 à 12h ainsique le lundi, mercredi et jeudi de 13h30 à 16h30.Maison de l’Emploi de Stavelot, Stoumont, Trois-Ponts – Place Saint-Remacle,33/4 à 4970 STAVELOT tél. : 080/29.29.80

Maison de l’Emploi de Stavelot,Stoumont, Trois-Ponts

Le coin du poète…et du souvenir

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Conseil du 9 décembre 2003

Présents : M. Dupont, bourg-mestre ;

MM. Fontaine et MmeCornet-Bonivers, échevins ;

Mmes Wansart-Grégoire, Rondeux-Philippe, Legrand-Delnoy, Sacré et MM.Monville et Gilkinet,conseillers ;

M. Godart,sec ré t a i r ecommuna la. i. ;

Excusés : M. Lambotte, échevinet M. Jamar de Bolsée, conseiller ;

SEANCE PUBLIQUE

1. Eglise protestante baptisted’Aywaille - modification bud-gétaire 2003/2 – avis :

Le Conseil, par 7 voix pour et uneabstention, émet un avis favorablesur la modification budgétaire2003/2 de l’Eglise ProtestanteBaptiste d’Aywaille.

2. Fabrique d’église de Moulin duRuy - modification budgétaire2003/1 – avis :

Le Conseil, par 7 voix pour et uneabstention, émet un avis favorablesur la modification budgétaire2003/1 de la Fabrique d’église deMoulin du Ruy.

3. Administration – achat d’unphotocopieur – cahier spécialdes charges – devis – mode depassation du marché – appro-bation :

Le Conseil, à l’unanimité :- approuve le cahier spécial

des charges n°29/09/2003relatif au marché de fournitured’un photocopieur pour l’ad-ministration communale (mai-son Goffart) ;

- approuve le devis au montanttotal de 2.000 e T.V.A.C. ;

- choisit la procédure négociéesans publicité comme modede passation du marché pré-cité.

4. Travaux – aménagement et rac-cordement du nouveau réser-voir de Moulin du Ruy - cahierspécial des charges – devis –mode de passation du marché– approbation :

Le Conseil, à l’unanimité :- approuve le cahier spécial

des charges n°25/11/2003relatif au marché d’aménage-ment et de raccordement dunouveau réservoir de Moulindu Ruy présenté comme suit :

Lot Libellé

1 Empierrement du passage à gué

2 Empierrement du chemin d’ac-cès

3 Matériaux de gros-œuvre pourla chambre de vannes

4 Fournitures techniques (piècesen fonte) pour le raccordementdu réservoir

5 Machine spécifique de levagepour la pose du réservoir

- approuve le devis au mon-tant total de 10.000e T.V.A.C. ;

- choisit la procédure négo-ciée sans publicité commemode de passation du mar-ché précité.

5. Voirie vicinale - plan d’aligne-ment du chemin vicinal n°1 àRoanne-Coo – adoption provi-soire du plan et décision de lesoumettre à enquête publiqueet à l’avis des propriétairesriverains :

Le Conseil, à l’unanimité : - adopte provisoirement le plan

d’alignement du chemin vici-nal n°1 à Roanne-Coo repré-sentant la situation réelle sur leterrain tel qu’il est établi sur leplan du 02 décembre 2003dressé par le Géomètreexpert J. Werner ;

- décide de le soumettre àenquête publique (21 jours)et d’avertir les propriétairesriverains.

6. Plan communal pour l’emploi –reconduction – décision :

Le Conseil,- décide, à l’unanimité, de

reconduire le Plan Communalpour l’Emploi pour l’année2004 ;

- et prend acte : • de la décision

d’Electrabel de se retirerdu financement des planscommunaux pour l’em-ploi de manière dégressi-ve à partir de 2004 à rai-son d’une diminutiond’un tiers de sa participa-tion chaque année.

• de la décision duGouvernement de laRégion wallonne qui, faceà cette situation, a chargéun groupe de travaild’étudier toutes les alter-natives crédibles au finan-cement des plans com-munaux pour l’emploi.

