Petits réseaux d'alimentation en eau potable · 2020. 4. 2. · Réseaux d'alimentation en eau...

Petits réseaux d'alimentation en eau potable

Surveillance active –Rôle de l'ISP vis-à-vis

de l'eau potable

http://www.ncceh.ca/�

Nelson FokDirecteur scientifique et

techniqueAlberta Health Services - Edmonton

[email protected]

Rôle de la santé publique dans la prévention des éclosions

d'origine hydrique


Réseaux d'alimentation en eau potable

Réseaux d'eau publics

Transport/Produit alimentaire Réseaux d'eau privés

DépôtsTransporteurs

Eau en bouteille, distributeurs

automatiques, irrigation, glace

Propriétés privées/fermes

Non transitoire• Puits, mares

artificielles, citernes

Transitoire• Installations de

loisirs, cabines (puits, citernes)

Particulier non approuvé

Collectivité non approuvée

Collectivité approuvée

Municipalités individuelles Collectivité non

autoriséeRéseaux

régionaux

Distribution uniquement

Collectivité non autorisée

Non transitoire• Coopératives

(< 3 km, 15 connexions), écoles, institutions, industries, bureaux, parcs de maisons mobiles

Transitoire• Stations-service,

campings, centres de villégiature, restaurants, hôtels, motels, gîtes touristiques, salles des fêtes

Réseaux d'eau potable en Alberta

• De la source au robinet

• HACCP et les points de contrôle critiques

• Contrôle actif et surveillance passive

• Avis efficace et opportun conseillant de faire bouillir l'eau (stratégie d'intervention)

• Fait la promotion de la salubrité de l'eau

• Informe le public

Approche à barrières multiples

PCM

Prévention

Protection

Symptômes des éclosions hydriques

(par ordre d'importance)• Évènements dans le bassin

hydrographique

• Variations des paramètres opérationnels dans les usines de traitement des eaux

• Présence de cas (surveillance syndromique) et plaintes des consommateurs

• Agents étiologiques présents dans l'eau


Elle est fondée sur la théorie qu'une barrière unique ne peut pas inactiver ou supprimer de façon uniforme tous les pathogènes hydriques et qu'elle ne résiste pas à certains événements de pollution majeurs

Grands et petits réseaux d'alimentation en eau potable

Rôle du service de santé publique?

Réseaux d'alimentation en eau potable

Réseaux d'eau publics

Transport/Produit alimentaire Réseaux d'eau privés

DépôtsTransporteurs

Eau en bouteille, distributeurs

automatiques, irrigation, glace

Propriétés privées/fermes

Non transitoire• Puits, mares

artificielles, citernes

Transitoire• Installations de

loisirs, cabines (puits, citernes)

Particulier non approuvé

Collectivité non approuvée

Collectivité approuvée

Municipalités individuelles Collectivité non

autoriséeRéseaux

régionaux

Distribution uniquement

Collectivité non autorisée

Non transitoire• Coopératives

(< 3 km, 15 connexions), écoles, institutions, industries, bureaux, parcs de maisons mobiles

Transitoire• Stations-service,

campings, centres de villégiature, restaurants, hôtels, motels, gîtes touristiques, salles des fêtes

Réseaux d'eau potable en Alberta

Éclosions d'origine hydrique –réseaux municipaux

• Éviter les éclosions de maladies hydriques à l'aide d'un programme « HACCP » ou d'un contrôle « de la source au robinet »

• Protéger le public en minimisant le risque d'éclosions de maladies hydriques à l'aide d'un avis efficace et opportun conseillant de faire bouillir l'eau

• Éducation


« Symptômes » des éclosions (par ordre d'importance)

• Évènements dans le bassin hydrographique• Variations des paramètres opérationnels

dans les usines de traitement des eaux• Présence de cas (surveillance syndromique)

et plaintes des consommateurs• Agents étiologiques présents dans l'eau


• Une surveillance de la conformité SEULE ne permet d'obtenir que des réponses réactives

