Trois Nouvelles Naturalistes (Anthologie)

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    esTrois nouvelles

    naturalistes

    Anthologie

    Prsentationpar Stphane Gougelmann

    tonnants Classiques, n 1982,75

    I . POURQUOI TUDIERTROIS NOUVELLES

    NATURAL I STES ?

    es raisons qui justifient ldition de trois nouvellesnaturalistes Jacques Damour de mile Zola (1880),

    La Retraite de Monsieur Bougran de Joris-Karl Huysmans(1888) etHautot pre et filsde Guy de Maupassant (1889) ne manquent pas. La premire tient leur valeur littraire

    vidente. Faut-il rappeler que Guy de Maupassant est unmatre du genre ? mile Zola et Joris-Karl Huysmans sont enrevanche connus davantage pour leurs talents de romanciers.Pourtant lauteur des Rougon-Macquart crivit galementnombre de rcits brefs et celui d rebours, certes bien moinsprolixe, produisit dans la mme veine quelques petits textesdun grand intrt. On voquera dautre part les ncessits dela pdagogie. Le format de la nouvelle prsente lavantage de

    ne pas trop rebuter les lecteurs qui manquent dapptit et selassent rapidement. La diversit thmatique des trois textesretenus permettra en outre dviter limpression dun dj-lu.Le rcit zolien parat tout particulirement conseill pourcapter lattention des esprits inattentifs grce ses effetsdattente et de surprise.La Retraite de Monsieur BougranetHautot pre et filssont sans doute moins riches en rebondis-

    sements mais lincongruit de leur histoire pique la curiosit.Signalons enfin que les nouvelles naturalistes sadaptent en

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    tout point aux orientations du programme de seconde puis-quelles rpondent deux objets dtude : le rcit, le romanou la nouvelle , un mouvement littraire et culturel duXIXeou du XXe sicle (franais ou francophone) .

    Nous avons donc conu ldition en pensant avant tout auxlves. La prsentation ( p. 5-18) rappelle les critres dereconnaissance dune nouvelle, donne un bref aperu de lavie des trois auteurs et brosse grands traits les caractris-tiques du naturalisme. Une chronologie ( p. 19-35) vient pr-ciser les repres biographiques, historiques et culturels. Lestextes sont abondamment annots afin dlucider tous les pro-

    blmes de comprhension littrale. Enfin, un dossier com-pos la fois de documents complmentaires, de questions etdexercices permet laccompagnement et la prolongation dela lecture des trois nouvelles ( p. 131-153).

    I I . TROIS FACETTES DU NATURAL I SME

    Les trois rcits qui composent le recueil procdent dunchoix qui, comme souvent, sest fait dans lembarras. Loffretait varie et abondante parmi les uvres des crivainsquon range, tort ou raison, sous la bannire naturaliste.Nous avons donc fait de cette diversit le critre mme denotre slection. Les nouvelles retenues appartiennent lamme esthtique et pourtant sont trs diffrentes. Jacques

    Damour retrace la vie dun brave ouvrier parisien emportpeu peu dans le maelstrm de la Commune. Dport Nouma, il svade et revient bien des annes plus tard pourretrouver sa famille. Mais sa femme sest remarie et sa fillesemble avoir disparu. Dans La Retraite de Monsieur Bou-gran, Huysmans met en scne Bougran, un fonctionnairecontraint de prendre sa retraite alors quil ne trouvait sens

    son existence que dans son travail de bureau, au ministre. Cechangement ravage le vieil homme et le prcipite dans la folieet dans la mort. La nouvelle de Maupassant nous transporteen Normandie et raconte un de ces secrets au parfum de scan-dale qui tranent dans les vieilles familles bourgeoises.Hautot pre charge, sur son lit dagonie, son fils, Csar, deprendre soin de Caroline, avec laquelle il entretenait une

    liaison. Hautot fils rencontre la matresse de son pre,dcouvre son demi-frre, mais surtout tombe amoureux de

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    cette femme. Il prend alors peu peu la place de son predans le foyer de Caroline.

    Les trois rcits offrent donc une varit manifeste, du pointde vue de la digse, des types de personnages, des lieux, des

    poques, des classes sociales, etc. Pourtant chacun deux pro-cde sa manire dune vise naturaliste. Rappelons que lestrois auteurs se sont rencontrs entre 1875 et 1876 et quilsont particip aux Soires de Mdan (1880), recueil qui faitfigure de manifeste naturaliste1. En outre, les trois nouvellesont t composes la mme priode, dans les annes 1880 :Jacques Damourfut publi la premire fois dans leMessager

    de lEurope en aot 18802

    , La Retraite de Monsieur Bou-gran, prvue pour tre insre dans la revue britannique TheUniversal Review, mais qui fut refuse par son directeur3, at crite vraisemblablement avant 1888, et Hautot pre etfilsparut dansLcho de Parisdu 5 janvier 18894.

