Sapin, petits souliers et crosses de floorball Championnat ... · ont débuté la compétition de...

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Championnat de France : Marseille annonce la couleur. Association Fran aise de Floorball 51 av Sainte Foy 92200 Neuilly s/Seine Bimestrielle N3 13/12/2005 Sapin, petits souliers et crosses de floorball C est bient t No l d accord et il faut trouver un truc offrir tonton Daniel, mais pour le floorball fran ais d cembre c est aussi le d but du championnat de France, deuxi me dition, et sur le terrain on ne se fait pas de cadeau ( d sol ). Six quipes sont inscrites et parmi elles quelques p res de famille dont la prog niture se soucie aujourd hui plus des vitrines des magasins que du nombre de passes d cisives de papa. Mais il ne perdent rien pour attendre, ces petits vauriens ! Dans quelques ann es, on en reparlera, lorsqu ils placeront une crosse de floorball ou un casque de gardien au top de leur liste Non mais ! Bonne F tes ! Les Speedhoc Rascasses de Mar- seille ont fait une tr s belle entr e en mati re lors du premier tour du cham- pionnat de France de floorball 2005- 2006 qui s est d roul samedi 3 et dimanche 4 d cembre Paris. Vainqueurs de la premi re dition l ann e derni re, les Marseillais ont laiss partir leur joueur suisse vedette Thierry Perriard mais ils n ont pas ou- bli ses bons conseils, et leur poten- tiel collectif et offensif est sans doute encore plus solide. La premi re place qu ils occupent apr s deux matches est donc largement m rit e. Ils sont favoris. Cette ann e le championnat prend une dimension significative puisque la premi re phase se d roulera sur trois week-ends, Paris, Besan on et Nan- tes, avant une phase finale organis e dans les Bouches du-Rh ne, chez les tenants du titre. Six quipes sont inscrites. Parmi elles, les Ericsson Vikings et les Gladia- teurs d Orl ans font leur apparition sur la sc ne nationale. Si leur fond de jeu ne leur permet pas encore de ri- valiser avec les deux t nors que sont Marseille et Paris, ces premi res ren- contres officielles auront permis de d montrer un engagement physique et surtout un enthousiasme annoncia- teurs de belles performances dans un tr s proche avenir. Vikings et Gladiateurs sont venus pour apprendre et doivent d plorer une addition s v re en terme de buts encaiss s mais rien n est perdu pour d crocher une place en demi-finale. Pour le moment, la troisi me et la quatri me place qualificatives revien- nent respectivement au CUB Besan- on et au CLAP Nantes. Ces deux quipes ont en commun une d faite face aux Rascasses, mais leur bilan est sensiblement diff rent. Les Nantais n taient pas au complet et ont du s incliner lourdement avant de se racheter dimanche face au Vi- kings gr ce au renfort pr cieux de leur international Aymeric Neveu. A l inverse, les Bisontins ont sign samedi une premi re victoire contre Orl ans en d montrant des progr s consid rables, fruit de nombreuses rencontres amicales avec des quipes suisses ro- mandes au cours des derniers mois. Ils ont m me tenu t te aux Marseillais pendant trente minutes, avant un rel chement sanctionn avec autorit , en fin de deuxi me tiers-temps. Les Bisontins seront surveiller chez eux en janvier lors de la deuxi me tape du championnat. Derni re quipe en lice, IFK Paris s est install dans la roue des Rascas- ses de Marseille. Deux larges victoi- res, beaucoup de buts, les Parisiens ont d but la comp tition de mani re chaotique face aux Vikings avant de faire montre de beaucoup plus de co- h sion et d imagination face Or- l ans. Un petit cran en dessous de leurs rivaux m diterran ens, sur l en- semble des deux matches, ils n en restent pas moins candidats au titre, tr s impatients de prendre leur revan- che. La d faite en finale la saison der- ni re est en effet une source de moti- vation suppl mentaire pour travailler chaque samedi l entra nement. Rendez-vous est donc pris pour ces six quipes les 28 et 29 janvier pro- chains en capitale franc-comtoise, pour un deuxi me week-end tr s pro- metteur. Bouuh ! Gilles Bizot, gardien d IFK Paris, en action J G P Bp Bc Pts Diff Rascasses Marseille 2 2 0 22 2 4 +20 IFK Paris 2 2 0 23 5 4 +18 CUB Besan on 2 1 1 9 10 2 -1 CLAP Nantes 2 1 1 6 19 2 -13 Ericsson Vikings 2 0 2 7 17 0 -10 Gladiateurs Orl ans 2 0 2 5 19 0 -14 1 2 3 4 5 6 1 Les deux quipes du CUB Besan on et des Speedhoc Rascasses de Marseille r unies dans la convivialit l issue d une rencontre remport e par les Phoc ens. VIK - IFK : 11-3 (1-2, 0-6, 2-3) CUB - GLA : 7-3 (2-1, 2-0, 3-2) CLAP - RASC : 0-15 (0-5, 0-4, 0-6) RASC - CUB : 7-2 (1-0, 4-1, 2-1) CLAP - VIK : 6-4 (0-0, 2-2, 4-2) GLA - IFK : 2-12 (0-4, 2-3, 0-5) R sultats 1 re & 2 me journ es

