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RAPPORT D’ACTIVITÉS 2016 / 2017

ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE DE LA PHOTOGRAPHIE

Sommaire

AvAnt-propos

Fonctionnement générAl de l’écoleorgAnisAtion ........................................................... 15personnels .............................................................. 19Budget .................................................................... 21investissements des Ateliers techniques ..................... 23trAvAux et mAintenAnce prêt de mAtériel ....................................................... 25instAnces cA - ct - chsct - crpve ...................................... 27

pédAgogiegénérAlités ............................................................. 35diplôme et mémoire .................................................. 39équipe pédAgogique .................................................. 41Ateliers techniques : couleur ................................................................... 61Ateliers techniques : noir et BlAnc/studio ................................................. 65Ateliers techniques : vidéo .......................................................................71Ateliers techniques numérique ............................................................... 73Ateliers techniques : BiBliothèque ............................................................ 75

étudiAntseFFectiFs ................................................................. 83Bourses d’études ...................................................... 85stAges proFessionnels ............................................... 87prix et concours ...................................................... 91AssociAtion et initiAtives des étudiAnts progrAmmes Associés juillet 2015 ............................. 97

recherchecrAi - centre de recherche Art & imAge ................. 105les progrAmmes de recherche à destinAtion des étudiAnts du cursus initiAl ....................................................109le doctorAt de créAtion en pArtenAriAt Avec l’université d’Aix-mArseille (Amu) ..........................................112lA revue inFrAmince .................................................113lA plAteForme sémAntique ........................................113l’oBservAtoire des prAtiques de créAtion de l’imAge numérique (oBs/in) : ...............................................114

relAtions internAtionAleséchAnges en europe .................................................119échAnges et pArtenAriAts hors europe .......................121progrAmme internAtionAl de résidence de recherche et de créAtion ........................................................ 123

éducAtion Artistique et culturelle - pArtenAriAts AcAdémiques et culturelles en FrAnce

éducAtion Artistique et culturelle en FrAnce .............................................. 129pArtenAriAts AcAdémiques en FrAnce ........................ 133 pArtenAriAts culturels en FrAnce ..............................137cours de photogrAphie pour tous ............................. 139

FormAtion proFessionnelle continue et vAeFormAtion proFessionnelle continue ........................ 145vAlidAtion des Acquis de l’expérience (vAe) ............. 149

expositions - puBlicAtionsexpositions ........................................................... 153puBlicAtions .......................................................... 163

Anciens étudiAntsAssociAtion des Anciens étudiAnts de l’ensp .............................................. 169

Couverture :© Nicola Noemi Coppola/ENSP

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Avant-propos

© Lila Neutre

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« L’homme n’est pas fait pour construire des murs mais pour construire des ponts ».Lao-Tseu

Depuis de nombreuses années, l’École nationale supérieure de la photographie propose à ses étudiants des parcours presque individualisés dans le cadre d’une formation par la recherche qu’un diplôme de second cycle valorise. Chaque étudiant y acquiert les connaissances, les compétences et les qualités nécessaires pour évoluer de plain-pied dans le monde entier, dont l’étendue suffit à l’épanouissement de son activité.Sensible à cette idée essentielle que tout artiste, photographe ou non, devrait développer son esprit cosmopolite, consciente des enjeux forcément positifs que représente l’inscription de toute activité pédagogique à l’échelle internationale, l’ENSP entretient des relations soutenues avec une myriade d’institutions étrangères, centres d’art, musées, festivals, lieux dédiés à la photographie certes, mais aussi (et surtout) établissements d’enseignement supérieur concernés par le champ de l’image en général et photographique en particulier. Sur chaque continent, ces universités, ces écoles, publiques ou privées, accueillent volontiers les étudiants de l’institution arlésienne à la condition sine qua non qu’ils soient engagés dans un cursus conduisant à l’obtention d’un diplôme valant grade universitaire, en l’occurrence un master, dont la collation est internationalement attestée dans la hiérarchie des études supérieures.

Suivant cet axiome fondamental, alors que l’ENSP cherchait à développer un post-diplôme certifiant – plutôt qu’un simple post-diplôme, comme il en existe tant, sans réelle plus-value (professionnelle, notamment) pour le diplômé –, s’est imposé le grand dessein d’un doctorat propre à l’établissement, inhérent à son projet pédagogique et officiellement reconnu comme un PhD, signe d’excellence, aux yeux de ses partenaires internationaux, de Buenos Aires à Kyoto, de Lavalette à New York ou de Shanghai à Montréal.Dès 2012 a donc été conçue la maquette d’un « doctorat de création », inspiré du modèle canadien, où le fait de créer, selon une problématique ou une aspiration, constitue la vertu prééminente à celle de théoriser parce que créer en-soi, il convient de le rappeler (beaucoup aujourd’hui ont tendance à l’oublier), est la puissante vertu spécifique à toutes les écoles d’art ou de design publiques hexagonales. Aujourd’hui encore il n’y a pas meilleur endroit pour apprendre à créer et la majorité des artistes français reconnus peuvent en témoigner.Afin que son troisième cycle puisse bénéficier d’une totale légitimité, l’ENSP s’est alors mise en quête d’un partenaire universitaire disposant d’un répertoire étoffé de laboratoires et d’unités de formations aux disciplines riches et variées, qui soit situé de préférence dans la même région ou à proximité (pour des raisons autant logistiques que politiques) et qui soit, par-dessus tout, suffisamment intéressé (ou désintéressé !) pour coopérer au développement d’une entreprise dont l’ADN ne serait pas le sien. Il est apparu qu’Aix Marseille Université (AMU), après des investigations approfondies, répondait aux deux premières conditions nécessaires à l’élaboration de ce doctorat plutôt atypique. Il restait à convaincre son Président, M. Yvon Berland, et le conseil scientifique de cette université, connu pour son humeur tatillonne et procédurière, de concourir à l’élaboration d’un nouveau grade susceptible d’être attesté par le Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche (CNESER) et la section 18 du Conseil national des universités (CNU). Sans surprise, la négociation s’était à ce moment-là concentrée sur la valeur intrinsèque et essentielle à accorder à l’acte de créer (une œuvre, photographique en l’occurrence) dans le cadre d’un doctorat puis sur l’importance à accorder à cet acte à la fois comme seul moyen et seule finalité justifiant ce doctorat. Finalement, les instances universitaires ont conclu, dans un élan constructif totalement dépourvu de complaisance, que l’expertise en matière de création revenait à l’ENSP.Du coup, il a été décidé d’un commun accord que chaque thèse se répartirait entre 80% de création et 20% de théorie (soit un écrit de 80.000 signes), entre un directeur de recherche, professeur à

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l’école, qui soit artiste – l’unique exigence (il ne lui est donc pas demandé d’être docteur encore moins d’être habilité à diriger des recherches) –, et un maître de conférences, qui soit HDR, rattaché à une unité de formation et de recherche (UFR) dans un domaine scientifique relatif au sujet d'étude du doctorant.

En septembre 2013, après la signature d’une convention entre AMU et l’ENSP (qui sera reconductible en 2022), le doctorat « Pratique et théorie de la création artistique et littéraire, spécialité photographie » a été inauguré. Depuis, chaque enseignant de l’école de photographie, artiste, peut désormais, en tant que directeur de recherche, siéger au sein de l’école doctorale ED 354 « Langues, Lettres et Arts » d’AMU (même si, à l’instar d’un Arnaud Claass, il ne possède pas de baccalauréat). Chaque doctorant bénéficie par ailleurs d’une bourse attribuée par l’ENSP grâce à son fonds de dotation (ce qui permet aux firmes ou aux sociétés se souciant de l’enseignement artistique supérieur d’être impliquées à leur convenance dans une recherche de troisième cycle, à des conditions fiscales intéressantes).

Aujourd’hui, l’école de photographie suit six doctorants dont quatre venus de l’étranger (Argentine, Chili, Mexique et Tunisie) car, oui, puisque la création prévaut sur l’approche théorique, la pratique de la langue française, même si elle reste utile à la compréhension de ce qui est à l’œuvre dans le cadre de la recherche, ne constitue pas une condition sans laquelle la thèse serait impossible.En 2017, Lila Neutre a donc soutenu la sienne, la première portée par l’ENSP, intitulée « Sculpter le soi : le corps social comme dispositif de résistance, l’apparence comme poétique de survie », le 24 novembre, chez agnès b., devant un jury composé de Sylvia Girel (directrice de recherches, maître de conférences, habilitée à diriger des recherches au sein de l’UFR ALLSH à AMU, chercheuse au Laboratoire Méditerranéen de Sociologie, CNRS LAMES UMR 7305), Arnaud Claass (directeur de recherche, artiste, professeur à l’ENSP), Christine Détrez (rapporteuse du jury, professeur à l’École Normale Supérieure de Lyon), Anne Monjaret (rapporteuse du jury, directrice de recherches à l’EHESS), Valérie Jouve (membre du jury, artiste, personnalité extérieure), Jacques Leenhardt (membre du jury, directeur des études à l’EHESS), Anna Guillo (invitée, maître de conférences à AMU), Pascal Beausse (invité, personnalité extérieure, responsable de la collection photographique du CNAP). Cette soutenance avait pris la forme d’une généreuse exposition accompagnée d’une petite édition. À présent, Lila Neutre poursuit son travail artistique et a été engagée à la Parsons School.

Au fil de cette année 2017, inégale et mémorable par ses vicissitudes et ses contingences, en France (et, par ricochet, dans certaines de ses institutions) la politique de cour de récréation s’est enchevêtrée à celle, plus substantielle, de la nation ; l’événement anodin y a tutoyé l’épisode majeur, les stratégies de poulailler ont défié, en vain, une dynamique en marche, en même temps évidente et irrésistible, portée sur les réformes et les développements de projets sociétaux. C’est dans ce contexte que la CFDT, inspirée par une partie des agents de l’ENSP, a adressé à la ministre de la culture nouvellement nommée un courrier détaillant par le menu les raisons d’une crise profonde au sein de l’établissement, déclenchant dans la foulée une mission d’évaluation et de prospective confiée à l’Inspection générale des affaires culturelles dès le 28 juin, et qui s’est achevée le 18 décembre par une restitution officielle à l’intention des salariés intéressés, en présence de la tutelle, la Direction générale de la création artistique (DGCA). « L’évaluation de l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles (ENSP) [qui s’est déroulée en toute transparence, avec le soutien actif de la direction et l’entière participation de l’ensemble du personnel, dont les étudiants], a porté tant sur la qualité du dialogue social au sein de l’école que sur les modalités de gestion de la période de transition avant son emménagement en juin 2019 dans de nouveaux locaux, conçus par l’architecte Marc Barani » .Si « la mission a été amenée à relever les points d’organisation interne qui pesaient sur la qualité du dialogue social comme sur la bonne préparation des prochaines échéances […], elle a aussi mis en

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évidence la nécessité pour l’école de disposer, de la part du ministère, d’arbitrages sur les objectifs qui lui sont assignés, la déclinaison de ceux-ci en programmes, ainsi que sur les moyens budgétaires qui lui seront alloués tant pour son déménagement que pour son fonctionnement futur » . Il convient, à cet égard, de remercier chaleureusement à la fois les personnels de l’école ainsi que la CFDT d’avoir contribué, de manière aussi perspicace, à l’indispensable prise de conscience de toutes les administrations concernées par la fragilité du contexte de redéploiement des missions propres à l’établissement et, de fait, par le redéploiement lui-même dont la perspective exige la plus grande attention. Ainsi la mission a clairement recommandé d’établir le règlement intérieur de l’ENSP (on peut, au passage, s’étonner qu’un tel document n’ait jamais été produit plus tôt), en y travaillant de concert avec les collaborateurs soucieux que le fonctionnement général soit au mieux encadré. Par ailleurs, la mission a également préconisé la mise en place de réunions de « suivi de projet » régulières entre la direction et la DGCA pour agencer, de la façon la plus appropriée, le transfert et la future installation des équipements collectifs comme des usagers, en estimant les moyens idoines. Il va de soi que la valeur prescriptive des conseils avisés de l’IGAC a conduit chacun, à tous les niveaux de la hiérarchie, à prendre ses responsabilités sans tarder, selon ses dispositions, pour mettre en œuvre ces plans d’amendement, aujourd’hui en vigueur.

Enfin, la mission n’a pas manqué de « faire un point sur le positionnement respectif de la formation initiale et des cycles de formation continue assurés par l’école [en relevant] l’intérêt qu’il y aurait [de] clarifier, pondérer et évaluer ces deux cursus » . Ce à quoi s’attache désormais la direction en visant à établir un solide diagnostic des maquettes pédagogiques, en consultant notamment les étudiants, en organisant régulièrement des réunions pédagogiques, en s’appliquant à la création d’un conseil scientifique et d’un conseil de perfectionnement, afin de les rendre plus intelligibles, plus cohérentes selon les années et les niveaux ; une manière d’engager une refonte des programmes et de leurs contenus, une manière aussi de rappeler à chacun ses devoirs en matière de transmission des savoirs au regard de l’évolution de l’enseignement des pratiques de l’image en général et de celles de la photographie en particulier, en ce début de XXIème siècle qui semble se caractériser par l’appel au renouveau d’une majorité d’entre nous.

Du renouveau, justement, l’équipe en a bénéficié au fil de cette année 2017. M. Laurent Biscaras, recruté en qualité de « responsable exploitation et maintenance » des deux bâtiments (l’actuel et le prochain), participe diligemment aux réunions de chantier et, à ce titre, veille aux intérêts des futurs utilisateurs tout en préparant la délocalisation qui débutera en avril 2019. M. Nicolas Cantin a été choisi, après le départ de M. Nicola Noemi Coppola, attiré par de nouvelles aventures sud-américaines, pour apporter assistance, avec de l’enthousiasme et de la passion, au laboratoire argentique noir et blanc ainsi qu’au studio de prises de vue. M. Franck Hirsch, suite au départ à la retraite de M. Yves Vernet, a repris la responsabilité du studio vidéo avec une propension à former les étudiants aux problématiques du son. Enfin, Mme Magali Coué, comme prévu, a quitté ses fonctions de chargée des relations internationales pour endosser la responsabilité de la direction des études. À ce titre, elle prend au fur et mesure ses marques, avec le recul et la sérénité de circonstance, dans un environnement qu’il faut sans tarder actualiser, compte tenu des observations de l’IGAC. Se déroule donc, en ce moment, le recrutement d’un.e responsables des relations internationales (voir, depuis le 21 février, sur le site de la BIEP la réf. 2018 - 108844).En 2017 s’est poursuivi le chantier, visible ou non, de toute l’ENSP. Les enjeux du projet d’école, parallèlement à ceux de l’architecture, se finalisent chaque jour davantage à un rythme scientifiquement calculé pour que l’inauguration ait lieu, comme de bien entendu, en juillet 2019 et, surtout, la rentrée des étudiants en septembre.

Rémy FenzyDirecteur

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Fonctionnement général

de l’école

© Cédrine SCHEIDIG

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Organisation

lA Future école nAtionAle supérieure de lA photogrAphie

En 2016-2017, le projet architectural de la nouvelle école poursuit son évolution.

La phase de terrassement du site s’est achevée en mars 2017.Le gros œuvre concernant la partie du patio arrière et des deux niveaux du bâtiment sur le boulevard ont été achevés fin 2017.Les corps de métiers concernant la plomberie, l’électricité et les menuiseries extérieures ont commencé leur intervention.

L’ensemble du personnel a pu découvrir le site lors d’une visite organisée pendant le séminaire de rentrée en septembre 2017.

Le recrutement, à cette même période, du responsable d’exploitation et de maintenance du bâtiment a permis la représentation d’un expert de l’école aux réunions de chantier.

Celui-ci est désormais l’interlocuteur privilégié de l’OPPIC afin d’affiner les besoins et vérifier que les demandes utilisateurs soient respectées. Actuellement 90% des demandes ont été satisfaites. Des discussions sont actuellement en cours sur le Fablab ainsi que sur la banque d’accueil.

En parallèle avec la direction de l’école, le responsable d’exploitation et de maintenance met en place des réunions d’informations auprès du personnel sur l’avancement et les actualités du chantier. Les premiers retours sont positifs et participent à l’accompagnement au changement qu’impose la relocalisation de l’école.Un travail préparatoire est en cours afin de recenser les besoins des utilisateurs dont la méthodologie a été présentée au personnel. Ce travail servira à préparer les budgets, mutualiser les achats et aider à la rédaction des marchés publics (ex: équipement des laboratoires, déménagement, équipement de l'amphithéâtre, cimaises, mobilier, etc.)Il a été convenu que la rédaction des marchés techniques (CVC, nettoyage, entretien des espaces verts, vérification réglementaires) seraient confiés à un intervenant externe afin de se concentrer sur la rédaction des marchés du premiers équipement. Cette consultation est en cours.

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le Fonds de dotAtion de l'ensp

Le Fonds de dotation de l’ENSP a poursuivi son activité avec les soutiens de la Fondation d’entreprise Neuflize OBC pour le financement du catalogue des diplômés 2017 et le soutien à un doctorant pour un an. Le Fonds de dotation agnès b. offre une nouvelle fois l'opportunité de réaliser l'exposition des diplômés dans ses espaces du 17 rue Dieu à Paris, au mois d'avril 2018.La société Leica ont également apporté leur soutien au fonds de dotation de l'ENSP en 2017. Le Fonds de dotation a pu apporter son soutien pour la mobilité des diplômés qui ont participé au projet « Territorio » dans le cadre de l’année croisée France-Colombie.

Les évoLutions majeures de L’écoLe, au regard de L’organisation

Du point de vue de l’équipe pédagogique, l’année 2017 a été marquée par l’arrivée de :

› Magali Coué le 1er janvier 2017 pour prendre le poste de Responsable des relations internationales en remplacement de Patric Clanet parti l’année précédente.

› Tadashi Ono le 1er mars 2017 en tant qu’artiste et enseignant dans le domaine de la photographie en remplacement de l'artiste et enseignant Christian Gattinoni parti à la retraite l’année précédente.

› Franck Hirsch le 1er juin 2017 à mi-temps et en remplacement de Yves Plenet parti à la retraite

› Nicolas Cantin, assistant du laboratoire Noir et blanc et Studio, le 1er novembre 2017 en remplacement de Nicola Noemi Coppola parti le 15 juillet 2017.

À noter également le départ d’Isabelle Saussol, directrice des études, le 31 mars 2017 et son remplacement par Magali Coué à compter du 1er avril 2017 en intérim jusqu’au 30 septembre 2017 puis nommée définitivement à ce poste à compter du 1er octobre 2017.

Dans l’équipe administrative, l’année a été marquée par :

› le départ de Romain Jeanny, responsable de l'exploitation et de la maintenance du bâtiment, le 16 mars 2017, remplacé à compter du 1er septembre 2017 par Laurent Biscaras, avec pour mission supplémentaire de suivre le chantier de relocalisation de l’ENSP.

› Le départ en retraite de Camille Gilles, chargée d’accueil, au 31 décembre 2017 (recrutement en cours).

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Gsuite - outils collaboratifsEn 2015, l'établissement a pris la décision de migrer sa messagerie et ses outils collaboratifs vers la solution Gsuite pour éducation.Après une année transitoire, la mise en place opérationnelle s’est faite sur l’année universitaire 2016-2017. L’ensemble du personnel a été accompagné dans ce changement par un prestataire expert dans la solution Gsuite.Toutes les ressources disponibles de l'établissement sont passées sur les agendas partagés (salles et véhicules) pour une meilleure gestion des occupations.

273 utilisateurs actifs sont enregistrés pour un total de 162 387 mails échangés sur les six derniers mois.

Les outils collaboratifs de GSuite permettent un échange des documents plus efficace et garantissent la sauvegarde des documents.

Ces outils ont permis de réduire considérablement les opérations de maintenance du service informatique sur la gestion de la messagerie, la création de compte et les migrations.

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Plateforme de candidature en ligne et paiementsLes campagnes de candidatures de l’ENSP (master, doctorat, résidences et VAE) sont désormais dématérialisées, ce qui permet une meilleure fluidité des échanges et de constituer une base numérisée des dossiers d’étudiants. Cette base viendra alimenter le futur logiciel de scolarité.Les informations sont saisies en ligne par le candidat et transmise directement au service scolarité via la plateforme de candidature.Il est prévu pour l’année 2017-2018 de réunir l'ensemble des candidatures sur une plateforme unique et d'ajouter l'inscription au Cours de photographie pour tous.

Les paiements des frais d’inscriptions, de scolarité et de sécurité sociale sont eux aussi à présent dématérialisés et sont mis en place sur les plateformes de candidature et d’extranet.

Consultation pour le développement du logiciel de scolarité.3 agences de développement logiciel ont été consultées dans la perspective du développement d’une solution de scolarité en ligne. C’est l’agence KIC de Nîmes qui a été retenue en raison de sa spécificité en développement d'application WEB et d’extranet.

L’objectif est d’avoir une solution logiciel dont l'établissement est propriétaire des sources. Cette solution doit être évolutive afin de pouvoir y intégrer à terme tous les publics de l’ENSP.Le déploiement se fera sur le premier semestre de l’année universitaire 2017-2018.

Des audits internes et de la veille technologique ont permis de cerner les besoins et de rédiger Le cahier des charges fonctionnel transmis aux agences.

Autres activités au sein du service des systèmes d'informationLe renfort d’un stagiaire issu de l’IUT d’Arles à permis d'ajouter des fonctionnalités sur la plateforme de prêt de matériel.

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Équipe de direction

Rémy Fenzy, directeur, chef d’établissement

Philippe Guignard, secrétaire général

Isabelle Saussol, directrice des études et de la recherche (à compter du 5.12.2016 jusqu’au 1.04.2017)Magali Coué, directrice des études et de la recherche (par intérim à mi-temps à compter du 02.04.2017 jusqu’au 30.09.2017, en poste à partir du 1.10.2017)

Équipe administrative

Maria Da Cunha, assistante de direction et du secrétariat général Christelle Lopes, assistante administrative ( jusqu’au 1.05.2017)Véronique Falaschi, assistante administrative (à compter du 1.06.2017)

Véronique Louviot, secrétariat pédagogique Laurence Canaux, assistante chargée de la recherche, du 3ème cycle

Magali Coué, responsable des relations internationales (à compter du 1.01.2016)Laurence Canaux, assistante des relations internationales

Camille Gilles, accueil - standard

Nathalie Montero, assistante comptabilitéIsabelle Mengual, responsable administrative et financière

Juliette Vignon, responsable des expositions et des publicationsAnaïs Bohème, assistanteOlivier Vernhes, technicien de maintenance

Lucile Guyomarc'h, chargée de communication

Yannick Vernet, responsable des projets numériques

Benoît Martinez, responsable des systèmes d’information

Marie Viguié, responsable de la bibliothèqueJean-Paul Jacques, secrétaire de documentation

Romain Jeanny, régisseur technique (à compter du 14.03.2016)Laurent Biscaras, régisseur technique (à compter du 01.09.2017)

Claudette Girard, agent de service

Personnels

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Équipe pédagogique (formation initiale) Professeurs permanentsCaroline BernardNicolas GiraudTadashi Ono (à compter du 15.03.2017)Paul PouvreauGilles Saussier Muriel Toulemonde Fabien Vallos

Équipe technique Lionel Genre, responsable du laboratoire numériquePierre Bru, assistant

Christian L’Huillier, responsable du laboratoire couleurAxelle Georges, assistante

Patrick Massary, responsable du studio et du laboratoire noir et blancNicola Noemi Copolla, assistant ( jusqu'au 31.07.2017)Nicolas Cantin, assistant (à compter du 1.11.2017)

Yves Plenet, responsable du laboratoire vidéo et son (retraite à compter de décembre 2016)Franck Hirsch, responsable du laboratoire vidéo et son (à mi-temps à compter du 1.04.2017

Formation professionnelle continue

Sophie Branchard, secrétaire administrative Olivier Cablat, coordinateur pédagogique et formateur référentJuan Castro, chargé du développement et de la coordination générale

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Budget

Budget initial 2016• 3 002 245 euros dont 2 861 252 euros au titre du fonctionnement et 140 993 euros au titre

des investissements, soit un total de 2 064 468 euros pour la subvention de fonctionnement attribuée par le Ministère de la Culture (comprenant les salaires).

Subventions du Conseil Régional Provence-Alpes-Côte d’Azur• 55 138 euros pour la réalisation du numéro 9 de la revue de recherche Infra-mince, l’exposition

« Retours d’ailleurs », pour le projet 2017 : la Formation Professionnelle Continue de l’ENSP au cœur de l’emploi dans la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur et l’accompagnement et l’accueil de deux stagiaires en « parcours longs ».

Subventions de la Direction Régional des Affaires Culturelles• 7 400 euros pour la publication du numéro 9 de la revue de recherche Inframince• 2 300 euros de frais de déplacement du Jury pour les diplômes

Taxe d’ApprentissageLe versement au profit de l’école de la taxe d’apprentissage continue d'être impacté par les effets de la réforme (réduction de la possibilité de versement en direction des établissements d’enseignement supérieur). L’établissement a donc perçu à ce titre un montant légèrement inférieur à l'année précédente. L’École a obtenu cette année le soutien financier de nombreuses entreprises privées, régionales et nationales. • Pour l’année 2016-2017, il a été collecté la somme de 18 163 euros par l’intermédiaire de

Fujifilm, Vivendi, Leica, Hasselblad, CCIR de Paris et d’autres entreprises privées.• Parmi les contributeurs les plus généreux, on peut mentionner la CCIR de Paris (2 019 €) et

FUJIFILM (1 200€)

MécénatEn 2017, l’École nationale supérieure de la photographie a bénéficié du soutien généreux de la société OLYMPUS pour un montant de 20 000 eurosLe reste des soutiens financiers en mécénat est désormais versé au bénéfice du Fonds de dotation de l’ENSP.

Autres sources d’autofinancement• Formation professionnelle continue : 199 925 euros• Cours du soir : 11 540 euros• Ventes de cartes d’impression : 26 615 euros• Droits d'inscription : 44 623 + 1 920 euros pour les incriptions VAE

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investissements Atelier numérique

• une raineuse• une relieuse thermique• une découpeuse de vinyle (“plotter de découpe”) en 75cm de largeur• une imprimante jet d’encre grand format, modèle de même lèze (1,11m), de marque Epson,

dotée des dernières formulations d’encre pigmentaire à longue conservation et large gamut (espace de couleur).

investissements Atelier couleur

Aucun investissement pour l'année 2016-2017

investissements Atelier vidéo

• 1 unité de tournage : Sony Alpha 7SII + optique 24-70 (+Metabone)• 1 unité de tournage : Sony RX10 III• 1 caméra de poing Sony AX53• 2 pieds de caméra (Sachtler Ace M 1001)• 2 microphones DSLR Sennheiser MKE 400 (avec leurs accessoires)• 2 microphones DSLR Sennheiser MKE 440 (avec leurs accessoires)• 3 enregistreurs audio Zoom H4n1 (avec leurs accessoires)• 2 microphones Sennheiser K6 avec perches et suspensions• 3 paires d’enceintes M-AUDIO BX5-D2

Investissements des

ateliers techniques

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trAvAux et mAintenAnce

Le service est constitué de 2 personnes: un responsable et un agent d’entretien. L'activité du service se décompose en 3 missions: › la logistique› la maintenance› la préparation de la relocalisation de l’école

En plus des périodes d'ouverture de l’établissement, un service d’astreinte est assuré.Le service Maintenance continue le travail de mise en concurrence des fournisseurs et prestataires locaux et régionaux engagé par son prédécesseur et les services administratifs. Une première phase de contact à permis d’identifier les sources d’approvisionnement en fonction des familles d’achat et les modes de consultation.

La priorité du service est le maintien d'un niveau de sécurité minimum pour les publics que l'ENSP accueille. Les étudiants qui ont accès à ces locaux le soir reçoivent une information sur les consignes de sécurité et la conduite à tenir en cas d’incident. Les consignes de sécurité des utilisateurs des chambres a également été revue. Les personnels d’astreintes ont été formés à la manipulation du SSI (système de sécurité incendie).

Faits notables du service, une fuite d’eau dans un sanitaire à endommager le sol d’une salle informatique et nécessite son remplacement. Ce dégât sera pris en charge pour partie par l’assurance de l'ENSP.Le sol du laboratoire noir et blanc ont été rénovés afin de permettre une pratique dans de bonnes condition.La vétusté des installations électriques et hydraulique nécessitent une surveillance particulière et des travaux de mise en sécurité devront être engagés. Les observations mentionnées sur le rapport de visite du bureau de contrôle électrique doivent être levés.Le prêt de matériel photographique a été dissocié de l'activité, les équipements ont été déplacés dans un local entièrement dédié.L’espace occupé par le service a été réaménagé pour faciliter le travail sur plans et en vu des échanges avec les équipes concernant notamment le recensement du nouveau bâtiment.

dépenses principAles du service mAintenAnce :

En investissements : 7402 euros• Circulateur chaudière: 3500 euros• Réfection sol du laboratoire N&B: 3902 euros

En exploitation et maintenance : 20724 euros

Travaux et maintenance

Prêt de matériel

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conseil d’AdministrAtion (cA)

Membres : Personnalités qualifiées nommées par le Ministre chargé de la Culture et de la Communication :• Delphine ERNOTTE CUNCI, Présidente du conseil d’administration• Agnès SIRE, Directrice de la Fondation Henri Cartier-Bresson• Didier QUILAIN, Conseil en projets photographiques d'OlympusMembres de droit• Michel ORIER, Directeur Général de la Création Artistique, Ministère de la Culture et de la

Communication• Denis LOUCHE, Directeur Régional des Affaires Culturelles Région Provence-Alpes-Côte d’Azur• Hervé SCHIAVETTI, Maire d’Arles• Michel VAUZELLE, Président du Conseil Régional PACACollège des enseignants• Titulaires : Gilles SAUSSIER, Paul POUVREAU • Suppléants : Muriel TOULEMONDE, Fabien VALLOSCollège des autres catégories du personnel• Titulaire : Patrick MASSARY - Suppléante : Véronique LOUVIOT• Titulaire : Yannick VERNET - Suppléant : Benoît MARTINEZCollège des étudiants• Titulaires : Sara SZABO et Gwénaël PORTE

Assistent également au Conseil d’Administration sans droit de vote• Rémy FENZY, Directeur de l’ENSP• Philippe GUIGNARD, Secrétaire général de l’ENSP• Isabelle SAUSSOL, Directrice des études de l’ENSP• Anne PENELAUD, Contrôleur financier• Fabien BASTARD, Agent comptable

La Composition du Conseil d’Administration est définie par le décret n° 2003-852 du 3 septembre 2003 érigeant l’École nationale supérieure de la photographie en établissement public national et portant statut de cet établissement (J.O. n° 147 du 26 juin 2004 - Texte n° 24).

Séance du 18 novembre 2016 • Introduction de Mme Delphine ERNOTTE-CUNCI, Présidente du conseil d’administration• Ressources humaines : recrutements en cours et à venir• Approbation du procès-verbal de la séance du Conseil du 2 juillet 2016• Approbation du rapport annuel d’activités (période octobre 2015 à octobre 2016)• Présentation pour approbation du Budget Rectificatif N°3 du budget 2016• Présentation pour approbation du Budget Initial 2017• Présentation pour approbation d’une décision relative au tarif unique de l’unité pour les

prestations de tirage et de photocopie• Présentation pour approbation d’une décision relative aux taux horaires applicables aux

intervenants de l’ENSP (cours de langue, suivi mémoire, recherche)

Instances

CA - CT - CHSCT - CRPVE

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• Information concernant l’implantation de l’école au Parc des Ateliers• Évocation des futurs projets pédagogiques et de recherche• Présentation des enjeux de la réforme de la formation professionnelle continue pour l’ENSP• Questions diverses

Séance du 02 mars 2017• Introduction de Mme Delphine ERNOTTE-CUNCI, Présidente du Conseil d’administration• Approbation du procès verbal de la séance du conseil du 18 novembre 2016• Approbation du compte financier 2016 et affectation du résultat• États des aides forfaitaires délivrées aux étudiants pour l’année 2016• État des dépenses dirigeant pour l’année 2016• Contrôle interne comptable et financier : cartographie des risques• Point d’information sur le projet architectural de l’ENSP• Présentation de la stratégie de communication de l’établissement pour l’année 2017• Présentation de la stratégie de développement à l’international de l’établissement pour

l’année 2017• Questions diverses

Séance du 4 juillet 2017• Introduction de M. Philippe BELIN, Président intérimaire du Conseil d’Administration• Éléments d’information relatifs à la mission de l’IGAC suite au courrier envoyé par le syndicat

CFDT Culture au MCC.• Approbation du procès-verbal de la séance du conseil du 02 mars 2017• Approbation du Budget rectificatif n°1 de l’exercice 2017• Point d’information sur le projet de relocalisation de l’ENSP• Partenariat AMU (Aix Marseille Université) – ENSP• Partenariat AFDAS – ENSP• Partenariat LEICA - ENSP• Questions diverses

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COMITÉ TECHNIQUE (CT)(décret N° 82-452 du 28 mai 1982 relatif aux comités techniques paritaires)

Membres : Président • Rémy FENZY, DirecteurReprésentants de l’administration• Philippe GUIGNARD, Secrétaire généralReprésentants syndicaux (membres élus à la consultation nationale du 4 décembre 2014) • Titulaires CFDT : Véronique LOUVIOT, Benoît MARTINEZ, Olivier VERNHES• Suppléants : Maria DA CUNHA, Lionel GENRE, Axelle GEORGES

Séance 21 novembre 2016 • Vérification du quorum• Lecture pour approbation du procès-verbal de la précédente séance• Approbation du Plan de formation du personnel pour 2017• Approbation des jours de congés payés pour la période du 1 er janvier 2017 au 31 décembre 2017• Approbation des règles à suivre dans le cadre des déplacements professionnels• Recrutements en cours et à venir, renouvellement de contrats• Point d’information sur les groupes de travail « Prévention des risques psychosociaux » et les

nouvelles procédures de travail mises en oeuvre,• Création d’un “Compte-épargne- temps”pour le personnel de l’établissement• Questions diverses : mail des représentants du personnel du 02/11/2016

Séance du 15 mai 2017• Vérification du quorum• Lecture pour approbation du PV de la précédente séance• Approbation des jours de congés pour la période du 1er janvier 2018 au 31 décembre 2018• Information sur le recensement des agents éligibles au dispositif Sauvadet 2• Information sur l’application des conditions de mise en oeuvre du télétravail selon la

règlementation du Ministère de la Culture et de la Communication.• Recrutements en cours et à venir, renouvellements de contrat• Plan d’action sur la prévention des RPS• Questions diverses

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COMITÉ D’HYGIÈNE, DE SÉCURITÉ ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL (CHSCT)(décret n° 82-453 du 28 mai 1982 relatif à l’hygiène et à la sécurité du travail)

Membres : Président• Rémy FENZY, DirecteurReprésentants de l’administration :• Philippe GUIGNARD, Secrétaire général• Romain JEANNY, Responsable de maintenance à l'ENSPReprésentants syndicaux (membres élus à la consultation Nationale du 4 décembre 2014) • Titulaires CFDT : Patrick MASSARY, Yves PLENET, Olivier VERNHES• Suppléants : Sophie BRANCHARD, Laurence CANAUX, Véronique LOUVIOTInvités• Le médecin du travail (invité de droit) : M. CHASSEFAIRE, AISMT d’Arles• Mme Dominique FRANÇOIS, Inspectrice Hygiène et Sécurité au Ministère de la Culture et de la

Communication

Séance du 12 janvier 2017• Vérification du quorum• Lecture pour approbation du PV de la séance du 21 avril 2016• Point d’avancement sur la « prévention des RPS »• Point d’information que le projet architectural de la future école• Suites données, depuis la dernière réunion du CHSCT, aux diverses prescriptions en matière

d’hygiène et de sécurité• Questions diverses

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Pédagogie

© Marine PISTIEN

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orgAnisAtion pédAgogique

Cette année, le concours d’entrée à l’ENSP a changé de formule pour mettre l’accent sur la dimension artistique du travail des candidats.Ainsi, la présélection des candidats a été réalisée à partir d’un dossier artistique envoyé à l’école. Seuls les candidats dont le dossier artistique a convaincu le jury ont été invités à se présenter pour les épreuves écrites et orales du concours qui se sont tenues du 9 au 12 mai 2017. Les dossiers de candidature non retenus pour les épreuves écrite et orale ont été renvoyés aux candidats malheureux par voie postale.

