Tanzanie : enfants travailleurs, enfants en danger

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osez la liberté LE JOURNAL DES ACTEURS DE PLAN INTERNATIONAL POUR LES ENFANTS Tanzanie : enfants travailleurs, enfants en danger PLAN INFO 49

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Magazine Plan Info N°49 - Juin 2016 - En ce mois de juin, notre magazine met en lumière le sort des enfants exploités dans les sites miniers de Tanzanie. Là-bas, nos équipes mènent un combat quotidien pour sortir des mines 20 000 enfants, leur donner la chance de retourner à l’école et enrayer durablement la pauvreté qui les touche.

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osez laliberté

L e j o u r n a L d e s a c t e u r s d e P L a n I n t e r n at I o n a L P o u r L e s e n fa n t s

Tanzanie :enfants travailleurs,enfants en danger

PLAN INFO49N°

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Point de vue

Pierre BardonPrésident dePlan International France

Depuis sa création en 1993, notre association a toujours eu à cœur de remplir efficacement sa mission dans un monde en constante évolution. C’est dans cet esprit que nous avons entrepris les démarches pour nous transformer en Fondation Reconnue d’Utilité Publique afin d’amplifier nos moyens d’action et notre influence en faveur des droits de l’enfant. Nous espérons obtenir ce nouveau statut prochainement. Nous ne manquerons pas de vous tenir informés des nouvelles modalités de soutien, en faveur de notre action, qui s’ouvriront alors à vous.

En attendant l’aboutissement de ce projet, nous continuons à nous battre pour défendre, avec vous, les droits des enfants. Aussi, en ce mois de juin, avons-nous choisi de mettre en lumière le sort des enfants exploités dans les sites miniers de Tanzanie. Là-bas, nos équipes mènent un combat quotidien pour sortir des mines 20 000 enfants, leur donner la chance de retourner à l’école et enrayer durablement la pauvreté qui les touche.

Je vous remercie pour votre indispensable soutien.

Plan Info est une publication de Plan International France - juin 2016Directeur de publication : Yvan SavyRédactrice en chef : Céline MerletRédactrice : Geneviève DavidConception : Sylvain Lefebvre Crédits photos : Plan InternationalContact : Plan International France14 boulevard de Douaumont 75017 Paris [email protected] 44 89 90 90 - www.plan-international.fr

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À la rencontre de ma filleule

Mon entreprise s’engage

J’ai eu la chance de pouvoir partir au Cameroun pour rencontrer ma filleule Honorine âgée de 10 ans. Après avoir visité les bureaux de Plan International à Yaoundé, nous sommes partis pour Eboman dans le sud du pays. Là-bas, quelle surprise en voyant le nombre d’enfants et de personnes venus nous accueillir ! J’ai tout de suite reconnu ma filleule qui m’a offert un bouquet de fleurs. Les écoliers ont chanté l’hymne national du Cameroun, suivi par un discours du chef de village et des danses traditionnelles. Je me suis rendue dans la maison d’Honorine, où j’ai pu rencontrer sa famille, lui offrir quelques cadeaux, et passer du temps à discuter avec elle. Je remercie l’équipe de Plan International et tous ceux qui m’ont accueillie. Je n’oublierai jamais cette journée, riche en émotion, j’ai hâte de revenir voir ma filleule au Cameroun !

Stacy, marraine d’Honorine au CamerounPPG Protective & Marine Coatings

VOUS AVEZ LA PAROLE

 Je suis marraine d’un enfant depuis 2006 et je travaille chez PPG en tant que Responsable Grands Comptes. J’ai entendu dire que mon entreprise soutenait des associations. Je l’ai donc mise en relation avec le département des partenariats privés de Plan International France, car je suis convaincue que nous pouvons faire la différence avec de petits gestes. C’était très simple et j’espère que cela pourra aboutir à un partenariat !

EN SAVOIRPLUS

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Laura Gutierrez, Responsable Grands Comptes, PPG Protective & Marine Coatings

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Plan Info est une publication de Plan International France - juin 2016Directeur de publication : Yvan SavyRédactrice en chef : Céline MerletRédactrice : Geneviève DavidConception : Sylvain Lefebvre Crédits photos : Plan InternationalContact : Plan International France14 boulevard de Douaumont 75017 Paris [email protected] 44 89 90 90 - www.plan-international.fr

Au nord-ouest de la Tanzanie, la région de Geita vit au rythme de l’activité minière : l’exportation d’or constitue en effet l’une des principales ressources économiques du pays. Malheureusement, la pauvreté qui touche les familles et le nombre élevé de sites miniers incitent la plupart des enfants à travailler. Tous espèrent se bâtir une vie meilleure, mais la réalité est toute autre.