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Conseil du 30 décembre 2003

Présents : M. Dupont, bourg-mestre ;

MM. Fontaine et MmeCornet-Bonivers, échevins ; Mmes Rondeux-Philippe,

Legrand-Delnoy,Sacré et MM. Monville, Jamar de Bolsée et Gilkinet,conseillers ;M. Godart, secrétaire com-munal a. i. ;

Excusés : M. Lambotte, éche-vin et MmeWansart-Grégoire,conseillère ;

SEANCE PUBLIQUE

1. Fabrique d’église deTargnon – modification bud-gétaire 2003/1 – avis :

Le Conseil, par 8 voix pour etune abstention, émet un avisfavorable sur la modificationbudgétaire 2003/1 de laFabrique d’église de Targnon.

2. Fabrique d’église de Lorcé –modification budgétaire2003/1 – avis :

Le Conseil, par 8 voix pour etune abstention, émet un avisfavorable sur la modificationbudgétaire 2003/1 de laFabrique d’église de Lorcé.

3. Fabrique d’église deTargnon – budget 2004 –avis :

Le Conseil, par 8 voix pour etune abstention, émet un avisfavorable sur le budget 2004de la Fabrique d’église deTargnon.

4. Fabrique d’église de Lorcé –budget 2004 – avis :

Le Conseil, par 8 voix pour etune abstention, émet un avisfavorable sur le budget 2004de la Fabrique d’église deLorcé.

5. Correspondance – vérifica-tion de l’encaisse du

Receveur – lecture :

Il est donné lecture du procès-verbal de la vérification de l’en-caisse du Receveur régionalétabli en date du 30 sep-tembre 2003 par M. Stassen,Commissaire d’Arrondissement.

6. Finances – un douzièmeprovisoire – décision :Le Conseil, considérant que lebudget 2004 n’est pas encorevoté ; vu la nouvelle loi com-munale ;- autorise, par 8 voix pour et

une abstention, le collège àeffectuer, pour l’exercice2004, les dépenses néces-saires à concurrence d’undouzième des crédits pré-vus au budget de 2003.

7. C.P.A.S. – Modification bud-gétaire 2003/1 – avis :

Le Conseil, à l’unanimité, émetun avis favorable sur la modifi-cation budgétaire n° 2003/1 duC.P.A.S..

Conseil du 27 janvier 2004

Présents : M. Dupont, bourgmestre ; MM. Fontaine, Lambotte et Mme Cornet Bonivers, échevins ; Mmes Wansart-Grégoire, Rondeux-Philippe,Legrand-Delnoy, Sacré et MM. Jamar deBolsée et Gilkinet, conseillers ; M. Godart,

sec ré ta i recommuna la. i. ;

Excusés : M. Monville, conseiller ;

SEANCE PUBLIQUE

1. Finances – Un douzième provisoire supplémentai-re – Décision :

Le Conseil, Considérant que le budget 2004 n’est pas enco-re voté; Attendu qu’en sa séance du 30 décembre 2003, leconseil communal a autorisé le collège à effectuer, pourl’exercice 2004, les dépenses nécessaires à concurrenced’un douzième des crédits prévus au budget de 2003 ; Vula nouvelle loi communale ;A l’unanimité,- Autorise le collège à effectuer, pour l’exercice 2004,les dépenses nécessaires à concurrence d’un deuxièmedouzième des crédits prévus au budget de 2003.

2. Levers de terrain par géomètre – Marché de servi-ce annuel - Cahier spécial des charges – Mode de

Conseil communal - Séance du 27 janvier 2004

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passation du marché :Le Conseil, à l’unanimité,- approuve le cahier spécial des charges n° 2004/003 rela-

tif au marché de service annuel de levers de terrain pargéomètre ;

- choisit la procédure négociée sans publicité commemode de passation du marché précité.

3. Intercommunale Intermosane – Assemblée géné-rale extraordinaire – Point à l’ordre du jour - Prisede position – Décision :

Le Conseil, Attendu que M. le Président présente une noteexplicative relative à l’évolution des intercommunales mixtesde distribution vers un marché libéralisé ; Attendu qu’il estactuellement complexe et aléatoire de mesurer les retom-bées financières exactes pour la commune de Stoumontdes transpositions des dispositions relatives à la libéralisationdes marchés de l’électricité et/ou du gaz en Région wallon-ne ; Attendu qu’une réunion sera organisée le 12 février2004 par Intermosane à l’attention des communes afin declarifier le sujet ; Après en avoir délibéré, A l’unanimité,

- Décide d’ajourner le vote du point 3 à l’ordre dujour de la séance publique.

