TREIZIEME ANNEE No3023 \

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L’ACTION CATHOLIOUEEDITION ^QUOTIDIENNE

“fOUECEC M NUI. 22 SOVKMBRE tl»20

22,T]3EDIT. MEBI3IA0IUIU : 18,819

Organe de l’Action Sociale Catholique «Intunn comi in Quin*»

I/II01»ITAL LAVAIj10000000000000"C>0000000-000000000000000000000<x><>00-0000<XXXXX>0^<>0<XX>C>OCSI

riSUiAuîïT’ a- ■ ;■ ■ mm

g U RtPRESENTil- ? TION DE QUEBEC

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AO OOOO OOOO^O OOOO OOOOOOOO^A

L’HOPITAL LAVAL0CH>0 OOOOOOOOOOOOOO^TOOOv

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DES EC ilAEliRS SOND - RAIENT LE IL RAIa

FbRNIEREI RUMEURSAIE SUJE1

.....

Cet hôpital a été béni hier, par S. G. Monseigneur P.-E. Roy.

—,- - - - - - - - - - - - - - - - - - - ;

w av « w mm mm1 m m m m m w ad

L’HOPlifiL LAVAL

DEUX HOMMES |t découverte TUES ET TROIS È de mines

AUTRES BLESSES i:La cérémonie était présidée par S. G. Mgr P. E. Roy, coadjuteur

Eloge des Chevaliers de Colomb par M. le D. Rousseau Ce que vaut Toeuvre

L/Hopltal Laval. r«»tto o«vivrc ;ran<ii«»n U" charity a rp*.'ij :.|> r ton l'OurunnrmeDt par la b^néd;o* ti<*n iUl on a faltf pir Sa Orvi d< r M r P -K Ro' n ad Tjto.ir

c«mix qui sr Kont d^vou> A pour cette ofMi\r»> «'talent U hl«>r. ils om la peine. Us étalentà l’honneur :

1^» cérémonie f'> simple jan^- s* ■ adrc plutôt tr.me Sa r.rando.ir

M«k|Cim;LI \< « IIM.M PltKS |>li-uri^KV illi:. — i sr \t n>.MOItlI.i: l*OKT\\T < INg PV^- N WiKiKS l it \I*PKK PXIt L LAlMtlXs •• I HOMLVW "Dl r. I*. U.

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îuî même aux Thevallcrs toute fai econnamaance Kv ''«rn»» toua i*»* i#» «pfeia* a* r a rtt*« rata«ik««*>Chevaliers <|ut font dévoues rpoli-ltivlères. Deuxj»our cette oe ivr*'. Il faut noter le personnes tuée» e* trois ’» « «'•]>r Pnuclier ei M. T, p Turseon. •jul. par l’orrm:>.iM ,u onr•ai*o ont ’ ' :><’ ir ainsi d:re les fon- t'afenrs financiers de l’Hopitai.

I.‘oeuvre va it-elle rcffoit ic- nn d l'orateur? Vous avons tou? la conviction profonde qu'elle en

Mgr Tloy. assist.' de MM le> vau* ..i peineScot', cur** de Sve»Foy et \1ac lire curé de Sillcry ; pH- ounU toutes l*‘s 'alien en ré'itunî les prières d'usaae et en jetant d«* l'ea*! ’ énl- te M l'alibé Alphonse Garnon t glssait « omme maître de c* r tuo- nie.

Parmi les prêtre, on remaT'iual* \t\t 'es h W ' B’an h***. 1 u mi­nier du ouvrn* de Tésus-Mar e Slllerv. M l'abbé A Talbot aumô nier «le l’Hôpital Laval M. l’abbé

Vous avei secouru une oetjvr»» d«* charité. Aujourd'hui on peut «M:nur la \aie-.tr de niôpltal La­val a î•P.iiuu, Kt ce*te tou latton • -t ;*r« s jue <-omplétement payée.

.Maintenant, i! reste à !a «!é\e. lopier Sur ci* point nous romp­ions sur l aide de nos (touvorne* ment*-, haiis ou ans d’ici nous luron* u à M u 0 lits. A l’heure a‘tuelle nous atons 103 malades. N«»u aurions voulu faire .W* notre oeuvre, uru* oeuvre de charité.

Alexandre Va«*hon. «'hapela n «les «Malheureusement pour rencontrer FhovaMors «le Polotnb n«is dépenses U nous fout louer

des chambres, he la sorte nous; avou . ici trois catégorie* de mala des. ie> malades gratuits, demi- gratuits, et les malade* payant.

•* a‘ due nous attendions•n.e . a inson. (j,. noh gouvernements. Il

T Roy. < U batoniiter général, faut considérer qu’il faut 140,000 l Savard. C. R., O Larue N*. P., ;*o;,r rencontrer les dé;»\nser an-

.1 Côté. T Reinhart. * Jiitard. j uuellos La ville o troie $5.000. le Dr. P Rov rt ie hr Dumont, in-1 gouvernement provincial $:t.:,00 Tines A l'Hôpital Laval. 'Nous attendons plus.

Tout l’une graiement, tel es* le r< - s’iltat d'un terrible accident hit- '«•uu. hier après-midi, a la Point** lu Lac, j>*-titt* ville située A d* u\ nu'bs à l'est de Louiieville. au cours d'uni- coîl siou entre une .t;j- tomobll* et le iotivol d** la compi- j:ni«* du Pmlhque Cauadlen ’’Frou !• n.e Limité**".

L* s occupants de l'automobile sont t ous dos atontréalais tr('^ b!« .i connus.

DKT X MORTSLes morts sont: Ci tntavr 1 n-

nolly, Ag-' de ;jo ans et domi au No 4rue st lln »ert. p: - , é taire de l'automobile tué instdu- anément

Krn«*st Dumouebel. Ji* ans. do mi tlié au No ^ol ru«* B< rri M -rt sur le convoi le transportant au»I ois-Klvières.

TKOls Itl.l ssii*

D'ARGENB«J»

Ottawa, ‘JH. — la* Dr riioiupson. ilépiit* nu l< <1 ral, ( pour !•' t onité «b* X tlkou. «le r«*iour à Ottawa, upr«*s une tournée «le trois mois «laits son «'•nilê, aiiiKtnre la d«cou\cite «b* rich «st mines «l'a iu«*nt «lans les on\irons «|«- U* n«*-liiM .«'i pr« «lit un i.ran«l deK'lopptv. nient iii<liiMi'i«*l •< nn«* umn l. |U'os|M>rii<' à c«*tte n'ijfon.

Vrr • !« • •«.«rial 4 -' l'Arttaa ( albullga»<it tuv a. 2 3. « ! , « * ■

ré*u!iu» des élections d . i « ir «V'tui, ! Mt.glien «a p««.f ü-témut on u't ution -i .i rij. s'anlsaifou de son parti d.»: ;«pioviac do (Québec. Les rii:in . qui virculent uepuis pt , joui» u** man luaitt 4 as tou .j fondement.

1! par tit , ie il s uésoilat.'ou- omiuencccs « n juillet il* rni< r a.

jouruéee pu.s reprîtes, en son* ar- " u ' piipt d’un dénoue n« ..t

• Uil Sel.> (Ml dans l'autl-'l),.âl»?ès U* personnes «.*»i poai-

' on ,J. s* bien reuaelg;t*r, M‘ igîjin het«lierait surtout une

, r- .‘rcKi iita'lou «luéoecquoisc d'an-• :if «■• s« rvatcur8 et d un ien» b-i iux «: suffisamment forte pour parug«>r la province de Qu* bec en es d insurredion dans les rangs libo. aux hu côté conserv areur. i!

'se Se: lit trouvé en face d un éU meut qu. exigerait d« couditior.s Pans. J bien definie? au point de vue Ca- «'a- e vac UP Tn a.lien français, t'et élément se-! *‘\vrb* et d** la Cille :ait appuyé par l’élément Hb.-ra! dispose <t mar tier avec le gouvi*r- ni-rnent M Meighcn aurait donné saiisfanlon sur «e point et .-u dé­claration mu sujet de l’unitr- nutio- ni:, fatte A Toronto nom*' serait le premier témoignage de -.e? dis*

MBARGO SUR LE BLE ET LA FARINE I

(Mf;iWK. J'3 — la* goilierilc

O O °^ llli-nl canadien a «•l«- «veitt pal (i

t celui «le T \fri«|u« Su«l. «iu'iiii « i ^('inbaigo a été mis Mi'«|ii'a iihii- o ^ »e| onirv, sin |e t«|.> « i i., la- < > ^ rin«*. Aucune raison nT*t ( , ^ «lonnée, ^ >^ la* g«*u»«Tnemenl <l'\fri«|ii«-- ^ ^ Sud a |tla«e une eommaini*- au

< aitiola c»-tle aiili«-«- p<uii JP).-a m ■»•««•«* S- 1 • ** ........... ^ ^o«Mi ummm «b farine, mnla on ignon sj elle .« ét« ren pii* enetlH«‘l .1 V all t IV Mil. n _ ^

Linitli. le 'J2 nov«*ni!»re Ift-d ^ur l«- Imu«1 de la r«»ul«*, pré» «l<v

Donut, a <|U«'l«|Ucs milles «|«- <ial« vvav. Il lamie, ou l'i-trnuv<* la «l«** pouill** moi telle du ( uré (•Hffiu, • b- lti|sli> l*ark. qu’nn croit avoir ••t** assassin,- par «les malfaitema «jui l’avaii’iii ♦*nl«,\«I*- s«»n preslt). tên* en pleine nuit.

— la- cabine! Ithall.vs, <|iii tient <l«- pi< n«lce la dlreclfon «les affat» •es, «u «.ré,,-, décid«*> «le t«-nir. la •JH noteiiibt-i-, un pl«*bisr it«* pour «leteriidiu r s t |V\.i-ol ) ««risiai’fiiv i«'monteia ou non sut- l«* tn'iin* lu*i« l«‘ui«|ue. ) «'iistantin a prévenu bv goiiv erimnient <|ii'il ne l-«•nlr••ral^ e», <,»•,•«,• iiu’apres atoir tonnu b‘>* tesiiltals (le Ci* plébiscite.

t«. xit.lt I*. L. ROY. Coadjuteur i de olichee, qui a béni hier l’Hô­pital l-atal.

LA CAUSE DES FRERES

IABR1EIA FRARGE

IR ORIENT -k.lli; skii \ ri.xihti

LA KH K 'si I’Ll MlhLV AM

— « ••*( auj«iiir«riiui qu'ont In u Ira ••|* < lions f<'-«l« raies eoiupléni* ntai« res a \ ale, t oliMilhie Anglais,', ,-f. a Klgm-!/si, tintaiin l.« s ainia «lu ministère « i-on nt a s(,n ti-i«mii« pln*. bien «ju at«. um* iiiar«|ije c s- freinte, «laiis b« « M’con- itpiiou on- larienne. mais ils «-*, .impiem un** tu loin* ,< ta*.mit . p,.i|\.ln( an,.ln.

dre un millh i «|,- tii.ij««riie «iaiis i.,< obiutbie \ ng la i •

! LI I N TA Vi » Lit \ i»AS 1.1 s I I Kltmimi *s < I l’KS » N

SA ICI I II IN * 1 LM Ih

L France a dé d<* l« s parties i« la

• iu'« lie oc< upe ' « «•!:, d«*< iston a . t- prise au our» d'une réunion a .a ju«*!!e le gén tii'tirattd h «‘xprhu- ^ ,n avis alns. qu«* L''g«t« «t Lefdbvr»

On considère qu«* cette é\a tion cran « onsid* rée par Turcs comme une marque de blesse

M.

u a - |es

î ai-positions

La t éo-g trfsation serait re*ar- •" Le\gue<-, «-n répons® à «J e pgp rhé jtation d1*» « ••nt« :tts b'tau 1 i iv lut d n-.andg i n a uou-

'ffi ■. — fits u* a y participer, qui ne* 'VHe politique ptéconisée pour ’.a ^erttient *ihs on on* assez «nl-s rj,, t l'r.in» en Orl**m avait été déte:- l'acrueii que la province leur fc- miné» jm !• - /lections grecque», rait pour s* Uuerr l>*ur lé, s.-*- M L-: :•.!•- .« déclaré * l.e ehan- t att de fair** sonder 1«* terrain p.(- ! cernent - ; i!ttji|iie» en Gré . . «-réent des éclaireurs qui r-^aaoraient d* une nouvelle situation qt. il nou*

• oeelMi 4* 1 triton I otliollau*Montreal. La > tu *e «les

j trère* Kniile e* j, - pu Labrie s»*- ra plaidé*' devant .a Cour e • ti«e M. C’.-*’. Cu. «n i. leur pro- a- r** ir. vient d«* rire .!• .a itpl is haut tn'Miual Juditia

1 nadienOn »e raj pelle q-ie :<•» f.- .»

Labrie avai'-nt été ir« i ou u h.**» d'homi . H» iuvoionfair. .r la personne d'un nommé rn«*n«liant. .1 Stok**. dans !• s • m-

, ton* de l'est i-«- Juge h**s i eoti j damné Lutilc Labrl® a 2 • ans d«* pénitencier et s«'*t trfr - Joj*-*ph, au

Ièagno pour la vi«*Mire Caban a .»vatt d abord r**-

ten'.t leur mis* en liberté sur in , bref d'haPc^). cornu» én.Is /«ar 1* .juge Du<*lo.s de in Cour‘S ipérieu re he« prévenus furent arrêté» !

i nouveau après un mois le ■. •*' sur leu- for-:*' A la <!■ mande i i pro. u.-et:r g«>néral.

I b«>u«M ibli- Pra-mn i y|iiiistt«s 'le»i*b. n « st r>'rtf(. dans |i ,1* ••«b'tal' avant aicompli l«> te la tmii n«'«‘ é|e( t««i .lit* qu'il >'«• tt pro|M«s«'*e, «i avant pn.iinnrc a tb- l'oiiin, | nis L» ||||,-|, dans L|g n. «•si. «les di-i.iuis as*,-/ fa vocal («. Mii-nr a, u* illis, «-n d«-|>lt «b s me n- «•■s (|iii .liaient «‘t«'- proférées u i ont rails

— I • •lierai f’urrie, principal ««I I tov< is|t. X|. toll, s,* plaint de «e • Im'iI appi-lb’ le p« u d'entliousia • ni'' «In public inontréalui* |muii' li campagne «b* souscription en f. -

( v* ur *l«- eetti* univ«-r»né. I a »«iu -«t iption nVn «■*( j.as moins un siii •

e* s. fruit d«* l effon du |witt non • >>r*. « uviroii I .Htm, «lu |<* Gén-• rat. «-Il*- «•*( sut le (xtint d'aitcndi • h «liitl«« vis«- •!«• vA.uoo.ina«.

C-OOO vXXXtO cm. O O O OCO < -OOO- O CW

L’HOPiTAL LAVAI0xk>

Ktatent aussi ir«'*:etits* MAI > Dr Rousseau. Di Fau bor Dr N' k Du-omlt ' * T * ' N P-, P T!.égsré. !.. V Turceou Nota'-e .-'Iroi**. Son lion, le

Il a fallut au nio’n*» une heure j II est fort a propos de considS oour visiter la magnifique Installa- rer le blâme. d;t 1«» Docteur Hou>- Hnn qu'est l’Hoptnl Laval l.e ma-J "“au. purtob la critique nous fait bute trouve ift tout le confort dé- | ouvrir l«*s yeux sur certains pointéslrable aussi bien que les soin* nécessaire»

Tout est aménagé selon les ré­gies de l'hygiène et du bon goflt une venjUlation fa< lb* avec un svs- h'rne d*' chauffage qui puisse sou­tenir une hassn température

Ge qui étal» lo plus craindre dans une construction semblable, «omme le disait le Dr Rousseau, e était le manque d’eau. On avait «•'abord trouvé une source, en ar rlére de l'Hôpital Ata!» on *'a' e* eut vite que quoiqu’elle hit h'?!é r.ique l'eau pulsée là avait un !•' yer goftt de souffre

Tt n’v a pas long’etnns une i • tre source d'rno très totre fut d ‘ «ouverte dans 1» chambre de*, m- ihlneries î*n puits Imnerniéab'' fut eon«*rtiii *,, •-*ue »«•'- lu •«enr une pompe dl*fr<bue l'eau "e t «Me dans les r/servof*** à une es a.'té de 1.ôéf> pa,,er* nnr ben-'’

1.'.«titre '«uft» en "e ni««*«,nt r t «nt le problème «b* >'enn A l’î? pltul est résolu po»ir un rem'* iemn<*

\p."ès la visite des salles, nen d- n* tnouelle ^a Grandeur eut u*' on mnt nour >e« tna’itdes. un tro*'• r ir*«ervl dans la salle " Go « <>, s

qui demandent une étude epé iale.Nous ne «aurions as*ez retner-

cier les Re.tgieuscs jtour lo (Suite itt pa ;e 3.)

dé-

25e anniversaire

»>*», »V)t Wgl* \f*

• f,t le pr*• * • .» .'{ors de f >

*• ••• »»••** d'*-M ’e* fnnd’,teu-iie ttn mu sou ' I 'Honorable x «*v ;,; •«» |.« < i1 « • s t n«*»re nre•lU'.lii .«m -il eu ii* .t«*ux .fe dite

4

L< s bloss*’s sont. Uomé.t \ • -• • • A

Il .* le» deux jambes fract u:< ••»Sylvlo Vidai. 21 au.-.

Sl-Hubert. hîessures à la - •par to tt le corps.

Kmilo Üleau. 2ft an-, T r ! V'Vfe. li'.eBHurca a l’epiue dojsala et à la tête.

D'après les témoins do l acet- dent, ii apport «iue celui-ci ost buv- vont» au moment oû rautomobilo voulut travi rser la traver? • à ni­veau du chemin Maaktnotigé- Ixiuisovllle Los occupants lo la voiture ne . trent pi* cuir le 'rain et la «olllaion fu t**rri!i Les Jeun«*s gens fun nt projetés sur un»* forte distance.

la* train stoppa, et ses officiers so i».rtèrcnt au c* ours dos vic­times d<? l'accldeut. Mort «t bles­sés turent montés sur 1« tram '"est la que les blessés reçurent ••» premier» soins, l.or* me |«' tniin j itriva ici. le» trois hles^'* furent1 ransportés à riiôpital.

»•• faire é ire tenir la pla rlies ; «T -onnag-'S le» plus mi, r». tant* qui vieudralont ensu:*

m Meirhefi qui comprend : s«lifflcultês de la situation dis;"» û taroriser r*» plan.

En tout cas H . rait•lu non—^.i H a n tlu’il y aura

longtemps.Montréal, 22. i.o< mini u.

•:«*lfi sont convoqués f, une réunion : tu port an te quj » j,, ourd’huivraisemblable!n.*n* our d's-ut.r !» situation a tuel'o «!“ o:>r«'*s.-*7Tf itiort d“lo Qu b«*e à Oltaw i

frut envisager, au mieux intérêts Klle fera le • onve: ai ion» nv.-. M Lloyd Geor­ge, lor d«* notre prochaine **ntre- vue "

Le» me mbres des leux commis- rerom certain I'•l°ns de» affaires *’trang« res « t d**» f'ri*'nt

é!«

».*•*« I

•!«* nos Fman es ont d'avis que U ujeî «le rions grecques ont rendu .1 «

France, --a lfb*’rté. «-t qu 'clli d o \ t se bâter d'en pr«'flter p mr con-

,' lure «**» arrangements qui repa­ies erreurs commises en riinnée .jernb’re.

— I ‘ \rtii«-nle is fusa* ,|«- kc c«»* • f«*i»iu >• n FuMiniaiitiii «l«- VfiistApl .1 K« niai Fash.i. I«- «bel turc iiaitun>- h*i« . iis,mi a la ll \raison «lu mal«*> r »« I <1«* gii«*i r*-. Kl b* s«>uiii|,< i|«-« |. «I**r à ciiitiinii<*r l.t b.ittiilft* iiis<|i|'» «•Il Ih.||(.

i pro.'*-r»provint ••

COEFUMMIOKAST-SOCH

— A T‘>ki««. I.i|>«>n. l.t |M.pula«c an* tl-« l»r«'i :«-iin«’ .« par «b*ux fois, trou­ble «h * r •'« br.itt.>ivs orcaiiis«*«>s par I \rm«. «tu » l*ti «|iii. satis ►«» «f,». f«*mfrv iiiitrcinciit, s'en « *» ta iiiiso a la protect ion «b- la |»>h« • .

BROÏE ENTRE UN IUR ET UNE

AUTOMOBILE

lieux grandes ma sons de commerce détruites—Mar­ceau et Cie et Woodworth—Les magasins Laliberté et de la Compagnie Paquet beaucoup endommagés

— le gomern«*m<*nt «l'Ottavta •**» avis*- par « abl<- «ju.- l'import.itintt ••n tfH<{M«--,>t!<! «lo <«rt.iiii«s «,-(•<- .•ib’s • bl*’, furin. , «’t* , « -i pi*olii«b*’*- jusipi'a noiiiel ««nlr* . « *u n*»«liilinr point la raison «b- , . t rin- liai g»».

UNE PERTE D’UN DEMI MILLION DE PIASTRES

— I •** plaint»*» le* plu* s, tp u*,-» s«»n( rot-uiiib c* c«*»Mn* b- s«-i\ir«> P»»s*.«| «-u l.snagni* ; ««n |«* prétcn«l «I. ôo pour « « iti Inférieur à ce «pi'il «bvi.ui «i»»-.

AI. A. HO» '•M %i . *i. W. qui :» •*'•

îon i n: xt.ioi k it’i \ i* \«>i\v r \ au m j i u _ , q,. Ni |»| L'A) i i I • K \ I — \| . GLIt.l M I. t.%.« i*»* »« IU h| t H M I I i l i; qi i i i \i i iv ci

pn*«'* lib*c l'oruvre d«* l'HApItitlLav al.

IA LIGU1 ET L’ARMENIE

ON hlNt ! TL LA QI I ‘•HuN hl M MH IV AlhL. AIIM l AI IU • 'I KM A I/AHAIKML. — Il DIAIANHHH I^ADvM^hIoN

JONFERENCE ÀL’UNICN CATHOLIQUE

'rr,tc* «cSrlal 4* l'Arltna Cattiailqa*Montré»!. 22 Le conférencier a

iT'nlon Catholiqur hi«'r après-midi, v éfâ v|Rr f .f' (’hoquette, .-tupé-

sp^rlal 49 l'AMtan r»tha!lau«'Genève. 22 L’a:semb'.éi

la LUue de» Nation u di*- t ' ' soir la proposition «Lui 1er l'Ar­ménie miiitairoment.

S»me«Tl l/ord R t'« cil emit • faveur d'une expédillon nr.lita i on Arménie et au.) u: 1 bu: ! , do nommer une «omnmsU’U cha;- gée de trouver l.c» moyens de fat>e

s»r, tr» •«^«-'•' 4» t % *(|.. ,Montréal. .Lu tiomm

lyers Zvion. ère d- - an io- •nlcillé Liai Avenue Hôte; de \’|J-

*. a ou trn:» ut»*» fra tur.v«-, |,>•outnon «Iroit .«'rioré. «m a '•«•«;•. .'e gravf» ble-^urea a l'o'jl gau- !»e dan» un al lient l'aun. r.obile

survenu, hier .«>:t .A l'ang • d** la .ue St-Laureut «t de \ . r i«* h>i-

• th II «>st mainfenatM -i l'hôpital Notre-Dame oô les ru.' ieeins dé- •'Spèrent presque .1«* !• -auver.

L'ai rident e»f lu à '.I né^ligen- e grossi«'*re du chauffeur d«* l’au-

’o. qui «-tait pré .. •• morneot-là.•' a' a!» com >b'kiement ;'**rdu lf •vutrôlc d«- -a voiture II i liit .*

une grand*' \ft«sw L ,uto a.!a «bondir soudain »tr !« r,'o*,M’r

• t momenf rn 'm* «tu 7 . ion pa**- r -H. Geiuj.oi fnt broyé entre !e.ur d'une niuisivn e* ! .( :«rt

l/e chauffeur fut arrêté er «on- ' rit au poste su' l u. ru -.v or d't voir conduit si machin*» "*i «*• i*

• ; ivresse et de nius ». u» peru:- d«) chauffeur Celui • t . om arattra en cour d" police . lourd hui - » * ce» deux a ensations

Zylon revenait de vi!iit**r -on -

La paroi*- «* de >t-Roch « *‘té. !<» tiou*ta-.j. hier matin *,ru«,li‘-ni«?n» é. roiiv éc par un immen*-- m'-erdieq . n empiète ni élit •! 'rnt le*- tn:i- u -'in Marceau è (’le et Wool- wor'h, »ui la dp* St-Jose;»')

*^** fl mine.-*, l.« fumé» «*1 ■>nt causé aucsi de» dommag*• fabli.s*- ments d« la Cl*' l'a iu*'t Li­mit- • • t «b» M .1 IJ luvir * rt«*

« v« r- troi“ h« tr'* hi.*r ma tin q !•• de» p.i-.m*- » an» r« u relit que l • f.> i «**;(’1 Lui - la «* • du ni i- g.TMl) M ir et u é tic l'i* é ats.*'

'fumée vort.»i' du -oiitv;. « iii« nt le r«''»a i:.- e(n«»ni

Au*- rô» in |»«- ani -o m 1 « arme j la boite T*’«. ai: oin d* s r i* •Si Je ep'.. «t d« !'Kxli* ! a»s poni pler» «lu Fiilais. de Si f» « h et d*‘ St-Sâuveiir «• reui ifiit * ;r b »lieux où. .-ou.- Ii d r* <•' on t! i h •l'oaiuellv IL commun- « r nt .« ««ri-

iitr«* l'IncendieLe nouvt au :ve' «J.* !.i br.ga '

**i pénétrant «Lin. u* ni. r « -n ; pcr« ut rue le» flamme ; ü- •; «lr ! tscenscur. allaient • d • « •

rcmier ét.ice c: mena* a:e»)i rétablissement

•ois â Fini F* Tld»* '

1 roi» j«*i - tr» lélém.-i aomnic. .1«- rat'in* tr*

F* i t reu«| i le tr aux lifflrd. »t

Ce» «b’rn

— t *• Ft •>r«'s»-nr 1 g*, Aikoii.i, «le •-'•.n -, « i.ib'it nu moyen «le siufistj. • •* qu«*. p«'n«li(iit «pi«* le g«Mn«*r-iieiii«-ii( itali<>ii <1 «'pen «j lit JM.tNHl,* ()«ni,|(«mi p m f«Miri«ii- «Tu pain au

if •*- « • Iui-«‘l i(«'l»«tiir«>alt, «l«* suit. »!MH> tMIO.OlHI pour »e pr««.

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L'explo» jn ■« « c e ■ rfount il*-e du magasin

i cr«)it i c ett« fotir:'.;«au».» ue l’itv'end «• 1- . •

Lor v (’• !'«" ’1 - on. !•».«r* * m t ; « *•. M « r “au

a i«141 -•* a '« 're., < tour qu’ Je l'éta-

— 1“ Fieuii. t '11 ni» | re Huches,F Aiistruii,'. «Ié« lare «tu. s«in c«mi-

v••i'it«,ni« i»t n"« *it«*ia |miihi à prrn-«Ife Ils tlli'slll-i-s \iilllm-s |«Ot||' «'«Mt-p« « « ««urt a Funh utc propitgMtide*«■•*1 f« ini»t«* «| ti i s‘« i rca n t s«‘ dans le I «v». 1 .'laf <|«’ chose* .|ui «éiltl»eé*«'nlr»in«*nl •ui Irlwnib , explique, t-il. e’*-si en fait. sin«*n «!•’ «lr««it, l.x gu *rre « ix île.

