Dossier de presse festival africa fête itinérant sénégal 2015
Sommaire - Brigade de Montbenon · Les contes des Landes de Montbenon: chapitre 1 Vous êtes un...
Transcript of Sommaire - Brigade de Montbenon · Les contes des Landes de Montbenon: chapitre 1 Vous êtes un...
SommaireSommaire............................................................................................................2
Editorial...............................................................................................................3
Le raid.................................................................................................................5
Mon moment préféré du camp 4V + GO............................................................5
Journée des parents 2k18 4V+ GO.............................................................................................6
Mon meilleur souvenir aux scouts : Gondwana..................................................6
Mon moment préféré du camp 2k18...................................................................6
Nouveaux totémisés/Nouvelle totémisée....................................................................................7
Blagues anonymes...............................................................................................9
Les contes des Landes de Montbenon : chapitre 1............................................10
Caravelle sort un disque d’or....................................................................................................14
Quizz sur le scoutisme..............................................................................................................17
Les contes des Landes de Montbenon : chapitre 2............................................19
L’économat.......................................................................................................25
Dessins..............................................................................................................26
Chanson des Moussaillons .......................................................................................................31
Les scouts..................................................................................................................................32
Millefeuille express...................................................................................................................34
Petits pots de crème au Nutella.................................................................................................35
Tiramisu au Nutella...................................................................................................................36
Tchatcheries......................................................................................................37
Mots des chefs...................................................................................................39
EditorialBienvenue a tous au cœur de la 70e édition de la cloque !
J’espère que vous avez tous passé de bonnes vacances et surtout un bon camp d’été
Je tiens à vous remercier pour les articles variés que j’ai reçu cet été, cela permet à tout
le monde de partager les points forts de leur camp de cet été.
Je félicite également Olivia (CVL) et Marie-Caroline(CVL) pour leur participation
active dans la cloque et qui ont donc reçu leur badge Reporter cet été. Bravo ! Je vous
encourage à suivre leur exemple et envoyer pleiiins d’articles !
Ensuite, je vous informe que je cherche une personne motivée à devenir rédacteur de la
cloque et travailler en ma compagnie pour ce beau journal. Il n’y a pas de
qualifications spéciales à avoir, seulement savoir utiliser un minimum Word et avoir
un peu de temps à y consacrer.
Si vous êtes intéressé(e) à rejoindre mon équipe, je vous invite à m’envoyer un mail à
[email protected] ou à m’envoyer un message au 079 935 03 25.
A côté de cela, je cherche aussi une personne motivée à être « illustrateur », un poste
qui demande seulement de nous faire de jolies couvertures pour la cloque, ou faire
quelques petits dessins pour illustrer les articles.
Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture et une bonne suite d’année.
BPMG
Ocelot
Le raidLe premier jour nous avons pris le train à la gare de Lausanne jusqu’à Château d’Oex,
puis nous avons marché jusqu’au Mosses, où se trouvait notre lieu de bivouac. Quand
on a mis les carrées militaires parterre des chèvres ont débarqués, ont mangés les
ficelles des carrées et on fait caca dessus. Le lendemain la marche était plus dure et
comme j’avais très mal au pied les chefs sont venu me chercher en voiture pour
m’amener au lieu de bivouac. Comme il a plu très fort on a dormi (illégalement) dans
une étable. Le lendemain nous sommes partis de l’étable avec les chefs pour aller au
lieu de camp qui était à Solalex.
Mon moment préféré du camp 4V + GOLe matin nous sommes partis du lieu de camp et nous avons marché jusqu’à la piscine
de Villars. On a mangé devant la piscine, puis nous sommes entrés dans la piscine.
Quand on était dans l’eau j’ai fait très peur à une cheffe (GO). Elle a eu très peur. Il y
avait même un tobogan qui était dehors, mais il pleuvait dehors. Quand allait dehors et
on rentrait dans la piscine intérieure on avait très chaud. Après la piscine nous nous
sommes douchées. Après nous sommes rentrés au camp en bus
Alexi (4v)
Journée des parents 2k18 4V+ GOLe début de la journée a démarré avec du yoga et ensuite nous avons mangé. La bouffe
était bonne. Ensuite nous avons tout rangé pour la journée car le lieu de camp n’était
pas très propre. Après beaucoup d’attente les parents sont tous venu, on a fait un rass
et on a mangé des Pic Nic. Après avoir mangé nous avons joué à question pour un
champion (avec des questions sur le scoutisme). Les parents devaient répondre aux
questions et les enfants étaient (à tour de rôle) des buzzers. Après ce jeu nous avons
fait un concours de 4 heures pour des juges et ensuite on a fait des badges (c’est pour
ça que j’écris).
Mon meilleur souvenir aux scouts :Gondwana
Vu que j’ai aimé Gondwana j’ai décidé de rédiger cet article.
J’étais Sioux avec beaucoup d’autres gens de la BM. Le but était d’être le meilleur
peuple en ayant beaucoup d’argent, d’objets et de niveaux. L’activité a duré 3 jours. Il
y avait plusieurs (6) peuples plus 3 hordes. Nous étions 4ième sur 6 et les Mayas étaient
1er.
Mon moment préféré du camp 2k18Mon moment préféré du camp était quand les CP ont organisé l’activité suivante. Il y
avait 4 camps, 4 dieux différents et le but était de réunir ces dieux ensemble pour
combattre un dieu plus puissant. J’étais dans le camp de Thor (Riko). Après avoir
augmenté jusqu’au niveau 5 grâce aux vies que j’ai gagné en faisant des combats de
foulard. Alex et moi avons pris le camp d’Eldir (Aurélien GO) et ensuite le camp
d’Eléonore qui avait déjà capturé le camp de Nathan, du coup on a gagné le combat !
J’étais content.
Mickael(4v)
Nouveaux totémisés/Nouvelletotémisée
Matthieu Cagli Gaspard Graz
Martin-Pêcheur Albatros
Louis Troillet Benjamin Haas
Maki Catta Bouvier
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Maeva Londero Charles Flückiger
Ocelot Guanaco
Eugène Mettraux Saverio Incollingo
Miaouss Baloo
Félicitation aux nouveaux totémisés et à la nouvelle totémisée !
Vous pouvez désormais les appeler par leurs totems !
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Blagues anonymesQu’est-ce qu’on fait quand un gamer pleure ?
On le console
Un cendrier est dans un ascenseur que dit-il ?
Je veux des cendres
Une tasse est dans un ascenseur que dit-elle ?
Je veux mon thé
Comment appelle-t-on une Olive au féminin ?
Olivia
Que dit l’enfant muet ?
…
…
…
…
Qu’est ce que fait mal et qu’on lit ?
