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United International PicturesPrésente

Réalisé par Mario Andreacchio

Produit par Georges Campana

et Mario Andreacchio

www.uipfrance.com

Sortie le 25 octobre 2006

Une coproduction

Breakout Films - Adelaide Motion Picture Company

DistributionUnited International Pictures1, rue Meyerbeer75009 Paristel : 01 40 07 38 86

PublicitéAgence Lumière1, rue Meyerbeer

75009 Paristel : 01 42 96 16 11

Presse Michèle Abitbol-Lasry

Séverine Lajarrige184, Bld Haussmann

75008 Paristél. : 01 45 62 45 62

[email protected]@abitbol.fr

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Tout commence par un drame : l’enlèvement et le massacre d’élé-phants par des braconniers, les « maléfi ques »…

Seuls survivants, et désormais orphelins, deux frères éléphanteaux Zef et Boogie, n’ont d’autre choix que de retrouver une nouvelle famille.

Pour protéger son jeune frère de cette dure réalité, Zef invente une fable : leur mère aurait été enlevée par un arc-en-ciel. Boogie, le jeune rêveur se jette alors à la poursuite de cet arc-en-ciel aussi mystérieux qu’insaisissable.

Dans les plaines sauvages et magiques d’Afrique, à la recherche de leur mère et d’une nouvelle famille d’éléphants, les deux jeunes

frères rencontrent d’autres orphelins : Cham un chimpanzé perturbé, Natty une jeune girafe myope, et un futur grand

fauve P’tit Lion, fi ls de roi, naturellement. Une fois leur revanche prise sur les maléfi ques

braconniers, l’arc-en-ciel guidera enfi n notre belle équipe vers un orphelinat où enfants et animaux cohabitent en paix.

Au bout de l’arc-en-ciel, l’espoir a su re-naître…

- SYNOPSIS –

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Tourné dans la brousse africaine avec des animaux incarnant de véritables personnages : Zef, Boogie, Cham, Natty et P’tit Lion « par-lent », ou plutôt « pensent » et communiquent entre eux, même s’ils ne se comprennent pas toujours…

Les narrateurs, deux guépards impassibles et nonchalants, Kwa-zulu (voix de Richard Bohringer) et Tahoua (voix de Jean-François Balmer), nous font partager leurs réfl exions et leur regard sur le règne animal. Attentifs aux rumeurs de la savane, observateurs des us et coutumes de leurs concitoyens, les deux narrateurs prolongent le décalage entre réel et imaginaire.

« La Balade des éléphants» est une fable sur l’amour fraternel et la perte de la famille, un voyage intrépide fait de rencontres extraordinaires dans des lieux et situations inattendus. Et surtout un conte qui nous porte à croire à l’impossible, que l’on soit un éléphant, un chimpanzé, une girafe, un lionceau… ou un enfant.

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1989. Mario Andreacchio imagine pour la première fois l’histoire de « La Balade des éléphants » alors que, assis à l’ombre d’un aca-cia, il regarde des éléphanteaux jouer ensemble dans un orphelinat pour animaux près de Nairobi. Cet orphelinat est spécialisé dans l’hébergement de jeunes éléphants afi n de les réintroduire dans leur milieu naturel.

Quatre ans plus tard, les trois jeunes enfants de Mario insistent pour que leur père réalise un fi lm dont les personnages seraient des animaux, ce fi lm, « Napoléon » (les aventures d’un chiot perdu dans le bush), devient vite l’un des fi lms australiens les plus célèbres en son genre, une sorte de « fi lm de chevet» que les petits anglo-saxons regardent en boucle sans se lasser.

« Napoléon » ouvre la voie aux fi lms ayant comme personnages prin-cipaux des animaux.

Souhaitant utiliser le comportement d’animaux non dressés, Ma-rio insiste pour que les animaux eux-mêmes traduisent les émotions propres à chaque scène par leur comportement naturel. Partant d’une histoire écrite, il a fallu tout au long du tournage s’adapter aux réactions de chaque animal rencontré, réactions souvent différentes des situations prévues sur le papier. Le fi lm a donc été réécrit au montage.

Une fois le montage achevé, les dialogues ont été retravaillés afi n de correspondre au comportement des animaux.

Mario :« Quand un animal est entraîné pour exécuter une action spécifi -

que, on perd toute spontanéité on le constate d’ailleurs dans son regard vide. »

Dans le fi lm « Napoléon », tous les animaux transmettaient une sensation de « vie » dans leur regard.

Pour capturer ce « naturel » dans leurs yeux et l’utiliser pour raconter leurs aventures, ils doivent se comporter de manière natu-relle sans aucun dressage.