L’épreuve écrite qui s’est déroulée le 9 mai et d’une durée de trois heures a consisté au choix du candidat en une analyse d’image ou commentaire de texte. Cette épreuve a permis d’apprécier les connaissances des candidats en matière d’histoire de l’art et de la photographie ainsi que leur niveau de culture générale. À travers cet exercice, ce sont également la faculté des candidats de penser et de transmettre leur expérience photographique, leur capacité d’analyse critique et théorique des images et de la culture visuelle qui ont été pris en compte.

L’épreuve orale qui s’est déroulée dans la foulée de l’épreuve écrite a consisté en un entretien de trente minutes avec un jury représentatif de l’équipe enseignante de l’École nationale supérieure de la photographie et de sa direction.Il était demandé aux candidats de présenter au jury, lors de l’oral, des travaux artistiques complémentaires au dossier artistique : carnets de recherche, tirages, autres pratiques et expérimentations artistiques, etc.

Le jury a ainsi pu évaluer le profil, les motivations et le projet du candidat sur la base de son dossier artistique et de son épreuve écrite.Au total, ce sont quelques 200 candidats qui ont souhaité rejoindre l’ENSP cette année.L’admission définitive des 25 candidats sélectionnés pour l’année académique 2016/2017 a été communiquée via le site internet de l’ENSP. A noter que l’inscription au concours engage des frais de l’ordre de 37 euros pour les candidats non boursiers et de 18,50 euros pour les boursiers.

En cette année académique 2016-2017, l’évolution majeure - ayant eu une incidence sur le nombre d’étudiants en 3ème année et donc présentant le diplôme - était liée à l’absence des étudiants ayant fait le choix de disposer d’une année de césure entre la 2ème année et la 3ème. Les projets étaient diverses et variés et cette année de césure s’est déroulée sous forme de stage professionnel long en france ou à l’étranger, d’intégration chez les partenaires académiques de l’école ou encore au travers de la réalisation d’un projet personnel à l’étranger pour partie.

Au total, six étudiants étaient concernés par l’année de césure, la promotion qui a présenté le diplôme cette année était donc moins nombreuse qu’à l’accoutumée. Cette situation sera contrecarrée dès l’an prochain avec le retour de ces étudiants en césure qui viendront compenser les césures 2017-2018.

Généralités

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De nombreux projets partenariaux ont été proposés comme chaque année aux élèves : concours Olympus, les Rencontres d’Arles, Festival Les Suds, exposition chez agnes B., etc. Les élèves ont pu également travailler sur des thématiques transdisciplinaires comme notamment Image/Écriture avec l’ENS de Lyon, Art et Science avec l’Inserm

Dans le cadre de la valorisation des travaux des étudiants, la cinquième exposition collective des diplômés a eu lieu à Arles, au Palais de l’Archevêché, les 11 et 12 juin 2016, sous le commissariat de Fabien Vallos, artiste enseignant en charge du diplôme.La 4e édition hors les murs de l’exposition des diplômés, intitulée Faire Surface, a eu lieu du 3 au 15 novembre 2016, rue Dieu à Paris,dans l’espace mis à disposition par agnès b., sous le commissariat d'Alexandre Quoi, maître de conférences à Aix-Marseille Université et intervenant extérieur à l’ENSP.

Par ailleurs, la Journée Portes Ouvertes devient un évènement annuel et s’est tenue le 4 février 2017. Le personnel et les étudiants ont contribué au succès de cette journée qui a permis la découverte de l’école à de futurs candidats ou à des amateurs. Elle a su marquer les esprits une année de plus.

Elle proposait : • A l'auditorium, deux rendez-vous (10h et 14h30) pour une présentation du cursus par le

directeur et la directrice des études• une présentation de la future école et de ses espaces• une rencontre avec les assiocaitions d'étudiant (AEENSP et AAENSP) • une rencontre avec les équipes de la Formation professionnelle continue en auditorium pour

la présentation de la VAE ainsi que dans le hall pour des échanges plus personnalisés • un espace dédié aux rencontres avec l’équipe pédagogique afin de découvrir le cursus et le

concours d’entrée, le doctorat et le programme international de résidence• des visites de l’ENSP dispensées par les étudiants de première année de l'ENSP• un atelier photographique de portrait, animé par des étudiants, afin de suivre l’élaboration

d'un portrait, de la prise de vue en studio jusqu’au tirage en laboratoire • une présentation du Fablab et des projets développés dans le cadre des Openlab, ateliers

ouverts à tous et mis en place dans le cadre de la préfiguration du Fablab• une présentation en bibliothèque d’ouvrages rares, d’auto-éditions et de travaux d’étudiants.

Les postes de consultation étaient à disposition pour la consultation des sites internet de la Recherche : CRAI, FIG, Parc, Obs/IN.

• une exposition, organisée à la Galerie Arena par l’association des étudiants de l’ENSP, présentant les travaux de toutes les promotions confondues

• en Annexes, une projection de vidéos rassemblées sous le titre "L'invitation", réalisées dans le cadre d'un atelier avec Till Roeskens

• une visite sonore de l'ENSP, imaginée au cours d'un atelier "Son"• une présentation d'écrits produits par les étudiants de 1e année, dans le cadre de l'atelier

d'écriture porté par l'écrivain Sylvain Prudhomme• des projections des travaux des étudiants tout au long de la journée en auditorium

La prochaine Journée Portes Ouvertes aura lieu le 10 février 2018 selon un principe identique.

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Dans le soucis de faciliter le traitement administratif des dossiers étudiants de l’inscription au concours à la validation du diplôme, le développement d’une plateforme de scolarité a été confiée à l’entreprise KIC basée à Nimes. Le développement de cette plateforme (au plus proche des besoins des services de l’ENSP) a été piloté par le responsable des systèmes d’information de l’école, la direction ainsi que le service de la pédagogie.Sur cette année 2016-2017, les services scolarité, recherche et international ont pu bénéficier des pré-inscriptions et paiements en ligne; cela a facilité le suivi administratif des candidats et étudiants ainsi que le croisement des données.Dans un 2ème temps, cette plateforme de scolarité ouverte aux enseignants permettra de récolter les évaluations des étudiants pour faciliter l’édition des bulletins semestriels.

S’agissant de l’harmonisation des processus administratifs internes à l’école, le responsable des systèmes d’information, la chargée de la communication et la responsable financière ont engagé une réflexion sur un système GED (Gestion Electronique des Documents). L’idée première est de créer du commun en permettant à chaque service de partager des documents potentiellement utiles à d’autres utilisateurs internes et de sortir de l’ère “papier”. La phase de mise en œuvre complète sera effective sur l’année académique 2017-2018.

Ces évolutions nécessaires dans les pratiques informatiques des agents de l’école et des équipes pédagogiques constituent des éléments majeurs qui devront être maîtrisés pour insuffler une harmonisation dans les pratiques, créer du commun et faciliter les processus quant aux activités récurrentes de l’école d’ici à l’emménagement sur le nouveau site.

Au printemps 2017, l’école a satisfait à ses obligations au regard du HCERES (Haut Conseil de l'Evaluation de la Recherche et de l'Enseignement Supérieur) qui conditionne notamment la reconnaissance du diplôme d’école validé au grade de Master en rédigeant un rapport d’étape sur les évolutions apportées suite aux recommandations émises par cette même autorité en 2015. Les services “enseignement supérieur” de la DGCA ont été sollicités et ont apporté des clarifications essentielles sur la manière d’aborder cet exercice. Ces services pilotent de concert avec le HCERES le processus d’évaluation des écoles relevant du Ministère de la Culture de manière à “défendre” les spécificités des écoles d’art françaises.

Les formalités à accomplir ont également consisté en la mise à jour du référencement du diplôme de l’école au fichier RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles) en s’appuyant sur les services de la CNCP (Commission Nationale de la Certification Professionnelle).En interne, l’ensemble des services de l’école a été mis à contribution pour produire un rapport aussi exhaustif que possible.

L'ENSP a également répondu aux différentes enquêtes émanant du Ministère de la Culture: • Enquête OVE (Observatoire de la Vie Étudiante) concernant les modes de vie étudiant• Enquête 48 de l'Enseignement supérieur et culture concernant les effectifs des étudiants

actuellement en cursus• Enquête DESC, concernant l'insertion professionnelle des diplomés de l’enseignement

supérieur culture• Enquête CEREQ (Centre d’Études et de Recherches sur les Qualifications) concernant

l'insertion professionnelle des jeunes

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Diplôme et mémoire

Les épreuves du diplôme de l’École nationale supérieure de la photographie se sont déroulées en deux temps avec un jury de mémoire les 7, 8 et 9 février 2017, et un jury de diplôme les 6, 7, 8 et 9 juin 2017.

composition du jury de diplôme

PrésidenteChloé MAILLET, artiste, théoricienne, docteure en anthropologie à l’EHESS

Autres membres du juryJulie C. FORTIER, artiste et enseignante à l’ENSBA d’AngersNathalie HERSCHDORFER, curatrice, historienne de la photographie et directrice du Musée des Beaux-Arts de Locle (Suisse)Emeric LHUISSET, artiste, photographe et enseignant à l’IEP de ParisFabien VALLOS, professeur à l’ENSP

composition du jury de mémoire

PrésidenteChloé MAILLET, artiste, théoricienne, docteure en anthropologie à l’EHESS

Autres membres du juryFabien VALLOS, Directeur de recherche et enseignant à l’ENSPAlexandre QUOI, Maître de conférence en histoire de l’art contemporain à l’Université d’Aix-MarseilleNicolas GIRAUD, Directeur de recherche et enseignant à l’ENSPCaroline BERNARD, Directeur de recherche et enseignante à l’ENSP

résultAts de lA session 2017

Vivien AYROLES diplômé Lexane LAPLACE félicitations

Amélie BLANC mention Florian MAURER diplômé

Quentin CARRIERRE félicitations Alice MILLET mention

Yannick DELEN diplômé Mathide MOIGNARD refusée

Cécilia GALÉRA diplômée William NEFUSSI diplômé

Camille KIRNIDIS diplômée Isoline SPOTE diplômée

Alexandre KONG.A.SIOU diplômé Léia VANDOOREN diplômée

Sarah KOWALCZEWSKI félicitations Iris WINCKLER mention

Apolline LAMORIL diplômée

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rApport pédAgogique du président et des memBres du jury

• Mémoire, session février 2017

Chloé MAILLET, présidente du jury

Le jury s’est réuni dans des conditions adéquates du mardi 7 au jeudi 9 février 2017.Nous avons remarqué un bon niveau général des mémoires et apprécié la bonne maîtrise générale des méthodes de recherches.La plupart des étudiants font preuve d’une belle capacité de synthèse, et s’ils ont parfois eu l’impression d’avoir trouvé leur sujet de recherche à l’issue du travail (en conclusion) plutôt que dans leur introduction, ils s’engagent déjà dans la suite des recherches.On peut regretter que le choix des sujets de recherche s’avère, pour certains, un peu trop classique, ce qui a empêché certains de trouver un positionnement original.Nous souhaiterions aussi encourager les étudiants à adopter des formes plus libres, et à mettre le format de mémoire en adéquation avec le sujet de recherche.Le dialogue a été constructif et sincère avec tous les étudiants et nous souhaiterions les encourager à défendre leurs choix avec conviction

• Diplôme, session juin 2017

Chloé MAILLET, présidente du jury

Les diplômes se sont déroulés sans incident avec un accueil agréable et une organisation très fluide.

Le jury remarque que les diplômes des étudiants présentent un bon niveau général. La qualité du niveau des mémoires a été particulièrement soulignée. La préparation à l'oral était précise mais parfois trop scolaire.

Le jury tient à prévenir l'équipe du risque d'académisme et le manque de radicalité présents dans un certains nombre de projets.Le jury souhaite encourager les étudiants à davantage de prises de risques, d'expérimentation, de questionnements sur les formats d'exposition, les enjeux de l'image contemporaine et le futur de la photographie.L'école doit rester un lieu expérimental et prospectif sur l'image, tout en gardant la rigueur et l'engagement qui font sa grande qualité.

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proFesseurs permAnents

cAroline BernArd

Caroline Bernard est une ancienne collaboratrice scientifique de la Haute école d’art et de design (HEAD) de Genève (CH). Depuis 2007, elle enseigne à l’École supérieure d’arts appliqués (CEPV) de Vevey (CH) et intervient à l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles depuis janvier 2015. Elle est également professeur associée de l’École des arts visuels et médiatiques (EAVM) au sein de l’Université du Québec à Montréal (UQÀM, CA) et docteur de l’université de Paris 8 en esthétique, sciences et technologies des arts, spécialité arts plastiques et photographie.Basés entre la France et la Suisse, Caroline Bernard forme, avec Damien Guichard, le collectif Lili range le chat depuis plus de 10 ans. Leurs oeuvres sont souvent le résultat d’un voyage ou d’une exploration du territoire sur place ou à distance. Ils s’intéressent notamment aux nouvelles formes d’écriture et de cinéma engendrées par l’essor de l’image connectée et de la vidéo partagée. En recourant aux outils contemporains de capture des images, comme les webcams dans l’espace urbain ou le GPS, ils prélèvent les données factuelles de leur environnement pour les élever à une dimension poétique et parvenir à des formes plastiques inédites. Leur travail a été présenté dans de nombreux pays dans le cadre d’expositions, de conférences et de workshops (Japon, Indonésie, Ouzbékistan, Brésil, Irlande, Suisse, France, etc.).

Activités pédagogiques au sein de l'ENSP en 2016-2017• Suivi du travail des étudiants dans le cadre de rendez-vous, de séminaires collectifs et lors de

bilans tout au long de l’année.• Mise en place du cours Nouvelles pratiques de l’image et du photographique (NPIP) pour les

étudiants de 1e année. Le cours se concentre sur une pratique étendue du photographique en analysant les champs de l’art contemporain, du cinéma et des nouveaux médias. La mise en réseau des images ou encore le développement planétaire des caméras transforment nos modèles de représentation du monde.Le cours est à la fois théorique et pratique. Le temps théorique permet de prendre connaissance du travail de théoriciens et d’artistes qui questionnent de façon singulière la nature et la polarité de l’image. Le temps pratique permet à l’étudiant de formuler un projet personnel en se positionnant au sein de ces nouveaux usages du photographique.Autour de la thématique de la frontière« Une frontière est une construction territoriale qui « met de la distance dans la proximité » ». (Arbaret-Schulz, 2002)

• Arc avec les étudiants de 2e année et Joerg Bader, directeur du centre pour la photographiqueSur la base de groupes thématiques, les étudiants travaillent à un accrochage collectif en vue d’initier de nouvelles synergies dans leur pratique.

• ARC avec les étudiants de 2e année, Tadashi Ono et Kristin Dittrich, directrice shift-school, Dresde

• Développement du projet de recherche avec les étudiants : Anima • Mission de recherche à Montréal, mise au point de la collaboration ENSP/UQAM sur le

programme Les images opératoires

Équipe pédagogique

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nicolAs girAud

Nicolas Giraud développe une recherche artistique autour des mécanismes de construction et de circulation des images. Cette recherche emprunte des formes multiples, images, textes, objets, processus ou installation. Ses travaux sont exposés régulièrement et ont été montrés notamment au CNEAI, au FRAC Languedoc-Roussillon ou au Musée d’art contemporain de Lyon.La dimension conceptuelle de son travail se prolonge dans des pratiques d’écritures, de commissariat et d’enseignement. Intervenant à Parsons Paris puis à la Sorbonne Paris I sur la théorie des Images, il est depuis 2014 professeur à l’École nationale supérieure de la photographie. Dans le champ critique, il a collaboré avec différentes revues et donné des conférences notamment sur le travail de Nam June Paik au Centre Pompidou ou autour des livres de Paul Graham au Bal. Il a travaillé comme commissaire sur plusieurs expositions dont Le Musée caché au FRAC Provence-Alpes-Côte d'Azur, L'image comme lieu en 2015 et Intrusions en 2010 à la galerie Michèle Chomette. Nicolas Giraud est diplômé avec félicitations du Fresnoy, studio national des arts contemporains, de l’École nationale supérieure de la photographie et de l’École Supérieure de Commerce de Lille.

Activités pédagogiques au sein de l'ENSP en 2016-2017 • Suivi du travail des étudiants dans le cadre de rendez-vous, de séminaires collectifs et lors de

bilans tout au long de l’année.• Accompagnement des étudiants au cours de leur cursus, notamment par l’organisation d’ARC

dans lesquels sont invités artistes et théoriciens. • Pilotage du projet Usage du temps, projet de recherche et d’expositions impliquant sur quatre

ans des étudiants de deuxième année.• Suivi avec Fabien Vallos du projet pédagogique Pratiques Curatoriales, en lien avec la HEAD à

Genève et le CNEAI à Pantin.• Suivi du nouveau projet ENS-ENSP accompagné de Fabien Vallos• Intervention comme directeur de mémoire• Co-direction recherches des doctorants de la spécialité Photographie dans le cadre du doctorat

Pratique et théorie de la création artistique et littéraire, option photographie. Dans le cadre de ce doctorat conçu en collaboration avec le laboratoire LESA de l’Université d’Aix-Marseille.

• Rédacteur en chef de la revue Inframince.

tAdAshi ono

Tadashi Ono a intégré l’équipe pédagogique de l'ENSP en mars 2017, après avoir dirigé la section “Photography/Contemporary Art”, au sein de la Kyoto University of Art and Design au Japon de 2011 à 2017.Né à Tokyo, suite à des études d’écologie et de botanique (Maîtrise en agronomie) à la Shinshu University à Nagano, Japon, il obtient le diplôme de l'École nationale supérieure de la photographie d’Arles en 1991.

Il développe depuis un travail photographique qui se veut un questionnement sur la civilisation moderne à travers l’observation attentive de l’environnement urbain et son histoire. Depuis 2011, il travaille sur la transformation du paysage de Tohoku, la région nord-est du Japon, dévastée par le tsunami, ainsi que sur la représentation d’espace public après l’événement politique en 2013 au Gezi Park à Istanbul. Actuellement, il entreprend un projet à Taipei sur les architectures construites pendant la colonisation japonaise. Ses travaux photographiques sont exposés principalement en Europe et au Japon, notamment à la Bibliothèque Nationale de France, au Museum of Modern Art, Tokyo et aux Rencontres d’Arles.

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Outre le travail d’artiste, il a participé, en tant que commissaire invité, à “Photoquai” 2009, la biennale des images du monde au Musée du Quai Branly, et en 2012, il a été nominateur-commissaire du Prix Découverte aux 43e Rencontres d’Arles. Il est lauréat (projet en duo avec Julien Guinand) et artiste-résident de la Villa Kujoyama à Kyoto (Institut français/ministère des Affaires étrangères) en 2017.

Activités pédagogiques au sein de l'ENSP en 2017• Organisation d'ARC accrochage avec les étudiants des 1e, 2e et 3e années• Accompagnement lors des bilans des 1e, 2e et 3e années• Participation au Séminaire à destination des particpants au Programme international de

Résidence • Rendez-vous individuels avec les étudiants de 1e et 2e années, ainsi qu'avec les particpants au

Programme international de Résidence • Correction des dossiers de concours d'entrée et jury au cours de l'épreuve orale• Planification et organisation du projet “Malte”, à développer sur l'année 2017-2018• Participation aux visites du chantier de l'ENSP dans le cadre du projet “chantier”, en

collaboration avec Muriel Toulemonde et Paul Pouvreau• Organisation d'un projet d'échange avec la Taipei National University of Arts, rencontre avec

son président

pAul pouvreAu

Après des études artistiques à l’École nationale des Beaux-Arts de Bourges (DNSEP Arts) et à la Sorbonne Paris 1, Paul Pouvreau participe en 1982 à la rédaction de la rubrique «photographie» aux cahiers du Cinéma. Depuis janvier 2010, il a rejoint l’équipe pédagogique de l’ENSP, après avoir enseigné, à partir de 1986, la photographie à l’École supérieure des Beaux-Arts du Mans. Il développe un travail plastique dans lequel la photographie prend une part de plus en plus importante mais non exclusive, à la fois comme moyen de représentation et comme outil de réflexion, sur l’interférence des signes visuels dans le quotidien de l’individu et les modifications que ceux-ci entraînent plus ou moins consciemment dans ses rapports et sa perception du réel. Il a participé à plusieurs expositions en France et à l’étranger et son travail figure dans différentes collections privées et publiques.

Activités pédagogiques au sein de l'ENSP en 2016-2017• Coordination des étudiants de 1e année• Atelier écriture avec les 1er année et l’écrivain Sylvain Prudhomme.• Poursuite du Projet Chantier en collaboration avec Muriel Toulemonde et un groupe

d'étudiants. Séances de prises de vues sur le futur site de l’école. Visites du chantier Luma. • Réflexions et élaboration du futur site internet lié au projet chantier.

gilles sAussier

Gilles Saussier propose une démarche expérimentale, dans laquelle les photographies ne figent pas les gestes et les récits de l'histoire, mais bousculent le travail de définition stable de la mémoire des images. Modifiant l’interprétation et la destination de séries tirées ou non de son activité passée de photo-reporter, sa pratique assume l’acte photographique comme un acte performatif, entre relecture de la tradition documentaire, variables anthropologiques et héritage du minimalisme.

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Son travail a été exposé à la Documenta 11 de Kassel (2002), et lors des expositions Des Territoires à l'ENSBA Paris (2001), Covering the real au Kunstmuseum de Bâle (2005), L’archive universelle. la condition du document et l’utopie photographique moderne au MACBA de Barcelone (2008), Site-specific au FRAC Rouen-Normandie (2015), Looking at war au Bonniers Konsthall de Stockholm (2017).

Il est l'auteur de textes sur la question documentaire dont Situations du reportage, actualité d’une alternative documentaire (Communications n°71, Seuil-EHESS, 2001), Retourner l’actualité, Photojournalisme et art contemporain (Maison Rouge - Éditions des Archives contemporaines, 2008), Le documentaire expérimental (Artpress: La photographie post-documentaire, 2016) et a publié Studio Shakhari bazar et Le Tableau de chasse (Le Point du Jour 2006 et 2010)..

Activités pédagogiques au sein de l'ENSP en 2016-2017• Professeur référent ENSP du dispositif de validation des acquis de l’expérience (VAE):

commission d’examen des candidatures, conseils aux candidats, coordination et suivi du jury de diplôme

• Coordinateur du Programme international de résidence de recherche et de création qui accueille chaque année une dizaine de jeunes artistes en résidence à l’ENSP: suivi individualisé des projets artististiques, conduite d’un séminaire mensuel, animation de ce séminaire par un programme de rencontres (bibliothèque, auditorium) avec des invités extérieurs, exposition publique annuelle des travaux des participants

• Cours-atelier en 1e année sur l’expérience photographique du réel, les enjeux des pratiques documentaires contemporaines et l’ouverture de la photographie aux sciences-humaines (ethnologie, anthropologie visuelle, journaux de voyages, photojournalisme, photographie documentaire, anthropologie visuelle).

• Cours-atelier en 2e année sur les pratiques éditoriales et les rapports du livre d'artiste et du livre de photographie. Atelier de création éditoriale avec le graphiste David Poullard, professeur de design graphique à l’école des Beaux-Arts de Valence.

• Animation d’un séminaire de recherche ouvert aux étudiants de 2e et 3e années, aux doctorants, aux jeunes artistes résidents étrangers intitulé Autres Espaces de la Photographie. Ce séminaire aborde les pratiques photographiques situées prioritairement dans le champs de la recherche, entre beaux-arts et médias.

muriel toulemonde

Muriel Toulemonde enseigne la vidéo à l’ENSP depuis 2006. Durant ses études à l’École des Beaux Arts de Paris, elle est marquée par les grandes figures de l’art vidéo des années 1980 et 1990. Elle ancre dès lors son travail dans une exploration du médium vidéo comme matériau temporel et dans une représentation du réel qui engage une perception dans la durée.Ses œuvres découlent de situations perçues au gré de ses activités et déplacements, de choses vues, qui pour elle font image de manière frappante, résistant à l’interprétation contextuelle que l’on peut en donner pour ouvrir au regard un champ autre.La vidéo permet de retenir dans un temps autonome ces visions premières, accorde au regard ses ralentissements, ses arrêts sur image, ménage des suspens dans le flux continu des évènements.Ses œuvres sont régulièrement présentées dans le cadre d’expositions collectives ou personnelles. Ses vidéos sont projetées à l’occasion de manifestations spécifiques, notamment dans le cadre des rencontres internationales Paris-Berlin ou lors de la Nuit Blanche 2013.

Activités pédagogiques au sein de l'ENSP en 2016-2017

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• Suivi du travail des étudiants dans le cadre de rendez-vous, de séminaires collectifs et lors de bilans tout au long de l’année. Le socle de la pédagogie reste toujours les entretiens individuels avec les étudiants de toutes les années ainsi qu’avec les étudiants étrangers, Erasmus et résidents. Ces entretiens sont un moment d’échange avec l’étudiant sur l’état de son travail. Sont abordées de manière non dissociées et formant un tout, les questions de contenu, de mise en forme, de choix techniques, plastiques, mais aussi d’expérience et de contexte. Le dialogue est nourri de références issues du champ de la photographie, et de manière plus large, des arts de la littérature, la danse ou la musique.Il est à noter que la diversité des projets pour lesquels les étudiants ont été sollicités sur l’année 2016-2017 a réduit la fréquence de ces entretiens, qui permettent le suivi sur le long terme de l’évolution du travail de l’étudiant.Les bilans de janvier, avril et mai sont un autre temps important de l’activité pédagogique, dans la mesure notamment où il s’agit d’une évaluation collégiale de l’étudiant.Les séminaires critiques sont des temps de travail où la parole peut circuler entre les étudiants et non pas seulement d’enseignants à étudiants.L’intervention d’artistes invités est primordiale, dans la mesure où la parole de ces artistes vient de leur propre expérience du travail et de la confrontation avec la matière et les enjeux d’une proposition artistique. En 2016, Jan Kopp, présent pour un ARC a également donné une conférence.

• Cours sur l’image en mouvement dédiés aux étudiants de 1e année et aux résidents Le cours est construit à partir des différentes problématiques posées par les médiums de l’image en mouvement, soit les questions d’enregistrement, de montage, de récit et d’écriture cinématographique, de matérialité, ou encore de dispositif. Il s’appuie sur le visionnage de films d’artistes depuis le début du cinéma jusqu’à l’art contemporain.

• 2 workshops ont été proposés sur l’année 2016-2017 pour les étudiants de deuxième et troisième année

› Un workshop "Vidéo" mené par Till Roeskens, artiste “Qu’est-ce qu’un lieu ?”› Un workshop "Son" mené par Olivier Toulemonde, artiste sonore “Ecoute, expérimentation, enregistrement, montage, installation, diffusion”• Responsable de la coordination des 3e années. Dans ce cadre, mise en place de l’atelier de

Recherche et de Création «accrochage et réaccrochage». Cet atelier est mené par quatre enseignants, deux par sessions qui réunissent chacune la moitié de la promotion des étudiants de 3e année. Ils se déroulent toujours dans les salles d’exposition de l’espace Van Gogh à Arles durant deux semaines en mars 2016. Le dispositif de cet ARC hors les murs, engage les étudiants à prendre une position active, non seulement vis à vis de leur travail mais aussi vis à vis de celui de leurs collègues. À partir d’un travail montré au mur, la parole descriptive puis critique circule entre les étudiants pour aboutir, si nécessaire, à expérimenter, ensemble toujours, un nouvel accrochage.

• Co-responsable avec Paul Pouvreau du projet PARC (Projet Atelier Recherche Chantier). Ce projet pédagogique s’adresse aux étudiants de 2e et 3e années, ainsi qu’aux résidents. Il émane d’une volonté d’impliquer les étudiants dans le suivi du chantier de la nouvelle école. Outre une mission d’enregistrement et de témoignage des évolutions du site et du chantier, il entend aussi mettre en résonance la problématique du chantier avec l’atelier et le travail de l’artiste, comme lieux de formes et matériaux en devenir et lieux de fabrication.

› Pour l’année 2016-2017, nous avons organisé des séances de prises de vue sur le chantier de l’ENSP, mais aussi sur le chantier Luma qui lui fait face› Nous avons expérimenté une séance de prise de vue au drône.› Nous avons mis en place l’outil PARC-ensp, site internet construit sur la base d’une timeline afin de rendre compte chronologiquement de l’activité du chantier et de celle des étudiants engagés dans le projet.› Nous avons invité Stéphane Couturier, Photographe, pour une conférence, une visite de chantier

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et un séminaire critique.› Une exposition a été proposé au sein de l’école en avril 2017 afin de rendre compte de la première phase du chantier et du travail des étudiants du projet.

FABien vAllos

Fabien Vallos est théoricien, auteur, traducteur, éditeur, artiste et commissaire indépendant. Il est docteur de l’Université Paris 4 SorbonneIl enseigne la philosophie dans les écoles d’art d’Arles et d’Angers. Il est responsable de la recherche et du Centre de Recherche Art et Image (CRAI) à l’ENSP d’Arles. Il est directeur des éditions Mix. Le travail théorique de Fabien Vallos consiste en l’élaboration d’une généalogie du concept d’inopérativé ainsi qu’à la préparation d’une philosophie critique de l’œuvre.

Activités pédagogiques au sein de l'ENSP en 2015-2016 • Suivi du travail des étudiants dans le cadre de rendez-vous, Ateliers de recheche et création

(ARC) et lors de bilans tout au long de l’année.• Cours magistral pour les étudiants de 1e année - Histoire de l'œuvre et théorie de l'image. Il s’agit

de déterminer avec les étudiants une interprétation de ce que l’on nomme «histoire de l’art» à partir de la philosophie. Il s’agit par ailleurs de déterminer ce qui fonde la philosophie et les relations que cette pensée entretient avec l’histoire de l’œuvre et de l’art. Il s’agit également de montrer que l’histoire de la philosophie se fonde à partir du moment où il faut distinguer dans l’histoire de la production humaine ce qui est un moyen finalisé et un moyen sans fin. C’est cette histoire singulière (celle de la pensée occidentale) qui est construite dans ce cours. Pour cela, plusieurs grandes périodes sont distinguées afin de comprendre les relations que la production de l’œuvre et des images entretient à la morale, à l’éthique, à la pensée politique et surtout avec la pensée philosophique en tant qu’elle est en mesure de procéder à des classifications et à des réordonnancements de ce qui n’est pas finalisé.

• Cours magistral pour les étudiants de 2e année - Histoire de l'œuvre et théorie de l'image (être moderne). L’objectif de ce cours est d’atteindre la compréhension des trois grandes modernités et surtout des enjeux de la modernité critique pour l’œuvre contemporaine.L’Occident élabore un « tournant » considérable à la fin du 18e siècle qui consiste à penser et à produire ce que nous nommons «modernité critique». Ce cours consiste à tenter de penser ce que signifie le terme « crise » (krisis) en tant que réélaboration des concepts d’œuvre, de singularité, d’individu et de métaphysique. Cette crise a plusieurs conséquences.

