The Opelousas courier (Opelousas, La.) 1862-07-05 [p...

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~ El S AS JRAX*E.I MATIN, 5 JUIPILET'1862. 02-samidi dernier, l. comlwgnip de cavalerie do 0 Vj .I. Todd, qui avait t 4$pche dui Camp Pratt paor venir c h;erclekr dr~ ftspelEi~i4C~i&IE~t sr etsver Wd''O glsuddians' partie sud .oteat de Nous sommest beurent d'apprendrc que glce 1fectivitet la priuderiat duOi#tainerdtt, tousl Jes r1tsetires de ces qurtier!.Ik ont t ameneue su' voir- gans diAlcolti aucune, navbstaiit les I*sts qui, it circul que le Cap'line To>lH vit t- oblig dipo tufr.e dx et de voit blesser phi. hieli di NflhuMats Tout cela tait taux, et L'o- p4rs$.es~iiqujdushau metioneest pioba. bs n~ l a rnsriire d'agir perms'v tt eti MMe ta'nrs fermie d cupitaitie Todd. al"Nous apprermgn ofUiielleu1eait qur le Gn- rt P. 0. Hbeat e4.oavernettPde la-Louisiane) va prendi le coi"ndermeiff'de troupes confet. res, du DOPRutempm milita*re.ghi comprendra fi I;eus et crtte partie d la Louistne qui ne trouve 4l'0"duu Mississippi (dlont nous faisons at~ Nous ine savons encore o il tablira son Qtia.- IIrLe Capt. Fetay ~nou cri t 1d bord titi mwamer musi4 WaVieill Rivire la dite dit 2 "Vebtilet amnnecer dalis vo*e joo*nal que ]*g d Lui d membrez, de gi~mp'e Ealum.34gkrentite St. Land;y, a *uddeescal ffisq#rpu jJpp4Aait la nuitk doralre. I11 iti!mat et ~ 90rqu'il s'est noyt !71l fat un temps o nous recevions trois lois par semaine des joupux de sque tous les Etats des ax-Etats-UJdi. .4)I'M4 it venir gla- nireles nouvelles que chequmsn.J apportait. Cer- taiies db ais connaiss aesnaoubliaient jamais les jours de coorrier, et souvent housdaiotemous con- Mirer 1Mnh quand oas o nous escamonait " . wdeWtib'e- dates. Auej'ttd'hbui4se Prte $ea obt4 ow ir n x qou es o bitb*nj*, OqaS fttaqW oqc a. appel anosamis qui ont le bonlieur d'en pouvoir obtenir quelque fis, et les invitons vouloir bien nous favorissr de Vaobaine de ce genre dontegW pourront Aipouu, Ie '"d i pfrn~, le u e or ve reu d'un de ses amis ei bprd*t'qadq eu steamers qui 6; la, t'lie#des lacs et des bayous, une copie au crayon d'une srie de d6pcbea tlgiajphiqucs dates. d' g8 {p~.amfstu ande vie- 4 o ae 4. 1 ~9sJ~upe ilouafte ae milles ied Ces if4kO aolt ppreape le GErai Le~ a Pdn'U Te4r Le. flicite notri de deux jours u eau ' .*ft.js neet **t~ & p ~s~d *le. Quoiqo. msp4dtailsasur ceus h~~~~~d "ei~Ue*&~ noncent ce.- toie, tiff 0~ faelesSt e m ,~vui~ #MW ~, 4~6 'es"e Sie yin N0*t traduiFcnsd'up de no@ cha aKs quei- .,es extr s J'u-diKcours proponeI par .. [Sadstone, un membre du Ministre Anglis it en nimme temps Chancelier de l'Echiquier: "11 n'egt que juste, j. crois, que nous fas- stois conunaire notre opinion et noi senti- ments sur la litto gigantesque qui se pour- suit avec taeit d'nergie str le coutineiiLame ricain et sur le ip!iiestent -i grandiose de feames miitaires 4e la. pat des tats.Uui. Ils ont obtenu certains succssur es hebamps de bataille; mais messieuro, encore ume fois ie rfrerai, cet 'rd, a notre exptience anglaise (coutiez.) Si vous consultez les an- uales de la guerre de l'indpendance entiel le4 colonies del A'mirique et notre pays, c trouverez-vous les succs obtenus par nos ar-. mies sur les champs de bataille, dans cette guerre? Ce n'tait pas le manque do succs qui nous empcha de conqurir les colonies de l'Amrique. C'tait ceci: Au fur et n'eaure que nous obtenions des succs par les armes nous nous apercevions que nous Dn'a- proehioup enaucune ftaon du but qae nous noua tions propos. Euand aedila la subjugation d'un peuple, la question uet fpas de mvoir ai on peut battre les arm es . ,ce peuple dans le pays o on porte l gPtre. question est simplement celle-ei C'est de savvir sa les populations peuvent tre conver ties par un raisotnnement sain et juste, ousi tu contraires elles sont dteralicnces obtc- nir une sparation (applaudisements ) Si ces populations ne sont pas d'eaccord sur la se- paration, es peuvent i tre cunOquies, uinss i au contraire clies solt dtern'dte et unn- nims l'gard do la scession, et s'il cirenle, das leurs veies du sasg de Wahington et des' Bidioite 'daujourdbui de la Vrugiuie aIofi lsV peu prs'imnposible do bubju- jr ler habitaltis de l'AXariqnuUa Sudi et &ors donc il est tout au& imposaiMe que Pobs j ititaifaississo, 0t si toutefdis eetobfejt russissait les difficults civiles et politiqes qui ;xisteiti Aobinrt.; seraient tel) que ces succs ipilitairag aeraieut un as pour ceux qui les auraieut acqui. ' tIll eat d' uotre habitude, messiu a4 ce pays-ci, de parler frauclhemaet, eje a ois, qu'il est juste, considuat.p 1.p,;qnmii et l'intilit 4p Hos relations ave-toma deut qui habitent le continent Ajpptiotia, il stjuste, dis-je, que nous consultious otre esrit et nos sentiments l'gard de ce que vons ap- pelez juste raison cettp luLte 4plorable.- Puisse l'Eternel aimener unefin rapide cet- te lutte! Pour l'amour do nous names, au no*tiiurtoUA des A'nrioains, fasse le ciel que cette lutteoe termiiopromipteflent. Puisse cem veu fervent s'exaicer, non, pas pauceque sous le dpirons, mais parceqme ce sera la phiA. Je boSbeur et le bien-*des habitant- 'de o beaut pays, qu'ils poieut blancs on qu'il& soient rpits (eoutez). lIais, messieurs, noUs remekotem noba mame ici les effets de soette lutte maheureuse. NoUs ne pouvous les nigr, non pas sur seue seulement, mais assai sur d'aitres pays' de l'Europe. La France,en souire, l) Belgique on souf(re, chaquepays qiu a une manufacture do otou soufre plys oumuinti^-plus que notre pays, parceque dans les autres pays il n'y a pas cet esprit d'indpendance qui nous earaetrie; parcq que dans les autres pays on e4 pl eaoli4 . .'appmyer sar le gcevernement. * 'uia quand T'org,~ui de ^iB^qufi oSine,.oiu' dit que l'fiuropeio& l'e gt re le' pprieiogwr, se sont 4a cojlit enivers l'Armrique, je so#G .9 iea rdest fial de l'iatin aqra cuel: te9 j iaacusme ns- ji&iieg', dangaueun tepaip$Audoif paci. AIq*4'ene guerre jijile mgapa gigpatseue giqaejseuaias own gouverBpmeut I's senti -g' e ^I^ :VPl09DE QVUATtlRitYV.-i 1eds ciuq- individus condamns tie a nspqv avoir cotmujo iun vol rue Tou. 1buado. -99, disfs c'kvk aned indi. ques llc.re Q u~ aqqvons publi hier, i e hiks& ten tiv,s 'dit mine geuru, -ou t t*Ms Mmr Une ~~ -ationnadrditemi"in aux -abuordl de la- prwUn, bierr q'Y',ent. en dt interdite, et, que le spectaeiej au ilugWfflt'es- corps de. au4flklie. Mais llIiorfth 4, Vw ettrot tout pWI&-Ont ,#r les a.e~ omis finua .4% enfant se damsla *nV"ew, 4ehr4s dwmiqanLu q4.re. ts gTiitrl'or deI la jleritii et ou pletilt ,PowbMr -g r1g&.4i#up~e- <pot odms, u 118 des IegirB ,fnwjona. asi&ber aux apprte du drame sanglant qui *dqvAi4, wu termilper mar lMeuiv detr- qutftr Jae iniquimw*, Thedo, 'Leibl .t seuls. m~& e-di -l~taus,? ,s peine Com.e wu~u~~ 4~5i5~i U~a l'le *ozi tqt d n ait, e' pid hte) i~~relw, e I#c1'evir< $ aus~ deUx portaient '~cUi tptlt q e*laiges. Aprs -la- Ieotmo ,#. ,rtudre 4g gnral Botter faite par le dputd; pt*vOzdaeal St0M~d le apnevh t"eka sur la Ltt des.-. ')a pl 0n fer qllaque olwios a dire, lkygi di"p n'il epeaieu dt' $jqs4exgqql. n ~ueatd Fe r t*'r ><et u t uii ci. ' ui' t ria . u vant <4e p,-tir poer I ge ax vaiS&psx. Eo triant & I^Nruvrll-Orlar s il .tbr. aDa- !ade et on l'exemipta du service ee qui lui permit d errer a sa guise. Il rcnrontr; W. Clary qui, aprs avoir lit onuaissance avee lui, lui montra des pa ipiers et lui demanda son asi;;taice ro.r aire une reciercybo d,'4cuer caCbbe0. Il conseutt aller avec Ini et il jure qfe la premire nuit il ne souposuait pas les vri. tables intentions de son compguon. - 11l se trTouva bientt en rapport aveci oute la bande jt, apri avoir vu prePdre des bijont chez on armurier qui u'avait d'autre armie qu'un polgnard, il comnprit le ritable but de l'eu.n- treprisc. Dans a inme nuit, ou trouva iaIs un autre endroit un pistolet et u re- volverct on enleva une montre. Le leudc main on partagea les dpouilles et on reconm- mena la nuit suivante. Newton quitta la bande le troisiue juur en emportant la tontre de M. Finn pour se venger de Clary qui avait menac de le tuer. C'est toute la Prt qu'il prtlid avoir prise aux entre- prises tiocturuci dCes soi-disant chcrcbheUar d'armes.