4. Imarco - Les Ateliers du relais a.s.b.l. – Bilan 2002- Avis :

Le Conseil, à l’unanimité, - Emet un avis favorable sur le bilan et les comptes

de l’a.s.b.l. Imarco - Les Ateliers du relais établisau 31 décembre 2002.

5. Dépôt communal – Achat de mobilier - Cahierspécial des charges – Devis - Mode de passationdu marché :

Le Conseil, à l’unanimité,- approuve le cahier spécial des charges relatif au marchéde fourniture de mobilier pour le dépôt communal ;- approuve le devis au montant total de 10.500 e T.V.A.C. ; - choisit la procédure négociée sans publicité commemode de passation du marché précité.

6. Finances – Emprunts – Révision anticipée des tauxd’intérêt :

Le Conseil, Considérant la composition du portefeuille«dette» de l’administration communale de Stoumont endate du 27 janvier 2004 ; Attendu que les taux d’intérêt sesituent actuellement à un niveau historiquement bas ; Vu lestechniques de financement alternatives proposées parDEXIA Banque S.A. permettant de tirer avantage de la situa-tion des taux actuelle et qui offrent la possibilité à la com-mune de réduire son risque de taux d’intérêt tout en profi-tant de la courbe des taux actuellement favorable ; Vu laproposition ci-après de DEXIA Banque S.A., qui comprendune simulation chiffrée permettant de mesurer l’impact del’opération pour la commune ;

Attendu que l’opération proposée s’intègre dans le cadrede la gestion de la dette et de contrats existants et se trou-ve de ce fait exclue du champ d’application de la régle-mentation sur les marchés publics ; Attendu que les condi-tions de l’opération ont une durée de validité très courte etqu’il est donc nécessaire de réagir rapidement ; Après déli-bération, à l’unanimité,

- Décide de marquer son accord sur :• la fixation des taux d’intérêt des crédits énu-

mérés dans le tableau ci-dessus jusqu’à ladate d’échéance finale, conformément à laproposition de DEXIA Banque S.A. ;

• le maintien des tranches d’amortissementsactuelles jusqu’à l’échéance finale desemprunts ;

• le remplacement de la clause d’indemnitéde remploi actuelle par la clause suivante :« Toute opération non prévue contractuelle-ment est assimilée à une résiliation unilatéra-le du contrat par l’administration. Dans cecas, la banque a droit à une indemnité quicorrespond à la perte financière réellementencourue.

• les autres modalités et conditions descontrats d’emprunts, qui resteront inchan-gées. Les modifications énumérées ci-avantentreront en vigueur le jour de la conclusionde l’opération, à savoir le jour de la récep-tion par DEXIA Banque S.A. de l’accordsigné par le Collège.

Le Conseil communal décide, à l’unanimité, d’approuverséance tenante le procès-verbal relatif au point 6 de l’ordredu jour.M. le Président donne lecture du procès-verbal relatif aupoint 6.

N° prêt 1083 1032

Code fonction 421 874

Dette 92.788,90 5.029,02

Durée 10 20

Echéance 01/07/2007 01/10/2004

Ancienne révision 19/06/2004 13/04/2004

Nouvelle révision 01/07/2007 01/10/2004

Code révision 8 8

Ancien taux 5,14 3,78

Nouveau taux 4 3,19

Impact 2004 858,64 19,51

Impact 2005 680,51

Impact 2006 417,32

Impact 2007 140,62

Récapitulatif

Nombre de prêts 2

Dette 97.817,92 euros

Taux moyen ancien 4,45

Taux moyen nouveau 3,60

Impact jusqu’à échéance 2.116,60 euros

Conseil du 27 janvier 2004(suite)

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Le jeu du proverbe cachéJouez et gagnez un bon de 25 eeurosLa solution du jeu du bulletin communal précédent était :

« Les chiens qui chassent ne sentent pas leur puces ». Bravo aux bonnes

réponses et à Coralie qui nous donne sa réponse très bien illustrée.

