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      Les jeunes façonnent l‘espace de vie  Dépt. de l‘aménagement du territoire de la HSR  www.hsr.ch/raumplanung

    Structure des villes 

    Matériel didactique, degré secondaire II

    Matière: géographie G1

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     Objectifs d’apprentissage 

    découvrir les structures fondamentales d’une ville

      saisir les différents éléments caractéristiques qui structurent une ville

      savoir lire des cartes et des vues aériennes

    La physionomie des villes

    La structure de nos villes se transforme sans cesse. Des personnes quittent la ville.

    D’autres s’y établissent. Les activités économiques changent. De nouvelles entreprises

    s’y installent. Les quartiers résidentiels s’étalent et débordent sur les périphéries,

    nécessitant la construction de nouvelles voies de communication. Nos villes ont toutes

    des particularités qui résultent de leur histoire, de leur développement, de leur emprise

    spatiale, de leur poids démographique, de leurs activités économiques et de leur rôle au

    sein de leur région.

    Chaque ville possède une structure spatiale spécifique liée aussi à sa topographie. Les

    cartes et plans mettent en évidence l’organisation des éléments structurants d’une

    ville (par exemple, réseau de transports, réseaux d’approvisionnement de base, vastes

    étendues non construites, aires industrielles, quartiers résidentiels). Il arrive souvent que

    des villes d’importance similaire présentent les mêmes éléments structurants avecquelques différences en termes de quantité et de forme. Le caractère d’une ville – son

    ambiance et son charme – est donc en grande partie déterminé par son agencement,

    sa structure. La localisation, la nature et l’importance des grands axes de circulation,

    la densité des constructions, l’étendue des surfaces vertes, l’implantation des construc-

    tions et des immeubles, la répétition de certaines formes urbaines et architecturales, la

    répartition et la géométrie des grands espaces publics ou des espaces non construits,

    les surfaces occupées par l’industrie, etc… confèrent à chaque ville sa physionomie 

    propre.

    Outre son histoire et son développement démographique et économique, c’est la

    fonction qu’occupe une ville au sein de sa région qui conditionne également fortement

    sa structure spatiale. Une localisation qui bénéficie d’un bon accès aux réseaux de

    transports signifie souvent que la ville accueille une part importante du trafic national,

    voire international (par exemple aéroport international). Selon la théorie de Christaller,

    l’importance spécifique de chaque ville est déterminée par la concentration de fonctions

    de niveau supérieur.

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      Page 1 Matière: géographie G1

    Les éléments structurantsdans les espaces urbainssont à étudier tant pour leur fonction que

    pour leur aspect. On distingue trois catégories

    d’éléments structurants:

    >> point (clocher, tour d’immeuble, place qui

    se distingue par son aménagement, nœuds,

    point de repère)

    >> ligne (voies, limites, éléments de liaison,

    etc.…)

    >> surface (aires urbaines en général: quartier,

    centre-ville, îlot, franges urbaines, etc.…)

    Théorie des lieux centrauxDans les années 30, Walter Christaller a déve-loppé la théorie des lieux centraux pour tenter

    d’expliquer la localisation des villes à un endroit

    spécifique et pour montrer que leur répartition

    dans le pays n’est pas désordonnée. Selon sa

    théorie, les lieux centraux (par exemple les

    grandes villes) concentrent des services de ni-

    veau supérieur qui n’existent pas dans les cen-

    tres de niveau inférieur (par exemple certaines

    fonctions de mobilité, d’approvisionnement et

    de services dans les petites villes). Un lieu cen-

    tral présente ainsi un rôle déterminé par rapport

    aux territoires environnants qui le complètent.

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    Structures urbaines selon l’école de Chicago

    Nos villes sont des systèmes extrêmement complexes. Plusieurs modèles explicatifs de

    la structure des villes ont été définis pour schématiser et simplifier la représentation

    des principales relations à l’intérieur et à l’extérieur de ces systèmes. Ils permettent

    d’analyser et d’expliquer la dynamique d’extension des villes et son impact sur les struc-

    tures urbaines. Les trois modèles explicatifs classiques proposés par Burgess, Hoyt et Har-

    ris & Ullmann, de l’école de Chicago, décrivent de façon schématique l’organisation

    spatiale d’une ville, par exemple sous l’angle de sa structure démographique et de ses

    activités économiques.