-Abeille du 17. DU REMPLACEMENT MILITAIRE. On sait ce que c'est qu'un remplaant.- C'est un honme qui, tant exempt par la loi da service militaire, s'engagb, pour une esnmme convenue, prendre la plice d'un autre et faire tout ce que '2}ai-c1 et t tenu de tfaire lui-mme. On le voit, il 'agit ici d'un contrat syral- lagnatique, d'une convention faite'de bonne foi et l'amiable. Si les deiax iarties iut- resses 1e -pliasent les couditions stipules dans l'acte, tout va bien, et personne n'a le droit d'y trouver redire. D'o vient cependant qu*it existe en gnral, nue prvention tfavorable contre elui des deux contractunts qui le mrite as- surment le moins? D'o vient qu'ua rem- plaant est peu consider, et que l'on dit uoloitiers de lui. pour le mpriser, qu'il a vendu sa pecu? Ceux qui se servent son gard de cette expression grossire et humiliante, n'y out pas rflcbi. Tout travail, en ce monde, toute peine doit obtenir son asiaire..., Est-ce que Tes luinistres des autels, les magistram, les mdedins, les avocats, les eutm- ploys on engaga, eufu, nimporte quels titres, e sont pas rmunrs pour les ser- vices qu'ils rendent a la socit ou aux sim. pies particiulirs? Oni, certakLeoene, ils le sont. Eh hieu! pourquoi voudrait-on que celui de tous qui donne le plus,-que c.;lui qui s'oblige a supporter les fatigues. les priva- tions et les enuui' de la guerve; que celui enfin, qui doit exposer sa vie et repaudre son sang, s'il le faut, dans vingt combats,- pour.i*rai donc, dis-je; voudrait-on que celui- la cul tit exception'a la rgib comimune'! Conver ui -en, ce serair absurde. Fnour ui lu me defiandait lequel, mes .: eux, G de mrite du remplaant ou i', ' d, je n'hsiterai pas we pron'e' . f Sveur du premier. Je dirz: mme, sas'avoir l'intention de blesser qui que ce soit, que j'estime autant, sinon plus, A'hmtoeo db ceur qui, pouvant s'en dispenser, 4 f.it volontairement soldat, que eelui qui marche pour! non propre compte; car celaeti ne pevait faire autre- ment. It faut conclure de ce, qui prcde, qu'on peut-tre tut a lufe.i bomme d'honneur et remplalt, -bt que l'opinion pop*taire qui accrdite l'ide -totitraire, n'est qu'une in- just pr4t ea , qu'un prjug dont il est justice. O. h P. Democrate de.St. Martin LA PAIE DE L'ARMEE FEIERALE. Le nombr .des rguliers s'lve 30,834, tandis qua lm forees volontaires s'lvent 642,27 hopwees, faisant un total de 6$2,571. Dans l'organisation figurent 1 liensntnnt g- nral dont le salaire annuel est de $9,096; 9 majors gnraux 'reoivent $49,356 ; 9 briga- diers gnraux $37,425; 1 adjudant gnral $2450; 40 officiers d'tat-ma;jor, attachs l'tat-major dugnral McClcllan, parmi ls- quels 6 brigadiers gnraux, 9 colonels, 16 lieutenante-oalonels, 1 major et 8 capitaines qui rWoiventc496,777; ecamminsariat du d. partement $2&,473,889; depwtemeut dec quartiers-manistre (167,628; 01 dolonels du gnie et de cavalerie $S86,65Q0 ; 4J lieute- Snants-colonels $167.623; 61 ewjar S132,402 61 adjudanta $84,548; 1220 fieutecaits $169,801 ; 1180, lers sergenta $240,72 ,;. 3540 sergents 4722,160 59 sergents-majors et 5 quart5? s-atres-scrgets $28,536 ; 118,clhirurgi ens, et assistuts chirurgiena e 226 550 ; 59 aid4e d'hptal a ooomes $17,700 ; et 52,470 timp soei ats $6 026,832 De l'arti 1 lerie et do l'infanterie 8 5P colonoel 1,.04,l20; fieus l.nt-clonels $1,281,i 1u8; 568 m j ,I20; ,;704tapftiines $78,725,4- Il efieA n t$14,488,400 6,7001ers 8srgi4 fl000 ;7,i00 autres abrgesks $S, ,-40 8,800Aip<ax S 056.800e; 12 tManjois 4 aer ge)t quartierswayiteM 8I.7:84;ui150 ohirirgien et asasitsoe442,2009U.40; 71 oonoas4dw 3- pital t,^; 1200 arciiierf 821,M0t; ' 510,318 simples soldais $67,381,975.4jon. mne* 'es obiftpe la soldxsnewMhaire d'offiiers d'tatma jor, le service du re.rate- ment es les'servieuA Apeciaux $10,64OH874, et le salairede 667 rpayeurs et assistants $100,817 ; 1600 gardea.malades*T2,O00; 100' sergente d'ordonnance -,$1 pour quaiaer aitreco.mm sseaire ^t chirurgietis gnraux 4823,788 et 725 chapoins $1,100- 500 ete nous trouvons lin total de salairec uannuel s'Ietadt' $223,344,272. No1w ajouterons eaci $60,000,000 pour le dpsw tement d'ordonnance et pour approvieionini ment d'r ,effO00 pour le buiei ]adifal; ^O, ^our transport et S 000;890 z^ dpenl continumtes, et get6 auros u~irafannu~ef dg %^^|,272 'w d^meeq q&i lvient'i ^^ta^ ?ec $2,000,0 r jour, ktlleas4uf1^ditaae poropprate 1esoonmi^'d'^nquh't-et ltsgrafl Nous pensosto que ces ^dtails authentiques donoeront utoe ic masW juste deg4asiasnor-, e qm'ctrpneW mise sunr pied d'b g*jiid Lrteentitnps 'S trtible' o'e de''yrStf. j lui& Po~ ' niathtig qu iui il ya q tJq t abnes, ars avoir Mdlheore le poste de premier .itgisirat de Vew'Yort il retronva son ni-i veau dads les derwes profonde.nrs de l'in- signiLiance et de l'ot.bli et son parti l'aban- donna; mais depuis, la boue a t remnue et celui qui tait descendu dans la vase ttard mutil a reparu la surface gros crapaud plus bruyant et plus iimpudent que jamais. C'est souvueit ce' qui, trive dans notre sobi&- t o rien n'est plus -ue de voir un escroc, aprs que le temps a un pas effac ses crimes, devenir tout--coup an objet de fa- veur populaire on l'appui de l'ekecutif. La position qu'a ptise et les principo qu'a son.u- tenus dans son discours cet homme de bas tage seraient une hante pour tout autre que lui. ACTE C! T E RELATIF AU SElVIC* DES iATBOUfLLES Sec. 1. Le Snat et la Chambre des Rle. prseastants de l'Etat de la Louisiane, runis en Assemble Gnrale, dcrtct: Les jur-s de7 police des diffreutes paroisses et corpora. tions municipales de l'Etat, except la Nlle- Orlans, seront aitoriss atatur ue amiien- de qui ne devra Bas excder dix piastres, et un emprisonncaintt dans la! gle de la pa. roisse qui n'exeera pas vingt.-quatre heures peqr tous manq"tAents sans excuse valable au service de la atrouille. Los diffrents juges de paix de chaque paroisse pourront Iconnaitre de ces manquements et appliquer les peines arrtes par les juris de police sur le rapport du clief de patrouill& de la circon- scription dans laquelle le manquemnent aura lieu. Sec. 2. Dcrtent de plus : Tout chef de patrouille qui ngligera de faire son rapport sera passible des peines dont il st parl la prcdente section, et ce, sur le rapport de toute personne rsidant dans se circonscrip. tion. Sec. 3.. Dcrtent de plus: Le prsent Acte entrera n vigueur le jour de son adop- Lion. Approuv le 23 Janvier 1862. THOMAS O. MOORE, Gouverneur de 'PEtat de la Louisiane. gyUn journal de mdecine a ddonvert que les demoi.elles sont plus sujettesau%:niaax dette que les femmes maries. C'est ai, rpond un vieux celibataire; mais il est galerent reconnu q u. les hommes maris ont le mal de tte plus sou- vent que ctux qui n'ont pas pris femme. O le monstre ! 0y*Le pouce est un membre trbsutiTe; mais ce n'est pas une raison pour que ceini qlui en a deux tienne son voisin sous le pouce. t 07Un ami consolait un homme dont la femme venait le fuir le domicil conjugal:: "Ne me plai- gnez, lui rpondit le malheureux, ne me plaignuez que lorsqu'elle reviendra?' f?-Qu'avez.vous , remarquer, Madame, sur la minire dont je viens de vous chanter cette roman- ce, demandait un fzquin une darde de bon goIL -Rien,monsier;je n'y ai rien vu de renmrquat>l. - femme est le nqyau de la crinoline A nos abons.