La cloque LOL
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Les contes des Landes de Montbenon :chapitre 1
Vous êtes un marchand itinérant sur le chemin vers la capitale des Landes de Montbenon.Votre fier canasson commence à fatiguer en même temps que la lumière du jour. La lourdecharrette, remplie d’objets, de fourrures et d’autres bien à vendre, tremble sur le cheminrocailleux qui sillonne entre les champs de blé, balayés par le vent des soirs d’été.La longue journée vous ayant moissonné dos et énergie, vous décidez de vous arrêter pour lanuit dans une petite bicoque qui porte dignement l’insigne :L’AUBERGE DU THYLACINE FRINGUANT.Vous attachez votre destrier dans l’étable et vous entrez. A l’intérieur, une cheminéecraquante, quelques tables, une atmosphère apaisante et le tenancier, adossé au bar. Il n’y apas grand monde ; seuls quelques voyageurs ivres de fatigue discutent et un chat roux qui serepose près du feu.Vous vous asseyez à une table en face du comptoir, le tenancier arrive et vous propose le repasdu soir. Vous acceptez et demandez une chambre pour la nuit.La soupe est bonne et le pain riche en céréales.Vous profitez du calme inhérent à cette pièce. Vous laissez votre regard se porter dans le videde vos pensées. Mélancoliques et gravés dans le marbre, vos souvenirs de l’année qui estpassée surgissent et vous laissent un goût d’aventure en bouche. Que va-t-il encore m’arrivercette fois-ci ? Que trouverai-je à la fin du voyage ? Le voyage aura-t-il donc une fin ?Le flot de vos pensées est alors brusquement arrêté par un homme qui vient prendre place àvotre table. Il porte une longue barbe sombre et un long manteau. Il semble animé du curiositéet d’une avidité de partage de connaissances que vous cernez à ses premiers mots :« Vous n’êtes pas d’ici pas vrai ? » dit-il en vous fixant du regards.« Non en effet, j’ai passé la frontière ce matin-même. » vous soutenez son œil pesant.« Je suis prêt à parier que vous allez à la capitale, je me trompe ? »« Non »« Que savez vous donc de notre beau pays ? »« Rien je l’avoue. Et si je ne me trompe pas non-plus, vous n’êtes pas venu parler de tartes,n’est-ce pas ? »« Une autre fois peut-être mais pas aujourd’hui, non. Parlons plutôt de ce que vous ignorez deces terres » dit-il. « Tavernier, un pichet de votre meilleure cru! »
L’homme grogne quelques mots et amène un magnifique pot qu’il pose doucement sur latable. Il pose deux verres et reprend votre assiette vide et la cuillère. Le conteur rempli lescoupes en terre-cuite du liquide et lève son verre.« Santé ! »« Qu’est-ce que c’est ? » vous haussez un sourcil d’incompréhension.« On va avoir du travail ! » s’exclame-t-il d’une voix forte en riant. « C’est de la Bergamote,une boisson locale. »
Vous portez votre verre à vos lèvre. La chaleur de la journée part d’un coup se réfugier dans lasombre nuit. Vous avez l’impression que le breuvage refroidit tout votre corps fatigué pour luiredonner un jeunesse rafraîchissante. Le conteur reprend pendant que vous vous préparez àécouter son histoire.« Je ne vous conterai que le plus important pour l’instant. Les Landes de Montbenon sontséparées en 9 régions chacune séparée en plus petits districts, chaque région a ses raisons, sescroyances et ses attributs. Chacune est différente des 8 autres, chacune a ces spécialités.
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Vous êtes ici dans la région de Perceval, dans le district de Puma. Au nord se trouve celui deVautour et à l’est celui de Lynx. Les districts ont quelques différences mineures entre ellesmais se respectent en dépit de cela. Les 9 régions sont en réalité 8 avec Le château deMontbenon dans lequel résident les rois et les hauts placés. En somme, 8 régions et ungouvernement juste et rigoureux à leur tête pour les gouverner tous. A la tête du pays, nousavons actuellement le roi Otarie et son bras-droit Goupil. Il n’y a pas que le château dans cetterégion, il y a aussi la capitale, Lousonna !Enfin… vous verrez bien le reste par vous-même, vous semblez aimer l’aventure ! Je vaisaller dormir dans ma chambre. Si l’on ne se revoit pas demain, je vous souhaite un excellentvoyage. »« Merci... pareillement. »
Il vous sert la main gauche, vous tourne le dos et se dirige vers l’escalier.« Attendez ! » vous l’arrêtez « Comment vous appellerai-je quand je conterai mon récità d’autres ? »« Merlin !»
***
La nuit est fraîche, trop fraîche même, la journée ardente n’a pas eut le temps de réchauffer lachambre. La fenêtre grince, ferme mal, laisse entrer le vent nocturne. Roulé dans vos habits etla fine couverture miteuse, vous êtes engourdi, vous tentez de restituer les paroles del’historien.Une goutte, une autre, encore une, une énième goutte vient frapper le toit en tuiles malarrangées. Ensemble, elles viennent former un petit ruisseau qui alors à son tour vient perlersur le bord de la vitre bossue. Le ruisseau devient rivière, puis fleuve, puis torrent. Lesommeil salvateur arrive comme monté sur son cheval blanc et vous dépose lentement dansun monde que vous ne connaissez que trop bien.Vous passez le reste de la nuit à rêver du jour qui vient.
***
Le réveil est dur, le matelas l’a été aussi. Vous vous hâtez de faire le lit, ouvrir la fenêtre quede toute façon vous n’aviez réussi qu’à faire grincer le soir d’avant, et vous partez. L’escaliercraque sous votre démarche pourtant autant discrète que possible. Vous lâchez un pourboiresur le comptoir et vous apprêtez à aller sceller votre cheval quand :« Attendez, monsieur ! » c’est le tavernier qui vous rattrape, encore en chemise de nuit « LeMonsieur de hier soir, m’a demandé de vous remettre cela en mains propres avant votredépart, tenez. » il vous tend un très beau parchemin roulé. Vous le dépliez, lâchez un petitsourire et rangez la carte dans votre sacoche en cuir.Vous le remerciez d’un coup de tête et sortez. Votre canasson semble remit de l’éprouvanteveille, vous attelez la charrette et vous mettez sur le départ. Le sol est trempé de la nuit maisle soleil est revenu, battant les lourds nuages de minuit.
FIN DU PREMIER CHAPITRE
Bon... voilà le premier chapitre des Contes des Landes de Montbenon. Comme vous l’aurezcompris, ces histoires seront très inspirées des noms et des faits de la brigade et de sestroupes.Je vais donc bien évidemment utiliser pleins de noms de la brigade mais attention, je vaisaussi naturellement changer pleins de trucs ! Un personnage qui a tel nom ne reflète pas du
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tout ce que pourrait penser d’une personne, je vais inventer, exagérer ou atténuer des faitspour l’histoire. Pareil pour les situations.Bref, j’espère que ce premier chapitre vous aura plu. Il devrait y avoir à partir de maintenantdans chaque cloque un chapitre, sauf exception. Vous trouverez une carte qui sera mise-à-jourau fur-et-à-mesure de l’avancement de l’aventure.Où est-ce que cette aventure ira ? Découvrez- le dans les prochains chapitres !!!
Orang-outan
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Nous sommes sur les réseaux sociaux !
En plus d’avoir un site internet(www.montbenon.ch)
Nous sommes également sur Facebook !
