Rechercheet&intervention& sur&lessubstances& … · 2019-11-27 · Rechercheet&intervention&...
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Recherche et intervention sur les substances
psychoactives – Québec (RISQ)
Joël Tremblay, Ph.D. Directeur scienti+ique du RISQ Professeur agrégé Université du Québec à Trois-‐Rivières (UQTR) Jean-‐Marc Ménard Directeur clinique Conseiller cadre Centre intégré de santé et de services sociaux Mauricie / Centre du Québec
Créé en 1991, le RISQ est : • Une équipe de recherche en partenariat
Dont les membres réguliers sont des: • chercheurs universitaires (11) • chercheurs institutionnels (6) • collaborateurs de milieux de pratique (2) Et formée également de partenaires institutionnels: • Avec qui des ententes spéciLiques de recherche sont créées en ce qui concerne la recherche en addiction
Le RISQ
Jacques Bergeron
U. de Montréal
Marie-Josée Fleury U. McGill
Michel Perreault IUSM Douglas
Karine Bertrand U. de Sherbrooke
Joël Tremblay U. du Québec à Trois-Rivières
Myriam Laventure U. de Sherbrooke Mathieu Goyette U. de Sherbrooke
Nadia L’Espérance
CISSS Mauricie / Centre du
Québec
Michel Landry
… retraité
Le RISQ Une équipe en partenariat….
• 17 membres réguliers (11 CHU, 4 CE et 2 COP)
CHU: chercheur universitaire; CE: chercheur d’établissement; COP: collaborateur des milieux de pratique
Statut Chercheur Établissement CHU Jacques BERGERON Université de Montréal (psychologie) CHU Karine BERTRAND Université de Sherbrooke (médecine et santé communautaire) COP Nadine BLANCHETTE-‐MARTIN Centres de réadaptation en dépendance de Québec et de Chaudière-‐Appalaches CHU Serge BROCHU Université de Montréal (criminologie) CHU Natacha BRUNELLE Université du Québec à Trois-‐Rivières (psychoéducation) CE Marie-‐Josée FLEURY Institut universitaire en santé mentale Douglas CHU Jorge FLORES-‐ARANDA Université de Sherbrooke (médecine et santé communautaire) CHU Mathieu GOYETTE Université de Sherbrooke (médecine et santé communautaire) CE Michel LANDRY Centre de réadaptation en dépendance de Montréal – Institut universitaire CHU Myriam LAVENTURE Université de Sherbrooke (psychoéducation) CE Nadia L’ESPÉRANCE Centre de réadaptation en dépendance Domrémy Mauricie-‐Centre-‐du-‐Québec COP Jean-‐Marc MÉNARD Centre de réadaptation en dépendance Domrémy Mauricie-‐Centre-‐du-‐Québec CE Michel PERREAULT Institut universitaire en santé mentale Douglas CHU Chantal PLOURDE Université du Québec à Trois-‐Rivières (psychoéducation) CHU Élise ROY Université de Sherbrooke (médecine et santé communautaire) CE Hélène SIMONEAU Centre de réadaptation en dépendance de Montréal – Institut universitaire CHU Joël TREMBLAY Université du Québec à Trois-‐Rivières (psychoéducation)
Le RISQ Une équipe en partenariat….
