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Direction des Etudes et des Prévisions Financières Tableau de Bord Sectoriel 2015
Sommaire
Présentation générale .......................................................................................................................... 1
1- Secteur agricole .................................................................................................................................. 2
2- Secteur des pêches maritimes ................................................................................................... 3
3- Secteur des mines ............................................................................................................................. 4
4- Secteur de l’eau .................................................................................................................................. 5
5- Secteur de l’énergie ......................................................................................................................... 6
6- Secteur de l’industrie ................................................................................................................... 7
7- Secteur de l'artisanat ..................................................................................................................... 9
8- Secteur du bâtiment et travaux publics .............................................................................. 10
9- Secteur des transports ................................................................................................................... 11
10- Secteur du tourisme ...................................................................................................................... 12
11- Secteur des télécommunications............................................................................................ 13
12- Secteur des assurances ............................................................................................................... 14
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Direction des Etudes et des Prévisions Financières Tableau de Bord Sectoriel 2015
Présentation générale
Dans un contexte mondial en pleine reconfiguration, le Maroc fait face au défi majeur d’accélérer son
processus de transformation structurelle et son insertion dans les chaînes de valeur qui refaçonnent la
physionomie du commerce international et les spécialisations sectorielles mondiales avec un
recentrage de plus en plus marqué autour de grandes zones émergentes.
L’impulsion d’une véritable transformation structurelle de notre modèle de développement passe,
inéluctablement, par le développement d’un tissu productif compétitif et créateur de richesses et
d’emplois décents. En effet, l’analyse rétrospective de la contribution des différentes branches
d’activité à la dynamique de croissance et de l’emploi qualifié dénote clairement des gaps qui restent à
rattraper en termes de modernisation de notre base productive. Dans ce sens, les différentes
stratégies lancées au cours de ces dernières années ont permis, certes, d’impulser une nouvelle
dynamique dans des secteurs stratégiques à l’instar de l’agriculture et de l’industrie, mais il n’en
demeure pas moins que des défis majeurs restent à relever, notamment, en termes de montée en
chaîne de valeur, de valorisation/commercialisation, de formation et de logistique, afin de tirer profit
des opportunités qui s’offrent sur le plan national, régional et international et de parer aux risques
inhérents à la recrudescence de la concurrence aussi bien sur le marché intérieur qu’extérieur.
En outre, l’économie marocaine s’est inscrite dans un processus de tertiarisation avec une part dans
la valeur ajoutée globale de 55%, en gain de 2,8 points par rapport aux années 80. En effet, les
stratégies couvrant les secteurs des services et d’appui sont appelées à consolider leur rôle central
dans la création de richesse et d’emploi et dans l’accompagnement du processus de transformation
structurelle du tissu productif moyennant une plus ample complémentarité entre ces deux pans de
l’économie.
La présentation de ce tableau de bord est conçue de manière à faire ressortir les mutations
structurelles de l’économie marocaine depuis 2000. Les graphiques et tableaux réunis dans ce
document permettent de retracer l'essentiel des tendances sectorielles de l’économie marocaine.
Les thèmes suivants : la contribution sectorielle à la croissance économique, le secteur agricole, le
secteur des mines, le secteur de l’énergie et de l’eau, le secteur de l’industrie, le secteur du bâtiment, le
secteur des transports, le secteur du tourisme, le secteur des postes et télécommunications et le
secteur des assurances seront successivement abordés.
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1- Secteur agricole
La politique agricole marocaine a été marquée par la mise en œuvre à partir de 2008, sur Hautes
Instructions Royales, du Plan Maroc Vert qui vient consacrer la place importante et le rôle primordial
du secteur agricole dans le développement économique et social du pays.
En vue de réaliser ses objectifs de restructuration et de modernisation de l’agriculture marocaine, le
PMV a déployé des efforts d’investissements conséquents. Ainsi, les fonds mobilisés, qu’ils soient
publics ou privés, se sont consolidés entre 2008 et 2013, passant de près de 7,4 à environ 13,8
milliards de dirhams en 2013. Cette dynamique, impulsée par l’investissement public, a engendré
dans son sillage aussi bien un renforcement des investissements privés qu’une diversification des
sources de financement, dont, notamment, les investissements directs étrangers (IDE) qui ont été
multipliés par près de 10 fois sur la même période.
Cet élan positif de financement a commencé à produire des effets tangibles sur les performances du
secteur. En effet, sur les cinq dernières années (2008-2013), le taux de croissance du secteur agricole
a oscillé autour d’une moyenne de 9,3% contre 4,3% pour l’économie nationale.
En outre, les efforts déployés ont permis d’améliorer la production des diverses filières agricoles
grâce, notamment, au dynamisme des professionnels et au soutien de l’Etat dans le cadre du Fonds
de Développement Agricole. Ainsi, les productions en volume des principales filières végétales ont
connu un essor considérable à l’instar de la filière agrumicole (+77,7% entre 2008 et 2014, soit la
réalisation de 75,9% de l’objectif de 2020) et oléicole (+105,1% entre 2008 et 2014, soit 62,8% de
l’objectif de 2020). De même, les filières animales ont connu une croissance notable à la faveur,
notamment, du programme d’amélioration génétique qui a permis d’augmenter le poids moyen du
bétail de près de 20%. En termes de production animale, les résultats ont été généralement
favorables, en particulier pour les filières laitière, de viandes rouges et avicole avec des taux de
croissance respectifs de la production de 27,8%, de 29,3% et de 14,3% entre 2008 et 2014, soit des
taux de réalisation des objectifs de 2020 de 46%, de 80,1% et de 62,2% respectivement.
D’un autre côté, et s’agissant de la gestion des ressources en eau, des actions structurantes ont été
renforcées, notamment dans le cadre du Programme National d’Economie d’Eau d’Irrigation
(PNEEI) permettant de presque doubler la superficie équipée en systèmes d’irrigation localisée
(goutte-à-goutte) sur la période 208-2013 en passant de 186.000 à 363.000 hectares, représentant
25% de la superficie totale irriguée du pays et près de 66% de l’objectif du PMV à l’horizon 2020. Par
ailleurs, il a été procédé à l'extension de l'irrigation sur une superficie de près de 155.000 ha associée
aux barrages réalisés ou en cours de réalisation permettant de valoriser près de 1 milliard de m3.
Le secteur primaire joue un important rôle économique, social et environnemental dans notre
pays. Il a représenté près de 15,5% du total des valeurs ajoutées aux prix courants durant la
période 2008-2013, 14,4% pour l’agriculture et 1,1% pour la pêche. Il a contribué pour 1,3 point
à la croissance réelle du PIB (4,1%) sur la même période et emploie plus de 4 millions de
personnes, soit 39,3% de la population active occupée.
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Par ailleurs, le PMV a intégré le développement de l’agriculture solidaire au centre de sa vision
stratégique dans l’objectif d’assurer la stabilité et l’amélioration du revenu de cette catégorie. Pour
cela, des ressources conséquentes ont été mobilisées, visant, notamment, le renforcement de la
production et la facilitation de l’accès aux marchés. Dans ce cadre, le total des projets réalisés depuis
le lancement du PMV atteindra, à fin 2014, 492 projets de l’agriculture solidaire représentant près de
90% des objectifs du pilier II, avec des investissements publics de près de 13,3 milliards de dirhams
au profit de 720.000 bénéficiaires. A noter que le progrès effectif de ces projets a permis de réaliser
une amélioration nette du revenu annuel des bénéficiaires estimée à près de 5.000 dirhams.
S’agissant de la commercialisation des produits agricoles, le Maroc œuvre, dans le cadre du PMV,
pour le renforcement de la compétitivité de ses produits agricoles en vue de consolider les
performances importantes réalisées, en particulier, pour les filières de la tomate (6,8% de part de
marché mondial en 2012) et des conserves d'olive (7,6%). De même, l’accent est davantage mis sur la
diversification en termes de produits et de débouchés des exportations agroalimentaires nationaux
dans l’objectif de réduire leur double concentration : trois segments seulement (agrumes, tomates et
légumes frais ou congelés) cumulent en moyenne 78% de ces exportations et un seul marché (UE)
s’en accapare 77%.
2- Secteur des pêches maritimes
Le secteur des pêches marocain figure parmi les créneaux sectoriels à fort potentiel à l’export
pouvant jouer un rôle déterminant dans l’allégement du déficit de la balance commerciale et le
renforcement du positionnement compétitif du Maroc sur un marché international des produits de la
mer en pleine expansion.
En effet, la richesse de nos côtes en poissons, la proximité aux marchés, notamment européens, les
accords de libre-échange et régionaux conclus avec les partenaires étrangers et l'expérience
accumulée par les industriels marocains dans le domaine du conditionnement et de la transformation
des produits de la pêche, sont autant de facteurs qui confèrent au Maroc un avantage compétitif
indéniable pour se positionner sur le marché mondial des produits de la mer. De même, la mise en
œuvre de la stratégie intégrée Halieutis contribuerait à l’atteinte de cet objectif.
L’année 2014 a été marquée par l’accélération de la mise en œuvre du plan d’aménagement des petits
pélagiques (le taux de couverture du plan d’aménagement des pêcheries nationales a atteint 85% et il
est prévu d’atteindre 95% en 2015), la poursuite du programme -IBHAR II- relatif à la mise à niveau
et la modernisation de la pêche côtière et artisanale, l’achèvement du programme d’abandon des filets
maillants dérivants (l’opération d’indemnisation a concerné 1.857 navires pour un coût s’élevant à
256 millions de dirhams) ainsi que la poursuite du Plan National d’Aménagement du Littoral
prévoyant la réalisation de Points de Débarquement Aménagés (PDA) et de Villages De Pêcheurs
(VDP).De même, la préservation de la qualité des produits de la mer a été renforcée par la poursuite
du programme de mise en place de 5 millions de contenants normalisés pour un coût de 330 millions
de dirhams.
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Parallèlement, d’autres actions stratégiques ont concernées la poursuite du plan national de
développement de l’aquaculture et portant, notamment, sur la régulation et l’aménagement du littoral
(à l’instar du projet visant le développement de l'aquaculture dans le littoral de la région de Tanger-
Tétouan à travers des concessions).
Concernant le renforcement de la coopération internationale, un nouvel accord de pêche liant le
Maroc et l’Union Européenne est entré en vigueur le 15 juillet 2014 pour une durée de quatre ans.
Cet accord autorise 126 bateaux européens à exercer dans les eaux territoriales marocaines dans les
limites du reliquat disponible et en échange d’une compensation financière annuelle de 40 millions
d’euros.
3- Secteur des mines
Le secteur minier constitue une composante essentielle de l’économie nationale, grâce à l’existence
d’un contexte géologique favorable qui a permis de développer l'activité minière dans de nombreuses
régions du Royaume. L’importance de ce secteur se traduit par sa contribution au PIB qui avoisine
actuellement 5%, son poids dans les exportations nationales qui représente près de 27% et ses
retombées bénéfiques sur le développement régional et rural.
En effet, la consolidation des politiques suivie par notre pays en matière de développement de la
recherche minière, de la promotion de projets miniers, de la diversification de la production, de la
modernisation des méthodes et moyens d'extraction, et la politique de formation professionnelle a
permis d'aboutir à des résultats satisfaisants et à conférer au Maroc une place de choix parmi les pays
à vocation minière.
Cependant, il convient de souligner les efforts déployés en matière d’exploration minière qui
constitue la pierre angulaire de cette activité fortement capitalistique. Ces efforts peuvent être
appréhendés à travers la mise en place du « Plan National de Cartographie Géologique » qui vise à
doter le pays d’une infrastructure géologique appropriée, outil essentiel au développement de la
recherche minière et pétrolière, à l’évaluation des ressources en eau, à l’aménagement du territoire, à
la protection de l’environnement, ainsi qu’à la prévention des risques naturels. L’activité géologique a
été marquée par la poursuite des travaux relatifs à la réalisation de 37 cartes géologiques d’une part et
le lancement de 3 cartes géochimiques et de 4 cartes géologiques d’autre part.
D’un autre côté le Maroc et à travers l’OCP SA, a lancé une stratégie dont les principaux axes sont le
développement de sa position de leadership, la conquête de nouveaux marchés, le développement
industriel et la garantie de la disponibilité des ressources financières nécessaires au développement du
groupe. Dans ce sens, un programme d’envergure axé sur un chantier industriel a été mis en place
avec un montant d’investissement global de 118 milliards de dirhams à l’horizon 2025. Ce
programme, qui s’inscrit dans une démarche intégrée porte, notamment, sur :
Le secteur des mines contribue à hauteur de 4,8% du total des valeurs ajoutées aux prix courants
et 16,1% de celles relatives aux activités secondaires entre 2008 et 2013. Il emploie directement
plus de 67,7 milliers de personnes soit 0,6% de la population active occupée.
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La consolidation de la stratégie de valorisation du phosphate à travers d’importants investissements,
notamment, au niveau des sites de Jorf Lasfar et de Safi. Le complexe chimique de Jorf Lasfar,
qui mobilise 40 milliards de dirhams, prévoit la réalisation d’un ensemble d’usines intégrées
d’engrais1, d’une unité de dessalement d’eau de mer… De son côté, le projet Safi Phosphate
Hub prévoit 30 milliards de dirhams d’investissement2 sur une dizaine d’années.
L’extension des capacités d’extraction d’environ 20 millions de tonnes pour atteindre 50 millions de
tonnes/an à l’horizon 2025 ainsi que le développement du traitement du minerai à travers la
construction de 4 laveries3 pour une capacité de 44 millions de tonnes de haute technologie.
Le renforcement de la logistique et des infrastructures de transport pour accompagner la politique de
réduction substantielle des coûts à travers l’entrée en service en 2014 du pipeline Khouribga-
Jorf Lasfar (235 km). Parmi les projets structurants, il convient, également, de citer l’extension
du port Jorf Lasfar (3,3 milliards de dirhams) et la construction du nouveau port phosphatier
de Safi (3 milliards de dirhams) qui sera amené à traiter, à terme, 14 millions de tonnes par an.
4- Secteur de l’eau
Le secteur de l’eau au Maroc fait l’objet d’enjeux majeurs, en relation, notamment, avec la rareté
hydrique due à l’irrégularité pluviométrique spatiale et temporelle et une vulnérabilité aussi bien aux
changements climatiques qu’aux effets négatifs des activités humaines. Ajoutés à cela, les coûts
croissants de mobilisation et l’insuffisance des financements, la pollution hydrique, la valorisation peu
optimale des eaux mobilisées, la surexploitation des eaux souterraines, ainsi que la faiblesse de la
coordination.
Pour relever ces défis, notre pays déploie davantage d’efforts, notamment dans le cadre de la stratégie
nationale de l’eau lancée en 2009 et le Plan National de l’Eau (PNE) et ce, tout en focalisant les
actions sur la gestion complémentaire de l’offre/demande dans une optique de développement
durable et de plus d’équité entre le rural et l’urbain.
1 Dans ce cadre, deux nouvelles lignes de granulation d’engrais d’une capacité annuelle de production de 850.000 tonnes chacune, sont opérationnelles depuis avril 2013 et quatre usines intégrées de production d’engrais sont prévues dont deux seront opérationnelles en 2014. 2 Cet investissement prévoit la création de cinq unités de production d’acide sulfurique (1,4 million de tonnes chacune), d’une centrale thermique de 350 MW, de cinq unités phosphoriques (450.000 tonnes chacune), de diverses unités de production d’engrais (DAP, NPK, TSP), d’une usine de dessalement d’eau de mer… 3 Le Groupe a mis en service, depuis 2012, la laverie Merah-Lahrach, la plus grande au monde, réalisée pour un investissement global de 2,5 milliards de dirhams avec une capacité de traitement de 7,2 millions de tonnes.
En 2014, le potentiel hydrique au Maroc est évalué à 22 milliards de m3 par an. La production
d’eau potable est de 972 millions m3, le nombre de grands barrages a atteint 139 avec une
capacité de stockage de 17,6 milliards de m3. En termes d’irrigation, les aménagements hydro-
agricoles ont concerné, à fin 2013, 74,8% du potentiel irrigable. Concernant l’eau potable, le taux
d’accès a atteint en milieu urbain 100% contre 94% en milieu rural.
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La mise en œuvre de la stratégie nationale du secteur de l’eau a connu une dynamisation à travers la
concrétisation et le renforcement de plusieurs actions stratégiques relatives, notamment, à la
diversification de l’offre hydrique, la gestion de la demande ainsi que le développement de l’eau
potable et l’assainissement.
En matière de développement de l’offre hydrique, le nombre de grands barrages dont dispose notre
pays s’est élevé à 139 en 2014 avec une capacité de stockage évaluée à 17,6 milliards de m3, sachant
que 13 grands barrages sont en cours de réalisation, avec une capacité de stockage additionnelle de
2,6 milliards m3.
S’agissant de l’irrigation, l’aménagement hydro-agricole a concerné à fin 2013, près de 682.600 ha
dans les grands périmètres d’irrigation et 334.130 ha d’irrigation pérenne dans la PMH et ce, sur des
potentiels irrigables respectivement de 880.160 ha et de 480.000 ha.
Quant à l’économie d’eau d’irrigation, l’accélération de la mise en œuvre du Programme National
d’Economie d’Eau d’Irrigation (PNEEI), qui sera réalisé sur une période de 20 ans (2010-2030), a
permis de porter à fin 2013 les superficies équipées en techniques économes en eau à près de 360.000
ha et il est estimé à fin 2014 d’atteindre près 410.000 ha. Ce programme permettra de réaliser, à
terme, une économie d’eau de l’ordre de 2,4 milliards de m3/an.
En ce qui concerne l’accès à l’eau potable, il est généralisé en milieu urbain avec une population
desservie dépassant 18 millions d’habitants (94% alimentée par branchements individuels et 6% par
bornes fontaines à fin 2013). En milieu rural, le taux d’accès a atteint à fin 2013 plus de 94% (dont
30% de branchement individuel) et il est prévu d’atteindre 96,5% à l’horizon 2017.
Quant à l’assainissement, le taux de raccordement au réseau en milieu urbain a atteint à fin 2013
environ 73% avec des niveaux prévus de 75% en 2016, de 80% en 2020 et de 100% à l’horizon 2030.
En milieu rural, ce taux ne dépasse pas 40% sachant que l’utilisation des fosses septiques est en
moyenne de 35% à 40%. Pour la part des eaux usées épurées, elle a atteint en 2013, 36% des eaux
rejetées et il est prévu qu’elle atteigne près de 100% à l’horizon 2030.
5- Secteur de l’énergie
En vue de contenir la hausse continue de sa facture énergétique et conscient de l’avenir prometteur
des sources d’énergie verte, le Maroc a hissé en priorité le développement des énergies renouvelables
sur l’ensemble de son territoire pour porter leur part à 42% de la capacité totale à l'horizon 2020.
L’année 2013 marque, dans cette perspective, un tournant dans ce processus de transition
énergétique avec une contribution des sources d’énergie renouvelables (hydrique et éolienne) portée à
16,2% de la production électrique globale au lieu de 4% en 2009. Outre le poids de la production
hydraulique (11,15% en 2013), force est de constater la forte percée de la production éolienne qui a
Le secteur de l’énergie contribue à hauteur de 2,7% du total des valeurs ajoutées aux prix
courants et 9,1% de celles relatives aux activités secondaires entre 2008 et 2013. Il emploie
directement plus de 37,9 milliers de personnes soit 0,4% de la population active occupée.
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plus que tripler entre 2009 et 2013 en relation avec les projets éoliens développés, notamment, dans
le cadre de la loi 13-09.
Cet élan remarquable devrait se renforcer davantage avec le démarrage progressif des deux grands
projets structurants et intégrés du solaire et de l’éolien. Ainsi et pour le programme éolien, piloté par
l’ONEE et qui prévoit d’atteindre une capacité de 2.000 MW à l’horizon 2020, 380 MW sont déjà
opérationnels, dont 100 MW ont été réalisés par des entreprises privées dans le cadre de la loi 13-09
et environ 550 MW sont en cours de mise en place et une capacité de 250 MW est en
développement.
Concernant le plan solaire, les travaux de réalisation de la première phase du complexe Nour à
Ouarzazate, d’une capacité de 160 MW (sur une puissance attendue de 500 MW) sont entamés pour
un investissement global estimé à 600 millions d’euros et une entrée en service prévue pour l’année
2015. En outre, un processus de pré-qualification pour des projets de production indépendante
consistant en la conception, le financement, la construction, l’exploitation et la maintenance d’une ou
plusieurs centrales thermo-solaires d’une capacité totale d’environ trois cents mégawatts, a permis de
pré-qualifier des consortiums soumissionnaires pour NOOR II (200 MW) et NOOR III (100 MW).
Par ailleurs, pour une utilisation plus rationnelle de l’énergie, plusieurs actions ont été, ainsi,
entreprises dont, en particulier, l’avènement du code d’efficacité énergétique dans le bâtiment,
l’installation des chauffe-eau solaires, la généralisation d’audits énergétiques dans l’industrie, la
promotion de l’utilisation des lampes à basse consommation, l’entrée en vigueur d’une tarification
sociale et incitative de type "20-20" ainsi que l’instauration de l’horaire GMT+1.
l’Etat et l'Office National de l'Electricité et de l'Eau potable (ONEE) ont signé, récemment, un
contrat-programme couvrant la période 2014-2017 qui vise à assurer le redressement de la situation
financière de l’ONEE et le financement de son plan d’équipement de près de 50 milliards de
dirhams. De ce fait, l’Office devra réduire la part du fuel dans son mix énergétique de 14% en 2013 à
5% en 2017, augmenter sa marge de réserve de 11% à 18% sur la même période et renforcer son
réseau de transport.