-At4endu les cir- constances que chacuin con sendra seas dote, nous nous vyons far de rayer de noti e liste d'omes les noms de ious ceix qui nous doivent deux ans ot plus, d'a. bonnement. Nous invitons donc ceuir qui se trouvenf dans cette catgoYi et Pui de- s |tent encore recevoir le Courrier de von- loir bien venir rgler sans diaai, afn de ne pas intcerrnzprrPenvcoz dt jotrnd. PocRDAf.E OFFleIEiLLAS na RureaS d P alce A ille1 Dff A une asdmb ixtraordiiaire du BeIeau, tenue ce jour, fui ent pYents: f. A. King, |irsi(fent, J. J. Beauchamp, O. Foiret,E. f Depf, Jau MeCor- mick et W. R. Meinil. E. D. Estilette, lu le 9 Juin pour remplir la ta- cance occasionnrbe par la r iggesito dlonre A. Latur, prdsente sonu certifical d'd Wiba et pWetand son lgu. Surmoiton de M. Beauchamp, i est rol que r'oerdonnmiue intitute "Ordounaane potur inepder r'article XX d'une ordonnanie. tituti *rdoonatinw. ce coneernant l Marbl public. d'%i eowua," ad6p. te le 7 Juin 1862, soit et par le priaent est 'ppe- le, et quejusqu' nouvel ordre il 4era loiwible aux bouchers de 'vendre de la viande fwiche a epudit march un prix qui n'excdera pas dix ceatew la livre. Sur motion de M. Meginley, il 4st rsolu que le salaire du TtirWsride la ville pour l'anue 1862 soit port la seame de soixante plstres. Les propositions de M. Megiiley, pour lI cons- trUdiion d'un pint eue lb coule pi-s de la rsidence de M. Rawls, pour a eSmme de cent piastres, ont t aceaptfaet ladite conatraoion lul adjage. Sur motion le Buaeau ajourne. . F. A. KlNiI Prusident. Jos. D. Racean, Grefier. R... Lo e )kTi iaetcedi pro. premidL L.."frre 6r . sont hwit8 sauisater &16* (e 442DE &ct~~e Une i~inqastai8 Ife jigi4u ru 'iIer U mianu dfr de 0- s'loua. ''den au woMiaai izl aUC d'peleauM, ou P. L. rwaciex4, c~opr ~jes J8N . N4~IONS. Rue de ls e1 d -A 4 7u.~ ~ SI, ~ r.. eqU.I~ Q VEyT4 PIJBMsIgE$ 9 Succession de Marclite Fonsenoti Vewue Valrien Lajfieur. N vertu d'un. ordrt de Tl'Honorable Cour de Disatrict dans et pour la Pa. roisse St. Landry, il sern vendu aux e.n- chres publiques, zur l'btbitaeon ci-dessous dcrite, par Paul L. E. Guillanmin, Encan- tour, le Jeudi 10 Juillet prochain, 1862, Jes proprits, eiaprs dcrites, dpendant de la succession de la feue dame e-iarclite Fontenot, veuve Valrien Laflcur, savoir: Une petite Hlabitation, situe en la Paroisse St. Landry, en la Prairie Ville Plate, contenant maison de demeure et dpendances, avec en- viron 140 acres de terre de prairie, tenadt: au nord, Louis Chlapman et John 81raw; au sud, Ju. J3te. Lafiegr; l'est, John Shaw et Ju. Bte. Lafleur; l'ouest, Loi haspmau et Philmon Chapian. U LOT OE B101S, situ en la mnnie Paroisse, str les confins de la prairie de Ville Plate, la pointe alileur, contenant environi 156 arpents, tenant: au nord, Jn. lBte. Lafleur au sud et l'ouest, Mme. veuve O. Lafieur; l'est, L. Chapmian. Ce bois sera vendu en deux morceaux; STrois Esclaves, James, ngre, g de 33 ans; 0 Jn. Baptiste, uare, g de 29 ans; Aime, nregsse, ge de 55 ans. Une paire de beufs de travail; Environ 40( ttes de btes cornes (bo- vines) douces; Jument et poulain; chevaux; Un fer mnar4uer les animaux; Vu lot de cochous; Charrette boufs; calche; 7 balles de coton; Rcolte faire en mas, riz, patates; et une foule de meubles meublants, ustensiles de cuisine, et instrliments oratoires. (Co.rrtroNs:-Les acqureurs paieront leurs prix en deux ternies gaux, les pre- inier Avril 1864 et 1865; ils paieront les in- trts 8 pour cept. par au, partir des echances, et fourniront, le jour de la veute, deux cautiou.ns solidaires. Les inimeubles et les esclaves resteront greves du privilge de vendeur jusqu'au paiement .e leurs prix. LOUIS CHAPMAN, Administrateur. Opelousas, 7 Jtrin 18it. ORDONNANCE Amendant l'&rtt/e XX d('ne Ordomnan- ce intitule "Ordonnance concernait le Aarch Public dans la Ville dO'pelou. sasb" adoptt l 7'Juillet 18t0. A RTICLE I. Qu'il soit ordono par le Burentw de Police de la ville d Ope- louas: Que l'article XX d'une Oidonnance intitule "Ordonnance concernant le March Public de la ville d'opeloutas," aopte le 7 Juillet 1860, soit amende de manire a lire comme suit, savoir: "Que toute viande fraehie de l'espce bo- vine offerte en vente audit archli, ne sera pas tendue plus de huit oents la livre, a compter du 1er de Juia jusqu'au 31 de N- velbre, inclusivernet. ni plus de dix ets. la livre compter du 1er'Denmbrejtusqiqu'au 31 Mai, inclusivement, sous peine d'amende de viugt-cinp< piastres pour chaque coutra- vention." Art. IL Qu'il sit de plus dert, Que cette Ordonnance nura force de loi dater desa premire publicatiotn. Ordonn le Juin 18&-2. P. A. KING, Prsident. SJos. D. RICHARD, Grfer. ORDOWNNANCE A n diant l'aftle il70 de fAt loi 13 de 'd VildldOpelousus. A RTICLI I. Qu'il soit ordonn par le Bureaude Police della Ville d'<pe. louss: Que l'Article 170 de la loi il de la Ville d'Opeloupsas soit aiendlt de manire lire comme sgit. savoir: 'Tout hlabitknt libre et 4biano qui aura atteipt l'ge de dii-huit an.r et qui sera au-dessous de soizaute anu, et qui sera rsident do la ville d'Opfousas de- puis tro moims; sera tenu de remplir les de- voirs incombant la patrouille, dans ldite villed'Opelousau. excepte les ministres de l'vangile, les Praticiens en iedeciue, les per- sonnis employes au transport de la malle dans les Etata Confdrs, et 'ls bouchers et les boulangers," rt. II. Qu'il soit de plus ordonm, Que cette Ordnmnee aura fore de loi dater de sa rainre pu6blicatit Ordonnu le 7. Jui4 1862. F. A. KiblI, rsidqnt?. Jos. D. Ricamas, Grefier. S(14 Juin 1862. 28<-.5t .Idiriet palre .crcle, te-bef apet tenant au gouvernergent des Mtats Coii"dw, et ma4ewtenaasdetet ejutaes eticef&es Matoisioan. tue, farmi lequelts iL s'nt0ieIi ~ oiie.pms mmarais. Tot individu #pi ewwaertira ce Is ou aucun d'e Ns on- propre carg, oq qui en di#' posor oule4aer>u sun lit.p. conque aere poumukiaiel.a toute lorigu.Mrsleu es.cF * .gmet du J4iwr1ernea d*a sire du GokpewmeW es tdaRttaowid & Opelousaa 17 m 162. 124 buerstion de Louis Petloi L i?,smtu. 7E OIiTI esuES povtm~t avoiri dq Ipww# PLbOU B., F'uutenot1 s ont Invits a. s'aissr emd4ement >lArclDqe,,i Ville Plate. Peux "ds :h!rtierf& L. P. b.foiteot,' qu Oe'nt P" toucli leur paig'dni~s 16 pro auilrdi'i4d -deq somm.es do lsiiceeuin, soit Pr duaSus qu'elle e8t' iloot -Qispositioiq. entte tes imulus de morsel; aite, &,vine, Pldte, et 4fii'ble ne produit pas d'intrts.- 1OI, II2~ _____ ~ Bayufg Eowprs*Ikvcr Sb~ ~Ir,,~ 4~tL-2f mit MEEIdea f 1ev NOUVEAUX AUIVAGES. gFIT dernivrernent t la Phaimacie des Opelousas tCnum par P. L. H R AD, Phosphate de f-roluble de Leras, l Ilypophosphite do ude, Bromure de Potassium, Aluni de fer, Pr its chimiques et mdicaments brevets franais. 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SSe sont chapps de l'ihabita- tiona du soussign, pris du Grand ('C. teau, il y a environ un mioi-, une .Ju- 'ment aisricaine, canelle, u'eiviron 9 as, une tache blanche au front, et n1 portant aucune marque:-lf poulain, d'un an, sui- rel, front blanc, marqu peu grs ain-si: J-( v Aussi, un Oetit chdval crole, qui va inaturelle- ibeat l'amnblb, pt porteit uns marque donut on ne se sourient pas db la forntu. La rcoampense oi-dessus sera accorde quicon- -que ramacera cea chervux au soiesign, et une r- meni-asatIin Uraite ii celui qui donnera des infui nia- Lions qui conduironit a. leur appribeisioin. . JOHNL GARDINER. Grand Coteau 14 Juin 181. 2Stf INSTITUTION LITTERAIRE DES. OPEIOUIA . Instruction dans les deux langues, Angraise et Franaise. Pour les conditions s'adresser C. E. .)UANI), 6 Avril-la) Prinipal. .a--& E.NILLE CLAULDK, ayant rcem- achet, et.coniplitemeiit repar et ein- miageet HMlel avantogeusepient con- sr, eitu rue Maine, aux Opouloeas. ems aetniellemiefit pt recevoi les voyegeurs et des penesionnaires permanents. Une Ecurie spacieuse et bien are est adjointe cet tablissement, bien approvisionne de mai! et de tourrage, et o4 les soins les plus minutieux seront prodigus aui chetanx les voyageurs. Sa table seras toujpurs pourvue de mets avou- reux et abondants. Ni peine ni frais ne seront par- gndes, di ct du propritaire, pour complaire an public et pourjgaeier une partde ba laveur. Opelousas, S M1i 1860-1 a. IOTEL DES PLANTEURS, A W6shington. A UE soeswgaX'a l'honneur d'infoimerI ses aMciea letEous, et le public en gni. ra", qutJl a coistiuit.un nouvel htel vaste et commode, sonauncien local, l'enroigkure des.ries St..John et 1jeap, Wdsh- ington, Lue., oa .ik sera beureux de recevoir les voyageors etlmeneonnaires. F. TRAINER. Wshioetar49 Dcembre 1860-la N.j.