• 17 membres collaborateurs (10 CHU, 2 CE, 1 CHG et 4 CHH)
CHU: chercheur universitaire; CE: chercheur d’établissement; CHG: chercheur gouvernemental; CHH: chercheur hors Québec
Statut Chercheur Établissement CHU Jean-‐Pierre BONIN Université de Montréal (sciences in+irmières) CHU Louis-‐George COURNOYER Université de Montréal (criminologie) CHU Marie-‐Marthe COUSINEAU Université de Montréal (criminologie) CHU Magali DUFOUR Université de Sherbrooke (médecine et santé communautaire) CE Francine FERLAND Centres de réadaptation en dépendance de Québec et de Chaudière-‐Appalaches CHU Stéphane GUAY Université de Montréal (criminologie) CHU Sylvia KAIROUZ Université Concordia (sociology and anthropology home) CHH Dorothée LÉCALLIER Institut de Promotion de la Prévention Secondaire en Addictologie (France) CHU Alain LESAGE Centre de recherche de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal CE Paul-‐André LÉVESQUE Centre de réadaptation en dépendance de Montréal – Institut universitaire CHH Philippe MICHAUD Institut de Promotion de la Prévention Secondaire en Addictologie (France) CHU Louise NADEAU Université de Montréal (psychologie) CHG Nicole PERREAULT Direction de la santé publique, Montréal-‐Centre CHU Stéphane POTVIN Université de Montréal (psychiatrie) CHH Isabelle RICHER Service correctionnel du Canada / Centre de recherche toxicomanie CHH Brian RUSH Centre for Addiction and Mental Health (Ontario) CHU Marianne SAINT-‐JACQUES Université de Sherbrooke (médecine et santé communautaire)
Objectif de la programmation scientiLique 2013-‐2017
Mieux comprendre la diversité des trajectoires de surconsommation des personnes toxicomanes ou à risque de le
devenir, en vue d’optimiser les capacités des milieux de pratique à favoriser le mieux-‐être
de ces populations et de leur entourage.
La philosophie de travail -‐ On demande aux centres de traitement de nous soumettre leurs problèmes, les dif+icultés qu’ils rencontre
-‐ Avec eux, nous tentons de jeter de la lumière sur ces dif+icultés -‐ Recensions de littérature -‐ Études visant à connaitre les populations -‐ Implantation de pratiques développées ailleurs et étude d’implantation / ef+icacité
-‐ Développement de pratiques innovantes pour améliorer l’intervention + études
-‐ Philosophie de recherche dite participative (Patton, 2002; Daigneault et al., 2012)
Trajectoire Ligne de développement d’une dimension de l’existence au cours de la vie tel l’usage
de SPA, souvent marqué par une série de transitions
-‐ Efforts déployés par la personne, sa famille et les professionnels pour inLléchir un parcours;
-‐ Implique tant les aléas de l’usage que les chemins de la résorption;
-‐ Outil de compréhension de la complexité des itinéraires de consommation de SPA.
Chronicité
L’une des trajectoires de consommation bien documentée est celle de la dépendance
qui persiste durant plusieurs années
-‐ Un descripteur de la trajectoire de dépendance de plusieurs toxicomanes;
-‐ Prudence quant au risque de stigmatiser le parcours de rétablissement et empêcher l’atteinte de l’abstinence pour certains;
-‐ Avancées en recherche clinique nécessaires.
Réduction des méfaits Approche centrée sur la diminution des conséquences néfastes de l’usage des drogues plutôt que sur l’élimination
de leur usage
-‐ Philosophie d’intervention largement humaniste et compréhension de la personne dans toutes les sphères de sa vie;
-‐ Favorise la collaboration et l’émergence de buts à partir de l’expérience de la personne;
-‐ Toute pratique permettant ↑ la qualité de vie des personnes, peu importe où elles se situent sur le spectre de sévérité de la consommation de SPA.
Intégration des services
Réseau d’organisations qui procurent un continuum coordonné de services
à une population dé+inie
-‐ Les personnes toxicomanes se retrouvent dans plusieurs systèmes de services, mettant en exergue la nécessité d’une approche intégrative
-‐ Coocurrence des troubles; -‐ Développement de modèles d’organisation des services centrés sur la cohérence des interventions faites auprès d’une personne aux besoins multiples.
Le RISQ Une équipe en partenariat….
1) Centre de réadaptation en dépendance de Montréal – Institut universitaire
2) Association des intervenants en dépendance du Québec
3) Association québécoise des centres d’intervention en dépendance
4) Institut universitaire en santé mentale Douglas
5) Institut universitaire en santé mentale de Montréal
6) Institut national d’excellence en santé et services sociaux
Objectif du partenariat 2013-‐2017
Le partenariat est un élément indissociable du RISQ qui repose sur :
-‐ Partage d’objectifs communs pour l’avancement, le transfert et la valorisation des connaissances;
-‐ Développement et validation d’outils de mesure, de méthodes d’intervention;
-‐ Développement de réseaux de services intégrés pour mieux répondre aux besoins des personnes toxicomanes.