6- Secteur de l’industrie
La modernisation progressive du tissu industriel national et son ancrage dans les chaînes de valeur
mondiales observée au cours de ces dernières années est le fruit de l’émergence de nouvelles
spécialisations à plus forte contribution à la valeur ajoutée, à l’emploi qualifié et aux exportations. Ces
nouveaux secteurs ont permis de mieux positionner le Maroc en tant que destination industrielle
crédible et compétitive tels, l’automobile, l’aéronautique et l’offshoring.
Le secteur de l’industrie contribue à hauteur de 15,5% du total des valeurs ajoutées aux prix
courants et 52,5% de celles relatives aux activités secondaires entre 2008 et 2013. Il emploie plus
de 1,2 million de personnes soit 11,4% de la population active occupée.
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En effet, le secteur automobile renforce progressivement son positionnement dans la chaîne de
valeur mondiale avec une production dépassant 167.450 véhicules grâce à l’implantation du projet
Renault à Tanger (plus de 100.000 véhicules en 2013) permettant au Maroc de devenir le deuxième
producteur de véhicules en Afrique après l’Afrique du Sud avec une part de marché de 26% en 2013
contre seulement 5% en 2003. Ce positionnement de l’industrie automobile devrait se renforcer
davantage avec l’entrée en service de la deuxième tranche l’usine Renault-Tanger portant sa capacité
totale à 340.000 véhicules4. En 2014, cette usine a produit 175.000 véhicules en hausse de 74% par
rapport à 2013 portant ainsi la production automobile totale du Maroc à 227.579 véhicules (y
compris la production de SOMACA). Corollairement, les exportations de cette industrie ont dépassé
en 2014 le cap de 40 milliards de dirhams hissant, ainsi, le secteur au premier rang des activités à
l’export. Cette dynamique remarquable a permis de booster l’emploi qualifié et hautement qualifié
dans le secteur qui a évolué de plus 16% par an à partir de 2008 pour se situer à plus de 80.000
emplois en 2013.
De même, le secteur aéronautique a enregistré un essor aussi remarquable comme en témoigne son
chiffre d’affaires à l’export qui a atteint est de plus de 7,2 milliards de DH en 2013 contre 3,6
milliards de DH en 2008, soit une croissance annuelle moyenne de 15%. Cette activité emploie près
de 9.500 salariés hautement qualifiés contre 5.769 employés en 2008.
Par ailleurs, les efforts déployés dans le secteur de l’offshoring ont permis de porter le chiffre
d’affaires à 7,21 milliards de DH en 2013 contre 4,15 milliards de DH en 2008 et de générer une
hausse importante des emplois créés qui ont atteint 57.000 postes en 2012 contre près de 27.400
postes en 2008.
Pour l’industrie du textile-habillement, son poids dans la valeur ajoutée globale est passé de 4,5% à
2,7% entre 2000 et 2013. De même le nombre d’entreprises et d’emplois dans la filière ont connu
une chute de 32% et 17% respectivement durant la dernière décennie. Les exportations et au gré des
aléas de la conjoncture internationale et en particulier en Europe, ont connu une évolution erratique
durant la même période.
En outre, l’industrie agroalimentaire occupe une place importante dans l’industrie nationale en
contribuant pour près de 30% à la valeur ajoutée industrielle, de 23% à l’emploi et de 12% aux
exportations industrielles. Cette industrie renferme un fort potentiel de croissance eu égard aux
avantages comparatifs dont bénéficie le Maroc et qui incite à une plus ample diversification aussi bien
de marchés que de produits.
Capitalisant sur les réalisations et les acquis du Pacte Emergence, le Gouvernement a lancé en avril
2014 un programme d'accélération industrielle 2014-2020 qui vise à donner une nouvelle impulsion à
l’ensemble du secteur industriel en maintenant le cap des nouveaux Métiers Mondiaux du Maroc et
d'intégrer les autres filières traditionnelles de notre tissu industriel. Il s’agit d’une feuille de route
claire et ciblée qui assigne au secteur les objectifs généraux suivants, à l’horizon 2020 :
4 L’usine Renault de Tanger a célébré, le mardi 5 mai 2015, la sortie de sa chaîne de production de son
400.000ème véhicule depuis le lancement de son activité en février 2012.
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La création d’un demi-million d’emplois, provenant à parts égales des IDE et du tissu
industriel national rénové ;
L’accroissement de la part industrielle dans le PIB de 9 points, passant de 14% à 23% en 2020 ;
L’amélioration de l’équilibre de la balance commerciale.
Pour réaliser ces objectifs chiffrés, la nouvelle stratégie se décline en 10 mesures clefs regroupées en
3 classes, à savoir : le développement des écosystèmes, la mise en place des outils de soutien et le
renforcement du rayonnement à l’international.
7- Secteur de l'artisanat
L'artisanat marocain reflète la richesse culturelle ancestrale propre au pays et représente un important
gisement économique. De nombreux indicateurs économiques attestent à quel point le secteur de
l'artisanat est primordial pour l'économie marocaine mais aussi pour une grande partie de la
population. Outre la place importante qu’il occupe dans le tissu économique national, il a la
particularité de véhiculer le contenu civilisationnel et artistique de notre pays.
En effet, et vu l’importance de ce secteur, le Gouvernement s’est doté d’une stratégie pour le secteur
de l’artisanat dénommée «Vision 2015» qui vise à répondre à un double objectif. D’une part, adopter
une politique volontariste pour créer suffisamment de nouveaux emplois. D’autre part, illustrer le
nouveau rôle de l’administration qui doit passer d’une administration de gestion à une administration
de développement.
En d’autres termes, l’Etat devient un entraîneur qui choisit des axes de développement et oriente et
encadre les acteurs privés. Le secteur privé pour sa part, se voit investi de la mission de mise en
œuvre de ces axes de développement et de création d’emplois.
Le Maroc bénéficie actuellement d’une grande visibilité à l’international – due notamment aux effets
de la mise en place de la stratégie de développement du secteur touristique. Ceci a favorisé un regain
d’intérêt pour tout ce qui a trait au Maroc, en particulier l’art de vivre marocain ainsi que la culture et
la cuisine marocaines. Cet intérêt se matérialise par une forte demande potentielle pour les produits
représentatifs du Maroc, plus particulièrement les produits artisanaux à fort contenu culturel, et ce à
la fois sur le marché national et à l’étranger.
Le secteur de l’artisanat à fort contenu culturel a su conserver en 2012 un rythme de croissance
positif en comparaison avec les années précédentes. Le chiffre d’affaires global du secteur a atteint
19,1 milliards de dirhams, enregistrant un taux de croissance de 8,3% comparé à l’année 2011.
Le secteur est en passe de réaliser les objectifs assignés de la Vision 2015 qui prévoyaient de doubler
le chiffre d’affaires du secteur de l’artisanat à fort contenu culturel. L’augmentation du chiffre
d’affaires a concerné les mono-artisans citadins, cette catégorie d’artisans y a contribué à hauteur de
Le chiffre d’affaires du secteur de l’artisanat a atteint 19,1 milliards de dirhams, enregistrant une
croissance annuelle moyenne de 13% entre 2007 et 2012. Le nombre de travailleurs a compté
plus de 386.700 personnes avec un chiffre quasi-stable concernant les artisans citadins (+0,48%).
10
Direction des Etudes et des Prévisions Financières Tableau de Bord Sectoriel 2015
76,9%, les PME y ont participé à hauteur de 12,5% tandis que les mono-artisans ruraux y ont
contribué à hauteur de 10,6%.
D’autre part, le marché intérieur accapare une large part du chiffre d’affaires du secteur, aussi bien en
ce qui concerne les mono-artisans que les PME, la contribution des touristes et des Marocains
Résidents à l’Etranger n’atteint que 8,4% du chiffre d’affaires global.
Il importe de souligner que la place que revêt le marché intérieur est l’une des principales causes qui
ont permis à ce secteur d’enregistrer cette évolution et ce malgré une conjoncture internationale
difficile.
8- Secteur du bâtiment et travaux publics
Le secteur du logement s’est inscrit durant les dernières années, dans une phase de ralentissement
comme en témoigne l’évolution structurelle de ses principaux baromètres d’activité. En effet et après
avoir enregistrée une forte expansion entre 2003 et 2008, avec un taux de croissance moyen de 8,6%,
la valeur ajoutée du secteur du BTP a nettement ralenti pour ne progresser que de 3,1% en moyenne
entre 2009 et 2012 et de seulement 1,4% en 2013. De même, la contribution de ce secteur à la
croissance économique nationale a connu un pic de 0,7 point de pourcentage en 2007 pour se situer
à 0,1 point en 2013. Etant un grand pourvoyeur d’emploi, le secteur du BTP a enregistré une création
annuelle moyenne de 47.432 postes entre 2003 et 2011, mais il a accusé des pertes de 20.937 postes
en 2012 et de 49.827 emplois en 2013.
Ce ralentissement de l’activité dans le secteur de la construction est, également, perceptible à partir
des ventes de ciment dont le rythme de progression annuelle moyenne est passé de 8,8% sur la
période 2003-2008 à 3,2% entre 2009 et 2012. En 2013 et 2014, le ralentissement des ventes du
ciment a été plus prononcé, enregistrant des replis respectifs de 6,3% et de 5,4%. De même, le
rythme de croissance d’octroi des crédits immobiliers a connu une décélération notable. Ainsi, le
rythme de croissance de l’encours des crédits immobiliers est passé de 14,9% en 2008 à 6,2% en
2014 pour l’habitat et de +58,5% à une baisse de -5,6% pour la promotion immobilière.
Cependant et malgré la conjoncture difficile que connaît actuellement le secteur de l’immobilier, les
pouvoirs publics ont maintenu leurs efforts dans la concrétisation des objectifs fondamentaux de la
politique d’habitat. Ainsi, le déficit en logements continue sa tendance baissière en reculant de
746.000 unités en 2012, pour se stabiliser à 650.000 unités en 2013.
Les actions publiques en matière de la restructuration de l’habitat non réglementaire ont permis
d’améliorer les conditions de vie de près d’un million de ménages sur la période 2002- juin 2014.
S’agissant de la lutte contre les bidonvilles, 51 villes ont été déclarées sans bidonvilles sur les 85 villes
et communes urbaines ciblées par le programme « Villes sans Bidonvilles ».
Le secteur du bâtiment et travaux publics contribue à hauteur de 6,6% du total des valeurs ajoutées aux
prix courants et 22,3% de celles relatives aux activités secondaires entre 2008 et 2013. Il emploie près
d’un millions de personnes soit 9,3% de la population active occupée, dont 11% dans le milieu
urbain.
11
Direction des Etudes et des Prévisions Financières Tableau de Bord Sectoriel 2015
Le logement destiné aux classes moyennes constitue, en effet, un relais important de croissance pour
le secteur de l’immobilier. Ce créneau bénéficie de leviers solides, notamment, en matière d’une
demande avérée (estimée à 20.000 unités/an), d’une clientèle relativement solvable et d’un dispositif
d’encouragement qui commence à générer de l’intérêt auprès des promoteurs immobiliers,
notamment, après les amendements introduits dans le cadre de la Loi de Finances 2014.
Eu égard aux défaillances qui caractérisent la planification urbaine, la nouvelle génération de
politiques publiques à savoir « la politique de la ville » adoptée en 2012, est appelée à jouer un rôle
indéniable dans la transition de nos villes vers des espaces urbains intégrés aux services de leurs
populations et aptes à lutter contre l’exclusion sociale. Cependant, l’aboutissement de cette nouvelle
politique reste tributaire d’une meilleure définition de son contenu et de sa portée.
9- Secteur des transports
Le Maroc a pu durant ces dernières années, réaliser une véritable rupture dans le développement des
infrastructures de transport (autoroutes, ports, chemins de fer…) et franchir d’importantes étapes
dans le processus de réforme, de libéralisation et d’introduction de la concurrence dans les différents
modes de transport terrestre, maritime et aérien, comme dans le secteur portuaire.
Notre pays est doté d’un réseau autoroutier favorisant les échanges entre les différents pôles
régionaux dans les meilleures conditions de transport et de sécurité. Aujourd’hui, le Maroc dispose de
1.511 km d’autoroutes ouvertes à la circulation.
Parallèlement au développement des autoroutes, les projets routiers constituent un levier majeur de
développement économique et social permettant la promotion des échanges commerciaux,
touristiques et culturels entre les régions du Royaume. En effet, le Gouvernement a réalisé une étude
qui a défini une feuille de route traçant la stratégie à adopter dans le secteur routier à l’horizon 2035.
Pour les voies express, le Gouvernement vise le renforcement de la trame d’infrastructures de relais
entre le réseau autoroutier et les routes classiques. Ainsi à fin 2014, le Maroc a pu réaliser un linéaire
d’environ 778 Km alors que 341 km de voies express sont en cours de construction. Ces réalisations
s’inscrivent dans le cadre du programme national des voies express qui vise à atteindre 1300 km à
l’horizon 2016.
Concernant le second Programme National des routes Rurales (lancée en 2005), à fin septembre
2014, le linéaire total réalisé et ouvert à la circulation a atteint 11.326 km sur les 15.600 km
programmés, permettant ainsi de désenclaver une population de 2,7 millions d’habitants et
enregistrer un taux d’accessibilité de 78% contre 54% en 2005, et 80% prévu en 2015.
Le secteur de transport contribue à hauteur de 3,9% du total des valeurs ajoutées aux prix
courants et 7,1% de celles relatives aux activités tertiaires entre 2008 et 2013. Ce secteur emploie
plus de 500.000 personnes soit 5% de la population active occupée, dont 6,6% dans le milieu
urbain.
12
Direction des Etudes et des Prévisions Financières Tableau de Bord Sectoriel 2015
En matière de sécurité routière, le Gouvernement poursuivra ses efforts pour la lutte contre les
accidents de circulation eu égard à leur coût social et économique lourd. En effet, ce fléau fait
supporter à l’Etat un coût de près de 13 milliards de dirhams par an et décime quotidiennement la vie
de 11 citoyens et provoque 34 blessés graves par jour.
S’agissant du transport ferroviaire, Le contrat programme Etat-ONCF 2010-2015 vise à doter le
Maroc d’une infrastructure ferroviaire à même de contribuer au développement socio-économique
du pays. A cet effet, un programme d’investissement ambitieux s’élevant à 32,8 milliards de dirhams
est en cours de mise en œuvre dont les deux composantes majeures sont : le projet de Train à
Grande Vitesse (TGV) d’un coût estimé à 20 milliards de dirhams dont les travaux de réalisation ont
enregistré, à fin 2014, un taux de 61%, et la poursuite de la modernisation du réseau ferroviaire
actuel.
Pour le transport portuaire, notre pays s’est doté d’une nouvelle stratégie portuaire nationale à
l’horizon 2030, basée sur la protection des acquis et l'adoption d'une approche participative et
constructive, après le succès du Port Tanger-Med sur le plan international et régional.
Concernant la multiplication des dessertes et des connexions avec les aéroports étrangers, la
compagnie nationale aérienne Royal Air Maroc (RAM) a annoncé en 2014 son programme qui vise le
renforcement de son réseau en Afrique par la desserte de 31 destinations dans le continent. En plus
de l’augmentation de son offre sur Londres au départ de Casablanca, en passant de 10 à 14 vols par
semaine.
10- Secteur du tourisme
Le Gouvernement poursuit la mise en œuvre de la Vision 2020 visant à doter notre pays d’une offre
touristique solide, diversifiée et équilibrée à même de faire du tourisme l’un des moteurs du
développement économique, social et culturel du Maroc.
Sur le volet investissement et s’inscrivant dans l’élan enregistré en 2013 avec plus de 18 milliards de
dirhams de projets touristiques conventionnés, le secteur a pu drainer 14,2 milliards de dirhams au
titre du 1er semestre 2014. Par ailleurs, le secteur devrait profiter des grands projets structurants
initiés par «Wessal capital» dont les premiers sont orientés vers des pôles urbains matures. Trois
grands projets sont à citer dans ce cadre à savoir, Wessal Casablanca-Port (avec un capital de
démarrage de 1,3 milliard de dirhams et la mobilisation de 6 milliards de dirhams), Wessal Bouregreg
(Rabat) (avec un capital de démarrage de 1,6 milliard de dirhams et la mobilisation de 9 milliards de
dirhams) et Wessal Tangier marina (avec un capital de démarrage de 518 millions de dirhams).
Le secteur touristique représente 6,8% du PIB au titre de l’année 2013. Il totalise, dans son en
ensemble, 500 mille emplois
En 2014, Ce secteur continuait à drainer des recettes en hausse de 57 milliards de dirhams, 10,28
millions de touristes et 2,7% pour les nuitées.
13
Direction des Etudes et des Prévisions Financières Tableau de Bord Sectoriel 2015
En termes de gouvernance, quinze contrats-programmes régionaux ont été signés et ce, dans un
cadre consensuel rassemblant les autorités touristiques et les acteurs locaux. Il est à noter que le
contrat programme relatif au pôle touristique de Rabat sera signé courant 2014. Par contre, le Conseil
National du Tourisme (CNT) et les Agences du Développement Touristique (ADT), outils de
gouvernance de la stratégie touristique « Vision 2020 » n’ont toujours pas été créés.
Concernant les efforts fournis en matière de promotion de la destination, l’Office National Marocain
du Tourisme (ONMT) a poursuivi, en 2013, ses campagnes de relations publiques et a participé à 66
expositions et manifestations touristiques dans les principaux pays émetteurs, tout en prospectant de
nouveaux marchés, notamment, l’Inde et l’Afrique subsaharienne. Les recettes de la taxe de
promotion touristique seraient de nature à conforter les efforts programmés pour l’amélioration de
l’attractivité du Maroc, notamment le projet de développement d’une « Marque Maroc » permettant
une promotion unifiée et concertée de l’image du Maroc à l’international.
Par ailleurs, plusieurs actions ont œuvré pour la consolidation de la connectivité aérienne du Maroc.
Il s’agit, notamment, de la signature de l’ONMT, d’une convention de partenariat avec la compagnie
Transavia (filiale d’Air France-KLM) qui s’engage à renforcer ses vols directs vers le pays. De son
côté et parallèlement au développement des liaisons aériennes avec les principaux marchés émetteurs
et émergents, la RAM a procédé, au cours de l’année 2014, à l’ouverture de plusieurs lignes aériennes
internes. Il convient, cependant, de signaler que ces efforts devraient être consolidés pour combler le
besoin de connexion aérienne pour la réalisation des objectifs de la vision 2020, estimé entre 1032 à
1079 fréquences hebdomadaires.
Enfin, il importe de souligner l’importance du tourisme interne qui continue de consolider son poids
et de confirmer son rôle de levier pour une croissance équilibrée de l’activité touristique au Maroc.
En effet, ce segment représente un tiers des arrivées et un quart des nuitées enregistrées au Royaume,
d’où la nécessité de multiplier les efforts pour accélérer son développement.
11- Secteur des télécommunications
Le secteur des télécommunications au Maroc a connu deux profondes mutations. L’une
institutionnelle ouvrant le secteur à la concurrence et une autre technologique issue du foisonnement
des nouveaux systèmes de communication. Cette affluence technologique a été soutenue, depuis
2004, par les notes d’orientations générales et dont la nouvelle, couvrant 2014-2018, est en cours de
déploiement.
Ces orientations reposent sur 3 axes à savoir, l’élargissement du service universel à l'internet haut
débit en s’appuyant sur des technologies mobiles, des fibres optiques et des technologies satellitaires,
Le secteur de télécommunications contribue à hauteur de 3% du total des valeurs ajoutées aux
prix courants et 5,5% de celles relatives aux activités tertiaires entre 2008 et 2013. Le secteur
compte plus de 40 millions d’abonnés au téléphone fixe et à la téléphonie mobile et 16 millions
d’internautes.
14
Direction des Etudes et des Prévisions Financières Tableau de Bord Sectoriel 2015
l’introduction de la 4G en 2015 et le développement par les opérateurs d'un contenu monétarisé. Il
s’agit, également, de l’équipement des nouvelles constructions de la fibre optique, qui nécessite
l’adoption du nouveau projet de loi du code de l’urbanisme et la mise en place du Wifi Outdoor
permettant l’ouverture des réseaux Wifi des trois opérateurs à leurs abonnés 3G.
Le secteur des télécommunications a poursuivi sa trajectoire vers la généralisation de l’accès aux
NTIC. Ainsi, le nombre d’abonnés au mobile est passé à 44,1 millions en 2014 avec un taux de
pénétration de 133%.
Pour sa part, le parc Internet a continué sur sa croissance grâce à la 3G qui compte 90,1% du marché
Internet estimé à 10 millions d’abonnés, soit un taux de pénétration de 30% en 2014.
En revanche, la téléphonie fixe compte 2,5 millions d’abonnés, enregistrant une baisse annuelle de
14,9% et un taux de pénétration de 7,5% à fin 2014.
Par ailleurs, le secteur a connu une croissance de son chiffre d’affaires de 3,9% par an entre 2008 et
2012, passant à 35,7 millions de dirhams.
Après une croissance endogène sur les 15 dernières années, le secteur montre un signe
d’essoufflement avec le fléchissement de ses revenus et la saturation de la téléphonie mobile d’où la
nécessité d’explorer de nouveaux relais de croissance. L’Afrique se révèle particulièrement
attractive pour les opérateurs marocains qui recherchent des opportunités de croissance
externe à un moment où le secteur des services constitue, dorénavant, la locomotive de
croissance en Afrique et où de faibles taux de pénétration de la téléphonie existent.
Par ailleurs, des perspectives prometteuses se dessinent suite à l’usage croissant des technologies
émergentes (Smartphones, tablettes, …) et, par suite, de l’internet mobile. Le déploiement de la 4G
au Maroc constituerait une source de croissance aussi bien pour le secteur que pour l’ensemble de
l’économie.