• Une enquête réalisée en 2006 a établi que 74 % des AHM/ISP « assurent » le respect de la réglementation et des normes relatives à l'eau potable en surveillant la qualité de l'eau (bactéries et substances chimiques) avec un suivi

• Le rôle en matière de salubrité de l'eau potable est de PRÉVENIR les éclosions de maladies : approche préventive pratique


Évènements dans le bassin hydrographique :• Chute de pluie importante• Ruissellement printanier• Refoulement d'eaux usées/cuves à déjections 51 % des éclosions de maladies hydriques aux

États-Unis ont été précédées par des évènements de précipitations supérieurs au 90e percentile et 68 % par des évènements supérieurs au 80e percentile

Éclosions d'origine hydrique –petits réseaux

Évènements dans le bassin hydrographique?Une étude en Floride a montré que de fortes

précipitations (> 6 cm) de juillet à septembre ont donné lieu à une augmentation du niveau des nappes phréatiques et à des débordements de fosses septiques

La percolation du lixiviat dans le sol ne peut pas s'opérer pendant la saison des pluies, entraînant une contamination des eaux souterraines

Arnade, Ground Water, 1999


Évènements dans le bassin hydrographique?• 2001 Wyoming, gîte de motoneige - 35 cas

d'infection par le norovirus• Trois puits situés de 28 à 35 mètres d'une

fosse septique ou de latrines• Rénovations ayant augmenté la charge en

eaux usées sans augmenter la capacité de la fosse septique, nécessitant l'absorption d'un volume plus important d'effluents par les champs d'épandage


Évènements dans le bassin hydrographique?• 2006 Wyoming, centre de vacances d'été pour

adolescents• 2 puits d'une profondeur de 9 à 15 mètres• À 40 mètres d'une fosse septique• Fosse pleine• Infection par le norovirus et le Campylobacter


Évènements dans le bassin hydrographique?Étude dans les zones rurales de la

Saskatchewan :• Pour 47 % des puits ayant une teneur élevée

en nitrates, du bétail se trouvait à proximité de la zone du puits, à côté ou au sein de celle-ci

Sketchell et Shaheen, étude de 2000

Éclosions d'origine hydrique : Petits réseaux

Évènements dans le bassin hydrographique?Île de South Bass, Ohio 2007• 1 450 cas de maladies gastro-intestinales

(Campylobacter, norovirus, Giardia et salmonelles)

• Débordement des fosses septiques, plus précipitations extrêmes

• Augmentation du niveau des nappes phréatiques, saturation du sol subsuperficiel dans le champ d'épuration

Éclosions d'origine hydrique : Petits réseaux

Évènements dans le bassin hydrographique?

Île de South Bass, Ohio 2007• Site d'évacuation d'eaux usées illégal

au centre de l'île, acceptant des eaux usées non traitées provenant de résidences et d'entreprises – eaux usées déversées par remorque dans un aven conduisant à l'aquifère souterrain


Évènements dans le bassin hydrographique?


Variations des paramètres opérationnels dans les usines de traitement des eaux :

• PCM• Pointes de turbidité• Compteurs de particules• Crédits d'enlèvement logarithmique,

valeurs Ct• Concentrations résiduelles de chlore • Pression


Disposant de peu de paramètres opérationnels à surveiller (à l'exception de la concentration résiduelle de chlore), comment les AHM/ISP peuvent-ils correctement évaluer le risque d'éclosion d'une maladie hydrique pour un réseau privé?

Sans ces facteurs de contrôle, comment peut-on prévenir l'éclosion d'origine hydrique?