* a-• I?-»» n

a t

rieur lu S«4în:n uré de s* Hyac‘n*he. cesser le* hostilité. en*re les Ai •t président du groupe mont reniai a tnénien» et ii»*» trou;x»? de Musta le la "Sociéh* Royale d'Astronomb» l'h» Kemallu Canada" Le -avant eonféreti- M. Vivlanl a proposé jif a !• r h parlé des copieuses et itupor- sombKn autorise le Conseil «!•' a .int * vl.Vouvorte« des observateurs LIkut a conclure une onten;*' ni- pause à l'hôpital lors je r«. :d» nr. i;ê.i ain» dei>uin ISM 11 a mon- médlatement avec le- grandes pif»-

i -i "«* pendant que les nations al- sauce» hu snj»*i de trouj»*» jui ’ •' • remportaient sur terre lu gr.in- serâlent euv'i,*- pour " -n it ver ! > Mctolro européenn**, no* voIsIuk F Arménie"

• i« nt la “«'«on juête du firmn- croit q • a - •b '' t,r' »-i«»nt". j dru uno décision cette finaine à

,ce sujet.

11 sonna de » itt«* i.ixe alarme *•*- : • rai “ à 1 a u i «Ile tou» le» hommes' !.t brigade t uondirent même

bliss tr r.l AA nu ni • ! 11. :.. • *f r ut • ri'-

\u moment [•««ni:>.« : Va/.air» Vi trouvaitre d fo rnui

loi re.t>«*H hlessUI aux jam!>« «

i. .«• ndic - * ni «1k: t:

vîxvorth ’ •t plusieer

ut fori»*- •r:q c»

t>\'»lo-dun I*>I .'il! l . d * p«>*) • r*' ii*- la < ),t::i c* «•. ut i.» dit*;.

i« a la ligure et

I lionotable Juge Hnlilell. «I«* la t «*iir Mipréine <|«< l'Onlario, dans

ui»«* <mtféreiii •• «jit'il «t«inn« a \«’ix. A «a u, .«ffi me .)ii«’ tout !«' momie, «••• Anu'rAqm'. deTruif s'unir «««ntre le bob Ivex isme, qui constitue la plu- «ru ve menace | h mi r iioti, « on- nm nt.

la <ondult«• « \ qui étalent en rongé dan» leur «r • \ h

i M-Manus.L**» fl - mme'» « ••: **mlaut. en mains Lue épais-»» fumée av«»uKlait les)

'• *lt# loioat .! « • . :l'étanhstement et lej

Le» honorable.» u««»s J -R. Ar- m et Adolyhe Marin, deux hu-

• .s -lève» du conférencier, l'ont nerrié.

HFSI'ONSAHII.I TF 1*1 I ' • H.A K

lient de la Finland*. <1 ' !'.-*ho»b»de la Let vie, de la Lithuanie du Luxembourg. <1«* FAutii.'i»* de La Mulgarie. de l'A'.Minie. d«* la G.ettr-

;* *. de l'Arménie de !'.A/«efla lit le ri'kratn».». du Lichtenstein •*' d» f t

i quées à tout i « )• .-f Donnelly assisté du -«au*, chef

M .Mattus. constata bientôt q*!»' mal- gr•-••» efftvr . 1* magasin Marc» au m ! * a 11 être tucendi «i»* ton«l <*n > «>»n- blc

lb - lor». le travail des pompier» l'empêcher les flammes le -e

«leI **

e rt"u*r »:c, i|iii n é «• f«W«• «*s v» «| , .en ,| |-0,,

• i i . i in* «lr son ar. l- dan» rt*t|«* |«iitt|sse.

- La Ligue tirs Nation». «*n »on s ..piblé • plcnb'ir dr (H-nève, en i h «t’idiei 1rs i • spot|..«bilité» qui «omprl» l'Mlcn'v *1“

’•len» pour l'association en gc- n n > •( de ’.»

Genève. 22 Le comité Lad- misalon .en conaldérant la deman­de «radniission d“ 14 ••n'» non

a étudié gîte ef .«-«'Lex

Costs-Rica.Kn outre de» ro»iH>nsabiltté» le

comité considère aus»! ce qui suit :

■ omm.iniquer ;» 'x bén-**'- v«> «nu*».

TH AA All. Hll I H I Ll

— Devant b* Refitrin t lut», .i 'l.mt- r« al. Al. Aithui Iraban, ilepuii' fé- «btal «le Nirob’t, et im'mbre «b"

, l‘0|»|M>«|lion llln'rab*. ti«'iu AI. ('re. .n nt *'t Miijour rar. le chef «les Leimicrs I nis. s»,,

vil* ’ ' ••• - ■ i liilcmeiit res|mns«ble «|«’s act«*s *|eu « ’ ••( Doi.m'IJy. .aidé malailminisirati«'n repna lu-s à A|. l'aluot et !•■ -uvU'-* lief, A|t*igheii, et au régime lb>nl«-ii. II

s'affirme |m*ii enclin «*tixers tout roji t <i«* coalition pour s«ui parti,

quels i .....— La «ariiison grec«|iie, à Sim me, s'agite «-t d«’UUin«1e à «'*tr«* «t«'*tnob|- lts<-e ; la dis, i|iline > maii«|ue, et «b's iix«-s s«* pt«xlniseiit «ntre |>arti- sans de A elil/.elos et «b* Constantin.

iquea-una fur*'!tt maladesL «*x tolsioti a.alt iranlé • bri-«*

une partie du m .r «lu côté du nu-: g.asin é. t'i et 1 .*> cl» et par !«»** ttasu-' r«*» de * e ni ir. b's flammes pénétrè­rent dan» l'étebllssenient voisin »d —--------“Mc- rencontrèrent ne pro e lr»-- — la r«*mps de Fart». pr«'*xi«*iit I»fa •«* L* » iléfs b* la l« Liane*- «*t la («ramie Hr«*ta*,Sie que.« om t rent ,ae tout !< r tr i a-', -e- «lu train (l«»nt x««nt b*s chose», ellestait inutile «-t «pic 1“ fc : allai' oui-, »c xeiront protvabl**n»«*nf eonfron-plètement .anéantir le- d- i' ni«ga te«*s axer le tait accompli, par le n'*

hour sut I»* trx»it«* «lu roi < «>n.»tan- i un en (,r«'*«r.

..« ( il et |»o*i 'b.u n n «In s«»* «i.rni- le >c ni«" • u ° * • 1T*en tfarlhulicr, de l'article Dix. Ijea detnand»' «1 ad-utfelou 'ten-

i cinx rn flammesL«* rouvernement ect-il recon-i Le travail de» pompier» e-gn irè»

nu’ T^r qtielh étx*» . ’. étrn«iuc et «IFfl ils et trè- d.«nger«>u\ »u la s Ml K> NI i ________• , pulatton de ce; 'ta' ' Kvt-il. Traiide quantité d* nnr bandi---? il» sexcr-creut aior- a pré.-ervarI —• l/'ex-imj»érauiee Augusta, d’.U

| rnflamvae» et u ionstrqction «H iSmt* à la 2e nage* t lemafue. est «|e plu» rujriu» mal.pultàtlon

• tnn«ame?

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llelcruilo. 20 — QliaUd Iss eot-l ♦«M'rui.tVr' q»ÎHa'u^V urmi-’ »* A II M Su..» .. . c * .

>!t*Jo>epli v. 17 M M. “ —------ — - mm.---Clotaire Lcs-ard. Jo*<*]«b : on ,'4 ulx1. Mme Deliviu.i G.»Kué. iouVit bur Gagne. Tbilippe Vachon. V ^ * r Thomas D< >> on

L»*on Ja que> \ a 1ère T< merleau Muni- Doyon, ci ait eu M'ite .,u11< nn«*tit de non* art Ivei lu f'a>s Sft(Té-lL’oeui «1»* J ' hus. lor* ju’el-dc TOu« •it a;>r«'*> plu.-ieu r* moi* !«• fut la victim •• d’un actident«Io -(jour dan* ce* (*ontr< »■» lotn- dont «• lie n’a pas pu ê r, tucN i ••taint- Nos H.vtupat bte> aux deux (aiull-

. * in, appot t«*nt ic bonn« » 1« s eu deuilnouvel let• sur le* ré-'olt#* «le celle •Munce et la perspective certaine de 1. X xi XID M X \ DIM (JI | ( Ml | 1.rf.,1' r « 'c bon pr« . u fi*, • j 4 II» :urain- ., p partcnanl là-has t •que* un> les nolr«»s •: si-ce <iui riil t u*- !< •» banques.1

Nous is uhulton? A (es i>ea :c<** ' •* CO u i merci;, l’a vr drurcLairout» « nti-epre nant* un -u< « o o 1 !Jou’’* pin grand .('"<• «le.- • . i • Q»» • M-ce (jui KîUiie t< liéfri-

nés ausKl toujotia plu ^ *1if ' L’ait (,■ 1crati'le* Que! le ri.i-.nai idls.* ne profite

j.miai- a Tn'hrte t r" l>’;' 1 «•cl Qih*1< \ i; i m id mi i«>i i:- commefcc est |r

rant T l.e cou)mer ' e d» liqueurs i«i • 14 ■ i ; u aililf 3i. p«A^ .\ < oml>ten <Je en u ndh*nA l’alcool a-

■ . ! 4 11 J»' !• rurû dt lit psà* . * il diminé ou te f.Dt la -aniN i III F .1 X *i U* \ . î u H IMI Tombien .l( l'alla 1 ('iis l’al

J V 1' 4 ' ' *. 4* ' Pl’J >oi a t-il donne un -«ut iu-tantde bon \ «i in seul Qui

i prit» lii tm* U‘i !«* plll.- lu r >i: inn 1 .*;i.•

I isgue, 20. — !><•» (Uuionstra-1 n» .luU-HllPmaiulfS et <!**•» émsu- dtMons du nallé serbo-ltslleu oott-l

ont eu ikti pondant pliiaicurs clu u Ku.*a1Io ont été connuoa lot.• mm rt Prague. capitale de lal ut|i> fr»ul«» • norm»* «le inanlfestHnts

1 lut o-Slo\a« hlt» Lu fouit* \ouUlt ô'« ruMsonibieo devant rôdlftee du «• , • I- , imivi rnenieiit l'*» livre le j ouv.no ntent lK*ui reRtinentu di

• ,l"|i« •‘Heniund Ile.»ru. accusé .•i.\al«ri«‘ renforcés par la police• avtur mal parle des lé«iontiaire« qj.. dû disperser ta foule qui. dan lYliécu Slovaque* Le thedtre dr:t- f.» ureur. marohalt «ur la l^i{.«

•:t>Que ill«*u:an«1 fut o<cupé par ,jon ita|i< une Plusieurs coups d< je» Fch» «tue» «l U statue de Jo- fan oni , \i nrn*. «t pluslsur* per ^ ih II «ul«vée du square. Kn re- goan»*e bl«>t>écs P'»4sallies Ion Allemands drinmli-

une école tdièqu, l)e> dépu- . CftrrAMDr“ s et -enateurs allemands sorti-! jLltUmBt A

»• nt du parlement pour protester, l’n officier de ,iolue tut tir»' à bas de son cheval durant les émeutes.«•» tué sur le champ La statue de Montreal, Il>acmth# Ma-llistuark tut p<»ité»* dans le* rues lepart. as d*' '•s arts, dumetir'uit des heures durant, couverte d'une| POâ Desjardins, qut a'ail soutt rt

•Pote » n papier portant l'mscrip- d une fracture de I 'plno iK)r.-.i!«*survenu a«i «'ours d un».* colli.tioit d'automo ill'1. diinan< hn derut» r. et mort «•»* tua tin A l il .11 No tre-Dame sans acoir repris ••on naissance

ari'ji. •mm tveim s ■

A VENDREdésire MV. ItlM : ~4 Aea«is nis««st'<s If)

.................. ...... . _ vlssto-s ttCi ni' t vvuii’**. '«tart i..,tt«, ».ri»<a»* * tt*a "'1 Is u s rjIsouN'iif Hit'et ' s‘s* • m*!#. Mes #!»u<îs • •«atlttaw* fsi l es. ilio\M»r (•«■|#r «t ! < sttinHqus. : J U. K.* Lt|»| *. '«Sll»* i»« paste*. *«••** » . 1 ll■ll^l . (1.u-Val! _ ....

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Par Jean Morg*an

• o!«>nt« d orpl olin» rFe la iruerre. var la j. oécouvral* nettement !u >'ti de uia v «ite. mai» J é*««* % re

• • in* ;• -orbé j»«r mx ci*'conventiu 'r ]],v»' geai d «'n «’-tre roiifu...

Quatnl . al revu lu façade blan- 1 ‘‘ d i bateau, elle m'a paru ;>lu* '•'life >ur le my-t-re qu’cllu a ali i l-rlt N in - i n v*i t-t! 1t» vl

's»herine Koîand cl de .i • «'harl«*s-llenrl.t om b

ms j. nre pr« < ne riKt I le inobléme f|uf •l'.ihord pro; o *

•.(r un autre A Pari l’emnl

je m'é- mva Je

é me dé. 'onr fixer «h Pont-

i: daij- (• ■ o n > « •il un blâme : vous pourre«cbappa pa*. Je m eu em-i Il 'o* me laiir obtenir ce m* J»* dé*, , loin.savoir —Je ne puis

q »: ne mparai .>ot rai» tant

— \OUh U,e *HUez ssii- douti i»our un -'urieux peu délicat, tnon.-ieur i« « ur* puisque J ai i t ce manu* vflt ijui ne m était ** destiné ; le» • >parelier- -ont ontr» mol pour «ou- donner MiNou, mais Je ne ▼nudta;* c*i»*hdant n.»* que ion* pui-r-ie/ roite «j«te J »t Ad, à une Dentation tliesq nine Jui senti, «uns le premie jour ou J ui visité Pont-Even m ! svai» oté le théA-

d’nne tragéd e «lonteeilqu** Dont le «lénonement m’échappe :,c- i'iurd hui, mais «1é^ « mMaft et

un us et aunes, monsieur le ru- iut-étr«* uiw .

pas aller plu*d, van ta g«lenui*' u j

Ce «tue J'ai apprm’appai ent »•.» vous pas, au r« -de Isj.»,t re

« t* iuj« t ne Ne pensez-

«ju il convient *•- mort- *a•. *

D* viriJIp ■n connais

lono'sli juo et J'ô lm»*nt iD'-ragréaLile A

i Kouleverser tou: vider • haque pièce

rr no* petits rosse-

prétendre a !«>ur arr.c ber ie tu- \ res lambeaux d'eux mèm»- ’ c« nx «lonf \ o<if. av.*z lu en a tl» ’ histoire ont 1 eau ou sotifT*‘rf. Qu'-.•••' qu .tient été !euis ••rr*- ir*. j ui « nfiati e en D.eu <|ui îe. a :e "u» «I n» son infinie miséricorde. *■ I vou* ;« vee ét< r«'ell*'.’tie t .'ruu • parcourir le*, .âges de te Journal l Hubert ! • !a Morhands,.- criez

«tuand mon esprit était seulement ' jKiur lui nfrigtié üarce que Je PMjrontra.s J aurai» . u mauvais»- gràre .. in-

U détrang»-. J ai été rempli d’une M-ter davantag»* ; je n.»* lovai »;ri ac j nie «'parai du r»*'-t«'ui sans même ou'»* i’In'tirmer du proJ«*t me Ja\ai*

A Pont Kven une

rymiathir irraisonu» j»our teurs malhc«ireux qui •»*<■»• re leiji ci Vou- i

onti le «vos ornté te

*'<• nu-ier tais toutn». 'ui'

j . tder .1 é. rire • . :iu;ri ru- • ‘K\«*n

.Tain «lemour 1.* chroniqueprouve un «ei !n pcnsi'c de etitlA-r ef depour Insta de- faubourgs

Quand e passe ma in ten an: du « oit » la bibliothèque. Je ne suis

dus seul .Jacqueline, son mari ou ( «ai ;e» Hem i m’a compa/vient /uand vient U ftu «le Tapréa-midi.

IN s’asKoient auprès d,- moi sur la terrasse dsns > moment que j at tends ’e dîner Nous *tion« tous réuni*- hier *oir autour d-i pre mler f. i d aiitotnne ar tent ■« é*ait presque froid Ct matin, en prenan* mon repas «lan* la salle A »*iattg< r J ai a-sisté A le dern’Ari» cène oit ('««••les H**nrl «uri»tlt !n

'I i U--i'M d> 'ntl pér»- e* d,. enIr-He-niêri 1 hoo ro es •»

moi. rien n était thaugé , j4 di. »«ni elie-nu m**. complice le « ott« résurre tlon. portait ne» uml^res H aisée* aux liténics endroit* d« la ii* it»» Halle* V’ais-jc’ dé'.rulr*: co b^aii dé «jr et hasseï* '■•» m« lait o-

i hqut's fantômes «ini i>rr;«aent sun* <J«iut. quel lue agrément a veni d*.* nouveau errer parmi tout c.. .pij ut inséparable d«* le^ir xi«î terret-

treJe n«* puis non plus conserver

Tont-Kvcn pour mon unique ( ;a!. •ir. Q'Ty ferai-je >eui en pro»« aux jeux de mon imagination ? je n’al

i an -rrem<

;hi .i i

.«r’iv- devant Té ••■t pendant qu« dan* la tour tra*

'i ■»,>:t hupeau d’ardoi-es J* *11 i* entré dans la viell-

'« •’ J a* uni ma prt* .1 •'•*!- prêtre p«ndant toit TofTDe l’iic vrotidc dou<ou* m’est pour a\oir accompli ert

D.in^ > retour ic pcnsaiH j.otir « première fut» « «’harles ifenrl

et ., son i>er*« i»an curlosffé . J’ae- ft.ii* d*- ne jamais mieux 1« s on-

u?pu* I.- droit de nie dérober .«jiir'oiiips, da u .s lo f»-nip - oil iiouh •*>fnnie«, au d*-voir que je me »ut* imposé AI a récié dion romatittqu'i a *.-*•-/ duré

Mais !*» ha ard ent venu secours sous la forme uù t« ndais le moin*

CDNTREt[RHÜHt/i

C* matin le ciel Atalf rjair .utfld Je suis sorti nve- IMqten-

•m de faire un«- ex«tir«inn dans la dire-tlon d- Trceon Pn pestant de. vant 1s tombe de Cha-lca-llenr! J’ni été surpris d^ la voir ;>1 t» écti.» •• que de routume. mal* j’a| Iden Vite enséf qui» nous ét|.,n» ». 4 jetobie, Jour annlrereai'.* de Ju .▼.ort de cet en'nnt. et J ai reconnu• cette i »"ur« le aoi- pieux d* r» ti»*rine n >!:ind

Mon *s r t a eçu t>i »«u|] d* la e**te chanolle devant quoi f# m «*• a*< arrêt/ un impression q '! Ta

r.-teré vers A < précédent* » r*;e. ne- \•» l.eti d- porte ma» n», ’nr 1 Treuort ■ h délil.é *:nert fri• A- * J,,» bii|e «i il ent >nrf»nt lM-

ricr» ne-,1* le GOU­DRON et mUILL de IOIE DE MORUE.combiné* avec Ir■ medicament! Ica f.lus etlicacc» connus coni-e

ce a rnala«it(s dans »

Le Meule urSHOP pojf U P.HL! .„Il nef •<«&*« c.^tMi'-a-- 6 «t.4.fi .moiifaMpOM.» • i e',*-,. fu.-uU-ab*»,/.»»4 le l'NarmarrutLae d* |»CivlA B«M(t, Quik.i.uwe,

tN

naître et J’éprouvais en même îemps que nu prié-»* m a -lit rap- proch1 d eux mieux |ue ne l’a­vaient fait toutes mes indlstrê(ont.

J** venais de leur témolgnér mon Honumsnt de U seule fa'jon qui pO» vraiment nou«r des rcla- tjons d * ux A moi Tout le long du *l;ainln Je fin occupé de cett# mer- v*|J|eu*e <ominunion qui nnh *ous . »nfltien< e de 'a prière ontro les vivants e» le* mort* «»t je parvins ur la terrasse de PonDEvrn sans

ni être iperçu «i ji t’nfhrriti n««1 tnd se tenait 14 debout et sem­blant me guetter.

Kl le m aboria axe un vlsaee dur et me dit d’uno seule haleine ■

■Madame est }ft qu? veut VoirMonsieur

.Te ne saisi* pa« très bien ce uTolJe disait ; elle a’on ai>er< ut «q •récisant :

— Madame do la Nlorliandais est «iuns le salon : elle désire parler a xlon/eur.

fVft* fols j'avais <ompn«. J«* r"tal un ms’ant ‘nimobllc dan>■ueri'-c et pa^-int devant u j-or-vante qui marmottait :

•-Etre \euu4» un jour «.onnue «lourd’uti! (prèH ca qui est arrl-

*. est bien piovoquer le bon Dieu ’ Ella est toujour* la atfnie. hdiguvur !

•i ai la ssé cêli*-IA à son scanda .• en traversant 1«» vestibule et le

: nd salon dé-ert. Tal trouvé dans !«• aliliiet h u x laque- vert»-* o» rou r« - une femme nul m'artctid.tlt de 'Oui comme gne inllhi'eu-r !•-

ai salu*«* en 1 examinant autant que la j>oiit»*s*e me permettait d»» le taire, pni*. lét déaignatit un fau­teuil j'ai attendu avec plus «je trouble que Jo n eusse déliré en fai re paraître -, T»*!b* ;u .n l:quAt •' -même l'oblet de sa Visite

r est une étrange impression de toir t«»ut a coup surgir devant hoI le personnage d un roman <iue Ton vient de lire «»t il e?» impossible que uou* le trouvions pas quelque peu différ» nt «tu portrait «juen ous nous en étion* form’*. Je ne m'ima Final* pas pour mu part que Tac- «.uellne de la ?»forhandg*s fnt aussi, grande Prise dans un long man-, teai noir. le visage serré dans *e* voile* de veuve, le front ceint d*un t-andeau de crêpe blanc que dé­bordait auprès de la tempe une' boucle de cheveux d’un blond eeo- dré. elle m apparut tré# digne, mats touts meurtrie par In douleur. I«b bouche et les yeux avaient pour toujours d«*aappris la grâce séduca- trice du sourire

lyes rapides ex misse» que son- mari avait tracée» d’elle au fil d*a' jours la montraient plus fibre, plus frfinliaaiite de passion conte-, nua plu» pénétrée de la certitude que ion intelligence avait équita­blement mesuré le monde Aaaiae maintenant, te coude appuyé «ur la tfbJe. les épaule» légèrement tour-i bé#s et le visage Incliné, comme si 'e poid» de tout ce qui Tentouralr eût »'t* tntolé’-allle elle dénonçai» l.i «iéfjTD* par foute son attitude.

Ji respectai* -«»u re tieilletnont n ab|é, ronje Diratn |ii»*ll** devait i

ftre son angoisse à retrouver «;n *i a leur place tous les témoins «T sou bonheur et aussi du drame o) -ofui i.i avait sombré. Quand donc • t « uniment avait-elle quitté Pov* Even ? Pourquoi n'y était-elle p*t demeurée après le départ d’Mube:* d«‘ la Morhundals pour l’année f ToUI <f.|H j-jgnnrj|^ e|jM .’ait *an» doute dans sa pensé, pendant que *e prolongeait not,’.* embarrassant xllence.

Ayant vaincu *a première émo- tlbn. elle *t> redressa par un de ce» beaux inouvenient* qu’aimait tant «o nmarl, et. (>as*an' sa main auo sur son front pour en chassar l-v '<>1 ImporDtn de* souvenirs elle ni-* regarda ave.- une assuranco «■•Jtr.'» oil Je retrouvais sa fore# d’âme tempérée par l'expérience du mxl' hour Son visage rayonnait d'uno secrète spiritualité qui en dou­blait !n charme naturel et Je com­prenais à le voir, que c#Wb fammo tOt été profondément almta pa* un coeur généreux et tourmanté

—Monsieur, me dit-elle, aan» Plus hésiter, mais d’une voix ba« se. Jp dois m'excuser d’avoir insis­té pour vous rencontrer, mais quand vous connaîtret le but de mon vovatte ici. vous ne vous éton­nerez plus que J’aie voulu atten- üre votre retour

fà tulvr*)

ANCHOR WEAKNESS TONICHe conipo-itlon M'lrntiflqiie ee

foil le plu* iMilHf-ent «|r* foiihi'H's-

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"»V «V’1-1 .TyUi-IIW. *ft mfAW ■ I.

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FREIZIEME ANNEE No3028 EDITION QUOTIDIENNE QUEBEC MAIM. ‘£i NOVP.MHHi; |<rj0

L’ACTION CATHOLIQUESuite très logique

Lundi* le SKI novembre 1020 !

.< t <k* Tout st. tirant toute» deux leur origine des Apôtre», étaient devenue» de» choses d’une nécessité urgente. Il ex­prima la certitude qu'il serait possible d'amener une union organique réelle en dépit de la différence des rites.

Ces compliment» et ce* voeux de la part d’un évêque an- ( La nouvelle que tous les journaux ont publiée ver» la fin gliean ne pouvaient que causer une grande joie a tous ces

de la semaine édait bien la suite très logique de la campagne chrétiens sincèrement apostoliques et unis déjà dans la plus alcoolique, sournoisement commencée dès le lendemain de'étroite amitié. Ce fut avec empressement que le vicaire-géné- la misé en force de la loi de prohibition, et dont les manoeu- ral du rite arménien se leva |H>ur répondre, vres deviennent de plus en plus apparentes. Il complimenta l'Lvêque sur la cordialité de sa récep-

M. D.-H. Murphy C. h., le fonctionnaire nommé spéciale- tion et la bonté de ses paroles. Il ajouta que le voeu exprimé ment pur le gouvernement pour "administrer" la loi de pro- par Sa Seigneurie était d'une réalisation facile puisqu'il hibition provinciale, aurait admis qu'il lui était absolument jétait aux trois quarts accompli en ce que tous les rites de la impossible de mettre cette loi en force dans la Province de;région étaient unis et vivaient dans une communion parfai- Ouébec, en raison du manque «le coopération de lu part «les te. La solution la plus facile et la plus pratique, celle qui

EN PASSANTLa bonne fol d'abord

autorités policières. seule pouvait répondre aux voeux «le tous, c’est la soumissioncomplète et olruduc à l'autorité suprême «lu Souverain Pon

La déclaration est-elle exacte ? Il faut le croire puisque, (j(, j^onï(,«pré» |»lu»H ur» jour» nou. n avon* |»a« «omu.i*i»nco quVIIc | Tou» l. s aulia s vicaircs-m iiorau». un nanl la paroi, ail ,-ti conlri'rfilr. <1 que Ir» prn.oi.nag.» ulTicu * .. ont l>«*.|(.ur (our> appn.uv. r. 1,1 v. nail <lr .lir. I,

ii»»rr sum-.htrr I. » n.mv. ll. s <lr or gn.rr ira, ,vv^.u,. Ilni.|jc.in ,,,,l'Iiabitude «le laisser lorsqu'elles ne sont pas exactes.

Donc, le gouverneniciqf. parson employé nommé spéciale-

\leaires-gcneraux. prenam la p.iroii- a lit «h* «lin- le \ieaire-géné-

que anglican cul h* plaisir d'entendre |« «lernier orat« ur «lire <|ue «!«• ménu- «pi'ils avaient l< bonheur «le gouttT l'union la plus parfait»- sous la direction du S;iint-

mont a colto fin. «loclarrrail. jusqu-à or qur la nouvelle dont p;.r(,, j|s s..r.li(.„| ,rt.s |1,.ur>.,lx q,. V1(ir pj..- ,liM. .| Angl. Irnv », uou» parlons plus haul soil contredite, que sa loi est iwippli- „ |a mom, aiilorilr.cable. De là à demander ou à provoquer son rapped il n y #a pas loin. Mais avant d’aller plus outre dans une pareille # ,voie les autorités pourraient peut-être se demander s’il n’y J aurait pas autre chose à faire, ne serait-ce que pour mieux sauver les apparences aux yeux «les «pielques perspicaces <|ui savent voir et raisonner.