Ayant approfondi sa technique singulière de travail avec les ani-maux, Mario a alors pensé qu’il était temps de s’embarquer pour un nouveau défi : ce fi lm sur les éléphants qu’il portait en lui depuis si longtemps. Après avoir rédigé un projet, Mario fait équipe avec le directeur de production de « Napoléon », John Wild, pour dévelop-

per le traitement d’un scénario détaillé qui deviendra « La Balade des éléphants ».

Mario : “Une histoire ambitieuse était née comportant deux élé-phanteaux, un girafon, un chimpanzé et un lionceau parmi toute une pléiade d’animaux et d’oiseaux sur fond de plaines sauvages africai-nes. Le défi n’a alors pas été de “dresser” les animaux mais de jouer avec leur comportement naturel pour servir l’histoire. Comme dans le fi lm « Napoléon », les animaux ont eu entière liberté d’ « écrire » les détails des scènes à travers leur comportement spontané.”

Lorsque le Rêve devient Réalité…

Mario Andreacchio s’adresse alors au producteur français, Georges Campana, pour cofi nancer et coproduire le fi lm.

Georges : “C’était une idée audacieuse, une charmante histoire et un fi lm important à faire. J’avais le sentiment que ce fi lm pourrait toucher un large public. Mais toute grande idée nécessite de l’argent. Le défi était de communiquer à nos partenaires fi nanciers la passion qui nous animait tout en essayant de leur faire comprendre ce que nous envisagions de réaliser qui était tout à fait nouveau.”

Le tournage commence en juin 2005, 16 ans après que Mario a conçu l’histoire « La Balade des éléphants ».

Mario : “Lorsque , après tout ce temps, j’ai eu en face de moi, des éléphanteaux, une caméra et une équipe de tournage, j’ai eu un choc profond, je n’arrivais pas à y croire : nous étions enfi n en train de réaliser « La Balade des éléphants » !”.

Jim Stockley, dresseur d’animaux pour le cinéma, a identifi é très rapidement les éléphanteaux et les autres animaux du fi lm et les a préparés avec l’équipe de dresseurs (Zelie Thompson, Craig Bullen et son fi ls Jamie Stockley).

Le fi lm a été entièrement tourné au Kwazulu-Natal, province de l’ouest de l’Afrique du Sud.

La post production, elle, a été internationale : le montage, la postproduction son et les effets visuels (réalisés par les équipes de Rising Sun qui ont notamment contribué aux effets visuels du Seigneur des Anneaux, de Harry Potter et la Coupe de feu, de Superman ainsi que ceux du fi lm Le Petit Monde de Charlotte - sortie en France le 28 mars 2007-) ont été réalisés à Adelaide (Australie), le mixage son à Paris, la musique orchestrale enregistrée à Bratislava, le négatif son produit à Los Angeles tandis que tout le travail de laboratoire a été accompli en Nouvelle Zélande !

- NOTES DE PRODUCTION -

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C’est avec attention que cette question a été examinée pour « La Balade des éléphants », mais un certain nombre d’éléments dans la construction du fi lm ont déterminé

très vite le choix de comportements animaliers naturels plutôt que la

création artifi cielle d’une animation sur les lèvres des animaux.Mario : “C’est une question de genre : voir

les lèvres des animaux bouger aurait porté le fi lm vers l’animation, alors qu’en fait, je voulais guider

l’audience vers l’enchantement et le respect du milieu naturel animalier. Voir leurs lèvres bouger aurait été une distraction inu-tile. Quiconque possède un animal de compagnie l’a vu et/ou entendu parler. Quiconque partage son temps avec un animal de compagnie lui parle sans arrêt. Les lèvres de ces animaux restent immobiles. Pourtant, d’une certaine manière, nous acceptons le fait que ceux-ci communiquent.”

À l’image, leurs lèvres doivent-elles bouger ?

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Le tournage en Afrique.

Ce fi lm a été tourné au cœur de la contrée Zulu en plein hiver, la saison la plus sèche de l’année. La température avoisinait parfois 0°C le matin pour monter à 30°C, en milieu d’après-midi.

Pendant la saison sèche, la poussière épaissit l’air offrant ainsi de fabuleux levers et couchers de soleil, mais cette poussière présente partout peut s’infi ltrer dans tous les équipements et les détruire, ce qui a obligé l’équipe technique à concevoir des pro-tections très particulières pour les caméras HD.

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Les animaux

Les heures de tournage devaient rester fl exibles afi n de respecter leur rythme biologique : repas, repos et la résistance à la chaleur des jeunes animaux.

