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REVUE DE PRESSE
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SOMMAIRE
Grazia – 07 octobre 2016 3 Le Matin – 04 octobre 2016 4-‐6 A Nous Paris -‐ mai 2016 7 Le Parisien Magazine -‐ 29 avril 2016 8 Time Out -‐ 21 avril 2016 9 Gala -‐ 21 avril 2016 10 Stylist -‐ 15 avril 2016 11 GQ -‐ 6 avril 2016 12-‐14 L’Obs -‐ 31 mars 2016 15 Figaroscope -‐ 23 mars 2016 16 Elle -‐ 18 mars 2016 17 Direct Matin -‐ 14 mars 2016 18 Le Monde -‐ 13 mars 2016 19-‐20 Télérama.fr -‐ 11 mars 2016 21-‐23 Le Bonbon -‐ mars 2016 24 TV -‐ Radios 25
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Grazia – 07 octobre 2016
L’humoriste rembobinele fil, de ses angoisseset de ses émotions dansun nouveau spectacle,Pulsions. Bref entretien.Par Diane JACQUS
Le héros de fiction que vous aimeriezêtre?Je ne dirais pas non à San Goku,de Dragon Bali Z. Rien qu’en termesde variété de coupes de cheveux,ça peut être cool.La chanson qui vous fait toujoursdanser?Don’t Stop Me Now de Queen. Je l’ai misejuste avant mon spectacle au momentoi la lumière s’éteint et, que ce soit en
France, en Belgique, en Suisse ou auCanada, les gens frappent des mains.C’est fou.La chanson qui vous fait toujourspLeurer?A ma fille, de Chartes Aznavour. L’écritureest intime et universelle à la fois,n’importe qui peut se mettre à sa place.L.’œuvre d’art qui serait bien dansvotre salon?Une oeuvre de Charlotte Le Bon: sonpetit bonhomme avec la tête en coeur.L’artiste qui a tout compris de vous?Louis C.K, la personne qui a comprisle plus de choses sur tous les humains.Avec le recul, c’est clairement de lasociologie marrante.Le Livre que vous prétendez avoir Lu?Astérix et CLéopâtre, alors que j’ai vu lefilm. Mais te mensonge perdure... Oh, wait!
Le film qui raconte votre vie?L’Auberge espagnole de Cédric klapisch,l’histoire d’un mec qui arrête de fairece qu’on attend de lui pour faire ce qu’ilaime. L’histoire de beaucoup de gens.La série qui vous a tenu éveiLLétoute une nuit?Stranger Things. Bien écrite, bien jouée,cohérente et émouvante.Le Livre que vous n’avez jamais rendu?La Bouilloire, quand j’étais en CE2, c’étaitau Bibliobus de mon école. J’en suis pasfier mais bon, la vie est dure.La personnaLité avec qui L’on vousconfond?Quand Woodkid chante à la télé, j’ai pasmal de tweets qui me complimententsur mes chansons.Pulsions de Kyan Khojandi, jusqu’au 29 octobre àL’Européen, Paris 17e, puis en tournée en Franc..
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7.10.2016’GRAZIA 153
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Le Matin – 04 octobre 2016
Date: 04.10.2016
Le Matin1001 Lausanne021/ 349 49 49www.lematin.ch
Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 44'815Parution: 6x/semaine
N° de thème: 890.004N° d'abonnement: 1006420Page: 30Surface: 107'326 mm²
Observation des médiasAnalyse des médiasGestion de l'informationServices linguistiques
ARGUS der Presse AGRüdigerstrasse 15, case postale, 8027 ZurichTél. 044 388 82 00, Fax 044 388 82 01www.argus.ch
Réf. Argus: 62995059Coupure Page: 1/3
«J'AI PRIS LE TEMPS DE M'ENNUYER»HUMOUR Quatre ans après «Bref», Kyan Khojandiest de retour. Cette fois sur scène, avec «Pulsions»,à voir à Genève le 18 novembre. Rencontre.
urant une s ais on Orelsan et Gringe. J'étais plus dans souvenirs. «Bref» parlait déjà de(d'août 2011 à juillet2012), il a été partoutavec «Bref». Le for-mat court diffusé sur
Canal+ sur le quotidien d'un tren-tenaire a été un vrai phénomène,changeant la vie de son coauteur etacteur principal, Kyan Khojandi.Quatre ans plus tard, c'est surscène qu'on le retrouve avec «Pul-sions». Pour en parler, l'humo-riste français était hier à Lausanne,sa «ville de coeur», là où il avaitrodé son one - man -show en jan-vier dernier. Entretien... bavardavec «le mec de «Bref».
