Supplément formation

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Supplément formation Mars 2009

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III SPECIAL FORMATIONS

Le mot des directeurs

Formations

Pierre PreuilhDirecteur de CCI Formation

Présentez votre établissement :CCI formation est le Centre de Formation au service des en-treprises rhônalpines.Nous proposons des formations répondant aux compétences recherchées par les entreprises et aux emplois qu’elles créent. De nombreux secteurs d’activité (parfumerie, parapharmacie, in-térim et métiers de l’emploi, assurance, librairie…) nous confient la formation de leurs futurs collaborateurs soit dans le cadre de formations initiales sous convention de stage, soit par le biais de l’alternance, aujourd’hui recherchée par les élèves et les entreprises.

Quels types de formations of-frez-vous ?Des formations diplômantes et qualifiantes en alternance ou statut étudiant, de Bac à Bac + 3, (diplômes d’Etat, titres certi-fiés par l’Etat, Bachelor Profes-

sionnel), dans les filières de la vente, de l’assistanat de ges-tion ou encore du management dans les secteurs de la dis-tribution, de l’international, des services ou de l’industrie.

Un conseil à donner pour bien s’orienter ?Jetez votre dévolu sur un ou deux métiers sans vous fier aux préjugés et qui correspon-dent à vos envies et vos ap-titudes.Ensuite, informez-vous en par-ticipant aux salons et forums, rencontrez d’autres jeunes à l’occasion de portes ouvertes organisées par les écoles et puis contactez-nous sur www.formalyon.cci.fr

Pourquoi venir chez nous ?La Chambre de Commerce et d’Industrie de Lyon est la mai-son des entreprises rhodani-ennes et à ce titre elle occupe un rôle de premier rang dans l’économie du territoire.Suivre les formations diplôman-tes ou qualifiantes, c’est mettre toutes les chances de votre côté pour trouver un emploi qui vous convient.

Un mot qui résume votre étab-lissementUne équipe pédagogique ré-active, réaliste et novatrice au service de vos projets de for-mation.

Denis De BénazéDirecteur de l’IDRAC

Présentez votre établisse-ment.L’IDRAC, Ecole Supérieure de Commerce International a été créée à Lyon en 1984. Re-connue par l’Etat, sa vocation est de former des managers de demain. Très ouverts sur l’international, nous accueillons chaque année 1 500 étudiants en formation initiale sur des formations bac+4/bac+5/mas-ter. Notre particularité : miser sur la personnalité et le po-tentiel de nos étudiants. Grâce à des méthodes pédagogiques innovantes nous leur donnons confiance et les aidons à con-struire leur projet professionnel en cohérence avec leurs quali-tés et leurs aspirations.

Quel types de formations offr-ez-vous ?Reconnu au niveau national et international, notre « must » est le programme internation-al Ecole Supérieure de Com-merce visé par le ministère de l’éducation nationale. Accessi-ble directement après le bac, il permet de devenir de vérita-bles généralistes de l’entreprise et d’accéder à des fonctions clés en marketing, négociation, gestion et administration des entreprises en France comme à l’étranger. Nous avons égale-ment un business programme qui permet de valider, à son rythme, 3 diplômes d’Etat ou certifiés par l’Etat en 5 ans

d’études (alternance possible). Enfin, nous dispensons des formations continues avec deux diplômes en part-time.

Un conseil à donner pour bien s’orienter ?Je crois qu’il faut avant tout choisir un métier dans lequel on s’épanouira. Pour aider les jeunes qui souhaitent découvrir les opportunités de formations que propose l’IDRAC, nous or-ganisons des journées portes ouvertes. A cette occasion, ils pourront échanger avec les étudiants, les enseignants, ou même quelques-uns des 12 000 anciens que compte l’école. C’est aussi l’occasion de visiter nos locaux, nos moy-ens pédagogiques et de dé-couvrir quelques-unes de nos très dynamiques associations d’étudiants.

Pourquoi venir chez vous ?Parce que nous sommes les meilleurs ! Plus sérieusement, l’IDRAC bénéficie non seule-ment d’un campus ultra-mod-erne au cœur de la ville, mais nous développons un projet pédagogique fort et innovant qui prépare réellement les étu-diants au monde de l’entreprise et à leurs futures responsabili-tés. J’ai coutume de dire que l’insertion professionnelle est dans nos gènes. Aujourd’hui plus que jamais, il ne peut pas y avoir de programme et de diplôme, sans réalité profes-sionnelle derrière.

Un mot qui résume votre étab-lissement ?Remarquable. Notre devise « Devenez remarquable », est bien plus qu’un simple slo-gan. C’est une philosophie à laquelle nous adhérons à 100%. Et ça marche. Grâce à un encadrement pédagogique et administratif remarquable, nos étudiants deviennent des professionnels remarquables qui rejoignent les 12000 an-ciens diplômés de l’IDRAC.