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Championnat de France : Marseille annonce la couleur.

Association Française de Floorball – 51 av Sainte Foy 92200 Neuilly s/Seine – Bimestrielle – N°3 13/12/2005

Sapin, petits souliers et crosses de floorballC’est bientôt Noël d’accord et il faut trouver un truc à offrir à tonton Daniel, mais pour le floorball français décembre c’est aussi le début du championnat de France, deuxième édition, et sur le terrain on ne se fait pas de cadeau (… désolé…).

Six équipes sont inscrites et parmi elles quelques pères de famille dont la progéniture se soucie aujourd’hui plus des vitrines des magasins que du nombre de passes décisives de papa.

Mais il ne perdent rien pour attendre, ces petits vauriens ! Dans quelques années, on en reparlera, lorsqu’ils placeront une crosse de floorball ou un casque de gardien au top de leur liste… Non mais !

Bonne Fêtes !

Les Speedhoc Rascasses de Mar-seille ont fait une très belle entrée en matière lors du premier tour du cham-pionnat de France de floorball 2005-2006 qui s’est déroulé samedi 3 et dimanche 4 décembre à Paris.

Vainqueurs de la première édition l’année dernière, les Marseillais ont laissé partir leur joueur suisse vedette Thierry Perriard mais ils n’ont pas ou-blié ses bons conseils, et leur poten-tiel collectif et offensif est sans doute encore plus solide. La première place qu’ils occupent après deux matches est donc largement méritée. Ils sont favoris.

Cette année le championnat prend une dimension significative puisque la première phase se déroulera sur trois week-ends, à Paris, Besançon et Nan-tes, avant une phase finale organisée dans les Bouches–du-Rhône, chez les tenants du titre.

Six équipes sont inscrites. Parmi elles, les Ericsson Vikings et les Gladia-teurs d’Orléans font leur apparition sur la scène nationale. Si leur fond de jeu ne leur permet pas encore de ri-valiser avec les deux ténors que sont Marseille et Paris, ces premières ren-contres officielles auront permis de démontrer un engagement physique et surtout un enthousiasme annoncia-

teurs de belles performances dans un très proche avenir.

Vikings et Gladiateurs sont venus pour apprendre et doivent déplorer une addition sévère en terme de buts encaissés mais rien n’est perdu pour décrocher une place en demi-finale.

Pour le moment, la troisième et la quatrième place qualificatives revien-nent respectivement au CUB Besan-çon et au CLAP Nantes. Ces deux équipes ont en commun une défaite face aux Rascasses, mais leur bilan est sensiblement différent.