Activités de partenariat
Depuis le début de sa période de subvention, le RISQ a réalisé :
-‐ 14 tournées des partenaires;
-‐ 9 colloques, séminaires ou forums; -‐ 10 abrégés de recherche; -‐ 2 RISQ-‐INFO; -‐ Plus de 40 conférences Lilmées;
Axes de recherche 2013-‐2017
AXE 1 : L’INDIVIDU
Mieux comprendre la complexité et la diversité des trajectoires de
développement et de rétablissement de surconsommation
-‐ Poser un regard dynamique sur les dif+icultés des personnes utilisant des SPA;
-‐ Des trajectoires portant sur l’ensemble du spectre d’usage, de l’usage circonstanciel à chronique;
-‐ Des parcours de rétablissement et des efforts pour réduire la consommation de SPA pour les utilisateurs.
AXE 1 : L’INDIVIDU
Exemples en cours
-‐ Parcours dans les services de santé des usagers des centres de réadaptation en dépendance (Fleury et coll.) et recension de la littérature (Fleury et coll.)
-‐ Suivi longitudinal de jeunes ayant des dif+icultés avec les JHA et les SPA (Brunelle et coll.)
-‐ Jeunes de la rue, drogues par injection et risques de transmission du VIH (Roy, Bertrand et coll.)
-‐ Jeunes conducteurs consommateurs de cannabis (Bergeron et coll.)
• Results confirm that SUDs are “chronic” or long term disorders lasting a decade or more for over half of cases. Long-term treatment needs to be more readily available for this population.
• Soumis à Drug and Alcohol Dependence
AXE 1 : L’INDIVIDU Exemples
-‐ Parcours dans les services de santé des usagers des centres de réadaptation en dépendance (Fleury et coll.) et recension de la littérature (Fleury et coll.)
-‐ Portraits de jeunes délinquants en centres jeunesse (Brunelle et al., 2014)
-‐ Suivi longitudinal de jeunes ayant des dif+icultés avec les JHA et les SPA (Brunelle et coll.)
-‐ Jeunes de la rue, drogues par injection et risques de transmission du VIH (Roy, Bertrand et coll.)
-‐ Jeunes conducteurs consommateurs de cannabis (Bergeron et coll.)
AXE 1 : L’INDIVIDU Exemples
-‐ Parcours dans les services de santé des usagers des centres de réadaptation en dépendance (Fleury et coll.) et recension de la littérature (Fleury et coll.)
-‐ Portraits de jeunes délinquants en centres jeunesse (Brunelle et al., 2014)
-‐ Personnes de la rue, drogues par injection et risques de transmission du VIH (Roy, Bertrand et coll.)
-‐ Jeunes conducteurs consommateurs de cannabis (Bergeron et coll.)
AXE 1 : L’INDIVIDU Exemples
-‐ Parcours dans les services de santé des usagers des centres de réadaptation en dépendance (Fleury et coll.) et recension de la littérature (Fleury et coll.)
-‐ Portraits de jeunes délinquants en centres jeunesse (Brunelle et al., 2014)
-‐ Personnes de la rue, drogues par injection et risques de transmission du VIH (Roy, Bertrand et coll.)
-‐ Jeunes conducteurs consommateurs de cannabis (Bergeron et coll.)
AXE 2 : L’INTERVENTION
Développer et évaluer l’efLicacité des stratégies de prévention ciblée et
d’intervention
-‐ Travaux centrés autour d’une vaste gamme d’interventions ciblant différentes populations; -‐ Travaux portant sur un plus large spectre
-‐ Ingrédients et mécanismes favorisant le succès thérapeutique
-‐ Ef+icacité de modi+ications faites aux programmes existants
AXE 2 : L’INTERVENTION Exemples en cours
-‐ Mieux connaître la trajectoire des adultes dans les services via trois points d’entrée: les soins de premier recours, les tribunaux de la justice et les urgences hospitalières (Brochu, Landry et al., 2015)
-‐ Entretien motivationnel / pratiques d’injection jeunes de la rue (Bertrand, Roy et coll.)