Pour fi lmer P’tit Lion le lionceau, en action, il fallait atten-dre qu’il ait faim ; il se dirige alors toujours tout droit vers sa bouteille de lait. Après en avoir ingurgité deux, arrive l’heure de la sieste. Ainsi, P’tit Lion ne pouvait être fi lmé que par tranches de 20 minutes toutes les 3 heures, soit 2 prises par jour de 20 minutes chacune.

Le chimpanzé, Billy, à la fourrure noire, pouvait très vite avoir chaud et devenir léthargique s’il était exposé au soleil. Rapide-ment, Billy a eu sa propre collection de chapeaux et ombrelles que lui apportait son assistant personnel dès qu’il faisait chaud et ensoleillé !

Le girafon, Mickey, aimait la compagnie de toute l’équipe et l’attention que chacun lui portait. Il appréciait particulièrement de lécher le visage des gens avec son énorme langue bleue, ce qui tenait à distance toute l’équipe.

Lola, le plus petit des éléphanteaux, avait une affection toute particulière pour son dresseur, Jim Stockley. Partout où ce dernier allait, Lola le suivait.

Tourner en Afrique comporte son lot de problèmes inattendus : l’idée de fi lmer près d’un lac a dû être abandonnée quand l’équipe a été pourchassée par un énorme rhinocéros. À part la caméra, rien n’a pu être emporté dans la fuite précipitée. Grâce à l’intervention d’un garde forestier qui a réussi à appâter le rhinocéros dans la direction opposée, le tournage a pu reprendre.

Alors que le convoi des camionnettes de tournage, non bâchées, roulait le long d’une piste peu fréquentée, un troupeau d’éléphants a surgi. Les éléphants se sont d’abord intéressés à l’un des camions transportant la machinerie, éparpillant dans la savane fl y-cases et tripodes. Puis, leur attention a été détournée lorsque l’un d’eux a découvert la camionnette de la cantine, en fi n de convoi. Ensemble, ils se sont mis à disperser les réserves de sucre et de biscuits et ont dévoré les bananes, les pommes et les oranges. Pendant que les éléphants étaient tout à leur festin, le reste de l’équipe, en amont, a pu poursuivre son voyage en toute sécurité.

Le Dressage des Animaux

Les animaux d’espèces différentes ne cohabitent pas naturelle-ment.

Il est impossible de voir un chimpanzé accompagné d’une girafe ou d’un lionceau dans la savane. Il a fallu pour le fi lm, apprendre aux animaux à se sentir parfaitement à l’aise entre espèces différentes afi n de pouvoir ‘jouer’ensemble. Les dresseurs ont passé des heures avec les animaux, séparément, afi n de gagner la confi ance de chacun d’eux en devenant tout doucement ‘amis’.

Cette atmosphère paisible a établi un cadre de travail idéal pour les animaux afi n de les mettre en confi ance les uns avec les autres et après de longues heures, à parvenir à les rassembler. Les caméras ont alors pu commencer à tourner.

La diffi culté la plus grande a été de réaliser des actions très précises avec les animaux, actions nécessaires au développement dramatique de l’histoire. Ainsi le chimpanzé doit ouvrir un verrou dans le fi lm, pour y arriver des jeux ont été développés, autour de cette action. Les dresseurs ont ainsi passé des heures et des heures, jouant avec leurs « amis », le plan de travail des scènes devait donc être très fl exible : rien ne pouvait être tourné si l’animal n’avait pas envie de jouer !

Mario : “LA BALADE DES ÉLÉPHANTS est une charmante fable anima-lière avec pour toile de fond un monde plein de doutes, de dangers et de peurs. C’est une histoire d’amitié qui nous porte à croire à l’impossible.

C’est une histoire d’enfants, de chasseurs de rêves, qui s’unis-sent face au monde cruel qui les entoure. Ils veulent croire à une illusion, un arc-en-ciel toujours plus lointain…

C’est aussi l’histoire de jeunes gens qui s’entraident pour essayer de comprendre notre monde moderne, j’espère que ce fi lm touchera le jeune public profondément et qu’il permettra une prise de conscience forte sur la nécessité de la sauvegarde d’une faune libre et sauvage.”

Le fi lm a été entièrement fi lmé sous le contrôle de « The Animal Anti-Cruelty League of South Africa ».

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LES NARRATEURS : deux vieux sages savants.

Deux guépards impassibles et nonchalants nous font partager leurs réfl exions et leur regard sur le règne animal.

KWAZULU raconte ce conte africain avec émotion et humour à son frère jumeau TAHOUA…

Attentifs aux rumeurs de la savane, observateurs des us et coutumes de leurs concitoyens, les deux narrateurs prolongent le décalage entre réel et imaginaire.