Afin de satisfaire au mieux vos attentes dans la quête de l’information, j’ai rencontré cinq directeurs d’établissements lyonnais. Tous ont répondu le plus simplement possible et font passer leur message. Maintenant, c’est à vous de voir et d’agir ! C’est désormais en connaissances de causes que vous pourrez remplir avec lucidité et brio vos fiches navettes. Réfléchissez bien, votre avenir professionnel est en jeu. Bonne chance les amis…

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V SPECIAL FORMATIONS

Michel Le NirDirecteur de l’IUT Lu-mière Lyon 2

Présentez votre établisse-ment.L’Institut Universitaire de Tech-nologie Lumière, à Bron, pro-pose 11 formations courtes (Bac +2 et Bac+3) pour de-venir technicien supérieur, employé qualifié ou manager opérationnel. Les domaines d’activités couverts par nos DUT et nos licences profes-sionnelles sont nombreux : gestion d’entreprise, logistique, transport, qualité, management de projet, hygiène et sécurité, finance, ressources humaines, statistique…

Quels types de formation offr-ez-vous ?Toutes nos formations sont professionnalisantes et offrent des enseignements concrets

et appliqués. L’IUT Lumière a choisi l’alternance comme mode exclusif de formation. Notre pédagogie s’inscrit donc clairement dans une perspec-tive d’embauche dès la sortie. Nous entretenons pour cela des partenariats avec plus de 3500 entreprises.

Un conseil à donner pour bien s’orienter ?Deux approches sont à priv-ilégier lorsque l’on recherche une formation. D’une part, une approche métiers qui permet de cibler un secteur d’activités qui nous correspond. D’autre part, une approche en termes d’insertion professionnelle: sou-haite-t-on intégrer rapidement le monde du travail ou non ?

Pourquoi venir chez vous ?Nos formations s’adressent à des étudiants qui souhaitent intégrer rapidement la vie ac-tive et réussir leur insertion professionnelle par l’alternance. La durée moyenne de recher-che d’emploi de nos diplômés est inférieure à un mois. Nos critères de recrutement sont originaux, nous privilégions la motivation du candidat, sa per-sonnalité et ses expériences professionnelles.

Un mot qui résume votre étab-lissement.L’alternance pour une insertion professionnelle réussie.

Présentez votre établissementCréé en 1987, le CFA INTERFORA propose des formations en apprentissage du CAP au Bac Pro pour les métiers de la chimie et des procédés. En relation constante avec la branche et les industriels, il offre les garanties de formations en totale adéquation avec les besoins professionnels. Ainsi, une attention particulière est portée aux questions de comportements, hygiène, sécurité, environnement

Quels types de formations offrez-vous ?Nous offrons un éventail de formations pour les métiers de la chimie à différents niveaux. Du CAP Industries chimiques à la mention complémentaire Métiers de l’Eau, mais avec aussi CAIC (Titre homologué du Ministère du

travail et Bac Pro Industries de Procédés Un conseil à donner pour bien s’orienter ?Pour bien s’orienter, il faut garder l’esprit ouvert, se faire une représentation de métiers parfois mal connus mais qui offrent de réelles possibilités d’emplois. L’apprentissage donne l’opportunité d’acquérir une expérience en entreprise dès la période de formation. De l’intérieur, on peut plus facilement diriger son parcours professionnel. Pourquoi venir chez vous ?Le CFA INTERFORA est une composante de la Plate-forme INTERFORA situé au cœur de la Vallée de la chimie, au sud de Lyon.

Partenaire des industries de la chimie et des procédés, Interfora vous fait bénéficier d’un suivi individuel et d’une cellule emploi. Le taux de réussite aux examens varie selon les formations de 80 à 100% et vous avez la possibilité de poursuivre vos études. La gratuité de scolarité s’ajoute aux avantages liés à votre contrat.

Un mot qui résume votre établissement ?Transformer

Patrick Vermay-MussetDirecteur de l’école Pigier

Présentez votre établissement ? PIGIER est une école qui dis-pense des formations aux mé-tiers du secteur tertiaire sur le mode de l’alternance. Elle ras-semble environ 500 étudiants et se situe idéalement dans le quartier des affaires lyonnais : La Part Dieu.

Quels types de formation offre-vous ? PIGIER prépare à des diplômes d’Etat (BTS ou DCG), des titres certifiés (Secrétariat médical) ou des diplômes européens (DEES MA, DESS COM et DEES ARH). Les formations couvrent des

domaines variés : marketing, management, immobilier, com-munication, assistanat, gestion, ressources humaines ou secré-tariat médical.

Un conseil à donner pour bien s’orienter ?Pour bien s’orienter, il faut avant toute chose bien se con-naître. Avoir conscience de ses envies et de ses atouts, c’est la condition préalable à une formation réussie. Pour aider les étudiants à s’orienter, nous avons mis en place un cycle de conférences sur les métiers (les mardis soirs).

