ww

w.d

ranc

y.ne

t

N° 272 du mercredi 16 au mercredi 30 avril 2014

TOUS LES 15 JOURS, l’essentiel…

Après le 1er et unique tour

de scrutin, le nouveau conseil

municipal a élu, samedi 29 mars, le maire

de Drancy, les 14 adjoints au maire

et les 4 adjoints de quartier.

Hommage à Max Jacob70 ans après sa mort dans le camp de La Muette, la Ville et le Mémorial de la Shoah rendent hommage au poète, samedi 26 et dimanche 27 avril.

Pâques dans la villeSur le marché le matin et dans le parc de Ladoucette l’après-midi, les œufs de Pâques vous attendent !

P. 3

P. 5

P. 7 à 9

Jean-Christophe Lagarde, élu maire de Drancy

vie municipale

immediat N° 272 du mercredi 16 au mercredi 30 avril 20142

vie culturelle

C ’est une programmation haut de gamme qui attend les Drancéens amateurs de musique. Ce festival

d’accordéon est un événement qui réu-nit tous les deux ans des instrumentistes de talent autour d’un thème. Cette année, les musiciens vogueront du jazz à la java. Une belle occasion de découvrir le piano à bretelle à travers de nombreux regards et époques. “Il manquait deux icônes à ce festival : Richard Galliano et Fréderic Gué-rouet, explique Sergio Tomassi, directeur artistique du festival. Ils seront réunis autour d’une thématique assez large“.

Le festival rendra hommage à tous les musiciens qui ont marqué l’histoire du célèbre concours de l’UNAF, union natio-nale des accordéonistes de France. Parmi eux, les deux accordéonistes Richard Gal-liano et Fréderic Guérouet, l’un, connu pour son "New Musette", l’autre pour son talent de concertiste classique. Le pre-mier s’est affranchi de tous les codes et a adapté avec brio l’accordéon aux libertés du jazz, le second a remporté tous les plus grands concours internationaux.Le festival fera également place aux jeunes, avec Ludovic Beyert et son jazz

manouche. Le côté variété sera assuré par Jérôme Richard.Voici un avant-goût du programme d’un festival à ne manquer sous aucun prétexte. Festival Médard FerreroEspace culturel du parcDu vendredi 23 au dimanche 25 maiRéservations au 01 48 31 95 42Programme complet dans le Drancy immédiat du 16 mai.

20 avril PÂQUES

sur le marché le matin, dans le parc de ladoucette l’après-midi, les œufs vous attendent (lire page 5).

25 avril VACANCES D’ÉTÉ

c’est aujourd’hui la date limite pour pré inscrire votre enfant à l’un des séjours proposés par le service

municipal de la Jeunesse, en rapportant le formulaire au SMJ, au service Mairie accueil ou dans l’une des

Maisons des services publics.

25 avril JEUNE PUBLIC

Bazarazik, spectacle musical pour tous, à partir de 4 ans, à 18 h 30, Espace culturel du parc.

26 avril LA FLEUR AU FUSIL

Orchestrale Banlieue rend hommage aux soldats de la Première Guerre mondiale, à 20 h 30, Espace culturel

du parc. Entrée libre (lire ci-contre).

26 & 27 avril HOMMAGE

en images, chansons, lectures, au poète Max Jacob, mort au camp de Drancy, il y a 70 ans (lire page 3).

27 avril CÉRÉMONIE

le conseil municipal, le comité national de la déportation, la FNDirP, l’UFaC invitent la population à se rassembler à 9 h 30, place de l’Hôtel de ville, pour commémorer la

Journée nationale du souvenir de la déportation.

29 avril APRÈS-MIDI DANSANT

organisé par le service municipal des retraités et animé par l’orchestre de Joël Olmedo à 14 h,

Espace culturel du parc.

29 avril CONSEIL MUNICIPAL

séance à 20 h, salle du conseil à la mairie. À l’ordre du jour, le budget 2014 de la commune.

6 & 7 Mai INSCRIPTIONS

pour les banquets de printemps offerts par la ville et le CCaS aux Drancéens retraités, salle louis Méret et

dans les Maisons des services publics.

L e 2 août 1914, un jeune trompettiste est mobilisé. Il rejoint le 43e régiment d’infanterie de Lille. Il part "la fleur au

fusil", mais la promenade de santé annon-cée va durer quatre longues années. “Dans la tranchée, l’arme au poing et la larme à l’œil, il attend l’ordre d'attaquer. Il se souvient maintenant des trois premiers temps que lui donnait son chef d’orchestre. Dans le silence assourdissant de la guerre, il attend encore le coup de baguette du maître qui le délivrerait de son trac. Car l’angoisse du vide est toujours là, entre les deux tranchées, avant les trois pre-miers battements. Mais il sait qu’il ne rentrera pas, cette fois son œuvre s’achève.“En douze chapitres, nous est contée sa guerre. Franck Bodin et Florian Adam, auteurs du texte, l’ont nourri de détails historiques et intimes : le régiment, ses déplacements et ses combats, la famille, les amis du soldat, dont l’un, musicien également, est au front.

Après la Marne, Verdun, CraonneÀ quoi rêve ce soldat ? Aux tableaux répon-dent des œuvres choisies par Fabrice Can-tié, directeur artistique et chef d ‘orchestre, parmi celles des compositeurs embléma-tiques de ce vingtième siècle naissant : Eric Satie, Igor Stravinsky, Claude Debussy, Camille Saint-Saëns, Maurice Ravel, Darius Milhaud, Gabriel Fauré. Des œuvres exi-geantes, écrites par des musiciens patriotes, profondément marqués par la guerre de 1870 et ses conséquences. Il y aura aussi la Chanson de Craonne, qui évoque les sol-dats révoltés de 1917, ainsi que deux créa-tions : l’une, Verdun, écrite par Stéphane Loridan et illustrée par une vidéo ; l’autre,

de Franck Bodin, allie musique et slam pour évo-quer le jazz qui fait son appari-tion en France en 1917, avec l’arri-vée dans le port de Brest d’un brassband venu prêter main forte aux troupes fran-çaises et dirigé par le lieutenant américain James Reese Europe.À l’écoute du texte et de la musique, s’ajoutera la vision sur grand écran des illustrations réalisées par Valen-tin Desfemmes, également créa-teur de l’affiche du spectacle. Un regard d’aujourd’hui sur cette guerre et ses soldats, sur cette déflagration qui fera plus de 18 millions de morts, civiles et militaires.Œuvre collective s’il en est, “co-construite par les artistes“, comme l’explique Blandine Pennetier, la présidente d’Orchestrale Ban-lieue, La fleur au fusil est aussi le fruit des réflexions de l’orchestre sur sa place dans la ville. L’équipe de création est drancéenne, comme le sont la plupart des musiciens. La place de Drancy dans les conflits des XIXe et XXe siècles entre en résonance avec cette création, comme le rôle de passeur de

mémoire que peut jouer tout acteur de la vie locale. De là à penser qu’il pourrait être proposé comme support de cours d’histoire. La fleur au fusilCréation d'Orchestrale BanlieueDirection musicale : Fabrice CantiéDirection artistique : Franck BodinNarration : Florian AdamIllustrations : Valentin DesfemmesSamedi 26 avril et vendredi 9 mai à 20 h 30Espace culturel du parcEntrée libre

Richard Galliano à l’Espace culturelLe festival Médard Ferrero s’invite, une nouvelle fois, à l’Espace culturel du parc. Au programme, des pointures de l’accordéon comme Richard Galliano ou encore Fréderic Guérouet.

L’histoire d’un soldatOrchestrale Banlieue rend hommage aux soldats de la Grande Guerre avec un spectacle qui mêle histoire et musique du XXe siècle naissant au regard contemporain d’un graphiste.

Q Richard Galliano ouvrira le festival, après la prestation de l’orchestre du Conservatoire.

Concours de BD : à vos crayons !Pour sa 6e édition, le concours de BD organisé dans le cadre des Rencontres de la bande dessinée de Drancy a pour thème l’humour. Il est ouvert à tous les rési-dents des communes du Bourget, de Drancy et de Dugny, sans limite d’âge. Le règlement du concours est consultable sur www.mediatheques.aerobourget.frDate limite de dépôt des planches à la média-thèque Georges Brassens : dimanche 27 avril. La remise des prix aura lieu lors des Ren-contres, samedi 17 mai.Pour tout renseignement, appeler la média-thèque (01 48 96 45 67), le service muni-cipal de la Jeunesse (01 48 96 39 20) ou le service municipal de la Culture (01 48 96 50 87).

Q L’une des planches primées en 2013.

dr

3

La mort d’un poètePour le 70e anniversaire de la disparition de Max Jacob, la Ville organise deux journées pour se souvenir de ce très grand poète français.

cinéMaMUniciPaLDu mercredi 16 avril

au mardi 6 mai

L e poète s’est éteint un dimanche, à peine quelques jours après son inter-nement dans le camp de Drancy.