• Cours de méthodologie pour les étudiants de 2e année. Acquisition des fondements de la méthodologie de la recherche et de l’épistémologie, et rédaction de leur propre mémoire.Lors des séances du cours, les étudiants sont en mesure de comprendre, à partir d’un cours d’épistémologie, les grands modèles méthodologiques qui ont construit ce que nous nommons recherche en art, en esthétique et en théorie des arts. À partir de cela, ils sont capables de l’appliquer à la détermination du sujet de leur recherche et à la construction d’un processus analytique et critique. Le suivi se fait lors des rendez-vous individuels avec leur directeur de recherche.

• Cours de méthodologie pour les étudiants de 3e année. Acquisition des fondements de la méthode de recherche. En troisième année il s’agit, pour l’étudiant, d’inclure son travail de recherche dans le commun de la recherche (sous forme de laboratoire) et dans un partage des données à partir des laboratoires de recherche et des projets. L’étudiant-chercheur est invité à présenter son travail (dans le cadre des séminaires, des ARC et des projets, des expositions et des invitations), à prendre en charge les modalités de sa publication (contributions aux laboratoires de recherche, publication d’articles, publication de portfolios, réalisation d’exposition, rédaction de textes, etc.) et à achever la rédaction de son mémoire et d’en faire

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une présentation lors d’une soutenance publique.• Co-direction du projet de recherche «Littérature et photographie» entre l'ENS de Lyon et

l'ENSP et entre deux centres de recherche le CERCC et le CRAI.• Direction du projet A.B.C.D. (Aliment.Boisson.Condiement.Document) concrétisé par son

banquet • Co-direction d’un atelier de Recherche et de Création (ARC)• Co-direction du projet de recherche 1723 (pratique curatoriales, éditoriales et photographies)

entre la HEAD de Genève et l'ENSP.• Suivi des mémoires des étudiants de 2e et de 3e années• Responsable du CRAI , développement de ce laboratoire de recherche• Séminaire de recherche pour les étudiants de 3e année et direction du laboratoire FIG. (Figures,

images, grammaires) : laboratoirefig.fr

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Équipe technique

lionel genre

Lionel Genre est né en 1970. Diplômé de l’ENSP en 1996, il travaille ensuite au Centre Interrégional de Conservation du Livre (CICL) sur la mise en place de nombreuses campagnes de numérisation d’images photographiques, notamment celles des collections de la BNF, ainsi qu’en tant que formateur pour les agents de la fonction publique sur les techniques de numérisation de collections. À l’ENSP depuis 1998, il est en charge du laboratoire numérique, de l’enseignement des techniques d’acquisition, de retouche, de stockage et de diffusion d’images (web, PAO). Il dirige également le service informatique de l’établissement, gérant le déploiement des infrastructures réseau et serveur, et il suit les publications de l’école dans le cadre du prépresse et du contrôle qualité des images imprimées.

christiAn l’huillier

Né le 28 octobre 1961 à Cenon (33). Chimiste comme première formation, il bifurque vers la photographie à l’école Louis Lumière pour finir sa formation (diplômé en 1982). Homme des laboratoires, de la chimie photographique et de la technique, il intègre le staff de l’École nationale de la photographie d’Arles où il passera de l’enseignement des techniques de tirage en noir et blanc à celles de la couleur ainsi que la photographie en grand format. Amateur des techniques anciennes en photographie, il pratique ou a pratiqué la plupart des procédés du 19ème siècle.

Dans un désir constant de maîtrise des outils, il a reçu un enseignement en électronique et en éclairagisme. Il a aussi enseigné la sensitométrie, la technologie des surfaces sensibles et la photométrie à des classes de BTS en photographie, pour l’IFROA et donné des stages d’initiation aux techniques de prise de vue à des conservateurs de musée et des stages de tirage sur procédé Cibachrome ainsi que des stages de tirage sur support argentique baryté en NB durant les rencontres d’Arles (92/93) et dans des écoles d’art.

De 2006 à 2008, il a suivi un cursus de formation en maitrise d’éclairage à l’AFE (Association Française de l’Eclairage).

Agent de prévention depuis 2006, il a rédigé et met à jour le Document Unique pour la prévention des risques à l’ENSP.

pAtricK mAssAry

Patrick Massary est né le 3 novembre 1964, après des études en science il obtient le diplôme de l’ENSLL en 1989. Il intègre l’ENSP en 1990 pour l’enseignement de la photographie et de ses techniques. Il est aussi le responsable des ateliers noir et blanc et studio. Jusqu’en 1998, il participe à la logistique et technique des stages du Festival des Rencontres d’Arles, il est aussi maître de stage en 1995. À partir des années 2000, il suit une formation de directeur de photographie et de scénariste pour le cinéma.

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yves plenet

Né à Arles en 1951. Après trois ans de conservatoire de musique de Montpellier, il émigre vers l’Angleterre et l’Irlande et autres cieux au gré des rencontres et opportunités liées à sa guitare.A Paris dans les années 80, en explorant le son il découvre l’image et plus précisément l’outil vidéo : comme stagiaire d’abord puis comme cadreur et preneur de son (captation de spectacles, émissions de télévision, films d’entreprises).Responsable du laboratoire vidéo à l’ENSP depuis 1990.

FrAncK hirsch

Né à Neuilly sur Seine en 1973, diplômé de l'Institut International de l'image et du son en 1998, il s'intéresse très vite à la matière sonore pour devenir ingénieur du son. Entre tournages et post-production, il travaille sur un grand nombre de reportages et documentaires, de la captation au mixage. C’est en 2008, à la suite d'une formation en photographie aux Gobelins, qu'il s'intéresse de plus près aux métiers de l'image, naviguant entre la prise de vue caméra et l’usage des outils de traitement de l'image.Grâce à ces deux décennies de pratique sonore et visuelle, il peut aujourd'hui se confronter sereinement aux diverses nécessités dans la conception et la mis en œuvre de projets audiovisuels (auprès des étudiants notamment). Toujours en activité, présent sur des tournages, ce choix lui permet de veiller aux diverses mutations et innovations technologiques liées à son champ pédagogique.

intervenAnts

jorge AlvAreZ, secrétAire générAl de l’uppJorge Alvarez est photographe indépendant, administrateur de l’AGESSA et Secrétaire Général de l’Union des Photographes Professionnels (UPP). Il intervient, depuis de nombreuses années, aux Matinées Pros du Festival Voies Off, pendant le Festival des Rencontres d’Arles en juillet.

■ À l’ENSP, il intervient dans le cadre des Approches Professionnelles pour les 3ème année.

joerg BAder, Artiste et critique d'ArtNé en 1955 à Zurich, Joerg Bader vit et travaille entre Genève et Belo Horizonte.Artiste, critique d'art, auteur, éditeur, enseignant et commissaire d'exposition, Joerg Bader est directeur du Centre de la Photographie Genève (CPG) depuis 2001. Il entrevoit son travail d’artiste comme une critique qui trouve des formes plastiques, écrites, radiophoniques, éditoriales et curatoriales. Il a monté plus de 80 expositions individuelles et signé une vingtaine d’expositions thématiques dont DE CORAZ(Ò) en 1999 à Tecla Sala à Barcelone, REPRÉSENTATION DU TRAVAIL/TRAVAIL DE REPRÉSENTATION en 2003, PHOTO-TRAFIC en 2006, LA REVANCHE DE L’ARCHIVE PHOTOGRAPHIQUE en 2010, fALSEfAKES en 2013 et CAMÉRA(AUTO)CONTRÔLE en 2016, toutes au CPG, OPEN FRAME I & II au C.R.A.C. à Sète en 2011 et L’ANGE DE L’HISTOIRE au Centre d’art Contemporain Walter Benjamin à Perpignan en 2014. Il a également écrit des essais au sujet des œuvres de Balthasar Burkhard, Philippe Durand, Yan Duyvendak, Michel François, Anton Henning, Anish Kapoor, Gianni Motti, Orlan, Peter Piller, Marco Poloni, Koka Ramishvili, Guadalupe Ruiz, Jules Spinatsch, Bruno Serralongue, Elaine Sturtevant, Angel Vergara, Jeff Wall, Patrick Weidmann et Tom Wood.

■ En 2016-2017, Joerg Bader intervient dans le cadre d'un ARC avec Caroline Bernard pour les 2e

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année. Il propose également une conférence sur l'exposition CAMÉRA(AUTO)CONTRÔLE qui a eu lieu au Centre Photographique de Genève.

jeAn-christophe BAilly, écrivAin, docteur en philosophieJean-Christophe Bailly est écrivain, essayiste, poète, docteur en philosophie. Son œuvre littéraire, poétique et philosophique est multiple et elle se déploie également dans de nombreux domaines artistiques : théâtre, peinture, photographie et plus largement arts plastiques, architecture, urbanisme. Depuis 1997, il enseigne l’histoire du paysage à l’École nationale supérieure de la Nature et du Paysage de Blois où il est également directeur de publication des « Cahiers de l’École de Blois ».Publications récentes :• Changements à vue, avec Alexandre Chemetoff, Arléa, 2015 • Col treno – Photographies de Bernard Plossu, Argol, 2014• Sur la forme, Manuella éditions, 2013• Bernard Moninot, Marseille, André Dimanche, 2012• Les Cahiers de l’Ecole de Blois, n°10 /2012, collectif, Editions de la Villette, 2012.

■ Il anime un séminaire pour les 2ème et 3ème années à l’ENSP.

jordi BAllestA, chercheurChercheur associé à l’UMR Géographie-cités et au CIEREC (Université Jean Monnet), Jordi Ballesta travaille actuellement sur les pratiques de notation photographique développées par les géographes et architectes américains de l’ordinaire, tout comme sur la pensée paysagère de John Brinckerhoff Jackson. Habitant durablement la Grèce, il mène également des recherches photo-géographiques sur ce pays.

■ En 2016-2017, il intervient dans le cadre d'une Rencontre éditions, organisée par Gilles Saussier et Marie Viguié, autour de l'ouvrage de John Brinckerhoff, Habiter l'Ouest

dAvid BAlicKi, photogrApheEn 1987, il passe un an dans un lycée américain où il s’initie à la photographie et au journalisme. Entre 1990 et 1993, il fait ses études à l’École nationale supérieure de la photographie à Arles.Attiré par la littérature américaine, il retourne en 1996 aux États-Unis, notamment dans l’ouest, pour y réaliser une série de portraits d’écrivains. A son retour, après publications de ces images, il commence à travailler en commande pour la presse (Libération, Le Monde, Télérama, L’œil Electrique, etc.). En 1997, on lui confie un projet sur la banlieue parisienne, autour de la ville des Mureaux, qui donnera lieu à l’exposition Espace vécu. Entre 1997 et 2004, il travaille régulièrement pour Aden, un supplément du Monde, ce qui lui permet de photographier de nombreuses personnalités dans le domaine de la culture. Il devient parallèlement photographe pour les éditions Stock.En 2005, les Rencontres d’Arles ont commandité et exposé sa série de portraits d’arlésiens.David Balicki a dirigé un stage de photographie aux Rencontres d’Arles en 2012.

■ En 2016-2017, il intervient dans le cadre d'un workshop concernant la prise de vue de portraits.

cArlos BArrAntes, photogrAphePhotographe et tireur, Carlos Barrantes a installé son atelier artisanal en 1993 à Palma de Majorque, puis en 2006, dans le sud de la France, à Saint-Estève, près de Perpignan. Initialement spécialisé en Platinotypie et autres procédés historiques et alternatifs (photochimiques), il y ajoute les impressions pigmentaires numériques Fines Art/Digigraphie en N&B et en couleur. Dans son atelier, Carlos Barrantes réalise, d’une part des tirages sur cartoline argentique traditionnelle (FB). Parallèlement, son travail photographique, composé essentiellement de séries, a été exposé en

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Espagne et dans plusieurs pays d’Europe et fait de diverses collections publiques et privées. ■ En 2016-2017, il a animé un workshop sur les procédés anciens pour les étudiants de 2e année.

KArim Bel KAcem; metteur en scèneKarim Bel Kacem commence une formation de comédien au conserva toire d’art dramatique du VIe arrondissement de Paris. Après ces deux années de formation, il fait des stages auprès de metteurs en scène comme Peter Brook (Mesure pour Mesure) et Ariane Mnouchkine. Il intègre la Manufacture (HET SR) en 2009, en jeu d’acteur. Après un an et voulant bouleverser son rapport à la scène, il intègre la HEAD (Haute école d’art et de design de Genève) où il étudie l’installation d’espace et la sculpture avec Katharina Hohmann et Christian Gonzenbach, puis la performance avec Yan Duyvendak et Christophe Kihm. Entre juin et septembre 2012, il assiste Dora Garcia à Kassel dans le cadre de l’invitation de l’artiste pour la Documenta 2012. Entre septembre 2012 et juin 2013, il est acteur pour le metteur en scène hongrois Arpad Schilling sur la pièce Noéplanete créée au Théâtre Na tional de Chaillot, puis assistant à la mise en scène sur Pro/vocation à Vidy (spectacle de sortie de la promotion F de la Manufacture). Il écrit et met en scène dans le cadre du Belluard Festival 2013 You will never walk alone, une conférence-performance autour des liens entre sport et politique (reprise à la Villa Arson de Nice, au BAT de Berlin et au Centre Culturel Suisse de Paris). Il conçoit la même année le projet Klérotérion, un projet participatif de loterie artistique pour le far° festival à Nyon. En 2012, il amorce le projet « Pièces de chambre » en collaboration avec le réalisateur Adrien Kuenzy. Cette série de pièces explore les zones d’interstices entre théâtre et cinéma autour d’un dispositif. Les deux premiers volets (BLASTED et GULLIVER) ont été créés et tournent à ce jour entre la Suisse et la France. Depuis avril 2014, il co-écrit et joue avec Milo Rau sur Civil Wars, créé au Kunstenfes tivaldesarts à Brussels. Il est artiste-résident au Théâtre Saint-Gervais de Genève. En juin 2015, il cosigne CHEER LEADER avec la chorégraphe Maud Blandel. Parallèlement, il développe le projet FORCE DE FRAPPE s’entourant d’étudiants en communication visuelle et en travail social pour créer un labo ratoire à initiatives dans le but d’attirer l’attention sur la situation des Roms à Genève. Une exposition, fruit de ce travail, sera présentée en février 2016 au Théâtre Saint-Gervais. En mai 2016, il cosigne avec Julie Bérès la mise en scène d’Orphéo de Monteverdi dans la petite salle de l’Opéra Bastille. En 2018, il amorce le projet de recherche Profanation qui proposera à cinq réalisateurs de questionner la relation son/image à l’intérieur d’un dispositif scénique.

■ En 2016-2017 Karim Bel Kacem intervient auprès des étudiants du projet Anima au côté de Caroline Bernard.

Fred Boucher, co-directeur des éditions diAphAneFred Boucher est un ancien étudiant de l’École nationale supérieure de la photographie. Il est aujourd’hui photographe, responsable des éditions Diaphane et créateur du Festival Les Photaumnanles de Beauvais.Publications :• Les thés dansants, Diaphane éditions, 2011• Ils ont du temps à perdre, nous, non, Centre départemental de documentation pédagogique

d’Amiens, 2003• Petites histoires, Les imaginayres, 2003

■ En 2015-2016, il a co-animé, avec Michel Paradinas, le workshop pour "catalogue des diplômés".

dieudonné cArtier, ArtisteNé en 1988. Vit et travaille à Bruxelles. Dieudonné Cartier oriente sa démarche artistique autour de questions relatives à l'archive, au dispositif, à la notion de signature et au statut du document dans le champ de l’art. Il est l’auteur d’expositions aux formats atypiques dont l’objet est de rendre public le champ de réflexion

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gravitant autour d’une œuvre.

phillipe chAncel, photogrApheNé en 1959 à Issy les Moulineaux, Philippe Chancel vit à Paris.Depuis plus de vingt ans, il poursuit une expérience photographique dans le champ complexe, mouvant et fécond, entre art, documentaire et journalisme. Un travail en constante évolution sur le statut des images quand elles se confrontent elles-mêmes à ce qui fait "images" dans le monde contemporain. Initié très jeune à la photographie, Philippe Chancel poursuit des études de sciences économiques à l'université de Nanterre et de journalisme au CFPJ de Paris.Des reportages successifs dans les ex-pays de l'Est marqueront ses débuts dans le photojournalisme. Son travail a été largement montré et publié en France et à l'étranger dans les plus grands magazines du monde entier. Il a affirmé progressivement une nouvelle approche de la photographie documentaire, en particulier avec son travail sur le monde de l’art contemporain qui a fait l’objet de plusieurs ouvrages. DPRK, sa vision de la Corée du Nord, a été montré pour la première fois aux Rencontres d'Arles (2006), suivi d'autres expositions comme au C/O Berlin, à la Photographer's Gallery à Londres ou dans le cadre du Deutsche Börse Photography Prize (prix du public 2007). Philippe Chancel a également exposé à New York au sein de la Open Eye Society Foundation. DPRK a fait l'objet d'un livre aux éditions Thames&Hudson, ce qui lui a valu le début d'une reconnaissance internationale. Emirates project a été présenté pour la première fois à la 53e Biennale de Venise (pavillon d'Abou Dhabi) avec Catherine David comme commissaire, puis à l'exposition Dreamlands au Centre Pompidou (commissariat Quentin Bajac) en mai 2010. D'autres expositions ont suivi à travers le monde. Deux ouvrages (Dubaï aux éditions Be-pôles, et Desert Spirit, aux éditions Xavier Barral), rendent déjà compte pour une part de ce corpus. Emirates Workers, aux éditions Bernard Chauveau, constitue le quatorzième ouvrage de l'artiste. Philippe Chancel travaille actuellement sur un nouveau terrain documentaire intitulé Datazone, qui cherche à montrer sous ses multiples facettes et par une écriture singulière, des territoires surexposés ou au contraire inconnus des radars médiatiques. Ce projet l'a déjà mené de Port-au-Prince à Kaboul en passant par Fukushima, Barnaoul, Astana, l’Afrique du Sud, le Delta du Niger ou encore à plusieurs reprises en Corée du Nord. Il est finaliste du Prix Pictet 2012 pour son travail sur Fukushima intitulé Fukushima : The Irresistible Power of Nature. Il expose aux Rencontres d’Arles 2013 son travail sur les mineurs de platine en Afrique du Sud. En 2014, il est nominé pour le premier prix Elysée et lauréat de la dotation du festival Photoreporter en baie de St Brieuc. Ses œuvres sont présentes dans de nombreuses collections publiques et privées et il poursuit un travail de commande pour de grandes institutions culturelles en France et à l’international.

■ Philippe Chancel a tenu une conférence dans le cadre des Rencontres Photographiques DES RIVES

mAtthieu cheruBini, designerIl a étudié l’ingénierie informatique et obtenu en 2011 un Master en Media Design à la HEAD, Genève. En 2012 il a débuté un M.Phil en Interaction Design au Royal College of Art à Londres. Ses travaux sur le réseau et les interactions homme-machine ont été présentés au niveau international, notamment dans les expositions File (São Paulo, Rio), re-new (Copenhague), NEM Art and Design Contest (Torino), Transitio_MX 04 (México), Amber (Istanbul), Robots and Avatars (FACT, Liverpool).

ArnAud clAAss, Artiste et théoricien de lA photogrAphie Arnaud Claass est un photographe, écrivain, enseignant et théoricien de la photographie français.Arnaud Claass est né à Paris en 1949. Après avoir poursuivi des études musicales, il découvre la photographie en 1968. En 1969 et 1970, il est assistant à New York, puis à Montréal. De 1970

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à1975, il réalise aux États-Unis, au Canada, au Mexique et en Europe du Nord des reportages qu'il publie dans la presse française. Depuis lors, il ne se consacre qu'à son oeuvre personnelle, axée sur la mobilité du regard, le questionnement des apparences immédiates, la richesse des perceptions visuelles au quotidien et leur transcription dans les langages photographiques.Critique à la revue La Nouvelle Critique (1973-1976). Cofondateur et rédacteur, Contrejour (1976), Les Cahiers de la photographie (1981). Membre du comité de rédaction de la revue Infra-mince (ENSP/Arles). Auteur de livres de réflexion sur la photographie et les arts visuels.

■ Professeur à l'ENSP depuis sa fondation jusqu'en 2014. ■ Directeur artistique de deux doctorants du doctorat de création , il anime le séminaire doctoral,

également ouvert aux étudiants de 3e année.

stéphAne couturier, photogrApheNé en 1957. Vit et travail à ParisLe travail de Stéphane Couturier est un travail photographique essentiellement de grands formats en couleurs pris à la chambre ou au moyen format. Il traite principalement des formes de l’architectures ( chantiers, usines, paysages urbains et complexes urbains). Ces approches s’accompagnent également d’ enregistrements vidéos souvent projetés ou sur moniteurs.

■ En 2016-2017, il intervient dans le cadre du projet Chantier au côté de Paul Pouvreau et Muriel Toulemonde. Il propose également une conférence présentant son travail.

Éric dAyre, proFesseurProfesseur de littératures comparées à l’ENS de Lyon. Fondateur et Directeur du CERCC (Centre d’études et de recherches comparées sur la création). Directeur des Collections : Signes, ENS Editions ; "Échanges Littéraires", Editions Hermann.Ses axes de recherches : Littérature européenne, domaines anglais, allemand, français, Littérature et philosophie - Littérature et politique - Autobiographie, essais autobiographiques, fictions critiques - Romantismes en Europe - Polémique, dissension et littératures - Prose et poésie - Théorie littéraire - Théorie de la traduction. Texte et images.

Kristin dittrich, ArtisteKristin Dittrich, a obtenu un master Histoire de la photographie, Commissariat et développement de la photographie à l’International, à La Sorbonne, Paris. En parallèle de ses études en France, elle a travaillé comme commissaire d’exposition et enseignante. Elle a apporté son expertise en photographie contemporaine sur de nombreux travaux et projets d’artistes étrangers. À cette époque, on la comptait parmi les équipes de Paris Photo à Paris, de la Documenta 13, à Kassel, et de la Kunsthalle Rudofinum à Prague. Au début des années 2000, de retour en Allemagne, elle organise plusieurs expositions et festivals de photographies ayant pour thème principal l’Existence Humaine.Kristin Dittrich est en outre la fondatrice et directrice artistique du festival international de photographie F/Stop à Leipzig depuis 2011.En 2014, elle lance le projet d’une école de commissariat et de photographie à Dresde, The SHIFT School.En 2016, Gerhard Steidl, célèbre éditeur et imprimeur, fait don de toute sa collection de livres à la SHIFT School.

■ En 2016-2017, elle intervient dans le cadre d'un ARC au côté de Caroline Bernard et Tadashi Ono. elle propose également une conférence

rémy FAucheux et mAthieu chAron, éditeursTous deux directeurs de RVB BOOKS, qui est à la fois une maison d'édition indépendante consacrée à la conception et à la réalisation de livre d'artiste et un lieu d'exposition dédié aux nouvelles

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pratiques éditoriales ■ En 2016-2017, ils sont invités par Lionel Genre dans le cadre d'un workshop sur le livre de

photographie contemporain pour le 2e années. Ils donne également une conférence sur les enjeux contemporains de l'édition photographique.

joséphine Forge, proFesseur d’AnglAisProfesseur d’anglais ; elle est née à Buckinghamshire en 1955. Après avoir étudié la littérature française à Londres, elle s’installe en France, prépare une maîtrise et un D.E.A. d’études anglophones et opte pour l’enseignement, d’abord en Angleterre et en Afrique, puis en France. Professeur depuis plus de vingt ans en B.T.S. à Miramas, elle assure les cours d’anglais à l’E.N.S.P. depuis 1991 et travaille également comme traductrice. Son programme pour l’enseignement de l’anglais en tant que deuxième langue a été publié en 1993. À travers une approche grammaticale, lexicale et culturelle, ce cours permet un approfondissement des connaissances de la langue anglaise, à l’écrit et à l’oral.

julie c.Fortier, Artiste et enseignAnteJulie C. Fortier est née en 1973 à Sherbrooke (Québec, Canada) et vit à Rennes depuis 2001. Diplômée en 2015 de l’école de parfumerie Le Cinquième Sens à Paris, elle est aussi titulaire d’une maîtrise de l’École des arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal. Récemment en résidence à Black Garlic à Paris, son travail a fait l’objet d’expositions personnelles notamment chez Florence Loewy by artists à Paris, à La base d’appui d’Entre-Deux à Nantes, à La Criée, Centre d’art contemporain de Rennes, à la VF galerie à Marseille, au Centre Clark à Montréal, à la galerie Art & Essai à Rennes et à la galerie La Box à Bourges. Depuis 1999, son travail a été présenté dans de nombreux festivals, événements et expositions collectives tels que Chrématistique au CNEAI à Chatou (FR), Vertiges au Centre d’art Micro-Onde à Vélizy-Villacoublay, Art by Telephone au Emily Harvey Foundation à New York (US), Heureux comme Sisyphe au centre d’art de La Garenne Lemot à Clissons (FR), Interfaces au Quartier à Quimper, Experimenta Playground au Arts Centre de Melbourne, Face LIFT à la Kitchener-Waterloo Art Gallery à Kitchener au Canada, MAK Nite au Musée d’arts appliqués et d’art contemporain de Vienne, Future_Feed_Forward à la Forest City Gallery de London au Canada, Single Channel à la galerie Blaffer à Houston et Trames horizontales / défilement vertical au Musée du Québec à Québec.

AlBert giordAn, photogrApheAlbert Girordan est un photographe français né en 1943. Après des études d’architecture, il exerce diverses activités dans le domaine de la photographie appliquée puis s’investit à part entière dans son travail d’auteur à partir de 1977.Lors de sa participation à la Mission photographique de la DATAR, il s’intéresse aux espaces commerciaux à la bordure des villes et réalise des montages adoptant une technique numérique novatrice pour l’époque. Dans ses images, les marques et enseignes deviennent des formes abstraites et des aplats dépourvus de sens. Il participe en 1992 à un travail de commande en association avec l’écrivain Michaël Glück aux côtés des photographes Natacha Noirclère et Karl Kugel. Dans ce cadre, il réalise la série Au train où vont les choses avec des prises de vue de paysages associées à un flou de bougé. Cette commande collective fera l’objet de la publication Les grandes lignes (1992).Ces deux expériences de commande restent marginales dans le parcours d’Albert Giordan. Il se consacre depuis à une pratique photographique de studio.

pierre heBBelincK, Architecte et éditeur Pierre Hebbelinck obtient son diplôme d’architecture de l’Institut Lambert Lombard à Liège

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(Belgique) en 1981. L’année suivante, il ouvre son atelier d’architecture et conjugue son travail d’architecte avec celui de conférencier d’architecture en Belgique, en France, en Europe de l'Est et en Amérique Latine où il se rend pour des missions de diplomatie culturelle.En 1996 et en 2002, il représente la Belgique à la 6ème et la 8ème Biennale d’Architecture de Venise. En 2002 il reçoit le prix Baron Horta pour la réalisation du Musée des Arts Contemporains au Grand Hornu à Mons. En 2004, il fonde les Editions Fourre-Tout, qui comptent aujourd’hui une vingtaine d’ouvrages à son actif. En 2015, il reçoit le titre de Chevalier de l’Ordre de l’Art et des Lettres par le Ministère français de la culture et de la communicationEn 2016, les Editions Fourre-Tout réalisent l’ouvrage « Nouvelles Richesses – New Riches » et sont commissaire adjoint au Pavillon Français à la 15ème Biennale de Venise avec le Collectif AJAP14 et Obras. Parallèlement à cet évènement, il organise un café littéraire abordant la thématique de l’Architecture et la Politique sur base du livre dé-livré, publié suite à l’abandon du projet de Centre Pompidou Provisoire de Maubeuge.

■ Pierre Hebbelinck est invité par Gilles Saussier et Marie Viguié, dans le cadre des Rencontres éditions de la Bibliothèque, pour présenter sa maison d'éditions et l'ouvrage Dé-livré.

FrAncK hirsch, ingénieur du sonFrank Hirsch est chef-opérateur son, ingénieur du son studio et réalisateur de librairies de bruitages et de clips musicaux. Franck Hirsch a surtout travaillé à la télévision, avec de grands documentaristes comme Rémi Lainé, Daniel Karlin ou Serge Moati.Le film documentaire Mosquées de Paris, de Jean-Michel Riera et Franck Hirsch a été projeté le 16 octobre 2009 à L’institut des Cultures d’Islam à Paris.

FrAnçoise goriA et pAscAl poyet, éditeurNées en 1998, les éditions contrat maint, dirigées par l’artiste Françoise Goria et le poète et traducteur Pascal Poyet, publient des textes d’artistes et de poètes contemporains, des traductions, des textes de traducteurs, des essais…La forme des ouvrages (A4 plié en quatre agrafé dans une couverture de couleur) « traduit » celle de la Literatura de cordel brésilienne (ouvrages brefs qu’il était d’usage d’accrocher à des cordes pour les vendre.)Les textes sont écrits directement « au format » ou bien donnent des nouvelles d’un travail en cours, ils proposent une réflexion sur une pratique ou bien sont les prémices d’un ensemble qui sera visible ailleurs, autrement. Ou encore, ils ont vu le jour dans un contexte différent (autre support, autre langue) et sont prélevés et traduits. Chaque texte et sa rencontre avec contrat maint, son format, son mode de diffusion, est l’occasion d’une expérience singulière au sein d’un travail (d’artiste, d’écrivain, de traducteur, etc.)Éditions au coût réduit, autofinancées, entre livre et lettre, entre lettre et revue, contrat maint est vendu dans quelques librairies et diffusé par abonnement dans une enveloppe format lettre. Chaque titre est tiré à 500 exemplaires : c’est un stock pour lequel il faut trouver le plus grand nombre de destinations.101 titres parus à ce jour. Parmi les derniers auteurs et artistes publiés: François Deck, John Cage, David Antin, Madeleine Aktypi, Emmanuel Fournier, Rosmarie Waldrop, Emmanuel Hocquard, Lisa Robertson...

■ Françoise Goria et Pascal Poyet sont invités par Gilles Saussier et Marie Viguié, dans le cadre des Rencontres éditions de la Bibliothèque

julien de Kerviler, écrivAinJulien de Kerviler est né en 1977. Il a enseigné pendant sept ans dans des universités chinoises, et publié deux romans aux Éditions de L'Ampoule.Désormais, il enseigne le français au lycée.

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■ En 2016-2017, il intervient dans le cadre du projet Usage du temps et propose une conférence sur le travail de Michel Butor et son ouvrage L'emploi du temps yAnn Kopp, ArtisteJan Kopp est né en 1970 à Francfort-sur-le-Main (Allemagne). Il est diplômé de l' École Nationale Supérieure des Beaux-arts à Paris en 1996, après des études de philosophie à Paris IV, La Sorbonne. Il était artiste en résidence au PS1 / Moma à New York (1999-2001) et a obtenu plusieurs autres résidences en Europe. Il vit et travaille à Lyon et à Paris. Ses projets récents incluent des expositions personnelles au Centre Pompidou, Paris (2015), Centre d'art la Criée (2013, France) Centre d'art contemporain, Abbaye de Maubuisson (2011, France), Kunstraum Dornbirn (2010, Autriche) au FRAC Alsace, (2008, France), au Centre d'art de la Bastille, Grenoble (2008, France) et à Martos Gallery à New York (2008). Jan Kopp a participé à de nombreuses expositions collectives internationales parmi lesquels sont Clockwork , PS1 / MOMA, New York (2000), la 6 e Biennale de Lyon (2001, France), Traversée , Musée d'art Moderne de la Ville de Paris (2002), I Need You, Kunsthaus Biel / Bienne, Suisse (2004), Singuliers , Musée d'art moderne, Canton, Chine (2005), traduction, MMOMA, Moscou (2008), Fragile, Musée d'art contemporain, St Etienne, France (2009), Res Publica, MMOMA, Moscou (2010), architecture, Utopies, Desssin, MNAC, Bucarest (2011) et Le Nouveau festival(2012) Centre Georges Pompidou. Jan Kopp est représenté par la Galerie Eva Meyer, Paris – Francfort-sur-le-Main et la Galerie Laurence Bernard, Genève. Depuis 2015, il est professeur à ESACM (Ecole Supérieure d'Art de Clermont Métropole).

■ En 2016-2017, il a été invité à participer au projet chantier avec les 2e et 3e années. Il a également tenu une conférence.

christiAn milovAnoFFAprès des études universitaires supérieures en sociologie et en ethnologie, il se consacre dès 1976 à la photographie. Privilégiant les espaces fermés, musées, supermarchés, bureaux et faisant de ces lieux son propre atelier photographique, son travail se situe à l’intersection de la fiction et du documentaire. Dernière Publication : BUREAUX, Nouvelles éditions Scala, Octobre 2015.

■ De 1982 à 2014, il enseigne comme professeur à l’École nationale supérieure de la photographie à Arles. Depuis 2015, il y intervient comme conférencier dans le cadre d'un cours aux étudiants de 1e année et comme intervenant extérieur dans des bilans pédagogiques.