CanadaFacteur déterminant pour les éclosions d'origine

hydrique :

• Service public : problèmes au niveau du traitement des eaux, réglementation insuffisante

• Semi-public : fosses septiques, problèmes au niveau du traitement des eaux, réglementation insuffisante

• Privé : fosses septiques


Prévention?Document de l'EPA des É.-U. (1993) sur la

protection des têtes de puits : La menace la plus courante pour l'intégrité d'un

puits d'eau privé est une contamination résultant d'une infiltration d'eau superficielle, soit directement dans le tubage, soit le long des parois extérieures de celui-ci, en raison d'une mauvaise construction ou d'un mauvais entretien


L'EPA (1977) a désigné les zones où la densité de fosses septiques est supérieure à 40 systèmes par mille carré (1 système pour 16 acres) comme zones de risque en matière de contamination des eaux souterraines

Des études récentes ont montré qu'une densité inférieure à deux systèmes par acre n'occasionne pas des niveaux de contamination supérieurs aux normes de l'EPA


L'EPA estime que 10 à 20 % des unités de traitement sur place des eaux usées aux États-Unis ne fonctionnent pas correctement

Une densité élevée de systèmes peut dépasser la capacité naturelle du sol à recevoir et purifier les eaux usées avant que celles-ci atteignent des eaux souterraines ou des eaux superficielles voisines


Étude de maladies parmi des enfants du Wisconsin

Une diarrhée virale affectant les enfants a été associée au nombre de réservoirs de rétention/fosses septiques dans une zone de 640 acres entourant la résidence de l'enfant affecté

Une augmentation de 8 % du risque de maladie diarrhéique virale a été mise en évidence pour chaque réservoir de rétention supplémentaire par zone de 640 acres

Borchardt, EH Perspectives 2003


Une corrélation a été établie entre le nombre de cas de diarrhées bactériennes et le nombre de réservoirs de rétention par zone de 40 acres

Une augmentation de 22 % du risque de diarrhée bactérienne a été mise en évidence pour chaque réservoir de rétention supplémentaire par zone de 40 acres

Borchardt, EH Perspectives 2003


Inspection et surveillance des puits d'eau :Étude réalisée au Colorado• La présence de coliformes totaux a été

détectée dans 71 % des puits de moins de 60 m (200 pieds)

(Gonzales, J En. Health Décembre 2008)


• La présence de coliformes totaux a été détectée dans 71 % des puits dotés d'une protection médiocre ou moyenne de la tête de puits

• Médiocre : tubage non jointoyé, absence de buse de puits ou de couvercle scellé et buse de puits ne dépassant pas au minimum de 30 cm au-dessus du sol

• Moyenne : tubage jointoyé, buse de puits mal ajustée ou non scellée, ou buse de puits ne dépassant pas au minimum de 30 cm au-dessus du sol


Étude réalisée en Alberta :• 14 % des échantillons d'eau de puits

contiennent des coliformes totaux détectables

• Une proportion importante de ces puits ont une profondeur inférieure à 30 m (100 pieds)

• La plupart des puits ayant une teneur élevée en nitrates-nitrites ont une profondeur inférieure à 30 m (100 pieds)

Fitzgerald, Canada-Alberta En. Sustainable Agriculture (CAESA), étude de 1997


Étude dans les zones rurales de la Saskatchewan :• 63 % des puits ayant une teneur élevée en nitrates

avaient une profondeur < 60 pieds, 88 % une profondeur inférieure à 30 m (100 pieds)

• 33 % des puits dans lesquels ont été détectés des coliformes totaux avaient une profondeur < 30 m

• Un puits dans lequel ont été détectés des coliformes totaux avait une profondeur de 586 pieds mais était connecté à un puits abandonné par une conduite d'eau effondrée

Sketchell et Shaheen, étude de 2000


Fête foraine d'Albany, New York 1999, 127 cas de E. coli O157:H7, 45 Campylobacter, 14 HUS

• 2 800 à 5 000 malades, 71 hospitalisés et 2 morts• Un puits d'une profondeur de 7 m était situé à

11 m d'un champ d'épuration de fosse septique• Des tests de colorant ont mis en évidence des

effluents des toilettes dans le puits en moins de 10 heures


Huit cas d'hépatite A dans un comté du Tennessee en 2008

Le cas 0 déverse le virus dans une fosse septique, donnant lieu à une charge virale très élevée

Les eaux septiques s'infiltrent dans son propre puits, puis dans au moins deux autres puits


