Plan d'action fédéral 2013-2015

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Plan d’action fédéral 2013-2015 MJS Ille-et-Vilaine

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Le Plan d'action fédéral des Jeunes socialistes d'Ille-et-Vilaine pour les deux prochaines années !

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Plan d’action fédéral

2013-2015MJS Ille-et-Vilaine

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En collage La délégation des Bretilliens à

l’université d’été du PS et du MJS 2013

À St Malo, à la recherche de jeunes Malouins...

En séminaire de formation à St Lunaire

En distribution

de tracts pour

l’allocation

d’autonomie !

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Sommaire

I. Contexte politique

II. Bilan d’activité

III. Objectifs

IV. Liste des délégué-e-s

Les Jeunes socialistes marchent contre le racisme à Rennes

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Contexte politique

Contexte politique national :

Après un an et demi de gouvernement de gauche, la période est difficile pour les militants socialistes que nous sommes. Alors que, pour les plus âgé-e-s d’entre nous, notre conscience politique est née le 21 avril 2002 avec l’accession de Jean-Marie Le Pen au 2e tour des élections présidentielles, nous sommes aujourd’hui les témoins d’une ascension inédite de la xénophobie et du populisme d’extrême-droite.

Avec le climat délétère insufflé par la droite sous le mandat de Nicolas Sarkozy, le constat est amer : les Français, divisés, sont incités à rechercher des boucs émissaires. Chômeurs, assistés, immigrés, la droite et l’extrême-droite n’ont de cesse de souffler sur les braises de la haine et du rejet de l’autre, allant jusqu’à remettre en cause le droit du sol, principe fondamental de notre pacte républicain.

Mais cette dérive droitière très inquiétante ne peut être déconnectée de la réalité économique et sociale que vivent nos citoyens. Elle n’est, en fait, que la conséquence directe de la généralisation de la précarité et d’une répartition des richesses de plus en plus inégalitaire. Elle n’est, en fait, que la conséquence d’un système capitaliste à bout de souffle qui tente de camoufler ses échecs en détournant l’attention pour se dédouaner de ses responsabilités.

En effet, le coup de force des libéraux qui gouvernent l’Europe aujourd’hui a résidé

dans leur capacité à travestir l’interprétation de la crise de 2008 pour mieux masquer leur incapacité à résorber le chômage et bâtir un modèle de développement juste. D’une crise des subprimes provoquée par le manque de régulation, le manque de protections sociales, le manque d’Etat, les libéraux sont parvenus à construire le mythe d’une crise générée par des états qui seraient trop généreux, des salariés trop coûteux, un marché du travail trop rigide, renvoyant aux citoyens la responsabilité du désastre économique et financier dans lequel ils sont plongés.

D’une crise du libéralisme, nous serions ainsi passés à une crise de l’Etat-providence, avec un ennemi principal : la dette souveraine.

C’est donc dans le contexte d’une offensive libérale sans précédent que la gauche accédait au pouvoir en mai 2012. Désindustrialisation, délocalisations, dumping social et fiscal : les épreuves se succèdent et la courbe du chômage semble irrémédiablement bloquée à la hausse. De ce fait, alors que le candidat François Hollande promettait un changement significatif, la gauche au pouvoir peine à répondre à la souffrance des ouvriers, des salarié-e-s, des retraité-e-s à qui l’on explique qu’il faudrait accepter de renoncer à leurs droits et à leurs acquis.

Alors que l’Europe a toujours été un espoir pour la gauche qui voulait la construire pour parer les coups portés aux salarié-e-s par la mondialisation, l’Union européenne,

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dans son fonctionnement actuel, se révèle être le pire cauchemar de notre camp social. Dominée par les conservateurs et les libéraux, l’Europe s’est construite sous l’étendard d’un dogme économique archaïque : celui de la concurrence des uns contre les autres, de la guerre économique de tous contre tous, de l’autorégulation du marché et de la croyance chimérique en l’existence de lois économiques universelles et immuables, valables partout et de tous temps.