    On objectera que Maupassant, sil admire les romans deZola, ne reprend pas son compte tous les prsupposs ido-logiques du matre de Mdan5. La nouvelle a t en outre

    crite la mme anne que Fort comme la mort, roman quirelve davantage dune psychologie la Paul Bourget que dudterminisme de Zola6. Il faut noter ce propos quHautot

    1.Les Soires de Mdanrassemblent des nouvelles prenant pour thmela guerre de 1870. Outre Zola, Huysmans et Maupassant, Paul Alexis(1847-1901), Lon Hennique (1850-1935) et Henri Card (1851-1924)ont particip au recueil.2. La nouvelle reparut dans Le Figaro des 27, 28, 29, 30 avril et 1er et2 mai 1883 avant que Zola ne ladjoignt au recueilNas Micoulin(1884).3. Harry Quilter.4.Hautot pre et fils fut nouveau publi dans La Vie populaire le24 avril 1889, avant dtre repris dans le recueilLa Main gauche (1889).5. Voir ce qucrit Maupassant Flaubert le 24 avril 1879 : Que dites-vous de Zola ? Moi, je le trouve absolument fou. Avez-vous lu son arti-cle sur Hugo ? Son article sur les potes contemporains et sa brochureLa

    Rpublique et la littrature ? La Rpublique sera naturaliste ou elle nesera pas Je ne suis quun savant. (Rien que cela. Quelle modestie) Lenqute sociale. Le document humain. La srie des formules. Onverra maintenant sur le dos des livres : Grand roman selon la formulenaturaliste ; Je ne suis quun savant ! Cela est pyramidal Et on nerit pas (cit par Colette Becker dans son introduction aux Soires de

    Mdan, Paris, Le Livre venir, 1981, p. 25).6. Zola, la mme poque, est contest par une nouvelle gnrationdcrivains naturalistes. Voir leManifestedes Cinq, brlot lanc contre

    La Terrepar P. Bonnetain, L. Descaves, J.-H. Rosny, P. Margueritte etG. Guiches.

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    pre et fils et Fort comme la mort 1 dveloppent un motifanalogue : la confusion des sentiments entre parents et enfants,le mlange incestueux des dsirs. Nous reproduisons un extraitde Fort comme la mort dans la partie Dossier de notre di-

    tion ( p. 149-151), ce qui permettra de rapprocher les deuxuvres. Cependant, Hautot pre et filsne fournit aucune desanalyses psychologiques auxquelles Maupassant sadonne dansson roman. La nouvelle en reste une description purementcomportementaliste, conformment la manire, non pas dePaul Bourget, mais des naturalistes de la premire gnration.

    On pourra galement sinterroger sur lorthodoxie natura-

    liste deLa Retraite de Monsieur Bougran. La nouvelle est eneffet postrieure au roman rebours (1884) dans lequelHuysmans sloignait ostensiblement de Zola, en cherchantmoins reprsenter le monde moderne qu jouer avec le lan-gage et les plaisirs de la rhtorique. On connat par ailleurs lesraisonnements anticonformistes de des Esseintes et le fameux la nature a fait son temps qui clbre lartifice et permet

    dchapper aux contraintes du rel. On retrouvera dans LaRetraite de Monsieur Bougran quelques marques dexub-rances verbales notamment dans limitation jubilatoire de cestyle propre ladministration franaise. Le jardin du Luxem-bourg, dcrit au chapitre II, apparat galement comme unsymptme de cette dnaturation qui affecte, selon Huysmans,la socit civilise. Il nempche. Lcriture deLa Retraite deMonsieur Bougranse rapproche du style dEn mnage (1881)

    ou d vau-leau (1882) plus que de celui d rebours etexprime une vision mcanique de lhumanit que nauraitsans doute pas renie Zola.

    Si Huysmans et Maupassant, chacun leur faon, mar-quent leur distance avec les principes duRoman exprimental(1880) de Zola, ils ne rompent donc pas les ponts. Et les troisnouvelles tmoignent de proccupations communes.