Ce 5 mars 1944, une pneumonie a ter-rassé Max Jacob, âgé de 67 ans, à deux jours de son départ pour Auschwitz. Cet homme tourmenté - mais quel poète ne l’est pas ? - n’est donc pas monté dans le train le menant vers cette autre mort, cette chambre à gaz où son frère Gaston et sa sœur Myrté-Léa venaient d’être assassinés.Max Jacob était né juif, une religion qu’il avait quittée (à l’âge de 40 ans) en se convertissant au catholicisme. Mais dans le Loiret, où il résidait à Saint-Benoît, il y a des trains à remplir, des quotas de juifs à déporter pour respecter les consignes. Arrêté le 24 février, il est transféré le 28 à Drancy où il reçoit l’étiquette verte qui signifie son inscription sur les listes du pro-chain convoi pour Auschwitz (n°69, prévu le 7 mars). Ses amis Jean Cocteau ou Sacha Guitry auront beau entreprendre toutes les démarches possibles pour le faire libérer, ce sera peine perdue.Ce grand poète, précurseur du Surréa-lisme, peintre à ses heures, passionné de musique, mondain du Montmartre bohème en compagnie d’Apollinaire, Reverdy, Derain, André Salmon, Juan Gris ou Mac Orlan, ce grand écrivain, com-plexe et plein de contradictions, qui jouait

volontiers de la liberté de sa plume, méri-terait aujourd’hui d’être plus amplement redécouvert.Il y a dix ans, pour le 60e anniversaire de sa disparition (un poète ne meurt jamais), la ville avait donné son nom à la rue pas-sant devant le collège Paul Bert. Cette année, la médiathèque Georges Brassens, le Mémorial de la Shoah et l’association

des amis de Max Jacob organisent deux journées pour se promener dans l’uni-vers du poète. Lecture, cinéma, musique ou visite nous permettront d’entrer sur la pointe des pieds dans son monde sans entraves.

Samedi 26 avril à 18 hMédiathèque Georges BrassensCINÉMA : Monsieur Max, de Gabriel AghionEntrée libre Dimanche 27 avril, à partir de 15 hMémorial de la ShoahVISITE : Max Jacob au camp de DrancyÀ 15 h (durée 1 h 30)Sur réservation au 01 53 01 17 42LECTURE : Ne mets plus jamais Jacob sur les enveloppes, mets Monsieur Max...Lecture de lettres des années 1940-1944, par Fabienne Peter (C° Contes et Récits)À 16 h 30 (durée 1 h) Dimanche 27 avril à 18 hMédiathèque Georges BrassensCONCERT : Max Jacob et la musiqueCatherine Boni (mezzo-soprane), Stéphane Leach (piano), Françoise Cavelier (réci-tante) et l’ensemble vocal À Fleur de VoixEntrée libre

Plus de séances pendant les vacances

scolaires

La GRanDE aVEnTURE LEGOEmmet est un person-nage banal et conven-tionnel que l’on prend par erreur pour un être extra-ordinaire. Il se trouve entraîné dans un périple des plus mouvementés, pour mettre hors d’état de nuire un redoutable despote. Mais il n’est pas prêt à relever un tel défi !

Mercredi 16 avril à 17 h 30 et 20 h 30, dimanche

20 avril à 17 h, mardi 22 avril à 15 h et 20 h 30.

Film australo américain. Genre : aventure, animation.

Durée : 1 h 40. Réalisé par Phil Lord, Chris Miller,

avec Chris Pratt, Will Ferrell, Elizabeth Banks

M. PEaBODY ET SHERMan : LES VOYaGES DanS LE TEMPSM.Peabody est la per-sonne la plus intelligente au monde. Il est à la fois lauréat du prix Nobel, champion olympique, grand chef cuisinier... et il se trouve aussi être un chien ! Il est sur le point de relever son plus grand défi : être père.

Mercredi 16 avril à 14 h 30, jeudi 17 avril à 15 h,

vendredi 18 avril à 15 h. Film américain. Genre :

animation. Durée : 1 h 32. Réalisé par Rob Minkoff,

avec T Burrell, Max Charles, Ariel Winter

FiSTOnDepuis qu’il a 7 ans, Alex n’a qu’une obsession : séduire Sandra Valenti, la plus jolie fille d’Aix en Provence et, à ses yeux, du monde. Aujourd’hui, il lui faut un plan infaillible pour pouvoir enfin l’abor-der.

Mercredi 23 avril à 14 h 30,

17 h 30 et 20 h 30, dimanche 27 avril à 17 h, mardi 29

avril à 20 h 30. Film français. Genre : comédie. Durée :

1 h 28. Réalisé par Pascal Bourdiaux, avec Kev Adams,

Franck Dubosc, Nora Arnezeder

caPTain aMéRica : LE SOLDaT DE L’HiVERAprès les événements cataclysmiques de The Avengers, Steve Rogers, alias Captain Ame-rica, vit tranquillement à Washington D.C. et essaye de s’adapter au monde moderne. Mais quand un collègue du SHIELD est attaqué, il se trouve impliqué dans un réseau d’intrigues qui met le monde en danger.

Mercredi 30 avril à 14 h 30, 17 h 30 et 20 h 30, di-

manche 4 mai à 17 h, mardi 6 mai à 20 h 30. Film

américain. Genre : aventure, action. Durée : 2 h 08.

Réalisé par Anthony Russo, Joe Russo, avec Chris

Evans, Scarlett Johansson, Sebastian Stan

U n espace lumineux avec vue sur le parc, voici le nouveau décor dans lequel le personnel de la Culture tra-

vaille au quotidien. Après plusieurs mois de travaux, le château a ouvert ses portes et a accueilli en ses murs le service muni-cipal de la Culture. Les horaires du service ne changent pas : du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30. Ils sont différents de ceux du château : du mardi au dimanche, 12 h - 18 h ou 12 h - 19 h selon les jours. Retrouvez les horaires sur le site de la ville : www.drancy.netEn passant par le château, les visiteurs pour-ront profiter jusqu’au dimanche 4 mai de trois expositions de la biennale Latitudes ani-

males. La première est la continuité de l’ex-position principale, dans laquelle le public découvrira quelques clichés grand format des cinq photographes têtes d’affiche : Mathieu Pujol, Sabine Bernert, Thierry Montford, Stanley Leroux et le couple Bri-gitte Marcon / J.-Jacques Alcalay.La deuxième, Un singe en hiver, réunit les deux photographes Patrick Delieutraz et Patrick Kientz autour des paysages nor-végiens et des primates d’Afrique. Enfin, la dernière s’intitule "Pris sur le vif". Elle

est réalisée par l’association sportive de chasse photographique française (ASCPF). Le château accueillera de nombreuses expositions tout au long de l’année. Sui-vez le programme de près.

Service municipal de la CultureChâteau de LadoucetteTél. : 01 48 96 50 87culture@drancy.frAbonnement à la lettre électronique d’infor-mation culturelle mensuelle : www.drancy.net

La culture au châteauLe service municipal de la culture s’est installé, depuis peu, dans le château de Ladoucette.

Q “Je dirai de Max Jacob que c’est un grand poète si ce n’était un pléonasme...” Jean Cocteau.

Q Le public peut se rendre au service municipal de la Culture aux horaires d’ouverture habituels.

Q Trois expositions de Latitudes Animales seront prolongées au château jusqu’au 4 mai.

immediat N° 272 du mercredi 16 au mercredi 30 avril 20144

vie municipaleUne pause toujours aussi bien utiliséeLes enfants de l’école Jean Jaurès participent avec toujours autant d’entrain aux activités sportives et éducatives proposées par l’association de parents d’élèves pendant leur pause-déjeuner.

V endredi dans la salle Charlot, face à l’école Jean Jaurès, onze élèves de CP enchaînent les jeux spor-

tifs. Tous, encadrés par un éducateur sportif, leur permettent de développer motricité, coordination, d’apprendre à suivre des règles, à travailler en équipe... L’objectif n’est pas de gagner, mais bien de reproduire correctement ce qui leur a été demandé tout en s’amusant. Les enfants rient, courent, sautent tout en découvrant et en apprenant. Au même

moment, dans l’enceinte de l’école, se tient l’atelier de lecture de conte. Là, cinq élèves de CM1 lisent des contes choisis par l’animatrice bénévole de l’associa-tion Lire et Faire Lire, simplement pour le plaisir des mots. “Je me suis inscrite à cet atelier parce que j’aime beaucoup lire“, explique Rawan. Ce qui ne l’empêche pas, en plus, de lire de mieux en mieux à haute voix.Chaque midi, du lundi au vendredi, de 11 h 30 à 12 h 30 et de 12 h 30 à 13 h 30, l’association des parents d’élèves, laïque et autonome (Apela) propose aux écoliers de participer à des ateliers ludiques et éducatifs gra-tuits. Les élèves de CP peuvent s’ins-crire à des jeux sportifs, ceux du CE1 au CM2 à des ateliers de lecture et d’écriture de contes ou des cours de ping-pong. “Rien n’est obligatoire, les enfants choisissent de s’inscrire ou non“, précise Sophie Hamacek, la présidente de l’association. Chaque atelier dure en moyenne six semaines. À la fin, ils peuvent se réinscrire, opter pour un autre ou arrêter. Chaque session per-met à 140 élèves de découvrir une acti-

vité sur le temps de sa pause-déjeuner. Curieux, désireux de moments calmes ou passionnés par l’une des activités proposées, les enfants plébiscitent les ateliers.L’initiative a été lancée à la rentrée 2008/2009 suite à la réorganisation du temps scolaire, mettant en place une pause méridienne de deux heures. Un temps très long pendant lequel les enfants jouent dans la cour de récréa-tion, sous surveillance certes, mais sans encadrement pédagogique. Pour Marianne Brun, directrice de l’école, les ateliers ont de véritables vertus éduca-tives : “Grâce aux activités, ils retournent en classe plus calmes, dans de meilleures conditions pour travailler“. L’association réfléchit à la mise en place de nou-veaux ateliers à la rentrée prochaine, mais la difficulté reste de trouver des intervenants. Pour financer les activités, l’association reçoit une subvention de la Ville et organise différents rendez-vous : la vente de gâteaux maison le lundi, un loto, un repas du monde et une brocante. La prochaine aura lieu le 18 mai.

Q Moment de calme et de sérénité à l’atelier lecture.

PoUr soUteNir l’associatioNL’Apela organise une brocante dimanche 18 mai. Pour participer, vous pouvez d’ores et déjà réserver un emplacement au 01 48 96 12 79.