L’application de la loi est difficile; nous l'aitmcttons d’au­tant plus volontiers que nous n’ignorons rien «les tentations uuxqutdlcM sont en hutte les fonctionnaires chargés de la fai- r«- respecter ; nous savons aussi à quelles pressions ils «loi- vent rt*sistcr pour accomplir leur devoir.

Mais si les causes sont difficiles à faire, pourquoi, pour les rares cas où h-s coupables sont enfin pincé», n applitpie- rait-on pas la loi avec sévérité ? Si le maximum «le la peine « tait inflige à e‘ e infraction bien établie ; si les dé- Iin4|uants étaient forcés d’aller « n prison c . - lois que la loi permet «1«- les v envoyer, il «-st très raisonnable «!«' croin* «jin- r« ffet serait s.ilutairê. « t «h- natun- à faire diminnrr !«' mal dont t«iut le monde gémit

Tant «|iî«* l« s autorités ne se seront pas r«‘S«dues a appli- -r sincèrement la l«»i «le cette fat.’on. « lies n’aurnnt |>as éta-

f> fut la fin <!«' la réunion et la fin «les réunions. Il n’y eut plus de thés internationaux à Hagdad. « t lYvé«|u< angli- ci:n eut tout le loisir voulu pour réfléchir aux sag«-s conseils «ju’il «’était attires.

Il vit «pie sous la houhdtt* «lu succevseur «h- I‘i' rri\ « n «lé- pit «le la diversité «li^s rites, e’est la menu- foi, le même «log- me. la niem<- «IfK'IriiM* «pii sYns<‘ignenl et se pratiipient. Ainsi natun-llement cou«luit a méditer sur la f«»rc«* «le runite de l’K- glisc cath(di«pie. il fui guéri du «h-sir “«l’épat» r" h s ehrctieiis d’Ori«*nt par s i prétendue supériorité.

'• L'dtcoie d aurlculture. la foi • mw cxp^rluientale n'KionAl*-. mi»«' E l«*ur main, les aurait inatruitt>. l«*ur aurait ouvert !«*»* y<-uk sur les brillanteit peri>i>«ctiveH «jui s’of­fraient à leur travail: inaU e moyen leur a pratiquement man­qué et ils ont été entraînés, com­me tant d'autres, dans le courant commercial par une instruction puiaér dan» des école-» od l’ujîti- culture ekt le moindre noucl.

" Voilà pourquoi la Terre «-.t • ban lonnéc d«-puib vingt ans."

Comme le bruit de la reprise des relations commercial*- entre l'Angleterre et la Russie rc m no nce à courir. II est intér* .-^ant de reproduire la résolution qu-- ’■ ('onxeil «-xéeutlf de la: -de» Chambres d«- commerce i>rt tanni'iues avait adopté, et qui fur alors envoyée au premier ministre

i au pr^-ident du Hoard of Tr.u: et ;*ti Foreign Office. Ott* r. !.i- tion «-«t ain^i conçue

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prell . •

J.-Albert roiSY

VIE CATHOLIQUERenaiM«Usance liturgi­

que

reliai, Ijses , at iioliqu* flueti hnireuse sur la indigène. I^e "Montbav cite a ce sujet la lettre

tue m-ition

Kxa miner" d'un olo-

quebli suffisammt'nt la bust-

la» «ongr»-ssur hnpi«-lh- rll« s prét«*Il«lcnt s’ap- York a attir.i

litiirui<|ue «I*- Ni-w-un grand nombre

pu ver pour revenir à un ét;.t «le choses contre lequel subsis-, ^ /onrr,K',s,,*H r! ,1’on ’!',:nK,

h-lll «i«*S grief» très l«m«i«*«. ! nent une r*-natasan'•• liturgique.

Il serait plus sage a elle» «l’agir «le façon a ne «lonncr «topti'. lonstempa par lesprise a aucun s«>upçoii «h1 partialité, «latis un «l«-bal de pan ille |

i rl> n • > ' l«t* communauté» quiiinptn .1 U «. . - . i ont contribué davantage au ruc-

L opinion publiqm s«- rmd volonti» rs a 1 evulmce ; mais cè„ du Coagr^ HOnt les ljjirne> dtJ« Ile n’aime pas à être bernée.

Jules DOHION.

Un homme qui patauge

Sacré-Coeur. mais leur régi*- de ! clôture ’en a empêchée» d a-si-t' ' {aux séances et au\ rérémonlcj qui ; eurent lieu à la cathédrale; ai'ifM.

pour leur faire ententre la tnu^i j que liturgique, qui accompagnait •ces dernières, on Instaüa d ins 1:. i cathédrale un appareil él*»ctri<i*i J en communication i*w>* leur m;* • «on de "Convent Avenue”.

I.undl. le 22 ■ovrmhrr 1020 (’.omme on le sait. It's Anglais ont fait ht con<|uék* «h- la

Pah'slMU' « t «»nt déciilé «l’y « \«Tc« r t«»utc I’inlliH'iKV «lont ils «lis|Mxsi-nt. Il n’«-st «loue pas « hmnant «juc «h-s la pn-miérc mi- nutc de la conquête, un Kvé«pi«- anglican ait ét« envoyé à Hag- dud.

('omme h- général coimnandant. comnic Ih-rlH-rt Samuel, I 1« princ«’ «l’Israd par la grao d«- r.\iiglct«-rrc, »«' lord Bishop j a voulu faire un» pnihnnh' impn-ssi«in sur les chefs spirituels tout» !«•;♦ membre* du i*nrti r«*pu «|* s races asiatiques «!«• cctt«‘ ivgi«>n ; il a voulu «lés le premier! u,w‘ T«d»é*s»si.»vH4|Ue »i>j»urte!ia- • moment, leur faire v«tir sa magnificence, sa spU-mh-ur et sa condescendante supérutrih

La députation catholi - que an Tchéco- Slova­quie

M-nrtO-ur* «•« «l«*|»uté<. - ih*-imlnlres” « catholiques * l.> lî-no( Tchéconiovaquie | ont ré olu. r .* l’Initiative «k* leurs col!ègu*-s vaques, d'adrentter un app* :

à la Slovaquie. Cet app**l U- tr ! mande de s'opposer énerglqu'

; ment à la campagne lépara») :«Pour cela, il ne trouva rien «l«‘ ini«-u\ «pn‘ «l’envoyer une menée dan» leur province hi :•

l«-tlre très courtoise d’invitation à rArelu véque «lu rite (’bal-! chrétien» sorianx mag>ar» *•: .1 déen et aux chefs d« s diocèses Jtie«»hite et Arménien, les pri- m“nJ; ^ant «le venir prendn l«‘ the avee Sa Seigueuri. frauheimnt duj(<% adopté„ ;,ar Ios arrivée «i»' l’I-nd»'* ; l*’» autre* parti*. s’e.st organisé

Or, il ll’y a «fu’un seul a relie V éipu, dans Cette région <t dan* le cadre national chacun <l«-s «lifférents rites le |M»ssè«le à son tour. D’après l’é­tiquette, un évêque ne «l«»it pas inviter un .\reh« vequ«-, mais lui faire visite «l’abord. Aussi, l’Areliev«spn- cluddeen sYst-

ApostolatIndes

médical aux

il contenté «le rép«m«lre a l’invitation par un«- li-ttr» toute .«us- si courtoÎM' et «IYnvoy«T au thé «le Sa S« ign< uri»* hritaimiqiK. .son Vicaire général.

l u projet dont le but i-s' «l< fonder une "<':»tholic M-d .il \ »)-lation for India”, un*- \xso tion médicale caihollqu”. ' t* u

# „ «l’être lancé, en Angleterre, i a r ladoctoresse Mnrzarel Lament, .ou

Au jtiur convenu, les vicaires-généraux «les dilfén-nts ri- .ortie an «athivii* lame. * omm. les, en toilette île ville. s«» rendent donc à la petite réception rote^tante. la doctoie»- l.amoi • intiim* «|u«- leur faisait I’Kvoque anglican. Ils furent reçus militairement, à la p«irte d« s quartiers généraux du général commandant. « t intn duits auprès «l«- Sa Seigneurie anglica­ne qui off rait le thé.

(Jiudle ne fut pas la stupeur «le ces ecclésiastiques qui avaient t«»us fait h-urs étude» th«sd«igi«pi«-s à Bonn* et, par lej lait niènie, m- trouvaient parfaiteuiLMit ail dmrant !«• I’ H- «piette occidentale. «!«' trouver réveque angücau r«-v du -L la chape «!«• «Irap «l’or, la mi* c sur la t h- « t la ctosm- a la main.

* Pour une réception intime, l’apparat était uu peu compli­qué. I^-s vicain-s généraux surnuuitèrcul leur cnvi«* de rin « ! acceptèrent le thé avec h»ul«- l’aisance «pt’ilj* aurait m«m- Irie s’ils eussent été a Londn-s ou à Ibune.

« f«lt i*arti«- d»*» itieslon.s mêdl <s prot«>stante* *>t .11, \oiidr.U*

. : ; nt cnnHtutè l*»ur ., lion, et.* <lir .. MI*m]o)is domblu I*-- p.irtn i.-» *- Uo!)*|vl'a I. Aon ra :i i'.'t IK-aolt X\' l’.i i. . i d«-ra:< ii-m, et a app'ouvè h*»m pio. t. a tqi , iCtt'K-n .• *en? ’->• ardinnu\ «..•«jii.’» *'1 UiiHpat r 1. V-.ho .itl '?* >• . «1U* ' 'ft '.**raif . i r .i. » \. r <1 ••» ’;i • 'lu.-*', et aura f n t'** .. il . .*et i**» «’nns.'Us priMiu * iv où ! c

:it . cl* ,u , ■ tnedlculseraient ic;.). «-pt* . i-:;:.* ,.>inj» «'Udra't «t**» mè'ie Itth, homu i «t f mm, s. .1* s i* d-» tttli

Tou» le» membre» actif» de ^iatlon seraient rémunér* » âbiement" ?t logés gratuitemeii'.

I.e* fr»l» *«‘r»ietit fait» pjr le» au- to*ité» dlorètaino» et oigmenié)

»><*l <1** l'armée indienne, qui écrit d** Mu»»oorie qu'un h*> »lta où d*’» religieu-e» euthollqu*-» soi» ne- raiont • * malades s.in di-tlrn i* clasto*. *i.- religion. ,!•• c*n !•

• t «k- ra'*«*. ,»t où > corps médi .. ««-rait compé'*>nt. dcvlendt.*:* * plus populaire des bdpjtauf.

EU) point de vue <ie.» f. ;uuu i «l**.s enfants surtout, .ette Amo* tion aurait une utilité prati re» grande: 1*-» unttges oriJ-nt,.

rendent la femme oriental** acco«sii)> à l'influen* *' dire, fv missionnaire; .-•IJ, ;, s. r.iit d.» a • tage a .elle des rtiicj«‘u8**.s m ,

: ta Hères.

Congrès de reposlolat delà prière en ItalieAu Collège américain du S

t f’rati di Caste!iot .-Vst ouvert, vendredi 16 «»■ to r.*, 1.* t'ongré l Oeuvre <!« U Vpostolat de la Urt* r**. fond«H* U y .» •*nvlron un d*-tn >iè* le à Toulouse. **n Fran* e. •* axant dè» |q principe, pour lec

• Menslon du « ult** du Sacré-Co* r• t i** soutien le toutes les oeu\r qui > y rat ta h*,nf, , ,*nuue p.ir **\*.|!i i'*e elle, assez récente, d** la i'cratimi «lese Famillee.s au Su* r

Coeur de Jésust.a s«'an«c d ouverture s’est faite

ian le vaste -a Ion du <’oll*. tant présld.-nt honoraire le car U

nal Masllo l’oniplli, Vl.alre d* >•» 3 »lnU 14 v talent ».r . t agiano *le \/.eve.lo. plusieurs <<\* |U**s * t prélats. |** H. P. I.edochow kl général de ia Compagnie de Je us . t lr U P Vigorelli, général d

Cler* s régulier de Saint-Paul. *.ir e**s leux Ordres ont le idu- lai .m. nt « ontribué \ |u diffualon 1 c.ilt** du Sa* r* Coeur **t a la ou -•-.•ration t*»s lumtlles au Coeur *i* Jésilit.

Ktaient prtsents ph,- de ùo«> d recteurs dio'-énain* d*'s «liverse- pa- ' ••s d'Itali** .*t au-si un gr.m I nom

re <1** rélatrlce».L.** I’ Venttirlnl. S. !.. a pronon

*• di.** ours d’ou*erturo et .* dotin ’-• ’ ’ i’nne lettre M’Itographe !• Hennit XV l.o Pape bénit -Cu'an

c* les travaux du si opportun «'*• gr* s «-t 11 Knuhalte que '<* Su r*- (’«•••ur «I-* J,-m - fn-,. * au i* \ J i e . M:.* lia. qui devait le pré-ider.r. cc *1 uu«* prom 't** g t* rison. *

qu'il puisse reiT.-ndr*- ; fruit *It -.ll«- -on a h stolat pour !a , **n «•ration des Ta nil Iles au s* r« o ur

C* I te lettre l t>- ' t til* n* ,ipian.il**. Ktituif* out *- 1 • .d;s«-Hsslons -ur le ditr |. |,*, n nl»*r* s i,* favori-or i*- vy. i . t P* \t« n-i*in du 'Tille du ‘ o* »:- > i cré de J -ti». daim tout s I* far •-s * itliollqui

C- P Yenturfnf a Pt *»*’s-.itc ut! »-\*c'!.nt ra-iport -ur For .n. tliou •I** 1’ Vpi s'o’at

!«' véai*-*• du »*•« on i o r i *t l<rés: lé.* ; ir le * :*r : *1 -'harrcttl

On a pris ties r<-()lii'fon» ir 1* s

Nous sommes heureux de po i- voir annoncer iue 1«* R P. Morpe, aut.* ,r de 1' Mi.-toir* le l’Fg-||se ca- tholiquo dan- r()u*-si .-anndten ", « ho.. pr«*s*e une nouvelle édition, enti* r<-ruent refondue, considérable­ment augmentée et corn piétés* Jus qu’en 1Ù16. au lieu de 190c. de «e grand ouvrage. C’est e que on auteur appelle 1 edition dôllnltlve,

I qui annule tout's le. aUtri*H en !eu corrig**anf Sa préparation * coûté pa- mo:n- le i\ anné** d*' r*-* h* r- ehc * t do o.'age- \’i: d p**ut «»n la r* «carder .otitm* l'ouvrag** <i ui r* -t.*ra, et dont 1* - pr* éd* nt<*- • «h tior, n’étaient qu'un* imparfaite ébauche. I.e nouvel ouvrage d* t être ç;i p.iatre volumes. <*t la "ni nie total* d**- ma'lèrç* qu'il ' a con tenir est à peu pr< - le <iou.>le d*- colles qui ont parti dans Je»* troi-*

,rjvolumes que l’on connaît.

Suite de la page 1vouement dont elle» font tou. le» jour».

Il faut connidérer • omme utile «*• qui a été fait maie comme e*-

• n’ici ce qui reste a faire.

S. «i. 'Kilt U«»Y

Monseigneur Roy lit Chistori- *- .* d<- rilôpital J.aval, depuis «*moment ou fut dé* ide*- a t*»nda tion II rappela l«-s trois aHfiaut*

«j i’ll fallut pour arriver a «rrganl- - * •• l’oeuvre, d’abord la déléga­tion et ru.-semblét* au Conseil d*» Vliie, dont le» r«‘sultat- ne furent n,*» très conRldèrahle-*, la d*-ixtc m*- lt o iHTiption r* éc d. quel- qu*« partlcullurs promoteur.^ et a- ni: de oeuvre, et. enfin, en troi ■‘lém*- Heu, la grand* ampugnu lancé** par les «'hevaPers *i* (*o- lom * qui rapporta environ < 1 *>•>.• 00" Sa «îrandeur -♦■m* r, ia ti«*s v1 v ,rr e n t le «’hevalb-r io lotit le dévoilement qu’il» aval«*nt appor- t, .i i **tte * ause. U <* feli*-ita d a v - u*n répondu .* son a:v*<' San 1<*h Ch* valtcr- <1<* Colomb, rilùpltal Laval ne serait pa» qui • ' I! remercia I* - R* Mgi

d* . bonne» oeuvres <ju elh ,* - rom ,'Hs-alrun. *-:i soigna t l* r ma ludes et toy ant les u* * • - i** "o* .v re dans le- condition- q r 11*.* c i» a traverser il s* du confiant *1 j ’'avenir en comptant sur !.* «ha té p'tbliqu* **t ur l aid* d* s »*i-j toi tés municipal* - *i pro in* ia!

rants «1** lu Compagnie ont évalué l«*s dommage-* subi» au <our* du dé­sastre

\TTKItltKI|

IM. <* S Marceau, propriétaire du magasin Marceau a CI**, n était pa- a «Jtiobe . lii**r matin. M. Mar- ceau était parti. *atn**di -oir. a mi­

nuit. ;s»r l’Océan Limit*’. **n rotit«» pour .Mont-Joli ou il allait rouira visit** i son Iveau-frère. M \ -c laindry, qui e-t gravement malad Prévenu |)ar tôléphone du -inisti

^Suite de 1« première pegtjles magasins Paquet **t l.allb**rté. tout en protégeant la vie de leur-* homme», menacée par un danger < ontinuel.

Kn •*ff**t1 dès que le riamin*- se furent at laquée* aux quatre ét ,g* du magasin Mar* eu i et aux doux «’luge» du 5. 10 et 1 et», cll»*s d* V| Mar* , au aut.ilt dans ! **xpr* * trulnirt-m *-n peu d* temps to it l in- f'’ arrivait i t *rd d.*n l’aprè.s-mi ,* térleur des leux établissement» *'d’hier p. ir trouver on rnaga-ln • « bientôt le» mur. s*> mir* n* .* t*rar.- f ^no1er. ! f'*n arriv ant a «éué »e . M Mar*

Le * ue Don*ell ivertlt «usait ” * ’ • : • ’ ’• 1»• s iiomnie- peu d’instants a >r* son avertissement un i:nm«*n *• ‘ r.«•a- m. lai .lit entendr*'

L** toit du m.iga-lti Woolu > t venait d** s’écrouler. • titr.ilr..*• partie du mur «lu m*^i in 'Lr-

< »-a u\ ir*v .*v oir c*«n ta» •* , in .

meut aucun pompier n a-..*it *•,bl**-s.- lors de 1 é< rouicm-nt t* . hommes de la brigade lu :< i re­prirent leur travail .*. m** n**velle ardeur pendant uu* ’<* fi,* i tn*-s »etnblaient red<* r d ne ment.

Vers 5.1.'* heure- « nouveau *ruit s*, fji entetidr* • ■ ••tal» •■*

mur lu magasin V.ir, • .* du «I** rêtnbliKHement l’a •*. qui

•* i liait *1»' -’écrou’**rKn tombant. n, ■ nt un*- to"

»r* -ion sur U* m ir *1 i magasin I |u**t * t * au a q .*•! • n^-ut

I* - ruelle.** li fumée très )«*n répar üf. suivie <1 ur* - par !* f :*

r*,n<llt d*gasin et devant !*• . c* ta* • t* r-hle d** l in* endi**. «letrul ato 'mit «l’un la!»**ur d** *i un rant* I* uns. il éclat.i *n -an.••«»*.

On n** ait pu * n* ore -i M v eau re* «m trtiiru *>n mu m r eja .em île peu probable

s' Mpt mu s

Le» par«*ls.-|e*.)» de SC <• * *v ■ e n de «u . ,e >n* t- du malh* * i

har-' f’rr " ',:<r • i . » •niHga .lu Wool w ort

N la ur *•)•! nv i*

Ko* h »*i

M

I L l*K l \ l < m i;

niesOisons de uit*» que

d** rot*** Mon • outre le Ci** Pa j .et. 1 «

s* i* truction Kn p* . le re

hierRo h.au\ Kn br:«i**nt «•onir ri " Je dol der -, *- VTim.n1 v* - ,g»r matin”

lr*• ant

« n t - Mari <1 ai

udi

« dit: muit-

1*r«iu- le o

M ly Ikïcteur Fau n*.-r. quun d*-• -t-CKati :r de- p* m‘* * - démarelie» • ti faveur l* l’Hôpital Laval, d:» m* uu* - mots en i qualité d*- (îrand « bexalie d* , «.. dit t p** ir r«-uit t* r le-* ora»e r

{qui lonf pr*-cédé. à s .,<*nn«s ,* * ro’e» qu’ils ont dites .* l’Agarl i s <’hevalter- le «’olomb. Il féllcit* celui d’*ntr* )•■» Chevalier» qui s'eut 1.* p u - dévoué pou ott» ueu- vr*, M I. I’ Turgi on.

•» t>n ««t \ imprimer le premier o- tfjme. qui aura pour frontisr p.-d*-*- lettr** a* signature-** autocra irii«*s. de trois «rdinatix <|U'on peut considérer comme déjà historiqu*\ -avoir le,-.* cardinaux Rampolla qui sernit devenu p * io «.an I inter vention le l 'ntrlcUc Kabonio. premier |••!égu•■• apo.-tolique ai •';* nada. et Merry del Val. le r taire d'Ktat d*> Pt** X «”est dir, -i l'ouvrage est d.*pr*, ** *n ha'it lieu. Chaque volum* era liv re aux ouhcripteur» .« i-sit*>t qu« terminé, e coût élevé de ia v :• fnn;an» l'a . leur à publier cette foi* par -ou ription * et te maniéré, on -*-,

Cru mom- b* pr;\ de- volumes La premb-re édition d** -et ** .-

^Mge a.'ant rec.teilü jffraginanimé» de la pr* --* **t du pu- lie, on peut se faire ,no id*'e i* e que doit étr*- le ’ no i ■;* i . q u’on

.«nnonee comme inAnimeni -up •-ur. à tel point •m’il doit • ont - ir k peu près le double d«* la ma- -re parue lan- la premier** é*l on. \u-.-i

io-ite que nome i* ivt ir* qui po-'*-:*-nt •cü.'-'i |*eut-• * re ceux-là en-or*- t*lus que le- i; ir.*~—»e feront un d<* «ur d** -ou - "Ire .' ** qui doit - tre .n ouvrage ••Ilemenr nou'.m \lalgr** e *>ùt

M. I..-P. I l IK.KON

M. Tutc* on ré pondit a qtjelqu* < mots, rapportamérite d* l’entr* ris** jrCbevalkr» de Colomb « n

i or» en tout b-

fous b - généra

”<”•-» b* t "o:-iCm* témoignage qu** nous recevon dit tl. !.. *r* niterfi» l'honneur d’avoir é»* deman­dé» pour i»r,:ants**r * tt** , .impagn**. Io second, au l*-n*b-main lu Jour où no-i« avion fini la collect. . U atiafu tion d .«vo hc* impi notr*-

devoir. *t I** troisième témoigna g**, nous Pavon» .l’tj***] <rhu*. dans cette réunion, «le toute» 1**» per­sonne» iu'ér* •**- .* * ••tt** oeuvre • t les bonnes paroi. qu** vous pronon *-/ a j .itr* * ir* s* «”« -r I* d* voir «i* - < h**v,i]i*>r- d*- Colomb«le s»* mettre à la disposition de

n avons nous au* ni 1 nuto.it** < * < l**»..»-- ,qu.* * ; d aider d* no* le b-irs o. uvres autant qu’ils !« ,*• i-

! vent Maintenant que le» citoyen» ont fait leur part on attend quo le gouvernement d<mn« un** aide vraiment tangible afin qqo po-, pui" a»Hur*r pour :• popu*«tion

le sy»t* m*i incendies

prér-en ** * i, f r* •*

r* oir <i** t .'.no" g.-*! ,»n • *1 * **l-'*.*r-i. :>«•• un** centaine i........un fin b* qui ré,; >i t :.iir reculer l é’ m* nt •»r l’-tc ir

l.l III M \ITI5I**I

Enfin, ver- -• ù heure 1** feu était miiltr -• par les pom 1er-, qui au 'our*- de l’in* * ndl*- -’étalent r**m- ,*;««'* le t r, a ■ lie r**% ,*n î r ' - ,-*' res

Il .• .«v.iit dan- le our- ic le jx magasins en ruines me «i g iml-

ian»lt** d'*-an q :*• 1»* * h* • : * -mit pa* à s» s homme- de » nv.-n t ir* r dans 1*-- maca-in *.*t il ,i« t tr*’- dang**retix de s.* nover

Le- ponrpi* rs *>nt continué toute a j"urn*v ,t eombattr.* Ie> flamme lan r ime , » tard dan- *.< ->»

i • il é* *i* nt * n* ,>r*' u l’onvrar*

I.» •» Itl.l Ssl -

m r* r*'- u *»• n* - i* re a -alnt

F-.*n* o: \ pour r* m«'r*-o*rI»,. I .* oir *'parKné d’un*»

r * a -t r*> • *«• l’rlons *»iin> d* non pré*. rv**r d’incendb*

a .* **11 r. irfo'it .» I «pproc'.ie -d «.r*j . « • * qui s<* pr* s* n»e devant.nous.”

Durant t * .t 1* **mps où le fe*j .. ait r*^**. M. le ,-ur- ne ce--a.I , *r** .« i >it vositinn <i<* ceux qui

.« ."a • nt • .* **tr . -otn d** on ml- ni.-tèr*

25e ANNIVERSAIRE A STE-CATHERINE

1 M II».I l I

N Kl i* Ht < .K >1 l< « n t i;

t rit t i:i

i \M.

I.'IION.i. xiiiu;

incendi

•e N*

fuel du pai>ier *t !<* la matn- • H*uvr«>, t| •-« toujours 'acll** d** iver un*> «omm** <lej« .*,* ‘norm

md elle e-t dLi- * <*n quatre \ propo-, et comm Irdt *• ,1* l'-.m

tuber* liens,v oir faire

un endroit soigne

ou pou-

\ u c*»u r- ! l'.ompicr 1..*p>*t-

t*l*'--ur**- .» la ’leu . r hl«

N’ad.'au, po » * Jambe»

F i’oulin. i Jambe».

ili )‘ Nra ’hie * t '’pi - tiles- ire- moins gr.*.

IMusieur- autr* frlr* nt beau* onp ; . l’.-u i glacée plètement

\u maga m P* i. .-ndi**. on s. r v ft *1 i 't**;)-. 1.*- pompie* attiré 1* - féll» Pat

outre le r.«*u» d*"<

i ure- pom- iv .«nts : de?-é ai’K

,• Noont

vm.*i«froi-l-etai* n»

et, durant i • .* f é ehu uit b* trac i- d* tous.