-*,F.statich l'tabliasvment une curie spacieuse et conlortable o l.es chevaux sont par- Iaitermetsoia&, et oi on trouvera coustanmment desiilhevaux et huggys louer F. T. iLOTELDE L'AIGE, WASHINHTON. JAM3fS S. GRIe LEE, rceemmentdu Missis- sip4 ayatachet cette proprit,aniinonce au public qu'il #estminiteeaiitprt recevoir les voy. geurinaiinsqae duspensioinairea. Cet tablisse meut etsitu asta< le deux dbarradres et ufait (sce au ayou LCourtobfiria. Les ap aittementsont td nouvalBment garnis neuf. Le propritaire oUe espae parJtseli>rts iIwessaqts pouvoit ren- de a maisoUUaaiconmode et agrable que tout entre dabliweSpatL.de eegenre Ta campagne. Il y asmr lieuf;une bonne curie. Washinitun. La. 14 Jiapvier IS60. 1010J5E UIK'NTE. -* E 115smigue Trmoronjunarearmaminir. Di l'encoignure des rues uain ae Belle. ve, daos Ta cour de Ma pharmacie. Opelon. s", un aeortimtient de bois de chaipente le plus uait4, eon pin et chne. Les devis que Von voodesa bien lui eonfier seront prompte- mient 't elaetement remplis. 1. P.LONC1E HEBRARD. - Opelousasli3 Juilet 18i1. J. 8 $^FARTKIilf, NQ lit ET ENCANTEUR, ^FFRII ses services aux public. Ilureau LobviUe. t. Ladryv, 22 Fv. 1,62.-1 Bof 'de Cliarpea Us. I sooAsign6 eBt manintenant prt rein. NJ plir le devis de ceux qui pourraient avoir besoi" de btis de construction, Fon mdulin aie, sdur le Couriablqixu, 3 milles du Port ] arifl Iat anjogrdi'bui, et tienidr? constamemet es main, uie quantit de bois sW. -CHARLES CLOSE. Paroisen t. Lndry, 8 D6cembre 1S60. , 1 "p 1 NT les peau. Ja laine, les bL cbaui e I e et de la laine file, en aoti de leurs muarchandises, lour nia- M-o. a pe.aoua. 17 aot 16 1. .Al NTE UR. 0* O1reauA san rsidence, encoignure des res Court eit South , aut Opelonsas. 9 Jnui 1800. JOB ^aUV SLMOBOA\ILS Natire P'itc eh liParosse St.rLadry. "'sea srvices ses amis et au pu. 0 ie en gunil. Toute affaire lui cone, son ureau, Opelousas. sera ex- eu(e dans pfis court dlai possible. , thfl Sl. lt@vril-s y g o~Im~ abras&d savon et de UJ&bbl,: j OpeIuaaa, achtemf le quf~ ra18re l. on vgudra bien lui! whtM brigp a lme0t, les vieux A UG. J3OI1MIE ous. W tmvn#a oenfis i ses :M. 1fltM*t BODEMULLEI, s e l'auncien local de Rachel knlwj if!ue et lamusi n dt il 16 7- v 5Sy . ' ;.<..t5,. -I Mnhema4. 4 = molIi.d A vendre a l'amiable. S UNE CERTAINE HABITITION S1RIBRE siLue daus la Paruisse St. Landry, bur la rive Est di. Baycu Crocin ou Tche, borne en Shaut par do rres appra-teiantn Ldd, -t CenIbu r ba terreb . .ppuitt, ia TCeiell, ayant *,iviron 18 arpeuts de face 'sur ledit Bayou Crocan, sur une profondeur d'enviren 40 arpent., plus ou Lioins, contenant Fsept cent dix-hlait arpents, plus on moins, de su perficic, ensemnible avec toutes les btissese et amiliorations <ui y sunt riges. AuFsi A UN CERTAIN MORCEAU DE TERRE, oomniunnient conuu tre le Thompson T'ract, situ dans la stusdite Paroisse St f Landry, sur la rive OueSt dur Bayou Crocan on Tche, ayant 14 arpents de face sur ledit bayou, sur une profondeur irrgtlire; born en-haut par des terres appartenant Thos. B. Knox et Prudhetnule, en-bas par des terres appartenant ', ou connues tre le Nu. gent Tract, et nsur l'arrire par des terres appartenant Tlins. TI. Lewis, situ presque vis-a-vi 1de ladite Labitation sucrire, et cx.L- tcniit 4:.8 arpents plus ou moins. 3y-'Pour les conditionsi, s'adresser John II. ilsley, agent de ILichard McAll, dans la Paroisse Ascen-ion. ou R. McAll lui-nimue, ' 4 milles eu-haut de Donaldsobville. 18 Fvrier 1860-tf ^ ^nire a r'atlalUc rI a1SOO acres de terre, partie bois, partie prairie. situs au Bois Mallet, ienviron 18 milles du port de Washingtut et environ 3 milles de la ligne projete du chemin de fer entre la Nelle. Ihrie et la Texas. Cette terre sera vendue en un seul morceau, cornmme eilu se trouve, ou elle ser- partago- et vendue par lot?, pour l'agriment des acqureurs, attendu qu'il y ' a sur ditfftrentes parties de la terre d'assez bounes : aimllicrations. j Cette proprit6 sera vendue un prix raisonnable et de longs termes de crdit, si on le dsire. x gfrouiir plus d'informinations, s'adresser au EoU..s " sigr, au Bois Mallet, ou au bureai du Courier. F. FFRAY. St. Landry 18 Janvier 1862. 7-tf LI QLT R1'I R$ G 17NF RAUX, . n~ XL~DE MfAt:ED. LV.uuNy. - Opelousas 29 MIai 16-2. ut ORDRE~ SPW-1.11. N. 7 i COUR D;AS$F.SSEMEN,\T. E S oiticiers suivaotit sout par les prsentes i .Eichpisis' pour condtituer la CourdAismet 'Y pour ce Rgimenst, savoir: fies'tenant.Colotel A. R. Hawkins, Prsident, 8 en remplacement du capitoane John C. Barry, qu- ar'.ge Capikaine Leroy S. Ilavard. -Lietitetiart' theodqure lXXValronrt. a Jel Ti. Sanrio, J tiom-A roct. L. V'. (?haclipt. 'tarclial Pr-cre. Coulfor'mtrent l'Orile spcal N'. 1 de A }Tawk-ils. commandant rcemment ce Rjrre, R 4 cette Cotr "e r,nira une oijis par m~ois. La Coui dsiienernelle-mme le jour et l'heure de sarunion. Par ordre de JAS. M. PORTER. Coluneie omimnutt. l* Tmoa. L.%sTn.&rEs, dyiidanf. a. .dB. W ^TB iBe M ARCHANDISES bon march, a vendre chez Bloch, FirMberg & Co. 1'. Plus de crdit. Va les circonstances, nou. AI ne pourrons plus vendre que pour du conip- B tant. Mais nous sommes srs d'avance que . les prix auxquels nous vendrons nos marchaun- w dises satisferont pleinement !e pubec. lie BLOCH, FIRNBERG & Co, Opelousas, 14 Septi 1861.-(tf) COUl 1'ASSESSE.IEN'I \ " ETTE Cour se runira a la Maison de ur. %- Opelonsas. le Samedi 7 Juitin p 'n, 1862. 10 heures du matin, et ensnite le premnier Samedi de chaque mois. pour la transactiou df*I- Di' tfaires de la juridiction de cette Cour. u Les Capitaines de IMilice tdo Regiment de- 3t. Landry douiiieront avis leurs compagnies respec- tives. le jour de revue ou d'exercice qui prqedera immadialterent cha!ue rurion de cw.te Coss, dq lie pour assessemrent d'amendes pour avoir twaliqub Lail aux exercices on aux revues, puissent faire valoir pal les raisons. si aurune ils ont. pouni lisquelles teilest de ameildes ne seraient pas assesspes rentre eux. l'& JOHN C. BARRY, IM Prid dit ludite Cour.. noi Opelousias 17 m-a 182. 24 . BLOCHI,FIRNBER4*&CO. u i 1Waurchawds en eto e vn dtail gt CI CAILLEIUE, VERRERIE, bi ,RE. CiIAPE.A UX. G'AsQi UE i.TTE.S. 9 Mars 1861r I (! k L eis lic enm gn6ej qi il$ reoivent dles !l.7 e fit&iCotiIfs et du marrb dte la NouveIIc.Otl1w, umn Amrtciment conitidirabIe de M:hwse cheb d'Automne et d4.fiver; ge COJ'P4.RTES, BbTrTPS, SOUZIE.R;,- 1I .Vtemnents C'oefetioitim., Modes pour-~Damies, eteQu. un -e, w smfiment de Marchandises de toute ni, IV tacpn> tset pour habitatiwt que pour 1riI~ r qu'ils vendront comme to*jus. h. trs-bo marche n peour du I comptant. NET MltiUPRE. x~ (>pe!ou8its 6 Octobre ISOO. di Ru Mu~vdcWuhig:mLise., bvle S'E1~~pu~ibien de, nt ev coiarhla priktiqede la hirurgie. ttt M*iep>stel est u imstks d'ex4uter toute, ipration, quelh'ue difcI~reesoit, avee la -Cl plus grande prciuidn:.-Il ezteIle dans l'art de con-' -iervrr les deals nielutellesi Yt s'y appliqu paiticu ~ liremcnt. '1 Le U)r, Lunter' ton*,Ua'ie font son temsps et son.,CI attietion I'extevit-e oe sa profrasrjos fr Washington, 26Mui 1S860-ia lBO;ME &<m4tAELl 7.0o , OULLJ'I' USiS 8" RENDRONT en collection le rechmattons de -p Stontes sortes qui pourront lenr etre confies I par ceui qui ont des effets ctaeter des Paroisses le St. Landry et de celles avoisinca&e, aiasi que de la Ie Nouvelle-Orians. Ils .spentawriter,par lear as-8 , siduit etleur exactitude, une partie de l'encounagt- ch ment du public. Leur Bureau est. aux Opeloess oui vis--vris M. Proevost, ue de Maise. eai Opelousas, 15 Janvier 31869-lt soi leA aur -- ----------------- ia L E sonusign informe respeMteusenbent le public de qu'il lomers ees maigonirMit Sources de Beaver C Creek. Les.pironn qui dpieraienst pser leur t & cette agrable retraite, poriero.it 'ten procurer en s'adressmut au soussign a Opelonase, on . M. Alfred Andins. I Les visiteurs iont pris d'apporter du petit ckapge,, attendu l ditiult <qu'il y a k s'en procurer, HE0NR PROV18I 10 MaM 1862. Ju~3J~hAj~ GflC D~L.4> '~ %'*~aaca~ Wt>qV~dft4~I04~ h ~sPPMJ ~ft