C’est ainsi que la Commission européenne, organe technocratique illégitime, se permet de dicter à la France les politiques à mener, faisant fi du vote des Français en faveur d’une réelle alternative. Réforme du système des retraites en augmentant l’âge de départ sans toucher aux cotisations patronales, baisse du « coût du travail », généralisation de la flexibilité, la Commission – censée promouvoir l’intérêt général - ne s’embarrasse d’aucune pincette pour imposer à tous les pays européens ses diktats libéraux dont on peut nettement percevoir l’objectif final : celui d’une intervention étatique minimale pour satisfaire les exigences des agences de notation et ouvrir des parts de marchés aux détenteurs du capital.

C’est aussi ainsi que le Parlement européen se voit contraint, sous la pression des gouvernements, d’adopter un budget pluriannuel en baisse, symptôme d’une régression historique de l’Europe.

Ces carcans budgétaires représentent une entrave profonde à la démocratie : lorsque

l’on explique aux peuples qu’il n’y a pas d’autre alternative, qu’il n’y a qu’une seule politique possible, on porte atteinte à ce qui fonde la démocratie : le choix. Et par la même, on fait le lit du populisme et de l’extrême-droite, le lit d’un discours antisystème qui mène à l’impasse.

Alors, dans cette séquence politique trouble, il est urgent pour les socialistes de rappeler que d’autres politiques sont

possibles :

- À ceux qui ne jurent que par la réduction des dépenses pour résorber le déficit, rappelons qu’il faut d’abord aller chercher l’argent là où il est et trouver de nouvelles recettes : les 500 familles les plus riches de France se sont enrichies de 25% en un an en 2013 et les patrons du CAC 40 ont vu leurs

indemnités croître de 9%, l’effort doit donc porter sur ces plus aisés qui ne connaissent pas la crise. De plus, nous ne pouvons continuer à considérer le déficit comme essentiellement mauvais pour l’économie : il existe un bon déficit lorsqu’il sert à investir pour l’avenir. Il faudrait donc sortir les dépenses d’investissement du calcul des 3% imposé par Bruxelles.

- À ceux qui expliquent que la barque fiscale serait trop chargée, rappelons que l’on estime que 590 milliards d’euros seraient dissimulés dans les paradis fiscaux dont 220 milliards appartiendraient aux Français les plus riches. Continuer à financer notre dette souveraine sur les marchés en se privant du levier fiscal correspond non seulement à nous priver de recettes mais surtout à compenser cette carence par l’emprunt

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en rémunérant les détenteurs de capitaux pour le prêt d’un argent que l’on s’interdit d’imposer. Un système qui marche sur la tête. Par ailleurs, plutôt que d’emprunter sur les marchés financiers étrangers et de nous rendre vulnérables à leurs exigences, privilégions la relocalisation de la dette et sa détention par les épargnants français.

- À ceux qui veulent figer dans le marbre la réduction des dépenses comme seule solution, répondons que nous pourrions diminuer le volume de la dette par une politique monétaire expansive menée par la BCE qui n’a aujourd’hui que pour seule prérogative la lutte contre l’inflation, au détriment de l’emploi.

Au contraire de ce qu’essaye de nous faire croire l’Europe de Merkel, les solutions alternatives existent pour éviter une austérité mortifère qui conduit les pays européens dans le mur et n’a jamais permis de résorber les déficits publics. Cette alternative, ce tournant de la relance, est la condition pour mener à bien toutes les politiques sociales attendues par notre électorat. C’est là la condition des succès électoraux futurs et de la réussite de la gauche au pouvoir. C’est dans cet objectif que s’inscrit l’action du Mouvement des Jeunes socialistes tant au niveau national que local.

Comme le disait avec justesse Pierre Mendès-France, « gouverner c’est choisir ». Or, la gauche est l’héritière des congés payés, des conventions collectives, de la retraite à 60 ans, de l’augmentation des salaires alors choisissons aujourd’hui le camp du progrès, soyons dignes de cet héritage pour reconquérir la confiance des

Français, des ouvriers, des salarié-e-s, des retraité-e-s dont nous représentons les intérêts.