* n-.-

»oUf-de

com-

1 i*i-;<i «

«il v

I l M \Mtil s'\|s.o\

rtance du fuit qu'il

nt pui»|er * as ion

nouvel ,>uv r u*:*- n**i nu 1 s’imprime ur d'ex «*|-

*■ t >r qu. , \,ir* *)nr

Tu parles

I ,*“j qu'il ; Mai'*

v al ii ’ • Lava

» - IM IM » s

>• !•* seulmotn- d-

4—" .'.'h,.* Ia* -oleil

n -i\ h* »i-

l ne gran J«* renie . o nilfi*j.i** nnait. tlan*» t*n 1-nii* t numéro. ren»eignement i.v .nt - L’Etat du f.ibérin •

•oint Ju glone. , 1 *•ills*', où l’on pe)it -* pa*

;.iges et d** montr * lève lonctucll*nm-ut

r* - du mutin 4*t -’> . . ic •• *-me ponctuulit* n -ix

ir tout» r«nn- * 'prennent si vif-* à

e .r ,» i - * ,.*> -n on•iu'il F ur prrLe rar«-m trum; * r l< <|t! l*|t •T*i parle- d’un** pr

Maire Samaon dit « nsuite ! * ot ^n "Ht pa- ic en s.i qualité do ! l)r^

I** tjuét*.'.* ma,- omm t’!».- ! **rD- b la n .* de «'olomb. Il ,.»t bien dis- t** *1°'k d

• •>*-t ! ’o* j v rs j. I’M,,iqtul I -vnlue « $’. «’t il apprécié le bien qu’fl : L*

•ait. «'* i 'era **u on po'-ibje pvur! l*1*' «f** .............. pi'ur le -t* W. .1lui '.lire » ot* r b plu.** poasiblt pur

-u-freux ;* *.V)-'< d*- dommages r*'- r*' slilv.ini** :

M;*" • ;» u A • •tait )*••>. i*t i«* muga-in à a- - irane* - n** sont

son conseilv re ou tout qu’il pourra

même autre

» ** • ", .

le s«»u ,lu pan moyen •’.Ld**

•t»: duhabitants > ontiaft re *1 u soleil nt do -o

-•TIMIM* •, ■■ t- on * l’a *

I’ **t d avi- que ette * ampagne anti-tiih(>r«*ub*u-<* m* rit • la jdu- grauJe attention !• lu ur» li m gouvernant* et. à l’hiurc où le y«M»-«W0i Uiont Tas«*h«Teau s; t

K g'u i .lit-;! - • ;,. ,sau* dfv. r» d p. ,*

•léBPfntv. r* uleux. il n'** * Mxmorttaf d** lui

« J.( (**•*» pu .1

1 A* - IS ti Ur*-r>r*'s*‘ntuit ine val* Il «■•uit assuré à N* à l'édltU-e il appart*

e- tKltisse-ma g a.* n Wool ^ ort t h

ir 1* « «» Y,*rk vjuutit liait pour um*

4 ■ -'W* ^ v «a x a,

tfg,-

%'«.n Thor o-.t. ij*i j i*. r

rappe .*.•a* avons *.« nos .ortes m**

vr, fotirlso uar le» niMre». .q lodr.s. qia a besoin d*

put

oeu pour

on a *

moitié l’autre

! !..ivoi**I mi ran**-on. *• o:

| '.*» tipour *Ip»r ie-I f.alie* r

r» •

la « ;* Mur* **uu .*t ,*<»urM Félix luivob* MM. M ir • n . a vai* nt de- u -

pour 1 ( valeur de la mai-• o *m*o b a* un • n > iron

l’a * ;« t .i 1* - dominas*--• o.ii ,i <i*ii*.omi couverts tran * - u a ii-on .1 -H

* ir * j ,**"" •» f ên.i'Ou . tn«*ii: ar e a--uran- S lr .1 * 1 '•’»*—g* po'tr*• 1*-fni* r * pour

La >, t . • • - Ste-('athei if;« . *1** "J 1 ' elle * * i , * * ' J ■

âe annivi rs * t • I .*rr • * d; ■ ■ . j, ,,

,» > i* Simé.vu f l' • . l»e bonne heure i ;r. * ;

tm un air b* fit* .r I ant pirois-e.

\ notre po.tu'.ation - d** ••’•»* r c**lui qui 1* ur j > tant «le bien, étaient v.*;*i jotndr* *• Rév I*. v;li,*r, M MM b*** al* lés N J l’rot» A1 photi • H* u u'iion - *f Moi»** «lo-Heltn. 'I. et M nie |e*m Hart" uu et leur» deti m i»i»e. les >1**

1 n grandpéchés de s*exprimé b*u pouvoir v pi

V neuf h commençai Jour

I.♦• R* v I* Mlton chanta la gr»n*rme»:-. me»»*- il v • ut uéoéd trlhution du pu u t>* nt

I n * !io* m pir, - •»? «t*-trunicullst* - •!< nom i en lit

-, a- • mes « du -**< >nd i Dam l'a pr. h-midi à ” heu

1»arois»ien> pr* -••ntèrent .'* e-tlno* pasteui b ir- n-.n* •*r. niug* s ;■* «!• Joli- cadeaux

« vi Clovis *;<• Kn.marguKlici *jui »e Jf- K tirprêt**,

Kn termes heureux M

M * Nu po­

ol el 1 yu*-bc, nom br

• r**n lr** û la urand regret

• ndr* par» •ure- *•» d<*mi*

dans tout** -

M,Du

■tion

la

ne» l »

. 1. urs hom-

unca-ninter-

V isible-

n

De vu ni lu c«>iiteiianee uiBéc tie sex vi ,i leurs Su Seigiieii- diplômé* ». t.-rie anglicane ne sve rcmlit pas compte encore de la gaffe iu’il t’ns* rt! f‘s d'* rl —avail faite en recevant avec chape, mitre et cr«»»se. et il fallut «|u*il ajouta crscore. un discours «le félicitations et de voeux «l’union pour l’avenir.

Convaincu d*' sn supériorité, il ne se figurait pas «ine ces . . . . ^ ,vimim griirrmiN ih* I An**, pussnil avmr vu du mondr au,^- ,,, ............ u 4>m:ruvunt. Le Hh’prii, Il se leva pour parler. auraient le droit d'avoir kur» etr

1cli«*ni!i partieqllcrs. do mémo mo • ! le» îiiflrmlèrea. à ondition du vi r­

ai « ii« i»* * i s- *" »’ ali t ou nt I it*! min, .Il s empressa •« i” «iM* " av. • eha « n" t» « omihin.’e le M .*A „ 'res lumiiii» s à pn’clu r l’I’viinuiîe «*t à inaiii’.enir les an.’ietiiH’s .r,r, mg d . nu-. r ima .o» i tui s traditions npostoliipies. Il preclamc pie l’entente mtltitelh* multiu].*» de -ett.* organ moi,,..

la c«opération «*iitr«* les .tiv«rs«-s r<iiv«-s -’liréliennes -h* r«*sl i'*’1 d«tinerai» u ?v mede in * o-

q ?i i in«iiitr** lo lien iiitim»* existant outre I**» doux o* u r* - l \ •«* to'at d»* la Prière ot lu <’on* \ ration l*-- f .*mtlle'< au aacrê-roeur

I,•*•* Congri'seiates .** » *• t * r. ilte r unis dan» la ilia'-c:;** ,i Ion a lonné la béné liction eu. ha*-ist; , ir

Juurnéffs m ci ^ ^

On «’est au*«i é*en lu -,:r Idriur de l'tieuv re ’ 1. • M** . • r lu .- * té-i’o»*' r l». -i t’i- ir** S aï|.-*l .»

' i -! ■ .1 i *• V • 1 .*< t :i*U ’ ,our*’ laits i’or-anf .**1-.

I Kn». Ste .. pr; la ur**!** le R i t » sm uaufe !** 1

dimanche matin, à 11 ho*r**.**., • I.* Pape a reçu on audien *e ‘<*l* n-

i • llo |**s «’ongresitistos i > |'a * !a té •; *. !ili»m* ut «•^ •^linl a*- ••* m. r* - r ;• u il* : un v ,i,* * | noii XV qui tut b* »ron:iM, r le

i- ar*l« ut *!*• j* F m» v* •«•i d* - milic-e au Su-r -«'••i ? *

\ oult*/.«voUH ouf riitlre parler •lu ( ommerre < amulicii.fran- çai*. de l’usage du français d.iii*. b* «ommen-e, *U* I' \««o- li tiion * atlioli«|iie des voya­geurs d** .omiiiene, «t«- %a pr*>- pag;«nd<*. des retraite» fernuVa. de In |in«li*|iie de l’éeonoude, «k* la v i»- de famille, elr., *|e. mande» •• Jouriié* s Hoeialr* Hllt* *1* - ('**ii le- < al li«i|ii|ne«

• t. - x <*v «t• * ur» il** « •*iiim« i * e. .-'«I -•m- tiniiei*. au s*,| i.iarial «te* «Il nv r*-*. I»i.**. nie H«e.\nu,Çlll**t*e* . « .**♦* i D2«».

f I ,t'0«»I d'a-aorance-

'•ur,.*) dar-uranc*-* ,|« M , «• ’ K ment « ôte *•.*) 1* plus Int*'- ! res * <• dan- * et Inreuib* M t’ôt*

* t'ii.-sé to'*te la n lit ot toute la o rné • d** diman h** *ur U* théâ­

tre du ié-a**»r**i x ! jmmag*'» chor l,slfbertê

t, n» e* i a * - *r la fumée et l’eau «’lie- Laherc*’. photographe. lev flamme* ont tout détruit ainsi que chez Félix Marois

SANS TltW \ll.

men* «un: M 1«* < t) répondit cette adre-.o II -Vm; ress» *1»* ni etc le r Dieu le lui avoii donné la sublime vocation -acerdotab* •*» i*v l’avoir »«-i) et si bien pro»* Ju - nu à ce Jour, pu:.- il u*! *•- .* a - « Chers paroissien» -*•» sln.êro** re- mer* iement» pour le génér«*irc

v '..v*) "eO-ip'*’» ’ •,■) !'.- ont tr o* - itro leur pasteur

\p-è*. cette * erémonj, f v p?ii •anquet dans le «ou hanse mont <1*

l’église pendant I* }uel l’or he.-tr« Paradis ht entendre plusieurs m**'. cenux de choix

l.c Saint-l’cre

t’o Iqn»

em, du n • the/

• Mit

l- -a .m-n» »> ' .

-ir* m endie .* -ut h* pavé plui

ii gagnaient il** ’iiaga-ins

l’a iU**tta» **' *a*l Tl

mutin.

j* te pra , deleur v *•détruit»» 'ortra'

e • u - -

Ine Image Artistique : g. N. Benoit XV, relief «toré, «e* ar­me», relief tdnnc. NAlnt-Plerre «de Home, phidogrnTiiie, . u- Konthle de» plnn hannonieii*. t .» d«ui/aine, ."«» **mi«. Te ., t S2.**V«* flan»'*». —- une »u'*a 'u **4M-e«'-tAriat *1*-* Vuvr. lUN 'II** **te-' ti*»*'. ',***• I***».

é-.;.-

79

1, ACTION C.VTIIOUQrK, U NDI. 22 NOVKMBRK 1020

*«L ACTION CATHOLIQUE103. RUE SAINTE ANNE

/«rrinx < ITHOIWE KüT IMPHUIKK *T 1*1 BLIKK AI7 XO lOj Kl>: M.iINTK'AXXK PAR » L ACTIOX ■CH IAI.R LIM1TKK M

F. X. CARNEAU, N. J. PROULX.Cér«»U.

ÜIUTIOX gt'OTIDIBXXK RniTlOX RKBOOMADAWRri.in.l4 (UN «I») .......... MOOIiin^n (.m «ni .....................» ini«»I'bU (ini *n ) . ... M.OO Kin»».InU (un an) .............I nf n (Miktiil.* (un nn) .... M.00 iNkm paatnlf tun nn) .. W..V» \ gu(ih<-« (lit. |>nr |H»r«rur») M.00 \ gui-l'w (II». |Mr porO-ur») M.OO

Tout rli.^ur .loll l'ire fuit pnÿnblr mi pair h guolv r

Courtiers de U ville

Saint-Sauveur la reiraKo Ue» humni-A.

« III KLMttlKKT KPlim \ KK

Saint-Cœurde Marie

Haute-Ville

?i

LEVISBIENVILLE ET

LAUZON

|i n qui a réduit la fracture, pul* ratubulaac* de M Fortier a eaauite

! conduit la blessée à .»a rédldeaeeT/ambulsni.e de M <’!.« Molsan

a transporté hier ipré* midi, .t l'ho tel-T>!«u de l.évfs. une flllette fl* e de 10 nn>. enfant de M H Felle-

' lier, eoiidueteur sur les train' des f'hrntins de fer Canadiens Celle

I MO\ l»F rKIMd^.

l'na (.«mille de celle paroisse q i|'lent d être eruellemem éprouvée

jest relie de M. Théodule Rol*er«e.•-ntrepreneur-marbrier, par la mort de l'un de »es membres. Kdouard lîoberae jerne homme de IT unaj qui est dé é-ié samedi, i la ré.sideu’'0. utt\TF .e de son père HO. Hoiilevard (an- v m r‘ Eelier. après quelquee* Jours de ma

| ladle seiilenieal''"’••U «* ‘ luio., h,ur„

Notre.du Patron.«te et t*a membre» do cette I nion sont allé» L , 0 hrliro|, ténioizner leurs ajmpathiea k la fa- mille en rei'itant le chapelet hier'

une trén imporianin réunion du co», TWXVin ■ >VI|Q,rA|nP mité <le Secours auk Pauvres de lé fllvl vlIlCparoisse, pour BlTalr.M ur*cnleH. i

'* <•« 'o*"'” j i DE LA GUERREToua le» iiti. S> sont priés d “tre présent» ; la réunion ne sera P** longue.

H Fl KFn

COMXEXT ta IFL.%1 MK II PKVK. TUA KX llt»l4LA\l)K. — I.K

VKKXKMRXT MOUaX. I»AIK FT\IT IIKRTI FT AT- IK.MiAii l/IMI'KKIAI. H V- AUI».

I.a publicatiou d'une bruebute

l.es membre» de i Tniou de Prié- re sont priés de payer leur coatri- butlon laquelle e«t dite en novem* hre IjT sen .ee de Pl’nion de Prié-j *pr's,i*u»idi. »‘M»rés de |» dépouille

,'re sera cbsnté lundi le 25 no\em-I bre. funéralllei»

i Himan he prochain commencsr» du lleuieiiant comte l»etkcf-MoPKe. j • a la |t»hUique a cércnionie de' qui a.’comi-a^nn (liiillauuie II dan» !

.V celtu occa- au iuite en Hollande, met en très | grand-messe sera chaulé* mauvais»» pos'urn le so nt-u.meut

| hollandais, qtii a ait prétendu («ni’lcl avoir été surpris par l'arrivée .lu kaiser ci n'avoir pu ! . uipéch »iHIKfl

\. C. 4. tMardi soir A S I "t heiire*. k en-

fiiett« souffre d.» brûlure» quellei4^01' ordinaire, réunion du Ce pôle 'ondol/an es a la uiinJle Hoberge ho,eommen.e lu retrnPe de., delà Hollande «vt les pa>s alliés

FK1 lo^FPH Itls-UN

le*

s'est Infiffêo alors que. jouant a'e de .ente, compagne» pré» d'un feu les flammes se communiquèrent A

Moment» Comme les brdlu- donf la fillette souffre, la font

Ko> •’ de 1 A. C J C

St-Roch<> matte t Hien'tllc ont eu lieu lu déraille» de M »o*epli Bia- ^

r " «••• p.'1 ■' <i t X e»»^ epo . x de, ^norni^m(in, on cr()^ qu’en'' "1 ' ’ liqutRt la st.ffe de la l'ea’i. eUe]LA JtuiîNKi: PAIKfeUMAIJIdernier » l ate de »4ans I.e ser ^ irri,t ^

v ° ,r' • At' de < an*, a ban voulu • e sa I«a srand‘meiL«e d'hier a été^'' ' ep«...i ‘ ' riflti our ramener a petite soeur chantée pa: M l'abbé \laranda. as*

•» ■ nu 1 ' f' ■ . % 11 •3 la sani* sl»té de MM.i ette c«pér,«T!on s.-a 'are dan- Couture comme diacre et sous-dta

î^îl’ir* jours »resa perte une

Ut «rund’messe hie* a été chan auront lieu de tlV par M |»Hbhé I)*slaurl. r« »»•

niain matin, a • beures. à l'églls^j (,>H véprcH par M. i'abhé NI* oie. a « e sujet «It* vive» diulrih *» . tui­le St-Sauveur. |fc| HKTKAITF. i1 re le gouvernement et réclament

Nous offrons nos plus sincèresi ce soit- i u lltsilinu-» a TV.» <i ■ ptéclaions. le* boni». , relation»

LA LIGUEHéja le "Vol K ", journ.t] socla-

lisle, et le "Teletiraaf*’, nmi «le I.»KeUique et de la France, publient V* ^TIU.

(.1 K

NATIONALECM Us !» \ N s ÎA M»

\.\ ( i \ssi: U l»K gi l ill rVictoria .......... IlCanadien HFrontenac .... 7Olympia ............... r.Irish ....................... *Royal ..................o 1 :

ian » U» deuil qui xl ni de la irap-i pommes et Jeune» «en» l n ser- étau' en Jeu l)er | mon aéra donné chaque soir 3 '» Fit effet. dana ette brochure,'

(mémo heure et sert »tn*i de !« intitulée: "Les demie;-.-* jtn.r tl-* LA HKTIt 111 I. I»l s JKt NKM tiK.Vs bénédiction du Saint Se n ment S. M It tn.tt r.-'qi .»t ni au ^l.•.ltd

I.e prédicateur «le la n-tral?» est quarüer généial" t. lltlt»:i «le la |.t-( Il > av.tit une nombreuse assi» j «r p Faure. <> M 1 allemande «I roldutr [.«nlo-

tan-e. hier matin. U k l.eures, à la. Mlmanrhe rl At tire de la retrtl* test, on trouve b intéressante» |i.me*»e dit«» , «r le l{ p Vlileneaxo ^ v mjr-t instruction et coin- gnes suixantes

McGILL VAINQUEURMontréal. I.a Idnue Na

tionulc tl<» Hotkey, aura i|tiatre lubs, pendaut la (.roc lia me sai*

son: ’’"(itlawa”. le " Canadien . le • Toronto’ et ; rububU'Mcnt le"c'^l'T la .ni,e de l’a- emblto1^ l» B>nlor. de rugby, de !..

|. s gouxerneurs «l«- la N H. I. que 11 u'1 u!.. r. tte intéi-osMintc no'ixellu a ei*

Montréal. ’J‘J, l.M‘équipe dMetîill aaçtiante du cbampionna

b

telle s et* inhum Mottt- Marte

M h on ;.« >e pour pleurer,e, Cinq t-n- - dOêlquf* Jours

M Habert

A». Ml k \ -I» de o-ird«»s. 1 1 o.-- uiunion generale a huit heure- *n.»:on d-* It .-nmmunion générale

les aobes éiagné j J**un* ^ hn «le leur re- kM'A NTS l>K M\HfF.traite I ne eent.iin.-» !•> retraitantsn’ont pu tro-jxer pla«-«» dan» le» (temain. fête patronale .!■ ' Fn-

I n d em .lo'é de ’.a Cant- C’esl M le curé qui a 'ait le ser*1 * j f inis de .Marte, il y «uia navoir demandé aux «-I ' p T’a'',-';- a^r«''« la «ommu- ; heures et communion set.« rate»

"Cinq heure.» du ninHn t iuiiH U n Ht «.’ . l" mm mi», e • Noire train

, c mmiini«iu La

I. ‘J: «I <t»m.»i.

Je guébee, a d'fait c.ratnl Tronc, .samedi par 12*1 l es (!ei)\ équipes ax aient fait - •aison s:in: r.il ir une .»t-u!e d’fa

Mont ré

dian Flecfr l.-.t-tr C’o de Ovjs mon SprM krthur C ta' domieilJé r»i Chu d*-le« le secours d«» leur» prières1 nlon’ a ’,r ,w‘ 'l-:ranr létlion le t-n la chapelle .Je* 1 r'il

1 rr Ann foitA •»«

fant»H étstt le frèrr

TMsson de» M e» X' Hrochu de r - , of „ ^ %0 ^clro^. pour lef victime» du désastreux ! “n rommun* d Ottawa _ .............. .... .....,............ „ ...... .. ....... ..... I I

.tu public..al: on le hockey, t’ouxrlru

; durera Ju» tu - ^ , ,L'eqnipe •

tfto Priglte. a «J.cq\ d" Seattle. de ,rt,t ,r ‘ hlb 'V«stmount samr

]eurl par I ^ a 12. «laus la dernière pur rtjtle. pour I» champlnnnat de I ’

"" '«I» *• »•' m-i t-..-« ............. "T.?-'jiT'ia- ÏÏÏ ««*»•' X1.^ I.-I» ■.I*.1 . mluuti-, !.. .i..- f.ll 1^ club W..,

nous notj» arrêtons dans ]» .«■t|tu «’•'•“’Oinret alan* de lu Raid Hans ., nuit o;»a- ou V-ncauvcr et

.......... ......... . « .... „ «.«■.«„,mil M lutl.-: p..., I..1

A’harle» i* N et t h» Marandi

t *.«m ! a’*"-» «|.« - .ta »on Incendie qui a au»é tant de rui-j. “ h- la < misréca? io«x d-* O rx î va ♦ wrxnTkîtra s-1. or -t.pé a la r action des ne> et prixé tant de travailleurs' *‘*n'•',x*‘ Hé du beau . haut, 00.111 l"\jrcg UII téfl!« - ir un pote;»., v :a>. qui de leur emploi. Il a parlé de la 'n,fl,nf e*-”.- réntome ------------a v » j • de« gants mou; é» to*, ha * Conrrégatton des Krifants de A(a-J 1 ;«:*rè -midi, à i heure.»

n :1e^ fl’.v ot re at t, bu- *erri-’ rie fondée, il y a 25 ans dans I* b!r H allai' périr

»nd ; n de * coin - * - non« de t ru v rea u et qui.»• » •>> ant m c.’ sx ou a mm1-1 result a'« Il a formulé l'ejpoir quo

Lé » »

i ONsKIL IH N I LM

Itemain soir a k 1 du Conseil de ville 1 •

■ u ■ es. sean<’é»x i-

l’FI LK COMM kNOFl il IlLsJ VKI>I\**

\l I*.

# —

IMtnanche. le ait l«- lionhc'tr

no-embre. on , c« v o;r Son

ttu-

monte l .tts une auto <Jon» !< .. pi»;*re* son' .teint t qe» m ». a .plienions oui e.v .u... |sieqrs seul-'ment l’a. romnasn» ut quatrb me -t anchlse. ’• » -P.'li s tr le court trajet qui t - ., tu,»,» • unts *mlent T I iMicgun !,r*r| ]yi|ccp|pour Mtteiudre U tcontb re bo! an . ..urge rant. de l’a. éna de Montréal I ** l LlJai-". Nous autre . !,uu» . outin'i:»*!»-

a e , lien, à l'église pern' qale. ]j>qnai--ane.» pa’ui»se par le regretté \tg.- (Jau*| f*0,ur** 'l<' rf''u‘ retraite I»' sermo;. Lnifnvu «• le Caïd nu! Bégin

produit de si bons|f‘,, ,,on,,a H*' n p Baousf. Les . p ëtmé ar, hev.-qu*' «iràcr a(trois J'érc» Oblaf qui s oee*ipenf ni>t|p «a||P parctl Male, tout- la

. * l'ercy I Thompson, garant dunouvel ai»ma de Hamilton.

On ne saura d fluMvcment * qui ira la frunehlse annuelle -le I rotttii. que ante Jl prochain Les

Kn l’église Not c-Daaic. ;e ni V- Jf, V . •sera chantée pour le reno» à»- 1 e ire de f<• t V le Commanieur A pheuse H.-sjardtns Cette me-»e est rernmmu léc par le mmit • l'Cr-, nxan> 'e ’ V et ton Sociale < aico- f«q»,e d» nt U iétlllH éta.t l un

, m «n i le fil ch *3'txat»» de ce coup lu nier.

»umedfil» de feu U*.. i.' Sj :'.l é»a’t . une é,aMe figure et k te» dont i!

•otr la cougrésation tesie toujours .l0. -. !. r aussi fl. risiante qu'elle l'a été ju».

qu'à ce jour, et qu'elle continue M \ r’ ,r -r rj-j. de va’o-.r .* U pa?o<««e de» grâces'! Télé - bore ' etour- abordante»

.jo»e; b d. - i- ilor» Le* xépre» ont été chantée» lateîe- !• b- :*! dar-- deux heure-- requt un*1

,n- jambeuloureu-

la eune.sse de Sf-Sjuveur, le* pupuigtion a pu voir i** premiernn Pi’ Pratt Chap-.jt et rotnolr. pa^'eur. .e bon ' t-il ar-lainsi q je les leux prédicateurs q,n ,,ortc ailègrcnitinl s k" ! as«i*taient > la dernière réijnion dî \ « heures Son Km prenait un cette retraite qui a causé beaucoup ,qla, spécial pour »•• rendre .. S.

^;de safIr'.ictlon non seulemeut aux1 *;regoin* M le chanoine Hafcixé. jRR l'ère nommé* plus haut mais m l ur'hiprétre Valllaocourt. .M

probabilité- pendant. sont q ne• I q i entrera

souffre «on

r h.» à u A quatre heure» >* deux fia-îA autres de la puroisxe labbé Martel, ass-se rétairu -‘t 'ie ble««u- ' ternitév du Tier«-Ordre ont eu leur! ’ n ^fa ; Programm* mu si al avait > nir.- nia», het a om latn.... nt

réunion, et à sep* heures avait LeiJ*1* r*T>*r nar Ij « torale de la Cou- ;,>n Km!nen«. A St-iiré^o ie. .M

,-ar la xo » terrée."Vers . beu. du m • n. 1?

train s an . » f, t* ix, ,s d - rn:.- Utl lli | l»r, » *t i-'idlJ Nou sont-m* .-• .i i; t. ont!» r L- w-jgou »]'-•lixe , »t délai h L L» gauji de hécu- r''s, 1 " ,,J,uil,on"Hic t ii ■! s nd. cond icteu r iJu il-l,i» I-1 --'‘t*'t;atn «j* p p. heutena.it »<■., * n‘' •i(a..chita s lartn»-» aux 'eux. dont dour» . ront Joureirend hommage sou roi et nous ,,lf 01 doue a 1‘,tiui.s,': ait s« s ad.eux préparée pour chaque club.

"Vers 10 heur du matin r.; ci- F' rumeurs qui voulaient quel xe de Hollande u,, |0 omotlxqui noua est Je fin1» .*• en quel-

Vespéral

très complets

r luie de joutes.I;»l Ito-

ét «'•

e-» a m r, midi

la dernière br»? n de l annive

• i.m t i;i i»i n» 11; \iri;

: A- ur*•f i”m« r iA ,>t.« ‘.n-.ifce»

s r*tban:*

». ' retraite desr.... nées a eu lieu hier

.» 1 » z ,»o Nut: e-Haaiv xcrm n 7i dames ont été dan la contrvrie d* » Ds-

: • St '-Anne La cérémonie tfvtnin*'** par *• .'aîut du T Sa* : eu.* nt.