Vous y trouverez quelques photos, actualités etinformations.
Notre nom ?
Brigade de Montbenon
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Caravelle sort un disque d’or
Hé oui Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, nous savons bien que vous n’en
pouviez plus d’attendre. Au fil des années, vous avec pu remarquer (et admirer !)
nos talents avérés dans de divers et variés domaines.
L’écriture à travers nos articles trépignants écrits spécialement pour la revue la
plus fantastique du monde (la cloque donc si vous n’aviez pas compris).
Mais surtout, et ce depuis toujours, dans la musique. Si vous n’avez jamais
entendu la douce voix des Caravelles « s’envoler aussi haut que s’envolent les cris
des oiseaux » sur FAMINE, vous avez certainement manqué un épisode marquant
de votre vie. En plus de cela, et ce depuis un an seulement (eh oui, on innove on
amène de la nouveauté si c’est pas beau ça !), un nouvel accessoire se joint aux
traditionnelles affaires de camp - à savoir le ukulélé.
Vous l’aurez compris, les camps Caravelles mêlent donc, comme à son habitude
voire presque un peu plus ces derniers temps, à la musique.
Pendant que les filles ramassent donc du bois et font la vaisselle, les deux CTa se
sont décidées à leur préparer une petite surprise (car on ne flâne pas pendant que
nos filles bossent nous !) . Elles sont donc allées voir
« quokkasapajouéditionsdedisques » et ont créé LA chanson de l’année.
Disponible bientôt sur toutes les plateformes scoutes (chansonniers pour ceux qui
ont le sens de la déduction).
Mais juste pour VOUS, voilà une avant première de la chanson créée par Ocelot et
moi-même.
Kiss Kiss,
Isatis
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La Caravelle
Ocelot & Isatis
Les 3 voiles s’agitent au vent
Et je regarde à l’horizon
Le navire bercé par les flots
Qui s’avance vers un monde nouveau
Le port s’éloigne
À la mer on jette nos coeurs et nos âmes
Le soleil se mire ur la peau de l’équipage
Et sur celle des marins qui sont restés sur la plage
Refrain
La Caravelle s’en est allée sous le soleil d’été
Pirates et moussaillons sont toutes présentes sur le pont
Cela leur importe peu si le ciel est bleu ou orageux
Main dans la main, corps contre corps elles arriveront à bon port
Coupées dans leurs occupations
La cap’tain les rassemble sur le pont
« Le Mistral au loin s’est levé
La tempête sur nous va tomber »
Mais elles restent sereines
Malgré l’ouragan qui sans cesse se déchaîne
La proue plonge encore une fois dans les vagues
Tout le monde se démène pour éviter le naufrage
Refrain
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Comme dans un rêve soudainement
La tempête laisse place au beau temps
Le ciel aux couleurs des chemises
Eloigne leur plus grande hantise
Du haut de la vigie
Une mouss’ aperçoit la Terre et sourit
Toute la Troupe lève fièrement le regard
Les Caravelles abordent, que la conquête se prépare
2e refrain
Les Caravelles ont amarré sous le soleil d’été
Pirates et moussaillons sont toutes descendues du pont
La mer est calme, le sable est blanc tout cela semble si reposant
Main dans la main, corps contre corps elles sont arrivées à bon port
Grille d’accords :
Couplet : Gmin - C6 - F - A
Refrain : Gmin - Dmin - A – Dmin
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Quizz sur le scoutisme
Ci-dessus, tu trouveras un texte sur l’histoire du scoutisme. Dedans, il y a quelques trous, à toi d’essayer de deviner ce qu’ilse cache derrière et de comparer ta réponse avec la page de réponse !
L’histoire du scoutisme :
Les éclaireurs sont actuellement plusieurs millions dans lemonde. Ils ont tous un uniforme et les mêmes lois scoutes quenous. Quand est-ce que le mouvement scout a commencé ?En 1)… pour la 1ère fois, des garçons campaient sur l’île de la 2)…, en Angleterre. Les premiers scouts menaient des vies detrappeur ; ils dormaient sous tente, cuisinaient eux-mêmes etobservaient la nature. C’était exceptionnel pour l’époque. Leurchef était un ofcier anglais : Robert Baden-Powell appelé aussiB-P (Prononciation « Bi-Pi »).
Baden-Powell est né en 3)… à 4)…. Son père était un savantnaturaliste. Déjà au collège, Baden-Powell se distingue par sadébrouillardise. Il faisait souvent des randonnées dans lacampagne. Au cours des années, il a appris à observer lanature, à connaître les secrets de la pêche et de la chasse ettoutes les astuces de la vie dans les bois. Plus tard, il partcomme sous-lieutenant aux Indes. Il grade rapidement. Pendantla guerre, il utilisait de jeunes garçons pour assurer la liaison. Ilsremplirent tous leur tâche admirablement, et B-P a donc penséà tous les garçons qui veulent montrer ce dont ils sontcapables : c’est la naissance du scoutisme.
Le scoutisme se répandit vite en Angleterre, puis dans lemonde entier. Pendant la guerre de 1914-1918, les éclaisrendirent beaucoup de services. Des enfants plus jeunesvoulaient aussi faire partie des scouts : c’est la création deslouveteaux. En 5)…., l’épouse de Baden-Powell, OlaveBadenpowell, organise un mouvement des éclaireuses.
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En 6)…, afn de créer un tait d’union entre les scouts du mondeentier, B-P les convoque pour un grand rassemblement mondialappelé7)…, à Londres. Il est proclamé Chef scout mondial. Dèslors, les 7)… sont organisés en moyenne tous les 8)… ans dansun coin diférent de la planète.
Robert Baden-Powell est décédé au Kenya en 9)…. .Sur sapierre tombale est marqué un symbole spécial qui signife 10)….
Pour les réponses, il te suft d’aller à la page 27 !
Sapajou
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Les contes des Landes de Montbenon :chapitre 2
Vous êtes un marchand itinérant sur le chemin vers la capitale des Landes de Montbenon.Après la dure nuit passée à « L’Auberge Du Thylacine Fringuant », vous remontez sur lacharrette. Votre fouet gifle l’air d’un coup sec ; et vous voilà déjà reparti sur la route. Il ne doitpas être bien plus tard que l’aube et un léger vent tiède achève de vous réveiller. Gourde etsacoche remplis de nourriture et de boisson, vous vérifiez votre itinéraire sur votre nouvellecarte offerte par Merlin :« Le chemin le plus logique jusqu’à votre première destination, Vultus, serait de passer parThylac et de longer la rivière pendant un jour. » vous dites-vous.Dans la capitale du district Vautour, un navire marchand, vous a-t-on dit, longerait le fleuve.Vous pourrez enfin profiter de quelques jours de repos dans la plus grande ville marchande detout Perceval !Le sourire aux lèvres, vous décochez un regard au loin vers une immense montagne au sudqui semble observer tout le fantastique et féerique panorama des Landes d’un œil protecteur etreculé. Tout autour de vous, les épis de blé, d’orge et de seigle dansent lentement etemplissent vos yeux des couleurs d’une campagne récoltant le soleil de l’été.