Contexte politique local :

Les élections municipales

Les collectivités sont aujourd’hui les premières actrices de l’action publique, elles représentent souvent un bouclier social face à la hausse des inégalités et au chômage.

À cet é g a r d , nous se-rons aux côtés de t o u t e s l e s

listes socialistes pour les élections mu-nicipales. À Rennes, ville-capitale de la Bretagne et future Métropole qui rayonne sur tout le département, nous mènerons la campagne de Nathalie Appéré, candi-date de la gauche pour une ville solidaire et créative.

Les élections européennes :

2014 est aussi l’année des élections européennes. Rappelons qu’avec le principe de codécision, le Parlement européen est aujourd’hui en mesure d’influencer l’orientation de l’Union européenne. C’est la raison pour laquelle nous serons également particulièrement mobilisé-e-s pour la campagne derrière Isabelle Thomas, tête de liste pour la circonscription grand-ouest.

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Bilan d’aCtivité

Les deux dernière années qui nous séparent du dernière congrès ont été marquées par un renouvellement très fort des militants de la Fédération. La génération 2011-2013 est en effet celle qui a connu la campagne pour les Présidentielles et la victoire de la gauche au soir du 6 mai.

Les temps de cam-pagne pré-s i d e n t i e l l e sont toujours très profi-tables pour

le Mouvement des Jeunes socialistes puisqu’ils offrent une perspective concrète pour la jeunesse : celle de se faire entendre et de provoquer le changement.

Il est par ailleurs très courant pour une fédération de voir son activité diminuer après une campagne aussi intense que celle des Présidentielles.

Malgré un renouvellement élevé et rapide, la Fédération a su s’adapter et se reconstruire.

Ainsi s’est-elle dotée de nouveaux cadres de discussion avec des Collectifs fédéraux plus réguliers qui ont d’ailleurs été l’occasion faire émerger de nouveaux Secrétaires fédéraux.

La Fédération s’organise de manière à permettre à tous les adhérents de s’inscrire pleinement dans la dynamique

militante, par le biais du planning et des rappels hebdomadaires.

De même, l’équipe sortante a réactivé les outils de communication numérique tels que Facebook et Twitter et initié la création d’un nouveau site internet ainsi que la mise en place d’une Newsletter, dans le but de faire mieux connaître la Fédération et ainsi de permettre à tous les jeunes de nous rejoindre pour porter la transformation sociale.

Du point de vue de la communication toujours, nous avons pu enfin réaliser le Livret d’accueil du nouvel adhérent qui présente la Fédération et le MJS plus généralement à l’ensemble de nos adhérents et sympatisants.

Très actifs sur le terrains, nous avons pu mener de nombreuses campagnes nationales comme la campagne «Rise up», «Encadrement des salaires» et plus récemment «Priorité jeunesse». Nous avons aussi pu porter notre propre campagne locale sur l’allocation d’autonomie.

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Livret de l’adhérentFédération d’Ille-et-Vilaine

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Conscients de l ’ importance d’une acti-vité de ter-rain régulière, nous avons été chaque se-maine couvrir les établis-sements sco-laires ou uni-versitaires à la

rencontre de la jeunesse.

Nous avons par ailleurs fortement participé au mouvement de soutien à la loi Taubira instaurant le mariage pour tous les couples, face aux offensives réactionnaires de la Manif pour tous. Nous commes en effet convaincu que le changement de couleur politique doit rencontrer la mobilisation du mouvement social pour réussir.

C e t t e dynamique a permis à la Fédération de passer d ’ u n e

quarantaine d’adhérents à 133, une progression fulgurante que nous devons à la ténacité des militants qui ont été devant chaque lycée, chaque université, chaque porte de cité universitaire pour recruter et faire ainsi rayonner le Mouvement des Jeunes socialistes 35.

Avec un rythme moyen d’une Assem-blée générale toutes les deux se-maines, nous avons voulu multiplier les cadres d’échange pour répondre à

deux objectifs principaux du militan-tisme : débattre et se former.