M'*» I* \'IF'« Ml s M.LIH >

\ Btenune fillette L'ontine Le •*M*-r en- *ant • d*» Marie, font de M Napoleon P- er|pr ins- pe •t*»-,*- de-* tramw ay» de Lé-is.

t.xt» * e’i»>cr lan» me ie',le don nant » r le r«p r.ut borde la voie .’nrr»-.- d» f •> *--r-< • mi:i e’ e fl- I -e ’.enfant perd*» e «ontrA’e d*1 son •• .i « , *•* t*- c ‘au< «'infligeant dan- »a chute, des blessures qui tu Ment »a vie en langer

solennité qe la céjé. Itr* -é* *on et ' M tr*-'»néte qui a ét

bien rend’t. >. i» jlrca! •• de «

I.e» dames nv'n.tceres un.* r* union ti«a importuh'o soir, au lieu ord.natre

Beaiim nt et XrteauKn-1 ',nrT° qui a etc *fè» fru tu*'”- r* irnt rc de i to-en- > :a,< n »

s* r été faite par MM Ueo Michel »t )•.(.»„ pnir . ou luire no* . icti Ctiroux. N P et H«nrl C.iroux .etllants visiteur.-i i a Salle t*a

Le« a r stair* le la Congregation ro: •*!*.• ou !«-. u fllb.» ri-u J des jeun» » ren- >Pd Henri Royer, nie- dans la .«.« .:tt* rmcdta t e

• ront F Tessier et Henri Du< hesneau »e entendiren; b n ,,r u *-r. » p-ro —-oot multiplié» au ours de («M'e », -.,-s conseils t ;> a! que» e' r -retraite soit en errant le-, mes r ^ ,r n' la béne M-1,ot de Son Kn.

(JtlfS • - •

N ou.»

inititMes noux iikt-fronit*-

xo,xoi,s notre

t"-tgnon» tu d i.;, .«

• *t • r - .‘u,

* e

c t les Sa! :*s lu »otr.tr s FM AN I** l»F. M \!HF

Très xe’.le e» très to'jchaute la

l‘.l iruil i*l *• -IFI N F*» I I l.Lè «*

u/ t r

retraite Je - * une fl!>» 1onimcocéi . hier .-oir. A l é*

i e Not i e-l»aine. File e*t j réchéé . r le* ÜR i’I’ f'onan et Queuii-

A St-Romuald

rcur ta,te les en* -i* sur le qit i.L*- couxeriirur boliandai- axa:

RB • . 'I'• novembre, par *on consul a Bru xeil-'>. ,J. la résolution de uotr* etnporrtir. I.’em;cr-ur axait au*«- dentand- t.- -gra hiquem* .it 1» rein*.* 'autorisation ri p i-ctre «•an* !• ^ en qualité ii». -ini**leartlculie:

L'empereur fu

b , h. • St-l’afrl* k d*- Toronto.) fut p., - aux main» de Kddi« Le- « ifpton. et l** r»-. -I (Juinti. ont1

• l daree a'.,-xluntent fausses Is club " l'H'txx.' et C.xj»a-

ont obt, nu ! » pi rn .««ion de une série de partie pure

d*-tnou.»iratixes b- mois pro- t l’.i >okl> n et Philadelphie.

I •'•n"ouerUERlhaul

\l t OLI.FHF. >H IB Kl IH M»IU.

j , m K) \l IH " l '-TîMM'l 1 Bs

uence. Pui- e fut k- tcur d* s st fan*». leurs maîtres Chc’K

t.\ IH riîAIT» f»KS HO'IMFS Fr * rf ■> Mart k - *t lu » ma .*s - 1«» Bonne- Soeur» d*' S. I*»-

« élébrat;on du vingt-cinquième an-1 " oir à T «."ire-* a e-j Heu seph. de S Valller. a lam. rentnlxer*a»re de la Congrégation des! l'ou erture de ' « retraite d«|, boni-, -on Eminence dans la «aile d »Enfant» de Varie, hier , m-s i'égils.» était tout à fall rent*, théâtre, oü no* «-nfaitt» eutendent

r>st XJ 1 abbé Varan la. autnfl-' r*iie L» a.jtt-» exercice» iiiront a me«»ê tous b - dlman- bes Ar*er. qui a rhanié la g:-8nd'n..“sse.1 Leu !e irut;,:. h . ;û heures e» ’.» pré» avoir int. ressé - e» t«jut j ,a-«fsté rfe d'acre et de sous-d<àere «oir. a 7 70 ue ;re» Les prOdlea- nés et Je« avoir b* n!» Elle arr av *vi- cheeur avaient pris place teur- sont 'r.s RR PP Vilkneu e quelques minutes *he/. !o gurdi.'n

1* demoiselles qui étaient char- et Haoast. i» M !g.-e, de faire fa quête, et une , - - -............................ .......^ | docteur Koester; k

LES QUILLEST t o, ■ lntcree«antc» joute» drt

1 «jullîe» ont eu île-) vendredi, dun* e« u a la Iron- ,!a -c " A de r\»so< iation de-

.• Bu «*ni, le- estimateur» < on- •*’- a en'*'ndre les plâlntes *.; » 'outre le rôle J'éxalua-

ett»- semaine, comme suit ai di et Jeudi. 23 et 2i n* em-

d»* P a midi, dans la matinée.

La Commiss «a • X.'* axe !econcours des membre» du cercle Richard est a voir aux dernier»

> grand • < hi min i i i.\ t roixn-i«: a *'-•'••*' donnera merer*.*» . (-0ncrâ2Bt:on avaient à leur dis-

- ‘ ’ 1 position (raj ■ : i . a r. ■ lecollige {l'égüse ! except*

A l'orgue le hoeur dx s F-nfants ' f'x''‘'Ur fer le 'hernia de !a

notre train.*’ Il était 4 2

r« nt on auto. d« n stre d'Allemagne, le do«t.?ur Ro-jFrontens

fa «*!lr d’t cerde des j«-nne» g«>n.- ' '‘ l' T r-al:'' L- legation.nos garçon- *'ntourerenf

qu * «

heureet de 2 tnt H

Mercredi. 2 4 n heure» p nt a 11 1 kg autre» jours

dar.- ! jpr«

, etnt •ure*

8et

Il I 7.- Kl <*1MI N I II I I V I-

M ** président Lcmeiin a io t vouLj ffrir aux organisafcu-»

’ :.»ig-» de son maguiUquc ‘i^no ; -t cm- soirée qui prome: l’ê- ■ e n. «^ énement des plus .« tr h t- 1* ,« d'une dualne d* •'•.«*j ♦••i <■ ont déjà été off**!'" c’j p x e? ij y aura aussi ràffe rb- e et itlîe don

! ! y au a < hauts e- ni -,«■ oix h an' et durant Lx . *

!h province hu lund i.- de Lliii» bom.. je baron Von Hoex* !, de mèm«* ,u*» deux fnnttonntlreè duïouxerne:n. nt hol! indai.s, <j j* j'eu»

*à conduire l’un a, • a Vaut r» aupr* de Sa Mi«ie»té Nous >prlm«-s .»i«>r3

1 que la reine aval» mis à Lt di.-po-

uu

C'e«t M. '.e cure qui a fait le ser- exer ice mon

Vu «aî’it -olenn»! du «o.r. qui a••*» • r* brillant. **t '1 "abbé

appartenant au comte

Notre départ fu* fixé ,ni L*tr­

a­de

1. on p:*. ion Qtéhec ment t o . * < grc - d

■ tn "i c n •» régiments -t k prem. H « été or

«l-'-f: de

lu •

*)n fe,a bien de reten x!a-s nq plu» tôt. ai eii**« - enlè-

' v.i.f rapidement. De o j.,n*l ' *-t- en**» aux bureaux d*- r - .; ■>om.'i- S'-Rumua’.d. d'Ktchcm ” l«- N'**\-

tim n :r.« ■

: y lioinm? • « L*x i». nom d* R

» * ’ • me Liverpool. et chez M é ne*. :.i«rtera tl** Ai. Tou-saint, marrha-

• * n* .«• L •Ol i X IH LOI XllU

j minetuce Les bons a*'.- -otr- d** «ette -*-m.« ne. leur donna -on* la rc et* cer’- ainedi. k» comité du S« re-' ne potr en- cjip.r le i • nir et

i.v;x. satisfait leurs légi'imt .*mb.-, v 'tarie a chant - une me*--e en 1 ” heu *•» à l'cgli-e paroi*.»..*> lions Aprè.» jurlquea minute' i-% | parties. a--ec ac, otnpangement !Tou.- le» homme» en retraite .r«t ! délassement au , re»by*ère ie» ciod-OKhWtr» rrcn,|r.- . «| - ■ «HISO d' «'«mp'KUr 1, au» -,

, gltse ou - s ancieus. les chef- «Ks1 ............. 1 ^famille, les plus prlvilégl-- de la I |>n^1‘

I nf u THi: >|| ssl \ NX ItlH > fête f>irent témoins d*- i onîlr-! ’mation d*' 2t0 enfants. M -t Mme

.. . .. „■ demain matin, .i il heures 2.».x a«-.i0ti agisHi; nt omn«* _ r i. • . t j * . • . • ,. r . * ’ r ' ’ ’

-crm n Le» demoiselle» Knfants N -H le Lourl" « eau»* *!• la re- raine 1*- de Mat c a«- xipaiem la nef. le» fl-'tra.'» lr« homtn » qui v l;e j ., n «'«rôle- I» dèlea « étant plac1- aiHenr» dansjmême heure, a l'égit-e paroksia'e | de cous l'église. ’ (leurs fruit

Ce nr« a ' i n à « \ if .:es a été 4 K SlHIl I T IH-iMXIN S()(K un * ' ur« îiar.té un -erxtre pour les ment

C est .» soir c» detr.iiii soir, (iais;la salle de 1 Ornhelinit. qu aurontl ^ mi,n“ h11*' les dernière- r

guilk de guéh*-*- 'ne a eu lieu1 à lu Salle VI toria. entre 1 Ol • mj pia rt 1* X i* toria. qui a fiauii»‘1 deux partir.?.Olympia ... 222 7

j Victoria ............. . 2 389i Front rua * * # . JH!»1 Rojtt) 2193 |i Cana Ib’ti ................. 2370

Irish Canadian . . . .......... loi 1

X'a bon. p:ofes«eut de Chimie au! Il y aura en. ore eMesemiine ne Ulrb X .i«-.on agisgai ni

bre» dé ,nt. de ’a Congrégation

oinn.*» et mar- )

ouflrnic» L* » bonne*• jti Kmln« n< e. ri !xes

p.atiques porteront cbe^ nus chefs de f;»- .4 terre e,t bien pte

parée pour n*evoir j semen t- *-t donner r i jod 1 ante moiâstoLa m.mic

lions -i nettes. des «lé innitions formelles et ré *été--» du gotixer’ie- ment le la reine VX’übi uu -• .fflr- mant qtt'B axait été -urprls !*ar k» é\énemeni*

POSITION DES CLUBSl-B.t I (NIH si KIFLI.I

< 'lllb*C. N R L nlted-Shoe Teli^ranh Paquet . . .

(•.xgnêr*

o

1-14.1 F l> Fl( lui*»Fabric it,on .... N . .Expédition.............. 7Rureau 7, . ,Tallfngr . . t . .

Pour 1rs makon» ij'édu* » flot»; Le livre «lu chrétien |*m le K. P. A. I-'LFI l«\, |^nu |.« «••» sur |ui|ikr in«l|« u — .-j While —- ;f I i x re», en un »«ul

" la* Livre «lu Clirétlrn" nxant tout un livre liturgiqu et il u |m»ui |M-«*ntier luit <l rendre aux lldèfc» Pintelltc* n *«• et, |»Al‘ «uMe. rumour d- mvslères <|iii «e célèbrent l'autel.

Pa» un Office d«- «eux que l»i«*4r«* «luit «lire m l'autel e Hi* fait «léfaut; lu plut* gtatol Part «e «Je» prière*, %’y (roux ci* «•n latin et eu frnncai*.

I»e» note», des titres en f-• dette, «(e» explications préri*. et «uccincte» »ur !«♦ Temps . • le* fêtes mettent en pleine lu iiii< i«* les texte» et bs cérémo­nie» liturgiques.

• ta p»rtie Rituel rnmprrnd tom re qui regarde Padmlnle- tration des Sacrements, la t'ov. «Iuite auprès de» malades * t b-» prières «les funératlleg.

I.e Manuel «le piété ne rtinip te pas moins «ie 104) page».

Il comprend tout rc qui In- téresne |a pi«'*té eutholi(|ue Prières «lu matin et du soir >l*"'tlio«les particulière» p* m enti’Rdre la >Irss«-, Confession. fViinmunion. l)évotJ«»ns dixet ««•«, Petit 4 »ff|re de la saint. Vierge et de l'Iuimw ulée < on- eeptioa, etc. On > a aussi réuni «•n soixante pag«‘s, tout re «pu l'i-qptit «atlio|i«|ue a pu «ugü ter «le tn«'ilb*ur pour abler I âmes à faire la pr«-parati**n . l'action «le gritc».

Prix: Pégamoid, traache ron­ge. K'J.oo franco. Itemi-rhagrin reltui-e très solide, trauctie r**» «•■» *'--ô franr«»; remises |ur «I liant it «-s.

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M X KI X«.l s

< cmmi*n :ant du régiment le L, *-k: * ci' -re nomm* . « est le

* « -ia • oî n. l <; E Marqxii*. du M -c.i i de la statistique «i**Q tébr:|’.( I M I I N I' X IH >l'*^l X L \ L X t •

/o\

No're opu’.ition e«t on n« sait: ait le dir**»• - .«s* d-là rendus a curant* ,.a.- nos Ftèr* brie] .* c* derniers on

j ■ u : ’ e j «•’.- do*nos chers ‘do St4.a- t déjà ,*j

1 ,«*4 .atif' suivants ont été pro­clame» au prôr.e d'hier

Leu le* partie, de carte», au t*éné-| irait*'* oii’ stiivi«'s tious .l*»:»-fi e de« orphelins d»* c#*!!? in-titu- '«‘nt « er o ahsurâne«*. Au-si *>o t

:hi.:-*•.« Knhnen • a ia .«é écbajtper «-t.* il* pii «,aro‘'' '(‘ic nous soin mes lier»( t) ,r faire ouuuitp- " Lai été eaeii

orphelintion t'es etichre» «ont organhea par !*•» |yam*-s de la St e. Kami

: donner tant «Je bon* résultats. .la est (k*i. pour une bonne pa- «in

1 n ullrtin ptroissiai ‘era mbllé moins a la btenxeil.ance ave 'a- ir. hainement à St-.îo*.'nh de l>- <B»êRe «e sont rendus nos dé-.oite,

("est e que M le Ciré Ber-I c’nmml,,*a'rCB a,,t J'i»fes déniai,-I ti.- • ^ annon é. hier, au prône d<’" <,u rbt'r 1 Hurs'ati. diret- i»F!**A*»TKI'1 A

ne éan«e dramatlqqe et mus:-1 ,eur- Soyons donc heureux nt?r- c.x . ra donnée le 1' d- «mbre r*L *°ir. d a olr une bonne 0 's- ,-n q^-a,,ri*„x n.endtrpro* h«ln. à 1 s iron a* r h donnée n « t •« x rc i>arolSHiale

et la recette, h',,n ^ “Mer * : oeuvre du prorré» 1;i nu„ samedi à dlman-

Fminencé ade

Knt:c C.eorg.-s I^fiançois et Va-i«e dé-.ouent si g* n* re pentent our '»Muaure , ai n* onchat-rie-Yxonne Kérard: les orp xeitns et le» vieiil.irlH d** no-, 'riuf *'' hJ ei vu u St-t«ré-

Kntre (iaudiose Rurean. veuf de tr*» Orphelinat 11 n’eu outer;* «.uej'*u,r,‘ Binaiieh*» r-aloni.c Coulotnbe et Cédulie Kl* 23 «ou* po«ir cotKourir ptat*- le» guèrt . mugnlflques prix qui ont été -don-

F.ntr« J<x« ;ih Kdouard P hier nés pour ce- partie» Je arte* et Rose-\nn.i hanl*. Kappeious-nou» q<:e r'r«*t une

F.ntre xthBna«e Choutnard et oeuvre de < iarité et allons- en'«ouïe. Ce- eon-'our** ne «ommn« «•- ront quapr*-» le» «xer i**-» «le la

! retraite d«‘« homme?1

s détruit. ; LK TRONt DI «*\t RF-I OF.t P.

Gravures du terroir

(..ermatne Drolet

INCFNDIF

X • • • " ROtra pr h( , - -* • >ieen e su eu« bre-mueicai que don-, M,rf.rau rn ,,e l'étlke et ce-

t ne notre Cotnmishion scolaireK FT K X I I F X L \ t /.« *N

N«ih s> SIP XTHH sLa retrace «itittu1 lie le Kn'ants

d 'IdTi* .» ï.-uron »'ouvr i.t dt- No» vive* s*mpa'hte« A >| tu. n-lie *ro haln le .*v nov«mbre pro-malre Hamehn. qui vient «le . * rant (perdre «nn père >fM Letnelin. é-1 (»n trouvera les détail? dan* une

r levin, et Henri Rutil. serrétair-» autre colonne > illtNXII.il la municipalité ont repré-cnf*

.» ('on»eil au» uné'-ailb.'g qui ,*nl i I.A sT-1 IM FM DI P\1L

No j* tenons a publier. - haque «e-j m « ne k montant de» .«jniôtu. dv-|

,i le * t mpsgn’e XX'rolxveirth. po.»*e dans * tronc aün le fair»* dit ' .'*. 10 et 15' Le feu a aus-i connaître aux étrèngers la g.-né- rntanié '.a ma «m 7. Paquet, trais rosité d^s paroissiens de St-»4 iv* ,r le» pompier? on* pu l'étein Ire a- j.,, semaine derniér** le tronc «lu

pro.ht -c trop de dé- Sacré-Coeur a rapport* Si Oit :txe * ant qu ll^ats

I.d \ dcrib r* i»iêt«? faite- > ’’u Heu h Descbambault.

ut «Me. « !'*'iiM!r a-i profit Je1 - .*• r«:<« ..«le. ont rap >orté 'a; " ) ««Munc le f2.0tf) 00

►aroi Biéttvtlte avait. •B » .n«' ouple ,i «nner une det*.. aux jeunes meres

\ i. i>« « vu»; ni .u « m »»«:

Conseils

X (artir rte re oir 1* pré-"n(e?( «!#► membre de la «e«tion le» Jeu-j ne**, de l'Oeuvre .i«» .letjner«?e, »»*rool

Le - membres de » Société St* pn?e? et 1rs purent? recevront, à X'inr.>nt rte f’attl ont fait la quête. | j ^ semaine une r ttre leur «Un? a r;»ro ?.»e après la grand**| in<j|q,japt le nombre *b* pr1 **n e

, me «r I.e» citoyens ont répondu kut . enfants

* u.-irt*f*ble et nlk-*q r«t diminuée) —• Mi t • érablement

t • otr. A emiMée «Jr Ja t vg). u».-.ion oNir «|e R(en Me

icépére,«.entent à la demande qui l*',r (tai* faite par «e? généreux

Poor lire en attendant Hè. «Pô'ret, de !a charité bé par le Docteur Donna- dieu : 2lèm« édition caoa-

IN t inPITRF D AtnDENTSdieona Prix, (unité, tous. PE) la poste, èé :

60 1IE

St-MaloMme Ad'isrd Morin. ép0u?* du’

cm able Mm n de Lévja a été vie-j Ihn? d un pénible » Vdent.?iir. rn revenant de l'exercice de ]a retraite. .* Tégliee Notre-Dame. Mme Morin cheminaii dans lt côte d i )’.* «rc qui . «t i ouverte «ie gia.-*-. «lie tombi pi, dau? sa hut«-,

tr c .n ..m JainVe E’l«* a été tr. «•:'* i] . i rd i '•/ , Dr Fur-

doutElne. ta.00. par la posta 15 46 ; la cent. 140.00 ; ra- Hé. i'uuit*. 7» sous ; au 9^ crétarlxt les Oeuvras, toi rue Ste-Aone. Québec, ce- •ter. 126. — Ln livre qui Instruit les maman* et aau- •• la vl* eus petits e-.fenta

Ine bnrur jitiUticn* a»t a vigrv eoiNNime «e qa>«t l'air à xo» pua-

B

LA Al SITE PAftOr.VXLALFLa visite parol»>ialfl deaat !•

rapport suivant:197 4 familles eatboliquea IP pretestan’es.7203 rommuaiants 2601 non mm mu nient?. Population tôt»." flvfli.

t ()\4 4)t Rs DF POI'I LARITF.N- <on«*»urs de p«ipulartté entre

s«r«otis • ; et (t . fill* s a donné! ! " 7 * , :

Nous croyons de m»tre devoir d** faire en p n* «.ne r -m.irqije jiiv père? et mere? de famille Cette «ertion de* Jeune a été fondée à) l'Oeuvre Je Jeqne-?e non pu pour; faire sortir le ?otr le- jeune? gar- eony mat.? pour ce«js qijj avaient cette liberté et <• f?t. afin de ne pas)les '«aisser dan? le? ruer qq'oo •«? »» . ■ . .Invitent à «'nir dan? cettr «alla g |*| \ fl 2 SUluC

gui n«- connaît le» * éh'l>r*-« rl ?i «yniputJiiques roni|H)?i* ti**n« < an<idi<»nn**? «le 'I. Ltî- ni<ui*i-J. >lM?»|«ottr Ï Qui «»• voudrait en |H>«»è*l«*r «Jeux ou tr«*i? pour orner «««n bur« au, sa ibanibre. ou sa maison ?

4 bni»i«»r/ ilon* |«;ii nu le» su- j«-t.« *»uiv«int? :

1«*. \ i**lte de la quête «•** PF.nf.ini-*Jé»u? ; »«*. saint-Via-

à la campagne. («u.i*-i? lout in«liqué« (Miur un |•r«’«ltv 1ère), ; Un. N* retour «le la 'f«*»«e «Ir Minuit : I*». Le rr.vrillon «le No* | ; 1V«. I.a Iténe- «II* H«*n du .tour «le |'4n ; ( «u- Jel» ptnir «aile familial**) ; (I**.I ne éplu» h**tt«* «b* bb- *rin«b-7«». Le Xl.-inli-gra» à I.» «anvpu-

gu* ; m**. I m- vrilbV «l'nutre- f«»i» • i f»**. Ia « '»tt**re«. , -ujet.»P«*uc ««»uloir» «.u «alb » «l'aticn-! le».

Ce? gravure? «aient une piastre; nou? te? offrons au pu­blic a H«> «• *u? l'unité, par la p«»«t«-. tt."» ou $0 IHI |r» <|it fra.i-ro.

Le $e* réfarlat de? t'euvre-, llk* ru«- Ste-Anne, Québer, 4 a-aler, I2ff.

Q

Tabac à Fumer'lal« le> r*xree«5 ne doivent pa- enxaxer "xux qu Ils peuvent g,ir1er «

I !« maison Noi.» e péron» qu« « «'fte remrrqur sera pri e en lionne par* p:*r lr interr •• »

I NI KM N|4)N IMI'UKT X N I F

Demain -*«ir, a.«rê» l'«»»rrc|*-r del

La Fol *le nos Père* par ft F. k Card. Gibbon?, traduction Nanivl, rmt «oluffe <.q-page» Il nou? en mole nr• < it*«|Uaitlaine û 40 ?«nx? l'uultf

la* Hecrètariat de» Oeuvrtx, 101 eue Kte-Anue, guélnt. C'a- aiei 120

Yç 1b. 15 ^ le pacQueiH.d.FORTIER Adent Vendeur MO^yTREAL

«^wr^neni wmpu.h»-.rr * r.....

M

x:

i

I4

T.'ACTIOS r.ATJKII.Kjt l„ I.L XPI. 22 XOVKMBRK

Courriers de la Province

TROIS PISTOLES

N MK M.-T. CM)W1.KV,Umi qui dfcUrr qur

I» TMÜar lui a roiapIMcrural rradu la aaal^, aprfa quVIlal Mit tout oaaojré, aaaa réaaltat, wên« ua chaugrmeut dr cil- UMt.

I»;. curant

s» i j •U t ti •;> . U c >.« . tri<

' -ri f Ioa. T*o>l». lî. —j .(•vf-'iriA «Joa Ufate*! irin pour •ur 'i M. Pt Mm»* Arthur f)a*

II- Ict** ont dan* la mal*• "Sl.H a (lit* té jadlh dr*V,c \> K'ouv. M. Arthur ev i ui 11 \ • l<* Stc-Anne <I«m(,fi il i: ».aillait à U cou«*-

a d<* T ’slitM*.

ni r m.t;. i |*»n»r Ioh Ktat**

1 ( o.lc M. l'aiv.uui'j cl rham-ji>. :.rc.

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; , ; <• (I1 (lUMtor^e an et :■ t à la eongreaatlon de«|ii vüirtv V la tarollle e-, •• jP niVn vin* .i I.oh Angelei..m h » .riM.M no rinC'ren ilms I nspol. il’) r.'lrouvnr lu saiiti''.

ium1« lr> rllmat merveilleux de «e l>a>» u'a pu rien y fair»*, juequ'nu jour otj !«• jirl» du Tanlae derU- r*l» l'autre jour Madame M C l'rowley. «lomlrUiee au N>» de la rue South Hill, Los Augtle en t allfornle

“ .1 etHla k: faihlr. «;| Ppuisée. r|U«' ^je pouvais a p»-ine rn<l« r. I.oa eli- méntn une je prenait» «urieMtlini

i M*rt’.ee it : i néiulture ont .n.u uui ucinici a ept h»‘U*

\ U\ .\(iIi DU I. ' HMI.1 %Nt K-

;r '.aiir* llor. tm r” , l r '.ratnl e>'. c nt r#<• a uiOlr. le la. .tuant de dan

»l»jemon «Ht. :u.i< et il h'v

'«• t.» ùil e

DI.TAII

r . mi ho t dernier vo>a*e; ; n»aü au»vl dea caz. r«* qui me fai- j^1«ait fiouffnrliitc et «a s»aute ci-

j, violente* tCUl ehau-jr ,».pa

1 ■ JeM.en le notre . rod-rc. 1^ ml rcr.er te la et pe peuvent

adulHTéa en aucune ta\,on. j. ti.ji prot« ‘.'e, u'-ee droit <1 »

r.u’en donnunt •»: 'JP D 1 tnp il unr tralu’tlou an^lalBC. onen a tait fait un " t'a pc Diamond< ■ r.:; -;n na» i» e s ‘rit

I I»1

r tr.Dfait.

te,*^IMement ;ipr*s* (11 y atalf aiiy»! une

ptes-ion dans mon .-m uiiHe. Ja J'avai' peina ■« respirer Je M

t%

t« n< quen'avais plu* d'ap I^tit. et nerveu* • (pie je molmlrr

l'étui* *i oruif me

OniJM.lt TANTi. t piTPOnuc du ' u»', fujujijt survuutcr. et quo 'r ur :«.»