    Jacques Damour fournit un exemple en rduction de lamthode dcriture zolienne. Le destin du hros rsulte eneffet des dterminations conjugues du temprament indivi-duel, du milieu social et de lpoque. Le rapport entre lestres rappelle en outre les lois du comportement de certainesespces animales : les mles luttent entre eux pour obtenir

    1. Dans Fort comme la mort, Olivier Bertin tombe amoureux de la fillede sa vieille matresse.

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    les faveurs de Flicie. Berru convoite ainsi la jeune femme,sitt Damour dport en Nouvelle-Caldonie. Damour, deretour Paris, essaie de reprendre sa femme et se sent prt affronter le boucher. Mais le gros Sagnard na pas grand

    peine vincer le maigre prtendant, qui sincline presque delui-mme, se sentant rapidement diminu devant le bou-cher1. De plus, Zola, quelques annes avantLa Dbcle, livre travers la nouvelle son point de vue sur la Commune, et,plus globalement sa conception cyclique de lHistoire. LaCommune apparat comme un moment de dprissementnational, une folie collective ne des rigueurs du sige de

    1870, de la nullit du gouvernement, et des mots dordrervolutionnaires profrs par quelques habiles agitateurscommunistes. Loin de librer les pauvres gens, la Communebroie les destins individuels. Damour en est la victimearchtypale : un ouvrier moyen, pre de famille, m par uneindignation lgitime mais emport par les mouvements defoule. Son retour Paris, narr partir du deuxime chapitre,

    montre quil a tout perdu : non seulement sa famille sest dis-soute, mais la socit tout entire na jamais t aussi avidede chair et d or , ces deux vices si caractristiques dusicle, comme en tmoigne La Cure. Le monde est donccomme avant, et peut-tre pire encore. Sa femme repousselouvrier, trop heureuse dsormais davoir les mains plongesdans le tiroir-caisse de sa boucherie, royaume sanguinolentdu matrialisme triomphant. Louise, sa fille, est devenue une

    cocotte, linstar de Nana, loge dans un htel luxueux du nouveau quartier de lEurope, celui des nouveaux riches.Elle dteste les communards mais, parce quelle est bonnefille , veut bien engager son pre comme veilleur dune proprit, quun monsieur venait de lui acheter, prs deMantes ( p. 82). Celui qui a navement rv dune socitsans classe devient le domestique de sa fille ! Damour nen

    remercie pas moins la Providence : Il engraisse, il refleu-rit, bourgeoisement vtu, ayant la mine bon enfant dunancien militaire ( p. 82). Lancien ouvrier chafaude bienquelques projets rvolutionnaires avec Berru, mais cest pourentretenir lillusion de navoir pas tout reni. Ce ne sont eneffet que paroles vaines : en rgime naturaliste, le destin

    1. On pourra faire un rapprochement avec la lutte des Maigres et des Gras dansLe Ventre de Paris.

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    saccomplit selon les lois des dterminismes, non cellesdes vellits personnelles, encore moins des dclarationsdintention. La fin de la nouvelle en atteste avec une ironiecertaine.

    Et cest ce mme ricanement que lon entend dans les nou-velles de Huysmans et de Maupassant. DansHautot pre etfils, on voit Csar marcher sur les pas de son pre et sins-taller peu peu dans lappartement et dans le cur de Caro-line. Lois de lhrdit ? Mimtisme des habitudes ? Pulsionincestueuse ? Maupassant ne nous le dit pas. Toujours est-ilque se joue cet inquitant retour au mme qui scelle la dca-

    dence bourgeoise : un univers qui se renouvelle dans la rit-ration, qui se fconde lui-mme dans un rapport endogame etconsanguin.

    Rptition encore dansLa Retraite de Monsieur Bougran,montre non pas dans le dcalque dune gnration surlautre, mais dans la reproduction mcanique des faits etgestes de la vie de bureau. Monsieur Bougran ne sait faire quece quil accomplit depuis plus de vingt ans au ministre :

    recopier des formules administratives, remplir des imprims,user dun langage impersonnel et strotyp. la retraite, levoici comme une vieille machine mise au rebut. Plutt que dechanger de vie, il recre artificiellement les conditions qui luipermettront de retrouver tous ses automatismes. La mytho-manie sert alors de paravent indispensable pour cacher le videabyssal dune existence strile (Monsieur Bougran fait partie

    de ces hros clibataires, incapables de procrer, qui peuplentles romans fin de sicle). Le vieux fonctionnaire steint ainsidans lillusion de mourir glorieusement la tche. Il y aquelque chose de prkafkaen dans cette vocation trs drle1dun destin rduit une pure et simple mcanique profession-nelle.