Transcript of The Opelousas courier (Opelousas, La.) 1862-07-05 [p...

Page 1: The Opelousas courier (Opelousas, La.) 1862-07-05 [p ]chroniclingamerica.loc.gov/lccn/sn83026389/1862-07-05/ed-1/seq-2.… · Jes r1tsetires de ces qurtier!.Ik ont t ameneue su' voir-

~ El S ASJRAX*E.I MATIN, 5 JUIPILET'1862.

02-samidi dernier, l. comlwgnip de cavalerie

do 0 Vj .I. Todd, qui avait t 4$pche

dui Camp Pratt paor venir c h;erclekr dr~

ftspelEi~i4C~i&IE~t sr etsver

Wd''O glsuddians' partie sud .oteat de

Nous sommest beurent d'apprendrc que glce

1fectivitet la priuderiat duOi#tainerdtt, tousl

Jes r1tsetires de ces qurtier!.Ik ont t ameneue

su' voir- gans diAlcolti aucune, navbstaiit les

I*sts qui, it circul que le Cap'line To>lH vit

t- oblig dipo tufr.e dx et de voit blesser phi.

hieli di NflhuMats Tout cela tait taux, et L'o-

p4rs$.es~iiqujdushau metioneest pioba.

bs n~ l a rnsriire d'agir perms'v tt eti

MMe ta'nrs fermie d cupitaitie Todd.

al"Nous apprermgn ofUiielleu1eait qur le Gn-

rt P. 0. Hbeat e4.oavernettPde la-Louisiane)

va prendi le coi"ndermeiff'de troupes confet.

res, du DOPRutempm milita*re.ghi comprendra fi

I;eus et crtte partie d la Louistne qui ne trouve

4l'0"duu Mississippi (dlont nous faisons at~Nous ine savons encore o il tablira son Qtia.-

IIrLe Capt. Fetay ~nou cri t 1d bord titimwamer musi4 WaVieill Rivire la dite dit

2 "Vebtilet amnnecer dalis vo*e joo*nal que]*g d Lui d membrez, de gi~mp'e

Ealum.34gkrentite St. Land;y, a *uddeescalffisq#rpu jJpp4Aait la nuitk doralre. I11 iti!mat

et ~ 90rqu'il s'est noyt

!71l fat un temps o nous recevions trois loispar semaine des joupux de sque tous les Etatsdes ax-Etats-UJdi. .4)I'M4 it venir gla-

nireles nouvelles que chequmsn.J apportait. Cer-taiies db ais connaiss aesnaoubliaient jamais lesjours de coorrier, et souvent housdaiotemous con-Mirer 1Mnh quand oas o nous escamonait "

. wdeWtib'e- dates. Auej'ttd'hbui4se Prte $eaobt4 ow ir n x qou es o bitb*nj*, OqaS

fttaqW oqc a. appel anosamis qui ont le bonlieurd'en pouvoir obtenir quelque fis, et les invitonsvouloir bien nous favorissr de Vaobaine de cegenre dontegW pourront Aipouu,

Ie '"d i pfrn~, le u e or vereu d'un de ses amis ei bprd*t'qadq eu steamersqui 6; la, t'lie#des lacs et des bayous, une copieau crayon d'une srie de d6pcbea tlgiajphiqucsdates. d' g8 {p~.amfstu ande vie-

4oae 4. 1 ~9sJ~upe ilouafte ae milles ied

Ces if4kO aolt ppreape le GErai Le~a Pdn'U Te4r Le. flicite notri

de deux jours u eau ' .*ft.js neet

**t~ & p ~s~d *le.

Quoiqo. msp4dtailsasur ceush~~~~~d "ei~Ue*&~ noncent ce.-

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N0*t traduiFcnsd'up de no@ cha aKs quei-

.,es extr s J'u-diKcours proponeI par ..

[Sadstone, un membre du Ministre Anglis

it en nimme temps Chancelier de l'Echiquier:

"11 n'egt que juste, j. crois, que nous fas-stois conunaire notre opinion et noi senti-

ments sur la litto gigantesque qui se pour-suit avec taeit d'nergie str le coutineiiLamericain et sur le ip!iiestent -i grandiose defeames miitaires 4e la. pat des tats.Uui.Ils ont obtenu certains succssur es hebampsde bataille; mais messieuro, encore ume foisie rfrerai, cet 'rd, a notre exptienceanglaise (coutiez.) Si vous consultez les an-uales de la guerre de l'indpendance entielle4 colonies del A'mirique et notre pays, ctrouverez-vous les succs obtenus par nos ar-.mies sur les champs de bataille, dans cetteguerre? Ce n'tait pas le manque do succsqui nous empcha de conqurir les coloniesde l'Amrique. C'tait ceci: Au fur et n'eaure que nous obtenions des succs par lesarmes nous nous apercevions que nous Dn'a-proehioup enaucune ftaon du but qae nousnoua tions propos. Euand aedila lasubjugation d'un peuple, la question uet fpasde mvoir ai on peut battre les arm es . ,ce

peuple dans le pays o on porte l gPtre.question est simplement celle-ei C'est de

savvir sa les populations peuvent tre converties par un raisotnnement sain et juste, ousitu contraires elles sont dteralicnces obtc-nir une sparation (applaudisements ) Sices populations ne sont pas d'eaccord sur la se-paration, es peuvent i tre cunOquies, uinssi au contraire clies solt dtern'dte et unn-

nims l'gard do la scession, et s'il cirenle,das leurs veies du sasg de Wahington etdes' Bidioite 'daujourdbui de la VrugiuieaIofi lsV peu prs'imnposible do bubju-jr ler habitaltis de l'AXariqnuUa Sudi et&ors donc il est tout au& imposaiMe que Pobsj ititaifaississo, 0t si toutefdis eetobfejtrussissait les difficults civiles et politiqesqui ;xisteiti Aobinrt.; seraient tel) queces succs ipilitairag aeraieut un aspour ceux qui les auraieut acqui. '

tIll eat d' uotre habitude, messiu a4ce pays-ci, de parler frauclhemaet, eje a ois,qu'il est juste, considuat.p 1.p,;qnmii etl'intilit 4p Hos relations ave-toma deut quihabitent le continent Ajpptiotia, il stjuste,dis-je, que nous consultious otre esrit etnos sentiments l'gard de ce que vons ap-pelez juste raison cettp luLte 4plorable.-Puisse l'Eternel aimener unefin rapide cet-te lutte! Pour l'amour do nous names, auno*tiiurtoUA des A'nrioains, fasse le ciel quecette lutteoe termiiopromipteflent. Puissecem veu fervent s'exaicer, non, pas paucequesous le dpirons, mais parceqme ce sera laphiA. Je boSbeur et le bien-*des habitant-

'de o beaut pays, qu'ils poieut blancs on qu'il&soient rpits (eoutez). lIais, messieurs, noUsremekotem noba mame ici les effets de soettelutte maheureuse. NoUs ne pouvous les nigr,non pas sur seue seulement, mais assai surd'aitres pays' de l'Europe. La France,ensouire, l) Belgique on souf(re, chaquepaysqiu a une manufacture do otou soufre plysoumuinti^-plus que notre pays, parcequedans les autres pays il n'y a pas cet espritd'indpendance qui nous earaetrie; parcqque dans les autres pays on e4 pl eaoli4. .'appmyer sar le gcevernement.