< tior 1A> nom* scocra- pas »*«• <|i|o r’^taît qu'un.* Iiomim nuit d'* «otnmeii

" r*s:a>.ii la ili.'t»» pendar.* plu* Y&* d^ deux ans niai san* rC-ul• it.

mon <•!•! ronttnun do .unptr r. ftSSi • io perdi* vnigt quatre 'ivre* l

Nu'Min de* (JifferentH traite- r. inent! quo j.*VM>ai no m ft |e

Si

rmwm wmM mm wmm mm mmmm wmmm mmmm

FEU!FEU!FEU!L’eau et la fumée provenant de l’incendie chez nos voisins ayant causé des dégâts très considérables chez nous

Nos magasins seront fermésjusqu’à nouvel avis

Suivez bien les journaux pour l'annonce de notre

REOUVERTUREarraparP

Me qUi’ouac a;pd'.atlon vo* v^n<]rilj;< jalllillB

moindre bien, et j>n vins finale ir. iit à l.i eon. luRlon qtie io ue re

iCe sera un événement intéressant

5

noti c ..r !U lap-.ue francal- " J»- 'Mi- P«r • xpérienc'» • pie leTan lac f'r * un bon mé»ll» ..n»» r»:.

eur de no? ami* ont dcj.i car .uissiiot q»ie J eusse■ « omm •ut .uême • von- i«•' u il ce prendre. mon • • tt < onrnc n n A

iij.-lqnr ten»?*, une lettre H'am 'liorer La ma»; ; • ut l'aifl Moutr»al. »’• '0-H PÎ:»iL re,-r».»> m< N fore .» et mon poluh

ir» rom me nutl: " M» i-h n est rltn moins q»U' merv.-i !I»,US< .

mv„

'•S ” I1*0 :* 1'

h*r.ic*. Ce* t.' Cl", QUte qui nouOn a d*

) et je nuUs »* eut

«vns une toute auttnrce l'i toi* .cou?, e» d’pa^S’ . .. .• .* . . ; J al initiât, nant un son.* don dire qu on veut*w , lii. et m<-s nerfs ont dan-

. ;i t. oui.!* ^,a, q„0 jn pU|* uiulntcoailt ^» res*.' d« * ur 1:j.'.'.»' . profoudénU'Ot toute la nuit.•n.,>l té dan* i.* Pr^*in'Jr" *0uffre plus d'.icidit. dan*

appein '.•!

i .rnilrI >1 A

‘ **S!otitalité der tloüiJint-i de notre Un- niae. || n*. *«• forme plua de ^.iz. .t- m

LA

gae et 'uili qu’on pou e en-ore près mes repas, de fait, depuis que "audit, de p'uétrer dans notre J'ai pris du Tanlae. ions me* maux

un aine géo-r »phi jue. TiolV'lls-

DIVISION DU DETAIL.tn a^PDEia157-173 RUE ST-JOSEPH

bér^rtfi*

I »• restera Trolb-lMstoles. et u * dJ.'cnlu à quiconque d'y tou-

.her ou «'>' r"’'.c, atteinte

. ;.tv.;o on lui donnait lehon te traduction ’ PDtolr

IP dit iMstole. la mêm t mit El re anjtlc>**u-

X.ms. qu» *0 piquent 1»* Mm po*- ier leur iaas'ie écrivi.nt Three

i iStolCh. ■ ^ * a... ».«-. • «•/’surKvc ..«*A.vTl. e < ne* g''»*.l dC 1»' »- !U <1 tris » « J ’1 mltur.

<1 an* t • an^'.ni. nhOCQ tOU

r.io:'. e*

*.int disparu*"Je puia teconnaissante de r*.

mélior.itinn de ma *.irué, ■ ue .e *ui* heureu e d** l'occasion qui ni est offerte d»1 re. oniniander le Tanlar. au monde entier".

t.-r Tan.a »*s. *» (ente A Québec Isa» le* , haï m«. i.'S Joli» -enr. et ebs* MM Martel et Dior., pharma­cien* et t L>vl*. rii*/ M Maurice Dion pharm*’ien. aotir la d.re<*- »1on ?er*opneVe | un représeti'aat •parlai du Tanlac.

OBm

Mmmm

UN ENTRETIEN AVEC WRANCEl

le n était rêl«»gao(e de tout*' ra b» sont , on! iu< ’» .»i’!n» e;eraonne a Moscou

p»? qu** Je veux? m'a ’ " Kiieor ■ faut-il nu1* J s1Wraugel. affrau lur la Ru.-sle !r ■ 'et» main - loua l*s ni 'Vêtutv rxtinie con tnunlrtr Je comb 53lrrs > t -i ui me manquent .eu le ment pou la libert» »1u : re actiu-U - f» -t a les

Pie et 1' instd!*.* où eclui-t ! rotn: ü ne mon .»t >< ut - au • ( euetprimer librement sa volent . ment o»» . péo.

Transformation dos Plaines de l’Ouest

t ism: iNou

( » vo!" lu nu quatre i..m ej D c ue. l:ani Mes Jo.l . ' M ' If l'Mvrr ^ proe' al. » 'it 1 ;'4 \©< |. le nie. (• V01.I1. ur nusal t rur 1. ur hou:.• '.a« e

U ls

! I \ NKIt.lOU. C’J le ?lal

fol-

ru

de re(*.. la neige tr i*

lèj.t lt*i ! t \o. jii». f- v^re. n'élance'i-

u](,. ne»:* mus s»onilu et nu. :- nou* i tmnn * ' ; l* non. a raprelé que(

beaus vOur-» ; jte. demain, ce *e-

rinttna niée Conreptici. i.ui d l'An. i'Kelpha-

lontue*. belles et »r - «r. ni etjçsieut ,

et Mme jo« Ouellet Hiviève Ouel- . M. C! .\' ne \ ihur »»ieiU';

Hélène. • neveu* et nié.*- M et Mme l'Irlr Vo>**r Kainou

a Mme Nr'hur I iar.irer M ias i cal. .'Inu' Joa ’.é\e ,u. Ur. ri! I.ojp. MM i r. h. Jo eph, Maxim

A'hert et M. !'.'• \!ur;e Louis, l.e- ' et lue dt-l’ac^me. 'I .t Mme

1 Fran.,oir Therrlault St-l’aeTmie, M f.eon tiuguon K.viêp' tjiielle, M* !- '.<■?. tJcot uiKnn « f .1. unne L^xo* que. M \!fred fii'^no. Mm. \ - phoii'i ^,(•'.!1',..

NHK JU’JI \ Kit IJ A IM l l-l I II K I. \ t’HTTE DI S «*omi 1

vuii mime d« >icn

IV

•StlllleIH'e nou* a rappelé i Cj(Cj^n nous i‘*vons vu partir «xe.

trluaf. h'* fru!ds. les i-rvret su: -a tombe récitona aunonc?raient bientôt ^jjf. forvante j r:"r

. : que ’a gène, le mal-, t \ \\t|,.t*ère allaient prendre »

ütr n n fo.' er- Hcb rhillc Stiitiuii

\ r utinucro” ‘ donc, dans i . cliroulqueT *ubsé lueate», à trailer d- . tremleia temp le no- t « en-a'mé Trol.-Pletolca. ton- en r oo? le t*i»r! n0"'

'le* ml,--*ionnaire*. pré­ire .ur ul ont administre.M? Tr.ii.-'I’I toU:» depuis dni n. !»:• in'* no!» Jour*

T< ••.Jour ' aillant » r.

AAlSHANt I.Ilébertvlllc. Station.

!.. S. J. 19. - lx> S novembre.,^larguei ite. Marie, née le l»i. en- faiit do Hemi Desrhène» et de lla­me t orlnne Poivln.

Parrain et marraine Antonio jjj.l Detehétie - et Mune-ThfnS. 1 ».>-

roa.‘ hênr.*.! faut.

o»i:in et soeur d - I . n-

cl Adèle au

|.\ SI NTIMll.l.ll’

ST-PACOME

-( Mr.vruii sNnur avons appris

h dérè de Mme I »J n • !.iir.»a Kochefor*

avec regret A. Couture

- ur venu») I**te -Anno de la Pé-

I |A) D Ml i r*S1 "*edme, Kan». .<». i*c -

i u'ont eu ral1l**u I »m gran I eon- « U - <!r ".»v#mt* et arnlr avait lle'1 ». un«'r.»U1c. de M Thon».»* I.é-\ ». »i''.

ronv la rlreonstanre »- rj tmi* enfant* en ba* i*r.I Nos sincère* condoléance* i

famille ne deuik

BHM-l DICTIONSamedi dernier, avait lieu

î.7zv.jn’ V’é Krorfe de scj, plu» bel- la; de deuil.

r*on lu'salt le corbillard son • e eiu M. Mermar Kêvcaque >1 'u: *» Her. upré portait la croix.

!»» ,»cr nura étalent MM. Ar*i jlébertvillr la bénédiction snien- ' » .’ l.»'ve ^ue. Tliewa* ! nelle de la nourollo d>aarao de lal'eTi <»i*non el Alphonse Ce lie-1 Générale d'Eloctrlcité dont M. :er ,cs neveux. ; Raoul Depblens est le gérant.

t * deuil était conduit par : Fes; t*o i Ils M Thomas. Alfrod •* j VA RT \TE5T

-ie-.K.»:*éce. «on gendre M.I ud^cr Rn>mo®'l- r** petits en»

» »* foaeph. Lucien. Jeanne cl . >'> l.évf. tue. son frère Fran- i » * re* beaux frères et belles

i -» M. et Mme lleubert Pelle» i - «» Va*cal. M. et M ne Kgénus

’r*r» Ht-Paclme. M. et Mme •re Uosupré St-llonoré. Mme

\» rfuic Ldv*. uc dt-Pacdntc, M.

; rvoonnairai toujours, mis (i .. forme qu'elle r manlti -.te. i. < qiur» la fin de mon rôle, tj ■ bolchévisme soit renver*.' (!'»ti i Moscou jour fair** place à itouvomtmeut provisoire qui ( coque une \emblée nationale (Ji t es e du ni' nu coup m*\ op< r t •.ior.v La compoMiion de nion n nistère dit m-M'i conibien ses i; u niions sont d-'nuée* de tout s* politique - 1* président du eons*M. Krlvoeheine. a été nunistn I » ar et » conviction* restent n narchlstes mais le ministre d* affaires ittaninrcs. M. Strouvê était avant la «uerre un révolu tionnalre II n'y .» ici. en un m * ni monarchistes ni républicain? niais feulement de* hommes de voir et de travail qui se sont re: ir.nfrf -, et unissent leur* effet t sur le terrain antlholchévlste.

'* La force de* arme* et la pr» pagande par l'exemple *ont no* doux uio.'en* Mal* lo preuiier •' ru toujours subordonne au second J estime, en effet, que la cran '< erreur de I>enT^lne .» ••te d> vov lo r ailer A Moscou renverser I * nine avec «les baïouuctte* riocont- in^ocer un'- telle expédition Itis un pa>s aussi vaste que la llu-- • -an.' lu prudenre nécessaire pour é\ tt. t le* risques d'envelopp* ment et «.ins assurer d'une façon « omplèto. au iur et a mes ni ' d l'avance. 1rs moyens de commun (at|on. serai! *e vouer a un >en?- Munie échec D'ailleurs. 1 a'ni r *ans ravitaillement t »ralt obliU' de »e nourrir >ur le pa.'*« « ’ !•**n« ne conipreu iraient pio (| i différence existe, entre !• . »ld.»:

prosMue rouge* «t l*!- mien: territnl-| " Je veux donc, après j\oir "

J re* lll»érés. panlsé la Crimée comme une f'iI»! Il a fallu l'énergie incroyable teresse jiour parer • tout» 'Vei-

de Vt'ranael et *a foi, contre tou!»» «ualüé. n'engager me- foi"»* lai * ■ évidence, dans le *u»'«és pour un territoire qu'après avoir r-t.»- créer sans moyen* une oeuvre qui hll l'ordre dans celui qu'elle*

A a attiré plu* que î'«!tenti»»n de» viennent de quitter f < *» la : • alliés et qui. déjà, Inqui/tc et oa- •èpère\Mo*eou

lue général m .« reçu a Sébasto­pol. dan» ce raUis où l'amiral Koltcbak s brisé l'épée que ve­naient lui demander ce* marina té du peuple, révolté* et d'o») il cm parti pour " Les Russe* pourront

d» du

Lo fJaulols” de Par: a .utdemandé à un journaliste ; *ri- >n n. M. (leorges Labuure' qu: rendait auprès du général Wt in- - i en mlstdon, de lui envoy'r . tin vressior.^ N<>u* reprodu:* t? * : «i» *om un»» lettre ou il raconu -..n premier entretien i- • • I»

■ l’râleur d* la Uus*l«» du ■ i Sv!>J»tOpOl. 1er O' lob e

l.<* ‘.’T mars 1919 1*'» • acua'.ion. !■ Novorosalsk marquait défit, u

v■ ment lu déhâ» le d* 1 ariné»' De nil.lne Tou ; le? approvisionne monts et les munitions tiaien» aux m.iiti» de l’ennemi, te troupe*,

i démoraliséos. *'» u allaient A ia : : • tndadt1 la Crimée attendait, dans le de- 1 sordre et l'affolement, l'arrlxec le:; ic.uce*. Le» seule* fo!"'* du P* itérai Slatehoff. cinq mille h »m-

! me» environ, défendaient en or»* i l’Isthme île reréko’,* iui rejoint

la : r» aqu'llo au continent»"r?t dans ce» cou dit Ions d'’ses-

pér• es qu*» le general M rang»' . iihir» à Con..tau: inople, où l’a» a ' «»> !é la Jalouale do Dcnlklnc. dunt il fut le meilleur lieutenant «« • ecptn te communlement que Jécl- dait do lui uffrlr une réunion d» * i;» m rauv

Aujourd'hui, six moi* i polne élan! fcnul'8. une armé»' le plu.- «I»» HuikHite mille hommrs disci­plinés et résolu* contient victo­rieusement le* forces rou*c., au

Suit maintenir possible ces d» i\es pv.u «■t I ann< .1 Chute

■ntend:

j u 11 11* IVl. le pr.uten.

19Ï1 v err iOfiultlve

m ' lent l'A m <

térie gne pour plu^QUe i.'ali* hain

*'tre la •. iete.

" U "mpris..irtou! «i»i< c e-t lo rt lu

de en môme temps que celui Kussie qui :*e jeu» »*r. t rltn»'» oudront. J'en * il-' vûr. fa anéantissement d une fore

l»»# nieuace eux au»-!, et av nielle on ne peut pi»1- ::ait»’:

» non» ta *» nt 1»’ > r» I t *1 •i»** dizaines de million* u» o* pour vêtir et armer atx. qu il* disent a la I' anger qui lu menacera:*

* nt que jamais, une foi ignoe, »t la Uu->!< r* < mru *»» souvenir 'i'- • ont soutenu* dan» lev alheur

Non: ne lernandoi;* de venu »onibattrc .

us

ai» ul pro-

: illterj cul ce la-

Qu'- quel- os* ai­

neMogne e plu» vio-

: la paix ■ i» t it u* e

>u\ jou

<| U ldo

dnu I.

n roi»

Id rouru»tt ra le.

MM. Adrien et Charles Troitier deli du Dnieper, et un gouverne­ront >artl«» samedi matin le 1 fl ment »|«' in Russie du Snd *'•■*!

i'o»#* Hte-Anne d*» la l'érad»» où le constitué »iul a réussi, malgré le» o.*..;.» et la sépuMurr ont eu lieu p|reK difficulté» économiqu * »'t

lundi a lo qn heure* a. ni. 'financière», a organiserLa défunte Ulaa»- outre ?on nia- normalement 1* aie des

sanxi eau»Ckrairi' dire. : •

mt son» doute ai» >e sont n< -

eux qui viendrot i ix une fuis déi

I me. qui peuv« irtlon décisive

■ urrait »tre exploité par le* h»»vi»!e‘î, utili-ant • leur !

sontlment nafi«vn:: •’* <1

*rion- noua; pour j

ne et•es.

du

.» jouer.; •• ion» n i r* à

holi’bê- mi-ner

on»raire bol- •ofit fou*

Vjm

Wa

-i I # harraRàJ •

Mhrf

ifI # .T>fr>r#l

l'action du gouvernement de Hu.s*iè du . ud prenlra sa vrai*’ s. gnificatloo en lostuirsnt un r»*g: me provisoire. au»re que î«v bol

J'ai m ivec \\ r m-rl plu .t»trsautre» conversation» !an* le-pie!• |. > il a ahordé de* MtJ»’t* de tour- •mre plu» générale lie».: mi J ours brièvement et clairement exprimée». »ont souvent Cunc or: finalité remarquable ; < st Uusseavant tout et. " pour cria", pro- rntentl*te Cou» lérant . ne 1* o!-chc v|-nie e** une créât loi ali»- mandc et que toute* *r» maniîe<» tntionr son* dirigée contre le .V-

I • «tr*n»'ornvv*ipp,,i. ■ o»-t-» loir’sine

*i

lié*. U ratline qu'un des premier? chévlgme. qui répond* a 1» volon- dancer* auquel il faudra pa’rr.

f 0 73 la malo-mls»' d” l'Uléma alors sur la Ru*s1e Déjl il comba*

Mme Albert Gaudrétu est ptr»! sa tragique aveniure. Tr» s ciand. comparer et ehots*.- I' * ' Pa^ artlvcnunt ’a propagande e* l a tle pour Chicoutimi vendredi soir, élancé, i* taille serrée pur TuBi» douteux que si nou* parvenons gitatton pour lesquelles les agent< où elle auhit une awex grave opé-’forme de» cosaques qu'il porte ha- dans une sorte d<* petite Russie jr. Rerlln débarquent cba ,Ué ration A rilôtel-Dleu St-Valller lei bltuellement. le gest** nerveux, le moiéle. .t 1» *ir montrer cr qut rjutnzalne Hêbn»topo’13 courant. \

Melle Marie-Ange Abel, de Chi- coutlml était chez M. Théodore Gagnon, au commencement de laaemaina.

regard de»» yeux clair* fixant tou- pourrait être fait en fa>-» de la t>- On n*» pouvait attendre moln* Jours bien en face, la parole tiré- rannie »lonl 11 -'oiffrent. et »l l»*' q, re Suédois d'orlgfne l»»» ba ve, l'homme eau»»», physiquement. bolchévi»t* x «v : ' ur a Mention < ’ > "r* Wrsngel d*»ce»'di eut » “* une impression de volonté ef de leur» force* ret»»nu» f- au mêau» Ilii! ' i» nv*»-' tîurti vr \ * * îte d»- re. franchis»' qui *eriit pre.-qu»* bruta- Instant par la uu rr«», point nu *»* venu o a que de »'#aT **(j" '.»• ra- mit

l.« colonel J. S. Penn's *'* "î'Vmenf convrn»»a.n:ro en »hef du ii-i Tte ■:'.» > la Colonisation au l’n ‘ . »'a: l.en'■st eertameuient l’un de» Canada is don* la cnrrtêre » /té la plu» aotix-etnet't ■ ■'^'riée »u déveloptieruent le -'Oue-' canadien. Il a été ! A...e dingeante d ». • grind nombre «le projets de *ol tni- Un ■ p» n <>nt «1») leur suerè* j.j .. . h» .- •<

qiudités d'orgamaateur et d'adminuériv teur et l'on peut dire aujourd’hui nu- tiie services qu’il a rendu» au pov*s .u raVnt d'i'Tre placé au ran* de» ervn !• eo'onis.ifeurs «qu» mirent en mouvement!U vague de développement dm*, ir,CanaaA f*'»if entier «e re«»»ntit ivm* guerre Ingénieur d'une e*—»<•!{/ in-wv ; trstalle MJ»* IV mis * eu .q d rij“r| pour e compte du Pari.ùqut C-e».!im I de* travaux de ecns’S'i-iion eo-. C'» blé*, e j*.ui» imperUin:,rt -eluiqui res'sr» comme un monument élevé .\ son n'*r;i.,»i et \ ton ‘aient, e»* le mervedleux svs’.'m,"H ifrventien de l'astine. pr.'x !« Calgxrv ■ gMœ auquel de» millions d'i''*'»« d.» fer- r»i-» r.eulje. ont été et «ont encoretrsns’orm/#* en fr*n-.e« fe,*til<»». \/> p>p^-»e<io*ts turraje de n,x«»ino. don* es fortes ae»‘ee* cafdent le» eaux il» !» rvn'rs Mow pouf en rcT'.'-rVr* ,x d «‘ri*bvt>ow •»!* e so, de» i.'* -es environna-»•1 pop \ s» op d" '* ix ru m-tex ait un »'-sj f.'ui f^and» da l'un.rsral d'h.xbiunu et sont trar.v»i

f see* ^o«paru< ds la rlaloa.ertier. p-»» pt» csr.xhle de rivaliser ave-| *en» par prés d* ?0.Cn) m’'les d» cr.ui ii V-» .m. (j.u fer;.»»» le Nile enferrées !e tison est presqM‘* cl»»»I *vp:<». U a i't»'éru. au nr.x de million*| la catégor:# do» animaux don* L le l'llurs, a rurvei.!xnce directe dri est disparue de .a surf.».*»» du g1M. Itenais. sauvages, fort diminué» de n*:.'

devenu* impuissant >nt etvTovineos p-»ir -»s no* * ;b|i . , ■ t réserves u ou I on peu* ex-T-ernrrovab.»* depuis !»»-|"n» do M. Denr.i* ian* ton* fiva-;t mémo que r une vou* f< -rée entre

:x <» >ns (i y a pr^s d un d :n>- • .or-* que le» m.iîieuso» tr-u; ■'» .x

le ! . ton* ra « ie ,t er,,'ore en liberté dans e« terr i >;:•'* du Nor»!-Ouest. M ! Vep.p i « p»r virait dé.A \ eheval les pli-.j. nés a»:* h t'irons «ans fin m»! Manitoba de la -iskAtehesran et »i" 1 Alberta, b'a vaut «es tiancers qu'offraient A êj»': :o es exetira ors dan» le» pri Ton» -r aux r»'v :« ,'e» :ribus d’Indien* t*;*

une s'irveillane« eoniintielli», et pi 35.000,(hV) d xerc* de «o» terrain q •Todui.sait rien pour IV 'nentu* » populutiotvs de l’uruvep*. s itnvv: en’re s oiaia» du tcrmivrj. q^i > fructifier.

Il e*t xts qu'il res*« en'*nr« (•sex è'air» dans "0 .«M a-.xii n PTa d'aer*»» de terrais riMr ,. :disséminée* A moin» de 1 j milio

retto! chemin» de fer r.'at;;- lent qu» la lu lebqurmtr pour produire a -or

rit r-ainTeoaut d »!!*">var*xcrei.»n* 1»S' rahlixxement ilau» l'Ou»«t, de. qtll

! réci'ps e* don» es *-»« «illcnm ent ''•iv. q»ii po’irr-'ot marcher » .-

|san« er-s» a plaine e*v qu'le de eha««' ,"ir* prMé-os«e»irx et rfreo'*.!.’ou le noin*. équivalait souvent A q-,! aixa. le «.iec»>». M. [}»nfli« »! un

i »rr'* de mor* pour cauji qu, avait cette *f'‘' if eut "opditiops poema'.rs a ou» u va »s fortune. jaxlutatfi» effê* sijr l'immigratio*

'l'on pé»R a'atten'ire A l.s venue !J. ... .,, , ■ ! pr*» r d« S'VVrtvV» coin-** ahnneiler'e-vi • A'po i* 1 nu», le» quatre

rvnp*

t' » c..' eh'.njêpr'nîa sa »an» «p'-*»•’ Aujeufi’hui, ’e»» de .' 1 s»* e?nxdi'n

*-

,.»r* .a

* •m

\ •C#•-tl

• ne«a ua r* p*a»1 ‘qiaq.,»* r* qns ra!lo»-r, aient d*on -vuli Tintent une \ -Mptwuioj da d»g mUliom u i.*ü«iX et ne-rt

•R te»lXj

qui. alors carü.iin»' it ia garde rU allenianl»- !«• 19 août 1914. en Cscorgx»» UèltOl KKL• t rli la première batte . l’ru-at» orlontalr i éltlK3té9d']1NV* 1 9f axy.t’i i

IEPOOTIMITOE ««‘N-iawBn„y m\mu RECETTE POUR NOIR-m. ntibntR C|R LES C(1EVEÜX

l.« • Tribun**" !** Sht*rbr»>ok^ pu­blic I»* porlmli 'iil\Hnt d«‘ M. MHk- i< iij ilrt t la plum*' «l'un d«* s1*** «-ol-

!. \c:, ION C \ I HOI.IQI K. M NIM, « NOVKMItltK liCNI

DRAME DE LAMER LA CAUSE DEl'K MTKAMKK hKKKMT \I5K

PKMIANT TKOIH iOl'IItt H( It l/OC'RAW

BOUDREAULT

tp/rial 4»

I.K MAl'tiK KT l.K HM'FKK <’MAN» GKXT l.VM ( HKVKl A GRIK KT KANKK KK t’HKVKI \ KO.M i:# KT HltlKKAATM.

* < «uiint^nt r<*t homme il ar ri é mlnlatre «*t premier minUtr** “

I aih.Oluuy 'Norfolk. V*.. JO. Aprte a-

1 v«>lr «'id jaid en hkt pen­dant troi» Jour», le vtoamer Ma kadua eat arrjeé à Hampton Itoa «l«> h la rernoniu** du aleatner t’<»r- »<»n. II est heureux «lue ee dernier eut pu lui porter aeeoura car II

k lal*rei>«iue i«)ut le lnon^l«• »aU «|i*o

n,»» doute par un heureux «nchal* 1#k lh^ *;,u*w '* *°u^r* 0i,,n errait certamement etc Jet«'m-m a. rir «...r»!,.-». nul. .u..l r*doo.M. I. «wl|-ur u«- ,t„.

i . i (urello ♦*! le lustre lortouc* m.i4- . .: ,r une for. e de 'olont,. une >1 v,.ux son, flin^ ra),v ol. ,.rl» «-et- '»•*^“adna » *1*l.hm Je < aructfre. .ne dneruh* peu ,e « ompoaitlon enlève ditaleinem p*,,‘dunt 1* U n»»rdl der-or^inairef (•«*» homme ne hait «iue ||.K ,.t :,rr«Me la chute «.e>« h*0*'- '«r<^ du ««ap llatteraa«tloir 11 e»t éminemment an mal* cheveux II y a «!«*» anné«‘H on n**rro «l'homme* par«e que, t«>ut «l'a- pouvait avoir re mélange qu'en leIn rd il «*«t extraordlnalremeni mal* préparant rh«*z *>oi. ce nul é’alt11••• «le lut même. Il m* iiOhsè«l*«. p«>rt* tré» ennuva-ux... |e *«'s émotion» : .«>n \i««it*e « ht Actuellement on d. inan«l * »lm* impassible, terne même parfoi*. « e- plement à n'Impoi te quelle l 'mr

>e. chauliêreh «levinrent hors de service, et pendant «leux jour» le vaisseau fut sans vapeur. |*!u*».«*ur» membre* d«* l'équipase t 'm- le « Ibêrent mala le* par nulle lu sur- dreauît po i11

Mon réal. ’.'0. — Malgré !aa pré* «Irf^o.i. !«• t« ua, tu cause de Wilfrid liou-lréunit, accuké de »'<Ur« ap* l>r«‘prié certaines sommds d argent dont .1 devait rendre c«»mpte A la

, mpaynie du Paclique CanadUn dont il était .* IVmploi en qualité l. coud icteur abord d un train

f. art le service entre Montréal e. «.JU' «•' n'est pa» encore ter­m's e

I.e M«'iiet président de laCour «i A si ■ .«pr« une «lut u*-1»ion »• a part «!«•» procureurs de !n Couronne «‘t «1«* !a défense. » renvoj. 1« motion présenté psr M, .1 t’oh. n <-t u'.int p ur but de faW re renvoyé: l'a «e. .t' n portée

\V Bou­la pr»*.!-

L’Ûblifation Sl/tcv«I** la

VILLE DE

PORT-ALFRED< nui tuile )

au rrndi-ioenl de

6.10%

lemlant q ie s«*n regard ii'H''i«-r n*- marie le "remède pour les cheveuxmtnage et du manqu«‘ de hoiu- vr u' ' :!» nieiî. I,-rs.ue le \r w«x*!i « ;>as a "• r« u-.- i au Cap Vé/|r.‘* le vapeur cAtiar ,;r’• Uresham l'aborda r.- u« ..*•• lex

furent

'i (Ti.«a nt «tut remise

est un placciiicitt «le toutl*i-o»|M.|-e ville iiiiluMirielle

•'<«•••• sur mie ra«l«. iiiaitBill«|iie le loin, «lu MMitueiiM), l'OKT*Xl.l'ltl'.lt is»l le |«* porl «|«.

t^uélN*c |»ur rnrtivitt'.. Sa «Ici* eoiilre ^ ** I*41" pivM'iiii* gacanlie.

i é(i;Ui. seui«‘ineni «l«‘ sonik« .Sf«e d** fouiller, de pénétrer Ju»- . .. ..... . . On peut se pneurer un». gr.«u«lequ'à l'Intime de l«ire ses interlo- hou(el!lp vU..,u. r^cetl. a-

leurs Sa volonté que I on sent mél1or<ke p{<r l ,)on 4|e n’iel- re-deIn M'ranla de lui donne uu« i:»''1 'ir lugrédl'*tits pour quelques t rar. *i>o: t «•• A I ho pl al.« t.ûmunte L'exercice de la parole cents.lui ;» rlnnn.. «e timbre qui a'telnt Tout le monile se sort 1» ««fie i i\»* se* auditeurs et cett«‘ di tioit nnrlenne et fameuse recette paire «. t I». fait comprendre de tous On que l'on n«* peut dire que vou- fon- VaDplaudit parfois, plu» pour son vos cheveux tellement a ;«]ai • que parce qu'il plaît I n ^ •*«i!t naturellement et un.formé-ournsl anglais dit de lui qu'il ne m^ntHumecte» une éponge ou une

, . , . hrosse molle avec ce produit pas-p, rj pas son temps en platitude» n ^ ^ r^veux -n“il le :x c«»inmuns. e^t < i* qui

•'Chc/.-nous'LE PRIX NOBEL

A WILSON•e renié

ure petite toufte .'i la fo «prenant

|e mat^nirapp*. dans son discours l*e suite cheveux prl* rturonf «liKp'in. «'t ly Jut. r«'ssi.. n arrête l'attention, et après une couple d';>utres applic-i* xa droit au but lions le» cheveux deviennent ma*

. . . pnlfluuctnent foncés ép;. s ... hill-f-ett. nature autoritaire malgré lanfj? (if ,.on par;iI, pllis rU(K rla bonté que semble r-vêler «on .1- j,*une s ysage quand i! s'adress.- A un Individu

lan-‘ particulier, est t :«>*•• bien r.-qpuse. ^ n«*:r«' époque la. peuple Mit ses maîtres mais il entend res 1er le vrai maître l.'.i-nv ni»' «qi i*r nx;r res.sort Or ave M Me c’,en

: « . mai» o-. >1;. -i : '* U' le et «; il s. • r ♦mipie On es*

l«.r et il vous tri''!