Pourquoi venir chez vous ? Venir à PIGIER, c’est intégrer une école à dimension humaine où les mots de proximité et de suivi ont réellement un sens. Les formateurs, les conseillers et l’ensemble des acteurs péd-agogiques encadrent les étudi-ants et les aident à s’épanouir à l’école comme en entreprise.

Un mot qui résume votre étab-lissementPerformance !

Muriel BonnaigueChargée de recrutement apprentissage au CFA Interfora

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VIII SPECIAL FORMATIONS

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Bien s’orienter, c’est savoir clairement définir son projet professionnel, connaître au mieux ses qualités et exploiter ses compétences, acquises au cours de son cursus antérieur. Il faut donc vous poser les bonnes questions pour ne pas « foirer » votre entrée en études supérieures. Mais, si vous êtes dans le cas de « l’erreur de parcours », il ne faut pas déprimer. Le parcours parfait n’existe pas. La seule et unique solution est de réagir pour vous réorienter, en fin d’année. Il faut donc savoir faire le bon choix, au bon mo-ment et pour vous aider à vous poser les bonnes questions, j’ai réfléchi un peu pour chacun d’entre vous.

Savoir ce que l’on ne veut pas faire. Par exemple : vous n’avez pas envie d’être enfermé dans un bureau mais aimez communiquer. Dirigez-vous alors vers une formation qui offre la possibilité d’être sur le terrain.

Comparer Une fois décidé sur la dominante, comparer les différents établissements qui proposent la formation choisie. Prenez en considération la notoriété, le dynamisme (vie associative, présence dans le monde universitaire, internationalisation…), l’accompagnement de l’étudiant dans ses projets…

S’interroger sur ses affinités. Il est peut-être un peu tôt pour formuler l’exactitude du job que vous désirez, mais il faut au moins pouvoir ajuster le secteur d’activité, la branche de métier.

Evaluer le coût des études.Il est important de vous organiser pour financer vos études : prendre un job à temps partiel c’est bien, mais la formation choisie laisse-t-elle as-sez de temps ? Prendre un prêt étudiant. Il faut négocier le taux d’intérêt. La marge est hallucinante, donc n’hésitez pas à rencontrer plusieurs con-seillers avant de faire votre choix. Votre école a aussi certainement un partenariat avec un taux déjà négo-cié, renseignez-vous ! Et surtout communiquez avec vos parents.

Etre conscient de ses capacités. Combien d’années êtes-vous prêt à consacrer à vos études ? Si vous en avez déjà marre d’être au lycée, je vous conseille fortement de vous diriger vers une formation courte professionnalisante, comme un BTS par exemple. Sachez si vous préférez étudier de manière autonome (la fac est l’idéal) ou si vous avez besoin d’un encadrement. Il faudra alors vous diriger vers une école ou une formation qui intègre peu d’élèves par classe.

Envisager l’apprentissage. Ce mode d’étude a un double bénéfice. D’une part, la prise en charge des études par la société qui vous embauche, d’autre part une formation alternant connaissances théoriques et mise en pratique professionnelle quasi immédiate. C’est un choix à ne pas prendre à la légère, car il s’agit d’un véritable engagement. Je vous conseille cette option en deuxième, voire troisième cycle.

S’informer sur le contenu des formations et surtout leur débouchés.Le web notamment offre des sites d’informations complets. Vous trouverez certainement votre bonheur sur www.etudiant.gouv.fr ou encore sur www.onisep.fr. Ce dernier propose d’ailleurs une recherche de formation selon le centre d’intérêt de chacun. Pensez aussi à fréquenter les lieux d’informations (le Crij par exemple), les salons d’orientation où vous pourrez rencontrer des étudiants, donc poser des questions précises et parfois même farfelues…

Etre mobile géographiquement. Afin d’optimiser vos chanc-es dans la filière choisie, vous pouvez postuler dans une académie autre que Lyon. Il faut donc vous renseigner sur la des-serte de la ville (transports urbain, ferroviaire, voie d’accès…), le coût de l’immobilier, les centres d’intérêts : loisirs, cul-ture… Ainsi vous évaluerez le budget prévisionnel à prévoir pour votre quoti-dien.

S’écouter et ne pas faire un choix pour être avec ses copains. L’échec est quasi-assuré ! Il faut quand même avoir un minimum de considération pour la filière choisie, et ça c’est un premier pas vers la maturité…

No stress. Il est l’heure de faire ses vœux, mais choisir une fil-ière n’est pas s’enfermer dans un domaine, je me répète, mais le parcours parfait n’existe pas !