* 'uia quand T'org,~ui de ^iB^qufioSine,.oiu' dit que l'fiuropeio& l'e gt re

le' pprieiogwr, se sont 4a cojlit eniversl'Armrique, je so#G .9 iea rdest fial del'iatin aqra cuel: te9 j iaacusme ns-

ji&iieg', dangaueun tepaip$Audoif paci.AIq*4'ene guerre jijile mgapa gigpatseue

giqaejseuaias own gouverBpmeut I's senti-g' e ^I^

:VPl09DE QVUATtlRitYV.-i1eds ciuq- individus condamns tiea nspqv avoir cotmujo iun vol rue Tou.

1buado. -99, disfs c'kvk aned indi.ques llc.re Q u~ aqqvons publihier, i e hiks& ten tiv,s'dit mine geuru, -ou t t*Ms Mmr Une

~~ -ationnadrditemi"in aux-abuordl de la- prwUn, bierr q'Y',ent. en dt

interdite, et, que le spectaeiej au

ilugWfflt'es- corps de. au4flklie. MaisllIiorfth 4, Vw ettrot tout pWI&-Ont ,#r les

a.e~ omis finua .4% enfant sedamsla

*nV"ew, 4ehr4s dwmiqanLu q4.re.

ts gTiitrl'or deI la jleritii et ou pletilt,PowbMr -g r1g&.4i#up~e-

<pot odms, u 118 des IegirB ,fnwjona.asi&ber aux apprte du drame sanglant qui*dqvAi4, wu termilper mar lMeuiv detr- qutftr

Jae iniquimw*, Thedo, 'Leibl .t seuls.m~& e-di -l~taus,? ,s peine Com.e

wu~u~~ 4~5i5~i U~a l'le *ozi

tqt

d n ait, e' pid hte)

i~~relw, e I#c1'evir< $ aus~

deUx portaient '~cUi tptltq e*laiges.Aprs -la- Ieotmo ,#. ,rtudre 4g gnral

Botter faite par le dputd; pt*vOzdaealSt0M~d le apnevh t"eka sur la Ltt

des.-. ')a pl 0n fer

qllaque olwios a dire, lkygi

di"p n'il epeaieu dt'

$jqs4exgqql. n ~ueatd

Fe r t*'r ><et u t uii ci. ' ui' t ria .uvant <4e p,-tir poer I ge ax vaiS&psx. Eotriant & I^Nruvrll-Orlar s il .tbr. aDa-

!ade et on l'exemipta du service ee qui luipermit d errer a sa guise.

Il rcnrontr; W. Clary qui, aprs avoirlit onuaissance avee lui, lui montra des pa

ipiers et lui demanda son asi;;taice ro.raire une reciercybo d,'4cuer caCbbe0. Il

conseutt aller avec Ini et il jure qfe lapremire nuit il ne souposuait pas les vri.tables intentions de son compguon. - 11l setrTouva bientt en rapport aveci oute la bandejt, apri avoir vu prePdre des bijont chezon armurier qui u'avait d'autre armie qu'unpolgnard, il comnprit le ritable but de l'eu.n-treprisc. Dans a inme nuit, ou trouva

iaIs un autre endroit un pistolet et u re-volverct on enleva une montre. Le leudcmain on partagea les dpouilles et on reconm-mena la nuit suivante. Newton quitta labande le troisiue juur en emportant latontre de M. Finn pour se venger de Claryqui avait menac de le tuer. C'est toute laPrt qu'il prtlid avoir prise aux entre-prises tiocturuci dCes soi-disant chcrcbheUard'armes.-Abeille du 17.

DU REMPLACEMENT MILITAIRE.On sait ce que c'est qu'un remplaant.-

C'est un honme qui, tant exempt par la loida service militaire, s'engagb, pour uneesnmme convenue, prendre la plice d'unautre et faire tout ce que '2}ai-c1 et ttenu de tfaire lui-mme.

On le voit, il 'agit ici d'un contrat syral-lagnatique, d'une convention faite'de bonnefoi et l'amiable. Si les deiax iarties iut-resses 1e -pliasent les couditions stipulesdans l'acte, tout va bien, et personne n'a ledroit d'y trouver redire.

D'o vient cependant qu*it existe engnral, nue prvention tfavorable contreelui des deux contractunts qui le mrite as-surment le moins? D'o vient qu'ua rem-plaant est peu consider, et que l'on dit

uoloitiers de lui. pour le mpriser, qu'il avendu sa pecu?

Ceux qui se servent son gard de cetteexpression grossire et humiliante, n'y outpas rflcbi.

Tout travail, en ce monde, toute peinedoit obtenir son asiaire...,

Est-ce que Tes luinistres des autels, lesmagistram, les mdedins, les avocats, les eutm-ploys on engaga, eufu, nimporte quelstitres, e sont pas rmunrs pour les ser-vices qu'ils rendent a la socit ou aux sim.pies particiulirs? Oni, certakLeoene, ils lesont.

Eh hieu! pourquoi voudrait-on que celuide tous qui donne le plus,-que c.;lui quis'oblige a supporter les fatigues. les priva-tions et les enuui' de la guerve; que celuienfin, qui doit exposer sa vie et repaudreson sang, s'il le faut, dans vingt combats,-pour.i*rai donc, dis-je; voudrait-on que celui-la cul tit exception'a la rgib comimune'!Conver ui -en, ce serair absurde.

Fnour ui lu me defiandait lequel, mes .: eux, G de mrite du remplaantou i', ' d, je n'hsiterai pas wepron'e' .f Sveur du premier.

Je dirz: mme, sas'avoir l'intention deblesser qui que ce soit, que j'estime autant,sinon plus, A'hmtoeo db ceur qui, pouvants'en dispenser, 4 f.it volontairement soldat,que eelui qui marche pour! non proprecompte; car celaeti ne pevait faire autre-ment.

It faut conclure de ce, qui prcde, qu'onpeut-tre tut a lufe.i bomme d'honneur etremplalt, -bt que l'opinion pop*taire quiaccrdite l'ide -totitraire, n'est qu'une in-just pr4t ea , qu'un prjug dont il est

justice. O. h P.Democrate de.St. Martin

LA PAIE DE L'ARMEE FEIERALE.Le nombr .des rguliers s'lve 30,834,

tandis qua lm forees volontaires s'lvent 642,27 hopwees, faisant un total de 6$2,571.Dans l'organisation figurent 1 liensntnnt g-nral dont le salaire annuel est de $9,096; 9majors gnraux 'reoivent $49,356 ; 9 briga-diers gnraux $37,425; 1 adjudant gnral$2450; 40 officiers d'tat-ma;jor, attachs l'tat-major dugnral McClcllan, parmi ls-quels 6 brigadiers gnraux, 9 colonels, 16lieutenante-oalonels, 1 major et 8 capitainesqui rWoiventc496,777; ecamminsariat du d.partement $2&,473,889; depwtemeut decquartiers-manistre (167,628; 01 dolonels dugnie et de cavalerie $S86,65Q0 ; 4J lieute-Snants-colonels $167.623; 61 ewjar S132,40261 adjudanta $84,548; 1220 fieutecaits$169,801 ; 1180, lers sergenta $240,72 ,;.3540 sergents 4722,160 59 sergents-majorset 5 quart5? s-atres-scrgets $28,536 ;118,clhirurgi ens, et assistuts chirurgienae2 2 6 550 ; 59 aid4e d'hptal a ooomes$17,700 ; et 52,470 timp soei ats $6 026,832De l'arti 1 lerie et do l'infanterie 8 5P colonoel1,.04,l20; fieus l.nt-clonels $1,281,i

1u8; 568 m j ,I20; ,;704tapftiines$78,725,4- Il efieA n t$14,488,4006,7001ers 8srgi4 fl000 ;7,i00 autresabrgesks $S, ,-40 8,800Aip<ax S056.800e; 12 tManjois 4 aer ge)tquartierswayiteM 8I.7:84;ui150 ohirirgienet asasitsoe442,2009U.40; 71 oonoas4dw 3-pital t,^; 1200 arciiierf 821,M0t; '510,318 simples soldais $67,381,975.4jon.mne* 'es obiftpe la soldxsnewMhaire

d'offiiers d'tatma jor, le service du re.rate-ment es les'servieuA Apeciaux $10,64OH874,et le salairede 667 rpayeurs et assistants$100,817 ; 1600 gardea.malades*T2,O00;100' sergente d'ordonnance -,$1 pourquaiaer aitreco.mm sseaire ^t chirurgietisgnraux 4823,788 et 725 chapoins $1,100-500 ete nous trouvons lin total de salairecuannuel s'Ietadt' $223,344,272. No1wajouterons eaci $60,000,000 pour le dpswtement d'ordonnance et pour approvieioniniment d'r ,effO00 pour le buiei]adifal; ^O, ^our transport et S000;890 z^ dpenl continumtes, et get6auros u~irafannu~ef dg %^^|,272 'w

d^meeq q&i lvient'i ^^ta^ ?ec$2,000,0 r jour, ktlleas4uf1^ditaaeporopprate 1esoonmi^'d'^nquh't-et ltsgraflNous pensosto que ces ^dtails authentiquesdonoeront utoe ic masW juste deg4asiasnor-,

e qm'ctrpneW mise sunr pied d'b g*jiidLrteentitnps 'S trtible' o'e de''yrStf. j

lui&

Po~

' niathtig qu iui il ya q tJq t abnes,ars avoir Mdlheore le poste de premier

.itgisirat de Vew'Yort il retronva son ni-iveau dads les derwes profonde.nrs de l'in-signiLiance et de l'ot.bli et son parti l'aban-donna; mais depuis, la boue a t remnue etcelui qui tait descendu dans la vase ttardmutil a reparu la surface gros crapaudplus bruyant et plus iimpudent que jamais.C'est souvueit ce' qui, trive dans notre sobi&-t o rien n'est plus -ue de voir un escroc,aprs que le temps a un pas effac sescrimes, devenir tout--coup an objet de fa-veur populaire on l'appui de l'ekecutif. Laposition qu'a ptise et les principo qu'a son.u-tenus dans son discours cet homme de bastage seraient une hante pour tout autre quelui.