Tarifs : 10 e les 2 mètres reversés à l’association

Q Le 21 mars dernier, Apela organisait un repas du monde, une occasion de se retrouver, d’échanger et de recueillir un peu d’argent pour l’association.

Q Dans le cadre des jeux sportifs, les élèves de CP doivent écouter et appliquer les règles annoncées par l’éducateur.

5

vie municipaleP our faire leurs démarches, les 4853

demandeurs d’emploi drancéens n’ont plus besoin de se rendre à l’an-

tenne Pôle emploi de Bobigny. Une nou-velle agence a ouvert, le 19 mars, 177, avenue Henri Barbusse. Un espace de 800 m² où 33 agents répondent à leurs demandes : inscription, indemnisation, recherche d’emploi... Pour faciliter leurs démarches, les demandeurs d’emploi ont à leur disposition des bornes Internet, impri-mantes et téléphones en accès gratuit ainsi qu’un guichet automatique, à l’extérieur de l’agence, permettant d’obtenir n’importe quel justificatif 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. L’agence présente un autre avantage non négligeable : “elle est bien desservie par les transports en commun, constate Gilles, demandeur d’emploi. Venir ici, c’est beau-coup plus simple que d’aller à Bobigny. En plus, comme nous serons moins nombreux, les files d’attente seront peut-être moins longues.“ Depuis la fermeture de l’ancienne agence de Drancy fin 2009, suite à l’effondrement de plusieurs dalles du plafond, le personnel et les dossiers des allocataires avaient été transférés à celle de Bobigny. Une situation

peu pratique qui a duré presque cinq ans. La ville a alors découvert que la direction de Pôle emploi avait purement et simple-ment décidé de faire disparaître l’agence de Drancy. Il a fallu toute l’énergie et la force de persuasion du député-maire auprès de Xavier Bertrand, ministre du Travail de l’époque, pour que ce dernier fasse plier la direction de Pôle emploi et qu’elle renonce à son projet. Il a fallu toute la détermina-tion du député-maire pour aboutir à la

réinstallation en cœur de ville de l’agence Pôle emploi. Dans le contexte économique difficile, regrouper un maximum d’acteurs de l’emploi est indispensable, surtout si ceux-là sont décidés à travailler main dans la main. “Quand l’agence était installée à Bobi-gny, nous avions déjà différents partenariats avec les acteurs de l’emploi de Drancy, note Angélique Perseval, directrice de l’agence. Nous sommes prêts aujourd’hui à les dévelop-per et à en nouer de nouveaux.“

TravauxTravaux d’assainissement, enfouissement des réseaux ERDF : de nombreux chantiers sont en cours.

Si la rue de la République est en sens unique pour les voitures, de la rue Paul Didier à la rue Diderot, elle l’est aussi pour le bus 146 qui est dévié dans le sens Le Bourget / Drancy. Le bus emprunte désor-mais l’avenue Marceau en s’arrêtant aux arrêts du bus 143 jusqu’à la place Aristide Briand. Selon l’avancement des travaux, le sens unique évoluera. Les automobi-listes n’auront qu’à suivre la signalétique mise en place.D’autres chantiers ont démarré un peu par-tout dans la ville. Certains sont dédiés aux travaux d’assainissement, ce qui est les cas dans le quartier Village parisien, rues des Martyrs de Châteaubriant et Balzac. Dans la première, la conduite d’assainis-sement est chemisée ; dans la seconde, la conduite d’eau qui sert à évacuer les eaux usées et de pluie est remplacée.Avenues Pierre Pérut et Garibaldi ainsi que dans l’allée Circulaire, l’heure est à l’enfouissement des réseaux électriques.

Pôle emploi de retour à DrancyLes demandeurs d’emploi disposent désormais d’une agence, avenue Henri Barbusse. Q L’espace bébés de la chasse à l’œuf, sous le regard

amusé des parents.

En chocolatProfitez des fêtes pascales pour prendre l’air et manger quelques œufs !Comme chaque année, l’association des com-merçants du marché organise une animation qui permettra aux enfants et aux adultes les plus gour-mands de déguster quelques œufs en chocolat, tout en faisant leur choix sur les étales qui ne manque pas de propositions alléchantes. Une parade musi-cale et un ventriloque seront de la fête.Après avoir bien mangé, tous au parc ! La chasse à l’œuf organisée par le service muni-cipal de l’Enfance commencera à 15 h 30. Deux heures durant, dans quatre espaces dédiés aux différentes tranches d’âges (0-3 ans, 4-6 ans, 7-8 ans et 9 ans et plus), les enfants découvri-ront les mille et une façons de débusquer cet œuf de pâques si recherché. Les parents sont invités à accompagner leurs enfants à l’entrée des différents espaces de jeux à partir de 15 h. Dimanche 20 avrilPâques sur le marché de 9 h à 13 hMarché des Quatre routesChasse à l’œuf à 15 hParc de Ladoucette

Q Les câbles électriques sont actuellement enfouis sous la chaussée, allée Circulaire.

Q Des travaux d’assainissement ont démarré rue des Martyrs de Châteaubriant.

Q Pendant la durée des travaux d’assainissement de la rue de la République, le bus 146 circule avenue Marceau dans le sens Le Bourget / Drancy.

Q Rue de la République, en allant vers la rue Diderot, la partie gauche de la chaussée est neutralisée par les travaux et la circulation s'effectue dans ce sens, en sens unique.

vie municipale

immediat N° 272 du mercredi 16 au mercredi 30 avril 20146

vie municipaleQuartier de l’Économie : “Comment c’était avant ?”L’école Jean Macé et le Papyrus Drancéen ont organisé une rencontre entre des anciens du quartier et des élèves de CE1.

S ous l’œil attentif de leur institutrice, Sabrina Belouchat, 26 élèves font face à quatre anciens du quartier de l’Éco-

nomie : les écoliers posent des questions sur le quartier, l’école, les maîtres et maîtresses de l’époque. Les enfants veulent savoir "comment c’était avant ?" Ils ont préparé cette rencontre en amont, avec une série de questions sur différents thèmes. Mais ils se laissent vite emporter par leur curiosité.Quatre intervenants sont présents pour répondre aux questions : Claude Roure épouse Basselier, son mari Michel Basselier, Alain Le Moan et Roland Bosen-Milona. Tous les quatre sont des anciens élèves de l’école, des années 43 à 57. Ils ponctuent leurs inter-ventions d’anecdotes, parfois complétées par Jean-Marc Assayag, un ancien instituteur de l’école et membre de l’association le Papyrus Drancéen, devant des élèves souvent incré-dules devant tant de changements.La rencontre s’inscrit dans le programme des CE1, rappelle l’institutrice Sabrina Belou-chat, “c’est un projet qui nous a été proposé par la municipalité. Cette année nous devons travailler sur un sujet géographique proche de l’enfant, c’était l’occasion de travailler sur quelque chose de concret. Nous sommes par-tis des plans du quartier, puis on a approfondi petit à petit. On a réfléchi à des questions sur différents thèmes. Par contre, les anciennes pho-tos du quartier, les enfants les ont découvertes aujourd’hui. Cette rencontre était l’occasion de pouvoir travailler autrement et de discuter avec des personnes ayant vécu dans ce quartier.“ Deux autres classes de CE1 ont participé à ce projet, mis en place avec l'appui de la Maison des services publics.

Extraits :- "Comment étaient les trains ? Est-ce qu’ils fonctionnaient à l’électricité ?" “Et bien non, c’était des trains à vapeur, il n’y avait pas d’électricité. On avait besoin de charbon pour les faire avancer, rien à voir avec les trains d’aujourd’hui !“- "Est ce qu’il y avait des immeubles ?"“Oui, quelques-uns, mais il y avait surtout des pavillons avec des petits bouts de jardin. Les immeubles étaient tout petits, pas plus de quatre étages.“- "Est-ce que les rues ont changé ?" “Oui, toutes les rues ont beaucoup changé, et les noms ne sont plus toujours les mêmes. Par exemple, il y avait la rue de l’Économie qui est maintenant la rue Dominique Roberty. Et le nom du quartier de l’Économie vient du fait qu’auparavant les terrains n’étaient pas très chers, et le quartier était loin du centre. Les terrains étaient donc moins chers, d’où son nom. Au début, deux noms cohabitaient pour le quartier, "le progrès" et "l'Economie". s’est imposé, mais rien n’a jamais été officiel dans le choix du nom du quartier“, rappelle l’un des participants.Un autre ajoute “Il n’y a pas que les rues qui ont changé, le quartier aussi s’est transformé. Avant il y avait beaucoup d’animaux, il y avait des terrains avec des chèvres, des vaches. On connaissait bien mieux les animaux que mainte-nant. Et puis il y avait des terrains vagues dans lesquels on allait jouer, autant que dans la rue.“- "Comment étaient les commerces ?"“Il y a une grande différence, parce qu’il y avait beaucoup de commerçants. On a compté et répertorié environ 72 commerces rien que dans le quartier !“Une anecdote suit la réponse, qui surprend et émerveille les élèves : “Dans les maisons avant, on n’avait pas de système électrique, et donc on n’avait pas de four. Pour faire cuire leur gigot, leur dinde ou un plat quelconque, les gens apportaient leur plat chez le boulanger. Il y a aussi beaucoup de métiers de rue qui n’existent plus : rémouleur, matelassière... Les rues étaient très animées par de petits artisans qui ne sont plus là aujourd’hui. Il y avait aussi La Molette, une petite rivière dans laquelle on allait patauger, même si c’était surtout de la boue. On attrapait des sangsues, qu’on vendait au pharmacien. Et au printemps, on allait ramasser les têtards pour voir s’ils devenaient grenouilles. Mais ça ne mar-chait jamais“, ont-ils avoué en riant.