Une inspection et une surveillance appropriées des puits (emplacement par rapport aux fosses septiques et aux autres sources de pollution, protection de la tête du puits) permettront une prédiction relativement précise de la probabilité de contamination du puits

Inventaire des puits abandonnés


Résultats préliminaires du projet WFL :

88,3 % avec un exploitant non qualifié/non expérimenté

20 % avec un puits d'eau souterraine abandonné ou « stagnant »

15 % avec une source visible de contamination externe au moment de l'inspection


Résultats préliminaires du projet WFL :20 % avaient un puits dans une fosse29 % avec le tubage ne dépassant pas du sol14,3 % n'avaient pas de couvercle de puits72,2 % n'effectuaient pas de traitement choc

au chlore concentré de façon régulière20,4 % ne faisaient aucun test

bactériologique ou ne prélevaient que rarement des échantillons d'eau


Les systèmes de traitement sur place des eaux usées sont efficaces pour la plupart des polluants relatifs aux eaux usées, y compris pour la DBO, les solides en suspension, les indicateurs bactériens, les métaux, le phosphore et certains virus

Ils ne sont pas conçus pour de nombreux autres polluants organiques


• Surveillance des perturbateurs endocriniens dans les fosses septiques et dans les eaux souterraines en aval

• Concentration élevée de contaminants organiques provenant des eaux usées jusqu'à 6 m en aval

Swartz En. Science & Tech 2006


• La concentration de nombreux composés organiques (perturbateurs endocriniens et produits pharmaceutiques de soins personnels) était de l'ordre de la moitié de la concentration à proximité de la source, suggérant qu'il existe un risque de migration de ces composés organiques, qui ne sont ni réglementés ni régulièrement surveillés dans les eaux souterraines

Swartz En. Science & Tech 2006


• Produits pharmaceutiques de soins personnels, carbamazépine, sulfaméthoxazole et nicotine présents dans l'aquifère sous-jacent après percolation des effluents au travers d'une zone vadose de sable de 2 m d'épaisseur

Godfrey, Ground Water, 2007

• Conférence d'avril 2009 de l'American Urological Association : augmentation du taux de cancer de la vessie associée à la consommation d'eau de puits


Présence de cas (surveillance syndromique) et plaintes des consommateurs

• Surveillance active (garderies, institutions, médicaments en vente libre)

• Surveillance passive (avis de maladie à déclaration obligatoire)


Apparition de cas• Octobre 2008 : épidémie d'infections par l’E.

coli due à des laitues aux États-Unis• Une infirmière de prison signale une maladie

soupçonnée d'être d'origine alimentaire• La même bactérie a été identifiée comme

cause de maladie à la Michigan State University et dans d'autres comtés du Michigan


Apparition de cas• Mai 2008 : au Texas, 36 cas de

salmonelles sont imputés à de la crème glacée maison servie lors d'un événement religieux

• Un pharmacien a remarqué que des clients venaient chercher des médicaments pour traiter les mêmes symptômes


Apparition de cas• Les petites collectivités sont mieux

adaptées à une surveillance active (syndromique) en raison de leur population réduite et définie et des points de contact limités (médecins ou pharmaciens)

Facteurs contribuant à des éclosions de maladies hydriques pour les grands et petits réseaux

de traitement des eaux

Page de transitionÉvènements dans le

bassin hydrographique• Inondation• Rejet d'eaux usées• Ruissellement printanier

Évènements dans le bassin hydrographique• Inondation (fosse septique, ruissellement agricole, camions)• Fortes chutes de pluie (changement climatique)• Défaillance d'une fosse septique due à un problème d'entretien ou de volume• Densité des systèmes de traitement sur place des eaux usées et types d'aménagement foncier

Page de transitionVariation des paramètres opérationnels• PCM• Pointes de turbidité• Compteurs de particules•Valeurs Ct et enlèvement logarithmique• Chlore résiduel

Entretien des puits et évaluation des risques• Protection des têtes de puits• Surveillance et inspection des puits et fosses septiques• Registre d'entretien• Chlore résiduel • Éducation