S.S.

conseils pour bien s’orienter

Formations

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IX SPECIAL FORMATIONS

Témoignages des anciens élèves :

que sont ils devenus ?Formations

Grégory Saint-Paul30 ans Kinésithérapeute à la Clinique Protestante de Lyon-Caluire

Quelle a été votre formation ini-tiale ? Après une première année en fac de médecine à Lyon, j’ai intégré l’école de masso-kinésithérapie de Lyon (dans le 8e arrondissement). Cette formation dure 3 ans (après la 1re année de médecine) et se déroule en plusieurs phases : une partie théorique, une partie de travaux pratiques (les massages !), une partie de stage à mi-temps et temps plein à l’hôpital ou en cen-tre de rééducation afin de nous former aux diverses pathologies. Ces stages nous donnent une ap-

proche humaine de la maladie au-près des patients.

Que vous a apporté cette forma-tion ? Ce métier apporte véritablement une relation privilégiée avec les personnes que nous soignons. Je m’explique : lors de séances de rééducation avec un patient, une relation de confiance se crée. Voir l’évolution de la pathologie et le bien-être apporté est valorisant.

Quelle votre situation profession-nelle actuelle? Après avoir fait des remplace-ments et des assistanats, j’exerce au sein d’une clinique afin de cou-pler une activité en cabinet et une activité post-opératoire. J’ai réali-sé une formation complémentaire d’ostéopathie afin de maîtriser de nouvelles techniques. Aujourd’hui, je conseille ce métier à tous ceux qui sont attirés par le contact relationnel avec les patients, et qui veulent travailler dans le do-maine paramédical. Chacun peut exercer selon ses affinités : une carrière salariée à l’hôpital, libérale en cabinet ou encore dans des centres de rééducation spécialisés sportif, gériatrique, pédiatrique…

Laëtitia Taquet27 ansAvocat fiscaliste dans la société d’avocats Fidal

Quelle a été votre formation ini-tiale ? J’ai suivi des études de droit à l’université Jean Moulin Lyon 3. Après une maîtrise et un DEA en droit des affaires, j’ai intégré l’Ecole des avocats (EDA) de la région Rhône-Alpes, car je sou-haitais devenir avocat fiscaliste.

Que vous a apporté cette forma-tion ? Après une formation théorique à l’université qui m’a donné les bas-es en droit des affaires, j’ai acquis une vision pratique de la matière

à l’EDA. Cette école m’a permis de réaliser plus d’une année de stages qui permettent d’assurer la transition entre l’université et le monde professionnel. En ce qui me concerne, je les ai réalisés chez un expert-comptable, puis dans un cabinet d’avocats à Ge-nève en Suisse, et enfin, j’ai ef-fectué le stage d’élève-avocat au sein du Cabinet Fidal à Lyon.

Quelle votre situation profession-nelle actuelle ? Je suis désormais avocat fiscaliste et je travaille au sein du dépar-tement fiscal du cabinet Fidal à Lyon, qui m’avait accueilli pendant 6 mois en qualité d’élève avocat. J’ai eu la chance de pouvoir con-tinuer à travailler dans ce cabinet après l’obtention de mon diplôme d’avocat (CAPA), Fidal étant l’une des plus grosses structures en droit fiscal à Lyon. Ainsi, je tra-vaille au sein d’une équipe im-portante, composée d’une dizaine d’avocats ; je suis formée au quotidien. Je crois que ces ex-cellentes conditions de travail ont sans doute facilité mon intégration dans la vie professionnelle.

Eva Simon28 ansComptable en entreprise

Quelle a été votre formation ini-tiale ? Diplômée de l’Université Tech-nologique à l’Institut Lumière de Lyon II (IUT) en Gestion des en-

treprises et des administrations (GEA), option Finance-comptabil-ité, j’ai suivi cette formation en alternance au sein d’un cabinet d’expertise comptable.L’objectif de cette formation est d’avoir une connaissance de l’environnement économique et ju-ridique de l’entreprise, de maîtriser les outils de gestion et de compt-abilité, de manier les techniques informatiques et statistiques et de travailler en équipe.

Que vous a apporté cette forma-tion ? J’ai fait le choix de l’alternance. Je le conseille à chaque étudi-ant car il permet de mettre en pratique l’enseignement reçu. Cela le rend donc plus intéressant et

l’assimilation se fait beaucoup plus facilement. L’alternance permet également de gagner de l’argent et là aussi, je pense que c’est un point important à ne pas né-gliger. On devient autonome. En-fin, cette méthode permet d’avoir un bon bagage à la sortie de ses études et de trouver du travail tout de suite. Rien n’empêche de poursuivre par d’autres formations mais au moins vous avez une base solide pour construire votre avenir professionnel !

Quelle est votre situation profes-sionnelle actuelle ? Après avoir travaillé deux ans en cabinet d’expertise compt-able où je me suis formée sur les techniques et règles comptables

et fiscales, en traitant un porte-feuille client varié et en effectu-ant des missions d’audit financier, j’occupe depuis cinq ans un poste de comptable au sein d’une filiale d’un grand groupe international dans le secteur de la métallur-gie où mes tâches n’ont cessé d’évoluer. En effet, j’ai débuté dans cette société en tant que comptable fournisseur. Aujourd’hui, je supervise ce poste et traite de la comptabilité générale (sales re-port, intercompany, reporting, bi-lan, liasse fiscale…) mais aussi du social (contrat de travail, paie…) et intervient également sur les analyses des coûts.

