ANDREA BRACCIOTTIPROJET DE FINE ÉTUDE

juillet 2010

“SEUILS URBAINS”: CINQUIÈME PORT DE LA VILLE DE PISTOIA

Université de Florence _ Faculté d’Architecture _ Diplôme d’Etat d’architecte - Grade de Master

superviseur: prof. Flaviano M. Lorusso assistants superviseur: prof. Gianluca Giovannelli - prof. Giacomo Tempesta

étudiants: Matteo Arcangeli - Andrea Bracciotti

INTRODUCTION

Invitation au dépassement de limiteLa notion de limite a toujours été essentielle pour la ville dans le cours de l’histoire. Localisez le sol, dessiner les axes et les marges sont les premiers gestes de

l’urbanisation. Chaque ville se fonde sur la relation historique entre l’intérieur et l’extérieur, le concept visuel de la limite, qui se matérialise dans les murs. Ces derniers

poussent autoritaires le territoire pour former un endroit de l’identité urbaine à la tâche de signaler leur présence au spectateur, créant des peurs, des espoirs et des

rêves de ce qui se cache au-delà du mur. Frontière physique, avec la tâche de sectionner l’espace en deux dimensions à garder distincts.

Avec l’avènement de la ville moderne et son expansion continue, la limite de la ville ne correspond plus à la notion de défense et de démarcation au niveau territorial,

mais elle devient lieu-icône et perméabilité.

Lieu-icône, en se projetant dans l’avenir et en attirant l’attention des médias et populaire avec un symbole qui permet la reconnaissance immédiate. Perméabilité, depuis

que le mur n’est pas limite plus infranchissables, mais la limite doit être franchirs qui appelle à l’action et à être courageux pour découvrir ce qui se trouve au-delà.

La limite préfigure la présence d’un seuil, une ligne de discontinuité entre deux configurations différentes, un signe expressif du caractère naturel du lieu et de

l’artificialité de l’installation.

Seuil comme lieu de la suspension, l’espace dans lequel attendreLa limite empêche un lieu de passage, une claire indication de la possibilité de traverser l’espace d’un endroit à l’autre: les seuils.

Ces sont des terres du milieu, espace intermédiaire où l’identité de l’individu devient plus léger et où le temps ralentit pour nous permettre de s’arrêter et de réfléchir sur

notre propre être.

Aujourd’hui, la notion de seuil peut être traduit en portes aéroportuaires modernes, les lieux de la suspension, où on a le sentiment de n’être ni d’un côté ni de l’autre,

juste en attendant pour prendre notre vol avec une crainte légère de ne pas savoir ce que nous attendons à l’arrivée, mais l’excitation de découvrir quelque chose. Dans

la même vue, à l’ère de l’industrialisation les agriculteurs venaient à la ville avec les doutes et les craintes crées pour le manque de connaissance de leur propre avenir,

mais avec un désir de rachat contre leur situation socio-économique. De même, le visiteur moderne doit être également fasciné par la ville et encouragé à la vivre et à la

découvrir.

Pistoia: ville-seuilLa ville de Pistoia ville est historiquement une ville-seuil pour la morphologie du territoire (la ville est située au pied de la Apennins Toscane-Emilian) et en raison

d’événements historiques (le passage de la ligne Gothique, près des montagnes de Pistoia). Terminée l’ère de la Renaissance dans laquelle les secondes murs encore

assumaient le rôle de limite coercitive, la ville a perdu une génératrice pour son urbanisation en cours. Il a jamais eu un pivot qui mettait les pôles de l’adresse du boom

économique des années 70 à une costruction plus fournie et homogène: essentiellement les lignes d’expansion de la ville moderne sont l’avenue Adua à l’Ouest et rue

Fermi qui est projetée sur la route principale Prato-Florence à l’Est.

INVITATION AU DÉPASSEMENT DE LIMITE

POTENTIALITÉ ET CRITIQUE

PROGRAMME FONCTIONNEL

CATHÉDRAL ZONE/DEPOT DES TRAINS HISTORIQUES NOUVELLE GARE INTERMODAL

“C

AT

HÉ

DR

AL

”

La “Cathédrale” est un bâtiment de l’ancien Atelier San Giorgio de Pistoia

(fabricant de trains et d’avions jusqu’à les années 50  ; aujourd’hui, la

société appelée « Breda », traite les trains à grande vitesse et pour le

transport local), ainsi nommé en raison de sa taille (130 x 20 x 20 m) qui

ressemble aux nefs des cathédrales gothiques. Le bâtiment doit sa lon-

gueur au fait que à l’intérieur avait lieu la préparation finale des carriages.

P R O J E T :

1 - M U S É E D E M AT É R I E L R O U L A N T H I S T O R I Q U E

2 - E S PA C E M U LT I F O N C T I O N N E L

D I M E N S I O N S :

T R O I S É TA G E S - 6 0 0 0 M Q

NO

UV

EL

LE

G

AR

E

P R O J E T :

1 - G A R E I N T E R M O D A L ( T R A I N S / B U S )

2 - C E N T R E C O M M E R C I A L

D I M E N S I O N S :

T R O I S É TA G E S - 2 0 0 0 0 M Q

BUS TERMINAL ENTRANCE TO THE CITY

RAILWAY STATION