***
En sortant de la forêt séparant l’auberge du premier village, vous découvrez une immense plaine s’étendant du village de Pumas, à quelques kilomètres au nord-est jusqu’à perte de vue au sud.En brossant l’horizon de votre regard, vous remarquez enfin le petit village de Thylac posé, là, au bord de la luxuriante forêt. Les volutes de fumée venant des petites chaumières de pailleviennent se glisser gracieusement dans les cimes des grands sapins à l’orée du bois. Il n’y a pas de route dans ce village, les bicoques ne sont séparées que par de la terre labourée par les pieds nus et les chariots des paysans. Vous descendez et tenez votre canasson par le collier tout en avançant entre les quelques habitations. Sous une fenêtre salie par le temps et la pluie, vous voyez, couché sur le sol, un énorme chat gris-foncé au un ventre blanc. Il se réveil à votre passage et se lève.Plus surprenant, il se relève sur ses deux petites pattes arrières, vous lance un grand sourireet part ainsi dans la direction opposée, sûrement pour aller se recoucher plus loin, à l’ombre.Après cette rencontre plus qu’inhabituelle, vous poursuivez votre quête en vue d’une échoppe ou d’une épicerie capable de vous fournir quelque matériel, mais où vous pourrez surtout revendre une partie de vos marchandises. Les étroites maisons se ressemblant toutes, il est plus que difficilede trouver celle qui abriterait un commerçant.Pendant votre investigation, un léger bourdonnement vous vient aux oreilles. C’est un son de cloche, régulier et résonnant. Vous relevez la tête, regardants les toits afin de trouver l’église d’où pourrait provenir le doux son. Étonnamment, vous ne percevez pas la pointe de l’édifice.Vous vous mettez à errer dans le village pendant que les cloches résonnent encore.Une femme ouvre sa porte et sort sur le palier. C’est une femme forte avec de longs cheveux mêlés en énorme tresse qui vient gratter le bas de son dos. La matrone a dans ses yeux un
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regard livide, apeuré, presque terrifié. Elle le pointe vers le sud et se bloque, la bouche tombante.D’autres sortent également et ont tous la vue figée en direction des montagnes, loin au sud.Toutes ces personnes alarmées ne vous mettent pas en toute confiance.Les cloches sonnent toujours. Mais d’où provient le son?! Vous portez vos yeux dans la mêmedirection. Vous ne voyez rien. Soudain, un éclair se fracasse dans votre flot de pensées ;« Lousonna ! » Les cloches ne peuvent venir que de là !Les paysans baissent tous lentement la tête puis s’en retournent dans les chaumières.La rue se retrouve à nouveau aussi vide qu’il y a à peine cinq minutes.Sans chercher à en savoir plus, vous remonter sur votre charrette et donnez une petite claque sur l’arrière du cheval. Vous voilà reparti vers Vultus, espérant plus de succès...
***
Après ce qui vous semble être une journée interminable de voyage, vous décidez de vousarrêtez près d’une une petite rivière se séparant en deux ; une branche allant vers le sud-est etl’autre vers l’ouest. Vous désattelez votre monture et allez l’attacher à un arbre non-loin d’unesouche qui semble avoir vécu autrement plus de vies qu’un seul autre arbre dans cette forêt.Elle fait le parfait siège ; assis sur l’herbe, adossé au bois moussu, vous débouchez votregourde en cuir et laissez couler l’eau fraîche jusqu’à l’ultime goutte. Votre maigre souper secompose d’une large tranche de pain noire au seigle avec un fromage jaune sans odeur. Unrepas que vous n’avez eut que trop souvent. Vous soupirez et lâchez à haute voix :« Eh bien, on est bien parti pour ne manger que ça encore quelques fois… hein ?... » vousvous arrêtez en tournant la tête vers votre fidèle monture posée à côté de vous. Elle semblevous écouter comme jamais qui que ce soit ne l’a fait.« C’est vrai ça, tu n’a même pas de nom ! Réfléchissons... » vous faites une pause, mine deplonger dans une profonde réflexion.« Tu te nommeras… Stewball ! » vous lâchez un énorme sourire.Stewball, détourne la tête, indifférent face à la nouvelle et recommence à mâcher.Vous vous assoupissez un instant, votre nuque posée sur le haut de la souche. Le lichen formeun divin coussin dont la dureté de la banquette de votre charrette aurait tout à envier. Le soleiln’est plus qu’une légère ombre disparaissant entre les montagnes à l’ouest. Vous sortez lacouverture dela charrette et vous couchez au pieds de la souche.Vous avez froid.Votre lent plongeon vers le monde des songes est soudainement interrompu par uncroassement venu d’au-dessus de votre tête. Un corbeau, couleur de la nuit, vous observe d’unœil bien-veillant.Malgré son regard insistant, vous savoir sous sa protection vous rassure. Vous n’êtes donc passeul dans ces bois.En un éclair, une tache brun-clair atterri sur la même branche : un grand singe élancé, quevous n’aviez encore jamais vu auparavant, vous lorgne de ses yeux alertes. Vous ne savez paspourquoi mais vous vous sentez apaisé, intouchable, comme retombant en enfance, jouant etcourant en tous sens. La forêt vous protège.Les deux ombres s’effacent lentement, vous relevez la tête encore engourdie de la longue nuit.
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Vous avalez une dernière bouchée de pain comme déjeuner et partez ré-atteler votre monture.
***
Quelques heures plus tard, vous arrivez devant les portes de Vultus. Jamais une armée ne saurait pénétrer ces murs imposants. Les gardes postés au sommet vous paraissent ridicules par rapport au reste de la muraille.La lourde porte à double battants est grande ouverte. Dans sa largeur, trois convois marchandspourraient facilement entrer simultanément. Vous avancez, assis sur la banquette de la charrette, sous l’arche lourde et immobile. En entrant dans la ville elle-même, vous semblez voir un tout nouveau soleil, comme si l’astre éclairant la cité n’était pas le même que celui offrant sa chaleur au reste du monde. La porte principale se situant tout en haut de cette fourmilière, vous pouvez voir le port, à un kilomètre en contre-bas.Un compagnon de votre village natal, marchand bien avant vous, vous avait recommandé, si vous veniez un jour à Vultus, de vous rendre à une certaine auberge à deux pas du port commerçant.Vous décidez donc d’y passer les quelques nuits où vous resterez en ville.Après tout, un peu de repos vous fera du bien, en plus d’être hautement mérité.Vous sillonnez les rues, zigzaguant entre les petits commerces, les vendeurs et les escrocs.Les routes étant fort pentues, vous allez très lentement, concentré sur le chemin que vous fraient les passants en vous voyant.Enfin, vous arrivez devant l’établissement. Il arbore fièrement un panneau au-dessus de son entrée : « Chez Bichon ». L’écurie étant collée au bâtiment, vous descendez et tirez votre monture jusque-là. Vous la déchargez de son fardeau et poussez, non sans mal, la charrette dans un coin de l’abri. Fatigué, vous entrez dans l’auberge. Pas un rat… la cheminée est éteinte et une odeur de vieux cuir empli instantanément votre nez.« Z’êtes qui vous ? » dit une drôle de voix au fond de la pièce.Vous voyez à présent le gros bonhomme, assis sur son fauteuil, dans l’ombre. Il a les jambes croisées et ses mains entremêlées posées sur son omniprésente pense.« Alors?! z’êtes qui ?! » il ouvre son œil gauche.« Oh ! Excusez-moi, je croyais que c’était ouvert, serait-il possible de louer une chambre? »vous êtes légèrement confus.« Ouais, ouais... » il soupire « Ça doit s’faire. Mais rev’nez dans une heure ou deux, la cuisinen’est pas encore ouverte. »« Merci et à toute à l’heure » lui lancez-vous en sortant.« C’est ça... » il se rendort.Vous restez devant l’entrée quelques instants à profiter du soleil de l’après-midi vous réchauffant le visage. Vous vous dites :« Bien… J’ai où dormir, mais il me faut maintenant déjà penser à mon départ. Allons demander au port. » vous vous mettez en route.En effet, vous descendez la ruelle d’une dizaine de mètres, vous passez devant l’écurie, et empiétez déjà sur la grande allée du port. Le sol est dallé et le chemin est bordé de pontons en bois où sont amarrés une myriade de bateau tous de taille différente.