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XI SPECIAL FORMATIONS

Laurent Courtial39 ansDirecteur de l’agence conseil en relation presse Rouge Granit

Quelle a été votre formation ini-tiale?J’ai étudié à l’Ecole française des attachés de presse de Lyon (EFAP) entre 1991 et 1995, avec l’objectif affiché de travailler dans le sec-teur du vin et de la gastrono-mie. L’EFAP apporte une base de formation autour des métiers de la communication, des stages qui permettent de s’immerger dans le monde professionnel et un réseau relationnel important.

Que vous a apporté cette forma-tion? L’EFAP m’a permis d’être tout de suite opérationnel puisque, dès ma sortie, j’ai trouvé du travail à Lyon au Comité de promotion des produits agro-alimentaires de Rhône-Alpes (R3AP). Un an plus tard, j’ai intégré Ketchum PR,

une agence de relations presse américaine à Paris puis retour à Lyon, en agence de RP toujours, et création de ma société en 2007. L’EFAP apporte une soup-lesse et une faculté d’adaptation qui m’ont permis de toujours trou-ver du travail.

Quelle votre situation profession-nelle actuelle? J’ai crée une agence de relations presse spécialisées dans l’art de vivre gastronomique et le vin en janvier 2007. Je me suis lancé avec une demi-douzaine de clients qui, pour certains, me font confi-ance depuis 1997 en me suivant dans chacun de mes changements d’agence. Aujourd’hui l’agence travaille avec une douzaine de cli-ents à l’année et emploie 2 sala-riées. Nous avons des clients qui s’établissent sur une zone qui va du sud-ouest à la Champagne en passant par la Provence, Rhône-Alpes et la Franche-Comté.Notre credo : se faire plaisir en étant le plus efficace possible au-près de la presse. Nous montons des événements presse (déjeun-ers, voyages et dégustations) et créons des outils spécifiques des-tinés à valoriser chacun de nos clients en fonction de leur plan marketing.

Sylvain Tillon26 ans Jeune créateur d’entreprise de Lucyf’Hair et Sydo

Quelle a été votre formation ini-tiale ? J’ai intégré l’Ecole de management de Lyon (EM Lyon) en septembre 2002. J’ai suivi le programme ESC Grande Ecole qui se déroule en 3 ans (après une prépa HEC en 2 ans). La première année, j’ai suivi le tronc commun du cursus qui offrait notamment un cours sur «le projet de création d’entreprise». Nous devions simuler un pro-jet créatif et j’ai développé une ligne de bijoux pour cheveux. Mais plus qu’un simple exercice, je me suis véritablement pris au jeu et je me suis lancé en créant la société Lucyf’Hair. Je conçois et distribue des bijoux pour ch-eveux. L’EM Lyon m’a soutenu et j’ai eu un parcours aménagé afin de gérer mes deux activités : chef d’entreprise et étudiant !

Que vous a apporté cette forma-tion ? Au fur et à mesure du développe-ment de mon entreprise et des besoins que je ressentais, j’ai opti-misé mes cours afin de progresser dans certains domaines comme la gestion de la force de vente, les problématiques juridico-financières d’entreprenariat, l’analyse et le di-agnostic de projets… Tout ce que j’apprenais à l’école, je le réalisais au sein de Lucyf’Hair ! Mon en-seignement a du coup été beau-coup plus concret… J’ai pas mal embêté mes professeurs d’ailleurs avec toutes mes questions !

Quelle votre situation profession-nelle actuelle ? Lucyf’Hair continue son activité et a pour objectif de se position-ner en leader sur le marché de l’accessoire des cheveux en sa-lon. Parallèlement, j’ai développé avec Ludovic Rerolle, la société Sydo. Il s’agit d’une agence de conseil en communication explica-tive spécialisée dans la création et la transmission de message. Nous travaillons sur des projets très divers comme l’explication de métiers complexes, la mise en place d’un nouveau logiciel, la traduction d’un ouvrage complexe ou encore la création de supports de formation. Avec Sydo, nous réalisons notre rêve de gosse car nous travaillons beaucoup avec des dessinateurs de BD.

Bruno Logarinho26 ansResponsable commercial régional Keesing France

Quelle a été votre formation ini-tiale ? J’ai réalisé un BTS Manage-ment des Unités Commerciales (MUC) en alternance au centre de formation Pigier Performance

qui forme aussi des salariés dans des domaines stratégiques comme le social et paramédical, l’administration des Entreprises et comme moi commercial. Je sou-haitais avoir une formation com-plète afin de bien appréhender le monde de l’entreprise par rapport à mes affinités et compétences personnelles.