AnnA plAnAs, gAleriste et éditriceAnna Planas est co-fondatrice de Temple, une galerie située dans le Haut-Marais destinée à présenter une nouvelle génération d'artistes et réaliser des éditions limitées. Elle développe des projets liés à l'image et à l'édition et a participé à la création et au développement de Magnum Gallery jusqu'en 2012.

michel pArAdinAsPhotographe longtemps actif à Toulouse et apprécié pour son travail de tireur noir et blanc, exilé depuis quelques années à Niort, il présente «Le sens de la marche», fruit coloré et mouvant de ses voyages ferroviaires entre Paris, Niort, Arles et Strasbourg. «En TGV sur le trajet je n'arrive pas à travailler sur l'ordinateur donc je me suis remotivé pour photographier grâce au téléphone.» Car, en effet, les images présentées - paysages, végétation, architecture, etc. - proviennent d'un téléphone mobile, mais n'en laissent rien paraître. «Avant, je consommais beaucoup de pellicules. L'avantage avec le numérique est que l'on peut encore plus effectuer d'images et les logiciels qui permettent de ranger, classer les clichés sont très utiles et ludiques. Le travail sur ces images prises avec mon smartphone n'est pas le même que celui accompli avec l'argentique mais il m'émeut

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tout autant.» Le reflet sur la vitre du wagon s'impose parfois, le cadre de la fenêtre se révèle aussi pour donner du champ sur les champs et les teintes magnifiées enveloppent ces clichés furtifs mais anticipés puisque Michel demeure toujours dans le sens de la marche.Michel Paradinas est aussi gérant des Editions les Imaginayres-les Imaginayr qui a été créée en 2000.

■ En 2015-2016, il a co-animé avec Fred Boucher le workshop "catalogue des diplômés".

Aurélie petrel, Artiste et photogrApheNée en 1980, elle vit et travaille à Paris et Genève. Au gré des rencontres et des collaborations, ses oeuvres ne cessent de questionner l’image, son statut, sa (re) présentation et son activation, ses processus de production. L’artiste ne se dit pas photographe : elle déconstruit, retisse, interroge aux confins des média. En explorant les marges, elle fait naître un parcours faisant résonner le matériau photographique dans un dialogue à mille voix. Comme une dialectique du même et de l’autre, elle décline sans jamais répéter, révèle ce qui est là, en creux, ne montre pas. Mais Aurélie Pétrel est photographe : les enjeux de ses prises de vue ne sont jamais anodins. Leur déclenchement donne l’impulsion d’une écriture en partition, il est le mouvement premier qui rend possible tous les suivants. En floutant les frontières entre œuvre, représentation et monde vécu, elle métamorphose notre regard.

■ En 2016-2017, elle intervient au sein de l'ARC organisé par Nicolas Giraud et Fabien Vallos. Elle propose également une conférence présentant son travail.

mireille porterie, relieuseMireille Porterie est relieuse et restauratrice de documents anciens au Centre interrégional de Conservation d Livre d’Arles. Elle est également formatrice pour l’association l’Atelierre.

■ Elle anime l’atelier reliure à l’ENSP pour les étudiants de 2ème et 3ème années.

dAvid poullArd, grAphisteDavid Poullard partage sa vie entre l’enseignement, la commande et le « hors commande », mais il reste toujours au service des mots. Les mots, et les lettres qui leur donnent forme, tel est le champ d’investigation de ce dessinateur typographe qui réalise aussi bien des travaux de signalétique que des projets personnels, à la fois recherches graphiques et linguistiques. Ses productions, explorations sociologiques, linguistiques et patrimoniales, interrogent le rapport entre écriture et pratiques sociales. Elles détournent les inscriptions de la rue et jouent avec leurs origines populaires.Après avoir étudié à l’école Estienne et au Centre d’étude de l’écriture de Jussieu, David Poullard intègre l’Atelier national de recherche typographique en 1997. Il a notamment réalisé, en 2001 et en 2004, des polices de caractères pour la signalétique de stations de métro et de RER. En dehors des commandes, il travaille, en collaboration avec Guillaume Rannou et Florence Inoué, à questionner nos habitudes langagières. L’ouvrage Précis de conjugaisons ordinaires (2006) extrait du langage quotidien des locutions, les passe à l’infinitif puis les conjugue à tous les modes et temps.David Poullard a enseigné la typographie et le graphisme à l’École des beaux-arts d’Amiens et à celle du Havre. Il assure, depuis 2002, le suivi des projets de fin d’étude du DSAA communication visuelle de l’école Olivier de Serres.

■ En 2016-2017, il est intervenu à l’ENSP dans le cadre de l'atelier "Espaces imprimés".

sylvAin prudhommeSylvain Prudhomme est écrivain et vit dans les Bouches-du-Rhône. Il a passé son enfance dans différents pays d'Afrique (Cameroun, Burundi, Niger, Ile Maurice) avant de venir étudier les Lettres à Paris, puis de diriger de 2010 à 2012 l'Alliance franco-sénégalaise de Ziguinchor, au Sénégal.Il a collaboré à la revue Geste et au journal Le Tigre.

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■ En 2016-2017, il est intervenu auprès des étudiants de 2e année pour animer un atelier d'écriture.

AlexAndre quoi, mAître de conFérences en histoire de l’Art contemporAin à l’université d’Aix-mArseilleAlexandre Quoi est docteur en Histoire de l’art. Il enseigne depuis 2008, et depuis 2013 il est Maître de conférences en Histoire de l’art contemporain à l’université d’Aix-Marseille. Il a été commissaire associé de l’exposition « Vues d’en haut », du Centre Pompidou Metz en 2013, et Co-commissaire avec Guillaume Leingre de l’exposition « Anti-vision. Revues, livres d’artistes et documents imprimés » à la galerie SEE Studio de Paris. Son champ de recherche s’étend à plusieurs domaines :• Histoire de la photographie ; rapports entre peinture et photographie ; photoconceptualisme• Histoire de l’art américain et européen des années 1960 et 1970• Nouveaux médias ; livres et revues d’artistes• Histoire de l’exposition ; musées d’artistes ; critique institutionnelle• Interactions entre art, littérature et sciences humaines

■ Il intervient à l’ENSP pour le suivi du mémoire.

jeAn-pierre rehm, délégué générAl du Fid – FestivAl internAtionAl de cinémA de mArseilleAprès des études de lettres modernes et de philosophie, Jean-Pierre Rehm se consacre à plusieurs activités : enseignement de l'histoire et de la théorie des arts et du cinéma, commissariat d'expositions, rédaction de monographies, collaboration aux Cahiers du cinéma.A partir de 2002, il exerce les fonctions de délégué général du FID de Marseille. Chaque année, début juillet, le FIDMarseille, Festival International de Cinéma de Marseille, présidé par Paul Otchakovsky-Laurens et dirigé par Jean-Pierre Rehm, propose un programme de 130 films à près de 23 000 spectateurs, dans des cinémas, théâtres, bibliothèques, galeries d’art, amphithéâtres en plein air, à Marseille. Le festival présente un grand nombre de films en première mondiale, de premiers films, et s’impose aujourd’hui comme un gisement de nouvelles cinématographies, productions documentaires aussi bien que fictions.Le FIDMarseille organise également le FIDLab, plateforme de soutien à la coproduction internationale, le FIDCampus, atelier de formation d’étudiants méditerranéens, et de nombreuses projections hors les murs pendant toute l’année.

till roesKensAmateur de géographie appliquée, Till Roeskens appartient à la famille des artistes-explorateurs. Son travail se développe dans la rencontre avec un territoire donné et ceux qui tentent d'y tracer leurs chemins. Ce qu'il ramène de ses errances, que ce soit sous la forme d'un livre, d'un film vidéo, d'une conférence-diaporama ou autres formes légères, ne se voudrait jamais un simple rapport, mais une invitation à l'exercice du regard, un questionnement permanent sur ce qu'il est possible de saisir de l'infinie complexité du monde. Ses «tentatives de s'orienter» s'élaborent avec le souci récurrent de toucher un public non averti et de rendre les personnes rencontrées co-auteurs de l'œuvre.

■ En 2016-2017, il a été invité par Muriel Toulemonde pour donner une conférence, animer un workshop et un séminaire critique pour les étudiants de 2e année.

BenjAmin rouletPhotographe vit et travaille en Arles.

■ En 2015-2016, il a animé un workshop "retouche numérique" pour les étudiants de 2e année.

BertrAnd stoFleth, photogrApheNé en 1978, vit et travaille à Lyon.

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Après des études universitaires en Histoire de l’art, il sort diplômé de l’Ecole nationale supérieure de la photographie d’Arles en 2002.Ses recherches artistiques portent sur les modes d’habitation des territoires et interrogent les paysages dans leurs usages et leur représentation. Dans la série Autour du belvédère (2001-2005), il travaille sur l’écriture d’une mémoire à partir d’une géographie recomposée. Les observatoires photographiques du paysage menés au sein du PNR des monts d’Ardèche depuis 2005 (exposé aux Rencontres d’Arles 2012) et dans la vallée de l’Hérault depuis 2010, sont une exploration du temps des transformations du territoire. Ces travaux sur les mutations du paysage se poursuivent depuis 2011 en milieu urbain dans le cadre de résidences artistiques au sein du centre hospitalier de Chambéry (Transplantation) et au cœur des grands ensembles résidentiels à Bron. Avec le travail de Rhodanie, paysages déclassés (depuis 2008), il constitue, par le biais de mises en scène, une iconographie du quotidien intégrant les différents aménagements et usages d’un fleuve. Il poursuit sa collaboration avec le photographe Geoffroy Mathieu, en créant un observatoire photographique du paysage depuis le chemin de grande randonnée périurbain GR2013. Ce projet a été labellisé Marseille-Provence 2013 capitale Européenne de la Culture et commande publique du CNAP (Centre national des Arts Plastiques).

olivier toulemonde, Artiste sonoreMusicien de formation, il travaille en improvisation libre, mais participe aussi à des performances sonores et pluridisciplinaires comme "Tous les objets qui servent à enfoncer des clous ne sont pas des marteaux", avec Gaëtan Bulourde ou "Sismographe", avec Nicolas Desmarchelier et Yukiko Nakamura. Il a joué dans toute l'Europe, ainsi qu'aux Etats-Unis et au Canada.Il réalise également des installations sonores (Kunstverein à Heidelberg, festival Courant d'Art à Bourg-en-Bresse, festival Remor à Girona, Q-o2 à Bruxelles, Buda à Courtrai...) qui invitent à l'écoute et dans lesquelles la perception de l'auditeur est intimement liée à l'espace dans lequel il évolue.Il compose des bandes-son pour la vidéo, notamment celles de Muriel Toulemonde, qui ont été diffusées dans de nombreux musées et expositions à travers le monde et dont les œuvres figurent dans les collections du Fonds National d’Art Contemporain (Paris), du FRAC Limousin (Limoges), du Domaine de Chamarande (Essonne) et du Centre Pompidou – Musée National d’Art Moderne.Il réalise des pièces radiophoniques et des documentaires sonores pour la radio, qui ont notamment été produites par Arteradio, l'Atelier de Création Sonore Radiophonique de Bruxelles et Deutschlandradio Kultur à Berlin.

■ En 2016-2017, il intervient dans le cadre d'un Workshop Son auprès des étudiants de 2e et 3e années. Il propose également une conférence-performance au sein de la Galerie Arena.

yves tremorin, ArtisteYves Trémorin est né en 1959 à Rennes. De 1978 à 1983 il poursuit des études supérieures de Mathématiques à l’université de Rennes I. L’ensemble "Cette femme-là", en 1983 pose ses principaux axes de travail : mises en scène dans un dispositif paramétré de manière rigoureuse, utilisation du médium dans sa spécificité propre, objectivité quasi scientifique. Il est membre fondateur du groupe Noir Limite 1986-1991. Après des travaux exclusivement en vidéo We Others (1996 -1999), il revient à la photographie en 2000 et élargit son champ d’application de l’image photonumérique à l’image électronique obtenue au microscope tout en multipliant les supports de diffusion pour des images autour de ses thématiques de prédilection. Il expose régulièrement en France et à l'étranger depuis 1984. En ce moment il présente une installation à la galerie Incise à Charleroi en Belgique et participe à une exposition collective à l'espace Topographie de l'art à Paris.

■ En 2016-2017, il intervient auprès des 1e année, dans le cadre d'un séminaire critique au côté de Paul Pouvreau. Il propose également une conférence présentant son travail.

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le lABorAtoire couleur Année 2016- 2017 en chiFFres

Ateliers techniques :

couleur

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Commentaires

Sur les productions :Traitement des films C41Rebond du nombre de films traités, quel que soit le format considéré. En ce début d’année 2017-2018 ce rebond se confirme franchement. Il semble que l’utilisation des films argentiques ait atteint un plancher ce qui est conforme à ce qu’il se constate dans le monde de la photographie.

Tirage papier argentiqueOn note une baisse de l’utilisation des machine Chromira, ce qui n’est pas négatif : l’arrivée d’un système d’impression bon marché et de qualité correcte en labo numérique a allégé le tirage sur imageur de la qualité « brouillon ». Les imageurs ont ainsi retrouvé leur juste rang de tirage de qualité. Les diplômes sont désormais largement tirés sur Imageurs Chromira et développeuse Hostert en argentique.La fréquentation du laboratoire « agrandisseur » est en nette progression.

Sur la maintenance : Mise en place de pompes micro-doseuses pour l’ajout « on line » d’anti-algue dans les lavages. Ce dispositif permet d’éviter la manipulation de produits très nocifs pour les yeux .

Sur les acquisitions :Année blanche. Les seuls achats effectués sont des achats de petits matériels largement en deçà des 500 euros HT l’unité et donc imputés sur le budget de fonctionnement. Il s’agit, par exemple, de contacteuses films, de vérificateurs de mise au point. L’an prochain, nous continuerons cette politique avec l’achat de boîtes « paper safe » car utilisées actuellement sont obsolètes (30 ans) et ce produit, de nouveau manufacturé, ne se trouve qu’aux USA.

Prospective :L’achat de consoles de dilution a été, une nouvelle fois, retardé. Cette acquisition reste indispensable, surtout dans le cadre de la future ENSP. Rappelons que ces consoles permettront d’automatiser la préparation des chimies au laboratoire argentique couleur ce qui permettra un gain de temps (4000 litres de chimies préparées par an), un gain de qualité (régularité) et surtout une bien meilleure prévention du risque chimique. Il est important que l’investissement soit décidé en début d’année calendaire car les délais de fabrication de ces matériels sont supérieurs à 6 mois.

Le budget :Une proposition de prix concernant les chimies couleur a pu être évaluée. Dès que le stock sera proche de la rupture, nous lancerons un essai de ces nouvelles chimies dans l’imageur Chromira et dans la machine papier couleur (Hostert), Chimies au procédé RA4, papier. L’économie pourrait être de l’ordre de 30%. Concernant les chimies au procédé C41 pour les films, la chimie ne doit pas évoluer, même si celle-ci est aussi moins chère pour des raisons techniques (peur de déséquilibrer l’ensemble de la chaine image) et le gain escompté serait, en volume, peu significatif.

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Deux de ces ateliers, Noir Blanc et Studio de prise de vue, sont proposés tous les jours ouvrables de l’année entre 9h et 23h.

Durant la journée aux heures de présence du responsable d’atelier ou de l’assistant, ils sont sous sa responsabilité. Au-delà de 18 heures, ils sont autogérés par les étudiants sous la responsabilité de l’un d’entre eux, élève de première année nommément désigné (chaque étudiant de l’année effectue à tour de rôle une permanence hebdomadaire). Dans le cadre de la pédagogie collective, on y dispense un enseignement méthodique aux premières et deuxièmes années et par ailleurs, ces deux ateliers sont ouverts aux étudiants qui en font la demande pour réaliser un travail personnel ; une réservation préalable est indispensable.

Pour le service de tirage en noir et blanc, son fonctionnement exige la présence du responsable d’atelier ou de l’assistant. La mise à disposition des outils est variable en fonction de la nature des usages : de nature pédagogique généralement, pour des travaux liés aux activités de l’école (concours institutionnels) ou pour des travaux personnels - qui sont alors facturés aux étudiants requis d’acheter une carte. Un enseignement méthodique y est, de toute façon, dispensé en première et en deuxième année.

l’Atelier noir et BlAnc

Matériel technique de production disponibleUne machine de traitement automatique pour le traitement rapide des épreuves, mise en route de janvier à mai.

Nombre de semaines : 32 semaines, 150 jours ouvrables.Laboratoire adapté au travail de groupe pour séance de tirage sur support papier baryté.

Nature et taux de l’occupation

utilisation moyenne (jour)

Formation initialecours 1e année

Formation initialecours 2ème année Formation continu

2015 0 3* 3

2016 8 4 3

* Cette année et pour la première fois un workshop a été organisé durant le premier semestre.

En dehors de ces périodes, le laboratoire est ouvert et en libre accès pour tous.

Rapport d’occupation généraleDepuis cette année, grâce à la présence et au suivi de l’assistant de l’atelier, il a été possible


noir et blanc/studio

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d’obtenir un décompte précis de la fréquentation. Ainsi, avec le rapport des participations aux traitements (à l’aide d’un cahier de contrôle que chacun doit annoter), il est dorénavant possible de constater la présence des étudiants. Ce décompte précis de la fréquentation ne renseigne pas de l'activité de tirage mais précise malgré tout de l'activité NB à l'ENSP.

Détail du taux d’occupation d’enseignement : • Taux d’occupation enseignement de l’année : 16,5 % • Taux d’occupation enseignement du premier semestre : 10 % • Taux d’occupation enseignement du deuxième semestre : 16 %

CommentaireLa moyenne chiffrée du nombre de bobines traitées est de 41/mois, soit une base non négligeable à comparer avec les chiffres du laboratoire couleur pour un traitement non automatisé. Le taux d’occupation est complexe à obtenir sachant que mis à part les cours obligatoires, l'occupation reste libre. Les périodes avant bilans sont bien évidemment propices à l’utilisation de ce lieu. Mais une moyenne de deux utilisations par semaine reste stable (soit un taux d'occupation relatif de 40%). L’intérêt de ce médium au sein de l’école est en augmentation. Les cours techniques en première année ont été déplacés au deuxième semestre afin de permettre un apprentissage des techniques de prise de vue au premier semestre.

Comme chaque année un travail technique obligatoire doit être présenté au moment du bilan. Il peut être suivant le choix de l'étudiant NB ou porté sur une autre technique. Cette année un workshop sur le tirage d’exposition a été réalisé un mois après la rentrée. Devant le taux de satisfaction et son remplissage toujours sur le principe du volontariat, il a été reconduit pour l'année 2017-2018. Au deuxième semestre, le stage optionnel sur les procédés anciens, platine et palladium, a permis à 8 étudiants de 2e année et aux résidents de découvrir un des procédés du 19ème. Le procédé enseigné était le tirage platine-palladium.

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BilanLa présence fréquente de certains étudiants ainsi que les taux d’occupation des lieux démontrent l’intérêt de cette pratique. Il est donc important de constater qu’avec un enseignement large et diversifié de l’activité, toutes les techniques ont leur place dans l’école. Il est d’autant plus important de poursuivre ces apprentissages qu’ils participent à l’éducation et à l’éveil des techniques pour accéder à des procédés dits alternatifs.Pour cette raison, il est proposé aux étudiants d’avoir accès à un nombre important de supports y compris le papier photo. En achetant auprès d’un distributeur (disposé à l’entrée de l’école), des crédits, il pourra formaliser ses projets sur de nombreux supports.Le conditionnent, et donc le coût des consommables, est souvent un frein. La vente a prix coutant de feuilles permet aux étudiants de profiter pleinement des choix de techniques.

l’Atelier de prise de vue : le studio

Matériel technique disponibleSystèmes d’éclairages électroniques type Flash. Acquisitions argentiques ou numériques MF et GF.

Informations générales • Nombre de semaines : 32 soit 150 jours ouvrables• Nombre de périodes dans une journée : 3 (matin, après-midi et soir)• Nombre de périodes dans l’année pour réservation possible: 450

Son occupation est partagée par plusieurs entités internes, à savoir la formation initiale (FI), la formation continue (FC) et les cours du soir (CS).

› les périodes de cours sont de 30%, selon la répartition suivante (hors Cours de la photographie pour tous):• 60% de travaux pratiques• 40% de formation professionnelle continue

› les périodes en libre accès sont utilisées de la façon suivante

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CommentaireUne fréquentation annuelle semblable aux années précédentes. La répartition entre le premier et le second semestre reste conforme au planning des apprentissages techniques car de nombreux cours se déroulent dans ce lieu.On remarque une fréquentation plus importante durant le deuxième trimestre, vraisemblablement due à l’appropriation des techniques studio (en 1e année). Fréquentation moyenne de 24 sessions/mois soit 27% des possibilités offertes.

BilanLe taux d’occupation est sensiblement moindre qu’en 2016. Les modules de la Formation professionnelle continue sont stables. On note cependant cette année une présence diminuée en fin d’année.

Les périodes de l'année les plus fréquentées (deuxième semestre: de mars à mai) correspondent aux périodes pendant lesquelles les étudiants de première année sont plus disponibles, alors qu'en parallèle les troisième année préparent les diplômes.

Les premières année conservent un positionnement et de fait une fréquentation uniquement pendant la période de cours, qui s'étale sur plus d'un mois. Les étudiants qui voudraient y travailler devront le faire avec ces contraintes.La mutualisation de cet espace avec la Formation professionnelle continue est parfois compliquée du fait du croisement du calendrier civile avec celui du temps pédagogique (calendrier universitaire).

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l’Atelier de trAitement des imAges

Cet atelier a été créé dans le courant de l’année 2006-2007. Sa création a nécessité des travaux de transformation de l’espace (ce qui n’est pas simple dans le bâtiment) ainsi que la réalisation de la logistique nécessaire à l’installation de nouvelles machines, dont certaines achetées spécifiquement pour cet aménagement.

Matériel technique disponible• Systèmes d’ensemble informatique constitué de machines Apple au nombre de 8 • Systèmes d’impressions jet d’encre piézographie sur imprimante Epson Stylus Pro 9800 et

Epson Stylus Pro 7880, dédiée aux papiers type brillant.

Depuis la rentrée 2016-2017 pour des raisons de place, le parc de matériels techniques (appareils de prises de vues , éclairages et accessoires) présent dans cet atelier a été déplacé au magasin de prêt. La gestion de ce parc est dorénavant complètement intégré dans l’école et partagé entre les besoins pédagogiques, le prêt aux étudiants et la Formation Professionnelle Continu.

Informations généralesL’atelier est divisé en deux parties. Un espace de travail comprenant 5 postes avec scanners en libre accès. Il s'agit également de l’espace de travail des cours et workshops. Un espace contigu au laboratoire permet l'accès au tirage jet d’encre NB, c’est aussi le bureau de l’assistant. Atelier fermé en soirée.

CommentairesCette partie de l’atelier ouvert, et bien entendu utilisé par tous. Il est donc difficile de savoir précisément sa fréquentation. Durant les apprentissages techniques du premier et deuxième semestre les pratiques se précisent avec notamment plus de temps libre pour les travaux personnels de tous les étudiants.

Impression «piézographie»Une initiation est prévue en première année. La découverte de cette technologie permet à chacun d’exploiter l’impression qualitative du noir et blanc et les nombreux choix proposés par l’école.Ce système permet de prolonger l’offre du tirage NB aux très grands formats mais ausi de découvrir le panel trés large des surfaces papier.

RappelLa particularité des impressions «piézographique» est d’utiliser un papier pérenne de grande qualité associé à des encres pigmentaires pures permettant une neutralité inégalée et d’une très grande longévité. La possibilité d’utiliser des papiers couchés est possible, ceci afin d’avoir de fortes similitudes avec les procédés argentiques type tirage sur support baryté.

CommentaireLa simplicité comptable offerte par le système de paiement par carte a permis de diversifier les offres de support, permettant des tarifications diverses adaptées aux supports. Sur l’extranet de l’école chaque étudiant a accès à un tableau des tarifications en cours.

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vidéo

Les avancées technologiques nous imposent d’actualiser régulièrement notre parc audiovisuel.

L’un de nos objectifs majeurs pour les 3 prochaines années est d’amorcer une transition vers des outils plus adaptés aux pratiques d’aujourd’hui, et cela dans le contexte de notre installation dans le futur établissement.

Très concrètement nous souhaitons migrer vers un worflow totalement 4K, sur l’ensemble de la chaîne audiovisuelle, de la captation à la diffusion. Dans cette dynamique, cette année, 2 unités 4K de tournage ont déjà été intégrées au prêt de matériel en attendant l'achat de 3 autres caméras à l'horizon 2018.

Les étudiant restent particulièrement attentifs et intéressés par ces nouveaux outils hybrides, (à mi-chemin entre l’appareil photo et la caméra) qui répondent parfaitement à leurs besoins ainsi qu'à leur pratique.

En ce qui concerne le secteur audio nous avons investi dans plusieurs enregistreurs audio, microphones et enceintes de diffusion.

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numérique

Un changement majeur a été opéré dans les systèmes d’impression de l’ENSP, avec une uniformisation des systèmes de participation aux frais d’impression. Désormais, les cartes d’étudiants sont magnétiques et rechargeables via une borne, et servent de système de paiement unifié pour les tirages et les photocopies, que ce soit en bibliothèque ou dans tous les ateliers : jet d’encre couleur, laser Xerographique, laboratoire couleur (système argento-numérique Chromira), tirage Piezographique noir et blanc. Le barème de calcul est proposé sous la forme tableur dans l’espace de travail numérique via les applications Google pour permettre aux utilisateurs de calculer leurs coûts au prorata de la surface imprimée.

Nouvelle venue dans le laboratoire infographie, une presse numérique Konica Minolta remplace le copieur connecté Xerox. Cette presse dernière génération a permis un saut qualitatif dans l’impression laser, et suscite un engouement très important, lié à une certaine immédiateté, une relative facilité d’utilisation, et un coût à la page relativement bas. Les étudiants ne s’y sont pas trompés, puisque la quantité de pages imprimées est passée d’environ 2000/mois l’année précedente avec l’ancienne machine, à près de 5000/mois cette année, avec un pic à 13000 lors de l’impression des mémoires. Une grande variété de papiers est disponible, allant de 100g/m2 à 300g/m2, sur des surfaces couchées mat à non couchées, permettant la sortie de tirages de lectures purement photographiques, de planches contact, et de véritables projets d’édition.Différents modules de finition viennent compléter le système d’impression, permettant le pliage et l’agrafage pour fabriquer des livrets “prêts à l’usage”.

En complément de cette presse, la laboratoire a acquis une raineuse et une relieuse thermique, pour la fabrication de reliures propres et à l’aspect professionnel.

Ces acquisitions permettent désormais de réaliser dans l’atelier infographie des projets d’édition de A à Z, du travail des images au livre relié.

Il faut noter également l’arrivée d’une découpeuse de vinyle (“plotter de découpe”) en 75cm de largeur, destinée à la signalétique (notamment pour les expositions) et à la réalisation de lettrages autocollants.

Enfin, toujours en ce qui concerne les acquisitions, l’une des imprimantes jet d’encre grand format a été remplacée par un nouveau modèle de même lèze (1,11m), de marque Epson, dotée des dernières formulations d’encre pigmentaire à longue conservation et large gamut (espace de couleur).

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bibliothèque

La bibliothèque de l’École nationale supérieure de la photographie possède un double rôle : en tant que bibliothèque d’école de l’enseignement supérieur elle assure une fonction de centre de ressources documentaires pour les étudiants et enseignants qui la fréquentent, et d’autre part, son fonds spécialisé lui confère un statut de référent national, voire international en la matière.

La bibliothèque a pour mission d’accompagner les étudiants durant ces trois années d’enseignement dans leurs recherches personnelles, plastiques et intellectuelles, d’éveiller leur curiosité vers de nouvelles thématiques et leur permettre d’acquérir de solides bases en méthodologie de la recherche, notamment au cours de séances d’initiation à la recherche documentaire qui se déroulent au second semestre pour les étudiants de 1e et 2e années, et, dès la rentrée pour les étudiants de 3e année. Ces derniers sont accompagnés dans leurs recherches documentaires en vue du mémoire, puis de leur diplôme.

Le service de la bibliothèque est là pour accompagner et répondre aux demandes de la pédagogie ainsi qu’aux besoins de la formation continue, enfin, en tant qu’établissement public administratif, le service accueille tous les publics désireux de connaître la documentation proposée.

lA collection

La collection de la bibliothèque se constitue de : • 20296 références cataloguées : Essentiellement orientée vers la photographie et l’art

contemporain, la collection est composée de monographies, de catalogues d’expositions et de sections thématiques, d’ouvrages dits de texte, se rapportant aux sciences humaines et sociales

• 659 DVD classés en 5 catégories : les conférences/colloques, la fiction, les documentaires, les travaux d’artistes et les diplômes

• 49 CD-audio • 111 cassettes audio • 142 VHS • 34 abonnements de revues généralistes et spécialisées en photographie, dont 3 abonnements

à des quotidiens d’informations• 801 titres de périodiques référencés à ce jour• 2 752 dossiers documentaires sont régulièrement alimentés, et entre autre, enrichis avec des

dons du musée Carnavalet • une partie du fonds de livres anciens (édités entre 1856 et 1929) sur les techniques

photographiques a été numérisé et se situe sur la base «e-corpus.org» gérée par le centre de Conservation du Livre d’Arles

• 124 mémoires d'étudiants de l’ENSP sont désormais tous signalés dans le catalogue

Documentation éphémère (newsletters, plaquettes, prospectus, livrets, cartons d’exposition/ d’invitation, etc.) : • actualité des concours et des résidences• actualité culturelle régionale, nationale et internationale

La collection est en accès direct et en consultation sur place. Les étudiants et le personnel de

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l'école ont la possibilité d’emprunter les livres de textes et les documents audio-visuels, 6 documents pour un mois. Le catalogue est accessible depuis les deux postes de consultation de la bibliothèque et dans l’enceinte de l’école en Intranet.

Les publications de l’école, InfraMince, Anticamera et Coopérateurs, contribuent à la politique d’échanges avec de nombreuses institutions en France et à l’étranger, et plus particulièrement avec les écoles d’art de l’enseignement supérieur.

Les nouveautés de la bibliothèque sont communiquées aux étudiants et au personnel par le biais du logiciel PMB, en page d’accueil, et l’actualité de la bibliothèque est annoncée dans la newsletter de l’école.

le puBlic

La bibliothèque accueille un public diversifié dû à sa double fonction de Centre de ressources documentaire et de Bibliothèque ouverte au public : les étudiants de la formation initiale, les doctorants, les enseignants, les résidents, les étudiants en programme d’échange et le personnel de l’école ainsi que les stagiaires de la Formation professionnelle continue et le public extérieur représenté par les groupes scolaires, les candidats à la VAE (validation des acquis de l’expérience), les chercheurs, les anciens étudiants ou les professionnels du monde de la photographie

Accueil des puBlics

La bibliothèque de l’école est une bibliothèque spécialisée avec 18 places assises. Les étudiants de la formation initiale, les stagiaires en formation longue (au moins 3 mois) de la Formation professionnelle continue et les étudiants étrangers (échanges et résidents) bénéficient d’une présentation de la bibliothèque et de son fonctionnement dès la rentrée. Cette formation leur donne accès aux horaires d’ouverture les plus larges : 9h-12h30 et 14h-23h ainsi qu’au prêt. La bibliothèque est fermée le mardi matin pour travail interne (pour inventaire, travail aux archives ou déplacement).

Á partir de 18h, un étudiant de l’ENSP assure la permanence du service pour une semaine. Un planning est donné aux étudiants en début d’année scolaire pour les informer de leur semaine annuelle de permanence.

Tous les autres publics prennent rendez-vous directement auprès les bibliothécaires. Le service de la bibliothèque est ouvert au public sur le temps de présence du personnel, selon les horaires suivants : 9h-12h30 et 14h-18h du lundi au vendredi.

les Archives

Dans le cadre du déménagement dans la future école, un travail de récolement se poursuit dans la salle annexe de conservation dite « Archives » .

• Vérification par pointage des titres des Prix du Livre : 3 100 titres sont à traiter• Réactualisation du listing des titres de périodiques avec mise en boîte et vérification des

numéros présents,

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• Reprise des périodiques saisis à l’exemplaire : + 21 numéros dans le catalogue,• Reprise d’ouvrages des archives sans notice PMB : + 688 titres dans le catalogue.

Ces reprises totalisent 1306 nouvelles notices dans PMB, et doivent se poursuivre, notamment sur l’ensemble des titres du Prix du livre.

les Acquisitions 2015/2016

• DONS : 121 ouvrages• ACHATS ENSP (périodiques compris) : 205 ouvrages• RIP : 689 ouvrages

Total des acquisitions en juillet 2017 : 1 015 ouvrages.

Sur l’année scolaire 2016-2017, 95 % de réponses favorables aux suggestions d’achats des enseignants.

les ABonnements 2015/2016

La bibliothèque comptabilise 34 titres pour les abonnements 2016/2017.Dans la volonté de proposer davantage de titres de périodiques spécialisés, il a été décidé de supprimer au fur et à mesure les abonnements auxquels les étudiants ont accès grâce aux différents services de la Ville tels que la médiathèque ou le centre de documentation du Musée Réattu pour commencer. Ainsi, Beaux-Arts magazine a été supprimé (présent à la médiathèque de la Ville) au profit de deux nouveaux abonnements : Toilet Paper et L’Officiel Art.

Les abonnements en gras sont des abonnements papier et en ligne.

Presse quotidienne locale et nationale : • Le Monde • Libération• La Provence

Magazines, revues et journaux :• 01 Net• Aperture• Art Press• Bibliothèques• Cahiers du cinéma• Cahier du Musée National d'Art Moderne• CameraAustria• Courrier International• Critique d'Art• Dits• étapes• Études Photographiques• European Photography• Foam• Le Journal des Arts

• L'œil• Les Échos (seulement en ligne)• Les Inrockuptibles• Marges• Le Matricule des Anges• Mouvement• L’Officiel Art• Offshore• Parkett• Photoworks• Semaine• Système D• The Eyes• Trafic• Web design

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Titres gratuits :• • Chasseurs d’images• • Culture et Recherche• • Fisheye• • La Lettre, Académie des Beaux-Arts• • Mémoire d’avenir, le journal des archives nationales• • Magazine Air France• • Réponses photo• • Science & santé, Inserm

les investissements

La Cotisation auprès de l’association BEAR (Bibliothèque d’École d’Art en Réseau), pour l’enrichissement de la BSAD (Base Spécialisée en Art et Design), base de données bibliographiques spécialisée en art contemporain.