Pour le secteur, cette croissance résulterait du revenu issus de la data mobile qui serait mieux
monétisé que celui de la 3G permettant de relancer les bénéfices du secteur.
Le développement du secteur des télécommunications ne pourrait que se consolider si le Maroc met
en place un écosystème qui permet d’intensifier la création et l’usage de contenu. Ainsi, les opérateurs
pourront se positionner comme fournisseurs d’accès avec des partenaires qui proposent du contenu
monétisable, notamment le m-gov, l’e-gov, l’e-santé, le m-banking...
12- Secteur des assurances
13-
Le secteur des assurances au Maroc ne cesse de prendre de l’ampleur, que ce soit au niveau des
sommes importantes qu’il draine ou par les grands défis auxquels il s’est trouvé confronté. En effet,
En 2013, la pénétration de l'assurance en pourcentage du PIB est de 3,1% pour l'ensemble des
primes, soit 1% pour l'assurance vie et 2,1% en assurance non vie et situe le Maroc au 47ème rang
mondial. Au niveau du monde Arabe, le Maroc occupe la deuxième place après le Liban.
15
Direction des Etudes et des Prévisions Financières Tableau de Bord Sectoriel 2015
le marché marocain des assurances et de réassurance a connu des mutations profondes, suite à un
ensemble d’opérations de fusions-acquisitions et l’introduction des nouvelles entreprises. Ainsi le
nombre des entreprises est porté à dix-huit entreprises (dont quinze commerciales et trois mutuelles).
Sur ce total, huit sociétés pratiquent aussi bien les opérations d’assurances non vie que les assurances
vie et capitalisation, trois se limitent aux opérations d’assurances non vie, une pratique exclusivement
les opérations d’assurances vie et capitalisation, quatre pratiquent les opérations d’assistance, une
pratique exclusivement l’assurance-crédit, et une entreprise spécialisée dans la réassurance.
En 2013, le montant des primes émises en affaires directes réalisé par le secteur des assurances au
Maroc s’élève à 26 601,98 millions de dirhams. Par ailleurs, le secteur a immobilisé un actif net de
123 milliards de dirhams.
Le développement enregistré par le secteur au cours des dernières années a été favorisé par le code
des assurances adopté en 2002. Les principales nouveautés de ce code sont l’officialisation de la
bancassurance, la réforme du fonds de garantie et le renforcement du dispositif de contrôle des
assurances. Depuis cette date, l’encours des réserves technique et réglementaires des compagnies
d’assurance et les primes ne cessent d’évoluer à la hausse.
Cependant, un examen approfondi du secteur révèle des facteurs de fragilité inhérents aux
contraintes fiscales, réglementaires et autres de nature diverse, en contribuant ainsi au faible degré de
pénétration de l’assurance au Maroc.
Pour alléger le poids de ces contraintes et permettre au secteur des assurances de participer vivement
au financement de l’économie via le drainage de l’épargne longue et sa canalisation vers le
financement de l’investissement, un contrat programme entre les professionnels du secteur et l’Etat
pour la période 2011-2015 a été signé. Ce contrat, regroupe 72 mesures, qui engagent la profession,
représentée par la FMSAR 5 et la FNACAM 6 , avec 9 départements ministériels (l’Intérieur,
L’Economie et Finances, la Justice, le Commerce et Industrie, l’Education Nationale et formation
professionnelle, l’Emploi, l’Habitat, la Santé et l’Equipement et Transport).
Elles portent notamment sur la valorisation de la profession, l’augmentation du taux de pénétration
de l’assurance dans le tissu économique et social, l’encouragement de l’épargne longue, l’amélioration
du service rendu aux assurés et le renforcement du secteur en tant levier du développement
économique, social et financier de notre pays.
En fin, pour assurer le développement actuels et futur, le secteur des assurances au Maroc a besoin
d’accélérer et redynamiser l’agenda de réformes mises en place et de procéder à des meilleurs
pratiques de gestions pour pouvoir relever les défis économiques, financiers et sociaux.
5 Fédération Marocaine des Sociétés d'Assurances et de Réassurance 6
Fédération Nationale des Agents et Courtiers D'assurance au Maroc
Valeurs ajoutées sectorielles Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Structure de la valeur ajoutée par branche d'activité aux prix courants (1)
(En % du total des valeurs ajoutées) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Secteur primaire 19,8 19,4 14,9 16,6 16,5 17,3 16,3 14,7 16,9 13,7 14,6 16,4 15,3 15,5 14,4 16,6 15,8 15,5
Agriculture, chasse et services annexes 0,0 7,5 13,3 14,8 14,9 16,1 15,2 13,3 15,7 12,6 13,4 15,4 14,4 14,3 13,4 15,5 14,5 14,4
Pêche, aquaculture 0,0 0,6 1,6 1,8 1,6 1,2 1,1 1,4 1,2 1,1 1,2 1,0 1,0 1,1 1,0 1,0 1,4 1,1
Secteur secondaire 28,8 28,4 29,1 27,6 27,3 27,9 28,5 28,2 27,2 27,3 30,3 28,6 29,7 30,2 30,3 28,5 27,8 29,6
Industrie d'extraction 2,5 2,3 2,4 2,4 2,1 1,8 1,8 1,9 2,0 2,4 7,3 2,6 4,3 5,6 5,3 3,9 2,1 4,8
Industrie (hors raffinage de pétrole) 18,3 18,0 17,5 16,3 16,4 17,2 17,3 16,3 15,7 15,0 14,0 15,9 15,3 15,4 15,7 15,4 16,4 15,3
Industrie alimentaire et tabac 0,0 2,0 4,9 4,1 4,0 4,1 4,5 4,3 4,4 3,4 3,4 4,6 4,2 4,2 4,7 5,3 4,2 4,4
Industrie du textile et du cuir 0,0 1,9 4,3 4,0 4,0 4,0 4,0 3,1 3,2 3,1 2,7 2,7 2,6 2,3 2,3 2,1 3,7 2,4
Industrie chimique et parachimique 0,0 1,0 1,8 1,6 1,5 1,8 1,9 2,1 1,9 1,9 1,9 2,3 2,3 3,2 3,2 2,7 1,8 2,7
Industrie mécanique, métallurgique et électrique 0,0 1,3 3,5 3,4 3,7 4,1 3,8 3,7 3,4 3,6 3,3 3,2 3,4 3,1 3,1 2,9 3,6 3,1
Autres industries manufacturières 0,0 1,4 3,0 3,2 3,2 3,3 3,1 3,0 2,8 3,0 2,7 3,0 2,9 2,6 2,5 2,4 3,1 2,7
Raffinage de pétrole et autres produits d'énergie 0,6 0,5 0,9 0,4 0,3 0,1 0,2 0,3 0,3 0,2 0,2 0,2 0,4 0,3 0,2 0,0 0,3 0,2
Electricité et eau 2,7 3,3 3,3 3,0 3,0 3,1 2,9 3,1 2,8 2,9 2,6 2,9 2,8 2,6 2,6 2,6 3,0 2,7
Bâtiment et travaux publics 4,7 4,2 5,1 5,5 5,5 5,7 6,3 6,7 6,4 6,8 6,2 7,0 6,8 6,5 6,5 6,6 6,1 6,6
Services 51,3 52,2 56,0 55,9 56,1 54,8 55,2 57,1 56,0 59,0 55,0 55,0 55,0 54,3 55,3 54,9 56,3 54,9
Commerce 14,1 13,5 14,0 13,4 13,5 12,3 11,9 11,9 11,8 11,9 11,4 11,0 10,6 10,4 10,4 10,2 12,5 10,6
Hôtels et restaurants 2,7 2,3 2,6 2,5 2,4 2,3 2,4 2,7 2,6 3,0 2,6 2,6 2,8 2,5 2,6 2,7 2,6 2,6
Transports 4,0 4,9 4,6 4,4 4,4 4,0 4,1 3,8 3,5 4,3 3,9 3,9 4,0 3,8 3,8 3,9 4,1 3,9
Postes et télécommunications 1,4 1,9 2,3 2,9 3,1 3,2 3,4 3,5 3,5 3,6 3,4 3,4 3,4 3,0 2,8 2,3 3,3 3,0
Activités financières et assurances 6,5 5,8 5,8 5,6 5,5 5,3 5,2 5,7 5,8 6,7 6,3 6,1 5,9 5,9 6,1 5,9 5,7 6,0
Immobilier, location et services rendus aux entreprises 9,6 11,3 12,7 12,3 12,9 13,1 13,4 14,1 14,3 15,7 14,5 14,5 14,5 14,0 14,5 14,4 13,7 14,4
Administration publique générale et sécurité sociale 9,6 9,4 9,8 9,9 9,7 9,4 9,7 10,1 9,8 9,5 8,7 9,2 9,1 9,4 9,7 9,7 9,7 9,3
Education, santé et action sociale 8,6 8,2 9,2 9,8 9,5 9,8 9,6 10,2 9,7 9,9 9,6 9,5 9,7 10,2 10,4 10,5 9,7 10,0
Branche fictive -5,2 -5,0 -5,0 -4,9 -4,7 -4,6 -4,6 -4,9 -5,0 -5,7 -5,4 -5,3 -4,9 -5,0 -5,0 -4,8 -5,0 -5,0
PIB hors primaire/PIB 82,8 82,9 86,7 85,3 85,3 84,5 85,3 86,8 84,8 87,8 86,8 85,4 86,2 85,7 86,6 84,8 85,9 85,9
(1) Part des branches dans le total des valeurs ajoutées courantes
Source : Haut Commissariat au Plan + calcul de la DEPF
Moyennes Moyennes
19
Valeurs ajoutées sectorielles Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
-3
-2
-1
0
1
2
3
4
1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Primaire Secondaire Tertiaire
Contribution des principales branches d'activité à la croissance du PIB en volume (En points de croissance)
-20%
-15%
-10%
-5%
0%
5%
10%
15%
20%
25%
30%
1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Croissance du PIB en volume (prix de l'année précédente)
PIB hors agricole
VA agricole
PIB global
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Structure des valeurs ajoutées par branche d'activité aux prix courants
Services marchands
0%
2%
4%
6%
8%
10%
12%
14%
16%
1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Evolution de la part des branches émergentes dans le PIB (prix courants)
Bâtiment et travaux publics
Services rendus aux entreprises et services personnels
Hôtels et restaurants
Postes et télécommunications
Secteur secondaire
Secteur primaire
Administration publique, Education et Santé
20
Source :
- Ministère de l'Agriculture et de la Pêche Maritime
- Office national des pêches
- Haut Commissariat au Plan
Agriculture, élevage et pêche maritime
Secteur primaire Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Indicateurs du secteur primaire
1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Moyenne nationale des précipitations (mm) (1) 367 449 320 388 389 491 511 228 375 223 267 544 605 691 400 450 366 493
Croissance du secteur primaire en volume (variation aux
prix de l'année précédente en %)4,6 9,7 -12,2 19,1 4,3 20,3 4,5 -11,1 21,1 -20,0 16,5 28,9 -2,3 5,1 -7,2 18,7 6,6 6,7
Agriculture, chasse et services annexes -14,0 21,7 8,1 24,1 5,2 -13,5 25,3 -20,8 16,3 30,4 -1,9 5,6 -8,9 19,0 5,7 7,9
Pêche, aquaculture 10,6 -2,3 -27,6 -15,2 -5,4 21,2 -19,3 -10,2 19,0 12,2 -9,5 -1,5 13,7 15,7 -9,5 -0,4
Contributiuon à la croissance économique (en points) 0,8 1,6 -1,9 2,5 0,6 3,0 0,7 -1,8 3,0 -3,2 2,1 4,0 -0,4 0,8 -1,2 2,7 1,1 1,6
Agriculture, chasse et services annexes -1,9 2,6 1,1 3,4 0,8 -2,2 3,5 -3,3 2,0 4,1 -0,3 0,9 -1,4 2,7 1,5 1,6
Pêche, aquaculture 0,1 0,0 -0,4 -0,1 0,0 0,1 -0,1 -0,1 0,1 0,1 -0,1 0,0 0,1 0,1 -0,1 0,0
Part dans la production totale (En %) 13,7 14,6 12,0 13,0 12,6 13,1 12,7 11,5 12,7 10,3 11,0 12,2 11,5 11,3 10,6 12,0 12,2 11,4
Taux de valeur ajoutée du secteur primaire (En %) (2) 76,4 71,1 65,3 68,1 70,9 73,3 72,0 69,8 72,4 72,0 72,1 77,8 76,5 77,0 76,5 79,0 70,7 74,6
FBCF des produits agricoles aux prix courants (En
millions de DH) 3362 3898 2889 2941 3403 3326 3508 3225 4181 4364 4281 4989 4532 4093 3319,0 4050,8
Part dans la FBCF totale (En %) 3,3 3,7 2,6 2,5 2,6 2,3 2,2 1,7 1,8 1,9 1,8 2,0 1,8 1,6 2,5 1,8
FBCF en produits agricoles en volume (variation aux prix de l'année précédente en %) -18,5 1,9 -28,2 13,2 7,0 -15,6 -3,6 -10,1 15,1 4,4 0,3 9,1 -12,5 3,1 -7,7 2,9
Contribution à la croissance de la FBCF totale en
volume (En points) -0,7 0,1 -1,0 0,3 0,2 -0,4 -0,1 -0,2 0,3 0,1 0,0 0,2 -0,3 0,1 -0,2 0,1
Exportation des produits agricoles (En millions DH) 8706 7231 7822 7233 7543 9626 9966 10216 11782 11438 12607 13573 13973 15813 8542,9 13197,7
Part dans les exportations totales (En %) 7,9 5,8 5,8 5,3 5,1 5,6 5,0 4,6 4,6 5,4 5,0 4,8 4,7 5,4 5,5 5,0
Emploi dans le secteur agricole (En milliers) 4466 4282 4303 4680 4680 4626 4552 4442 4329 4311 4315 4286 4201 4210 4503,9 4275,4
Part dans l'emploi total (En %) 47,9 46,2 45,7 47,6 47,1 46,5 44,6 43,1 41,7 41,2 40,9 40,4 39,6 39,3 46,1 40,8
Source : Haut Commissariat au Plan + Calcul de la DEPF (1) Les données concernent l’année agricole t-1/t
(2) Valeur ajoutée rapportée à la Production
0,142857
Moyennes Moyennes
0
100
200
300
400
500
600
700
800
17000
27000
37000
47000
57000
67000
77000
87000
97000
107000
Pré
cip
itat
ions
en m
m
Pro
duct
ion d
es c
éréa
les
en m
illi
ers
de
QX
Moyenne des précipitations
Production des céréales
-200
-100
0
100
200
300
400
-20%
-10%
0%
10%
20%
30%
40%
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
(En m
illi
ers)
Créations nettes
d'emplois Croissance de la VA agricole
Croissance de la valeur ajoutée et des créations nettes d'emplois dans le secteur agricole Evolution de la moyenne des précipitations au niveau national et de la production des céréales
23
Agriculture Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004
Superficie cultivée selon les principales cultures agricoles2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
1990-94 1995-99 99/00 00/01 01/02 02/03 03/04 04/05 05/06 06/07 07/08 08/09 09/10 10/11 11/12 12/13 2000-07 2008-13
Superficie Cultivable (En milliers ha) 9115 9248 9081 9024 8980 8978 9041 8988 8951 8960 8981 9003 8988 9111 9043 9797 9000 9154
Superficie Cultivée (1)
(En milliers ha) 6989 6742 6944 6713 6639 7281 7417 7134 7260 6468 6984 7173 6965 7615 7365 8119 6982 7370
Superficie Cultivée / Cultivable (En %) 76,7 72,9 76,5 74,4 73,9 81,1 82,0 79,4 81,1 72,2 77,8 79,7 77,5 83,6 81,4 82,9 77,6 80,5
Structure de la superficie cultivée (En %)
Céréales 77,8 76,9 78,3 76,5 74,4 76,3 76,6 76,4 76,9 74,9 76,0 75,8 72,6 70,6 70,8 66,4 76,3 78,6
Blé dur 17,3 15,6 15,5 14,5 13,3 15,0 15,0 14,8 14,7 13,0 13,3 13,5 12,9 12,6 13,1 11,6 14,5 13,5
Blé tendre 19,7 24,3 26,2 25,7 26,3 26,0 26,3 26,7 28,1 26,7 27,6 28,0 28,0 28,0 29,6 27,8 26,5 29,6
Orge 33,6 31,1 32,4 31,7 30,2 31,1 31,3 30,6 30,1 30,8 31,2 30,4 27,6 26,6 25,7 24,2 31,0 28,9
Maïs 5,7 4,8 3,4 3,8 4,0 3,4 3,3 3,5 3,4 3,5 3,1 3,1 3,3 2,5 1,6 2,2 3,5 2,8
Légumineuses 5,9 5,1 4,6 4,7 5,8 4,9 4,9 4,9 5,1 5,7 5,3 5,2 5,7 5,6 5,4 4,9 5,1 5,6
Oléagineuses 2,6 1,6 0,8 1,2 1,1 1,7 1,1 1,0 0,7 0,9 0,7 0,9 1,2 0,7 0,4 0,4 1,1 0,8
Tournesol 2,3 1,3 0,6 0,8 0,8 1,4 0,8 0,7 0,4 0,6 0,4 0,6 0,9 0,5 0,2 0,2 0,8 0,5
Arachides 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3 0,2 0,2 0,2 0,3 0,3
Cultures industrielles 2,1 2,4 2,2 2,8 3,5 3,1 2,9 2,7 2,4 2,6 2,5 1,9 2,0 2,6 2,0 1,8 2,8 2,2
Betterave 0,9 0,9 0,8 0,8 0,9 0,9 0,8 1,0 0,7 0,8 0,8 0,8 0,7 0,7 0,4 0,5 0,8 0,7
Canne à sucre 0,2 0,3 0,3 0,3 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2 0,3 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2 0,2(1)
Superficie cultivable moins les jachères
Source : Ministère de l'Agriculture et de la Pêche Maritime + Calcul DEPF
Moyennes Moyennes
0%
20%
40%
60%
80%
100%
1990-94 1995-99 2000-07 2008-13
Structure de la superficie cultivée selon les principales cultures agricoles
Blé dur Blé tendre Orge Légumineuses Autres cultures
0
2000
4000
6000
8000
10000
(En m
illi
ers
ha)
Superficie cultivable et cultivée
Jachères Superficie Cultivée
24
Agriculture Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Production et rendement des principales cultures
Production : 1000 Qx
Rendement : Qx/Ha 1990-94 1995-99 99/00 00/01 01/02 02/03 03/04 04/05 05/06 06/07 07/08 08/09 09/10 10/11 11/12 12/13 13/14 2000-07 2008-13
Production
Céréales 60608 52798 19863 45930 52758 79594 85891 42699 92268 24960 53219 104519 78254 86220 53012 98636 55495 78977
Blé dur 14976 11868 4274 10388 10315 17662 20248 9407 20955 5138 12400 20330 16328 18480 11349 18972 14000 12298 15980
Blé tendre 19447 19842 9533 22776 23252 33806 35151 21024 42313 10688 25295 43384 32433 41699 27431 50367 37000 24818 36801Orge 22435 18414 4668 11552 16690 26204 27603 11021 25351 7625 13532 37860 25664 23176 12014 27226 17000 16339 22353
Maïs 2562 1994 950 536 1989 1286 2241 501 2974 949 1210 2045 2792 2213 902 1181 1428 1724Légumineuses 2588 1897 799 1617 2365 2321 2411 1487 3322 1418 1956 2757 2824 3392 2703 2933 1968 2761
Oléagineuses 1263 924 574 777 737 1117 1007 652 529 840 747 1034 1100 890 557 582 779 818
Tournesol 994 594 186 331 334 906 492 182 83 322 323 502 593 487 177 190 355 379
Arachides 269 330 388 446 403 211 515 470 446 496 410 517 655 397 363 388 422 455
Cultures industrielles 40104 38951 42023 41604 39366 43273 40622 40885 35483 35483 38383 35422 30682 37991 21677 27618 39842 31962
Betterave 30160 28278 28834 28359 29869 34285 31900 33015 25520 24840 29257 27534 24359 30351 16267 21422 29578 24865
Canne à sucre 9824 10651 13184 13240 9491 8986 8722 7870 9966 9339 9126 8130 6323 7639 5410 6196 10100 7137
Rendement
Céréales 10,9 9,7 3,7 8,9 10,7 14,3 15,1 7,8 16,5 5,2 10,0 19,2 15,5 16,0 10,2 18,3 10,3 14,9
Blé dur 12,4 11,3 4,0 10,6 11,7 16,2 18,2 8,9 19,6 6,1 13,4 21,0 18,1 19,3 11,8 20,1 12,1 17,3
Blé tendre 14,1 12,1 5,2 13,2 13,3 17,8 18,0 11,0 20,8 6,2 13,1 21,6 16,6 19,6 12,6 22,3 13,4 17,7Orge 9,6 8,8 2,1 5,4 8,3 11,6 11,9 5,1 11,6 3,8 6,2 17,3 13,4 11,4 6,3 13,8 7,5 11,5
Maïs 6,5 6,1 4,0 2,1 7,5 5,2 9,2 2,0 12,2 4,2 5,5 9,2 12,1 11,5 7,6 6,6 5,8 10,5Légumineuses 6,1 5,5 2,5 5,1 6,2 6,5 8,2 4,2 8,9 3,8 5,2 7,3 7,1 7,9 6,8 7,3 5,7 6,9
Oléagineuses 7,4 8,1 9,9 9,9 10,5 8,9 12,0 9,1 10,7 14,4 15,6 15,7 12,8 16,0 19,5 17,1 10,7 16,1
Tournesol 0,9 -9,7 4,7 5,9 6,7 8,8 7,9 3,5 2,9 8,9 12,7 11,7 9,6 13,3 15,1 11,2 6,5 3,8
Arachides 11,6 14,9 21,3 20,5 19,8 9,8 23,9 24,1 22,3 25,2 19,7 22,8 28,6 22,3 23,5 23,8 32,6 27,4