    Dans les trois nouvelles, donc, nous retrouvons cette idetrs naturaliste dun destin qui chappe la volont et ne

    fait quaccomplir ce quexigent les lois du comportementhumain.

    1. Rappelons quAndr Breton insre Huysmans dans sonAnthologie delhumour noir.

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    I I I . PROPOS IT ION DE SQUENCE

    INTRODUCTIONLASQUENCE

    Objectifs : dcouvrir le contexte ; sassurer de la bonneconnaissance du contenu des trois nouvelles ; dfinir legenre de la nouvelle.

    Support : tableau complter.

    Travail prparatoire

    Au vu de la chronologie et de la prsentation, dterminerles points communs entre les trois auteurs ; lire les trois nou-velles et remplir le tableau Structure des nouvelles situdans le Dossier ( p. 133).

    Correction du tableau (voir page suivante)

    Pour les indications dpoque et de lieu, on aura soin de

    faire relever aux lves les expressions prcises dans lestextes qui permettent de situer laction dans un cadre spatio-temporel.

    Le commentaire du tableau permet de faire apparatrequelques caractristiques de la nouvelle : nombre limit delieux et de personnages, priode de temps assez courte oubien rendue sous forme elliptique. On insistera sur le traite-

    ment du temps. Les trois nouvelles se dploient selon undroulement, une chronologie.On montrera loriginalit de Jacques Damour qui res-

    semble un petit roman. Pour une dfinition de la nouvelle,on peut demander de lire la premire partie de la Prsen-tation ( p. 5-6)et de la rsumer.

    LESENSDESRCITS

    Objectifs : faire merger le sens qui mane de lenchanementdes actions du rcit ; tudier le schma narratif.

    Travail prparatoire

    tudier les grands mouvements de chacune des nouvelles.

    Partir du rcit le plus linaire (Hautot pre et fils), puis tu-dier les deux autres rcits plus complexes (tout au moins dans

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    Tableaucomplt

    Structuredesnouvelles

    Nouvelle

    Personnage

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    leur dbut). Demander aux lves de dterminer les grandestapes de chaque rcit. Corriger en donnant le schma narratifde chaque nouvelle. Demander de comparer les situations ini-tiales et les situations finales pour faire apparatre ce qui sest

    transform et surtout ce qui revient un retour au mme. Onmontrera donc que lhistoire, dans les trois nouvelles, pro-gresse en ressassant.

    TUDEDEJACQUESDAMOUR

    Des personnages caractriss

    Objectif : la notion de dterminisme.Support : tableau complter.Prparation : remplir le tableau Les personnages deJacques

    Damour dans le Dossier ( p. 136). Citer le texte pourjustifier les rponses. Vous trouverez dans le tableau cor-rig page suivante un aperu rapide des rponses que lonpeut attendre.

    Il faut montrer que la forte caractrisation des personnagesdtermine leur destin. On pourra ce propos souligner que lephysique des personnages est connot. Par exemple, le dess-chement de Damour et son vieillissement prmatur rvlentsa dgnrescence physique. Lembonpoint de Flicie, laconservation de sa jeunesse (Damour la prend pour Louise la

    premire fois quil la revoit) montrent au contraire la force deson temprament.On fera lire ensuite lextrait du Roman exprimental, en

    demandant aux lves de rpondre aux questions qui portentsur le texte (Dossier, p. 140-142).

    Explication de texte

    Objectif : montrer le rapport entre roman et Histoire.Support : questionnaire de la microlecture n 1 (Dossier,

    p. 137).

    Prparation : rpondre aux questions de la microlecture n 1,en citant le texte pour justifier les rponses.

    Extrait du chapitre I, Vers le milieu de dcembre [].Ctait la Commune ( p. 46-47)

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    Tableaucomplt

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    esPersonnagesdeJacques

    Damour

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    sonnages

    Description

    physique

    Catgorie

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    Caractristiques

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    Circonstances

    delavie

    Destin

    Damo

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    Maigreur

    (chap.I)

    Ouvrier

    naf,fougueux

    OisifpendantlaCommune(pertede

    travail);

    deplusenplusmisreux;

    chauffparlesdiscoursrvolutionnaires;

    rvoltparlamor

    tdesonfils.

    AprslaCommune:unenergiequisame-

    nuise;ladcouve

    rtedelalcool

    D

    chance

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    Embonpoint,

    beaut,

    jeunesse

    (chap.III)

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    (commerante)

    Pragmatique,anx

    ieuse,pru-

    dente

    PendantlaCom

    mune,marieJacques

    Damour;elledsapprouvesonengagement

    rvolutionnaire.