Depuis 2015, la bibliothèque s’est dotée d’un nouveau SIGB (Système Intégré de Gestion de Bibliothèque) PMB, libre et en constante évolution. Un travail de normalisation et de corrections des données se poursuit en prévoyance de sa mise en ligne sur Internet prévue pour octobre 2017. Pour ce logiciel, le service bénéficie d’un contrat annuel d’assistance hotline.

BeAr

La responsable de la bibliothèque, Marie Viguié, fait partie de l’association BEAR, Bibliothèques des écoles d’art en réseaux. C’est un réseau de professionnels dans lequel les bibliothécaires se retrouvent une fois par an pour échanger sur leurs pratiques professionnelles, mettre en œuvre des outils documentaires, mutualiser les ressources des bibliothèques d’école d’art. Tout au long de l’année, le réseau mène des enquêtes pour répondre aux besoins des usagers, et partager de l’information. Les membres de l’association alimentent la BSAD (Bases Spécialisée en Art et Design) dans laquelle sont dépouillées des périodiques spécialisés, et depuis 2015, les mémoires des étudiants sont signalés.

les rencontres en BiBliothÈque

Dans l’objectif de relancer la fréquentation de la bibliothèque, notamment auprès de son public étudiant et de présenter la diversité du monde de l’édition, des rencontres mensuelles sont organisées en soirées.Lors de ces soirées (18h-20h), un éditeur est invité avec un auteur-photographe pour présenter la maison d’édition, le métier et la collaboration éditeur-photographe. Les invitations sont proposées par Marie Viguié et Gilles Saussier. Ces rencontres ont pour intérêt d’avoir lieu en bibliothèque, avec un public restreint - les étudiants - pour favoriser les échanges et la discussion, le lieu offre également la possibilité de consulter les ouvrages cités et de les faire circuler. Ainsi, les étudiants tirent parti d’un retour d’expérience, obtiennent éventuellement de nouveaux contacts et appréhendent le monde de l’édition avec lequel ils devront travailler par la suite.

Ces rencontres ont accueilli une vingtaine de personnes par soirées.

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Invités pour 2016/2017 :• Pierre Hebbelinck, architecte et fondateur des éditions Fourre-tout, le 4 novembre 2016.• Françoise Goria, photographe et enseignante à l’ESMA de Toulouse, et Pascal Poyet, poète et

traducteur, présentation des éditions Contrat Maint, le 5 décembre 2016.• Jordi Ballesta auteur de la préface d’Habiter l’Ouest de John Brinckerhoff Jackson et d’une

thèse de doctorat en géographie “Le projet photographique comme expérience et document géographique”, le 10 janvier 2017.

• Suzanne Hetzel, artiste-photographe et Gwénola Ménou des éditions Analogues autour de l’ouvrage 7 saisons en Camargues, le 7 mars 2017.

le prix du livre 2017 en BiBliothèque

En 2017, les membres du pré-jury (20, 21 et 22 juin) et du jury (3 juillet) ont été accueillis en bibliothèque pour les Prix du livre 2017 des Rencontres d’Arles. Á cette occasion, trois prix sont attribués : le prix du livre historique, le prix du livre d’auteur et le prix du livre photo-texte. Cette année, 689 ouvrages ont été présentés. Au total, 1378 livres ont été réceptionnés et traités entre le début du mois de mai et la mi-juin.

Les livres sont envoyés par les candidates en deux exemplaires : un exemplaire est exposé le temps du festival (juillet-août-septembre) et le second est conservé à la bibliothèque de l’ENSP dans le cadre d’une convention entre l'École et les Rencontres.Ces derniers sont référencés sur la base de données du Prix du Livre et sur le catalogue de la bibliothèque (catalogage rapide). Á cette occasion, les Rencontres recrutent deux étudiants stagiaires de l’ENSP de 2e année encadrés par Jean-Paul Jacques et Marie Viguié pour le suivi. En 2017, ce fût Mickaël Rava et Diane Hymans (du 9 mai au 16 juin pour le premier et du 22 mai au 16 juin 2017 pour la seconde).L’ensemble des ouvrages ont été placés en bibliothèque, du mobilier supplémentaire a été acheté à cet effet. Tous les ouvrages des prix sont présents en bibliothèque et visible sur le catalogue.

espAce de lA BiBliothèque

Depuis juillet 2016, l’aménagement de la bibliothèque est réorganisé régulièrement en fonction des inventaires et du désherbage afin de palier au manque d’espace, et par voie de conséquence, le classement des documents est modifié et des places de lecteurs ont du être supprimées. Pour poursuivre l’enrichissement des collections d’ici le déménagement, un espace de stockage supplémentaire ainsi que du mobilier seront nécessaires d’ici 2019.

Accueil de stAgiAire des métiers du livreLe service de la bibliothèque a accueilli une étudiante, Alwena Le Bourhis, inscrite en Master des métiers du livre et de l’édition, parcours Information Documentation, de l’Université de Grenoble, de janvier à juillet 2017, soit pour une période de 6 mois et dans le cadre d’une convention de stage. Alwena Le Bourhis a assisté le personnel de la bibliothèque dans les tâches liées au déménagement de l’établissement notamment pour le catalogage, les inventaires, les réaménagements, elle a également participé à l’accueil du public (gestion des prêts) tout en élaborant son mémoire de Master intitulé “Penser l’aménagement et les services en bibliothèque spécialisée - Le cas de la bibliothèque de l’ENSP”.

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Étudiants

© Gwenale PORTE

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Effectifs

Cursus long diplômant : 76 étudiants.• 1ère année : 25 étudiants• 2ème année : 26 étudiants• 3ème année : 25 étudiants• Césure : 6 étudiants

Cursus long non diplômant 7 participants au programme international de résidence de recherche et de création• Diana BAIDAL MORELL (Espagne)• Lucas LEMME (Argentine)• Alejandro Leon CANNOCK (Pérou)• Joana LUZ DA SILVA (Brésil)• Jian LUO (Chine)• Renata PIRES SOLES (Brésil)• Katrina SORRENTINO (Etats-Unis) • Zhiyao WU (Chine)

ÉCHANGES ERASMUSLes échanges Erasmus ont tous eu lieu au cours du premier semestre 2016-2017.

Etudiants sortants• Diane HYMANS accueillie à la Aalto University of Design - Helsinki (Finlande)• Julie HRNCIROVA accueillie à la HGB - Academy of Visual Arts - Leipzig (Allemagne)

Etudiants entrants• Annabel MAJOREL de l'École Nationale des Arts Visuels de La Cambre - Bruxelles (Belgique)• Léo SPARTACUS de l'École Supérieur des Arts de l’Image “Le 75” - Bruxelles (Belgique)• Pascual ARTIGAS CONESE de l'Universidad Complutense - Madrid (Espagne)

Provenance des étudiants étrangers dans les deux cursusBrésil - Canada - Chine - Espagne - Pérou - Argentine - Etats-Unis - Belgique

Bilan des effectifs - Échanges ERASMUS 2016-2017 • 4 pays partenaires• 4 écoles partenaires

Pays Partenaires Étudiants sortants Étudiants entrants

ALLEMAGNE 1 /BELGIQUE / 2ESPAGNE / 1FINLANDE 1 /TOTAL 2 3

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Bourses d’études

Depuis la rentrée 2010-2011, une convention, établie entre le Ministère de la Culture et de la Communication et le CROUS transfère à ce dernier l’instruction et le paiement des demandes de bourses sur critères sociaux de l’enseignement supérieur Culture (Décret n° 2009-337 du 26 mars 2009), seule l’attribution du Fond National d’Aide d’Urgence est prise sur décision d’une commission présidée par le Directeur Régional des Affaires Culturelles PACA.

■ Pour l’année 2016-2017, 35 demandes de bourse ont fait l’objet d’un avis favorable, ce qui représente un taux important de boursiers de 46,05 %.

• 11 étudiants – échelon 0bis – montant annuel : 1 009 euros• 7 étudiants - échelon 1 - montant annuel : 1 669 euros• 3 étudiants - échelon 4 - montant annuel : 3 924 euros• 2 étudiants - échelon 5 - montant annuel : 4 505 euros.• 7 étudiants - échelon 6 - montant annuel : 4 778 euros• 3 étudiants - échelon 7 - montant annuel : 5 551 euros

2 étudiants ont obtenu le Fond National d’Aide d’Urgence Annuelle Culture (FNAUAC)- 2 513 € (équivalent au taux 2 des bourses sur critères sociaux de l’enseignement supérieur)- 3 924 € (équivalent au taux 4 des bourses sur critères sociaux de l’enseignement supérieur)Le montant de l’aide attribuée à chacun des bénéficiaires pour l’année 2016-2017 est défini surla base des éléments du dossier de demande présentés au comité de pilotage de la DirectionGénérale de la Création Artistique.

Il est à noter que depuis 2012, la DRAC PACA ne reverse plus à l’établissement la compensation des frais de scolarité des étudiants boursiers exonérés.

■ Une aide de 250 euros a été accordée par l’ENSP à tous les étudiants de troisième année pour la présentation de leur diplôme de fin d’études, complétée par une aide de 100 euros par la Municipalité d’Arles.

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Stages professionnels

Des conventions de stages effectués dans le cadre du cursus des étudiants ont été signées entre différentes entreprises ou entités culturelles.

ALFONS ALT, ARTISTE41, Rue Jobin, atelier 2W7 à la Friche de la Belle de Mai – 13003 Marseille

■ Objet du stage : Assister l’artiste dans son atelier, contribuer à la préparation chimique et technique de son travail (émulsions, toiles, prises de vues des oeuvres…)(1er › 30 juin 2017)Étudiant : Florian TRIPOTEAU

ASSOCIATION “REGARD DU VIVANT”257, Chemin des Pins - 34170 Castelnau-le-Lez

■ Objet du stage : Assistant des photographes de l’association pour les prises de vues, l’editing et le commissariat d’exposition(8 juin › 10 juillet 2017)Étudiante : Thomas JÉZÉQUEL

ASSOCIATION “COLLECTIF D’ACTION CITOYENNE”3, Rue Roquille - 84000 Avignon

■ Objet du stage : Assistant pour la réalisation d’un court-métrage autour de la distribution de l’eau au sein du Grand Avignon(15 septembre › 15 octobre 2016)Étudiante : Jean-Charles MILLIEN

ATELIER SUNGHEE LEE – LABORATOIRE DE PRODUCTION641, Chemin de la Verdière – Montfavet – 84140 Avignon

■ Objet du stage : Assistante de production auprès de Mr Sunghee Lee(5 juin › 7 juillet 2017)Étudiante : Marie CONSTANT

CENTRE DES MONUMENTS NATIONAUX - HÔTEL DE SADE et SITE GLANUM ■ 1, rue du partage - 13210 Saint-Rémy-de-Provence ■ Objet du stage : Assistant à la réalisation d’une exposition sur la Syrie du photographe Michel

Eisenlhor sur le site archéologique de Glanum et à l’Hôtel de Sade(1er mars › 31 mai 2017)Étudiant : Mickaël RAVA

CONSEIL DÉPARTEMENTAL DES BOUCHES-DU-RHÔNE ■ 52, avenue de Saint-Just - 13004 Marseille ■ Objet du stage : Immersion photographique dans les réserves du CERCO. Travail d’archivage

photographique(2 janvier › 31 mars 2017)Étudiant : Florent BASILETTI

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ÉDITEUR : ARNAUD BIZALION7, rue Yvan Audouard - 13200 Arles

■ Objet du stage : Diffusion et promotion d’éditions durant le festival des Rencontres d’Arles. Assistant à la conception et la réalisation d’un projet éditorial(1er › 31 juillet 2017)Étudiante :Mathilde SANGNIER

FANSCENE CULTURE COMPANYBeijing - Chine

■ Objet du stage : Organiser le travail d’exposition artistique, de la conférence culturelle, la diffusion du spectacle(1er août › 31 septembre 2017)Étudiante : Jia Yun DENG

FESTIVAL CINÉMA D’ALÈS155, Faubourg de Rochebelle - 30100 Alès

■ Objet du stage : Reportage photographique sur la semaine du festival qui sera restitué sous forme de diaporama lors de la soirée de clôture(17 mars › 26 mars 2017)Étudiante : Marie APPLAGNAT-TARTET

FONDATION MANUEL RIVERA-ORTIZ18, rue de la Calade - 13200 Arles

■ Objet du stage : Communication graphique des activités et expositions. Suivi de production des expositions des lauréats de la Fondation(24 mai › 10 juillet 2017)Étudiante : Isabelle HA EAV

FONDATION VINCENT VAN GOGH35, Rue du Docteur Fanton - 13200 Arles

■ Objet du stage : Documentation sur les artistes sélectionnés pour les expositions, rédaction des biographies d’artistes, cartels, suivi administratif(21 août › 21 décembre 2017)Étudiante : Apolline LAMORIL

GALERIE « LE MAGASIN DE JOUETS »19, Rue Jouvène – 13200 Arles

■ Objet du stage : Suivi des artistes, scénographie et editing, développement de la communication et recherche de partenariat(8 octobre 2016 › 8 janvier 2017) - (16 janvier › 16 juin 2017) et (26 mai › 21 juillet 2017)Étudiantes : Isabelle HA-EAV et Angeline TUBAJIKI

JPG FILMS2, rue de Choisel – 75002 Paris

■ Objet du stage : Assistante du photographe de plateau dans le cadre du tournage du film “Mélancolie ouvrière”(17 › 19 avril 2017)Étudiante : Sara SZABO

LE COLLATÉRAL27, rue Chartrouse - 13200 Arles

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■ Objet du stage : Reportage photographique et vidéos sur l’activité Art et Hôtellerie du Collatéral. Travail d’editing, retouches et montages vidéos à l’issue des évènements(19 mai › 7 octobre 2017)Étudiants : Fanny TERNO et Florian TRIPOTEAU

MAISON DE RETRAITE KORIAN LA RIMANDIÈRE10, Rue Alphonse Daudet - 13310 Saint-Martin-de-Crau

■ Objet du stage : Médiation culturelle : Création d’un atelier de photographie et écriture ayant pour thème “image et souvenir” pour les patients atteint de la maladie d’Alzheimer(1er › 30 juin 2017)Étudiante : Mathilde VIEILLE-GRISARD

PHOTOGRAPHE JASPER WHITEBridge Studio, 240b Kingsland road - E2 8AXL Londres - Angleterre

■ Objet du stage : Assistante du photographe(27 avril › 26 juin 2017)Étudiante : Marie APPLAGNAT-TARTET

SOCIÉTÉ ÉDITRICE DU MONDE80, boulevard Auguste Blanqui – 75013 Paris

■ Objet du stage : Elaboration des contenus éditoriaux(1er › 23 juin 2017)Étudiante : Chloé MALSAGNE

LA RÉGIE CULTURELLE - RÉGION PACACarrefour de la Malle - CD 60D – 13320 Bouc-Bel-Air

■ Objet du stage : Travaux photographiques sur les festivals d’été et les paysages de la région Paca en vue de la publication du guide “Terre de festivals 2018”(29 juin › 15 août 2017)Étudiantes : Diana BAIDAL et Mathilde MOIGNARD

STUDIO ZÉRO11-13, Rue Robert Blache – 75010 Paris

■ Objet du stage : Assistant de studio(1er › 30 juillet 2017)Étudiant : Louis de ROFFIGNAC

THÉ TRE D’ARLES34, Boulevard Georges Clémenceau – 13200 Arles

■ Objet du stage : Assistante de plateau et stagiaire auprès de l’artiste Mickaël Phelippeau(20 février › 4 mars 2017)Étudiante : Flora VALA

les rencontres d’Arles 2017

STAGE : LA RENTRÉE EN IMAGESAnimer et concevoir des séances de médiation et de projection, aide au dispositif d’accueil des classes.Dates : 21 août › 23 septembre 2017Étudiants : Florent BASILETTI – Anaïs CASTAINGS – Esther COQUET – Marie HERVÉ - Claire

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NICOLAS-FIORASO – Gwénaël PORTE - Léia VANDOOREN - Iris WINCKLER

STAGE : ASSISTANT D’UN PHOTOGRAPHEDates : 26 juin › 25 août 2017Étudiants : Siouzie ALBIACH – Antoine BRUN – Quentin FAGART – Théa GUÉNIOT - Léa SOTTON – Sara SZABO

STAGE : RÉCEPTION ET RECENSEMENT DES OUVRAGES POUR LE PRIX DU LIVREDates : 9 mai › 16 juin 2017Étudiants : Diane HYMANS – Mickaël RAVA

STAGE : CONSTAT D’ŒUVRESDates : 6 juin › 2 juillet 2017Étudiante : Elsa MARTINEZ

STAGE : REPORTAGE SUR LE FESTIVAL (événements et expositions)Dates : 19 Juin › 31 juillet 2017Étudiant : Diane HYMANS – Juliette LAROCHETTE – Lucy VIGOUREUX

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Prix et concours

prix «AlexAndrA cArle» du rotAry cluB d’Arles

Pour honorer la mémoire d’une ancienne étudiante accidentellement décédée il y a quelques années, le ROTARY CLUB d’Arles a créé un prix annuel. Lors de la présentation des travaux de diplôme 2015, les membres du ROTARY CLUB sous la houlette de leur Président ont visité attentivement les lieux d’exposition et se sont accordés pour l’achat d’une photographie, achetée 500 euros, à une étudiante tout juste diplômée. Cette année les membres du Rotary ont choisi, à l’unanimité, le travail de Lexane Laplace.

prix olympus 2016

Pour la sixième année, OLYMPUS partenaire de l’ENSP, permet aux étudiants d’exprimer leurs talents créatifs dans le cadre d’un concours réservé. Cette année le thème «Hérésies», a été lancé au mois de décembre (le thème est depuis trois ans choisi par les étudiants).

1er prix : Sarah Leila-Payana reçu un Olympus PEN-F kit 17mm

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2ème prix : Timothée Pugeault a reçu un kit E-M5II kit Pancake Zoom (14-42mm)

3ème prix : Jonathan Mourgliaa reçu un Olympus E-M10II kit Pancake Zoom (14-42mm)

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AEENSP Association des étudiants

© AEENSP

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BilAn des Activités de l’AssociAtion des étudiAnts de l’ensp (Aeensp) 2016-2017

Depuis 1992, l’Association des Étudiants de l’ENSP a pour objectif de promouvoir et diffuser les travaux de ses étudiants. Cette association a pour volonté d’offrir divers activités à travers lesquelles étudiants et habitants pourraient échanger en tant qu’acteurs culturels et spectateurs. Basée sur les traditions de l’association,mais n’ayant pas peur de réformer, nous souhaitons participer à la vie d’Arles et de sa région.

L’Association des Étudiants de l’École Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles a réalisé durant l’année 2016-2017 divers projets visant à promouvoir les travaux de ses étudiants adhérents en région PACA, en France ainsi qu’à l’étranger.

Ces différents projets n’auraient pu aboutir sans le soutien de ses partenaires publics et privés et sans l’implication et la motivation des étudiants de l’ENSP.

Durant l’exercice 2016-2017, l’association comptait 68 adhérents de première, deuxième et troisième année ainsi que des étudiants résidents étrangers.Les projets développés au cours de cette année scolaire ont été multiples. Des animations, visites et échanges au sein de notre école lors de la journée portes ouvertes de l’ENSP, une collaboration entre les étudiants de l’ENSP et l’association Artscène pour réaliser l’exposition “Impression” à l’Espace Van Gogh, ainsi que la réalisation d’une Vente Publique de photographies.

Enfin, pour clôturer l’année, une exposition des étudiants, les WIP 2017, durant les deux premières semaines des Rencontres Internationales de la Photographie, faisant entièrement partie de la programmation du festival Voies-Off.

journees portes ouvertes | 4 Février 2017

Pour la deuxième année consécutive, l’ENSP a décidé d’organiser au sein de l’établissement une journée portes ouvertes afin que tous publics, curieux ou futurs étudiants, souhaitant passer le concours de l’école puisse découvrir les locaux et échanger avec les étudiants présents. Dans cette optique, l’Association des Etudiants de l’ENSP a été sollicité pour l’organisation des ateliers et des visites durant cette journée.

Ont été mis en place par les étudiants du bureau de l’AEENSP et les étudiants adhérents, un studio de prises de vues avec démonstration de toute la chaine de tirage en argentique couleur, plusieurs sessions de visites des locaux, ainsi qu’une exposition flash organisée dans la Galerie Arena a permis à quelques étudiants de montrer leurs travaux. Cette Sélection proposait une première vue des diverses préoccupations plastiques de chaque promotion. De plus, une projection offrait, quant à elle, un aperçu encore plus large des travaux de tous les étudiants

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exposition imPression | 13 › 16 Février 2017

Désireux de nous impliquer davantage dans le tissu associatif arlésien, nous avons réalisé l’exposition Impression en collaboration entre l’association Artscène et l’AEENSP.Cette exposition a permis à 17 étudiants d’exposer leurs travaux réalisés pour l’occasion.

vente puBlique de photogrAphies | 17 mArs 2017

La Vente Publique de Photographie, instaurée en 2010, est devenue au fil des années, un événement central de notre activité. Cette année encore, et pour la troisième année consécutive, elle a eu lieu au sein de l’Espace Van Gogh, les 17 et 18 mars 2017.Les photographies, de divers formats, et réalisées par les étudiants des diverses promotions, étaient à la fois visibles sur un catalogue numérique en ligne, dans l’espace Van Gogh, et sur un catalogue papier mis à la vente. Plus de cent photographies ont été vendues au total, permettant ainsi à l’association de financer une partie de ses projets.Du reste, comme chaque année, une tombola a été mise en place, permettant de gagner une photographie de trois anciens.nes étudiants.es.

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Wip (WorK in progress) | 3 › 17 juillet 2017

Cette exposition a lieu tous les ans, et prend place au sein de l’Eglise Saint-Julien, rue du 4 Septembre. Le projet donne l’opportunité aux étudiants de montrer en fin d’année leurs projets en cours à un grand nombre de visiteurs. Ce sont plus de dix mille visiteurs qui se sont déplacés pour la dernière édition pour voir les travaux de plus d’une soixantaine d’étudiants. C’est aussi un moyen pour nous de s’impliquer totalement dans la réalisation d’une exposition : du commissariat au montage de l’exposition en passant par la communication de l’événement. Elle est le fruit du travail de tous les étudiants issus des différentes promotions de l’ENSP.

Depuis sa création, l’exposition a évolué, s’est remodelée et a occupé différents espaces d’expositions. Malgré ces mutations, sa ligne directrice n’a pas variée : représenter au mieux la diversité et la richesse des productions des étudiants.Chacun des participants possède son champ d’investigation, ses problématiques plastiques, et le cadre de cette exposition leur permet justement de les confronter et de les expérimenter aux regards extérieurs à l’école.

Ce “Work In Progress” est l’essence même du projet. L’exposition, véritable laboratoire d’idées et de propositions, nous a permis depuis plusieurs années de gagner en visibilité et en fréquentation. Ce succès est également dû aux relations construites depuis de nombreuses années avec différents partenaires qui nous permettent de réitérer le projet.

Cette année encore, nous avons fait appel pour la troisième année consécutive à Elisabeth Guyon, scénographe arlésienne afin de maintenir notre ancrage local. Conçu comme le second volet de l’édition 2016, la conception du graphisme a été confiée cette année encore à Eva Lambert et Paul Cabanes.

L’année qui s’annonce se révèle être un véritable défi puisque les WIP devront encore se transformer afin de surmonter des problématiques pratiques comme la question du lieu de monstration de notre travail.

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LE NOUVEAU BUREAU DE L'AEENSP | octoBre 2017

Le bureau de l’association, élu par les étudiants en octobre 2017, est composé cette année de 10 membres actifs, tous co-présidents. • Siouzie Albiach - 2ème année, co-présidente• Quentin Fagart - 2ème année, co-président• Lucas Lemme - Résident, co-président en charge des relations extérieures• Claire Nicolas-Fioraso - 2ème année, co-présidente• Robin Plusquellec - 1ère année, co-président• Gwénaël Porte - 2ème année, co-président en charge de l’administration• Mickael Rava - 2ème année, co-président en charge de l’administration• Sára Szabó - 2ème année, co-présidente en charge de l’administration• Eryn Millien - 2ème année, co-président en charge de la trésorerie• Elsa Martinez - 2ème année, co-présidente en charge du secrétariat

Ses adhérents, qui sont les étudiants de l’ENSP, suportent et prennent part aux différentes manifestations de l’association, ils étaient 68 l’année passée, soit presque la totalité des étudiants de l’école.Les adhérents sont au centre des initatives et des choix du bureau. En s’engagant collectivement et en mutualisant leurs compétences ils sont le moteur des projets réalisés tout au long de l’année.

Notre objectif premier est d’offrir un lieu ouvert et disponible : tantôt une vitrine pour les expositions éphémères, tantôt des événements (performances, concerts, conférences, projections ou loto des arts, mais également des résidences, workshops ou festivals).

Les projets de l’association visent toujours à donner une visibilité aux idées et activités des étudiants vers les Arlésiens. Au cours des années précédentes, les habitants de la ville pouvaient retrouver ces projets à des endroits divers et importants d’Arles comme l’Espace Van Gogh, l’Église Saint Julien ou encore la Galerie Arena de l’ENSP.

Afin de poursuivre ces expériences mais aussi dans la perspective d’élargir notre activité, nous souhaitons créer notre propre espace, qui peut devenir propre aux étudiants, mais qui reste ouvert aux habitants et aux intéressés.

Le point culminant du programme de l’association est le projet “Work in Progress”, une exposition annuelle à l’Église Saint Julien offrant aux spectateurs un suivi annuel des projets des étudiants.

Cette exposition, qui se manifeste depuis plusieures années consécutives, a lieu pendant les deux premières semaines des Rencontres de la Photographie d'Arles.Notre bureau vise à réformer le projet des WIP pour en faire un vrai suivi qui s’étalera sur toute l’année. Il s’agit d’organiser un calendrier d’appel d’offres, en garantissant d’offrir une programmation avec deux activités par mois. Selon la disponibilité du lieu, des étudiants ou des groupes d’étudiants pourraient candidater pour l’occuper en proposant leurs projets.

Nous pensons que cette réforme rééquilibre la balance entre processus et résultat, en mettant l’accent au moins autant sur le processus et l’expérimentation que sur le résultat.En plus d’une activité tout au long de l’année nous voulons aussi nous assurer une visibilité pendant les Rencontres. L’Église Saint Julien n’étant plus à la disposition de l’association l’été prochain, l’exposition des WIP doit se renouveler sous une forme nouvelle, forme que nous sommes encore en train de rechercher et de développer.

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Recherche

© Joana LUZ DA SILVA

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Les activités de recherche de l’ENSP se sont poursuivies sur les cinq « territoires » suivants : • CRAI, Centre de Recherche Art et Image• les programmes de recherche qui s’adressent aux étudiants du cursus initial• le doctorat de création• La plateforme sémantique • la revue Inframince• l’Obs/IN – Observatoire des pratiques de création de l’image numérique

crAi - centre de recherche Art et imAge

Dans la perspective du développement et de la structuration de ses activités de recherche, l’ENSP a ouvert en septembre 2015 un centre de recherche et de création intitulé le CRAI. Pour cela a été ouvert un carnet Hypothèses pour rassembler l’ensemble des documents de recherche (Centre de Recherche Art et Image, http://enspcrai.hypotheses.org).Le CRAI est coordonné par Fabien Vallos et un(e) secrétaire de rédaction. Le CRAI est alimenté par l’ensemble des 7 artistes-enseignants-chercheurs de l’établissment et les étudiants en Master.

Les enjeux du CRAI sont simples :• Coordonner l’ensemble des activités de recherche dans l’école et faciliter l’ensemble du travail

des enseignants-chercheurs.• Rendre public les activités de recherche de l’école tant pour les artistes enseignants-

chercheurs que pour les étudiants chercheurs. Le rôle primordial d’une unité de recherche est précisément dans sa capacité à rendre publics les travaux des chercheurs (étudiants, enseignants et intervenants).

• Organiser des espaces de travail et de rencontres pour penser la question propre à cette unité de recherche, les relations historiques, épistémologiques et gnoséologiques entre art et image. En somme, y a-t-il une économie propre à cette relation ?

Fonctionnement, structures et dispositifsLe CRAI est à la fois une structure technique de fonctionnement pour faciliter le travail des chercheurs et à la fois une structure de publication qui défend et promeut la diffusion publique des travaux des chercheurs de l’école.Le CRAI en tant qu’unité de recherche rassemble les enseignants-chercheurs et propose pour une durée de trois à quatre ans un programme de recherche spécifique. Le premier est intitulé Visibilités des images.Le CRAI accueille des projets impliqués dans le programme de recherche. Pour l’ouverture de l’unité de recherche en septembre 2015, l’école propose 2 laboratoires.Le CRAI en tant qu’unité de recherche proposera techniquement aux étudiants-chercheurs, ce que nous nommons un laboratoire comme plateforme pour rassembler l’ensemble des outils indispensables de la recherche (bibliographies, textes, index, etc.).Le CRAI propose et dirige le présent carnet de recherche pour l’ensemble de son actualité et de ses productions.

Le CRAI en tant qu’unité de recherche dispose des éléments suivants en vue de rendre public

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l’ensemble des activités de recherche de l’école :• Le présent carnet de recherche

Il permet d’informer d’une actualité, d’adresser une lettre d’information et surtout de publier l’ensemble des éléments de recherches nécessaires : actes de colloques, de journées d’étude, vidéos de conférences, portfolios, articles de chercheurs, articles réalisés à partir des mémoires des étudiants, bibliographies, corpus, index, etc. Rédacteur en chef : Fabien VallosRédacteurs : l’ensemble des enseignants et des étudiants chercheurs

• 2 laboratoires de recherche PI (Prospectives de l'image) dir. Caroline BernardFIG. (figures images grammaires) dir. Fabien Vallos

• La revue InframinceRevue semestrielle Rédacteur en chef : Nicolas Giraud

• Les expositionsL’école dispose de lieux d’exposition et peut réaliser des partenariats avec divers centres d’art et musées.Responsable des expositions Juliette Vignon

• L’Obs/INL’observatoire des pratiques de création de l’image numérique a été co-créé en 2011 à l’initiative de l’ENSP, de l’École supérieure d’art d’Aix-en-Provence et de l’IUT d’Arles.

• Les projets ponctuelsLes projets ponctuels sont menés par les enseignants dans le cadre des ateliers de recherches et des séminaires et peuvent consister en exposition, conférences, interventions d’artistes ou de chercheurs invités.

ÉquipeL’équipe se compose des sept artistes-enseignants-chercheurs de l’ENSP :• Caroline Bernard• Nicolas Giraud• Tadashi Ono• Paul Pouvreau• Gilles Saussier• Muriel Toulemonde• Fabien Vallos

ainsi que de chercheurs associés: :• Arnaud Claass• Alexandre Quoi (AMU)

StructureLa mise en place du programme de recherche (centre de recherche CRAI plus les deux laboratoires) a pour objectif d’inscrire les étudiants du deuxième et du troisième cycle dans un véritable processus de recherche et d’élaborer avec les enseignants chercheurs les données scientifiques et théoriques nécessaires à la construction de ce projet.

Pour les années 2016-2018 nous concentrons nos efforts sur deux axes essentiels un regard sur les nouvelles pratiques de l’image comme modalité de capture et d’autre part une contribution à une théorie critique de l’économie iconique. Le Centre de Recherche Art & Image (CRAI) et les deux laboratoires associés ont défini avec

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l’ensemble de l’équipe des artistes enseignants chercheurs et des chercheurs associés différents dispositifs pour mettre à l’épreuve et rendre publiques les qualités artistiques et scientifiques de la recherche : • Un carnet de recherche : http://enspcrai.hypotheses.org/• Deux laboratoires de recherche • Une série d’expositions • Une série de journées d’étude et de colloques • Des artistes et des chercheurs internationaux invités• Des chercheurs associés et des partenariats avec d’autres centres de recherche

Méthodologie et impact sur la rechercheL’ensemble du programme de recherche mis en place depuis 2015 a pour double but la transformation des processus méthodologiques et épistémologiques de l’école ainsi que l’inscription des étudiants dans un processus de recherche. Ceci nous permet à la fois d’inscrire les étudiants dans un deuxième cycle de très grande qualité et de les préparer à entrer dans la recherche. Pour cela, le CRAI et l’ensemble de l’équipe pédagogique se sont donnés pour mission de développer dix structures qui permettent de redéfinir en profondeur l’entièreté du champ de la recherche de l’ENSP.

• Les laboratoires. L’école a ouvert en octobre 2015 deux laboratoires sous les directions de deux chercheurs, Caroline Bernard et Fabien Vallos.

• Les ARC & les projetsDans le même temps, l’école, sous l’impulsion des enseignants artistes et chercheurs, a ouvert des ARC (Ateliers Recherche et Création) qui permettent de créer des zones d’expérimentations (épistémologiques, critiques, curatoriales, artistiques). Les ARC sont liés à des projets conduits par des enseignants. Ils sont au nombre de sept (pour l’année 2016) : un projet avec l’INSERM, un projet de parcours Écriture et photographie avec le CERCC (ENS Lyon), un projet L’aliment et ses représentations dont le fruit fut partagé lors du banquet Bouchées Doubles en juin 2017, un projet Chantier (sur la construction de la future école), un projet Danse et photographie et le projet Obs/in (Observatoire des pratiques numériques).