Cultures industrielles 280,4 240,6 272,7 224,4 169,2 189,0 186,3 214,7 207,9 211,7 222,9 258,7 224,0 195,6 144,1 185,6 209,5 205,1
Betterave 485,0 484,7 533,0 536,1 502,0 528,3 527,3 475,0 517,7 491,4 508,6 482,2 476,7 587,1 523,2 575,8 513,0 600,3Canne à sucre 158,0 568,4 757,7 739,7 687,7 713,2 492,8 591,7 695,0 485,6 540,0 549,0 424,3 509,3 345,1 400,8 639,9 554,1
Source : Ministère de l'Agriculture et de la Pêche Maritime + Calcul DEPF
Moyennes Moyennes
55
65
75
85
95
105
115
125
Evolution en indice de la production des principales cultures industrielles (Base 100 = 2000/01)
Canne à sucre
Betterave
30
80
130
180
230
280
330
Evolution en indice de la production des trois principales céréales (Base 100 = 2000/01)
Blé Blé
dur
Orge
25
Agriculture Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Production des cultures maraîchères 8,000 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
1990-94 1995-99 99/00 00/01 01/02 02/03 03/04 04/05 05/06 06/07 07/08 08/09 09/10 10/11 11/12 12/13 2000-07 2008-13
Culture de Primeurs (En milliers de tonnes) 548 820 1015 910 1105 1120 1353 1297 1445 1580 1710 1749 1692 1964 1716 2115 1228,1 1824
Part dans la production totale (%) 15,2 19,1 23,8 19,7 20,9 18,8 20,2 20,8 20,7 23,7 25,6 24,4 23,2 26,5 22,5 26,6 21,1 24,8
Tomates 324 505 550 446 565 537 660 627 696 785 810 838 872 943 896 993 608 892
Pommes de terres 144 144 190 140 130 158 155 130 133 156 165 159 163 293 135 357 149 212
Culture de saison (En milliers de tonnes) 3051 3519 3246 3707 4187 4825 5345 4935 5520 5090 4982 5420 5590 5444 5900 5833 4607 5528
Part dans la production totale (%) 85 81 76,2 80,3 79,1 81,2 79,8 79,2 79,3 76,3 74,4 75,6 76,8 73,5 77,5 73,4 78,9 75,2
Production des cultures maraîchères 3599 4339 4261 4618 5292 6200 6698 6232 6965 6878 6913 6931 6699 7409 7685 7948 5893 7264
Tomates 764 648 805 837 965 946 1941 1237 1312 1230 1020 1218 1219 1293 1018 1215
Pommes de terres 1090 1155 1334 1431 1480 1479 1702 1437 1537 1231 1358 1721 1657 1929 1389 1572
Source : Ministère de l'Agriculture et de la Pêche Maritime + Calcul DEPF
Moyennes Moyennes
400
600
800
1000
1200
1400
1600
1800
2000
2200
1000
1500
2000
2500
3000
3500
4000
4500
5000
5500
6000
(Cu
ltu
res
de
Pri
meu
rs e
n m
illi
ers
de
ton
nes
)
(Cu
ltu
res
de
sais
on
en
mil
lier
s d
e to
nn
es)
Evolution de la production des cultures maraîchères de saison et Primeurs
Cultures de saison
Primeurs
10
30
50
70
90
110
130
150
170
99/00 00/01 01/02 02/03 03/04 04/05 05/06 06/07 07/08 08/09 09/10 10/11 11/12 12/13
(to
nn
es l
e h
a)
Evolution du rendement des cultures maraîchères
Pommes de terre
Tomates de
saison
Tomates
primeur
Production total
des Tomates
26
Elevage Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Effectif du cheptel total et des abattages contrôlés
(Effectif : En milliers de têtes)
(Poids : En milliers de tonnes) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Effectif du cheptel (passage octobre-novembre)
Bovins -6,8 1,8 2575 2566 2551 2618 2699 2664 2670 2593 2651 2790 2896 3038 3179 3345 0,1 4,3
Ovins -0,7 1,9 14500 14757 15047 15658 16368 16122 16298 15566 16114 17093 18284 18737 19098 19500 0,8 3,8
Caprins -5,5 3,4 4931 4820 5071 5136 5367 5275 5340 5136 5178 5284 5686 5991 6190 6244 1,1 3,3
Effectif des abattages contrôlés
Bovins -5,8 -1,0 861 907 933 774 626 672 720 793 840 815 808 838 897 1,5 2,5
Ovins -8,2 -0,6 3465 3087 2682 2195 2444 2978 2947 2954 3200 2570 2498 2607 2538 -0,5 -3,0
Caprins -2,0 2,7 1194 1209 1112 1043 1463 1446 1706 1417 1386 1376 1433 1558 1355 3,2 -0,9
Poids de la viande des abattages contrôlés -4,6 1,3 225 230 225 204 174 187 190 200 206 203 206 219 228 272 -1,5 5,2
Bovins -4,6 3,0 139 145 152 131 117 127 129 143 148 149 151 159 170 212 1,1 6,8
Ovins -8,2 3,7 45 44 35 31 36 42 42 41 42 36 36 39 38 38 -3,3 -1,1
Caprins -3,9 2,8 12 13 11 11 16 14 16 14 13 14 14 16 14 15 2,6 2,20
Autres 0,1 -7,5 29 29 27 31 5 4 4 3 4 4 4 5 6 6 -24,2 9,1
Structure des abattages contrôlés par rapport à l'effectif du cheptel (En %)
Abattages contrôlés / Effectif total
Bovins 33,7 26,7 33,4 35,3 36,6 29,6 24,1 25,2 27,0 30,6 31,7 29,2 27,9 27,6 28,2 30,0 28,8
Ovins 29,0 24,5 23,9 20,9 17,8 14,0 14,9 18,5 18,1 19,0 19,9 15,0 13,7 13,9 13,3 18,3 15,0
Caprins 22,3 23,7 24,2 25,1 21,9 20,3 27,3 27,4 31,9 27,6 26,8 26,0 25,2 26,0 21,9 25,8 25,1
Poids de la viande obtenu par tête du cheptel (en Kg/tête)
Bovins 138,3 166,7 161,9 159,4 162,4 169,1 147,9 189,6 178,5 180,2 175,9 183,0 186,9 189,9 190,0 172,2 185,2
Ovins 13,3 15,8 13,1 14,2 13,2 14,2 12,1 14,0 14,2 13,8 13,2 14,0 14,6 15,0 15,0 13,9 14,3
Caprins 9,9 10,0 9,7 10,4 10,2 10,7 11,1 9,9 9,3 9,5 9,3 10,0 10,1 10,0 10,0 10,0 9,9
Source : Ministère de l'Agriculture et de la Pêche Maritime + Calcul DEPF
Rythme de croissance Rythme de croissance
2000
4000
6000
8000
10000
12000
14000
16000
18000
20000
22000
(En m
illi
ers
de
tête
s)
Evolution de l'effectif du cheptel total
Ovins
Caprins
Bovins
10%
15%
20%
25%
30%
35%
40%
45%
50%Evolution de la part des abattages contrôlés dans l'effectif du cheptel total
Ovins
Bovins
Caprins
27
Pêche maritime Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Etat de la flotte de la pêche nationale
1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2000 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Nombre de bateaux (En nombre) 2955 2991 2970 2957 2920 2917 2942 2970 2987 2993 3013 3016 3020 3014 3009 2949 2957 3004
Pêche côtière (En %) 84,8 84,9 85,0 84,9 84,7 84,7 84,8 84,9 85,0 85,0 85,0 85,0 85,1 85,0 83,9 84,9 84,9 84,8
Pêche hauturière (En %) 15,2 15,1 15,0 15,1 15,3 15,3 15,2 15,1 15,0 15,0 15,0 15,0 14,9 15,0 16,1 15,1 15,1 15,2
Tonnage (1000 tonne de jauge brute)(1) 219 223 225 228 233 240 247 253 258 260 264 265 266 270 270 273 243 268
Pêche côtière (En %) 32,1 34,0 35,8 36,8 38,3 40,1 41,4 42,9 43,6 44,3 44,6 45,0 45,3 45,4 45,8 46,0 40,5 45,3
Pêche hauturière (En %) 67,9 66,0 64,2 63,2 61,7 59,9 58,6 57,1 56,4 55,7 55,4 55,0 54,7 54,6 54,2 54,0 59,5 54,7
Source : Office national des pêches + Calcul DEPF
(1) Une tonne de jauge brute équivaut à 2,83 m
3
Evolution de la production halieutique nationale (1)
1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Production en quantité (milliers tonnes) 7,4 0,1 899 1101 949 903 938 979 793 769 894 1028 1055 881 1085 1153 916 1016
Pêche côtière (En %) 77,4 85,5 85,1 88,9 94,1 95,8 92,0 88,4 88,6 88,5 87,2 86,1 84,9 76,8 78,2 74,2 90,2 81,0
Pêche hauturière (En %) 22,6 14,5 14,9 11,1 5,9 4,2 8,0 11,6 11,4 11,5 12,8 13,9 15,1 23,2 21,8 25,8 9,8 19,0
Production en valeur (Millions DH) 10,1 -0,1 6608 6507 5766 4437 4308 6441 6268 6010 7948 6752 6367 7668 7496 8424 5793 7442
Pêche côtière (En %) 32,4 34,8 31,4 39,1 60,2 67,5 70,6 52,8 56,6 58,1 53,8 59,7 62,3 61,0 63,4 57,2 53,0 59,4
Pêche hauturière (En %) 67,6 65,2 68,6 60,9 39,8 32,5 29,4 47,2 43,4 41,9 46,2 40,3 37,7 39,0 36,6 42,8 47,0 40,6
Prix moyens à la tonne de la production
halieutique nationale (En DH/t)6782 6619 7352 5910 6073 4914 4593 6582 7907 7817 8887 6571 6035 8707 6911 7305 6394 7403
Source : Office national des pêches + Calcul DEPF
(1) Sont exclus de la production les autres produits halieutiques (aquaculture, algues , corails et madragues)
Structure de la destination des produits de la pêche côtière
(En %) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Consommation 36,8 28,3 33,1 27,4 33,4 40,0 36,9 34,0 44,0 41,5 37,1 36,5 43,5 37,2 39,0 33,7 25,3 35,8 35,4
Conserve 21,5 23,4 17,0 14,2 16,6 20,1 16,6 15,3 22,5 20,2 15,7 12,3 20,4 12,8 13,2 13,0 16,0 17,6 14,7
Congélation 1,4 2,5 7,4 5,5 7,5 3,6 3,3 5,5 5,9 5,0 7,7 6,2 3,8 4,8 5,2 3,7 3,2 5,4 4,7
Sous-produits 39,9 45,3 42,0 51,7 40,9 34,8 41,8 39,3 19,7 26,4 33,3 38,8 31,0 20,8 18,4 15,3 26,6 38,0 25,5
Salaisons et appât 0,4 0,5 0,5 1,2 1,6 1,4 1,5 0,9 0,9 1,0 1,8 1,7 1,3 0,6 0,9 0,8 0,6 1,1 1,1
Source : Office national des pêches + Calcul DEPF
Moyennes Moyennes
MoyennesMoyennes
Moyennes Moyennes
28
Pêche maritime Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
-20
30
80
130
180
230
280
(En m
illi
ers
de
tonnes
de
jauge
bru
te)
Evolution de la capacité de la flotte de la pêche nationale
Pêche hauturière
Pêche côtière
0
200
400
600
800
1000
1200
1400
(En m
illi
ers
de
tonnes
)
Evolution de la production halieutique nationale en quantité
Pêche hauturière
Pêche côtière
30%
60%
90%
120%
150%
180%
210%
240%
270%
Evolution en indice des prix moyens à la tonne de la production halieutique (Base 100 = 2000)
Pêche
côtière
Pêche
hauturière
Total de la
production
halieutique
Consommation
Sous-produits
Congélation
Conserve
Salaisons et appât
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Structure de la destination des produits de la pêche côtière
29
IPC des produits alimentaires Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Taux de croissance de l'indice des prix à la consommation des produits alimentaires
(Base 100 = 1990) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Produits alimentaires 7,2 1,9 1,5 -1,0 4,3 1,3 1,6 0,3 3,9 4,6 7,4 0,9 1,2 1,4 2,4 2,2 -1,2 2,0 2,0
Dont:
Céréales 5,9 1,2 0,4 0,4 0,7 -0,1 1,8 0,9 0,5 4,9 15,5 -6,4 -1,0 3,0 2,7 -0,3 7,0 1,2 2,8
Lait, produits laitiers et œufs 4,7 1,7 0,1 1,6 2,2 1,4 -1,2 1,7 1,9 4,6 4,5 2,2 -0,9 1,0 1,8 2,2 2,3 1,6 1,9
Viandes 10,0 1,4 -5,4 1,4 7,0 3,8 3,0 -2,6 4,1 -0,6 3,5 3,8 -0,3 1,7 1,5 2,7 -3,4 1,3 1,3
Poissons 8,4 4,4 -4,2 -6,1 7,2 0,4 -0,5 2,3 5,1 8,6 7,9 -2,7 4,4 9,9 0,1 2,1 1,1 1,5 3,2
légumes 10,2 0,3 19,7 -12,6 12,2 -0,8 -4,1 1,8 5,6 6,8 -0,5 10,4 11,4 -9,1 2,2 1,9 4,5 3,2 2,8
Sucres et produits sucrés 2,4 2,7 -2,0 0,5 0,6 -0,4 0,8 -0,5 5,7 5,6 2,1 1,0 0,4 0,9 0,9 0,8 1,8 1,3 1,11,454165778
IPC général 6,0 2,7 1,9 0,6 2,8 1,2 1,5 1,0 3,3 2,5 3,7 1,0 0,9 0,9 1,3 1,9 0,4 1,8 1,5
IPC non alimentaire 5,0 3,4 2,2 2,0 1,6 1,1 1,5 1,4 2,9 1,1 1,3 0,9 0,9 0,6 0,6 1,5 1,6 1,7 1,0
Source : Haut Commissariat au Plan + Calcul de la DEPF
Rythme de croissanceRythme de croissance
-2%
0%
2%
4%
6%
8%
10%Taux de variation de l'indice des prix à la consommation
Produits alimentaires
IPC général
IPC non alimentaire
-13%
-8%
-3%
2%
7%
12%
17%
22%
27%
Taux de variation de l'indice des prix à la consommation des principaux produits
alimentaires
Céréales
Viandes
Poissons
légumes
30
Source :
- Ministère de l'Energie, des Mines, de l'eau et de l'environnement
- Office Chérifien des Phosphates
- Office des Changes
- Haut Commissariat au Plan
Mines
Secteur des mines Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Indicateurs du secteur de l'industrie d'extraction
1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Valeur ajoutée de l'industrie d'extraction aux prix courants (En millions de DH) 5911 7488 8484 8973 8501 7822 8116 8994 10534 13155 45121 16925 29579 41355 40343 30808 9322 34022
Part dans le PIB (En %) 2,2 2,1 2,2 2,1 1,9 1,6 1,6 1,7 1,8 2,1 6,6 2,3 3,9 5,2 4,9 3,5 1,9 4,4
Taux de croissance de la VA de l'industrie d'extraction en volume
aux prix de l'année précédente (En %)2,9 9,1 1,7 3,8 -0,6 1,6 15,8 7,4 1,6 9,1 -5,9 -23,8 38,6 5,9 -2,4 -2,9 4,9 1,2
Contribution à la croissance du PIB en volume (En points de croissance) 0,0 0,2 0,0 0,1 0,0 0,0 0,3 0,1 0,0 0,2 -0,1 -1,6 0,9 0,2 -0,1 -0,1 0,1 -0,1
Production de l'industrie d'extraction aux prix courants (En millions de DH) 11066 11972 12360 13005 13049 11999 12699 14321 16417 19688 52098 22236 36756 49135 48313 38423 14192 41160
Part dans la production totale (En %) 2,5 2,0 1,9 1,8 1,8 1,6 1,6 1,6 1,7 1,9 4,6 2,0 3,1 3,7 3,5 2,7 1,7 3,3
Taux de valeur ajoutée de l'industrie d'extraction (En %) 53,4 62,2 68,6 69,0 65,1 65,2 63,9 62,8 64,2 66,8 86,6 76,1 80,5 84,2 83,5 80,2 65,7 82,7
Investissement minier (En millions DH) 2689 1865 1475 1662 1917 1726 2208 4858 3439 4691 8387 4072 8150 13600 2394 7780
Part destinée à la recherche (En %) 14,1 21,5 13,9 11,6 13,5 6,5 3,9 7,7 7,2 4,8 2,5 4,3 2,6 14,7 5,2
Emploi dans l'industrie d'extraction (En milliers) 54,2 45,0 49,9 53,5 40,9 40,9 39,9 48,4 51,5 42,5 41,8 50,2 67,7 46,6 50,7
Part dans l'emploi total (En %) 0,6 0,5 0,5 0,6 0,4 0,4 0,4 0,5 0,5 0,4 0,4 0,5 0,6 0,5 0,4
Source : Haut Commissariat au Plan + Calcul de la DEPF
MoyenneMoyennes
-25
-15
-5
5
15
25
35
1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
(En %
)
Variation annuelle de la valeur ajoutée minière et de l'indice de la production des
minerais non métalliques
Indice de la production des
minerais non métalliques
Valeur ajoutée
minière
-30%
-20%
-10%
0%
10%
20%
30%
40%
50%
-15
-10
-5
0
5
10
15
20
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
(En m
illi
ers)
Création d'emplois croissance de la VA de l'industrie extractice
Création d'emplois
Croissance de la VA de
l'industrie extractive
33
Secteur des mines Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Variation de l'indice de la production minière (1)
(en %) 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Minerais non métalliques 0,5 12,6 5,4 -3,1 9,6 6,8 8,7 4,4 -1,8 -13,7 17,0 5,4 -3,3 -2,1 3,4 5,5 0,3
Minerais métalliques -4,4 -10,8 -8,0 -26,3 -5,8 3,3 4,9 -5,2 -2,0 3,3 -6,3 0,4 -0,2 1,8 0,9 -7,0 -0,3
Indice global 0,0 10,2 4,3 -4,7 8,8 6,7 8,5 4,0 -1,4 -13,4 15,8 5,2 -3,2 -1,9 3,3 4,6 0,3
(1) Indice raccordé à la base 100 en 1998
Source : Haut Commissariat au Plan + Calcul de la DEPF
Variation de l'indice des prix à la production minière (1)
(en %) 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Minerais non métalliques 7,4 7,5 -12,0 6,5 13,5 -12,8 21,6 16,7 18,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 1,1 2,4
Minerais métalliques 6,8 -2,8 -4,2 -14,2 -0,9 16,2 5,8 25,0 3,3 -1,5 1,2 0,2 0,1 0,1 0,3 0,6 0,5
Indice global 6,9 -1,0 -5,7 -10,6 2,0 9,7 8,6 23,4 6,1 -1,1 0,9 0,2 0,1 0,1 0,3 -1,3 0,9
(1) Indice raccordé à la base 100 en 1990
Source : Haut Commissariat au Plan + Calcul DEPF
Moyenne
Moyenne
50
70
90
110
130
150
1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
Evolution de l'indice de la production minière (Base 100 = 1998)
Minerais
métalliques
Indice global
Minerais non
métalliques
-15,0
-10,0
-5,0
0,0
5,0
10,0
15,0
20,0
25,0
1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
(En %
)
Indice de la
production
minière
Indice des prix à la production minière
Variations annuelles des indices de la production et des prix à la production minière
34
Secteur des mines Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Production et utilisation des phosphates
En milliers de tonnes 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Extraction des phosphates -2,5 2,9 19658 20724 21806 21997 25568 28119 27244 27589 27156 19242 27356 28247 27100 2,4 0,6
Production marchande -1,3 2,4 21463 21983 23038 22877 25369 27254 27386 27834 24861 18307 26603 28052 27060 26430 27390 2,9 -0,2
Ventes locales 3,0 0,4 10891 11364 11815 12009 13401 13888 13834 14007 12034 12569 16444 18403 17032 3,1 4,0
Part dans l'utilisation du phosphate (En%) 50,9 51,1 51,5 52,2 53,1 50,9 50,8 50,2 50,8 68,7 61,6 66,3 65,2
Exportations -4,9 5,1 10487 10853 11138 11010 11828 13385 13399 13916 11644 5724 10254 9357 9100 8608 8738 2,4 -6,4
Part dans l'utilisation du phosphate (En%) 49,1 48,9 48,5 47,8 46,9 49,1 49,2 49,8 49,2 31,3 38,4 33,7 34,8
Total d'utilisation du phosphate -1,1 2,7 21378 22217 22953 23019 25229 27273 27233 27923 23678 18293 26698 27760 26132 2,8 -1,3
Source: Office Chérifien des Phosphates + Calcul DEPF
Evolution de la production et de l'exportation de l'acide phosphorique
Quantité : Milliers de tonnes
Valeur : Millions de DH 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Production (Quantité) 2,0 0,7 2731 2819 2920 2930 3254 3390 3409 3456 2771 3077 3998 4488 4265 4464 4525 3,2 3,9
Exportation (Quantité) 9,4 0,6 1734 1581 1698 1775 2171 2295 2186 2393 1729 1995 2345 2265 1896 1897 1898 3,9 -3,3
Exportation (Valeur) 8,2 5,3 5365 5076 5128 4856 6320 7641 7891 9069 22831 8051 13753 17115 14667 12053 12781 5,8 5,0
Prix moyens à l'exportation (Base 100=2000) (1) -1,0 4,7 100,0 103,7 97,6 88,4 94,1 107,6 116,6 122,5 426,6 130,4 189,5 244,1 249,9 187,6 192,3 1,8 6,7
Source : Ministère de l'Energie, des Mines, de l'eau et de l'environnement et Office des Changes pour l'exportation + Calcul DEPF
(1) C'est le prix moyen à la tonne exprimé en indice (base 100 en 2000).