BOOGIE est le plus jeune des deux éléphants.C’est une sacrée « tête de mule », mais c’est aussi celui qui,

suivant son instinct, croit à l’impossible.De jeune écervelé, Boogie devient progressivement le véritable

meneur du groupe car il poursuit inexorablement son rêve jusqu’au bout… Jusqu’au bout de l’arc-en-ciel…

ZEF est l’aîné et assume la responsabilité que cela lui donne face à son jeune frère. Protéger Boogie est pour lui une véritable mission. Zef est un éléphanteau sérieux, appliqué, raisonnable, très

raisonnable même… C’est lui qui a la vision la plus « réa-

liste » des règles, des enjeux et des dangers de la savane.

Il a un petit défaut : il voit tout en noir… Il saura cependant reconnaître que son frère a grandi et acceptera de le suivre en lui accor-

dant sa confi ance.

- LES PERSONNAGES -

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CHAM, le chimpanzé surdoué (mais avec un petit défaut de prononcia-tion…) Surdoué certes, mais légère-ment allumé ! Cham se réfugie dans un monde imaginaire où il s’est octroyé le titre de « Roi de la savane », rien

de moins. Il parle des autres et de lui-même à la troisième personne. Enfi n

un léger zozotement n’arrange rien pour communiquer. Raisonneur, la voix intérieure

lui sied bien. Ses pensées fonctionnent selon une logique qui lui est propre, mais incontestable…

« Ssss’il n’y a pas de lions dans le coin, aucune raison d’avoir peur… Sssurtout pour un être sssupérieur comme moi… Brrrr… Il faudra que je réffl ésssissse à la relation entre « peur du danger» et « danger de la peur »… »

NATTY : Charmante et élégante jeune girafe aux grands yeux maquillés, sympathise immé-diatement avec Cham qui la couvre de cadeaux : bijoux et sucrerie, elle qui ne pense qu’à sa ligne… la jeune girafe est aussi à la recherche de sa mère, enlevée, bien sûr, par les terribles braconniers… comme Boogie, Natty pense qu’au bout de l’arc-en-ciel elle retrouvera sa maman….

P’TIT LION : le benjamin de l’équipe, presque un bébé. Fils de Roi, il se dit « Prince » et y croit. Rien que de plus normal quand on a été élevé dans le clan des lions. Il est capricieux, orgueilleux, exigeant…

Pour P’tit Lion, Cham n’est qu’un « sujet » qu’il pourrait bien croquer un jour de colère. Ne connaît que la loi du plus fort : il saura donc reconnaître sa faiblesse et abandonner la poursuite quand il ne s’en sentira plus la force… il arrive quand même au bon moment pour effrayer et punir les braconniers…

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RICHARD BOHRINGERle guépard Kwazulu

Sur son intervention dans le fi lm :« j’aime les animaux, j’ai une relation assez exceptionnelle avec

eux…. l’éléphant ce qui m’impressionne en lui c’est son intelligence, sa mémoire, son mythe. L’éléphant ne m’impressionne pas physiquement, il m’impressionne intellectuellement.

Pour le guépard que j’interprète ce qui me touche c’est son existence dans le fi lm, ce n’est pas ce qu’il dit mais il dit des choses justes ce guépard et puis il a envie que çà rêve un peu il en rajoute dans le rêve. Quant au singe Cham quand il se débine dans la savane, il est rigolo et il est très curieux il trouve que les autres animaux sont trop lents et ont du mal à comprendre et c’est çà qui est touchant, comme le petit lion qui dit ‘allez, cassez-vous, parce que je suis fatigué, je vous rejoindrai plus loin’ »

« Un fi lm avec des animaux c’est un ensemble : celui – ci est gai, très gai ! »

MARIO ANDREACCHIOScénariste, Producteur, Réalisateur

C’est grâce à CAPTAIN JOHNNO (International Emmy Award) que Mario Andreacchio débute une carrière dans le fi lm familial.

Mario s’est toujours entièrement dévoué au jeune public par le biais notamment, de cours et d’ateliers réguliers dans les facultés et universités où il est très souvent sollicité. Il s’est de plus, attelé à l’écriture d’un livre sur la réalisation.

Diplômé en Psychologie de la Flinders University (Australie du Sud) Mario Andreacchio décide d’entrer à la prestigieuse Australian Film & Television School pour être formé au métier de réalisateur.

Il écrit très vite des scénarios de longs-métrages et réalise huit fi lms pour le cinéma tout en dirigeant des séries télévisées, deux téléfi lms et trois mini-séries pour enfants. Mario a reçu de nombreuses récompenses pour les documentaires qu’il a réalisés.