Après l'arrêt de «Bref»,on s'attendait à vous retrouverplus tôt. Que s'est-il passé?Je construis les choses petit à petit.Pour «Bref», on a écrit des idéesdurant cinq, six ans, puis on en asorti quelque chose de très géné-reux. Il faut beaucoup vivre avantd'arriver au concret. J'ai pris soinde ma famille. J'ai aussi eu le tempsde m'ennuyer. C'est importantpour la créativité. Je n'ai pas be-soin de sortir quelque chose toutde suite pour occuper l'espace mé-diatique. Et ça serait minimisertout ce que j'ai réalisé: j'ai parti-cipé à huit films, dont un Disney(ndlr.: «Les nouveaux héros»), j'aitravaillé avec Florence Foresti, j'aifait «Bloqués» avec mes potes
l'ombre, mais je n'ai pas chômé. mes années de galère.
On vous appelle encore«le mec de «Bref»?De moins en moins. Avec monone-man-show, les spectateursviennent voir «le mec de «Bref» etressortent en disant connaîtreKyan désormais. C'est plutôtagréable. Mais je vois encore desgens faire des «Bref» pour leurmariage, et je suis heureux parceque c'est mon premier enfant et onme fait confiance pour ledeuxième.
Décrivez-nous votre one-man- show «Pulsions».Ce sont les mêmes auteurs que«Bref», Navo (ndlr.: Bruno Mus -chio) et moi-même. Je partage desanecdotes extrêmement intimes,toutes les choses pas marrantesque j'ai vécues. Et ça fait rire?Un truc drôle n'est pas marrant à labase. C'est après qu'on décide d'enrire ou non. Dans mon spectacle, jepromets aux gens d'arriver à lesfaire rigoler sur le décès de monpère. Vous savez, je suis le fils d'unmec marrant. Et je perpétue ça. Mavie peut paraître parfois compli-quée dans mon intimité, alors je lapartage sur scène. C'est le meilleurmoyen de pouvoir avancer, de ren-dre les mauvais souvenirs en bons
«Pulsions» n'est pas votrepremier one-man-show...C'est vrai. Avant «Bref», il y a eu«La bande-annonce de ma vie»,que j'ai jouée devant 900 person-nes. En tout. Sur quatre ans. Maisj'étais fier. Avec «Pulsions», jesuis revenu récemment dans lasalle où j'ai débuté devant huitpersonnes, dont quatre payantes.Je suis superheureux: cette salle de100 personnes était pleine troissoirs de suite. Je me suis dit que leschoses avaient un sens. Ça valait lecoup de ne pas avoir lâché l'affaireil y a huit ans. Pour écrire votre deuxièmeone-man-show, vous avez faitappel à Bruno Muschio, votrecomplice de «Bref». C'étaitle meilleur pour traduirevos pulsions?Il n'y a pas de réflexion à savoir quiest le meilleur, c'est juste qu'entrenous ça marche. Bruno et moiavons des univers très différents et,quand on les rapproche, ça donne«Bloqués», «Bref», «Pulsions» etun prochain projet dont j'espèrepouvoir vous parler bientôt...
Quand on révèleson intimité à ce pointon a besoin de quelqu'unen qui on a extrêmementconfiance...