Page de transitionCas dans la collectivité• Surveillance active• Surveillance passive avec avis de maladie à déclaration obligatoire

Cas dans la collectivité• Établir une relation avec les cliniciens et les pharmaciens locaux• Expliquer aux exploitants les symptômes des éclosions de maladies• Plaintes

Page de transitionAgents étiologiques présents dans l'eau :- Limités en volume- Concentration de bactéries- Résultats sur au moins 24 heures

Agents étiologiques présents dans l'eau :- Échantillonnage limité et peu fréquent (hebdomadaire ou mensuel) - Éducation


• Une évaluation des risques et une surveillance appropriées doivent constituer une partie importante de la prévention d'une éclosion de maladies pour les petits réseaux

• Une surveillance active et une communication active peuvent constituer des instruments efficaces de protectiondu public contre l'eau contaminée


• Éduquer : événements affectant un bassin hydrographique, protection et entretien des têtes de puits

• Éduquer : l'exploitant/propriétaire doit connaître les symptômes d'une éclosion de maladies et savoir qui contacter

• Éduquer : surveiller la qualité de l'eau (physique et chimique)

• Éduquer : Échantillonnage et entretien réguliers (traitement choc au chlore)


Évaluation du réseau – étude de site(surveillance de l‘utilisation du sol avec le

réseau dans son ensemble et non séparément) :

• Bétail, ruissellement agricole, sources d'eaux usées (champ d'épuration de fosses septiques, réservoirs de rétention, remorques d'eaux usées) – emplacement et densité, épandage de biosolides, puits abandonnés


Évaluation du réseau – étude de sol(surveillance de l’utilisation du sol avec le

réseau dans son ensemble et non séparément) :

• Profondeur des eaux souterraines• Vulnérabilité des eaux souterraines


Exploitation et surveillance – Étude d'alimentation

• Protection de la tête de puits, intégrité du tubage, contrôle des jonctions fautives, conception et exploitation du réseau

• Changements apportés au niveau de l'exploitation/installation en matière d'élimination des déchets

• Effectuer régulièrement des essais au colorant


Gestion et communication• Organiser un système de surveillance

active au sein des petites collectivités (pharmacies, cliniques)

• Système efficace de déclaration et d'évaluation des avis de maladie à déclaration obligatoire

• Noter les plaintes des consommateurs• Éduquer

Facteurs contribuant à des éclosions de maladies hydriques pour les grands et petits réseaux

de traitement des eaux


PCM

Prévention

Protection


Prévention

Protection


Nouveaux outils d'évaluation des risques à développer pour évaluer les risques de contamination de l'eau des petits réseaux à partir de l'utilisation des terres, de la densité, de l'aquifère, du type de sol, de la protection des têtes de puits, de l'entretien des têtes de puits

Petits réseaux d'alimentation en eau potable

Surveillance active –Rôle de l'ISP vis-à-vis

de l'eau potable


Slide Number 1Slide Number 2Slide Number 3Slide Number 4Slide Number 5Slide Number 6Slide Number 7Slide Number 8Symptômes des éclosions hydriques�(par ordre d'importance)Approche à barrières multiplesSlide Number 11Grands et petits réseaux d'alimentation en eau potableSlide Number 13Éclosions d'origine hydrique – réseaux municipauxÉclosions d'origine hydrique – réseaux municipauxÉclosions d'origine hydrique – réseaux municipauxÉclosions d'origine hydrique – réseaux municipauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxSlide Number 22Éclosions d'origine hydrique : �Petits réseauxÉclosions d'origine hydrique : �Petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – réseaux municipauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – réseaux municipauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxFacteurs contribuant à des éclosions de maladies hydriques pour les grands et petits réseaux de traitement des eauxPage de transitionPage de transitionPage de transitionPage de transitionÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxÉclosions d'origine hydrique – �petits réseauxSlide Number 62Facteurs contribuant à des éclosions de maladies hydriques pour les grands et petits réseaux de traitement des eauxSlide Number 64Slide Number 65Éclosions d'origine hydrique – �petits réseauxSlide Number 67

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