Rythme de croissance Rythme de croissance
Rythme de croissance Rythme de croissance
5500
7500
9500
11500
13500
15500
17500
19500
21500
23500
25500
27500
29500
(En M
illi
ers
de
tonnes
)
Evolution de la production et des exportations des phosphates
Production
marchande
Exportations
80
130
180
230
280
330
380
430
480
Evolution en indice du prix moyen à l'exportation de l'acide phosphorique (Base 100 = 2000)
35
Secteur des mines Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Structure des exportations des phosphates selon les principaux pays partenaires
(En %) 1992-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Etats-Unis 18,2 17,0 18,4 22,5 23,8 21,7 21,2 19,6 17,7 18,7 22,9 35,5 26,2 25,1 24,0 25,9 11,5 20,3 23,9
Espagne 16,1 16,7 13,6 17,3 14,3 14,4 14,2 12,4 10,8 12,4 10,9 6,7 7,9 1,6 1,7 1,8 2,0 13,5 4,9
Mexique 7,8 16,5 14,3 11,9 9,9 8,9 7,9 7,1 6,8 6,4 8,5 1,6 7,1 4,4 6,5 5,8 7,3 8,9 6,2
France 3,0 6,0 7,2 6,7 7,1 5,7 3,8 2,5 1,7 2,1 1,3 1,4 1,5 1,6 1,6 1,0 1,2 4,4 1,4
Inde 3,2 3,1 2,6 1,3 5,6 6,4 8,3 8,5 9,4 7,8 7,4 12,5 8,8 11,5 14,3 11,8 13,9 6,5 11,2
Pologne 6,1 6,4 6,6 4,3 4,5 6,1 6,6 6,0 6,6 6,7 5,3 0,5 3,1 4,0 2,5 1,7 1,7 6,0 2,9
Belgique+Luxembourg 7,5 4,9 4,5 4,2 3,6 4,2 3,7 3,0 2,8 3,0 4,3 4,2 6,4 4,5 4,1 5,0 2,0 3,6 4,4
Brésil 1,1 1,7 3,3 3,6 3,2 4,4 7,9 5,2 4,7 7,6 5,3 8,8 5,1 7,2 5,9 5,7 7,1 5,1 6,2
Nouvelle Zélande 1,7 1,4 0,0 0,0 0,1 0,0 0,0 0,3 0,3 0,8 1,7 1,3 2,2 2,9 3,7 3,7 2,7 0,2 2,6
Roumanie 4,7 1,3 2,1 1,1 1,2 2,0 2,2 2,1 1,1 1,4 1,8 1,8 2,3 3,1 2,5 1,7 1,6 2,6 1,3
Corée du Sud 2,1 1,3 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0
Australie 1,3 1,8 3,2 3,1 2,5 1,8 1,2 4,0 2,9 2,8 3,2 1,7 2,0 2,1 1,4 0,3 1,0 2,7 1,8
Autres pays 27,3 21,8 24,3 24,0 24,2 24,2 22,9 29,3 35,1 30,4 27,3 24,0 27,5 33,0 33,9 38,6 51,9 26,2 33,2
Total 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 101,0 102,0 103,0 104,0 100,0 100,0
Source: Office Chérifien des Phosphates + Calcul DEPF
Moyennes Moyennes
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
Etats-Unis
Inde Espagne Brésil
Pologne
France
Autres pays
Structure de l'exportation des phosphates bruts en volume selon les principaux pays partenaires
Mexique
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
Etats-Unis
Inde
Espagne Brésil
Pologne
France
Autres pays
Structure de l'exportation des phosphates bruts en valeur selon les principaux pays partenaires
Mexique
36
Secteur des mines Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Evolution de la production et de l'exportation en volume des principaux produits miniers
(Milliers de tonnes) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Production
Minerai de Plomb 3,3 1,8 117,4 110,9 88,6 54,8 58,8 65,4 58,6 60,0 47,8 49,0 46,4 43,8 39,1 -7,7 -8,2
Minerai de Zinc 34,0 7,6 201,7 174,8 178,5 136,4 139,3 152,4 146,8 108,7 161,5 88,4 87,4 90,1 91,6 -8,2 -3,4
Minerai de Cuivre -3,0 -6,8 23,2 19,1 17,8 17,5 10,3 11,3 16,3 19,9 21,1 42,1 53,3 43,0 59,0 -2,9 24,3
Minerai de Fer -18,0 -36,7 6,5 8,0 8,7 6,3 12,2 16,3 35,5 48,0 22,9 30,5 44,7 78,9 260,7 28,1 40,3
Manganèse Chimique -1,4 -1,5 25,8 13,8 18,1 9,0 10,0 2,5 41,6 102,3 51,8 75,6 58,0 90,2 4,5 16,7
Minerai de Fluorine -4,1 -0,5 77,0 96,5 94,9 81,2 107,2 114,7 103,3 78,8 56,7 66,0 89,7 79,2 79,3 -0,7 0,1
Minerai de Barytine -10,7 7,5 343,6 467,1 487,6 358,5 511,8 597,6 628,4 664,7 725,1 586,9 572,4 769,5 1021,4 9,2 9,0
Exportation
Minerai de Plomb 11,8 -2,9 39,2 33,7 30,8 26,9 33,0 32,8 30,9 42,8 32,7 38,1 41,8 40,9 38,1 46,1 -1,4 1,3
Minerai de Zinc 33,7 8,8 190,3 187,4 325,3 209,3 179,8 223,1 156,6 118,3 109,5 90,7 92,6 73,6 82,0 79,4 -8,0 -6,4
Minerai de Cuivre -1,5 -6,8 25,2 20,9 19,3 19,8 12,4 14,8 17,9 31,3 33,3 58,6 48,8 37,7 65,6 69,8 0,7 14,3
Minerai de Fer -18,0 -65,8 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 11,0 11,4 25,7 11,7 11,0 20,4 12,1 221,7 291,1 90,2 49,8
Manganèse Chimique -7,7 60,2 16,9 15,5 13,8 0,2 0,0 7,8 12,1 49,2 147,0 72,6 91,4 59,1 92,2 123,2 -21,0 16,5
Minerai de Fluorine -2,0 -3,2 78,2 94,0 94,5 72,8 103,1 79,7 106,9 76,4 60,6 74,0 67,5 81,3 68,1 78,5 -1,1 0,4
Minerai de Barytine -4,3 -5,9 327,2 410,9 412,3 324,9 312,6 334,9 506,2 491,9 573,0 440,5 705,4 636,8 999,4 5,0 15,2
Source: Ministère de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement + Office des Changes + calcul de la DEPF
Evolution en indice de la production des principaux produits miniers (Base 100 = 2000)
Rythme de croissance Rythme de croissance
30
40
50
60
70
80
90
100Minerai de Plomb
40
50
60
70
80
90
100 Minerai de Zinc
40
60
80
100
120
140
160
180
200
220
240
260Minerai de Cuivre
100
120
140
160
180
200
220
240
260
280
300 Minerai de Barytine
37
Source :
- Ministère de l'Energie, des Mines, de l'eau et de l'environnement
- Office Nationale de l'Electricité et de l'Eau potable (O.N.E.E)
- Haut Commissariat au Plan
Energie et eau
Secteur énergétique Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Bilan du secteur énergétique
En milliers de "Tonne
en Equivalent de Pétrole" T.E.P) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2000-07 2008-12
Production locale 609,6 626,1 271 328 330 478 528 346 370 365 374 819 1162 784 714 377 771
Electricité hydraulique 40,7 60,6 69,1 69,1 66,4 78,5 78,4 72,5 69,2 64,4 63,6 81,6 81,2 70,9 66,2 71,7 74,7
électricité éolienne 0,0 0,0 6,1 16,2 15,2 9,6 9,5 14,5 13,0 19,2 20,6 12,5 14,7 22,9 26,5 12,7 18,7
Pétrole brut et gaz naturel 5,9 4,9 18,4 14,3 14,6 9,4 10,4 13,0 17,8 15,3 15,8 6,0 5,2 8,4 9,2 13,7 7,8
Importation 7346 9254 11060 12230 11337 11126 12035 13359 13972 15485 14769 15949 22095 22222 24581 12575 19923
Electricité 1,9 1,7 5,6 3,3 3,2 3,4 3,3 1,6 3,8 5,9 7,5 7,5 4,6 5,4 5,1 3,8 5,8
Charbon 11,9 20,4 23,6 27,7 29,6 29,0 30,4 29,1 27,8 26,3 24,9 21,8 16,5 15,8 16,1 27,9 18,4
Pétrole brut 76,6 63,7 57,6 55,2 52,4 38,6 47,1 49,1 44,8 40,4 34,9 30,0 23,7 20,9 21,4 47,8 25,2
Produits pétroliers 9,5 14,2 13,2 13,8 14,7 29,1 19,2 20,2 23,7 27,5 32,8 40,6 55,2 57,9 57,3 20,5 50,7
Consommation totale 7302 8782 9775 10302 10461 10961 11511 12190 12901 13734 14764 15139 16188 17157 17750 11479 16200
Electricité 5,3 6,1 8,4 6,7 6,0 7,3 7,5 4,2 6,4 8,8 9,6 13,0 13,2 11,3 10,8 6,9 11,6
Charbon 16,3 23,6 27,5 33,1 31,9 31,4 31,4 30,5 30,1 28,5 25,3 23,0 21,6 21,8 22,2 30,5 22,7
Produits pétroliers 78,0 70,0 63,8 59,8 61,6 61,0 60,7 62,2 59,8 58,8 61,4 60,1 61,3 62,3 60,8 60,8 61,2
Gaz naturel 0,3 0,3 0,4 0,4 0,5 0,4 0,4 3,1 3,7 3,9 3,6 3,9 3,9 4,7 6,5 1,8 4,6
Déficit énergétique 6693 8155 9504 9974 10131 10483 10983 11844 12531 13369 14390 14320 15026 16373 17036 11102 15429
Taux de dépendance énergétique (en %) 91,5 92,8 97,2 96,8 96,8 95,6 95,4 97,2 97,1 97,3 97,5 94,6 93,0 95,6 96,2 96,7 95,4
Source : Ministère de l'Energie, des mines, de l'eau et de l'environnement + Calcul DEPF
Moyennes Moyennes
89%
90%
91%
92%
93%
94%
95%
96%
97%
98%Evolution du taux de dépendance énergétique
6000
8000
10000
12000
14000
16000
18000
20000
22000
24000
26000
En m
illi
ers
TE
P
Evolution des importations et de la consommation énergétique
Importations
Consommation
locale
40
Secteur énergétique Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Evolution de l'indice de la production énergétique et de l'indice des prix à la production de l'éléctricité
(Base 100 = 2000) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Electricité 100,0 113,9 122,2 132,9 142,1 165,3 171,1 165,6 170,4 175,5 194,4 206,7 225,7 227,5 235,3
4,4 3,8 1,3 13,9 7,3 8,8 6,9 16,3 3,5 -3,3 2,9 3,0 10,8 6,3 9,2 0,8 3,4 6,7 5,1
Pétrole raffiné 100,0 104,3 101,0 72,5 98,5 107,2 112,4 120,6 122,3 98,1 106,3 124,6 123,6 115,7 107,9
3,2 1,8 -8,9 4,3 -3,1 -28,2 35,8 8,9 4,9 7,3 1,4 -19,8 8,4 17,2 -0,8 -6,4 -6,8 1,2 -1,6
Indice des prix à la
Prod. de l'éléctricité100,0 94,2 95,5 97,6 93,7 93,7 95,5 98,1 98,1 98,1 98,1 98,1 98,1 98,1 99,7
2,1 5,1 -1,9 -5,8 1,5 2,2 -4,0 0,0 1,9 2,7 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 1,7 -0,5 0,2
Source : Haut Commissariat au Plan + Calcul DEPF
Rythme de croissance Rythme de croissance
100%
130%
160%
190%
220%
250%
280%
310%
340%
370%
Evolution de l'indice de la production et de la valeur ajoutée d'électricité (Base 100 = 1990)
Indice de la
production
d'électricité
Indice de la valeur ajoutée
d'électricité et eau
-30%
-20%
-10%
0%
10%
20%
30%
40%Variation annuelle de l'indice de la production énergétique
Raffinge de
pétrole
Électricité
41
Secteur pétrolier Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Activité du secteur pétrolier
(En milliers de tonnes) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-13
Importations de l'énergie et de lubrifiants 6,5 3,6 12283 14089 13302 13037 14136 15782 15589 16849 16075 16754 17442 17978 19854 19948 21050 4,6 3,2
Dont :
Importations de pétrole brut 3,9 1,6 6853 7259 6390 4614 6098 7056 6262 6256 5569 4788 5237 4987 5668 5739 4843 -1,7 -3,6
Importations de produits pétroliers 27,3 6,7 1468 1695 1820 3534 2496 2812 3394 4292 4884 6339 6297 7432 7821 8160 8067 16,2 9,4
Production du gaz naturel (en millions de m3) -16,6 12,0 50 49 48 46 56 40 56 61 50 41 50 56 56 4,2 -1,7
Production du pétrole brut -9,3 6,6 13,0 10,0 13,0 10,0 11,0 32,3 11,2 11,1 9,0 8,0 9,4 8,0 0,1 -7,9
Mise en oeuvre 3,5 2,0 6866 7012 6340 4420 6211 7024 6270 6386 5704 4643 5450 5120 5538 5548 -1,6 -2,3
Production des raffineries 3,8 1,9 6450 6557 5921 4224 5881 6630 5919 6039 5358 4271 5768 6412 6941 6597 -1,1 1,5
Livraison des raffineries 4,6 -1,4 6886 7242 6573 5398 6359 6896 6413 6754 6733 6517 6665 7126 7564 7161 2,0 1,0
Consommation des produits pétroliers 6,3 0,6 6429 6359 6653 6895 7228 7861 8039 8438 9446 9579 10435 11207 2,5 7,4
Exportationsde l'énergie et de lubrifiants 2,5 23,9 1432 1900 1191 467 958 914 510 747 489 696 247 564 768 1240 980 -8,4 4,0
Facture énergétique en % des exportations (1) -1,7 -2,6 27 27 23 25 30 40 40 43 47 48 46 52 58 55 46 11,8 1,0
Prix moyen du pétrole brut (En dollar le baril) (2) -2,3 2,4 28 24 25 29 38 53 64 71 97 62 79 104 106 105 18,8 6,7
Source : Ministère de l'Energie, des mines, de l'eau et de l'environnement + office des changes + Calcul DEPF
(1) C'est les importations de l'énergie et de lubrifiants en valeur rapportées aux exportations de marchandises globales
(2) Prix moyen du pétrole brut (Brent, West Texas Intermediate et Dubai) (En dollar le baril)
Rythme de croissance Rythme de croissance
10
20
30
40
50
60
70
80
90
100
110
10%
15%
20%
25%
30%
35%
40%
45%
50%
55%
60%
$/b
aril
Evolution de la facture énergétique en % des exportations
Facture
énergétique Prix moyen du
pétrole brut
(échelle à droite)
0
10
20
30
40
50
60
70
0
5000
10000
15000
20000
25000
(Fac
ture
éner
gét
ique
en %
des
exp
ort
atio
ns
glo
bal
es
(Im
port
atio
ns
et c
on
som
mat
ion
en
mil
lier
s d
e
ton
nes
)
Evolution des importations et de la consommation des produits pétroliers
Importations de l'énergie et de lubrifiants
Consommation des produits pétroliers
Facture
énergétique
42
Electricité Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Production et consommation de l'énergie électrique
1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Production nette (En millions de kWh) 13942 14786 15538 16779 17945 19518 21105 22608 24004 25016 26531 28752 31056 31885 33373
ONEE (y.c les concessions) 87,8 94,3 83,1 89,3 90,8 91,2 91,0 95,6 90,5 84,5 82,2 81,2 84,7 83,4 84,9 82,5 81,5 89,6 82,9
Thermique 78,1 82,2 77,6 82,1 84,1 82,5 82,1 90,8 86,4 80,6 78,3 70,4 70,0 74,7 77,1 71,0 73,6 83,5 73,6
Production concessionnelle (1) 0,0 19,2 46,6 62,4 61,3 56,7 56,2 62,6 62,4 57,6 54,3 51,1 45,9 43,9 42,4 40,0 50,4 58,5 46,5
Hydraulique 9,7 12,1 5,1 5,8 5,4 8,6 8,9 7,2 7,5 5,8 5,7 11,8 13,7 7,4 5,8 9,4 6,1 6,9 8,4
Autres 12,2 5,7 16,9 11,1 9,2 8,8 9,0 4,4 9,5 15,5 17,8 18,8 15,3 16,6 15,1 17,5 18,5 10,5 17,1
Consommation (En millions de kWh) 12838 13452 14085 15214 16288 17628 19260 20502 21638 22392 23749 25670 27559 27769 28825
Distribuée par l'ONEE 87,3 81,7 48,8 48,6 48,7 49,7 51,0 51,9 53,6 54,9 55,2 55,0 56,1 57,6 58,7 57,8 58,0 51,3 57,0
Autres 18,3 18,3 51,2 51,4 51,3 50,3 49,0 48,1 46,4 45,1 44,8 45,0 43,9 42,4 41,3 42,2 42,0 48,7 43,0
Source : Office Nationale de l'Electricité et de l'Eau potable (ONEE) + Calcul DEPF
(1) Transfert de la centrale thermique de Jorf Lasfar le 13 septembre 1997 au producteur concessionnaire JLEC.
Moyennes Moyennes
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
1990-94 1995-99 2000-07 2008-14
Structure de la production de l'énergie électrique nette
Thermique Production concessionnelle Hydraulique Autres
5000
10000
15000
20000
25000
30000
35000
(En m
illi
ons
de
kW
h)
Evolution de la production et la consommation de l'énergie électrique
Production nette
Consommation
43
Electricité Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Structure de la consommation d'énergie électrique distribuée par l'ONEE
(En millions de KWh) 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Ventes totales 12838 13452 14085 15214 16289 17628 19260 20540 21638 22392 23749 25670 27559 28825 28825 6,7 5,0
Ventes aux clients directs de l'ONE 48,8 48,6 48,7 49,7 51,0 51,9 53,6 54,9 55,2 55,0 56,1 57,4 58,7 55,7 58,0 51,3 56,7
Haute et moyenne tension 33,1 32,3 32,0 32,3 32,9 33,0 33,8 34,7 34,6 34,0 34,5 35,7 36,4 33,3 34,4 33,1 34,7
Basse tension 15,7 16,4 16,7 17,5 18,0 18,9 19,9 20,3 20,6 21,0 21,6 21,8 22,3 23,7 23,7 18,2 22,2
Ventes Totales aux distributeurs 51,2 51,4 51,3 50,3 49,0 48,1 46,4 45,1 44,8 45,0 43,9 42,4 41,3 42,0 42,0 48,7 42,9
Basse tension / Haute tension (en %) 47,5 50,8 52,3 54,2 54,8 57,1 58,9 58,5 59,5 61,9 62,7 61,1 61,1 71,0 68,8 54,9 64,0
Source : Office Nationale de l'Electricité et de l'Eau potable (O.N.E.E) + Calcul DEPF
Electrification rurale
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Réseau électrique
Village 1715 1760 1956 2564 3610 4839 4095 3643 2290 1241 1143 920 1530 10,4 -15,9
Foyer 151583 111230 120198 155979 178686 233668 169109 161289 92802 51439 39848 32456 46962 0,6 -15,4
Total général
Village 1817 1840 2004 3145 3973 5424 4741 4266 2780 1251 1143 920 1530 1499 12,2 -10,3
Foyer 152559 112538 121416 161049 187008 243201 178286 168519 99592 51489 39848 32456 46962 41411 1,1 -15,4
Taux Electrification Rurale (en %) 45,0 50,0 55,0 62,0 72,0 81,0 88,0 93,0 95,4 96,5 96,8 97,4 98,1 98,5 11,5 3,5
Source : Ministère de l'Energie, des mines, de l'eau et de l'environnement + Calcul DEPF
Moyennes
Rythme de croissance
0
5000
10000
15000
20000
25000
30000
(En M
illi
ons
de
kW
h)
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Basse tension
Ventes totales au distributeurs
Haute et moyenne tension
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Evolution du taux Electrification Rurale Evolution de la consommation d'énergie électrique distribuée par l'ONEE Structure de la consommation de l'énergie électrique
44
Eau potable et remplissage Barage Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Evolution des indicateurs relatifs à l'eau potable et taux de remplissage des barrages (1)
1993-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2005-14
Production (En millions de m3) 567,9 628,6 668 669 672 696 710 753 767 794 828 861 901 932 972 716 899
Ventes (En millions de m3) 518,6 567,5 605 610 609 622 626 661 665 681 684 705 736 793 814 635 746
Allal Al Fassi 71,9 78,4 90,2 64,6 95,8 90,6 89,2 92,2 90,1 95,5 92,5 80,9 83,3 84,4 78,9 81,6 87,1 88,5 84,1
Al Massira 15,6 79,8 31,2 19,7 25,2 27,5 30,4 19,4 18,1 15,5 18,2 71,9 93,6 91,2 94,9 90,0 86,2 23,4 78,0
Al wahda 0,0 43,6 62,0 75,1 75,6 80,2 65,7 57,8 74,6 66,7 82,8 78,7 50,6 49,6 56,6 49,6 59,4 69,7 61,0
Bine El ouuidane 35,2 55,1 23,4 20,1 42,7 51,9 63,2 46,2 65,0 45,7 53,4 71,6 76,7 79,0 90,0 69,4 65,7 44,8 72,3
El Kansera 30,4 52,5 49,5 62,0 92,8 97,1 59,4 50,2 67,5 50,0 94,6 90,7 72,1 71,3 86,4 61,2 87,2 66,1 80,5
Hassan 1er 31,1 67,5 22,9 18,2 39,8 58,9 89,9 57,1 57,5 38,2 42,3 79,8 68,9 44,0 56,3 40,9 57,6 47,8 55,7
Idriss 1er 11,4 46,5 42,2 48,5 62,8 93,0 71,6 51,4 67,7 44,2 77,1 81,3 60,2 59,5 69,8 59,3 60,5 60,2 66,8
Lalla Takerkoust 62,1 72,8 10,7 20,1 95,3 84,7 38,8 29,1 40,9 20,7 81,6 93,7 92,7 61,5 27,6 18,1 95,0 42,5 67,2
Mansour Eddahbi 76,8 72,8 25,4 17,8 27,3 38,2 37,9 29,4 68,4 60,9 91,6 90,3 94,5 77,3 54,7 32,2 99,4 38,2 77,1
Mohammed El Khamis 71,9 60,8 99,9 95,1 82,4 96,0 45,9 19,8 53,9 82,1 93,2 91,0 96,1 59,7 94,3 76,8 45,9 71,9 79,6
Moulay Youssef 48,7 60,9 30,7 17,5 46,2 91,1 81,1 35,9 48,0 41,7 93,0 59,8 75,2 68,5 88,7 42,3 98,7 49,0 75,2
Oued El Makhazine 45,2 70,3 80,1 84,1 90,6 87,8 61,7 40,6 57,1 39,7 81,2 89,0 87,4 69,2 73,0 69,0 91,8 67,7 80,1
Total 31,3 58,2 48,1 49,5 57,5 65,7 55,5 44,7 55,3 45,7 61,2 78,1 76,3 71,0 73,8 64,3 72,5 52,8 71,0
Source : Ministère de l'Energie des mines de l'eau et de l'environnement + Office Nationale de l'Electricité et de l'eau potable (O.N.E.E) + Calcul DEPF
(1) Au 31 Décembre
Moyennes Moyennes
50
550
1050
1550
2050
2550
3050
3550
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
Evolution du taux de remplissage des barrages et de la production d'électricité
hydraulique
(En m
illi
ers
de
KW
H)
Taux de
remplissage des
barrages
Production
d'électricité
hydraulique
450
500
550
600
650
700
750
800
850
900
950
1000
1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
(En m
illi
ons
de
m3
)
Evolution de la production et des ventes de l'eau effectués par l'ONEE
Production
Ventes
45
Source :
- Ministère de l’Industrie du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie Numérique.