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A Nous Paris -‐ mai 2016
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Le Parisien Magazine -‐ 29 avril 2016
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Time Out -‐ 21 avril 2016
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Gala -‐ 21 avril 2016
T1FÊffJIE
On le croyait disparu à tout Jamais,mais le voilà ressurgi sur scène, sur petitet grand écran. Lui, c’est Kyan Khojandi,à qui il aura suffi d’un an - avec unprogramme d’une minute trente — pouraccéder au rang de star. Une seule saisonau Grand Journalde Canal+, et tout lemonde se l’arrachait. Puis, plus rien. Silenceradio pendant quatre ans. C’est long. « Pastant que ça, rétorque-t-il. J’ai pris le tempsde m’occuper de ma famille, d’accompagnermon papa jusqu’à la fin. Ne pas laisser lesmiens seuls pendant cette période difficileétait important pour moi. Puis, j’ai tournéavec Rémi Bezançon (Nos futurs), Julien NeeI (Lou!Journal infime), et Julien Rappeneau (Rosalie Blum);j’ai aussi fait un Disney (Les nouveaux héros) et j’aiécrit mon nouveau spectacle. Je n’ai pas l’air commeça, mais je n’ai pas chômé ces quatre dernières années» C’est vrai qu’il n’a pas l’air d’un excité du travail.Kyan est posé, poli, il a un style cool, et pèse ses mots.
S’il semble si serein, c’est certainementparce que la fulgurante aventure Bref l’asorti de huit années de galère pendantlesquelles, au RSA, l’apprenti comédien forméau Cours Simon courait après le cachetpour payer son loyer. « Quand Bref s’estarrêté, je me suis rendu compte que jeme sentais beaucoup mieux. Etre reconnudans son travail, ça apaise, et ça a eu desrépercussions immédiates sur ma vie privée.J’allais mieux dans mon intimité profonde.»Car outre la célébrité, si la minlsérielui a donné un toit (il s’est acheté unappartement dans le 17 arrondissement«pas dans la partie moulure »), elle luia aussi servi de thérapie. « Livrer de manièrepsychanalytique mon intimité sur petitécran, avoir révélé mes petites hontes duquotidien m’a rendu plus fort », poursuit-il.Assez fort pour supporter la mort de sonpère, d’origine iranienne, et réussir à en fairerire le public avec un sketch mémorabledans son nouveau spectacle. Assez fort pour
assumer ses faiblesses et se dévoiler sur scène, abordantce qui le touche avec humour, intelligence et délicatesse:ses peurs, le deuil, son rapport à l’enfance, la culpabilitéd’aimer quelqu’un et de désirer quelqu’un d’autre.Pulsions, c’est le chaînon manquant entre « le mec de Bref»et Kyan. Et Kyan, aujourd’hui, est un homme heureux.
NORA SARL!
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Stylist -‐ 15 avril 2016
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GQ -‐ 6 avril 2016
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L’Obs -‐ 31 mars 2016
‘o 10 CHOSES À SAVOIR SUA...
KyanKhojandiRemarquédans la comédie “Rosalie Blum’ sortie le 23 mars, celuiqui avait cartonné
avec la série humoristique “Bref”sur Canal-i- est aussi au théâtre dans un one-man-show
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I RUNNINGLa rencontre avecle réalisateur JulienRappeneau s’est
faite autour d’un verre.« Au bout d’une heure à se
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renifler, on s’est trouvé encommun lapratique et la
passion du running. Nous avons alors couruensemble, et, ensuite, il m’a confié son script.C’est un scénaristepur, qui a réussi à mettreà l’écran un conte réaliste, avec une identitéforte. Onparle de ‘RosalieBlum”comme d’unnouvel “Amélie Poulain”. La comparaisonavec Jean-Pierre Jeunet estflatteuse! »
2 SKETCHSIl est le « mec de “Bref” », sketchs surun trentenaire qui abordent aussi bienla drague et le sexe que les jobs, le
divorce des parents, les gens énervants oules années 1990... « “Bref”m’afait un bienfou, m’a apaisé et m’a permis d’assumer meshontes. » Diffusée de 2011 à 2012 sur Canal+,cette série avec narration en voix off a crééun vrai style. « Pourgarder cette énergie, on asouhaité l’arrêter, dire merci et au revoir. »
3 THÉRAPIESon spectacle, « Pulsions », coécritavec son ami Bruno Muschio,à l’Européen à Paris jusqu’au 28 mai,
va plus loin dans l’intime de Kyan Khojandi,33 ans. Ily évoque autant l’onanisme,garant de la fidélité à sa copine, que lamort de son père. « Tout ce quejefais estcomme une thérapie afin de trouver laclé. J’ai vu un psy unjour, il m’a dit queje n’avaispas besoin de lui :jefaisaisdéjà le travail dans mes textes... »
5 VIOLONALTO« J’apprends le piano, c’est une vraieleçon de vie, tout est une question derépétitions. » Kyan Khojandi connaît
la musique puisqu’il a fait quinze ans deconservatoire. « Jejouais du violon alto. J’aifait des concerts, des festivals,je n’avaispaspeur de la scène. J’ai eu mespremiers rireslors de mespremièrespièces, à l’âge de 8 ans. »
7 STAND-UPSes débuts parisiens, il les fait dansdes scènes ouvertes, pendant lespremières parties d’artistes et sur
France 4... «AvecKheiron, Bruno Muschioou Bérengère Krief nous avons débutéau Bordel Club, une salleparisienne destand-up. Nous étionspayés au chapeau,avecpaifois des surprises comme desdirhams marocains ou des tickets de métro.Maintenant, on en rit et on s’envoie destextos bienveillants en voyant nos carrièresévoluer dans le bon sens.»