ACTEC! T ERELATIF AU SElVIC* DES iATBOUfLLES

Sec. 1. Le Snat et la Chambre des Rle.prseastants de l'Etat de la Louisiane, runisen Assemble Gnrale, dcrtct: Les jur-sde7 police des diffreutes paroisses et corpora.tions municipales de l'Etat, except la Nlle-Orlans, seront aitoriss atatur ue amiien-de qui ne devra Bas excder dix piastres, etun emprisonncaintt dans la! gle de la pa.roisse qui n'exeera pas vingt.-quatre heurespeqr tous manq"tAents sans excuse valableau service de la atrouille. Los diffrentsjuges de paix de chaque paroisse pourrontIconnaitre de ces manquements et appliquerles peines arrtes par les juris de police surle rapport du clief de patrouill& de la circon-scription dans laquelle le manquemnent auralieu.

Sec. 2. Dcrtent de plus : Tout chef depatrouille qui ngligera de faire son rapportsera passible des peines dont il st parl laprcdente section, et ce, sur le rapport detoute personne rsidant dans se circonscrip.tion.

Sec. 3.. Dcrtent de plus: Le prsentActe entrera n vigueur le jour de son adop-Lion.

Approuv le 23 Janvier 1862.THOMAS O. MOORE,

Gouverneur de 'PEtat de la Louisiane.

gyUn journal de mdecine a ddonvert que lesdemoi.elles sont plus sujettesau%:niaax detteque les femmes maries. C'est ai, rpond unvieux celibataire; mais il est galerent reconnuq u. les hommes maris ont le mal de tte plus sou-vent que ctux qui n'ont pas pris femme.

O le monstre !

0y*Le pouce est un membre trbsutiTe; mais cen'est pas une raison pour que ceini qlui en a deuxtienne son voisin sous le pouce. t

07Un ami consolait un homme dont la femmevenait le fuir le domicil conjugal:: "Ne me plai-gnez, lui rpondit le malheureux, ne me plaignuezque lorsqu'elle reviendra?'

f?-Qu'avez.vous , remarquer, Madame, sur laminire dont je viens de vous chanter cette roman-ce, demandait un fzquin une darde de bon goIL-Rien,monsier;je n'y ai rien vu de renmrquat>l.

- femme est le nqyau de la crinoline

A nos abons.-At4endu les cir-constances que chacuin con sendra seasdote, nous nous vyons far de rayer denoti e liste d'omes les noms de ious ceixqui nous doivent deux ans ot plus, d'a.bonnement. Nous invitons donc ceuir quise trouvenf dans cette catgoYi et Pui de-s |tent encore recevoir le Courrier de von-loir bien venir rgler sans diaai, afn dene pas intcerrnzprrPenvcoz dt jotrnd.

PocRDAf.E OFFleIEiLLASna RureaS d P alce A ille1 Dff

A une asdmb ixtraordiiaire du BeIeau, tenuece jour, fui ent pYents: f. A. King, |irsi(fent, J.J. Beauchamp, O. Foiret,E. f Depf, Jau MeCor-mick et W. R. Meinil.

E. D. Estilette, lu le 9 Juin pour remplir la ta-cance occasionnrbe par la r iggesito dlonre A.Latur, prdsente sonu certifical d'd Wiba et pWetandson lgu.

Surmoiton de M. Beauchamp, i est rol quer'oerdonnmiue intitute "Ordounaane potur inepderr'article XX d'une ordonnanie. tituti *rdoonatinw.ce coneernant l Marbl public. d'%i eowua," ad6p.te le 7 Juin 1862, soit et par le priaent est 'ppe-le, et quejusqu' nouvel ordre il 4era loiwible auxbouchers de 'vendre de la viande fwiche a epuditmarch un prix qui n'excdera pas dix ceatew lalivre.

Sur motion de M. Meginley, il 4st rsolu que lesalaire du TtirWsride la ville pour l'anue 1862soit port la seame de soixante plstres.

Les propositions de M. Megiiley, pour lI cons-trUdiion d'un pint eue lb coule pi-s de la rsidencede M. Rawls, pour a eSmme de cent piastres, ontt aceaptfaet ladite conatraoion lul adjage.

Sur motion le Buaeau ajourne.. F. A. KlNiI Prusident.

Jos. D. Racean, Grefier.

R... Lo e )kTi iaetcedi pro.

premidL L.."frre 6r . sont hwit8sauisater &16* (e

442DE &ct~~e

Une i~inqastai8 Ife jigi4uru 'iIer U mianu dfr de 0-s'loua. ''den au woMiaai

izl aUC d'peleauM, ou P. L.rwaciex4, c~opr ~jes

J8N . N4~IONS.

Rue de

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VEyT4 PIJBMsIgE$ 9Succession de Marclite Fonsenoti Vewue

Valrien Lajfieur.N vertu d'un. ordrt de Tl'Honorable

Cour de Disatrict dans et pour la Pa.roisse St. Landry, il sern vendu aux e.n-chres publiques, zur l'btbitaeon ci-dessousdcrite, par Paul L. E. Guillanmin, Encan-tour, le

Jeudi 10 Juillet prochain, 1862,Jes proprits, eiaprs dcrites, dpendantde la succession de la feue dame e-iarcliteFontenot, veuve Valrien Laflcur, savoir:

Une petite Hlabitation,situe en la Paroisse St. Landry,en la Prairie Ville Plate, contenant

maison de demeure et dpendances, avec en-viron 140 acres de terre de prairie, tenadt:au nord, Louis Chlapman et John 81raw; ausud, Ju. J3te. Lafiegr; l'est, John Shaw etJu. Bte. Lafleur; l'ouest, Loi haspmauet Philmon Chapian.

U LOT OE B101S,situ en la mnnie Paroisse, str les confins dela prairie de Ville Plate, la pointe alileur,contenant environi 156 arpents, tenant: aunord, Jn. lBte. Lafleur au sud et l'ouest,Mme. veuve O. Lafieur; l'est, L. Chapmian.Ce bois sera vendu en deux morceaux;

STrois Esclaves,James, ngre, g de 33 ans;

0 Jn. Baptiste, uare, g de29 ans;

Aime, nregsse, ge de 55 ans.Une paire de beufs de travail;Environ 40( ttes de btes cornes (bo-

vines) douces;Jument et poulain; chevaux;Un fer mnar4uer les animaux;Vu lot de cochous;Charrette boufs; calche;7 balles de coton;Rcolte faire en mas, riz, patates; et

une foule de meubles meublants, ustensilesde cuisine, et instrliments oratoires.

(Co.rrtroNs:-Les acqureurs paierontleurs prix en deux ternies gaux, les pre-inier Avril 1864 et 1865; ils paieront les in-trts 8 pour cept. par au, partir desechances, et fourniront, le jour de la veute,deux cautiou.ns solidaires. Les inimeubles etles esclaves resteront greves du privilge devendeur jusqu'au paiement .e leurs prix.

LOUIS CHAPMAN,Administrateur.

Opelousas, 7 Jtrin 18it.

ORDONNANCEAmendant l'&rtt/e XX d('ne Ordomnan-

ce intitule "Ordonnance concernait leAarch Public dans la Ville dO'pelou.sasb" adoptt l 7'Juillet 18t0.A RTICLE I. Qu'il soit ordono par le

Burentw de Police de la ville d Ope-louas: Que l'article XX d'une Oidonnanceintitule "Ordonnance concernant le MarchPublic de la ville d'opeloutas," aopte le 7Juillet 1860, soit amende de manire a lirecomme suit, savoir:

"Que toute viande fraehie de l'espce bo-vine offerte en vente audit archli, ne serapas tendue plus de huit oents la livre, acompter du 1er de Juia jusqu'au 31 de N-velbre, inclusivernet. ni plus de dix ets.la livre compter du 1er'Denmbrejtusqiqu'au31 Mai, inclusivement, sous peine d'amendede viugt-cinp< piastres pour chaque coutra-vention."

Art. IL Qu'il sit de plus dert, Quecette Ordonnance nura force de loi daterdesa premire publicatiotn.

Ordonn le Juin 18&-2.P. A. KING, Prsident.

SJos. D. RICHARD, Grfer.

ORDOWNNANCEA n diant l'aftle il70 de fAt loi 13 de 'd

VildldOpelousus.A RTICLI I. Qu'il soit ordonn par leBureaude Police della Ville d'<pe.

louss: Que l'Article 170 de la loi il de laVille d'Opeloupsas soit aiendlt de manire lire comme sgit. savoir: 'Tout hlabitknt libreet 4biano qui aura atteipt l'ge de dii-huitan.r et qui sera au-dessous de soizaute anu, etqui sera rsident do la ville d'Opfousas de-puis tro moims; sera tenu de remplir les de-voirs incombant la patrouille, dans lditevilled'Opelousau. excepte les ministres del'vangile, les Praticiens en iedeciue, les per-sonnis employes au transport de la malledans les Etata Confdrs, et 'ls bouchers etles boulangers,"

rt. II. Qu'il soit de plus ordonm, Quecette Ordnmnee aura fore de loi dater desa rainre pu6blicatit

Ordonnu le 7. Jui4 1862.F. A. KiblI, rsidqnt?.