Que vous a apporté cette forma-tion ? Avant tout : une double compé-tence ! Les formations dispensées me donnaient des atouts pour ap-préhender et devancer les ques-tions qu’apporte l’entreprise. Et les temps en entreprise permettaient de mieux comprendre la théorie enseignée et d’emboiter concrète-ment l’enseignement à la pratique quotidienne. De plus, il ne faut pas négliger l’avantage pécuniaire que propose

la solution en alternance. Ce type de contrat implique les trois par-ties : l’école, l’entreprise et le je-une salarié. Je pense que c’est grâce à cela que mon alternance s’est aussi bien déroulée et que le partenariat continu. Il y a eu une réelle motivation pour tout le monde ; tant au niveau relationnel que financier.

Quelle est votre situation profes-sionnelle actuelle ? Actuellement, je suis toujours dans la même société au sein de laquelle j’ai fait mon alternance ; Keesing France, éditeur spécialisé de revues de jeux. J’ai commencé en tant que merchandiser, et ac-tuellement j’occupe le poste de responsable commercial régional et coach/formateur. En plus des objectifs de développements com-merciaux du secteur Rhône-Alpes, je suis en charge de la formation

de tous les nouveaux entrants de Keesing France.Je savais en rentrant dans cette entreprise qu’une évolution pour-rait être envisagée. Ils ont cru en moi et en la formation dispensée par Pigier. D’ailleurs mon centre de formation m’a suivi et a per-duré les relations avec mon en-treprise. Aujourd’hui, fort de mes acquis en management et mon évolution professionnelle, j’ai ac-cueilli en 2006-2007, une appren-tie de Pigier de 3ème année RDC (Responsable du développement Commercial DEESMA).Aujourd’hui, chez Keesing, nous avons deux jeunes de chez Pigier, en 3ème année RDC qui sont merchandisers sur le secteur Rhône-Alpes. Ça vous rappel une histoire ?

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XIII SPECIAL FORMATIONS

LE GUIDE PRATIQUE DE L’étuDIAnt

Formations

Le passage à la vie étudiante ne se fait pas sans responsabilités. Loin de là. Vous serez peut-être éloigné du nid familial, vos études ont peut être un coût, surtout si vous avez choisi d’étudier dans une école privée. Ou tout simplement vous avez opté pour l’autonomie. Mais avant de prendre quelques décisions, il est important de maîtriser certains domaines, souvent oubliés. Je me dois de faire un rappel à l’ordre des priorités pour bien entamer sa scolarité dans l’enseignement supérieur.

1- Le Logement

Somme toute une base, me direz-vous, mais si vos parents ne sont pas riches comme Crésus, c’est un peu le parcours du combattant. Voici quelques tuyaux qui j’espère vous guideront.

Dans un premier temps, il faut se lancer dans la recherche de l’appart idéal. Et pour ne rien vous cacher, ce n’est pas si facile, car plusieurs critères sont à prendre en compte dont un : VOUS N’ETES JAMAIS SEUL à vouloir l’appartement convoité. Oui, car bizarrement tout le monde recherche en même temps vers mi-août, par exemple.

Conseil n° 1 by Sophie - Anticiper sa recherche en établissant une grille de vos critères personnels. Par exemple le quartier, les facilités d’accès, la proximité des transports en commun, le confort… Outre un espace pour inviter ses copains, pensez bien, que vous allez rester souvent tard le soir à travailler sur votre bureau ; il faut donc que votre intérieur vous convienne !

Conseil n° 2 by Sophie - Avant de partir en trombe pour la visite de vos appartements, pensez au préalable à constituer votre dossier. Vous gagnerez ainsi du temps dans le dépôt de votre dossier, ce qui est souvent décisif dans l’obtention de l’appartement de rêve. Généralement il est demandé : - une photocopie de la pièce d’identité de l’occupant

et de son garant ;- une photocopie des 3 derniers bulletins de salaires de l’occupant ou/et de son garant ;- une photocopie du dernier avis d’imposition ou/et de son garant ;- un justificatif de domicile de la caution (dernière quittance de loyer, dernière facture EDF, téléphone…). Si c’est votre premier appartement, demandez à vos parents de rédiger une attestation sur l’honneur d’hébergement ; - un relevé d’identité bancaire du locataire et du garant.