- "Est-ce qu’il y avait des paraboles et des antennes ?"“Non il n’y avait pas tout ça, et surtout, per-sonne n’avait le téléphone ! Le seul qui avait un téléphone c’était le concierge de l’école. C’est lui qu’on allait voir lorsqu’on avait besoin de téléphoner. Et puis pour appeler les pompiers, c’était des coups de canons qui étaient tirés : tous les volontaires rejoignaient la caserne pour ensuite aller s’occuper du problème. C’est sûr, c’était moins pratique qu’aujourd’hui.“- "Comment vous habilliez-vous pour aller à l’école ?"“On avait tous une blouse grise par dessus nos vêtements, et à l’entrée, il y avait tou-jours quelqu’un pour vérifier qu’on l’avait. Si ce n’était pas le cas, on était renvoyé chez nous. Le seul jour où on avait le droit de ne pas venir en blouse, c’était le jour de la photo de classe. On avait aussi une capeline, une petite cape accrochée autour du cou. Nos chaussures étaient en bois, on appelait ça des galoches. Elles étaient cloutées pour ne pas qu’on glisse, mais on faisait un bruit d’enfer en marchant !“- "Comment étaient les maîtres et les maîtresses ?"“Les enseignants étaient sur une estrade. Les élèves punis devaient aller sous le bureau. Ceux qui travaillaient mal on leur mettait un bonnet d’âne sur la tête et on les prome-

naient dans toute l’école. Pour les filles, il fallait faire le tour de la cour, et immanqua-blement la directrice venait nous voir pour nous demander ce qu’on avait fait...“- "Quelle était la pire des punitions ?"“La pire, c’était de faire des lignes que nos parents devaient ensuite signer. Pire encore, lorsqu’à chaque lettre il fallait chan-ger de couleur pour la lettre suivante !“ Et pas question d’écrire au stylo bille, qui n’existait pas encore, pas plus que le blanc pour les corrections ! “À l’époque, on écrivait à l’encre, on avait un porte-plume avec différentes plumes. Notre bureau avait un trou pour mettre l’encre et on trempait nos porte-plumes pour écrire. Le gros problème était que si on trempait trop notre plume dans l’encre, ça faisait des tâches sur nos cahiers et nous étions punis pour ça, ou alors nous avions des points en moins sur notre copie.“

- "Comment étaient les jouets avant ?"“La plupart était en bois, mais pour beau-coup on les fabriquait nous-mêmes. Pour les filles, c’était plutôt les poupées, la dînette, et pour ceux qui avaient le plus de moyens, un landau !“Deux heures de questions au cours des-quelles les élèves ont pu assouvir leur curiosité, s’étonner des changements et se plonger dans le passé.

Samedi 5 avril le Papyrus Drancéen donnait rendez-vous aux habitants du quartier à l’école Jean Macé. L’occasion d’exposer de nombreuses photos en noir et blanc, permettant au visiteur de faire un saut dans le passé. Devant les photos, on s’interroge, on se souvient et on constate surtout la transformation incroyable du quartier en moins d’un siècle. L’association en profite pour récolter d’anciens documents, des photos, en lien avec le quartier. Ils ont d’ailleurs récupéré un certificat délivré par l’école, datant de 1940 ! Les photos de classes sont également mises à la disposition du public, certaines datant des années 20. Avec beaucoup d’émotions, certains plongent dans le passé et donnent parfois des nouvelles d’anciens camarades... Parmi les visiteurs, une dame était à l’école en 1929 : de quoi alimenter les souvenirs, recueillir et entretenir la mémoire du quartier.

Q Une occasion pour discuter, se souvenir...

Q Quatre anciens de l’école face aux éléves de CE1.

Q D’anciennes photos de quartier.

Q Des photos de classes.

7

O n ne peut pas dire que le suspense était insoutenable. Avec une écra-sante majorité de 45 élus sur les 49

du nouveau conseil municipal, la liste de Jean-Christophe Lagarde était assurée de passer une matinée sereine. Si l’exer-cice était nouveau pour certains, il était bien rôdé pour ceux qui étaient déjà à l’œuvre au sein des assemblées commu-nales. Un seul fait marquant dans la forme était néanmoins à noter lors de ce conseil d’intronisation : l’élection des adjoints au maire n’a donné lieu qu’à un seul vote, sur liste. Ce qui a évité aux nombreux spectateurs d’assister au fastidieux et très long cérémonial de 18 dépouillements successifs.C’est Max Camus, en tant que doyen de l’assemblée, qui a eu l’honneur de pro-noncer le discours d’introduction, après avoir rappelé les résultats du 1er et unique tour des élections municipales. Il a notam-ment souhaité “que les six années à venir se déroulent dans un esprit de dialogue et de respect mutuel, que puisse grandir le nombre de projets votés à l’unanimité, puisqu’un projet n’est, par essence, ni de droite ni de gauche. Il sert tous les Drancéens“.

Hommage aux élus Vint ensuite le moment très solennel de l’élection du maire. Les oppositions ne présentant aucun candidat, Jean-Chris-tophe Lagarde a donc retrouvé son siège de maire avec 45 votes en sa faveur pour 4 blancs ou nuls. Après avoir expliqué la règle qui allait prévaloir pour l’élection des adjoints, il a rendu un vibrant hom-mage aux élus qui l’ont accompagné au sein des deux précédentes équipes. Tout

le travail entrepris depuis 2001, qui est à l’origine de ce troisième succès électoral, n’aurait pu porter ses fruits sans leur inves-tissement dans la vie municipal. “Stéphane Salini ne sera plus adjoint, ajoutait le maire,

rendant hommage à celui qui a été son premier adjoint aux finances pendant 13 ans. C’est très émouvant pour moi car je me suis beaucoup appuyé sur lui durant ces deux mandats. Mais si Stéphane reste conseiller

municipal, il va également prendre des res-ponsabilités au sein de l’intercommunalité“.

Quatre adjoints de quartier Les 14 adjoints au maire ont ensuite été élus (lire pages suivantes). Les conseillers municipaux en charge d’une délégation particulière ont été désignés par des arrê-tés du maire. Le conseil municipal du 10 avril devait élire les représentants de la municipalité dans les différents orga-nismes et établissements scolaires. La liste sera publiée dans le prochain numéro de Drancy immédiat. Nouveauté pour ce man-dat : quatre adjoints supplémentaires ont été élus pour s’occuper de quartiers par-ticuliers. Deux pour l’Avenir et l’Écono-mie qui, parce qu’ils sont excentrés, ont besoin plus que les autres d’être fortement représentés au sein de l’équipe munici-pale ; deux pour les quartiers qui vont connaître dans les prochaines années de profonds changements : les cités Gaston Roulaud et Paul Éluard dans le quartier Petit Drancy, concernées par un éventuel ANRU 2 ; les Quatre routes/quartier de la Muette qui vont être réaménagés. “L’ex-périence m’a appris que pour mener ce type d'opération, les habitants ont besoin d’avoir un interlocuteur privilégié, a expliqué le maire. Mais si je compte sur les élus pour affronter les défis auxquels sera confronté Drancy dans les années à venir, la ville aura très rapidement besoin de la mobilisation de ses citoyens. Face aux problèmes liés à la dangerosité de la gare de triage ou à l’ou-bli de notre territoire dans les transports en commun du Grand Paris, Drancy ne peut res-ter anonyme. Nous allons nous battre, tous ensemble, pour nous faire entendre“.

Jean-Christophe Lagarde, élu maire de DrancyLe premier conseil municipal de la nouvelle mandature s’est tenu, samedi 29 mars, à l’Espace culturel du parc. À l’ordre du jour, l’élection du maire et de ses adjoints.

Q Jean-Christophe Lagarde remet son écharpe au nouveau premier maire-adjoint, Anthony Mangin.

immediat N° 272 du mercredi 16 au mercredi 30 avril 20148

vie municipaleLe nouveau conseil municipal

Q Jacques Schaller La Muette et Quatre Routes

Q Arhella Elsodi 14e adjointe Chargée de l'hygiène et de l'habitat

Q Yacine Mahmoudi 9e adjoint Chargé de la jeunesse

Q Domenico Bartuccio 13e adjoint Chargé de la sécurité

Q François Zangrilli 8e adjoint Chargé de l'urbanisme

Q Elisa Carcillo 12e adjointe Chargée des centres de vacances

Q Georges-Marie Yerro 7e adjointe Chargée de l'éducation

Q Martine Bouvelot 11e adjointe Chargée de la culture

Q Aude Lagarde 6e adjointe Chargée des affaires sociales et des retraités

Q Jean-Luc Milliard 4e adjoint Chargé des sports

Q Farid Amari 2e adjoint Chargé des travaux et des marchés publics

Q Michel Lastapis 10e adjoint Chargé du logement et de la santé

Q Romain Dachiville 5e adjoint Chargé de l'état civil et des commissions de sécurité

Q Bernadette Vandenabelle 3e adjointe Chargée de l'environnement

Q Anthony Mangin 1er adjoint Chargé des finances et de la politique de la ville

Q Marlène Di Manno Avenir

Q Martine Moreau Économie

Q Muriel Lagneau Gaston Roulaud - Paul Éluard

Les adjoints de quartier

Les adjoints au maire

Q Jean-Christophe Lagarde reçoit son écharpe de maire des mains de Max Camus, doyen du conseil municipal.