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A quelque distance de vous, ce trouvent des tas de caisses de marchandises empilées les unes sur les autres, des matelots les portent et les montent sur le navire. Le nom de l’embarcation est écrite en grand, peint en doré sur son flanc : «L’Aquilon».Vous regardez aux alentours afin de trouver le contre-maître ou le capitaine. Derrière la rambarde, un grand homme regarde, les bras croisés, une pipe en bouche, ses hommes travailler. Vous l’interpellez.« EH ! C’est vous le capitaine ? » lancez-vous vers lui.« Ouais, j’peux vous aider ? »
***
Après avoir conclut un marché avec le capitaine, vous retournez lentement sur vos pas pour rentrer à l’auberge. Vous repassez devant l’écurie. Sans-même entrer, vous entendez déjà les cris des marins ivres de joie et sentez l’odeur de la boisson coulant à flots. L’ambiance ne vous plaisant pas, trop bruyante et agitée, vous montez avec votre assiette dans votre chambre et fermez la porte. Vous vous asseyez sur le lit, plus confortable que la fois d’avant.Le joyeux boucan continue pendant un heure, deux heures. Quand le silence vient, doucement, entrer dans votre chambre comme un prince salvateur, celui du sommeil était déjàdepuis bien longtemps venu vous chercher.Étrangement, vous ne rêver pas cette fois, tout est noir autour de vous. Pas un son, pas une odeur. Vous tournez sur vous-même et voyez devant au loin apparaître un petit point rouge, il tremble légèrement et un petit vrombissement en provient. Vous essayez de marcher dans sa direction mais… vous n’avancez pas, il se rapproche. Plus il est près, plus il tremble et plus le bruit devient fort. Non, il devient plus précis, vous commencez à discerner des voix humaines,des mots, des appels, des cris ! Au milieu de ces cris, vous entendez une voix qui les surplombe toutes. C’est une voix douce, de femme, une voix presque éthérée. « Dépêche-toi, le capitaine part dans très peu de temps. Si tu ne prends pas ce bateau, tu mourras, ici. » Vous émergez du lit. Les cris sont maintenant tout autour de vous ! Le point rouge n’était que le feu grandissant que vous voyez par la fenêtre !Ni une ni deux, vous vous emparez de votre sacoche, ouvrez la porte en trombe et dévalez l’escalier, il n’y a plus personne à l’intérieur, ils sont déjà tous sortis.Sans vous arrêter de courir, vous allez à l’écurie. Vous attelez Stewball à la charrette, la lanière glisse, encore, vous voilà sur la route du port. Vous apercevez L’Aquilon cents mètres plus loin. Vous attrapez le collier du cheval et avancez aussi vite que possible.Vous faites vite monter la charrette sur le pont et dites au capitaine.« Que ce passe-t-il ici ?! » dites-vous affolé.« Vous n’avez pas encore compris ?! Il y a un dragon qui survole Vultus et qui a lancé des incendies partout en ville ! » il vous répond comme si vous sortiez de nulle-part. « On décampe d’ici les gars ! A la rame ! »Seulement dix minutes plus tard, vous vous trouvez encore sur le pont, mais le navire est déjà loin de la ville, plusieurs autres embarcations sont proches de la votre, trop peux pourtant pouremporter tout le monde…Vous lancez un dernier regard à la ruine qu’est en train de devenir Vultus, Les flammes la dévorent de partout, les cloches d’alerte résonnent. Les volutes de fumée, de la largeur de la ville, montent très haut dans la nuit éclairée par les feux, ils forment un énorme nuage qui
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vous a déjà dépassé. Juste au-dessus de la cathédrale, vous apercevez un point noir qui tremble, non qui vole…c’est le dragon.
FIN DU DEUXIEME CHAPITRE
Ahhh… enfin prêt ! Ce deuxième chapitre, vous l’aurez remarqué, plus long que le premier est accompagné d’une œuvre d’art, que dis-je une œuvre d’art, c’est un chef-d’œuvre ! Bref, trêve de confidence, vous avez sûrement déjà remarqué la carte qui nous suivra tout au long de cette histoire. Donc encore un énième bravo et merci à Cerf qui s’est donné tant de mal pour vous fournir une carte, qui, avouons-le, fait très professionnel. J’ai mis cette fois-ci, le premier chapitre aussi afin que vous ne soyez pas largués si vous n’avez pas pu le lire dans la cloque précédente. J’espère que ce morceau d’aventure vous aura plu et il ne me reste plus qu’à vous souhaiter une superbe rentrée et que tout vos camp ont été aussi top qu’il m’ont semblé l’être.
Mais où vous mènera donc cette (més)aventure ? Découvrez-le dans les prochains chapitres !!!
Orang-outan
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L’économatEnvie de t’acheter quelques objets typiques scouts ?
Sur notre site internet www.montbenon.ch dans la rubrique Economat, tu trouveras une liste détaillée de tout ce que nous vendons à l’économat.
Voici un petit avant-goût de choses que tu peux y trouver…
- Un marque page Montbenon- Des stickers Montbenon- Les calendriers Montbenon 2017 et 2018
Mais aussi des choses plus étonnantes…
- Le DVD de la dernière théâtrale que nous avons réalisée, en 2006 !- Le CD de « Fréquence Montbenon » radio de la Brigade de 2001- Des ceinturons- Des chapeaux
Ou encore des choses plus basiques…
- Le t-shirt Montbenon- Le t-shirt 100 ans Montbenon- Les mêmes mais en pull- Le pull « Scout » bleu marine
Ou pour perfectionner tes connaissances scoutes…
- Le THILO, livre de connaissances générales scoutes- Un carnet qui t’apprend les nœuds- Un carnet qui t’apprend des jeux bouche-trou pour varier un peu- Un carnet qui t’apprend tout types de jeux, idéal quand tu es CP/sCP- Un livre de recettes
Et tellement d’autres choses !