De plus, la Fédé-r a t i o n d’Ille-et-Vilaine a été l’or-ganisatrice et l’hôte d’un week-end de formation grand ouest qui a réuni près de 40 militants. Ce week-end à St Lunaire a permis aux militants de progresser sur le fonds sur des thèmes comme les retraites, l’Europe, le fé-minisme ou encore l’autonomie de la jeunesse.

Enfin, nous avons organisé plusieurs journées de militantisme à St Malo et Fougères afin de développer la Fédération dans tout le Département.

UNE AUTRE SOLUTION !

02 99 31 61 00

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oBjeCtifs

Massifier et démocratiser :Malgré le contexte difficile que nous connaissons, notre Fédération progresse constamment en nombre de militants, c’est une chance autant que le signe d’une jeunesse en colère qui se saisit du levier politique pour exprimer ses convictions et ses attentes.

Nous devons être à la hauteur de cette responsabilité. Pour cela, nous devons :

- Organiser une meilleure structuration de l’activité à Rennes et plus largement dans l’agglomération rennaise par la création de deux équipes. Ce découpage nous permettra de décupler nos forces militantes et d’occuper le terrain d’avantage.

- Nous développer en dehors de Rennes : Bien sûr, la ville-centre qui compte près de 50 000 étudiants est une chance pour la Fédération et le coeur de notre activité. Pour autant, nous devons occuper tout le département pour que chaque jeune bretillien ait la possibilité de nous rejoindre. Nous continuerons à organiser des journées de délocalisation à St Malo, Fougères, Vitré ou encore Redon au rythme d’une fois par mois afin de recruter de nouveaux militants, construire d’autres équipes et ainsi développer la Fédération. Pour rappel, une équipe existait à St Malo jusqu’en 2011, preuve qu’il nous est possible de nous y installer.

Cette dynamique doit nous permettre de doubler notre nombre d’adhérents d’ici 2015 afin de devenir une Fédération de poids pour le MJS.

Le MJS doit apparaître aux jeunes comme le débouché naturel de leurs aspirations.

Former et débattre :- Promouvoir l’éducation populaire et la formation : Le Mouvement des Jeunes socialistes d’Ille-et-Vilaine assume pleinement sa vocation à former et à organiser l’éducation populaire au bénéfice de tous les adhérents.

Les formations sur le fond (sur l’économie, l’histoire de la gauche, la construction européenne...) doivent permettre à chacun de s’émanciper des discours dominants, de construire son propre raisonnement et de déconstruire les arguments des libéraux de droite et des populistes d’extrême-droite.

Enfin, les formations pratiques (au porte-

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à-porte, à la prise de parole en public...) permettront à tous les militants de se doter des outils nécessaires pour aller convaincre sur le terrain. Jeunes socialistes, nous n’oublions pas que les victoires électorales et idéologiques se construisent au contact direct des citoyens.

Aussi, nous réitèrerons l’expérience d’un séminaire de formation en juin, sur le temps d’un week-end.

- Organiser les débats : L’ADN politique de la gauche porte en elle l’impératif du débat. C’est par celui-ci que se construit la décision collective et la démocratie. De ce fait, nos Assemblées générales doivent être des temps de débats où chacun peut intervenir pour exprimer son opinion sur l’actualité ou sur un thème particulier.

De plus, nous organiserons des projections-débats qui serons l’occasion d’échanger autour d’un film politique.

Améliorer notre communication interne et externe :- Multiplier les campagnes locales : La première arme des militants socialistes que nous sommes est le tract. Celui-ci est le support d’un message politique mais surtout le moyen d’engager la discussion avec les citoyens, avec les jeunes. C’est la raison pour laquelle nous devons disposer d’un arsenal de tracts que nous réaliserons localement pour mettre en avant nos propres priorités. De même, des collages plus réguliers seront

organisés afin d’être visibles sur tout le territoire.

- Publier un journal trimestriel : De même, nous lancerons la création d’un journal fédéral trimestriel à destination de nos adhérents et sympathisants. Il sera l’occasion d’aborder des questions d’actualité et d’inviter à la réflexion sur des thématiques plus générales.