Son fi lm, NAPOLEON, lui a été inspiré par ses enfants, qui voulaient le voir réaliser un fi lm « pour eux ». Ainsi, Napoléon réunit les dif-

férentes compétences professionnelles de Mario, touchant d’abord le documentaire puis bien sûr la fi ction dans le but de produire « un vrai festin d’images, ingénieusement rassemblées ensemble en une fabuleuse histoire» (Bill Conti, 1995).

THE REAL MACAW, l’aventure d’un perroquet qui parle, avec pour vedette Jason Robards, a été suivi de SALLY MARSHALL IS NOT AN ALIEN, une coproduction australo-canadienne, qui a été chaleureusement accueillie en Australie, plaçant ce fi lm à la deuxième place du box-offi ce australien en 1999.

Mario a ensuite achevé une production franco-américaine,YOUNG BLADES avec Ben Cross et Hugh D’Ancy. Ce fi lm retrace la jeunesse des trois mousquetaires d’Alexandre Dumas, à l’époque de leur apprentissage.

Son dernier fi lm, PARADISE FOUND, retrace la vie d’un des maîtres du courant impressionniste, Paul Gauguin, une coproduction franco-anglo-australianno-allemande que Mario a co-produit, co-écrit et réalisé, avec pour interprètes Kiefer Sutherland et Nastassja Kinski.

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GEORGES CAMPANAProducteur

En 1973, Georges Campana crée Le Sabre, une des plus importantes sociétés de production audiovisuelle en France. Il dirige la société pendant 30 ans et produit plus de 800 heures de programmes audio-visuels (séries, mini séries, téléfi lms) et des longs-métrages. Il produit notamment « Une Nounou pas comme les autres», «Strangers», une série de 16 épisodes pour HBO en partenariat avec le producteur américain Lewis Chesler, « Jessie Norman à Notre Dame de Paris», un événement de 2 heures pour Arts & Entertainment, et « Le Prince et le Souffre-douleur», téléfi lm de 90 minutes pour Disney Channel (grand prix des Ace Cable Awards en 1994).

Le Sabre rejoint le groupe Vivendi-Universal en 1994 et se spé-cialise sous l’impulsion de Georges Campana dans les coproductions internationales tournées en anglais. Georges Campana produit ainsi en 2002 « Paradise Found», un long-métrage de Mario Andreacchio avec Kiefer Sutherland et Nastassja Kinski, « Daddy» (aka Entrusted) , mini-série de prestige avec entre autres Klaus Maria Brandauer, Gio-vanna Mezzogiorno et Dominique Pinon, et « Tempo», un long-métrage pour Universal avec Melanie Griffi th, Rachael Leigh Cook et Malcolm McDowell.

Georges Campana quitte le groupe Vivendi-Universal en 2003 et fonde BREAKOUT FILMS, société basée à Paris et spécialisée dans la produc-tion de longs-métrages et programmes télévisuels de prestige.

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Réalisation Mario AndreacchioDécors Prisque SalviMusique Frank StrangioMontage Suresh AyyarDressage des Animaux Jim Stockley Zelie Thompson Craig Bullen Jamie StockleyDirecteur de la Photographie Jean-Jacques Bouhon - AFC

Effets VisuelsCoordination Katherine SzuminskaProduction Sara HenschkeProductrices Associées Rachel Evans Artis Astrid LecerfCoproducteurs Francois Lesterlin Adam KrentzmanDirection de Production Rocky BesterAdaptation française Patrice GautierScénario et dialogues Mario Andreacchio John Wild Denis Whitburn

Producteurs délégués Mario Andreacchio Georges Campana

Adaptation Patrice GAUTIER

Direction Artistique Catherine BROTCodirection Artistique(Rôle de Kwazulu) Virginie MERYIngénieur du son Enregistrement Joseph KATRICALAIngénieur du son Mixage Frédéric LE GRAND

Avec les voix deRICHARD BOHRINGER KwazuluJEAN-FRANCOIS BALMER TahouaHUBERT BENHAMDINE BoogieLUDOVIC BAUGIN ZefEMMANUEL KARSEN ChamAYLIN PRANDI NattyBRIGITTE LECORDIER P’tit lion

MYRIAD PICTURES& BREAKOUT FILMS & ADELAIDE

MOTION PICTURE COMPANYEn association avec

OUTLOOK FILMS& FILM FINANCE CORPORATION

AUSTRALIA LIMITEDAvec la participation de CANAL +

Une coproductionFrance-AustralieDurée : 1h34

United International Pictures

- Fiche Technique -

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