: sorti J : n av.-. !e r lui «ar*

. s'il vousV B.' fait pas «le doute quVn dern: r arl** 11 n'a nen '. u.-rgue de r* s*.ort le maître c'est lui. Melghen. «obert Morden. 'r oi s i.-nt 1 • j>. up!*- ne supporte pas lon^’em;'' 'a dignité, trop éloign* a:- -a un maître, surtout quand il *«t tran- "b l«tiou «le fortune du u ni .n des rbànt. mordant, qu'il lance de» re- mortels Tout cela r lisp »e en sa marques «'initiantes : et ainsi M 'a ** r et pourrait le rendre populai- M«^ghen devient quelquefois irr:- r« - : voulait «ourttset plW t iiit II traite ses a<iversa1res com- î’r^’‘ lé» mesure» ;•« . j.t res M. •N.v d * ennemis, avec la dernière '><'•*: en no le deviendra:: as de si- fiipûeur il fustige san» pitié... Le têt ‘'-'t tro> en- ‘ans «onpremier ministre ne sera pa» popu- cara't'f** H décide à M queî-l..ir« . i<* longtemps tout au moins, nue os. et 11 faut «yo .a passe

Quoi qu'on puisse penser de ce rondenwr La maniér- : -nt il aifW d- M ' ' • *é • •'

e,r.. par le» gens de notre pro*!1^ fa'.°ti dont 1 expo*. - 'h*»e le r' Ntur -p défendre contre les,1 Contre. Il a irolt au «ut sans

... ... >biet et qo'U **** 0 ■ ' M* !4to r, «tupeflem •. poui -n un rnot.'P^1* ar > -se tout.

OB s.« ralt (>ux Vont er.t-n iu avant-hier......... .. et l'habileté: ! ,anr<1r -«•« défi», nier telle <>u telle

rend • s dangen ' •' ' ' " ' ■ '! . • -rain tout, fol» que si »a *1 jusque l'attaque. 1! est d ferme

n " ‘fflrmations om-r. - *.* d .'«'ours a »-i bb'n que étions q«’H • branle on le croit*«•- manière h ;.o!ie< et dénuées de sln^r.

t ton Pf ■ habileté estent n» et itmlnueront sensible- dangereuse 1^ maître d é« oie n est

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plnenbln du fouvarnemnot britan* niqua an Irlande, a occaalonad u* ne nouvelle révolte dea Blnn Pete nera. lia ont attaqué la police: quatorze agente ont été tuée, et

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I réue et se aont mis a tirer aur la» Hpvctateurs au nombre de 15,000.

j On entlme que 30 peraonnea ont perdu la vie dana la bouaculade

| qui en est réaulté. i L'attaque dea Binn Peinera a 'eu lieu 4 9 heures, dimanche ma- ! *in. La plupart des officiera tuée alégeaient dans leacoura martialea

! ou étalent à un autre titre gts- ponaables de l'adniintetrailou de

1 la Justice.

DE MONTREAL1 1

I •• r.i|i|i'>i t ('uimih i«*i d<

LaLKs \ Il TIMhS

aanglant qui ait ancore marqué. Iea annalaa da la guerre rivlle en Irlande. A une même heure, sur dea pointa dlatanta. parfois de plu- 1 aiaura mlllaa. dea petits groupea j de 6 at I homme» pénétrèrent dana las mataona habitées par lea officiera de police ou leurs agents at tuèrent de sang froid leurs v.r- times. A l'bAtal Gresbam, les as- aalllauts étalent au nombre d'une vingtaine. lia accomplirent leur triste besogne, et purent se r'*ti rer «an» être autrement inquiétés, malgré que ret hôtel soit situé en plein centre le la ville. Lne 'ir- ronatance a singulièrement favori­sé l’exploit des meurtriers. Le» rues de Dublin sont îténéralein. iii désertes le dimanvhe matin, et c’ait sans doute la raison qui a fait choisir la dlmanrha. pour la mise à exécution de ce plan inter­nai. On cite comme particulière- ment cruel te cas du rapitairte Newbury, qui fut tué en ptéseuce de sa femme.

LX PJttTHK A4HAHSIXI;Laiteay. 22. L’abbé tiriffiu,

curé de Uusby ParK. a été « r Jelte-

Miwitn- >| J î. il.- la Itanium <l<- 5|<>iilr«;.il jMiiir i ex«*r 1 1. > lini ant te I novrinlire d'Vfiiirr fait \«,ir lr aim liurntimi- «lut* v«»i«'i

Ittjtt HMUé.'aui.l 50.KIJ f.*itâ. •oi so1.* •jsq. 1 îg.'iOn q:JT.uno «os 11 L7:h«.2I 5 iU’/Mi. *.11

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j «.n liste officielle «1» > victim*? ment a.'tsassiné près de Dura». » t du raid s«* lit eumnic suit: milles d«t tîallva... On soupçonna

Major Dowling; iça tapii^jne» jea roidats britauniquea uCUa ka Ma-•!*«»». Newbury. Kagally, Fit/, auteurs de ce crime u-rald et Prlco; l*ex aplfaina P. TLMULTK .1 UJIIK'L' orniick «>t M.M. Bennatt. Ames. (Jork. 22. -- A la suite de» la-ion. Binfth «-t L A Wilde. I«e» ciJent» d*î Dublin, piueieui» coup»

latet- f.arnin it .Mo ris. de 1s ont eu lieu à Cork, bief soir, lu Ko.val Irlsii t'oiistabiilaiyfu>|sinn Feiner nommé 0‘Conne!! a

n ut trouvéK mortü dans un jardin été a:au»siué sur lo seul, de - i do-

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Mnrlii.. Mc, t.-«•i \ f « i nt

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, aero» avoir vainement est-a} é j».• donner 1 alarme à 'a garnison , 1‘*" blessés sont. les colonel.», \\ ott, t'o k et Montgomery, la

capitaine Kinnelly. M.M Mijr-ay .-t s C 'dnwn «r un aune. Caldown fut

d 1 ior2 m, ntionné comne tué capitaine MaoLean et * ■ aid * * v n.

1 u iik band it nr

Itet M.M. Smith

furent attaqués ,«*;• de dou/e hommos. dan»

mai? u jp Northampton Road. Ms furent tiré» de leuis lits et

i.j ortt? » . t.ii;e , pu» é>\ée od on 1*.» abattit à roups de revolver.

) .. r.ijd rondult par tes Slttn^elneia iner matin » été ]p piug

!, si

meure par tioi* honuuea m...> iu<-.l ne querelle a eu lieu entre soi•

data et cl vils, l u homme a ete 1 .<’- et huit blttsaea

l«OXDHFH DKVKM «IttlMIl Loudres. 22. Le» dernier» é*

véiiements d'Irlande m» .<Miducraintif 1- jv»ni* meni i. Loti-4r«*s. I>** forts delà- hementa desOldats ont été post*'» .ï White Mail et à Dawning St:ee

De nontltreuscN troupe /titcif pout l'Irlande

Lh presse anglais-? en générii rér am** la -iiiiTfîon s ■ *•.- de» cno.'s de la dernière émeu*-

AUTRES CONFERENCEA BRUXELLE

Hruiflte*. 22 - 1 tn annoie e qu um• •'iiférriivi* <1 «-xjiprl» de* pui»»» n«^' nil rp- min Ih-m i< 1 « n ite, rmLrr f*«*ui• «*n»idér«*r I» «|iip«.tii*n •l«■■. iiidemiiité» 1«(U« Mtentagiu' aura 4 )>« rr

\. Ni-n \. «

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28 EN GRECE

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1 .H" 22 —* * m me.- fi»r< p-«iv vegUèp ««-ut de j»iiil*r>ti pt

Avertissentsnt du Temps * de Pens aux Alites. Révolte à Sinyr- ne.A1 li*'iip>. 22 I n piéhi-, itp (.cru tfim

- 1 < «ri « «•. I, 2*' tiii\énibrp t»1 irsul. poui *i' • i*l« r «lu retour «1« I p«-r<ii t ••iiMsniin t «-ttr de i-ion vii-nt «I étr«- | ri-i p»r »c • nliiurt IIIimIIv- < on?taiitin .1 fait *a- v«nt » u gmiv <-rnpni«'iit np rptoiirnc

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L'EUROPE A BESOINDE CREDITS

ON t’ICKItir DKS VKTOIUKS IMU IJ I.K t.Ot \ KRNKMFM MKIt.llKX

UN AVERTISSEMENTPuri-. 22 Dan» un éditorial Ip I ciuj»' ivirtit l.« I ranrr «•' I \nsln

trrrr q*i .iv« l:« r4|u«Jitr n • laiiuclli- 1 |i » iln ••• ••ont |i«,u--pp< «-u t in-i • Ip*

Mlu • «*• troiiv «Tout bii-utôl «"ii fai «• ■! un f.ii! iii-r-onipli

l’-'tir p«rl«*i fraiK-liPiiirnl, ajoute jic journal ropiniou |iui>li«|UP pu Kr» «- , 1 «*. nr. oui| rend pa» ■ oiuuivut li> ii«-go< ia tmn» fran«'«t-nngl»i»t*» |»'uvriil êirp rp tar«|p*-* j. ir U rpsrrrlalil,. indi-p<*-ition «li- • ur’-.n ««i 1 «.n.Tunl. rn lu*ln«• l,•nl|>-

- .in .-i n. tu I an triai » ru go ip ave* t «in«t:in tnt

S»r* If# Safpial »• 1 .»cil«a rai»*i|«aaiOttawa. 22 * Les ele* tton.- pir-

t|el)f*> de 5'a!e et de Kleln-K.-t citert un Intérêt pan» pr«cédeut dar- le:» cercli'-- politique?

L« campagne qui Vest termin*< samidl daiis Yale laisse des r?*-,*- rance.» le» deux «ôté?

Le gouv«*rnement s’attenl .4 tin«' \:«-o;re certaine dana Yale,

i* »eir. Ce « cmte «*111 l’ancU n. ne div:»iou de l’Hon. .Martin Uur- rel l^t campagne politiijup s* si terminée pur une giande asaeml-l*- a Vernon, auruedi soir. L* caudi- dat miiiis'érièl .1 MaiKol v i# > h fuit un vigoureux discours de ru ­ine iut> son adv«»r»;ure 1« olone t' Kk-.tt Indépendant qui » en «Jos», le programme lib*‘t.i! et f : inter

Le sentiment protectionniste * •»• *«t fort duns cette partie «Molgnêp du r«>s que lo colonel Kilxett a

TRK JO» RH DK KKTAKD. — (.ION IKMtes IN MI6K. —XA-

IL \ltim K It 1 S\>IHM — t,M \ DF.N I Al "Kl Kl KM

Le ' Victorian' de ia ^ . capitaine if L Wait< 11’( «i j r. s le pot' sam; d:. ros p. m 11 était quatre retard. Il avait à non

« . ic-t

a 2 I Jour jur 1

Pa- meers dont 5.6 de troisi«n. •pe«iuux du C le» passage!.• n

295 de cabin*«■ias-e Des ira:

F. K conduiatr* de.* inat ion

te*» offuier» lu Victorian 01. •*u un rude \o>«in:. à faire t on- (animent en d«voir par suit»? du t-• m|*«'.• l«■ violent* il» ont «xperin te que !•• ' 5'icu) tun est un n.« re -ulid* **1 capable Jeu hirer tu. le» gio> temps Plusieurs pas.-., xei « ont souHcrt du ma! de nt: Un ne raiiporte aucun a«'<‘ld> : v avant p;«.« -« - sez de char boit

Victerlan" dut » arrêter a S i n > » dans 4k heurea le nnvi:u put en obt« nir jue 3uu tonn :*,.u? quoi le •apilaine «1» eide

' du s obliger k soutenir un tarif »«• r»*ndi«* .« vj’uéb»* av< etl'

' I•lu-*. 22 D npr« « ï'ir (*pn l'ai-h.

•n* i.rp Iip**.iii *1 é norm p» • ré- 1

prote tettr modéré Un dit qoe v! MoKelvIe landidat minlstér;*'! i* '•té mieix aoutenu par ses (lier que M. KdJtett par se» arm».

I.e ' I «‘tups dit qu«* la rrslauration .«r*.i«r n en. .«r* i*e->>111 *i «'ni.riiip- > r«*- : . . ■ . i i ., «*tp se«iimplo p**- Ir . Ii**ix «|p Im rpin«*

* si I «mi 'Put cnittri bpr qup •ou uih«- , ..i .... « n.1 ' __ (Hj.*;« I..IIIIH* rpgente t «‘«Ip < i «l.m-nu* rmiiinpr, i;«l n«* l*ri« «iil i,u, 11.

( «-journal «lit «rup Ir p|p)ii*«-itp favi.ri- L«in* nauivi*||p mairaliHera l«* tiuité '1*0

*M*\ rf- et «in'ainsi l<-'-ignatuiri - i|p U’ | I-ifc'iie -« riiiil lo * ii In ( .tel «•

f Ite p-t j pr)M p1)M„|,, itii,truction ü.oi. U ité« «•».,té d acliptrr pm Amrn.pif . ^ nom (|«*, „n,U„t.„ de «ri--»e- i|U4iitit«‘- de mar* haiitlisp*, ;I' .upiu... .«• «ten. mile t-il. I \mériq..r frri| ( 0|,,Ullt(ll " e-t-rll*- |w- «lis,.osée « fairr de- svan.|, |n, t|,., .p.,,,,,,«!• fnn*l« ? lui répoh.n résilierait duns te fait «jur li-» \iiieri«-ain- sont • .—iv«*tn«nt n.éeontent» «lu tr.iit* de |i.iii. I \niprii|ii«* •leniainlc un imui» v i m Ir.nlé II teudri*. -pion sif (ienrgr1’.i'll. «|or I Korop»- inodifip eou-idrr.'f h - iii.-nl -h pi>l|tM|UP. «‘t il .frail pi*s-il»|p que I «*n aiir>i«l«* te qu* «lion d une émis- si,ei guriilltii par tnUle- le- imtlnlis «-I ijui-•■:Hit di*-t,upp i» r«*ti»l>lii I* rr«-dit uiiisi j numeni National, uni qui* le cuiniiiefcp s v rutlaeiiant. *u litlon d«*- ^I«•^,'N d*

« ition Fraitvai.»«* donné» en <«*tte ville, sous l«*s mispiees d»* la So elél.e St-h an-Ilaptiiste. j.ar Mlle ld.>- lu St-.l««aii De courtes alloi ution»

q'ij f ir. nt ensuit*- pronom i.» i*ar l'hon igrii-ide «i iiiiliistriplle *Ip | Athu’iane Divld. M 'liin-el de V*-r-

illr vi«-:ii «Ip -u-ppudr«* -«-s pair i n«?uil. «otthitl «L* Fratit e. J II Laga-v ica-président «1«* la So lét* St-

«lepnk qnrl«|ue ji»'ir* l.r i iipitnl «le In jJ^an-Baptlato. M René du Roure. IJu:i«pi« e t «le <1. INNMNNMMNt «l« v «-n

Daus Ulgin-Lst. trois « «iuL iaU aont sur les rangs, «p qui donne-<^ _ ra de la chance au gou v ei ne ment «lit-on «ar depuis 1592 ce « olk’ge a toujours «Mu les conservateurs

te .« libéraux s avouent battu-, lea fermiers sont «onbauts la victoire.

juantthLe " Victorian partira «1

pudi l upr« a-midl. pour ne levct, iue ie printemps prochain

Le • Metagainn" »!• la C. P a* est entré daus le port ce nu

a T heure'Le "Druid" eat arrivé, mou

tant, nvr * des bouée- il 7 r*u *i. m hier

Le " Pretorlan" et 1# " Slctllun' sont attendus ici demain matin

1

*

AU JAPON«le T«*kl«i man.lePu«* i|épé, h«

I. l'> M«j-|r « e’Iement» m I» suite «I unee<iurs«' aux giii«*nel-

COURS D’ELOCUIIONtertlr# nuSslal 4f I'%p»«»« Calh*l|4a#i

Montréal, 22 L’hon. .\f \tiia- n.i**.* hiivhl »e rétatre Provini ial. u pt ’ri !> . amedi .*;t« midi, au .Mo-

mazniftque'OUI - «I élo-

L’indigestion ne peut

y résisterDiMilnir* d'estotnae, Mlgn-ur,

lia/ et at t«lit«* «l«’*l eu it — pat" Dlapepsln l*a|M* "

COURS DES CHANGES

5i: SKt tDI IIK DF l/"Kl ItFK \

Rimotiski. 22 Le (’apt. Jo-eph D.-tnier. du Ya< ,t a gazoliu ' 'lur *l' M Arinaud Sinard in u tueur, le Capt Fonld. Thibault de la go«'-kit«; 8l-Phlltppe de M« t.i..elchouan. eu vt-it«> a bord d

• 'lurlei ont rendu un >crvtre gnal# à la navigation «ni allant .« i secours du " Kureka". faisaut 1* servi» e d**s Pilotes à la Point U.« dont 1 «'lutin n»' fonctionnait plu» L'rxcrittique «le U valve «! I *n;,- s’«'tait « assé. apr«‘s avoir débarque 1c pilote <|Ul était à l»oi«l d'un kro -:e»mer Américain. I«' f apt H« : nier remorqua ('"Kuroka’’ .«u iu.«i do Klmotiski. hàvre «h* aurct« ou U pourra «tro réparé. I n «iov vont nord ouest. av« un»* m* , déchaînée rendait ce » rvi <■ dui

TROUVE NOYEt ours f«juniiR par

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te* i-hunge 4 New-York sur I >i»dre* ‘ livreh sterling’’ $3 4? • •ri* •* franc" fes 16.22 Bruxelles " fran«'" fea 13 20.< eneie " franc" fee 6 35. Mulrld " p«‘seta" $ 132.5Her!B, " tnark’’ S .ni 17.5 ienne " cottrontte" $ OO'i Potterdani " flori'i” 3ü>i Ruine " Ht»' $ 26 00

Les estomai» détraqués sont immédiatement soulagés Quand

M nie llugucnin «*t .Niüe hlola St-Jeau vos repas ne passent pas et «iue«*t plusLurs autre?. vous nvex dea éructations «le gai

u«■(île» ou d»* nourrituer mal «Dgé- rée , quand v««us ressente» des dou- leur» et beaucoup de m,liaison RK Ft Ht»| K

------------ daus Prstomuc. des brûlententu ou Le navin •• South America| Ottaw:». 22. Le « ot ps d'un |«* mal «te tète, voici ce qui peut t'est échoué a fîlv * su K" 'homme, qu on pense être un soldat voi.s soulager i ,.vuc. eat «*ncor • « !•« m. m«1 de retour nemmé Krunk Rod- Aussitôt que vous «valez une ta- dans la même siiuiit.or Le Lord 1 d i u -A ! on a «té trouvé hier ffottan* Motte ou deux de " Dlapepsin l’a- strntheona" pa; sut* d’un «ut I sur la ilv ere. «*n arrière du f’ha- *u' • ,ou,<’ dyspepsie. Indigestion xonl jjj, no. j.f.s! n a ; , Pn appro ! t • a u I auriar. par «Uux gaiqou-. ,l«•iü,, rV*** j*9* .*** I ealomac eau s rjlrv a.,ê> u;d'

Hull. (' Houlay et Aurèlt Hélait J1 dtepui’aiMeut ' *‘*| *' !.♦ "8ouih America ' n ayant ;>»■•I... mort remontait « «luelqitoa l"'u-1 ^ [JJ,p*p,^ '* rv*™, "„J te télégraphe 4 son borl. eu n’a pute d peine, d’aprôa le coroner D* 1 ^ ... i.,.. tavoir était enJoinmuge

Lo» Itaitures étn”t trê*i r«>raU louses ii l'endroit o«'t il •••■t é.-hott *.

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««tn >i>v «1»*» *•! I.»

«ni mils nuis inisOHS UIMIE 01HIIUI

L’INCENDIE D’HIER A ST ROCH

"- Deux femmes et sept enfants ont péri dansl^rb'N. H*»l» «>|MHIk, H TilHim-, M»M ■

Mtoi anat* liai-’ItrMU'fr^rr, voi»i»i db*i».

0 V*« él»* priMlO l’K»fMl-Hit *!«•p< IliOt’IK t'O. «'«llllllâi^^itOO l*"'InKlrunirnU musique.

un incendie a PadoueTERRIBLE EXPLOSIO N DE GAZOLINE

on;aiii&a 1«* tauvetafe. Tout* le* bomutcM aci-oururoiit sur le théâ­tre Je riuccndie «*t travaillèrent avec courage pour combattre les flamme» qui dâjâ fal>mlent rage. C’e \Iliade ne poanédo pas Je a^^t^•

t me contre les ttxenJiea Ou dut 1 Jon«- chatroyer l'eau à la chauJié-

••‘en ;«» • _____ _ —----- - • r®'romiNqcnail |N.ur chanter le» |-au- a......... a# • *«•- .-..—u—; charbon. Après pUs d une heure de ti.^,m*»- • »t ninsl patronne *h<« imi-t- fadoue. \latane, J2. — l u in- Toujours est-il que la ga/.oltne! ; • l'“ rvlnt ù maltrifc«r ht.j4.n%’ ceiuli.* JesaMreux s’est déclaré Ici fit explosion et le feu ae comtuunM *' • ' boni mes tra\alMe

incenJU q ut a jilotii:»' qua rapidement A la malaon qul.,‘!-‘ prottger l<-ci Tthun-e, et toului aViii|M»rer «le dans le deuil leux familles Je cet- en quelque* instants ne fut qu*-, Biaison» volrine». qui heureuse-

.. . • . 4 i- — . / % M a I II.. ..ni .1 A- • a* ^ i MS Aaa «SA <• ..■•KaS .1 A M K «SI 11\ . > U \f 111 tk lit 11 f

la* prefet tit nmrt>riser \nléii«u hier soir incenJit qut a plongé qua rapidement À la maison qui;Cl Ttburce et voulut aVinpore» de dan» le deuil leux famille* de cet-1 en quelques instant* ne fut qu*«| leur» bien» ; mai» réelle avait tout te paroUx-. <>t Incendie qui .• dé- une immense gerbe de flammes. M.| ment ne fureni | a> eti-iommagées di.niié »u\ iwuvre». « ond.uniiéc à tmlt une maison a ;»u»>t causé la Perreault parvint à briser une fe- l<oroque l*1 *• >t îut «'teint on

fouilla le suit.es e. on sorti* lesdonné aux pnuire. lie bridée .lie/ elle, h » damio s la mort le neuf per.-onm . .* femmes nétre et sortit du brasier 11 a , .r.-MMctent. la* boum*au veut lui et ” enfants valt déjà reçu de* brûlures Hase*, neuf ce lire. . a • né^ Inv* Id-trancher la tête. » > reprend à tnd* Vol* ! . omm. tu les choses se graves et se blesr-a en sortant parj r*?ault ^,alt eoueb e ur son lu a-

»an» l'm-hever. l'Iu» tard, »>*nt pu o'.- Hier »oir vers sept) 1# fenêtre II fut transporté chez u*s éon p us .■ u:.* entant dansfoi»«lan» »ou toitiheuii, ou i .» doux‘'c heures M et Mme Vntolne l.'lta- M K Gagnon oh il a du prendna; hraa. Mie avait ie corps <n grau

lier arrivaient chez M. Mph.j/ise le litivlourné.* de côté.Perreault. Mme 1. Italien e»i la M. Vltallen »iui était k lécurle! Oit retrouva le cadavre de Mme

SI M i ll lever. *.*M> le UK ». et rou. hcr. 1.0.1 *o un ».

M.\ltKK-haul«', d"’» o ucc. \. >|. et d.ai) heure» I*. 'I.

soeur de Min»- Pei result M. et lors«j :e cette explosion »e produi- !.’ltal.»n dans un autre ai>parte-ment.

Les neuf cadavre* ont été trans­portés c«* matin chez M Paul Thé- rlault. hè’clier. et père de Mm*'*

Bulletin meteoroloiiique\'« ni nord-«*>t c-t neige.

LA PAROLE DU

Mme 1/lialien étal.*111 accompagnés suit, en apercevant le feu voulutde leurs Jeux enfants se porter au secours Je su femme

Apre-. lot, -ululation* d'usage, «*t de m* enfant.* Ses efforts fu-comme il commençait h »e faire rent inutiles. Il était impossiblenul:, . t» par!.» d'allumer les lum- de pénétrer dans la maison ou se Perreault et 1.'italienP«» L'une d'elle* «tant vide on trouvaient Mme L’Italien et ses 2 Ce sinistre, on le comprend fa-

|vcultit la remplir On alla cher- enfant* et Mme Perreault et »e* Sjcilement. a été J» te l’émoi clans la cher .« cruche soutenant de l'hui-i enfants. Ce* neuf personnes pérl-j population de Padoue le de c har on mais colle cl con-j rent donc duns les flammes ! Aux famille* si cruellement é-tenait ic* la cazoline qui leur a- Dan* le village, dés qu’on eut 1 prouvée» nou» présentons nos sym- vuii « t- vendue au lieu d'huile de. roRnaissanoe de cet incendie, onjpathies

I

TARIFDES

PETITES ANNONCESA partir du Ur Octobra.

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Photo*craphh- prl».* mu cour» ch* riiiceudh* qui a clétrull le 111 »ita»ln Marceau A* < le, le iiiagasin «le .1, 10 et IS »ou», et une partie du iiinua»ln île la t'h* PaqiK-t, l.tee. — \ olr h*e détail» «*li lèn* et itéiu** page». 1 Photo du photograph» do 1* Pharmacie W. Hruuet, &. Cio.).