Quelques sous gagnés au périld’une vie

Dans un rapport publié en 2013, l’organisation Human Rights Watch dénonce les dangers encourus par les enfants dans ces mines d’or. Certains ont à peine huit ans… Utilisés pour creuser et forer des galeries dans des puits profonds et instables, ils travaillent sous terre jusqu’à 24 heures d’affilée et transportent des charges de minerai plus lourdes qu’eux. Ils souffrent de problèmes respiratoires, de douleurs musculaires et osseuses parfois très handicapantes. Ils peuvent aussi se blesser à tout moment, en maniant des outils totalement inadaptés. Mais le plus grand danger reste les éboulements…

70%

20%

Tanzanie : Dans les mines d’or,les enfants travailleursaffrontent tous les dangers

Malgré la législation en vigueur, les droits des enfants sont quotidiennement bafoués en Tanzanie. Ils sont des milliers à travailler dans de petites mines d’or non règlementées, subissant violences et maltraitances.Un fléau que combat activement Plan International.

TEMPS FORT

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des enfants de 5 à 17 ans exercent une activité économique

sont considérés comme« enfants travailleurs »

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Tsexuelle qui les guette. Travaillant de jour comme de nuit, elles doivent faire face aux agressions des hommes et beaucoup sont contraintes de se prostituer, avec comme conséquences majeures, le risque de grossesse non désirée et les maladies sexuellement transmissibles.

Enfin, le travail dans les mines tend à renforcer les problèmes de déscolarisation. Un engrenage sans fin, puisque les jeunes qui ne peuvent accéder à l’école secondaire ou à une formation professionnelle devront chercher un emploi… dans les mines.

« Il est difficile de concilier le travail à la mine et l’école. Le week-end, je n’ai pas le temps d’aller aux séances de soutien scolaire. Je pense tout le temps à la mine, ça me distrait. Quand j’ai mal partout après être allé à la mine, je manque des classes. » Kelvin, 15 ans.

Avec vous, Plan International France sort les enfants des mines…Aujourd’hui et depuis 2012, grâce au soutien et à la mobilisation de ses donateurs, Plan International intervient en Tanzanie avec l’appui de l’Union Européenne et de l’Agence Française de Développement. Nos équipes sont ainsi présentes dans 91 villages des districts de Geita, Nyang’hwale et Chato au nord-ouest du pays.

Qui sont les bénéficiaires de notre programme ? - 20 000 enfants travailleurs âgés de

5 à 18 ans (dont 50 % de filles),- 5 000 foyers vulnérables,- 5 200 petits exploitants miniers.

Rovuma

Zambezi

Igombe

UgallaShama

Kafue

ZAMBIA

KENYARWANDA

MOZAMBIQUE

MALAWI

DRC

BURUNDI

UGANDA

Dodoma

Zanzibar

Bukoba

Morogoro

TANZANIE

Ifakara

KibahaKisarawe

MwanzaGeita

Dar Es Salaam

Bureau principal

Unité de programme

« J’étais en train de creuser avec mon collègue. Je me suis introduit dans une petite galerie. Alors que je forais, il m’a crié de sortir. Mais le boyau s’est effondré sur moi m’enterrant jusqu’à la poitrine. »

Rahim, 13 ans.

Comme Rahim, les enfants travaillant dans les mines vivent dans la peur. Ils sont aussi, et sans le savoir, surexposés à des risques sanitaires graves. Ceux qui sont chargés de concasser et de laver le minerai pour en extraire l’or utilisent chaque jour du mercure, une substance extrêmement toxique. En s’attaquant directement au système nerveux central, le mercure provoque des troubles neurologiques qui se manifestent par des tremblements, des problèmes de coordination et de vision, des maux de tête, des pertes de mémoire… Et les professionnels de santé locaux n’ont ni la formation ni les équipements nécessaires au diagnostic et à la prise en charge de ce type d’intoxication.

D’un danger à l’autreLes filles, et parfois les garçons, sont aussi régulièrement confrontées aux violences des adultes. Pour celles qui se voient confier la vente de nourriture sur les sites miniers, c’est l’exploitation

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FOCUS sur la protection desenfants en Tanzanie

18 ANS

1 fille sur 3 1 GARÇON SUR 7

c’est normalement l’âge légal pourtravailler dans les mines

subissent des violences sexuelles dans le cadre de leur travail

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Pour en finir avec le travail des enfants en Tanzanie, Plan International s’appuie sur deux leviers pertinents. D’un côté, l’amélioration de la situation économique des foyers les plus pauvres. Les enfants ne peuvent échapper au travail qu’à condition que leurs parents aient de quoi les faire vivre… Nous avons donc mis en place des associations d’épargne et de crédit qui favorisent la création de micro-entreprises. Nous dispensons aussi des formations professionnelles pour les adultes.