9

Les conseillers municipaux délégués

Les conseillers municipaux de la majorité

Q Jean-Jacques Benitah Conseiller municipal délégué au commerce

Q Fernande Godier Conseillère municipale déléguée à la dépendance

Q Sylvianne Micault Conseillère municipale déléguée à la petite enfance

Q Stéphane Salini Conseiller général

Q Marina Nikodijevic

Q Xavier Bourgeois Conseiller municipal délégué à l'accueil et aux relations avec les administrés

Q Luisa Pilmann Conseillère municipale déléguée à l'accès aux droits et au droit des femmes

Q Jean-Louis Roger Conseiller municipal délégué au handicap

Q Paule Beaujour

Q Alain Anandane

Q Jacqueline Bouthors Conseillère municipale déléguée aux marchés aux comestibles

Q Nadège Degboe Conseillère municipale déléguée au RSA

Q Michel Sebag Conseiller municipal délégué à la voirie, au stationnement et aux transports

Q Gloria Da Silva

Q Nathalie Vasseur

Q Hamid Chabani Conseiller municipal délégué à la coordination des conseils de quartiers

Q Mohamed Khemliche Conseiller municipal délégué aux centres de loisirs

Q Kathryn Soler Conseillère municipale déléguée à la réglementation et à la publicité commerciale

Q Raoul Rosa

Q Olivier Valentin

Q Grégory Chavaroc Conseiller municipal délégué au BIJ et à la MIRE

Q Clémentine Makangila-Lebo Conseillère municipale déléguée à la communication

Q Tom Zemiti Conseiller municipal délégué aux relations publiques

Q Jacqueline Tordjman

Q Nathalie Laroche

Q Merzouba Cocozza Conseillère municipale déléguée à la plateforme Réussite

Q Jean-François Merly Conseiller municipal délégué aux risques technologiques

Q Sonia Zerizer Conseillère municipale déléguée au domaine

Q Max Camus

Q Hacène Chibane

Les conseillers municipaux d’opposition

immediat N° 272 du mercredi 16 au mercredi 30 avril 201410

vie municipaleUn polyèdre géant à Paul LangevinUne classe de 6ème a construit un polyèdre géant dans la cour du collège, lors de la semaine des maths, qui s’est déroulée du 17 au 22 mars.

D ans la bonne humeur, l’enthou-siasme et sous un soleil inespéré en cette journée de mars, les élèves de

sixième se sont appliqués à la construc-tion de leur polyèdre.L’association Science Ouverte était parte-naire de cet événement : Cyril Demarche, maître de conférence à Jussieu, et Ben-jamin Nguyen, coordinateur et média-teur scientifique, sont venus fournir le matériel nécessaire, superviser et aider à la construction du polyèdre qui doit atteindre cinq mètres de hauteur !Mathilde Bruère, principale de l’établisse-ment, explique l’objectif de cette opéra-tion : “Nous souhaitons sensibiliser les élèves aux sciences, pour essayer de leur donner des clefs pour l’avenir, l’envie de poursuivre vers des carrières scientifiques plus porteuses en terme d’emploi. Et puis cette construc-tion, qui doit nécessairement être réalisée en équipe, les oblige aussi à se coordonner, à ne pas faire n’importe quoi, à se concentrer. C’est un travail de concertation, de groupe.“À quoi ressemble ce polyèdre ? En réalité, il est identique à un ballon de football. Quelques-uns ont d’ailleurs été apportés pour montrer, expliquer la construction géante : vingt hexagones (forme à 6 côtés) à assembler, qui une fois attachés forme-ront 12 pentagones (forme à 5 côtés) et au final le polyèdre. Reste à savoir com-ment attacher ces vingt hexagones pour que la forme ciblée prenne vie... Attentifs aux instructions des deux bénévoles, les

élèves suivent consciencieusement les dif-férentes étapes et assemblent petit à petit les hexagones.La structure prend forme peu à peu. “Il faut attacher aux hexagones qui sont à terre, un autre hexagone sur le côté, et toujours sur le même côté surtout“, explique Cyril Demarche. Les élèves s’exécutent, cher-chent le côté gagnant, accrochent les mor-ceaux entre eux avec les attaches tendues patiemment par les encadrants. Une partie des polygones est assemblée, et pour pou-voir continuer il faut lever la construction. Certains élèves sont appelés à se mettre à des points stratégiques, afin de soulever

délicatement ce début de polyèdre qui menace de s’effondrer s’il n’est pas cor-rectement maintenu. Les autres, armés des attaches plastiques, assemblent les hexa-gones. “Le but est de voir les maths d’une autre manière, de rapprocher les élèves des sciences, de proposer un autre moyen de réflexion, d’inciter à se poser des questions“, explique Benjamin Nguyen. La construc-tion continue, la dernière ligne droite pour constituer le socle du polyèdre. Il faut de nouveau rattacher des hexagones et sou-lever la structure, avec quelques difficul-tés, bien vite oubliées. Des élèves se sont installés au centre de l’immense polyèdre,

afin de lier les derniers hexagones et fina-liser ce polyèdre qui aura pris corps grâce à eux. Il aura fallu un peu plus de deux heures pour terminer la construction.Le professeur de mathématiques de la classe, Mme Carvalhana, également pré-sente, avait travaillé avec ses élèves en amont de cet événement “pour expliquer comment se construisait un polyèdre. Nous sommes ravis de cette opération, qui permet à tout le monde de profiter d’un moment à la fois agréable et riche en enseignement.“D’ailleurs, le collège, qui travaille en étroite collaboration avec l’association Science Ouverte tout au long de l’an-née, espère bien la faire revenir pour la construction d’un, voire deux, nouveaux polyèdres géants !

Q Après deux heures de construction, le polyèdre de 5 m de haut est terminé !

Q Les élèves s’appliquent pour le construire, attentifs aux indications des bénévoles de Science Ouverte.

11

vie municipalesports

résultatsCôté judo

Le Judo club drancéen participait, dimanche 23 mars, au champion-nat 93 minimes, à Bondy. Adrien

Marques (-38 kg) est arrivé 3e et s’est donc qualifié pour le championnat d’Île-de-France qui s’est tenu les 12 et 13 avril. Victor Bianco (-46 kg) et Enzo Cuvelier (+73 kg) sont arri-vés 7e.Ce même week-end, Christophe Coquière est devenu 2e Dan et Rodrigue Ekoe 1ère Dan, deve-nant ainsi la 14e ceinture noire du club. Ce der-nier est également arrivé 3e en -81 kg lors de la Coupe régionale 93 junior.

Toujours le 23, Darius Neamt est monté sur la 2e marche du podium en +90 kg, lors de la demi-finale du championnat de France cadet, à Saint-Quentin, en Picardie. Il se qualifie pour la finale qui se tiendra le 20 avril à Ceyrat, où il rejoindra Loika Viraye.Ce week-end était décidément chargé puisque, à l’occasion de la coupe régionale du jeune arbitre, le club a obtenu de très bons résultats. Dora Govehovitch est 1ère, Kevin Célié 4e, Nico-las Varlet 7e et Mohamed Najem 12e. Kévin et Dora sont qualifiés pour disputer le Coupe du jeune arbitre Île-de-France qui a eu lieu les 12 et 13 avril à Paris.Le 26, lors du passage de katas à Villemomble,

Alexandre Marques et Kevin Célié sont reçus ceinture noire 1ère Dan, Laura Lavergne et Ben-jamin Rusca sont reçus et deviennent cein-ture noire 2e Dan.Le 5 avril, lors de la coupe 93 katas à Trem-blay, Paul Lahaye et Adrien Marques sont 1er, Ugo Dafonseca et Victor Bianco 2e. Ils sont qualifiés pour la coupe Île-de-France du 31 mai. Paul et Adrien disputeront la coupe de France le 15 juin.Le 6, toujours à Tremblay, lors de la coupe 93 cadets/cadettes, Kevin Célié et Kendra Lahaye sont 3e, Alexandre Marques 7e.Enfin, lors de la coupe Ne Waza, Christophe Coquière a terminé à la 3e place.

sur Vos aGENdas26 aVrIlJAD football : seniors contre Villemomble, 17 h, stade Charles SageDrancy futsal : seniors contre Sportifs de Garges, 16 h 30, gymnase Joliot-Curie

27 aVrIlFCD : seniors contre Cosmos, 15 h 30, stade Dewerpe

Un club en grande formel’union sportive basket drancy réussit sans doute sa plus belle saison. Plusieurs de ses équipes affichent la belle santé du club.

M algré un "petit coup de moins bien" au cœur de l’hiver, les seniors sont toujours au coude à

coude pour accéder, la saison prochaine, à la Promotion d’excellence régionale. Quatre équipes se disputent les deux places disponibles dans l’ascenseur. Après une rencontre a priori facile, à domicile, contre Chatou, le 3 mai, les Drancéens (2e de la poule) devront impérativement s’im-poser lors du dernier match de la saison, une semaine plus tard, à Domont (4e avec un match de retard). Mais si cette équipe gagne ses deux rencontres précédentes, une victoire de l’USBD mettrait les deux équipes seulement à égalité de points. C’est la différence entre l’aller et le retour

qui ferait la décision. Ayant perdu de 8 points à domicile face à Domont, l’USBD devrait alors gagner avec 9 points d’écart. Le suspense est donc entier. Cette montée serait une très bonne chose, d’autant plus que l’équipe 2, qui évolue en Excellence départementale, est aussi à la bagarre pour accéder en Honneur régionale. Or, deux équipes d’un même club ne peuvent évoluer au même niveau.Une autre bonne nouvelle pleine de pro-messes pour l’avenir : l’équipe de U20 masculins, les juniors, a terminé sa saison à la 5e place sur 8 de sa poule en Natio-nal, où elle a ferraillé avec de grands clubs dont les seniors évoluent en Pro B. Voici qui devrait assurer quelques belles années

à l’équipe fanion drancéenne.

les femmes, au sprintLes seniors féminines, après une première partie de saison difficile en Promotion d’excellence régionale qu’elles venaient tout juste d’intégrer, sont reparties à l’as-saut des paniers. Grâce à 7 victoires pour 1 seule défaite lors des matchs retour, l’équipe pointe désormais à la 8e place, avec un match de retard. La zone de relé-gation s’éloigne doucement, mais sûre-ment. Là encore, pour la même raison que les hommes, une descente serait déli-cate du fait que l’équipe 2, en 2e division départementale, est très bien partie pour monter au niveau supérieur.