Jos. D. Ricamas, Grefier.S(14 Juin 1862. 28<-.5t

.Idiriet palre .crcle, te-bef apettenant au gouvernergent des Mtats Coii"dw, etma4ewtenaasdetet ejutaes eticef&es Matoisioan.tue, farmi lequelts iL s'nt0ieIi ~ oiie.pmsmmarais. Tot individu #pi ewwaertira ce Isou aucun d'e Ns on- propre carg, oq qui en di#'posor oule4aer>u sun lit.p.conque aere poumukiaiel.a toute lorigu.Mrsleu es.cF

* .gmet du J4iwr1ernea d*a siredu GokpewmeW es tdaRttaowid &

Opelousaa 17 m 162. 124

buerstion de Louis Petloi L i?,smtu.7E OIiTI esuES povtm~t avoiri dq

Ipww# PLbOU B., F'uutenot1 s ont Invits a.s'aissr emd4ement >lArclDqe,,i

Ville Plate.Peux "ds :h!rtierf& L. P. b.foiteot,'qu Oe'nt P" toucli leur paig'dni~s 16 pro

auilrdi'i4d -deq somm.es do lsiiceeuin,soit Pr duaSus qu'elle e8t' iloot -Qispositioiq.entte tes imulus de morsel; aite, &,vine,Pldte, et 4fii'ble ne produit pas d'intrts.-

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Opelousas, 19 Novembre, 1860.

$24 DE RECONPENSE.SSe sont chapps de l'ihabita-tiona du soussign, pris du Grand ('C.teau, il y a environ un mioi-, une .Ju-'ment aisricaine, canelle, u'eiviron 9as, une tache blanche au front, et n1

portant aucune marque:-lf poulain, d'un an, sui-rel, front blanc, marqu peu grs ain-si: J-(

vAussi, un Oetit chdval crole, qui va inaturelle-

ibeat l'amnblb, pt porteit uns marque donut on ne sesourient pas db la forntu.

La rcoampense oi-dessus sera accorde quicon--que ramacera cea chervux au soiesign, et une r-meni-asatIin Uraite ii celui qui donnera des infui nia-Lions qui conduironit a. leur appribeisioin.

. JOHNL GARDINER.Grand Coteau 14 Juin 181. 2Stf

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Wshioetar49 Dcembre 1860-laN.j.-*,F.statich l'tabliasvment une curie

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Shaut par do rres appra-teiantn Ldd, -tCenIbu r ba terreb . .ppuitt, ia TCeiell,ayant *,iviron 18 arpeuts de face 'sur leditBayou Crocan, sur une profondeur d'enviren40 arpent., plus ou Lioins, contenant Fseptcent dix-hlait arpents, plus on moins, de superficic, ensemnible avec toutes les btissese etamiliorations <ui y sunt riges. AuFsi A

UN CERTAIN MORCEAU DE TERRE,oomniunnient conuu tre le ThompsonT'ract, situ dans la stusdite Paroisse St fLandry, sur la rive OueSt dur Bayou Crocanon Tche, ayant 14 arpents de face sur leditbayou, sur une profondeur irrgtlire; bornen-haut par des terres appartenant Thos.B. Knox et Prudhetnule, en-bas par desterres appartenant ', ou connues tre le Nu.gent Tract, et nsur l'arrire par des terresappartenant Tlins. TI. Lewis, situ presquevis-a-vi 1de ladite Labitation sucrire, et cx.L-tcniit 4:.8 arpents plus ou moins.

3y-'Pour les conditionsi, s'adresser JohnII. ilsley, agent de ILichard McAll, dans laParoisse Ascen-ion. ou R. McAll lui-nimue, '4 milles eu-haut de Donaldsobville.

18 Fvrier 1860-tf

^ ^nire a r'atlalUc rIa1SOO acres de terre, partie bois,

partie prairie. situs au Bois Mallet, ienviron 18 milles du port de Washingtut

et environ 3 milles de la ligne projetedu chemin de fer entre la Nelle. Ihrie et la Texas.Cette terre sera vendue en un seul morceau, cornmmeeilu se trouve, ou elle ser- partago- et vendue parlot?, pour l'agriment des acqureurs, attendu qu'il y '

a sur ditfftrentes parties de la terre d'assez bounes :aimllicrations. j

Cette proprit6 sera vendue un prix raisonnableet de longs termes de crdit, si on le dsire. x

gfrouiir plus d'informinations, s'adresser au EoU..s "sigr, au Bois Mallet, ou au bureai du Courier.

F. FFRAY.St. Landry 18 Janvier 1862. 7-tf

LI QLT R1'I R$ G 17NF RAUX, .

n~ XL~DE MfAt:ED. LV.uuNy. -

Opelousas 29 MIai 16-2. utORDRE~ SPW-1.11. N. 7 i

COUR D;AS$F.SSEMEN,\T.

E S oiticiers suivaotit sout par les prsentes i.Eichpisis' pour condtituer la CourdAismet 'Y

pour ce Rgimenst, savoir:fies'tenant.Colotel A. R. Hawkins, Prsident, 8

en remplacement du capitoane John C. Barry, qu-ar'.ge

Capikaine Leroy S. Ilavard.-Lietitetiart' theodqure lXXValronrt. a

Jel Ti. Sanrio, J tiom-A roct.L. V'. (?haclipt. 'tarclial Pr-cre.

Coulfor'mtrent l'Orile spcal N'. 1 de A}Tawk-ils. commandant rcemment ce Rjrre, R 4cette Cotr "e r,nira une oijis par m~ois. La Couidsiienernelle-mme le jour et l'heure de sarunion.

Par ordre de JAS. M. PORTER.Coluneie omimnutt. l*

Tmoa. L.%sTn.&rEs, dyiidanf. a.

.dB. W ^TB iBe

M ARCHANDISES bon march, avendre chez Bloch, FirMberg & Co. 1'.

Plus de crdit. Va les circonstances, nou. AIne pourrons plus vendre que pour du conip- Btant. Mais nous sommes srs d'avance que .les prix auxquels nous vendrons nos marchaun- wdises satisferont pleinement !e pubec. lie

BLOCH, FIRNBERG & Co,Opelousas, 14 Septi 1861.-(tf)

COUl 1'ASSESSE.IEN'I \" ETTE Cour se runira a la Maison de ur.%- Opelonsas. le Samedi 7 Juitin p 'n,1862. 10 heures du matin, et ensnite le premnierSamedi de chaque mois. pour la transactiou df*I- Di'tfaires de la juridiction de cette Cour. u

Les Capitaines de IMilice tdo Regiment de- 3t.Landry douiiieront avis leurs compagnies respec-tives. le jour de revue ou d'exercice qui prqederaimmadialterent cha!ue rurion de cw.te Coss, dq lie

pour assessemrent d'amendes pour avoir twaliqub Lailaux exercices on aux revues, puissent faire valoir palles raisons. si aurune ils ont. pouni lisquelles teilest deameildes ne seraient pas assesspes rentre eux. l'&

JOHN C. BARRY, IMPrid dit ludite Cour.. noi

Opelousias 17 m-a 182. 24 .

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L eis lic enm gn6ej qi il$ reoivent dles !l.7 efit&iCotiIfs et du marrb dte la NouveIIc.Otl1w,umn Amrtciment conitidirabIe de M:hwsecheb d'Automne et d4.fiver; ge

COJ'P4.RTES, BbTrTPS, SOUZIE.R;,- 1I.Vtemnents C'oefetioitim., Modes pour-~Damies, ete Qu.un -e, w smfiment de Marchandises de toute ni, IV

tacpn> tset pour habitatiwt que pour 1riI~ rqu'ils vendront comme to*jus. h. trs-bo marche npeour du I comptant. NET MltiUPRE. x~

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coiarhla priktiqede la hirurgie. tttM*iep>stel est u imstks d'ex4uter toute,ipration, quelh'ue difcI~reesoit, avee la -Clplus grande prciuidn:.-Il ezteIle dans l'art de con-'-iervrr les deals nielutellesi Yt s'y appliqu paiticu ~liremcnt. '1

Le U)r, Lunter' ton*,Ua'ie font son temsps et son.,CIattietion I'extevit-e oe sa profrasrjos fr

Washington, 26Mui 1S860-ia

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RENDRONT en collection le rechmattons de -pStontes sortes qui pourront lenr etre confies I

par ceui qui ont des effets ctaeter des Paroisses leSt. Landry et de celles avoisinca&e, aiasi que de la IeNouvelle-Orians. Ils .spentawriter,par lear as-8 ,siduit etleur exactitude, une partie de l'encounagt- chment du public. Leur Bureau est. aux Opeloess ouivis--vris M. Proevost, ue de Maise. eai

Opelousas, 15 Janvier 31869-lt soileAaur

-- ----------------- iaL E sonusign informe respeMteusenbent le public dequ'il lomers ees maigonirMit Sources de Beaver C

Creek. Les.pironn qui dpieraienst pser leurt & cette agrable retraite, poriero.it 'ten procureren s'adressmut au soussign a Opelonase, on .M. Alfred Andins. I

Les visiteurs iont pris d'apporter du petit ckapge,,attendu l ditiult <qu'il y a k s'en procurer,

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