Les Nantais n’étaient pas au complet et ont du s’incliner lourdement avant de se racheter dimanche face au Vi-kings grâce au renfort précieux de leur international Aymeric Neveu.

A l’inverse, les Bisontins ont signé samedi une première victoire contre Orléans en démontrant des progrès considérables, fruit de nombreuses

rencontres amicales avec des équipes suisses ro-mandes au cours des derniers mois. Ils ont même tenu tête aux Marseillais pendant trente minutes, avant un relâchement sanctionné avec autorité, en fin de deuxième tiers-temps. Les Bisontins seront à surveiller chez eux en janvier lors de la

deuxième étape du championnat.

Dernière équipe en lice, IFK Paris s’est installé dans la roue des Rascas-ses de Marseille. Deux larges victoi-res, beaucoup de buts, les Parisiens ont débuté la compétition de manière chaotique face aux Vikings avant de faire montre de beaucoup plus de co-hésion et d’imagination face à Or-léans. Un petit cran en dessous de leurs rivaux méditerranéens, sur l’en-semble des deux matches, ils n’en restent pas moins candidats au titre, très impatients de prendre leur revan-che. La défaite en finale la saison der-nière est en effet une source de moti-vation supplémentaire pour travailler chaque samedi à l’entraînement.

Rendez-vous est donc pris pour ces six équipes les 28 et 29 janvier pro-chains en capitale franc-comtoise, pour un deuxième week-end très pro-metteur.

« Bouuh ! » Gilles Bizot, gardien d’IFK Paris, en action

J G P Bp Bc Pts Diff

Rascasses Marseille 2 2 0 22 2 4 +20

IFK Paris 2 2 0 23 5 4 +18

CUB Besançon 2 1 1 9 10 2 -1

CLAP Nantes 2 1 1 6 19 2 -13

Ericsson Vikings 2 0 2 7 17 0 -10

Gladiateurs Orléans 2 0 2 5 19 0 -14

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5

6

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Les deux équipes du CUB Besançon et des Speedhoc Rascasses de Marseille

réunies dans la convivialité à l’issue d’une rencontre remportée par les Phocéens.

VIK - IFK : 11-3 (1-2, 0-6, 2-3)

CUB - GLA : 7-3 (2-1, 2-0, 3-2)

CLAP - RASC : 0-15 (0-5, 0-4, 0-6)

RASC - CUB : 7-2 (1-0, 4-1, 2-1)

CLAP - VIK : 6-4 (0-0, 2-2, 4-2)

GLA - IFK : 2-12 (0-4, 2-3, 0-5)

Résultats 1ère & 2ème journées

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L’Asie s’affirme comme une place forte du développe-ment du floorball. Et c’est une excellente nouvelle de constater que l’Europe n’est plus seule dans cette entre-prise.

Dernier exemple : le tournoi APAC 2005 (Asia Pacific Floorball Championships) qui s’est tenu du 1er au 4 dé-

cembre à Singapour avec la participa-tion de cinq équipes nationales mascu-

lines et de trois sélections féminines.

Les Japonais, vainqueurs du Mondial C en 2004, lors de leur première sortie interna-tionale, persistent et signent en remportant cette fois-ci l’APAC 2005. Ils dominent notamment 10-3 des Austra-liens, qu’ils retrouveront dans le Groupe B des prochains championnats du Monde, en mai 2006 à Stockholm.

Autre fait marquant : la première par-ticipation de la Corée du Sud et de l’Inde qui subissent la dure loi de leurs aînés mais viennent ainsi agrandir la famille asiatique du floorball.

Chez les femmes, les représentantes de Singapour remportent un tournoi très serré devant les Japonaises et les Australiennes. Elles s’imposent notam-ment 3-1 face aux Nippones, lors du match aller de leur rencontre de quali-fication aux Mondiaux féminins 2007.

www.apacfloorball.com

L’organisation de champion-nats du Monde Juniors, c’est le signe qu’un sport est bel et

bien tourné vers l’avenir.