- Haut Commissariat au Plan.
- Ministère de l'Agriculture et de la pêche maritime.
- Office National Interprofessionnel des Céréales et Légumineuses.
- Office des changes.
- Ministère de l'Artisanat et de l'Economie Sociale.
Industrie
Secteur industriel Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Indicateurs du secteur industriel
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Valeur ajoutée industrielle aux prix courants (En millions de DH) 61046 61728 65003 73547 78616 77166 81202 82074 86996 104004 105250 114338 120694 123231
Industrie alimentaire et tabac 16998 15453 15700 17476 20339 20609 22847 18601 21327 30255 28676 30850 35909 42679
Industrie du textile et du cuir 15079 15186 15815 17042 18207 14898 16642 16892 16586 17670 17835 17238 17309 16591
Autres industries manufacturières 6320 6115 6016 7701 8488 9842 9709 10230 11981 15208 15677 24060 24466 21875
Industrie chimique et parachimique 12125 13044 14721 17398 17398 17424 17468 19708 20183 20965 23113 22953 23448 23105
Industrie mécanique, métallurgique et électrique 10524 11930 12751 13930 14184 14393 14536 16643 16919 19906 19949 19237 19562 18981
Part dans le PIB (En %) 15,5 14,5 14,6 15,4 15,6 14,6 14,1 13,3 12,6 14,2 13,8 14,2 14,6 14,1 14,6 14,0
Industrie alimentaire et tabac 4,3 3,6 3,5 3,7 4,0 3,9 4,0 3,0 3,1 4,1 3,8 3,8 4,3 4,9 3,7 4,0
Industrie du textile et du cuir 3,8 3,6 3,6 3,6 3,6 2,8 2,9 2,7 2,4 2,4 2,3 2,1 2,1 1,9 3,3 2,2
Autres industries manufacturières 1,6 1,4 1,4 1,6 1,7 1,9 1,7 1,7 1,7 2,1 2,1 3,0 3,0 2,5 1,6 2,4
Industrie chimique et parachimique 3,1 3,1 3,3 3,6 3,4 3,3 3,0 3,2 2,9 2,9 3,0 2,9 2,8 2,6 3,3 1,9
Industrie mécanique, métallurgique et électrique 2,7 2,8 2,9 2,9 2,8 2,7 2,5 2,7 2,5 2,7 2,6 2,4 2,4 2,2 2,7 1,6
Taux de croissance de la VA industrielle en volume
aux prix de l'année précédente (En %)2,9 5,3 4,6 4,3 -0,2 3,5 3,8 3,8 2,1 0,9 3,1 2,3 1,5 0,8 3,5 1,8
Industrie alimentaire et tabac 4,9 6,1 3,2 3,2 -1,1 1,8 2,4 1,4 3,9 2,7 1,4 4,0 4,0 2,5 2,7 3,1
Industrie du textile et du cuir 6,7 4,0 1,4 -2,3 -1,5 0,0 1,3 2,4 -0,4 -1,0 3,9 0,5 2,8 -2,7 1,5 0,5
Autres industries manufacturières -9,3 0,2 0,9 2,4 -1,1 12,6 1,1 -1,3 3,9 2,5 5,2 1,2 -0,7 3,7 0,5 2,6
Industrie chimique et parachimique 3,6 7,9 12,1 14,3 -0,7 3,0 8,0 6,7 -0,5 1,1 6,3 1,1 0,9 0,3 6,8 1,5
Industrie mécanique, métallurgique et électrique 2,8 6,0 4,0 3,0 3,6 5,9 5,4 8,9 4,6 -0,8 -0,1 3,6 -0,2 -2,2 4,9 0,8
Contribution à la croissance du PIB en volume (En points de croissance) 0,5 0,8 0,7 0,6 0,0 0,5 0,6 0,5 0,3 0,1 0,4 0,3 0,2 0,1 0,1 0,5
Industrie alimentaire et tabac 0,2 0,3 0,1 0,1 0,0 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0,2 0,2 0,1 0,1 0,1
Industrie du textile et du cuir 0,3 0,2 0,0 -0,1 -0,1 0,0 0,0 0,1 0,0 0,0 0,1 0,0 0,1 -0,1 -0,1 0,0
Autres industries manufacturières 0,1 0,1 0,1 0,0 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0,0 0,0 0,1 0,0 -0,1 -0,1 -0,1
Industrie chimique et parachimique -0,3 0,0 0,0 0,1 0,0 0,4 0,0 0,0 0,1 0,1 0,1 0,0 0,0 0,1 0,1 0,1
Industrie mécanique, métallurgique et électrique 0,1 0,2 0,3 0,4 0,0 0,1 0,2 0,2 0,0 0,0 0,2 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0
Formation brute du capital fixe des produits industriels (En millions de DH) 43211 39879 44095 47949 53972 60219 67081 80166 98053 93686 94059 95424 102759 101219
Part dans la FBCF totale (En %) 42,3 37,6 39,3 40,0 40,7 41,5 41,3 41,6 43,1 41,4 40,1 38,7 39,7 38,4 40,7 40,2
Taux de croissance de la FBCF des produits industriels en volume
aux prix de l'année précédente (En %) 4,4 -8,8 14,7 13,9 13,5 11,8 8,5 15,1 14,7 1,1 -5,3 -1,3 3,5 -3,0 8,9 1,4Contribution à la croissance de la FBCF des produits industriels totale en
volume (En points) 1,9 -3,7 5,5 5,5 5,4 4,8 3,5 6,2 6,1 0,5 -2,2 -0,5 1,4 -1,2 3,6 0,6
Emploi dans le secteur industriel (En milliers) 1110 1086 1133 1153 1178 1154 1157 1207 1228 1191 1183 1148 1212 1221
Part dans l'emploi total (En %) 11,9 11,7 12,0 11,7 11,9 11,6 11,3 11,7 11,8 11,4 11,2 10,8 11,4 11,4 11,7 11,3
Source : Haut Commissariat au Plan + Calcul de la DEPF
Moyennes
48
Secteur de l'industrie Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Evolution du taux de valeur ajoutée selon les branches d'activité économique (1)
(En %) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Industrie agro-alimentaire 32,7 33,4 33,5 33,9 34,1 29,0 30,3 29,9 30,6 29,1 25,7 30,6 30,6 28,5 28,1 28,3 30,4 28,6
Industrie textile et cuir 31,8 37,1 38,6 39,2 39,6 38,6 38,8 38,1 36,5 35,9 34,8 36,7 36,0 33,7 33,2 34,2 38,1 34,8
Industrie chimique et parachimique 23,5 30,1 30,7 30,0 30,0 31,2 28,1 27,0 23,6 27,1 23,1 30,0 29,8 25,0 24,1 27,2 28,0 26,3
Industrie mécanique et métallurgique 26,5 28,2 31,6 31,4 30,6 29,5 28,9 26,0 24,3 22,5 22,6 23,7 21,6 21,0 21,5 20,2 27,3 21,6
Industrie électrique et électronique 27,4 36,7 33,6 36,0 32,3 31,6 29,1 29,1 26,2 22,9 22,7 24,8 26,9 24,0 24,3 24,3 28,8 24,5
Total industrie 28,0 32,2 33,0 33,0 32,9 31,4 30,4 29,1 27,2 27,6 24,8 29,4 29,1 25,8 25,4 26,5 30,2 26,7
Evolution de la productivité apparente du travail dans le secteur industriel (2)
(En milliers de DH par employé et par an) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Industrie agro-alimentaire 124,6 174,2 207,4 205,1 214,8 177,9 163,4 207,4 229,8 225,4 207,9 229,4 248,2 227,4 219,4 214,7 202,8 224,3
Industrie textile et cuir 35,7 44,6 43,9 47,1 47,0 46,7 46,8 46,8 45,7 48,7 46,3 46,0 44,9 45,2 46,3 47,2 46,6 45,9
Industrie chimique et parachimique 121,1 163,6 182,9 190,6 203,8 195,9 194,6 211,9 199,9 300,1 313,2 289,0 383,0 379,4 382,4 425,1 209,5 362,7
Industrie mécanique et métallurgique 95,3 111,1 125,6 137,0 136,8 139,8 130,0 145,8 150,7 167,9 192,3 167,9 153,2 168,0 159,3 166,4 142,1 167,0
Industrie électrique et électronique 97,3 115,9 105,2 109,2 102,3 106,6 110,2 115,0 115,2 95,8 94,9 96,6 95,4 87,5 104,6 105,3 107,0 97,3
Total industrie 82,7 106,9 115,5 119,7 121,8 115,0 113,6 127,4 129,6 147,8 148,9 153,4 170,6 170,4 174,1 182,0 123,9 166,9
Evolution du taux d'effort à l'investissement dans le secteur industriel (3)
(En %) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Industrie agro-alimentaire 18,6 13,2 15,6 14,6 13,7 20,2 14,4 16,6 14,7 16,2 20,3 18,0 16,0 14,2 15,0 14,0 15,7 16,0
Industrie textile et cuir 25,3 22,7 21,5 20,2 15,5 15,7 13,2 16,0 15,3 16,5 17,3 12,0 10,1 12,9 12,4 11,3 16,7 12,8
Industrie chimique et parachimique 29,4 19,7 21,5 19,0 18,2 18,1 30,9 24,1 39,2 36,0 43,0 44,8 24,3 25,4 26,0 33,6 26,8 31,8
Industrie mécanique et métallurgique 15,3 15,4 19,9 28,5 23,2 15,2 12,1 35,2 29,2 19,3 34,3 31,3 57,3 65,5 41,7 19,9 23,0 41,2
Industrie électrique et électronique 16,8 23,0 23,4 28,3 26,0 14,3 13,8 18,7 23,8 23,9 31,3 20,8 20,8 22,2 21,3 22,8 21,4 22,9
Total industrie 22,9 17,8 19,4 19,4 17,2 17,7 19,4 21,6 25,7 24,7 31,5 29,2 23,8 25,7 23,1 23,6 20,9 25,9
Source : Ministère de l’Industrie du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie Numérique + Calcul DEPF
(1) C'est la valeur ajoutée rapportée à la production
(2) C'est la valeur ajoutée rapportée à l'effectif des employés
(3) C'est le rapport de l'investissement à la valeur ajoutée
MoyennesMoyennes
MoyennesMoyennes
Moyennes Moyennes
49
Secteur de l'industrie Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Répartition de l'effectif des employés permanents par branche d'activité industrielle
(En %) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Industrie agro-alimentaire 15,6 15,2 14,2 15,1 14,8 15,4 15,8 16,3 15,9 16,1 16,7 17,7 18,4 19,6 21,6 22,9 15,5 23,8
Industrie textile et cuir 46,4 48,6 49,8 48,6 49,0 47,9 46,5 44,8 44,5 43,5 41,6 37,9 38,4 35,2 33,9 32,1 46,8 44,1
Industrie chimique et parachimique 22,5 21,8 20,6 20,2 19,8 19,6 20,2 21,0 21,0 19,3 20,2 21,7 19,3 19,7 19,5 18,7 20,2 24,0
Industrie mécanique et métallurgique 12,4 10,9 10,2 10,3 10,1 10,3 10,7 10,5 10,7 10,8 11,4 12,6 11,9 12,2 13,5 14,1 10,5 15,3
Industrie électrique et électronique 3,1 3,4 5,2 5,8 6,3 6,8 6,7 7,3 8,0 10,3 10,2 10,1 12,0 13,3 11,4 12,1 7,1 14,0
Total industrie 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 121,2
Evolution de la part des frais du personnel dans la valeur ajoutée
(En %) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2000-07 2008-12
Industrie agro-alimentaire 24,9 24,2 25,3 26,1 25,0 29,6 29,1 29,2 28,2 27,1 28,6 25,6 24,2 25,5 25,7 27,4 25,8
Industrie textile et cuir 58,6 59,4 62,1 60,6 62,5 63,2 65,4 67,3 67,2 65,7 68,4 68,5 66,4 68,8 70,7 64,2 68,5
Industrie chimique et parachimique 38,1 34,4 35,7 36,3 37,6 39,5 40,4 36,4 39,2 31,9 33,1 35,9 29,4 29,8 32,2 36,9 31,8
Industrie mécanique et métallurgique 49,2 49,2 45,1 43,9 44,7 43,8 45,2 43,2 41,4 38,5 36,6 47,1 46,5 43,3 44,9 43,0 43,7
Industrie électrique et électronique 59,1 51,6 55,9 53,1 58,0 56,0 59,9 57,8 58,2 58,6 62,6 64,4 56,0 60,3 63,2 57,4 61,1
Total industrie 39,4 37,8 38,6 39,0 39,6 42,3 43,0 41,2 41,4 37,5 38,6 39,3 35,0 35,7 37,2 26,5 26,9
Evolution du taux d'exportation selon les branches d'activité économique (1)
(En %) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Industrie agro-alimentaire 14,0 13,2 15,4 17,0 17,4 17,6 17,6 17,0 15,9 15,5 15,0 14,1 12,6 12,1 12,6 12,9 16,6 13,1
Industrie textile et cuir 56,4 62,0 65,9 67,0 65,3 66,0 67,6 66,3 65,9 64,7 63,0 60,8 62,8 62,9 63,7 63,4 66,1 62,8
Industrie chimique et parachimique 22,2 22,3 21,2 19,8 19,8 18,4 20,9 20,0 18,1 22,0 25,5 21,4 26,8 28,0 27,4 25,9 20,1 26,2
Industrie mécanique et métallurgique 9,4 9,8 10,8 11,8 11,6 9,7 9,1 12,3 14,3 15,3 15,0 14,9 16,4 17,2 19,5 33,4 12,3 20,1
Industrie électrique et électronique 30,0 32,7 56,2 58,9 61,3 64,5 64,6 59,6 64,1 66,2 59,8 58,2 67,4 79,0 76,9 74,3 62,8 70,4
Total industrie 23,8 24,4 26,1 26,7 26,8 26,6 27,4 26,0 25,4 27,0 26,7 24,1 26,8 28,2 28,0 29,5 26,5 27,4
Source : Ministère de l’Industrie du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie Numérique + Calcul DEPF
(1) C'est le rapport des exportations à la production
MoyennesMoyennes
Moyennes Moyennes
Moyennes Moyennes
50
Secteur de l'industrie Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Textile et cuir
Agro-alimentaire
Chimie et parachimie
Mécanique et métallurgie
Electrique et électronique
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Répartition des effectifs des employés permanents par branche industrielle
80%
90%
100%
110%
120%
130%
140%
150%
160%
170%
Evolution en indice du taux de valeur ajoutée industrielle (Base 100 = 1990)
Agro-alimentaire
Chimie et parachimie
Textile et cuir
Total industrie
10
60
110
160
210
260
310
360
410
(En M
illi
ers
de
DH
par
em
plo
yé)
Productivité apparente du travail
10%
15%
20%
25%
30%
35%
40%
45%
50%Taux d'effort à l'investissement
Agro-
alimentaire
Total
industrie
Textile et cuir
Chimie et
parachimie
Textile et cuir
Chimie et
parachimie
Agro-
alimentaire
Total
industrie
51
Secteur de l'industrie Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Evolution des parts de marché absolues (1)
(En %) 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Sur le marché mondial
Textiles cuirs 0,63 0,67 0,69 0,70 0,67 0,61 0,60 0,64 0,63 0,60 0,56 0,54 0,52 0,52 0,65 0,56
Mécanique électrique 0,04 0,04 0,05 0,05 0,06 0,06 0,06 0,06 0,06 0,06 0,06 0,07 0,08 0,09 0,05 0,07
Chimie 0,13 0,13 0,11 0,10 0,11 0,11 0,10 0,12 0,23 0,12 0,17 0,21 0,20 0,16 0,11 0,18
Agroalimentaire 0,33 0,34 0,37 0,36 0,34 0,37 0,37 0,39 0,36 0,36 0,33 0,28 0,28 0,30 0,36 0,32
Sur le marché européen
Textiles cuirs 1,47 1,55 1,58 1,51 1,46 1,35 1,27 1,34 1,32 1,24 1,21 1,15 1,17 1,17 1,44 1,21
Mécanique électrique 0,07 0,07 0,08 0,09 0,10 0,10 0,09 0,11 0,11 0,12 0,13 0,15 0,19 0,22 0,09 0,15
Chimie 0,09 0,09 0,07 0,06 0,06 0,05 0,05 0,07 0,10 0,05 0,08 0,10 0,09 0,09 0,07 0,08
Agroalimentaire 0,51 0,51 0,56 0,56 0,56 0,59 0,57 0,60 0,56 0,57 0,53 0,48 0,48 0,49 0,56 0,52
Source : Base de données CHELEM + Calcul DEPF
(1) Part des exportations marocaines dans les exportations mondiales en valeur
Moyennes
0,0%
0,1%
0,2%
0,3%
0,4%
0,5%
0,6%
0,7%
Evolution des parts de marché absolues sur le marché mondial
Textile et cuir
Agro-alimentaire
Chimie
Mécanique électrique
0,0%
0,2%
0,4%
0,6%
0,8%
1,0%
1,2%
1,4%
1,6%
Evolution des parts de marché absolues sur le marché européen
Textile et cuir
Agro-alimentaire
Mécanique électrique
Chimie
52
Secteur de l'industrie Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Variation annuelle de l'indice de la production industrielle
(Base 100 = 1998) 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Industrie agro-alimentaire 7,4 3,6 0,1 3,8 3,3 3,9 3,2 2,5 4,2 2,6 1,7 3,3 2,2 2,0 3,4 0,3 0,3
Industrie textile et cuir 12,0 0,3 0,9 -1,2 0,5 5,3 0,6 2,2 -0,7 -0,5 3,5 -0,4 3,6 -3,4 1,8 0,2 0,1
Industrie chimique et parachimique 1,1 3,2 6,8 1,3 7,6 4,4 2,5 -1,2 3,5 2,5 5,1 1,7 1,9 3,4 0,9 0,3 0,3
Industrie mecanique, metallurgique et électrique 4,9 5,7 5,8 6,6 3,2 7,1 10,1 8,3 -0,1 1,0 0,3 2,6 1,2 -0,1 1,0 0,6 0,1
Autre industries manufacturieres 6,0 4,2 7,4 9,1 6,5 5,3 8,6 8,5 4,1 -0,7 -0,1 3,6 -1,7 -1,9 -1,4 0,7 0,0
Total 5,9 3,4 3,5 2,8 4,8 5,4 5,2 4,5 2,2 0,2 2,0 3,4 1,1 0,3 0,9 0,4 0,1
Source : Haut Commissariat au Plan + Calcul DEPF
Indice des prix à la production industrielle selon les branches d'activité économique
(Base 100 = 1997) 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Industrie agro-alimentaire 0,1 -0,6 2,5 1,8 1,6 -0,2 3,1 -0,1 7,9 -0,4 -0,5 4,1 4,0 1,8 -0,2 1,0 2,3
Industrie textile et cuir -2,3 -0,3 0,3 -0,1 -0,2 -0,4 -0,9 -0,8 0,4 0,7 1,0 0,9 0,5 2,5 1,2 -0,6 1,0
Industrie chimique et parachimique 0,5 -2,0 -1,8 1,3 13,5 9,6 4,1 5,7 52,6 -30,2 -10,6 9,6 -6,1 -0,4 -0,7 3,7 -0,4
Industrie mecanique, metallurgique et électrique 1,4 -0,4 -0,6 1,0 3,6 4,3 1,5 3,3 3,9 -4,0 -0,4 26,5 -17,4 0,2 0,0 1,8 0,6
Total 9,3 -1,8 -1,2 1,3 5,0 9,1 5,9 1,8 18,2 -15,2 6,4 10,6 2,9 -1,9 -2,8 3,6 2,1
Source : Haut Commissariat au Plan + Calcul DEPF
Moyenne
Moyenne
-2%
-1%
0%
1%
2%
3%
4%
5%
6%
7%
8%Variation annuelle de l'indice de la production et de la valeur ajoutée industriels
Indice chimie
et parachimie
Indice
industrie
totale
Valeur ajoutée
industrielle
-30%
-20%
-10%
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%Variation annuelle de l'indice des prix à la production industrielle
Industrie chimique et parachimique
Agro-alimentaire
Industrie
totale
53
Secteur de l'artisanat Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Exportations des Produits Artisanaux
(En %) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2000-07 2008-12
Exportations des produits artisanaux(En millions de DH)
689 656 683 657 659 692 634 584 473 388 364 340 367
Part dans les exportations globales (En%) 1,3 0,9 0,9 0,8 0,8 0,8 0,7 0,7 0,6 0,5 0,3 0,3 0,2 0,2 0,2 0,7 0,2
Tapis 54,9 39,7 27,5 28,1 19,9 19,0 18,4 16,8 16,1 14,9 14,4 15,5 16,4 15,8 15,7 14,4 28,3
Poterie 7,3 14,8 18,1 18,1 16,8 16,9 19,7 18,2 19,5 18,6 18,3 16,7 13,5 18,0 18,3 11,4 32,1
Fer forgé 10,6 7,3 17,1 19,6 21,6 23,3 26,4 24,5 22,8 20,8 18,2 16,7 11,0 10,4 9,7 13,7 34,2