-‐ Intervention parentale auprès de jeunes adultes conducteurs (Bergeron et coll.)
-‐ Évaluation de l’efLicacité du traitement résidentiel et externe de jeunes – suivi sur 6 mois (Brunelle et coll.)
-‐ Application du programme CRAFT auprès de conjoints de personnes toxicomanes non volontaires à changer (Tremblay et coll.)
-‐ Jeunes mères et usage de SPA (Ménard et coll.)
AXE 2 : L’INTERVENTION Exemples
-‐ Mieux connaître la trajectoire des adultes dans les services via trois points d’entrée: les soins de premier recours, les tribunaux de la justice et les urgences hospitalières (Brochu, Landry et al., 2015)
-‐ Entretien motivationnel / pratiques d’injection jeunes de la rue (Bertrand, Roy et coll.)
-‐ Intervention parentale auprès de jeunes adultes conducteurs (Bergeron et coll.)
-‐ Évaluation de l’efLicacité du traitement résidentiel et externe de jeunes – suivi sur 6 mois (Brunelle et coll.)
-‐ Application du programme CRAFT auprès de conjoints de personnes toxicomanes non volontaires à changer (Tremblay et coll.)
-‐ Jeunes mères et usage de SPA (Ménard et coll.)
AXE 2 : L’INTERVENTION Exemples
-‐ Mieux connaître la trajectoire des adultes dans les services via trois points d’entrée: les soins de premier recours, les tribunaux de la justice et les urgences hospitalières (Brochu, Landry et al., 2015)
-‐ Entretien motivationnel / pratiques d’injection jeunes de la rue (Bertrand, Roy et coll.)
-‐ Intervention parentale auprès de jeunes adultes conducteurs (Bergeron et coll.)
-‐ Évaluation de l’efLicacité du traitement résidentiel et externe de jeunes – suivi sur 6 mois (Brunelle et coll.)
-‐ Application du programme CRAFT auprès de conjoints de personnes toxicomanes non volontaires à changer (Tremblay et coll.)
-‐ Jeunes mères et usage de SPA (Ménard et coll.)
AXE 2 : L’INTERVENTION Exemples
-‐ Mieux connaître la trajectoire des adultes dans les services via trois points d’entrée: les soins de premier recours, les tribunaux de la justice et les urgences hospitalières (Brochu, Landry et al., 2015)
-‐ Entretien motivationnel / pratiques d’injection jeunes de la rue (Bertrand, Roy et coll.)
-‐ Intervention parentale auprès de jeunes adultes conducteurs (Bergeron et coll.)
-‐ Évaluation de l’efLicacité du traitement résidentiel et externe de jeunes – suivi sur 6 mois (Brunelle et coll.)
-‐ Application du programme CRAFT auprès de conjoints de personnes toxicomanes non volontaires à changer (Tremblay et coll.)
-‐ Jeunes mères et usage de SPA (Ménard et coll.)
AXE 2 : L’INTERVENTION Exemples
-‐ Mieux connaître la trajectoire des adultes dans les services via trois points d’entrée: les soins de premier recours, les tribunaux de la justice et les urgences hospitalières (Brochu, Landry et al., 2015)
-‐ Entretien motivationnel / pratiques d’injection jeunes de la rue (Bertrand, Roy et coll.)
-‐ Intervention parentale auprès de jeunes adultes conducteurs (Bergeron et coll.)
-‐ Évaluation de l’efLicacité du traitement résidentiel et externe de jeunes – suivi sur 6 mois (Brunelle et coll.)
-‐ Application du programme CRAFT auprès de conjoints de personnes toxicomanes non volontaires à changer (Tremblay et coll.)
-‐ Jeunes mères et usage de SPA (Ménard et coll.)