I.,. |,r «-.*cir M«*iiiilc*r pourrait <>1. -,1. i|.vi«'l.-r des .Mècr» |>«»cir I»* • i«ur' rn m-iil .I ;if 'oiu|Maii<'uient 'Innn' l ii.irt, »'i*nr»i le «•» «Jih'Im»*, <I‘Ii*I .1 /novembre. I-''* aspirants .’i «•»* in- . .urs devront .Ion.* »e |iré»*,tit< ■ / r* rite dHCe i'« tien i pi>r». * lier. Melle c

Va«*hon de même M'â t «. fiez Mi lle LaUilIppe. pré» «lu .1 .. *i-. .'..ii:> .1 <l<>nné aatl»fii<'t|on «.....«iiv Alève* .jiit ont milvt. •Inn* t< • ei le« ttai'.ilMes ruvIrnniiante». <l«- ti •011 1 ee |.» « J liant ineiitlonnêe

22 i-y-

SAINT-PERE U PROHIBITIONSERA OBSERVEE

4 XK KXt A <M,lgt L ^Ul ^\IM KPHRKM. IhkTI M: DK I »- D1JS1*:.

l^e* Aeta \|H»»t«>li«i««* *'*«h*b’ii*nt utic Encyclique gant par les mots Pnmipt mlorum, sur s».iint K;>:u* ni l» teur d» l'Eglise universel’.' h. c-’ datée du 5 oc-tobre.

(’elle Encyclique. lit-on dan «• préambule, suit de fort pié- c**l-

\ P \KTIit D'AiJOI Kl» Ht I IXoS

UN ENFANT ROULE SOUS

UN AUTO

M. J. 0. MORIN IVERÎISSEMENT DE M. ROWEU

N’EST PAS MORT « u m[ DES NATIONS

Note personneUeM.'ll»|elir AiC’lll- t'oief < •>.ill»ie. ;• Il *

. Iirciius, le-v M-Valil.r l'.crtl .1 cv \..rk pour .1 »■ niuUle, .» I» •..iiole

en.an «te riievan» trott«*uia i«u« l’tuté r*'t «l«* 'on « •>aiiii«*r*v.

IX ♦ I

Marchands!Mit»! ItES !»| \ I K K'** >EUn\T lN «, \|H(>\ |» *-|\ AXS KCIt %. l’KI^KS « OVl'KI. tl> VEX- N|; |,'\| TO MOD II.K DI*1*1 l KS D’AlXtHiL. CH EK DOXXEILV, HIEIl MIDI

l.K DISPAItt AV HAIT KTE VU DEPI AS LE JOUH OU OX \ THOVVK SK S VETEMENTS A VII.LEMOXTKL

IL de St-Vi toi nommé ré- ceir.jnent usisstitit .c M LJ.-lt. 'tur;*'.\ administrai r de la loi

«i ;v npérance. ai • ent d'apr*'*sle 'juc Nous voua udr«*88âm<*i<. vP j,.H 1 ti-■.*-u "ions .l«*s f i«'r> pro-ntrabhs frires. au jour anniv«*r- vin :.iux larg'q d- «Intenir eur. iir» de la naissance do saint J«*- viguou: ’oi do t' -er.ince dansrôme, mats c’est que. eu e ffet, ce* ja provinc* a vlaitt i-utr» dor-Icux grands homme» se ressem- njPrs t„us lo= éî.*,» ;*'«ments où

N'i* m - ir plu- d un point, « ar Je- ><;i tp.Kj jpn liqueur* ■> '«>oIlq^»*a» et • n. •’ Epb em furent l>ie»que a notifié 1«.** vendeurs autorisés « ontomporaln-, fur«*nt tous d» ux ' qy,. de» me-uros nouvelles se- m.' ■ * ~ .«'..térent tou* d* ux ■ 1 raient ris» h en vue +* faire ob-s. r * •k- » r**ut tous d«’ux dans {server !a loi. Le.» vendeurs ontla 1 c n: ii--auc» l’étude d** i L- aus.i r« .u l’ordre d«* ne pas ven- tntar»* Sainte. On p«- it l«s appeler qrt. boisson forte sans un lertl- a >0:1 droit deux r lélu >r» - bni- f A. j. médecin pour se confor-

•**■ i mer1 Orient, - iront d

Dans leurs écr.is, ni :ne bonté et .|f. difficulté A se procurer d«*s II- niéme «*snrit aussi, «le m« me <111 «*u «jucurs alcoolhiue* qu«' dans le eux resplendit la do* trine uriani* pa.-.A.Ve et Immun " ' ' " '«t orh-ntaux. Il convient par*?’!!* j.. i;, io| d. T*‘m;..rani» at de !m

Vers quatr«* heures. hi«*r aiir»'*- La dis|)arition de M. .1.-0. M"- inidt. un accident *'8t survenu, dans rln ex-«léputé de l’islet. qui n'ala ru«» Marchand, qui aurait pu pas été revu chez lui depuis unavoir «les suites très graves. mois, n'a pas été assassiné, ne .»'«‘-t

la* Jeune enfant de M Wilfrid pa» noyé. «*t n’est pas mort (.îarneau. demeurant au No 3 S s. (Vue nouvelle surprenan*e non»

; ru«* Itlohelleu. a reçu de «loulou- a été communiquée ce matin, parreuses blessures à la t.*t«*. alors une source autori»* equ’il roula sous l'automobile «lu Au département «lu Procureur chef Donnelly. Général, on semble être de la mê-

Le délégué canadien lui dit de ne pas se mêler des af­faires intérieures du Canada

>UX►►

► _________________________» ♦* Parmi h* »tork «le \ «•(•*• ^ > ment» (Miur <l*m«*». que n«m» i «Vouhtu» à M>% «lu prix d«

ROintt..» TTT^, v..,tr | ; t..«nufnrmrr. no.»» ax«»«» ,,,,' ' • « • 1 r loi Ab ft m rru r»'** tni.ili

1. i'*u » 1. ni- l>* M. III. "Iti • l(ob.*rg<- t i variée» «|Ue «iml» xemloii» a 1i i moitié pris. ♦

DECES

I.» n f 11 u*’ m i 11 t % «Ilirutir ;1du Uiurtlt A '• %% % iM*ll * £**>**ul*0*91*0 «pa«!ai 4b rA**»*- • -••«in#» v i-r*. Jf* I*OîUir08t îait lM*«iM« l»A2»iirl •If la uiat»«»ii 1 # UI1 ,,, * <,,,

LondtM 2 2. — Ceux qui. toi. 1 retnarqu.T que lee Dominions an- N- •» B»»!«**rd L*n« • ♦ P°«r *•*«- ‘'..mm.* pour le p*.sont «‘u favivir de l'in lêpendatice^ g*iais sont devenu* de véritables Je* Dominions ont applaudi le r»- nations, chacune av«*c >a eonsden-

im«*rtèr«* 8t-<’barl«*a. I.'offl' ^ «I» r \ ;•«••!.•lui

réunira prochainem«Mit ne «<»nsl

cet» d i sco u i s de l’Hon. N. W. Ro­well. à Keiu-ve. Le délégué cana-

1 i°u a vert! la Ligue d**s Nation*de ne pas se mêl«*r «h's affaires in-| d«’>rera j*hs d»* changenient* ianstérieur.sfi du Canula t’ne telle in-, la « on.-titut ion impétéale. mais si I.'onfam J,, six an. (Um*4 m* opinion a ... «ujol. «In.l q»o I" oh.„,..n,a„„ do'|,

ilan* la rue Marchand, quand I au- «létectlve Georges Roy, i|iii « st r»*- Mtuohil»* «lu chef Donnelly, de la venu a ljuéb«‘c. hier, après avoirHrigade «lu Feu. qui descendait la iMté attentivement les environs i(ir qur Jo. en r..lopncrue. à la vitesse que l’on suit que de Villemontel. pendant plusieurs dohont Atre (.oniaitP, uihi u 'à la prenn. in les voiture* de la hnga-: jour* On nou* a affirmé ce matin fln (>r| (.st jntPrpr^.té eonjmo

, de. frappa le jeun<î imprud-nt qui; «tue M. J-O. Morin a été vu à ,in„ qup al.quelque part depuis le Jour où s- dora <t rKmpin. it In>rler far.

•t«* la I’rl« !.ce national»* et s“** aspirations r-;"- h.n.it »»>ir a T->* b«*..r«Mj, / , I ««•«»nt» «-t .uni* *"Ht -irtl1» <1 vr a*« «ter

T^« cott’ -rence Impériale qui se .,„t , umuhI u

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► tt2ft St-.l«»»«‘ph

BON-TONT.*L d t:

à l'Empire anglais j c**K-.ilreL'Hon M. Rowell a au'.»: Insist* p«>s»*s par b*s Dominion*

Le discours «le Rowell

était au milieu d«* la rueL'automobile du chef arrêta aus­

sitôt «*f l'on por’a s»*cours au p«- fi» malheureux qu«» l'on /«‘titra

Le Dr J -

'ait

« X» I «.\«.t XX 't h. <• r.* •plus tard il* seront pto- •, •, ,.f ,|,.(|jj hpiir.*. *>>r:i <,iait' A si

« har • » «le I».*II«*--Iih*«. I«* a*rrl.«- «t»nt-«ulrc U«* fill 'I ... l'r* ..ta « .,»t'*lt

„ 14V, ii.. Mari* !..<’i:».* l*«*tvln. '-,'t 22nvoir le besoin d«* coopération en­tre r Angleterre et le» Domini n v» v - »«»\ v -chaju* Domittion «levant porter '*• '•■'• •••ut'* » • • *••* •>»»". Miri* v

I «'intuuliit. ae <b» 'tr l‘Ul!t;>|»vêtement» on» été trouvé» sur les , ' 's.'u ,M * ' ,,’i‘*‘'s ‘l ' ' 1 '* ' >»»«•*•’ •• * «' »*«:< • l»ati«»' « s '..|,r««. . . . ,■ deau de» r« »pousabilir internatlo- I».* la solution «les ;«fT.«it < - tnte- * j, ,.,» i.. .*i i, .«bords «le la r.viere Mllemonrel, nalP8 . i «t y «.atMer. '«nb l*».n p ...

rfeures.

T. Gilbert et le Dr Verge, de la *. «»«««•««-au*, «i «uH.iiiu j».* r«*. .*■ j,. ia jot q. T«'m,*ran> et d»* la ... , . IA __m. n» que leur louange et l«*ur g!oi- loi Scott s«»nt mis »n vigueur dans ru<*J>,*Je*n’ U a'1po’ "* '

- • fondent en une -*•.*• • > . h aué- rodi*um ..*» p*««mier*» s«»ins * • ■ *tant a une large blessure a la trie

______ L’ambulance fut appelée aussitôti rr tiitTiPTnro i •■( I» petite victime fut transpor-Ltb MINIbTKti

MUTATION DE PROPRIETEt*. it .«* district et ia ville d«* <J>ié-

L’EneyclAque r*tra«e ensuite i» bec. sainte vio d'F.pbreni, ezatte la — - »

LES FERMES EXPERIMENTALES

ferveur de son apostolat, lu BÛrrré«V* sa do trine, citant no:atnni**iit *«* ;arole- sur le b.n nti *• d. .a mease. sur la Vierge, Mère d L>:«'U, sur lu primauté d«> I’icrr».

Ta? l'ape termine en » éran»

A MONTREALtéc u !'Hôtel-Dieu, ou on lui lit plusieurs points de sutuic

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* Puissent tomb< - n« ..;t-ilt au muffle de L C’a «i ! « • . • * S-- j , ie* auspices de .-a nt K;.l:r«.ni. les «vb'tarlea qui retiennent, héla» une portion si hrllt du troupt-au chrétien en «J* Mors de la pierre mystique eu lii'iuclb* le Chriat x édifié son Erlf.se ”

Ce?t<* nottv»||f« nou.s arriv.. l<» le d d e tu a. * m< tu >* ann v«* -a • d irai a tu • du ■-•«int P* re !!<*- noli XV *’anr. «*n « ffc*t ne a G«>- nc ;•* .1 noveuxbr** jv.4. «-t étant en'ré depuis hier dans sa soixante • * *.\ièm«> année

Notts prion* ardemment le Ciel nu il on serve longiemp- A .1 •.•*.. de . Eglise ;>• pontife éminent ju la guide d’un** main «d *ùre t*a- 'ers Je» difficulté» actuelle*

ACTIONS ENDOMMAGES

<’•■ matin, seul le greffe de la {un nouveau progr* ' 'Cour Sut>éri«*ure. a vu défiler des * •avocat* et «i«»s clionts.

I«es divisions de 1» Coût Sapé- jr:*«ur** où siégeront que le 1er «14- jeembre; L.« Cour d«.* Révision *i*vg* ra le2Ô, 2t» 29, 3u et 31, |k>ui entendre 1- ' au?-**.* encore inscrites au rôle.

El It'll ?» LES \1 TER RS PltEst MES DR x \> M»i«» > (.Hir\t>l. DE A.-»o»m> \ sT-l EAX, rsl v«ti» fouriitr 'les ;>r!v eonr tm-aux «b-lltEK\ILLE,è si»NT \HHFTI> '* *'’ - 'i - A T ..trncaii» M i.iIUrr,

A MOXrH£AL \i <JOI It*» D’t X IXt I MUE __ « Il X 1(1111N • -I •

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Il j. à r lo»1 ré arr«**tatlon M*n.satlounelb'site- de <«- fermeh .*t dé « troi* *aniedi matin au cour* d’un in

■«it* ont été c hoM» aux endroit s "-ndi» qui 'alenit rage à la manu- |{P|tl,.r. :x r;,.u„„a qairanl p »"suivant Notre-Dam* du La»-. Té"- fac.ure d«* vitr«*s Moore. *ltu»'<* sur fav.ur "t«i«-i,'i.*.

.mif le t-ur.i .tu fleuve et q il .« <au»(Ste \*i*. (1. - Plaines r. rr. r,nne Plu»* «,0 l-â')00 d»* domma-

REMERCIEMENTS

VETEMENTS!A 50%

TROUVE

Pur l’entremise de *: >u légal Gelly et Dion M P I r**lletier a pn- une a« tion en J« . ■- pourar, l ient «1<* travail «tu ontant le xjo.Oôa «-intre Je Suits Ministre

**s chemins de fer « t « anaux

LA LIGUE VA AGIR\ L’tM « Aslox DE I ' EE I I

STE-( E< ILE. — ( I ?»nii: \ H HEURES

»•»*»«• teMkol «• i a«M*« C«*a»»leMGenève, 2 2 - L'Assemblée d»'*

Pelletier ét.t.t « « f • tr sm ;a (i«.j Nations a adopté, «ymatin, à runanimité une résolu-nn train qui vont en collision ave

Ce soir a laSt-Fraaçois «l'Aj-^isei aura li* i un grand concert organisé par M J. '

islon d. 1.» fételÎK>ur r 'il u•^r‘,la* < ultKat»>ur a l«

LE CARD. BEGINAUX t-U.

> Transcontinenta: . ’..«.'«eita-ne tloa m. Vivian!, demandant au< le ’Met Dans ■ • M< . dent Conseil de la I^igu** de prendre* im- ' Pelletier fut hl> - «• • ir.■ .ni- me liatetnent le» niestire* nécessai-

>• Transporté .« . H.r i».' i** ;«•« pour sauver l'Arménie.Lev l'am èut.ttion de l,v jam' e fut nécessaire. M. Pelletier récia. me (le* frai* ettcolru*. m*- res fr.ii - • :.< <» iru**

ACCUSES DE VOL CETTE APRES-MIDIA TROIS HEURES

I -amedi le* périmer e* tMCMé de |tKXKDlCriOX NOUEXXffLIJS ET . vol ave viole,,, e et I autre pour o| VEItTUKK DU «iHAXD HA- *U

Edmond fiaulin, un rharretter, et feuimettc* Duquet ont été arrêt.’*

Hi«r apt «.•►-midi. Son i.min«n- «e :e < ar«liual If.'-giti, accompagné n,,‘r de M l'abbé K. Marf«*l partaitpour Wootlxorkct Rhode Matid -son hmiti«*nc« »UN«l8tera d.'tiiuin aux fct.-s d«*s noce* d'or «le xjgr Cbar- .■ Du ray. «ur»; de la parois*, ou Précieux Sang de Wouuaocket

L’AFFAIRÉ'DES ALAMBICS

Une action «•' domm.ig'*? au mon’ant <1<* f't’.lJ a . *é pr -e pour ;«< < < ld«*,u «1* travail par Xi. \lf,e«l Sain.oi ««Mitre 1«. (!« partent nt 1*

a 'Inrine MarthanJe < anadienne ^ 11 étranger, du nom de Her-par ! entre i». «1 i : .r«m lier-. m*r. a porté .dainte disant qu on

P,.-t nier de Billy I lui ai ai» volé $ 1 fin._ i Le» deux .««rusé* ont en prison

klAI/IIIÜ ATl/lM? i II» ont «omparu. ce matin, devantNUivllnAl ilirij Phon. juge Laeitan e. «*n t our d»*». DnVINrlAlfÇIS‘ ‘“,s <1‘’ l’u!X' 'umparal- l l\U f inLlALt J front de nou'* au r.*r u:.r. -midi

I pour «lé«-ider de? cautionnements I ,i pl<i .i "s..u ll«>uneur c lieiitrumnt , '’t du procès.

k.. iv.rneur del «v.» ri du ««.nsrnte.nent j 'Dre 0»« ;«r Drouin est l ave at ,j.i « oii't-ii «•»•> «tif «h* f;»ir«* !«•» u*.tiittia- j dcs accusés.

NEGOCIATIONS

\ « iellem» n( 1« - ex ..-rt- agrono-' 1 ‘ a établisacmen* me» sont ,« islter d« f.rr.**- dan» a ,n*s ni,,itT aur cinq

DE | , st-Jean. Ritnoti'- 1 ésum«’* auteurs «lu vs>. ch* $.i ô«)0kl. Mont.ulm et Vrthaba-ka. ’ ,i'' fourrur«*» eominih, au commen­

ce* ferroe* «J'< xp»*r mentation ne « *‘ment d** la semaine l.rnl«*re, au .<o ont a- .‘té. ,,r le g.Mjverne- m-igasin de la »ueces«ion K-louard

I ’ \ ■ P • ( ■ ■ L'*ni»*itd a'» un cultivateur Gravel avait •(«• ml* «au 'mi­

rant «lu vol par 1«* chef <|«* pnti.'' contrôle Je de St-Jean L'arp'stnthm «*ut li«* i

,j#|»a f« rm« tn«i' Il suit b-s «lir«*« tion- 'erB x ‘',l ,llu,i|1 Ion: «'iide* agn.notn.-. j eommendant s-, homme* I** « h.*:

(V t^-rr.* doivent m«*»it«**r i>ai l,ra't ' surxeil .u* a'temiv* ;m ; • tuoin le ?ô a r«*s et pa» plu» de '“'l ro’l,* Ù’1’ pusse pré» de la 1 nt) acre» et s'.nt «nus la direction ttufa ttire «•* <« v luit au l’ont lu gmiveruement ;«'ti«iant ein«t an». tr,tia. «i :aitd il aper<;tit un» aut"- Le but le Département ,!«* l’Agri- ’ mtenant n j in llvi lit». ult ire est de prouver qu«* san» plu* *our’:‘' 1 bart*. «|ui » appr«le frais et »«n» plu» d«* travail, une, mais dut » urr«‘ter a < au*«* d«‘s terr»* cultivée suivant «h-s données *’,x 'I1*' obstruai<*nt la vole

peut produire plu h

H:«>l v t.» — t'n««ronv<V sur lu »«;•• v, .lim Ou t.'.'tr l i r«'*l»n»«*r s .cl«•••«»ut «u N»

«•t rue J ci. n ue i \ «-ti n»' t. nt 1«*« frit» «l'anDoiio**. 22n.’’,f-

\ Sa'a ni .« I'dde Ste-Uéeile. patronn».* <1**- n«u»i- cit ns. i^*s principaux artl* quebec prenlmnt part i «'■rt.

Les carte» seront en \«*nt porte de la salle.

vi'.it'iru* «f Xl.i'lin»'* I’ t Hiuln «P.'•*li, n s,,. ,.*,,, ,•( ’.*ur f|!» t|) Misi.'tir

i.*.. •• lt / i. «■•' • |.tiitl« hier tiii.tl ,, - vi ..i. i i'« . •. ..|,r i|«>.• . • j.'iir* I»-» li.’.t. * !•• .ij*.u«ie.i■ et u.,.

ne t'i.ul \ « •».'t>. l'.ir l.iifoutaiit.

( ►i >O( 1ri \oi»s allons continuer n«»ir«^ Ki.in.h* xente «le »iii*pll»M «h1 n «• t t iinfiieiitre «l'i«'t l'lnx«,iit.»ii«■•«t Nous aillions mieux x«*n<h>On .'Mte*f «h* irilui t imi »m«* <1< > g.inler n«»»re umml Mock.( t Moins il nou» **11 i«'»iera. nmtn t t non- atimn» 'l inv.-utaire à • • • O r«’

loiil ,».i»s«' .« .*»»»er «lu pii\t «h* iiii«nuf.irt»ir«» : manie.«uv^ coHtunies, inhcs, hloUM*». gain»

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<* •- t- ««*,,•■ apr» * midi a it«,s quo «loit s'ouvrir 1» fameux bazar de rt,-Jean HaptlMe. par un«* bé- llédtcthm solennelle (le M le curé || y a quelque t« iu|is l« - eotl- I.-K. Labetge Vus- tôt âpre- otn s..iiiei» «l’une «b no* i».ir«»i**s.*s « imenrera «e,,e grande v.-nte d«* « ha- raie» intentaient «I** poursuit» * .«tité qui durera 15 Jour». „n méd.'«‘in d«* I'. tnlrott pour v-n

La salle s«*ra ouverte t«»tiH le» ,,.s Illégale» «h* boisson !»« «ait** jours, «h* 2 a 11 heure». |\ M . an a*,.s, instiultf.. «t le ni«'*d«*cin a «'• ••gk* d«*» rti«*s S,-Jean «*, Dellgny rotidumné a f it'»» d'atin*nd« «» b*Rendons-nous y e» foule «••• soir ; (rais, pour une deux,.'*m«* off* n»

Demain u 4 heures ouverture «jl-

rt'approchnnt iinnt.ld «tement. ü découvrit nu«’ l’uutn «‘tait r«*mpll«* d«* %,'urrurr*- e, if s'i .tipar:. le» ci,,., indlviiiii*. ( « ux • i on, «om- parn devant le Juge !.. ?,. ’««• sa­medi et I etiqu. t< a ét. Uv .,* iV„ 2ti courant.

NOMINATIONS

L Hm Juge La« hanrr .'use en f ôof 1 * la t out f«** rt.’s i» n«i de ial'alx rendra jugement mere, «-.J,

matin «Ihii» ia rance ie Harij v« Muel.c»Dombrowaki MM («.*«»rgr» («lover, bijoutof Mon

4 tniitJrnefrr ’r* ‘i "lll,*mA L Uni / LKjI 1 L mount. W«I«* J«ig« » de P*«x po'ir ir______ , «liatriet «i« Montréal

ROMPUES A RIGA, i'rév«»>,int un Jug.'ito ut déi.iv.

flclelle par Son Excellen-e le Lieu- rabl**. «•«* mon rieur a Jugé phi' tenant-Gouvernt*ur. Jeudi soir, à honorable de quitter la paroisse * heures, souper pour les Congré-J Ha„„ |ai*s.*t simi ..dr« r-*

IM Côtne l.aii<*t«»t et Ji)k.'i/i iG.*r*.«i» inarrhands «l«* rtt iNidin'e.

La »r:llri,^ ont été no minés ,ug«'X «)•’ pa x pour le district (le .M««itl- réal.

'* J -A M iMunatuy, « ■» tt tP*r ,| * Q'o’ Ik*» a ét r ijniiimé juge »,• pjjJx pour ’e «liHtrict de Gtiéb«*i

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aa ■ ■ ■ âT. ' F. I F.» ii>«t. geiitillmmme.MALLES ElROPEENNES griitilh..mme et t barl»*. H.*l.,uger av.,-. ««t . t.»u« de -Mint Jean. I’ ().* ' ««njomte ment prut..notaire «le la « Hur »ii|n:*rielirr greffier «le la paix du <!i»tn. t «ITIierville

la?» malle» européennes qui de­vaient *tre ex;>édié**<*» par le rttr “Metagsms" aeront expédié*** (iar le rttr •’Victorian'’ partant le 23. «, seront ferin«* » .««i bureau-chef t 2 Un |» \, . e ji.'ir !'

L* *t.«* leur -f v 1 lU-tml.i *. . f

. « i»*ln*.tt. X tK.r.t «t.i • «. Ntutdau'' «*11«•i «> •«.ni un vi«y,»^.. ru t'.iir«»|»«*

(.ont»uivre tant que la l'oloeny n'auratc pas rempli »«* pr..ine«»r «le ramener »e, trouj.e* à riiiti-rieor de »«•» frontière*

x r m» ri. iix/xk i|t i »tit\ iis, v l.'\< %li»:ui» »T-J«»»M*M. « « i, \l»M.I<«>X Kl » I -4 0. X N

\t.#ii*i.*'ir J.i» Haurier. )«• p*>i«'il •! •* narvt >n iu«>Btrêainla. «,ue noua av»na eu

pltlalr «tVntea.ire lii«>r **.|r, . i i '«ti• «Tt de I u«.»u Vln*i. »le t«* q. » • «in 1vé i q.iAia» aanie.ll. «•, »*•.», .'iir...*i»l i ê au « ,i.tte«ill Vliiuateil *i.U.*ter.»l

loiirbe *l • la .............t,- h|c * .,t

XI ne t «»‘lln. I.II^IK v. i|lr«. f .. .• .«• la tat.le .tu »• r*- * ••••iT '■.«ni • ••liau

i« » Joliet*, »*»iati'e le j. i*te.|. . | , d..*I. ■

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nier, fti,«* d»* f«*ii l.oiii» lirater. , n «|ê.^« «tuer fut «erv t > liez M I luim t «•'«•nier;1.1 f millte était réunie.I «»M I It I M‘»\ N» I

VI •• t*. .I|n "■ m el XI | .ut» pom* |0 et*.«•»« •• ;• of. •«•■u « < tianti- ••ni nu < on I• ert 1 1 li”. a *o| X|e| •• la’l'oiruea.l 1 '. oiup..^ "i.i •■» u .*, 1 «t • \ . p.. xllon* > en tou II* e«* «ailr, angle

.' i l • ■ ■ t.. 1 n .l«*« rite» ?i|«l«*nn et Ih'limn.

laa jeune» g«*n» amateum de In-lle» rraxat**», poiirnutl »‘en pro- « «ir«*r une, «|«* tre» Ininiie <|ualil«‘

k la lolerit* du grand ba/ar «le Maint Jeun lla|»ti»t«‘.

Le célèbre HACHIS

WAGSTAFFES

Lt* luit'lii» « r cemi “PUNCH”

Il a («m, la »u»«*iir d’autrefid*, étant fait d’apri-a la c«vl«*- hn* rr celle attKlalm* en u»age de g<*iM*rnlinn en génération. K*sayt>z-I«> Il uni» «-où I era |N*ut-êlrr <|iiel«|ue» nou* de pln,‘ niai» il !••» xaut. étant fait «le* iii«*ill«>ur* fruit* ««rlentaux et «le» plu» Ilim** épi*e».

OEM N JEZ-LE A VOTRE L PICIE9