9 GÂTEAUXQuand il nepratique pasle skate, le
trentenaire cuisine.« La pâtisserie, c’estcomme la comédie : c’estune science exacte! » En cemoment, il s’essaie à « l’interprétationdu gâteau au chocolat de CyrilLignac »,dont il a téléchargé l’application Mesdesserts. «J’ai le tempspourfaireça,je n’aipas de mômes. Dansdix ans,je serai le super-papa quifaitdes super-gâteaux. »
4 TAPISNé à Reims, il est le fils d’unancien géologue iranienayant fui la révolution en 1979.
Celui-ci s’est ensuite marié avecune juriste française, avec laquelleil a eu deux garçons, Kyan et Keyvan,que l’on voit aussi dans « Bref». A sonarrivée en France, le père avait dû sereconvertir dans le commerce de tapis.((Je suis monté à Paris en 2004poursuivre le Cours Simon,je ne me voyaispasreprendre le magasin de monpère...»
1 0 TOURNAGEOutre son actualité,chargée en ce moment,avec un spectacle rodé
et la promo à assurer pour « RosalieBlum », il tourne sous la directiond’Albert Dupontel et donne la répliqueà Laurent Lafitte, pensionnaire dela Comédie-Française. « J’apprendsbeaucoup à leurs côtés. » Bref,tout roule pour Kyan Khojandi.SÉVERINE DE SMET
B BANQUEPour payer ses cours de théâtre, et aprèsquatre ans de droit, Kyan Khojanditravaille dans une banque. « J’étais en
costume du matinjusqu’à 14heures, etjefilaisensuite au Cours Simon. J’étais laborieux,je passais entre 4 et 6 scènes par semaine. Jesavais qu’ilfallait enchaîner les répétitions
pour arriver— à sortir la
sincérité».
8 HIP-HOP«J’adorais Michael Jackson alors jeme suis mis, ado, à danser le hip-hop.J’ai kiffé danser à la gare de Reims,
devant la Fnac ou sur les parkings dupalais des congrès... J’ai gardé plein d’amisdanseurs! » Kyan Khojandi est aussiproche des rappeurs Orelsan et Gringe,pour qui il écrit les textes de « Bloqués »,toujours sur Canal+, et apparaît dans leclip des tout jeunes rappeurs Bigflo et Oh.
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C’C,QC,cl‘D‘Dcl
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Figaroscope -‐ 23 mars 2016
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Elle -‐ 18 mars 2016
ELI.E. Pourquoi avoir eu envie de Fairece stand-up?KYAN KHOJANDI. La scène, c’est unedrogue. J’ai eu quelques bons orgasmesdans ma vie, mais le spectacle, c’est tous lessoirs et ça me rend heureux. Et puis avec«Brefs, j’avais été dans l’intime, mais jevoulais aller plus loin. On ne parle pas assezdes pulsions, même si elles créent pas malde frustrations, de culpabilité, de baissed’estime de soi.
ELLE. C’est compliqué de se mettre à nuen évoquant le décès de votre père?K.K. Oui. Mais c’est clairement thérapeutique. Plus j’en parle, plus la chose devient
réelle et plus je l’accepte. Ça Fait partie dudeuil. C’est très étrange comme moment.