Conseil n° 3 by Sophie - Multiplier ses sources afin d’optimiser ses chances d’acquérir la perle rare. S’informer sur les lieux ressources d’appartement. Nous avons la chance à Lyon d’avoir des services d’aide à la recherche de

logement. Le CRIJ (Centre régional d’information jeunesse Rhône-Alpes) propose un service logement, actualisé au quotidien, d’appartements vides ou meublés. Ces annonces sont consultables en ligne : www.j-net.org ou sur place 10 quai Jean Moulin Lyon 1er. Il y a également les sources « classiques » : petites annonces dans la presse quotidienne, les gratuits spécialisés, les agences immobilières (attention les frais d’agence sont souvent très élevés), les régies immobilières… Les services internet offrent un large choix aussi bien d’offres de particuliers (limitation des coûts) sur www.entreparticuliers.com ou encore www.pap.fr que d‘offres d’agences immobilières www.seloger.com. Quant aux régies, vous en trouverez tout un tas dans les pages jaunes rubrique « administrateur de biens ». Je tiens à faire un point tout particulier sur les « marchands de listes ». Il faut être vigilant sur ce type de service, car bien souvent on paye un droit d’accès aux listes (entre 100 et 200 €) sans avoir la certitude de trouver des biens de qualité et disponibles. Il y a aussi des alternatives pour les budgets très serrés.

La colocationLa colocation permet de partager un appartement avec d’autres personnes et par conséquent, d’en partager les charges qui en découlent. Il faut malgré tout rester prudent avant de s’engager notamment sur la solvabilité des colocataires. Car si un colocataire ne peut plus payer sa part, les autres devront la prendre à leur charge, afin de payer l’intégralité du loyer au propriétaire. De plus en plus d’agences se spécialisent dans ce type de pratique. J’ai répertorié quelques sites internet : www.appartager.com, www.colocation.fr ou encore www.e-cologis.com.

Le logement intergénérationsA l’initiative du gouvernement, cette pratique se développe de plus en plus. Il s’agit d’un accord passé entre une personne âgée, qui préfère ne pas rester seule et isolée, et un étudiant à la quête d’un foyer. Selon un accord tacite, l’étudiant peut bénéficier d’une chambre gratuite en échange de services rendus, comme faire les courses, la cuisine, du petit bricolage… Vous pouvez vous renseigner pour plus d’informations auprès de Corinne Belot 15 C rue Ernest Sabregue Lyon 9e ou au 04 78 83 54 42 / 06 88 20 77 05. Il y a aussi le réseau COSI qui fédère un réseau d’associations pratiquant ce type de cohabitation en France et à l’étranger www.reseau-cosi.com.

Bon plan by Lyonclubbing : le CROUS et la ville de Lyon proposent aux étudiants boursiers de la région, des logements à loyer sociaux dans les résidences de personnes âgées de la ville de Lyon. Et si en plus vous êtes en formation médicale (école infirmière, fac de

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XV SPECIAL FORMATIONS

médecine), vous pourrez joindre l’utile à l’agréable et obtenir un salaire d’appoint en faisant des vacations dans les maisons. Renseignez-vous auprès du CROUS : 59 rue de la Madeleine Lyon 7e au 04 72 80 17 70 ou sur internet : www.crous-lyon.fr.

2- S’auto financer !Devenir autonome est un premier pas vers le monde adulte. Quand on arrive dans le monde universitaire, les besoins se font de plus en plus importants. Et puis il y a les soirées étudiantes, les week-end entre amis, les voyages de promotions, les week-end d’intégration en école. Toutes ces activités ont un coût ! La liberté et la responsabilisation passent par une (semi) indépendance financière ! Alors, bougez-vous. On a de la chance d’être à Lyon. Beaucoup d’entreprises font appel aux jeunes pour des missions de courtes durées, mais aussi à temps partiel. Pour votre gouverne, il n’y a pas que dans les chaînes de fast food qu’il y a matière à se faire de l’oseille ! Voici quelques trucs pour vous aider au mieux à trouver le meilleur job du monde : - pensez malgré tout à ne pas vous laisser envahir par les responsabilités de votre job. C’est considéré comme un appoint, vos études sont la priorité ; - engagez-vous pour un nombre d’heures fixés au préalable avec votre employeur, et pensez à alterner les horaires afin de vous laisser du temps libre pour potasser vos cours et réaliser vos travaux de groupes ; - consulter bien la convention collective de votre domaine d’activité afin de connaître vos droits.

Comment se faire un CV béton ? C’est la base pour toute recherche d’emploi, de stage, d’apprentissage. Le fameux curriculum vitae ! Il vous représentera devant un employeur potentiel. C’est votre passeport. Je vous conseille de jouer la carte de l’honnêteté au moment de sa rédaction, car les chefs d’entreprises ne sont pas dupes ! Si le doute s’installe, c’est assuré, le job vous passera sous le nez ! Pour la formulation et les conseils de présentation je vous recommande les ateliers CV’raiment bien dispensé par le CRIJ. Un accompagnement individuel et sur-

mesure est organisé dans le cadre de la réalisation de CV, lettre de motivation et même recherche d’offres d’emploi. N’hésitez pas à vous faire conseiller, c’est déjà un bon début. Et puis autant apprendre les bases, votre CV vous suivra toute votre vie. Internet propose aussi une multitude de sites qui offre des conseils de formulation et de mise en page accessible, car un bon CV se fait remarquer par son contenu mais aussi par une présentation soignée.