• Le deuxième cycle Depuis 2015 nous tenons à faire entrer les étudiants dans un réel processus de recherche pour leur deuxième cycle. Ce processus, lié à l’ensemble des pratiques de recherche est fondé sur trois attentes : 1. la capacité à établir un sujet de recherche et à établir des protocoles de travail et d’analyse, 2. la rédaction et la soutenance du mémoire de deuxième cycle, 3. la capacité à publier un article de recherche à partir du mémoire. À ce jour, nous avons pu constater une significative augmentation de la qualité des travaux (l’ensemble des mémoires sont archivés au format papier et numérique par la bibliothèque de l’établissement) et nous commençons à publier des articles sur le site du carnet Hypothèse.

• Les ateliers, journées d’étude, colloquesNous avons établi un programme pour la réalisation d’ateliers avec des artistes et des théoriciens, la réalisation de journées d’étude et la réalisation de colloques internationaux

• Le CRAI, plateforme de publication et de diffusion Nous avons créé le CRAI comme unité de recherche afin de devenir la plateforme de publication et de diffusion de la recherche à l’ENSP. Pour cela nous avons créé une plateforme Hypothèse : http://enspcrai.hypotheses.org/

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Les articles publiés font état de conférences, rencontres, séminaires ou d'écrits d'étudiants.

• Le doctorat de créationDepuis deux ans maintenant l’ENSP a créé un troisième cycle (doctorat de création) dirigé par Nicolas Giraud et Arnaud Claass.

• Le conservatoire des pratiques photographiqueDurant la mise en place du premier programme de recherche et en préparation du futur site de l’école, nous aimerions créer (dans le cadre du programme de recherche) un Conservatoire des pratiques photographiques et de l’image, puisque nous disposons d’un savoir-faire unique et de l’ensemble de toutes les techniques du photographique. Nous aimerions créer ce Conservatoire à l’ouverture en 2019 du futur établissement.

• Le fab-labLe FabLab de l’ENSP est un espace mutualisé d’expérimentation numérique dédié à la culture et à l’art. Il permet de créer une communauté d’échange entre universitaires, ingénieurs, artistes, amateurs, grand public, ingénieurs… autour de thèmes relatifs à la création et l’innovation dans les domaines de l’image numérique et ses modes de création, monstration, diffusion, édition. Coordinateur Yannick Vernet

• Les pratiques curatoriales Dès la rentrée d’octobre 2016, a été ouvert un nouveau parcours de recherche exclusivement consacré aux pratiques curatoriales. Il est dirigé par Nicolas Giraud et Fabien Vallos.

Programme de recherche #1 VISIBILITÉS DES IMAGES (2015-2018)

VISIBILITÉS DES IMAGES est le premier intitulé et le premier « thème » pour l’unité de recherche de l’ENSP, le CRAI.

« La circulation d’une invisible similitude entre des visibilités qui nous instruisent ou nous enchantent en ne cessant de nous tromper » Marie José Mondzain, L’image

Il a été décidé d’inscrire les recherches dans une première phase (2015-2018) qui portera le titre de « Visibilité des images ».Le CRAI a pour enjeu majeur de définir et de défendre ce qui se nomme recherche en art, et spécifiquement ici, recherche en lien avec les questions de l’image et de la photographie.Issue des réformes du processus de Bologne, les écoles d’art sont désormais attachées à l’histoire de la recherche et à son inscription. C’est dans cette élaboration complexe que se situe précisément le CRAI. Il s’agit de proposer à la fois un cadre théorique et esthétique à une histoire du visible et des images et à la fois proposer les cadres méthodologiques et épistémologiques de ce que nous nommons recherche en art.C’est pour cette raison que cette recherche en art s’inscrit dès le début à partir des sphères de la production, à partir des dispositifs, à partir de la détermination précise d’une masse critique et enfin à partir de la capacité à publier et à rendre public.

La création du CRAI dépend de la singularité de la pédagogie de l’ENSP comme Master, essentiellement, et maintenant comme Doctorat de Création. En ce sens le CRAI est une liaison entre les artistes chercheurs du Master et du Doctorat. Elle se légitime en tant que telle comme Centre de recherche. Dans le cadre du Master les étudiants sont appelés à « acquérir » trois éléments, le développement du projet personnel, puis l’inscription dans une masse critique et

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enfin la capacité à déterminer et à déconstruire les systèmes analytiques. C’est pour cela que l’enseignement à l’ENSP est toujours artistique, théorique et technique. C’est pour cette raison encore qu’il était nécessaire de constituer ce centre de recherche afin de rassembler l’ensemble de nos modèles d’analyse, de rassembler les éléments de corpus et de bibliographie, les projets, les propositions théoriques des chercheurs et, bien sûr, leurs travaux plastiques et artistiques.C’est pour l’ensemble de ces raisons qu’il était nécessaire de penser un centre de recherche fondé sur un travail d’observation et d’analyse de la modernité du concept d’image. En somme ouvrir une unité de recherche fondée sur une interrogation primordiale des visibilités des images.

Par ailleurs, il fallait encore affirmer que l’enjeu essentiel du CRAI est l’interprétation et l’observation des relations complexes entre art et image. Leurs relations ont fondé un débat complexe sur la production et l’opérativité des images et plus généralement sur le concept d’opérativité pour l’être. C’est encore les relations complexes de l’art et de l’image qui ont fondé, pour partie, les crises que nous avons nommé de la modernité. Il s’agit bien sûr des trois modernités en tant que modernité fondée sur l’affirmation de la transcendance de la raison, puis comme critique de la transcendance et enfin comme critique de la raison. C’est pour cela qu’il nous semblait important d’ouvrir un nouveau champ de recherche pour penser la modernité technique, esthétique et théorique des relations qu’art et image entretiennent.

Le programme Visibilités des images prendra effet à partir de trois axes fondamentaux qui détermineront les enjeux épistémologiques, théoriques et plastiques de nos recherches: il s’agira de ce que nous pourrions nommer trois axes comme image-texte, image-opératoire et image-observatoire. C’est à partir de ces trois schémas que nous serons en mesure de proposer un nouveau regard sur les pratiques de l’image.Le programme Visibilités des images prendra effet, dès 2015, avec deux laboratoires de recherche, l’un Prospectives de l'image (dir. Caroline Bernard), l’autre Figure Images Grammaire (dir. Fabien Vallos). D’autres laboratoires pourront encore venir.

Le programme de recherche Visibilités des images prendra effet à partir d’une série de cinq projets menés par les artistes enseignants chercheurs et les chercheurs associés de l’école.Enfin le programme de recherche Visibilités des images rendra efficient et visible l’ensemble des objets de nos recherches à partir de cinq modes de diffusion et de publication : les articles publiés sur le carnet de recherche, les éditions de l’ENSP, les expositions, les projets et les journées d’études.

les progrAmmes de recherche à destinAtion des étudiAnts du cursus initiAl

LITTÉRATURE & PHOTOGRAPHIEProgramme de recherche en partenariat avec l’ENS de LyonL’ENSP col la bore avec l’ENS et le centre de recher che art et image (CRAI) collabore avec le centre d’études et de recherche comparées sur la création (CERCC) sur un projet d’un parcours de recherche intitulé «Littérature & photographie», en met tant en contact les étudiants des deux établissements .Responsables ENS : Éric Dayre, David GauthierResponsable ENSP : Fabien Vallos, Nicolas Giraud.

1723 Pratiques curatoriales, éditoriales et photographiquesCoordination : Fabien VallosCe projet est initié par l’École nationale supérieure de la photographie d’Arles avec le Centre

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national édition art et image (CNEAI) de Paris et la Haute école d’art et de design de Genève. Le projet est conduit par cinq personnes : Sylvie Boulanger, Nicolas Giraud, Aurélie Pétrel, Alexandre Quoi et Fabien Vallos. C’est un projet construit sur trois années avec des étudiants de l’ENSP et de la Head. Le point de départ est alors la collection d’éphéméra, d’éditions et d’œuvres du Cneai. Nous proposons que le protocole de recherche autour des pratiques curatoriales soit structuré à partir de deux éléments fondateurs : la question des objets et des œuvres gravitationnels et la question des ouvrages et des éditions augmentés.

LABORATOIRE FIG. (FIGURES IMAGES GRAMMAIRES)Coordination : Fabien Vallos

Ce laboratoire prend acte dans le cadre de la récente création d’une unité de recherche, nommée CRAI (Centre de Recherche Art & Image) à l’ENSP. Ce laboratoire a pour enjeux d’inscrire les étudiants chercheurs dans une communauté de recherche qui fonde le regard sur l’image à la croisée des intérêts de la philosophie, de l’histoire de l’œuvre, de la métaphysique, de la littérature et de la poétique. Ce laboratoire a pour point de départ l’épreuve classique et conservatrice d’une forclusion des images de tout enjeu de recherche et de l’épreuve moderne d’un abandon, nommé poétique. Or devant la classification superfétatoire des disciplines, devant la radicalisation des processus métaphoriques, synesthésiques, puis des processus de traduction et de transdisciplinarité, il convient enfin de proposer et de penser ce qui a déterminé ce processus de cloisonnement et ce qui a fait croire (la modernité critique) à la possibilité de son achèvement. Il conviendra alors, dans le cadre de ce laboratoire, de produire une archéologie de ce cloisonnement texte-image, puis de produire l’archéologie moderne – qui n’a jusqu’à présent jamais été faite – de la possible réconciliation du texte et de l’image pour enfin produire une théorie critique de l’économie iconique contemporaine. Le laboratoire Fig. invitera différents chercheurs, théoriciens et artistes pour constituer à la fois un corpus analytique et théorique.

Le laboratoire existe sur plusieurs année. 2015-2017 ont été deux années de préparation et de séminaires durant lesquels nous avons réalisé deux voyages (Ferrare pour l'étude du Palazzo Schfanoia et Athènes pour la documenta 14)2017-2018 est une année consacrée aux séminaires mais aussi à la réalisation d'un colloque réunissant une quinzaire de chercheurs internationaux. Le colloque aura lieu les 7 et 8 février 2018 à la Fondation Luma à Arles. Les actes du colloque seront publiés au printemps. Cette même année trois expositions seront réalisées dans le cadre du colloque et un voyage de recherche sera fait à Palerme. 2018-2019 est une année consacrée au séminaires et à la réalisation d'une série d'expositions.

USAGE DU TEMPSCoordination : Nicolas Giraud

Ce projet s’attache à la manière dont le temps structure le processus créatif et plus largement notre relation au monde. Il pose la question de savoir comment, en tant qu’artistes, étudiants, chercheurs, citoyens, nous habitons la temporalité, comment nous pouvons la modifier et comment ces réflexions peuvent être transmises à autrui. Les résultats de cette recherche, sous formes d’œuvres, d’articles et de documents font l’objet d’une série d’expositions et de publications.

La recherche mené donne lieu à des productions critiques, théoriques et plastiques. Le projet vise à esquisser un modèle d’usage, comme une sorte de manuel où convergent les propositions issues

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de différents champs.

Le projet donne lieu à une série d’expositions. Chaque exposition est pensée comme un cabinet de lecture avec trois éléments : un poster, une documentation et une œuvre. Pour chaque exposition la documentation est mise à jour, le poster montre l’architecture du projet en cours et une œuvre, différente à chaque fois, est présentée en contrepoint de cette documentation.

Ce projet est mené en dialogue avec différents interlocuteurs, dans et en dehors du monde de l’art, artistes, écrivains, chercheurs (dont notamment les membres du laboratoire IXXI de l’ENS Lyon).

MALTE : ARCHIVES ET ARCHITECTURECoordination : Tadashi Ono

Dans le cadre de “La Valette, la capital européenne de la culture 2018”, les étudiant de l’ENSP se rendent à Malte et travaillent avec des étudiants de la University of Malta pour créer des expositions photographiques autour de deux thèmes : Archives et Architecture. Le voyage se fait en trois temps, en mars et en juin 2018, ainsi que fin août pour le montage de l’exposition. • Archives : afin de plonger dans l’histoire visuelle de Malte, seront étudiées des archives

photographiques inexploitées en contact avec des historiens maltais. Une façon d’orienter les regards sur l’axe de temps qui traverse la vie de cette île de manière singulière.

• Architecture : à travers plusieurs excursions-promenade dans la ville et divers sites spécifiques, chaque étudiant réalise un travail photographique sur l’environnement architectural de Malte, fruit du métissage complexe des civilisations multiples. Le sujet ne se limite alors pas à l’architecture.

En accumulant des expériences photographiques, les étudiants exploreront un territoire et échangeront des regards alternatifs sur cette île.

AUTRES ESPACES DE LA PHOTOGRAPHIESCoordination : Gilles Saussier

Créé en 2013, ce séminaire transversal dédié initialement aux jeunes artistes étrangers en résidence à l’ENSP s'est progressivement élargi aux doctorants et à l'ensemble des étudiants de seconde et troisième année. Il préfigure un laboratoire de recherche consacré à la question des hétérotopies photographiques contemporaines.

Autres espaces de la photographie s'intéresse aux pratiques photographiques contemporaines situées prioritairement dans le champs de la recherche, et échappant aux déterminismes institutionnels de l'art (artiste-photographe) ou des médias (photographe-auteur).Pratiques individuelles ou volontiers collaboratives, mettant en œuvre des dispositifs de monstration expérimentaux dont les problématiques recoupent celles de l'art in-situ ou du site-specific.Démarches associant chercheurs et photographes, voire pratiques photographiques et documentaires de chercheurs dont la spécialité relève de champs connexes à la photographie: anthropologie, archéologie, architecture, paysage, sociologie...

L'objectif de ce projet est de Penser et promouvoir le statut de photographe-chercheur comme alternative aux modèles des photographes-auteurs et des artistes-photographes.Proposer un espace pédagogique de recherche commun aux jeunes artistes résidents, aux

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doctorants, et aux étudiants de l'ENSP.

Recenser, étudier, faire connaître des travaux photographiques expérimentaux produits dans des périphéries proches ou lointaines (géographiques, sociales, ou culturelles) dont les enjeux sont la représentation de la centralité par la périphérie plutôt que l'inverse.

ANIMACoordination : Caroline BernardDans la suite des projets de recherche Overscopia et Ubiquité, le projet Anima rassemble chercheurs et étudiants de trois différentes écoles : L’ENSP, l’École supérieure d’art Aix-En-Provence et l’École régionale des acteurs de Cannes (ERAC). Ce projet fait également l’objet d’un partenariat avec le théâtre d’Arles puisque le résultat de l’année de recherche sera présenté lors de deux représentations les 26 et 27 septembre 2016. L’enjeu est, en adaptant le roman Anima de Wajdi Mouawad, de créer des caméras, machines de vision qui permettent un enregistrement en direct du spectacle. Les étudiants en collaboration avec les chercheurs associés doivent inventer des dispositifs modulables qui donnent à voir le travail scénique de façon inédite. Les étudiants d’Aix-en-Provence sont en charge de la scénographie. Projet de grande envergure, des nombreuses rencontres sont organisées sur l’année afin que ce travail de création s’articule en fonction des nécessités du jeu théâtral.

Sur l’année, rencontres régulières dans des journées de laboratoire. Workshop de recherche ERAC / ENSP, 17 - 21 octobre 2016Workshop de recherche ENSP dans le cadre de l’OBSIN, 12 – 16 décembre 2016Workshop de recherche ERAC / ENSP / AIX, 13 - 17 février 2016Workshop de recherche ERAC / ENSP, 14 au 28 juin 2016, les étudiants de l’ENSP par intermittenceWorkshop de recherche ERAC / ENSP, 4 au 26 septembre 2016, les étudiants de l’ENSP par intermittenceReprésentations au théâtre, 26-27 septembre 2017

le doctorAt de créAtion en pArtenAriAt Avec l’université d’Aix-mArseille (Amu)

Inauguré à la rentrée académique 2013, le doctorat « Pratique et théorie de la création artistique et littéraire », spécialité photographie, mis en place dans le cadre d’une convention signée avec l’Université d’Aix-Marseille (AMU), accorde une place prépondérante à la pratique de création, jointe à une réflexion sur cette pratique. À compter de la rentrée académique 2014, la direction artistique des doctorats a été confiée à Nicolas Giraud, artiste enseignant à l’ENSP, qui a co-animé avec Arnaud Claass un séminaire de recherche mensuel à destination des étudiants de 3e année et des doctorants. Ce séminaire, a eu pour thème cette année «Pour une histoire de la curiosité »

Les doctorants sont aujourd'hui au nombre de 5 : Lila Neutre, Walid Ghali, Mezli Vega, Sergio Valenzuela et Nina Ferrer-Gleize accueillie en 2016 au sein du doctorat.

Attendue comme la première femme Docteur es Photographie, Lila Neutre a soutenu, le 24 novembre 2017, sa thèse intitulée "Sculpter le soi. Le corps social comme dispositif de résistance, l'apparence comme poétique de survie", sous la direction de Arnaud Claass, photographe écrivain et de Sylvia Girel, sociologue et en présence des membres du jury : Pascal Beausse | écrivain et critique, responsable de la collection photographiedu Centre National des Arts Plastiques

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Christine Détrez | écrivaine et sociologue, professeure à l’ENS de LyonAnna Guillò | artiste, maître de conférence HdR en Arts Plastiques et Sciences de l’ArtValérie Jouve | photographe vidéaste et réalisatriceAnne Monjaret | sociologue et anthropologue, directrice de recherche au CNRSJacques Leenardht | directeur d'études à l'EHESS de Paris

D'ici la fin de l'année 2017-2018, Walid Ghali présentera également sa thèse.

inFrAmince, revue de l’ensp dédiée à lA recherche en photogrAphie

Créée en 2005, en partenariat avec les éditions Actes Sud, la revue de l’ENSP, Inframince, dédiée à la recherche en photographie. Après 8 numéros la revue inaugure en 2016 une nouvelle formule et devient en 2016 une revue semestrielle.

Chaque numéro rassemble des textes d’enseignants de l’ENSP et d’auteurs invités, français et étrangers, ainsi que des portfolios, qui viennent témoigner sous une autre forme du thème abordé dans la revue.Le numéro 9, sur le sujet de "L'exploration photographique" a été publié au printemps 2016. Le numéro 10 a paru à l'automne 2016 et développera une réflexion autour du thème "Image, pouvoir et politique."

lA plAteForme sémAntique

Au croisement de nombreux champs disciplinaires, l'ENSP a entrepris un travail de réflexion sur différents sujets liés à l'édition numérique. La question du catalogue numérique d'exposition est abordée dans le cadre de journées professionnelles de réflexion et d'expérimentation.

Depuis deux ans, l'ENSP travaille sur la façon de donner à voir la recherche artistique. Plusieurs actions ont été menées à savoir : la réflexion menée avec le philosophe et chercheur chez INRIA Alexandre Monnin sur la création comme une action distribuée faites d'aléa et d'imprévus. Cette approche nous a amené à penser les méthodes documentaires sur le long terme et dans des approches d'interopérabilité entre les systèmes et d'interdisciplinarité.Une journée de réflexion qui a rassemblé des professionnels du monde des fablabs; de l'art; du spectacle vivant; de la recherche en archéologie des médias et de l'ingénierie documentaire a été organisé pour valider nos hypothèses.

Pour mettre en application cette réflexion, l'ENSP encadre depuis plusieurs années des travaux d'étudiants de l'IUT d'Arles dans le cadre des projets tutorés. Cette année, un groupe d'étudiants de la formation Métiers du multimédia et de l'internet a développé un player vidéo dont les objectifs étaient de permettre une navigation intelligente dans les contenus. Ce travail s'est appuyé sur la possibilité de séquençage et l'indexation fine des différentes parties en respectant certains standards.Le player permet le balisage sémantique de la ressource en RDF.

Un second projet tutoré qui se déroule sur 2 ans avec un groupe d'étudiants en licence informatique consiste à concevoir et développer une plateforme de valorisation de ressources liées à l’Observatoire des pratiques de création des images numériques (Obs/IN). Il s'agit d'une partie back office qui permet le téléchargement de ressources (photographies, vidéos, textes…) et l’indexation de celles-ci. Cette indexation s’appuie sur les formats en vigueur du web

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sémantique et les outils d’indexation (vocabulaires contrôlés ; thésaurus ; ontologies ;etc).Une autre partie, en front office, permet l’affichage de ces ressources. Les données sont organisées en s’appuyant sur les métadonnées et la structuration de celles-ci, leur visualisation se fait grâce au développement d'une interface spécifique (datavizualisation).

l’oBservAtoire des prAtiques de créAtion de l’imAge numérique (oBs/in) :

L’Observatoire des pratiques de création de l’image numérique (Obs/IN) a été fondé en 2011 à l’initiative de l’École nationale supérieure de la photographie, l’École Supérieure d’Art d’Aix-en-Provence et de l’IUT d’Arles dans le but de créer une synergie nouvelle entre les différents acteurs du développement de l’image numérique : théoriciens, industriels et artistes numériques.

L’Obs/IN rassemble lors d’événements des chercheurs, des ingénieurs, des artistes qui partagent tous la même envie d’inventer, autour de l’image et du numérique, un concept nouveau de la recherche.

Pour sa septième édition, le Colloque de l’Obs/IN, lieu d’échanges et de réflexions, poursuit son exploration des pratiques de création des images numériques. Après les problématiques du codage, décodage et transcodage (2011), de l’immersion (2012), de l’en-Jeu [vidéo] des images (2013), du temps réel (2014) et des images opératoires (2015 et 2016), l’édition 2017 s'est intéressé au thème : Images et data.Pour questionner cette relation entre l'image et la donnée, trois sous-thèmes ont été choisis pour structurer le colloque : la vision algorithmique ; l'image interactive, performative et opératoire ; la vision bio-robotique.

Programme du colloque des jeudi 16 et vendredi 17 novembre 2017 :

• La vision algorithmique :› De la vision technologique à la subjectivité numérique | Anne Zeitz (maître de conférence à l’Université Rennes 2) › Les outils d’analyse et de traitement des images | Régis Vinciguerra (responsable de l’Équipe «Perception 3D & Mobilité» du Laboratoire Vision et Ingénierie des Contenus de l’institut CEA LIST/Nano-Innov/Université Paris-Saclay)› L’intelligence artificielle au service des images | Sébastien Thon (Maître de conférences en Informatique à l’Université d’Aix-Marseille.)› Table ronde sur le thème « Vision algorithmique » animée par Emmanuel Guez (artiste et enseignant. Co-créateur du laboratoire PAMAL (Preservation & Art – Media Archaeology Lab) fondé à l’École Supérieure d’Art d’Avignon (ESAA) en 2013 avec Lionel Broye.

• Les images interactives, performatives et opératoires :› Les images interactives, performatives et opératoires | Jean-Paul Fourmentraux ( Sociologue et Critique d’art est Professeur à l’université Aix-Marseille)› Présentation du travail artistique de Nogo Voyages (Gwenola Wagon et Stéphane Degoutin), Gwenola Wagon (Artiste et Maître de conférences à l’Université Paris 8) et présentation de la pièce Le chaton et l’usine automatique, vidéo projection mobile sur robot aspirateur automatique présentée à la Galerie L’Espace pour l’art à Arles dans le cadre d’Octobre Numérique en partenariat avec l'Obs/IN.› Présentation du travail artistique de Smith et notamment de Cellulairement› Table-ronde sur le thème « Image interactive, performative et opératoire » animée par Caroline Renard (maitre de conférence à Aix-Marseille Université/ LESA)

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• La vision bio-robotique :› Capteurs optiques bio-inspirés pour la robotique | Stéphane Viollet (Directeur de Recherche CNRS à l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université et responsable de l’équipe Biorobotics.)› Micro-drone autonome inspiré de la perception des abeilles | Erik Vanhoutte (doctorant en biorobotique à l’université d’Aix-Marseille, au sein de l’ISM (Institut des sciences du mouvement).› Présentation du projet Anima | Caroline Bernard (Artiste et enseignante à l’ENSP) et Guillaume Stagnaro (enseignant à l’ESA d’Aix-en-Provence)› Table-ronde sur le thème de la « vision bio-robotique » animée par Caroline Bernard› Rapport d’étonnement sur ces 3 demi-journées | Colette Tron (Auteur et critique, Colette Tron expérimente des formes d’écriture et d’édition, du livre aux medias numériques, créant des poétiques des medias. Directrice artistique d’Alphabetville à Marseille, laboratoire des écritures multimédia)

Le hackathon des samedi 18 et dimanche 19 novembre 2017Pour cette nouvelle édition, l'Obs/In a renoué avec le format Hackathon (concours destiné à stimuler la création) sur la thématique « Image et data ». En lien direct avec le colloque de l’Obs/IN les participants à ce hackathon pouvaient orienter leur réflexion dans l'un des sous thèmes.3 groupes constitués d'étudiants de l'ENSP et de l'IUT (Aix-Marseille Université) ont ainsi travaillé durant le week-end sur des projets liés au traitement et à l'analyse d'image.

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Relations internationales

© Joana LUZ DA SILVA

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Programme Erasmus+ pour l’enseignement supérieur

L’ENSP a obtenu, en décembre 2013, une nouvelle charte Erasmus pour l’enseignement supérieur 2014-2020 (ECHE), dans le cadre du nouveau programme Erasmus+, qui engage l’établissement à respecter un certain nombre de principes fondamentaux. Cette charte est en ligne sur le site internet de l’ENSP. Les nouvelles dispositions relatives à la mobilité de personnes (étudiants et personnels) à des fins d’éducation et de formation ont donc pu être mises en œuvre dès la rentrée 2014-2015.

Les échanges dans le cadre du programme de mobilité Erasmus restent réservés exclusivement aux étudiants de deuxième année. La subvention octroyée à l’ENSP pour l’année 2016-2017 a permis les mobilités suivantes : une mobilité d’étude pour les étudiants ainsi que quatre mobilités de formation pour le personnel et une mobilité d'enseignement.

Pour l’année 2016-2017, une étudiante de l’ENSP a effectué une mobilité au cours de l’année scolaire dans le cadre de la mobilité d'étude en Finlande. Elle a bénéficié d’une aide financière de l’Union Européenne, via l’Agence Nationale Europe-Éducation-Formation-France, dans le cadre du programme Erasmus + pour l’enseignement supérieur. L’ENSP a également renouvelé sa contribution financière à la mobilité par la prise en charge partielle du coût du voyage aller et retour des étudiants partants ainsi qu'un complément de bourse sous conditions de ressources.

Quatre agents de l’ENSP ont également pu bénéficier chacun d’une mobilité de formation.Un autre agent doit effectuer une mobilité d’enseignement à Malte au mois de décembre 2017.

Par ailleurs, trois étudiants issus de trois école partenaires européennes ont été accueillis à l'ENSP au cours du premier semestre.

moBilité d’étude étudiAnte "entrAnte"

Belgique• École Nationale des Arts Visuels de La Cambre, BruxellesAnnabel MAJOREL a été accueillie à l’ENSP du 28 septembre 2016 au 27 janvier 2017.

moBilité d’étude étudiAnte "sortAnte"

FinlAnde• Aalto University of Design, HelsinkiDiane HYMANS a effectué un séjour dans cette institution du 22 août au 31 décembre 2016.

AllemAgne• HGB - Academy of Visual Arts, LeipzigUn accord inter-institutionel a été signé avec cet établissement qui a permis un premier échange

Échanges en Europe

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au cours de l’année 2016-2017.Julie HRNCIROVA y a effectué un séjour du 4 octobre 2016 au 15 février 2017. Elle a bénéficié d’un financement de l’OFAJ.

moBilité de FormAtion du personnel

royAume-uni• Ravensbourne, LondresLionel GENRE a effectué un séjour d'immersion dans le “prototyping lab” dans le but d’étudier le mode de fonctionnement des laboratoires numériques dans les cursus spécialisés de cette université et d’apprécier les méthodes d’enseignement des spécialités numériques en photographie et médias.Dates de la mobilité : du 28 juin au 1er juillet 2017

FinlAnde• Aalto University, School of Arts, Design and Architecture, HelsinkiLucile GUYOMARC’H a effectué un séjour d'immersion dans le service communication dans le but de découvrir différents moyens et outils d’organisation et de communication.

Juliette VIGNON et Anaïs BOHÊME ont effectué en même temps un séjour d'immersion dans le service des expositions dans le but de découvrir comment cet établissement organise et gère leurs espaces d’exposition.Dates de la mobilité : du 20 au 23 septembre 2017

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Échanges et partenariats

hors Europe

Les échanges hors Europe se sont effectués dans le cadre d’un post-diplôme de mobilité internationale. Une bourse de recherche et de création internationale a été attribuée à 5 jeunes diplômés de la promotion 2016, permettant à quatre d'entre-eux d'effectuer une résidence d'artiste ou un projet de recherche dans l’un des établissements partenaires étrangers de l'ENSP cités ci-dessous (hors Europe) et à un autre étudiant de réaliser un projet artistique vers une destination libre.

Argentine• Escuela Fotografia Creative (EFC) à Buenos AiresDans le cadre des échanges inter-institutionnels avec l’EFC, un jeune artiste a intégré le programme international de résidence de recherche et de création du 28 septembre au 31 décembre 2016.

chine• Ecole Offshore à ShangaïMatthieu FRENOT, néo-diplômé, a été sélectionné dans le cadre d’une convention avec l’ENSAD de Nancy, pour participer au programme de recherche de l’École Offshore à Shangaï du 10 octobre 2016 au 30 juin 2017.

colomBie• Universidade de Los Andes à BogotáGilles Saussier, enseignant-artiste à l'ENSP, a effectué une mission et un workshop dans le cadre d'un projet de collaboration académique et de recherche-création du 27 janvier au 5 février 2017.

jApon• Kyoto University of Art and Design (KUAD)Dans le cadre de la mise en place d’une année de césure à l’ENSP, une étudiante de 2e année, Fanny TERNO, a été sélectionnée pour effectuer un semestre d’étude à la KUAD du 14 septembre 2016 au 27 janvier 2017.

pérou• Centro de la Imagen de Lima Eléonore SECONDI a effectué une résidence d'artiste du 10 octobre 2016 au 10 janvier 2017.

usA - neW yorK• International Center of Photography (ICP) Deux néo-diplômés ont été accueillis à l’ICP :Guillaume DELLEUSE du 28 septembre 2016 au 05 janvier 2017Pauline ROUSSEAU, du 21 septembre au 21 décembre 2016

cAnAdA• Université du Québec à Montréal (UQAM) - MontréalDans le cadre de la mise en place d’une année de césure à l’ENSP, une étudiante de 2e année, Lola ERTEL, a été sélectionnée pour effectuer un semestre d’étude à l’UQAM, dans la Maîtrise Arts visuels, du 06 septembre au 21 décembre 2016.

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Dans le cadre d’un projet de recherche sur les images opératoires mené par Caroline BERNARD, enseignante à l’ENSP, un néo-diplômé, Barnabé MOINARD a été accueilli au sein du laboratoire Hexagram du 27 octobre 2016 au 27 janvier 2017.

On peut également signaler que l’ENSP fait partie de plusieurs réseaux internationaux, parmi lesquels ELIA et Campus France.

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Le Programme international de résidence de recherche et de création de l’École nationale supérieure de la photographie s’adresse à de jeunes photographes du monde entier qui souhaitent résider en France pour y développer une approche artistique et expérimentale de la photographie. Ce séminaire intensif de sept mois donne lieu en fin de résidence à la délivrance d’un certificat.

Il s'appuie pour son recrutement sur le réseau des nombreux partenaires internationaux de l’ENSP (International Center of Photography à New-York, Centro de la Imagen à Mexico et à Lima, Escuela Argentina de Fotografia de Buenos Aires, Kyoto University of Art and Design, Shanghai Institute of Visual Art, etc.) tout en étant ouvert à des candidatures spontanées et individuelles.

L’objectif des enseignements de ce séminaire est d’élargir la vision de chaque participant et de construire le socle d’une pratique photographique expérimentale par des échanges critiques collectifs réguliers, centrés sur le développement du projet personnel du résident et sur son environnement de connaissances.

Cet accompagnement sur mesure s’enrichit de multiples passerelles avec les enseignements magistraux et les interventions extérieures (ateliers, conférences, table-rondes, expositions, etc.) qui animent le quotidien des étudiants de l’ENSP.

Le programme international s’articule ainsi étroitement avec le programme d’étude des étudiants de deuxième année de l’ENSP dont l’enjeu n’est pas seulement la maîtrise et la pratique de la photographie en tant que contenant d’information ou d’expression mais en relation à l’espace (histoire et pratique du livre d’artiste et des architectures d’exposition).

Le Programme International exige de ses participants un réexamen permanent de leur travail photographique dont le sens évolutif résulte de la mobilité d’interprétation produite par le croisement du regard de l’artiste photographe, de la liberté de lecture du spectateur, de la capacité du document photographique à se soustraire aux injonctions de sens et d’usage qui lui sont faites.

8 participants à ce programme ont été accueillis pour l'année 2016-2017 : • Diana BAIDAL MORELL (Espagne)• Jian LUO (Chine)• Lucas LEMME (Argentine)• Alejandro LEON CANNOCK (Pérou)• Joana LUZ DA SILVA (Brésil)• Renata PIRES SOLES (Brésil)• Katrina SORRENTINO (USA)• Zhiyao WU (Chine)

BilAn d’Activité du progrAmme internAtionAl de résidence de recherche et de créAtion 2013/2017

Depuis 2013, le Programme International de Recherche et de Création de l'ENSP a accueilli 40 résidents étrangers de 19 nationalités différentes dont un tiers ont choisi de prolonger leur résidence pendant deux années : Argentine (2), Birmanie (3), Burkina-Faso (1), Brésil (3), Canada

Programme International

de résidence de recherche

et de création

124

(1), Chine (5), Costa Rica (1), Espagne (3), Italie (2), Grèce (2), Haiti (2), Japon (1), Mexique (2), Pérou (3), Pologne (1), Royaume-Uni (1), Russie (1), Taiwan (1), USA (3).