Alors que tu sois un/une CP à la recherche de nouveaux jeux, cuistot pour un CDT à larecherche de nouvelles idées, curieux de voir comment était la brigade en 2006 et 2001, à larecherche d’un cadeau pour le Noël de Brigade et bien plus…c’est pour toi !N’oublies pas le fonctionnement de l’économat : tu dois t’adresser à ton chef/ta cheffe d’unitéen lui disant ce que tu veux et il/elle te le fournira en échange des sous !
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Dessins
Manon (CVL)
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Réponses au quizz sur le scoutisme
℘ 1907
℘ Tamise
℘ 1857
℘ Londres
℘ 1918
℘ 1920
℘ Jamboree
℘ Quatre
℘ 1941
℘ « Rentré au foyer »
Voilà, tu connais maintenant les réponses ! À savoir que c’est trèsimportant de savoir l’histoire du scoutisme, elle est même demandée dansles aspirants ! Donc si tu ne savais pas des réponses, il ne te reste plusqu’à les apprendre !
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Horizontalement℘ le totem de la CT CVL℘ totem d’une ancienne CT CVL℘ le prénom d’une ancienne CM, qui a maintenant arrêté les scouts.℘ Brigade de Montbenon ad…℘ Totem du chef du clan Lochness
Verticalement℘ le totem d’un ancien sCP PVL qui est maintenant au clan du Graal℘ quelque chose que chaque Moussaillon reçoit et doit accrocher à sa
chemise, par tradition. (Vous pouvez aller checker sur une chemise Mouss’, vous le comprendrez assez vite)
℘ « Caravelle » prononcé avec l’accent portugais℘ pays où est décédé Baden-Powell
Solène(Stagiaire)
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Chanson des Moussaillons
Crée lors dûne vente de pâtisseries, cette joyeuse chanson se chante selon la mélodie
de «Les Champs Elysées » :
Vous vous baladez sur Aldimand, le ventre vide et qui gargouille
Vous avez envie d’une bonne pâtisserie
Pour votre chance, un groupe scout vient vers vous et vous demande :
Voulez-vous une pâtisserie salé sucré
Une pâtisserie, à votre bon cœur
Pour les Moussaillons, à votre bon cœur
Si vous avez un peu faim
Aujourd’hui ou même demain
Arrêtez-vous à notre stand car ça fait du bien !
Manon, Zoé H. et Zoé K. (CVL)
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Les scouts
D’années en années, les scouts augmentent énormément.Aujourd’hui nous sommes à 29 millions de scouts dans lemonde, soit beaucoup plus que la population suisse. Nousavons étudié, nous scientifiques, et la question que nous noussommes posée : quels sont les arguments pour les scouts etcontre ? Nous avons envoyé une équipe pour poser desquestions au public.D’abord, il n’y a jamais de problèmes, nous sommes toujoursensemble. Par exemple, un nouveau scout arrive, on val’accueillir à bras ouverts et on jouera avec lui comme si on leconnaissait depuis toujours.Ensuite, aux scouts nous faisons des activités super cools. Parexemple prenons le cas des séances où l’on peut faire des jeuxde piste, des jeux d’endurance, des recherches et plein d’autreschoses.Pour des arguments contre, nous n’avons pas grand chose àpart le fait que cela peut troubler des gens.Certes le scoutisme peut troubler mais c’est aussi un endroitagréable et les personnes sont super gentilles, on peut bienrigoler.Pour conclure, les scouts c’est super !!!
Manon et Zoé K. (Moussaillon)
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Les blagues de Toto
℘ Maman j’ai mal aux yeux. Il faut que tu m’emmènes chez le zieutiste…
℘ Toto on ne dit pas zieutiste mais oculiste.℘ Euh… Mais c’est pas là que j’ai mal…
Maman et Toto se baladent dans la rue, ils croisent une dame et Toto s’exclame : ℘ Maman tu as vu la dame elle est moche !℘ Toto on ne dit pas des choses pareilles ! Va t’excuser !℘ Mais maman tu m’as toujours dit de dire la vérité ?!
Toto a horreur de l’anglais.La maîtresse insiste :℘ C’est trop important l’anglais, la moitié de la planète parle
anglais !℘ Eh ben justement ils sont assez nombreux comme ça !
Toto et Olive se baladent, lorsque Olive s’exclame :℘ Regarde un pauvre oiseau mort !
Toto lève les yeux au ciel :℘ Où ça ?
℘ Dis Marc, comment va ton petit frère ?℘ Bien, tu sais il marche depuis deux semaines.℘ Eh ben, il doit être loin !
Olivia (Moussaillon)
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Millefeuille express
10 feuilles de brick environ20g de beurre fondu5 cuillerées à soupe de Nutella ramolli2 cuillerées à soupe de sucre glace2 cuillerées à soupe de vermicelles au chocolat
℘ Préchauffer le four à 180°C. Découper les feuilles de brick en rectangles d’environ 8x10cm. Les badigeonner de beurre fonuet les placer sur une feuille de papier cuisson. Enfourner pendant 10 minutes, jusqu’à ce qu’elles soient dorées.
℘ Les laisser refroidir, puis les tartiner de Nutella. Faire de même avec les autres feuilles jusqu’à ce qu’elles soient toutes cuites.
℘ Superposer 4 ou 5 feuilles et les saupoudrer de sucre glace et de vermicelles.
℘ Déguster !!!
Olivia (Moussaillon)
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Petits pots de crème au Nutella
2 jaunes d’œuf25 g de sucre25 cl de crème liquide7 cuillérées à soupe de Nutella
℘ Battre les jaunes d’œuf avec le sucre jusqu’à ce que lemélange blanchisse.
℘ Dans une casserole, porter à ébullition le lait et la crèmepuis verser aussitôt sur les œufs en remuant vivement.Remettre le tout sur le feu sans cesser de remuer, fairechauffer jusqu’à frémissement de la crème.
℘ Arrêter alors la cuisson, ajouter le Nutella et mélangerdélicatement jusqu’à obtention d’une crème lisse etparfaitement homogène.
℘ Verser dans des petits pots en verre ou des ramequins,laisser refroidir et réserver au réfrigérateur pendant 2heures au minimum.
℘ Déguster.
Olivia (Moussaillon)
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Tiramisu au NutellaPour 4 personnes – préparation 25 minutes – réfrigération 3 à 4 heures
½ boîte de biscuit à la cuillerLe zeste finement râpé d’un citron jaune bio30cl de café froid300g de mascarpone50g de Nutella50g de chocolat au lait3 œufs, blanc et jaune séparé1 pincée de sel80g de sucre en poudre4 cuillerées à soupe de cacao amer2 cuillérées à soupe de pralin
℘ À l’aide d’un fouet, battre les jaunes avec le sucre jusqu’à ce que lemélange blanchisse.
℘ Ajouter le mascarpone et le zeste de citron. Bien mélanger.
℘ Détendre le Nutella au bain-marie pour qu’il se liquéfie, puis ajouter lechocolat cassé en morceaux. Bien mélanger jusqu’à ce que le mélange soitlisse.