Où trouver un job ? On y est ! Surtout en période de crise où l’emploi ne court pas les rues. Mais sachez que quand on veut bosser, on trouve ! Effectivement, les jobs proposés ne sont pas toujours glorieux mais quand on a besoin d’argent, il faut savoir relever les manches ! CV en poche, à vous de déambuler dans les rues de la ville. N’hésitez pas à entrer dans boutiques, restaurants, bars… il faut provoquer la chance. Faites aussi part de votre recherche à votre réseau. Quelqu’un connaitra quelqu’un qui connaît… enfin bref, il faut faire courir activement le bruit que vous cherchez un petit boulot…Il y a toujours les petites annonces, mais il faut être prudent sur les jobs alléchants, parfois les offres sont douteuses surtout pour les demoiselles d’ailleurs… Sur internet, vous trouverez aussi des sites spécialisés d’offres étudiantes. J’ai relevé parmi eux : www.jobetudiant.net, www.lyon.vivastreet.fr, www.annonceetudiant.com. Le CRIJ (décidément c’est la bonne adresse !) a aussi un tableau d’offres intéressantes, allez faire un tour.

3- S’aérer l’esprit !Bah oui, on a tous besoin de s’évader à un moment donné. Et quand on est étudiant ce n’est souvent, d’après mon expérience, pas évident. Mais la fée Sophie a ratissé la ville et a récolté quelques bons plans, à partager ou non !

Bon plan culture- Pour 33€ les étudiants lyonnais grâce au Pass’culture ont la possibilité de choisir 6 spectacles, parmi 16 établissements partenaires. Parmi eux, le théâtre des Célestins, l’Opéra de Lyon ou encore

l’Auditorium…Ce que je veux dire par là, c’est que la culture haut de gamme devient accessible ! - Si vous êtes lycéen ou apprenti, ce qui suit va vous intéresser. La carte M’ra est gratuite et vous donne accès à : un crédit de 8 € en librairie, une réduction de 30 € pour l’achat d’un abonnement dans une salle de spectacle et à des places d’entrée dans les festivals et les salles partenaires de la région.- Le Kiosque théâtre est à user et abuser !!! Cette agence propose des places de spectacles (danse, théâtre, concert, opéra…) de première série (les meilleures places) à moitié prix. Ces places sont valables pour le jour J et ne sont ni échangeables ni remboursables. Ouvert du mardi au samedi de 12h30 à 19h30, 16 place des Terreaux Lyon 1er

- Dès le 4 avril, pour les moins de 25 ans, l’accès aux musées et aux monuments de l’Etat est gratuit.

Bon plan week-end…Depuis des lustres, le concept est connu et, on le sait, c’est le meilleur moyen de visiter le monde entier de manière convivial, cosmopolite et économique. Il s’agit bien sûr des auberges de jeunesse. Le réseau des Auberges de jeunesse de la FUAJ est le maillon français d’un réseau international de près de 4 200 auberges à travers le monde. C’est vraiment l’idéal pour découvrir une autre culture. Pour bénéficier de ce réseau, il faut adhérer, moyennant une cotisation annuelle. Pour les moins de 26 ans, elle s’élève à 11 €. Vous pouvez réserver sur www.hihostels.com, jusqu’à 6 mois à l’avance, votre hébergement. Les tarifs quant à eux restent accessibles à tout budget en fonction des catégories. En effet comme les hôtels ont leurs étoiles, les auberges ont aussi leurs classifications. Le prix dépendra donc du confort. Dès 10,70 € la nuit, vous pouvez partir à l’aventure !

Sophie S.

Petit Lexique…AES : Administration économique et socialeBDE : Bureau des élèvesBTS : Brevet technicien supérieur (bac+2)BTSA : Brevet de technicien supérieur agroali-mentaireBU : Bibliothèque universitaireCAPES : Certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement secondaireDUT : Diplôme universitaire technologique (bac+2)CFA : Centre de formation d’apprentisCIO : Centre d’information et d’orientationCPGE : Classes préparatoires aux grandes écolesCROUS : Centre régional des œuvres universi-taires et scolairesECTS : European credit transfer systemESC : Ecole supérieur de commerce (après une prépa ou un bac+2)IUFM : Institut universitaire de formation des maîtres (prépare au CAPES)IUT : Institut universitaire de technologieIUP : Institut universitaire professionnalisé (bac+5)L1,L2,L3 : première, deuxième et troisième année de licenceLEA : Langues étrangères appliquéesLMD : Licence-Master-DoctoratM1,M2 : première et deuxième année de masterRU : Restaurant universitaireSIOU : Service d’information et d’orientation universitaireSTAPS : Sciences et techniques des activités physiques et sportivesSTS : Section de technicien supérieur (délivre un BTS)UE : Unité d’enseignementUFR : Unité de formation et de recherche. C’est la fac !

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