ELLE. Comment le vivez-vous?K.K. Avec le public, à cet instant-là, on estensemble. J’en ai besoin car j’ai toujoursdouté, dans ma vie, en me disant que jen’étais pas normal. J’étais le seul à dire « j’aipeurs alors que les autres prétendaient« même pas peur l ». Le culte de l’homme parfait l Pourtant, la peur est un des rares trucsqu’on a tous en commun.
ELLE. D’où vient cette volonté d’aiderles autres qu’on sent chez vous?K.K. J’ai eu un vrai passage à vide, il y a dix
ans, une dépression qui a duré huit mois. J’enai fait un épisbde de Bref». Àforce de petitsmensonges, de Fantasmes, de croire que lavie est plus belle ailleurs, on se perd. Je suisallé voir un psy. C’était carabiné, mais j’ai ,touché l’essentiel. Si je peux aider les autresen proposant mes clés...
ELLE. Comment devient-on humoriste?K.K. La première claque qu’on apprend, c’estqu’il faut bosser. La réalité te montre que tun’es pas le meilleur. Au début, tu veux êtremarrant. Tu veux être accepté. Et une fois quetu l’es, demande-toi si tu es heureux avec ceque tu racontes. Nan 7 Alors, raconte un trucqui a du sens pourtoi. C’est importantd’avoirdes valeurs, une éthique.
ELLE. Et l’ego dans tout ça?K.K. Le mien, je m’en suis débarrassé, Je mesuis pris quelques claques et, en 2009, j’aidécidé d’arrêterde réussir et de faire uniquement les choses qui me plaisent. Et c’est làque tout s’est débloqué. Il m’arrive encored’avoir des montées d’ego, mais je vais couriret ça redescend. C’est une belle carapace,l’ego, mais il y aune phrase qui dit tout seul,on va beaucoup plus vite, mais à plusieurs,on va beaucoup plus loin. Et j’adore faireéquipe avec mon coauteur Navo, un pharepour moi.
ELLE. Vous louez votre premier grandrôle au cinéma, dans « Rosalie Blum »...
K.K. Un beau premier Film que JulienRappeneau a tenu deAà Z. Les gens vont medécouvrir dans un registre inhabituel. Pour unacteur comique, c’est bizarre de ne pas avoirà dire de blagues. Moi qui ai toujours tentéde remplir le vide avec ça... Finalement, lapeur, ça n’est rien qu’un petit lutin avec ungrand mégaphone.
ELLE. Vous êtes vraiment Féru de psy...K.K. Mon frère est psychologue. Il m’enparle.
ELLE. Vous jouez toujours de la musique?K.K. Oui, et je me suis mis à la pâtisserie.Ça stimule ma créativité. Là, je suis parti surune recette de gâteau au chocolat de CyrilLignac que j’ai adaptée. Un monde nouveaus’ouvre à moi. •« PULSIONS », jusqu’au 30 avril, L’Européen,Paris.17. « ROSALIE BLUM s, de Julien Rappenecsi,avec Noémie Lvovsky (1 h 35), en salle le 23 mars.
« BREF, JE FAISDU STAND-UPIC’EST L’HISTOIRE D’UN MEC QUI A FAIT « BREF », ET QUIECRIT UN SPECTACLE, « PULSIONS », 00 IL EVOQUEDES TRUCS DROLES, OU PAS. C’EST TOUCHANT, HUMAIN,C’EST L’HISTOIRE D’UN MEC QUI A DU TALENT.PRoPos RECUEILLIS PAR FLORENCE TREDEZ PHOTOGRAPHE JEROME BONNET
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Direct Matin -‐ 14 mars 2016
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Le Monde -‐ 13 mars 2016
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Télérama.fr -‐ 11 mars 2016
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Le Bonbon -‐ mars 2016
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TV / RADIOS
« La Télé » -‐ 03 octobre 2016 (Genève) http://bit.ly/2ewG9Fs
« RTS 1 » -‐ 03 octobre 2016 (Genève) http://bit.ly/2evAVbS
JT de France 2 -‐ 14 avril 2016 (38min 40secondes) :
http://bit.ly/1SNUjNK
« Entrée libre » France 5 -‐ 8 avril 2016 :
http://bit.ly/1Sb3PLh
« Boomerang » France Inter -‐ 10 mars 2016
http://bit.ly/1YAV81l
« La Première » -‐ 04 octobre 2016 (Genève) http://bit.ly/2dpOUUv