Riposter, si nécessaireL e club Aito du Tigre blanc orga-

nisait, samedi 5 avril, un stage de self-défense exclusivement réservé

aux femmes, au gymnase Laura Fles-sel. Elles étaient 14 autour du thème "observation des notions de sécurité et gestion d’une agression (riposte avec coups frappés sur les points sensibles du

corps humain)". Ambiance bon enfant au programme, d’autant plus que Yohann Serre, président du club, instructeur fédéral, 2e Dan et vice-champion du monde de karaté (WPFG 2013), a bien pris soin de préciser que “la self défense n’est pas un combat. Si la situation le per-met, on prend la fuite. La confrontation

physique reste l’extrême limite“. Voila qui a le mérite d’être clair.Le prochain stage de self-défense réservé aux femmes aura lieu samedi 21 juin, de 14 h à 16 h, au gymnase Laura Flessel.Tarif : 10 eurosCourriel : aito-tigreblanc@hotmail.fr

Q Les U20 masculins ont pris cette année de la hauteur.

Q Les U13 féminines ont réussi la saison parfaite.

Les U13 féminines réussissent une saison parfaite. Avec une seule défaite pour 17 victoires, les Drancéennes sont assurées de disputer les demi-finales du championnat régional et d’intégrer directement la 1ère division régionale, l’année prochaine, sans passer par les sélections. Mais une partie de l’équipe montera en U15. Les joueuses qui resteront en U13 recevront néanmoins un renfort précieux venu des U11 qui se sont qualifiées, samedi 5 avril, pour les demi-finales du challenge René Lozach.On le voit, même si l’USBD a encore quelques lacunes dans certaines catégo-ries d’âge, notamment chez les grand(e)s adolescent(e)s, le club affiche une belle santé. Si c’est sur le parquet que se gagnent les matchs, on peut aussi féli-citer l’encadrement qui a su construire patiemment cette dynamique. Il y aura des accidents, c’est inévitable, mais la marche avant est enclenchée, sans excès de vitesse.

immediat N° 272 du mercredi 16 au mercredi 30 avril 201412

vie associativeL e Cavalier bleu a achevé sa saison sur

une très belle note, en s’imposant lors des deux dernières rondes qui se sont

déroulées les 5 et 6 avril, salle Louis Méret, face à Cappelle-la-Grande (3 à 1) et Lille (4 à 3). Le club termine à la deuxième place de sa poule de Nationale 1. Hélas, seule la première ouvre les portes du Top 12. Si l’élite des échecs français accueillait 16 équipes, comme ce fut le cas jusqu’en 2010, le Cavalier bleu y aurait assurément sa place. Mais, finalement, peu importe : vu de Drancy, le principal intérêt du club réside dans ses activités de formation des

jeunes. Qu’il fasse partie des tout meilleurs nationaux est assurément un plus, un beau motif de fierté, mais la plupart des maîtres et grands maîtres internationaux qui la composent n’ont pas de grandes affinités avec la ville. Certains sont même licenciés dans plusieurs pays. C’est une spécificité du monde des échecs tout à fait compré-hensible : le très haut niveau nécessite un investissement personnel très important. Les clubs n’étant pas spécialement riches et les sponsors pas légions, les joueurs, s’ils veulent vivre de leur art, doivent être pragmatiques.Les équipes de Nationale 2 et 3 ont, quant à elles, joué de malchance, en perdant bien souvent leurs rencontres d’un che-veu. Les deux sont relégables, mais des repêchages sont toujours possibles.

Fin de championnatLes échecs drancéens se portent bien, malgré quelques aléas. Le Cavalier bleu tient toujours son rang.

L a fête des voisins, que l’on a pris l’habitude d’appeler Quartiers en fête, à Drancy, aura lieu cette année

vendredi 23 mai. Un peu partout dans la ville, des Drancéens prennent l’ini-tiative de coordonner une rencontre,

dans leur rue. C’est l’occasion de faire la connaissance de ses nouveaux voisins, de prendre le temps de se parler, un verre à la main, en dégustant la spécialité que chacun peut préparer pour ce moment convivial. Un moment où l’on cultive le

bien vivre ensemble, c’est précieux et cela se prépare !Vous souhaitez organiser, avec l’aide maté-rielle de la Ville, une rencontre dans votre rue ? Appelez le service municipal des Relations publiques au 01 48 96 39 78.

La fête, avec nos voisins, le 23 mai

Q Née en 1995, Élodie Lecland joue depuis plusieurs saisons avec l’équipe drancéenne de Nationale 1.

Q Tangi Migot, la nouvelle recrue du Cavalier bleu, a montré sa stabilité et ses progrès en équipe. Il est

entraîné par le GMI Arthur Kogan qui a coaché les plus grands, comme Nakamura.)

13

Tambours créolesLe 8e festival de percussions et de danses caribéennes invite le chanteur Erick Negrit et fait vivre la culture des Antilles.

B ase de toutes les musiques des Caraïbes, le tambour - déjà utilisé par les amérindiens - longtemps mis

en sourdine lorsque les propriétaires inter-disent aux esclaves de jouer, est d’abord remplacé par des chants et des danses comme le kalenda. Puis, lorsque les colons constatent que la musique améliore le ren-dement du travail des esclaves, les tam-bours réapparaissent. Bien plus que des instruments, ils sont à l’origine de formes d’expression musicale qui réunissent la musique, la danse et le chant, et qui n’ont quasiment pas subi les influences euro-péennes : c’est le bélè en Martinique, le gwo-ka en Guadeloupe. Puis viendra la créolisation, avec la contredanse, à la mode en Europe au début du XIXe siècle, qui, mâtinée de percussions, devient la haute-taille en Martinique. Il y a aussi la valse et la mazurka créoles, puis viendra la biguine.Toutes ces danses, rythmées par des musiques dans lesquelles le tambour tient une grande place, seront à nouveau à l’honneur lors de ce 8e festival organisé par Drancy Outre-mer. Outre son Tropi-cal show, les invités sont cette année les associations Arts-créoles, connue pour ses

interprétations de haute-taille, Bay-len-men, Cœur tropical, Caraïbes d’Argen-teuil. Invité d’honneur, le chanteur Erick Negrit, défenseur de la musique tradition-nelle et sa fameuse Ritounèl Bèl.Il sera possible de dîner, et chaudement recommandé de danser, bien sûr. Laissez vous guider par le son des tambours et venez passer une excellente soirée.

8e festival de percussions et de danses caribéennesSamedi 26 avril de 19 h à 23 hEspace culturel du parcParticipation : 8 e, adhérent 5 e, enfants de 6 à 12 ans 3 eRéservation pour le dîner avant le 24 avril au 06 63 77 53 32 ou au 06 83 27 74 03

Gourmandise

ASP fondatrice recherche des bénévolesCréée en 1984, l’association pour l’accompa-gnement et le développement des soins pal-liatifs (ASP fondatrice) apporte une présence et une écoute aux malades, à leurs familles et à leurs proches dans les phases critiques de la maladie et en fin de vie.L’ASP fondatrice procure une formation aux bénévoles dont la candidature est retenue et les soutient dans leur action de terrain en leur offrant la possibilité d’un groupe de parole mensuel, des actions de formation continue régulières et un apport d’information constant.L’association souhaite actuellement renforcer toutes ses équipes actives en Île-de-France. Elle recherche également des bénévoles qui pour-raient l’aider dans ses tâches administratives.ASP fondatriceTél. : 01 53 42 31 33Courriel : benevolat@aspfondatrice.orgwww.aspfondatrice.org

Pour son 2e bal, le Seminoles country club Drancy, association créée en mai 2013 par des danseuses de l’ancien club Apev, donne rendez-vous aux mordus de danses de l’Ouest américain mais aussi à celles et ceux qui sou-haitent passer un bon moment en mettant leurs pas dans ceux de leurs voisins. Pour ce bal printanier, nul besoin en effet de connaître par cœur les enchaînements de pas, mais simple-ment d'avoir envie de découvrir des danses très variées, ou de regarder les danseurs évoluer. En ligne, face à face, en couple ou en cercle, entraî-nés par le DJ, la bonne humeur est de mise !

Pour commencer, deux cours seront dispen-sés, l’un pour les débutants, l’autre pour des danseurs déjà un peu avancés. Deux stands présenteront chemises, ceintures et autres

bandanas, équipement de base de tout adepte de la danse country, mais aussi des bijoux et objets de décoration. Entre deux danses, il sera possible de prendre un sandwich ou de déguster une crêpe, le cercle Douar breizh tenant un stand. Bal countrySamedi 3 mai de 14 h 30 à 22 h 30Gymnase Auguste DelauneParticipation : 6 e, gratuité pour les moins de 12 ansRéservation au 06 26 96 78 20

Aux côtés des aveuglesCréée en 1963 et reconnue d’uti l i té publique en 1974, l’association les Auxi-liaires des aveugles met en contact des bénévoles avec des déficients visuels pour les accompagner dans certaines de leurs activités. Ce béné-volat est très souple, chacun choisissant le temps qu’il souhaite y consacrer et la nature de ses missions : accompagnement à l’ex-térieur (chez les médecins, en gare, pour faire des courses...), à domicile (courrier, lecture...), randonnées, cyclisme en tandem, sorties culturelles (théâtre, visite de monu-ments, etc.).Ces activités s’adressent à tous. L’associa-tion sollicite notamment les jeunes à partir de 18 ans, pendant les vacances scolaires et universitaires, mais aussi les actifs et les retraités. Il n’est pas besoin de possé-der des compétences particulières, il suf-fit d’aimer le contact humain et de vouloir rendre service.Pour devenir bénévole, contacter l’asso-ciation au 01 43 06 94 30 ou par courriel : contact@lesauxiliairesdesaveugles.asso.fr

En ligne !