Le séminaire collectif du programme international s'est accompagné d'un suivi individualisé pris en charge par l’ensemble de l’équipe pédagogique de l’ENSP.

Cet accompagnement personnalisé des parcours de formation (information, conseils, lettres de recommandation, etc.) a permis à de nombreux étudiants de poursuivre leur cursus à l’université ou dans d’autres écoles d’art en France.

Ainsi en juin 2017, Diana BAIDAL MORELL (Espagne) a été admise en 4eme année à l’École supérieur d'art et de design Marseille-Méditerranée, Renata PIRES SOLA en 4eme année à l'École supérieure des beaux-arts de Nîmes, Zhiyao WU à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon, Jian LUO à l'École supérieure des beaux-arts de Nantes. Alejandro LEON CANNOCK (Pérou) se porte candidat au doctorat de recherche et de création de l’ENSP pour 2017-2018. Katrina SORRENTINO se prépare à présenter le doctorat de l’ENSP en 2018. Joana LUZ DA SILVA et Lucas LEMME effectuent une seconde année de résidence à l’ENSP. La totalité des candidats poursuivent donc leur parcours de formation artistique de manière satisfaisante.

Programme de formation à l'étrangerEn 2017, le Programme international de résidence de recherche et de création de l’ENSP a aussi poursuivi ses missions exploratoires et programmes de formation à l'étranger avec la conduite d’un atelier expérimental “Photographier le territoire urbain” du vendredi 27 janvier au 5 février en collaboration avec le département d'art d’UNIANDES (Université Los Andes Bogota). Au total onze étudiants d'horizons très variés (arts plastiques, sciences-politiques, anthropologie, communication et design, etc.) ont participé à cet atelier de 10 jours comprenant: • des cours théoriques sur photographier la ville• deux cours pratiques sur la photographie grand format à la chambre• trois jours d'enquête urbaine de terrain dans les quartiers de Bogotà de Fenicia et La Concordia• une semaine de projection, d'editing et de post-production numérique avec les images

produites• un atelier de deux jours de construction de dispositifs d'installation mobiles abordant la

question des rapports entre photographie, sculpture et espace public• une journée de restitution des images auprès des habitants des quartiers concernés• une restitution finale au public, Bogotà como palimpsesto, sous forme d'une installation au

Laboratorio Interdisciplinario para las Artes (LIA- Bogotá).:

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Éducation artistique et

culturelle en France

L’ENSP a poursuivi en 2016-2017 ses actions d’éducation artistique et culturelle :

Préfiguration du Fablab de l'ENSP

Le FabLab de l'ENSP est un espace d'expérimentation numérique dédié à la création. Il permet de créer une communauté d'échange entre universitaires, ingénieurs, artistes, amateurs, grand public, ingénieurs autour de thèmes relatifs aux domaines de l'image numérique et ses modes de création, monstration, diffusion, édition.

Le FabLab permet :• l’expérimentation par la pratique et la réalisation de projets à vocation artistique au croisement

du scientifique, de la technique, du culturel dans le domaine de l'image • la diffusion de la culture relative aux pratiques de création des images numériques auprès du

grand public• la réappropriation des capacités d’analyse, de conception, de fabrication et de modification

d’objets technologiques.

Lieu de création et de savoir, le fablab favorise la transmission et les échanges de savoir-faire et de connaissances dans des processus itératifs. Il est un espace d'échanges et de partages ainsi qu'un espace critique. Il valorise les intelligences pratiques et théoriques transversales.

Le fablab a 2 missions principales :• Proposer un cadre pour accompagner, par le prototypage rapide, les étudiants et l'équipe

pédagogique (enseignants et responsables d'ateliers) sur leurs projets artistiques et de recherche.

• Développer des activités ouvertes sur l'extérieur ayant comme but de s'inscrire dans l'éducation artistique et culturelle mais aussi de faire jouer pleinement au fablab son rôle d'interface entre intérieur et extérieur. Il s'agit là de favoriser les rencontres et les échanges avec d'autres milieux professionnels, d'autres compétences, d'autres façon de faire.

Différentes activités ont été proposées dans le cadre de la préfiguration avec l'objectif de tester des formats, de mieux connaître nos publics, etc.

130

■ Les Openlab Ce rendez-vous hebdomadaire permet à un publics mixte (étudiants de l'ENSP et publics extérieur) de travailler chaque mardi, de 18h à 22h sur un projet commun. De janvier à juillet 2017, une quinzaine de personnes ont ainsi travaillé à la conception et la réalisation d'une machine de vision mobile capable de produire des images et de les traiter en temps réel pour déclencher une action.

Concrètement, ces séances permettent de :• Mettre en œuvre un projet artistique collaboratif et expérimental• Découvrir et s'initier à une multitude de technologies par la création d'un prototype fonctionnel• Devenir acteur de la chaîne de fabrication numérique• S'initier collectivement à l’électricité, l'électronique, la mécanique, la robotique, la

programmation, le traitement de l'image, la réalité virtuelle dans un environnement convivial• Apprendre à apprendre par la méthode expérimentale, la recherche des ressources nécessaires

et l'échange avec les autres membres du groupe• Concevoir des solutions techniques à des problématiques artistiquesLe bon déroulement de ce projet dépend, en partie, de la faculté à trouver les informations utiles (critiques ou théoriques ; artistiques ; techno-scientifiques...).

■ La machine de visionConcernant la réalisation de la machine de vision, il s'agissait là d'un véritable défi car personne dans le groupe n'avait les compétences individuelles requises pour une telle réalisation. Seul un travail collaboratif et connecté sur l'extérieur (personnes ; lieux ; ouvrages ; web) permettait d'y arriver. En quelques mois, ce collectif a réalisé un robot basé sur un programme d'intelligence artificielle.Cette machine, bien que fonctionnelle, n'a pas vocation à être utilitaire. Son seul rôle est de montrer la nature des images numériques ainsi que le processus de fabrication de ces mêmes images. Nous sommes bien dans un projet de recherche-création citoyenne.Le robot entièrement réalisé par le groupe fait des images. Ces images sont envoyées en temps réel à un logiciel de machine learning qui reconnait dans la scène des éléments identifiables. Chaque éléments ainsi identifié est identifié par un mot clé.À chaque nouvelle image, une nouvelle liste de mots est ainsi récupérée par le robot qui étoffe donc chaque jour davantage son vocabulaire et améliore, par la même, sa faculté à reconnaitre de nouveaux éléments dans les images. L'idée est donc de faire que ce robot puisse, lorsqu'il fait une nouvelle image, intégrer dans celle-ci des éléments identifiés ans les précédentes images. Chaque nouvelle image porte donc en elle toute la connaissance de celles qui l'ont précédé.Ainsi, l'image fabriquée par ce robot sera une agrégation de différentes données (visuelles, capteurs et issues d'Internet). C'est en ça que ce robot nous permet de nous interroger sur la nature des images numériques : interactive; connectée ; textuelle (code).

Valorisation de la machine de vision La machine de vision a été présentée lors du European Fablab Festival à Toulouse du 11 au 14 mai 2017Un stand dédié a permis de présenter les activités du fablab et le robot à un public très nombreux (9 000 visiteurs en 3 jours) et une keynote a permis de présenter le robot à un public d'experts.

À l'invitation de Thomas Peyruse (artiste et ingénieur de recherche en robotique) le projet a été présenté le 10 mai 2017 à Toulouse lors de l'Apérobot 19.0 de Calibran Midi, structure dont l'objet la particularité de concevoir et produire des œuvres art/science/technologie notamment dans l'univers de la robotique.

Le projet a été présenté lors d'une communication faites sur l'intelligence artificielle par Sébastien

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Thon, enseignant-chercheur lors du colloque de l'Obs/IN 2017 sur la vision algorithmique.

■ Résidence de création et concert dans le cadre du festival Les Suds à Arles Dans le cadre de la préfiguration du fablab et grâce à un partenariat avec le festival Les Suds à Arles, l'ENSP a organisé une résidence de création réunissant deux artistes Henri Maquet - musicien - et Florent Di Bartolo - artiste visuel et maître de conférences en Arts et Technologies Numériques à l’université Paris-Est de Marne la Vallée. Ils ont été accompagnés dans cette aventure par deux étudiants Thimothée Pugeault et Sara Szabo.Un concert/performance de restitution proposé le 10 juillet dans la cour de l'école a rassemblé un public nombreux.

Journée sur le catalogue numérique d'expositionEn partenariat avec la section fédérée Provence-Alpes-Côte d’Azur de l’Association générale des conservateurs des collections publiques de France (AGCCPF) et l'Agence régionale du livre (ARL) organise, l’École nationale supérieure de la photographie à Arles (ENSP) a organisé le 19 octobre 2017 une journée atelier consacrée au catalogue numérique d’exposition. Cette journée avait comme objectif de s'interroger sur cet objet qui n'a cessé d'évoluer à travers les siècles et de réfléchir collectivement, sous la forme d'un atelier créatif (BarCamp), à ce que pourrait être un catalogue numérique d'exposition qui utiliserait pleinement le potentiel du numérique.Etienne Mineur (Cofondateur et directeur de création des éditions volumiques et Professeur à l’ENSAD (École Nationale Supérieure des arts décoratifs de Paris; responsable du cycle de recherche concernant les identité(s) numérique(s) mobile(s)) et Éric Viennot (créateur multimédia et directeur de création à The Camp, le campus d'innovation dédié à la ville de demain et à la transformation numérique à Aix-en-Provence) étaient les mentors de cette journée et ont accompagné les participants dans leurs réflexions.

Volontairement restreint pour favoriser la dynamique de groupe, cette journée a rassemblé une trentaine de professionnel.le.s : des responsables de structures culturelles ; des éditeurs ; des designers ; des conservateurs de musées ou de bibliothèques ; des chargés de production ; mais aussi des danseurs ; chorégraphes ; artistes ; chercheurs.

Partenariat avec les Rencontres d’Arles ■ Dans le cadre de l'opération Une Rentrée en images du 5 au 21 septembre 2016 :

4 étudiants, Anaïs Castaing, Marie Hervé, Claire Nicolas-Fioraso, Gwenaël Porte, ont intégré l'équipe des médiateurs pour concevoir et animer de nombreuses activités d'éducation au regard : parcours dans les expositions du festival, ateliers de pratique photographique, animation de séances de projection.Ils ont été formés et accompagnés par d'anciens étudiants désormais formateurs, experts et concepteurs de propositions pédagogiques développées dans le cadre des Rencontres d'Arles ( jeu, ateliers pratiques, plateforme numérique de ressources)

L'opération Une Rentrée en images a accueilli cette année 10 000 élèves du CP au Master et 700 enseignants de toutes disciplines.Plus de 300 classes de 6 académies, inscrites sur un programme d'activités à la carte.

3000 élèves ont à cette occasion découvert l'ENSP en participant aux séances de projections proposées toute la journée à l'auditorium. Le thème développé cette année par les médiateurs, à partir du film expérimental de l’artiste vidéo italien Ronny Trocker “Estate”, était le hors champs. Le traitement plastique retenu par Ronny Trocker permettait également de s’interroger

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sur les différentes manières d’aborder et traiter un sujet d’actualité, le drame des migrants en Méditerranée.

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Partenariats académiques

en France

En 2016-2017, l’ENSP a poursuivi ses partenariats académiques en France avec les établissements suivants :

• Partenariat avec l’ENS de Lyon dans le cadre du projet de recherche «Écriture et image»• Partenariat avec Aix-Marseille Université (AMU) dans le cadre du Doctorat de création

«Pratique et théorie de la création littéraire et artistique»

le réseAu l'école(s) du sud

L’ENSP a par ailleurs participé à la création du Réseau L'École(s) du Sud qui réunit 7 écoles supérieures d’art publiques de PACA et de Monaco: • École nationale supérieure de la photographie, Arles • École nationale supérieure d'art de la Villa Arson, Nice• École supérieure d'art d'Aix en Provence• École supérieure d'art d'Avignon • École supérieure d'art et de design Marseille-Méditerranée• École supérieure d'art et de design Toulon Provence Méditerranée• Pavillion Bosio, École supérieure d'arts plastiques de la ville de Monaco

En 2016-2017, le réseau a participé à deux salons d'orientation pour les étudiants: • Le START, le salon des formations artistiques, organisé par le Groupe Le Monde, les 3 et 4

décembre 2016• Le SFA Marseille, Salon des formations artistiques, organisé par l'Étudiant, le 5 novembre

2017

Le réseau offre aux écoles une opportunité unique d'être présentes à de tels rendez-vous. Les écoles gagnent en visibilité là où les années précédentes seul le stand du Ministère de Culture et de la Communication pouvait les représenter.

L’École(s) du Sud, le réseau des écoles supérieures d’art de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et de Monaco propose le programme Inventeurs d’Aventures (Expositions, colloque, performances, conférences), d’août 2017 à mars 2018, sous le commissariat de Gaël Charbau.

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• Premier épisodeUne exposition collective réunissant 23 artistes du programme à la Friche Belle de mai, du 2( août au 5 novembre 2017

• Deuxième épisodeUne exposition à la Villa Arson à Nice, du 15 octobre 2017 au 7 janvier 2018.

• Troisième épisodeDu 8 au 22 décembre 2017, Ballet National de Marseille

• Quatrième épisodeLes 20 et 21 décembre 2017, Monaco – Pavillon Bosio / Théâtre des Variétés

• Cinquième épisodeDu 15 au 22 mars 2018 (date sous réserve), Toulon – ESADTPM

pArtenAriAt Avec l’AlliAnce FrAnçAise de BogotA et l’institut FrAnçAis

Depuis 2016, l’Alliance Française de Bogota a accueilli en résidence 5 diplômés de l’ENSP qui ont travaillé sur la question du territoire.Cette collaboration a mené à des expositions personnelles dans la galerie de l’Alliance Française de Bogota, ainsi qu’à une exposition collective au Musée d’Art Moderne de Bogota et à la Galerie Arena à Arles à l'été 2017. Ces expositions collectives ont reçu le soutien de l’Institut Français dans le cadre des Saisons Culturelles et de l’Année Croisée France-Colombie.

pArtenAriAt Avec l’institut FrAnçAis dAns le cAdre du progrAmme entr’ ecoles

Bogota comme PalimpsesteDu 28 janvier au 5 février 2017, à l’Université de Los Andes à BogotáAnimé par Gilles Saussier, artiste-enseignant à l’ENSP, et par Hilda Caicedo artiste colombienne (diplômée de l’ENSP en 2015), cet atelier photographique – pratique et théorique – a proposé pendant 10 jours une exploration du territoire urbain de l’université de Los Andes (Bogotá – Colombie) et de ses quartiers environnants (Fenicia, La Concordia) dans le cadre du projet de rénovation urbaine du Triangulo de Fenicia.Au carrefour de plusieurs disciplines – géographie, urbanisme, architecture, anthropologie – cet atelier s’est attaché au travail de la description photographique comme partie intégrante d’un projet de transformation urbaine. Transformation dont les enjeux ne se limitent pas seulement à la construction physique de nouveaux édifices mais requiert aussi un effort collectif d’imagination et de représentation pour répondre aux besoins d’identité et de visibilité des populations concernées par les transformations urbaines.Plusieurs équipes d’étudiants ont mené un travail minutieux d’enquête de terrain et produit une cartographie sensible de cet espace fragmenté et en mutation rapide. Le workshop a également expérimenté des dispositifs de restitution publique des photographies produites à travers des dispositifs mobiles et de proximité. Les objectifs étaient divers:

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• Appréhender la ville, l’urbanisation dans toutes les échelles présentes sur le territoire• Partager collectivement une compréhension intime et approfondie du territoire• Produire une représentation et une cartographie sensible du Triangulo Fenicia• Questionner la visibilité et l’identité sociale et culturelle de ce territoire.• Restituer aux habitants le travail photographique produit par les étudiants sous une forme

expérimentale• Penser la photographie en relation à l’espace public et aux communautés urbaines

Professeurs et artistes associésRodrigo Facundo | artiste et directeur Laboratorio Interdisciplinario para las ArtesClemencia Poveda | professeur de photographie Los AndesJuan Fernando Herran | artiste et professeur Los AndesJulien Petit | commissaire au Museo de Arte del Banco de la RepúblicaSantiago Forero | artiste et professeur à Los Andes

ParticipantsTatiana Palomino Castro, Nicolás Muñoz Calderón, Ann Kroon, Nohora Liliana Avendaño Sánchez, Andrea Ortiz Díaz, Juan Pablo Sanabria Velásquez, David Fernando Paz Aroca, Camilo Sánchez.Avec le soutien de l’Institut Français – Ministère des Affaires Étrangères et du Développement international et du Ministère de la Culture et de la Communication/DGCA

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Partenariats culturels en France

Attachée à offrir à ses étudiants et à ses jeunes diplômés des expériences professionnalisantes, l’ENSP développe de nombreux partenariats avec des acteurs culturels nationaux et locaux. Partenariat avec la RÉGIE CULTURELLE RÉGIONALE «TERRE DE FESTIVALS» est un guide-agenda distribué à 210 000 exemplaires répertoriant chaque été tous les festivals d’arts de la scène en région PACA. Pour couvrir tous les festivals de la région, la Régie Culturelle Régionale Provence-Alpes-Côte d’Azur passe une commande photographique à des étudiants de l’ENSP et cette année, elle a choisi deux étudiants afin de réaliser les photographies destinées à figurer dans l’édition 2017 du guide.

• Une étudiante de 3ème année : Mathilde Moignard • Une participante au Programme international de résidence : Diana Baidal

Pour l’ENSP, qui est, pour cette opération, partenaire de la Régie Culturelle Régionale depuis 2003, une collaboration de ce type a un double objectif : • Valoriser les ressources de formation artistique présentes sur le territoire régional • Faire découvrir au grand public, par l’intermédiaire d’une publication largement diffusée, le

travail de jeunes photographes formés à l’ENSP.

Partenariat avec le Hameau des Baux Trois diplômées de l’ENSP – Lucie Desgigot, Margaux Laurens et Adrien Pezennec, ont été accueillis en résidence au Hameau des Baux, résidence hôtelière 5 étoiles au Paradou, en avril 2017. Leurs œuvres feront l’objet d’une exposition in situ et de la publication d'un catalogue en avril 2018.

Partenariat avec la FNAGPUne convention entre la Fondation nationale des Arts Graphiques et Plastiques et l’ENSP a été signée en 2016, statuant sur une collaboration entre les deux institutions autour de plusieurs actions. Tout d’abord la FNAGP soutient un doctorant en Pratique et théorie de la création artistique et littéraire en versant une bourse d’études.Par ailleurs, la maison Bernard Anthonioz a accueilli Barnabé Moignard, diplômé 2016, pour une résidence de deux mois à l’été 2017. Barnabé a pu bénéficier d’un logement sur place ainsi qu’une bourse de 2000€. Enfin, la FNAGP s’associe au parcours Pratiques Curatoriales dispensé à l’ENSP autour du projet d’exposition de la collection photo d’Agnès b. en 2019, et dont les commissaires d’exposition seront les étudiants de l’ENSP investis dans ce projet.

Partenariats avec le réseau culturel arlésien• L’ENSP est membre du réseau Arles Contemporain depuis sa création en 2012. 14 lieux

qui se sont fédérés pour créer un réseau arlésien dédié à la création contemporaine. Arles Contemporain édite un dépliant trimestriel commun qui recense les différentes initiatives de ses membres et organise chaque année un week-end au mois d’avril où chaque lieu ouvre ses portes et présente des expositions, des performances, des concerts, des ateliers et des

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rencontres, etc. • Pour la septième année consécutive, la Galerie 2600 organise, une rencontre entre acteurs du

monde de la photographie contemporaine: artistes, éditeurs, galeristes, commissaires, etc.En 2016, COSMOS confirme sa place au sein de la programmation des Rencontres d’Arles et profite une année supplémentaire de l'espace à l'ancien collège Mistral. Les commissaires de cette édition sont Sébastien Hau et Olivier Cablat, coordinateur pédagogique et formateur référent au sein de la formation professionnelle continue de l'ENSP.Les étudiants de l'ENSP bénéficient d'une table pour y présenter leurs productions éditoriales personnelles pendant toute la durée de l'événement.

• Partenariat avec la Gaelrie de l’Espace pour l’ArDe juin à décembre 2017, la galerie L'Espace pour l’art, présente sur sa vitrine les travaux de quatre étudiants de l’ENSP: Amélie Blanc, Camille Kirnidis, Fanny Terno et Florian Tripoteau.

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L’ENSP propose un enseignement adapté à la découverte et/ou à la pratique maîtrisée de la photographie, comprenant des apprentissages techniques et pratiques, ainsi que des apports historiques et théoriques. Chaque groupe est composé d’élèves d’un niveau sensiblement équivalent. Les formations sont ouvertes aux photographes amateurs ou confirmés, ainsi qu’aux passionnés de l’image qui souhaitent mieux connaître la création photographique.

progrAmme générAl des FormAtions proposées Au puBlic pour l’Année 2016-2017

Niveau débutant

■ Techniques de base de la photographieObjectifs : Apprendre à réaliser des images de bonne qualité.Contenu : Apprentissage des notions de base de la prise de vue photographique : maniement des appareils argentiques et numériques, prise de vue, mesure et contrôle de la lumière, maniement des outils numériques.Méthode : Les participants travaillent avec l'enseignant en salle de cours, en laboratoire numérique ou studio. Une sortie en extérieur est prévue au cours du cycle.

■ Séminaires critiques - lecture et analyse d’images personnelles de photographes amateurs débutantsObjectif : Initier une réflexion critique sur des images personnelles afin d’aider les participants à en préciser progressivement les enjeux, les références et les formes. Pré-requis : Les participants doivent se munir d’une sélection d’une dizaine de photographies pour chaque séance, tirages ou fichiers numériques.Contenu : Ces séminaires assurent le suivi des premiers éléments d’un travail personnel dont il s’agit de définir progressivement les contours grâce à la participation de tous. Outre les présentations et les discussions autour des travaux des photographes, les séminaires critiques comprennent un enseignement théorique en histoire de la photographie en relation avec l’histoire de l’art.Méthode et outils : Une attention particulière est portée à la production personnelle de chaque photographe. La mise en commun des expériences et des regards permet d’aborder, au fil de la discussion, des aspects primordiaux de la pratique photographique et de tirer parti des approches de chaque participant. Le travail présenté, mis à l’épreuve de la parole commune, contribue à la réflexion générale. Les séminaires critiques débutent par un cours magistral et la bibliothèque de l’ENSP, spécialisée en photographie et en art contemporain, en est un outil fondamental.

Niveau intermédiaire

■ Techniques de base de la photographieObjectifs : améliorer sa pratique photographiqueContenu : approfondissement de la prise de vue photographique : maniement des appareils argentiques et numériques, prise de vue, mesure et contrôle de la lumière, maniement des outils numériques.Méthode : Les participants travaillent avec l'enseignant en salle de cours, en laboratoire numérique ou studio. Une sortie en extérieur est prévue au cours du cycle.

Cours de photographie

pour tous

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■ Séminaires critiques - lecture et analyse d’images personnelles de photographes amateurs débutantsObjectif : Approfondir une réflexion critique sur des images personnelles afin d’aider les participants à en préciser progressivement les enjeux, les références et les formes.Pré-requis : Les participants doivent se munir d’une sélection d’une dizaine de photographies pour chaque séance, tirages ou fichiers numériques.Contenu : Ces séminaires assurent le suivi d’un travail personnel dont il s’agit de définir progressivement les contours grâce à la participation de tous. Outre les présentations et les discussions autour des travaux des photographes, les séminaires critiques comprennent un enseignement théorique en histoire de la photographie en relation avec l’histoire de l’art.Méthode et outils : Une attention particulière est portée à la production personnelle de chaque photographe. La mise en commun des expériences et des regards permet d’aborder, au fil de la discussion, des aspects primordiaux de la pratique photographique et de tirer parti des approches de chaque participant. Le travail présenté, mis à l’épreuve de la parole commune, contribue à la réflexion générale. Les séminaires critiques débutent par un cours magistral et la bibliothèque de l’ENSP, spécialisée en photographie et en art contemporain, en est un outil fondamental.

Niveau avancé L’approche technique et l’approche critique sont menées conjointement

■ Approfondissement des techniques de la photographie Objectif : Connaissance de toutes les phases techniques de la prise de vue, en extérieur aussi bien qu’en studio. Maitrise des outils de prise de vues, d’éclairage ainsi que la connaissance des différents logiciels informatiques de développement d’images. Le participant aux cours de technique avancé doit pouvoir se sentir techniquement au point à l’issue du cycle de formation afin d’affronter tout type de situation de prise de vue. L’objectif visé est de pouvoir s’exprimer au mieux dans son travail photographique, sans que les questions techniques soient des obstacles.Pré-requis : Connaissance et maitrise des principes photographiques de base : exposition, mise au point, connaissance minimum des outils numériques.Contenu : (programme des séances)Nous allons procéder par séances thématiques, en studio, en extérieur ou en laboratoire. Pour chaque notion une ou deux séances sont prévues.- Prise de vue numérique- découverte de la chambre photographique- l’éclairage de studio- les outils numériques de développementMéthode : Sans être des cours particuliers, les cours répondent aux demandes et aux besoins de chaque participant. Une attention particulière sera donc portée aux demandes spécifiques, en s’attardant sur les points qui posent le plus de problèmes.Une évaluation du niveau de chacun en début de cycle permettra de dresser un bilan et d’ajuster le contenu des séances à venir.Il est fortement conseillé aux participants de venir à la première séance munis de travaux personnels, sous forme numérique ou papier.

■ Séminaires critiques : Lecture et analyse d’images personnelles de photographes amateurs confirmés.Objectif : Développer la capacité des photographes à présenter, commenter et défendre leur travail personnel tout en déployant un regard critique sur d’autres travaux. Ils doivent, pour ce faire, acquérir la méthodologie et les références nécessaires à la délimitation des enjeux d’un travail photographique.

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Pré-requis : Les participants ont précédemment développé une acuité de regard ainsi qu’une aptitude à la mise à distance et au positionnement. Ils doivent avoir défini leur projet personnel et être capable de l’exposer dans des conditions de présentation publique.Contenu : Ces rencontres permettent à chacun de développer de véritables exigences artistiques, aussi bien formelles que théoriques. Le photographe est appelé à trouver graduellement ses points de repère et ses formes d'expression personnelles, notamment dans l’espace.Méthode et outils : Le travail personnel de chacun fait l'objet d'une recherche approfondie et d’une mise en relation avec des précédents historiques et des références dans le champ de l’art contemporain. Il s'agit d'un temps d'expérimentation et de maturation par la vertu duquel le devenir du travail est orienté vers des formes plus accomplies. De manière fondamentale, c’est le photographe qui définit ce qui lui est le plus nécessaire, dans l'ordre technique, pratique ou esthétique, et tire le meilleur parti des conseils du groupe et du formateur qui l'aide dans son processus d'orientation et de décision.

intervenAnts sur les cours du soir

■ Lise Dua, diplômée de l’ENSP en 2013 assure les ateliers de technique de base de la photographie pour le niveau intermédiaire

■ Lila NEUTRE, diplômée de l’ENSP en 2013 assure les ateliers de lecture et analyse de photographies personnelles pour les niveaux débutant et intermédiaire.

■ Olivier SARRAZIN, diplômé de l’ENSP en 2013, intervient pour l’approfondissement des techniques de la photographie et le séminaire critique auprès des stagiaires du niveau avancé.

BilAn des eFFectiFs 2016-2017

Intitulé des formations Nombre d’inscritsNiveau débutant 10Niveau intermédiaire 10Niveau avancé 11

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Formation professionnelle

continue

Le service de la Formation professionnelle continue propose une offre de formation complète aux professionnels de l’image et de la communication, aux photographes auteurs ainsi qu’aux particuliers.

Pour l’année 2017, les activités du service couvrent cinq axes :• l’organisation de sessions de formations modulaires selon trois domaines clés (prise de vue,

traitement numérique en post-production et diffusion multi supports), ce qui représente 46 modules dont 4 annulés

• la programmation de 3 certifications (de 275h) destinées à la professionnalisation des praticiens de l’image et des auteurs photographes

• la programmation d’un cycle sur Les fondamentaux de la pratique photographique à visée professionnelle (de 178h) proposé à un public souhaitant se reconvertir ou à des professionnels utilisant au quotidien des images sans maîtriser sa production

• l’organisation de formations sur mesure (intra ou inter entreprise) en fonction des besoins en compétences des organismes ou des particuliers représentant 7 sessions

• la validation des acquis de l’expérience pour l’acquisition du diplôme de l’ENSP avec une vingtaine de candidats lors du jury 2017

Le service de la formation continue, dans un contexte de post-réforme du secteur, a engagé durant l’année 2017 un effort accru dans l’accompagnement des stagiaires pour la définition de leur parcours de formation et la recherche de financement. Cet accompagnement-conseil est devenu indispensable pour la concrétisation des projets de formation de nos stagiaires dû à une méconnaissance des dispositifs de financement et des acteurs.

En 2017, l’accueil en formation d’auteurs photographes est en forte croissance.Avec dix-huit sessions de formation conventionnées par l’AFDAS, les places dédiées à ce public ont doublé. Les formations métiers couvrent des axes clés de la professionnalisation des auteurs : la vidéo au reflex numérique, la photographie à la chambre, la gestion des couleurs, le livre photographique, l’exposition de photographies, etc.

l’oFFre de FormAtions modulAires

Le service de la formation professionnelle continue propose diverses activités complémentaires visant la promotion des compétences en matière d’image numérique.Sur la période de janvier à novembre 2017, 40 sessions de formation ont été organisées dans le cadre du catalogue sur les 46 programmées. Par manque de stagiaires, 4 sessions ont été annulées, ce qui nous donne un taux de réalisation de 91%.Concernant les formations sur mesure, 7 sessions de formation ont été organisées pour le compte d’un commanditaire ou la demande de particuliers. Cette offre pourra être développée lors du transfert de notre établissement dans de nouveaux locaux.

ÉvAluAtion des sessions de FormAtion

L’évaluation des sessions de formation fait apparaître un taux de satisfaction élevé. Sur une échelle de 10, nos formations sont notées à hauteur de 8 et plus par 89,5 % de nos stagiaires, soit un taux

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de satisfaction à la hausse de 3 % par rapport à 2016.Évaluation des formations par les stagiaires

Nos formations sont appréciées à la fois pour leur qualité organisationnelle et pour leur pertinence pédagogique aux regards des enjeux métiers des stagiaires à questionner. Cela se traduit par un taux de satisfaction cumulé de 97 % allant du « satisfaisant à très satisfaisant ». L’application immédiate de nouvelles compétences dans le cadre professionnel constitue la valeur ajoutée de nos formations. Le retour étant fortement recherchée par les stagiaires.

Appréciation des apports pédagogiques

les certiFicAtions proFessionnelles et pArcours sur les FondAmentAux

Depuis le lancement de nos trois certifications professionnelles, nous avons aujourd’hui pu certifier une dizaine de stagiaires. Le format retenu de 275h pour les certifications induit une disponibilité des stagiaires demandant une anticipation dans la formalisation de leur projet tant sur le volet financier qu’organisationnel. Les bilans réalisés en clôture de formation mettent en évidence un apport dans la structuration

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de la méthode de travail, le renforcement de l’articulation entre « technicité et esthétique » ainsi qu’une consolidation de la posture et de l’identité professionnelle.

Depuis mai 2017, deux de nos certifications sont éligibles au CPF de la liste nationale interprofessionnelle (LNI). Cela induit une large lisibilité de notre offre au niveau national et une reconnaissance de sa pertinence au regard des enjeux métiers de toutes les branches professionnelles de façon transversale.

Afin de répondre à des projets de reconversion, le cycle sur les fondamentaux d’une pratique photographique à visée professionnelle a été reconduit et connaît un réel succès. Cette formation de 175h permet aux stagiaires de progresser dans la maitrise des techniques de prise de vue et de la postproduction afin d’entamer une première expérience comme photographe indépendant.

les intervenAnts du service de lA FormAtion continue de l’ensp

Le département de la formation continue mobilise un certains nombres d’intervenants ayant une forte expérience artistique et photographique acquises dans divers secteurs (photojournalisme, mode, édition prépresse, traitement numérique, infographie, etc.). La présentation des parcours professionnels de nos formateurs est disponible sur notre site : www.ensp-formation.com

Les intervenants sont mobilisés aussi bien pour assurer les enseignements de nos formations modulaires que de conduire les accompagnements méthodologiques des candidats à l’obtention du diplôme de l’ENSP par le biais de la VAE.D’autre part, certains intervenants peuvent également être mobilisés dans le cadre de formations sur mesure conçues à la demande d’entreprises ou de collectivités au regard des besoins de professionnalisation de leurs salariés ou agents.

poursuite de lA mise en conFormité du service Au regArd de lA réForme de lA FormAtion continue (loi du 4 mArs 2014)

La reconnaissance de nos certifications par la LNI s’est accompagnée de l’obtention du référencement de notre établissement au Datadock, base de données commune aux OPCA formalisant les critères de qualité à respecter par les organismes de formation.

Suite à un travail de clarification de notre démarche qualité, le service de la formation continue peut depuis juillet 2017 attester de sa conformité vis-à-vis des 6 critères qualité définis par la Loi.Notre référencement au Datadock nous permet de ne pas être exclu des financements des OPCA et d’apparaitre comme prestataire dans les catalogues respectifs de référence mis à la disposition des entreprises et des salariés.Réf web : /www.data-dock.fr

Dans cette logique de référencement, nous avons également mis en place les procédures nécessaires afin d’intégrer l’ensemble de notre offre modulaire et certifiante sur la plateforme «Réseau des Carif Oref» afin de faciliter son identification par les acteurs de la chaine insertion-formation-emploi. Notre présence sur cette plateforme permet notamment à Pôle Emploi d’identifier notre offre au niveau national et d’obtenir ainsi les informations nécessaires à l’élaboration des projets de formation des demandeurs d’emploi.