    RencontreavecSagnardaprslaCommune

    A

    scension

    Louise

    Beaut(chap.V)

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    Frivole

    Abandonne

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    Nondcrit

    Ouvrier

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    poursessoixante

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    II)

    Ouvrier

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    Sadapteenfonctiondescirconstances

    A

    scension

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    Le rapport entre lHistoire et les personnages

    1.Relevez les diffrents faits historiques mentionns danslextrait.Relier les faits mentionns la chronologie. ven-tuellement, placer les vnements sur un axe des temps.

    2.Quels sont les termes qui relient logiquement le contextehistorique et la vie prive des personnages ?On introduira lanotion de connecteurs logiques ( mais , alors ).

    La raction des personnages

    1.Relevez les termes exprimant la raction de JacquesDamour et dEugne par rapport la situation historique. Que

    remarquez-vous ?Insister sur le champ lexical de la folie. Lafivre rvolutionnaire sapparente une maladie mentale, undrglement psychique d des causes exognes. On rappel-lera les prsupposs dterministes et scientistes de Zola.

    2.Mme question applique au personnage de Flicie.Souligner que, par temprament, elle na pas la mme rac-tion que son mari et son fils.

    3.Mme question applique au personnage de Berru.Onfera apparatre son hypocrisie et son absence de fiabilit.4.Relevez les passages au discours indirect libre. Quel est

    leffet produit ? Cest un effet raliste qui permet de faireentendre les personnages. On prend ainsi mieux la mesure deleurs ractions.

    La place du narrateur

    1.Le point de vue du narrateur est-il interne, externe, ouomniscient ? Omniscient. On sen rend compte ne serait-cequavec la dernire phrase. Lexplication est ainsi loccasionde rviser la notion de point de vue.

    2.Quelles sont les causes que semble privilgier Zolapour expliquer lemballement rvolutionnaire ? La misre,loisivet (les bras mous , p. 46), lchauffement mutuel

    (Damour et son fils, Berru), lestomac vide ( p. 46), lesrumeurs (lextermination du peuple par le gouvernement),la menace royaliste, la provocation prussienne (le dfil), laffaire des canons de Montmartre ( p. 47). Zola semblenumrer toutes les conditions sociales, conomiques et poli-tiques qui favorisent linsurrection.

    3.Daprs cette page, diriez-vous que Zola prouve de la

    sympathie pour le mouvement communard, ou bien mani-feste-t-il une certaine distance ?Justifiez votre rponse. On

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    relvera les termes dvalorisants et ceux connots ngative-ment. Zola comprend le mouvement rvolutionnaire mais nyadhre pas.

    Travaux complmentaires sur Jacques Damour1. Autres explications de textes : sappuyer sur les ques-

    tions des microlectures n 2 et 3 (la description de la bou-cherie, lexcipitde la nouvelle, p. 137-138).

    2. Expos : la vision de lHistoire dansJacques Damour.3. Lectures complmentaires : Zola,La Dbcle,Le Ventre

    de Paris,Nana. Voir galement les extraits deLaDbcleet

    du Ventre de Parisdans la partie Dossier ( p. 144-149).

    TUDEDELARETRAITEDEMONSIEURBOUGRAN

    La satire de la fonction publique

    Objectif : la notion de satire, un monde rebours de la nature.Support : essentiellement le chapitre I.

    Prparation : relire le chapitre I. Relever les expressions delhabitude. Interroger sur la place prpondrante des rf-rences juridiques. Dterminer la tonalit (ou registre) dutexte.

    Pour plus de commodit, on peut limiter ltude de la satireau chapitre I. On peut orienter ltude selon trois axes :

    montrer, par ltude du champ lexical notamment, queladministration est le rgne de lhabitude, de la rptition.Voir, par exemple : [] cette habitude dun bureau vousenfermant dans une pice toujours la mme, pendantdidentiques heures, avec cette coutume dune conversationinchange, chaque matin, entre collgues ( p. 93);

    mettre en lumire limportance du langage. On ferarelever les formules administratives et on en demandera le

    sens aux lves pour quils prennent la mesure de leur videsmantique ;

    montrer que la vie de bureau est frappe dartifice. Riennest improvis, tout est prvu par les codes et les lois. Il y amme un effet de prolifration qui confre ladministration unaspect monstrueux : Partout spandaient les protocoles ; lessalutations de fin de lettres variaient linfini ( p. 92). Les

    fonctionnaires adoptent en outre une attitude fausse, hypocrite(voir par exemple la fin du chapitre I). Cest cette artificialit

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    qui permet Bougran de recrer chez lui lillusion dtre auministre. Le monde de ladministration est donc celui delantinature, vain et strile.

    chaque fois, on insistera sur lhumour de Huysmans,

    notamment travers les figures dexagration (hyperboles,numrations, etc.).