Ouvrages en bois 3,8 6,8 8,2 8,8 8,4 9,3 9,1 11,4 12,4 13,1 11,9 9,7 13,1 10,2 9,7 5,6 21,2
Vannerie 5,5 5,6 6,3 7,5 7,9 7,1 6,4 5,3 6,0 7,2 6,7 7,3 11,4 12,2 9,3 4,5 13,4
Vêtements 2,6 9,0 6,2 5,2 8,6 5,2 5,0 5,2 5,4 5,3 5,9 6,3 6,4 7,0 9,7 3,9 10,4
Maroquinerie 3,4 6,6 6,0 3,8 7,1 6,0 4,4 8,9 7,4 6,9 6,0 6,3 6,8 8,0 8,4 3,5 13,1
Autres 12,0 10,2 10,6 8,9 9,8 13,1 10,7 9,9 10,5 13,2 18,7 21,4 21,3 20,7 19,2 43,1 -52,8
Source : Ministère de l'Artisanat et de l'Economie Sociale et Solidaire + Haut Commissariat au Plan + calcul DEPF
Moyennes Moyennes
25
35
45
55
65
75
85
95
Evolution des exportations en valeur des tapis
(Base 100 = 1990)
Tapis
Poterie
Fer forgé
Ouvrages en bois
Vannerie
Vêtements
Maroquinerie
Autres
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Structure des exportations des produits artisanaux
54
Activité Industriel Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Activité de l'industrie sucrière
(En Milliers de tonnes) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Production de sucre d'origine local (1)0,5 -0,1 504 527 433 487 508 472 401 424 468 410 379 362 247 357 478 -1,5 -3,9
A partir de la betterave 80,9 76,4 73,2 80,7 80,2 83,9 83,3 88,6 72,6 77,9 82,2 82,2 83,1 81,4 87,0 80,2 82,2
A partir de la canne à sucre 19,1 23,6 26,8 19,3 19,8 16,1 16,7 11,4 27,4 22,1 17,8 17,8 16,9 18,6 13,0 19,8 17,8
Importation du sucre raffiné 10,5 0,5 559 512 574 550 601 614 659 746 751 976 798 884 1003 923 772 6,0 6,1
Consommation de sucre 2,3 2,5 951 997 1002 1057 1052 1070 1094 1119 1142 1161 1171 1207 2,2 1,9
Taux d'autosuffisance en sucre (En %) (2) 60,8 48,3 53,0 52,9 43,2 46,1 48,3 44,1 36,7 37,9 41,0 35,3 32,4 30,0 45,0 34,6
Source : Ministère de l'industrie, du commerce et des nouvelles technologies. Office des changes pour les importations du sucre raffiné + Calcul DEPF
(1) Production réalisée durant la campagne betteravière (15 Mai-10 Août) et la canne à sucre (Février-Août)
(2) Production de sucre d'origine local rapportée à la consommation du sucre
Activité des minoteries industrielles
(En milliers de Qx) 1990-94 1995-99 99/00 00/01 01/02 02/03 03/04 04/05 05/06 06/07 07/08 08/09 09/10 10/11 11/12 12/13 13/14 2000-07 2008-14
Ecrasement du blé 6,5 2,6 35613 38209 38811 37846 38170 38854 41222 42439 45962 48000 49410 52220 57700 56800 56100 2,7 4,1
- Blé tendre 94,3 87,6 85,9 84,6 85,9 85,6 85,1 84,5 84,1 83,7 86,3 88,8 87,8 86,9 87,9 87,5 86,6 84,9 87,4
- Blé dur 5,7 12,4 14,1 15,4 14,1 14,4 14,9 15,5 15,9 16,3 13,7 11,2 12,2 13,1 12,1 12,5 13,4 15,1 12,6
Produits fabriqués 6,3 2,2 27537 29456 30139 29391 29479 29241 32006 31587 32081 32437 37887 39918 43856 2,5 6,8
Sous produits 5,2 2,8 7592 8323 8269 7921 7991 8115 8611 8881 9906 10586 10863 13542 12376 2,5 6,9
Ventes des produits fabriqués 6,3 2,1 26971 29443 3066 29395 29452 29929 31641 30732 35230 36726 37851 39884 43662 2,2 7,3
Produits fabriqués/Ecrasement du blé 77,6 76,1 77,3 77,1 77,7 77,7 77,2 75,3 77,6 74,4 69,8 67,6 76,7 76,4 76,0 76,8 73,6
Source : Office National Interprofessionnel des Céréales et Légumineuses (O.N.I.C.L.) + Calcul DEPF
Moyennes Moyennes
Moyennes Moyennes
55
Activité Industriel Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Activité de l'industrie laitière
(En %) 1990-94 1995-99 99/00 00/01 01/02 02/03 03/04 04/05 05/06 06/07 07/08 08/09 09/10 10/11 11/12 12/13 13/14 2000-07 2008-14
Production du lait frais (En Millions de litres) -0,3 6,6 1150 1100 1200 1250 1375 1410 1571 1500 2000 2229 2100 2169 2465 2484 2300 3,6 6,3
Volume du lait traité (En Millions de litres) 6,0 7,5 710 675 700 720 820 883 1100 1162 1400 1560 1470 1540 1750 7,3 8,5
En % de la production totale 61,7 61,4 58,3 57,6 59,6 62,6 70,0 77,5 70,0 70,0 70,0 71,0 71,0
Source : Ministère de l'Agriculture et de la pêche maritime + Calcul DEPF
Production et exportation de l'huile d'olive
1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Production (En milliers de tonnes) 40 35 60 45 100 50 75 75 85 85 160 150 120 100 120
Var en % 5,9 10,2 -38,5 -12,5 71,4 -25,0 122,2 -50,0 50,0 0,0 13,3 0,0 88,2 -6,3 -20,0 -16,7 20,0 1,8 6,9
Exportation (En tonnes) 550 84 1600 3500 25000 31000 21000 5500 4500 5800 21100 33000 11000 12739 21944
Var en % 14,2 107,8 -96,5 -84,7 1804,8 118,8 614,3 24,0 -32,3 -73,8 -18,2 28,9 263,8 56,4 -66,7 15,8 72,3 -12,1 21,9
Taux d'exportation en volume (En %) 3,8 24,4 1,4 0,2 2,7 7,8 25,0 62,0 28,0 7,3 5,3 6,8 13,2 22,0 9,2 12,7 18,3 18,4 13,4
Source : Ministère de l'Agriculture et de la pêche maritime + Calcul DEPF
(1) Il s'agit du taux d'exportation moyen de la période en question
Rythme de croissance Rythme de croissance
Rythme de croissance Rythme de croissance
55%
60%
65%
70%
75%
80%
Part du lait traité dans la production totale du lait frais
0
10
20
30
40
50
60
70
0
20000
40000
60000
80000
100000
120000
140000
160000
180000
(Tau
x d
'exp
ort
atio
n e
n %
)
(Pro
duct
ion e
n t
onnes
)
Evolution de la production et du taux d'exportation en
volume de l'huile d'olive
Taux
d'exportation Production
25
30
35
40
45
50
55
200
250
300
350
400
450
500
550
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
(Tau
x d
'auto
suff
isan
ce
en %
)
(Pro
duct
ion e
n M
illi
ers
de
tonnes
)
Evolution de la production de sucre d'origine locale et de
l'autosuffisance dans la consommation du sucre
Production de sucre
d'origine local
Taux d'autosuffisance
en sucre
56
Construction Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Autorisations de construire délivrées selon la catégorie de construction
(En nombre) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2000-07 2008-12
Habitat résidentiel 27275 35532 34870 34406 37350 42589 45362 46220 46317 49933 48250 46328 53200 48892 49723 42131 49279
Immeubles 15,3 14,4 14,3 16,8 16,2 15,1 14,2 13,6 15,0 14,4 12,3 11,6 10,2 12,0 11,0 14,9 11,4
Villas 8,9 6,3 6,1 5,9 7,1 7,2 6,7 5,8 5,5 4,5 3,9 3,8 3,4 3,8 4,1 6,0 3,8
Type marocain 69,4 72,2 71,1 68,0 67,2 67,6 69,5 72,0 72,1 73,4 76,5 77,5 79,3 76,3 76,3 70,3 77,2
Habitat non résidentiel 1897 2710 3249 3540 3935 4789 4823 4350 3735 4132 3805 3558 4096 4194 4723 4069 4075
Bâtiments commerce et industrie 4,8 5,3 6,9 7,9 8,2 8,8 8,3 7,5 6,5 6,7 6,7 6,5 6,3 7,1 7,9 7,6 6,9
Bâtiments administration 0,4 0,4 0,4 0,4 0,4 0,4 0,4 0,4 0,4 0,5 0,2 0,3 0,4 0,4 0,4 0,4 0,3
Autres 1,3 1,4 1,2 1,0 1,0 1,0 0,9 0,6 0,6 0,5 0,4 0,4 0,5 0,4 0,4 0,8 0,4
Total des autorisations de construire 29173 38243 38119 37946 41285 47378 50185 50570 50052 54065 52055 49886 57296 53086 54446 46200 53354
Valeur prévue (En Millions de DH) 0,3 8,2 15803 16288 18373 24832 19356 19725 22988 22239 21306 18895 20537 22758 25539 6,0 2,8
Source : Haut Commissariat au Plan + Calcul DEPF
Evolution du prix moyen du m² couvert
(En nombre) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2000-07 2008-12
Surface du plancher (En milliers de m²) -1,3 7,3 12347 12889 13913 18387 15407 15549 17450 17056 15720 13888 16033 17947 17634 5,1 0,7
Valeur déclarée (En millions DH) 0,3 8,2 15803 16288 18373 24832 19356 19725 22988 22239 21306 18895 20537 22758 25539 6,0 2,8
Prix moyen du m² couvert (En DH/m²) 1,7 0,9 1280 1258 1311 1120 1124 1173 1145 1151 1170 1175 1188 1255 1293 -0,7 2,4
Source : Haut Commissariat au Plan + Calcul DEPF
Evolution du prix moyen du m² couvert selon la catégorie de construction
(En DH/m²) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2000-07 2008-12
Immeuble 4,0 -0,4 1308 1258 1336 1133 1129 1123 1194 1174 1255 1184 1203 1304 1308 -0,9 2,2
Villas 1,2 0,5 1554 1474 1576 1463 1443 1128 1440 1513 1442 1635 1654 1758 1660 0,4 1,9
Construction type marocain 0,9 2,8 1129 1115 1111 1078 1076 1557 1106 1113 1155 1142 1156 1216 1262 0,1 2,5
Industrie et commerce 3,8 -0,9 1453 1363 1515 1124 1118 1277 1127 1152 1265 1210 1230 1243 1270 -1,9 2,0
Administration 2,8 -2,8 1679 1851 2138 1616 1375 1267 1566 1596 1600 1720 1767 1931 1821 0,4 2,7
Total 1,7 0,9 1280 1258 1311 1120 1124 1173 1145 1151 1170 1175 1188 1255 1293 -0,7 2,4
Source : Haut Commissariat au Plan + Calcul DEPF
MoyennesMoyennes
Rythme de croissance Rythme de croissance
Rythme de croissance Rythme de croissance
59
Construction Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Activité des cimenteries
(En milliers de tonnes) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Importation du ciment hydraulique 81 89 84 96 105 98 138 358 531 150 435 185 203 124 111
Taux de variation (En %) 4,1 3,4 -3,7 9,9 -5,6 14,3 9,8 -7,1 41 159 48 -72 190 -57 10 -39 -11 19,9 -15,4
Ventes totales du ciment 7480 8058 8486 9277 9796 10289 11357 12787 14048 14520 14571 16130 15871 14864 14060
Taux de variation (En %) 6,2 3,0 3,4 7,7 5,3 9,3 5,6 5,0 10,4 12,6 9,9 3,4 0,4 10,7 -1,6 -6,3 -5,4 7,4 1,4
Source :
- Importation du ciment hydraulique : Office des Changes
- Ventes du Ciment : Cimenteries du Maroc
- Calcul DEPF
Rythme de croissance Rythme de croissance
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
1990-94 1995-99 2000-07 2008-12
Structure des autorisations de construire selon la catégorie de
construction
Type marocain Immeubles Villas Bâtiments commerce et industrie Autres90
110
130
150
170
190
210
230
Evolution en indice du nombre des autorisations de construire et des
ventes du ciment (Base 100 = 2000)
Ventes du
ciment
Autorisation
de construire
60
Source :
- Ministère de l'Equipement, du Transport et de la Logistique
- Comité National de la Prévention des Accidents de la Circulation (CNPAC)
- Haut Commissariat au Plan
- Office National des Aéroports
Transports
Transports Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Trafic de voyageurs et de marchandises
1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Trafic de voyageurs (En Milliers de voyageurs)
Ferroviaire -3,5 4,2 13066 13570 14685 16515 18543 21005 23582 26116 27527 29599 30914 33930 36000 38100 10,0 6,5
Voyageur kilométré (En millions) -2,8 0,0 1956 2019 2145 2374 2645 2987 3333 3658 3820 4190 4398 4819 5189 5300 8,7 6,4
Maritime 7,1 7,6 2684 3031 3208 3634 3888 4155 4105 4018 3960 4179 3096 2291 2010 2304 7,5 -8,9
Aérien 2,6 7,0 7171 7005 6697 6791 7790 9192 10506 12248 12866 13350 15362 15670 15105 16496 17295 7,6 5,1
Trafic de marchandises (En Milliers de tonnes)
Ferroviaire 3,1 0,0 27129 27493 29945 30552 32901 34911 34851 35859 31703 25000 35669 37000 37011 36200 3,1 0,2
Tonnage kilométré (En millions de tonnes) 0,7 0,5 4650 4699 4973 5146 5563 5919 5827 5794 4986 4110 5572 5976 5815 5700 2,4 -0,3
Maritime 3,3 5,3 53444 57550 56950 56114 61503 67485 66823 72717 67715 61085 69236 69104 71167 67861 4,1 -1,1
Source : Ministère de l'Equipement, du Transport et de la Logistique + Haut Commissariat au Plan + Calcul DEPF
Parc des véhicules en circulation
(Valeurs en Milliers de véhicules) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Total des véhicules 1 655 1 719 1 786 1 853 1 928 2 013 2 147 2 284 2 436 2 625 2 791 2 954 3 124 3 286 3 438
Voitures de tourisme (En %) 72,4 73,9 74,3 74,3 74,2 74,1 73,7 73,4 72,3 71,9 71,5 71,0 70,8 70,5 70,5 70,4 70,5 73,4 70,7
Véhicules utilitaires (En %) 27,6 26,1 25,7 25,7 25,8 25,9 26,3 26,6 26,6 27,0 27,4 27,9 28,1 28,3 28,3 28,4 28,3 26,2 28,1
Source : Ministère de l'Equipement, du Transport et de la Logistique + Haut Commissariat au Plan + Calcul DEPF
Moyennes
Rythme de croissance Rythme de croissance
Moyennes
60
100
140
180
220
260
300
340
380
Evolution en indice du trafic de voyageurs (base 100 = 1990)
Aérien
Ferroviaire
80
100
120
140
160
180
200
Evolution en indice du trafic de marchandises (base 100 = 1990)
Maritime
Ferroviaire
63
Transports Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Evolution du nombre d'accidents de la circulation
1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
En agglomération
Les accidents constatés 7,0 1,8 35370 36445 38010 38795 37751 38654 38882 41983 46160 47910 48100 48122 48202 48500 2,4 2,4
Les victimes 7,5 2,4 47415 49654 51992 53249 51741 52191 52041 56416 62902 65747 65411 66380 67130 65178 2,6 2,4
% des Tuées 2,4 2,3 2,4 2,3 2,4 2,5 2,1 2,0 2,0 1,9 1,8 2,1 2,0 1,4
Sur routes
Les accidents constatés 8,2 0,0 13000 13790 14127 15019 13936 12905 15610 16941 18555 19048 17361 18960 18949 19958 4,5 2,8
Les victimes 11,3 -2,1 30477 31915 33134 35151 32303 28690 34364 36686 40167 41038 36839 39853 39387 39677 3,5 1,3
% des Tuées 8,2 7,9 7,6 7,6 8,2 8,0 7,7 7,5 7,3 6,8 7,0 7,0 7,1 7,0
Ensemble
Les accidents constatés 7,3 1,4 48370 50235 52137 53814 51687 51559 54492 58924 64715 66958 65461 67082 67151 68458 2,9 2,5
Les victimes 9,1 0,6 77892 81569 85126 88400 84044 80881 86405 93102 103069 106785 102250 106178 104855 104855 3,0 2,0
% des Tuées 4,7 4,5 4,4 4,4 4,6 4,5 4,3 4,1 4,0 3,8 3,7 4,0 4,0 3,5
Taux de gravité 37,1 35,7 36,1 35,8 35,2 33,8 30,4 29,2 27,6 26,5 24,7 23,2 24,8 23,8 21,5 33,0 24,1
Source : Comité national de la prévention des accidents de la circulation (CNPAC) + Calcul DEPF
(en nombre)
Rythme de croissance Rythme de croissance
0
10000
20000
30000
40000
50000
60000
70000
Evolution du nombre d'accidents de la circulation constatés
Sur route
En agglomération
20%
22%
24%
26%
28%
30%
32%
34%
36%
38%
40%Evolution du taux de gravité des accidents de la circulation
64
Tourisme Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Entrées des touristes de séjour selon la nationalité
1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Touristes étrangers 2326 2250 2222 2224 2708 3056 3572 4031 4212 4293 4910 4934 5012 5323 5437
Taux de croissance (en %) -1,8 2,1 -8,7 -3,3 -1,2 0,1 21,8 12,9 16,9 12,8 4,5 1,9 14,4 0,5 1,6 6,2 2,1 5,9 4,4
Dont : Français 14,3 28,3 35,0 37,3 39,5 41,2 43,1 43,8 41,5 39,8 40,5 39,6 37,2 36,0 35,3 33,5 40,4 36,8
Espagnols 7,9 10,7 10,0 8,9 9,1 10,4 11,7 12,0 13,1 13,4 14,1 15,0 14,8 14,1 14,6 12,8 11,4 14,2
Anglais 3,1 5,4 5,9 6,0 6,6 6,0 5,6 6,3 7,4 8,4 6,5 5,9 6,9 7,1 7,1 7,6 6,7 6,9
Allemands 6,1 10,6 9,1 8,7 7,8 5,8 5,2 4,7 4,2 4,0 4,3 4,1 4,2 4,5 4,0 4,5 5,8 4,2
Belges 1,1 2,9 3,4 3,7 3,8 3,6 3,9 4,1 4,2 4,1 4,1 4,4 4,5 5,2 5,1 5,1 3,9 4,8
Italiens 3,3 5,5 6,1 5,5 5,1 4,5 4,2 4,0 3,9 4,0 3,9 4,1 4,7 4,3 3,9 4,4 4,5 4,2
Hollandais 1,0 2,2 2,6 2,7 2,9 3,0 2,7 2,6 2,6 2,7 3,0 3,3 3,6 4,0 4,1 4,0 2,7 3,7
Suises 1,0 1,6 1,9 1,7 1,9 1,9 1,5 1,5 1,3 1,4 1,5 1,5 1,5 1,4 1,2 1,4 1,6 1,4
Portugais 0,6 0,9 1,3 1,6 1,9 1,6 1,4 1,2 1,2 1,2 1,1 1,2 1,3 1,5 1,1 1,1 1,4 1,2
Arabes 52,9 5,9 5,6 7,9 6,4 6,4 5,8 5,7 5,6 5,6 5,9 5,9 5,6 6,3 7,4 8,2 6,0 6,6
Américains 2,8 4,7 5,2 4,3 3,3 2,9 2,8 2,7 2,6 2,7 2,6 2,8 2,8 2,6 2,8 3,0 3,2 2,8
Canadiens 0,7 1,3 1,5 1,4 1,3 1,2 1,2 1,2 1,2 1,3 1,3 1,3 1,4 1,3 1,4 1,3 1,3 1,3
Autres nationalités 5,2 20,2 12,3 10,2 10,6 11,4 10,9 10,1 11,0 11,5 11,1 11,0 11,6 11,8 12,0 13,2 11,0 11,8
Marocains résidents à l'étranger (M.R.E) 1953 2130 2231 2537 2769 2788 2986 3377 3667 4048 4378 4408 4363 4723 4845
Taux de croissance (en %) 4,2 5,6 26,6 9,1 4,7 13,7 9,1 0,7 7,1 13,1 8,6 10,4 8,1 0,7 -1,0 8,2 2,6 10,3 5,3
Total général 4278 4380 4453 4761 5477 5843 6558 7408 7879 8341 9288 9342 9375 10046 10283
Taux de croissance (en %) 0,0 3,4 4,7 2,4 1,7 6,9 15,0 6,7 12,2 12,9 6,4 5,9 11,4 0,6 0,4 7,2 2,4 7,7 4,8