    Burgess (1925) est parti de l’idée qu’une ville se développe en cercles concentriques

    vers l’extérieur. Pour lui, les fonctions et les groupes de population se répartissent

    inégalement dans les différents secteurs d’une ville: ce ne seront donc pas les mêmes quidomineront dans chaque quartier. Selon Burgess, ce sont les activités économiques fortes,

    situées au centre-ville, qui connaissent le développement le plus spectaculaire.

    Hoyt (1939) a proposé un modèle de développement des villes par secteurs relativement

    homogènes. Il souligne que les zones industrielles et les zones d’habitation des ouvriers

    se développent principalement le long des grands axes de transport. La population aisée

    évite le plus possible ces zones et a tendance à s’établir dans les secteurs situés entre ces

    axes, en privilégiant la périphérie.

    Harris & Ullmann (1945) ont postulé, dans leur modèle des noyaux multiples, que cer-

    taines fonctions urbaines et activités s’excluent ou s’attirent. Par conséquent, certaines

    fonctions se concentrent dans des noyaux spécifiques (par exemple centre-ville, centre

    commercial, parc ou quartier industriel). Les sites industriels sont situés à proximité des

    logements ouvriers tandis que les zones résidentielles de la population plus aisée évitent

    des zones industrielles.

    Aujourd’hui, nos espaces urbains ne sont plus cantonnés aux villes-centres. Ils englobent

    aussi des zones périphériques (ou péri-urbaines) qui en constituent la majeure partie.

    La constitution de vastes zones périurbaines est le reflet d’une mutation urbaine im-

    portante. Les zones périurbaines se caractérisent par une faible densité de construction,

    la juxtaposition de surfaces non construites et construites, l’absence d’un pôle central

    unique et un développement peu ordonné. Contrairement aux structures urbaines «clas-

    siques», nos espaces urbains sont constitués de grands systèmes décentralisés, spatia-

    lement séparés et plus ou moins indépendants, par exemple les villes dortoirs, les zones

    d’activités et d’achats. Face à cette évolution, la Confédération a doté l’aménagement du

    territoire d’un instrument spécifique, qui cherche à offrir un accompagnement actif de ce

    type de développements: les projets d’agglomération.Beaujeu-Garnier, J; Chabot, G: Traité de géogra-

     phie urbaine. Pari s, A. Colin, 1970

    Le modèle radio- concentrique

    Le modèle des secteurs ou modèle radial 

    Le modèle des noyaux multiples

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      Page 3 Matière: géographie G1

    Utilisations du sol et conflits d’utilisation

    Le modèle développé par Harris & Ullman démontre que la localisation des fonctions urbaines de base (habitat, travail, approvisionnement,

    formation, transports, loisirs et détente) suit une certaine logique. Les aires industrielles sont souvent situées à proximité des grands axes de cir-

    culation (chemins de fer et autoroutes) ou des voies navigables en raison de la rapidité et de l’efficacité escomptées des voies de communica-

    tion. Les espaces verts sont privilégiés pour la détente (et les loisirs). Les quartiers calmes, épargnés par le bruit et la pollution atmosphérique,

    sont souvent utilisés pour le logement. Enfin, les commerces ne s’implantent pas dans des lieux isolés, mais recherchent la proximité d’autres

    commerces ou d’installations à forte fréquentation (avantages de localisation). Les diverses fonctions de base ne sont pas totalement séparées

    les unes des autres, s’interpénètrent. Elles peuvent, selon leur proximité ou leur superposition dans l’espace urbain, susciter des conflits. Ha-

    biter à proximité d’un axe de circulation bruyant ou exercer des activités dans un quartier résidentiel peut générer des situations conflictuelles

    (intérêts divergents réunis en un même lieu).

    Les conflits dans l’espace urbain apparaissent surtout lorsque plusieurs intérêts divergents sont en présence. Ces situations sont exacerbées

    lorsque les utilisations sont particulièrement problématiques (bruit, pollution atmosphérique, présence de groupes marginaux, aspects sécuri-taires, esthétique).

    Mixité ou ségrégation des fonctions?