    La folie de Monsieur Bougran

    Objectif : montrer que la conduite de Bougran rvle une psy-chopathologie.

    Rappelons dabord qumerge au XIXesicle la psychiatriemoderne. Or les alinistes, hyginistes ou psychologues(Esquirol, Janet, Charcot, Ribot, etc.) se penchent sur la ques-tion de lautomatisme. Ils y voient une figure de lalination :celui qui agit comme un automate ne pense plus par lui-mme. Les naturalistes, nourris de lectures scientifiques, semontrent fascins par ces tres qui fonctionnent comme des

    mcaniques drgles. Dans LaBte humainepar exemple,les mains de Lantier commettent delles-mmes le crime.Dans La Retraite de Monsieur Bougran, la folie du vieuxfonctionnaire prend la forme dune domination des habitudessur la volont. Bougran, force de travail, a assimil sa vie sa fonction, calqu son langage sur celui de ladministration : comment se distraire dun mtier qui vous prenait auxmoelles, vous possdait, tout entier, fond ? ( p. 93).vinc de son poste au ministre, Bougran se montre inca-pable de sadapter sa nouvelle vie. Cette incapacit ne peutle mener qu sa disparition, conformment aux thories deDarwin sur lvolution des espces.

    On peut tudier la folie de Monsieur Bougran en fonctionde trois axes :

    on fera relever aux lves les symptmes de sa maladie

    mentale, chapitre par chapitre, en soulignant lvolution deson mal. Laltration de la parole (Bougran, en ressassant lelangage du ministre, semble atteint dune glossolalie inqui-tante) est un des signes les plus patents de son drglement ;

    on tudiera ensuite les causes de cette maladie qui sem-blent exognes : cest la vie de bureau qui a rendu fou Mon-sieur Bougran (nest-ce pas mme la cause de son renvoi ?).

    Nous avons affaire ce quon nomme ordinairement une psy-chopathologie de la vie quotidienne. Mais au-del, ne peut-on

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    pas voir dans la folie de Monsieur Bougran un signe de lamaladie du corps social ?

    dans une dernire partie, on pourra donc aborder lavision pessimiste de Huysmans : la vie moderne aline

    lhomme et finit par le dtruire. Monsieur Bougran meurtclibataire, sans laisser denfant. On pourra donc conclure surle dcadentisme de Huysmans.

    Explication de texte

    Support : questionnaire de la microlecture n 4 (Dossier, p. 139).

    Objectif : lanalyse dune description ; la porte symboliquede lextrait.

    Prparation : rpondre aux questions de la microlecture n 4,en citant le texte pour justifier les rponses.

    Un corps tortur

    1. Relevez les termes appartenant au champ lexical ducorps. Quelle figure de style Huysmans utilise-t-il par cebiais ?Les lves doivent connatre la figure de la personni-fication pour rpondre la question.

    2.Relevez les expressions qui dnotent la torture et cellesqui la connotent. Faire un tableau deux colonnes (dnota-tion, connotation). Montrer que la mtaphore de la cave detortures vgtales rsume le paysage.

    Un paysage artificiel

    1. Quelle est la valeur du pronom indfini on ? Comment

    interprtez-vous lemploi de ce pronom ?Montrer que le pro-nom indfini on se substitue aux hommes. La nature estrorganise par la main humaine, force anonyme et vaguementmenaante. Voir, par exemple, le rapport sujet/objet dans laphrase commenant par On les cartelait [] ( p. 96).

    2.Relevez les expressions rvlant lintervention de lhommedans le paysage.Il sagit de relever le champ lexical de lartifice.

    Parmi les mtaphores et comparaisons employes, on souligneracelles qui relvent du champ lexical de la mdecine.

    Extrait du chapitre II, Mais ces pelouses soigneusement

    peignes [] ceux que lon pouvait prvoir ( p. 96-98)

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    3.Relevez les ngations. Que remarquez-vous ?Les nga-tions et les oppositions portent sur la nature. Le jardin duLuxembourg apparat comme le parfait exemple dun lieu delantinature, un vritable paysage rebours. Cette extrme

    artificialit signifierait-elle que les lois de la nature ne sexer-cent plus dans le monde civilis et que le naturalisme spuise vouloir les retrouver ? Lhomme apparat comme matre etpossesseur de la nature et peut agir sur le rel comme bon luisemble.