Source : Ministère de Tourisme + Calcul DEPF
(En Milliers de touristes)
Moyennes Moyennes
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Entrées des touristes de séjour selon la nationalité
Français
Espagnols
Anglais Allemands
Belges
1500
2000
2500
3000
3500
4000
4500
5000
5500
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
Entrées des touristes étrangers et des Marocains résidents à l'étranger
Touristes étrangers
Marocains résidents à l'étranger (M.R.E)
Italiens
Américains Canadiens
Arabes
Autres
nationalités
67
Tourisme Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Evolution des recettes et des nuitées touristiques dans les établissements classés
1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Nuités touristiques (En milliers) 13540 12695 11321 11173 13165 15216 16327 16894 16462 16239 18020 16869 17484 19114 19633
Var (En %) 1,4 2,5 3,6 -6,2 -10,8 -1,3 17,8 15,6 7,3 3,5 -2,6 -1,4 11,0 -6,4 3,6 9,3 2,7 3,3 2,2
Recettes (En millions de DH) 21666 29196 29159 30881 34794 40967 52486 58674 55551 52834 56422 59115 57835 57614 57233
Var (En %) 5,6 11,0 13,4 34,8 -0,1 5,9 12,7 17,7 28,1 11,8 -5,3 -4,9 6,8 4,8 -2,2 -0,4 -0,7 15,1 -0,4
Recettes touristiques/PIB (%) -2,1 6,2 5,5 6,8 6,5 6,5 6,9 7,8 9,1 9,5 8,1 7,2 7,4 7,4 7,0 6,6 8,6 -5,9
Source : Ministère de Tourisme + Office des Changes + Calcul DEPF
Structure des nuitées touristiques réalisées dans les établissements classés selon la nationalité
(En %) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Tourisme récepteur 78,6 80,2 83,2 81,1 78,3 76,2 78,3 80,6 81,7 81,1 79,4 77,1 77,4 73,6 71,8 72,9 73,0 80,3 74,9
Dont : Français 22,2 25,5 34,7 34,9 36,7 38,8 39,8 41,0 39,2 38,0 36,1 34,2 32,3 29,1 28,2 26,4 24,2 38,0 29,8
Anglais 4,4 3,8 4,0 4,8 4,3 4,0 4,3 5,7 7,4 8,1 6,5 5,7 7,5 7,9 7,8 7,9 8,8 5,5 7,5
Allemands 17,5 19,4 13,5 12,3 9,6 6,8 6,3 5,9 6,0 5,9 5,8 5,5 5,3 5,6 5,2 5,2 6,1 8,1 5,5
Espagnols 6,3 4,1 4,4 3,7 3,0 3,2 4,2 4,6 5,0 4,5 5,0 5,7 5,2 4,2 3,9 3,7 3,9 4,2 4,5
Italiens 6,6 6,2 5,5 5,2 4,9 3,9 3,9 3,7 3,9 3,6 3,5 3,5 3,6 2,7 2,1 2,1 2,2 4,3 3,5
Belges 2,3 3,4 3,3 3,4 3,4 3,2 3,8 4,1 4,2 4,0 3,6 3,6 3,3 3,8 3,4 3,4 3,3 3,7 3,5
Américains 1,8 2,3 2,4 2,0 1,6 1,2 1,2 1,2 1,3 1,4 1,5 1,5 1,6 1,4 1,5 1,6 1,9 1,5 1,6
Canadiens 6,0 6,3 5,7 4,7 3,8 3,9 3,5 3,8 3,8 3,9 4,2 4,5 4,3 4,3 4,4 4,3 4,1 4,3
Arabes 5,7 3,0 2,8 3,0 3,5 3,4 3,3 3,0 3,1 3,1 3,7 3,9 3,5 4,1 5,3 5,7 4,9 3,1 4,5
Japonais 2,6 7,5 7,9 6,0 5,7 5,5 5,4 5,5 5,2 5,0 4,6 4,8 5,7 5,3 6,7 6,8 5,7 5,7
Autres nationalités 11,7 12,6 12,6 11,6 11,3 11,7 11,5 11,3 11,6 12,6 13,8 13,5 15,2 14,7 14,4 16,7 17,8 11,8 15,2
Tourisme interne 21,4 19,8 16,8 18,9 21,7 23,8 21,7 19,4 18,3 18,9 20,6 22,9 22,6 26,4 28,2 27,1 27,0 19,7 25,1
Source : Ministère de Tourisme + Calcul DEPF
Moyennes Moyennes
Moyennes Moyennes
68
Tourisme Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Evolution de la structure des nuitées touristiques dans les établissements classés
selon le type du tourisme
Tourisme récepteur
Tourisme interne
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Evolution de la structure des nuitées dans les établissements classées selon la
nationalité : Tourisme récepteur
Français
Espagnols
Allemands
Italiens
Belges
Anglais
Arabes
Autres nationalités
Américains
7000
8000
9000
10000
11000
12000
13000
14000
15000
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17000
18000
19000
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40600
50600
60600
(Nuit
ées
touri
stiq
ues
en m
illi
ers)
(Rec
ette
s to
uri
stiq
ues
en m
illi
ons
de
DH
)
Evolution des nuitées dans les établissements classés et des recettes touristiques
Recettes
touristiques
Nuitées
touristiques
70
100
130
160
190
220
250
280
310
340
370
400
430
460
490
520
550
Evolution en indice des nuitées et de la valeur ajoutée touristiques (Base 100=1990)
Nuitées
touristiques
Valeur ajoutée de la branche
hôtels et restauration
69
Tourisme Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Evolution de la capacité d'hébergement des établissements classés
Moyennes
(Nombre de lits) 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Capacité d'hébergement(1) 95180 97001 103138 109615 119248 124270 133230 143221 152927 164612 173133 184125 198211 207572 207584Structure de la capacité des hôtels classés (En %)
1 étoile 5,7 5,5 5,4 5,4 5,8 5,4 4,7 4,7 5,6 5,9 5,8 5,7 5,6 6,2 6,7 6,7 5,3 6,1
2 étoiles 8,7 10,3 10,2 10,0 11,3 10,1 9,2 9,4 9,3 8,6 8,0 7,9 7,4 7,1 7,1 7,1 9,9 7,5
3 étoiles 19,6 18,8 19,4 19,2 16,2 17,1 18,3 17,4 16,2 16,0 15,2 14,3 13,9 14,1 13,6 13,5 17,7 14,3
4 étoiles 28,7 28,3 28,2 28,9 30,7 28,5 27,3 27,4 26,1 25,6 25,3 27,0 25,4 23,5 23,0 23,3 28,1 24,6
5 étoiles 14,9 15,8 15,5 15,7 15,7 14,9 14,8 14,9 15,5 16,0 16,7 16,2 16,5 16,4 15,7 15,6 15,3 16,2
Villages de vacances touristiques (VVT) 16,6 16,5 16,1 15,8 15,0 14,8 13,5 12,4 12,2 11,6 13,1 11,3 10,9 10,2 10,1 10,1 14,3 10,9
Résidences touristiques 5,9 4,9 5,1 4,9 5,2 5,1 5,3 5,6 6,0 6,3 6,1 6,7 8,5 8,0 8,2 8,2 5,3 7,5
Autres catégories 4,1 6,8 8,1 9,2 9,9 9,8 11,0 11,8 14,6 15,5 15,5 4,0 12,8
Source : Ministère de Tourisme + Calcul DEPF (1) y compris les maisons d'hôtes, pesions, motels et auberges
Evolution de la structure d'hébergement des établissements classés par régions
Moyennes
(En %) 1997-1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Oued Ed-Dahab - Lagouira 0,1 0,06 0,06 0,23 0,22 0,20 0,19 0,19 0,17 0,35 0,35 0,35 0,33 0,34 0,41 0,2 0,4
Gharb - Chrarda - Béni Hssen 0,8 0,62 0,61 0,57 0,48 0,44 0,42 0,40 0,38 0,36 0,33 0,32 0,30 0,30 0,30 0,5 0,3
Chaouia - Ouardigha 0,4 0,43 0,42 0,40 0,39 0,41 0,39 0,48 0,49 0,49 0,51 0,50 0,50 0,47 0,51 0,4 0,5
Guelmim - Es-Semara 0,5 0,65 0,64 0,60 0,52 0,65 0,61 0,59 0,59 0,68 0,63 0,80 0,76 0,81 0,81 0,6 0,8
Lâayoune - Boujdour - S. El Hamra 0,7 0,87 1,10 1,03 0,94 0,87 0,94 0,87 0,89 0,86 0,80 0,77 0,82 1,02 0,99 0,9 0,9
Tadla - Azilal 1,3 1,35 1,32 1,25 1,28 1,22 1,19 1,25 1,27 1,28 1,25 1,38 1,30 1,95 1,98 1,3 1,6
Doukala - Abda 1,4 1,20 1,27 1,20 1,64 1,71 1,81 1,84 1,74 1,62 2,19 2,19 2,16 2,05 2,01 1,6 2,0
Taza - Al Hoceïma - Taounate 2,5 2,43 2,38 2,24 2,15 2,03 2,01 1,90 1,80 1,84 1,71 0,70 0,82 0,92 1,12 2,1 1,2
Oriental 3,2 3,14 3,05 3,09 3,03 2,79 2,69 2,47 2,29 2,32 3,69 3,93 4,42 4,41 4,85 2,8 4,0
Rabat - Salé - Zemmour - Zaer 4,9 5,16 5,35 5,03 5,01 4,60 4,60 4,56 4,40 4,19 3,88 3,78 3,61 3,57 3,53 4,8 3,7
Fès - Boulemane 5,4 5,03 5,02 5,53 6,13 5,66 5,75 5,60 5,36 5,29 4,92 4,77 4,90 4,84 4,84 5,5 4,9
Meknès - Tafilalet 4,8 5,13 5,69 5,52 5,56 5,54 5,87 5,60 5,61 5,44 5,20 5,25 5,50 5,69 5,93 5,6 5,5
Grand Casablanca 9,5 9,09 8,98 8,81 8,25 8,33 7,99 8,63 9,29 8,77 8,51 8,44 8,23 8,29 8,37 8,7 8,4
Tanger - Tétouan 13,3 12,99 12,96 12,47 11,77 10,93 10,66 9,51 8,97 9,05 8,71 8,39 7,94 7,92 8,12 11,1 8,3
Marrakech - Tensift - Al Haouz 20,2 21,11 20,90 21,78 21,50 25,13 26,32 28,00 29,52 31,32 32,86 34,53 35,51 34,55 33,73 24,7 33,8
Souss - Massa - Daraa 30,9 30,75 30,26 30,26 31,13 29,49 28,58 28,11 27,23 26,15 24,46 23,90 22,89 22,85 22,52 29,3 23,7
Source : Ministère de Tourisme + Calcul DEPF
Evolution de la part du Maroc dans le tourisme mondial
Moyennes
(En %) 1995-1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2000-07 2008-13
Part du Maroc dans les recettes mondiales 0,55 0,40 0,53 0,54 0,59 0,59 0,80 0,80 0,84 0,76 0,70 0,60 0,60 0,62 0,59 0,70 0,92
Part du Maroc dans les arrivées touristiques 0,35 0,62 0,64 0,63 0,69 0,71 0,73 0,77 0,82 0,85 0,89 0,97 0,96 0,91 0,95 0,64 0,65
Source : Organisation Mondiale du Tourisme, Ministère du Tourisme + Calcul DEPF
Moyennes
Moyennes
Moyennes
70
Tourisme Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
0,0%
0,1%
0,2%
0,3%
0,4%
0,5%
0,6%
0,7%
0,8%
0,9%
1,0%
1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Evolution de la part du Maroc dans le tourisme mondial
Recettes
Arrivées
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013
Evolution de la structure de la capacité d'hébergement des établissements classées
par région
Souss - Massa - Daraa
Fès - Boulemane Rabat - Salé - Zemmour - Zaer
Grand Casablanca
Meknès - Tafilalet
Marrakech - Tensift - Al Haouz
Tanger - Tétouan
Autres régions
7
5007
10007
15007
20007
25007
80
100
120
140
160
180
200
220
199
5
199
6
199
7
199
8
199
9
200
0
200
1
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2
200
3
200
4
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5
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6
200
7
200
8
200
9
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0
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1
201
2
201
3
201
4
(Cap
acit
é d
'héb
ergem
ent
en m
illi
ers
de
lits
)
Evolution de la capacité d'hébergement et des nuités touristiques (établissemnts classés)
Nuitées
touristiques
Capacité
d'hébergement
(Nuit
és t
ouri
stiq
ues
en m
illi
ers)
0%
10%
20%
30%
40%
50%
60%
70%
80%
90%
100%
Evolution de la structure de la capacité d'hébergement des établissements classés
selon la catégorie
1 étoile
2 étoiles
3 étoiles
4 étoiles
5 étoiles
Villages de vacances touristiques
Résidences touristiques
Autres catégories
71
Source :
- L'Agence Nationale de Réglementation des Télécommunications (ANRT)
- Haut Commissariat au Plan
Télécommunication
Télécom Direction des Etudes et des Prévisions Financières / DI/ SBDCI
Evolution du parc téléphonique
En millers DH 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Téléphone fixe 24,3 8,7 1472 1140 1127 1219 1308 1341 1266 2394 2991 3516 3749 3566 3279 2925 2488 5,9 0,6
Part (En %) 33,5 19,3 15,4 14,2 12,3 9,8 7,3 10,7 11,6 12,2 10,5 8,9 7,8 6,4 5,3
Téléphone mobile 97,8 93,0 2922 4772 6198 7364 9337 12358 16005 20029 22816 25311 31982 36554 39016 42424 44115 64,7 11,9
Part (En %) 66,5 80,7 84,6 85,8 87,7 90,2 92,7 89,3 88,4 87,8 89,5 91,1 92,2 93,6 94,7
Parc téléphonique total 25,7 13,3 4394 5912 7325 8583 10645 13699 17271 22423 25807 28827 35731 40120 42295 45349 46602 36,3 11,0
Source : ANRT + Calcul DEPF
Indicateurs de performance des télécommunications
1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Densité du téléphone (1) (pour mille hab) 26,8 52,1 151 204 247 285 356 459 578 735 837 925 1134 1247 1300 1380 1405 377,1 1175,3
Téléphone fixe 23,2 6,4 50 41 38 41 44 45 42 79 97 113 119 111 101 89 75 5,3 -0,6
Téléphoné mobile 94,4 89,7 102 164 209 245 313 414 536 657 740 812 1015 1136 1199 1291 1330 63,2 10,6
Revenu moyen d’une minute de communication (ARPM) (en DHHT/minute)
Fixe 1,0 1,0 0,8 0,7 0,8 0,8
Mobile 1,1 0,7 0,5 0,4 0,3 0,6
Prépayé 1,3 0,8 0,6 0,4 0,3 0,7
Postpayé 0,8 0,6 0,5 0,4 0,4 0,5
Usage moyen mensuel sortant par client (en minute/mois/client)
Fixe 136 126 111 125 121 124
Mobile 41 57 75 83 92 70
Prépayé 25 38 53 60 71 49
Postpayé 421 486 541 488 485 484
Trafic voix sortant (en million de minutes)
Fixe 1499 1321 1117 1110 945 1198
Mobile 4301 6491 9330 11324 12541 8797
Trafic SMS sortant (En millions d'unités) 1101 1600 2016 3541 5428 2737
Source : ANRT + HCP + Calcul DEPF (1) C'est le nombre d'abonnés au téléphone (fixe+mobile) rapporté au total de la population
(2) Chiffre d'affaires des différents opérateurs de télécommunication au Maroc (En millions DH)
Rythme de croissance Rythme de croissance
Moyenne Moyenne
74
Télécom Direction des Etudes et des Prévisions Financières / DI/ SBDCI
Evolution du parc Internet
Moyenne
En millers 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Nombre d'abonnés Internet 0,7 20 53 55 61 113 262 400 526 757 1187 1867 3182 3957 5776 9969 186,3 3813,7
ADSL 3 63 248 391 476 483 475 498 590 682 836 983 147,6 649,3
3G 43 268 707 1366 2591 3274 4939 8984 3161,2
Taux de pénétration d'Internet (1) 0,1 0,2 0,2 0,2 0,4 0,9 1,3 1,7 2,5 3,8 5,9 9,9 12,2 17,6 30,1 0,6 11,7
Facture moyenne mensuelle par client Internet (en DHHT) 80 53 42 36 23 53
Internet ADSL 139 116 111 98 93 116
Internet 3G 55 37 27 21 18 35
Source : ANRT + Calcul DEPF (1) c'est le nombre d'abonés Internet rapporté au total de la population
Moyenne
0%
2%
4%
6%
8%
10%
12%
14%
0
500
1000
1500
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2500
3000
3500
4000
En m
ille
rs
Evolution des abonnées et du taux de pénétration du téléphone fixe
Parc Fixe
Taux de pénétration du Fixe (échelle à droite)
0%
20%
40%
60%
80%
100%
120%
140%
0
5000
10000
15000
20000
25000
30000
35000
40000
45000
En m
ille
rs
Evolution des abonnées du téléphone Mobile
Parc Mobile
Taux de pénétration du Moblie (échelle à droite)
100
210
320
430
540
650
760
870
980
1090
1200
1310
1420
Po
ur
mil
le h
ab.
Evolution de la densité téléphonique (fixe + mobile)
10000
15000
20000
25000
30000
35000
40000
Po
ur
mil
le h
ab.
Evolution du Chiffre d'affaire des télécommunications
75
Assurances Direction des Etudes et des Prévisions Financières/ DI/ SBDCI
Evolution du chiffre d'affaires des sociétés d'assurances (1)
(En millions de DH) 1990-94 1995-99 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2000-07 2008-14
Total du chiffre d'affaires 5311 8268 10248 10791 12116 12372 12251 13157 14731 17721 19855 20940 21873 23894 26024 26734 28421 12923 23963
Assurance vie et capitalisation 20,5 23,7 29,1 28,7 33,0 28,1 23,5 24,8 28,0 33,1 33,0 31,7 30,1 32,0 33,7 32,2 33,1 28,7 32,3
Assurance non vie 79,5 76,3 70,9 71,3 67,0 71,9 76,1 74,8 71,8 66,6 66,4 67,6 69,3 67,3 65,6 67,8 66,9 71,1 67,2
Automobile 36,5 38,3 36,0 36,2 33,2 32,9 36,2 35,4 33,1 30,6 30,2 31,5 32,3 31,5 30,8 31,8 31,8 33,9 31,4
Accidents corporels 10,9 11,3 11,4 11,2 11,1 11,5 12,6 13,3 13,1 12,6 12,4 12,5 12,5 11,7 11,3 11,5 11,3 12,2 11,8
Accidents de travail 11,4 9,6 8,4 7,9 7,4 11,6 10,2 9,3 9,4 8,3 8,4 8,7 8,7 8,2 7,8 8,0 7,8 9,1 8,2
Transports 9,5 5,9 4,6 5,3 4,7 4,7 4,7 4,8 4,0 3,8 4,0 3,3 3,2 3,1 2,5 2,2 2,0 4,5 2,8
Incendies 6,2 5,3 4,9 5,2 4,9 5,1 5,1 5,2 5,2 4,5 4,4 4,5 4,7 4,4 4,7 4,7 4,1 5,0 4,5
Responsabilité civile générale 1,9 1,7 1,5 1,5 1,6 1,7 1,8 1,8 1,9 1,9 1,9 2,0 2,1 2,1 1,8 1,9 1,8 1,7 1,9
Autres opérations 3,0 4,1 4,0 4,1 4,1 4,5 5,4 5,1 5,0 4,8 5,2 5,1 5,7 6,3 6,5 7,8 8,1 4,7 6,5
Source : Direction des Assurances et de la Prévoyance Sociale + Calcul DEPF.
(1)
Il s'agit uniquement des primes émises par les sociétés d'assurances.
Moyennes Moyennes
3
8
13
18
23
28
2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
(En
mil
liar
ds
de
DH
)
Evolution du chiffre d'affaires total des sociétés
d'assurances
Chiffre d'affaires
total
Assurance
automobile
Incendies
0%
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Assurances vie et capitalisation
Automobile
Accidents corporels
Accidents de travail
Transports
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En
mil
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de
Dh
Evolution de l'assurance vie et de l'assurance Non vie
Assurance
non vie
Assurance vie et
capitalisation
Structure du chiffre d'affaires des sociétés d'assurances
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Direction des Etudes et des Prévisions Financières
Ministère de l’Economie et des Finances ______________________
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