Dans ce domaine, le floorball est un bon exemple puisque cette jeune dis-cipline à l’échelle du sport mondial en est déjà à sa troisième édition.

Du 25 au 30 octobre, la Lettonie a accueilli ce grand tournoi des moins de 19 ans, prouvant une nouvelle fois que le floorball n’est certainement plus un épiphénomène nordique.

Cela fait bien longtemps que les en-fants de Suède ou de Finlande ont ins-crit le floorball parmi leurs activités favorites mais ils ne sont plus seuls, loin s’en faut. 16 nations ont partici-pé à cette compétition que la Lettonie considère à juste titre comme une ma-nifestation majeure sur son territoire, tous sports et toutes classes d’âges confondus.

Comme chez les adultes, les équipes sont réparties en divisions, et comme

chez les adultes, Suédois, Finlandais et Suisses continuent de truster les premières places, pour quelques temps encore.

Sans surprise, la Suède s’impose en finale 6 à 2 contre la Finlande, après un parcours tranquille et sérieux, sa-chant contenir la Suisse en demi-finale (8-5) ou encore punir le Danemark en poule (20-1).

La Suisse doit donc se contenter du bronze et complète un trio de sélec-tions intouchables mais la Lettonie, devant son public, a su montrer de nets progrès en se saisissant d’une quatrième place que l’on croyait pro-mise à la République Tchèque (5e), autre nation majeure du floorball.

En deuxième division, la victoire re-vient à la Russie qui s’impose en fi-nale face à la Slovaquie, 5-1. Les Slo-vaques s’étaient classés 15e de la pré-cédente édition en 2003 et semblent donc combler petit à petit leur retard en matière de floorball, vivant encore dans l’ombre du voisin tchèque.

La France ne présente malheureuse-ment pas encore de sélection junior. Il est encore trop tôt car le lien n’est pas

encore fait entre les clubs adultes qui se créent à l’heure actuelle et les en-fants qui pratiquent le floorball dans certaines écoles de manière très infor-melle et très occasionnelle. Mais il s’a-git évidemment d’un objectif impor-tant pour l’Association Française de Floorball, à moyen terme.

Troisième Mondiaux Juniors à Riga, Lettonie : la Suède ne lâche rien.

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APAC 2005 : grande réunion Asie—Pacifique de floorball, à Singapour

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L’équipe de France de floorball est jeune mais ses rencontres avec l’Es-pagne sont déjà devenus des « classicos ».

En 2004, aux championnats du monde, le premier affrontement s’é-tait soldé par une victoire des Bleus à l’arraché 4-3, devant un public madri-lène survolté. En février 2005 à Gent, les Espagnols avaient pris leur revan-che 5 à 3, lors d’un match extrême-ment engagé.

Le match du dimanche 13 novembre dernier, à Hoogezand, constituait donc un nouveau rendez-vous très attendu dans les deux camps.

Et cette fois-ci il faut avouer que les Espagnols ont dominé leur sujet. Mal-gré l’heure très matinale de ce match programmé à 8h, ils ont fait preuve d’une concentration totale doublée d’une réussite maximale, notamment dans les shoots de loin. Toujours très techniques, ils ont su laisser au ves-tiaire un tempérament d’habitude ner-veux, pour terrasser des tricolores à la fois trop préoccupés par l’enjeu, mal réveillés et très relâchés après leurs bonnes prestations du samedi.

Résultat une véritable correction 13-4.

L’équipe de France a donc pris une leçon d’engagement, face à une équipe homogène et solide mais sans aucun doute à sa portée, à condition d’être tout de suite à son affaire. Car les Français ont par ailleurs fait

preuve d’un superbe état d’esprit, d’une belle présence physique et d’un collectif efficace, lors des deux autres matchs de cette Nations Cup.