    La porte symbolique de la description

    1.Relevez les figures danalogie et commentez-les. La ques-tion doit amener les lves comprendre que les comparaisonset les mtaphores permettent dassocier le jardin du Luxem-bourg non pas sa ralit rfrentielle mais dautres ralits :la chirurgie, la salle de torture, le ministre.

    2. Expliquez pourquoi le jardin du Luxembourg est le parfait symbole avec ladministration . On insistera sur lesdeux points de comparaison importants : lembrouillamini des textes comparable lentrelacement des plantes, labsur-dit administrative similaire la dnaturation.

    3. En quoi le paysage peut-il tre rvlateur de ltatdesprit de Monsieur Bougran ? On pourra pralablementposer les deux questions fondamentales : qui voit ? quiparle ? . La focalisation interne nous montre que le paysageest vu par Monsieur Bougran. Mais la voix narrative est

    autant celle intrieure du personnage que celle du narrateur.Ce dernier nous fait mme entendre ce dont Monsieur Bou-gran semble ne pas avoir conscience : sans mme streaperu que cette chirurgie potagre [] ( p. 97). Le pay-sage peut donc se lire comme une reprsentation de lincons-cient du personnage la fois structur comme un texte admi-nistratif embrouill et porteur dune souffrance (voir lechamp lexical de la mlancolie) quivalente une vritabletorture corporelle.

    Lectures complmentaires

    Huysmans, vau-leau, En mnage, rebours. Balzac,Les Employs. Courteline,Messieurs les ronds-de-cuir.

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    TUDEDEHAUTOTPREETFILS

    Les procds ralistes dans la nouvelle

    Objectif : montrer comment est rendue lillusion du rel.Support : le chapitre I( p. 115-121).Prparation : relire le chapitre I. Pourquoi le rcit vous parat-

    il vraisemblable ?Suggestion : on pourra prsenter cette partie sous forme de

    tableau en plaant en ordonne les grands procds (indi-cations de lieu, despace, dtails ralistes, logique du rcit,utilisation du dialogue, niveaux de langue, etc.).

    Explication de texte

    Objectif : analyser un rcit, percevoir le mouvement de la

    rptition.Prparation : rpondre aux questions de la microlecture n 5( p. 139), en citant le texte pour justifier les rponses.

    Les procds narratifs

    1.Relevez les indications de temps et les temps verbaux.Commentez votre relev. Quelle diffrence temporelle existe-t-il entre le dernier paragraphe de lextrait et les paragraphesprcdents ?Ltude de la temporalit permet de dgager ladimension la fois itrative et elliptique du rcit.

    2.Dterminez les points de vue utiliss. La focalisation esttour tour omnisciente et interne.

    3.Reprez le passage au discours indirect libre. Quel estleffet produit sur le lecteur ?Le passage commence Ellelui avait plu ( p. 128). Le discours indirect libre permet de

    rendre le discours intrieur du personnage.

    Les sentiments de Csar

    1.Dans quel tat desprit se trouve Csar dans les deuxpremiers paragraphes ? On exposera toutes les manifesta-tions de la douleur du deuil.

    2. Quels sont les sentiments que Csar commence prou-

    ver pour Mlle Donet ?La rponse semble vidente : Elle luiavait plu.

    Du dbut du chapitre III la crote du pain ntait paste ( p. 127-128)

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    3. Commentez la phrase : Ctait une espce de famillequil avait l dans ce mioche clandestin qui ne sappelleraitjamais Hautot, une famille quil pouvait prendre ou laisser sa guise, mais qui lui rappelait le pre. On insistera sur

    lambivalence du discours de Csar. Csar retrouve unefamille qui lui rappelle son pre. Mais la diffrence de patro-nyme lautorise prendre la place de son pre. Se joue undsir incestueux qui ne dit pas, dans tous les sens du terme,son nom.

    Rupture et continuit

    1. Relevez les expressions qui montrent la proximit entreHautot pre et Hautot fils. On insistera sur la similarit entrele pre et le fils, qui rsulte la fois du mimtisme et delhrdit.

    2. Quel changement majeur intervient dans la vie de Csar ?Csar est seul dsormais.

    3. Que suggrent les deux derniers paragraphes propos dela vie de Csar ? Les deux derniers paragraphes indiquent uncertain retour lordre. Hautot fils se substitue Hautot pre.La diffrence entre les deux est minime, superficielle commela crote qui demeure sur le pain.

    Lecture complmentaires

    Romans de Maupassant : Une vie, Fort comme la mort.