    Idéalement, on peut imaginer une répartition harmonieuse dans l’espace des fonctions

    urbaines de sorte qu’aucune ne gêne l’autre. Depuis la parution de la Charte d’Athènes

    (1933), on a pris l’habitude, dès que l’on étudie les structures urbaines, de se référer à

    quatre fonctions-clés: habiter, travailler, se recréer, circuler. Ces fonctions-clés sont toutefois

    étroitement liées et il est difficile de les séparer précisément (les activités de détente et

    de loisirs sont pratiquées en partie dans les lieux d’habitation et en partie dans des lieux

    publics, à l’intérieur ou en plein air). L’objectif de la Charte d’Athènes adoptée en 1933

    était d’améliorer les conditions d’habitat et de travail pour le futur. Elle prévoyait ainsi le

    principe de la ségrégation des fonctions en séparant spatialement les secteurs voués à ces

    fonctions (quartiers d’habitation, secteurs voués aux activités industrielles, au commerce et

    à la détente). Les villes ont été subdivisées en zones (par exemple: zone d’habitation et zone

    d’activités). Le zonage a marqué pendant des décennies l’urbanisation et l’évolution de la

    mobilité. La séparation systématique des fonctions urbaines a eu de graves conséquences

    sur les domaines de l’urbanisme, de l’aménagement du territoire et des transports. La crois-

    sance de la mobilité, difficilement maîtrisable, paraît particulièrement problématique. Il est

    en effet devenu nécessaire de se déplacer d’un secteur fonctionnel à un autre pour satisfaire

    ses besoins fondamentaux, ce qui occasionne un énorme surcroît de trafic. Aujourd’hui

    encore, ce modèle de développement urbain imprime sa marque dans de nombreuses villes.

    50 ans plus tard, une réflexion s’est imposée pour repenser ces schémas. On est redevenu

    sensible à l’attrait de structures urbaines diversifiées (mixité entre habitat, travail, repos et

    approvisionnement). On a redécouvert la qualité d’une vie urbaine animée.Charte d’Athènes: des principes pour l’urbanismed’après-guerre, Reinborn 1996, p.138

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    Typologie des villes

    Il est également possible de classer les villes en fonction de leur passé culturel et histo-

    rique. Une telle typologie est forcément étroitement liée aux étapes de développement

    d’une ville.

    Les villes historiques, par exemple, ont été bâties petit à petit selon un plan; elles ont

    étendu progressivement leur emprise spatiale pour ensuite se développer de manière

    apparemment désordonnée. Le cœur historique est souvent encore conservé, avec les

    structures telles que dessinées à l’époque, avec une place de marché centrale ou des

    placettes bien reconnaissables. A partir de ce noyau central, elles se sont étendues

    progressivement dans toutes les directions.

    Il est rare que les villes semblent parfaitement ordonnancées et ont rarement l’aspect

    comme si elles étaient faites d’une seule pièce. Ce modèle-là correspond plutôt à la villenord-américaine typique dont la structure rappelle un damier. Les villes géométriques,

    avec des rues dessinées au cordeau, se ressemblent fortement en raison de leur trame

    identique. En Suisse, des villes ont été reconstruites sur ce modèle après de grands

    incendies (par exemple Glaris ou La Chaux-de-Fonds).

    Il existe une multitude d’autres modèles de villes, par exemple la ville latino-américaine,

    la ville orientale, la ville socialiste, …

    Une localisation centrale des équipements et

    services permet de concentrer les flux de trafic au

    centre (ville compacte) alors que les flux de trafic

    sont plus dispersés aussi bien dans la ville radiale

    que dans la ville des réseaux; les distances à par-

    courir sont alors également plus longues.

    De la ville aux fonctions séparées de la Char-

    te d’Athènes à la ville radiale, en passant par

    la ville des réseaux et à la ville compacte (ville

    des courtes distances). Zweibrücken 2002, p.13

    Modèle de la ville orientale. Heineberg 1991, p.70

    Modèle de la cité-jardin. Heineberg 1989, p.79

    Sources utilisées:

    - Beaujeu-Garnier, J; Chabot, G (1970): Traité de

    géographie urbaine. Paris, A. Colin

    - Gilgen, Kurt (2001): Kommunale Richt- und

    Nutzungsplanung. Zürich

    - Heineberg, Heinz (1989): Stadtgeogrphie.

    Paderborn

    - Reichart, Thomas (1999):Bausteine der Wirt-

    schaftsgeographie. Bern, Stuttgart,Wien

    - Reinborn, Dietmar (1996): Städtebau. Stuttgart,

    Berlin, Köln

    - Zweibrücken, Klaus (2002): Verkehrsplanung.