AXE 2 : L’INTERVENTION Exemples
-‐ Mieux connaître la trajectoire des adultes dans les services via trois points d’entrée: les soins de premier recours, les tribunaux de la justice et les urgences hospitalières (Brochu, Landry et al., 2015)
-‐ Entretien motivationnel / pratiques d’injection jeunes de la rue (Bertrand, Roy et coll.)
-‐ Intervention parentale auprès de jeunes adultes conducteurs (Bergeron et coll.)
-‐ Évaluation de l’efLicacité du traitement résidentiel et externe de jeunes – suivi sur 6 mois (Brunelle et coll.)
-‐ Application du programme CRAFT auprès de conjoints de personnes toxicomanes non volontaires à changer (Tremblay et coll.)
-‐ Formation croisée: Jeunes mères et usage de SPA (L’Espérance et al., 2016)
AXE 2 : L’INTERVENTION -‐ Alcochoix+ (Simoneau, Landry, et Tremblay) -‐ Né d’un besoin au sein des services généraux de santé et de services sociaux
-‐ Financé par le MSSS -‐ Implanté dans toutes les régions du Québec -‐ Dispensé à 700 – 1000 personnes par année (pop. Québec: 8 000 000)
-‐ Formations régulières -‐ Adjoint d’un module motivationnel -‐ Une étude d’implantation -‐ À venir: une étude d’ef+icacité
AXE 2 : L’INTERVENTION -‐ Alcochoix+: Mise à jour -‐ Projet Québec-‐France-‐Suisse (Belge?) -‐ Mieux tenir compte de dépendances plus sévère -‐ Adapter pour les personnes qui visent abstinence (grossesse, contre-‐indication médicale)
-‐ Binge -‐ Personnes judiciarisées -‐ Autres (groupes de discussion)
AXE 2 : LA MESURE -‐ IGT adultes / adolescents -‐ DEP-‐ADO -‐ Validation du DEBA-‐A/D (Tremblay, Blanchette-‐Martin et coll.)
-‐ Dépistage / Évaluation du besoin d’aide Alcool/Drogues -‐ Subvention reçu ($305 000)
-‐ NiD-‐ÉP -‐ RÉSO -‐ FIT-‐Alcool-‐Drogues, Jeux, Entourage -‐ DOU (demande de subvention en cours)
La famille des FIT
• Feedback en Traitement ▫ Alcool-Drogues ▫ JHA ▫ Conjoints-es ▫ Autres à venir
• Recommandations comme étant une des pratiques innovantes importante à implanter en addiction
La famille des FIT • Qu’est-ce que c’est? ▫ Évaluations brèves ▫ Portant sur les symptômes clés de la consultation et
sur l’alliance thérapeutique ▫ Complétées à chaque rencontre (au début) ▫ Pour lesquelles un feedback est procuré au thérapeute
et au patient • But ▫ Centrer le contenu des rencontres ▫ Favoriser un travail motivationnel ▫ Aider la prise de conscience ▫ Identifier les bris d’alliance (cible, moyen, lien)
AXE 3 : L’ORGANISATION ET LA PLANIFICATION DES SERVICES
Comprendre, évaluer et contribuer à l’amélioration des modèles d’organisation
et de planiLication des services d’aide
-‐ Regard plus macroscopique sur les services; -‐ Estimation des besoins populationnels sous l’angle des services et en fonction des indices de gravité des usages;
-‐ Présentation des meilleurs modèles d’organisation et d’intégration des services.
AXE 3 : L’ORGANISATION ET LA PLANIFICATION DES SERVICES
Exemples en cours
-‐ Mécanismes d’accès jeunesse en toxicomanie (Tremblay et coll.)
-‐ Estimation des besoins des services adultes (Rush, Tremblay et coll.) et jeunesse (Tremblay, Rush, Bertrand et coll.)
-‐ Réforme santé mentale : intégration/performance des réseaux locaux de services (Fleury et coll.)
Schéma conceptuel
1. Trajectoire 3. Réduction des méfaits 2. Chronicité 4. Intégration des services
Joël Tremblay, Ph.D. UQTR – Centre universitaire de Québec
850, av. de Vimy, C.P. 32 Québec (Québec) G1S 0B7
[email protected] www.risqtoxico.ca