D’autre part, nous misons beaucoup sur toutes les actions de sensibilisation des enfants au respect de leurs droits. Ce sont eux les meilleurs ambassadeurs : ils jouent un rôle crucial auprès des autres enfants et certains, même, auprès des autorités publiques locales, sur les questionsde protection des enfants, du travailet de la prostitution.

MarTha Lazaroresponsable Projets à Geita, Tanzanie “

“Les enfants sont les premiers ambassadeurs de leurs droits.

Le projet est ambitieux. Pour éliminer radicalement le travail des enfants, nous devons d’abord améliorer concrètement les conditions de vie des villageois. Pour cela, nous les engageons à mutualiser leurs ressources. En créant des systèmes de microcrédits, les familles peuvent désormais faire face aux frais de scolarité et investir dans une activité économique viable et dégager des bénéfices.

À travers un vaste programme de sensibilisation et de formation, il s’agit aussi de mobiliser à nos côtés les communautés et les services publics (police, santé, affaires sociales, justice, éducation) afin d’être réellement en mesure de :

- détecter, prévenir et répondre aux cas deviolences faites aux enfants,

- réhabiliter les enfants victimes du travail et demaltraitances associées,

- améliorer les conditions socio-économiques etla santé des enfants issus de foyersvulnérables.

In fine, nous le savons, c’est l’ensemble des systèmes de protection de l’enfance qui pourra être consolidé à la faveur d’une meilleure application des droits existants.

… pour leur rendre leur libertéPour les enfants, le bénéfice des actions menées par Plan International est immédiat. N’étant plus dans l’obligation de travailler et sortis des réseaux d’exploitation, ils peuvent retourner à l’école et suivre une scolarité normale.

Ainsi, l’engagement de Plan International et l’aide financière fournie ont déjà permis :

- la création de 65 écoles maternelles, - la formation d’enseignant(e)s bénévoles,- l’achat de matériel scolaire,- le soutien psychosocial indispensable à la

scolarisation de 12 187 enfants travailleurs.

Chaque enfant devient acteur de sa vieEn Tanzanie, comme partout dans le monde, nos équipes s’appuient sur la pleine participation des enfants. À l’école, au sein de leurs villages, notre association multiplie les actions de sensibilisation qui leur sont destinées, afin de les former au respect de leurs droits (éducation, travail, santé sexuelle et reproductive). Plan International leur donne ainsi des moyens efficaces pour se défendre et défendre durablement leur liberté.

Rencontre

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12 187 enfants de 5 à 17 ansont été rescolarisés en Tanzaniedont ceux ayant connu les pires formes de travail (commerce sexuel et mines).

Votre don de 50 € =des uniformes et du matériel scolairepour 3 enfants travailleurs

EN SAVOIRPLUS

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brêves d’ici & d’ailleursdu 16 au 19 mai dernier, s’est déroulée à Copenhague, la 4ème édition de Women deliver, une conférence de renommée internationale portant sur la santé, les droits et le bien-être des femmes et des filles.

Leaders politiques et économiques, acteurs de plaidoyer, activistes, chercheurs, jeunes, médias et autres influenceurs à l’échelle mondiale... près de 6 000 participants de plus de 150 nationalités ont répondu à l’appel. invitée par le Ministère des affaires Étrangères et du développement international, Plan international a présenté son rapport 2015 sur l’autonomisation économique des jeunes femmes.

Les Solid’r du moisde mai ont mobilisé 800 élèves

Bonne nouvelle ! À Bordeaux et Strasbourg, 3 courses Solid’r ont eu lieu au mois de mai. 800 élèves ont franchi la ligne de départ pour collecter des fonds en faveur d’un projet éducatif, destiné à la défense des droits des filles du quartier de la Briqueterie à Yaoundé au Cameroun.Un grand bravo à tous !

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Droits des filles :Notre expertisereconnue

http://www.seeklogo.net

L’euro 2016 est une belle occasion de promouvoir nos programmes visant à renforcer les droits des filles grâce… au foot ! en effet, dans plusieurs pays d’afrique, d’asie et d’amérique Latine où nous intervenons, le foot est devenu un moyen privilégié et efficace pour lutter contre les discriminations et violences faites aux filles. « Faire partie de l’équipe de foot de Plan international m’a permis de rencontrer de nouveaux amis, de découvrir de nouveaux endroits et d’acquérir de nouvelles compétences. Je me sens en confiance sur le terrain et mes résultats scolaires sont meilleurs. Ce programme m’a ouvert les yeux sur l’avenir et les possibilités qui s’ouvrent à moi ! », Kpana, Togo.