- Développer les supports audiovisuels : Si la Fédération a progressé du point de vue de la communication, elle a eu tendance à abandonner certains supports de communication tels que la vidéo, particulièrement utilisée sous le mandat de Martin Meyrier. Nous devons réinvestir cet outil de promotion qui peut nous permettre d’être mieux connus et de diffuser nos idées pour convaincre.

- Optimiser la communication numérique : Nous le constatons tous les jours, les réseaux sociaux sont les moyens les plus fréquemment utilisés pour rentrer en contact avec la Fédération. De ce fait, nous devons nous en emparer pleinement et améliorer notre rayonnement sur internet.

- Faire du site internet l’outil de chaque militant : Grâce au concours de nombreux militants, nous sommes parvenus à faire émerger le site jeunes-socialistes35.fr, il

jeunes-socialistes35.fr

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s’agit d’un outil très utile de promotion et de communication. Néanmoins, il doit aussi être d’avantage un lieu d’expression de nos convictions : chaque militant doit se sentir autorisé à s’en saisir pour publier un article d’actualité ou de fonds. Idéalement, le site devrait donner aux adhérents un espace privilégié où trouver les informations concernant les rencontres et les évènements.

- Améliorer nos relations avec la presse : Depuis plusieurs mois, la Fédération peine à communiquer à destination de la presse par manque de temps. Il s’agit pourtant d’un outil important pour nous donner une visibilité localement. Nous nommerons un-e Secrétaire fédéral-e aux relations-presse chargé de faire ce travail d’élaboration d’une stratégie de communication à destination des médias.

Être au coeur de la Gauche :- S’inscrire pleinement dans la dynamique fédérale du Parti socialiste : Le Mouvement des Jeunes socialistes est l’organisation de jeunesse du Parti socialiste. Son rôle est d’être une force de propositions pour nos ainé-e-s et le porte-voix de la jeunesse de gauche. À cet égard, nous devons être fortement impliqués dans la vie de la Fédération du PS 35 parce que c’est grâce au Parti socialiste que se gagnent les combats électoraux et les victoires idéologiques. C’est le levier qui permet la transformation sociale. Il s’agit d’une nécessité, d’autant plus que François Hollande, Président socialiste, a fait de la

jeunesse sa priorité.

-Ouvrir des débats, avancer nos idées :Grâce à nos campagnes, notre dynamisme, notre légitimité militante, nous serons en capacité de faire avancer nos idées dans le débat politique, nous rappellerons que la réussite de la gauche dépend de sa capacité à rompre avec les carcans libéraux imposés par une Europe technocratique. Retraite à 60 ans, SMIC à 1 500 euros, réduction du temps de travail, sont les réponses qu’attendent notre camp social.

- Tisser des liens avec le tissu associatif, le milieu syndical et les autres organisations de jeunesse de gauche : Pour être une fédération ouverte, nous devons être à l’écoute du mouvement social. Comme indiqué dans les statuts du MJS, il est vivement recommandé à chaque militant d’être adhérent dans un syndicat : nous le savons, pour réussir un gouvernement doit pouvoir s’appuyer sur un rapport de force en faveur des étudiant-e-s, des ouvriers, des salarié-e-s, des retraité-e-es construit par le mouvement social. De même, nous devons chercher des convergences avec nos partenaires politiques de gauche parce que c’est de l’union de la gauche que dépend le progrès social et la réussite d’un gouvernement socialiste.

jeunes-socialistes35.fr

Le stand des Jeunes socialistes à la marche des Fiertés

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liste des délégué-e-s

Collectif fédéral :1. Pauline Salaün2. Yoann Moisan3. Margot Leport4. Thomas Couvert5. Lucil-Atumma Modebelu6. Benjamin Aulnette7. Clémentine Richer8. Tom Fohanno Morel9. Pierre Berthy10. Pierre-Louis Landureau11. Bertrand Tannoux

Suppléant : Keno Kunkel

Comité de coordination régionale :1. Yoann Moisan2. Thomas Couvert3. Lucil-Atumma Modebelu4. Bertrand Tannoux5. Clémentine Richer

Suppléants : Pierre Berthy, Pierre-Louis Landureau, Margot Leport