    Nouvelles de Maupassant : Monsieur Jocaste, Adieu,Fini,Le Champ doliviers,La Main gauche.

    SYNTHSE :LESCARACTRISTIQUESNATURALISTESDESTROISNOUVELLES

    Objectif : comprendre quelques principes de lesthtiquenaturaliste.

    Support : Prsentation ( p. 5-18), extrait du Roman expri-mental et Prface de Pierre et Jean(Dossier, p. 140-143).

    Prparation : lire et rsumer la Prsentation ; rpondre auxquestions portant sur les extraits duRoman exprimentaletsur la Prface de Pierre et Jean.

    Le plan du cours pourrait tre le suivant :

    I. Les procds ralistes : on pourra prsenter cette partiesous forme de tableau en plaant en ordonne les grands pro-

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    cds (indications de lieu, despace, dtails ralistes, logiquedu rcit, etc.) et en abscisse les nouvelles.

    II. Les prsupposs scientifiques : on insistera sur laquestion de lvolution de lespce humaine (prsente dans

    les trois nouvelles), sur le dterminisme (Zola), lautoma-tisme (Huysmans), le mimtisme et lhrdit (Maupassant).

    III. La position du narrateur : la voix narrative est lafois neutre (pas de je ), par souci dobjectivit, et omnipr-sente. Les textes rvlent le temprament de lcrivain.Les trois auteurs adoptent un point de vue ironique et pessi-miste sur lvolution humaine.

    TRAVAUXCOMPLMENTAIRES

    Exposs

    Comment nat un mouvement littraire ? Lexemple dunaturalisme.

    Darwin et la thorie sur lvolution des espces.

    La recherche mdicale au XIXesicle.

    Commentaires composs

    Jacques Damour : chapitre II, de Un soir, dans uncabaret Quallait-il faire l ? ( p. 55-56).

    La Retraite de Monsieur Bougran : chapitre III, de Ilvcut, pendant un mois, de la sorte Monsieur Bougran

    secouait doucement la tte, et sortait ( p. 103-105).Hautot pre et fils : chapitre II, de Il entra dans Rouen

    avec des yeux stupfaits ( p. 122-123).

    Dissertation

    DansLe Roman exprimental, Zola dfinit le but de lcri-vain naturaliste : Notre grande tude est l, dans le travail

    rciproque de la socit sur lindividu et de lindividu sur lasocit. [] Ainsi donc, nous nous appuyons sur la physio-logie, nous prenons lhomme isol des mains du physiolo-giste, pour continuer la solution du problme et rsoudrescientifiquement la question de savoir comment se compor-tent les hommes, ds quils sont en socit. Vous appr-cierez ce jugement en vous appuyant surJacques Damour,La

    Retraite de Monsieur Bougran,Hautot pre et filsainsi quetous les textes naturalistes que vous connaissez.

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    Sujet dinvention

    Eulalie et Huriot changent leur point de vue sur MonsieurBougran. Inventez leur dialogue. Vous tiendrez compte des

    caractres opposs des deux personnages. Chacun deux ana-lysera sa faon la conduite du vieux fonctionnaire, en expli-quant lautre son jugement pour le rendre plus convaincant.

    Travail en module

    On peut travailler en module sur les questions qui voit ?qui parle ? et rviser ainsi les notions de point de vue et de

    discours rapport. Pour ce faire, on peut sappuyer sur desexemples dansJacques Damour. Ainsi, dans le chapitre III, partir de Tout en causant et en rendant la monnaie ( p. 63).

    IV . OR IENTAT IONS B IBL IOGRAPH IQUES

    Sur le naturalisme

    BAGULEYDavid,Le Naturalisme et ses genres, Paris, Nathan, 1995.BECKER Colette, Lire le ralisme et le naturalisme, Paris, Dunod,

    1992.CABANS Jean-Louis, Le Corps et la Maladie dans les rcits ra-

    listes (1856-1893), Paris, Klincksieck, 1991.PAGSAlain,Le Naturalisme, Paris, PUF, Que sais-je ? , n 604,

    1989.

    Sur ZolaMITTERAND Henri, Zola et le naturalisme, PUF, Que sais-je ? ,

    n 2314, 1986.

    Sur Huysmans

    BONNETGilles,Lcriture comique de J.-K. Huysmans, Paris, HonorChampion, 2003.

    Sur MaupassantMaupassant, miroir de la nouvelle, colloque de Cerisy, 1986, Vin-

    cennes, Presses universitaires de Vincennes, Limaginaire dutexte , 1988.

    Stphane GOUGELMANN.