Euro 2016 : Les filles sont de la partie

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brêves d’ici & d’ailleursUrgence séisme Équateur 37 000 enfants secourusgrâce à vousLa samedi 16 avril, un séisme de magnitude 7.8 s’est déclenché au nord de l’Équateur. Présents depuis 50 ans dans le pays, nous avons pu intervenir rapidement pour distribuer des kits d’urgence et des tentes. depuis le 21 avril, avec le soutien de nos parrains et donateurs, nos équipes ont débuté la première phase de recouvrement de la catastrophe, dans la région de Manabi à l’ouest du pays. notre intervention, d’une durée de 3 mois, doit bénéficier à 75 000 personnes dont plus de 37 000 enfants. La priorité est donnée à la protection des enfants avec la création d’espace sécurisés et d’écoles temporaires pour les accueillir. Plan international apporte également son soutien à 11 000 femmes enceintes et 9 500 nouveaux nés.

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vaccins contre la méningite5 000le chiffre du mois

nous intervenons actuellement pour contrer l’épidémie de méningite qui sévit depuis début janvier dans les régions du nord du Togo. À ce jour, près de 2 000 cas ont été enregistrés, faisant plus de 120 morts. Les enfants sont les plus vulnérables et représentent 65 % de la population touchée par la maladie. nos équipes sont principalement présentes auprès des nouveaux nés, des enfants de moins de 5 ans, des adolescents et des jeunes adultes, qui sont les populations les plus à risque. Pour soutenirla campagne de vaccination nationale, et grâce à vous, 5 000 vaccins ont déjà été fournis. Merci pour votre mobilisation à nos côtés !

Laurent rêvait de faire le tour du monde à vélo. Et comme « les rêves sont faits pour être vécus avec les yeux grands ouverts », Laurent est parti sillonner l’Amérique latine muni d’une banderole Plan International. 1 fois, 2 fois, 3 fois, et pour la 4ème fois cette année. Laurent dédie chaque kilomètre parcouru aux droits des enfants et plus particulièrement aux droits des filles.

« Mon soutien reste simple, je collecte des dons pour réaliser des actions sur le terrain, et promouvoir la mission de Plan International par le biais des médias. »

Dans chaque pays visité, Laurent construit ses itinéraires en fonction des villages et écoles soutenus. En chemin, il parle de nos actions aux curieux et sensibilise les familles aux enjeux de l’éducation de leurs enfants. Dans les écoles, il organise des activités avec les enfants et distribue des kits scolaires.

« Pour moi, aider un enfant aujourd’hui c’est changer son futur. Car ils sont l’avenir, et donner du rêve à un enfant ne coûte rien mais son sourire n’a pas de prix. »

Laurent Simon a déjà prévu un cinquième voyage en Amérique du Sud pour notre ONG. Il repart en Bolivie au mois d’août. Une belle initiative, à suivre…

Laurent Simon,L’homme quisillonnaitl’Amérique latine à vélo …

EN SAVOIRPLUS

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Bulletin de parrainage OUI,

Pour lui ou elle, le parrainage c'est grandir au sein de sa famille, être protégé(e), aller à l'école et ainsi être libre de choisir son avenir.

Pour vous, c'est l'accompagner en toute liberté :correspondre avec lui ou elle par e-mail ou courrier si vous le souhaitez, ou lui apporter simplement votre soutien par dons.

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Je souhaite faire un peu plus et aussi soutenir lesprojets prioritaires de Plan International (santé,nutrition, protection…). Je donne 28 € + 5 € = 33 € / mois.

J’ai bien noté que je peux interrompre mon parrainage à tout moment(Plan International s’efforcera alors de trouver un nouveau parrain à l’enfant).

je souhaite parrainer un enfant avec Plan International pour 28 € / mois (soit 9,52 € / mois après réduction fiscale*)

Mme M. Mme et M.Nom : Prénom : Adresse : CP : Ville : E-mail : Téléphone : Année de naissance : Profession :

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* Vous bénéficiez d’une réduction fiscale de 66 % de votre don dans la limite de 20 % de votre revenu imposable.

Plan International intervient dans 52 pays et impacte la vie de 100,5 millions d'enfants

de 75 ANS d'exPérIeNce

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À compléter et à renvoyer accompagné de votre chèque

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Je préfèrerais parrainer : un garçon une fille je vous laisse choisir

un enfant de moins de 6 ans de 6 à 12 ans de plus de 12 ans je vous laisse choisir

en Afrique de l’Ouest en Afrique de l’Est en Amérique Latin en Asie je vous laisse choisirPréférences pays _____________________________________________________Nous nous efforcerons d’y répondre en fonction des dossiers de filleuls en attente de parrainage