Face à la Belgique, samedi matin, ils ont par exemple construit un premier succès 6 buts à 1, en réalisant une entame tonitruante et très déstabili-sante pour leurs adversaires.Les Bleus ont ensuite rencontré la sé-lection des Pays-Bas, devant son pu-blic, et ont réalisé à cette occasion l’une des meilleures sorties de leur jeune histoire. Soudés, entreprenants, accrocheurs d’un bout à l’autre, ils ont réussi l’exploit de s’imposer face à une nation classée au 14e rang mondial, demi-finaliste du Mondial B en 2004, et accessoirement vainqueur de cette Nations Cup grâce à deux victoires face à l’Espagne.

Notre équipe nationale a du mal à en-chaîner les belles performances et s’est une nouvelle fois relâchée avant la fin de la compétition. Ce scénario,

elle l’avait déjà joué aux Mondiaux 2004, échouant aux portes des demi-finales, à la différence de buts, après une courte défaite bien bête contre le Canada.

Un syndrome bien français ? Pas faux. En tout cas, les Tricolores ont à pré-sent cinq mois pour méditer cette le-çon, tout en peaufinant leur prépara-tion physique et tactique. Du 29 avril au 7 mai, ils retrouveront le public espagnol et surtout une sélection d’adversaires du monde entier très remontés et prêts à sanctionner sans merci toute baisse de régime.

A ne pas oublier.

Nations Cup, Hoogezand (NL) : du jeu, du plaisir, mais une bonne leçon...

Fra - Bel : 6-1 (3-1, 2-0, 1-0)

Russo-Mendoza (0’, de Gouville), Fournier (1’, Antoine), Glauser (8’, Geslin)

Lanini (21’, Menon), Menon (28’, Andermatt)

Lanini (48’, -)

1er rang :C. Bruyas, C. Menon, R. Dragon, M. Müller, Y. El-Kadmiri, G, Kernacker, Y. Guillemain, M.Russo-Mendoza, M. Lanini

2e rang : S. Geslin, S. Antoine, B. Glauser, P. Müller, C. Neveu, Y. de Gouville, A. Simonian, J. Fournier, J. Andermatt, J. Joaille (cap), A. Lang

Entraîneurs : A; Kulczicky, M. Müller

Hol - Fra : 6-8 (2-5, 2-2, 2-1)

Glauser (6’, M. Müller), Glauser (17’, -), Russo-Mendoza (17’, -), Neveu (18’, Antoine), Glauser (18’, Andermatt)

Russo Mendoza (38’, Lanini), de Gouville (39’, Antoine)

El-Kadmiri (45’, -)

Fra - Esp : 4-13 (1-6, 2-2, 1-5)

Neveu (14’, Antoine)

Geslin (24’, -), Joaille (33’, -)

Andermatt (46’, -)

Breaking News : La barre des 300 000 est franchie !

Le nombre de licenciés recensés par l’International Floorball Federation ne reflète pas exactement le nombre exact de personnes qui jouent régulièrement au floorball à travers le monde. Dans bien des pays on pratique ce sport en loisir, de manière non officielle comme ailleurs on pratique le foot ou le tennis. Ce chiffre, et plus particulièrement sa progression constante, sont néanmoins d’excellents indicateurs de la santé et de l’expansion de cette discipline très dynamique.

L’IFF comptera en 2006 plus de 300 000 joueurs, contre 178 000 en 1996. A l’époque 93% étaient Suédois, Finlandais ou Suisses, aujourd’hui cette proportion est inférieure à 70%, ce qui montre l’importance croissante des « jeunes » nations.

En France nous sommes plus d’une centaine, la route est donc encore longue mais l’évolution internationale du floorball constitue véritablement une énorme source de motivation pour continuer à le développer sans relâche dans l’hexagone.

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