AgENdA ASSociAtif19 AvriL : bELotEde l’ASPE à 14 h 30, Maison du temps libre Albert Liard, 12, rue Étienne Dolet dans le quartier de l’Économie.

17 MAi : bAL brEtoNorganisé par le Cercle Douar Breizh, à partir de 18 h 30 au gymnase Joliot-Curie.

18 MAi : brocANtEorganisée par l’association de parents d’élèves Apela dans l’école Jean Jaurès. Pour exposer, réservez votre emplacement (10 e les 2 m linéaires) en appelant le 01 48 96 12 79. Les bénéfices de cette brocante serviront au financement des activités proposées aux écoliers pendant la pause méridienne.

Arrivés lundi 10 mars par le vol de Berlin-Shö-nefeld, les jeunes allemands ont commencé leur séjour drancéen par un rapide déjeuner au restaurant du personnel communal, avant d’aller visiter le Stade de France et une expo-sition dans les studios Luc Besson à Saint-Denis. Le soir même, le comité de jumelage et les élus les accueillaient officiellement, leur souhaitant un excellent séjour. Une semaine bien chargée pour ces collégiens d’Eisenhüt-

tenstadt, accompagnés de leurs professeurs, avec des matinées dans les collèges Anatole France et Liberté avec leurs correspondants, la visite de la ville, du mémorial de la Shoah, du centre de secours, un tour sur le marché, et bien sûr, Paris.Du 12 au 20 avril, c’était au tour des Drancéens de partir découvrir Eisenhüttenstadt, la région de Brandebourg et Berlin, en compagnie de leurs correspondants.

Auf wiedersehen

Q Les jeunes allemands avec leurs correspondants drancéens, leurs professeurs et accompagnateurs.

T oujours aussi couru, le salon De fleur en bouche, 17e du nom, a accueilli plus de 7000 visiteurs. Au livre des

records, on mettra les 1300 petits cœurs à la crème de chez Ganot, mais aussi les 300 kg de boudin du charcutiers de Rians, Frédéric Morin. Les voitures en chocolat de l’artisan chocolatier Les Douceurs de l’Aube feront de jolis cadeaux de Pâques. Les omelettes aux champignons de la Marianne ont ravi les papilles des ama-teurs et tous les stands ont connu l’af-fluence.Au jeu des charades, les plus chanceux ont été tirés au sort et ce sont madame Hamon et monsieur Mabire qui ont gagné

les paniers garnis. Au jeu de la valeur, mesdames Froment et Berthenet se sont montrés les plus perspicaces pour s’appro-cher du prix des denrées contenues dans le filet garni et l’ont emporté.

immediat N° 272 du mercredi 16 au mercredi 30 avril 201414

annoncesAllô, la mairie

• Standard : 01 48 96 50 00 www.drancy.net• Mairie accueil : du lundi au mercredi et

vendredi de 9 h à 17 h 30, jeudi de 9 h à 19 h 30, samedi de 9 h à 12 h

• Maisons des services publics du lundi au vendredi de 9 h à 12 h 45 et de

13 h 30 à 18 h 30, samedi de 9 h à 12 h. - quartier de l’Avenir Place de l’Amitié Tél. : 01 48 96 39 29 - quartier de l’Économie 29, rue Dominique Roberty Tél. : 01 48 96 45 57• Police municipale : 01 48 96 39 48 • Collecte sélective : 01 48 96 50 11• Service municipal d’Hygiène : 01 48 96 50 06

État civilIls sont ArrIvésla municipalité présente ses félicitations aux nouveaux parentsALBERT Hugo • BABUROGLU Zilan • BEN SIK AHMED Moncef • BENNACER Meriem • BETTACHE Sarah • BOUABOUT Enora • CARVALHO CLEMENT RODRI-GUEZ Lucy • CHASTE DESROSES Kalylis • COR-DIER Ylona • DAVID Jayannah • DE ALMEIDA Tiago • DHAOUADI Nesrine • DUVAL Laura • FAROUDJA Corentin • GRÉSSIN Zoé • GRÉTOUCE ONESTA Evan • GUILBERT Émy • HAIDARI Rayan • HAMAOUI Mas-syl • HAYEF Lahna • HRISTOV Vladimir • KEETHA-PONGALON Edrige • KIJAK Victoria • MAHALINGAN Ajishan • OUALI Nélia • SANOGO Adams • STOJA-DINOVIC Aleksia • TALLA Seif-Islam • TANDJIGORA Djibril • TCHICAYA Orianne • TIGHZERT Luna • TOURE Bamou

Ils se sont mArIésla municipalité présente ses vœux de bonheur aux nouveaux épouxBRIOLE Jean-Luc et POIROUX Patricia • AK Onur et DILEK Lydie • FARKH Abdelhadi et IKERKAOU Kaoutar • DRAGUCIC Sacha et MARINKOVIC Emina • LACHI Hakim et LACHI Karima • IGUIGHIL Toufik et RHAR-MAOUI Fatima • CALINGHEE Jean et ROODUR Bibi Ils nous ont quIttésla municipalité présente ses sincères condo-léances aux familles qui viennent de perdre un procheAMARI Sahra veuve AMGHAR • BACHELIER Jean-Claude • GUNOURY Vidwuntee veuve SUNGKUR • KANE Alassane • PARAYRE Georgette veuve POLICIEUX • SOUBIRANE Josianne • VIENNOT Madeleine

DemAnDesHomme cherche travaux peinture, maçonnerie, carre-lage, pose de sols et papier peint, etc. 06 11 60 78 79Femme cherche heures de ménage, repassage et aide personnes âgées. 06 69 53 44 73Homme sérieux cherche travaux de peinture, car-relage. 06 24 09 27 93Assistante maternelle avec expérience habitant le quartier de l’Avenir, tramway arrêt Maurice Lachâtre, accueille 2 enfants. 06 23 26 51 45

Étudiant en Master 2 Éducation et formation donne des cours de soutien scolaire en maths aux collé-giens. 06 23 98 71 34

Vends 1300 e Citroën ZX blanche avantage, 4 portes, 1,9 diesel, 6 CV, année 1994, moins de 274 000 km, entretien régulier factures à l’appui, courroie de dis-tribution, kit pompe à eau, embrayage changé, TB pour une première main. 01 48 30 70 58

Vends volet roulant blanc, porte de garage avec 2 télécommandes et manivelle, bon état, 2,40 m de large, 100 e. 06 66 90 30 46Vends gazinière halogène 35 e, téléviseur Sony 82 cm, L. 86 cm, P. 60 cm, 65 e. 06 62 06 20 64Achète 33T et 45T rock années 60. 06 61 20 77 46Vends lit 1 personne en chêne massif avec sommier et matelas neuf, 180 e, hotte aspirante blanche Whirlpool 50 e, micro-ondes blanc Goldskar 50 e, chauffeuse-lit neuve bleue 30 e. 06 68 33 82 18Particulier organise vide grenier à domicile de 9 h à 17 h les 26 et 27 avril, 14, rue de l’Harmonie : vaisselle, linge, appareil musculation, machine à tricoter Singer, aspirateur robot, caméra projec-teur, colleuse Super 8, etc. 06 72 35 07 38Vends balai vapeur Black & Decker neuf 50 e (val. 99 e). 01 48 32 88 48

Pharmacies de gardeen Journée les DImAnCHes et Jours FérIés 2014Les gardes indiquées ci-dessous sont sous réserve de modification. Pour la délivrance de médicaments sur ordonnance, en dehors des heures et jours d’ouverture normaux des pharmacies, s’adresser au commissa-riat de police (01 41 60 81 40).

20 avrilPharmacie oHAYon82, avenue Henri Barbusse Drancy

21 avrilPharmacie BertHelot5, rue Marcelin Berthelot Drancy

27 avrilPharmacie nIGelle144, rue Roger Salengro Drancy

1er mai Pharmacie PrInCIPAle De DrAnCY 160, avenue Henri Barbusse Drancy

Vends caravane pliante toile, toit rigide Messager M4 Confort, année 1983, 4/5 personnes, avec auvent et séparation cuisine, nombreux range-ments, 2 roues de secours. Gardée au garage, TB entretenue, 800 e. 09 51 71 65 98

maison médicale de gardeLe service de garde est assuré le samedi après-midi et le dimanche par des médecins généralistes libéraux.Les praticiens tiennent une permanence dans des locaux mis à disposition par la Ville de Drancy.Vous pouvez vous rendre à la Maison médi-cale de garde• Le samedi de 14 h à 20 h• Les dimanche et jours fériés de 8 h à 20 h25, boulevard Paul Vaillant-CouturierTél. : 01 55 89 21 90

une question sur vos impôts ?Une permanence des impôts aura lieu les samedis 26 avril, 10 et 24 mai de 9 h à 12 h à la mairie, au service Mairie accueil. Les deux samedis de mai, deux permanences seront en outre tenues dans les Maisons des services publics des quartiers de l’Avenir et de l’Économie, toujours de 9 h à 12 h.

pas de collecte le 1er maiLa collecte des déchets ménagers qui a lieu le jeudi dans le secteur sud de la ville n'aura pas lieu le 1er mai. La collecte suivante aura lieu le lundi 5 mai.

15

messagesUn an après, du compost réussi !Il y a un an, la communauté d’agglomération de l’aéroport du Bourget (CAAB) avait permis à cent cinquante familles de se mettre au compost. Un an après, le succès est au rendez-vous.