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Réf web : http://www.intercariforef.org/Les réformes gouvernementales en lien avec le code du travail annoncent une relecture des mécanismes de financement de la formation continue ainsi que le rôle respectif des acteurs de cet écosystème.

L’ENSP reste vigilante dans ce contexte de changement et d’incertitude. Cela induit à moyen terme, une mobilisation des équipes de l’ENSP afin de répondre à de nouvelles exigences structurelles liées à l’activation de leviers financiers, au respect d’une démarche qualité et à l’analyse de la valeur ajouté de nos formations pour les « formés » issus du servie de la formation continue.

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La VAE peut être prise en charge par les fonds de la formation professionnelle puisque le diplôme de l’ENSP est enregistré au répertoire national de la certification professionnelle. composition du jury 2017Président : David MOZZICONACCI, directeur des études et de la VAE à l'ISDAT Toulouse et artiste photographeMembres : • Magali NACHTERGAEL, spécialiste de littérature française, art contemporain et études

visuelles à l'université Paris 13, critique et commissaire d'exposition• Didier MOUCHEL, Historien de la photographie, commissaire d'exposition et ancien directeur

du pôle image Haute Normandie• Margaux MEURISSE, artiste diplômée ENSP 2015, et chargée de mission au Festival Le Grand

Bivouac Albertville• Gilles SAUSSIER, professeur ENSP

nomBre de cAndidAts et résultAtsPour l’année 2017, 16 dossiers ont obtenu leur recevabilité.16 candidats se sont présentés au jury organisé en juin 2017 afin d’obtenir tout ou partie du diplôme délivré par l’ENSP.

Dossiers QuantitéDossiers déposés 26Dossiers recevables 16Candidats présentés devant un jury 16Candidats reçus 8

Les résultats du jury 2017 montrent qu’un candidat sur deux a réussi à cette épreuve.Le nombre de candidats ayant obtenu une validation partielle est constant d’une année sur l’autre. D’autre part, 80% de candidats à la VAE sont en cours d’emploi. Cela confirme que ce dispositif de certification revêt un intérêt majeur pour les professionnels à la recherche d’une reconnaissance passant par l’acquisition d’un diplôme de niveau I.

Validation des Acquis de

l’Expérience (VAE)

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Expositions

Dans le cadre de sa pédagogie et de sa volonté de professionnalisation et valorisation des travaux des étudiants et des jeunes diplômés, l’ENSP a programmé dix-huit expositions et publié neuf livres. Les expositions ont été présentées à Arles à la Galerie Arena tout au long de l’année mais aussi hors les murs à Marseille, Toulouse, Creil, etc..

FÉvrier 2017

retours d'Ailleurs

exposition des post-diplômés à l'étrAngerAnna Broujean, Robin Lopvet, Emanuela Meloni, Anne-Sophie Tritschler et Cloé VignaudGalerie Arena, Arles16 février › 4 mars 2017 Commissaire - Juliette Vignon

Une exposition collective présentant les travaux de Anna Broujean, Robin Lopvet, Emanuela Meloni, Anne-Sophie Tritschler et Cloé Vignaud. Jeunes diplômés 2015, ils sont partis plusieurs mois en résidence de post-diplôme en Chine, aux États-Unis, au Pérou et au Mexique, confronter leur regard et leur pratique à l’ailleurs et nous livrent le fruit de leur expérience.

Chaque année, certains diplômés de la promotion sortante ont la possibilité de poursuivre leur recherche et leur pratique à l’étranger. Ces résidences de création s’effectuent dans le cadre d’un post-diplôme de mobilité internationale, résultat de partenariats avec des établissements d’enseignements artistiques prestigieux comme le Shanghaï Institute of Visual Arts, l’International Center of Photography, ou le Centro de la Imagen au Pérou. Ces jeunes artistes fraîchement diplômés s’immergent alors pendant quelques mois dans une approche artistique, un enseignement et une pratique, une culture de la photographie et de l’image différents, leur permettant de confronter dès la sortie de l’ENSP leur regard à celui de l’ailleurs sur un temps long.

Cette exposition livre une sélection de leurs travaux réalisés à l’été et automne 2015, lors de leur résidence. Libres de montrer ce qu’ils souhaitaient, chacun et chacune à leur manière nous offrent l’expression de ce qui les a interrogé, déstabilisé, ému, obnubilé pendant ces mois hors de chez eux, de leur histoire, de leur culture.

mArs 2017

ensp/insermlA recherche de l'Art #5 Ad vitAm AeternAm, de l'homme soigné à l'homme Augmenté Vivien Ayroles, Mathilde Moignard, Prune Phi et Isoline Spote Théâtre de la Faïencerie, Creil11 › 21 mars 2017

Pour la cinquième année, quatre étudiants de l’École nationale supérieure de la photographie

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(ENSP) sont en résidence dans les laboratoires de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM). À l’heure où la technologie permet d’imprimer des organes en 3D et de fabriquer des prothèses qui parfois augmentent les performances de l’individu, les limites corps et machines se floutent. Le contrat de la recherche médicale est clair, la science est là pour soigner mais chaque nouveau geste médical, chaque innovation exigent de fixer un nouveau cadre éthique.

Ainsi, l’équipe AGATHE du laboratoire ISIR de Paris œuvre à une amélioration de la relation entre le corps et la prothèse. Dans son projet La Boîte à outils, Mathilde Moignard témoigne des modes opératoires des chercheurs qui de façon collégiale mettent au point des prothèses afin de réparer l’individu. Le lieu est surprenant par son foisonnement de matériel et d’outils loin de l’idée première que l’on se fait d’un laboratoire médical aseptisé.

En résidence au sein de l’Institut des neurosciences des systèmes (groupe Physiologie et physiopathologie des réseaux neuronaux) situé à Marseille, Vivien Ayroles travaille sur l’histoire de la représentation de l’épilepsie au moyen de la vidéo. L’état épileptique est symbolisé par la violence latente des vagues méditerranéennes, contrastant avec la crise meurtrière du héros mythologique dans la pièce Héraclès furieux d’Euripide.

Isoline Spote, accueillie par le laboratoire U846 Cellules Souches et Cerveau à Lyon se joue de la perception du spectateur, ses sens surfaces de contact avec le monde sont perturbés par des jeux lumineux qui troublent son environnement. Isoline Spote utilise également des schémas des capteurs d’un robot humanoïde pour les ériger au rang de cartographies synesthésiques.

Au sein de l’Institut de la Vision et du Centre d’Investigation Clinique de Paris, Prune Phi interroge le rapport des chercheurs aux images scientifiques dans leur capacité à percevoir l’invisible. En s’appropriant des images de vaisseaux sanguins ou de cellules oculaires, elle travaille à une poétisation de ce vocabulaire pictural scientifique dont les formes s’apparentent parfois à des reliefs montagneux.

résidence d'Artistes n°2Marguerite Bornhauser, Jonathan LLense, Steven DanielLe Hameau des BauxChemin de Bougeac, Paradou30 mars › 15 juin 2017

Au cœur du concept-hôtel Hameau des Baux, il y a l’art. Un art en mouvement, dont le visiteur est l’acteur, un art à vivre pour un art de vivre. Marguerite Bornhauser, Jonathan LLense, Steven Daniel, trois jeunes diplômés de l’ENSP, curieux et enthousiastes, ont posé leurs regards de photographes-auteurs sur l’univers du Hameau des Baux. Un travail sensible, chaleureux et lumineux. Un regard audacieux sur un lieu d’art insolite. Ce partenariat donne naissance à une exposition mais également à une publication: un carnet de résidence(s) à découvrir lors du vernissage.

Avril 2017

regArds ÉloignésDiana Baidal Morell (Espagne), Alejandro Leon Cannock (Pérou), Luo Jian (Chine), Lucas Lemme (Argentine), Joana Luz Da Silva (Brésil), Renata Pires Sola (Brésil), Katrina Sorrentino (USA), Wu Zhyao (Chine)

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Galerie Arena, Arles7 › 9 avril 2017Restitution des travaux des jeunes artistes étrangers du Programme international de résidence de recherche et de création de l’ENSP.Chaque artiste livre le fruit d’une recherche sur l’ici et l’ailleurs, tel ce regard éloigné évoqué par Claude Lévi-Strauss, pour qui l’ethnologue doit regarder très loin, vers des cultures différentes de la sienne, tout en apprenant à observer sa propre culture comme un étranger – in L’Anthropologie face aux problèmes du monde moderne.

trAvAux en cours / phAse 1Marie Applagnat, Florent Basiletti, Yannick Delen, Alexandre Desson, Apolline Lamoril, Lucas Lemme, Lucie Liabœuf, Joanna Luz Da SilvaGalerie du Haut, Arles7 › 9 avril 2017

Exposition des travaux des étudiants du Projet PARC, qui s’attache à suivre les transformations du lieu où se bâtit la future ENSP, du quartier, voire de la ville d’Arles : un travail de terrain passant par l’observation et par l’expérimentation de formes documentaires et/ou plastiques.

pArcourir en tout sensNina Ferrer-Gleize, Walid Ghali, Lila Neutre, Sergio Valenzuela Escobedo, Mezli Vega OsornoGalerie Arena, Arles21 › 23 avril 2017

Cette année, l’ENSP souhaite donner une visibilité au doctorat «Pratique et théorie de la création artistique et littéraire spécialité photographie », mis en place depuis 2013 en partenariat avec Aix-Marseille Université.Les 5 doctorants sont invités à s’approprier l’espace de la galerie Arena lors du Week-end Arles Contemporain.L’exposition Parcourir en tous sens s’intéresse au processus de recherche en art, questionne la façon dont celui-ci se met en place, et insiste sur la dimension évolutive et progressive du travail d’artiste-chercheur.

Les 5 artistes-chercheurs ont mis en place un protocole : chacun d’entre eux demande aux quatre autres de fournir des photographies, précises, concernant son travail de façon plus ou moins directe. Ces éléments tournent autour du sujet de recherche de chacun sans jamais l’aborder frontalement: photographie de notre carnet de notes, détail d’image, citation d’un auteur important, première de couvertures des derniers livres lus…

Ils sont autant d’indices permettant non pas de définir ou de circonscrire un sujet trop précisément, mais bien au contraire de former une sorte de topographie visuelle, témoignant de la dimension parcellaire et organique de la recherche en train de se faire.

D’une certaine manière, c’est le processus même de la recherche qui, au sein de l’exposition, devient sujet. Un mur est attribué à chacun des doctorants, sur lequel sont disposées, sur une étagère, toutes les images. Des codes (format, encadrement, couleur…) permettent, par le biais d’une légende, de comprendre à quelle demande correspond chaque élément. L’exposition propose ainsi une double-lecture : l’une, mur par mur, du travail d’un doctorant à la fois ; l’autre, par élément demandé, en suivant la légende. Le visiteur est invité à déambuler dans la galerie d’une façon qui se rapproche du processus même de celui de la recherche : il « parcourt en tous sens ».

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mAi 2017

territorio

Arles à BogotAHilda Caicedo, Andrés Donadio, Leslie Moquin, Laura Quinonez et Emilie SaubestreMusée d’Art Moderne de Bogota, Colombie13 mai > 16 juillet 2017

De la mer des Caraïbes à l’Océan Pacifique, des neiges éternelles aux forêts tropicales, des déserts aux grandes mégalopoles, le territoire colombien, au-delà d’un inventaire rationnel et objectif se découvre au fil d’une aventure qui s’écrit chaque jour.

Quelle est cette matière historique et organique qui façonne aujourd’hui ce pays, cette nation? Parle-t-on d’héritage commun, de frontière, de zone, d’espace, de paysage? Qui sont les hommes qui l’occupent, le transforment, l’aiment ou le détruisent, le sacralisent ou l’oublient?

Aujourd’hui, la Colombie connaît une véritable mutation : économique, sociale et plus encore politique. Les récents accords de paix entre le gouvernement et les FARC semblent ouvrir une nouvelle ère pour la paix, ses habitants et leur terre natale.

Cette exposition collective autour de la question de territoire est le fruit de deux années de collaboration entre l’Alliance Française et l’École nationale supérieure de la photographie à Arles qui a permis à cinq diplômés de réaliser une résidence de création suivie d’une exposition à l’Alliance Française de Bogotá; ainsi que de la générosité du Musée d’Art Moderne de Bogotá, qui accueille aujourd’hui cette exposition collective, et de l’Institut Français dans le cadre de l’Année Croisée France/Colombie.

Trois colombiens, Laura Quiñonez, Andrés Donadio et Hilda Caicedo, et deux françaises, Leslie Moquin et Émilie Saubestre, ont pu ainsi mener pendant deux mois un travail artistique sur le territoire colombien. En résulte cette complémentarité des regards, des expériences, des terrains explorés. De Barranquilla à Cali, en passant par Bogotá, tous ont abordé cette matière mouvante qu’est le territoire avec le même désir : le relier à ceux qui l’habitent ou l’ont habité.Utilisant à la fois la photographie, la vidéo, mais aussi l’écriture ou l’installation, ces cinq artistes offrent aujourd’hui un prisme de lecture sensible d’un territoire qui ne tient pas en place, qui est bien plus que frontières et données scientifiques.

Exposition produite avec le soutien de l’Alliance Française de Bogotá et de l’Institut Français.

juin 2016

usAge du temps Chapelle des pénitents blancs, Baux de Provence2 › 5 juin 2017

L’exposition Usage du temps, présentée dans le cadre de Publications d’artistes, est un projet de recherche initié par Nicolas Giraud au sein de l’ENSP.Commissariat | Marie Constant, Jiayun Deng, Nicolas Giraud, Isabelle Ha Eav, Julie Hrncirova,Thomas Jezequel, Lucie Liabeuf, Mathilde Vieille-GrisardŒuvre présentée | Claude Rutault, Les saisons (de la peinture à la gravure à la peinture…), 2002

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10,5 x 15 cm, quatre cartes postales d’après la d/m 248L’exposition présente les résultats d’une recherche sur les usages du temps. Elle est pensée comme un cabinet de lecture avec trois éléments; un poster, une documentation et une oeuvre. Pour chaque exposition la documentation est mise à jour, le poster montre l’architecture actualisée du projet et une oeuvre différente est présentée.

Il s’agit là de penser les différents usages que nous faisons de notre temps, à titre personnel autant que professionnel, entre le temps de travail et le temps dit libre. Comment l’emploi du temps détermine-t-il des écarts, des aller-retours, des définitions, l’idée par exemple d’un temps commun, l’idée que notre temps puisse être employé à des fins qui nous sont extérieures, à travers les notions d’efficacité, d’objectifs, de rentabilité.

Dans ces usages du temps, nous employons une quantité considérable d’outils et d’objets qui compliquent l’organisation des choses : L’argent dont on dit qu’il est du temps, mais dont la conversion n’est en rien évidente. La photographie dont la capacité à figer le temps reste relative, puisque comme le souligne Auguste Rodin, “…dans la réalité, le temps ne s’arrête pas.“ La possibilité d’une synchronie, celle par exemple de la pensée bouddhiste dans le temps de la méditation et l’expérience d’un arrêt du temps par une exacte coïncidence avec le rythme des choses. L’asynchronie, expérience plus commune et qui pose une multitude de problèmes quant à notre occupation du temps, une multitude de retards et de temporalités fragmentées qui nous renvoient à la tension constante entre le temps que nous expérimentons et les versions alternative que chacun élabore pour son propre usage. S’y ajoutent d’autres formes qui sont celles de la boucle, de la répétition ou de l’ennui, des temps vides, creux ou clos et qui peuvent être des pièges comme des refuges.

Le projet vise à esquisser un modèle d’usage, comme une sorte de manuel où convergent les propositions issues de différents champs.

017exposition des diplômés 2017Palais de l’Archevêché, Arles9 › 11 juin 2017

_017 est le titre de l’exposition des diplômés 2017 de l’École nationale supérieure de la photographie. Promotion joyeuse, dont on se souviendra du goût pour la fête et les dîners. Promotion soucieuse dont on se souviendra de l’engagement à la fois pour la recherche et pour les expériences plastiques. _017 est une promotion resserrée depuis la mise en place de l’année de césure, mais une promotion dense pour la qualité et la diversité du travail sur l’image, sur le photographique, sur les dispositifs et sur l’archive. Ici l’on observe une attention singulière sur les conditions du vivant (le corps et les espaces des corps, les gestes et les espaces de ces gestes), mais aussi sur les conditions critiques d’une histoire de la représentation (de l’image du geste à l’image de l’objet). Ici s’opère les épreuves plastiques d’une réflexion sur l’histoire des représentations des relevés anthropologiques, conceptuels et plastiques : alors s’inscrit au fil de ces dix-sept pratiques d’artiste une série de préoccupation et de regards posés à la fois sur l’intime et l’indifférence de l’intime, sur la place du spectateur dans l’espace contemporain, sur celle du regardeur dans l’espace public, sur les questions de l’augmentation du corps, sur les faits divers, sur les questions du soin et les questions des corps disciplinaires et de leurs espaces, sur les récits constitués, sur ceux d’une histoire de l’exotisme et du colonialisme, sur l’exploration, sur les récits mythogénétiques, sur la teneur des espaces de partage, sur l’image conceptuelle et l’image augmentée, sur l’épreuve de la sculpture et de sa représentation, sur la teneur parodique des espaces publics.

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_017 est ce moment où une promotion d’étudiants en école d’art achève un parcours en Master à la fois théorique et plastique et livre, pour partie, le résultat de ses recherches. L’exposition _017 présente une œuvre par diplômé, un A3 recto et verso qui assemblé aux autres constitue l’édition d’un catalogue et, ce que l’on nomme un « goodie », petit multiple mis en vente le soir de l’exposition.

juillet 2017

olympus. conversAtions photogrAphiquesPalais de Luppé, Arles3 juillet › 26 août 2017

Après quatre éditions menées avec succès, la conversation photographique d’Olympus fait peau neuve avec deux changements : travailler avec un seul binôme au lieu de trois, grâce à un appel à candidatures réalisé parmi les jeunes diplômés de l’ENSP des deux dernières promotions.L’objectif est de pouvoir mettre en valeur dans de meilleures conditions ce projet qui s’est révélé au fil des années riche et passionnant.

Cette année, le photographe Guillaume Herbaut dialoguera avec la jeune photographe Eléonore Lubna, diplômée de l’ENSP en 2016. Guillaume et Eléonore vont croiser leur regard sur l’Ukraine, où Guillaume a beaucoup travaillé. En réponse au travail photographique que ce dernier mène sur la zone de front, Eléonore souhaite proposer un travail photographique et de témoignages sur les habitants qui ont fui.

ensp/inserm

lA recherche de l'Art #6Anna Broujean, Florian da Silva, Steven DanielGalerie du haut de l’ENSP3 juillet › 16 septembre 2017

On peut continuellement ignorer que le monde des arts et celui des sciences puissent fusionner sans mobile apparent. Pourtant, voilà plus de cinq ans que l’Inserm et l’ENSP cultivent ensemble des sols fertiles en surprises (mises en valeur au Palais de la découverte jusqu’au 27 août 2017) qu’il serait absurde de ne pas goûter tant l’assortiment des saveurs irréductibles à l’imagination semble infini.

Cette forme de recherche artistique engagée par les diplômés de l’École nationale supérieure de la photographie, Florian Da Silva, Steven Daniel et Anna Broujean lors de leur résidence au sein des laboratoires de l’Inserm n’est ni fondamentale, ni appliquée.

Le propre de l’artiste est de concevoir des agencements. Comme nous le rappelle le philosophe Elie During une « oeuvre est toujours débordée par un projet dont elle n’est pas nécessairement l’aboutissement, mais un état instable, une projection, une vue en coupe – un prototype ».

Les oeuvres présentées ici s’auto-organisent seules d’abord, puis, de façon transversale au contact les unes des autres. Loin d’être une simple collusion de propositions hétérogènes, ce qui est montré dans cette exposition peut se lire comme une forme conjonctive où chaque image

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interagit avec son environnement. Un écho à la matière vivante en quelque sorte.Au-delà d’une simple illustration de la vie de ces laboratoires, les propositions de ces trois jeunes artistes explorent la relation entre la science et l’art, révèlent et renouvellent ainsi ses objets, ses méthodes ou ses outils.

Exposition coproduite par l’ENSP et l’Institut national de la santé et de la recherche médicale.

territorio

Arles à BogotàHilda Caicedo, Andrés Donadio, Leslie Moquin, Laura Quinonez et Emilie SaubestreGalerie Arena, Arles3 juillet > 16 septembre 2017

Cette exposition collective autour de la question de territoire est le fruit de deux années de collaboration entre l’Alliance Française et l’École nationale supérieure de la photographie à Arles qui a permis à cinq diplômés de réaliser une résidence de création suivie d’une exposition à l’Alliance Française de Bogotá; a été présentée au Musée d’Art Moderne de Bogotá en mai 2017, est montrée dans le cadre des Rencontres d’Arles 2017 à la Galerie Arena.

ensp/rencontres d'Arles

une Attention pArticulière, 2017Une sélection de 3 étudiants de la promotion 2017 de l'ENSP : Yannick Délen, Lexane Laplace, Apolline LamorilParc des Ateliers, Arles3 juillet › 25 septembre 2017

Depuis maintenant plusieurs années les Rencontres d’Arles offrent la possibilité à trois diplômés d’exposer dans la programmation officielle. Cette année le jury composé d’Anna Planas, fondatrice Les Rencontres d’Arles et l’École nationale supérieure de la photographie oeuvrent chaque année à la valorisation de la jeune création photographique grâce, entre autres, à l’exposition de trois diplômés de l’ENSP au sein de la programmation officielle du festival.

Cette année, Anna Planas, fondatrice et co-directrice de la Galerie Temple, et Sam Stourdzé, directeur des Rencontres d’Arles, ont porté leur attention sur les propositions d’Apolline Lamoril, Lexane Laplace et Yannick Délen, qui entrent en résonance avec les thématiques Latina et Nouveaux Territoires de cette édition.

AoÛt 2017

inventeurs d'AventuresFrançois Bellabas, Sylvain Couzinet-Jacques, Aurélie Jacquet, Pauline Hisbacq, Robin Lopvet, Rebecca Topakian, Sergio ValenzuelaLa Friche Belle de Mai à Marseille / PREMIER ÉPISODE 25 août > 5 novembreART-O-RAMA, Marseille | 25 août > 10 septembreVilla Arson, Nice / DEUXIÈME ÉPISODE 14 octobre > 7 janvier 2018

L’École(s) du Sud, le réseau des écoles supérieures d’art de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et de Monaco propose Inventeurs d’Aventures , d’août 2017 à mars 2018, sous le commissariat de Gaël Charbau.

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Inventeurs d’Aventures est une programmation qui mêle expositions, colloques, performances, conférences, lectures et workshops, avec pour ambition de faire découvrir au public le rayonnement, le dynamisme et la richesse de la recherche artistique en Méditerranée. Après un appel à candidature lancé auprès d’anciens diplômés des sept écoles d’art du sud, près d’une cinquantaine d’artistes ont été sélectionnés par le commissaire et invités à participer au programme.

« Fin des utopies, fin des avant-gardes, fin des grands récits… l’histoire actuelle de l’art a commencé par un grand tomber de rideau. Dans ce paysage de ruines éclatantes, être «un artiste», c’est d’abord surmonter tout ce qui devrait naturellement incliner à ne pas ajouter un objet de plus, dans un monde qui en compte déjà beaucoup. Et si l’artiste le fait, c’est sans aucun doute que quelque chose au fond de lui le porte encore à croire que tous les chemins n’ont pas été explorés, que tous les horizons ne sont pas encore éteints. Ces artistes, ces inventeurs d’aventures, sont-ils les derniers héros ou les dernières « figures déchues » de notre civilisation qui peine à raconter sa propre histoire?Premier épisode explore à la Friche Belle de Mai les pratiques artistiques d’un récit contemporain qui se nourrit des histoires microscopiques, intimes, parfois même familiales, jusqu’aux récits collectifs qui fédèrent les passions et les émancipations, en passant par les récits médiatiques qui rythment le quotidien de notre société. Organisée comme les pages d’une histoire sans progression, sans début ni fin, l’exposition se parcourt comme les pages d’un journal ou d’un magazine dont on aurait oblitéré le sommaire.»Gaël Charbau, commissaire du programme

septemBre 2017

plAtAnos con plAtinoElsa LeydierAlliance Française de Bogota, Colombie1er septembre > 3 novembre 2017

Cinquième diplômée de l’ENSP à partir en résidence à l’Alliance Française, Elsa Leydier présente le fruit de son travail réalisé en août 2017 dans la région du Choco. Cette exposition boucle la très belle collaboration entre l’Alliance Française et l’ENSP initiée en 2016.

octoBre 2017

5889 / out oF orderGalerie Arena, Arles20 octobre › 12 novembre 2017

1723 est un projet de recherche de l’École nationale supérieure de la photographie (ENSP) sur les pratiques curatoriales, photographiques et éditoriales. Il est en partenariat avec la Haute école d’art et de design (HEAD) de Genève et le Centre national édition art et image (CNEAI) de Pantin et avec le soutien de la galerie Ceysson & Bénétière. Le projet est coordonné par Sylvie Boulanger, Nicolas Giraud, Aurélie Pétrel et Fabien Vallos.

Pour les années 2017-2018, le projet est réalisé et curaté par sept étudiants-chercheurs : Pauline Assathiany, Marie Applagnat, Florent Basiletti,Quentin Carrierre, Marie Constant, Lucie Liabeuf et Mickael Rava.

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1723 est le nombre de kilomètres entre Arles, Genève et Paris.5889 est le nombre de kilomètres parcourus depuis nos premiers séminaires.5889 est le titre de la présente exposition : elle se conçoit comme une « reconstruction » de l’espace d’exposition de l’école par l’ajout d’un plancher qui permet de créer des espaces d’archives, des espaces de lecture et des espaces de présentation d’oeuvres.Pour cette première exposition sont exposées les archives et les éditions des étudiants de Genève (Brigida Bocini, Constance Brosse, Héloïse Chaussepot, Mado Eschenbrenner, Nathan Lachavanne, Jonathan Lévy, Delphine Moyard, Jeremy Saadi, Céline Simonetto) et des étudiants d’Arles, et des oeuvres de Yona Friedman, Aurélie Pétrel et Quentin Carrierre.Le principe du travail de l’exposition 5889 tient à trois champs de recherche : le premier est la construction d’une archive consacrée aux dispositifs de monstration et aux processus curatoriaux (de l’oeuvre autant que de sa documentation); le deuxième est cette fois la construction matérielle d’un lieu propre à recevoir informations et œuvres; enfin le troisième est la construction d’une réflexion sur les liens entre espace de monstration et espace de vie, en somme les relations matérielles entre la vivabilité et la contemplation.

novemBre 2017

ponit AveugleRestitution du Parcours Littérature et photographie ENSP x ENS de LyonGalerie Arena, Arles14 > 18 novembre 2017

Dans le cadre du parcours Littérature & photographie, l’École nationale supérieure de la photographieet l’ENS de Lyon présentent la restitution des derniers mois de travaux entre les étudiants des deux écoles.

Cette exposition est conçue et réalisée par les étudiants du parcours : Paul Corbain, Isabelle Ha Eav, Iris Henaff, Pierre Katzarov, Anastasia Kozyreva, Clémence Large, Chloé Malsagne, Nina Medioni, Mathilde Sangnier.

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Publications

Avril 2017

cArnet de résidence n°2doctorAt prAtique et théorie de lA créAtion Artistique et littérAireHameau des Baux / ENSP

Une publication sous forme de carnet qui accompagne l’exposition de Marguerite Bornhauser, Jonathan Llense et Steven Daniel

mAi 2017

territorioArles à Bogotà

Publication réalisée dans le cadre de l’exposition présentée au Musée d’Art Moderne de Bogota en mai 2017 et à la Galerie Arena en juillet 2017, lors des Rencontres d’Arles.

juillet 2017

échAppées Belles

les diplômés de l'école nAtionAle supérieure de lA photogrAphie

Publié avec le soutien de la Fondation Neuflize Vie, et aux éditions Diaphane, ce catalogue “Échappées Belles” présente les seize diplômés 2017 de l’ENSP.Cette publication est en français et anglais.

lA recherche de l'Art #6Publication financée par l’INSERM avec le soutien de la CASDEM, elle est diffusée gratuitement dans l’espace d’exposition.

Cette sixième publication accompagne l’exposition présentée à la Galerie du Haut dans le cadre des Rencontres d’Arles.

octoBre 2017

5889out oF order

Sous forme de journal, cette publication est le fruit du projet Projet 1723 (Pratiques curatoriales, photographies et éditoriales). Projet de recherche initié par l’École nationale supérieure de la

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photographie d’Arles (ENSP) en collaboration avec la Haute École d’art et de design de Genève (HEAD) et le Centre National Édition, Art et Image de Pantin (CNEAI) et avec le soutien de la galerie Ceysson & Bénétière.Elle accompagne l’exposition 5889 et est offerte au visiteur.

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introduction

Le 3 juillet 2012, à l’initiative de l’ENSP et à l’occasion de la célébration de ses trente années d’activités reconnues, l’association des anciens étudiants – AAENSP – a été fondée par près d’une centaine d’anciens étudiants présents.Depuis les anciens de l’École ont montré leur envie de se rassembler, de matérialiser cette appartenance passée à l’ENSP, de créer un véritable réseau d’entraide et de promotion des savoir-faire. Adhérer à l’association des anciens étudiants de l’ENSP renouvelle le lien avec l’École, mais aussi entre les anciens. L’association véhicule la culture de l’École et permet aux étudiants en fin de formation d’y trouver un prolongement naturel à l’École ainsi qu’un accompagnement dans la construction de leur projet professionnel.

Depuis 2015, l’AAENSP offre aux étudiants sortant l’adhésion à l’association.

présentAtion

Collège solidaire• Estelle Rebourt• Gilles Magnin• Aliette Cosset

les stAtuts Suite à l’Assemblée générale précédente, tenue à Marseille en décembre 2016, les statuts ont été modifiés. Désormais l’association fonctionne sous une nouvelle formule de collège solidaire. Chaque membre du collège a des responsabilités équivalentes au sein de l’association. Les autres membres sont actifs selon leur disponibilité sans pour autant faire partie d’une assemblée particulière.

nouvelle Adresse postAleUne nouvelle adresse postale est acquise par location d’une boîte postale auprès de la Maison des Associations, 13 bvd des Lices, afin de ne plus dépendre de la boîte postale d’un particulier.

les ressources de l’AssociAtion en 2016 /2017• Les cotisations des membres ( 36 adhérents en 2017)• La vente et la tombola été 2017, Arles.

À noter : depuis 2015, l’AAENSP offre aux étudiants sortant l’adhésion à l’association mais très peu s’inscrivent.

réunions de l’AAensp et évènements • 4 février 2017 : les représentants de l’AAENSP se sont retrouvés aux journées porte-ouvertes

de l’ENSP, une occasion de parler de l’association et de rencontrer les étudiants.

• 18 Mars 2017 : deux représentants du collège solidaire ont assisté à la vente aux enchères des étudiants à l’espace Van Gogh à Arles, une nouvelle occasion de contacts avec les étudiants .

Association des anciens

étudiants de l’ENSP

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• 28 mai 2017 : visite au cimetière du Père-Lachaise sur le thème de la Photographie, initiée par l’AAENSP. Ouverte à tous avec un tarif préférentiel pour les membres cotisants. Visite réalisée sous la conduite de Olivier Loudin, guide au Père-Lachaise.

• Du 3 au 9 juillet 2017 : pour la seconde fois un lieu d’accueil accessible dans une rue passante du centre ville d’Arles a été loué rue du 4 septembre au moment des Rencontres Professionnelles de la Photographie/ Le château des Arts.Ce Rendez-Vous a permis de réels temps de rencontres autour de repas conviviaux de qualité, à l’occasion desquels des vrais échanges ont pu se créer. Le 7 juillet une vente / tombola au bénéfice de l’Association s’est passée dans ce lieu. Le lieu est d’ores et déjà réservé pour l’année prochaine.

• Des membres (du collège et membre adhérent) l’AAENSP ont participé à trois réunions de discussion autour d’un projet en cours de création d’une association qui regrouperait à la fois des enseignants d’école de photographie, des anciens et des étudiants : 6 juillet ( Arles / ENSP) , 13 septembre (Paris à la BNF) et 12 octobre (École des Gobelins). Le projet est en cours d’élaboration. La participation de l’AAENSP sera variable en fonction de celle des membres de l’ENSP.

• Suite à ces réunions, un Rendez-Vous inter-associations d’anciens d’écoles de photographie (AAENSP, Diaph 8 de Paris VII, ALL de Louis Lumière ), a eu lieu le jeudi 9 novembre au soir, à Paris.

diFFusion des ActuAlités et des évènementsDes posts d’actualités des membres de l’AAENSP sont effectués sur le site et sur facebook. Les Posts sur le site ne concernent que celles des membres cotisants ou les évènements organisés par l’AAENSP. Les posts sur Facebook concernent essentiellement les actualités d’anciens, mais aussi des posts concernant des actualités du monde de la photographie, ainsi que celles de membres qui soutiennent l’AAENSP.Les offres de travail sont dorénavant envoyées directement aux membres à jour de leur cotisation, par mail.

RAPPORT D’ACTIVITÉS 2016 / 2017 - ensp-arles.fr · de la langue française, même si elle reste...

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