Une gagnante a été tirée au sort parmi les bonnes réponses ( encore une

dame – défendez-vous messieurs !):

il s’agit de Madame Hélène DUMONT de Moulin du Ruy qui gagne

un Panier garni offert par l’épicerie «Joëlle Grégoire-Maréchal »à La Gleize.Pour jouer :Placez les colonnes dans le bon ordre et vous pourrez lirehorizontalement un proverbe. Quel est-il ?Les réponses sont à faire parvenir sous pli fermé LE 15 mai 2004 AUPLUS TARD à l’adresse suivante :Administration communale de Stoumont« Jeu-concours n° 28 »Route de l’Amblève, 41 - 4987 – STOUMONTN’oubliez pas de mentionner sur votre courrier réponse:1. la phrase du proverbe2. Vos nom et adresseLe règlement du concours peut vous être envoyé sur demande

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Date de NomPrénomnaissance

01/01/2003 Closon François03/01/2003 Prince Simon07/01/2003 Masson Jérémy19/01/2003 Kistemann Lindsay24/01/2003 Laffineur Norat15/02/2003 Thoumsin Valentine04/03/2003 Dester Fannie26/03/2003 Paris Geoffroy26/03/2003 Paris Auriane14/04/2003 Maréchal Maxine06/05/2003 Crawford Florent09/05/2003 Wery Thomas19/05/2003 Onana Alima Guillaume25/06/2003 Noël Léna26/06/2003 Siquet Romain02/07/2003 Adam Aymeric

08/07/2003 Servaty ColineDate de Nom

Prénomnaissance

01/08/2003 DetrozAlexis11/08/2003 Crahay Luka13/08/2003 LambotteArthur20/08/2003 Legros Julie04/09/2003 SimonGilles09/09/2003 TixhonDylan19/09/2003 Dublet Lisa30/09/2003 Van BoggetRémy10/10/2003 HebrantJason

Trente-trois petits stoumontois de plus en 2003.Depuis de nombreuses années lacommune de Stoumont alloue uneprime de naissance à toute familledomiciliée sur son territoire aumoment de la naissance. Et notrepopulation s’est donc agrandie parnaissance de 33 petits bambinsauxquels nous souhaitons tout lebonheur du monde. Pour les stati-tiques, sachons qu’il est né 13 filleset 20 garçons (ce n’est pas habi-tuel), que le premier de l’année estné le 1er janvier (on ne peut fairemieux) et le dernier de l’année estné le 12 décembre. Sept enfantssont de Chevron, 11 de La Gleize,6 de Lorcé, 4 de Rahier et 5 de

Stoumont. Bravo donc aux La Gleizoises et La Gleizois chez lesquels un bon vent vivifiant a soufflé ces 20derniers mois !

Ce samedi 28 février dernier, et pour la première fois depuis l’instauration de cette prime, le Collège avaitdécidé d’organiser une petite réception à la salle «l’Ecole des Filles» plutôt que d’envoyer la somme par ver-sement comme précédemment.

Nos petits nouveaux «cuvée 2003» sont :

PRIMES DE NAISSANCE

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Depuis quelques mois nous réservons un espace photos aux amateurs de notre commune qui auraient l’une ou l’autrephoto typique, insolite ou simplement belle de notre commune. Nous publions ci-dessus et ci-dessous à gauchedeux très belles photos qui sont en notre possession mais dont nous ne connaissons pas l’auteur. Si celui-ci se recon-naît qu’il n’hésite pas à nous contacter car il a vraiment beaucoup de talent. Ci-dessous à droite une jolie photo d’un coin fleuri de terrasse roannaise. Pourquoi Roanne ? “C’est typique d’unejolie terrasse”, nous direz-vous, “mais pas nécessairement d’une jolie terrasse de Stoumont”. Nous le savons car laphoto a été prise par Madame Marcelle Goffin Veuve Vauchel qui habite Roanne et que nous remercions.

ESPACE PHOTOS

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