℘ Battre les blancs en neige ferme avec le selet les incorporer à lapréparation précédente.
℘ Imbiber de café les biscuits à la cuilleret en tapisser le fond de quatreverres ou d’un plat à gratin.
℘ Ajouter une couche de crème au mascarpone, puis une couche de sauce aunutella et une dernière couche de crème au mascarpone. Saupoudrer lasurface de cacao et de pralin.
℘ Préserver les tiramisus au réfrigérateur 3 à 4 heures au minimum.
Bon appétit !!!
Olivia (Moussaillon)
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Tchatcheries- Il paraitrait que GVL comme Garavelle- Il paraitrait que Marina passe et tu t’écartes. Marina domine et
tu t’inclines- Il paraitrait que Paulo aime les moules frites- Il paraitrait que même les nouvelles Caravelles sont perturbées
dans leur sommeil… Décidément ça se transmet…- Il paraitrait que « Limbo ! »- Il paraitrait que Solène serait le nouveau mister Japan- Il paraitrait que Marina serait miss Japan et vivrait un idyle
parfait avec Solène- Il paraitrait que Chime fait des acrobaties en plein milieu d’un
gourdball- Il paraitrait que Sapajou et Goupil…- Il paraitrait que Béthsabée se fasse écarteler par ses flles…- Il paraitrait que quand Caravelle fait la danse de la pluie, la
pluie tombe. Par contre qu’en est-il pour la danse du soleil ? Mystère…
- Il paraitrait que Quokka fasse des demi-perfect…- Il paraitrait que Solène a des talents cachés en catch- Il paraitrait que des poches et des pielles.- Il paraitrait que Caravelle se nourit de Teletubbies- Il paraitrait que (roulement de tembour…) Bérénice a bu du jus
d’orange !!- Il paraitrait que Anne-Sophie et l’homme rouge- Il paraitrait que Robert tu me saoules- Il paraitrait que pluie, pluie, pluie…- Il paraitrait que « Zoé épouse-moi ! »- l paraîtrait que (cité par l'intéressé): "Je souhaite à tout le
monde de fnir en Silan Kibora"- Il paraîtrait que l'on ride plaisir ici- Il paraîtrait que Cagli ait enfn son totem- Il paraîtrait que Matias aime les laxatifs- Il paraîtrait que Grégoire soit un grand bandit- Il paraîtrait que les maladies sont présentes- Il paraîtrait que le taux d'abandons et de départs soit élevé- Il paraîtrait que Matias s'écrit avec un h- Il paraîtrait que "Non, pas le rösti mazout!"- Il paraîtrait que "Mange mon pain"- Il paraîtrait que les Durandaux sont persuadés que privation de
sommeil rime avec plaisit et maturité
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- Il paraîtrait que changer d'habits en camp c'est être précieux- Il paraîtrait que le rösti fait par Durandal donne un maximum
de constipation- Il paraîtrait que Léopard et Sapajou- Il paraîtrait que Miaouss est le magnifque et puissant
champion 2k18 du Mc PVL- Il paraîtrait que Mante et Fennec (GO)- Il paraîtrait que le raid c’est énervant- Il paraîtrait que Mark …- Il paraîtrait que la boufe végétarienne = 50% du budget- Il paraîtrait que la dinde ça fotte- Il paraîtrait que le sport matinal ≠ les 4 Vents- Il paraîtrait que dormir dans la tente pendant les constructions
c’est mal- Il paraîtrait que les cheveux turquoise sont à la mode- Il paraîtrait que les chefs « interdisent » les Energy drinks
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Mots des chefs
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Tant à penser, tant à dire, tant à rédiger. Beaucoup, trop. Il me convient donc d’adopter
un certain pragmatisme, et de faire un choix : choisir de quoi traiteront ces lignes.
Ces lignes, je les redoute depuis bien longtemps. Par « ces lignes », j’entends en fait
mon départ de la troupe, de Durandal, qui m’a dès le début tant apporté. Dès ma
deuxième séance, j’étais déjà triste de savoir qu’un jour, je partirais de cette troupe.
C’était une expression de mon besoin de stabilité lié à des manques que j’étais
incapable de combler par moi-même. Je ne savais pas exactement ce que j’adorais
tellement aux scouts, et c’est quelque chose que je ne comprendrai jamais pleinement.
C’est en ayant passé une année chez les scouts américains que j’ai commencé à
analyser, à théoriser ce qui me plaisait tant à Durandal. Ce n’était qu’une amorce à une
mentalité de réflexion bien plus générale que j’ai découverte en rentrant.
Le rapport à la saleté, la dynamique grand frère – petit frère / grande sœur – petite
sœur, le dépassement physique, la répartition des tâches, l’engouement du « non-JS »,
les cris d’unité, les veillées chant, les moments solennels, les traditions, les veillées
jeux, la hiérarchie au sens large, l’humour scabreux, les repas servis en file, le premier
foulard, la berceuse tchèque, les constructions, les « on ne va pas au ciel », les camps
sous la pluie, la neutralité religieuse, la neutralité politique, la rivalité entre troupes,
l’image du « chef » / de la « cheffe », l’esprit de troupe, l’esprit de patrouille, les
weekends de patrouille, les activités spirituelles tous ensemble, la répartition des
responsabilités, la musique, la charte de camp, les ventes de pâtisseries, le rapport aux
anciens, la réflexion et la discussion - au coin du feu ou en-dehors…
Ceux-ci ne sont qu’une partie de tous les divers aspects de notre scoutisme, mais
comme pour tout, chacun d’entre eux est propice à être remis en question, et se doit de
l’être, afin de pouvoir faire vivre au mieux les valeurs qu’on veut transmettre. Derrière
tous ces aspects se cachent les intentions principales que nous vivons et faisons vivre à
travers les scouts. En quelques mots bien insuffisants pour les décrire, elles sont le
vivre-ensemble, le développement de soi avec les autres, le respect de chacun et de son
environnement… et bien d’autres valeurs que je résume simplement en les nommant
« saines » ou « scoutes ».
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Notre scoutisme est également pour moi, aussi contradictoire que cela puisse paraître,
un cadre de liberté. Pas la liberté tant prônée de l’individu asocial, libre au détriment
des autres, mais bel et bien la liberté de l’individu qui participe de son plein gré à la
vie de la communauté. Chacun à sa manière, chacun à son échelle, s’implique pour
pouvoir faire vivre ce cadre scout. Personnellement, je ne m’étais jamais autant senti
libre qu’aux scouts, simplement parce que ce cadre me permettait d’être libre d’être
moi-même.
Ces pensées sont bien évidemment les miennes, mon avis personnel, qui est loin d’être
pleinement éclairé et se construira heureusement toujours plus. C’est cette notion
qu’est pour moi l’aspect le plus important de ce que m’ont apporté les scouts. Pour
moi, le scoutisme, c’est la mentalité de réflexion, de partage, de discussion commune.
Les autres aspects fournissent un cadre sain de développement de soi avec les autres.