    Unterrichtsskript HSR Studiengang R Verkehrs-

    planung

    - www.geo-bs.ch

    - www.swissgeo.ch

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    Fiche d’exercices sur les structures des villes

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    Feuille de travail Degrés secondaires II

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     1. L’étude de photos aériennes permet de décrypter la structure d’une ville.

     1.1  A la lecture des photos ci-contre, essaie d’identifier les principaux éléments structurants

    de cet espace urbain.

      Reconnais-tu les grands axes de communication?

      Y a-t-il une zone industrielle?

      Où est concentré l’habitat?

      Peut-on voir des installations sportives sur ces photos?

      Colorie tous ces éléments (rouge = quartier d’habitation; bleu = zone industrielle; vert =

    installations sportives; jaune = grands axes de communication)

     1.2  Quels éléments caractérisent une aire industrielle?

      Comment reconnaît-on un quartier purement résidentiel?

      Quels éléments caractérisent un centre urbain historique?

      Comment reconnaît-on des installations de loisirs?

     1.3 Pourquoi la localisation des fonctions urbaines peut-elle conduire à des conflits?

    Exercice 1

    Exercice 2

    2. La séparation et la mixité des fonctions restent une préoccupation constante pour les

    urbanistes.

    2.1 Essaie d’étudier les avantages et les inconvénients d’une ségrégation des fonctions!

    Qu’est-ce qui plaide pour ou contre une séparation de l’habitat et des lieux de travail?

    2.2 Quelles sont les caractéristiques de ta ville idéale?

      Comment localiser au mieux les fonctions urbaines principales?

      Dessine un schéma de la structure urbaine de ta ville.

      (rouge = quartier d’habitation; bleu = aire industrielle; vert = installations de loisirs;

     jaune = grands axes de communication)Bâle (www.geo-bs.ch)

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    Exercice 3

    3. On peut classer les villes par catégories.

    3.1 Les deux villes ci-dessous appartiennent à des catégories différentes. Lesquelles?

    (Berne et La Chaux-de-Fonds)

    3.2 Quelles sont les caractéristiques de chacune de ces deux villes? Décris leurs diffé-

    rences.

      Berne (www.swissgeo.ch) 

    Fiche d’exercices sur les structures des villes

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    Feuille de travail Degrés secondaires II

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    La Chaux-de-Fonds (www.swissgeo.ch)

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    Solutions pour les professeurs Degrés secondaires II

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    Solution exercice 1

     1.  Structure des villes

     1.1 

     1.2 Aire industrielle: grands espaces non construits entre les bâtiments, grands parcs de

    stationnement, installations avec une grande emprise sur le sol, constructions avec un

    impact visuel important, nombreuses surfaces imperméables (infiltration des eaux).

      Quartier d’habitation: juxtaposition de constructions de volume similaire, structure

    du bâti facile à interpréter et souvent uniforme, faibles distances entre les bâtiments.

    Centre historique: exiguïté, urbanisme compact et hétérogène, diversité architec-turale, parfois présence d’un château, d’un portail, d’une place, de remparts, d’une

    église, d’un monument architectural, ruelles tortueuses, entourées souvent de routes

    plus larges (indiquant les murs de la ville ancienne). Ensuite, développement de la ville

    nouvelle en cercles concentriques.

      Installations de loisirs: souvent à proximité des surfaces vertes ou des rives d’eau, de

    grande étendue, places de stationnement à proximité, installations sportives.

     1.3 Bruit et pollution atmosphérique à proximité des routes très fréquentées, pollution

    atmosphérique par les zones industrielles, peu de surfaces verts pour les loisirs et la

    détente, habitat le long des principales artères, manque de place.

     

    Solution exercice 2

    2.  Ségrégation et mixité des fonctions urbaines

    2.1 Avantages: dans les quartiers à vocation uniquement industrielle, il n’est pas néces-

    saire, par exemple, de se préoccuper des riverains. La forte consommation d’électricité

    se concentre sur quelques secteurs restreints. On peut faciliter l’octroi d’autorisations de

    construire dans les quartiers industriels et les zones d’activités artisanales. --->

    en rouge = quartier d’habitation

    en bleu = zone industrielle

    en vert = installations de loisirs

    en jaune = grands axes de communication

     

    Solution des exercices structure des villes

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