L ’opération compostage est un vrai succès. Un succès d’abord pour celles et ceux qui se sont équipés : le com-

posteur n’est pas juste une poubelle de jardin, il demande un peu de technique pour pouvoir récupérer un compost de qualité. C’est ce que les familles ont réussi à faire en apprivoisant ce nouvel outil. Un succès ensuite pour l’équipe d’agents municipaux qui a accompagné les rive-rains dans l’aventure du compostage : ils ont su expliquer et sensibiliser les familles dans cette nouvelle démarche.Marcel a été l’un des bénéficiaires des composteurs : “On a un seau qu’on rem-plit au fur et à mesure avec les épluchures, les coquilles d’œufs, etc. À peu près tous les 15 jours, je vide le seau dans le composteur. Je mets aussi des feuillages et des morceaux de bois provenant de la taille de mes arbres. Tous les déchets végétaux, je les broie avant, ce qui permet une décomposition plus rapide.Je mets aussi la tonte, mais seulement une

fois par an parce que c’est très acide et ce n’est pas forcément bon pour le compost. Il faut attendre que tous les éléments soient correctement décomposés pour récolter le compost. Une fois qu’il est réalisé, on peut le mettre aux pieds des arbres, des fleurs. Ça permet d’avoir du terreau de bonne qualité, et d’éviter les engrais chimiques.“ Le com-posteur a besoin d’une diversité suffisante de végétaux, l’alternance des matières sèches et humides, etc. Des contraintes qui deviennent rapidement des évidences et permettent de réussir son compost.Pour vanter l’utilité du composteur, le bouche à oreille fonctionne très bien : plusieurs habitants se sont déjà manifestés pour obtenir à leur tour un composteur. “Ça créé aussi un lien social, parce qu’on dis-cute entre voisins, on se pose des questions, on en parle“, ajoute Marcel. En plus d’être complètement écologique, le compostage est aussi source d’écono-mies. Pour les riverains, déjà, parce qu’il

signifie moins de sacs de déchets, pas d’achats de terreau ou d’engrais. “On a considérablement diminué le nombre de sac de déchets verts : maintenant j’en ai un ou deux par an, c’est tout ! Et avoir du terreau de bonne qualité directement chez soi, c’est éviter de se déplacer en voiture pour aller en chercher.“ Pour la collectivité, aussi, parce que la diminution des sacs de déchets permet de réduire le nombre de passage des camions bennes. Une opéra-tion 100% gagnante, où tout le monde s’y retrouve.Pour initier au compostage même les plus petits, la ville prévoit l’installation de com-posteur dans certaines écoles, permettant de sensibiliser les enfants à l’art de bien composter.Le salon du développement durable, organisé les 17 et 18 mai dans le parc de Ladoucette, sera l’occasion de pour-suivre cette démarche écologique et citoyenne.

Organisée sur l’initiative de l’OMS (organisa-tion mondiale de la santé), la semaine de la vaccination, du 22 au 26 avril, est notamment l’occasion pour chacun de faire le point sur ses vaccins, en vérifiant ou en faisant véri-fier son carnet de santé ou son carnet de vac-cination par son médecin, son pharmacien,

sa sage-femme... Et de les mettre à jour si nécessaire.Les centres de santé municipaux dispensent des séances de vaccination gratuite.• Centre de santé Henri Wallon :enfants à partir de 6 ans et adultes le 1er et 3e mercredi du mois à 13 h 30.

• Centre de santé Bois de Groslay :le mercredi après-midi de 15 h 30 à 16 h 30• Centre de santé Pierre Sémard :tous les mercredis matin de 10 h 30 à 11 h 30 et les mercredis après-midi les semaines paires de 15 h 30 à 17 h 30.

I l s’agit aujourd’hui d’être pragmatique : l’eau et l’électricité sont des denrées suf-fisamment précieuses et chères pour être

économisées. Il est plus que temps de chan-ger nos habitudes, mais aussi de s’adapter à certains changements. Prenons l’exemple énergétique. Nous avons tous été habi-tués, à force de réprimandes parentales, à éteindre les lumières lorsque nous quittons une pièce. Mais aujourd’hui, alors que les ampoules basse consommation, qui coûtent encore très cher, se sont imposées dans nos intérieurs, ce grand principe a du plomb dans l’aile puisqu’il réduit considérable-ment leur durée de vie. Il faut donc bannir les halogènes, éteindre les ampoules clas-siques et laisser allumées les basse consom-mation. Autrement dit : si, avant, énergie et portefeuilles avaient toujours des inté-rêts commun, c’est beaucoup moins vrai aujourd’hui. Tout se complique donc et il convient de devenir très pragmatique.Le Centre communal d’action sociale de la ville a organisé deux réunions pour faire le point sur les consommations, dans le

cadre de la semaine du développement durable. Alors que le prix de l’électricité devrait connaître cette année une forte augmentation, il convient aujourd’hui d’être bien informé, afin de ne plus être passif en attendant de se faire assom-mer par les prochaines factures. Bains et douches représentent, par exemple, 39 % de notre consommation en eau et environ

17 % de celle en électricité. Un effort est donc aisé pour en diminuer le coût (mais ce n'est pas une raison pour ne pas se laver, hein les enfants !). Ne pas vivre dans des températures tropicales en plein hiver, éteindre les appareils en veille, bien veiller à éliminer toutes les fuites d’eau... Autant de gestes qu’il est impératif de ne pas oublier, sous peine de mauvaises surprises.

Maîtriser ses consommationsLe CCAS a organisé, les 31 mars et 1er avril, deux conférences, en compagnie d’ERDF et Veolia, sur les économies en énergie et en eau.

Q Marcel entretient son composteur, pour obtenir un compost de qualité.

QUelQUes chiffresConsommation électrique, 5 heures par jour, pendant un an

Lampe halogène 300 W : 93 e

Ampoule classique 60 W : 18,60 e

Ampoule basse consommation 12 W : 3,70 e

Fuite d’eau

Robinet qui goutte : 120 litres

Robinet défaillant ou mal fermé : 360 litres

Chasse d’eau qui fuit : jusqu’à 600 litres

L’agence retraite des DrancéensLa Caisse natio-nale d’assu-rance vieillesse (Cnav) a fait évo-luer son réseau d’agence francilien. En Seine-saint-Denis, une nouvelle répartition des agnences a eu lieu. Les Drancéens dépendent désormais de l’agence retraite de Villepinte. Les assurés sont reçus prioritairement sur rendez-vous, pour toute demande de retraite ou de réver-sion. Dès l’âge de 55 ans, ils peuvent deman-der un entretien d’information retraite pour faire le point sur leurs droits.La Cnav rappelle également qu’un grand nombre de services sont proposés à partir de son site Internet : obtention d’un relevé de car-rière, d’une attestation de paiement, demande de dossier de retraite...

Agence retraite de VillepinteBâtiment Le RabelaisParis Nord 222, avenue des Nations93420 VillepinteAccès : RER B, arrêt : parc des expositionsSur rendez-vous du lundi au vendredi de 8 h 30 à 12 h 30 et de 14 h à 17 hTél. : 3960, du lundi au vendredi de 8 h à 17 h (prix d’un appel local à partir d’un poste fixe)www.lassuranceretraite.fr

La première campagne de dératisation de l’an-née 2014 se poursuit dans le réseau communal d’assainissement ainsi que dans le patrimoine des bailleurs sociaux. Sont concernés :• le quartier Paris campagne les 16 et 17 avril,• le quartier Petit Drancy les 17 et 18 avril,• le quartier Drancy centre les 18 et 22 avril,• le quartier de La Muette les 22 et 23 avril,• le quartier Village parisien les 23 et 24 avril,• le quartier de La Mare les 24 et 25 avril,

• le quartier de l’Économie les 25 et 28 avril.Pour accompagner les interventions de la société de dératisation, il convient de veiller à ce que rien ne puisse attirer les rongeurs : pas de stockage de den-rées dans les sous-sols, pas de déchets dans les caves. De même, les soupiraux et autres ouvertures doivent être obs-trués par du grillage suffisamment serré.

Enfin, les Drancéens peuvent venir reti-rer des raticides au service municipal Hygiène et santé, à la mairie, les mardis et vendredis entre 9 h et 12 h. Se munir, pour cela, d’un sachet.

Dératisation : la campagne se poursuit

Semaine de la vaccination

immediat N° 272 du mercredi 16 au mercredi 30 avril 201416

Drancy immédiat N° 272 Bimensuel d’information local édité par la ville de Drancy - Place de l’Hôtel de Ville - BP76 - 93701 DRANCY CEDEX - Tél. : 01 48 96 50 00Directeur de publication : Anthony Mangin • Rédactrice en chef : Joëlle Pitkevicht (0148 96 50 02) • Rédaction : Xavier Delrieu, Marie-Hélène Silvestre, Coralie Giausserand, Maryne Fouques.

Photos : Fabrice Iaconelli • Maquette : Totemis • Photogravure : IN • Publicité : Prest'action (01 56 49 10 00) • Imprimerie : RPG • Numéro tiré à 30 600 exemplaires • Dépôt légal : avril 2014

zoomUne biennale à succèsCette année encore, l’exposition Latitudes animales a réuni des milliers de Drancéens, que ce soit à l’Espace culturel, dans le parc de Ladoucette comme au château. Retour en images.

Q L'exposition Latitudes animales est devenue, au fil des ans, un des événements phares de la ville.

Q Le château de Ladoucette a accueilli de nombreux visiteurs venus découvrir les expositions présentées dans ce nouveau et très agréable cadre.

Q Des clichés grand format étaient dispersés, dans le parc, pour le plaisir des nombreux promeneurs.

Q Des jeux de lumière au sol permettaient de créer une atmosphère onirique et dépaysante.

Q La scène de la salle de spectacles était occupée par des clichés du photographe drancéen Tony Crocetta.

Q Les écoliers étaient de la partie et vingt classes ont pu apprendre sur la faune sauvage grâce aux explications de l’animatrice nature.

Q Vendredi 4 avril, les cinq photographes têtes d'affiche étaient réunis pour l’inauguration de la biennale, devant une salle comble.