L’application de ce scoutisme se doit d’être réfléchie, et consciente de son impact sur
chacun et chacune.
J’avais toujours associé « mon scoutisme » à Durandal, et vu mon départ de la troupe
comme la fin de mon scoutisme. J’ai fini par me rendre compte que ce scoutisme était
en fait le scoutisme de Montbenon.
Le temps est venu pour moi de quitter la troupe. C’est finalement sans tristesse, et
même avec satisfaction et fierté, car je transmets le flambeau aux mains les plus
compétentes et conscientes dont j’aurais jamais pu rêver.
Je me suis malgré tout évadé dans mes pensées, et ce texte ne ressemble pas à une
conclusion. Et c’est tant mieux. Mon scoutisme ne s’arrête en effet pas là, et mes
pensées, opinions et discussions non plus. Je suis immensément fier de vous, chacun
des gars et chefs de Durandal, de ce que vous êtes et de ce que vous deviendrez, et je
garderai toujours en moi cette bordure noire.
On se revoit tantôt, à plus
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Mes chers Durandaux,
Désormais c’est à mon tour d’écrire un mot du chef alors que je ne me rends même pas
compte de ce qui se passe. Je me demande comment mes anciens chefs avait fait mais
aucun souvenir n’apparaît clairement devant moi. Il est donc très difficile pour moi de
vous décrire mon scoutisme avec des mots mais je vous en dirais un bout et je vous
laisserais imaginer le reste.
J’ai débuté les scouts comme beaucoup d’autre gens, un ami m’y a emmené. Je n’ai
pas refusé son invitation mais j’étais loin de me douter que j’allais y rester aussi
longtemps.
Je ne pouvais pas m’imaginer qu’autant de gens si différent et si différent de moi
pouvaient avoir un intérêt commun. Mais voilà ce qu’est le scoutisme ou en tout cas la
Brigade de Montbenon, un endroit ou tout le monde peut évoluer en se sentant
accepter tel qu’il est.
Chez Durandal j’ai pu compter sur Mouette, Otarie et Hermine pour m’accompagner
dans ma vie scoute. J’ai admiré chez ces chefs leurs plus belles valeurs et j’en ai pris
note afin de pouvoir me forger le corps et l’esprit. J’ai ensuite tenté de transmettre ces
valeurs en tant que sCP, CP et CTa. En somme j’espère avoir été un chef respectable
sur qui vous, Durandaux, avez pu compter.
J’aimerais aussi remercier ceux avec qui j’ai continué à poursuivre ma vie en tant que
CTa Durandal.
Iguane, merci pour ta sincérité et ton optimisme. Grâce à toi j’ai pu apprendre à
toujours me remettre en question. On a rarement été d’accord dès le départ mais c’est
ce qui nous a permis de nous améliorer continuellement (je pense).
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Paresseux, merci pour ton engagement et ton humour. Tu as toujours su être efficace et
pratique au bon moment. Merci aussi pour les rires qu’on a pu avoir (et qu’on aura
toujours) au scout et en dehors.
Je pourrais remercier encore plein de gens mais décrire le temps passé avec ces
personnes est bien trop compliqué alors avec toute la sincérité que je possède je tiens
encore à remercier :
Guanaco, Albatros, Bouvier, Martin-Pêcheur, Maki Catta, Grégoire et Charles T.
Je remercie aussi tout les gars Durandaux pour avoir été une aussi bonne équipe,
capable de tant de chose et avec tant de motivation. C’est vous les gars qui faites de
cette troupe ce qu’elle est, alors continuer de vous remettre en question, d’évoluer et
de vous améliorer et ainsi Durandal pourra devenir encore plus belle qu’elle ne l’est
déjà.
Je compte sur les prochains chefs pour réaliser les rêves que je n’ai pu accomplir de
mon temps. Je ne pense pas que c’est nécessaire de vous les dire car je sais
pertinemment que ce sont des rêves qui se transmettent de chefs en chefs. Brandissez
donc Durandal encore plus haut qu’elle n’a jamais été.
Durandaux soyez fier de vous-même et continuer de tracer votre chemin selon vos
envies. Soyez soudés comme jamais, faites vous confiance et construisez votre avenir.
Fabio/Cerf
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Un des trucs les plus fantastiques, avec notre Brigade, c’est que les choses et les idées
sont en perpétuels mouvements : chaque nouvelle génération de louveteaux, éclais,
routiers ou que sais-je, chaque nouveau chef apporte avec lui une vague de
changements, un vent nouveau qui souffle sur les « institutions » de notre BM.
Et pourtant, ce renouveau n’est en rien la fin d’un monde pour l’émergence de quelque
chose de neuf, mais bien une continuité : lorsque j’étais éclais à Perceval, par exemple,
nous étions des crados métaleux avec des délires qui nous étaient propres, délires qui
n’appartiennent probablement pas à la Troupe de maintenant. Mais pourtant, PVL
reste et restera toujours PVL dans son esprit et ses valeurs ! Et il en va de même avec
toutes les autres unités ou entités de la Brigade.
Lors du dernier Noël, j’ai quitté mes fonctions de caissier de notre association après
plus de 5 ans d’activités. Je suis fier du travail accompli et des réformes que nous
avons tous mises en place, mais il était plus que temps de céder ma place à une
nouvelle personne ! Simon / Mushu est désormais aux finances de Montbenon et du
Groupe des 4 Vents, j’ai une totale confiance en lui ; je lui souhaite autant de plaisir
que j’en ai eu à ce poste. Qu’il continue à développer à sa manière les activités de
notre Brigade !
Longue vie à elle ! Et merci à vous tous d’être là, car sans vous elle ne serait rien !
Julien / Epervier
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Ma chère Caravelle,
Je t’écris aujourd’hui avec émotion car c’est la dernière fois que je navigue à ton
bord. Comme tant d’autres matelots et ensuite capitaines avant moi je te quitte et
continue d’arpenter les mers. Passer à autre chose oui mais oublier non. Tu m’as
vu mûrir et m’épanouir, tu as fait partie de ma vie pendant si longtemps et tu as
forgé celle que je suis maintenant, alors comment oublier ? Je t’ai aussi vue te
développer, changer, pratiquer ta magie sur d’autres et cela me rend fière car j’ai
pu y contribuer. Merci pour tout ce que tu as pu m’apporter et tout ce que tu
m’as appris… J’ai fait de mon mieux pour te rendre et transmettre à d’autres ce
que tu m’as généreusement donné mais cela ne change pas le sentiment de
reconnaissance que j’ai envers toi. Tu as été mon navire insubmersible et je
quitte ton bord et la lumière de ta lanterne mais me souviendrais toujours de ton
élan. Je pars nostalgique et confiante, me rappelant de tous les souvenirs vécus
avec toi et me réjouissant de ton avenir, car je sais que je te laisse aux mains des
meilleures capitaines, qui te mèneront, avec ton valeureux équipage, toujours à
bon port.
Quokka
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Merci à Jean-Baptiste Dumas et à l’esede qui nouspermettent d’imprimer ce journal.
100 exemplaires©Aout 2018
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